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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 162 jours

La suppression de la taxe d'habitation a permis un gain moyen de 590 euros par foyer en 2020, selon Bercy

"Cette mesure forte en faveur du pouvoir d'achat s'inscrit dans la baisse massive des impôts, que nous avons engagée depuis 2017 et que nous poursuivons sans ralentir, malgré la crise actuelle", a déclaré à cette occasion le ministre délégué chargé des Comptes publics Olivier Dussopt.Il a rappelé que la suppression par étapes de cette taxe se poursuivra à partir de 2021 pour les 20% de foyers les plus aisés, et sera achevée en 2023.Cette année, la suppression de la taxe d'habitation a concerné 22,4 millions de foyers fiscaux.Le gain moyen varie parfois beaucoup d'un département à l'autre, y compris au sein d'une même région: en Ile-de-France, il est ainsi de 735 euros dans l'Essonne et de seulement 417 euros à Paris.En Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), il est de 714 euros dans les Bouches-du-Rhône et de 460 euros dans les Hautes-Alpes.
Il y a 4 ans et 162 jours

Appartements autonomes remplis de lumière naturelle

Ces solutions inhabituelles ont permis également un éclairage efficace de l'intérieur avec de la lumière naturelle.Bâtiments à zéro énergieL'excellente isolation thermique des bâtiments et le photovoltaïque appliqué sur les toits rendent ce quartier autosuffisant en énergie. Grâce à une bonne isolation des murs et aux fenêtres de toit super thermo-isolant FAKRO , il est facile de maintenir la bonne température intérieure. Cela permet de réduire le besoin de chauffage des locaux en hiver et de les refroidir en été. Les panneaux solaires, quant à eux, permettent d'alimenter les appartements avec de l'énergie solaire renouvelable. Les résidents en bénéficient car ils n'ont pas à payer les factures d'électricité ou de gaz. L'environnement naturel en profite également car les bâtiments alimentés par l'énergie solaire n'émettent pas de pollutions.Photovoltaïque et fenêtres de toit? Chaque appartement a été équipé de 23 panneaux photovoltaïques qui couvrent pratiquement toute la zone sud du toit. Cependant, le projet a nécessité l'utilisation de fenêtres de toit à proximité des panneaux. Des paramètres d'isolation appropriés n'étaient pas la seule exigence à respecter. La tâche était de les installer dans des toits non standard avec des panneaux photovoltaïques. FAKRO a fourni des raccords spécialement fabriqués pour l'installation étanche et esthétique des fenêtres de toit. Les fenêtres FTT U6 utilisées ici sont conçues spécialement pour constructions à basse énergie et maisons passives. Ils présentent d'excellentes performances d'efficacité énergétique et les solutions appliquées comme la technologie thermoPro, augmentent encore leurs paramètres.Stores pare soleil à énergie solaireLes stores pare soleil AMZ Solar montés sur les fenêtres de toit protègent les pièces de l'échauffement, créant des conditions agréables pour les résidents lors des plus grandes vagues de chaleur. Ils sont compatibles avec le système SMART HOME. De plus, AMZ Solar sont équipés de panneaux solaires, de sorte qu'ils n'ont pas besoin d'alimentation du secteur. En utilisant l'énergie solaire et en réduisant le besoin de refroidissement des pièces, ils augmentent encore la valeur écologique de l'ensemble du projet.En savoir plus sur les fenêtres de toit à rotation
Il y a 4 ans et 162 jours

