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Toute l'actualité du bâtiment

255369 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 89 jours

L'année 2021 s'est terminée avec un léger recul de la consommation énergétique

ÉNERGIES. À cause des incertitudes persistantes de la crise sanitaire, la consommation d'énergie de la France a un peu marqué le pas au 4e trimestre 2021. Du fait de l'arrêt de plusieurs réacteurs nucléaires, la production énergétique s'est également repliée, quand l'électricité d'origine renouvelable a dégringolé en raison d'une pluviométrie faible pour l'hydraulique et d'un manque de vent pour l'éolien.
Il y a 3 ans et 90 jours

Résultats "records" pour Rexel en 2021

RÉSULTATS. Le spécialiste de la distribution de matériels électriques, Rexel, annonce des résultats "records" pour 2021, soit une hausse de +15,6% par rapport à 2020 en données comparable et à jours constants.
Il y a 3 ans et 90 jours

Embarquez pour "le Grand Tour" du monde avec l'exposition d'architecture de Docteur Paper

CULTURE. La Maison de l'architecture Ile-de-France expose les illustrations de Docteur Paper durant deux mois. L'occasion de (re)découvrir l'architecture de grandes villes internationales et leurs célèbres bâtiments.
Il y a 3 ans et 90 jours

Risques professionnels : lancement d'une nouvelle subvention pour les TPE

SANTÉ-SÉCURITÉ. Pour aider les entreprises de moins de 50 salariés à acquérir des matériels permettant de réduire les risques de chutes de plain-pied et de hauteur, les troubles musculo-squelettiques ainsi que les lombalgies, l'Assurance maladie - Risques professionnels propose une nouvelle subvention baptisée Top BTP.
Il y a 3 ans et 90 jours

Procès du balcon d'Angers : les recommandations ministérielles doivent être mises en œuvre selon l'AFCAB

Le rapport d’expertise sur lequel s’est appuyée l’instruction a d’ores et déjà souligné de nombreuses malfaçons dans la construction des balcons du bâtiment, notamment relatives aux armatures du béton.Depuis de nombreuses années, l’AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton) sensibilise les professionnels du BTP et les pouvoirs publics à la nécessité de recourir à la certification des armatures et des entreprises de pose de ces produits, de façon à contribuer à la sécurité des constructions en béton, qu’il s’agisse de logements ou d’ouvrage de génie civil.Le drame d’Angers s’inscrit dans une série plus large d’effondrements de balcons, intervenus en France (Bordeaux, Nanterre, ...) comme à l’étranger (Allemagne, Suisse, Etats-Unis, ...). Dans ce cadre, l’AFCAB avait attiré l’attention des pouvoirs publics sur cette épidémie, de sorte que le Ministre en charge du Logement avait commandé une étude sur le sujet à l’Agence Qualité Construction (AQC), suite notamment à l’intervention de la Sénatrice du Maine-et-Loire Catherine Deroche.Publiée en novembre 2019, l’étude « Balcons : points de vigilance » avait ainsi mis en lumière de nombreuses pathologies affectant les balcons en béton, causées notamment par des insuffisances dans la pose des armatures. Elle recommandait en conséquence de systématiser les contrôles et auto-contrôles relatifs à la pose des armatures sur ce type de constructions.L’AFCAB s’est depuis mobilisée pour que ces recommandations soient suivies d’effets. Elle attend notamment que les pouvoirs publics prennent des dispositions leur conférant une véritable portée normative. Une systématisation du recours aux certifications des armatures et des entreprises de pose d’armatures pourrait faire partie de ces dispositions.
Il y a 3 ans et 90 jours

Pour Emmanuelle Wargon, "la RLS a été compensée auprès des bailleurs sociaux"

DÉBATS. La ministre du Logement s'est expliquée, le 14 février, sur la production de logements sociaux, la RLS (réduction de loyer de solidarité) ou encore la pérennisation de la loi SRU, à l'occasion d'une table-ronde organisée par le quotidien L'Humanité.
Cimbat
Il y a 3 ans et 90 jours

