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Résultats de recherche pour paris

(24682 résultats)
Il y a 2 ans et 196 jours

Un concept building reconstruit à Paris par LBBA

Les architectes boulonnais de LBBA ont reconstruit un bâtiment tertiaire de 5 400 m² rue Pergolèse à Paris (XVIe arrondissement) pour Aviva patrimoine immobilier, qui se dote d’un concept building urbain dédié aux interactions humaines. Communiqué. Dessiner un bâtiment à Paris à l’angle d’une rue et d’une impasse, toutes deux étroites, est un exercice précieux de […] L’article Un concept building reconstruit à Paris par LBBA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 196 jours

CAPITALE(S) 60 ans d’art urbain à Paris

CAPITALE(S) 60 ans d’art urbain prend possession de la salle Saint-Jean de l’Hôtel de Ville (Paris) et dresse un panorama inédit du street-art dans les rues de Paris depuis six décennies. Jusqu’au 11 février 2023. À travers les créations de plus de 70 artistes – Invader, Miss Tic, André, Swoon ou Banksy – l’exposition CAPITALE(S) […] L’article CAPITALE(S) 60 ans d’art urbain à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 197 jours

RTL rue Bayard restructuré par Axel Schoenert

L’agence Axel Schoenert architectes a restructuré l’ancien siège d’RTL (8 200 m²), rue Bayard à Paris (VIIIe arrondissement) pour le compte de Nexity et LaSalle Investment Management. Dans ce projet ambitieux la lumière se répand de manière généreuse dans les intérieurs et fait vibrer la nouvelle façade côté rue Bayard. Communiqué. Dans le quartier Montaigne, le […] L’article RTL rue Bayard restructuré par Axel Schoenert est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 200 jours

Les solutions à base de chaux de Lafarge mises en lumière au Salon du Patrimoine 2022

L'entreprise Lafarge, qui produit de la chaux depuis 200 ans, sera présent au Salon du Patrimoine 2022 à Paris au Carrousel du Louvre, salle Soufflot, stand E12 du 27 au 30 Octobre.
Il y a 2 ans et 200 jours

Le Médiateur des entreprises et la Solideo signent un protocole de médiation

Pour la première fois, le Médiateur des entreprises présente un protocole de médiation pour la filière Bâtiment et travaux publics. Son objectif : faciliter l’exécution des ouvrages des JOP de Paris 2024.
Il y a 2 ans et 200 jours

Trophée Béton Pro 2022 : L’architecture en béton à l’honneur

Le Trophée Béton Pro récompense les réalisations architecturales en béton, construites en France lors des cinq dernières années. [©ACPresse] C’est dans une ambiance conviviale que s’est déroulée, à la Cité de l’architecture et du patrimoine, à Paris, la remise des prix de la 3e édition du Trophée Béton Pro. Organisé par les associations Bétocib et Cimbéton, ce concours biennal récompense les réalisations architecturales en béton, construites en France lors des cinq dernières années. Il rassemble de nombreux architectes et tous les acteurs qui représentent la filière béton. Sur plus de 200 projets, 25 nominés ont été sélectionnés par un jury composé de spécialistes. Parmi eux, 10 prix ont été décernés aux œuvres les plus innovantes. Qui mettent en évidence les performances environnementales et sociétales de ce matériau d’avenir. « Les vocations sociales de l’architecture se croisent avec les préoccupations liées à l’écologie, ainsi qu’à l’économie, précise Etienne Tricaud, architecte-ingénieur et président de Bétocib. Nous avons été très attentifs à la manière, dont les projets utilisaient en grande partie du béton bas carbone. C’était un critère indispensable pour décerner ces prix. Le béton est aujourd’hui un matériau qui se réinvente en permanence. » Des réalisations remarquables en béton Du logement individuel au logement collectif, de l’équipement privé à l’équipement public, culturel ou sportif…, les projets lauréats ont été choisis dans toutes les catégories de réalisations en béton. Parmi eux, l’extension d’un hôtel dans la ville d’Olmeto (2A), en Corse, en est la parfaite illustration.  « Notre projet s’appelle Vigna Maggiore. Nous avons utilisé la terre locale et l’avons incorporée dans le béton. Il y a donc une économie de matière. C’est sans doute ce qui a pu faire la différence, déclare Jean-Mathieu De Lipowski, architecte et associé de l’agence Orma Arcchitettura. De nombreux échantillons ont permis d’arriver à un résultat satisfaisant. Nous sommes donc très fiers de recevoir ce prix parmi tous nos confrères et tous ces projets. C’est un clin d’œil à notre travail et ça nous encourage à continuer dans cette voie. »
Il y a 2 ans et 200 jours

Amiante : audience le 9 mars avant un éventuel procès pénal à Paris

Au cours d'une audience intermédiaire, les avocats de la défense ont demandé mercredi à ce que soient examinés lors d'une audience séparée les exceptions de nullité qu'ils entendent soulever sur la citation directe visant leurs clients.La citation directe permet à la victime d'une infraction ou au procureur de la République de saisir directement un tribunal pénal. Dans ce genre de procédure, il n'y a pas d'investigations menées par des magistrats. Charge aux plaignants de collecter les éléments de preuve et de désigner les suspects.Celle-ci a été adressée à quatorze anciens représentants de ministères, des dirigeants d'entreprises ou des médecins, âgés de 62 à 84 ans, qui auraient cherché à retarder l'interdiction de la fibre cancérigène, intervenue en 1997. Les plaignants souhaitent qu'ils répondent de leurs liens avec le Comité permanent amiante (CPA), décrit dans un rapport sénatorial de 2005 comme un "lobby" pro-amiante actif entre 1982 et 1995, alors que toutes les variétés d'amiante étaient classées cancérigènes par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1977."Les faits ont plus de trente ans, certaines personnes citées ont bénéficié d'un non-lieu pour des faits similaires", a pointé Me Benoît Chabert, avocat de la défense, tout en reconnaissant la "douleur légitime" des plaignants. La procureure et cheffe du pôle santé publique Laëtitia Costantini s'est également prononcée en faveur d'une audience consacrée à la recevabilité, notamment parce qu'il y a parallèlement encore de nombreux dossiers en cours d'instruction."C'est un dossier hors normes, qui pose des difficultés matérielles, d'organisation pour accueillir" les 1.800 plaignants "s'ils le souhaitent", a relevé la présidente du tribunal, Sylvie Moysan qui a accepté cette demande d'audience préliminaire.Les avocats des victimes ont au contraire estimé qu'il n'y avait pas "d'impossibilité absolue" justifiant de déroger à la règle d'examiner la recevabilité avec le fond, lors d'un seul procès. Une vingtaine de plaignants comptent témoigner à la barre."Certains sont décédés récemment, ou ont développé récemment une maladie. Pour les victimes, ce ne sont pas des faits d'il y a trente ans", a souligné Me Virginie Lemarié-Faure.La plupart des cancers liés à l'amiante, fibre utilisée notamment dans le bâtiment, l'automobile et le textile jusqu'à son interdiction, concernent le tissu pulmonaire, les bronches ou la plèvre, et se déclarent généralement de nombreuses années après y avoir été exposé.
Il y a 2 ans et 200 jours

