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Il y a 3 ans et 184 jours

NOMINATION QUINOA GROUP : Romain SALMERON – Nouveau Responsable Marketing de Quinoa Résidentiel

Depuis Septembre 2021, Romain SALMERON a rejoint l’équipe du pôle Résidentiel de Quinoa Group, spécialiste du traitement et de la qualité de l’air, comme Responsable Marketing.   Diplômé d’un double Master en Marketing et en Management obtenu à l’EDHEC Business School de Lille, Romain SALMERON a acquis une solide expérience ces 10 dernières années en BtoB et BtoC, dans des secteurs variés tels que la bureautique, les solutions logicielles ou les biens d’équipement. Avant de rejoindre le pôle Résidentiel de Quinoa, il a notamment occupé les postes d’Account Manager pour les réseaux Plein Ciel/Calipage, puis de Product Manager chez Sharp, et récemment la responsabilité marketing des gammes de colles et d’adhésifs de bricolage UHU au sein du groupe Bolton. Romain SALMERON a pour mission de poursuivre le développement des marques du pôle Résidentiel sur leur secteur d’activité. Il élaborera, mettra en œuvre et contrôlera les actions marketing relatives aux différentes gammes de produits.     Le Groupe Quinoa Basé à Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne), Quinoa Group est organisé autour de 2 pôles et 7 marques principales : – Pôle Professionnel : Hydronic (centrale de traitement d’air), Sotis (leader français de la fabrication-pose de gaines rectangulaires et circulaires) et Panol (sécurité incendie, grilles de ventilation, protection solaire). –  Pôle Résidentiel : Autogyre (traitement de l’air), DMO (distribution d’air chaud), Strulik (flexibles) et Panol (traitement de l’air).
Il y a 3 ans et 184 jours

Solichape Ultra : la nouvelle solution HIRSCH Isolation pour l'isolation sous chape en pose collée

HIRSCH Isolation, filiale du leader européen du polystyrène expansé, propose des solutions d'isolation sur-mesure fabriquées en France. Avec ses 6 usines à travers l'hexagone, l'entreprise ne cesse d'innover pour être au plus proche des besoins des professionnels et des particuliers. Ses équipes, engagées pour construire des bâtiments plus durables, ont mis au point une nouvelle solution en polystyrène expansé graphité à bords droits pour l'isolation sous chape en pose collée : Solichape® Ultra.
Il y a 3 ans et 185 jours

En Inde, rentabiliser le désert grâce à l'énergie solaire

Pour l'heure, l'Inde est le troisième plus gros émetteur de carbone du monde. Environ 70% de son électricité provient de centrales à charbon.Mais le Premier ministre Narendra Modi a annoncé lundi que le pays allait porter, d'ici 2030, sa part d'énergies renouvelables de 100 gigawatts (GW) actuellement à 500 GW, soit plus que toute sa production électrique actuelle. A cette date, 50% de l'énergie du pays devra être propre, a-t-il promis, tout en affirmant que l'Inde visait la neutralité carbone à l'horizon 2070.D'une surface équivalente à la République de Saint-Marin, la ferme de Bhadla est située dans l'État désertique du Rajasthan. Avec ses 325 jours d'ensoleillement par an, c'est l'endroit idéal pour entamer cette révolution énergétique indienne.Le projet est présenté par ses promoteurs comme un modèle de haute technologie, d'innovation et de collaboration public-privé.Au Rajasthan, "nous disposons d'énormes espaces où aucune herbe ne pousse. Maintenant on n'y voit plus le sol: on ne voit plus que des panneaux solaires. C'est une transformation gigantesque", se félicite Subodh Agarwal, un des responsables de la politique énergétique de "l'État-désert", tel que le Rajasthan est surnommé."État solaire"Au cours de la prochaine décennie, "ce sera un Rajasthan différent. Ce sera l'État solaire du Rajasthan", s'enthousiasme-t-il.La construction de Bhadla, en plein désert, a eu un impact minimal sur l'habitat humain et l'agriculture. Quelques centaines de personnes veillent sur les installations mais ce sont des robots qui enlèvent la poussière et le sable sur les 10 millions de panneaux photovoltaïques.D'autres méga-projets sont en cours. Au Gujarat, Narendra Modi a lancé l'an dernier, dans un autre désert, la construction d'un parc d'énergies renouvelables de la taille de Singapour. Plusieurs des plus grandes fortunes d'Inde, comme Mukesh Ambani et Gautam Adani, les deux hommes les plus riches d'Asie, commencent à investir lourdement dans le secteur.Il y a urgence: selon un rapport publié en 2019, 21 des 30 villes à l'air le plus pollué du monde se trouvent en Inde. Et le pays de 1,3 milliard d'habitants à l'urbanisation effrénée est de plus en plus vorace en énergie.Au cours des 20 prochaines années, l'Inde devra ajouter à son système de production électrique actuel des capacités équivalentes à celles de l'Europe pour répondre à la hausse vertigineuse de sa demande nationale, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Et si les capacités indiennes en énergies renouvelables ont été multipliées par cinq au cours de la dernière décennie, elles devront encore être quintuplées pour atteindre l'objectif de 500 GW en 2030.Vinay Rustagi, directeur du cabinet de consultants en énergie renouvelable Bridge to India, est sceptique. Selon lui, le gouvernement indien cherche surtout "à montrer au monde que nous sommes sur la bonne voie"."Malheureusement, je crois qu'il n'existe aucune façon pour nous d'atteindre cet objectif", regrette-t-il.Remodeler le système énergétiqueCar même si installer des panneaux solaires est relativement bon marché, remodeler de fond en comble le système énergétique indien nécessitera encore beaucoup de temps et d'efforts, préviennent les experts.Ainsi, pour l'heure, environ 80% des panneaux sont importés de Chine, les capacités de production nationales étant très insuffisantes.Et si les projets d'énergie solaire géants comme celui de Bhadla sont présentés comme des succès, ils pourraient se heurter à terme à des problèmes d'acquisition de terres, et à la multiplication des procès intentés par des propriétaires expropriés.Certains experts estiment donc que l'avenir de l'énergie solaire en Inde passera plutôt par la multiplication des petites unités de production.Comme celles que le médecin et agriculteur Amit Singh a installé dans son village de Bhaloji, au Rajasthan.Alors que le village était frappé par des coupures de courant à répétition et par les pénuries d'eau, le Dr Singh a eu une idée. "Depuis toujours je voyais le soleil et ses rayons, et je me suis demandé: pourquoi ne pas le maîtriser pour générer de l'électricité?" raconte-t-il à l'AFP.Il a commencé par installer des panneaux photovoltaïques sur le toit de son dispensaire, ce qui a permis de couvrir la moitié des besoins en électricité de l'établissement. Il a ensuite dépensé ses économies pour installer une centrale d'un mégawatt dans sa petite exploitation agricole familiale.Cette mini-centrale solaire a coûté 35 millions de roupies (400.000 euros). Un investissement qui s'avérera rentable dans un délai raisonnable puisque chaque mois, elle rapporte 400.000 roupies (4.600 euros) en ventes au réseau électrique indien. "J'ai l'impression de contribuer au développement de mon village", se félicite M. Singh.Arunabha Ghosh, expert en politique climatique auprès du Conseil de l'énergie, de l'environnement et de l'eau, estime essentiel de faire baisser les coûts de ce type de petite installation."Quand un paysan est capable de générer de l'électricité à l'aide d'une centrale solaire près de sa ferme et de pomper de l'eau, quand un habitant de la campagne peut faire tourner une usine textile grâce à des panneaux solaires placés sur le toit, alors nous pouvons amener la transition énergétique au plus près des gens", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 186 jours

Avec le rachat d'Equans, Bouygues change de visage

Dans la nuit de vendredi à samedi, Engie, géant français de l'énergie, a annoncé avoir choisi Bouygues face à deux autres compétiteurs pour lui céder Equans, sa filiale regroupant divers services techniques pour les entreprises et collectivités - gestion de l'énergie dans les bâtiments, ventilation, climatisation, chauffage, numérique, électricité ou encore sécurité incendie.Ce rachat - le plus gros dans l'histoire du groupe créé en 1952 par Francis Bouygues - "est un changement complet et profond de dimension, qui va déplacer son centre de gravité", résume lundi à l'AFP une source proche du dossier.Historiquement connu pour la construction, son premier métier, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1, en passe de fusionner avec M6). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.L'intégration d'Equans - avec pas moins de 74.000 salariés et 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires - va faire quadrupler de taille cette branche et en faire "le premier métier de Bouygues", soulignait ce dernier dans son communiqué samedi.Le groupe présidé par Martin Bouygues insistait notamment sur "le marché porteur des services multi-techniques", qui se trouve "à la convergence des transitions énergétique, numérique et industrielle"."Ces métiers-là sont un bon complément par rapport au BTP classique, et génèrent surtout une marge plus importante, avec des contrats de maintenance sur plusieurs années qui offrent une certaine visibilité. Et dans ce business, Bouygues était en peu en queue de peloton, avec une marge opérationnelle pour Bouygues Energies & Services plutôt modeste, à 2% en 2019", souligne Eric Lemarié, analyste actions chez Bryan, Garnier & Co.Prix "astronomique"Ce rachat "fait sens" également pour Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Mirabaud, "d'un point de vue géographique car Bouygues s'implante de manière assez importante dans ce business au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Belgique. Et aussi d'un point de vue économique car on connait, notamment avec la transition écologique, les besoins de transformation dans les énergies et on sait qu'une croissance va être là".Il souligne aussi que ces métiers "ont moins de cyclicité. On a vu récemment dans l'immobilier qu'il peut y avoir des gros trous d'air".Cependant, M. Rozier juge qu'il y a également "beaucoup de questions sur la rentabilisation de cette acquisition: le prix est juste astronomique, avec des contraintes de conservation d'emplois et de créations d'emplois".Bouygues s'est en effet "engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe" pendant cinq ans, et à "la création nette de 10.000 emplois" sur la même période."Certes Bouygues n'a pas de dette" mais dans son pôle Energies & Services "le niveau de marge est plutôt inférieur à 3%. Or, le +business plan+ proposé se base sur des marges quasiment à 5%: alors d'accord il y aura peut-être des synergies, mais on se demande comment ils vont opérer pour que l'ensemble arrive à ce modèle de rentabilité jamais atteint jusqu'à présent", estime Frédéric Rozier.Le prix payé pour Equans "est cher, même si ce n'est pas tous les jours qu'on a un deal comme Equans à se mettre sous la main", renchérit Eric Lemarié.Si le titre chutait à la Bourse de Paris lundi (-5,96% à 15H12, à 33,47 euros), c'est parce que "le marché pense que Bouygues a payé un prix trop élevé, qu'il y a des risques d'intégration parce que l'entité est de taille importante et qu'elle est vraisemblablement composée d'une multitude de métiers différents, ce qui peut éventuellement compliquer l'exécution du deal", selon lui.M. Lemarié met aussi en avant le fait que "le deal ne sera finalisé qu'au deuxième semestre 2022 et qu'aujourd'hui on a peu de chiffres officiels, on rentre donc dans une période d'incertitudes, ce qui n'est jamais bon boursièrement parlant".
Il y a 3 ans et 187 jours

