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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 95 jours

Uvex dévoile ses gants protecteur et novateur

Uvex lance sa gamme de gants protecteurs et innovants. [©Uvex] L’Allemand Uvex est un spécialiste européen dans l’équipement de protection individuelle. Il équipe de la tête au pied, du casque de protection jusqu’aux chaussures de sécurité. Uvex est présent sur plusieurs marchés, que ce soit celui des sports ou de la construction. Son ambition est de protéger ses clients dans leurs activités. On le retrouve dans 22 pays, à travers 48 filiales. La majorité de la production est réalisée en Allemagne.  Les gants de protection super protecteurs  Uvex lance avec une gamme de gants de protection. Déclinés en 3 modèles, ces gants offrent différents avantages. Déjà, leur protection procure à ses utilisateurs à la fois une sensibilité accrue et un gain de sécurité. Puis, l’effet “seconde peau” permet un total contrôle des mouvements, ainsi qu’un excellent toucher. Cette gamme se démarque aussi par sa respirabilité. Ces EPI utilisent un nouveau tissu innovant, qui optimise le confort. De plus, ces gants sont conçus pour résister aux projections abrasives. Ce qui augmente leur durée de vie. En pleine digitalisation de notre monde, Uvex permet à ses clients l’utilisation des écrans tactiles avec ses gants. Enfin, ces derniers ont été testés au niveau dermatologique. En effet, ils garantissent une tolérance cutanée d’un haut niveau. De surcroît, ils sont certifiés sans accélérateurs, solvants ou substances novices susceptibles de procurer des allergies. Une bonne nouvelle pour les mains des compagnons. 
Il y a 4 ans et 95 jours

Du pavillon au pylône végétalisé, l’impression 3D utile à l’architecture ?

Dans son roman Pylône, écrit en 1935, William Faulkner rend hommage aux « fous volants », ces pilotes de foire quand l’aviation était encore une activité dangereuse avant d’être une industrie, les nouvelles technologies triomphant cependant de l’ancien monde. Aujourd’hui l’impression 3D a quitté les labos des écoles d’architecture pour rejoindre ceux des industriels. Bienvenue aux fous […] L’article Du pavillon au pylône végétalisé, l’impression 3D utile à l’architecture ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Concept Tricots Bonnemaille : Une gamme de vêtements haute protection

Avec son design moderne et sa capacité de protéger du froid, le pull Lautrec de Concept Tricots Bonnemaille est un “must have”. [©Concept Tricots Bonnemaille] Depuis de nombreuses années, le Français Concept Tricots Bonnemaille est experte dans la conception et la fabrication de vêtements professionnels en maille. La nouvelle équipe dirigeante, qui a repris l’entreprise en 2017, a redonné un élan à sa créativité. Nouveau design, ergonomie, sécurité et matériaux sont aujourd’hui la priorité des services de création.  Le pull Lautrec  Pour permettre la fabrication de pulls, Concept Tricots Bonnemaille récupère et valorise les anciens pulls de ses clients. Le résultat est un pull 100 % produit à partir de matières recyclables. Ce qui réduit son bilan carbone de 98 % par rapport à du neuf. Grâce à son partenariat avec une filature régionale, les pulls usagés de ses clients peuvent jouir d’une seconde vie.  Ainsi, le pull Lautrec est souple, confortable et garantit une résistance au froid. Il apporte une liberté de mouvement et de la chaleur. Parfait pour l’hiver. Ses finitions soignées et son look ne font pas de ce pull un simple vêtment. Car il peut aussi bien être porté sur un chantier ou un atelier qu’avec une tenue de ville.  Le t-shirt Cut-Stop à manches longues Quant à la gamme de t-shirts à manches longues Cut-Stop, elle procure à ses utilisateurs une protection optimale lors de la manipulation d’objets coupants. Elle se compose de t-shirts avec des protections au niveau des bras et du ventre. On pourrait imaginer qu’un vêtement anti-coupures soit inconfortable. Concept Tricots Bonnemaille propose un t-shirt en coton pour un contact avec la peau agréable. Les clients peuvent choisir entre plusieurs modèles, que ce soit au niveau de la matière, de la couleur ou encore de la forme du col. Concept Tricots Bonnemaille leur offre la possibilité de les personnaliser avec un logo brodé, cousu ou en étiquette.  Charline David
Il y a 4 ans et 95 jours

Compagnons du Tour de France

Les journées portes ouvertes en présentiel. Pour toutes les personnes intéressées par les métiers de la construction et la formation en alternance.
Il y a 4 ans et 95 jours

RE2020 : l’ACV dynamique, c’est de la dynamite écologique et … politique !

A quelques mois de la mise en place annoncée de la RE2020, le ministère de la Cohésion des territoires, voulant faire feu de tout bois, change brusquement les règles du jeu. Modifier l’ACV statique en dynamique, à quelques mètres du but, pas très fairplay !  Explications. Les ministres Emmanuelle Wargon et Barbara Pompili et les fédérations […] L’article RE2020 : l’ACV dynamique, c’est de la dynamite écologique et … politique ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Olivier de Longeaux, directeur général de K•Line

Olivier de Longeaux est nommé directeur général de K•Line en octobre pour une prise de fonctions en janvier 2021. K•Line fait partie du groupe Liebot.
Cimbat
Il y a 4 ans et 95 jours

Le chauffage au granulé de bois a-t-il sa place dans le collectif ?

Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d'utilisation, ce type de chauffage répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français.Avec plus de 1.100 chaufferies au granulé de bois en France, les retours d'expérience sont nombreux et très satisfaisants : écoles, lycées, bureaux, mairies, gymnases, lotissements …Pour identifier au mieux le marché et évaluer les zones de pertinence économique de ces installations, Propellet a mené l'enquête. Cette étude rendue en novembre 2020 « Articulation des usages entre granulé et plaquette » a été financée par l'ADEME, l'interprofession France Bois Forêt (FBF) et coréalisée avec le Comité Interprofessionnel du Bois Energie (CIBE) et le Syndicat National des Producteurs de Granulé de Bois (SNPGB).Le marché du granulé domestique représente aujourd'hui 95%. Un potentiel très significatif pour le marché du collectif et industrielAujourd'hui, le marché du domestique (poêles et chaudières) représente 95%. Et, en 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s'élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5% de la consommation de granulé de bois en France !Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l'énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l'ensemble). La très large majorité d'entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…).Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. En effet, Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW.Pertinence du granulé et capacité de la filièreLes récentes annonces du gouvernement concernant l'interdiction d'utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d'accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête pour aborder ce virage.Le bois énergie est un cercle vertueux, puisque l'utilisation du bois dans la construction permet à la fois de stocker du CO² dans le bâtiment et de générer des coproduits de bois qui sont utilisés pour fabriquer du granulé.En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d'usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d'ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L'accroissement naturel de la forêt est de 10% par an en volume et il n'est prélevé pour tous les usages (bois d'œuvre, bois d'industrie, bois d'énergie) que la moitié de cette progression.Logique de décision des prescripteurs en faveur d'une solution boisÉtudier la valeur ajoutée du granulé par rapport à la plaquette facilite la logique de décision.Le choix se fait en fonction d'études de faisabilités et de préconisations de maîtres d'œuvre et d'experts. La volonté d'un maître d'ouvrage de valoriser une ressource locale de bois afin de dynamiser le territoire peut souvent orienter la décision en faveur de la plaquette ; en particulier dans le cas de communes disposant de forêts.Comparaison plaquette / granulé = les facteurs de décisionQuand le choix de l'énergie bois est acté, l'arbitrage se fait entre plaquette et granulé. Les premières questions que vont se poser le maitre d'ouvrage concernent :Des éléments techniquesLes contraintes techniques ou foncières liées à la superficie du site de la chaufferie = la densité énergétique du granulé fait que 3 à 4 fois moins d'espace est nécessaire pour le stockage que pour la plaquette.L'accessibilité du site aux camions de livraison = conditions de déchargement. Le granulé nécessite donc aussi 3 à 4 fois moins de livraisons que la plaquette.Les moyens pour assurer l'exploitation de l'installation = les plaquettes nécessitent plus de compétences et de surveillance (personnel en interne ou contrat d'exploitation).À noter : Le fractionnement de la puissance en plusieurs chaudières est courant pour les installations au granulé. Du fait d'une puissance minimale autorisée plus faible que pour une chaudière unique, cette configuration permet de couvrir une plus grande part des besoins thermiques par le bois (y compris les besoins d'eau chaude sanitaire l'été), éventuellement jusqu'à 100% c'est-à-dire sans recourir à une énergie fossile en appoint.Des éléments financiersL'analyse en coûts différenciés investissement / fonctionnement pour les maîtres d'ouvrage (situation assez rare).L'analyse économique en coût global = décisif pour le choix du maître d'ouvrage. C'est ici que se pose la question de l'intermittence d'usage de la chaleur. La souplesse d'une installation au granulé est un avantage dans le cas de cette intermittence mais, surtout, à puissance égale installée, l'intermittence entraînera une moindre consommation d'énergie qui rendra économique l'utilisation du granulé.Dans le milieu industriel, les projets s'évaluent généralement en temps de retour brut sur investissement plutôt qu'en coût global de l'énergie. Une installation au granulé présentera un meilleur temps de retour brut sur investissement qu'un projet plaquettes, (si faibles variations des prix des 2 combustibles), et pour des besoins énergétiques faibles.Analyse de l'intérêt économique des solutionsL'analyse de l'intérêt économique d'un projet s'effectue généralement par la comparaison des factures énergétiques en coût global pour chacune des solutions.Ce graphique montre que lorsqu'on décompose le coût global :La part d'énergie est inférieur pour le granulé face aux énergies fossilesLa part de l'appareil au granulé (maintenance inclus) est moins importante face à la plaquetteLes grandes tendances d'un point de vue financier après analyseFace au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives.Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Suivre l'impact de la RE 2020.Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l'intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques.Plus le prix de l'énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10% des besoins sont couverts par l'énergie d'appoint contre 15% pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d'appoint.Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires rurauxLes récentes décision gouvernementales (fioul et gaz) nécessitent d'engager une réflexion d'ensemble et des actions pour développer le bois-énergie dans les territoires ruraux. Des centaines de milliers de familles, de bâtiments publics et commerciaux seront concernés et devront trouver une alternative.Mais les solutions individuelles ne sont pas souhaitables. Il faudra éviter le passage au propane (dérivé du pétrole fossile) ou au chauffage électrique sous toutes ces formes (par effet joule ou de manière plus vertueuse par pompe à chaleur) qui aggraverait le pic d'appel de puissance électrique en hiver.Une réflexion collective est primordiale. Les petits réseaux de chaleur renouvelables dans les territoires ruraux ont toute leur place.
Il y a 4 ans et 95 jours

La profession immobilière opposée à l'interdiction de louer des passoires thermiques

LOI CLIMAT. L'Unis alerte sur la possible sortie du marché de 25% des logements locatifs à l'horizon 2028 si le projet de loi Climat et résilience était adopté en l'état. Pour éviter cette chute de l'offre, il faut encore plus favoriser la rénovation des copropriétés, selon le syndicat professionnel.
Il y a 4 ans et 95 jours

Malgré la déprime ambiante, une reprise est toujours en vue cet été selon le gouvernement

Cela peut paraître paradoxal, tant la crise sanitaire semble s'éterniser, entre un nombre de contaminations quotidiennes au Covid-19 qui peine à redescendre sous la barre des 20.000 depuis janvier et la progression du variant anglais qui fait planer la menace d'un nouveau confinement.Face à cette atmosphère morose, marquée par des appels à la désobéissance de restaurateurs ou d'élus locaux, le gouvernement affiche un optimisme à toute épreuve.Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué lundi "l'exceptionnelle capacité de résistance de l'économie française" en 2020, grâce à laquelle 360.000 emplois ont été perdus, deux fois moins qu'anticipé."Elle va montrer à la fin de l'année 2021 son immense capacité de rebond", a prédit sur Europe 1 le ministre, qui maintient pour l'instant sa prévision d'une croissance de 6%.Tout comme la Banque de France, qui a confirmé mardi sa prévision de croissance de 5% pour 2021. "L'économie française, qui avait déjà connu l'été dernier le plus fort rebond d'Europe, a montré à nouveau fin 2020 sa résilience. C'est encourageant pour quand nous sortirons des restrictions sanitaires", a déclaré son gouverneur François Villeroy de Galhau dans un entretien aux quotidiens du groupe Ebra.Le gouvernement fonde son optimisme sur la réaction de l'économie à l'issue du premier confinement, qui a permis une croissance de 18,5% au troisième trimestre, puis en décembre, quand les commerces ont été autorisés à rouvrir, entraînant un rebond de 23% de la consommation des ménages, après une chute de 18% en novembre."Dès que des restrictions ont été levées, le retour des consommateurs et de leur confiance a été spectaculaire", a souligné le gouverneur.Pourtant, une étude publiée lundi a jeté un froid. L'assureur-crédit Euler-Hermès a calculé que l'Union européenne accusait un retard de cinq semaines par rapport à son objectif de vacciner 70% de la population d'ici l'été. Or, "si ce retard n'est pas compensé, il pourrait coûter près de 90 milliards d'euros à l'économie européenne en 2021", a-t-il mis en garde."Prendre du recul"L'économiste en chef de Bercy, Agnès Bénassy-Quéré, a toutefois appelé à "prendre un peu de recul" vis-à-vis des chiffres de la vaccination égrenés "au jour le jour". "Normalement, à l'été, la vaccination aura été massive", a assuré la cheffe économiste du Trésor, qui compare le Covid à un "couvercle" comprimant l'activité."Quand on enlève le couvercle, l'économie se redéploie très rapidement", a illustré Mme Bénassy-Quéré, qui dit avoir été "surprise" par la "vigueur" de la consommation observée après chaque assouplissement.Comme si les Français, dont les revenus ont été dans l'ensemble préservés par l'indemnisation du chômage partiel, n'attendaient que la réouverture des bars, restaurants et lieux culturels pour dépenser les quelque 100 milliards d'épargne Covid accumulés en 2020.L'optimisme du gouvernement fait d'ailleurs écho à celui de la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde. "2021 sera une année de reprise. La reprise économique a été retardée, mais non battue en brèche. Elle est évidemment attendue avec impatience", a-t-elle dit dans un entretien au Journal du dimanche.Toutefois, "nous ne sommes pas à l'abri de risques encore inconnus", et "nous ne retrouverons pas les niveaux d'activité économique d'avant la pandémie avant mi-2022", a-t-elle prévenu.De son côté, le FMI a revu à la hausse sa prévision de croissance mondiale pour 2021, à 5,5%, la vaccination devant permettre de juguler la pandémie qui a fait plus de 2,3 millions de morts.Et si l'Allemagne, premier partenaire commercial de la France, a abaissé sa prévision annuelle de 4,4% à 3%, en raison de la chute attendue du PIB au premier trimestre, Berlin table sur une reprise de l'activité économique à l'été, grâce à la "vaccination d'une grande partie de la population".En Israël, où 40% de la population est vaccinée, le troisième confinement a d'ailleurs commencé à être levé dimanche, comme un avant-goût de ce qui attend l'Europe.
Il y a 4 ans et 95 jours

Trois décennies, 26 joueurs : le destin contrarié des ministres de la Culture

Ce pourrait être une brève de comptoir au Café du commerce : « Il n’y a rien de mieux pour flinguer une carrière politique, depuis Malraux et Lang, qu’un poste de ministre de la Culture ». De Jean-Jacques Aillagon à Frédéric Mitterrand, en passant par Fleur Pellerin et Françoise Nyssen, c’est un jeu de massacre… L’avant-dernier, Franck Riester, […] L’article Trois décennies, 26 joueurs : le destin contrarié des ministres de la Culture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Entre permaculture et urbanisation, de l’utilité publique à Gonesse !