Logement : L'Institut Montaigne appelle à rebâtir nos ambitions

Pourtant, cette intervention importante de la puissance publique peine à répondre à la demande croissante de logements, notamment dans les zones tendues. Le prochain quinquennat doit être l’occasion de repenser cette politique afin d’en faire une grande cause nationale. Les constats que l’Institut Montaigne a établi dans son précédent rapport Politique du logement : faire sauter les verrous (2015) sont toujours d’actualité et méritent une attention renouvelée, en particulier la territorialisation de la politique de logement et la question de l’efficacité des dépenses publiques. À ces constats s’ajoutent de nouvelles évolutions : les réformes à l'œuvre dans le champ du logement social, la prise en compte croissante des enjeux environnementaux et les modes de vie changeants nés de la crise sanitaire et amènent à repenser l’aménagement de nos territoires. Autant d’enjeux que l’Institut Montaigne souhaite positionner au cœur du débat pour que la question du logement (re)devienne centrale dans les politiques publiques.Des besoins de logements différenciés…La France connaît une demande en logement croissante, reflétée par une hausse importante des prix de l’immobilier partout en France au cours des vingt dernières années. Entre 2005 et 2020, le prix au mètre carré des appartements neufs est passé de 2.757 € à 4.318 €, soit une augmentation de 57 % en quinze ans. Cependant, les besoins de logements et les tensions sur l’offre liées à ces derniers sont hétérogènes en fonction des territoires. L’indice de tension immobilière, qui mesure le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de biens à vendre, atteint 16 % dans les Hauts-de-Seine alors qu’il s’établit à - 1 % dans les Landes et dans le Gers. Les écarts de prix peuvent également être très significatifs au sein d’un même département : dans le Nord par exemple, il faut débourser en moyenne 3.500 € à Lille contre à peine 1.000 € à Maubeuge.…qui plaident pour la territorialisation de la politique du logementAujourd’hui, la politique du logement en France repose sur la logique d’une stratégie nationale pour des décisions locales : l’État définit l’objectif de construction de logements à échelle nationale et l’acte de construire résulte en premier lieu des compétences dévolues aux maires. Fixer des d’objectifs de construction à l’échelle du pays entier semble pourtant inadapté aux dynamiques territoriales et aux besoins qui en résultent. La baisse constante du nombre de permis de construire accordés et le décrochage de la France en la matière par rapport à ses voisins européens sont des indicateurs des ambivalences de ce système.Si l’on regarde cela d’encore plus près on constate que la politique du logement s’articule autour de nombreux acteurs sur plusieurs échelons :l’État définit la stratégie de la politique du logement au niveau national, et fixe des règles générales (aides financières, fiscales et personnelles au logement ; attribution des aides au logement social…) et les objectifs nationaux de la politique du logement (notamment en termes de construction de logements) ;la Région établit le SRADDET (schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) ;les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peuvent définir les plans locaux d’urbanisme intercommunaux. L’exercice de cette compétence est aujourd’hui assurée par seulement 51,5 % des EPCI ;les Communes définissent des plans locaux d’urbanisme et délivrent les permis de construire. Ces deux compétences peuvent être déléguées à l’EPCI, même si dans les faits cela n’arrive que très rarement.Nos propositions pour territorialiser la politique du logementLa réponse aux enjeux de chaque territoire doit passer par le renforcement de la territorialisation des politiques de logement, tout en l’adaptant aux besoins de chacun. Donner plus de poids au local permettrait la constitution d’un véritable projet de territoire associant l’ensemble des acteurs concernés (services de l’État, collectivités territoriales, bailleurs sociaux, investisseurs institutionnels, etc.).Proposition n°1 : Accorder aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) un rôle de "chef de file" en matière de logement.Proposition n°2 : Mettre en place un mécanisme de contractualisation entre l’État et les intercommunalités en vue notamment de définir le cadre de la politique du logement à l’échelle du bassin de vie.Proposition n°3 : Rendre obligatoire les plans locaux d’urbanisme à l’échelle intercommunale.Proposition n°4 : Transférer la délivrance des permis de construire aux intercommunalités.Proposition n°5 : Faire du schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires un outil de planification de la politique du logement à l’échelle de chaque région. Le rôle de la Région gagnerait à être renforcé comme échelon de concertation et de pilotage de la politique du logement à échelle locale. En effet, la région est compétente en matière d’aménagement du territoire (en matière d’infrastructures de transport ou de prévention et de gestion des déchets par exemple) et elle pourrait se voir reconnaître un rôle effectif de planification et d’évaluation des besoins à satisfaire.Une forte demande en logements que la dépense publique ne parvient pas à satisfaireLes dépenses publiques liées au logement, qui représentent 1,6 % de notre PIB (contre 0,7 % au sein de l’Union européenne), ne consistent pas seulement à soutenir la construction de logements.Ces dépenses doivent être distinguées entre les dépenses pour le "hard" bâti, la construction, et celles pour le "soft", c’est-à-dire le soutien à la consommation de logement par les ménages. En réalité, c’est surtout ce deuxième type de dépenses qui sont les plus importantes, elles correspondent en effet à 22,1 milliards d’euros, tandis que les aides pour le "hard" représentent un montant d’environ 15,2 milliards d’euros. L’existence d’aides directes au profit des ménages permet de solvabiliser la demande, notamment des plus vulnérables. Rappelons que le taux d’effort des ménages - c’est-à-dire le pourcentage des revenus des ménages dédiés au logement - est globalement plus faible que dans le reste de l’Union Européenne, l’intervention de l’État reste donc nécessaire.Néanmoins, il existe toujours une demande sociale forte que la dépense publique ne parvient pas à satisfaire : pour ceux dont les ressources sont inférieures à 60 % du revenu médian, le taux d’effort s’établit à 36,3 % contre 14,7 % pour les autres alors que les dépenses publiques en faveur du logement sont près de deux fois supérieures à celles de nos voisins. À l’heure où le redressement des comptes nationaux est nécessaire, la faible efficacité de cette intervention publique massive doit nous pousser vers de nouvelles pistes de solutions.Nos propositions pour mettre en place une politique du logement plus efficaceProposition n°6 : Acter l’extinction du dispositif Pinel après 2024.Proposition n°7 : D’ici 2024 et la fin du dispositif Pinel, initier une réflexion sur l’opportunité de définir un régime pérenne pour les investisseurs particuliers, à l’image d’un "statut" du bailleur privé.Proposition n°8 : Simplifier le cadre juridique en limitant le recours à de nouveaux textes législatifs et en instituant une procédure de déclassement des dispositions de nature réglementaire dans la partie législative du code de la construction et de l’habitation.Proposition n°9 : Mettre fin aux dispositifs d’encadrement des loyers à tout le moins lors de la conclusion d’un nouveau bail.Une nouvelle réflexion sur le logement social semble nécessaireLe modèle français de logement social se distingue par son caractère "généraliste", c’est-à-dire qu’il ne cible pas seulement les plus démunis mais l’ensemble des ménages disposant de faibles revenus : dans les faits, c’est deux tiers des ménages qui sont susceptibles d’être éligibles au logement social. Cette conception, qui constitue le fondement de notre politique en matière de logement social, poursuit trois grands objectifs : favoriser la mixité sociale, accompagner l’ensemble des ménages modestes et influer sur le niveau global des prix. Pourtant, la demande exprimée par les plus vulnérables n’est qu’imparfaitement satisfaite. Selon les données de l’ANCOLS, les ménages devaient patienter un an et deux mois en 2019 avant de bénéficier d’un logement social. Dans Paris et sa proche couronne, l’attente atteignait plus de trois ans.Une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser doit permettre de s’interroger sur ce qu’est la mixité sociale et les parcours résidentiels qu’il faut encourager, la mobilité résidentielle - c’est-à-dire la possibilité d’évoluer au sein du parc social ou du parc social au logement libre - étant une problématique majeure dans le champ du logement social.Nos propositions pour faire évoluer le logement socialProposition n°10 : Initier en début de quinquennat une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser.Proposition n°11 : Évaluer, au moins dans les zones tendues, l’opportunité de recourir à des contrats de bail à durée déterminée dans le parc social afin d’accroître la mobilité résidentielle.Proposition n°12 : Évaluer l’opportunité de recourir largement au bail réel solidaire dans les zones tendues au-delà du seul champ du logement social.Poursuivre et massifier la rénovation énergétique : un impératif pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050La question de la rénovation énergétique des bâtiments est devenue indissociable de la politique du logement. Selon les estimations réalisées par le Haut conseil pour le climat (HCC), l’investissement annuel public et privé en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments est estimé à 13 milliards d’euros. Bien que conséquent, ce montant devra être multiplié au moins par deux dans les prochaines années pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050. Pour y parvenir, de nombreux dispositifs ont été mis en place par les pouvoirs publics : "MaPrimeRénov" (2 milliards d’euros en 2022), de l’éco-prêt à taux zéro ou encore du taux réduit de TVA à 5,5 % pour certains travaux de rénovation, (1,5 milliard d’euros en 2022). De même, le prêt avance mutation (PAM +) et le prêt viager hypothécaire sont des dispositifs prometteurs.Si ces dispositifs semblent aller dans le bon sens, trois axes pourraient utilement guider l’action de l’État dans les prochaines années : viser la massification de la rénovation énergétique, simplifier l’accès aux dispositifs existants en créant par exemple un guichet unique et se garder de toute mise à contribution excessive des finances publiques.
Il y a 3 ans et 90 jours