Oknoplast investit dans les solutions Prosperences

Les atouts du Réseau Partenaire Premium OKNOPLASTDepuis plus de 6 ans maintenant, OKNOPLAST a lancé son réseau de Partenaires Premium et compte aujourd’hui plus 220 membres premium actifs. OKNOPLAST a toujours eu la volonté d’être au plus proche de ses revendeurs afin de collaborer dans un esprit d’engagement gagnant-gagnant. La marque OKNOPLAST doit être au service du développement de ses clients et les clients contribuent au développement d’OKNOPLAST.L’objectif au travers de cet accord de partenariat est d’offrir à nos partenaires une image de marque connue, de leur permettre de bénéficier d’une communication nationale prise en charge par le groupe, de bénéficier de formations et d’un savoir-faire éprouvé constituant un avantage concurrentiel. Tout en conservant leur indépendance, sans être isolé.Un nouvel outil d’animation commercialeDepuis maintenant 2 ans, OKNOPLAST est porteur de solutions 2.0 auprès de ses clients afin de les accompagner au mieux grâce à des outils pour suivre et piloter leur activité commerciale notamment avec MyOknoplast, un CRM dédié à 100% au pilotage de leur activité (suivi des commandes, livraisons, SAV, gestion des leads, commandes des outils marketing…) ainsi que PrefWeb pour la partie chiffrage avec une transmission directe des commandes à l’usine de production.En cette fin d’année 2021, OKNOPLAST investit dans un outil d’analyse et prospective dédié au marché de la menuiserie développé par PROSPERENCES. Cette solution a pour vocation de venir accompagner les partenaires revendeurs sur les études de leurs zones de chalandises potentielles, en vue de venir développer leur présence sur leur secteur et ainsi développer leurs prises de part de marché et par conséquent leur chiffre d’affaires.Constatant également que de plus en plus de partenaires endossent une casquette d’investisseur, OKNOPLAST sera à même de les accompagner dans leurs études de marché avant implantation en tant qu’expert d’aide au développement business.Ce nouvel outil et le renforcement de ce volet collaboratif avec nos Partenaires Premium permet de venir consolider nos engagements et notre volonté de les accompagner toujours plus dans leur croissance et développement.
Il y a 3 ans et 188 jours

Une usine française pour les produits de toiture de l’allemand Bauder

L’entreprise familiale de Stuttgart programme la création d’une unité de mousses en polyuréthane et de membranes bitumineuses en Alsace, dans le cadre d’un plan d’expansion de plus de 100 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 188 jours

L’usine Isover d’Orange n'utilisera plus de sable dès 2030

La principale usine d’Isover va être transformée à partir de 2022 pour fonctionner uniquement à partir de matières premières issues du recyclage et réduire drastiquement son empreinte environnementale
Il y a 3 ans et 191 jours

Nouveau contrat d'engagement de la filière de l'énergie pour décarboner et réindustrialiser la France

"L'objectif de ce nouveau contrat est de faire de la transition écologique un levier pour la reconquête industrielle", a expliqué Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique.Ce nouveau contrat fait suite à un premier contrat de 2019, qu'elle a signé aux côtés d'Agnès Pannier-Runacher, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, des représentants du Comité stratégique de filière "Nouveaux systèmes énergétiques" et des syndicats du secteur.La filière rassemble l'ensemble des industriels de la transition énergétique (énergies renouvelables, hydrogène bas carbone et renouvelable, efficacité énergétique, réseaux et stockage énergétiques). Elle représente 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 210.000 emplois en France."On a des besoins gigantesques, que ce soit sur le nucléaire ou le renouvelable, et c'est encore mieux que ces besoins soient servis par une industrie française à valeur ajoutée", a fait valoir Mme Pannier-Runacher.Concrètement, le texte réitère les objectifs de développement des énergies renouvelables compétitives et met l'accent sur l'éolien marin, l'énergie solaire, l'hydrogène, le biogaz et les capacités de stockage de l'énergie pour la période 2021-2023.Egalement présente à Bercy, la présidente du comité stratégique de filière et directrice générale adjointe d'Engie, Claire Waysand, s'est félicitée que les acteurs du secteur aient réussi à mettre en oeuvre 70% des mesures du dernier contrat signé en 2019, grâce à l'implication d'environ 600 contributeurs.Le contrat signé jeudi prévoit aussi le lancement d'une plateforme de mise en relation des acteurs de l'énergie décarbonée et des industriels."Notre enjeu est que les entreprises n'aillent pas taper à la porte d'offreurs de solutions étrangers alors qu'ils ont à côté de leur zone industrielle des gens qui peuvent leur apporter des solutions compétitives", a expliqué Mme Pannier-Runacher à l'AFP après la signature.Le contrat s'appuie sur le 4e programme d'investissement d'avenir annoncé par l'Etat en janvier 2021. Il doit notamment financer à hauteur de 515 millions d'euros la stratégie du gouvernement pour développer l'innovation et la pré-industrialisation dans les domaines du photovoltaïque, de l'éolien flottant et des réseaux énergétiques, a précisé Mme Pannier-Runacher.Le gouvernement et les industriels s'accordent sur la nécessité de développer la formation alors que de manière générale, l'industrie peine à recruter des salariés qualifiés, avec actuellement 73.000 postes vacants dans l'industrie et 225.000 intentions de recrutement futur.Ce contrat se renouvelle alors qu'Emmanuel Macron a annoncé fin octobre une série de mesures destinées à décarboner et relancer l'industrie grâce au plan France Relance. Le Président de la République envisage notamment la construction de deux usines d'électrolyseurs pour devenir "leader de l'hydrogène vert".
Il y a 3 ans et 191 jours

Vicat a réussi à compenser la hausse des coûts de l’énergie par l'augmentation de ses prix de vente

A 794 millions d'euros, le chiffre d'affaires réalisé sur la période juillet-septembre porte à 2,35 milliards celui sur les neuf premiers mois de 2021, soit une progression de 13,9% par rapport à la période comparable de 2020, a indiqué le cimentier dans un communiqué.Les chiffres publiés mercredi reflètent "le dynamisme" des marchés de Vicat "dans un contexte de sortie progressive de la crise sanitaire", a jugé son PDG Guy Sidos cité dans un communiqué. Le troisième trimestre est marqué par une base de comparaison "particulièrement défavorable en France, dans la zone Amérique et en Inde", puisque le 3e trimestre 2020 avait connu un effet de "rattrapage" après la crise Covid du début d'année.Sur neuf mois, les hausses les plus importantes de chiffre d'affaires sont enregistrées dans la zone Méditerrannée (+36,3% à 166 millions d'euros au 30 septembre 2021), et la zone Asie (+30,6% à 320 millions d'euros).En France, le chiffre d'affaires a progressé de 15,5% à 824 millions d'euros sur neuf mois, et en Afrique de 22,3% à 242 millions d'euros. Seule la zone Europe (hors France) recule de 4,8% à 301 millions d'euros, essentiellement en raison de la cession de l'activité de préfabrication Creabéton enregistrée le 30 juin 2021.Par activité en France, le chiffre d'affaires opérationnel de l'activité Ciment est en hausse de 10,8% à périmètre constant sur les neuf mois, malgré un recul de 9,3% au 3e trimestre, dû à la reprise "exceptionnelle" enregistrée l'an dernier à pareille époque. Les prix de vente et les volumes sont "en nette progression" sur les neuf mois.Idem pour l'activité Béton et granulats, où le chiffre d'affaires progresse de 19,5% à périmètre constant, avec des prix de vente en progression dans les granulats et stables dans le béton.Aux Etats-Unis comme au Brésil, "le secteur reste dynamique, facilitant notamment les hausses de prix".La construction d'une nouvelle ligne de cuisson de l'usine de Ragland en Alabama s'est poursuivie avec pour objectif une mise en service au premier trimestre 2022, a indiqué le groupe. Cette installation "permettra à la fois de répondre à la forte demande du marché en augmentant la capacité de l'usine, de réduire fortement les coûts de production, et contribuera à la baisse des émissions de CO2 du groupe".Sur l'ensemble de l'exercice 2021, dont les résultats seront annoncés le 15 février 2022, le groupe s'attend à une progression de son bénéfice d'exploitation Ebitda, ainsi qu'une "évolution favorable des prix de vente moyens".
Il y a 3 ans et 192 jours

Lafarge France mise sur le béton de bois

Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. [©Lafarge] Lafarge France entre au capital de CCB Greentech, le créateur du béton de bois TimberRoc. Les deux industriels annoncent un rapprochement capitalistique, industriel et commercial pour développer l’invention de la start-up. Cette dernière permet la préfabrication en usine de murs porteurs et de dalles en béton de bois. Ce produit bénéficie de qualités techniques, telles que la résistance au feu ou un bon déphasage thermique. D’ailleurs, cette technologie repose sur 15 ans de recherche et développement et sur 10 brevets. Ainsi, la filiale du groupe suisse a décidé de s’engager au côté de la start-up pour valoriser la construction bas carbone. Un partenariat pour la construction bas carbone En effet, le TimberRoc se positionne comme un matériau présentant un bilan carbone négatif. Ses granulats de bois forestiers labellisés PEFC permettent de construire des bâtiments, tout en répondant aux enjeux environnementaux actuels et à la RE 2020. Ainsi, Lafarge France met à disposition son laboratoire d’essai et son réseau commercial, en suivant deux objectifs. Lire aussi : Capeb et Herige : Un partenariat environnemental Tout d’abord, en promouvant ce produit auprès de ses partenaires pour déployer de nouveaux utilisateurs et de nouvelles applications. Ensuite, en développant des solutions inédites pour le chantier avec les granulats de bois. « La technologie de CCB Greentech, associée à notre savoir-faire de cimentier et de bétonnier, offre des synergies enthousiasmantes, souligne François Petry, directeur général de Lafarge France. Nous sommes prêts à le développer ensemble pour offrir à nos clients des solutions constructives biosourcées innovantes et bas carbone. »
Il y a 3 ans et 192 jours

L’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP voit le jour

Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners dévoilent le premier Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP. [©OPPBTP] Le secteur du bâtiment est en quête de nouveauté. Le CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners se sont associés pour dévoiler le premier “Observatoire des tendances d’innovation”. Celui-ci permet aux professionnels d’appréhender les principaux champs d’innovation à l’œuvre dans le secteur. L’objectif est d’en faire un vecteur de transformation positive et durable. Ainsi, cet observatoire décrypte les dernières solutions pour tous les métiers de la filière. Lire aussi : Le CCCA-BTP lance sa plateforme pour les jeunes Il regroupe des thématiques comme la sécurité, la formation et la prévention. Sa création donne une vision plus claire des nouvelles tendances dans le secteur du bâtiment. Le CCCA-BTP et ses partenaires ont décidé de s’aider des 222 start-up recensées au sein d’Impulse Partners pour réaliser cet observatoire. Celles-ci se développent et constituent un précieux révélateur des transformations dans le BTP. Après une étude approfondie, les tendances se regroupent autour de trois grandes problématiques et de leurs solutions en développement. La production : un enjeu majeur de l’Observatoire Tout d’abord, l’observatoire met en exergue l’accroissement de la productivité des entreprises. Dans cette logique, il souligne l’avènement des solutions de construction hors site. Ces dernières permettraient de réaliser 80 % de la production en usine. Cette technique constructive mènerait à une nette évolution des métiers, des méthodes et des risques associés. La question de la productivité s’étend tout autant sur les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et d’ouvrages (capteurs IoT, plate-forme BOS). Ces objets connectés offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le Smart Building. De leur côté, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique renforcent la sécurité des chantiers. Des produits de meilleures qualités Les études de l’observatoire se concentrent aussi sur la réalisation d’ouvrages de meilleures factures. En effet, un produit de bonne qualité se démarque par ses performances et son moindre impact sur l’environnement. Ainsi, les tendances actuelles et l’évolution de la réglementation font la part belle au bois. Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation Ce matériau, de plus en plus sollicité, exige de nouvelles compétences (logistique, réglage…) et propose une autre approche pour le secteur du BTP. Toujours dans cette thématique, les plates-formes et les outils favorisant le réemploi constituent aussi un levier majeur de transformation, notamment pour la filière de déconstruction. Tout comme le “lean management” (gestion sans gaspillage), avec ses outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité. La sécurité avant tout Le troisième objectif majeur réside dans l’amélioration de la sécurité sur les chantiers. Les outils digitaux comme la réalité virtuelle sont étudiés. Ils permettent de former et de sensibiliser aux différents risques du chantier. De plus, les études de l’observatoire mettent en avant les dispositifs de détection d’accidents comme les robots, les caméras ou l’intelligence artificielle. Enfin, des équipements de protections individuelles connectées sont prévus pour assurer une sécurité maximale lors des chantiers.
Il y a 3 ans et 193 jours

Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera

Thierry Legrand est le nouveau président Europe de Fortera [©DR] A l’occasion de son arrivée sur le marché européen, l’américain Fortera accueille Thierry Legrand au poste de président Europe. Cette nomination est le premier pas vers un développement international du groupe. Depuis 2019, date à laquelle Fortera a été créée, l’entreprise a pour ambition  d’accompagner les acteurs de la construction dans la réduction de leurs émissions de carbone. Pour cela, elle a développé un procédé de recarbonation, qui convertit les émissions de CO2. Provenant des fours cimentiers en un produit cimentaire. De plus, d’ici 2022, Fortera commercialisera son propre ciment.  Vers la réduction des émissions carbone Aujourd’hui, le monde entier essaye, tant bien que mal, de réduire ses émissions de carbone. Pour cela, l’Europe s’est fixée de nombreux objectifs. Des dispositifs ont été mis en place, afin d’inciter l’arrivée de nouvelles technologies, qui vont dans ce sens. Fortera y a vu une opportunité de croissance à l’international. « En confiant notre développement européen à Thierry Legrand, nous sommes convaincus. Que nous pourrons déployer notre technologie efficacement et rapidement », témoigne Ryan Gilliam, directeur général et co-fondateur de Fortera. En effet, fort de son expérience, Thierry Legrand a pour mission de piloter l’ensemble de l’implantation de Fortera en Europe. Rappelons qu’en 2019, le secteur de la construction a rejeté19,95 Gt de CO2à l’échelle mondiale. Thierry Legrand souligne ainsi la nécessité de réduire cette empreinte carbone : « Il n’y a pas de sujet plus important pour la construction aujourd’hui que la neutralité carbone. Des innovations sont nécessaires pour réduire les émissions de CO2. Mais celles-ci doivent être accessibles à un coût raisonnable. » Le parcours de Thierry Legrand Polytechnicien et ingénieur de formation, Thierry Legrand a débuté sa carrière chez Saint-Gobain, dans les secteurs de l’optimisation des procédés et de l’organisation des usines. En 1992, il poursuit sa carrière, en intégrant Lafarge Ciments. Il restera chez Lafarge et Holcim pendant plus de 20 ans à des postes de direction en Afrique, en Asie et en Europe.  1Selon une étude menée par l’Alliance mondiale pour le bâtiment et la construction et du Programme des Nations unies pour l’environnement. 
Il y a 3 ans et 195 jours

Et si l'usine du futur s'adaptait toute seule à la demande ?

Emmanuel Macron se rend lundi dans l'entreprise Sileane à Saint-Etienne, spécialisée en robotique, vision et intelligence artificielle, pour promouvoir les initiatives du récent plan d'investissements France 2030 dans ce domaine, indique-t-on au cabinet de la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.En avril 2019, les députés Bruno Bonnell et de Catherine Simon s'inquiétaient dans un rapport ("Robotique et systèmes intelligents") d'un retard français dans la robotisation des processus industriels, source de perte de compétitivité dans des secteurs-clés.L'enjeu est énorme. Car à elle-seule, la Chine, usine du monde, représente un tiers de la demande mondiale en terme de robots industriels, selon la banque d'affaires Bryan Garnier spécialisée dans les technologies.La France, qui souhaite relocaliser une partie de son industrie, est en 7e position mondiale pour le nombre de robots, derrière la Chine, le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud, l'Allemagne et l'Italie, selon la Fédération Internationale de la robotique (IFR) basée à Francfort en Allemagne.Et avec des machines âgées en moyenne de 17 ans dans les PME industrielles françaises, Bercy se désole de voir qu'une partie des 8.000 projets de modernisation qui ont pu voir le jour grâce au guichet "industrie du futur" du plan de relance en 2020, n'aient pas bénéficié à des constructeurs français."Robotique adaptative"Raison pour laquelle le plan France 2030 consacre un budget pour aider à la production de robots et à la structuration de projets locaux autour de sites industriels.L'usine Sileane prise en modèle par Emmanuel Macron lundi pratique la "robotique adaptative", c'est-à-dire l'intelligence artificielle.Agée d'une vingtaine d'années et employant une centaine de personnes, elle produit notamment des robots qui conditionnent des poches de perfusion pour le domaine médical, ou qui gèrent les déchets dans le domaine nucléaire. Ils sont conçus pour gérer des situations imprévisibles, capables, si les choses ne se passent pas comme prévu, de s'ajuster et d'évoluer."Nous avons besoin d'usines plus flexibles, capables de se reconfigurer pour faire face à des brutales variations de la demande", explique Thierry Weil, conseiller au groupe de réflexion "La fabrique de l'industrie" et animateur de la chaire "Futurs de l'industrie et du travail" à Mines Paris, PSL.En clair, des "usines intelligentes" avec des chaînes d'assemblage qui "croisent intelligence artificielle, robotique et objets connectés", ajoute Stéphane Pezeril, directeur Innovation et recherche d'Ausy, cabinet de conseil du groupe Randstad, dans le livre blanc de l'industrie pour 2030 publié par Randstad."On a vu pendant la crise du Covid des constructeurs ou des équipementiers automobiles fabriquer des respirateurs. Il savent assembler des pièces de métal et de plastique, de l'électronique et des ventilateurs, mais ils faut pouvoir reconfigurer rapidement des machines polyvalentes comme les robots et réarranger les lignes de production" dit-il.Reste la lourde et délicate question de l'emploi. Est-ce que cette automatisation industrielle risque de "détruire" demain tous les emplois industriels humains? Un rapport du Sénat "demain les robots" s'en inquiétait en décembre 2019.La réponse n'est pas facile. Dans un premier temps, l'aide à la modernisation industrielle va au moins permettre une augmentation de 30% des formations en alternance, dont une partie dans la robotique.L'entreprise Technics Développement Robotique, située à Lallaing dans les Hauts-de-France (20 salariés) et spécialisée dans la robotisation des PME, a notamment bénéficié d'une aide exceptionnelle pour recruter quatre personnes dont trois apprentis en alternance issus de formations professionnelles en robotique ou en ingénierie d'automatisation et d'informatique grâce au dispositif "un jeune, une solution".
Il y a 3 ans et 198 jours

Robimax, le kit pour simplifier l'installation de robinetterie

Robimax, un raccordement de robinetterie breveté qui s'adapte à toutes les configurations !Le kit Robimax facilite l'installation de la robinetterie sur les cloisons en plaque de plâtre grâce à un système de raccordement complet, modulable et fiable entre le tube (PER ou Multicouches) et le robinet (ou mitigeur). Il est composé d'une platine INOX, de coudes en laiton avec leurs raccords, de bouchons plastiques 15/21 avec joint pré-monté, de chevilles, et d'un adhésif pour permettre une étanchéité parfaite à l'air. La platine en INOX est sécable et s'adapte à toutes les configurations (mono, entraxe 80, entraxe 150mm). Ses coudes sont orientables à 360° ce qui permet aux coudes de s'aligner avec l'arrivée d'eau. Même après installation, Robimax est visitable. Comme dans toutes ses innovations, RAM a souhaité apporter aux professionnels une solution de fixation qui leur simplifie l'installation tout en garantissant des performances dans le temps.RAM, engagée pour répondre aux besoins des artisansDepuis 70 ans, RAM développe des solutions de fixation qui allient performance et simplicité de mise en œuvre pour permettre aux artisans d'intervenir dans de meilleures conditions chez leurs clients. Les produits de RAM sont disponibles dans le réseau de la distribution professionnelle. « Plusieurs fois par an, RAM anime des ateliers avec des plombiers, électriciens... En ressortent des idées, des envies, des besoins qui sont le terreau de nos futurs développements. Être en prise directe avec les artisans utilisateurs nous permet de nourrir les réflexions du département R&D et de viser juste », indique Bernard Fournier, PDG de RAM.RAM, made in France depuis toujoursRAM a toujours fait le choix de maintenir sa production en France avec une usine de production implantée à Wissous (91) de laquelle sort chaque année plus de 60 millions de fixations. Aujourd'hui, ce choix est d'autant plus pertinent qu'il apporte aux partenaires distributeurs de RAM la maîtrise de l'approvisionnement, la garantie d'une qualité dans le temps et une cohérence sur les préoccupations RSE.
Il y a 3 ans et 198 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 199 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 199 jours

Bruno Le Maire demande aux industriels d'accueillir plus d'élèves en visite d'usines

"Il faut inciter les jeunes à s'orienter vers les métiers de l'industrie", qui manque de bras, car "l'image de l'industrie est décalée par rapport à la réalité", a dit le ministre en suggérant à un parterre d'industriels reçus à Bercy "d'inviter les enfants à se rendre dans les usines" pour "découvrir juste ce que c'est, comment cela fonctionne et qu'ils s'en fassent une autre idée"."On emmène des enfants du primaire et du collège visiter des lieux de mémoire, des musées, des lieux du patrimoine, tant mieux, c'est indispensable de transmettre nos mémoires mais notre mémoire est aussi industrielle. Et si l'industrie fait partie de notre culture, pourquoi est-ce que nous n'inviterions pas nos enfants à partir du collège, du primaire?", a-t-il lancé.Selon lui, "la seule façon de remédier" à la désindustrialisation qui touche la France depuis 40 ans, c'est de "recréer une volonté industrielle"."La relocalisation est indispensable et vitale pour l'emploi, mais aussi pour la lutte contre les extrêmes, pour redonner confiance", a ajouté le ministre.Car, "là où une usine ferme, il y a une permanence du Front National qui ouvre, c'est une réalité politique", a ajouté M. Le Maire, qui s'exprimait en clôture d'un colloque sur la relocalisation d'activités essentielles sur le territoire national, organisé par Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.Sur la désindustrialisation, M. Le Maire, plusieurs fois ministre, a fait son mea-culpa: "nous sommes collectivement responsables", a-t-il dit, citant "les politiques, les chefs d'entreprise, les filières industrielles, tous ceux qui ont inventé le fameux concept de +fabless industries+ (les entreprises sans usines, dépendant de la sous-traitance dans des pays à bas coût, NDR), tous ceux qui ont recouvert d'un vernis scientifique ce qui était une défaite politique"."La France a abandonné son industrie et nous en payons encore aujourd'hui le prix économique, le prix financier, le prix en termes d'emplois et le prix politique", a-t-il jugé.Estimant que, sans industrie, il n'y a ni indépendance, ni transformation énergétique, ni cohésion sociale, Agnès Pannier-Runacher a de son côté rappelé que les emplois de ce secteur sont à 70% "dans des communes de moins de 20.000 habitants".Pour un "choc de réindustrialisation", il faut "essayer de réconcilier, souvent les mêmes d'ailleurs, ceux qui veulent des médicaments produits en France, des emplois dans les territoires, avec ceux qui relaient une image passéiste dans l'industrie sans voir que nos investissements améliorent drastiquement les conditions de travail des salariés, créent de la richesse et nous aideront (...) à affronter concrètement les transitions environnementales et numériques", a-t-elle ajouté.Elle a rappelé les six secteurs considérés comme "stratégiques": santé, agroalimentaire, électronique, nucléaire, applications industrielles de la 5G, intrants essentiels de l'industrie (chimie, matériaux, métaux, matières premières transformées).
Il y a 3 ans et 200 jours