Le 18 décembre 2020, la cour administrative d’appel de Versailles a rétabli le PLU de Gonesse (Val-d’Oise) qui prévoit l’urbanisation de son fameux Triangle. Si EuropaCity n’est plus à l’ordre du jour, c’est désormais l’étalement de la permaculture qui a les faveurs des écolos quand, à Gonnesse, les élus veulent urbaniser. Pour quelle utilité publique ? Tout […] L’article Entre permaculture et urbanisation, de l’utilité publique à Gonesse ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

L’architecture est un instrument d’environnements (3/3)

[…] Considérer l’ar(t)chitecture comme instrument d’environnements ouvre de nouveaux champs de conception dans lesquels l’architecte conçoit un lieu de vibrations potentielles, activable, doué de résonances et capable de surprendre. Le manuel & les partitions Instrument d’environnements aux acteurs multiples, le ou les interprètes, mêmes bien coordonnés, ne suffisent pourtant pas à produire une belle œuvre […] L’article L’architecture est un instrument d’environnements (3/3) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Droit de réponse – BDF né d’un cousinage avec BDM : consanguinité ?

Suite à la chronique intitulée L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement) et publiée le 2 février 2021, la rédaction a reçu le droit de réponse suivant. J’ai eu l’occasion de lire la chronique de mon confrère François Scali sur l’invention du siècle. Je suis très surpris de ce que j’ai pu lire, évidemment […] L’article Droit de réponse – BDF né d’un cousinage avec BDM : consanguinité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Réinventer Paris 3 : une nouvelle méthode et six premiers sites dévoilés

APPEL A PROJETS. Profitant d'un contexte favorable avec la baisse anticipée de la demande de bureaux, la Ville de Paris lance un appel à projet spécifiquement dédiés à la transformation de bureaux en logements.
Il y a 4 ans et 95 jours

Immobilier d’entreprise : comment bien choisir son local professionnel ?

Le choix d’une propriété commerciale est une décision importante. Vos locaux peuvent avoir un impact important sur le succès de votre entreprise, il est donc important de faire le bon choix. Voici quelques points importants à prendre en compte pour choisir votre local. Choisir entre l’achat ou la location L’une des premières choses à considérer est de savoir si vous envisagez d’acheter ou de louer un local pour votre entreprise. L’achat d’un local est un excellent investissement car vous bénéficierez de toute augmentation de la valeur de la propriété. Vous pouvez également apporter les modifications que vous souhaitez (sous réserve du permis de construire) sans avoir à demander l’autorisation du propriétaire. La location de locaux professionnels présente également de nombreux avantages, vous n’aurez pas besoin d’un acompte ou d’une dépense initiale aussi importante. Vous pourrez facilement déplacer un bien à la fin de votre contrat si votre entreprise dépasse les locaux. Si vous louez, vous pouvez toujours être responsable des réparations et de l’entretien en fonction des conditions de votre bail, il est donc important de garder cela à l’esprit lors du choix d’une propriété et de l’établissement de votre budget. Fixer un budget Que vous décidiez d’acheter ou de louer, il est essentiel d’être conscient de tous les coûts impliqués. Assurez-vous de prendre en compte les frais de rénovation, les taxes, les frais d’assurance, les frais juridiques etc. Tenez compte de tous les coûts dans votre plan d’affaires, en particulier si votre entreprise est une start-up et qu’elle est amenée à évoluer rapidement. Déterminer les besoins Faites une liste des exigences essentielles et assurez-vous d’avoir une idée claire de ce que vous recherchez. Gardez vos objectifs à long terme à l’esprit et concentrez-vous sur les éléments essentiels à votre entreprise. Soyez conscient de la taille de la propriété que vous recherchez, des installations dont vous avez besoin, si un parking est nécessaire et si vous avez des exigences d’accès spécifiques. Vous devez également garder à l’esprit si vous êtes ouvert à faire des travaux de construction ou à apporter des modifications à une propriété en fonction de vos besoins. Choisir un emplacement L’emplacement du local est l’un des points les plus importants à considérer. Vous pouvez apporter des modifications à un local, mais vous ne pouvez pas modifier son emplacement. Tenez compte de la fréquentation de la zone et du nombre de concurrents à proximité. Vous devez également tenir compte de l’accessibilité, de la facilité d’accès à la propriété et de l’existence de bonnes liaisons de transport. Gardez en tête que toutes les entreprises n’ont pas les mêmes besoins en termes d’emplacement. Par exemple, un bar ou un restaurant doit être situé dans un quartier passant. Si la clientèle est plutôt jeune et étudiante, le local pourra être situé en centre-ville ou à proximité d’une université. Si la clientèle est plutôt jeune salariée, vous pouvez envisager de vous implanter à côté d’n quartier d’affaire par exemple.
Il y a 4 ans et 95 jours

Près d'1,2 million de jeunes ont signé un contrat en cinq mois

"Ce sont près d'1,2 million de contrats qui ont été signés. Certes, tout le monde n'a pas sollicité la plate-forme «1 jeune, 1 solution » mais cela correspond à la cible que nous visions au travers de l'aide à l'embauche via une prime", a déclaré Elisabeth Borne, en visite avec le Premier ministre Jean Castex à l'usine Sulky-Burel de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine), spécialisée dans la fabrication de matériel de fertilisation et qui a recruté 12 apprentis l'an dernier.Jean Castex a lui souligné que l'"objectif est aussi qualitatif, il n'est pas simplement d'agir sur les chiffres, il est d'orienter les jeunes vers des métiers d'avenir, vers la transition écologique, vers la souveraineté économique (...) Le plan de relance dégage des moyens substantiels pour reconquérir l'industrie en France, c'est un secteur porteur".Le gouvernement a présenté en juillet la plateforme "1 jeune, 1 solution", doté de 6,7 milliards d'euros, pour mettre en relation les entreprises avec des jeunes qui cherchent un emploi ou une formation. Près de 1.500 entreprises sont inscrites sur cette plate-forme et quelque 150.000 offres d'emplois ont été proposées.Ce dispositif prévoit notamment une prime allant jusqu'à 4.000 euros (par an) pour l'embauche, en CDD de plus de trois mois ou en CDI d'un jeune de moins de 26 ans entre le 1er août 2020 et le 31 mars 2021. Il prévoit aussi des primes de 5.000 euros ou 8.000 euros pour le recrutement d'un apprenti mineur ou majeur en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation.
Il y a 4 ans et 95 jours

CEE : 12% de hausse des exigences pour la 5e période

Les distributeurs de combustibles fossiles devront économiser davantage d’énergie chez leurs clients. Tandis que les distributeurs d’électricité verront leur charge allégée.
GDA
Il y a 4 ans et 95 jours

PBM Groupe s'engage en faveur de l'environnement et contribue à décarboner le secteur de la construction

