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Il y a 3 ans et 214 jours

CAIB devient WIBAIE à partir du 1er janvier 2022

Ce nouveau nom reflète l’évolution de CAIB, entreprise résolument moderne et connectée, toujours en phase avec son ADN : concevoir et fabriquer des fenêtres, baies et portes d’entrée multi-matériaux (aluminium, PVC, Bois-alu et acier) pour le secteur de la Distribution Bâtiment & Bricolage (négoces, GSB et réseaux spécialisés). Ce changement intervient moins d’un an après la fusion de l’ensemble des marques sous le nom unique CAIB (mars 2021). Par ailleurs, WIBAIE est le nom de la première baie coulissante intelligente et connectée, lancée en juin 2020.Devenant WIBAIE, CAIB changera aussi d’identité visuelle et de charte graphique sur l’ensemble de ses outils de communication et de vente (site Web, documentations, etc.). 2022 sera également porteuse de lancements majeurs de nouveaux produits (gamme pvc, portes d’entrée…) et d’importants investissements sur ses sites (nouvelle ligne PVC, agrandissement de l’usine Alu, et nouveaux bureaux).« Nous avons été capables d’anticiper les grandes mutations du marché et du comportement des clients pour nous transformer profondément. Ces dernières années, CAIB a relevé le défi du numérique et inventé de nouveaux services, imaginé des produits plus esthétiques et ergonomiques, plus performants techniquement et toujours plus automatiques et connectés. Sur le plan industriel, notre puissance et notre efficacité se sont renforcées et notre effort d’investissement va se poursuivre et s’accentuer. Nous ouvrons une nouvelle page de l’histoire de l’entreprise avec toujours l’ambition d’être une vraie référence de notre métier ! » Patrice Bondy, Directeur Général de WIBAIE« Avec l’aide de ses clients, partenaires et salariés, CAIB continue de préparer l’avenir du métier de la fabrication et distribution des fenêtres et portes. Le nom WIBAIE est plus explicite de notre univers métier que le précédent ! Et choisir le nom d’une innovation produit, lancée il y a deux ans, est un clin d’œil sympathique à l’histoire du groupe Liébot, car je me souviens que K LINE et MéO étaient eux aussi des produits innovants avant de devenir des noms d’entreprises. » Bruno Leger, Directeur Général du Groupe LiébotNouveau nom et nouvelle identité graphiquePour symboliser et célébrer cette étape-clé dans l’histoire de l’entreprise, WIBAIE fait le choix d’une nouvelle identité. Le logo allie modernité, design et sobriété, à l’image des produits, tout en conservant les couleurs historiques de l’entreprise.Pour Edith Chouteau, Responsable Marketing Opérationnel et Communication : « WIBAIE identifie clairement l’activité de l’entreprise. Le mot BAIE désigne la fabrication de menuiseries, notre activité, et le WI illustre nos efforts de développement pour concevoir des produits innovants en phase avec les attentes nouvelles du marché et l’appétence des solutions connectées qui apportent confort et sécurité ».
Il y a 3 ans et 216 jours

La transition énergétique progresse trop lentement pour limiter le réchauffement climatique à 2°C

Des progrèsBoom des renouvelablesLes énergies renouvelables sont désormais la 2e source d'électricité dans le monde, à 26% du total en 2019, après le charbon mais avant le gaz ou le nucléaire.Éolien et photovoltaïque ont vu leurs prix dégringoler, et ont crû depuis 1990 à des taux annuels moyens de 22% et 36%. Même en 2020, année Covid, 260 gigawatts (GW) de capacités ont été ajoutés, dont la moitié en Chine, dépassant le précédent record annuel de 30%, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena).Mais cela ne suffit pas. La part des combustibles fossiles dans la consommation d'énergie finale (électricité, carburants, gaz et charbon utilisés directement dans les usines...) est aussi élevée qu'il y a dix ans: charbon, pétrole et gaz représentaient 80,2% en 2019 (80,3% en 2009).Virage dans l'autoPoussés par les normes ou encore le déclin du diesel, les constructeurs sont dans l'après-moteur thermique.Volvo, Jaguar, Lancia seront bientôt 100% électriques, Stellantis (Peugeot, Fiat etc) ne développe plus de moteur à essence.Mais les électriques composent moins de 5% des ventes de neuf (7,5% en Europe). La star reste le SUV: 42% du marché en 2020, un record qui lui a fait émettre plus de CO2 qu'en 2019, tandis que les autres secteurs voyaient leurs émissions fondre, note l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ambitions dans l'hydrogeneChine, Japon, UE, Australie... des dizaines de pays et nombre d'entreprises sont lancés dans la course à l'hydrogène décarboné, c'est-à-dire produit sans recourir aux hydrocarbures et donc à même de vraiment verdir industrie et transports lourds.Mais la demande et la baisse des coûts doivent être mieux soutenues, appelle l'AIE, et les investissements quadrupler d'ici 2030.Un prix au carboneA mi-2021, 47 juridictions (pays, province ou groupement de pays/province), soit 60% du PIB mondial, disposaient d'un prix du carbone (taxe ou marché de quotas), selon I4CE, l'Institut de l'économie pour le climat.Cependant, ce prix oscille entre 1 et 123 dollars par tonne de CO2 et reste inférieur à 10 dollars pour plus de 75% des émissions couvertes. Or les prix devraient être entre 40 et 80 dollars pour suffisamment dissuader du recours aux fossiles.Engagements a foisonLes entreprises multiplient les promesses et comme des États, s'engagent à la neutralité carbone d'ici 2050. Mais leur impact reste difficile à évaluer.Des inquiétudesRelance grisePour le réseau d'experts Ren21, "2020 aurait pu changer la donne", mais les plans de relance des États accordent six fois plus d'investissements aux fossiles qu'aux renouvelables.Les émissions de CO2, après un recul de 7%, devraient atteindre un niveau record d'ici 2023 et continuer à croître, si les investissements ne sont pas réorientés.Émergents a la peineL'investissement dans les énergies vertes recule depuis quelques années dans les pays émergents et en développement (hors Chine), et le Covid n'a rien arrangé.Ces régions affichent à peine 20% des investissements nécessaires à leur décarbonation, selon l'AIE: elles "abritent deux tiers de la population mondiale, génèrent 90% de la croissance des émissions mais reçoivent 20% des financements consacrés aux énergies propres".Indétrônable charbonAvec la reprise, la demande de charbon, 1er vecteur du réchauffement, devrait dépasser son niveau de 2019, du fait des besoins électriques de l'Asie.Aujourd'hui, 82% des projets de centrales sont concentrés en Chine (55%), Inde, Vietnam, Indonésie, Turquie, Bangladesh. Depuis 2015, le nombre de projets a cependant baissé de 76%, selon le think tank E3G et 44 pays ont promis de ne plus ouvrir de sites. Pékin, premier bailleur public, a annoncé en septembre qu'il ne construirait plus de centrales charbon à l'étranger."Il est temps que le secteur privé - qui finance 87% du charbon à l'étranger - suive", pointe Kevin Gallagher, de la Boston University.Foret peau de chagrinLes forêts primaires tropicales ont perdu en 2020 une surface équivalente à la Hollande, selon Global Forest Watch. En cause, l'agriculture, la coupe de bois, l'activité minière, les incendies.En Amazonie brésilienne, la déforestation en 2020 a transformé ce puits de carbone fondamental en émetteur net de CO2.
Il y a 3 ans et 219 jours

Bousculé, l'immobilier de bureaux mise sur son intégration dans la ville

Dans cet espace de 9.000 mètres carrés à deux pas de la gare Saint-Lazarre, les entreprises, essentiellement des start-up, peuvent louer un abonnement pour des salles ou des postes de travail sur des périodes assez réduites, en moyenne 18 mois, à des prix autour de 800 euros le poste de travail par mois, sur un engagement court."On propose de la flexibilité et de la simplicité. Les entreprises peuvent s'engager que pour six mois si elles veulent, et les salariés n'ont qu'à venir pour brancher leur ordinateur et profiter des services et animations. C'est pratique pour des entreprises en croissance, qui ne veulent pas d'un bail trop long et contraignant", décrit à l'AFP Stéphane Bensimon, le dirigeant de Wojo.Contrairement aux grandes tours d'immeubles dans les quartiers affaires, qui peinent à revenir à leur taux de remplissage d'avant-crise, son espace a vite rebondi et retrouvé une forte affluence. M. Bensimon rêve désormais d'implanter des espaces jusque dans des hôtels."Il y a de l'accueil 24/24, des restaurants, des salles de réunion. Avec la perte de client en voyages d'affaires, les hôteliers se montrent plus ouverts", juge-t-il.Plusieurs espaces ont déjà été installés dans des établissements du groupe Accor, qui détient Wojo à égalité avec Bouygues Immobilier."Le modèle de la tour des années 1960 dans lequel on amasse des gens dans un espace sans aucun service autre que la cantine est terminé", estime Philippe Bourguignon co-fondateur du Shack, un lieu de travail et de vie intégrée près d'Opéra, à Paris.Il espère développer ses projets de bureaux intégrés dans des magasins vacants des centres commerciaux, ou encore en profitant des espaces vides sous-loués par des grandes entreprises en raison du télétravail.Dans les métiers ou le télétravail s'est fortement développé, "pour faire revenir les collaborateurs, il faut que l'on soit mieux au bureau qu'à la maison", a également affirmé Loic Daniel, managing director à Nexity Immobilier mardi au cours d'une conférence lors du salon international de l'immobilier (Mipim).FlexibleAu delà de l'activité et de l'animation, la localisation joue aussi un grand rôle pour l'attractivité des bureaux."Avant même la pandémie, il y avait une forte demande pour les bureaux en centre-ville", observe Staffan Ingvarsson, dirigeant de Stockholm Business Region, chargé de l'attractivité de la capitale suédoise. "Quand on s'éloigne, cela devient plus dur. Plus les bureaux sont loin, plus il faut faire des efforts pour attirer des gens, avec des services."Mais le modèle flexible ne convient pas à tous les types d'emploi."Avec le télétravail, les entreprises sont tentées de réduire beaucoup les surfaces, en ayant recours au flex office, où aucun salarié n'a de place attribuée. Le bureau reste la deuxième dépense des entreprises, derrière les salaires", rappelle Ingrid Nappi, professeur de management et chercheur à l'ESSEC sur la chaire immobilier et développement durable."Or, tous les salariés ne souhaitent pas cette organisation", dit-elle, s'appuyant sur la troisième étude "mon bureau post Covid", qu'elle dirige, et qui a été présentée mardi au Mipim. "Le flex n'est adapté qu'à certains secteurs d'activités, avec notamment les CSP+, mais pas aux usagers de bureaux qui y passent toute la journée, comme les agents de maîtrise ou les employés qui veulent avoir leur place attitrée."
Il y a 3 ans et 220 jours

Le Bâtiment salue le prolongement du Prêt à taux zéro jusqu'à fin 2023, mais s’inquiète du futur durcissement annoncé

Le "PTZ", qui aide les ménages à accéder à la propriété, "devait s'arrêter fin 2022, on le prolongera bien jusqu'à fin 2023", a déclaré la ministre sur BFM Business.Les conditions de ressources, que le gouvernement envisageait de modifier, ne changeront finalement pas, a-t-elle également indiqué."Nous avions envisagé une réforme dans laquelle on changeait le mode de prise en compte des ressources (...), c'est très complexe à mener et donc on ne le fera pas au 1er janvier 2022, donc il est maintenu tel quel jusqu'à fin 2023", a précisé Mme Wargon.Le "PTZ" s'adresse aux particuliers qui achètent leur propre logement, et permet de solliciter des prêts en partie sans intérêt auprès des banques.Le dispositif Loi Pinel, destiné aux futurs propriétaires qui comptent louer leur bien (ils ont droit à une aide à l'achat s'ils s'engagent à demander un loyer inférieur au marché), est quant à lui maintenu "jusqu'à fin 2024", a encore ajouté la ministre, qui présentera la semaine prochaine le "Pinel+".Selon la ministre, ce décret comportera "à la fois des critères environnementaux et des critères de qualité, mètres carré minimum par taille d'appartements par exemple".« Oui, mais » pour la FFBLa FFB salue la prorogation du PTZ, qui donne de la visibilité aux acteurs et permettra d'éviter les à-coups habituels en phase de discussion budgétaire.La FFB s'inquiète en revanche du durcissement annoncé du Pinel. De fait, on ne connait que très rarement dès l'origine d'un projet l'usage qui sera fait des logements qu'il comprend. Les mesures prévues complexifieront donc les règles de construction pour l'ensemble du collectif dans les métropoles. Or, aucun coup de pouce n'est prévu pour compenser ces nouvelles exigences. Pour Olivier Salleron, le président de la FFB : « la prorogation durable du PTZ est une bonne nouvelle, mais il convient surtout d'éviter de déstabiliser plus encore la construction de logements collectifs dans les zones tendues, alors que le très récent rapport Rebsamen a bien révélé la crise qui frappe ce segment. Les nouvelles exigences annoncées pour le successeur du Pinel constituent bien un risque à cet égard. Par ailleurs, à quelques semaines de l'entrée en vigueur de la RE2020, qui se traduira par un surcoût moyen de construction d'environ 5 % en 2022, la FFB rappelle qu'un accompagnement des ménages s'avère indispensable pour passer cette marche vertueuse. Elle a d'ailleurs proposé la mise en place d'un crédit d'impôt sur les annuités d'emprunt immobilier. »
Il y a 3 ans et 220 jours