L’État lance une carte de France des loyers, un petit pas vers la transparence

"L'objectif du projet, (...) c'est de disposer d'indicateurs de loyers pour toutes les communes de France", a résumé jeudi, lors d'une présentation en ligne, l'ingénieur Basile Pfeiffer, l'un des créateurs de cette carte lancée par le ministère du Logement.Concrètement, il s'agit d'une carte de France interactive et disponible depuis vendredi sur le site du ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement: https://www.ecologie.gouv.fr/carte-des-loyers. L'internaute peut zoomer et cliquer sur la commune de son choix pour savoir quel loyer au mètre carré attendre pour un appartement ou une maison.Derrière ce projet, discrètement annoncé en 2019 par le ministère, il y a l'idée de rendre le marché du logement plus transparent.La carte doit "être utilisable par tous, à la fois les propriétaires, les locataires (ou) les professionnels de l'immobilier", a insisté M. Pfeiffer.Le sujet des loyers est politiquement sensible car ressurgit régulièrement la question de leur encadrement dans un contexte de hausse continue des prix immobiliers, celle-ci persistant pour l'heure malgré la crise économique et sanitaire.Les villes de Lille et Paris, notamment, ont instauré un plafonnement et plusieurs autres métropoles, dont Lyon et Bordeaux, viennent de demander au gouvernement à faire de même.Mais la nouvelle carte n'apporte pas de grande nouveauté pour les grandes agglomérations. Des observatoires publics existent déjà et fournissent des données de référence sur les loyers.L'enjeu, c'est plutôt d'établir quels sont les loyers dans le reste de la France, les villes moyennes et petites, ainsi que les zones rurales. Cela représente en gros la moitié des logements loués dans le pays.Pour ce faire, les créateurs de la carte ont compilé une dizaine de millions d'annonces fournies par les grands sites actifs dans le secteur: Leboncoin, SeLoger et PAP. La start-up PriceHubble a aussi participé au projet.Sans surprise, "les loyers sont élevés dans les zones touristiques" comme "les littoraux et les zones de montagnes", remarque la chercheuse Marie Breuillé.Nombreux flousSeulement, les données ne permettent pas de distinguer avec "certitude" les locations touristiques, remarque-t-elle, comme celles mises en ligne par la plateforme AirBnB.C'est l'un des nombreux flous de cette carte, qui ne fait pas non plus la différence entre logements neufs et anciens. De plus, elle ne dresse qu'un tableau figé sur l'année 2018, alors que les prix ne cessent d'évoluer.Ensuite, il y a "une marge d'imprécision puisque ce ne sont que des annonces et non des baux signés qui sont ici observées", remarque auprès de l'AFP l'agent immobilier Fabrice Abraham, ancien dirigeant du réseau Guy Hocquet, qui se félicite toutefois d'un "pas" vers plus de transparence.Enfin, de nombreuses communes n'ont tout simplement pas de données: près d'un tiers ne disposent pas d'annonce pour un appartement. Dans ces cas-là, il a fallu extrapoler à partir de communes semblables.Avec toutes ces imprécisions, cette carte peut-elle vraiment servir aux propriétaires et leurs futurs locataires ?"Sur le principe, c'est bien d'avoir un dispositif qui donne une idée de la valeur du marché", reconnaît auprès de l'AFP David Rodriguez, juriste auprès de l'association de consommateurs CLCV.Mais "ce n'est pas assez rigoureux" pour qu'un propriétaire ou un locataire fasse son choix, tranche-t-il, regrettant notamment que la carte fasse le choix de donner les loyers avec les charges comprises alors que celles-ci varient beaucoup selon la nature et l'état du logement.Les créateurs du projet ne cachent pas qu'il n'en est qu'au stade expérimental. C'est désormais à l'agence publique d'information sur le logement, l'Anil, de voir quel usage en faire et comment l'affiner."On est encore assez loin de pouvoir utiliser ces données pour (...) la politique du logement", admet M. Pfeiffer, qui pense que la carte pourrait être actualisée d'ici à deux ans.
Il y a 4 ans et 162 jours