PBM Groupe s'engageSpécialiste de la préfabrication d'escaliers en béton, PBM Groupe s'engage en faveur de l'environnement. Grâce à son service Recherche & Développement qui améliore les process de production (recyclage des eaux de lavage, utilisation d'agrégats recyclés...) et à ses partenaires, PBM contribue à décarboner le secteur de la construction. Ainsi, PBM Groupe est fier d'annoncer la signature d'un contrat de partenariat avec Vicat visant la fourniture de ciment bas carbone.Le partenariat Vicat / PBM GroupeLe 13 octobre 2020, Bernard Michel, directeur de production chez PBM, et Didier Fiducia, directeur des ventes ciment chez Vicat, ont validé et signé les termes de ce partenariat. « PBM obtient ainsi l'exclusivité de l'utilisation du ciment Naturat pour la préfabrication des escaliers en béton » précise Bernard Michel. L'enjeu de ce partenariat est de diminuer le bilan carbone de 30% des escaliers en béton avec un ciment bas carbone Naturat CEM IV. Pour Didier Fiducia, « ce partenariat illustre la mobilisation des équipes Vicat aux côtés de nos clients pour décarboner le secteur de la construction ».Le ciment NaturatPBM Groupe utilise dans ses formules béton le ciment Naturat produit par le cimentier français Vicat. Ce ciment bas carbone multiusages est destiné aux travaux courants en neuf et rénovation. Il est composé de pouzzolanes naturelles, des pierres volcaniques issues des volcans d'Auvergne. Produit à Créchy (03), le ciment Naturat utilise des ressources locales afin de réduire l'impact carbone. La composition et le process de fabrication de ce ciment répondent aux exigences de la future réglementation environnementale.
Il y a 4 ans et 95 jours

"Les acteurs qui ont goûté au Bim sont déterminés à continuer", Y.Laffoucrière

ENTRETIEN. Après une année marquée par la crise sanitaire et la numérisation de nombreuses pratiques, Yves Laffoucrière, président du plan Bim 2022, fait le point auprès de Batiactu sur l'évolution des travaux lancés par l'organisme.
Il y a 4 ans et 95 jours

Edilians et Adecco lancent un dispositif innovant d’envergure pour former des couvreurs-zingueurs

Même si le secteur du BTP a été impacté par la crise sanitaire, certaines professions continuent de faire face à une pénurie de main d’œuvre. C’est le cas des entreprises de couverture qui, entre les départs à la retraite sans trouver de repreneur et un métier jugé peu séduisant par les jeunes, peinent à trouver des profils qualifiés. Pour aider ces artisans du bâtiment à trouver les candidats nécessaires à la continuité et au développement de leur activité, Edilians se mobilise et s’associe à Adecco. Ensemble, ils lancent une opération d’envergure, inédite dans le secteur, visant à former et recruter les couvreurs-zingueurs de demain. FORMATION & RECRUTEMENT : précurseur, Edilians soutient le métier de couvreur-zingueur Partenaire d’Adecco depuis plus de 20 ans dans le cadre de la gestion des recrutements pour l’ensemble des 14 sites industriels d’Edilians, c’est tout naturellement que le leader français de la tuile terre cuite et le leader mondial des solutions de Ressources Humaines se sont rapprochés pour créer une véritable formation en alternance au métier de couvreur-zingueur, ouverte à tous (hommes et femmes). Entièrement pris en charge, ce programme d’enseignement est dispensé dans un premier temps à Lille, Lyon, Beauvais, Reims et Toulouse via la filiale formation Adecco Training, et en partenariat avec le réseau Greta, Les Compagnons du Devoir et du Tour de France ainsi que l’INSTEP. D’une durée de 12 mois, il allie théorie et pratique à raison de 462 heures de cours, avec des modules dédiés à la pose des produits Edilians, et 1358 heures en entreprise en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. A l’issue de la formation, les candidats reçoivent un diplôme d’état Titre Professionnel niveau 3 de Couvreur-Zingueur et peuvent ainsi postuler à de nombreuses offres d’emploi partout en France, à une rémunération attractive ! Quant aux entreprises à la recherche de collaborateurs compétents et motivés, tout est mis en œuvre pour les accompagner dans leur processus de recrutement. Quel que soit le profil recherché, Adecco leur propose une solution clé en main, adaptée à leur besoin d’effectifs, et leur facilite la mise en relation avec les candidats grâce à une hotline et un interlocuteur dédié par ville. UNE CAMPAGNE DE COMMUNICATION à la hauteur de l’enjeu Pour annoncer cette initiative inédite, Edilians et Adecco déploient une importante campagne de communication. Officiellement lancée depuis le 26 janvier, elle s’adresse à : toutes les entreprises de couverture souhaitant être accompagnées dans leur problématique de formation et de recrutement, tous les candidats potentiels en vue d’une reconversion au métier de couvreur-zingueur, quel que soit leur profil (homme/femme, tous horizons, tous âges, en activité/au chômage). Outre la réalisation d’une vidéo par cible (entreprise/candidat) et la création d’une page web dédiée, cette opération de recrutement sera visible sur les réseaux sociaux (Twitter, Instagram, LinkedIn, Facebook) ainsi que sur le site de petites annonces Le Bon Coin. Elle sera également relayée sur l’application Adecco & Moi par le biais de notification et via un emailing co-brandé ayant comme message clé : « formons ensemble les compétences de demain : couvreur-zingueur ». Avec pour objectif de former plusieurs milliers de personnes dans les 5 prochaines années à travers ce partenariat, cette démarche témoigne de la volonté d’Edilians de développer les compétences et la formation, et s’inscrit dans la démarche gouvernementale « 1 jeune 1 solution ». Elle illustre également l’ancrage territorial fort de l’entreprise et son profond attachement aux différentes régions de France dans laquelle elle est présente.
Il y a 4 ans et 95 jours

EAS SOLUTIONS, QUALIFIÉE RGE, OPTIMISE LA RÉNOVATION DE L’ÉCLAIRAGE PROFESSIONNEL

QUALIFIÉE RGE ÉTUDE, EAS SOLUTIONS PROPOSE AUX PROFESSIONNELS UNE OFFRE DE RÉNOVATION D’ÉCLAIRAGE OPTIMISÉE ET CLÉ EN MAIN AVEC DES SOLUTIONS LED ÉLIGIBLES AUX CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE Spécialiste de l’éclairage professionnel, EAS SOLUTIONS accompagne ses clients professionnels de l’industrie, de la logistique et du tertiaire dans le choix et l’installation de solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique pour réaliser jusqu’à 90% d’économie d’énergie. En 11 ans, EAS SOLUTIONS a permis à ses clients d’économiser 192 millions de kWh et 68 725 tonnes de C02. Soucieuse d’aller plus loin dans son engagement vis-à-vis des professionnels qui souhaitent rénover l’éclairage de leurs installations, EAS SOLUTIONS propose une offre globale « clé en main », éligible aux Certificats d’Economies d’Energie (CEE). Les primes générées par les CEE contribuent de manière significative au financement de la rénovation comme le montrent les exemples de projets ci-dessous. COMMENT CETTE OFFRE FONCTIONNE-T-ELLE ? Avec l’obtention de sa qualification RGE Etude (Reconnu Garant de l’Environnement) dans le domaine de l’éclairage, EAS SOLUTIONS effectue l’étude préalable du projet qui dresse l’état des lieux avant et après la rénovation et mentionne notamment les économies d’énergie prévues.  Une fois l’étude acceptée par le client, EAS SOLUTIONS procède à la mise en place des luminaires LED éligibles aux CEE. Grâce au partenariat conclu avec OBJECTIF 54, EAS SOLUTIONS délègue la partie administrative à un spécialiste du domaine qui monte et suit le dossier jusqu’au versement de la prime. L’accompagnement d’OBJECTIF 54 consiste à vérifier les conditions d’éligibilité, évaluer le montant de la prime, déposer le dossier et enfin procéder au versement de la prime que le client bénéficiaire récupère soit en déduction du devis TTC soit par paiement direct.  Le montant de la prime peut être bonifié dans le cadre d’un CPE (Contrat de Performance Energétique), EAS SOLUTIONS s’engageant alors préalablement sur les économies d’énergie à réaliser. EXEMPLE DE PROJET TERTIAIRE : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage d’une base logistique dédiée au commerce d’une superficie de 40 000M2. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 534 solutions LED intelligentes de 147 W avec détection de présence et de luminosité. Ce projet clé en main d’un montant de 360 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED dont l’éligibilité aux Certificats d’Economies d’Energie est vérifiée par OBJECTIF 54, prestataire partenaire qui, en l’espèce, estime à 20 000€ TTC le montant de la prime CEE. Prime bonifiée à 65 000€ dans le cadre d’un CPE (Contrat de performance), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors de 2 ans.  EXEMPLE DE PROJET INDUSTRIEL : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage de 3 halls d’une superficie de 19 000 M2 dédiés à la production et à l’assemblage de matériel électrique. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 612 solutions LED intelligentes avec détection de présence et de luminosité totalisant une puissance de 60 862W. Ce projet clé en main d’un montant de 300 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED éligibles aux CEE. OBJECTIF 54 estime dans le cas présent à 14 700€ TTC le montant de la prime CEE. Prime qui est bonifiée à 25 700€ dans le cadre d’un CPE (bonification possible jusqu’au 31.12.2021), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors inférieur à 3 ans. . A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr . A propos d’OBJECTIF 54  Depuis 2008, OBJECTIF 54 est spécialisée dans les Certificats d’Economies d’Energie (CEE) et permet aux maîtres d’ouvrage (personnes physiques ou personnes morales) de bénéficier de primes CEE dans le cadre de la réalisation de travaux de rénovation et d’optimisation énergétique de leurs bâtiments ou process. Quel que soit le projet de travaux (petit ou grand), OBJECTIF 54 s’adapte aux besoins de chacun dans le but de diminuer les consommations d’énergies et les émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, la société met à disposition son réseau national d’installateurs spécialisés sur différents métiers : isolation, thermie, équipement. Ces sociétés intègrent directement dans leurs offres les primes CEE qui sont déduites du coût final des travaux. L’équipe d’OBJECTIF 54 analyse les projets de travaux, vérifie l’éligibilité et estime les montants des primes CEE, étape essentielle pour garantir la viabilité du dossier de demande de CEE, tant sur le plan technique qu’administratif. objectif54.com
Il y a 4 ans et 95 jours

