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Résultats de recherche pour reglementation

(3552 résultats)
Il y a 2 ans et 94 jours

Pompes à chaleur et chaudières bois en forte croissance en 2022

Le marché du génie climatique en 2022 a perdu globalement 100.000 générateurs. Pour 2023, les aides publiques et la règlementation pèsent lourd.
Il y a 2 ans et 95 jours

Label RE2020 : plusieurs pistes de réflexion dévoilées à EnerJ-meeting

RÉFLEXION. Des acteurs de la construction ont discuté du label réglementation environnementale 2020 (RE2020), proposé par l'État en 2021, lors d'une table ronde à l'événement EnerJ-meeting. Des grands critères ont notamment été définis.
Il y a 2 ans et 95 jours

Éocène lance la construction du 1er programme de villas bois hors-site de la Métropole de Montpellier

De gauche à droite, Tristan SECHAUD et Morgan CHABALIER, fondateurs d'EOCENE, et Eric PENSO, maire de la commune et Vice-président de Montpellier Méditerranée Métropole délégué à la Culture et Patrimoine historique - Photo : Antoine CAUPERT.Organisé en présence des élus de la Ville et de la Métropole, cet événement marque l’avènement d’une nouvelle ère dans la construction d’habitations individuelles groupées plus durables et qualitatives pour un coût maîtrisé.“A l’heure où les défis liés au développement durable et à l’accès au logement sont les plus grands, nous sommes heureux d’initier aujourd’hui la construction du premier ensemble de maisons bois hors-site en partenariat avec la Ville de Clapiers et la Métropole de Montpellier.” expliquent Tristan SECHAUD et Morgan CHABALIER, associés et co-fondateurs de la société de promotion immobilière ÉOCÈNE. “Avec une première maison témoin déjà construite et 16 autres unités à venir, nous allons prouver que la démarche industrielle innovante d’ÉOCÈNE est capable de répondre efficacement à des cahiers des charges exigeants en termes de qualité, de maîtrise des prix et de respect de l’environnement”.Au cœur du futur écoquartier du Castelet à Clapiers, les 17 maisons individuelles ossature bois construites en usine répondront en effet aux contraintes particulièrement exigeantes de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020. Elles seront assemblées en un temps record - 3 fois plus vite que la moyenne pour une livraison fin septembre 2023 - grâce au système constructif hors-site innovant PANOMUR® développé dans la région montpelliéraine depuis une dizaine d’années.La première villa de l'ensemble Mile Davis en cours de construction - Photo : Antoine CAUPERT.Un système constructif innovant, qualitatif et durableConçus à partir de matériaux biosourcés et locaux, comme l’ossature en bois français en circuit court, équipées de panneaux solaires et de bornes de recharges pour véhicules électriques, les villas Miles Davis sont construites à 80% dans l’usine ÉVOLUSUD située à Miramas (13). En plus de conditions de travail améliorées pour les professionnels du bâtiment à l’abri des caprices de la météo, cette approche industrielle offre de très nombreux avantages : optimisation des process, meilleure coordination du travail entre les corps de métiers, recyclage des chutes de matériaux, limitation des nuisances pour le voisinage. En complément du système constructif, un logiciel a été créé pour faciliter les échanges d’information entre professionnels du bâtiment (plan, bilan, études, notices descriptives, contrats d’assurance, fiches techniques…) et offrir une traçabilité totale sur les matériaux utilisés, l'empreinte carbone, les intervenants et leur historique d’interventions sur le chantier.Vue d'un lot de villas Miles Davis au coeur de l'écoquartier du Castelet (34). © EOCENEUn écoquartier vert et équipéUnique dans la région, l’ensemble de villas Miles Davis comprendra 17 maisons individuelles du T4 au T5 (de 90 à 140 m²) réparties en 3 îlots au cœur de l’écoquartier du Castelet (Clapiers) pour un prix de vente inférieur à celui du marché sur la commune (autour de 3.800 €/m²). “A ce jour 16 unités sur 17 ont déjà trouvé preneur !” soulignent les fondateurs d’ÉOCÈNE. En plus d’une grande aire de jeux pour enfants, de nombreux espaces verts ainsi que des jardins familiaux prévus sur ce nouvel espace de vie de 14 ha, les habitants des villas “Miles Davis” profiteront de la proximité de nombreux équipements collectifs préexistants (crèche, centre de loisirs municipal, école maternelle et élémentaire, collège...) et à partir de 2025 de la future ligne 5 de tramway.
Il y a 2 ans et 96 jours

Geplast s'inscrit dans une démarche écoresponsable avec la création de sa marque GEKO

Entrée en vigueur au 1er janvier 2022, la RE2020 est apparue comme un levier d'action majeur en matière de lutte contre le réchauffement climatique. Cette nouvelle réglementation a pour objectifs d'améliorer les performances des bâtiments, le confort des habitants, mais aussi de prendre en compte l'impact carbone du bâtiment sur l'ensemble de son cycle de vie.Depuis sa création en 2003, Geplast travaille pour répondre à ces problématiques en proposant des produits innovants s'inscrivant dans une démarche durable.Symbole de l’engagement de GeplastConscient de l'importance de réduire son empreinte environnementale pour le bien de la planète, Geplast a recours au maximum aux ressources dites “renouvelables”.Le projet GEKO est donc né d'une volonté de créer une identité visuelle pour regrouper tous les projets mis en place et à venir qui s'inscrivent dans une démarche d'“éco-conception”.À la manière d'un “gecko”, type de lézard présent dans plusieurs parties du monde, les produits de la gamme répondent à trois fondamentaux :l'éco-responsabilité → naturela qualité de produit → agilitéles solutions personnalisées → grande adaptabilité.La matière n'est jamais “première”Dès leur conception, les produits de la marque GEKO rentrent dans un cycle de vie décarboné et durable. Par principe, et autant que possible, la matière n'est jamais “première”. Toutes les chutes sont triées, broyées et réextrudées. Chez Geplast, en 2022, 35% de leurs matières transformées sont des matières recyclées.En plus de la matière recyclée, GEKO utilise également des composites alternatifs, issus de ressources agricoles quasi inépuisables ou encore des matières bio-sourcées composées à 60% de matière naturelle, la cosse de riz appelé aussi Loryza®.Depuis 2008, le recyclé est utilisé en sous couche pour la réalisation de profils d'habillages et menuiseries PVC. Aujourd'hui 95% des cornières, plats, bavettes sont réalisés en coextrusion. La part de matière recyclée dans ces produits est supérieure à 80%, celle-ci étant située sur la partie non visible du profilé.Certains autres de nos produits rentrent dans cette démarche : coffre IrYs conçu à partir de 98% de matières recyclées ou encore la nouvelle collection Oryzon de la gamme Eclipse composée en Loryza®.Réduire l'empreinte carboneL'éco-conception des produits Geplast passent également par la réduction de notre impact carbone. Depuis 2018, le service R&D de Geplast et le cabinet EVEA calculent les coûts carbones de leurs matières recyclées et mesurent la consommation d'énergie de certaines de leurs lignes d'extrusion afin d'établir des Analyses de Cycle de Vie (ACV) pour réaliser des Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) par produit et qui seront publiées dans la base Inies et vérifiées par les organismes de contrôle.Geplast s'est ensuite soumit à l'audit de prévention des pertes de GPI (Granulés Plastiques Industriels dans l'environnement). Depuis le 1er janvier 2022, tous les sites de production, de manipulation et de transport de granulés de plastiques industriels doivent mettre en œuvre des mesures de prévention pour éviter des pertes et rejets dans l'environnement.Après l'audit effectué auprès du cabinet LNE, Geplast a obtenu une attestation valable 3 ans. Elle démontre sa démarche de prévention des pertes des GPI (de l'arrivée de la matière à l'extrusion et le recyclage de celle-ci) et les risques environnementaux afin d'être en conformité avec la loi AGEC (Anti-Gaspillage et Économie Circulaire) décret n°2021_461.
Il y a 2 ans et 97 jours

RE2020 : les architectes doivent encore "s'approprier" l'analyse du cycle de vie

CONCEPTION. Une conférence en ligne organisée par l'Ordre des architectes a été l'occasion de rappeler les enjeux, pour la maîtrise d'oeuvre, des nouveautés de cette réglementation, et de faire quelques retours d'expérience, un an après son entrée en vigueur.
Il y a 2 ans et 97 jours

Pompe à chaleur : la révision d'une directive pourrait exclure certains appareils

RÉGLEMENTATION. L'évolution d'un texte européen pourrait avoir des conséquences importantes et rapides sur le marché de la pompe à chaleur, s'inquiètent les acteurs de la filière.
Il y a 2 ans et 100 jours

La conversion de bureaux en logements devrait rester rare, selon la Banque de France

Entre 2013 et 2019, environ 1% de la nouvelle surface de logements a été issue d'une reconversion, selon les calculs des auteurs de l'étude.D'après le modèle mathématique qu'ils ont élaboré, les éléments qui ont le plus d'effet sur la transformation de bureaux en logements dans un bassin d'emploi donné sont un stock d'immobilier de bureaux élevé et un stock d'immobilier résidentiel faible.Le nombre de mètres carrés par employé pourrait aussi avoir un impact sur celle-ci: plus il est important, plus les conversions sont courantes, notent-ils.En revanche, les écarts de prix entre l'immobilier de bureaux et résidentiel semblent n'avoir aucun effet.Selon ce modèle, le recours accru au télétravail provoqué par la pandémie de Covid et la baisse d'occupation des bureaux qui en découle pourraient avoir un effet sur les conversions... mais très limité."Sans changement de réglementation permettant d'encourager la reconversion de bureaux en logements, le télétravail ne devrait pas avoir d'effets massifs", écrivent-ils.Le changement de destination d'un immeuble nécessite en effet d'obtenir des autorisations auprès des élus, dont la modification du plan local d'urbanisme.Et du fait du coût des travaux, la démolition-reconstruction s'avère parfois plus rentable, malgré son fort impact écologique.Le modèle a été élaboré avec des données d'avant pandémie, "une limite de l'étude", reconnaissent les auteurs.
Il y a 2 ans et 101 jours

BePOSITIVE place l’emploi et la formation au coeur de l’édition 2023 !