LafargeHolcim débouté face à Cem’In’Eu

Usine Aliénor Ciments à Tonneins (47). [©ACPresse] LafargeHolcim a été débouté par le tribunal de commerce de Saint-Nazaire suite à un litige avec la société Cem’In’Eu. En juillet 2019, l’industriel suisse assignait la start-up spécialisée dans la fabrication et la distribution de ciment pour concurrence déloyale. LafargeHolcim s’est ainsi basé sur le motif d’une communication trompeuse et dénigrante. « Si le but apparent était pour LafargeHolcim de mettre fin à une concurrence déloyale, le but réel était de freiner notre développement », déclare Cem’In’Eu dans un communiqué de presse. Lire aussi : Cem’In’Eu : Conteneur, train ou barge : Le clinker voyage propre Finalement, le 28 avril 2021, le tribunal a débouté LafargeHolcim Ciments et LafargeHolcim Distribution de toutes ses demandes. Le groupe est même condamné à verser une indemnisation à hauteur de 54 500 € pour dommages et intérêts et frais “article 700”1 à Aliénor Ciments, filiale de Cem’In’Eu. Par la suite, LafargeHolcim n’a pas fait appel au jugement dans les délais de recours autorisés. Une concurrence déloyale ? « Le tribunal de commerce de Saint-Nazaire juge que la présentation positive par Cem’In’Eu de ses concepts comme étant innovants n’est pas de la concurrence déloyale. Tel que la communication sur la proximité du lieu d’ensachage du ciment, sur des petits sites proches des chantiers de ses clients. Mais aussi, la communication sur les avantages environnementaux du transport maritime, ferroviaire ou fluvial. Ou encore, le fait de vanter son procédé d’ensachage et son procédé de broyage de clinker qui sont localement moins émetteurs. » En effet, Cem’In’Eu met en avant l’aspect bas carbone de ses ciments. Un calcul possible par l’optimisation du processus de fabrication, en substituant une partie du clinker ou en travaillant sur la sobriété énergétique, par exemple, et de la logistique. Mais aussi, parce que le clinker qu’utilise la start-up, matériau de base du ciment très émissif en CO2, n’est pas produit en France. Ainsi, son poids carbone ne rentre pas dans l’impact environnemental des produits commercialisés par l’industriel. 1Remboursement des frais irrépétibles
Il y a 3 ans et 221 jours

Face à une forte demande, Vie & Véranda agrandit son usine de Feyzin (69)

EXTENSION. Afin de répondre à une demande en forte croissance, le fabricant Vie & Véranda a décidé d'agrandir son site de production de Feyzin, siège de l'entreprise.
Il y a 3 ans et 221 jours

Stellantis Sochaux contruit l'une des plus grandes centrales solaires en ombrières de France

Le projet prévoit l'installation de près de 64.000 modules photovoltaïques sur le parking des expéditions de l'usine sochalienne, qui peut accueillir jusqu'à 10.000 véhicules, sur une surface de 22 hectares particulièrement bien ensoleillée, ont précisé les mêmes sources.La centrale développera une puissance de 29 mégawatts-crête (MWc), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 13.300 habitants, ou de 30% de l'usine Stellantis de Sochaux, ajoute-t-on.Les panneaux photovoltaïques sont installés par l'énergéticien Engie Green, qui prendra en charge l'investissement de 36 millions d'euros et assurera l'exploitation pendant 30 ans. L'électricité produite sera ensuite livrée sur le réseau d'Enedis en 20.000 volts.Le chantier a débuté en septembre 2020 et la mise en service totale de la centrale est prévue en octobre 2022. Il s'agit de l'un des plus importants projets de centrale photovoltaïque en ombrières en cours en France, qui permettra d'éviter l'émission de 1.000 tonnes de CO2.C'est un projet "emblématique" par l'importance de la surface disponible pour l'installation des ombrières qui abriteront les véhicules, a estimé lors d'une conférence de presse sur le site Christine Lafaix, directrice chez Engie Green, leader français sur l'activité éolienne et photovoltaïque.L'initiative s'inscrit dans le projet de modernisation "Sochaux 2022" de l'usine historique et centenaire de PSA, devenue Stellantis après la fusion du groupe français avec Fiat Chrysler Automobiles.Pour Stellantis, cette installation permet de "valoriser notre foncier", note Didier Edelblutte, pilote du projet au sein du groupe.Le constructeur veut parvenir à "un site neutre en carbone" et "nous sommes complètement engagés dans cette démarche" de développement durable, souligne Frédéric Maliczak, directeur des services techniques de l'usine Stellantis de Sochaux.Selon Luc Vignal, responsable bâti et ombrières chez Engie Green, cette installation va par ailleurs permettre de générer 130.000 euros de revenus par an pour les collectivités locales grâce à la fiscalité engendrée par l'exploitation du projet.
Il y a 3 ans et 223 jours

Coup de frein sur les ventes de biens immobiliers avec la hausse des prix

"Jamais les prix de l'immobilier n'ont été aussi élevés en France", a souligné le réseau, plaidant pour la construction de logements neufs afin de limiter la tension sur les tarifs.Au troisième trimestre, le prix au mètre carré a augmenté en moyenne de 11% pour les maisons et de 7,3% pour les appartements sur un an, selon les chiffres de Century 21.D'après le réseau d'agences, l'augmentation des prix est le résultat d'une hausse de la demande, alors que le confinement a modifié le rapport des Français à leur logement et poussé certains à déménager pour plus grand, sans que l'offre ne suive."Les prix ont progressé trop rapidement, décorrélés de l'inflation ou de l'augmentation moyenne des salaires. Et même si les taux d'intérêt, historiquement bas, favorisent les acquisitions, ils ne peuvent pas neutraliser cette hausse", détaille le communiqué.L'effet de la hausse s'est fait sentir sur le volume des transactions: -19% sur les ventes de maisons et -11% sur les appartements par rapport au troisième trimestre 2020, alors que le président du réseau, Laurent Vimont, disait en septembre prévoir un rebond après les confinements.Pour autant, "pas de panique à bord", a-t-il dit lundi matin sur BFM Business. "Il est normal que les prix augmentent pour ensuite se stabiliser et descendre quand la demande ne suit plus, pour que les transactions repartent", a-t-il fait valoir."Il serait plutôt sain que [les vendeurs] corrigent un petit peu leurs prix", a-t-il ajouté, alors les hausses excluent du marché les ménages les plus modestes.
Il y a 3 ans et 223 jours

Avec 11.000 offres en juillet 2021, l'emploi dans l'ingénierie retrouve son niveau d'avant-crise

Après avoir perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020, l'ingénierie a déjà retrouvé le chemin de la croissance. Les entreprises d'ingénierie industrielle et de la construction, qui embauchaient 80 000 nouveaux collaborateurs chaque année, alertent néanmoins sur le manque de professionnels formés en France.Des entreprises qui font preuve de résilience et responsabilité face à la crise...Fermeture de sites industriels, chantiers à l'arrêt… En 2020, l'activité des entreprises d'ingénierie est profondément impactée par la crise et les confinements successifs. Un ralentissement qui se répercute sur le nombre de nouvelles embauches. Alors qu'en avril 2019, la profession recrutait 9 000 collaborateurs, un peu moins de 6 000 recrutements sont engagés en avril 2020.Si le choc est brutal, les niveaux repartent néanmoins à la hausse dès septembre 2020, soit moins de 6 mois après le début du premier confinement. En octobre de la même année, les offres d'emplois publiées atteignent la barre des 9 000, contre 8 000 le même mois en 2019. Une belle performance, qui se confirme tout au long de 2021 où les niveaux sont comparables ou supérieurs à 2019. En juillet 2021, 11 000 offres sont publiées, tout comme en juillet 2019.« Le choc de la crise liée à la Covid-19 a été rude pour toute la profession, qui a perdu 11% de son chiffre d'affaires en 2020. Et pourtant, moins de 6 mois après le début de la pandémie, les recrutements ont retrouvé des niveaux comparables à ceux de 2019. C'est une performance particulièrement remarquable, quand l'on sait que l'activité de nos entreprises était, il y a peu, encore ralentie, voire stoppée dans certains secteurs industriels. Il faut bien comprendre que notre richesse réside dans nos collaborateurs. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. En cela, les entreprises d'ingénierie ont tout fait pour préserver l'emploi et les compétences. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie… qui seront confrontées à court terme à des difficultés de recrutementSi la profession se félicite de ce retour à la croissance, Syntec-Ingénierie rappelle que l'ingénierie était avant crise un secteur en tension. Selon une étude réalisée en décembre 2018 par le cabinet EY pour le compte de l'OPIIEC, l'ingénierie souffre d'un sous-effectif structurel de 2 à 4%. Sur les 33 000 technicien(ne)s formé(e)s chaque année en France, seules 14 000 personnes sont effectivement disponibles et 58% choisissent de poursuivre leurs études. Les femmes sont par ailleurs sous-représentées dans la profession et ne constituent que 30% des effectifs formés. Un sous-effectif qui risque, à court terme de freiner les entreprises dans leur redémarrage économique et dans la conduite des projets qui leur sont confiés.“Il est urgent de former plus d'ingénieurs et de techniciens en France. N'oublions pas que le manque de professionnels formés coûte chaque année 500 millions à 1 milliard d'euros à nos entreprises. Avec notre fédération professionnelle, nous menons depuis de nombreuses années des actions de sensibilisation auprès des jeunes publics et des femmes pour susciter des vocations. Cela n'est pas suffisant, nous appelons les pouvoirs publics à promouvoir plus largement l'enseignement scientifique et technique et à lancer une grande campagne de sensibilisation aux métiers de l'ingénierie, qui recrutent, malgré la crise !” appelle Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Meet'ingé, le rendez-vous annuel pour les étudiants et jeunes diplômés à la recherche d'opportunités dans l'industrie et la constructionPlus de 1 500 étudiants et jeunes diplômés sont attendus pour la 20e édition du Meet'ingé, qui aura lieu le jeudi 14 octobre de 9h à 17h au Carreau du Temple. L'événement, qui compte +30% d'inscrits par rapport à 2019, est devenu au fil des ans le rendez-vous incontournable pour les jeunes à la recherche d'opportunités professionnelles dans les secteurs industriels et de la construction.53 entreprises proposeront leurs offres de stages, alternances, mais aussi premiers emplois en CDI aux jeunes, issus notamment de plus de 110 écoles d'ingénieurs partout en France. Les premières offres sont à consulter sur le site de l'événement.L'événement, gratuit, proposera également des ateliers aux participants :un bar à CV, tenu par des experts en recrutement ;un studio photos, pour bénéficier d'une photo professionnelle à insérer dans le CV ;des conférences proposées par les professionnels de l'ingénierie.Au cœur de Meet'ingé, une grande exposition photos sera également organisée. Près de 30 clichés signés Factstory, filiale de l'AFP, mettront en lumière les professionnels de l'ingénierie aux côtés de leurs œuvres : ponts, usines, data center, préservation de zones humides pour la biodiversité...
Il y a 3 ans et 226 jours