Femmes, investissements et patrimoine : une exclusion de longue date

L'exclusion des femmes de ces thématiques trouve ses racines dans les rôles genrés traditionnels mais aussi dans les préjugés des gestionnaires de patrimoine, selon cette chargée de recherche au CNRS rattachée au Centre d'études et de recherches administratives politiques et sociales de Lille.Question: Qui gère le patrimoine ?Réponse: "Une des questions de l'enquête patrimoine de l'Insee c'est +qui a répondu dans le foyer?+ et cela permet de retracer qui gère le patrimoine.Plus celui-ci est important, plus il est géré par les hommes dans les couples hétérosexuels. Pour les ménages plus modestes, ce sont les femmes. Et au milieu, le patrimoine est souvent géré à deux".Q: Qu'est-ce qui explique cette exclusion des femmes, notamment chez les plus fortunés ?R: De ce que j'ai constaté lors de mes entretiens, trois facteurs entrent en jeu.D'abord, il y a un accès inégal à l'information sur les montants détenus, les supports de détention, avec des femmes qui ont perdu la main sur le sujet. Auparavant, elles pouvaient raconter l'histoire du patrimoine familial mais, en matière d'actifs, elles ne savent plus.Elles sont aussi souvent exclues des espaces où ces questions sont discutées. Même dans l'enceinte familiale, ça reste tabou. Un actionnaire d'une société familiale m'expliquait que sa conjointe ne savait pas qu'ils possédaient 20 millions d'euros. Tous ses frères ont eu un poste dans l'entreprise mais ils ont exclu les soeurs du conseil d'administration. Après les réunions, les conseils pour investir circulent entre eux.Enfin, il y a des stéréotypes sexistes qui font que les femmes ne sont pas. considérées par leur entourage et par elles-mêmes comme compétentes. Et ce n'est pas forcément une question de génération.Q: Les professionnels ont-ils participé à cette exclusion ?R: Le marché de la gestion de patrimoine s'est beaucoup développé dans les années 1990. Les professionnels prospectaient dans des espaces fermés, fréquentés par la clientèle fortunée, grâce au bouche-à-oreille. Ils rencontraient donc surtout des hommes.Mais ils ont aussi eu l'idée d'aller chercher les veuves et les divorcées, des départements dédiés ont été créés dans quelques banques. Avec une certaine idée derrière: "vous êtes des profanes, laissez-nous gérer votre argent". Idem pour les artistes, les sportifs, les gagnants au loto, ceux qui, selon les gestionnaires, "n'ont pas un rapport rationnel à l'argent".Il y a une sorte d'accord sur le fait que les fortunés ne sont pas compétents et n'ont pas le temps: "la Bourse ça fait peur", "la fiscalité c'est de plus en plus complexe". Mais la compétence est surtout mobilisée pour discréditer et exclure les femmes.Le métier était aussi très masculin, aujourd'hui on va de plus en plus vers du 50-50 et les gestionnaires travaillent main dans la main avec les banques de détail qui font remonter les clients ET les clientes. Dans une perspective féministe: une des solutions, c'est d'investir et de former les femmes pour renverser le rapport de force.
Il y a 3 ans et 90 jours

Accompagnateur rénov' : pourquoi le projet de décret inquiète

RÉACTIONS. Le projet de décret concernant l'accompagnateur rénov' vient d'être mis en consultation publique, et il suscite un certain nombre d'interrogations, voire d'inquiétudes, de la part d'acteurs du secteur.
Il y a 3 ans et 90 jours

Rénovation énergétique : PROFEEL dresse le bilan final de ses 3 années de programme et édite une collection importante de ressources innovantes

Après 3 années de mobilisation de toute la filière bâtiment, le programme PROFEEL présente le bilan des 9 projets menés collectivement en faveur de la rénovation énergétique. Toute une collection d’outils et de ressources est désormais disponible gratuitement pour accompagner les professionnels dans leurs pratiques quotidiennes et à toutes les étapes des projets de rénovation. […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Dans l’Yonne, Soprema consolide sa R&D en mousses isolantes

Le groupe d’étanchéité et isolation réinstalle son équipe de recherche et développement de Saint-Julien-du-Sault dans un bâtiment démonstrateur de son savoir-faire.
Il y a 3 ans et 90 jours

Valérie Pécresse (LR) promet le "retour" du TGV

PRÉSIDENTIELLE 2022. La candidate des Républicains à l'élection présidentielle 2022 a assuré qu'elle comptait lancer un grand plan d'investissement en faveur des territoires, si elle était élue à la plus haute fonction.
Il y a 3 ans et 90 jours

Présidentielle : les idées neuves de la filière béton

Pour la première fois, l'association qui fédère les syndicats professionnels de l'extraction et des produits minéraux fait, à l'occasion de l'élection présidentielle, des propositions sociétales et politiques fortes auprès des candidats et de leurs équipes.
Il y a 3 ans et 90 jours

Qualifelec crée la première cartographie nationale des entreprises qualifiées en matière d'IRVE