 Des enjeux forts portés par le 1e Campus BePOSITIVE   La Transition Energétique est en marche ! Boostée par les engagements européens et les réglementations environnementales, elle est plus que jamais au coeur de l’actualité et des enjeux des filières de l’énergie et du bâtiment. Elles vivent aujourd’hui l’émergence de nouveaux marchés et de nouvelles activités […]
Il y a 2 ans et 103 jours

MaPrimeRénov' : ce qui change au 1er février 2023

RÉGLEMENTATION. Rénovation globale, chauffage au granulé bois, VMC... Plusieurs évolutions de MaPrimeRénov' entrent en vigueur ce 1er février 2023. Revue de détails.
Il y a 2 ans et 103 jours

ASCA solarise la façade en verre d'un bâtiment administratif

Ainsi, la ville de Gronau (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) en Allemagne dévoile en 2023 la façade solaire de son nouveau bâtiment administratif. Les modules photovoltaïques organiques (OPV) d'ASCA sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en collaboration avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à l'un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché.Une façade en verre photovoltaïque de grande dimensionImaginé en collaboration avec le cabinet d'architectes H III S (harder stumpfl schramm freie Architekten de Stuttgart), la ville de Gronau en Allemagne dévoile en 2023 son nouveau bâtiment administratif pourvue d'une façade en verre double peau capable de produire de l'électricité grâce aux modules OPV d'ASCA, une entreprise d'ARMOR GROUP. Ces derniers sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en partenariat avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché. D'une hauteur de 3,66 m et d'une largeur de 2,25 m, chaque vitrage solarisé est installé sur la façade sud du bâtiment d'une surface totale de 222 m2, en alternance avec du vitrage traditionnel. L'énergie solaire produite par les modules ASCA est directement injectée dans le réseau électrique du bâtiment.« Nous sommes fiers d'avoir réalisé, en collaboration avec BGT, les plus grands modules de verre transparent capables de générer de l'énergie grâce à notre technologie solaire. D'autant plus que leur production est simple, approchante de celle des vitrages feuilletés standards, permettant ainsi de répondre aux attentes des architectes et des designers sans pour autant représenter un obstacle technique pour les intégrateurs. Ce projet est une étape importante pour l'intégration du photovoltaïque dans l'enveloppe des bâtiments (BIPV) » explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development et Project Management d'ASCA.Une façade solaire multifonction intégrée à son environnementEn accord avec l'esthétique du paysage urbain, ASCA a mis au point des modules solaires de couleur verte au design sur-mesure inspiré des façades en brique du bâtiment. En outre, si les vitres solaires sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l'extérieur, garantissant ainsi aux employés un environnement de travail à la fois lumineux et intime.« Nous sommes ravis d'avoir pu collaborer avec ASCA sur ce projet architectural et nous avons été impressionnés par les grandes possibilités de design qu'offre le film ASCA®. Avec cette solution solaire, nous avons pu donner vie à une façade désormais vitrine de la durabilité » commente le cabinet d'architectes H III S.Accélérer le déploiement des énergies renouvelablesAlors que l'objectif du plan REPowerEU publié en mai 2022 vise à atteindre 600 GW de capacité solaire en Europe d'ici 20301, la France peine à atteindre ses objectifs de développement des énergies renouvelables2. Pour autant, l'Assemblée nationale a voté le 10 janvier 2023 un projet de loi relatif à l'accélération de la production d'énergies renouvelables comprenant plusieurs amendements directement liés à l'intégration au bâti de solutions solaires innovantes, alternatives aux panneaux solaires traditionnels.3« Il est urgent de réduire la consommation énergétique du secteur du bâtiment qui représente 44% de l'énergie consommée en France et qui émet chaque année sur le territoire plus de 123 millions de tonnes de CO24. Avec l'objectif national de 10% de réduction de consommation d'énergie d'ici 2024, le bâtiment fait partie des domaines clé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Or la réglementation française ne prend pas en compte le concept de BIPV (photovoltaïque intégré au bâtiment) permettant d'intégrer de manière fonctionnelle des solutions solaires en combinaison ou en remplacement de matériaux de construction conventionnels. Pourtant nos solutions solaires bas-carbone, compatibles avec une multitude de matériaux, permettent de solariser des surfaces jusqu'alors inexploitées par les solutions solaires existantes comme les façades, les toitures légères, les vitrages ou encore les garde-corps. À l'heure où les administrations sont appelées à l'exemplarité en matière de sobriété énergétique, ce projet avec la ville de Gronau en Allemagne illustre notamment le champ des possibles qu'offre le solaire pour basculer enfin vers des bâtiments publics bas-carbone » conclut Moïra Asses, Directrice stratégie et marketing d'ASCA.1 https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal/repowereu-affordable-secure-and-sustainable-energy-europe_fr2 Saisine rectificative au projet de loi relatif à l'accélération des énergies renouvelables (NOR : ENR2223572L/Rose-2)3 https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements?dossier_legislatif=DLR5L16N46539&examen=EXANR5L16PO419610B0443P0D14 https://www.ecologie.gouv.fr/energie-dans-batiments
Il y a 2 ans et 103 jours

Les distributeurs de matériaux "assument leurs obligations" liées à la gestion des déchets

La FDMC, en réponse à un communiqué du collectif Amorce la semaine dernière au sujet du report de la REP Bâtiment, réplique que les distributeurs ont toujours respecté la réglementation en place et continuent à le faire.
Il y a 2 ans et 104 jours

Lancement d'un projet d'habitat participatif en hyper centre de Lorient

Au cœur d’un quartier en plein renouvellement urbain, le programme « Le Contrepoint » accueillera environ 60 logements, dont 50 en Accession Coopérative éligibles au dispositif d’habitat participatif et 10 en Bail Réel Solidaire (BRS). Le groupe d’habitants est en cours de construction* pour imaginer la future résidence. Les éventuels intéressés peuvent contacter les équipes imoja pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet.L’habitat participatif, ou co-construire son habitatComposée, à terme, d’environ 60 logements dont 50 éligibles à l’habitat participatif, la résidence « Le Contrepoint » est née de la volonté d’associer les futurs habitants à la conception de leur lieu de vie. imoja, en lien avec l’atelier d’architecture TLPA, propose une démarche de co-conception des habitations.« Dans la limite de l’occupation de ces espaces et volumes prédéfinis, nous dessinerons chaque logements avec ses futurs habitants. Nous les rencontrons en rendez-vous individuel, durant deux heures environ, pour le découpage/dessin de leur logement. » explique Tristan la Prairie, architecte urbaniste. « Moins de 25% des français vivent au sein d’une famille de 4 personnes avec parents et enfants, les typologies habituelles ne reflètent donc pas vraiment la diversité des habitants. Cette méthode va permettre aux acquéreurs de dimensionner leur logement librement, là où la méthode habituelle prédéfinit des typologies aux surfaces standardisées (un T2 fait 45m2, un T3 65, et un T4 85…) ». Les futurs voisins pourront aussi imaginer ensemble les espaces communs qui leur ressemblent, par le biais de rendez-vous trimestriels (visites de chantier, ateliers participatifs), organisés jusqu’à la fin des travaux.Une construction certifiée HQE**Côté architecture, l’atelier TLPA a imaginé la résidence comme un village vertical, sur 6 niveaux. L’architecte souhaite laisser la part belle au bois, par un choix de système constructif novateur composé d’un bardage et d’une structure bois. L’accès aux logements se fera par des coursives extérieures, conférant indépendance et intimité à chaque appartement. Des maisons en bois et en paille seront érigées sur le toit et viendront couronner la résidence. Un lieu de vie entièrement tourné vers un cœur d’îlot accessible à tous, qui laissera place à la végétation, agrémenté de cheminements piétons. Labellisée Haute Qualité Environnementale, la résidence bénéficiera d’un niveau de performance énergétique supérieur à la règlementation « RE2020 » (niveau visé : E3C2) et du niveau 1 du label bâtiment biosourcé (isolation thermique de qualité, panneaux photovoltaïques, chaufferie collective au bois plus économe…).Permettre l’accession à la propriété au plus grand nombre« imoja est très investie dans sa mission d’utilité sociale, en défendant l’idée que chacun, quels que soient ses revenus, peut prétendre à son « premier chez soi ». L’accession à la propriété s’intègre pleinement dans cette mission » souligne Franck Gauthier, directeur territorial Aiguillon du Morbihan. « Le Contrepoint » propose une soixantaine de logements intégralement destinés à de la résidence principale, en Accession Coopérative et en Bail Réel Solidaire (BRS), des dispositifs d’aide à l’achat, adressés à des ménages sous conditions de ressources.L’Accession Coopérative est un dispositif d’accession à la propriété destiné aux foyers respectant certains plafonds de ressources. Ce dispositif permet de bénéficier d’un prix de vente encadré (avec une TVA à 20 %), ainsi que des garanties complémentaires des coopératives pour sécuriser l’achat.Le Bail Réel Solidaire a pour objectif de faciliter l’accession à la propriété pour tous, afin de permettre au plus grand nombre de devenir propriétaire. L’acquéreur est propriétaire de son logement et verse une redevance mensuelle à un Organisme Foncier Solidaire (OFS) pour la partie foncière (le terrain) sur lequel la résidence est construite.* Vous êtes intéressé par ce projet d’habitat participatif ? Contactez Mathilde Jego, conseillère commerciale imoja, pour obtenir des renseignements et rejoindre le projet : par téléphone au 02 56 37 71 06. Sur rendez-vous, imoja à lorient - 52B cours de Chazelles** Haute Qualité Environnementale
Il y a 2 ans et 105 jours

Confort d’été et RE2020 : les surfaces réversibles associées à une chape anhydrite sont l’atout pour demain