Girpav aux 24 Heures du Mans

Quelque 150 pavés sur mesure signés Girpav trônent au sein du village du circuit des 24 Heures du Mans. [©Méhat Girpav] Sarthe. L’industriel Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Ceci, depuis plus de 75 ans. Son expertise lui a permis de prendre pied sur le mythique circuit des 24 Heures du Mans, dans la Sarthe. En effet, l’industriel a fourni des pavés sur mesure en coloris Cobaltium (gris clair), à l’occasion de l’évènement solidaire “24h United”, organisé par l’Automobile Club de l’Ouest. Au total, ce sont 150 pavés – dont 60 personnalisés – comportant les noms et prénoms des mécènes ayant fait un don en faveur de l’European Society of Intensive Care Medicine (ESICM), société européenne de soins intensifs. Ces éléments ont été posés au cœur du village du mythique circuit des 24 Heures du Mans. Une véritable fierté pour Girpav, retenu ici pour sa proposition technique et la qualité de ses produits fabriqués en France. Et même tout près du circuit… En effet, l’industriel vient d’ouvrir sa nouvelle usine à moins de 25 km au Nord du Mans, complétant ainsi ses implantations nationales. 
Il y a 3 ans et 200 jours

Sur les rives de la Deûle, Babin+Renaud utilise la brique pour fondre des bureaux dans le paysage

Au sein de l'écoquartier des Rives de la Haute Deûle, à Lille, l'îlot conçu par Babin+Renaud accueille trois volumes de bureaux et d'activité de 5 700 m2, identifiables par l'unité des façades en briques qui font écho aux usines voisines.  Réparti en un R+4 et deux R+2, le programme d'espaces de bureau […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 200 jours

Artibat 2021 conforte son positionnement de salon de référence pour la filière

Côté répartition, ARTIBAT conforte son positionnement habituel, avec l’accueil de tous les corps de métier au travers de ces 5 pôles d'activité synonymes d’offre globale.Ainsi, les entreprises de moins de 20 salariés représentent 45% du visitorat et les entreprises de plus de 20 salariés 18%. La prescription n’était pas en reste puisque 17% de profils d’architectes et maîtres d’œuvre se sont déplacés sur le salon pour y découvrir les nouveautés, millésime 2021. Notons que le visitorat était également composé de 7% de fabricants, 5% de distributeurs et 4% de sociétés de services.Enfin, soulignons une particularité pour cette édition 2021 : la forte fréquentation des apprentis, notamment des CFA de Bretagne et Pays-de-Loire. Ces futurs professionnels (4% du visitorat) sont en effet venus nombreux, comme s’en félicite Valérie Sfartz, Directrice du Salon : « A l'heure où le recrutement constitue une vraie problématique pour l'ensemble du secteur, ARTIBAT s'est imposé cette année comme lieu incontournable de rassemblement de toute la filière, avec une forte mobilisation des professionnels de demain venus échanger avec leurs pairs et futurs fournisseurs. »Au-delà d’une convivialité reconnue et appréciée de tous, ce salon d’affaires s’est à nouveau inscrit en véritable temps fort incontournable pour les professionnels français du BTP, appréciant découverte des innovations, qualité des échanges et business, comme en témoignent ces exposants.EDYCEM : Olivier Collin, Directeur Général« L’édition Artibat 2021 aura été une très belle occasion de retrouver l’ensemble de nos partenaires professionnels, un rendez-vous de qualité tant par son contenu que par sa fréquentation. Nous avons eu le plaisir de présenter au public nos innovations, et tout particulièrement notre gamme de bétons bas carbone Vitaliss, l’obtention du DTA pour notre chape sans pellicule Kalkiss SP Evolution, et le Vertical Bloc qui connaît un grand succès auprès de nos clients. »MALERBA : Lydie Chastan, Responsable Communication & Marketing« Artibat 2021 était une très belle édition placée sous le signe du soleil et de la bonne humeur. Au-delà du plaisir de se rencontrer à nouveau et d’échanger de vive voix, c’était aussi la vitrine parfaite pour présenter les nombreuses nouveautés mises au point au cours de ces longs mois de confinement. Salon après salon, ARTIBAT confirme qu’il est un RDV attendu et incontournable pour les professionnels du bâtiment. »SCHÖCK : Daniel Costa, Directeur Commercial et Marketing« Les 3 jours passés au salon Artibat ont répondu à nos attentes, tant en termes d’organisation que de qualité du visitorat et des échanges que nous avons pu avoir au fil de nos rencontres. Notre participation au salon nous a notamment permis de présenter notre nouveau logiciel Open BIM Schöck, avec la présence de notre partenaire et développeur CYPE France sur notre stand qui a réalisé des démonstrations en avant-première ! Résultat : une approche interactive pour présenter nos nouveautés, obtenir de premiers retours et échanger de manière constructive sur les défis auxquels doit faire face le secteur du bâtiment en matière de sobriété énergétique et décarbonation avec nos partenaires maîtres d’ouvrages, architectes, bureaux d’études thermique et structure. »WEBER : Frédéric Sevestre, Chef de Projet Communication« La richesse des échanges avec nos clients et le plaisir de nous retrouver dans un cadre convivial confirment plus que jamais l’importance de la proximité et du contact humain dans nos métiers. Année après année, Artibat continue de s’imposer comme un lieu de rencontre et de partage incontournable pour les professionnels du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 201 jours

Des promoteurs à la FIAC ou l’architecture de collection

Des promoteurs ne cachent pas leur double-vie de collectionneurs d’art. Pourtant, dès qu’il s’agit d’architecture, point de mécénat à l’horizon ! Dans la ‘family business’, la Culture aurait-elle deux vitesses ? Du 20 au 24 octobre, dans le tout récent Grand Palais Ephémère et dans les rues de Paris, s’est déroulée la FIAC, pour foire internationale d’art […] L’article Des promoteurs à la FIAC ou l’architecture de collection est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 201 jours

Saint-Gobain s’implante sur le marché mexicain de la chimie

En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. [©Impac] Saint-Gobain a signé un accord pour acquérir Impac. Qui est un acteur de référence sur le marché de la chimie de la construction au Mexique. En 2020, Impac a réalisé un chiffre d’affaires de près de 50 M€. L’entreprise gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes. Cette acquisition permettra au groupe Saint-Gobain de consolider sa position de leader en Amérique latine. Tout en accélérant sa dynamique de croissance dans la région. Et en étoffant son offre de solutions à destination des marchés de la construction durable. Au Mexique, Saint-Gobain emploie déjà 7 500 personnes et dispose de 11 sites industriels.  La finalisation de cette transaction est soumise à l’obtention de l’autorisation des autorités mexicaines de la concurrence et devrait avoir lieu dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 201 jours

Ideal Standard dévoile sa nouvelle collection I.LIFE lors du Together World Tour à Paris

La tournée mondiale Together d’Ideal Standard est récemment arrivée à Paris pour la quatrième étape de son voyage cinématographique inspirant autour du monde. L’événement du 21 octobre a été l’occasion pour Ideal Standard de présenter sa dernière collection de salle de bain i.life. i.life, une collection contemporaine et polyvalente Le Together World Tour, qui s’est déroulé à Paris, a permis à Ideal Standard de dévoiler sa collection i.life, une solution de salle de bain complète pour le quotidien. Elaborée pour apporter de la beauté dans tous les types d’habitat, i.life offre la simplicité avec des lignes pures pour un intérieur de salle de bain serein où fonction et praticité se marient à merveille. Conçu en collaboration avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati, i.life permet aux utilisateurs de créer un intérieur de salle de bain dont ils peuvent profiter jour après jour. Composé d’une sélection de lavabos, toilettes et bidets caractérisés par des formes douces et arrondies et un design accessible, i.life est à la fois pratique et esthétique. Avec i.life, même les petites salles de bains disposent d’équipements de qualité. A propos de cette collection contemporaine, Roberto Palomba, Directeur du design d’Ideal Standard, a déclaré « La collection de salle de bains i.life est un véritable exemple de design qui crée une toile de fond pour bien vivre ; un design qui favorise un espace sûr. C’est une collection intelligente et polyvalente où l’esthétique, le confort et l’hygiène se marient à merveille et nous avons hâte que nos clients en fassent l’expérience chez eux. Ideal Standard a également profité de cet événement parisien pour présenter les nouveaux produits de ses collections Atelier primées : Extra, Linda-X et Tipo-Z.» Roberto a poursuivi : « Atelier Collections est la version de la Haute Couture d’Ideal Standard, un projet magnifiquement conçu et organisé, incarnant la valeur éternelle d’un bon design. Avec ces produits, nous avons pu saisir l’essence du temps et la traduire en designs qui accompagnent l’évolution de la société. Comme l’ont prouvé les grands noms parisiens, le fondement d’un design intemporel repose sur des valeurs plutôt que sur des tendances, et c’est exactement ce qui a inspiré nos gammes phares Atelier Collections. » La tournée mondiale d’Ideal Standard s’est arrêtée à Paris Le Together World Tour est une série d’événements liés à six destinations – chacune sélectionnée en raison de sa célèbre contribution au design et à la culture. Alors que Together World Tour plonge dans la beauté unique de chaque ville, Ideal Standard lance simultanément de nouvelles collections de produits destinées à la communauté de l’architecture et du design à travers un format engageant et artistique. Après le succès des trois précédents événements de la tournée à Milan, Berlin et Londres, le dernier de la série s’inspire de l’une des capitales mondiales de la mode pour offrir un aperçu unique des tendances et explorer l’évolution du design de la salle de bain. Jan Peter Tewes, co-Directeur Général d’Ideal Standard, a déclaré « Paris est mondialement connue pour sa théâtralité et sa haute-couture, abritant certains des designers et artistes les plus emblématiques du monde. Tout au long de l’histoire, cette capitale ayant présenté à la société des milliers de tendances au fur et à mesure de l’évolution du style, il nous a donc semblé juste de choisir cet endroit pour montrer comment nous avons affiné nos propres processus de fabrication tout au long de nos 200 ans d’expérience. Le processus créatif d’Ideal Standard est en interaction sans fin avec la recherche et l’expérimentation, toujours dans le but de développer des produits de la plus haute qualité. Grâce à une expérience numérique cinématographique avec Paris comme point d’ancrage, nous avons pu cerner l’évolution de la société, de l’atelier à l’industrie de la céramique, et transmettre notre véritable passion pour la conception de salle de bain. » Le film a offert aux téléspectateurs un aperçu exclusif des coulisses de l’usine de fabrication d’Ideal Standard, résumant les étapes de la conception d’une collection et le processus de fabrication innovant, qui utilise les dernières technologies pour créer un design saisissant. Jan Peter a poursuivi « un atelier n’est pas seulement un lieu physique, mais un lieu emblématique où les maîtres actuels enseignent aux futurs maîtres comment fabriquer des pièces. Ils assurent la fiabilité grâce à des pratiques éprouvées, tout en ayant la liberté de jouer et d’appliquer de nouvelles techniques et technologies. Pour Ideal Standard, cela signifie fixer les objectifs de qualité les plus élevés, produire en série sans négliger les moindres détails qui améliorent l’expérience client. » Le prochain événement de la tournée mondiale Together aura lieu à Dubaï, la ville du futur, le 22 novembre 2021. Il s’agira d’un voyage dans l’évolution de l’architecture moderne et de la manière dont la diversité, la jeunesse d’esprit, l’ambition et la vision de la ville influencent son avenir. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 201 jours

Composition re-composition, un centre pédagogique dans une ancienne ferme par Jo Taillieu

Au sein de l'écoquartier des Rives de la Haute Deûle, à Lille, l'îlot conçu par Babin+Renaud accueille trois volumes de bureaux et d'activité de 5 700 m2, identifiables par l'unité des façades en briques qui font écho aux usines voisines.  Réparti en un R+4 et deux R+2, le programme d'espaces de bureau […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 202 jours