Salon IBS, Hager présentera sur son stand ses solutions dédiées à la gestion intelligente des bâtiments et à la mobilité électrique.

Intégrateurs, bureaux d’études et gestionnaires de bâtiments découvriront les dernières nouveautés de Hager pour mieux appréhender la gestion des énergies et piloter de manière plus efficiente leur consommation. Bornes de charge witty et gestionnaire witty park local La mobilité électrique représente un nouveau poste de dépenses de plus en plus important au regard de la consommation générale d’un bâtiment. Pour répondre à cette problématique, Hager présente deux nouveautés sur son stand : sa borne de charge witty park 1.6 json, ainsi que son nouveau gestionnaire de puissance de charge pourgrappes de bornes.La nouvelle borne witty park 1.6 json est compatible avec la norme ISO 15-118, qui s’appuie sur le protocole de communication OCPP. Ce protocole normé a pour vocation d’enrichir et de simplifier considérablement les échanges entre le véhicule électrique et la borne de recharge, pour rendre les opérations de recharge plus optimales, efficaces et fiables.Disponibles en monophasé comme en triphasé et réglables de 2,3 à 22kW, ces nouvelles bornes communicantes sont adaptées pour recharger l’ensemble des véhicules du marché. Elles répondent principalement aux besoins du secteur tertiaire, où l’utilisation des bornes est partagée : commerces, collectivités, parkings publics…Les deux références sont certifiées ZE et EV ready 1.4. Le gestionnaire witty park local* proposé par Hager permet de répartir de manière uniforme l’énergie disponible sur le réseau aux différents véhicules en charge sur le site. Grâce à une interface simple à utiliser, l’utilisateur peut superviser très simplement son parc de bornes. Il peut ainsi suivre et gérer son parc, suivre les charges en cours, grâce à un affichage clair et un fonctionnement intuitif. Cette solution permet aussi de limiter l’abonnement électrique et lisser les pics de consommations tout au long d’une journée. (*Egalement appelé LLM (Local Load Manager)) Stream, pour visualiser les consommations d’énergies multi-sites Le logiciel Stream permet de monitorer la production et les consommations multiénergies de plusieurs sites, y compris dans des villes ou des régions différentes. Il offre également à l’exploitant la possibilité d’afficher l’impact carbone d’exploitation du bâtiment, ainsi que son évolution. Ceci permet de se conformer aux exigences du décret tertiaire. Facile à installer et à configurer, Stream s’exploite au quotidien depuis une tablette ou un PC standard. L’utilisateur a la possibilité d’adapter ses tableaux de bord à ses besoins et ainsi, de disposer de ses données essentielles en quelques clics. Un autre atout de Stream est sa capacité à évoluer au rythme du bâtiment. Le remplacement d’un composant (serveur agardio.manager ou compteur par exemple), son paramétrage et sa configuration s’effectuent en quelques minutes, directement depuis le logiciel stream. Les licences sont dimensionnées selon le volume de données collectées et peuvent être adaptées en fonction de l’évolution des besoins. Stream s’inscrit dans l’EMS Hager (Energy Management System), qui s’articule en 3 niveaux : un premier niveau de terrain avec des appareils de mesure et des capteurs énergétiques, un deuxième niveau concentrateur avec des dispositifs de collecte des données et de centralisation (agardio.manager). Stream constitue le troisième niveaude management, un outil logiciel qui permet de visualiser et d’exploiter de manière personnalisée ces données. Salon IBS les 8 & 9 novembre 2022Paris Porte de Versailles – Pavillon 5.1.Stand Hager A08Plus d’informations, hager.com/fr Partager la publication « Gestion intelligente des bâtiments et mobilité électrique sur le stand Hager au salon IBS »
Il y a 2 ans et 201 jours

Accord des 27 membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique alors que Paris et Berlin souhaitent un texte plus ambitieux

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel, avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les États devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 201 jours

Accord des 27 états membres de l'UE pour doper la rénovation énergétique malgré des réticences de Paris et Berlin