"Le monde de la construction est d’une sophistication contractuelle absolue", Christophe Lapp et James Perry, LCLIA

A l’occasion de l’alliance internationale baptisée LCLIA, dédiée au secteur de la construction et constituée début janvier par plusieurs cabinets d’avocats (le Français Altana, l’Allemand Breyer Rechtsanwälte, l’Américain Peckar & Abramson et le cabinet de conseil et de résolution des litiges PS Consulting), deux membres fondateurs évoquent les grandes tendances contractuelles à l’export. Entretien avec Christophe Lapp, avocat associé, cabinet Altana et James Perry, avocat et co-fondateur de PS consulting.
Il y a 4 ans et 95 jours

Les chantiers des JO-2024 de Paris dans les starting-blocks

"On est à un moment de bascule", explique Nicolas Ferrand, directeur général de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qualifier l'année 2021 qui va voir débarquer des dizaines de grues et des milliers d'ouvriers.Tout doit être bouclé pour décembre 2023.Les travaux du village olympique, pièce maîtresse de 300.000 mètres carrés, situé à Saint-Denis, Saint-Ouen et l'Ile-Saint-Denis, vont débuter en mars. "Les 26 permis de construire ont été obtenus et les ventes ont été signées", s'est réjoui M. Ferrand, grand ordonnateur de la Solideo, lors d'une conférence de presse cette semaine.Miracle, le Covid et le premier confinement n'ont fait prendre qu'à peine un mois de retard.Parmi ce que Nicolas Ferrand qualifie néanmoins de "belle difficulté": un investisseur canadien partenaire de Vinci s'est envolé en cours de route. 50.000 mètres carrés de bureaux attendent preneurs en plein milieu du village olympique, qui deviendra un quartier résidentiel en 2025.Un "gros ministère" est sur les rangs pour y installer son administration centrale, une fois les athlètes partis. L'appel d'offre est en cours.Non loin du village olympique, la construction du tout nouveau centre aquatique olympique, dit "CAO" dans le jargon olympique, va être lancé au printemps."Une belle bête""Une belle bête!", commente Patrick Ollier, président LR de la Métropole du Grand Paris, maître d'ouvrage de cette piscine construite par Bouygues, qui recevra plongeon, natation synchronisée et water-polo.Au total, la Solideo, qui a un budget d'argent public de près d'1,4 milliard d'euros (sur 3,2 milliards environ), supervise 62 ouvrages. Autre chantier d'ampleur: le village des médias, au nord du département, près de l'aéroport du Bourget. Il sera construit en deux étapes, une partie sera réalisée après les Jeux, avec au total 1.300 logements.La justice rejette le recours déposé contre le village des médias La justice a rejeté vendredi le recours déposé par des opposants à la cession d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les Jeux olympiques de Paris-2024 puis être transformé en éco-quartier, selon une décision consultée samedi par l'AFP.Dans ce recours en référé (mesure d'urgence) déposé le 28 janvier devant la cour administrative d'appel de Paris, le Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE 93), le Collectif pour le Triangle de Gonesse et une dizaine d'usagers de cet immense parc demandaient l'annulation de la cession du terrain par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis."Ces parcelles, affectées depuis des dizaines d'années aux loisirs et sports, fêtes, ces espaces verts et boisés avec leur biodiversité, leur faune et flore seront détruits et cédés par lots à des bétonneurs et promoteurs", dénonçaient ces opposants.La vente d'une partie de l'"Aire des Vents", située sur la commune de Dugny, avait été votée le 10 décembre, au profit de la société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) pour 6,9 millions d'euros.La zone, en partie bétonnée et qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, doit se transformer en vue des Jeux olympiques. Le projet prévoit d'y construire le village des médias, qui deviendra ensuite un écoquartier de 1.300 logements et commerces.Les opposants dénoncent une "artificialisation définitive" et "l'amputation" de ce parc de 400 hectares, situé en majeure partie sur la commune de la Courneuve, poumon vert d'un département très densément peuplé, où "la population s'accroît chaque année de 15.000 nouveaux habitants".Le collectif d'associations va déposer un nouveau recours en justice, cette fois contre l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de la Seine-Saint-Denis, a indiqué samedi à l'AFP Jean-Marie Baty, président du MNLE 93.Les opposants ne comptent pas rendre les armes : "Nous avons déjà mené le combat contre Europacity -projet de megacomplexe de loisirs et de commerce qui devait s'installer sur les terres du Triangle de Gonesse, dans le Val-d'Oise-, dont on disait que c'était David contre Goliath, et nous l'avons gagné", fait valoir Jean-Marie Baty.
Il y a 4 ans et 95 jours

Grand Paris Express : les travaux de la ligne 17 empêchés par une ZAD

Les travaux que veulent empêcher depuis le 7 février des militants hostiles à l'urbanisation du Triangle de Gonesse (Val d'Oise) ne concernent pas la future gare du métro du Grand Paris, mais les voies du métro lui-même.
Il y a 4 ans et 95 jours

Hager enrichit son offre KNX avec une passerelle KNX de communication pour compteurs d’énergie