Nouveaux meubles de salle de bain Alterna

ALL THE WAY, DESIGN et DOMINO, les nouveaux modèles de meubles de salle de bain Alterna conjuguent cet aspect pratique et esthétique pour sublimer la décoration et donner LE style à la salle de bain.Collection DOMINO : un design résolument carréMeuble sous-vasque aux accents contemporains et fonctionnels, Domino est idéal pour les salles de bain familiales avec ses 3 tiroirs offrant de larges espaces de rangements.Domino est disponible avec un plan vasque, simple ou double, en céramique.Il se pare de coloris intemporels : blanc laqué, chêne clair et gris anthracite laqué, pour s'adapter à tous les styles. Il est équipé du système de fermeture soft close, d'une coulisse double parois, d'un amortisseur intégré et d'un système de fixation au mur tridimensionnelle.Ce meuble se complète d'une colonne coordonnée.Collection DESIGN : personnalisation absolue pour un style affirméMeuble sous-vasque 2 tiroirs, suspendu ou sur pieds, Design offre 30 combinaisons de personnalisation. Grâce à ses façades interchangeables, il est possible de réaliser un mix and match de matières et des couleurs : blanc, rose laqué, bleu laqué, sérigraphie et chêne naturel. Il se distingue par son placage en bois massif type ébénisterie avec finition hydrofuge qui transmet un côté chaleureux à l'ensemble.Il est équipé d'un plan vasque en céramique ou en synthèse et de tiroirs à ouverture totale. Les façades se posent sur des pré-façades bois montées en usine. Ces façades sont équipées de prise de main intégrée en MDF.Il se complète d'une colonne une porte, deux tiroirs, également personnalisables mais aussi du mitigeur Design qui possède une bague placée sur le corps disponible en plusieurs finitions (noir mat, blanc mat, rose satiné, chêne clair, chêne foncé, inox brossé structuré). Collection ALL THE WAY : style industriel et minimalisteAll the Way est un meuble sous-vasque conçu pour permettre une grande fluidité dans l'usage : tout est à portée de main et adaptable pour tous les âges.Inspiré des usines désaffectées et/ou des lofts New-Yorkais, le meuble All the Way offre une empreinte stylistique forte et aérienne avec ses parties en métal noir, sa forme, ses finitions (blanc brillant, chêne naturel et frêne clair) et la légèreté des pieds. Il est équipé d'un tiroir à ouverture totale bénéficiant du système Silenstyle qui permet un amorti à l'ouverture et à la fermeture.Il se complète d'un plan-vasque moulé en marbre de synthèse revêtu d'un gelcoat noir mat et d'une colonne assortie, remplie de rangements complémentaires et astucieux comme un éclairage déporté.Le meuble est assemblé en France par tourillons.
Il y a 4 ans et 162 jours

Lancement des travaux du premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus urbain de Paris-Saclay

Première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay, elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Après une consultation lancée en août 2018, l'EPA Paris-Saclay a retenu le groupement* mené par Demathieu Bard Immobilier (DBI) pour la réalisation d'un programme de 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant de 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. Après la sélection d'un groupement de maîtrise d'œuvre mené par l'agence d'architecture Atelier WOA, l'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé en fin d'année 2019 une promesse synallagmatique de vente. E, L'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé, en novembre 2020, un acte authentique de vente permettant le lancement du chantier.Une résidence étudiante conçue sur le modèle des « hacker houses »Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et un programme pour « hackers ». La résidence sera gérée par Global Exploitation et intègrera environ 40 lits à destination de Seed Up, gestionnaire pour la partie « Hacker house ».Les étudiants, logeant dans cette résidence, pourront ainsi formuler le souhait d'être intégré au sein d'un logement en colocation géré par Seed Up. Ces derniers réaliseront des missions commanditées par des entreprises et des grands comptes du territoire (codage informatique, recherche,…). En contrepartie, les étudiants membres de ce programme bénéficieront d'une réduction, voire d'une gratuité totale de leur loyer et pourront même percevoir une rémunération.Au sein des locaux, la résidence offrira des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants de Seed Up auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique.La résidence proposera à l'ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport.Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementaleLe projet conçu par l'Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l'EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées.Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l'infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés.Cela va dans le sens de l'implication de l'EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre dernier, par lequel l'EPA s'engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d'utilisation de 30% de bois d'origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent).Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA.*Le groupement se compose de Demathieu Bard Immobilier (opérateur-mandataire), Seed Up (gestionnaire de hacker houses) et Global Exploitation (via sa filiale SuitEtudes). Le groupement est accompagné de l'Atelier WOA (Architecte et MOE d'exécution), Pouget Consultants (BET fluides et thermique) META Atelier Acoustique (BET acoustique) mais également de Sylva Conseil pour la construction bois et GERA'nium pour la dimension environnementale.
Il y a 4 ans et 162 jours