Saint-Gobain finalise l’acquisition de Chryso

Chryso est définitivement entré dans le giron du groupe Saint-Gobain. [©ACPresse] Annoncée le 20 mai 2021, l’acquisition de Chryso par le groupe Saint-Gobain vient d’arriver à son terme. Et devient donc définitive, les autorités de la concurrence ayant donné leur feu vert.  Acteur de la chimie de la construction, Chryso est présent sur les marchés français comme internationaux. Et assure la fourniture de solutions complètes d’additifs pour ciments, d’adjuvants pour bétons et mortiers. Mais aussi propose une offre de chapes fluides. L’industriel emploie 1 300 personnes et réalise un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 400 M€. Sa valeur d’entreprise est estimée à 1,02 Md€.  Aujourd’hui, Chryso rejoint les activités du groupe Saint-Gobain servant le marché de la construction durable au sein des Solutions de Haute Performance. « L’acquisition de Chryso est alignée avec la vision stratégique de Saint-Gobain comme leader mondial de la construction durable. Chryso nous renforce sur le marché en croissance de la chimie de la construction. Marché au sein duquel nous avons réalisé 10 acquisitions et ouvert 16 usines dans 18 pays au cours des 3 dernières années. Ceci, pour dépasser les 3 Md€ de chiffre d’affaires dans 66 pays… », indique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et Thierry Bernard, Pdg de Chryso, de conclure : « Nous sommes heureux de rejoindre le groupe Saint-Gobain. Les premiers échanges entre nos équipes en vue de préparer l’intégration confirment les fortes perspectives de croissance pour Chryso. En particulier dans des régions où nous ne sommes pas encore implantés. Mais aussi dans l’essor de solutions de haute performance. A cela s’ajoute la proximité culturelle entre nos équipes, qui sont très enthousiastes ».
Il y a 3 ans et 226 jours

Lafarge en Syrie: un ex-gestionnaire des risques mis en examen

Ahmad Jaloudi, "risk manager" - soit gestionnaire des risques - pour l'usine Lafarge de Jalabiya, au nord de la Syrie, a été placé sous contrôle judiciaire à l'issue de son interrogatoire par les magistrats du tribunal judiciaire de Paris chargés de cette enquête."Il est incontestable que M. Jaloudi a lutté toute sa vie contre les extrémismes. Je ne peux que regretter sa mise en examen, que je trouve particulièrement injuste", a déclaré à l'AFP son avocate, Me Noémie Saidi-Cottier.Dans cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), et à des intermédiaires afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Lafarge est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI.Un rapport interne commandé par LafargeHolcim, né de la fusion en 2015 du français Lafarge et du suisse Holcim, avait mis en lumière des remises de fonds de LCS à des intermédiaires pour négocier avec des "groupes armés".Mais Lafarge SA a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Selon l'Obs et le quotidien britannique The Guardian, l'usine de Lafarge aurait servi de "hub régional" pour les services de renseignement de plusieurs pays.Ancien membre des forces spéciales jordaniennes, Ahmad Jaloudi "aurait collecté des renseignements sur une trentaine d'otages, notamment sur le journaliste américain James Foley, le photographe britannique John Cantlie mais aussi sur le pilote jordanien Moaz al-Kasasbeh", mort brûlé vif dans une cage en 2015, écrit l'Obs.Dans un document d'enquête des douanes datant de 2019 consulté par l'AFP et récapitulant les échanges électroniques saisis, Ahmad Jaloudi est présenté comme "en relation constante" avec le groupe Etat islamique.Ahmad Jaloudi "informe systématiquement Bruno Pescheux puis Frédéric Jolibois", deux anciens directeurs de la filiale syrienne, "ainsi que Jean-Claude Veillard", directeur de la sûreté du groupe, "de ses contacts avec les islamistes" et "relaye (leurs) exigences", ajoute le document.Tous trois sont déjà mis en examen pour "financement d'une entreprise terroriste" et "mise en danger de la vie d'autrui".
Il y a 3 ans et 226 jours

Bardage en peuplier THT à la finition noir intense

Dans la lignée de la tendance actuelle du bois brulé, Ducerf Groupe innove et lance son nouveau bardage « BARD 106 finition CARBON ». Durable et écologique grâce à son procédé de fabrication, il combine une technique de traitement THT avec l’application d’une finition Noir Intense. Ce processus permet de faire ressortir le veinage et l’aspect brut de sciage du bois, révélant des reflets entre le noir profond et l’ébène selon l’orientation du soleil. Il se positionne en véritable alternative aux bois d’importation sur le marché. Le peuplier utilisé dans leurs usines de Bourgogne-Franche Comté, provient essentiellement de cette même région. Il est éco certifié PEFC et Bois de France. Tout le processus d’approvisionnement et de fabrication reste régional. Pour faciliter son installation, DUCERF Groupe a imaginé un profil à emboitement jointif, spécialement développé pour ce produit, qui permet une plus grande rapidité de pose et un rendu homogène et moderne sur l’ensemble de la façade.   Photo : « Lodges In Move » – SAS COME  
Il y a 3 ans et 227 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 227 jours

La gamme Rockbardage évolue avec de nouvelles performances thermiques et un nouveau format de palettisation plus stable

Plus performante avec sa conductivité thermique de 0,033 X/m.K certifiée ACERMI, la gamme Rockbardage garantit de meilleures performances thermiques tout en gardant les avantages du Rockbardage : reprise de charge, pose facile, limite les ponts thermiques et acoustiques, excellent comportement à l'eau et une protection incendie optimale.Rockbardage est un produit durable avec une durée de vie de plus de 55 ans et recyclable à l'infini.La gamme Rockbardage est référencée :dans son nouvel Avis Technique pour les tôles extérieures nervurées.dans plusieurs avis techniques de fabricants de parement.QUOI ? Rockbardage nu est un panneau isolant en laine de roche usiné pour s'intégrer aux géométries spécifiques des plateaux de bardage. Il existe en deux versions, lèvre droite ou lèvre caisson avec une entretoise de 40 mm (60 mm nu Energy, 80 mm nu Evolution). Le produit est éligible au service de recyclage Rockcycle.POURQUOI ? Optimisé pour les zones techniques, ce panneau isolant permet d'isoler les toitures-terrasses inaccessibles sur éléments porteurs en tôle d'acier nervurée. Il permet aussi de sécuriser votre chantier de par son aspect incombustible, avec une réaction au feu Euroclasse A1.QUAND ? En vente dès le 15 septembre 2021.SIGNES PARTICULIERS : Rockbardage dispose d'un lambda 33. Optimisés pour le transport, ces panneaux isolants proposent aussi un nouveau format de palettisation plus stable. Enfin, il garantit une excellente tenue dans le temps et répond aux réglementations incendie les plus strictes.A SAVOIR : La largeur et la longueur des panneaux en laine de roche restent stables face aux variations d'humidité et de température.
Il y a 3 ans et 227 jours

REP PMCB : Valdelia a organisé un colloque avec les professionnels du bâtiment pour lancer sa campagne d'adhésion

Réunissant les metteurs sur le marché et l'ensemble des parties prenantes du bâtiment, cet événement a permis aux équipes de Valdelia de faire le point sur la filière du traitement des déchets de produits et matériaux de construction du bâtiment avec les experts du secteur, et de lancer sa campagne d'adhésion en attendant la publication prochaine d'un décret officiel.Créé en 2012 sous l'impulsion de metteurs sur le marché de l'ameublement, Valdelia est un éco-organisme agréé par le ministère de la Transition écologique depuis 2013 qui organise la filière de collecte et de recyclage des déchets d'éléments d'ameublement (DEA) professionnels. Dans le prolongement naturel de ses activités reconnues, Valdelia postule pour l'agrément de la responsabilité élargie du producteur(REP) pour les « déchets de chantiers » (produits, matériaux de la construction et du bâtiment) créée par la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage pour économie circulaire.Cette nouvelle REP chargée de collecter, recycler et valoriser les déchets de chantiers entrera en vigueur le 1er janvier 2022 avec la désignation d'un ou plusieurs éco-organismes. Le décret sur les modalités d'attribution de l'agrément étant toujours en attente, Valdelia avait à coeur de tenir son rôle d'acteur du recyclage partenaire des pouvoirs publics en éclairant lors de son colloque les TPE et ETI du bâtiment, de la construction et des matériaux (bois, béton, sols…), les élus locaux, la société civile sur les conditions de mise en oeuvre opérationnelle de cette nouvelle filière de recyclage.Arnaud Humbert-Droz, Président exécutif de Valdelia, a insisté sur la philosophie du système de la REP et l'approche de Valdelia vis-à-vis des metteurs sur le marché, mettant l'accent sur la liberté de choix qui doit être laissée aux producteurs pour remplir leurs obligations de façon responsable.« Le principe directeur de notre action auprès des metteurs sur le marché est de proposer une démarche avant tout coopérative car Valdelia a toujours été dans la co-construction avec ses partenaires. Chez Valdelia, nous sommes des spécialistes du déchet et nous mettons notre expertise reconnue au service des professionnels du bâtiment pour faire de la REP PMCB une opportunité business et non une contrainte réglementaire. »Valdelia lance ainsi sa campagne d'adhésion pour les entreprises des produits et matériaux de chantier et de la construction en vue d'être agréé pour cette nouvelle REP. Opérateur historique des déchets d'ameublement, Valdelia qui en prend déjà en charge en mélange avec des déchets d'ameublement se tient prêt à opérer les déchets de chantiers dès début janvier 2022.« La mise en place de la REP PMCB, c'est déjà demain ! C'est pourquoi toutes nos équipes se tiennent prêtes à accompagner dès maintenant les professionnels du bâtiment afin de leur faciliter la vie en anticipant au mieux cette période de transition », a précisé Arnaud Humbert-Droz.
Il y a 3 ans et 229 jours

Montataire : reconversion de l’ancienne usine de Goss

À Montataire, l’ancienne usine de Goss se trouve au centre d’un projet de reconversion qui devrait être lancé d’ici la fin de l’année.
Il y a 3 ans et 230 jours

Wacker Neuson : Une version allégée du Backpack ACBe

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine La nouvelle version du Backpack ACBe bénéficie d’une réduction de poids. [©Wacker Neuson] Wacker Neuson est spécialisé dans la fabrication de matériels et machines pour le chantier. Cette année, l’industriel revisite son Backpack ACBe. Le vibrateur interne sur batterie, et donc sans fil, autorise une flexibilité maximale sur le chantier lors du compactage du béton. Aujourd’hui, l’industriel lance une version allégée avec une réduction de poids de 2,5 kg. Ergonomique, le système de sac à dos Backpack ACBe a été développé avec un fabricant allemand spécialisé. Il offre à l’opérateur une bonne répartition du poids. De plus, en fonction du chantier et des besoins, des gaines de différentes longueurs et des têtes de vibration de diamètres variables peuvent être raccordées au vibrateur interne.  Par ailleurs, Wacker Neuson lance une nouvelle génération de convertisseurs électroniques, silencieux, légers et sans entretien. En effet, les Fuh 35 et Fuh 70 sont équipés de la dernière technologie haute fréquence, permettant ainsi des dimensions compactes et réduites en poids. Une protection contre les surcharges empêche la consommation excessive de courant par l’appareil connecté. Ces convertisseurs électroniques disposent d’une large gamme de puissance en sortie et peuvent être utilisés aussi bien sur chantier qu’en usines de préfabrication. Enfin, les Fuh 35 sc et Fuh 70 sc sont des versions dotées de variateurs de fréquence. 
Il y a 3 ans et 230 jours