©Hager   Hager complète son offre KNX avec une nouvelle passerelle de communication KNX pour compteurs d’énergie électrique, adaptée à la majorité de ses compteurs. La marque franco-allemande confirme ainsi sa présence dans l’univers KNX, et sa volonté de proposer aux intégrateurs, aux bureaux d’études et aux installateurs des solutions de comptage toujours plus simples à installer et à connecter. Compatible avec la majorité des compteurs d’énergie Hager[1] et tous les modes de communication (impulsionnel, Modbus, M-bus), la passerelle de comptage KNX TXF121 se connecte automatiquement grâce à une cellule infrarouge, dès lors qu’elle est positionnée à gauche d’un compteur d’énergie Hager. Elle se distingue aussi par son encombrement réduit : un seul module. Elle s’intègre facilement sur le rail DIN d’un tableau électrique. Avec la passerelle TXF121, il est désormais possible de rendre les compteurs d’énergie communicants et de transmettre sur le bus KNX les données mesurées sur les réseaux monophasés jusqu’à 80A et sur les réseaux triphasés jusqu’à 125A en lecture directe. Il est également possible de renvoyer les données des compteurs triphasés utilisant des transformateurs de courant. [1] Sauf ECM140D et ECR140D. Dans le cadre d’installations tertiaires (commerces, centres commerciaux hôtels etc.) ou résidentielles (villa, multi-résidentiel), la passerelle TFX121 permet notamment de connaître l’état du réseau électrique, la qualité d’énergie, les consommations par zone ou par usage. C’est une nécessité, voire une obligation dans le cadre normatif de la RT2012 ainsi que les mesures environnementales de l’IEC 60 364-8-1 et de l’ISO 50 001, qui exigent que les constructions soient équipées d’instruments de mesure de la consommation par zone ou par usage. Auto-alimentée par le bus KNX, le TXF121 permet de renvoyer l’ensemble des données de mesure sur n’importe quel superviseur KNX. Il est alors possible de cibler les consommations,  d’établir un diagnostic pour mettre en place des actions correctives et d’anticiper les dérives afin d’éviter une surconsommation. Disponible en programmation sous ETS pour les grands projets, la passerelle de comptage KNX Hager est également paramétrable en mode Easy, afin de permettre des installations simples et rapides dans un environnement produit Hager. Grâce à la nouvelle passerelle de comptage KNX TXF121, il est désormais possible de renvoyer sur un superviseur Hager domovea paramétré en Easy des données de comptage électrique. Grâce à la nouvelle passerelle de communication TXF121, les professionnels de la filière ont accès à une solution simple à installer, à encombrement réduit, avec une référence unique adaptée à la majorité des compteurs de la gamme Hager.  
Il y a 4 ans et 95 jours

Juin 2021 : ouverture de la future résidence senior d’Herblay-sur-Seine

Une nouvelle résidence senior sortira prochainement de terre dans la commune d’Herblay-sur-Seine.
Il y a 4 ans et 95 jours

Nouvelle Caméra thermique testo 883 : Une qualité et une gestion automatique des images

La thermographie infrarouge est extrêmement utilisée pour mettre en évidence des échauffements sur des infrastructures électriques en charge, par exemple, et réaliser des actions correctives qui évitent tout arrêt de la production et pertes d’exploitation. Alliant qualité parfaite et gestion automatique des images, la nouvelle caméra thermique testo 883 a été spécialement conçue pour faciliter le travail de contrôle des installations (armoires électriques,…) d’un site par les techniciens de maintenance. Ses fonctions inédites garantissent un travail rapide et fiable. Une qualité d’image parfaite La caméra thermique testo 883 bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels grâce à la technologie testo SuperRésolution intégrée. De plus, la mise au point manuelle assure le contrôle total et des images thermiques nettes. testo SiteRecognition : Plus besoin d’attribuer manuellement les images sur PC ! Les techniciens de maintenance sont tous confrontés à la même difficulté lorsqu’ils réalisent des images thermiques d’une installation : de nombreux objets de mesure semblables donnent des images thermiques similaires. Jusqu’à présent, ils étaient obligés d’investir du temps pour créer des listes ou d’ajouter un commentaire vocal à chaque image thermique individuel afin de pouvoir attribuer les images correctement après une routine d’inspection. La technologie testo SiteRecognition de la nouvelle caméra testo 883 prend désormais en charge l’identification du lieu de mesure, l’enregistrement et la gestion des images thermiques de manière totalement automatique. En évitant les confusions et les erreurs d’évaluation, cette fonction fait gagner du temps au technicien car l’attribution manuelle des images n’est plus nécessaire. Outre la gestion des lieux de mesure avec testo SiteRecognition, le logiciel testo IRSoft permet de réaliser également l’analyse, le traitement et la documentation détaillés des images thermiques. Il est téléchargeable gratuitement sur : www.testo.com/irsoft. Une commande particulièrement intuitive La combinaison intelligente de l’écran tactile et du joystick éprouvé de Testo rend le travail plus efficace et rapide. Toujours connecté pendant le travail L’App testo Thermography offre également de nombreux atouts au technicien : réalisation d’analyses rapides sur site (ajout de points de mesure et/ou de commentaires, détermination de la courbe de température, …) ou intégration des valeurs de mesure de la pince ampèremétrique testo 770-3 dans l’image thermique, utilisation d’un Smartphone ou d’une tablette comme deuxième écran, commande à distance de la caméra thermique, documentation : sélection d’images, saisie des données pertinentes, prévisualisation et envoi du rapport par e-mail. Téléobjectif interchangeable Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, l’objectif standard 30° x 23° de la caméra thermique testo 883 est remplacable par un téléobjectif 12° x 9°.   Avec une qualité d’image parfaite et une gestion automatique de celles-ci, la nouvelle caméra thermique testo 883, proposée seule ou en kit, constitue une véritable aide efficace pour les techniciens de maintenance d’un site.
Il y a 4 ans et 95 jours

Nouvelle Caméra thermique testo 883, une aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique

Elle voit tout et offre une assistance intelligente Recherche de ponts thermiques et défauts d’isolation, détection de vices de construction…, Pour conserver ou augmenter la valeur de leurs biens immobiliers, particuliers et entreprises font confiance aux recommandations des conseillers en rénovation énergétique. La nouvelle caméra thermique testo 883 a été spécialement développée pour ces professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment, analyser en détail les images et réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Une qualité d’image parfaite La caméra thermique testo 883 bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels grâce à la technologie testo SuperRésolution intégrée. En outre, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. Rédaction aisée et rapide de rapports thermographiques professionnels Grâce l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif testo IRSoft, les rapports professionnels sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celuici. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses. L’éditeur de rapport du logiciel permet aussi de générer des modèles personnalisés pour les compte-rendus individuels. Sans licence, le logiciel est téléchargeable gratuitement. testo ScaleAssist : Réglage automatique du contraste pour des images thermiques comparables Lors d’une thermographie de bâtiments, les professionnels sont souvent confrontés à la même problématique : les images d’un même objet peuvent différer en fonction de la température intérieure et extérieure. La technologie testo ScaleAssist résout ce problème en réglant automatiquement l’échelle de la caméra thermique de manière optimale après la saisie des températures intérieure et extérieure. Ceci offre deux avantages : l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective et un contraste optimal. Les éléments qui dérangent ou n’ont pas d’importance sont automatiquement masqués et les défauts de construction ne sont affichés que s’ils existent réellement. De plus, le mode « humidité » aide à visualiser le risque de moisissures au niveau des failles thermiques dans l’image avec les couleurs du feu tricolore. Les valeurs de mesure nécessaires à cet effet, à savoir la température et l’humidité de l’air intérieur, peuvent être transmises sans fil à la caméra testo 883 par le thermo-hygromètre testo 605i en option. Grâce à ces fonctions, le professionnel voit tout de suite ce qui importe et offre à ses clients une détection précise et fiable. Toujours connecté pendant le travail L’App testo Thermography autorise le transfert des mesures en direct sur un Smartphone ou une tablette afin que le client les visualise en même temps. Téléobjectif interchangeable et mise au point manuelle pour un contrôle total Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, l’objectif standard 30° x 23° de la caméra thermique testo 883 est remplacable par un téléobjectif 12° x 9°. De plus, la mise au point manuelle garantit le contrôle total et des images thermiques nettes.   Avec une qualité d’image parfaite et la réalisation de rapports professionnels, la nouvelle caméra thermique testo 883, proposée seule ou en kit, constitue une véritable aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 95 jours