La forte augmentation des prix des carburants, conjuguée aux plans de soutien du Gouvernement au développement des infrastructures de recharge de véhicules électriques (IRVE), vont contribuer, dans les prochains mois, à accélérer encore cette tendance. Dans ce contexte, il est nécessaire de disposer de la vision la plus précise possible des professionnels habilités à assurer l’installation, la maintenance et la qualité des infrastructures de recharge. C’est notamment la mission des entreprises du génie électrique, dont Qualifelec est l’organisme de qualification de référence depuis 1955. C’est pourquoi, Qualifelec a développé une cartographie interactive et dynamique des entreprises qualifiées IRVE sur l’ensemble du territoire. Elle permet de centraliser, tant pour les consommateurs, que pour les entreprises du génie électrique ou les pouvoirs publics, toutes les informations relatives au maillage territorial des entreprises habilitées à installer des IRVE.C’est la première étape de la création d’un véritable observatoire national des IRVE, que Qualifelec est en train d’élaborer, et qui constituera un outil de référence pour celles et ceux qui s’engagent en faveur du changement de nos modes de déplacement. C’est une preuve supplémentaire de l’engagement de Qualifelec en faveur de la transition écologique dans notre pays.
Il y a 3 ans et 90 jours

Plus de 1,3 million de systèmes thermodynamiques vendus en France en 2021

Au total, le marché français a absorbé 2 052 678 générateurs de chaleur en 2021, dont seulement 36% (749 900) de chaudières et 64% de systèmes thermodynamiques. Le solaire thermique renaît, timidement
Il y a 3 ans et 90 jours

A l'Exposition universelle 2020, le pavillon Oman rend hommage à la culture de son pays

ARCHITECTURE. Batiactu s'est rendu à Dubaï, où la rédaction a visité le pavillon Oman. Le bâtiment multiplie l'utilisation de différents matériaux et met en lumière la flore du pays. Suite et fin de notre série sur les pavillons exceptionnels de l'Exposition universelle 2020.
Il y a 3 ans et 90 jours

Valobat accueille L'Union des Industriels et Constructeurs Bois parmi ses associés

L'UICB rejoindra les 28 autres associés de Valobat parmi lesquels l'UFME, le SNFA, l'Enveloppe Métalique du Bâtiment ou encore le syndicat Cigo.
GDA
Il y a 3 ans et 90 jours

Le pont des Arts à Paris va être rénové en 2022

CHANTIER. La passerelle piétonne inaugurée en 1984 va être rénovée cette année, a annoncé la mairie. Celle-ci n'a pas encore dévoilé le calendrier et le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 90 jours

Edycem BPE dévoile la nouvelle chape Kalkiss Premium

En témoigne le lancement de la version KALKISS® PREMIUM, sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1).Destinée aux espaces de grande surface, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant, elle est la première chape du marché français :à doubler la surface de fractionnement entre les joints,à bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface,tout en étant connectée SmartCEM®.Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie innovante qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Des avantages qui ne modifient pas la durée des travaux et qui respectent les délais de livraison.L’innovation au service de nouveaux marchés et du confort de l'usagerLa chape KALKISS® PREMIUM permet à l’architecte de concevoir librement et en toute sérénité des pièces spacieuses. Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Elle devient ainsi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Avec sa haute résistance à la compression, KALKISS® PREMIUM convient également aux locaux d’activités tertiaires type P4 où circulent de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d'entretien lourds. La mise en œuvre de la chape constitue pour les chapistes un véritable gain de temps. Fini l’application laborieuse du produit de surface et les allers-retours sur le chantier pour poncer !
Il y a 3 ans et 90 jours

KIT DE FIXATION DE LAVABO SUSPENDU WST KLIK

 Un kit de fixation innovant pour poser seul, facilement et de manière sûre un lavabo suspendu !   Très tendance, notamment dans les intérieurs contemporains, les lavabos suspendus séduisent de plus en plus par leur design, leurs formes élégantes et épurées, leur aspect compact et pratique en termes d’espace.  Pour assurer une fixation sûre et solide de […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Deux entreprises du secteur CVC s’associent pour développer une régulation pièce par pièce des ventilo-convecteurs intégrable dans les systèmes GTB/GTC.

La solution FUNZONE, répond à l’un des objectifs de la RE2020, de plus celle-ci est certifiée Eurovent et eu.bac. Airzone 02/2022 Les entreprises Airzone et Aircalo, toutes deux leaders du secteur CVC, se sont unies pour développer un produit qui permet le contrôle zone par zone du chauffage par ventilo-convecteur et d’atteindre l’un des objectifs […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Pour 2022, Legoupil industrie constructeur de bâtiment flexible dévoile son nouveau logo

Cette nouvelle identité visuelle est une évolution nécessaire de l'image du bâtisseur afin de mieux correspondre à la dynamique actuelle. Sans tirer un trait sur le passé, en prenant appui sur l'expérience de l'existant, ce nouveau logo épuré et efficace, témoigne de l'engagement et de l'action, deux caractéristiques fondamentales de Legoupil industrie.Solidité Au travers d’une typographie au design soigné et efficace qui attire l’attention, est exprimée la solidité, au cœur de l’ADN de Legoupil industrie. Un bâtiment, même temporaire, se doit d’offrir toutes les garanties de fiabilité et de solidité. Les équipes ne transigent jamais avec la qualité et la sécurité. Flexibilité Allier pérennité et flexibilité c’est tout l’enjeu car les constructions doivent être conçues pour durer comme pour être démontées. La nouvelle signature « construction flexible » reflète cette souplesse, composante de la réactivité industrielle. Le L du logo en volume qui forme un toit de bâtiment exprime la modularité des bâtiments. Cette nouvelle identité va être déclinée sur l’ensemble des supports.
Il y a 3 ans et 90 jours

Thomas VELTY nommé Directeur Général de Korus France

Korus Group, expert dans la conception, la réalisation, l’aménagement et la maintenance d’espaces professionnels, annonce la nomination de Thomas VELTY au poste de Directeur Général de l’entité Korus. Présidé par Charles Marcolin, Korus Group est en effet constitué par 3 sociétés : Korus, l’entité historique du groupe, KGP (Korus Grands Projets) et LBC (Le Bureau […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Un isolant décarboné à base de poudres minérales