Jean Cocteau : Le chevalier Béton

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine [©Archives Jean Cocteau] Avant tout poète, Jean Cocteau (1889-1963) a été l’imprésario de son temps, le lanceur de modes et le bon génie d’innombrables artistes. On connaît sa cinématographie, de La Belle et la Bête à Orphée. Touche-à-tout, il s’est même essayé à la “réclame” de l’époque. Publié en 1960 dans “Beauté des formes”, son poème, “Le chevalier Béton” est une plaquette promotionnelle éditée par la Chambre syndicale des constructeurs en ciment armé de France et de l’Union française. Jean Cocteau porte le béton dans son poème, mais l’exercice a ses limites, et ce matériau fait ailleurs les frais du parallèle avec le marbre, dans un texte commandé cette fois par la Fédération marbrière de France : « Le béton attriste. Les ondes s’y cognent, s’y épuisent alors que le marbre elles l’imprègnent et collaborent à l’enrichissement de son organisme »… « Le chevalier BétonL’art est une vibration immobileOù rien n’obéit à la marche du progrèsMais il profite des véhicules que le progrèsLui offre pour cet étrange et vertigineux voyageSur place.Le béton est apparu dans l’arène de notre tournoiSous l’aspect d’un chevalier inhumain,D’un bloc insensible et féroce.Or une âme habitait cette armureEt la mettait au service de la beauté qui changeContinuellement de type et peut mêmeParaître laide au premier abord.Les immeubles, les barrages, les piles nucléaires,Les tunnels, les ponts, les routes, les usines,Les basiliques conduisent peu à peu le bétonvers la délivrance des princesses captiveset vers le mystérieuse quête du Graal. » Jean Cocteau, 1960
Il y a 3 ans et 230 jours

Yvelines : SBVS rajeunit sa centrale francilienne

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Mise en place du nouveau malaxeur sur la centrale SBVS de Triel-sur-Seine. [©Orbello Baglione] La Société des bétons de la vallée de Seine (SBVS) possède trois sites de production de BPE. A Beuzeville (27), au Grand-Quevilly (76) et à Triel-sur-Seine (78). « Ce maillage nous permet de produire 175 000 m3/an, sur l’Ouest parisien et la Normandie. Et nous ajouterons un nouveau site de production en 2022, explique Franck Bichon, directeur général de SBVS. Nous venons aussi de moderniser notre unité de Triel-sur-Seine. » Conçue par Europ’Equipement, l’installation des Yvelines disposait jusqu’à présent d’un malaxeur de 3 m3 fini. Qui montrait de gros signes de fatigue… Ce dernier a donc été remplacé, courant de l’été, par un nouveau malaxeur, lui aussi, de marque Europ’Equipement et de même capacité.  Lire aussi les autres actualités en région « Un deuxième petit malaxeur devrait rapidement venir compléter l’installation. Nous concevons nos centrales, en les adaptant aux marchés. Classiquement, elles ont un malaxeur de 2,5 m3 pour les bétons courants et de 1,5 m3 pour les bétons spéciaux et le “sous-centrale”. Les petits malaxeurs sont accompagnés de huit cases à granulats, et les plus gros, de cinq cases et de trois silos. Nos installations sont conçues pour être des couteaux suisses, capables de répondre aux plus petits artisans comme aux plus gros chantiers des groupes de BTP les plus importants. » Comme le nouveau centre d’entraînement du Paris-Saint-Germain, en construction à Poissy (78).  Et Franck Bichon, de conclure : « Nous faisons partie du groupe Orbello Baglione, qui dispose de onze sites de production de matériaux et de cinq usines de préfabrication. Cela nous permet de nous insérer dans des chantiers d’envergure ».
Il y a 3 ans et 230 jours

Raymond Camus : Pape de la préfabrication lourde

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Raymond Camus présente à Vienne ses procédés de préfabrication. Il tient entre se mains la photo de la cité Barhen construite pour les houillères du bassin de Lorraine. [©Archives Michel Camus] Après des études au lycée du Havre, Raymond Camus (1911-1980) est élève de l’Ecole centrale des arts et manufactures, dont il sort diplômé en 1933. Sa vie professionnelle débute dans l’entreprise paternelle. Il y aura l’occasion de participer à l’Exposition universelle de 1937. De 1938 à 1942, il est ingénieur aux usines Citroën, chargé de trouver des solutions aux problèmes de logements des ouvriers. Au lendemain de la guerre, alors qu’il a acquis depuis 1942 une solide expérience dans l’entreprise de travaux publics Bancel & Choiset, ses idées se précisent. Mesurant « l’abîme » qui sépare l’industrie automobile du monde du bâtiment, il envisage dès cette époque, d’« adapter à la construction d’immeubles, les principes de la fabrication industrielle, ou en d’autres termes, faire des maisons comme on fabrique des automobiles ». Un brevet intitulé “Procédé de construction” Construction de 948 logements à Sarrebruck, en Allemagne, selon les procédés Camus de préfabrication lourde (de mars à octobre 1963). [©Archives de Forbach] Raymond Camus part alors du constat que la préfabrication par petits éléments en vogue à l’époque est loin de donner les résultats attendus. Il met alors au point un procédé de construction utilisant de grands panneaux porteurs préfabriqués en béton. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le secteur du bâtiment connaît en France un bouleversement sans précédent. Les besoins immenses de la Reconstruction, puis de la construction massive de grands ensembles de logements sont l’occasion de moderniser le secteur. Lorsqu’en juin 1948, l’ingénieur dépose son brevet intitulé “Procédé de construction”, cela va révolutionner la manière de concevoir les bâtiments. Trois avantages essentiels sont mis en avant par l’inventeur. A savoir, la réduction au minimum des joints d’assemblage grâce à la taille importante des éléments. Puis, l’économie d’une ossature édifiée habituellement à l’avance. Et enfin, une fabrication complète en usine garantissant une exécution optimale au point d’incorporer l’ensemble des équipements. Le recours à ce type d’éléments n’est pas une nouveauté, puisque dès 1910 l’état major américain avait employé, pour la construction de ses casernes, de grands panneaux de béton selon le procédé Aiken. Dans l’entre-deux-guerres, on utilise des procédés similaires pour la construction de cités d’habitation, comme au Betondorp, près d’Amsterdam (Dick Greiner, architecte) ou dans le cadre du Neue Frankfurt (Ernst May, architecte), en Allemagne.  L’ilôt N17 du quartier havrais du Perrey Un transport de panneaux Camus, préfabriqués à Marienau (57), passe le poste frontière franco-allemande de la Brême d’Or. [©Archives de Forbach] Un an à peine après le dépôt de la demande de brevet, le procédé Camus reçoit l’agrément provisoire du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU) par décision n° 319 du 22 juin 1949. Et la société d’exploitation Raymond Camus & Cie est créée. Quelque 42 brevets seront déposés par Raymond Camus, pour la plupart signés de son seul nom et portant presque tous sur la fabrication ou la manipulation de panneaux préfabriqués à base de béton armé. Dès 1950, des usines sont créées pour la mise en œuvre de ce procédé.  Construction d’un immeuble de la cité des Champs-Barets au Havre (76), grâce au procédé ETM. [©Archives de Centrale Histoire]Immeuble en construction au Havre (76), les ouvriers sont en train de coffrer un poteau d’angle de l’ossature. [©Archives de Centrale Histoire]Chantier du Shape Village, situé à Saint-Germain-en-Laye (78). [©Archives de Centrale Histoire] En 1951, un premier immeuble est bâti au Havre, dans le quartier du Perrey, îlot N17. Plusieurs dizaines de pays mettent en œuvre le système Camus : Allemagne de l’Ouest, Algérie, Autriche, Belgique, Espagne… Mention spéciale pour l’URSS qui produisit sous licence dans 300 usines ! Dans les années 1970 toutefois, la préfabrication lourde connaît un déclin. Mais au total, le système Camus compte, en 1977, plus de 350 000 logements réalisés dans 20 pays différents. Lire aussi : – “Raymond Camus et l’avènement de la préfabrication lourde en France : vers un nouveau paradigme structurel”, Centraliens n° 625, Avril-mai 2013.“La préfabrication lourde en URSS : Concepts techniques et dispositifs architecturaux”,Natalya Solopova, Editions Dom Publishers, 2021. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 230 jours

Mapei : Des nouveautés et une avant-première

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Une partie de la gamme Mapefibre ST devient translucide. [©Mapei] Ce n’est pas encore la période des étrennes. Pourtant, Mapei arrive à Artibat la hotte pleine de nouveautés. En tête de liste vient se positionner la nouvelle gamme Mapefibre ST. A présent fabriquée en interne, l’offre a vu l’introduction des ST30 et ST42, qui se caractérisent par leur couleur transparente, les rendant pour ainsi dire invisibles dans le béton.  Côté adjuvants, Mapei présente pas moins de deux innovations. Tout d’abord, le plastifiant Dynamon Easy 834. Offrant une plage de dosage étendue, il permet de couvrir une large gamme de bétons, de plastiques à très fluides. Ceci, grâce à un pouvoir de dispersion des éléments fins qui s’amplifie avec le dosage.  Le Mapefluid N230 est, lui, le dernier-né des superplastifiants de la marque. Il est adapté aux bétons de dallage, permettant des formulations cohésives, ce qui aboutit, après pompage, à un matériau homogène en sortie du tuyau. Exit la concentration de particules au centre et la laitance autour… De plus, Mapefluid N230 offre un long maintien d’ouvrabilité (jusqu’à 1 h 30) pour un grand confort d’utilisation, sans retarder la finition du dallage. Enfin – et c’est une avant-première -, Mapei doit dévoiler un nouveau service mobile pour accompagner ses clients du secteur du béton. Son nom : Mapei Le Lab’. Il s’agit du premier laboratoire mobile adjuvantier en France. Entièrement équipé, il se déplace sur les usines de préfabrication, les centrales à béton et sur chantier pour réaliser des essais sur les matières premières et de formulations béton. Sur Artibat : Hall 10B – Stand K33 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 230 jours

Boîte d’attente : Un équipement pas si banal

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, François Gaudin, président du comité particulier “boîtes d’attente”, et Eric Caniac, directeur technique de l’Afcab (Association française de certification des armatures du béton). [©ACPresse] La boîte d’attente fait partie de ces dispositifs omniprésents sur les chantiers de bâtiment, qui simplifie les travaux de construction. Ce type d’équipements s’est beaucoup développé à partir du début du XXIesiècle. Même s’il n’existe pas de chiffres précis quant à l’importance de son marché, on peut l’estimer à une fourchette comprise entre 3 et 4 mis en œuvre chaque année.  La boîte d’attente constitue un produit complémentaire de l’industrie des armatures. Quelques usines appartenant à des groupes armaturiers en assurent la fabrication, auxquelles s’ajoutent plusieurs industriels indépendants. « Une boîte d’attente est un dispositif technique permettant d’assurer une liaison physique entre deux voiles ou entre un voile et un plancher », rappelle François Gaudin, président du comité particulier “boîtes d’attente” de l’Afcab (Association française de certification des armatures du béton). Il s’agit donc d’un élément structurel qui participe à la stabilité de la construction. Aussi, il faut le choisir avec soin pour avoir toutes les garanties en cas de sinistre. A ce titre, l’Afcab a mis en place un système de certification volontaire des boîtes d’attente.« Choisir un produit certifié permet de transférer la responsabilité décennale de l’entreprise de construction vers le fournisseur du produit,précise Luc Rozier, directeur commercial produits de la Snaam. En cas d’utilisation d’éléments non certifiés, c’est l’entreprise qui reste responsable s’il y a un sinistre, sans possibilité de se retourner vers son fournisseur… » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 230 jours