Pour y répondre au mieux et favoriser l’utilisation de produits raisonnables en consommation d’énergies, REHAU propose une gamme de systèmes de chauffage et rafraîchissement performants pouvant tous être associés avec une chape anhydrite, permettant de gagner encore plus en efficacité.En quoi consiste la règlementation RE2020 ?La RE 2020 poursuit trois objectifs majeurs portés par le gouvernement : un objectif de sobriété énergétique avec une décarbonation de l’énergie, un deuxième concernant la diminution de l’impact carbone et enfin, la garantie de confort en cas de fortes chaleurs.Pour ce dernier point, les constructions doivent se plier aux exigences de performances énergétiques et environnementales, et notamment la limitation des situations d’inconfort en période estivale. L’indicateur DH exprime les degrés-heures d’inconfort. Il est calculé selon plusieurs paramètres et mesure la durée et l’intensité des périodes d’inconfort pour les occupants durant une année. Son seuil maximal est fixé à 350 DH, soit environ 7 jours d’inconfort avec un dépassement de la température de confort, évaluée à 26-28°C, de +2°C. Ce qui est évidemment peu.Aujourd’hui, 1/3 du marché du plancher chauffant-rafraîchissant basse température se fait avec une chape anhydriteLa première solution qui vient à l’esprit de tous pour traiter cet inconfort d’été est la climatisation, mais la surface chauffante-rafraîchissante est une solution alternative bien plus efficace et plus ancrée dans les objectifs de la RE2020 en matière de sobriété énergétique. Notamment grâce au fait que les solutions de plancher réversible REHAU peuvent être combinées avec une chape anhydrite. Contrairement aux chapes classiques faites de béton ou ciment, la chape anhydrite, à base de sulfate de calcium, permet un gain de 30% sur les émissions de kCO2 avec un système complet* (tubes, isolant et enrobage).Les avantages d’une chape anhydrite sont nombreux, notamment concernant le poids et la fluidité du matériau. Mais depuis plusieurs années, les fabricants proposent des produits de plus en plus attractifs : diminution de l’épaisseur d’enrobage par rapport à une chape classique, amélioration de la conductivité pour émettre ou absorber les calories, etc. ce qui répond parfaitement aux besoins du marché de la construction dans le cadre de la RE2020.En intégrant une régulation à l’installation, le gain peut être encore plus important : par exemple avec la régulation connectée REHAU NEA SMART 2.0 hyper réactive, dotée d’une variation temporelle de 0,3k, qui va permettre de gagner encore 10% sur les émissions de kCO2.* source Cochebat
Il y a 2 ans et 105 jours

Schöck lance une saga vidéo à destination du grand public

Le deuxième volet de la sage vidéo de Schöck se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. [©Schöck] Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre. Ceci, à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques. Une saga vidéo découpée en 4 saisons et 16 épisodes, en cours de diffusion cette automne sur sa chaîne YouTube. « Il s’agit là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique, afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain », peut-on lire dans le communiqué de la marque. En effet, à l’heure des premières constructions RE 2020 et alors que les prix de l’énergie connaissent une hausse record. Il s’avère primordial de s’interroger sur la manière la plus efficace de s’assurer un habitat confortable, économique et pérenne. Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck. Avec trois nouveaux opus : “La grande évasion énergétique”, “Etat des lieux, première partie : ça va chauffer !”, “Etat des lieux, seconde partie : un combat inégal”. Lire aussi : Schöck France obtient une Fdes pour l’ensemble de la gamme Rutherma En direction des locataires et des propriétaires Dans les premiers épisodes, Schöck expliquait en quoi une enveloppe de bâtiment homogène constituait la garantie d’un choix gagnant pour toute la vie du logement. Tant pour le propriétaire que pour l’occupant. La saison 2, elle, détaille les impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Pour Schöck, il s’agit d’insuffler une véritable dynamique en direction des locataires ou des propriétaires. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et donnait le rôle principal aux passoires thermique. Le deuxième volet se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d’acquérir un logement. Tout en sensibilisant aussi associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques … 14 % du budget des Français S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le groupe de travail sur la qualité de l’enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Energivie, en 2018, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14 % du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile, si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans). Ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe. En particulier, par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clef : économies d’énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d’achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. Découvrez les épisodes de la saison 1  et de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.  Schöck clôture sa saga vidéo par deux dernières saisons des plus captivantes Après avoir mis en exergue les travers (ou limites) de la construction des logements en France et les impacts économiques d’une enveloppe non homogène, ce sont aux conséquences sanitaires que Schöck dédie sa saison 3. Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain. Au rang des remèdes efficaces. Les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE. La saison 4 Enfin, les 4 épisodes de la saison 4 , auxquels se greffent un épilogue , donnent les rôles principaux à la RT 2012 et la RE 2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.   En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50 %). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50 % des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte ! Ainsi, malgré sa conformité à la RT 2012 ou désormais à la RE 2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28 %, ceux de financement 15 % et les charges foncières 11 %, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles-seules près de la moitié du budget (46 %). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine. En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Le groupe Legrand annonce son retrait de Russie, dépréciation de 150 millions d'euros

"Au vu de l'évolution de la situation, et notamment de l'accroissement des difficultés opérationnelles et des incertitudes, Legrand a décidé de se désengager de Russie et examine ses différentes options pour assurer un transfert de ses activités dans les meilleures conditions", a précisé l'industriel dans un communiqué.Legrand a souligné que ses activités en Russie avaient représenté "en 2022 environ 1,5% (de ses) ventes annuelles".Le groupe "considère que ce désengagement constitue la meilleure option afin de poursuivre le respect des réglementations applicables et de préserver à long terme une continuité des activités locales pour ses collaborateurs et ses clients".Quelque 1.100 personnes travaillent pour le groupe en Russie, où Legrand compte quatre usines, selon une porte-parole. L'entreprise fabrique des produits sur place et en importe également.En outre, l'exposition de son bilan à ses activités dans le pays est d'"environ 200 millions d'euros"."Sur ce montant, près de 150 millions d'euros seront enregistrés dans les comptes consolidés 2022 en tant que dépréciation d'actifs, et ce sans impact sur le résultat opérationnel ajusté du Groupe", a-t-il encore indiqué.L'entreprise a engrangé 812 millions d'euros de bénéfice net lors des neuf premiers mois de 2022, en hausse de 16,1% sur un an, pour un chiffre d'affaires de 6,154 milliards (+19,1%). Ses résultats annuels seront publiés le 9 février.Legrand faisait partie des rares entreprises françaises qui avaient poursuivi leurs activités en Russie, frappée par de multiples sanctions européennes après l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022, comme Bonduelle, Leroy Merlin et Auchan (Mulliez), ou encore Lactalis.
Il y a 2 ans et 107 jours

magazine batiweb janvier 2023

REP Bâtiment, réglementation 2023, réforme des retraites... Retrouvez toutes les actualités du mois de Janvier.
Il y a 2 ans et 107 jours

Les permis de construire de logements neufs chutent au 4e trimestre, 482.200 autorisations en 2022

Sur l'année 2022, 482.200 nouveaux logements ont été autorisés, soit un peu plus qu'avant la crise sanitaire. Le nombre de permis de construire avait atteint un pic en août, à 522.800.Ce pic n'est pas révélateur d'une frénésie dans la construction, mais fait suite à un afflux de demandes de permis fin 2021, avant l'entrée en vigueur d'une réglementation environnementale (RE2020) plus ambitieuse pour la construction neuve.L'instruction de ces demandes au cours de l'année explique le gonflement des chiffres.Le nombre élevé d'autorisations pendant l'été vient aussi du fait que les communes avaient jusqu'en août pour délivrer les permis de construire des logements éligibles à une aide à la construction durable dans le cadre du plan de relance. "Comme nous le craignions, la demande de logements des particuliers faiblit", a commenté dans un communiqué la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), l'expliquant notamment par les difficultés d'accès au crédit pour les particuliers."La chute des permis de construire au 4e trimestre 2022 n'augure rien de bon pour l'avenir: le secteur de l'immobilier neuf est actuellement durement éprouvé, alors que les ménages ont toujours besoin de se loger", a ajouté le président de la FPI, Pascal Boulanger.Les mises en chantier, dont l'évolution s'est depuis la mi-2021 déconnectée de celle des permis de construire, se sont établies à 376.200 au cours de l'année, soit moins qu'en 2021 ou qu'avant la pandémie.Mais le ministère, qui prévient que ses statistiques en la matière "comportent une part d'incertitude non négligeable", a enregistré un frémissement en décembre.
Il y a 2 ans et 108 jours

A quoi vont ressembler les indices de coût «matériaux de construction» promis par Bercy ?