Alors que la position des Etats membres, adoptée à la majorité qualifiée au Luxembourg par les ministres de l'Energie, fera désormais l'objet de négociations avec le Parlement européen, les pays déçus misent sur ces futures discussions pour muscler les exigences du projet.Basé sur une proposition législative de la Commission européenne, le texte adopté mardi vise à ce qu'à partir de 2030, tous les bâtiments neufs soient neutres en carbone (dès 2028 pour les bâtiments publics), grâce à une consommation modérée et en étant alimentés et chauffés par des énergies décarbonées.Les bâtiments existants, eux, devraient être transformés pour devenir à zéro émission d'ici 2050. Des normes minimales de performance énergétique (avec un seuil maximal de consommation annuelle d'énergie primaire par m2) seraient introduites afin d'encourager les rénovations.Des exceptions sont ménagées pour les bâtiments historiques, religieux ou militaires.Selon le texte, chaque pays devrait se fixer des objectifs intermédiaires entre 2025 et 2050 pour la réduction de la consommation moyenne d'énergie primaire dans l'ensemble de son parc immobilier résidentiel --avec l'idée que celle-ci "soit au moins équivalente au niveau de la classe de performance énergétique D d'ici 2033".Les Etats devraient publier des plans nationaux détaillant leurs objectifs aux horizons 2030, 2040 et 2050 concernant le taux annuel de rénovation énergétique et la consommation d'énergie totale du parc immobilier.Et d'ici 2029, tous les bâtiments neufs devraient être conçus "de manière à optimiser leur potentiel de production d'énergie solaire" sur leurs toits et façades.Ce texte est un élément-clé du plan climat européen: les bâtiments représentent dans l'UE 40% de la consommation d'énergie et 36% des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes liées à l'énergie.Dans une déclaration commune, six pays (France, Belgique, Allemagne, Irlande, Luxembourg, Pays-Bas) ont jugé que "les ambitions pour les standards minimaux de performance énergétique devaient être relevés substantiellement" et réclamé des objectifs intermédiaires constituant une "trajectoire linéaire" vers 2050.Faute d'avoir convaincu les autres Etats, ils comptent sur les négociations, courant 2023, avec les eurodéputés pour "renforcer l'ambition" du projet."Compte tenu de normes minimales de performance différentes dans chaque pays, le texte est amené à repousser les premières étapes contraignantes à 2040: c'est dangereux, ça nous met en risque par rapport à nos objectifs climatiques", a plaidé la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 201 jours

Copropriétés : la Ville de Paris lance son dispositif "décisif" appelé Eco-rénovons Paris+

TRANSITION. La Ville de Paris a annoncé le lancement de son dispositif "Eco-rénovons Paris+", qui vise à engager les copropriétés dans des projets de rénovation énergétique et d'adaptation au changement climatique. L'objectif est de permettre la rénovation de 22.500 logements privés sur l'ensemble de la mandature.
Il y a 2 ans et 201 jours

Regards croisés : les réseaux de chaleur, une solution vertueuse à adopter de toute urgence !

Tribune de Thomas Menuet, chef de projet chez CertiNergy & Solutions et Nicolas Bessagnet, directeur commercial de la CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain) Les réseaux de chaleur urbains sont aujourd’hui des solutions de chauffage particulièrement efficaces. Grâce à une production centralisée, ils desservent plusieurs usagers (bâtiments publics, logements collectifs, locaux tertiaires…) en énergie. Aujourd’hui, […]
Il y a 2 ans et 201 jours

humidistop presentera ses solutions anti humidite anti calcaire et anti ondes au salon du made in france du 10 au 13 novembre 2022

Selon un rapport de l’INSEE sur les conditions de logement, le défaut le plus fréquent des habitations franciliennes est la présence d’humidité sur les murs. Dans l’ensemble de la France, quatre logements sur dix souffriraient de ce problème. Depuis 2012, Humidistop se donne pour mission de lutter contre ce fléau en proposant des solutions innovantes, intégralement fabriquées en France. La marque, qui vient d’être nominée dans la catégorie Grand Prix de l’innovation, présentera ses produits phare et ses nouveautés au salon du Made in France, du 10 au 13 novembre, porte de Versailles à Paris.
Il y a 2 ans et 201 jours

A Paris, pour l’architecture, le mercato en mode réemploi

A Paris, la réutilisation à petite échelle comme la réhabilitation, à plus grande, sont devenues la norme à respecter dans toutes les niveaux de l’architecture et de l’urbanisme. Jusqu’aux directeurs d’institutions dont le réemploi semble n’indiquer aucun niveau d’usure. Et pourtant… L’ère Missika à la Ville de Paris s’était terminée sur cette sentence : « reconstruire est […] L’article A Paris, pour l’architecture, le mercato en mode réemploi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 201 jours

Le gouvernement veut interdire la location des "passoires thermiques" sur Airbnb

"Il est hors de question que les propriétaires de +passoires thermiques+ se réfugient [sur Airbnb]", a martelé le ministre sur BFM Business.En vertu de la loi Climat et résilience de 2021, les biens notés F et G en diagnostic de performance énergétique (DPE) seront progressivement interdits à la location à partir de janvier 2023. Cette interdiction ne devait toutefois pas s'appliquer aux biens destinés à la location touristique."Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a indiqué M. Klein, assurant que le gouvernement "se donnera les moyens pour mettre les garde-fous nécessaires".Ce décalage était dénoncé par les professionnels de l'immobilier, qui craignaient de voir des propriétaires transformer leurs logements en locations touristiques de courte durée dans un contexte où les biens à louer se font de plus en plus rares.Selon un sondage auprès de professionnels commandé en septembre dernier par la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), 6% des propriétaires de passoires thermiques envisageaient ainsi cette solution."Depuis des mois, nous alertons sur ce scandale (...) Message entendu par le Ministre. Tant mieux ! ", a réagi le maire adjoint de Paris en charge du logement, Ian Brossat (PCF), sur Twitter.
Il y a 2 ans et 201 jours

Grand Paris Aménagement et la Société du Grand Paris ont "référencé" leurs opérateurs

PROMOTION. Grand Paris Aménagement a présenté les résultats de l'appel à manifestation d'intérêt visant à référencer les opérateurs admis à concourir pour ses futures cessions. Cette liste est mise à disposition de la SGP qui elle, a lancé un AMI de référencement des équipes de maîtrise d'oeuvre.
Il y a 2 ans et 201 jours

Retour de Batimat : de l’hyper technologie à une technologie de pointe

Le salon Batimat, qui s’est tenu du 3 au 6 octobre 2022 Porte de Versailles à Paris, se veut le salon de l’innovation, durable l’innovation. Dans les allées livrées aux lobbies de toute sorte, chausse-trappes et faux-semblants abondent évidemment. Au point de créer un écran de fumée devant l’imprévu vertueux ? Le mois d’octobre est, un […] L’article Retour de Batimat : de l’hyper technologie à une technologie de pointe est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 202 jours

Les lauréats de la 17ème édition des Trophées Placo

L'édition 2022, qui récompensent les projets les plus novateurs réalisés entre 2020 et 2022, ont été annoncés vendredi 14 octobre à Paris. Photos © Raphaël Demaret
Il y a 2 ans et 202 jours