Le secteur de la construction en campagne auprès des jeunes

Lancée le premier décembre 2020, elle se déploiera jusqu’au mois de mars 2021.Cette campagne nationale s’adresse aux jeunes pour leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers de la construction et leur donner envie de rejoindre le secteur, en s’y formant par l’apprentissage.Le message de la campagne est simple: les métiers de la construction sont des métiers de passion! Pour s’adresser aux jeunes en recherche d’une orientation professionnelle, ce sont de jeunes professionnels qui témoignent en images de leur passion pour leur métier, au travers d’un dispositif pluri média à la hauteur des ambitions de la profession.Pilotée par le CCCA-BTP, la campagne «La construction. Demain s’invente avec nous» s’inscrit dans le cadre de la dynamique de soutien au développement de l’apprentissage BTP mise en place par le CCCA-BTP. Susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes, futures forces vives du secteur de la construction, est au cœur de l’action du CCCA-BTP et le reflet de son expertise, au profit de l’ensemble des professionnels du bâtiment et des travaux publics.La construction, des métiers de passionLa campagne fait rimer construction avec passion avec le hashtag #PassionConstruction, pour valoriser des métiers diversifiés, techniques et innovants...Des métiers diversifiés : de la construction de l’habitat, des bureaux à celle des axes routiers et des espaces publicsDes métiers techniques, qui font appel à la précision, au sens de l’organisation et à l’esprit d’analyseDes métiers innovants, avec des technologies, des matériaux, des équipements de pointeDes métiers dans lesquels le savoir-faire professionnel permet de répondre aux enjeux environnementauxDes métiers dans lesquels la santé et sécurité au travail est une préoccupation de tous les joursDes métiers exercés dans une petite ou une grande entrepriseDes métiers avec de vraies perspectives d’évolution et de carrière tout au long de sa vie professionnelleDes métiers avec la garantie d’un emploi qualifié et hautement qualifié... Et pour promouvoir l’apprentissage pour s’y former: une voie de formation d’excellence et de réussite, un passeport pour l’emploi.
Il y a 4 ans et 162 jours