Les indicateurs, attendus pour avril, serviront à accroître la prévisibilité des évolutions des prix d'une vingtaine de matériaux...-Réglementation
Il y a 2 ans et 108 jours

HIRSCH Isolation et Kompozite s’allient pour diffuser la donnée carbone individuelle de près de 1 000 isolants

Depuis le 1er janvier 2022, la RE2020 est entrée en vigueur en France et impose aux concepteurs et aux constructeurs des bâtiments neufs d’optimiser l’empreinte carbone de leurs projets. La réglementation prévoit, en outre, des seuils à ne pas dépasser, avec une trajectoire de décarbonation de -35 % dans les 10 prochaines années.  Après avoir […]
Il y a 2 ans et 108 jours

12ème édition du Carrefour des Partenaires : FRANCE MATÉRIAUX dévoile sa feuille de route 2023

Point de rencontres et de négociations entre adhérents et partenaires industriels du groupement national, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée à Lille les 18 et 19 janvier 2023, a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de dévoiler ses nouveaux services et axes stratégiques pour continuer à accompagner, fédérer et développer son réseau de négociants indépendants. Ces deux journées d’échanges ont également permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de mettre en avant la résilience de ses adhérents et les atouts du modèle du groupement face à la conjoncture économique actuelle. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE DE L’INDÉPENDANCE POUR RELEVER LES DÉFISLors de la plénière ouvrant le Carrefour des Partenaires, Eric Petitdemange a tenu à souligner « la formidable résilience des adhérents de France Matériaux qui ont su s’adapter, intégrer et réagir aux coups de boutoirs dûs aux difficultés d’approvisionnement, aux pics d’activités,… tout au long de l’année 2022. Ceci a démontré que le format du négoce indépendant à taille humaine constitue un vrai atout pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble ». 2023 : UN NOUVEAU PANEL D’OUTILS AU SERVICE DE LA PERFORMANCEFace à la situation économique tendue, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de présenter ses nouveaux outils digitaux et services physiques pour accompagner ses adhérents dans leur développement. Parmi eux : la base logistique, lancée l’an dernier, totalement opérationnelle avec une gamme de produits plus large en stock : intégration de menuiseries, d’accessoires, de produits pour le sol,… l’élargissement de l’offre produits LES ÉLÉMENTAIRES avec notamment des accessoires de couverture et des produits pour le gros oeuvre, confortant la démarche initiée en 2022 avec la gamme sol ; un plan d’actions commerciales riche composé de trois opérations phares rythmant l’année ; le Bureau de la Performance Energétique, cette structure accompagnant les adhérents et leurs clients à se positionner sur le marché de la rénovation énergétique, renforce ses missions avec de nouvelles formations et outils plus performants pour gérer les dossiers d’aide financière. En complément des solutions pour satisfaire le marché de la rénovation énergétique, une nouvelle offre en matière de photovoltaïque. En apportant de la valeur ajoutée à la toiture, celles-ci permettront aux adhérents, déjà bien implantés sur ce marché, de disposer d’une offre complète pour les chantiers de leurs clients couvreurs ; des dispositifs pour accompagner les adhérents à intégrer la REP ainsi que les nouvelles réglementations en vigueur ; des outils de gestion pour améliorer la compétitivité des entreprises et limiter le risque de défaillance client. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2023 POUR RÉCOMPENSER LES PARTENAIRES INDUSTRIELS…Parce que la coopération entre distributeurs et industriels est essentielle face aux enjeux économiques et environnementaux actuels, le groupement FRANCE MATÉRIAUX a souhaité récompenser trois de ses partenaires fabricants de matériaux en fonction de 3 critères : SOPREMA pour la Dynamique de l’Offre ISOLAVA pour la Qualité de Service FISCHER pour la Qualité de la Relation Commerciale … ET DES ADHÉRENTS MIS EN LUMIÈREAutre nouveauté de cette édition du Carrefour des Partenaires, la mise en avant des négoces de matériaux indépendants adhérents de FRANCE MATÉRIAUX pour leurs actions en faveur de : la transformation d’enseigne et le passage sous les nouvelles couleurs de FRANCE MATÉRIAUX selon la charte graphique de 2021 : la société LOUIS GARNIER (43) la dynamique commerciale sur les points de vente et sur les réseaux sociaux : la société SMB (38) et le Libre Service le plus dynamique mis en place par le négoce LEDESMA (83) En croissance, rappelons que FRANCE MATÉRIAUX regroupe, aujourd’hui, 156 adhérents et 243 points de vente sur l’ensemble du territoire français. Pour fédérer et créer une dynamique de groupe, FRANCE MATÉRIAUX organise, depuis fin 2022, un parcours d’intégration au sein de son siège à Chambéry, pour ses nouveaux adhérents. Pas moins de douze nouveaux adhérents ont ainsi rejoint le groupement en 2022. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 109 jours

LP Promotion obtient le droit d’usage de la marque NF Habitat HQE pour l’ensemble de ses constructions neuves

Cette démarche témoigne des engagements du Groupe à livrer des logements de haute qualité et à faible impact environnemental, mais également un accompagnement qualitatif proposée aux clients.NF Habitat HQE : une nouvelle certification, gage de confianceDélivrée par l’organisme CERQUAL, la certification NF Habitat HQE est une référence dans le secteur du logement et de l’immobilier. Elle assure aux partenaires institutionnels, propriétaires et futurs locataires, des logements mêlant bien-être des usagers (moins de nuisances sonores, économie, fonctionnalités, air sain, luminosité haute sécurité...) et éco-responsabilité grâce à un impact environnemental maîtrisé. Cette certification n’étant pas obligatoire, LP Promotion marque une étape décisive en tant qu’acteur engagé, avec des exigences techniques qui vont plus loin que les réglementations déjà en vigueur.Afin de déployer la démarche qualité liée au référentiel NF Habitat HQE, un référent interne a été désigné au sein du Groupe. Aussi, des formations seront menées pour accompagner le développement de la certification dans l’entreprise.LP Promotion récompensé pour une démarche de qualité déjà établieDepuis plusieurs années, le Groupe LP Promotion poursuit sa transformation sous l’angle de la RSE qui englobe des réalités aussi diverses que l’éthique, la construction bas carbone, la qualité d’usage et le bien-être au travail. En 2022, un audit de renouvellement est venu appuyer cette évolution et le Groupe s’est vu remettre le label « Engagé RSE » ISO 26 000 niveau Confirmé par l’AFNOR.Soucieux de livrer des projets éco-responsables qui assurent le bien-être des usagers, LP Promotion s’engage désormais à certifier 25% de ses projets NF Habitat HQE (Haute Qualité Environnemental), quand 100% de ses opérations seront éligibles à la certification NF Habitat.La feuille de route du Groupe est ambitieuse pour 2023 : économie circulaire, réhabilitation, construction hors site, obtention du droit d’usage de la marque NF Habitat sur l’applicatif Rénovation.
Il y a 2 ans et 110 jours

Respect de l’environnement, RE 2020 : les menuiseries acier ont des arguments !