Un ancien de Saint-Gobain à la tête de KP1

Vincent Linchet a été nommé président du spécialiste des produits préfabriqués en béton le 29 janvier dernier. Il remplace Bruno Roqueplo.
Il y a 4 ans et 95 jours

Le constructeur de maisons Hexaom annonce un C.A. en hausse de 4,7% en 2020

Sur l'année, le chiffre d'affaires ressort à 881,3 millions d'euros grâce à la "résilience de l'activité construction de maisons" et "la stratégie de diversification vers de nouveaux segments de l'activité immobilière", selon un communiqué.Hexaom a intégré en année pleine le groupe d'aménagement foncier et de promotion immobilière de logements Claimo et le constructeur de maisons individuelles, promoteur et lotisseur Plaire.Le groupe avait souffert du strict confinement décrété au printemps, au début de la crise sanitaire, de nombreux chantiers se trouvant interrompus le temps de mettre en place les mesures nécessaires.Il avait connu pendant l'été un "fort effet de rattrapage" puis a réalisé "un très bon quatrième trimestre, avec une activité en croissance sur tous ses métiers"."Les prises de commandes de maisons ont continué à croître sur le quatrième trimestre: elles ressortent en augmentation de 3,1% en volume et de 9% en valeur, illustrant également une forte progression du prix de vente moyen", selon le communiqué.Sur l'année, les prises de commandes "démontrent une belle résistance" avec un "retrait limité de 7,5% en volume et 3,4% en valeur par rapport à 2019", selon le groupe qui a réalisé 7.080 ventes au 31 décembre.L'activité rénovation "confirme son dynamisme avec un chiffre d'affaires au quatrième trimestre qui marque un nouveau plus haut historique à 58,1 millions d'euros (+16,7%)".Par ailleurs, 31 programmes de promotion immobilière sont en cours de commercialisation ou de construction, précise Hexaom.Selon le groupe sa production devrait rester "bien orientée en 2021". Mais ces prévisions optimistes ne tiennent pas compte d'une "évolution significative des mesures imposées par la crise sanitaire pouvant entraîner un ralentissement de l'activité".
Il y a 4 ans et 95 jours

CEE : des changements inadmissibles pour les professionnels

La Direction de l’Énergie et du Climat vient de faire parvenir les projets de texte pour l’avenir du dispositif CEE, moteur principal du secteur de la rénovation énergétique. Les coups de pouce pour les actions d’isolation concernant les planchers, les combles devraient disparaitre dès la fin juin 2021, le remplacement des chaudières gaz et des convecteurs électriques, en décembre 2021. Les bonifications destinées aux ménages très modestes et modestes devraient être limitées à hauteur de 25% du total du dispositif (soit 5 milliards d’euros sur les 20 milliards attribués aux actions de CEE). En 5 mois, les professionnels que sont les artisans, installateurs, distributeurs de la filière de la rénovation énergétique ne peuvent pas s’organiser pour mettre en place une massification des offres dédiées à la rénovation globale (formation, qualification…) et transformer leur modèle économique actuel. Ce sont près de 10 000 emplois directs et 40 000 emplois indirects qui sont menacés. Ce sont aussi 200 M€ d’investissements de la filière rendus infructueux et 1,3 Milliard €/an de perte de chiffre d’affaires sans tenir compte du changement de modèle économique qu’il a fallu mettre en place pour les coups de pouce. Ce coup d’arrêt impactera près de 32% des CEE délivrés sur la dernière période. Le Syndicat de la rénovation énergétique Symbiote qui représente plus de 100 entreprises d’isolation et de chauffage ainsi que des distributeurs et des industriels souhaite proposer (indépendamment du niveau d’objectif de la Période P5) un report au 31 Décembre 2022 de l’arrêt des coups de pouce pour structurer la filière professionnelle (modèle économique, formation, offres…)  à l’ approche de la rénovation énergétique globale. Il proposer et travaille à une solution alternative équivalente au coup de pouce dans un souci de maintien des objectifs d’économies d’énergie, de massification de la rénovation énergétique et de la conservation des emplois ruraux et régionaux. Il faudrait réintégrer les travaux combles et planchers dans MaPrimeRénov pour accélérer la massification des rénovations globales permettant ainsi de réaliser au plus vite les objectifs gouvernementaux de rénovation du parc immobilier français.
Il y a 4 ans et 95 jours

Le granulé de bois se prépare à chauffer le collectif

Pour identifier au mieux le marché du chauffage avec les granulés de bois dans le collectif et évaluer les zones de pertinence économique des installations, Propellet a mené une étude. Aujourd’hui, le marché du granulé domestique (poêles et chaudières) représente 95 %. En 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s’élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5 % de la consommation de granulé de bois en France. Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l’énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l’ensemble. La très large majorité d’entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…). Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW. Les récentes annonces du gouvernement concernant l’interdiction d’utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d’accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête. En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d’usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d’ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L’accroissement naturel de la forêt est de 10 % par an en volume et il n’est prélevé pour tous les usages (bois d’œuvre, bois d’industrie, bois d’énergie) que la moitié de cette progression. Les grandes tendances d’un point de vue financier après analyse Face au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives. Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l’intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques. Plus le prix de l’énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10 % des besoins sont couverts par l’énergie d’appoint contre 15 % pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d’appoint. Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires ruraux. Photo : Froling Source : Propellet  
Il y a 4 ans et 95 jours

Les couvreurs zingueurs parisiens et les ornemanistes candidatent à l’Unesco

2021, c’est aussi l’année des Couvreurs à l’Unesco ! Une année cruciale pour la relance de ce beau métier, estiment les couvreurs zingueurs parisiens et les ornemanistes qui veulent faire reconnaître leur savoir-faire.
Il y a 4 ans et 95 jours

Il faut construire 250.000 logements sociaux en deux ans selon Mme Wargon

La ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon a fixé pour objectif la construction de "250.000 logements sociaux en deux ans" pour faire face à la pénurie.
Il y a 4 ans et 95 jours

Finalcad One, la nouvelle plateforme collaborative de gestion de projets qui optimise le travail en équipe