Le Groupe Monnoyeur crée une Direction RSE et nomme à sa tête Anne-Laure Denis

L'entreprise familiale est le leader de la distribution de biens d'équipement et de services pour la construction et l'industrie, également acteur majeur européen de la transformation digitale du secteur de la construction. Forte d'un parcours et d'une expérience RSE de plus de 10 ans dans l'industrie, Anne-Laure Denis apportera son expertise et son savoir-faire au service du groupe centenaire.La mission d'Anne-Laure Denis au sein du Groupe Monnoyeur sera de poursuivre la définition d'une politique et d'une stratégie RSE Groupe, ainsi que d'assurer leur mise en œuvre avec les différents pôles d'activités. Elle sera également en charge du pilotage opérationnel des différentes composantes de la politique RSE, elle en déterminera les indicateurs clés puis en assurera le suivi et l'amélioration. En outre, elle animera et coordonnera la mise en œuvre et la communication des plans d'actions avec les parties prenantes internes et externes.Anne-Laure Denis démarre sa carrière en 1999 dans le conseil en stratégie chez Kearney. En 2005, elle devient auditeur interne chez Kraft Foods avant d'accéder, en 2009, au poste de responsable Environnement et Développement Durable chez bioMérieux. En 2014, elle intègre Lafarge où elle est en charge de la RSE puis en 2016, elle est nommée responsable RSE et Innovation chez LafargeHolcim.« Nous sommes ravis d'accueillir Anne-Laure au sein du Groupe Monnoyeur, elle apportera son savoir-faire et sa connaissance approfondie de la responsabilité sociale et environnementale. Cette création de poste est le reflet de nos fortes ambitions en matière de RSE, elle marque notre volonté d'insuffler une nouvelle dynamique et de construire une véritable stratégie dédiée. C'est l'ensemble du Groupe et de ses filiales qui doit se développer de manière durable. Anne-Laure nous aidera à relever ces défis majeurs, plus que jamais d'actualité en cette période d'incertitude. » souligne Philippe Monnoyeur, Directeur Général du Groupe Monnoyeur.Âgée de 45 ans, Anne-Laure Denis est diplômée d'HEC Paris et titulaire d'un Master of Science en Environnement de l'Imperial College à Londres.
Il y a 4 ans et 162 jours

Valery Giscard d'Estaing salué pour sa "grande audace" avec la naissance du Musée d'Orsay

"La modernité se retrouvait dans ce projet scientifique et culturel", a souligné l'établissement dans un communiqué, estimant que sa création "demeure un des plus importants succès de la politique culturelle française des cinquante dernières années".Laurence des Cars, présidente de l'établissement public, "se souvient avec émotion de sa visite le 1er mai 2019 à l'occasion du concert européen donné par la Philharmonie de Berlin dans la nef du musée. Cet événement résumait trois des passions du président : l'art de cette période et le musée d'Orsay qui permet de le présenter, l'amitié franco-allemande et la construction européenne".La maire LR du VIIe arrondissement de Paris Rachida Dati et la présidente (ex-LR) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse ont appelé jeudi à donner à ce musée le nom de l'ancien président.Sur Twitter, Valérie Pécresse a rappelé que VGE "transforma la gare d'Orsay en l'un des musées les plus visités du monde, à la gloire de nos impressionnistes".La direction du Louvre a aussi rendu hommage à l'homme d'Etat décédé mercredi, soulignant son rôle dans sa transformation, avant même la présidence de François Mitterrand et l'édification du Grand Louvre qui avait culminé en 1989 avec la Pyramide de Ieoh Ming Pei:Giscard, a-t-il rappelé, "a eu son bureau de ministre des finances dans l'aile Richelieu de 1962 à 1974", et "il est, avec la loi Musées de 1978, à l'origine du grand plan de réaménagement du Louvre".VGE, "passionné de l'histoire du lieu, revenait au Louvre chaque année avec plaisir et curiosité", a souligné l'établissement public.
Il y a 4 ans et 162 jours