Le béton : matériau d’avenir au service de la construction

Le béton, matériau d’avenir au service de la construction. [©Techni Prefa] Pourquoi le béton n’a pas une bonne image L’utilisation massive, intensive du béton lors des cinq dernières décennies a pu générer un désenchantement vis-à-vis de ce matériau. En effet, l’employer de façon quasi-systématique dans les aménagements urbains (ronds-points, troittoirs…), privés (terrasses, mobilier de jardin…) ou de vouloir en faire le matériau de prédilection pour la construction, y compris pour les éléments non porteurs, a pu conduire à une utilisation abusive du béton, aujourd’hui décriée. En cause, la vision d’espaces totalement entourés de béton, alors que depuis de nombreuses années déjà il existe des solutions alternatives éprouvées, mettant en œuvre des matériaux plus adaptés sur les plans esthétique et écologique. « Le bois, matériau de construction écologique » : une fausse bonne idée L’engouement contemporain pour les matériaux à base de bois semble à l’inverse nous faire oublier l’importance de sa source : l’arbre. Le bois est souvent traité, collé, usiné, transporté (et parfois sur des milliers de kilomètres) pour être utilisé, quand bien même l’environnement lui serait défavorable. Mais utiliser le bois de façon intensive et non adaptée, c’est oublier l’importance de l’arbre et de nos forêts, qui, dans certains pays, sont exploités de manière de plus en plus sinistre. Or la forêt est une ressource indispensable qui abrite plus de la moitié de la biodiversité terrestre et assure la subsistance de 2 Md de personnes à travers le monde. Source majeure d’oxygène, d’eau, actrice de la dépollution et de la lutte contre le réchauffement climatique, la forêt doit être préservée. Comme pour le béton (et les autres matériaux comme l’acier et le PVC), il s’agit de bien de réfléchir à l’usage du bois, pour s’en servir en bonne quantité et là où il le faut. Vers la construction composée Face aux enjeux économiques et écologiques du XXIe siècle, il est urgent d’utiliser les matériaux de façon complémentaire en fonction de leurs spécificités propres, en faisant preuve de bon sens. Ainsi seulement, nous participerons à protéger chaque ressource sans que l’une ne soit favorisée au détriment de l’autre. « Chez Techni Prefa, explique Richard Poupart, directeur général, nous pensons que le béton armé est le matériau le plus économiquement adapté pour la structure des bâtiments et qu’il est l’un des meilleurs pour ses qualités de résistance aux chocs, au feu, à l’eau, aux agressions chimiques. Il est aussi un très bon isolant acoustique lors de son utilisation dite de « loi de masse ». Mais d’autres matériaux peuvent être employés autour de la structure d’une construction ! il faut donc savoir utiliser « le bon béton » là où il le faut, et en quantité optimisée. » Le béton, engagé dans une démarche environnementale Les producteurs de ciment se sont engagés à baisser le bilan carbone des bétons à hauteur de 30 % d’ici à 2030 avec un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050. Pour cela, de nombreux chantiers d’envergure pour la modernisation ou la reconstruction des usines voient actuellement le jour. À l’instar des cimentiers qui se sont engagés dans cette démarche volontariste, nous ne pouvons pas nous satisfaire d’en récolter les fruits, en nous félicitant d’utiliser des ciments bas carbone. A notre niveau, il nous faut réfléchir à la place qu’occupe notre métier dans la filière et proposer des solutions que nous devons nous imposer, en termes de développement durable et de lutte contre le réchauffement climatique. Un objectif de « zéro empreinte carbone » en 2050 « Nous pensons aussi qu’il est de notre responsabilité de faire évoluer l’utilisation du béton armé, en optimisant les calculs, la conception des modules et leurs assemblages, afin de permettre une industrialisation de la fabrication, ajoute Richard Poupart. Il ne faut pas omettre dans la démarche environnementale tout ce qui a trait à la mise en œuvre du matériau. Nous sommes soucieux de la réutilisation des moules, de la réduction des déchets et de tout composant servant à la fabrication des éléments. » Cette démarche sera longue, car elle demande de convaincre toute la filière de la construction d’un projet, de sa conception jusqu’à sa livraison, dans une logique de standardisation ou semi-standardisation de la fabrication. À terme, la production de modules de construction hors-site devrait bénéficier à l’ensemble de la profession, sous réserve d’une prise de conscience de chaque acteur dans son rôle pour des chantiers optimisés et conséquemment plus responsables. EN SAVOIR PLUS SUR TECHNI PREFA Fort de notre vision globale du secteur de la construction et de notre maîtrise totale de la fabrication hors-site, nous concevons et fabriquons en usine des éléments de structure béton pour fournir nos clients dans les secteurs du bâtiment, des TP et du génie civil. Nous imaginons des solutions techniques innovantes et investissons très largement dans la modernisation de notre outil industriel. Techni Prefa est également engagé dans une démarche de recherche et développement, que ce soit sur le plan de nos méthodes de travail (planification, pilotage, augmentation de la qualité des processus et des produits) pour utiliser de manière optimale les moyens de production et limiter les gaspillages des outils, tant sur le plan constructif (optimisation et rationalisation des profilés, études d’assemblage, outils de calculs performants…) que sur le plan de l’impact environnemental (gestion des déchets et de l’empreinte carbone…). En mettant l’accent sur l’industrialisation de notre organisation, ainsi que sur l’hygiène, la sécurité et le bien-être au travail, nous favorisons un environnement stimulant pour la montée en compétence des collaborateurs, tout en diminuant les facteurs de pénibilité. En intégrant nos partenaires dans une collaboration gagnant-gagnant et en accentuant nos efforts visant à réduire notre impact environnemental, nous entendons devenir le spécialiste de l’industrialisation de bâtiment le plus à même de répondre aux exigences du marché et de ses évolutions. TECHNI PREFA – Rue du Champ de l’Ormeau – 79 100 Thouars Tél. : 05 49 66 27 82 – beton-prefabrique.fr
Il y a 3 ans et 202 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 205 jours

Eldotravo.fr devient Eldo et accélère son déploiement européen

La start-up mène ce projet depuis plus d'un an et a mobilisé l'intégralité de ses équipes, 55 collaborateurs, pour offrir le meilleur à ses partenaires et utilisateurs. Les deux frères co-fondateurs, Hugo et Jean-Bernard Melet, ont dit au revoir à leur ancien nom, trop long et trop “français” et opté pour Eldo : duplicable et interprétable à l'international, qui met mieux en avant l'offre SaaS de la start-up.Un rebranding pour préparer une expansion européenne et asseoir sa position d'éditeur de logiciel pour les pros et les marques du BTPAvec plus de 100.000 avis et photos de particuliers sur son site, Eldo a réussi à devenir leader des avis clients du BTP avec l'obtention, en mars 2021, de sa certification AFNOR pour ses processus de collecte, modération et restitution d'avis.Un gage de qualité et de confiance, notamment pour les particuliers qui sont 88% à se fier aux avis clients en ligne lorsqu'ils recherchent des pros pour leurs travaux. Avec sa certification et son nouveau site internet, modernisé et repensé pour répondre aux besoins des visiteurs particuliers, Eldo améliore l'expérience utilisateur et renforce sa position de tiers de confiance du BTP.« Le Covid a changé la donne, avec le confinement, le BTP a connu une explosion historique de la demande de travaux : nous avons constaté une augmentation de 100% des demandes sur notre site et via les 1500 fiches Google my Business qui sont gérées via notre solution SaaS. Sur le 1er semestre 2021, il y a eu plus de 9 millions de recherches de professionnels supplémentaires.” explique Jean-Bernard Melet, CEO d'Eldo. “50% des consommateurs se disent insatisfaits du parcours client. Les professionnels ne doivent plus uniquement satisfaire sur la qualité des travaux, mais aussi être hyper réactif et qualitatif sur l'expérience client. »300 marques et 20.000 professionnels en Europe d'ici 2025Aujourd'hui, Eldo collabore avec plus de 50 industriels et marques, nationales et internationales du secteur, telles que SOMFY, Schneider Electric, Ariston ou encore Treppenmeister.Déjà présente en Belgique et Suisse avec son partenaire Murprotec, Eldo ambitionne d'ici 2022 de conquérir l'Europe et s'ouvrir ensuite à ses voisins espagnols et allemands.Le rebranding d'Eldo permet à la start-up d'élargir son offre, au-delà du site d'avis, et d'étendre sa plateforme marketing SaaS aux installateurs et marques d'Europe. Les travaux de rénovation résidentiels représentent un marché de 560B d'euros en Europe : soit plus de 5000 marques et 3,4 millions d'entreprises.Eldo, spécialiste de l'accompagnement digital des professionnels et marques du secteur de l'amélioration de l'habitatDepuis sa création en 2016, Eldo accompagne 2.500 pros et 50 marques du secteur à se digitaliser pour croître et assurer la meilleure expérience au client final. Eldo propose une suite applicative marketing, développée avec et pour eux, permettant de gérer simplement leurs principaux besoins du quotidien et leur faire gagner du temps :Réputation en ligne : collecte, gestion et diffusion d'avis clientsVisibilité locale Google : solution de référencement local et rayonnement de la marqueGestion intelligente des leads : centralisation des contacts, pilotage marketing et commercialAssistant digital commercial : envois automatiques de sms et rappels, conseils personnalisés« Je ne pensais pas que le partenariat prendrait si vite et si fort. Eldo était une toute petite boite, c'est aujourd'hui notre meilleur partenariat communication et d'aide à la vente.» Témoigne Pascale Anselme, Responsable marketing communication chez Profils Systèmes, filiale du groupe Corialis, un des acteurs majeurs de la menuiserie aluminium en France.Les outils digitaux constituent des ressources uniques pour développer des relations solides et garantir des réalisations qui durent. La maison est au centre de tout : le projet de vie des particuliers, l'accompagnement de ces derniers par les professionnels ainsi que les matériaux derrière ces projets, apportés par les industriels. Eldo s'attache à créer une solution pensée pour apporter de la valeur aux 3 parties indissociables : redonner force et considération aux professionnels, rassurer le particulier et faire rayonner les marques pour construire et rénover l'habitat de manière durable.
Il y a 3 ans et 205 jours

A Noisy-le-Sec, réhabiliter les friches mais pour faire quoi?

Bientôt, d'anciens bâtiments inoccupés de la SNCF vont être rasés pour construire 77 logements privés, une place et prolonger une rue. Les travaux sont en partie financés par une subvention de 975.000 euros allouée par l'Etat via le "fonds friches".Ce fonds a été déployé dans le cadre du plan de relance économique du gouvernement. L'enveloppe, de 300 millions d'euros à l'origine, a été pérennisée début septembre et dotée de 350 millions supplémentaires.Anciennes stations services, locaux inoccupés, usines désaffectées... L'ambition est de donner une seconde vie aux friches industrielles et commerciales disséminées aux quatre coins de l'Hexagone, dont le nombre est toujours inconnu mais qui se comptent par milliers.A Noisy-le-Sec, cette manne est une bouffée d'air bienvenue. "Dans le domaine de l'aménagement, on court après toutes les subventions", soupire Olivier Sarrabeyrouse, maire communiste de la ville.Une aide néanmoins limitée, estime Laurent Chateau, chargé de mission à l'Ademe, l'agence de la transition écologique qui coordonne une partie des appels à projets. Mais il concède la difficulté de déterminer quel montant déployer et où."Des friches, il y en a partout, et il s'en crée malheureusement tous les jours", poursuit M. Chateau.Or reconvertir une friche induit parfois des coûts vertigineux, notamment pour des sites très pollués qu'il faut décontaminer.Pour tenter d'équilibrer les comptes, les élus penchent alors souvent pour la construction de logements privés, plus rentable. A Noisy, c'est ce qui soutient financièrement la transformation des abords du canal de l'Ourcq.Avec parfois à la clef des projets étonnants: 450 logements étudiants devaient ainsi voir le jour à 15 mètres de l'autoroute A86. Un projet stoppé par la nouvelle municipalité. "A la place, on veut un lieu d'activité, de loisirs, de culture. Mais ça ne fait pas rentrer d'argent dans les caisses", soupire M. Sarrabeyrouse.Densification intérieure, étalement extérieurEt pourtant, le besoin de logements est considérable dans des secteurs en tension comme la région parisienne. Pour concilier construction et écologie, l'Etat mise sur la densification du bâti, un objectif énoncé dans la loi Climat et Résilience qui prévoit "zéro artificialisation nette" de sols d'ici à 2050.Dans cette optique, le "fonds friches" permet de donner une seconde vie à des terrains ou des bâtiments inutilisés, souvent au coeur des villes."Jusqu'à présent, on étendait sur les territoires agricoles. Maintenant, il faut s'intéresser à ce qu'il y a au sein de la ville", explique M. Chateau.Guillaume Faburel, urbaniste et enseignant à SciencesPo Lyon, nuance pourtant: "Le processus de métropolisation que nous connaissons, c'est-à-dire le grossissement des grandes villes, est simultanément une densification intérieure et un étalement extérieur."Paradoxal? Non. "Parce que la ville devient trop dense, des populations fortunées choisissent aussi d'aller habiter en périphérie pour avoir plus d'espace", explique M. Faburel.Parallèlement, les populations les plus précaires doivent souvent quitter les quartiers réhabilités car les promoteurs répercutent sur le prix des logements les coûts parfois élevés engendrés par les travaux et l'acquisition des terrains.Dans la commune historiquement ouvrière et cheminote de Noisy, c'est donc toute une partie de la population qui risque de devoir déménager si la réhabilitation des friches fait bondir les loyers.Car ce ne sont pas les 975.000 euros reçus du fonds friches qui vont changer la donne dans la construction à Noisy, "l'une des trois communes de l'Est parisien les plus pauvres", souligne le maire de Noisy. L'élu regrette que cet argent "ne serve pas à construire du logement social", mais plutôt à développer le parc privé.Pour Guillaume Faburel, la solution de l'équation réside dans la mise en place d'une "politique de plafonnement des loyers" et de construction de logements sociaux "pour répondre aux besoins".Et ce, afin que les nouveaux éco-quartiers gagnés sur les anciennes friches ne soient pas réservés aux plus aisés.
Il y a 3 ans et 206 jours