Chez Descasystem, l’engagement en faveur de l’environnement n’est pas récent avec un matériau, l’acier, parfaitement en phase avec ces évolutions réglementaires. D’ailleurs, la nouvelle réglementation RE 2020 n’implique pas de bouleversement pour les menuiseries acier Jansen. Descasystem dispose et disposait déjà, en tant que distributeur, des produits compatibles avec ces nouvelles exigences.Pour Laurent Milano, chef des ventes : « l’essentiel est là, les produits existent et cette RE 2020 est une belle opportunité. Elle permet de mettre encore plus en évidence notre savoir-faire en tant que gammiste de produits techniques dans un milieu spécifique qu’est celui de la menuiserie. »Avec un bilan carbone réputé plus neutre, avec cette nouvelle réglementation, les architectes s’orienteront sans doute encore davantage vers l’acier et ses qualités intrinsèques.L’acier de Descasystem répond à la RE 2020Pour le moment, la RE 2020 est destinée à s’appliquer à la construction de bâtiments neufs, elle impactera bientôt les chantiers de rénovations sur lesquels Descasystem est déjà présent. Les menuiseries acier du fabriquant Jansen sont d’ores et déjà armés pour répondre aux exigences de la nouvelle réglementation énergétique.Une isolation thermique renforcée : L’acier des menuiseries Jansen est d’abord un champion de l’isolation thermique. Ainsi, les solutions de la gamme Janisol, Janisol Arte en séries fines ou Janisol HI (Haute Isolation) répondent parfaitement à la réglementation thermique. Les coefficients d’isolation thermique de l’acier sont beaucoup plus performants que ceux de l’aluminium.Une durabilité inégalée : Avant de parler du recyclage de l’acier, Olivier Audigue, Responsable de la Prescription, aime « mettre l’accent sur le fait que l’acier a une durée de vie beaucoup plus longue que les autres matériaux. Avec des portes de bâtiments publics en aluminium, par exemple, on assiste à une détérioration beaucoup plus précoce. Il est alors nécessaire de changer l’équipement. Les portes en acier ont une longévité beaucoup plus importante. On peut également les redresser, les repeindre si cela est nécessaire ». La durabilité de l’acier est bien supérieure à la garantie décennale associée aux menuiseries Jansen.Un matériau 100% recyclable : Les produits acier de la marque Jansen sont dans tous les cas des produits totalement recyclables. Les filières de recyclage de l’acier existent depuis plusieurs dizaines d’années, elles sont très structurées alors que pour l’aluminium, les filières de recyclage sont beaucoup plus récentes. Par ailleurs, l’avantage de l’acier est qu’il peut être recyclé indéfiniment à destination d’autres applications sans changement de caractéristiques mécaniques. En France et en Europe, ce sont 62% des aciers qui sont ainsi recyclés.Une empreinte carbone réduite : Si l’acier dispose d’une empreinte carbone plus faible que celle de l’aluminium, c’est lié d’abord à ses conditions de production. L’acier est beaucoup moins énergivore. Pour Laurent Milano, responsable des ventes Descasystem Jansen, « l’acier est très intéressant, parce que la production est réalisée à l’aide de fours électriques à partir de ferrailles recyclées. On ne se retrouve pas avec des systèmes de coulées impliquant l’utilisation de coke et une forte pollution ». Ensuite, pour produire 1 tonne d’acier, il ne faut qu’1 tonne de fer. En revanche, il ne faut pas moins de 4 tonnes de bauxite pour obtenir 2 tonnes d’alumine, desquelles on extrait 1 tonne l’aluminium. Enfin, quand il faut l’équivalent de 9 mois de consommation d’une personne pour produire l’acier, il en faut 12, soit 30% de plus pour l’aluminium. Pour fabriquer une tonne d’aluminium, il faut aussi 125 millions de litres d’eau, alors qu’il n’en faut pas pour fabriquer l’acier. Il est aussi important d’avoir à l’esprit que la RE 2020 pousses à envisager le bâtiment dans sa globalité. Il faut désormais penser le bâtiment dans son ensemble pour appréhender son empreinte carbone. Avec ses solutions, Descasystem permet aux architectes et aux économistes de ne pas alourdir l’ensemble en termes d’impact écologique. Il est possible de concevoir un bâtiment avec des menuiseries acier qui soit vertueux et qui réponde aux normes actuelles.L’association de parties vitrées plus importantes puisque l’acier bénéficie aussi d’une inertie bien supérieure à celle de l’aluminium, ce qui permet d’offrir des menuiseries beaucoup plus fines et plus grandes, qui consomment donc beaucoup moins de matière. C’est alors aussi la possibilité d’avoir des parties vitrées de plus en plus importantes pour pouvoir bénéficier de la chaleur du rayonnement solaire à l’intérieur de la maison. C’est ce qu’explique Laurent Milano : « L’acier permet de réaliser des profils beaucoup plus fins qu’avec l’aluminium. On peut alors y associer des vitrages plus grands et de laisser rentrer plus de lumière. Nous aurons ainsi des systèmes avec 60 mm de masse-vue alors que l’aluminium sera peut-être à 100 mm. Cela joue sur le clair de vitrage plus important avec l’acier. C’est l’une des orientations de la réglementation RE 2020 ».Que change la RE 2020 pour les menuiseries acier Jansen ?La nouvelle réglementation a finalement peu impacté Descasystem. Les produits existent mais il a été nécessaire d’indiquer plus clairement leur compatibilité avec la RE2020. Lorsque la gamme Janisol a été créée, il y a 30 ans, on ne se posait pas la question du coefficient de transmission thermique. Aujourd’hui, il est indispensable de le justifier pour répondre par exemple à un CCTP (Cahier des clauses techniques particulières). Jansen a donc complètement actualisé sa documentation.Quant aux fiches FDES des produits Jansen, elles ont déjà été rédigées et seront prochainement réactualisées et disponibles pour l’ensemble des acteurs du marché : architectes, économistes de la construction, métalliers…etc. Pour Ludovic Loew, « en prenant en considération l’intégralité du cycle de vie de l’acier, de l’extraction jusqu’au recyclage, dans ces fiches FDES, le matériau présente un bilan carbone nettement inférieur à ses concurrents ».Une démarche ancienne qui fait partie de l’ADN de JansenIl est important, pour Laurent Milano, de rappeler que « Jansen était le premier, il y a plus de 30 ans, à développer un système à rupture de ponts thermiques en acier ». Le berceau de Jansen, c’est la Suisse, un pays très exigeant en matière environnementale. C’est pourquoi l’industriel a toujours été très attentif à la réduction de l’impact écologique de la production de ses profils acier. Un bâtiment de production lui-même est à 0 émission carbone, autosuffisant en termes de consommation d’énergie.Le marché allemand, leader à l’époque, était également très impactant avec une avance sur les aspects réglementaire et écologique. Outre-rhin, il y avait déjà une forte demande pour ses produits acier à rupture de ponts thermiques.Et depuis, l’acier n’a pas cessé d’améliorer ses performances. La dernière évolution importante pour Olivier Audigue, c’est la création de la gamme Janisol HI (high isolation) : « c’est une gamme à très forte isolation thermique, très présente sur le nord de l’Europe et qui se développe de plus en plus en France. C’est la parfaite démonstration de cette évolution de nos profils acier avec un coefficient de transmission thermique de seulement 0,8 W/m²K, inférieur à celui du double vitrage ».Ainsi, selon Laurent Milano, « sur une typologie de menuiserie qui existait il y a 30 ans et celle d’aujourd’hui, on passe d’un coefficient de transmission thermique de 2,7 W/m²K à 1,3 aujourd’hui ». La qualité du matériau reste assez semblable, ce sont les coquilles en acier et les rupteurs de ponts thermiques qui ont évolué. Quant au vitrage associé aux menuiseries, il a lui aussi très largement amélioré ses performances.Une production localeIntérêt majeur également, d’un point de vue environnemental, des menuiseries acier, c’est le caractère local de leur production. Olivier Audigue aime rappeler que « les produits Jansen sont généralement fabriqués par des artisans locaux alors que l’aluminium est lié à de la préfabrication avec des camions qui parcourent la France ou qui viennent de l’étranger. Avec l’acier, on reste encore très artisanal et très local. On ne fait pas circuler les produits sur des milliers de kilomètres à travers l’Europe ». Les profils en acier viennent de Suisse, ils sont ensuite stockés à Lyon avant d’être envoyées aux métalliers qui travaillent localement.Les menuiseries Jansen prêtes à accueillir la nouvelle tendance du triple vitrage !La RE 2020, en recherchant des valeurs de l’ordre de 0,8 W/m²K, tend à imposer de plus en plus la solution du triple vitrage. Pour augmenter les performances du vitrage, on passe de plus en plus souvent par l’augmentation de son épaisseur. Or, les gammes Janisol sont parfaitement adaptées pour intégrer ce type de solution. L’acier offre en effet, selon Laurent Milano, les caractéristiques nécessaires : « Pour rentrer ces vitrages dans les menuiseries, il est indispensable d’avoir des profils de plus en plus profonds. Pour ces produits verriers, nous proposons avec Jansen en termes de cadre des solutions présentant des coefficients de transmission thermique pertinents ». La gamme Janisol HI notamment a été précisément conçue pour intégrer ce triple vitrage.
Il y a 2 ans et 110 jours

recyclage et reemploi que pensent les architectes de la rep batiment

La Responsabilité Élargie du Producteur (REP) appliquée aux produits et matériaux de construction et du bâtiment (PMCB) est une réglementation qui entre en vigueur à compter du 1er janvier 2023. Entre recyclage et réemploi, qu’en pensent les architectes ?
Il y a 2 ans et 110 jours

recyclage et reemploi que pensent les architectes de la rep batiment

La Responsabilité Élargie du Producteur (REP) appliquée aux produits et matériaux de construction et du bâtiment (PMCB) est une réglementation qui entre en vigueur à compter du 1er janvier 2023. Entre recyclage et réemploi, qu’en pensent les architectes ?
Il y a 2 ans et 111 jours

Rénovation de l'éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d'énergie qui dépassent l'objectif attendu

D'une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d'un rez-de-chaussée où se trouve l'espace d'accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d'un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d'une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l'entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN.Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin - Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected.Un objectif initial de 75% d'économie d'énergie en hiverAfin d'atteindre les économies d'énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d'éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d'éclairage réalisée par le bureau d'études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer :les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected,les spots fluocompacts d'une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II.Pour apprécier l'efficacité de la solution d'éclairage recommandée et s'assurer qu'elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l'apport de lumière naturelle) ont d'abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l'ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022.Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d'éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 111 jours

Bruit des pompes à chaleur : l'Etat se dit "vigilant sur les seuils de mise sur le marché"

NUISANCES SONORES. Les unités extérieures des pompes à chaleur peuvent être à l'origine de conflits de voisinages "importants". L'État est ainsi sollicité pour revoir la réglementation en la matière.
Il y a 2 ans et 111 jours

renovation de l habitat et passoires thermiques quels defis pour demain

Le groupe Xerfi vient de publier une étude portant sur la rénovation de l’habitat. Avec l’arrivée en 2025 de l’interdiction à la location de tous les biens étiquetés G, Xerfi s’est posé la question des défis qui nous attendent et des stratégies à adopter face à la réglementation des passoires thermiques.
Il y a 2 ans et 111 jours

Marché de l'immobilier : analyse de l'année 2022 et prévisions pour 2023

2022 Le début du retour à la normal Après une année 2021 à près d'un million deux cent mille transactions immobilières, l'année 2022, considérée encore comme exceptionnelle, marque cependant le début d'un rééquilibrage du marché de l'immobilier. En effet, pour 2022, le nombre d'unités vendues en termes de volume est estimé à un peu plus d'un million d'unités, soit une potentielle baisse entre 12% et 16% par rapport à 2021. Une année 2022 marquée par une augmentation En 2022, la hausse des prix atteint les 6% sur l'année. Les maisons continuent à surperformer pour atteindre une hausse de 8% en moyenne et les appartements de 5% en moyenne. Selon les réseaux du groupe Digit Re, le prix moyen d'une transaction en France avoisine les 250.000€ environ. Cependant, la fin de l'année 2022 est marquée par un ralentissement de l'augmentation des prix. Les grandes métropoles voient même leurs prix baisser, comme à Paris, au profit des villes périphériques qui attirent de plus en plus. Le désir de la pierre toujours présent Malgré la situation actuelle peu propice à l'achat d'un bien immobilier, la part des Français engagés dans un projet immobilier est toujours stable, puisque 16% d'entre eux déclarent avoir un projet immobilier dans les 12 prochains mois*.Pour Olivier Colcombet, Président de Digit Re et porte-parole de Drimki : « On constate sur la plateforme Drimki un fort trafic ce qui vient soutenir un certain appétit des Français pour l'achat et/ou la vente d'un bien immobilier. » Si la hausse des taux des crédits et le taux d'usure a un impact fort sur les Français, elles ont modifié le profil des acheteurs en faisant chuter les primo-accédants (33% novembre 2022 en contre 44% en mars 2022) et en augmentant le nombre d'investisseurs (24% ; + 9 points en novembre 2022 vs. Mars 2022).Pour Olivier Colcombet, Président de Digit Re et porte-parole de Drimki : « Il n'est pas rare lors des périodes de crise de voir des investisseurs réduire leur exposition en bourse pour se tourner vers l'immobilier qui reste toujours un investissement rentable, ce qui peut ainsi expliquer le changement des profils des acheteurs en cette fin d'année 2022. »2023 La continuité du rééquilibragePour Olivier Colcombet : « L'année 2023 devrait suivre la tendance des trois derniers mois glissants, c'est-à-dire une légère baisse en termes de volumes. Ce qui finalement est plutôt cohérent : plus de 3 millions de biens ont changé de mains ces trois dernières années sur environ 37 millions de logements en France, soit environ 10% des logements qui ont changé de propriétaire. Ce constat vient ainsi soutenir davantage la rareté de l'offre car généralement, on ne vend pas son appartement ou sa maison tous les deux ans. » Rénovation énergétique, le challenge Depuis fin août 2022, les propriétaires des logements classés F et G selon le DPE ne peuvent plus augmenter les loyers et depuis le 1er janvier 2023, la location des pires passoires classées G (qui consomment plus de 450 kilowattheures au mètre carré par an) est interdite. Cette dernière sera étendue à tous les logements G en 2025, puis aux F en 2028. Face à ces nouvelles réglementations, de nombreux propriétaires, notamment ceux dont le loyer perçu est un revenu, auront plutôt intérêt à vendre leur bien car les parcours de rénovation énergétique sont souvent longs (plusieurs mois sans locataire), complexes et coûteux. A l'inverse, si l'on compare avec la crise de 2007, l'épargne des Français est plus élevée. On constate ainsi que les propriétaires ne sont pas dans l'urgence d'une vente et donc dans la nécessité de baisser leur prix rapidement. La dureté du financement La problématique du financement et des règles bancaires, mêlée aux conditions économiques et donc à la confiance des ménages, seront les gros freins au désir d'acheter des Français. En novembre 2022, le taux d'intérêt moyen des crédits immobiliers s'est établi à 2,25%** alors qu'il s'élevait à 1,06% un an plus tôt. Il s'agit du plus haut taux depuis 7 ans et rien ne laisse présager, à date, que cette tendance va s'inverser. Concernant le taux d'usure, ce dernier est passé à 3,57% pour les prêts à taux fixe de 20 ans et plus depuis janvier 2023.Pour Olivier Colcombet : « Finalement pour 2023, nous ne craignons pas la tempête, que ce soit en termes de volumes ou de prix, mais la visibilité sur l'année est incertaine. D'un côté, nous avons la rareté de l'offre qui vient tendre le marché, et côté acquéreur, nous avons les conditions financières difficiles qui sont un frein. Est-ce qu'une porte ne serait pas ouverte pour le régulateur afin que ce dernier soutienne les projets des Français en cette période tendue ? » *Étude réalisée par BVA pour DRIMKI, du 16 au 17 novembre 2022 sur un échantillon de 925 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. **observatoire Crédit Logement/CSA, novembre 2022
Il y a 2 ans et 115 jours