L’architecte en garde à vue – L’obsession

[Résumé des épisodes précédents. L’architecte Dubois, redoutable tueur en série de blondes aux yeux bleus, est depuis la veille en garde à vue à Paris. L’inspecteur Nutello – du service des personnes disparues, dit Dr. Nut – tente, vainement jusqu’à présent, de lui faire avouer quelque chose de concret. Ethel Hazel, qui suit l’architecte depuis […] L’article L’architecte en garde à vue – L’obsession est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 202 jours

Atelier du Pont livre 70 logements sociaux et commerces à Saint-Denis

Portée par Immobilière 3F, la transformation du Fort de l’Est à Saint-Denis en parc habité est répartie en 5 lots. Atelier du Pont a réalisé l’un de ces projets avec la construction de 70 logements sociaux et 4 commerces.Pour comprendre l’essence même du projet du nouveau quartier, il faut parcourir une partie de l’histoire de Paris et de son enceinte de Thiers. Créée en 1841 sous Louis-Philippe et son ministre Adolphe Thiers pour protéger la capitale des armées étrangères, le Fort de l’Est faisait partie d’une série de forts, judicieusement placés pour renforcés l’enceinte de Thiers, rendant ainsi la ville imprenable.Cette zone militaire a longtemps été mise de côté. Aujourd’hui, elle prend une nouvelle direction avec des logements et des commerces ayant pour objectif de développer cette partie de la ville.Anticipant la densification le long du chemin de Crèvecœur, le projet s’implante à l’alignement des rues et ouvre deux larges percées visuelles entre le futur Parc du Glacis et l’espace paysager côté rue.Le projet est organisé en trois petits bâtiments dont deux sont reliés au rez-de-chaussée par les halls d’entrée et les commerces. Au rez-de-chaussée, un passage planté chemine.D’abord privatif, il sera ensuite rétrocédé à la ville et permettra d’accéder au nouveau parc du Glacis à l’arrière du projet. Dans cette partie, une noue paysagère prend place.À l’entrée du quartier et face à la station de tramway, une émergence à R+8 marque l’angle et se distingue comme un signal.Le projet propose une architecture modeste, élégante et pérenne, et offre à chaque habitant des qualités d’usages qui font la force de l’opération : des vues, du soleil et un espace extérieur privatif ou partagé agréable.Sur rue, la façade en briques et plaquettes foncées forge l’identité du projet. Côté parc, la façade est sobre et rythmée par les balcons filants et le béton lasuré. Chaque logement est muni d’un balcon, d’une loggia ou d’un petit jardin. Sur les toitures, de grandes terrasses accessibles et partagées dotées d’espaces de détente et de potagers apportent des sas de respirations, contribuant notamment à créer du lien entre les habitants.La majorité des logements offre une double-orientation permettant d’apporter de la lumière à l’espace de vie. Au dernier niveau, des duplex offrent une vue sur tout Paris.Fiche Technique :Programme : 70 logements sociaux et 4 commerces, Saint-Denis Fort de l’Est (93)Maître d’ouvrage : Immobilière 3FMO déléguée : BatiplaineAdresse : chemin de CrèvecœurPerformances environnementales : Certification NF Habitat HQE Profil d’entréeSurface : 5.214 m2 SDPCoût travaux : 10.350.000 € HTBureaux d’études : EVP (Structure), WOR (Fluides & Environnement), AXIO (économie)Entreprise générale : Bouygues ConstructionLivraison : 2021
Il y a 2 ans et 202 jours

HDF Energy annonce un projet d'électricité solaire et hydrogène en Afrique du Sud

Ce projet, dont l'investissement total porte sur 3 milliards de dollars, est l'un des fers de lance de la transition énergétique du pays voué à abandonner à terme les centrales au charbon.Il a été attribué dans le cadre d'un appel d'offres public qui a également sélectionné les sociétés sud-africaines d'énergies renouvelables Red Rocket, Sola Group et Mainstream Renewable Power Developments.HDF Energy (Hydrogène de France) compte développer sur le site des centrales photovoltaïques capables de produire quelque 1.500 Megawatts d'électricité, avec plus de 3.500 MWh de stockage (pour la nuit lorsqu'il n'y a pas de soleil, NDLR) principalement sous forme d'hydrogène et de pile à combustible.Les centrales alimenteront ainsi en électricité stable et propre, de jour comme de nuit, toute l'année, plus de 1,4 million d'habitants, précise HDF Energy dans un communiqué.Eskom avait émis un appel à propositions en avril 2022, suivi d'un processus de sélection. Les sociétés retenues loueront au total plus de 6.000 hectares pour une période comprise entre 25 et 30 ans pour produire des énergies renouvelables."Les terrains appartiennent à Eskom et lui reviendront au bout de 30 ans, les projets recevront des financement des banques de développement qui portent des exigences sociétales et environnementales très poussées", a indiqué à l'AFP le patron de HDF Energy, Damien Havard.La province de Mpumalanga abrite 12 des 15 centrales à charbon de l'Afrique du Sud, qui fournissent plus de 80% de son électricité. Elle sont vouées au démantèlement dans le cadre d'un vaste plan de décarbonation du pays permis notamment par l'attribution de quelque 8,5 milliards de dollars de prêts et subventions reçus de pays riches via leurs banques de développement."En termes de puissance, notre projet remplacera une partie d'une des centrales à charbon", a commenté M. Havard.HDF Energy a également un projet en Namibie pour produire de l'électricité solaire, puis de l'hydrogène à partir de l'électrolyse de l'eau dessalinisée. Le groupe, qui s'est introduit en Bourse en 2021 à Paris, mène aussi avec des investisseurs, comme le groupe Ruby ou le fonds Meridiam, des projets similaires en Guyane, à la Barbade, à Trinidad. Mercredi soir, il a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec le ministère de l'Energie indonésien.
Il y a 2 ans et 203 jours

Nouveau programme mixte et social pour un couvent parisien

EN IMAGES. À Paris, la Maison Saint-Charles promeut à la fois le lien social et intergénérationnel, en mélangeant différentes populations. Soeurs, familles monoparentales, jeunes travailleurs et institutions se partagent cet espace.
Il y a 2 ans et 203 jours

La mairie de Paris brade deux domaines en Ariège et dans le Puy-de-Dôme

Le Conseil de Paris a validé le 13 otobre la cession à bas prix de deux domaines, un château en Ariège et un village de vacances dans le Puy-de-Dôme, qu'elle peinait à revendre depuis 2007.
Il y a 2 ans et 203 jours