La solution isolante développée par Ipsiis permet d’utiliser une grande variété de matières premières issues de l’industrie ou du recyclage. Résistante au feu, elle permet de nombreuses applications dans le bâtiment.
Il y a 3 ans et 90 jours

“Un jour dans la nuit”, un roman graphique à l’initiative de NGE

[©NGE] A l’initiative de groupe de BTPNGE, l’illustrateur rouennais Virgile Dureuil et les éditions “Autrement” publient un roman graphique retraçant la reprise d’un chantier de nuit à Marseille, au sortir du premier confinement de 2020. Il s’agit d’un chantier sur la Côte bleue commandité par la SNCF. La Côte bleue est la façade maritime qui se situe au Nord de Marseille, après le quartier de l’Estaque. Et se termine à Martigues, en passant par Carry-le-Rouet. Une superbe luminosité s’en dégage… « Le cadre était tellement exceptionnel qu’un film contemplatif a été réalisé. Et NGE a voulu compléter tout l’univers visuel qu’il y avait autour de ce chantier, avec un roman graphique », raconte Virgile Dureuil. Une association inédite entre le 9e art et le 1er, c’est-à-dire l’architecture. Cette démarche s’inscrit dans la série des nombreuses initiatives prises par NGE pour recruter. Et aller au-devant de ses publics cibles. Et qui donne le ton de l’année pour l’entreprise… En effet, le groupe fête ses 20 ans en 2022. Une journée type de chantier Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE, devant une planche géante extraite du roman graphique “Un jour dans la nuit”, présentée en grands formats à la gare Saint-Charles, à Marseille. [©NGE]  « A la base, je suis fan de BD. J’avais déjà lu des ouvrages de Virgile, dont “Dans les forêts de Sibérie”. En plus, Virgile est Haut-Normand comme moi ! Ca rapproche !  Les choses se sont donc faites naturellement… », explique Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE. Le résultat est l’ouvrage “Un Jour dans la nuit”, qui raconte l’histoire de ce site, avec deux personnages : Cémal, le chef de chantier et Lucille, la conductrice de travaux. « On a travaillé pendant 4-5 mois et NGE nous a donné carte blanche », poursuit Virgile Dureuil, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues. Ce livre qui retrace la journée type d’un chantier s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par le milieu du BTP. Et à ceux qui s’intéressent aux profils qui travaillent sur ce type de chantiers. Mais aussi à ceux qui sont passionnés de la Côte bleue… Son objectif : toucher le grand public, en offrant un nouvel éclairage sur les métiers du BTP par une narration sensible, un dessin précis et très chaleureux. « Accessible à tous, de 5 à 95 ans ! », insiste Bruno Pavie. Comment raconter l’expérience vécue par les équipes de la “deuxième ligne” lors de la reprise des chantiers après plus de 50 j d’arrêt ? Intensité de la vie de chantier Virgile Dureuil, l’illustrateur, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues du roman graphique “Un jour dans la nuit”. [©Virgile Dureuil] Comment faire découvrir et ressentir par la même occasion, ce qu’est l’engagement quotidien des invisibles du BTP ? Quelque 64 pages où Lucille et Cémal nous font vivre leur quotidien et leurs métiers… Juste la réalité, sans pudeur… « Ce roman aux dessins expressifs porte une attention particulière sur l’illustration du terrain. On vit avec Lucille et Cémal les différentes parties de ce chantier de nuit», reprend Bruno Pavie. Ainsi, ce roman graphique reprend sur le papier l’intensité de la vie de chantier dans ce qu’elle a de foncièrement humaine. Celle que l’on ne soupçonne jamais une fois que l’ouvrage est fini et qu’il s’inscrit dans le quotidien. L’occasion pour les jeunes lecteurs de découvrir des métiers d’excellence… Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 90 jours

132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon

Les agences d’architecture Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon sélectionnées pour réaliser un programme de 132 logements familiaux porté par Legendre Immobilier dans le quartier de Moulon, à Gif-sur-Yvette (Essonne). Livraison prévue : 2025. Communiqué. A la suite de la consultation d’opérateurs lancée en mai 2019, l’EPA Paris-Saclay, en concertation avec les collectivités du territoire, a […] L’article 132 logements à Saclay pour Béal & Blanckaert et Charles-Henri Tachon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 90 jours

Enr’Cert,filiale du groupe Enalia, obtient sa délégation P5

L’obtention de cet agrément s’est faite suite à une procédure longue et exigeante, montrant ainsi la volonté des pouvoirs publics de choisir soigneusement des acteurs de confiance pour la rénovation énergétique, un choix bénéfique pour la filière et les bénéficiaires de travaux.Enalia appelle les pouvoirs publics à s’appuyer sur les délégataires pour répondre aux objectifs d’efficacité énergétique des logements, du secteur tertiaire et de la décarbonation industrielle.Pour Gaëtan Thoraval, directeur général du groupe Enalia : « Cette nouvelle intervient dans un contexte de transition entre les 4ème et 5ème période CEE, de renégociation des directives européennes et d’élections présidentielles. La France doit profiter de la présidence de l’Union européenne pour tout à la fois rehausser les objectifs d’efficacité énergétique européens et pérenniser les mécanismes d’obligations qui sont un levier indispensable pour financer la rénovation énergétique. »Le groupe Enalia mettra son écosystème d’entreprises, son réseau de partenaires et la performance de ses équipes au service d’une cinquième période drastique sur les enjeux de qualité, et ambitieuse sur la montée en puissance de la rénovation globale et performante.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le talent suffit-il à la notoriété en architecture ? Webinaire de l'UNSFA

Mardi 15 février à 18h, l’architecte Alain Trincal, fondateur de l’agence Talents & Co, présentera un webinaire sur le thème de la notoriété en architecture dans le cadre des mardis de l’UNSFA.  L’UNSFA propose régulièrement des webinaires gratuits à destination des architectes. Ce mardi 15 […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 90 jours