Des boîtes d’attente pas si basiques que ça

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine DMA Industries : Simple et efficace Boîte d’attente DMA Box de DMA Industries [©Groupe DMA] Comme son nom le laisse entendre, l’armature industrielle pour béton est le métier de DMA Armatures. Né en 1980, dans l’Eure, le groupe familial est aujourd’hui à la tête de dix usines en France, dont DMA Industries, sise à Saint-Georges-sur-Eure (28). Ainsi, à sa gamme de produits sur plan et autres solutions standards, l’entreprise a naturellement intégré une offre d’accessoires de reprise de béton, à la tête de laquelle figurent les boîtes d’attente. Leur fabrication est assurée par l’entité DMA Industries. Quant à l’identité des boîtes, elles ont été appelées DMA Box. Simple et efficace.  A support incorporé, cette gamme de boîtes d’attente existe en trois largeurs et en deux longueurs. Elle utilise des aciers NF B500A, aptes aux pliage et dépliage. Ceux-ci sont déclinés du diamètre 6 au 12 mm. DMA Industries précise que son service étude peut aussi proposer des boîtes sur mesure selon les besoins des chantiers. Conformément aux normes applicables en matière d’engravures pour reprise de bétonnage, DMA Industries respecte les prescriptions et propose une profondeur de boîtier de 30 mm. Armabox Fimurex : Une offre bien définie La Novabox d’Armabox Fimurex est une boîte d’attente à support intégré. [©Fimurex] Le catalogue Armabox Fimurex est riche de deux grandes familles de boîtes d’attente, certifiées Afcab. La ligne Gammbox2 est la première d’entre elles. Le support recevant les armatures est en polypropylène recyclable. Il est dit amovible. Il est donc impératif de l’ôter en intégralité, afin de garantir une reprise béton contre béton.  La ligne Gammbox2se décline en plusieurs variantes. A la classique “B”, pour les usages standards, s’ajoute la “BPR”, dédiée à une utilisation avec des prémurs. Les autres références techniques prennent les noms de “BA”, “BAB”, “BB” et “BG”, et dépendent de la configuration des armatures en attente. L’offre est complétée par la Gammbox2BPS. Il s’agit de la boîte d’attente spécifique pour assurer les liaisons planchers à prédalles et voiles avec engravure (LPPVE). Cette boîte répond à toutes les exigences du Fascicule de documentation FD P 18-720. Ainsi, l’ensemble (boîte d’attente et dispositif de maintien aimanté) permet de générer une indentation verticale de 12 mm de profondeur, en conformité avec l’Eurocode 2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 233 jours

Les chiffres du marché des chaudières Biomasse au 1er semestre 2021 sont satisfaisants selon le SFCB

Les chaudières bois continuent leur croissance et connaissent une augmentation de plus de 150% entre le premier semestre 2019, non touché par la crise COVID, et le premier semestre 2021 (+89% sur 2020). Une augmentation très soutenue qui continue de s'expliquer par le remplacement des chaudières au fioul encouragé par les pouvoirs publics dans le domestique comme dans le collectif.Comme l'année dernière, le SFCB appelle à un renforcement des aides pour le remplacement des chaudières à bûches non performantes, par de nouveaux équipements plus économes et plus propres afin de réduire les émissions particulaires et les consommations de bois.Pour leur part, les chaudières automatiques de moyenne à forte puissance connaissent, elles, encore les effets de la crise du covid-19. Souvent installées par des collectivités, des projets mis en attente durant la crise sanitaire peinent encore à se concrétiser.Un deuxième semestre incertain mais une filière confiante La filière s'interroge sur le deuxième semestre 2021 qui est marqué par quelques incertitudes. En effet, les usines de production des chaudières doivent faire face à une demande croissante pour de nouveaux équipements et à des problèmes de disponibilités des matières premières et de composants électroniques. Les délais ont tendance à s'allonger, repoussant les projets pour 2022.Cette situation augure une très belle année 2022 !
Il y a 3 ans et 233 jours

Elcia signe un partenariat avec Proginov pour proposer son ERP Diapason en mode SaaS

Un partenariat entre deux leaders français du logiciel Edouard CATRICE, comment ce partenariat est-il né ?« Comme on dit, le hasard fait bien les choses ! Diapason et Proginov sont basés sur la même technologie Progress et c'est à l'occasion d'un partage de bonnes pratiques sur Progress que nous nous sommes rencontrés pour la 1ère fois avec Philippe PLANTIVE l'année dernière. Le feeling a été immédiat ! Vous savez, les partenariats, c'est souvent une histoire d'hommes et il s'avère que nous partageons le même état d'esprit, nos sociétés se ressemblent beaucoup sur le plan des valeurs et sur sa relation avec ses collaborateurs. A ce moment-là, nous étions justement en train de réfléchir de notre côté à des solutions d'hébergement de Diapason dans le Cloud. En visitant l'infrastructure Cloud de Proginov située en région Nantaise, j'ai été bluffé par leur expertise et le niveau haut de gamme de leur proposition de service. C'est exactement le service Premium que nous souhaitions proposer à nos clients Diapason, pour qui la disponibilité de leur ERP est vitale, et nous sommes ravis de pouvoir nous appuyer sur Proginov, un autre leader français du logiciel, pour le concrétiser. »Philippe PLANTIVE, pourquoi ce partenariat entre le Groupe ELCIA et Proginov ?« L'aventure Proginov en tant qu'hébergeur a démarré en 2001. Imaginez, l'iPhone n'existait même pas à cette époque ! Depuis, on a réussi à construire une infrastructure et une expertise qui nous permettent d'être le leader français de l'ERP en mode hébergé. Je trouve donc ça palpitant de pouvoir créer un partenariat entre deux belles sociétés de la French Tech qui performent ! Prendre le meilleur du Groupe ELCIA pour l'associer au meilleur de Proginov, tout le monde sortira grandi de cette alliance à commencer par les clients. Cela va nous aider à performer davantage sur nos marchés respectifs avec de belles perspectives devant nous. Mais ce qui nous anime aussi, c'est que l'on partage bien plus qu'un partenariat. Avec Edouard CATRICE et Franck COUTURIEUX (Président-Fondateur du Groupe ELCIA), nous partageons un enracinement profond autour de convictions sociales et environnementales : partager la valeur avec ses équipes, piloter par la confiance, prendre soin de la planète…. Ces valeurs sont ancrées en nous, c'est viscéral. Pour toutes ces raisons, nous avons un terrain d'expression assez incroyable. »Diapason dans le Cloud : de nombreux avantages pour tous les Industriels de la Menuiserie, du Store et la FermetureGrâce à ce nouveau partenariat entre le Groupe ELCIA et Proginov, les clients Diapason pourront désormais disposer d'une solution ERP Cloud « clef en main » comprenant l'infrastructure, l'accès au service, la sécurité et les sauvegardes. Ils pourront ainsi déléguer toute la gestion de l'infrastructure nécessaire au bon fonctionnement de Diapason, et répondre aux enjeux de sécurité des données, de disponibilité et de maintenance évolutive. Autant de sujets qui deviennent de plus en plus complexes à gérer en interne d'autant plus qu'ils nécessitent une expertise pointue.Laurent HARISTOY, un mot sur l'adoption du Cloud dans le monde des ERP ?« Passer à l'ERP SaaS devient de plus en plus une évidence, ce qui n'était pas le cas il y a 10 ans. Les dirigeants et DSI de nos clients ont de plus en plus de mal à gérer leur propre infrastructure : multiplicité des technologies, besoin d'experts hautement qualifiés, (qui plus est très difficiles à recruter et fidéliser), investissements matériel coûteux, scalabilité. Autre enjeu incontournable, la sécurité des données face à la montée des cyberattaques qui se multiplient et notre secteur n'a pas été épargné. Toute l'usine repose sur le bon fonctionnement de l'ERP, sans cela tout est à l'arrêt et les conséquences peuvent être dramatiques. Aujourd'hui tout le monde prend conscience que c'est beaucoup plus sécurisé d'être hébergé dans un Cloud privé comme celui de Proginov que sur sa propre infrastructure. Proposer Diapason en mode SaaS était donc incontournable. »A ce propos, pouvez-vous nous en dire plus sur les points forts du Cloud privé de Proginov ?« Nous souhaitions proposer une solution d'hébergement Premium à nos clients à la hauteur de nos exigences. Proginov est un leader dans son domaine et je soulignerais 3 points clefs :- Comme je le disais précédemment la sécurité des données est cruciale. Proginov est certifié ISO 27001 et HDS, une norme internationale de référence. Cette certification (HDS) lui permet notamment de travailler sur l'hébergement de données ultrasensibles pour de nombreux clients dans le domaine du médical (hôpitaux, cliniques, …). De plus, Proginov, propriétaire de ses deux datacenters situés en France, propose des solutions de Cloud privé qui permettent des niveaux très supérieurs de contrôle et de confidentialité par rapport à un Cloud public.- Autre point très important, la fiabilité et l'hyperdisponibilité ! Proginov garantit un taux de disponibilité du service de 99,999 %. Leurs deux datacenters fonctionnent en PCA (Plan de Continuité d'Activité), les données sont répliquées en miroir croisé temps réel dans les deux datacenters. Proginov propose aussi des services comme le Maintien en Condition Opérationnelle (MCO) du SI, le monitoring et la supervision, la gestion des sauvegardes, l'administration et l'optimisation de Bases De Données.- Enfin, la qualité et la réactivité du service clients. Proginov en a fait un de ses atouts en assurant en interne, un service de hotline applicative et technique disponible 24h/24h 7j/7j, y compris les jours fériés ! Ils disposent d'une équipe d'experts de 40 personnes, capable d'opérer dans tous les domaines : système (Windows, Linux, Unix, Aix, AS 400), réseaux, sauvegarde et archivage, bases de données (Progress, SQL Server,Oracle, PostgreSQL …), Citrix, messagerie, etc. Assez rare pour le souligner aussi, le turnover chez Proginov est de moins de 1 %, grâce notamment à leur modèle social (85 % des salariés sont actionnaires), ce qui permet aux équipes de suivre un client dans la durée. »Pour terminer Laurent HARISTOY, un dernier mot ?« Ce nouveau partenariat est une excellente opportunité pour des fabricants qui souhaitent s'équiper de Diapason, mais qui n'ont pas encore de système d'information robuste installé chez eux, ni les compétences en interne. Le déploiement sera ainsi fortement accéléré car il n'y a aucun serveur à installer et les ressources informatiques vont s'adapter au fur et à mesure que l'entreprise évolue. En termes de “scalabilité” et de coûts, il n'y a pas mieux ! »
Il y a 3 ans et 233 jours

Montpellier : les travaux de construction d’une usine de production d’eau potable se poursuivent

La régie des eaux de Montpellier Méditerranée Métropole s’est engagée dans les travaux de construction d’une usine de production d’eau potable de la ville. Le chantier durera jusqu’en 2024.
Il y a 3 ans et 234 jours

A Durtal, Wienerberger se verdit et ajuste ses activités à la RE2020

INNOVATION. L'expert en fabrication de solutions de murs, façades et toitures en terre cuite s'engage durablement en déployant de nouveaux produits conformes à la réglementation environnementale 2020. L'une de ses usines, dans le nord-ouest de la France, se tourne ainsi vers l'économie circulaire et le recyclage de ses matériaux.
Il y a 3 ans et 235 jours

Girpav implante une nouvelle usine en Pays de la Loire

SITE DE PRODUCTION. Spécialisé dans l'aménagement extérieur, notamment dans la pierre reconstituée, Girpav s'est doté d'une nouvelle usine située à Maresché (Pays de la Loire).
Il y a 3 ans et 236 jours

Jessica Jung est la nouvelle directrice générale de Rénovation Privée

Portrait de Jessica Jung, la directrice générale de Rénovation Privée. [©Bouygues] Unité opérationnelle de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Rénovation Privée est le spécialiste des projets de rénovation tertiaires et résidentiels privés. L’entité sera désormais dirigée par Jessica Jung. Sa mission principale sera de développer l’entreprise sur le marché de la rénovation, en accord avec les défis climatiques. En effet, Rénovation Privée compte bien proposer des solutions innovantes pour répondre aux exigences environnementales du marché. Jessica Jung devra mettre en place un accompagnement global dans le processus de réalisation des projets immobiliers, qu’ils soient destinés à un usage professionnel ou privé.  « Je suis profondément et personnellement impliquée dans la transformation de nos manières d’agir face à l’urgence climatique, souligne Jessica Jung. La rénovation, plus frugale en matières premières, nous offre un rôle à jouer de premier plan, pour réaliser des bâtiments plus respectueux de la planète et du bien-être des personnes. » De plus, Jessica Jung est fière de représenter les femmes dans le secteur du BTP. Il est important de révéler l’ensemble des talents féminins du secteur et de laisser la place à chacun de s’épanouir. Jessica Jung sera sous la tutelle de Thierry Roulet, directeur général de Bouygues Bâtiments Ile-de-France, et d’Albin Dargery, directeur général en charge du pôle tertiaire privé.  Son parcours Diplômée de l’Ipag Business School en 2000 avec la spécialisation audit et contrôle de gestion, Jessica Jung intègre par la suite Bouygues Construction en tant que contrôleur financier. Elle évoluera au sein du groupe. Tout d’abord, au poste de chef de projet “Sap”1, puis en tant que secrétaire générale. En 2012, elle devient directrice commerciale “ouvrages fonctionnels” Rhône. Et en 2015, directrice de grands projets toujours au sein de Bouygues Bâtiment Sud-Est. Enfin, c’est en 2018 qu’elle rejoint la région Ile-de-France au poste de directrice de production. Jessica Jung a pris ses fonctions de directrice générale au sein de Rénovation Privée, le 1erjuillet 2021.  Charline David 1Progiciel d’applications de systèmes et produits de traitement des données.
Il y a 3 ans et 236 jours