L'économie française loin de son niveau d'avant crise en décembre selon l'Insee

Affinant ses prévisions dévoilées il y a deux semaines, l'Institut national de la statistique table aussi sur une contraction de 4,5% du produit intérieur brut (PIB) au quatrième trimestre, et "d'environ 9%" sur l'ensemble de 2020.Ces prévisions se basent sur le respect des étapes de déconfinement annoncées par le gouvernement, avec notamment la fin des restrictions de déplacement remplacées par un couvre-feu, et la réouverture des cinémas, théâtres et musées à partir du 15 décembre.Cette levée progressive des restrictions "entraînerait une reprise graduelle de l'activité avec toutefois des disparités selon les secteurs", souligne l'Insee, qui note que ce deuxième confinement a plus pénalisé la consommation que la production, les entreprises ayant réussi à s'adapter aux restrictions sanitaires.La réouverture des commerces dits non essentiels et le rebond attendu de la demande avec les fêtes de fin d'année devraient stimuler le commerce de détail et l'activité de certaines industries (biens d'équipement, habillement, ameublement).La consommation, qui serait retombée à 14% sous son niveau d'avant-crise en novembre, après un écart de -3% en octobre, est attendue en décembre 6% en dessous de son niveau d'avant crise, selon l'Insee.Cette remontée serait due aux achats de biens manufacturés comme l'habillement et l'équipement du foyer, relativement empêchés durant le confinement, ainsi qu'aux dépenses de carburants et de services de transports, limitées toutefois par la poursuite du télétravail."Alors que la consommation avait fortement rebondi dès la fin du confinement de printemps, avec un retour assez rapide vers un niveau proche de celui d'avant-crise, le rebond serait plus progressif en décembre", souligne l'Insee.Les autres activités de services et les transports verraient leur situation légèrement s'améliorer, avec un déficit d'activité passant de -31% à -23%, tandis que l'hébergement-restauration ne connaîtrait aucun mieux, les bars et restaurants restant fermés en décembre.L'industrie, moins affectée par ce second confinement, devrait voir son activité ramenée en décembre 5% en dessous de son niveau d'avant crise, contre 8% en novembre.
Il y a 4 ans et 162 jours

Logiciel EXPERT Présentation 2020

Il y a 4 ans et 163 jours

L’Anah adopte un budget de 2,7 milliards d’euros avec l'objectif de rénover 600.000 logements en 2021

Ce budget permettra d’accélérer la rénovation du parc privé, que cela soit au travers des aides traditionnelles de l’Agence ou de l’élargissement au 1er janvier 2021 de MaPrimeRénov’ à l’ensemble des propriétaires, occupants comme bailleurs, et des copropriétaires.Des objectifs 2020 en passe d’être atteints malgré la situation sanitaireEn 2020, l’Anah constate une activité dynamique sur l’ensemble de ses programmes, supérieure à celle de 2019 à la même période (+11%). Ces résultats témoignent de la mobilisation de l’ensemble du réseau de l’Anah, au siège comme dans les territoires, pour assurer la continuité du service public pendant les périodes de confinement. Ils démontrent aussi les attentes fortes des citoyens en matière d’amélioration de l’habitat.2,7 milliards d’euros et des objectifs renforcés pour l’amélioration du parc privéLe budget 2021 de l’Anah atteint pour la première fois les 2,7 milliards d’euros, notamment grâce aux crédits de France Relance. Ce budget inédit conforte l’Agence dans ses missions et va permettre l’accélération de la rénovation des logements, en lien avec la montée en puissance de MaPrimeRénov’, les évolutions du programme Habiter Mieux, l‘accélération du Plan Initiative Copropriétés et l’accompagnement des programmes Action Cœur de Ville et Petites Villes de Demain. Plus que jamais, il s’agit pour l’Anah de déployer ses aides afin d’améliorer les logements du parc privé, lutter contre l’artificialisation des sols, redynamiser les centres-villes et réduire les émissions de gaz à effets de serre. Des moyens supplémentaires sont alloués également à l’humanisation des centres d’hébergement avec une augmentation de 3 millions d’euros dans le cadre de France Relance, portant les aides à 11M€ en 2021.Au total, ce sont plus de 600 000 logements dont la rénovation sera financée par l’Agence.Evolutions de MaPrimeRénov’ et de Habiter MieuxDans le cadre de France Relance, MaPrimeRénov’ est élargie à l’ensemble des propriétaires et copropriétaires, favorise les rénovations les plus ambitieuses (primes pour les sorties de passoires thermiques et rénovations BBC) et finance désormais l’assistance à maîtrise d'ouvrage pour faciliter l’accompagnement des ménages. Par ailleurs, MaPrimeRénov’ Copropriété se substitue au programme Habiter Mieux Copropriétés pour devenir une aide collective unique, à destination de toutes les copropriétés engageant des travaux de rénovation énergétique permettant un gain énergétique d’au moins 35%. Cette évolution permet de créer un dispositif simple et accessible à l’ensemble des copropriétés.Afin de renforcer la lutte contre la précarité énergétique des ménages modestes et très modestes, le programme Habiter Mieux évolue également. Il subventionnera désormais jusqu’à 50% des travaux de rénovation énergétique permettant un gain d’au moins 35%, avec un plafond de travaux porté à 30 000€. Une prime pour les sorties de passoires énergétiques et un bonus pour les rénovations atteignant l’étiquette A ou B complètent le dispositif.Emmanuelle Wargon, Ministre déléguée au logement : « L’amélioration de l’habitat est au cœur des préoccupations de nos concitoyens, comme en atteste le niveau d’activités de l’Agence. Cette forte dynamique se poursuivra en 2021, grâce à des moyens exceptionnels, mobilisés notamment grâce à France Relance. L’élargissement de MaPrimeRénov’, qui rencontre d’ores et déjà un succès grandissant, va permettre d’accélérer massivement la rénovation énergétique pour tenir les engagements climatiques de notre pays. Au-delà, c’est l’ensemble des missions de l’Agence qui sont confortées, ce dont je me félicite. »Thierry Repentin, Président de l’Anah : « Malgré la situation sanitaire, l’Anah sera, en 2020, une nouvelle fois au rendez-vous des objectifs que le gouvernement lui a fixé. En 2021, le budget dont bénéficie l’Agence lui donne les moyens de massifier les aides à la rénovation, en continuant d’apporter une attention particulière aux plusfragiles. Cela sera possible grâce à l’ouverture de MaPrimeRénov’ à tous les propriétaires, et à la mobilisation des territoires en faveur de l’amélioration de l’habitat dans le cadre des grands programmes nationaux tels que le Plan Initiative Copropriétés, Action Cœur de Ville, Petites Villes de Demain. »
Il y a 4 ans et 163 jours