Piovenefabi, Leopold Banchini, Anniina Koivu : 3 conférences au Pavillon de l'Arsenal

De le cadre du cycle de rencontres « La libération de l’objet » conçu par l'architecte et enseignant Thibaut Barrault avec l’École d'architecture de la ville & des territoires Paris-Est, le Pavillon de l'Arsenal reçoit trois conférences. Se succéderont au pupitre, les architectes de l'agence Piovenefabi […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 205 jours

Pierre-Louis Faloci : une écologie du regard à la Cité de l’architecture

Conçue dans le cadre du Grand Prix national de l’architecture, dont Pierre-Louis Faloci est le lauréat 2018, l’exposition « une écologie du regard » qui lui est consacrée à la Cité de l’architecture et du patrimoine à Paris(XVIe) est une carte blanche à l’architecte pour révéler sa trajectoire et sa démarche. Jusqu’au 29 mai 2023. Figure à […] L’article Pierre-Louis Faloci : une écologie du regard à la Cité de l’architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 205 jours

Le nombre d'annonces de locations meublées touristiques en baisse à Paris

La mairie dénombre aujourd'hui 43.000 annonces déclarées de locations de meublés touristiques, contre 50.000 en 2020, a-t-elle communiqué lors de son "observatoire des meublés touristiques à Paris"."Cette baisse montre que notre politique sur le sujet porte ses fruits", a affirmé à l'AFP Ian Brossat, l'adjoint (PCF) au logement de la ville, se réjouissant d'une situation "sous contrôle" malgré le retour des touristes à Paris.Depuis 2017, les propriétaires de meublés touristiques doivent se déclarer auprès de la mairie pour obtenir un numéro d'enregistrement nécessaire à la location, dans la limite de 120 jours par an."Il reste du travail", a reconnu M. Brossat. "Sur toutes les annonces, près des trois quarts concernent des résidences principales, mais il reste environ 25% - soit 9.000 annonces - qu'il faut ramener vers le marché locatif principal".Afin de lutter contre ces locations de courte durée et les plateformes comme Airbnb ou Booking, la Ville de Paris dispose également d'un bureau de la protection des locaux d'habitation pour traquer les propriétaires en dehors des clous, qui avait l'année dernière encore durci ses règles.Depuis le début de l'année, la municipalité a dressé 173 amendes envers des particuliers, pour un montant atteignant près de 1,5 million d'euros, auxquelles il faut ajouter 42 jugements sur le respect du code du tourisme et 134.465 euros d'amende, ainsi qu'une condamnation de la plateforme NY Habitat à une amende de 345.000 euros.En 2021, le montant total des amendes avait atteint 12,5 millions d'euros, un montant qui s'explique notamment par la décision du tribunal judiciaire de Paris de condamner Airbnb à une amende de 8 millions d'euros en raison "d'absence de numéro d'enregistrement sur environ 1.000 annonces".La mairie, qui a aussi soumis à une autorisation préalable les transformations de commerce en rez-de-chaussée en meublés touristiques, constate une "forte augmentation" des demandes en la matière depuis, mais révèle pour l'heure avoir éconduit 80% des demandes (59 refus sur 73 décisions rendues). "C'est la preuve que ce nouveau règlement limite la transformation de commerces en Airbnb", a conclu Ian Brossat.
Il y a 2 ans et 206 jours

La filière électrique adresse une lettre ouverte aux parlementaires pour un Plan de sobriété moins frileux

« C’est la première fois qu’une campagne de si grande ampleur les incite, grâce à des messages percutants sur les gestes simples du quotidien, à mieux maîtriser leur consommation de chauffage, à éteindre les lumières et appareils non utilisés ou encore à décaler l’utilisation de certains appareils hors des périodes de pointe électrique, afin de réaliser des économies d’énergie.Pour répondre aux enjeux de baisse des consommations, mais aussi pour limiter la hausse de la facture énergétique, les dispositifs de pilotage sont indispensables. Déployables très rapidement, avec un retour sur investissement allant de 1 à 2 ans considérant la hausse des prix de l’énergie, ils peuvent jouer un rôle majeur dans l’objectif de réduction de 10% de la consommation d’énergie d’ici 2024. Ces dispositifs s’utilisent quelle que soit l’énergie de chauffage (gaz, électricité, fioul, bois...) et sont le meilleur investissement pour appréhender plus sereinement les hivers prochains. En effet, selon l’ADEME, un thermostat programmable permet jusqu’à 15% d’économies ; ces économies peuvent même atteindre au moins 20% avec un système de pilotage qui peut s’utiliser sur smartphone, en un clic.Tout comme le Président de la République [1], la filière électrique s’étonne toutefois du décalage existant entre le message principal de la campagne incitant vivement le pilotage des consommations, tout en laissant ces solutions hors du principal levier d’accompagnement des ménages à savoir MaPrimeRénov’. Nous restons en effet inquiets sur la capacité des Français à endosser, d’une part, l’augmentation de 15% en moyenne de leur facture d’énergie dès le 1er janvier 2023 et d’autre part, la quasi-totalité du coût d’installation d’un système de pilotage. Le recours au seul dispositif des certificats d’économies d’énergie, financé par les factures des ménages, et l’accent mis uniquement sur les programmateurs de chaudière ne sauraient répondre à l’urgence du déploiement de solutions de pilotage global des consommations énergétiques.Il est indispensable de structurer dès à présent le marché résidentiel à horizon 2030, avec une politique publique claire et stable au risque de recréer l’échec connu en 2020 sur le coup de pouce CEE. Seule une vision à long terme permettra d’équiper à horizon 2030 les 37 millions de logements en système de pilotage afin que les Français réalisent réellement ces écogestes en un clic, sans y penser ou à distance, via leur smartphone.Mesdames, Messieurs les parlementaires, nous comptons sur votre appétence à protéger les Français pour faire de la prochaine Loi de Finances, un outil réel pour allier fin du mois et fin du monde. »[1] Le Parisien « Macron bien décidé à rester au centre du jeu » – Jeudi 13 octobre
Il y a 2 ans et 206 jours