Métiers verts en tête dans le bâtiment

Selon une analyse due service des études statistiques du ministère de la Transition écologique, en 2020, les employeurs ont déposé auprès de Pôle emploi 20 600 offres d’emploi concernant les métiers verts (à finalité environnementale) et 381 700 concernant les métiers verdissants (dont les compétences évoluent pour intégrer les enjeux environnementaux). Au total, ces 402 300 offres d’emploi dans l’économie verte représentent 17,5 % de l’ensemble des offres d’emploi. Près de 70 % de ces offres concernent les métiers verdissants du bâtiment (48 %), en particulier les métiers de la construction-rénovation. Le niveau de qualification recherché dépend fortement de la catégorie de métiers. Les ouvriers spécialisés (11 %) ou qualifiés (31 %) caractérisent les métiers verdissants et sont notamment très recherchés dans les métiers du bâtiment. Les employés non qualifiés (26 %) et les manœuvres (17 %) sont les profils les plus demandés pour les métiers verts, notamment ceux liés aux déchets, au nettoyage des espaces urbains et à l’entretien des espaces naturels. À titre de comparaison, sur l’ensemble des offres d’emploi, ce sont les employés qualifiés (37 %) ou non qualifiés (24 %) qui sont les plus recherchés dans les offres d’emploi.
Il y a 3 ans et 90 jours

504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat

VINCI Immobilier et CDC Habitat ont signé la Vente en l’État de Futur Achèvement (VEFA) de 504 logements et de locaux d’activités, situés au cœur du projet d’aménagement du futur village olympique Universeine à Saint-Denis. L’ensemble immobilier sera reconverti après les JO de 2024, comportera 151 logements locatifs intermédiaires, 203 logements abordables contractualisés, une résidence étudiants Student Factory de 150 logements, 1 200 m² de locaux commerciaux et un pôle médical. Conçu par les agences Pascal Gontier, Gaëtan Lepenhuel, Lina Gotmeh et Triptyque, sous la coordination de l’agence Clément Vergély architectes, le projet architectural prévoit une utilisation prépondérante du bois, notamment pour l’ossature des façades et la structure de 54 logements, ainsi que la mise en œuvre de matériaux tels que la terre cuite et l’acier. Les logements disposeront d’espaces extérieurs privatifs tels que loggias, balcons et terrasses, et les toitures seront végétalisées et accessibles aux résidents. Conçus selon des principes bioclimatiques, les bâtiments visent un bilan carbone inférieur de 40 % à celui de bâtiments conventionnels. 75 % des matériaux des ouvrages démontés à l’issue des Jeux seront réemployés ou recyclés et 10 % de la masse de certains équipements seront issus du réemploi. Une centrale photovoltaïque sera par ailleurs installée sur les toitures en complément des surfaces végétalisées. Le programme vise les labels Biodiversity, E+C- et BBCA ainsi que la certification NH Habitat HQE niveau Très Performant. Il s’intègre dans le projet d’aménagement Universeine, l’opération de requalification d’une ancienne friche industrielle réalisée en partenariat avec la SOLIDEO, la Ville de Saint-Denis et Plaine Commune. Cet article 504 logements du futur village olympique en Vefa entre VINCI Immobilier et CDC Habitat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 90 jours

Covid-19 et qualité de l’air dans les écoles : le collège Jean Jaurès, un chantier exemplaire

Entièrement équipé par Kingspan Light + Air en dispositifs de ventilation naturelle, le collège Jean Jaurès est le premier établissement à s’engager aussi massivement pour améliorer la qualité de l’air intérieur ; une bonne aération constituant un geste barrière contre la Covid.Le plus grand projet d’équipement en solution de ventilation naturelle réalisé par KingspanLe collège Jean Jaurès est un chantier exemplaire qui a mobilisé l’expertise de Kingspan Light + Air associé au bureau d’étude LESS is MORE, pour mettre en place un dispositif permettant d’assurer de manière optimale le confort et la sécurité des élèves et enseignants. Lancé en 2019, le chantier s’est achevé en juin 2021, avec l’installation d’un système de ventilation naturelle Windcatcher dans chaque salle de classe, soit 40 appareils au total. En cas de forte chaleur, ou d’augmentation de CO2 supérieur aux exigences réglementaires, les tourelles Windcatcher s’ouvrent automatiquement, permettant un renouvellement de l’air complètement naturel sans ouvrir les fenêtres.Répondant à un Marché Global de Performance, l’objectif de résultat réel prend sur cette opération toute son importance. C’est pourquoi un suivi en temps réel de la composition de l’air dans chaque salle de classe (température, taux de CO2, consommation en chauffage) permet de veiller au respect des normes et seuil de consommation énergétique.Kingspan Light + Air est allé encore plus loin, en intégrant des fonctions complémentaires, spécialement destinées aux écoles, comme l’assainissement mécanique de la salle de classe avec un programme de renouvèlement de l’air intérieur qui s’enclenche automatiquement durant la pause déjeuner. En cohérence avec les enjeux de transition environnementale et d’économie d’énergie, le Conseil départemental de la Gironde et le collège de Jean Jaurès, souhaitaient trouver une solution de ventilation plus écologique pour assurer le confort des occupants durant les épisodes caniculaires tout en consommant moins. Le système de ventilation naturelle proposé par Kingspan permet de réduire considérablement la consommation et la maintenance électrique : un Windcatcher photovoltaïque consomme moins qu’une ampoule !Comment ça marche ?Windcatcher®, est une solution unique en France qui assure le renouvellement de l’air, le rafraîchissement des bâtiments et la diminution de la concentration en CO2 en utilisant la force éolienne et la convection thermique.Solution à énergie passive, ce système utilise les mouvements naturels de flux d’air dans l’espace (ascension de l’air chaud vicié).Quelle que soit la direction du vent, ces tourelles à énergie passive captent l’air des vents dominants pour rafraichir le bâtiment et évacuer l’air vicié. Elles équipent aujourd’hui des locaux d’envergure comme les écoles, hôpitaux, grandes entreprises, et autres bâtiments recevant du public.
Il y a 3 ans et 90 jours

Un partenariat pour le développement d'une solution de stockage de l'énergie dans le ciment

Holcim, Engie et Insa Lyon ont annoncé le 3 février leur partenariat afin de développer une solution "révolutionnaire" de stockage de l'énergie dans le ciment.
Il y a 3 ans et 90 jours