Avec la pandémie de Covid-19, l'usage des outils de travail collaboratif s'est propagé à vitesse folle sur la planète. Le secteur du BTP et de la construction, nécessitant une coordination et une collaboration importantes des équipes, n'y a pas échappé. Répondant ainsi aux attentes des acteurs du marché mais aussi des industries périphériques, Finalcad One a pour ambition de permettre aux équipes d'optimiser leur collaboration ; ce qui revêt une importance toute particulière dans ce secteur où le manque de communication est la principale cause de retard de livraison d'un projet*.Genèse de Finalcad One : une application pensée sous angle collaboratifLancée il y a 10 ans, Finalcad est une société qui a construit son développement autour de solutions digitales pour répondre aux besoins principalement de la construction et accompagner les entreprises dans leur transformation digitale. L'objectif étant de faciliter la collaboration et la coordination sur un chantier entre les différentes parties prenantes. Au fil des années, ces solutions ont été largement enrichies car créées sur des technologies qui ont-elles-mêmes évoluées.Pour répondre toujours plus aux besoins de ses clients, Finalcad a décidé de lancer une toute nouvelle solution collaborative basée sur les dernières innovations technologiques et qui bénéficie également de l'expérience des solutions Finalcad qui ont accompagné plus 24 000 projets à travers le monde.Finalcad One, dotée d'une ergonomie innovante, s'adresse ainsi à tous les corps de métiers et à toutes les phases d'un projet, de son initialisation en passant par la phase de construction et jusqu'à la maintenance. Au-delà d'apporter des solutions métiers, cette nouvelle application totalement personnalisable a été pensée sous l'angle de la collaboration.Une expérience utilisateur unique en mode collaboratifChaque projet est unique et fait appel à de nombreuses parties prenantes : des entreprises et des équipes qui ne se connaissent pas toujours, mais qui doivent travailler ensemble depuis des sites différents et ce parfois dans plusieurs langues. L'Humain et la collaboration sont donc au centre de tout projet et déterminent la performance et la productivité. Une étude internationale montre d'ailleurs que 62% des professionnels interrogés* identifient le manque de communication comme première cause de retard de livraison d'un projet.Cette collaboration est d'autant plus essentielle dans le contexte sanitaire actuel de distanciation sociale qui s'accompagne de nouvelles restrictions et contraintes.Il était donc essentiel pour Finalcad, afin d'être toujours au plus près des besoins de ses clients, de proposer un outil collaboratif le plus facile d'utilisation possible : une solution BtoB répondant aux standards B2C permettant la création de groupes de travail s'inspirant du modèle des messageries instantanées avec en plus la possibilité d'interagir avec toutes les personnes rattachées à un projet quelles que soient leurs fonctions et ce à toutes les phases du projet. Qu'il s'agisse du partage d'information, de l'utilisation des formulaires de saisie ou encore du travail en équipe sur des observations réalisées sur site, Finalcad s'est inspiré des meilleures pratiques en termes d'expérience utilisateur pour maximiser l'adoption de la solution par les équipes de ses clients.Le mode Freemium pour un accès à la plateforme au plus grand nombreFinalcad One donne accès, en mode freemium, et de manière illimitée dans le temps à l'ensemble de ses fonctionnalités. Si l'utilisateur veut profiter pleinement des avantages de la digitalisation dans sa gestion de projets, des offres supérieures lui seront alors proposées lui permettant ainsi de d'accroitre considérablement son niveau d'usage de la plateforme.En levant la barrière financière, Finalcad a souhaité faciliter le quotidien des équipes et permettre à toutes personnes (artisans, architecte, chef de chantier, ...), quelle que soit la taille de son entreprise, de pouvoir collaborer à l'ensemble d'un projet et pendant toute sa durée.L'ambition est de pouvoir ainsi créer une importante communauté d'utilisateurs.Une application qui s'adapte à tous les secteurs d'activitéFinalcad One s'adresse à tous les secteurs gravitant autour d'un projet de construction (secteur historique de Finalcad), comme par exemple l'assurance, la distribution, l'immobilier, tourisme … mais aussi aux nouveaux métiers périphériques émergents pour répondre aux défis de la construction, comme la construction bas carbone.« Aujourd'hui, chaque utilisateur de smartphone dispose d'une multitude d'applications associées à des besoins particuliers. Avec Finalcad One, nous avons l'ambition de proposer une application unique afin de casser la barrière entre mondes professionnel et personnel. L'objectif est d'apporter un véritable confort au travail grâce à une application simple d'utilisation et tout en un, répondant aux besoins de chacun.Nous avons également souhaité proposer cette application en mode freemium pour dépasser les contraintes financières et permettre au plus grand nombre d'avoir y accès », s'enthousiasme Franck Le Tendre, CEO de Finalcad.* Étude de marché internationale menée par Finalcad et Coleman Parkes en Février 2020 auprès de 400 professionnels de la construction.
Il y a 4 ans et 95 jours

Bureaux à Paris par Lobjoy Bouvier Boisseau

Titulaire d'un master en architecture de l'université de Delft, Chris van Duijn est architecte partenaire d'OMA depuis 2014. Il y dirige les projets asiatiques tels que la galerie commerciale Hanwha de Séoul (2020) ou le Columbia Circle masterplan de Shanghaï, un projet de préservation patrimoniale de grande échelle. Ayant intégré OMA en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 95 jours

A Dubaï, Apis Cor fait impression 3D en montant des bureaux à l’étage

Apis Cor, entreprise américaine spécialisée en impression 3D, a achevé en octobre 2019 les structures murales imprimées en 3D d’un bâtiment administratif de deux étages pour la municipalité de Dubaï. D’une hauteur de 9,5 mètres pour une superficie de 640 m², c’est paraît-il le plus grand bâtiment imprimé en 3D à ce jour. Communiqué de […] L’article A Dubaï, Apis Cor fait impression 3D en montant des bureaux à l’étage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 95 jours

Nouveau rassemblement contre le projet de serre tropicale sur la côte d'Opale

Cette serre avec un dôme de 20.000 m² et 35 m de haut, qui abritera papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, sera la plus grande serre tropicale au monde, selon ses promoteurs.Estimé à 73 millions d'euros, ce projet est en partie subventionné par la région (2 millions d'euros de prêt), la communauté d'agglomération (400.000 euros) et des fonds européens (10 millions)."Ce projet, idiot, absurde, ne tient pas la route. Il est d'un autre temps. Il ne faut pas se faire avoir par un miroir aux alouettes pour faire sortir de terre un énième éléphant blanc", a déclaré à l'AFP Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, joint par téléphone.Selon lui, les champs en question promis à l'artificialisation devraient être utilisés notamment pour nourrir les cantines, en bio, et les pouvoirs publics devraient développer "l'écotourisme, une solution plus résistante", dans la région . "Ce qui est bon pour le climat est bon l'emploi", a-t-il répété.En soutien à l'eurodéputée et tête de liste EELV aux régionales Karima Delli, seule candidate capable selon lui pour engager les Hauts-de-France "dans cette voie", il a dénoncé un "Xavier Bertrand (président du conseil régional, ex-LR) qui dilapide des fonds publics pour des projets qui n'ont aucun sens".En présence du député LFI Ugo Bernalicis, de l'eurodéputé EELV Yannick Jadot et du maire de Grenoble EELV Eric Piolle, entre 150 personnes, selon la préfecture, et 200 selon EELV, se sont rassemblées près des quelque 9 ha de terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté" en 2010, entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Les promoteurs ont obtenu fin 2019 un permis de construire contre lequel un recours a été déposé devant la justice administrative. Une audience devrait se tenir d'ici à la fin de l'été, selon la préfecture samedi. Le 20 décembre dernier, environ 150 opposants au projet avaient déjà manifesté.
Il y a 4 ans et 95 jours

Une poignée de militants débutent "l'occupation de la ZAD" du Triangle de Gonesse

Sauvés de l'artificialisation par Emmanuel Macron, qui a abandonné le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity en novembre 2019, le sort des 280 hectares de terres agricoles situées à une quinzaine de kilomètres de Paris reste encore incertain."Nous revendiquons l'abandon du projet de gare et de ZAC, pour que le projet agricole alternatif que nous portons puisse commencer", a dit à l'AFP Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Le militant associatif a expliqué qu'une douzaine de personnes, "des soutiens du collectif", ont décidé dimanche matin de "débuter l'occupation de la zone". Des tentes ont été installées, ainsi que l'eau et l'électricité, et "une douzaine de personnes vont dormir sur place", a-t-il précisé. Pour l'heure, il est prévu que cette zone, interdite à l'habitat car coincée entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et du Bourget, accueille une gare de la ligne 17 du métro du Grand Paris Express d'ici 2027, et une ZAC avec bureaux.De son côté le CPTG soutient le projet agricole de l'association Carma, qui comprendrait notamment l'installation d'activités maraîchères et horticoles dans une dynamique de circuits courts.
Il y a 4 ans et 95 jours

Terreal annonce deux arrivées au comité exécutif

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la tuile terre cuite, Terreal, annonce deux nominations : une nouvelle directrice des ressources humaines et un nouveau directeur industriel. Tous deux entrent également au comité exécutif.
Il y a 4 ans et 95 jours

Val-de-Marne : six projets recevront des aides financières du Fonds de Solidarité Interdépartemental et d’Investissement

Plusieurs opérations dans le Val-de-Marne ont été retenues par le conseil d’administration du Fonds de Solidarité Interdépartemental et d’Investissement (FS2i).