Ideal Work : un show en sol majeur

La devanture du show-room d’Ideal Work [©ACPresse] 38bis boulevard Beaumarchais, Paris XIe. C’est ici, à quelques pas du métro Chemin Vert, qu’Ideal Work a inauguré son nouveau show-room. Neuf mois de travaux ont été nécessaires pour transformer cet espace à deux étages. Avec pour objectif : créer un véritable salon d’exposition des bétons décoratifs d’Ideal Work. Très lumineux, le rez-de-chaussée s’expose à la rue grâce à de grandes vitrines. Des tables en béton élégantes habillent l’espace. Au fond du show-room, une reproduction d’une salle de bain en béton montre l’esthétisme d’un matériau souvent jugé pour son manque de classe. « En haut, c’est plutôt l’endroit pour le choix des échantillons. Le show-room accueillera les prescripteurs, les architectes ou encore les décorateurs », explique Rémi Ballet, responsable du lieu. Autour de l’escalier descendant, les échantillons sont disposés à la vue des professionnels attendus dans le show-room.  Une “matériauthèque“ avec tous les produits Ideal Work Ideal Work est une marque italienne proposant des bétons décoratifs, aussi bien pour l’intérieur que pour l’extérieur. Filiale de Bostik-Arkema, l’entreprise a misé sur une “matériauthèque“. Une sorte de laboratoire, situé au sous-sol, qui permet de découvrir toute la gamme de produits. « Les architectes pourront retrouver nos bétons cirés. Ce sont des enduits décoratifs minéraux de 2 mm d’épaisseur, qui offrent de belles possibilités à la décoration d’intérieur. » Parmi les produits exposés, le Microtopping, mais aussi le Terrazzo, un sol à la Vénitienne. La “matériauthèque“ du show-room d’Ideal Work [©ACPresse] Une sorte de laboratoire où sont exposés tous les produits de la gamme Ideal Work [©ACPresse] La surface de cet étage inférieur est séparée en deux espaces. Tout de suite en bas des escaliers, les architectes pourront s’installer et travailler leurs plans sur une table en chêne. Dans une ambiance lumineuse chaleureuse, la proximité de cet espace avec la “matériauthèque“ leur permettra de choisir au mieux le bon matériau pour leurs chantiers. Inauguré le 20 octobre dernier, les professionnels pourront en profiter dès le 24 octobre.
Il y a 2 ans et 206 jours

Val-de-Marne : travaux de restructuration de la dalle du campus UPEC de Créteil.

Environ 12 millions d’euros ont été alloués au projet de restructuration de la dalle de l’université Paris-Est Créteil...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 206 jours

L'association Amorce s'inquiète d'une transition énergétique "purement électrique"

FOCUS. Réunis en congrès à Paris, l'association Amorce a fustigé une transition écologique qui manquerait d'ambition, et ont appelé à un "changement de braquet" sur le sujet. Ils ont également déploré que la transition énergétique se fasse selon eux au seul bénéfice de l'électricité, en laissant de côté les gaz renouvelables ou les réseaux de chaleur.
Il y a 2 ans et 206 jours

Conserver Adapter Transmettre à l’Arsenal

‘Conserver Adapter Transmettre’, présentée au Pavillon de l’Arsenal (Paris IV), analyse quelques dizaines de projets parisiens, démontrant que la baisse des émissions carbone du bâtiment passe par la réhabilitation. Jusqu’au 5 mars 2023. Conserver Adapter Transmettre analyse comment matière, construction, électricité, chauffage, dans le bâtiment, le carbone est partout, du dessin à l’usage. Aussi, le […] L’article Conserver Adapter Transmettre à l’Arsenal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 207 jours

Rétrospective en images sur les Salons du Mondial 2022

Pour l'édition 2022 de Batimat, Interclima et Idéobain, Batirama était présent pendant toute la durée du salon du 3 au 6 octobre à Paris, Porte de Versailles.
Il y a 2 ans et 207 jours

Les déblais de la ligne 15 Est du Grand Paris Express confiés à Eiffage, Sarpi et Cemex

Les trois entreprises annoncent avoir remporté en groupement le marché attribué par la Société du Grand Paris pour la gestion et l'emploi des matériaux excavés issus des travaux de construction du Grand Paris Express.
Il y a 2 ans et 207 jours

ZFE : les politiques s'emparent de la question du renouvellement des utilitaires

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. En visite au Mondial de l'automobile à Paris, Emmanuel Macron a annoncé que 150 millions d'euros seraient consacrés à l'accompagnement de la mise en place des zones à faibles émissions polluantes (ZFE) dans les agglomérations. Le sujet inquiète l'artisanat du bâtiment qui redoute que cette disposition ne chasse les professionnels des centres urbains.
Il y a 2 ans et 207 jours

Paris : les abords de la tour Eiffel seront aménagés en nouveau parc urbain

D’ici à 2024, le grand espace autour de la tour Eiffel (Paris) sera réaménagé pour favoriser la révolution verte et les mobilités...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 207 jours

Paris : la place de la Concorde sera partiellement rénovée avant les Jeux olympiques 2024

La place de la Concorde fera l’objet d’un chantier de rénovation partielle avant la cérémonie d’ouverture des Jeux...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 207 jours

La Défense : 15 groupements candidats pour les cinq sites "Empreintes"

APPEL A PROJETS. Paris La Défense a lancé un appel à projets sur cinq sites contraints au coeur du quartier d'affaires de l'ouest parisien. A l'issue de la première phase, les groupements admis à entrer en discussion ont été dévoilés.
Il y a 2 ans et 207 jours

Val-d’Oise : lancement de la construction du centre aquatique olympique de Val Parisis.