Haïti : cette organisation construit des maisons en briques de terre compressée

Une association à but non lucratif utilise des blocs de terre comprimée pour construire des maisons en briques à Haïti pour des familles désœuvrées. La formule utilisée par Welcome Home Haiti est la suivante : 60% de terre, 30% de sable et 10% de ciment.  En mai 2021, Ryan Runge, propriétaire d’AECT (Advanced Earthen Construction Technologies) […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Le sol, richesse commune à décrypter - Exposition au CAUE Rhône Métropole

Les sols sont témoins de notre histoire, porteurs d’écosystèmes au service de la planète, mais aussi souvent des produits d’investissement soumis à la spéculation. Conçue par l’agence ANMA et présentée au CAUE Rhône Métropole jusqu’au 20 mai 2022,  l’exposition « Terre Terrain […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 91 jours

Un Indien érige une copie du Taj Mahal, message d'amour à son épouse

"Nous souhaitons envoyer un message de paix et d'harmonie religieuse", a déclaré à l'AFP Anand Prakash Chouksey."Il y a beaucoup de haine autour de nous", a-t-il poursuivi,"l'amour résout tous les problèmes de la vie et le Taj Mahal en est un symbole".'Énergie positive'Ce chef-d'oeuvre architectural de l'art indo-islamique, principale attraction touristique du pays, a été bâti à Agra, au XVIIe siècle à l'initiative de l'empereur moghol Shah Jahan pour perpétuer le souvenir de Mumtaz, son épouse favorite décédée. L'épouse d'Anand Prakash Chouksey, elle, est en revanche bien vivante, et a pu donner son avis sur l'édification du palais, d'un tiers plus petit que le Taj Mahal, situé à 800 km de là."Ma femme a seulement demandé une salle de méditation. C'est une femme pieuse", confie-t-il encore."Selon elle, le dôme apporte une atmosphère différente et beaucoup d'énergie positive", ajoute-t-il.Sa reproduction aura requis trois ans de travaux, soit seize années de moins que le mausolée qui l'a inspiré.Selon l'amoureux, cette fantaisie sentimentale lui aura coûté plus de 15 millions de roupies (180.000 euros).Poème d'amour en marbreLe Taj Mahal resplendit, à Agra sur la rive de la Yamuna, telle "une larme pure et solitaire (...) sur la joue du temps", selon les vers du Nobel indien de littérature Rabindranath Tagore, dédiés au monument, véritable poème d'amour en marbre."Nous avons utilisé du marbre de Makrana pour construire la bâtisse", soit le même matériau dans lequel a été conçu le Taj Mahal", a précisé M. Chouskey qui prévoit de fixer le drapeau indien au sommet du dôme principal.Il ne sera totalement satisfait que lorsqu'il aura, pour finir, fait apparaître les symboles des religions les plus populaires de l'Inde sur les minarets qui se dressent aux quatre coins de son palais de Burhanpur.C'est dans cette même ville que Mumtaz est décédée en donnant la vie à son 14e enfant en juin 1632, après avoir accompagné Shah Jahan venu pour réprimer une révolte locale.La défunte y avait été inhumée quelque temps et, selon les habitants, Shah Jahan avait envisagé de construire le Taj Mahal au bord de la rivière Tapti traversant la ville."La structure du sol ne permettait pas à l'époque de construire le Taj Mahal ici, c'est ainsi qu'il a été érigé à Agra", où Shah Jahan et Mumtaz reposent côte-à-côte, a expliqué M. Chouksey.La vieille cité de Burhanpur abrite les vestiges délabrés du palais où résidaient les membres de la famille impériale, et son magnifique hammam destiné à Mumtaz que l'empereur moghol avait fait bâtir pour qu'elle s'y détendre en beauté.
Il y a 3 ans et 91 jours

Nouvelle école de Gouesnou, par ENO architectes

A Gouesnou (Finistère), le projet du nouveau groupe scolaire du château d’eau en chantier. Piloté par BMa SPL et conçu par l’agence brestoise ENO Architectes, ce projet de 11.25 M € HT vise l’exemplarité énergétique et environnementale. Livraison prévue :  septembre 2023. Communiqué de l’opérateur de l’aménagement. Le programme comprend une école « nouvelle génération » pouvant accueillir […] L’article Nouvelle école de Gouesnou, par ENO architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 92 jours

Extension de la Cité de la tapisserie d’Aubusson, par Projectiles

En 2021, l’agence parisienne Projectiles est lauréate du projet d’extension de la Cité Internationale de la tapisserie d’Aubusson (Creuse). Surface : 1 600 m² de constructions neuves et 470 m² de restructuration. Budget : NC. Ouverture prévue : automne 2023. Communiqué. En 2020, la Cité internationale de la tapisserie à Aubusson a lancé un concours de maîtrise […] L’article Extension de la Cité de la tapisserie d’Aubusson, par Projectiles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 92 jours

JO-2024 : la justice demande de préserver les jardins d'Aubervilliers

"Il est enjoint au président de l'établissement public territorial Plaine commune d'engager la procédure de modification du plan local d'urbanisme intercommunal en ce qu'il classe en zone urbaine une partie de la frange ouest des jardins des Vertus", le nom de ces jardins centenaires en Seine-Saint-Denis, a décidé la cour dans son arrêt consulté par l'AFP.L'intercommunalité, dirigée par le maire (PS) de Saint-Denis Mathieu Hanotin, a quatre mois pour proposer une nouvelle mouture, a-t-elle précisé.La cour administrative d'appel de Paris estime que "l'urbanisation de la frange ouest des jardins des Vertus", pour la piscine mais aussi une future gare de métro, "portera également atteinte à la préservation d'un noyau de biodiversité primaire et accroîtra les discontinuités écologiques existantes".Dans son arrêt, cette instance compétente en matière de litige autour des projets olympiques a rappelé que le document contesté présentait des "incohérences" avec ses propres obligations, notamment environnementales.Le futur centre aquatique dispose d'un solarium, qui doit se construire sur environ 4.000 m2 de parcelles vivrières."Il n'y a pas de conséquence immédiate sur la question des travaux, le permis de construire reste valable. Ça ne remet pas en cause le projet", a réagi Mathieu Hanotin auprès de l'AFP, assurant que Plaine commune se mettrait en conformité.Sollicitée, la ville d'Aubervilliers a déclaré ne pas vouloir réagir "à ce stade"."On a toujours dit que le projet était illégitime, maintenant c'est illégal. Pour la première fois la justice nous donne raison en leur disant +vous n'avez pas le droit de faire ce que vous avez fait+", a réagi Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine de la requête.Une bataille juridique s'est engagée autour du projet. Les opposants, qui l'estiment à contre-courant de l'urgence écologique, ont également attaqué le permis de construire et ont occupé les lieux pendant quatre mois en 2021.Brièvement suspendus par décision de justice, les travaux ont finalement pu se poursuivre. Ce qui n'a pas empêché le 2 février des militants de s'accrocher à une bétonneuse jusqu'à l'intervention des forces de l'ordre.D'un montant de 33 millions d'euros dont un tiers financé par la Solideo (la société chargée de livrer les ouvrages pour les JO-2024), le centre aquatique doit servir de bassin d'entraînement pour les nageurs lors des JO, avant d'être accessible aux habitants.
Il y a 3 ans et 92 jours