Vicat fait pousser des micro-algues à Montalieu-Vercieu

Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). [©Vicat] Le cimentier français Vicat s’est associé à AlgoSource Technologies, TotalEnergies et l’Université de Nantes. Ceci, pour accélérer le développement de la production de micro-algues à partir de CO2 et de chaleur fatale. Dans le cadre du projet de recherche industrielle “CimentAlgue”. Le démonstrateur est installé dans la cimenterie Vicat de Montalieu-Vercieu (38). Ce procédé innovant permet la valorisation d’effluents industriels en matières premières essentielles au développement de ces organismes. Et ainsi participer à la réduction des émissions de CO2 dans l’atmosphère. Zoom sur la valorisation de la spiruline La micro-algue en culture est l’Arthrospira platensis (plus communément appelée spiruline). Ce système permet de maîtriser tous les paramètres de la culture (lumière, température, CO2, nutriments) pour une croissance optimale. [©Vicat] Pour mémoire, rappelons que les micro-algues consomment 5 à 10 fois plus de CO2 au m² que les plantes terrestres. Préalablement validé à plus petite échelle par des essais au sein de la plate-forme AlgoSolis de l’université de Nantes et du CNRS, le démonstrateur CimentAlgue de 800 m² installé dans la cimenterie permet : d’atteindre les objectifs de culture de micro-algues à une échelle représentative (capacité d’environ 1 t de micro-algues sèches/an) ; d’optimiser les paramètres de culture maîtrisée des micro-algues ; de mesurer finement le bilan CO2 de la symbiose industrielle ; de définir les règles de dimensionnement d’autres installations pouvant être appliquées à d’autres sites/industries ; de réaliser des “essais grandeur nature” sur différents types de cultures de micro-algues et démontrer la viabilité industrielle et économique de leur culture ; de tester la compatibilité de ce procédé de récupération des fumées avec une application dans le domaine des biocarburants (du point du vue technique et règlementaire). Biocraburants dans la ligne de mire [©AlgoSource Technologie] Les différentes souches de micro-algues testées, comme la spiruline notamment, permettront de développer des produits vers des marchés adaptés à l’échelle industrielle des cimenteries. Les lipides, protéines ou sucres qui seront extraits pourront être utilisés en ingrédients alimentaires pour les animaux, comme biostimulants végétaux. Ou pour réaliser des matériaux biosourcés… Des souches oléagineuses à fort potentiel de croissance seront aussi testées dans le but de produire des biocarburants de 3e génération. Sur place, la culture de la spiruline a commencé cet été, avec un objectif de 1t/an pour les deux ans à venir, afin de recueillir des données en volume et qualité. Et valider le projet. Vicat prévoit aussi de cultiver une deuxième souche, une nannochloropsis, micro-algue lipidique pouvant servir de base à des biocarburants. Plus globalement pour réduire ses émissions de CO2, Vicat table en premier lieu sur le remplacement à 100 % des combustibles fossiles dans ses fours par des combustibles alternatifs d’ici à 2025. Lire aussi : Vicat s’équipe pour décarboner son usine de Montalieu-Vercieu
Il y a 3 ans et 206 jours

Goran Ostojic, nouveau directeur du développement de Wizzcad

Goran Ostojic est le nouveau directeur du développement de Wizzcad. [©Wizzcad] Goran Ostojic rejoint Wizzcad à la direction du développement. Cette nomination illustre la stratégie du spécialiste du conseil des acteurs de l’immobilier et de la construction dans leur transformation digitale à renforcer ses équipes. Ceci, pour accélérer son engagement auprès des acteurs du BTP. Mais aussi de tous les acteurs qui franchissent le cap du numérique. Le recrutement de talents se poursuivra sur les prochains mois, dans toutes les lignes métiers. Goran Ostojic aura pour mission d’accélérer la trajectoire de croissance de l’entreprise vers la scale-up1. « C’est l’âge d’or du numérique en France et dans le monde entier d’ailleurs, alors ceux qui savent que je n’aime pas m’arrêter sur ce que je sais ne sont pas du tout surpris de mon choix pour Wizzcad ! Leur plate-forme technologique est la plus avancée d’Europe en matière de BIM et leur solution digitale utilisée par bon nombre d’acteurs différents m’a séduit dès le départ. Elle dispose en outre d’un track2 record sans égal dans ce domaine d’avenir. L’entreprise est moderne et le bonheur au travail s’y ressent dès l’intégration. Je me réjouis donc de rejoindre cette équipe dynamique où il fait bon travailler et innover ensemble pour un monde de demain plus efficient ! », déclare Goran Ostojic. Son parcours Goran Ostojic dispose d’une solide expérience de plus de 20 ans dans le management, la stratégie, le commerce, le marketing et les technologies du numérique. Après des études de commerce, d’audit et de gestion d’entreprise, puis de management, il a débuté sa carrière chez Ecus, un fabricant français de solutions de protection électrique data center. Il décide ensuite de s’orienter vers un marché en pleine croissance et rejoint le premier fournisseur d’accès Internet, c’était alors les débuts du digital en France en 1998. Il est séduit quelques années plus tard par un éditeur de logiciels Alpi France, grâce auquel, en tant que membre du directoire, il oriente la stratégie vers l’automatisation des documents et le processus BIM. Depuis ce jour, sa perception de la modélisation des données du bâtiment et son souhait d’aller vers les solutions digitales n’a cessé de grandir. « Les seules limites que je vois à la digitalisation sont celles de notre vision », conclut Goran Ostojic. 1La scale-up est une start-up passée à l’étape numéro 2. D’où le mot anglais “Scale”, qui signifie “échelle” en français. De la start-up à la scale-up, le changement d’échelle se manifeste à tous les niveaux, car l’entreprise adopte volontairement une stratégie de croissance. A ce stade, l’offre et le business model sont validés. L’objectif d’une scale-up est donc d’être capable de changer d’échelle pour faire croître son business et son chiffre d’affaires de façon significative. 2Le track record désigne l’historique de vie d’une entreprise ou d’un fonds de placement.
Il y a 3 ans et 206 jours

Saint-Gobain acquiert Impac et entre sur le marché de la chimie du bâtiment au Mexique

L’entreprise, qui a généré un chiffre d'affaires de près de 50 M€ en 2020, gère une usine de production à Monterrey et emploie environ 630 personnes.
Il y a 3 ans et 207 jours

Une charte de déontologie largement partagée

Photo : GettyimagesLe dispositif de déontologie du CSTB a été le garant de son impartialité lors des changements de procédure d'évaluation opérés en période de pandémie pour maintenir l'activité. Le dispositif de déontologie mis en place en 2015 par le CSTB a fait la preuve de son efficacité au cours de l'année 2020, marquée par la crise sanitaire de la Covid. Celle-ci a notamment imposé au CSTB d'adapter ses procédures d'évaluation. Ainsi, une nouvelle démarche a dû être adoptée pour assurer la continuité du service aux clients de l'évaluation en remplaçant les audits en usines et les tests sur échantillons par des consultations à distance pendant les périodes de confinement tout en maintenant le niveau d'exigence et la garantie d'une réponse équitable à tous les clients. Ainsi, près de 50% de nos audits de certifications ont été menés à distance. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 207 jours

Lionel Zbinden, nouveau directeur marketing de Mapei France

Lionel Zbinden est le nouveau directeur marketing de Mapei France. [©Mapei] Agé de 53 ans, Lionel Zbinden vient de rejoindre Mapei France en qualité de directeur marketing. Son expérience et son savoir-faire lui permettront de contribuer au rayonnement de la marque. En affirmant les valeurs et les engagements en faveur de l’environnement auquel il est très sensible. Lionel Zbinden a désormais sous sa responsabilité une vingtaine de personnes, sur les pôles marketing opérationnel, communication, formation et développement produits et marchés Mapei.  « Je suis très heureux de rejoindre l’aventure Mapei et de contribuer à son rayonnement », insiste Lionel Zbinden. Diplômé de l’ESCP Business School et des Arts et Métiers ParisTech, il évolue depuis près de 30 ans dans l’univers du bâtiment. Après avoir travaillé pour des grandes marques internationales comme Lafarge, Ursa ou Zehnder.
Il y a 3 ans et 208 jours