Les travaux de construction du nouveau centre aquatique olympique de Val Parisis sont officiellement...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 207 jours

Les Trophées Placo récompensent deux bâtiments historiques

La 17e éditions des Trophées Placo vient de couronner sept lauréats pour des chantiers d’exception. Parmi eux, deux chantiers concernent des bâtiments historiques. Reconstruction technique de l’hôtel de ville de la Rochelle, bâtiment classé En juin 2013, le monument historique classé de l’Hôtel de Ville de La Rochelle était partiellement détruit par un incendie, alors qu’il venait d’être restauré. Si le mobilier avait pu être sauvé, les salles d’apparat et certains salons étaient endommagés. La rénovation spectaculaire de ce bâti, au long cours, au cœur du centre historique, répond à un double objectif. À la fois la restauration des parties classées, et la restructuration des espaces contigus afin d’offrir un bâtiment plus accessible et plus fonctionnel tout en préservant ses caractéristiques patrimoniales si singulières. Une reconstruction de l’édifice comme à son origine, intégrant des nouveautés telles que la création d’un puits central et d’une nouvelle Salle du Conseil Municipal au dernier étage. Le chantier a été piloté par l’Architecte en Chef des Monuments Historiques, Philippe Villeneuve, qui dirige la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Durant deux ans, des études préalables ont permis de finaliser les plans d’exécution avec les bâtiments historiques et d’exécuter ensuite le chantier en 18 mois. Le bâtiment a été entièrement bâché et l’approvisionnement, complexe, s’est opéré par une trappe de visite coulissante au centre de l’édifice pour dispatcher les matériaux. Cet ouvrage présente la particularité de ne jamais avoir été hors d’eau avant sa finalisation, avec la couverture de la trappe par une verrière. Tout un panel de solutions techniques a été déployé : l’ensemble des plafonds sont sur ossature Stil Prim® Tech, tous les couloirs et les coursives du hall en Rigitone® Activ’Air® 8-15-20 Super, les cloisons de distribution monoparement en Placoplatre® BA 18S et les doublages en Placoplatre® BA 25, tous de grande hauteur (12 m). Hôtel de Ville, La Rochelle (17) Maître d’ouvrage : Ville de La Rochelle Entreprise du Club Placo® : Douzille (22 salariés) Architecte : Philippe Villeneuve Dates de début et fin de chantier : septembre 2018 – février 2020 Photo : Raphaël Demaret Restauration du retable de l’église Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon Construite vers 1787, Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon a subi des dégradations importantes ayant endommagé les ornements intérieurs, les moulures et les décors en gypserie. L’Atelier Zambelli, labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, a été missionnée pour restaurer à l’identique le retable datant du XVIème siècle. Ce dernier se compose de sculptures en plâtre, en partie teintées par le biais d’une technique traditionnelle de stuc-marbre, qui consiste à mélanger le plâtre aux pigments naturels pour reproduire l’aspect du marbre. Un savoir-faire unique, détenu par quelques entreprises d’excellence, qu’il est essentiel de préserver. Ce type de chantier requiert une préparation minutieuse selon son état de conservation. Le projet a ainsi nécessité un travail préalable d’analyse et de compréhension de l’ouvrage à restaurer. Un travail de recherche a été effectué dans un ouvrage italien spécialisé afin d’identifier les teintes des pigments du type de marbre. Un relevé des ouvrages à reconstituer a été réalisé, des gabarits créés pour le travail in-situ, le plâtre Molda® 3 Normal mélangé aux pigments naturels, et les ouvrages restant en place consolidés. Les travaux ont ensuite consisté à « curer » les parties abîmées, à reconstituer des moulures et des sculptures en plâtre, puis à reboucher et à façonner les parties en stuc-marbre à l’aide du mélange réalisé au préalable. L’intervention s’est opérée progressivement du haut (6 m) vers le bas pour sécuriser la réalisation. Une restauration de qualité réalisée selon une technique traditionnelle, gage de longévité de l’ouvrage, et un savoir-faire exemplaire de l’entreprise au service de la sauvegarde du patrimoine. Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84) Maître d’ouvrage : Commune Cabrières-d’Avignon Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick (1-3 salariés) Dates de début et fin de chantier : avril – juin 2020 Le Club Entreprises Placo® rassemble une communauté unie d’entreprises passionnées qui s’engagent pour porter et valoriser le savoir-faire de la filière. C’est en 1989 qu’il lançait ses Trophées Placo® qui restent uniques dans l’univers du bâtiment par leur pérennité, la qualité des ouvrages présentés et l’excellence des entreprises participantes. Ce concours bisannuel met à l’honneur l’expertise des entreprises et la noblesse des métiers du plâtre. Cette année, sept prix ont été décernés : Prix Innovation & Développement Durable : Fondation Luma, Arles (13). Entreprise du Club Placo® : Ile-de-France Plâtrerie Prix Non Résidentiel et Prix Presse : Pouponnière, Fleury-sur-Orne (14). Entreprise du Club Placo® : Orquin Prix Patrimoine et Monuments Historiques : Hôtel de Ville, La Rochelle (17). Entreprise du Club Placo® : Douzille Prix Résidentiel : Villa Guyvonney, Royan (17). Entreprise du Club Placo® : Mandon Fils Prix du Jury : Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84). Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick Prix du Public : Maison individuelle, création d’un escalier sur voûte sarrasine. Entreprise du Club Placo® : SARL Bonnin Dugué
Il y a 2 ans et 207 jours

Grohe Blue : une animation 3D unique en France à la gare Paris Saint-Lazarre

Outre l’aspect hautement qualitatif de l’eau délivrée par le système, Grohe Blue permet une économie moyenne de 700 bouteilles d’eau en plastique à usage unique par an pour un foyer de 4 personnes : une vraie nécessité dans un contexte de crise de l’eau et d’amoncellement des déchets plastiques dans les océans.A produit innovant, dispositif de communication uniqueLa marque Grohe, fabricant leader en solutions complètes d’équipements de cuisine et de salles de bains, vous invite à découvrir Grohe Blue au travers d’une impressionnante expérience marketing encore jamais vue en France : un cube géant jouant une animation visuelle en trois dimensions représentant une main qui avancera vers les passants pour leur servir un verre d’eau. Une approche inédite sur le territoire qui fait écho à la force d’innovation de la marque. Autour du cube, Grohe proposera également une dégustation d’eau Grohe Blue à ne surtout pas manquer.L’animation a lieu du 19 au 25 Octobre au dernier étage de la gare Saint-Lazare.
Il y a 2 ans et 207 jours

« Une fabrique d'initiative publique qui valorise les terres d'excavation du Grand Paris et forme aux métiers », Silvia Devescovi, urbaniste, ville de Sevran