Comment l'adaptation aux événements climatiques extrêmes peut changer la face de la ville

Avec son "lac saisonnier" et la promesse d'un "meilleur écoulement de l'eau" entre les différents sites du campus universitaire de la ville Hyderabad, la réponse au risque d'inondation devient "un moteur du projet" encore en compétition, décrit Brice Piechaczyk, architecte au cabinet Enia.Vagues de chaleur, inondations, vent violent: impossible d'ignorer les conséquences du dérèglement climatique, qui s'expriment particulièrement en ville et demandent des aménagements pour en réduire la portée."Après la première vague de chaleur, en 2017, nous avons travaillé sur le réseau d'eau, afin de limiter le gaspillage qu'on avait identifié. Cette année [en raison notamment de l'anticyclone Lucifer], il y avait beaucoup d'incendies dans la région. Nous sommes en train de mettre en place un système de surveillance des forêts par drones et satellites", explique à l'AFP Virginia Raggi, la maire de Rome.Les épisodes caniculaires sont accentués en ville, où l'urbanisme et la concentration d'immeubles créé parfois des îlots de chaleur et augmente encore la température dans les hypercentres."Il faut dé-imperméabiliser la ville", explique l'architecte-urbaniste Ariella Masboungi, qui cite notamment la conception de "jardins de poche", pour remplacer le bitume afin de protéger de la chaleur et de faciliter l'écoulement de l'eau.Savoirs oubliésL'adaptation de la ville passe d'abord par des aménagements sur l'existant plutôt que par de nouvelles constructions."On peut régénérer les villes depuis les zones délaissées. Il y a des espaces à l'abandon comme d'anciennes usines, écoles, bureaux... Nous avons les moyens de redéfinir leurs usages", décrit Mme Raggi, qui vise notamment à relier les différents parcs et espaces verts de la capitale italienne pour créer un "Anello Verde" (bague verte).L'effort d'adaptation des bâtiments est notamment valable pour "ceux construits entre l'après seconde guerre mondiale" et "les premières règlementations thermiques", dans les années 1970 puis 2000 en France, estime Lois Moulas, directeur de l'Observatoire de l'immobilier durable.D'anciennes considérations ont été "oubliées", comme la "bio-conception" des villes, argumente également Mme Masboungi. "La ville de Gênes est construite avec des +couloirs de vent+, qui permet de ne pas avoir trop chaud, même par 40 degrés", illustre-t-elle."On savait faire, on doit retrouver" ces conceptions assure l'urbaniste.Ces changements amènent à mieux prendre en compte la région et les conditions locales des constructions. "Les Anciens construisaient différemment en Bretagne qu'en Côte d'Azur. Aujourd'hui on ne peut plus ignorer l'orientation des bâtiments, des ouvertures en fonction du soleil ou du vent", estime Abbès Tahir, directeur général délégué d'Arte Charpentier.Créatif et scientifiqueD'autant que les architectes peuvent désormais s'appuyer sur des données et des projections plus fines, afin de mieux identifier les risques et les impacts des solutions envisagées.L'observatoire de l'immobilier durable a par exemple lancé le programme Bat-Adapt, composé notamment d'une cartographie d'analyse des risques climatiques pour les bâtiments, comme les vagues de chaleur, les sécheresses, le retrait-gonflement des argiles ou encore les inondations. Cette cartographie est en libre accès.Limité pour l'instant au territoire français métropolitain, la carte sera à l'échelle européenne à terme, l'OID étant en phase de collecte des données."Les architectes doivent travailler beaucoup plus étroitement avec le monde scientifique et de l'ingénierie pour développer les analyses prédictives. Le coeur de notre métier est d'être créatif, mais nous devons mettre cette créativité à l'épreuve de la science", pense M. Piechaczyk."Mais nos bâtiments doivent aussi être plus agiles. Il faut garder en tête qu'ils doivent pouvoir être adaptés et rénovés plus facilement", pour mieux répondre aux conséquences climatiques pas encore anticipées et encourager leur reconversion, conclut-il.
Il y a 3 ans et 239 jours

Aux journées du patrimoine, la Seine-Saint-Denis fait valoir son passé industriel

À l'occasion des journées du patrimoine, le département populaire de banlieue parisienne ouvre samedi et dimanche les portes de plusieurs sites emblématiques de son patrimoine industriel, inscrivant même pour la première fois cette année certains lieux méconnus au programme de cet événement.Avec ses allées pittoresques, ses façades carmin mangées de vigne vierge et ses anciens ateliers d'usine désormais occupés par des artistes, des bronziers ou des fabricants de décor de cinéma, l'Orfèvrerie de Saint-Denis fait partie de ces marqueurs de la forte industrialisation du territoire à compter du milieu du XIXe siècle, puis de sa désindustrialisation progressive depuis une cinquantaine d'années.Parisienne curieuse, Estelle Le Goasduff a saisi l'occasion d'une rare visite guidée pour découvrir ce complexe mis en service en 1877 par la maison d'orfèvrerie Christofle, qui l'a abandonné il y a une quinzaine d'années.Passant régulièrement devant à vélo, elle se sentait attirée par son atmosphère d'un autre temps.L'histoire du bassin parisien, "ce n'est pas que Versailles et des grands bâtiments avec des dorures. C'est aussi toute la vie qu'il y avait, la plupart des gens vivaient et travaillaient dans ces bâtiments (industriels), il faut avoir les deux penchants", estime cette trentenaire, administratrice dans le monde du spectacle.Avec la Coupe du monde 1998 de football et la construction du Stade de France en Seine-Saint-Denis, le département a commencé à développer une politique de promotion touristique. Mais il fallait à ce territoire défavorisé se frayer une place à l'ombre de la Ville Lumière.Or, si les bâtiments historiques majeurs n'y sont pas légion, le "93" est en revanche légataire d'une longue tradition ouvrière. Une spécificité qu'il a donc décidé de mettre en avant. "L'histoire industrielle, c'est celle qui a conditionné les mouvements de populations, l'arrivée de vagues migratoires, donc une identité cosmopolite qui fait la richesse de la Seine-Saint-Denis", explique à l'AFP Olivier Meïer, directeur de Seine-Saint-Denis Tourisme.Chambord brutalisteÀ La Courneuve, l'usine KDI ouvrira ses immenses halles-cathédrales pour la première et dernière fois aux journées du patrimoine.Désaffecté depuis trois ans, le site métallurgique de 5 hectares sera bientôt démoli pour laisser place à un nouveau centre-ville.Les rayons de soleil filtrant par les trouées du toit strient d'impressionnants ponts roulants laissés en place. Les clés sont insérées dans des tableaux de commande qu'on penserait prêts à être rallumés dans l'instant, si n'était l'épaisse couche de poussière.Donner accès à cette usine à la fois connue et méconnue des habitants du département, qui ne l'ont toujours vue que de l'extérieur, "c'est l'occasion de sensibiliser les gens à ce que c'est que la reconversion d'un site industriel", raconte Mikaël Petitjean, chargé du patrimoine à la municipalité.Ici, "on a une charge émotionnelle forte, on a l'impression de ressentir le travail des ouvriers, l'odeur du métal, de sentir le site vibrer", renchérit Vincent Chartier, responsable de la communication de Seine-Saint-Denis Tourisme.Plus au sud, la ville de Montreuil autorise, elle, la découverte de Mozinor, sa "zone industrielle verticale" à la double rampe hélicoïdale qui permet aux camions de monter et descendre sans se croiser, sorte d'"escalier de Chambord" version brutaliste."On a des demandes pour des tournages, et même pour des fêtes de mariage !", relate Gaylord Le Chequer, premier adjoint au maire, en arpentant l'improbable toit-jardin planté d'arbres et de cheminées de ce bâtiment des années 1970.Avec le renouvellement urbain et la montée du secteur tertiaire, les infrastructures industrielles refluent cependant peu à peu du paysage de la Seine-Saint-Denis, note Antoine Furio, spécialiste du sujet au conseil départemental. D'où une réflexion sur la valeur historique et la politique de préservation de ce patrimoine. Mais "l'idée n'est pas de tout garder, il faut faire le tri".
Il y a 3 ans et 240 jours

La filière carrières et matériaux de construction ouvre exceptionnellement ses sites au public

L’occasion pour le grand public de découvrir une filière industrielle française qui participe à l’aménagement et à la vie économique des territoires et promeut les circuits courts et l’économie circulaire. De nombreux sites ouvriront leurs portes dans toute la France !La filière minérale au rendez-vous des Journées Européennes du PatrimoinePonts, monuments, ou encore maisons, appartements, écoles et commerces font partie de notre environnement au quotidien. Il s’agit de notre patrimoine bâti et nombreux sont ceux qui les utilisent chaque jour sans connaître l’histoire des matériaux minéraux et des savoir-faire qui ont permis leur création. Ces matériaux du terroir, inscrits dans nos traditions et cultures locales, sont à l’origine des constructions les plus innovantes, performantes et durables.Les journées portes ouvertes organisées par l’UNICEM sont une véritable opportunité pour les particuliers de rencontrer les professionnels de la filière et de découvrir le monde peu connu et pourtant passionnant des carrières et des matériaux minéraux.Au programme : 3 jours de découverte au cœur de sites industrielsDurant 3 jours, les collaborateurs des entreprises guideront petits et grands à travers les visites des sites de la filière minérale. En fonction des sites ouverts à proximité de chez vous, vous pourrez :Découvrir l’activité industrielle : en visitant une carrière, une usine de transformation des matériaux, un atelier de façonnage de la pierre, une unité de production de béton prêt à l’emploi, une installation de recyclage des matériaux, etc. Découvrir l’apport de la filière aux territoires : en visitant des sites réhabilités et réaménagés, en suivant des parcours « biodiversité », en comprenant les usages des matériaux produits sur les sites de la filière. En complément des visites guidées, de nombreux ateliers seront proposés par les entreprises au public : des ateliers adaptés aux enfants, des initiations à la conduite d’engins, des démonstrations de taille de pierre, etc. Durant ces Journées Portes Ouvertes, c’est tout un pan du savoir-faire et du patrimoine français, qui sera mis en lumière par les entreprises adhérentes à l’UNICEM. La liste des sites participants sera prochainement disponible sur www.unicem.fr et sur les réseaux sociaux #JPOUNICEM2021
Il y a 3 ans et 241 jours

RealWear accélère son développement sur le marché français

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, accélère sa présence sur le marché français. L’entreprise a connu une forte croissance sur ses secteurs clés de l’industrie et de l’énergie lors du confinement en permettant aux entreprises de réduire les risques sanitaires ainsi que la réduction de leur empreinte carbone en permettant aux opérateurs de terrain de collaborer à distance avec leurs experts.RealWear développe des casques mains libres à commande vocale, conçus pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier casque mains libres, qui libère les mains des opérateurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux équipes de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d'arrêt pendant le travail. Compatibles avec les solutions de visioconférence Microsoft Teams, Cisco Weber (Expert on Demand) et Zoom, ils permettent en outre aux opérateurs de communiquer et de collaborer en temps réel avec les experts où qu'ils soient à travers le monde. Les casques RealWear sont également compatibles avec de nombreuses solutions proposées par ses nombreux partenaires technologiques.« L’objectif de RealWear a toujours été d’accroître la sécurité des techniciens sur les chantiers et dans les usines en leur donnant accès facilement à toutes les informations dont ils ont besoin en gardant les mains libres. Avec le Covid 19, nos outils ont également permis aux acteurs de l’industrie de réduire les risques sanitaires en collaborant aisément à distance, mais aussi de limiter considérablement les émissions de gaz à effet de serre induites par les déplacements », détaille Frédérique Vautel, Territory Manager Southern Europe et Francophone Countries. « Cette tendance va rester même une fois la crise sanitaire passée et notre mission est d’accompagner les entreprises dans cette transition ». Les leaders mondiaux des secteurs, entre autres, de l’énergie, de l'industrie et de l’automobile font confiance aux HMT-1 et HMT-1Z1 pour habiliter et connecter leurs collaborateurs à travers le monde entier. Parmi ses clients français, RealWear compte notamment Bureau Veritas France, Stellantis et TotalEnergie.
Il y a 3 ans et 241 jours