Vélib' : la mairie de Paris n'exclut pas une reprise en régie après Smovengo

"A échéance du contrat en cours", soit fin 2032, "il faudra évidemment à mon sens étudier cette option", a répondu David Belliard à une question du chef du groupe communiste, Nicolas Bonnet-Oulaldj, qui a entraîné d'inhabituelles escarmouches entre ces deux alliés de la maire PS Anne Hidalgo.Eau de Paris, dont la Ville de Paris a repris la maîtrise en 2010, "est l'exemple même d'une reprise en régie qui n'apporte que du positif", a souligné M. Belliard, pour qui il faudra "étudier si Vélib' pourrait suivre ce même chemin".Une reprise en régie publique "prend des mois et parfois des années", a toutefois prévenu l'élu écologiste pour écarter toute rupture de contrat anticipée."On estime à dix-huit mois minimum l'interruption de service si nous décidions de passer en régie aujourd'hui, sans compter que casser un tel contrat ne serait pas anodin pour les finances du SAVM (Syndicat Autolib' Vélib' Métropole) et donc de notre ville", a-t-il ajouté.Si "la qualité du service que nous nous sommes fixés n'est pas encore au rendez-vous", a admis M. Belliard, "on ne peut pas dire que c'était mieux avant" Smovengo, qualifiée d'entreprise "low-cost" par M. Bonnet-Oulaldj.L'objectif de la Ville "est d'abord de faire fonctionner le Vélib', et de le faire bien fonctionner", a insisté M. Belliard en visant une "réelle amélioration de la qualité de service dans les prochains mois".Quatre ans après une passation cauchemardesque entre le consortium Smovengo et JCDecaux, l'opérateur historique, avec des stations en travaux ou fermées pendant des mois, le service est toujours décrié par de nombreux utilisateurs: vélos inutilisables ou défectueux, assistance électrique en panne, stations vides ou pleines...A tel point que les élus du SAVM ont exprimé fin janvier "leur préoccupation persistante" vis-à-vis du service.En réponse, le président de Smovengo Stéphane Volant a présenté une série d'investissements pour 2022, dont 4.000 nouveaux vélos électriques et un plan de 2,7 millions sur la maintenance et la régulation, avec l'embauche de 35 techniciens supplémentaires.
Il y a 3 ans et 92 jours

Grenoble, La Rochelle et Saint-Aubin, stars du vélo selon les cyclistes

Rennes rejoint cette année les deux capitales françaises du vélo devant Annecy, Nantes, Lyon et Tours, selon ce baromètre biennal présenté jeudi par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), qui tient son congrès à Tours.La Rochelle, Bourg-en-Bresse et Chambéry se classent comme les meilleures villes moyennes, la catégorie la plus mal notée de toutes. Saint-Aubin-de-Médoc, Le Tech et Séné sont les meilleures communes de banlieue, respectivement situées près de Bordeaux, Arcachon et Vannes."Les villes qui s'en sortent bien sont celles qui ont historiquement une politique tournée vers le vélo", a indiqué à l'AFP le secrétaire général de la FUB, Séraphin Elie.Pour la troisième édition de ce baromètre, l'association a recueilli 277.384 contributions en ligne du 14 septembre au 30 novembre 2021, et 1.625 communes ont été classées, soit une participation en forte hausse, avec plus de femmes et de cyclistes occasionnels que les années précédentes."Avec le Covid, on aurait pu s'attendre à ce que la participation des grandes villes augmente. Mais l'explosion des participations vient des petites villes", a précisé M. Elie."Le vélo est redevenu un mode de transport sérieux et un objet politique", a-t-il souligné. "Les élus ne peuvent plus ignorer le sujet. De plus en plus de maires s'y mettent, mais beaucoup partent de très bas".Saint-Jean-de-Monts (Vendée), Val-de-Reuil (Eure) et Marseillan (Hérault) se classent comme les meilleurs petites villes pour le vélo.La-Tranche-sur-Mer (Vendée), Vieux-Boucau (Landes) et Brétignolles-sur-Mer (Vendée) se classent en tête des meilleurs bourgs et villages."Les communes de la côte atlantique se sont emparées du vélo il y a longtemps, grâce au tourisme notamment. Elles s'en sortent très bien. Le ressenti est positif, même si, à la campagne, on circule toujours en voiture", a commenté M. Elie.64% des répondants trouvent que les conditions pour l'usage du vélo sont mauvaises, et 47,8% que la situation est restée identique pour les cyclistes sur les deux dernières années. 36,5% trouvent qu'elle s'est améliorée.
Il y a 3 ans et 92 jours

A. Hidalgo ne veut pas lâcher le nucléaire et espère massifier les énergies renouvelables

PRÉSIDENTIELLE 2022. Le référent climat d'Anne Hidalgo a écarté l'idée d'une "rupture totale" avec le nucléaire. La candidate PS à l'élection présidentielle propose plutôt de continuer d'utiliser l'électricité provenant du nucléaire, tout en développant et en finançant massivement les projets d'énergies renouvelables.