Grâce au développement de nouvelles techniques - brique de terre compressée ou extrudée, terre coulée dans des banches -, la mise en œuvre des matériaux géosourcés devient accessible à un plus grand nombre d'entreprises. Une filière de fabricants et de formateurs se constitue progressivement et la […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 207 jours

Lafarge en Syrie : l'ancien PDG se défend et cible Holcim

Dans un communiqué, M. Lafont a accusé par ailleurs Holcim, la maison-mère de Lafarge, d'avoir mené une enquête "exclusivement à charge" contre lui.Mardi, Lafarge, avalé par le groupe suisse Holcim en 2015, a annoncé avoir accepté de payer une sanction financière de 778 millions de dollars aux Etats-Unis et de plaider coupable pour avoir aidé des organisations "terroristes", dont le groupe EI, entre 2013 et 2014.En réaction à cet accord conclu "à la surprise générale", Bruno Lafont, ex-PDG jusqu'en 2015 de Lafarge, a rappelé qu'il contestait "fermement avoir jamais été informé de quelconques paiements au bénéfice de groupes terroristes ou d'approvisionnements auprès de tels groupes"."Il apparaît au fil des témoignages et des révélations des protagonistes de ce dossier, que la soi-disant enquête menée par Holcim est entièrement et exclusivement à charge contre Bruno Lafont et les anciens dirigeants du groupe Lafarge et qu'Holcim s'est systématiquement opposé à la recherche de la vérité", selon le communiqué."Cela interroge sur la nature des faits et des responsabilités reconnus par Lafarge aux Etats-Unis, sous la conduite d'Holcim", ajoute l'ancien PDG.Bruno Lafont, mis en examen pour financement du terrorisme dans le cadre de l'information judiciaire ouverte depuis 2017 à Paris, souhaite être réentendu par les juges d'instruction pour "évoquer certains éléments récents", "solliciter la déclassification de certains documents" et "l'audition de certaines personnes susceptibles d'apporter de nouveaux éléments sur le dossier".Le groupe Lafarge est pour sa part mis en examen pour complicité de crimes contre l'humanité.Il est soupçonné d'avoir versé, en 2013 et 2014, via sa filiale syrienne Lafarge Cement Syria (LCS), plusieurs millions d'euros à des groupes terroristes, dont le groupe Etat islamique, et à des intermédiaires afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie à Jalabiya alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.L'enquête française a évalué ces versements entre 4,8 et 10 millions d'euros pour le seul groupe EI.
Il y a 2 ans et 207 jours

Évolution des troubles musculo-squelettiques chez les salariés du BTP en France

Le secteur du bâtiment et travaux publics (BTP) est particulièrement concerné par les troubles musculo-squelettiques (TMS). Comme dans l’ensemble des secteurs, les TMS représentent la première cause de maladies professionnelles (MP) dans le secteur du BTP en 2019, avec plus de 86% de MP reconnues liées aux TMS1.Dans ce contexte, et dans le cadre de ses missions, Santé publique France mène des travaux spécifiques sur ce secteur à risque comme l’étude publiée sur l’évolution des facteurs de risques de troubles musculo-squelettiques chez les salariés du bâtiment et des travaux publics, en collaboration avec l'équipe Ester (dirigée par le Professeur Roquelaure, Université d'Angers – lnserm-lrset). Réalisée à partir des données de l'enquête Surveillance médicale des expositions aux risques professionnels (Sumer), cette étude analyse l’évolution entre 2010 et 2017 de la prévalence des expositions des salariés du BTP, par sous-secteurs d’activité, aux facteurs de risque de TMS. Ces derniers incluent l’exposition aux contraintes biomécaniques, psychosociales et organisationnelles ; ceci afin de contribuer aux éventuels ajustements nécessaires des orientations de la prévention de ces affections dans le secteur du BTP.Les troubles musculo-squelettiques en FranceLes troubles musculo-squelettiques représentent la première cause de maladies professionnelles indemnisées avec 88% des maladies professionnelles reconnues par le régime général : 44.492 cas en 2019*.Les chiffres-clés des troubles musculo-squelettiques Quels sont les résultats clés de l’étude et que montrent-ils ?En 2017, comme en 2010, les salariés du BTP sont plus exposés aux contraintes biomécaniques que les salariés des autres secteurs, et sont moins exposés aux facteurs de risques psychosociaux et aux contraintes organisationnelles.La co-exposition à des contraintes biomécaniques et à des contraintes de rythme dans le travail est en légère baisse mais touche encore plus d’un salarié sur trois (35%).Comme en 2010, l’exposition aux contraintes biomécaniques concerne davantage les hommes et les ouvriers en 2017.En 2017, les salariés de la construction de routes et voies ferrées sont plus exposés qu’en 2010 à la position en torsion ou accroupie (construction de routes et autoroutes) ainsi qu’à la contrainte industrielle et au « job strain » (construction de ponts et tunnels).Les salariés des travaux de revêtement des sols et des murs sont particulièrement exposés à la position en torsion ou accroupie et bénéficient d’une marge de manœuvre moindre concernant la possibilité d’interrompre le travail, avec des évolutions statistiquement significatives entre 2010 et 2017.Les expositions professionnelles aux différentes contraintes dans le sous-secteur des travaux d’installation électrique et de plomberie tendent vers une amélioration de l’exposition aux contraintes biomécaniques, organisationnelles et psychosociales pour les salariés concernés.Quels enseignements peut-on tirer de cette étude ?Les résultats de cette étude encouragent à orienter les actions de prévention notamment vers les sous-secteurs de la construction de routes et voies ferrées (construction de routes et autoroutes, construction de ponts et tunnels) et des travaux de revêtement des sols et des murs, mais également vers les salariés des petites entreprises du BTP.*Cnam. Rapport annuel 2019 [Internet]. Paris: L’Assurance Maladie - Risques Professionnels; 2020, 168 p.
Il y a 2 ans et 208 jours

AA x Tarkett #2 — L’hôpital, figure urbaine

Le 12 avril dernier, AA et Tarkett recevaient au sein de l’Atelier Tarkett à Paris Julie-Laure ...More about Cet article AA x Tarkett #2 — L’hôpital, figure urbaine est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.