Tuile de rénovation teintée dans la masse

ERLUS élargit son offre E 58 SL avec une version teintée dans la masse. Elle réunit tous les avantages de la famille des pannes E 58 : universelle, économique et polyvalente. Elle est disponible avec tous les accessoires ERLUS, y compris ceux en aluminium. La tuile E 58 SL est une tuile panne galbée adaptée pour le neuf comme pour la rénovation. Elle se montre particulièrement robuste et résistante à la casse. Avec son pureau variable de 30 millimètres et son important jeu latéral, elle est facile à poser. Le quadruple recouvrement à l’angle des tuiles, avec un accrochage correct, lui confère une résistance élevée contre la tempête ou l’aspiration du vent. Cette tuile est particulièrement adaptée à la rénovation des toits avec des tuiles d’un pureau de 32,5 à 35,5 centimètres. Elle est fabriquée à l’usine Erlus de Teistungen à partir de grès bigarré de Teistungen préhistorique.
Il y a 3 ans et 242 jours

Armor solar power films solarise du verre de sécurité pour générer de l'énergie solaire grâce à des façades en verre

Mis au point par ARMOR solar power films, le film photovoltaïque organique (OPV) ASCA® s’intègre rapidement, facilement et de manière flexible dans n'importe quel format de verre et de façade. Outre les composants OPV, ARMOR solar power films se charge également de la connectique, du câblage et de la connexion à l'onduleur. L'énergie solaire est injectée dans le réseau public ou consommée directement.Des immeubles générateurs d'énergieLe verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH (situé à Bretten, près de Karlsruhe) propose depuis cet été à ses clients internationaux du BTP des modules de verre transparent capables de générer de l’énergie. Si les balustrades sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l’extérieur, garantissant ainsi l'intimité des résidents. L'énergie solaire est produite par des cellules ASCA® à base de polymères organiques, qu'ARMOR solar power films applique en couches très fines sur films minces à l'aide d'un procédé d'enduction spécifique.« Avec les balustrades en verre, ARMOR solar power films vient apporter une solution inédite à l’offre de façades existante. Pour la première fois, le verre de sécurité appliqué sur les immeubles de grande dimension peut également générer de l'énergie. Les modules ASCA® s’adaptent parfaitement aux contraintes des façades d’immeubles grâce à leurs propriétés visuelles sur-mesure et techniques les rendant efficaces même en zones partiellement ombragées » déclare Martin Sulzer, Responsable Technico-Commercial chez BGT.« Avec les balustrades en verre, ARMOR solar power films vient apporter une solution inédite à l’offre de façades existante. Pour la première fois, le verre de sécurité appliqué sur les immeubles de grande dimension peut également générer de l'énergie. Les modules ASCA® s’adaptent parfaitement aux contraintes des façades d’immeubles grâce à leurs propriétés visuelles sur-mesure et techniques les rendant efficaces même en zones partiellement ombragées » déclare Martin Sulzer, Responsable Technico-Commercial chez BGT.Contrairement aux modules photovoltaïques cristallins classiques, le film ASCA® est souple, flexible, transparent et sur mesure. Il existe en bleu, vert, gris ou rouge. « Nous pouvons produire n'importe quelle forme, dans n’importe quelles dimensions et ainsi répondre aux besoins des professionnels de l'architecture et du design », explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development & Management des Projets chez ARMOR solar power films.Premier projet dans l’immobilierUne fois le design établi, le système peut être planifié en une dizaine de jours. Les premières balustrades en verre intégrant le film ASCA® ont été mises en service en mai dans des copropriétés à Möhringen, une des municipalités de Stuttgart.« Nous sommes heureux de pouvoir montrer les performances de nos balustrades avec ce projet. Cela prouve que notre technologie fonctionne aussi très bien pour des projets immobiliers », conclut Hermann Issa.
Il y a 3 ans et 243 jours

La fin de la dépollution d'AZF se fait toujours attendre vingt ans après l'explosion

Certaines parties de l'ancien site de 70 hectares dans le sud de Toulouse sont aujourd'hui ouvertes au public, à commencer par le mémorial en souvenir des victimes de la plus grave catastrophe industrielle en France depuis 1945.A quelques mètres de ce monument évoquant le "cratère" laissé par l'explosion accidentelle qui a fait 31 morts et des milliers d'autres victimes, le 21 septembre 2001, des piétons se promènent au soleil sur une piste cyclable.Vers le nord, on se rapproche de l'endroit où les 300 tonnes de nitrate d'ammonium, une substance servant à faire des engrais, ont vraiment explosé. Mais, avant d'y arriver, on trouve porte close: les vestiges du "cratère" de 50 mètres de diamètre se trouvent sur un terrain vague clôturé et interdit d'accès."Sous scellés judiciaires"Contrairement au reste du site, ce terrain n'a pas été dépollué car il est encore sous scellés judiciaires, ont indiqué à l'AFP Toulouse Métropole et TotalEnergies, ex Total, dont la filiale Grande Paroisse était la propriétaire du site en 2001.Seulement après cette dépollution, une "réflexion" sur son avenir pourra être enclenchée, précise Toulouse Métropole.En suivant la même piste cyclable vers le sud, le long d'un grillage qui entoure la zone en bord de Garonne remplie de panneaux solaires, on aperçoit l'Oncopole.Ce centre de recherche pour le cancer, construit à cheval sur l'ancien site d'AZF et celui d'une ancienne poudrerie de l'armée, compte plusieurs bâtiments comme celui, avec de grandes surfaces vitrées, des laboratoires Pierre Fabre.Avant la construction de l'Oncopole et de la centrale photovoltaïque, Total a "réhabilité" l'ancien site d'AZF."Les travaux de remise en état" réalisés entre 2002 et 2007 ont coûté 100 millions d'euros, selon TotalEnergies, qui souligne leur conformité avec les exigences des autorités.Cependant, des défenseurs de l'environnement relativisent la portée de la dépollution."On a enlevé quelques poches de pollution, soit d'arsenic, soit de plomb, soit de mercure, parce que c'était vraiment trop flagrant", a expliqué à l'AFP Rose Frayssinet, des Amis de la Terre, qui a suivi de près la "réhabilitation" du site.Les seuils de polluants admis sont d'ailleurs différents selon l'usage des parcelles. Ainsi, ils sont plus exigeants pour la partie Oncopole que pour la partie des panneaux solaires, fermée au public."Dépollution pas totale"Dans tous les cas, "si on avait voulu construire des habitations, il aurait fallu aller beaucoup plus loin dans la dépollution", selon Rose Frayssinet.Un point de vue partagé par Antoine Maurice, tête de liste EELV battu de justesse aux municipales à Toulouse en 2020."La dépollution n'est pas totale. Par exemple, on ne peut pas cultiver. Il peut y avoir des remontées de substances toxiques", déclare à l'AFP M. Maurice. "La dépollution réelle prendra des centaines d'années", ajoute-t-il.Des défenseurs de l'environnement dénoncent aussi la présence à proximité du site d'une "poubelle externe" où Total avait entreposé des déchets d'AZF.TotalEnergies affirme que ce "terril" a également fait l'objet de travaux de réaménagement, en conformité avec les exigences des autorités et qu'il est régulièrement surveillé.Enfin, également à proximité de l'ancienne usine, se trouvent depuis 1917, dans des petits lacs artificiels nommés "ballastières" (carrières d'où on extrait le ballast), 5.000 tonnes de nitrocellulose, un explosif à la puissance équivalente au TNT qui est provisoirement inactivé par l'eau.Régulièrement, élus et défenseurs de l'environnement demandent la dépollution de ces ballastières.La reconversion du site d'AZF répond à une volonté de limiter la place de l'industrie chimique dans le sud de Toulouse, après l'accident de 2001.La chimie n'a cependant pas totalement quitté la zone : depuis le mémorial, on aperçoit aussi, derrière les panneaux solaires, sur une île proche, l'usine de fabrication de carburant de la fusée Ariane.
Il y a 3 ans et 243 jours

Erlus : La tuile E 58 SL-D maintenant disponible en gris ardoise

La tuile E 58 SL-D existe désormais en gris ardoise. Fabriquée à l'usine Erlus de Teistungen (Thuringe), elle est directement teintée dans la masse. Il devient ainsi inutile de retravailler les bords de coupes rendus pratiquement invisibles. Un gain de temps et d'argent lors de la mise en oeuvre !
Il y a 3 ans et 247 jours

Le programme de réhabilitation des friches industrielles étendu au delà de 2022

Reconversion d'une ancienne usine, d'un garage ou d'une gare abandonné(e), le "fonds friche", initialement doté de 300 millions d'euros dans le plan de relance, a rencontré tellement de succès auprès des collectivités que Matignon avait plus que doublé son montant au printemps, à 650 millions d'euros.L'annonce de sa pérennisation, probablement jusqu'en 2026 selon la Gazette des Communes, a été faite par le président de la République mardi lors d'une rencontre à la Cité de l'architecture à Paris, portant sur le suivi du programme de revitalisation des centre-villes baptisé "Action coeur de ville".L'Elysée a par la suite détaillé mercredi dans un tweet l'ensemble des autres mesures prises pour soutenir l'aménagement des villes moyennes, notamment en poursuivant "la décentralisation des services publics".Selon le bilan marquant le premier anniversaire du plan de relance diffusé lundi par Matignon, le "fonds friche" a pour sa part déjà concerné plus de 500 projets en France, soit "1.365 hectares qui seront réhabilités et dépollués, l'équivalent de 2.500 terrains de football".Avec pour l'Etat un double objectif, soutenir financièrement les élus locaux dans des projets de reconversion de sites industriels, destinés à accueillir de nouveaux logements, entreprises ou équipements publics, et lutter contre l'artificialisation des terres.Parmi les projets retenus, le fonds a notamment permis de lancer la reconversion de l'ancienne usine à gaz de Blois, celle d'Annonay, des mines de fer de Caen, une caserne à Verdun ou un garage à Lamballe.En juin, un rapport parlementaire avait proposé la pérennisation de ce fonds pour "accélérer le rebond économique post covid" dans les zones en déprise économique.Il présentait alors ce fonds comme un "bouclier anti-déclin" dans la "France des gilets jaunes".La reconversion des friches est aussi l'un des leviers actionnés par le gouvernement pour atteindre son objectif de "zero artificialisation nette", inscrit en 2018 par Nicolas Hulot dans le plan biodiversité et repris par la loi Climat et résilience avec un horizon à 2050.En France, 20 à 30.000 hectares d'espaces naturels, agricoles ou forestiers sont artificialisés chaque année, une des causes premières du changement climatique, de l'érosion et de la perte de biodiversité.
Il y a 3 ans et 248 jours

Comap ajoute un nouveau coloris noir à ses têtes thermostatiques pour allier efficacité et esthétisme

Les modèles Senso et Flexodesign se parent ainsi d’une nouvelle couleur très à la mode en décoration, y compris pour les radiateurs : NOIR. Tandis que la tête thermostatique Senso se dote d’un coloris noir brillant, Flexodesign propose une version noir mat adaptée aux radiateurs verticaux design et radiateurs sèche-serviette à connexion centrale (salle de bain).Cette extension de gamme permet de bénéficier de tous les atouts de performance et praticité de ces solutions, tout en se fondant joliment dans un intérieur orné de radiateurs foncés.La tête thermostatique personnalisable Senso disponible en noir brillantLa tête thermostatique Senso, un des produits emblématiques de COMAP, allie esthétisme et haut niveau de performance énergétique, réduisant significativement la consommation d’énergie.Conçue et fabriquée en France dans l’usine d’Abbeville, la tête Senso est une des plus installées par les professionnels français. Devenue une référence incontournable des têtes thermostatiques, COMAP continue cependant de la faire évoluer tant en termes de performance que de design, s’adaptant aux dernières tendances y compris en termes de coloris.Jusqu’alors présentée en blanc, Senso est aujourd’hui proposée également en total look noir, sublimant naturellement un radiateur foncé, sans dénoter. Ce nouveau coloris, noir brillant (RAL 9005), est pour actuellement disponible en M30.Pour un radiateur design vertical ou sèche-serviette, Flexodesign en version noir matLancé en 2019, Flexodesign est quant à lui un set de robinetterie thermostatique pour radiateur sèche-serviette à connexion centrale, s’adaptant parfaitement aux salles de bain harmonieuses. Flexodesign peut également équiper un radiateur design vertical dans un séjour ou une autre pièce de vie.Très adaptable et pratique à installer, Flexodesign était jusqu’alors proposé en blanc ou en chrome.Aujourd’hui s’ajoute un nouveau coloris « Noir mat » lui permettant de s’accorder encore mieux aux pièces équipées de radiateurs design noirs ou foncés, notamment le sèche-serviette d’une salle de bain.Cette nouvelle version « noir mat » (RAL 9005) est désormais disponible en version M ½ F ¾.Ce nouveau modèle conserve tous les atouts de cette solution, tout particulièrement sa polyvalence puisque FlexoDesign fonctionne dans les 2 sens de flux (réversible), avec la tête à gauche ou à droite et la possibilité d’une connexion mur ou sol …
Il y a 3 ans et 248 jours

Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons

Christophe Bignolas est le nouveau directeur général d’Eqiom Bétons. [©Eqiom] Spécialiste des matériaux de construction, Eqiom annonce la nomination de Christophe Bignolas à la direction générale de sa branche “Bétons”. Il succède à Régis Nivesse à ce poste. Christophe Bignolas entend amener toute son expérience dans un marché du béton prêt à l’emploi en pleine mutation. Ceci, pour répondre aux différents enjeux sociétaux. Et notamment, permettre à Eqiom de continuer de se positionner comme un acteur engagé dans la construction durable. Diplômé des Arts et Métiers et de l’Imperial Collège de Londres, Christophe Bignolas a débuté son parcours professionnel dans le ciment au sein chez Lafarge. Et ce, en occupant diverses fonctions en France et à l’international. Ingénieur procédés, puis responsable de production, il prend la direction de l’usine de Martres Tolosane (31) en 2012. En 2016, il rejoint Eqiom en tant que directeur industriel de la branche “Ciment”, qui comprend aussi l’activité Sapphire (valorisation de combustibles de substitution). Par ailleurs, il est aussi membre du conseil d’administration du Sfic, de Cembureau et de l’Atilh.
Il y a 3 ans et 248 jours

Lafarge en Syrie: la Cour de cassation rouvre le débat sur la "complicité de crimes contre l'humanité"

Dans un arrêt très attendu, la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire a invalidé la décision d'annuler ces poursuites, prononcées dans l'enquête sur les activités du groupe en Syrie jusqu'en 2014.Elle a aussi cassé la décision de la cour d'appel de maintenir la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui", et renvoyé ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente, afin qu'elle se prononce à nouveau.Les magistrats de cette chambre pourront ainsi décider de maintenir ou d'annuler ces poursuites contre le groupe.La Cour a en revanche confirmé la mise en examen du cimentier pour "financement du terrorisme"."La décision prise aujourd'hui par la Cour de Cassation ne présume en aucun cas d'une éventuelle culpabilité de Lafarge SA", a réagi le groupe dans une déclaration adressée à l'AFP, assurant qu'il continuait "de coopérer pleinement avec la justice"."Nous avons pris des mesures immédiates et fermes pour nous assurer que des événements similaires ne puissent plus se reproduire", a-t-il assuré, précisant que Lafarge n'exerçait "plus aucune activité en Syrie depuis plus de six ans".Dans cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), et à des intermédiaires afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction de ce site, achevé en 2010."En connaissance de cause"Lafarge est également suspecté d'avoir vendu du ciment de l'usine à l'EI et d'avoir payé des intermédiaires pour s'approvisionner en matières premières auprès de factions jihadistes.Un rapport interne commandé par LafargeHolcim, né de la fusion en 2015 du français Lafarge et du suisse Holcim, avait mis en lumière des remises de fonds de LCS à des intermédiaires pour négocier avec des "groupes armés".Mais Lafarge SA a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes."L'on peut être complice de crimes contre l'humanité même si l'on n'a pas l'intention de s'associer à la commission de ces crimes", a expliqué la Cour de cassation dans un communiqué."Dans cette affaire, le versement en connaissance de cause de plusieurs millions de dollars à une organisation dont l'objet est exclusivement criminel suffit à caractériser la complicité, peu importe que l'intéressé agisse en vue de la poursuite d'une activité commerciale", a-t-elle détaillé."La Cour de cassation donne raison au magistrat instructeur sur deux points essentiels, en confirmant les poursuites pour financement du terrorisme et en rouvrant le débat sur la complicité de crimes contre l'humanité, qui sera maintenue compte-tenu des éléments accablants du dossier", a réagi Me William Bourdon, fondateur de l'ONG Sherpa."A l'échelon mondial, ces poursuites, qui déboucheront sur un procès de Lafarge et ses dirigeants pour les crimes les plus graves, sont une première et nous rappellent l'impératif absolu que constitue le devoir du législateur de responsabiliser de gré ou de force les plus grandes entreprises de la planète", a-t-il poursuivi.Dans son arrêt, la Cour de cassation a par ailleurs estimé que seule l'ONG European Center for Constitutional and Human Rights (ECCHR) pouvait se constituer partie civile et uniquement à l'égard de l'infraction de "complicité de crimes contre l'humanité" reprochée à la société.Sherpa et l'association Life for Paris se sont vues pour leur part déboutées de leur demande de se constituer partie civile."Sherpa reste fière d'avoir initié cette procédure. Si le rejet de notre pourvoi est singulier, il ne l'est que pour des raisons techniques qui pourront être corrigées rapidement", a estimé l'avocat.
Il y a 3 ans et 250 jours

Elementa, nouvelle série d'accessoires Ritmonio pour des salles de bains uniques et très personnalisées

Pour mettre en valeur la liberté de composition et répondre aux différentes exigences du design d'intérieur, l'usine présente ELEMENTA: une collection inédite d'accessoires conçus pour permettre à chacun de créer des environnements "sur mesure" et de créer en première personne des nouveaux moyens pour enrichir les espaces de la maison.Disponibles dans 19 finitions et matériaux différents, notamment l'acier inox avec sa pureté et la pierre acrylique avec sa versatilité, les accessoires se composent de modules de différentes tailles et longueurs, qui peuvent être assemblés à votre goût ou sur la base d'exigences esthétiques fonctionnelles.Dynamiques et modifiables, dans leur minimalisme les éléments individuels peuvent être combinés entre eux dans un jeu d'encastrements et formes, pour donner vie à combinaisons uniques et nombreuses types d'accessoires. Par exemple, les modules crochets combinés à la barre pour accessoires se transforment dans des porte-serviettes pratiques. Ces derniers, unis aux étagères en pierre acrylique - pleines ou perforées, disponibles dans différentes tailles - permettent de créer des accessoires personnalisés à coordonner ou mixer pour donner vie à une salle de bains "sur mesure" à ses désires.On pourra donc donner vie à des combinaisons originales et personnalisées, en donnant vie à des espaces coordonnés qui respectent les caractéristiques de l'architecture et le style des environnements: à partir de l'étagère traditionnel porte-objets à des éléments spécifiques comme les porte-savons ou porte-brosse à dents , pour une salle de bains qui conduit à un concept de personnalisation extrême, toujours en accord avec les gouts et les exigences de ceux qui la vivent.Une polyvalence qui met en valeur l'éclectisme et la "couture", trait d'union de la totalité de l'offre de l'usine: compatible avec toutes les séries de la robinetterie Ritmonio, soit pour les finitions soit pour le design, ELEMENTA donne vie à des innombrables scénarios et à des configurations possibles.Grâce aux éléments innovatrices et fonctionnels, et à l'adaptabilité dimensionnelle totale de ELEMENTA, la salle de bains "Made in Ritmonio" repose sur un design minimal et original, qui désigne les espaces avec personnalité et raffinement, là où l'expérimentation devient concrète.Un concept d'aménagement de la salle de bains révolutionnaire, qui permet de relire entièrement le lieu du bien-être: la robinetterie et les accessoires ne sont plus seulement des détails, mais ils deviennent les vrai protagonistes des projets, en donnant à l'utilisateur une expérience où la composante émotionnelle est essentielle.
Il y a 3 ans et 251 jours

Castex en messager de la réindustrialisation au salon Global industrie

A huit mois de l'élection présidentielle, où le chômage et l'emploi restent des sujets essentiels, le Premier ministre a fait deux annonces sonnantes et trébuchantes lors du salon Global Industrie qui s'est ouvert à Lyon et durera jusqu'à la fin de la semaine.D'abord, la prolongation de six mois jusqu'en juin 2021 des aides du plan France Relance à l'apprentissage, ensuite, l'ajout de 150 millions d'euros au programme "Territoires d'industrie" qui permet des aides publiques pour relancer des activités dans les bassins les plus touchés par les restructurations."2,6 millions de jeunes au total ont bénéficié d'aides du plan de relance", a lancé M. Castex, avec notamment "plus de 500.000 contrats d'apprentissage ou d'alternance signés par les entreprises, un record historique".Même si le mot réindustrialisation fait partie des mots-clés de la prochaine campagne, le Premier ministre a admis l'état de "désindustrialisation" dans lequel se trouve le pays, révélé par la pandémie.La part des emplois industriels représentait "22%" du PIB en 1980, ce taux est tombé "à 13% en 2017", et le nombre de salariés de l'industrie est tombé à 3,2 millions contre 5,3 en 1980, a-t-il dit.Sa ministre de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, qu'il a fait applaudir par la salle, s'est prononcée pour "un choc de réindustrialisation"."Nous avons diminué de 40% l'empreinte CO2 de l'industrie ces dernières années en France, mais essentiellement en désindustrialisant: nous avons augmenté notre empreinte carbone globale puisque nous importons massivement des marchandises", a déploré Mme Pannier-Runacher.En attendant le futur plan d'investissement annoncé pour "courant octobre", le gouvernement utilise le salon, l'un des premiers à reprendre en présentiel, pour vanter l'effet de son plan de relance, lancé il y a tout juste un an.Près de la moitié des 100 milliards d'euros -dont 40% financés par l'Union européenne- pour endiguer la crise du Covid a été "engagé", et 70% le seront d'ici à la fin de l'année, a assuré le Premier ministre.Une entreprise industrielle sur trois en France a eu un projet financé, a résumé Mme Pannier-Runacher, avec 35 milliards pour l'industrie."Sortir de 30 ans de désindustrialisation"Des projets sont nés un peu partout, sélectionnés par des commissions locales pilotées par les préfets de régions: numérisation de PME, modernisation d'entreprises de l'agroalimentaire ou de la construction bois, aides ciblées à celles de l'aéronautique et de l'automobile pour se diversifier vers les mobilités décarbonées ou améliorer leur taux de recyclage des métaux et matériaux."La production industrielle a repris des couleurs, les carnets de commandes sont bien remplis", a acquiescé Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente l'ensemble du secteur.Mais il faudra longtemps pour "sortir de 30 ans de désindustrialisation" (...), "rembourser les dettes" de la crise et "retrouver une capacité d'investissement".Il demande la poursuite de la baisse des impôts de production, une accentuation de la simplification administrative pour les entreprises, ou encore un soutien clair et net au nucléaire pour décarboner l'industrie."On s'est aperçu de la vulnérabilité de nos chaînes de valeur pendant la pandémie, on ne pourra pas tout relocaliser mais il faut tout faire pour ramener l'activité sur le sol français, voire européen", dit à l'AFP Christel Bories, PDG du groupe minier Eramet, et membre du CNI."On ne peut pas rester dépendants des pays qui peuvent à tout moment fermer leurs frontières", ajoute-t-elle.Depuis l'an dernier, 553 projets de relocalisation ont été soutenus par France Relance, de l'installation d'une usine de bottes Aigle dans la Nièvre, à une start-up de terres rares à Lyon.Le Premier ministre se rend lundi l'après-midi dans une usine Seqens fabricant le principe actif du paracétamol, à Roussillon en Isère. La France s'est rendu compte avec effroi durant la pandémie qu'elle importait quasiment tout son paracétamol.