DPE, RE2020, RTx, … le projet Cible veut unifier les méthodes de calcul et plus encore

Les moteurs et méthodes de calcul diffèrent entre le DPE, la RE2020, la réglementation thermique dans l’existant (RTx). Lancé par le CSTB, HQE-GBC et Effinergie, Cible veut aboutir à un outil unique.
Il y a 2 ans et 116 jours

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d'isolants en fibre de bois, validées par une ETN

De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l'étanchéité et la durabilité de l'écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d'une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l'ETN Alpes Contrôle A27T210Q.Grâce à cette certification, Isonat, déjà premier acteur du secteur de l'isolation biosourcée à bénéficier d'avis techniques, participe activement à la professionnalisation de la filière avec des solutions d'isolation validées par des tierces parties indépendantes.Qu'est-ce qu'une ETN ?Une Enquête de Technique Nouvelle (ETN) est un avis émis par un bureau de contrôle indépendant sur un procédé de construction non traditionnel. L'avis se base sur un cahier de prescription de pose et des rapports d'essais soumis par le tenant de système. L'ETN permet d'apporter aux acteurs de la construction des informations fiables sur la mise en oeuvre et la durabilité du procédé visé, pour offrir plus de sérénité aux usagers.Le Sarking en fibre de bois Isonat : une association vertueuse qui allie confort des occupants et engagement pour la construction durableCes solutions sont très avantageuses à la fois pour l'artisan et pour le client final.Pour l'artisan :Elles peuvent être mises en oeuvre en toute sérénité car elles ont été validées par un bureau de contrôle spécialisé (ETN Alpes Contrôle A27T210Q).Elles permettent à la fois une mise en oeuvre traditionnelle sur platelage mais aussi une pose d'isolan directement sur chevrons, avec un isolant complémentaire entre chevron, afin de faciliter l'obtention d'une isolation thermique et acoustique élevée.Elles incluent tous les accessoires nécessaires à la pose (un nouveau pare-vapeur spécialement conçu appelé Vario® Supraplex, 3 références de vis et des adhésifs et mastics pour parfaire l'étanchéité), avec un cahier de prescription de pose détaillant toutes les étapes de mise en oeuvre.Et pour le client final :Ces solutions procurent un excellent confort thermique, été comme hiver, avec des résistances thermiques allant jusqu'à 10 m².K/W.Elles assurent également un grand confort acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec un affaiblissement jusqu'à 48 dB (rapport d'essai CSTB AC22-10623, détaillé dans le tableau en fin de communiqué).Le tout avec des produits fabriqués en France à partir de plaquettes de bois issues de chutes de scierie voisines dans un rayon de 60 km autour de l'usine de Mably.Ces solutions sont particulièrement bien adaptées en neuf à tout type de bâtiment dont on souhaite laisser la charpente apparente, en particulier les chalets des régions de montagne. Ils sont aussi très utiles en rénovation de maisons individuelles dans le but d'économiser de la hauteur sous plafond et de pouvoir ontinuer à habiter les combles lors des travaux.4 solutions pour couvrir les principales situations en climat de plaine < 900 mSarking traditionnel sur platelage avec écran Duoprotect :Sarking traditionnel sur platelage avec écran HPV :Sarking entre et sur chevrons sans platelage :Des solutions complètes, incluant les isolants Isonat et tous les accessoiresLa nouvelle membrane de gestion de vapeur d'eau et d'étanchéité à l'air Vario® Supraplex, conçue pour le SarkingConçue pour une isolation de toiture par l'extérieur en climat de plaine, avec protection temporaire de la toiture jusqu'à 1 mois.Revêtement antidérapant.Sans éblouissement.Traitement anti-UV renforcé.Bord pré-adhésivés.Une membrane hygrorégulante :Protège la toiture de la vapeur d'eau toute l'année.Laisse sécher la paroi en été.Particulièrement adaptée en cas de risque de canicule.Les vis Sarking de fixation des contre-lattesIsonat a validé son ETN en partenariat avec trois fabricants de vis couramment utilisées sur cette application, pour proposer à ses clients le choix entre les vis Würth Assy® 4 Isotop, LR Etanco Starking ou SFS Twin UD.Cette gamme couvre une plage de longueurs de 170 à 500 mm et permet une épaisseur maximale d'isolant sur chevrons de 320 mm.Les accessoires d'étanchéité de l'écran DuoprotectDans le cas des couvertures à faible pente (≤ 30%) ou pour le traitement des points singuliers, l'étanchéité de l'écran sous toiture est validée avec la mise en oeuvre des adhésifs Vario® Multitape ou Vario® Fast Tape après application d'une couche de primaire en spray ou liquide de chez Würth ou Proclima en surface du panneau, ou avec la dépose d'un ruban de mastic de chez Würth ou Sika dans la rainure.Un gros travail a également été effectué pour préciser le traitement de tous les points singuliers dans le cahier de prescription de pose.Une excellente performance acoustique pour une conformité réglementaire même en zone bruyanteLes solutions d'isolation en Sarking Isonat donnent d'excellentes performances d'affaiblissement acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec 36 dB dans le cas d'une finition en platelage bois, et 48 dB avec un complémentent d'isolation entre chevrons.La réglementation acoustique pour les bâtiments neufs exige un isolement minimum de 30 dB, ce critère pouvant monter à 45 dB suivant la proximité de sources importantes de bruit (route, voies ferrées, aéroport). Les solutions Isonat permettent ainsi de répondre aux cas les plus sévères de bruits extérieurs.
Il y a 2 ans et 117 jours

772 Lankorep HP de Parexlanko, nouveau mortier de réparation fibré

772 Lankorep HP qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. [©Parexlanko] Parexlanko propose le 772 Lankorep HP, un nouveau mortier de réparation fibré fin. A destination des ouvrages d’art, du génie civil, mais aussi du bâtiment. Ce produit vient enrichir la gamme Lankorep. Sa formulation offre un matériau facile à gâcher et à appliquer. Et dont la mise en œuvre est mécanisable. Son grain très fin (< 0,8 mm) pour un aspect lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Lire aussi&nbsp;: Parexlanko : Mélange chaud-chanvre pour la rénovation du bâti ancien Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. A base de sable, de ciments, de fibres et d’additifs, il prend la forme d’une poudre grise à mélanger avec de l’eau. Afin de réaliser des réfections bénéficiant d’une excellente résistance mécanique en quelques instants. 772 Lankorep HP, pour une grande résistance à la compression Son mélange de haute qualité offre un résultat très peu poreux, qui résiste de manière efficace à la carbonatation. Ce produit à retrait compensé peut être recouvert de peinture après 24 h. Ainis, il a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. Il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse sans difficulté. Il dispose d’un temps ouvert important de 30 mm à 20 °C. Parexlanko a développé ce mortier classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 117 jours

Après une année 2022 agitée, les tendances du bâtiment en 2023 en France sont à surveiller