Recycler le béton au fil de la Seine pour freiner le réchauffement de la planète

La France, où sont basés plusieurs géants mondiaux du bâtiment et des routes, est "en tête des pays européens en termes de recyclage des déchets de la construction", indique à l'AFP Mathieu Hiblot, secrétaire général de l'Union nationale des producteurs de granulats, lors de la visite d'une ancienne usine en démolition.Le tiers des granulats consommés dans le pays vient du recyclage, qui fournit surtout des ouvrages routiers.Sur le chantier de "demol", les pelleteuses s'activent. 20.000 tonnes de caillasse de béton doivent sortir du site, l'équivalent d'une petite carrière de pierres.Cette pratique, qui permet d'économiser des ressources naturelles extraites de carrières, est encouragée par l'Association mondiale du ciment et du béton (GCCA) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.Le besoin de recyclage est d'autant plus fort que la fabrication du ciment - ingrédient essentiel du béton - génère trois fois plus d'émissions au niveau mondial que le transport aérien.Depuis 200 ans, pour en fabriquer, on cuit du calcaire dans des fours à 1.400°C, une cuisson qui dégage presque une tonne de CO2 par tonne de ciment fabriqué.La France s'est fixé des normes ambitieuses: à partir du 1er janvier 2022, une nouvelle réglementation intègrera l'impact carbone des bâtiments sur les trois phases de leur cycle de vie: construction, exploitation mais aussi fin de vie.Logistique des gravatsEn Ile-de-France, le recyclage est grandement facilité par le fait que la région densément urbanisée connaît de nombreux programmes de rénovation urbaine.Il bénéficie surtout d'un facteur unique: la Seine facilite le transport et la logistique des gravats. Ce qui réduit le nombre de camions sur les routes et permet de limiter le bilan carbone de la démolition.Sur le fleuve, d'immenses barges plates charrient chaque jour des milliers de tonnes de déchets de construction venus de toute la région parisienne.Des mini-ports répartis sur les berges d'est en ouest de la capitale servent de points de tri.A Saint-Denis, on charge. A Gennevilliers, on décharge. Sur le port, le site de recyclage de la filiale française du géant mexicain Cemex dispose d'une capacité de traitement de 200.000 tonnes de béton par an. Il y a 25 ans, ce recyclage a été impulsé par les géants des routes, les Vinci, Eiffage ou Colas (Bouygues).Toutes les barges ne vont pas au recyclage. Certaines filent jusqu'en Normandie, où elles sont déchargées... dans d'anciennes carrières de pierres.Mais "l'avenir, c'est démolir et réutiliser", juge le directeur adjoint de Cemex France, Francisco Aguilar, dans un nuage de poussière blanche.La "demande" en béton recyclé devient "de plus en plus forte" du côté du bâtiment, ajoute M. Hiblot.Derrière lui, une énorme concasseuse rouge avale et déchiquette les blocs qui arrivent sur un tapis roulant. Surnommé le "caviar", ce béton est issu des excédents de centrales à béton: celui qui a "pris" (séché) avant d'avoir eu le temps d'être utilisé.Le tout ressort en fin granulé. Il produira un béton très honorable.Sous son casque vert, le responsable de la centrale à béton du site Fodil Zemani affiche ses performances: son béton recyclé représente 60% de sa production totale.Le reste, pour 30%, est à base de granulat extrait de carrières, et pour 10%, un béton "ultra zéro carbone", où le liant du ciment, le clinker, particulièrement émetteur, est remplacé par des déchets de sidérurgie venant de Dunkerque.Pour l'instant, la part du béton recyclé dans les constructions neuves n'excède pas 5% en France, admet François Petry, patron du cimentier Lafarge Holcim France. Il demande une évolution des normes permettant l'incorporation de volumes plus importants de béton recyclé. L'ambition serait d'arriver à 20% pour certains types de béton.Pour Benoit Perez, responsable du concasseur de Cemex, "il y a aussi des progrès à faire côté démolition, mieux trier, enlever le bois, le plastique, le plâtre, afin de pouvoir faire du béton de qualité avec du vieux béton".
Il y a 3 ans et 209 jours

Succès confirmé pour Artibat 2021

Avec plus de 900 exposants et 39.852 visiteurs accueillis sur les 3 jours de ce grand rendez-vous professionnel du secteur du BTP, cette édition cristallise toutes les qualités qui ont toujours fait son succès : découverte d'innovations, échanges, sensibilisation aux évolutions des règlementations et bien entendu business. Le tout dans un esprit convivial apprécié des artisans, prescripteurs, industriels et distributeurs. La prochaine édition est d'ores et déjà programmée les 18, 19 et 20 octobre 2023 au Parc des Expositions de Rennes.
Il y a 3 ans et 209 jours

I-Loop, le projet européen d'Isover pour recycler davantage de laine de verre

Trois usines Isover, dont une en France, expérimentent avec un soutien financier de l'Union européenne un nouveau procédé pour recycler davantage de laine de verre.
Il y a 3 ans et 209 jours

Unilin booste l'intégration de bois de réemploi dans ses panneaux HDF et MDF

L'usine Unilin de Bazeilles (Ardennes) porte un projet industriel d'utilisation de bois issus du recyclage dans la production de panneaux.
Il y a 3 ans et 209 jours

Erlus lance sa nouvelle tuile E 58 SL-D en gris ardoise

La tuile universelle de la famille des pannes E 58 Avec cette version teintée dans la masse, ERLUS élargit davantage son offre E 58 SL. Elle réunit tous les avantages de la famille des pannes E 58 : universelle, économique et polyvalente. Elle est disponible avec tous les accessoires ERLUS, y compris ceux en aluminium. La tuile E 58 SL est une tuile panne galbée adaptée pour le neuf comme pour la rénovation. Bien entendu, comme toutes les tuiles de la gamme, elle se montre particulièrement robuste et résistante à la casse. Avec son pureau variable de 30 millimètres et son important jeu latéral, la tuile E 58 SL est très facile à poser. Le quadruple recouvrement à l'angle des tuiles, avec un accrochage correct, lui confère une résistance exceptionnellement élevée contre la tempête ou l'aspiration du vent. Cette tuile est particulièrement adaptée à la rénovation des toits avec des tuiles d'un pureau de 32,5 à 35,5 centimètres. Un grès bigarré Teistungen millénaire La tuile E 58 SL-D est fabriquée à l'usine Erlus de Teistungen à partir de grès bigarré de Teistungen préhistorique. Nous avons spécialement développé un procédé de préparation et de fabrication, qui donne sa surface fine et raffinée à la tuile cuite. Ce matériau de 250 millions d'années se transforme en tuile haut de gamme Karat® XXL, Hohlfalz SL, E 58 PLUS® et E 58 SL-D. Le grès bigarré de Teistungen est directement extrait sur le site de production, tout en préservant l'écosystème. Nous créons des habitats alternatifs pour les animaux s'ils sont perturbés par l'extraction. Par exemple, le lézard des souches a hérité d'un nouvel habitat adapté sur un terrain terrassé de pierres. Après l'extraction, les aires sont reboisées avec des feuillus endémiques et transformées en biotopes. Les espèces menacées y trouvent ainsi refuge et des conditions de vie idéales. Le grès est extrait de la colline par couches à l'aide d'une décapeuse sur chenilles, puis stocké. Il est ensuite réduit en poudre d'argile dans un broyeur pendulaire et mélangé à de l'eau. Afin d'obtenir une masse céramique homogène, le matériau est constamment humidifié et stocké environ 70 jours dans le bâtiment. Il obtient alors la meilleure plasticité pour les processus ultérieurs de formage, séchage et cuisson. Données techniques E 58 SL-D Groupe de pureau : 34 cm Coloris : rouge naturel, rouge vieilli, brun cuivré, anthracite, noir mat, gris basalte, marron, titane argenté, noir diamant, bourgogne et désormais en version teintée dans la masse gris graphite et gris ardoise. Dimensions : environ 29,0 x 46,5 cm Tuiles par m² : environ 11,5 pièces Pente nominale : 20° Pente minimale : 10° Classe de résistance à la grêle (HW) : 4
Il y a 3 ans et 212 jours

Expoprotection Sécurité 2021 remporte un franc succès

Cette audience, particulièrement ciblée, est venue découvrir les nouveautés présentées par les 167 offreurs de solutions présents contre 150 en 2019, soit une augmentation de 11%. En effet, véritable tremplin pour l'innovation, Expoprotection Sécurité a consacré, cette année encore, un large volet aux technologies, solutions et services développés par les exposants, dont certains ont été mis à l'honneur lors des Trophées Expoprotection Sécurité. Enfin, la formule hybride du salon a enregistré ses premiers résultats : près de 40% des visiteurs inscrits ont activé leur compte sur Expoprotection Sécurité Online.« Nous sommes évidemment très heureux du résultat enregistré par cette première édition d'Expoprotection Sécurité. Au-delà de l'ambiance « business » qui a marqué ces trois journées, je retiens que nous avons pu proposer une offre plus large mais surtout plus riche que sur APS 2019 en accueillant notamment la Cyberprévention et la Prévention et Protection Incendie à côté de l'offre Sûreté-Sécurité. En termes d'audience, les visites ont été équivalentes à 2019, malgré le contexte Covid, alors même que de nombreux visiteurs étrangers n'ont pas pu se rendre au salon du fait des restrictions de voyage encore en vigueur. A l'inverse, nous avons enregistré une croissance forte des visiteurs venus de province, qui souligne l'attractivité du salon et le besoin de reconnexion physique des acteurs sur un marché de la sécurité toujours très dynamique. En alternance avec Expoprotection, le salon de la prévention et de la maîtrise des risques qui se tient les années paires, Expoprotection Sécurité nous permet de proposer chaque année en France un rendez-vous de qualité, en phase avec les évolutions de la mission Sûreté-Sécurité », souligne Jean-François Sol Dourdin, Directeur du Salon.Une édition plébiscitée par les visiteursExpoprotection Sécurité 2021 s'installe d'emblée comme l'événement spécialisé référent de la filière Sûreté – Sécurité privée en France avec 167 exposants (en augmentation de 11% par rapport à l'édition d'APS précédente) et 6 400 visites. Une fréquentation qui n'a pas encore montré tout son potentiel du fait du contexte Covid, en particulier pour les nombreux visiteurs étrangers qui n'ont pas pu se rendre au salon cette année. En revanche, le visitorat français s'est mobilisé autour de l'événement, avec une participation forte des visiteurs de province qui représentent près de 40% du total, en hausse de 22%.En termes de segments, la répartition s'établit comme suit :63% d'intermédiaires professionnels : intégrateurs, installateurs, distributeurs, consultants et prestataires de services ;37% de clients finaux, très largement décideurs ou prescripteurs au sein de leur entreprise en matière d'achat d'équipements ou de services de sécurité.Première édition de la formule hybrideInnovant, Expoprotection Sécurité a proposé une formule hybride conjuguant expérience online et visite physique pour répondre aux attentes exprimées par les professionnels. Expoprotection Sécurité Physique + Online a offert une expérience de participation « augmentée » aux participants qui ont pu alterner et combiner à volonté : la visite physique, les rendez-vous d'affaires sur site ou en ligne, la participation aux conférences en présentiel ou à distance, des échanges directs à travers des groupes de discussion, des suggestions personnalisées d'offreurs et de solutions, des alertes en temps réel, etc., Ainsi, près de 3 000 messages y ont été échangés entre exposants et visiteurs tandis que 50% des rendez-vous « Connect » ont été réalisés en ligne.Un programme riche et completPendant 3 jours, le salon a proposé un programme riche et complet :Le Village Start-up a mis en avant huit jeunes pousses du secteur et les pépites entrepreneuriales de demain.L'Espace Cyberprévention a regroupé 10 exposants experts prêts à répondre à l'ensemble des questions des visiteurs et un programme de conférences dédiées à la thématique Cyberprévention.Le Village « Gestion de crise » a permis de répondre à tous les enjeux auxquels sont confrontées les organisations, afin de mieux protéger leurs collaborateurs et de garantir leur résilience.Un programme de plus de 40 conférences, sur le salon ou en live, sur Expoprotection Sécurité Online. Des conférences à retrouver en replay sur la plateforme jusqu'à fin décembre 2021.Le salon de l'innovationEpoprotection Sécurité 2021 a été l'occasion de distinguer et de mettre à l'honneur une sélection des solutions parmi les plus innovantes grâce au palmarès de ses Trophées. Réuni début septembre, un jury de 10 experts (directeurs sécurité-sûreté, responsables incendie…) a étudié les dossiers déposés par les exposants candidats et a désigné les 8 lauréats. Ces derniers ont été mis en vedette sur le salon à travers un parcours de visite « spécial Trophées de l'Innovation » permettant de découvrir et de voir lors de démonstration les solutions qui feront la sécurité de demain.Ils parlent de leur expérience sur Expoprotection Sécurité 2021…« Proximité - Efficacité – Qualité »« Nous n'avons que 2 ans d'existence et nous sommes très satisfaits de cette première expérience et, notamment, de la proximité avec les distributeurs qui pour une fois viennent à nous. Cela représente un précieux gain de temps et d'énergie, ajouté à cela la proximité avec les équipes d'organisation très efficaces et agréables. Nous reviendrons à la prochaine édition » Steve Tenneroni et Jean-Baptiste Dozolme, Co-Fondateurs – DOEMOS Plans de Sécurité Incendie« L'occasion d'entamer des collaborations qui durent dans le temps »« C'est une réussite avec près de 1 200 contacts enregistrés en 3 jours. Nous étions déjà présents sur APS 2017 et 2019 et il y a très clairement plus de monde qu'il y a 2 ans. Expoprotection Sécurité permet une convivialité avec les interlocuteurs et offre la possibilité de faire connaissance avec des gens qui ne sont pas toujours référencés dans certains groupements ou bases de données. De plus, débuter les rencontres sur le salon nous permet d'entamer des collaborations qui durent dans le temps » Philippe Leroux, Sales Manager - Smart SD« Nous sommes là depuis la création du salon ! »« Nous sommes très satisfaits ! Nous sommes un client historique, depuis la création du salon APS et aujourd'hui sur Expoprotection Sécurité. Nous avons reçu plus de 620 visiteurs sur 3 jours, des gens intéressants et intéressés par nos produits ». Justine Pauper Responsable Marketing – NEUTRONIC« Un emplacement judicieux – des contacts facilités »L'emplacement de notre stand juste devant l'entrée était particulièrement judicieux. Les clients venaient naturellement voir Spot, le petit chien robot d'Intuitive Robots, ce qui a facilité le contact avec les équipes qui ont ainsi pu faire connaître les autres partenaires technologiques du groupe. Nous avons pu présenter de manière optimale la convergence de nos systèmes de sécurité » Jean-Marie De Troy, Directeur Commercial France – HIKVISION
Il y a 3 ans et 212 jours