Les pénuries d'énergie apparues en Europe lorsque la demande a augmenté en raison de la reprise économique post-Covid ont été aggravées par la guerre en Ukraine, entraînant ainsi des tensions inédites sur la disponibilité de l’énergie (électricité et gaz). Ce contexte explique les efforts permanents de l'Union européenne et des pays pour renforcer la sécurité énergétique.La réduction des émissions de carbone reste également une priorité. La COP27 des Nations unies, qui s'est tenue en novembre, a rappelé que si la sécurité énergétique est cruciale, le changement climatique reste un enjeu capital. Le secteur du bâtiment en Europe doit prendre en compte ces défis afin de répondre aux futures demandes. Cinq tendances majeures se dessinent :L’amélioration de la gestion énergétiqueLes gouvernements du monde entier œuvrent pour réduire la demande d’énergie et faire face à cette situation inédite. Le laboratoire indépendant Bruegel a dressé un rapport des différentes mesures adoptées par pays montrant ainsi la diversité des approches en fonction des nations. Pour autant, les propriétaires de bâtiments du monde entier ont pour objectif commun la nécessité de gérer l'énergie différemment et avec attention.L'utilisation stratégique de systèmes de stockage d'énergie est amenée à devenir une option de plus en plus privilégiée. Grâce au stockage d'énergie, le propriétaire d’une entreprise ou d’une maison peut stocker l'énergie du réseau pendant les heures creuses, ainsi que l'énergie qu'il produit à partir de sources renouvelables, pour l'utiliser ultérieurement. Cette évolution des modes d'utilisation de l'énergie, qui se dessinait déjà, a été accélérée par la crise énergétique et la montée des prix. Il faut donc s'attendre à une augmentation de la demande de systèmes de stockage d'énergie en 2023.Les échéances réglementairesLes actions visant à réduire la consommation d'énergie sont guidées par des échéances réglementaires, et les efforts pour les respecter vont s'intensifier en 2023. Les pays de l'UE ont pour mission de mettre en œuvre le cadre législatif Fit-for-55, conçu pour accompagner les économies nationales vers une réduction de 55% des émissions nettes de gaz à effet de serre d'ici 2030. Certaines exigences ont été revues à la hausse en 2022 afin de soutenir l'initiative REPowerEU. Ainsi, ce programme doit accélérer les progrès de l'Europe en matière de sécurité énergétique, notamment en augmentant les niveaux de production d'énergie distribuée à partir de sources renouvelables. 2023 sera donc une année charnière pour les propriétaires de bâtiments qui devront trouver des moyens pour réduire à la fois leur consommation d'énergie et leurs émissions.Les véhicules électriques et énergies renouvelablesLes propriétaires d'immeubles sont parfois surpris lorsque la notion de recharge des véhicules électriques (VE) est associée à la notion d’énergies renouvelables. En effet, il n’est pas évident de comprendre au premier abord comment une infrastructure de recharge pour véhicule électrique (IRVE) peut améliorer l'efficacité énergétique d'un bâtiment. Cela est rendu possible grâce au couplage sectoriel, qui consiste à lier plus étroitement la production et la consommation d'énergie pour une utilisation optimale des énergies renouvelables.Cette approche destinée aux biens commerciaux et industriels, ou aux biens résidentiels, permet de transformer un bâtiment en un centre énergétique en toute simplicité. On peut s'attendre à ce que davantage de propriétaires de bâtiments adoptent cette approche en 2023, à mesure que les échéances de retrait progressif des véhicules à essence et diesel se rapprochent. Les appels à autoriser la recharge bidirectionnelle sur les réseaux nationaux vont ainsi se multiplier, car les propriétaires de bornes de recharge ont conscience des profits potentiels que représentera la vente d’énergie au réseau. (La recharge bidirectionnelle est déjà autorisée en Norvège).La rénovation et la modernisation2023 verra un regain d'intérêt pour la rénovation, les propriétaires de bâtiments et de maisons cherchant à réduire l'impact des prix élevés de l'énergie en améliorant l'isolation et les équipements tels que les panneaux solaires. Les incitations supplémentaires à la modernisation prendront la forme de réglementations nationales qui découleront d'initiatives gouvernementales telles que la nouvelle Directive sur la Performance Énergétique des Bâtiments de l’UE (DPEB). La DPEB vise notamment à ce que les pays rendent obligatoire la recharge des VE dans les bâtiments neufs et rénovés afin d'accélérer le passage à l'électromobilité.La rénovation jouera un rôle majeur dans la transition énergétique, car environ 35% des bâtiments de l'UE ont plus de 50 ans, près de 75% du parc immobilier est considéré comme inefficace sur le plan énergétique et seulement 1% environ du parc immobilier est rénové chaque année.La lutte contre la pénurie de compétencesLes compétences spécialisées dans le domaine de l’électricité font défaut dans toute l'Europe. La formation de la main d'œuvre à l'installation des infrastructures nécessaires à la transition énergétique est une priorité. Les pays européens devront redoubler d'efforts en 2023 pour s'assurer que les secteurs des bâtiments tertiaires, industriels et résidentiels disposent des travailleurs qualifiés nécessaires.La mise en œuvre de stratégies visant à remplacer les combustibles fossiles par un nouveau mix énergétique faisant une large place aux énergies renouvelables nécessitera de nombreux travaux d'infrastructure, ainsi que des personnes pour les mener à bien. L'automatisation et l'adoption de processus de travail efficaces et reproductibles permettront à des professionnels moins qualifiés d'accomplir davantage de tâches.Tribune de Laëtitia Tran-Rodeghiero, Commercial Buildings Segment Manager – Eaton Electrical France (Linkedin)
Il y a 2 ans et 118 jours

Rénovation énergétique des logements, ce qui change en 2023

Évolution de la réglementation, nouveaux plafonds de ressources MaPrimeRénov', coup de boost fioul, assouplissement du coup de pouce chauffage, mon éco-PTZ Prime Rénov'... le point sur tout ce qui a changé en 2023.
Il y a 2 ans et 118 jours

RE2020, boucle à eau chaude : ce que les gaziers attendent pour le bâtiment en 2023

DÉCRYPTAGE. Après avoir changé de nom, les gaziers français continuent à se positionner sur plusieurs dossiers en lien avec le bâtiment, à l'image du recours intenté contre la Réglementation environnementale 2020 ou des usages derrière la boucle à eau chaude. L'idée sous-jacente est de pousser le développement des molécules renouvelables.
Il y a 2 ans et 119 jours

772 Lanlorep HP, le nouveau mortier fibré pour réparations lourdes de Parexlanko

Son grain très fin pour un aspect parfaitement lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe.Des réparations discrètesLe nouveau mortier de réparation fibré fin 772 LANKOREP HP, est parfaitement adapté aux structures béton neuves et récentes. Ces dernières étant d’aspect très lisse et d’un gris très clair, PAREXLANKO a fait le choix de proposer un nouveau mortier d’apparence similaire en vue de rendre les réparations discrètes. Le mortier de réparation se destine aux ouvrages d’art, au génie civil et aux bâtiments de grandes hauteurs.Simplifier les travaux des professionnelsImaginé pour les grosses réparations de structures, le nouveau mortier a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. 772 LANKOREP HP se mélange ainsi très facilement à l’eau pour un meilleur gâchage. Mécanisable, il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse aisément. Le produit s’applique jusqu’à 10 cm d’épaisseur en une seule passe et dispose d’un temps ouvert important de 30 minutes à 20°C.Une grande résistance a la compressionSpécialiste historique dans la conception des mortiers de réparation, PAREXLANKO a développé un produit classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Composé d’une granulométrie de
Il y a 2 ans et 119 jours

772 Lankorep HP, le nouveau mortier fibré pour réparations lourdes de Parexlanko

Son grain très fin pour un aspect parfaitement lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe.Des réparations discrètesLe nouveau mortier de réparation fibré fin 772 LANKOREP HP, est parfaitement adapté aux structures béton neuves et récentes. Ces dernières étant d’aspect très lisse et d’un gris très clair, PAREXLANKO a fait le choix de proposer un nouveau mortier d’apparence similaire en vue de rendre les réparations discrètes. Le mortier de réparation se destine aux ouvrages d’art, au génie civil et aux bâtiments de grandes hauteurs.Simplifier les travaux des professionnelsImaginé pour les grosses réparations de structures, le nouveau mortier a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. 772 LANKOREP HP se mélange ainsi très facilement à l’eau pour un meilleur gâchage. Mécanisable, il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse aisément. Le produit s’applique jusqu’à 10 cm d’épaisseur en une seule passe et dispose d’un temps ouvert important de 30 minutes à 20°C.Une grande résistance a la compressionSpécialiste historique dans la conception des mortiers de réparation, PAREXLANKO a développé un produit classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Composé d’une granulométrie de
Il y a 2 ans et 121 jours

Propriétaires immobiliers cherchent acquéreurs... presque désespérément

A 66 ans, Fabricia Lasne et son mari cherchent un acquéreur pour leur maison de 200 mètres carrés près de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée), qu'ils veulent quitter pour un logement plus petit et plus facile à entretenir.L'annonce est en ligne depuis un an et ils n'ont reçu aucune offre."Les gens qui viennent visiter sont en majorité des personnes âgées. Ils trouvent la maison très belle, le jardin impeccable, mais c'est la superficie qui les dérange, pour l'entretien quotidien", raconte Fabricia. "Il y a des jours où le moral est bien bas."Même problème pour Odile et Jacques, un couple de retraités qui, depuis un an et demi, cherche à vendre sa grande maison familiale du Périgord pour se rapprocher de ses enfants, en région parisienne.Là encore, des visites mais aucune offre pour cette propriété de 230 mètres carrés proposée à 519.000 euros, frais d'agence compris. "Si, une qui faisait une négociation à moins 70.000 euros. Donc on a dit non tout de suite !", confie Odile, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille."On ne veut pas non plus brader ce bien, et plutôt attendre quelques mois pour voir comment le marché va réagir", explique son époux, reconnaissant que "le marché n'est tout de même pas très florissant"."On négocie davantage"Après des années de hausse continue, les prix de l'immobilier commencent à stagner, voire à baisser dans certaines zones, comme en région parisienne.La remontée des taux d'intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d'usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d'un certain taux d'endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché.Conséquence : ces derniers négocient davantage avant de signer. "Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu", explique à l'AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris."Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l'ajuste, cela prend du temps", relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.Selon son réseau d'agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d'une annonce et la signature d'un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne."Il y a de l'attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs", témoigne Romain Gonzalez, directeur d'une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux."On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n'est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas", dit-il."Les délais s'allongent""Pour les appartements avec défauts, les rez-de-chaussée qui donnent sur la rue, exposés au Nord... les délais s'allongent et les baisses de prix se font au fur et à mesure", affirme aussi Sandrine Lucas, directrice d'une agence Guy Hoquet à Suresnes.A cela s'ajoute la réglementation sur les passoires thermiques, dont nombre de professionnels redoutent qu'elle fasse chuter le prix des biens concernés.Depuis le 1er janvier, en métropole, les logements qui consomment plus de 450 kilowattheures par mètre carré par an sont tout bonnement interdits à la location. L'ensemble des biens étiquetés G pour leur performance énergétique doit suivre en 2025, avant les F en 2028 et les E en 2034."L'effet passoires thermiques, on l'a vu énormément sur les petites surfaces, studios, deux-pièces", plus souvent voués à la location, explique Mme Frémont. Tendance qu'elle a aussi constaté sur les maisons. "Les gens sont regardants sur l'économie énergétique", dit-elle.Mais là aussi, les prix de biens ayant besoin de travaux tardent à baisser. "Les vendeurs, à date, ne sont pas encore disposés à défalquer ce coût du prix" de vente, constate Charles Marinakis.
Il y a 2 ans et 122 jours

Biens sans maître et en état d'abandon manifeste : le coup de pouce de la loi 3DS

Collectivités - Réduction des délais, création de réserves foncières… la récupération de ce foncier est plus simple et plus...-Réglementation
Il y a 2 ans et 122 jours

Gel des biens immobiliers russes : Bercy pointe la négligence d'agents immobiliers

SANCTIONS. Les enquêteurs de la Répression des fraudes se sont penchés sur les méthodes des agences immobilières dans certaines communes cossues de la Côte-d'Azur, pour s'assurer que les professionnels vérifiaient bien que leurs clients n'étaient pas frappés par la décision de gel des avoirs immobiliers russes. Une majorité d'entre eux n'a pas correctement appliqué la réglementation.
Il y a 2 ans et 123 jours

Les grands chantiers d’INOHA en 2023 pour accompagner ses adhérents

Année élective pour le renouvellement de son Conseil d’Administration et de son Président, 2023 sera également synonyme, pour INOHA, l’association des Industriels du Nouvel Habitat, de grands chantiers menés dans le cadre de son plan d’actions stratégique 2025. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, a profité de la cérémonie des vœux organisée le 11 janvier dernier pour les dévoiler. La feuille de route 2023 d’INOHA s’inscrit dans la continuité du plan stratégique lancé en 2021 pour accompagner ses adhérents à franchir un nouveau cap en devenant mieux informés, plus performants, plus responsables et plus influents. Ainsi, pour éclairer les membres d’INOHA sur les enjeux de la filière, sur l’évolution des marchés et sur les attentes des consommateurs, plusieurs actions sont déployées : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence d’INOHA. Véritable observatoire de l’économie et des tendances du Nouvel Habitat, INODATA propose de nouveaux services exclusivement réservés aux adhérents : Indicateurs macroéconomiques, Données des marchés GSB, Négoce, GSA, Jardinerie-Lisa, Informations sur les tendances : analyse des recherches des consommateurs sur internet, observatoire des rayons et des acteurs, enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Pour faciliter son utilisation technique et celle des datas, centrées en particulier sur les études consommateurs marchés et tendances réalisées par GfK, de nombreux webinars de présentation seront organisés : • des capsules de compétences, nouvelles formations courtes de deux heures en visio (adaptées aux spécificités des adhérents), aborderont des sujets très ciblés, comme par exemple, la RSE, l’analyse des datas, les évolutions réglementaires et environnementales&#8230; INOHA proposera cette année un nouveau programme collectif sur la réduction et l’éco- conception des emballages afin de répondre à la réglementation (décret 3R de la loi AGEC du 29/04/2021). Pour construire ensemble l’avenir, INOHA a, dès 2022, engagé et accompagné la filière dans sa démarche RSE. En 2023, INOHA soutiendra de nouveaux groupes d’adhérents dans leur parcours de décarbonation tout en mettant en place au sein de l’association ses propres démarches responsables (actions suite au bilan carbone réalisé en 2022, sensibilisation des salariés au numérique à l’empreinte carbone réduite, &#8230;). INOHA lancera également un Club RSE pour que ses adhérents échangent sur les bonnes pratiques en termes de RSE et des groupes d’échanges d’expérience. En parallèle, INOHA poursuivra le travail initié avec la FMB (Fédération des Magasins de Bricolage) sur le déploiement d’un système unique de partage de data produits et aidera ses adhérents dans la prise en main de FAB-DIS au travers de capsules de compétences. Enfin, pour peser et conforter son rôle d’acteur incontournable auprès des distributeurs et des pouvoirs publics, INOHA continuera à travailler avec toutes les parties prenantes pour l’instauration des REP Articles de Bricolage et de Jardin et celle du Bâtiment et a pour objectif de développer encore son nombre d’adhérents. « Dans cette période d’incertitude, avoir des données pertinentes, complètes et précises est plus que jamais stratégique pour permettre à nos adhérents de prendre les meilleures décisions. C’est l’ambition que nous formulons avec INODATA, l’observatoire économique et des tendances du Nouvel Habitat sur lequel nous avons travaillé en 2022 et que nous lançons en ce début d’année. L’accompagnement de nos adhérents sur la RSE est également une priorité et nous intensifierons en 2023 ce que nous avons initié l’année dernière », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. www.inoha.org
Il y a 2 ans et 125 jours

Rénovation de l’éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d’énergie qui dépassent l’objectif attendu !

Installée à Montigny le Bretonneux dans le département des Yvelines, SAIPEM en France est l’une des plus importantes sociétés d’ingénierie, d’exécution de projets et de développements technologiques offshore et onshore du Groupe SAIPEM. Dans le cadre du décret de la loi ELAN qui impose au parc tertiaire existant de réduire sa consommation énergétique de -40% en 2030 à -60% en 2050 par rapport à 2010, l’entreprise vient de remplacer son installation d’éclairage par des luminaires LED de Sylvania, associés à la solution de gestion d’éclairage intelligente SylSmart. D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d’un rez-de-chaussée où se trouve l’espace d’accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d’un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d’une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l’entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN. Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin &#8211; Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected. Un objectif initial de 75% d&rsquo;économie d&rsquo;énergie en hiverAfin d’atteindre les économies d’énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d’éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d’éclairage réalisée par le bureau d’études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer : &#8211; les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, &#8211; les spots fluocompacts d’une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II. Pour apprécier l’efficacité de la solution d’éclairage recommandée et s’assurer qu’elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l’apport de lumière naturelle) ont d’abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l’ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022. Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 125 jours

UMGCCP et GRDF partenaires pour décarboner le secteur du logement à l'aide d'équipements gaz et gaz verts

L’UMGCCP, Union Métiers de la fédération française du bâtiment (FFB) et GRDF, principal distributeur de gaz en France, signent un partenariat de 3 ans pour accompagner les entreprises et artisans chauffagistes vers une utilisation efficace et sobre de l’énergie.Pour Pascal Housset : « ce partenariat initié permet de mutualiser nos expertises respectives afin de favoriser le déploiement de technologies innovantes, telles que la pompe à chaleur hybride gaz - la PAC hybride -. Nous partageons avec GRDF la conviction qu’un mix énergétique diversifié, s’appuyant sur la complémentarité des énergies et sur les atouts du gaz et du gaz vert, reste la meilleure solution au profit des consommateurs français. »Pour Laurence Poirier-Dietz : « le renouvellement de cet engagement illustre notre volonté commune de faire du gaz une énergie essentielle pour atteindre la neutralité carbone dans les bâtiments, grâce à l’essor des gaz verts. La France ne peut se passer du gaz pour décarboner le secteur du logement. »Maintenir une diversité de solutions, indispensable pour réussir la transition écologique à un coût acceptableDans les logements collectifs comme individuels chauffés au gaz, la chaudière à très haute performance énergétique (THPE) permet de réduire immédiatement jusqu’à 30 % les consommations d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre et la facture des particuliers et des entreprises. L’installation de chaudières THPE - solution techniquement robuste - est totalement maitrisée par les installateurs comme par les professionnels de la maintenance et ce, à un coût compétitif.PAC hybride, une solution adaptée au chauffage des logements en rénovation comme neufs ...Dans les logements individuels déjà raccordés au gaz, et dans les bâtiments neufs à proximité du réseau de gaz, l’installation de PAC hybride permet également de décarboner les bâtiments. L’équipement combine une PAC électrique de moyenne puissance et une chaudière gaz THPE grâce à un système de régulation intelligent, qui permet jusqu’à 40 % d’économies d’énergie par rapport à une ancienne chaudière. La PAC hybride apporte une réponse à la nécessaire question de l’efficacité énergétique en alliant les atouts des deux technologies. Cette solution illustre parfaitement la complémentarité nécessaire des énergies pour la maitrise des coûts et le pouvoir d’achat des clients. Conforme à la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs - la RE2020 - la PAC hybride est une solution adaptée aussi bien à la rénovation qu’aux logements neufs.... et compatible avec le gaz vertLe gaz vert, énergie renouvelable produite localement à partir de matières organiques et de déchets des territoires, permet d’augmenter la part d’énergie renouvelable dans les consommations d’énergie. Dès 2030, les gaz renouvelables pourraient représenter 20 % de la consommation de gaz ; en 2050, la France a le potentiel de couvrir 100 % de sa demande de gaz grâce aux gaz renouvelables. Le gaz vert est déjà 100 % compatible avec les équipements gaz.Professionnalisation de la filière et partage d’expertises, au cœur du partenariatLes adhérents de l’UMGCCP pourront se professionnaliser afin de se prévaloir de « mentions » pour attester de leur expertise et de leur engagement pour valoriser certaines solutions - mentions « PAC hybride » ou encore « acteur engagé gaz vert » -. L’évacuation des produits de combustion est également un sujet central en rénovation pour les logements collectifs et fait l’objet d’une mention « conduit de fumée ».
Il y a 2 ans et 125 jours

Entretien des ponts communaux : comment financer les travaux ?

Les aides pour accompagner les collectivités dans la mise en œuvre des travaux d&amp;#39;entretien des ponts sont rappelées dans une réponse...-Réglementation