General Electric double ses capacités de production de pales d'éoliennes en mer à Cherbourg

"Le site va recruter et former 200 nouveaux employés, portant l'effectif total de l'usine à 800", a annoncé la filiale énergies renouvelables de l'américain General Electric dans un communiqué.Ces recrutements sont prévus d'ici à 2022, a précisé le service communication de l'entreprise interrogé par l'AFP. Il n'y a pour l'heure pas d'autre vague de recrutement prévue en 2022, selon la même source.En septembre 2020, le président de GE Renewable Energy Jérôme Pécresse avait indiqué que "l'usine de pales à Cherbourg a vocation à monter à 850".Au départ, GE prévoyait un effectif de "plus de 550 personnes" à terme à Cherbourg "en période de pleine production". La première pale est sortie de l'usine de Cherbourg en août 2019."L'augmentation des effectifs de production permettra (...) de répondre à la demande croissante de l'industrie éolienne en mer", précise l'entreprise dans son communiqué.Cette vague de recrutements correspond au lancement mardi d'une deuxième ligne de production à Cherbourg, selon le communiqué.Des travaux de construction en vue de l'agrandissement de l'usine vont en outre démarrer dans les prochaines semaines, selon le service de presse. Ils devraient s'achever au premier trimestre 2022 et permettront d'agrandir d'un tiers la surface de l'usine, selon la même source.Cet agrandissement représente un investissement de 14 millions d'euros dont 2,1 millions financés par les collectivités locales, selon GE Renewable Energy.A Cherbourg, GE produit des pales de 107 mètres de long destinées à son éolienne de 12 MW, l'Haliade-X.Les pales sont produites pour des parcs au large du Maryland et du New Jersey, aux Etats-Unis, ainsi que pour ce qui doit devenir le plus grand parc éolien offshore au monde aux large des côtes Yorkshire en Angleterre.GE Renewable Energy compte près de 40.000 employés dans plus de 80 pays, selon le communiqué, contre 22.000 mi-2018.
Il y a 3 ans et 212 jours

Journée nationale de la qualité de l'air : isoler son logement pour mieux respirer ?

A l’occasion de la journée mondiale de la qualité de l’air, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation par laine de roche dresse le bilan des solutions pour mieux construire tout en préservant la santé.Si la nécessité d’une meilleure qualité de l’air intérieur ne date pas de la crise sanitaire et mobilise depuis de nombreuse années les acteurs du bâtiment, il est désormais indispensable d’y associer des solutions efficaces, mais aussi plus durables. Selon la dernière enquête « DIAGNOSTIC BÂTIMENT SANTÉ » réalisée par l'association Bâtiment Santé Plus, avec la collaboration du Conseil national de l’Ordre des Architectes, 55 % des acteurs interrogés considèrent que la santé est la préoccupation numéro 1 à intégrer dans les projets et la conception des produits.«La qualité de l’air intérieur est maintenant reconnue comme un enjeu majeur de santé publique, car les concentrations de divers polluants 5 à 10 fois plus élevées à l’intérieur qu’à l’extérieur. Aussi, est-il important que les produits de construction ne soient pas des sources d’émission de polluants dans l’air en répondant aux exigences de la classe A+ de l’étiquetage obligatoire. Les laines minérales utilisées doivent avoir la certification EUCEB d’exonération de la classification cancérogène. Les produits en laine de roche ROCKWOOL satisfont à ces critères sanitaires. En outre, en raison de leur composition minérale, ils ne favorisent pas le développement de moisissures » souligne Suzanne Déoux, docteur en médecine, spécialiste ORL, Présidente de Bâtiment Santé Plus, fondatrice de MEDIECO et initiatrice de l’ingénierie de santé dans le cadre bâti et urbain.Santé et durabilité au cœur des solution ROCWOOLCes deux dimensions, santé et durabilité, sont le cœur des préoccupations de ROCKWOOL fabriquant des solutions en laine de roche engagé pour des bâtiments durables qui protègent la santé. En effet, la laine de roche est issue d’un matériau naturel, inépuisable et recyclable à l’infini, le basalte. « Il s’agit de l’une des solutions les plus efficaces et les plus durables en matière d’isolation thermo-acoustique. Des essais réalisés par des laboratoires indépendants ont pu ainsi démontrer que des laines de roche ROCKWOOL installées sur des bâtiments depuis plus de 55 ans ont conservé toutes leurs performances thermiques et mécaniques. Par ailleurs, les produits d’isolation en laine de roche ROCKWOOL sont très faiblement émetteurs de composés organiques volatils ce qui se traduit par une étiquette sanitaire A+ pour la grande majorité de nos produits d’isolation par l’intérieur » explique Colas Lévêque, Responsable Prescription Nationale chez ROCKWOOL France. Associés à une bonne ventilation, les matériaux isolants durables, tels que la laine de roche, contribuent à améliorer la qualité de l’air intérieur et donc à préserver la santé et le bien-être des occupants des bâtiments isolés avec ces matériaux. En effet, une bonne isolation contribue à réguler notamment l’humidité des pièces, dont le niveau à l’intérieur des bâtiments doit se situer entre 40 et 60 % pour que l’on observe une amélioration de la santé des personnes. La qualité de l'air intérieur arrive d’ailleurs en tête des préoccupations des acteurs du bâtiment (86 %) suivi de près par le confort thermique (65%) toujours selon l’enquête « DIAGNOSTIC BÂTIMENT SANTÉ ».Le recyclage des déchets participe aussi à la santé, car il permet de réduire les émissions de gaz à effet de serreLa laine de roche, étant recyclable à l’infini, ROCKWOOL va encore plus loin avec son programme ROCKCYCLE qui permet de collecter les chutes de laine de roche sur des chantiers neufs ou de rénovation ainsi que les plastiques d’emballage et les palettes ayant servi à livrer les produits. Les chutes de laine de roche sont utilisées en tant que matière première secondaire pour fabriquer de la laine de roche neuve. Les plastiques d’emballage sont transmis à des filières spécialisées pour leur recyclage et les palettes sont, soit réutilisées en l’état soit réparées dans un atelier dédié au sein de l’usine en vue de leur réutilisation.
Il y a 3 ans et 212 jours

Edilians joue l’ancrage local et la modernisation de ses sites pour sa transition écologique

En présentant son usine de Phalempin qui vient d’être modernisée, Edilians veut montrer un site représentatif du modèle économique de l’entreprise, qui se fonde sur la proximité, le travail traditionnel de la tuile et l’innovation.
Il y a 3 ans et 213 jours

Comment bien vendre son offre ?

La e-réputation est très importante. Elle demande aux artisans d’être actifs sur le web et les réseaux, pour répondre aux avis qui sont émis. Les ressources fournies par Google my business sont très utiles… Ecouter le client pour mieux se vendre… Orienter sa communication vers des activités porteuses… Optimiser son temps, être dans la course au bon devis… Artibat 2021 / Intervenant : Laurent Deschamps, Formateur – ARFAB Interrogé par Stéphane Miget Voir les vidéos d’Artibat 2021
Il y a 3 ans et 213 jours

L’aménagement urbain sous toutes ses facettes avec Alkern

Qu’il s’agisse de réponses pour la voirie (pavés, bordures, marches jarterres…), la sécurité passive (blocs, ralentisseurs, bornes, îlots, giratoires…) ou encore pour le mobilier urbain (bancs, tables de ping-pong, jardinières…) Alkern propose ainsi une large panoplie de solutions réalisées en béton, donc particulièrement durables et résistantes. Et pour une parfaite intégration à leur environnement, les solutions Alkern sont disponibles sur une large palette de finitions, allant d’un classique aspect lisse à un rendu bois ou sablé. Précisons d’ailleurs que de nombreux coloris sont issus de granulats composant une offre 100 % minérale et recyclable. De plus, Alkern propose un service d’études de faisabilité et de design pour les demandes de mobilier urbain sur mesure, s’appuyant sur une large gamme de couleurs comme de finitions. De nombreux atouts pour les donneurs d’ordre de collectivités à la recherche de solutions esthétiques, pérennes, permettant aux concitoyens de profiter des espaces publics extérieurs et s’intégrant idéalement au paysage urbain. L’offre Alkern c’est la garantie d’une large gamme de produits d’aménagement urbain, sécurisés, valorisant la ville et son environnement.Le béton, un produit d’avenir pour la ville Pour satisfaire toutes les exigences, Alkern s’appuie sur une expertise de plus de 50 ans et les qualités reconnues du matériau béton. 100 % minéral et recyclable, d’une durée de vie de plus de 100 ans, le béton est aussi adapté aux différents climats et aux conditions d’usage de la ville : hautes températures, gel, résistance mécanique et aux agressions chimiques… Fabriqués dans une des 53 usines du groupe en France, avec des matières premières extraites en proximité et une main d’œuvre locale, les produits préfabriqués en béton Alkern favorisent de plus le développement de l’économie locale. Enfin, Alkern propose un pavé coquillage issu de l’économie circulaire, dont une partie des granulats sont remplacés par des coquilles de Saint-Jacques broyées, argument et produit séduisants pour les communes.Une offre large et facile d’accès Pour faciliter le travail des aménageurs et urbanistes, Alkern a structuré son offre autour de six thématiques. Si Aménager la ville est dédié aux éléments structurants de l’espace public et de la voirie (pavés, bordures, marches, murets, parking, zones partagées…), Protéger le public regroupe les produits pour sécuriser les déplacements et les espaces (bornes, ralentisseurs…). De son côté, Une ville verte propose jardinières, points d’eau et tout pour aménager des infrastructures de mobilité douce (pistes et bandes cyclables) et végétaliser au mieux. Une ville propre présente les réponses en bacs à papier et cendriers. Enfin, le chapitre Se reposer rassemble un large choix de bancs et tables et Se divertir fait la part belle aux tables de ping-pong et, exclusivité Alkern, à la nouvelle table Alkerball dédiée aux installations de loisirs de plein air.Alkerball, la nouvelle table de jeux de plein air Cette table, au plateau légèrement courbe, attire forcément l’attention : curiosité pour ses formes, admiration pour son design futuriste, imagination pour les potentialités de jeux que ce nouvel équipement de plein air propose. Dotés d’une balle ou d’un ballon, de raquettes ou non, à deux ou à quatre, les joueurs peuvent rivaliser d’adresse et d’inventivité pour adapter foot, volley ou ping-pong à cette table dénommée Alkerball. Proposant une nouvelle expérience collective, sportive et ludique pour tous les âges, Alkerball véhicule l’image d’une ville jeune, moderne, innovante. Précisons que le béton du plateau peut même être personnalisé aux couleurs de la commune ou de l’établissement. Livrée clé en main prête à être déchargée, avec une dalle en option si le terrain de destination s’avère trop meuble, la table Alkerball s’adapte facilement à tous les espaces par ses dimensions raisonnables (160 x 280 cm, pour une hauteur maximale de 90 cm) que ce soit en hyper centre urbain ou bien en commune rurale. Pour découvrir ce produit en vidéo : www.alkern.fr/products/alkerball/