Après une mauvaise année 2020, l'industrie des matériaux de construction s’inquiète pour 2021

Les résultats montrent, sans surprise, un fort impact de la crise sanitaire sur l'activité avec des prévisions attendues pour cette année à - 8 % pour les granulats et à - 10 % pour le béton prêt à l'emploi (BPE). En 2021, l'environnement économique et institutionnel resterait trop pesant pour envisager un rebond marqué des productions. L'activité BPE et granulats peinerait à dépasser les niveaux de 2020 et demeurerait encore très en deçà de ceux de 2019.Le Covid-19 a bousculé toutes les prévisionsAlors que les indicateurs d'activité sur le début d'année 2020 semblaient plutôt bien orientés avec un certain raffermissement de la production de matériaux, l'arrivée de l'épidémie de Covid-19 a causé un choc sans précédent pour toute l'économie française. La filière « carrières et matériaux » n'a pas été épargnée et a subi une baisse très significative de son activité. En avril 2020, mois le plus impacté, les volumes se contractaient de près de 60 % par rapport à avril 2019 pour les granulats et de 70 % pour le BPE.L'annonce du déconfinement au mois de mai s'est traduite par un rebond de l'activité durant l'été avant que le mois d'octobre ne vienne tempérer ce mouvement de rattrapage.L'activité des granulats a cependant regagné près de 35 % au troisième trimestre par rapport au deuxième trimestre et + 4,3 % au regard du troisième trimestre de 2019. Néanmoins, en cumul sur douze mois, les productions de granulats affichent encore un recul de - 7,9 % (CVS-CJO).Du côté du BPE, sur la même période, la production a grimpé de 45 % par rapport aux trois mois précédents et de 6 % par rapport à la même période de l'an passé. Mais, au cours des douze mois, les livraisons de BPE accusent toujours une baisse de - 11,2 %.2020, un bilan en net repliEn dépit du rebond rapide et vigoureux des livraisons de matériaux à la sortie du confinement, les pertes de productions entre mars et mai ne seront pas comblées. Le deuxième confinement, qui a certes permis la poursuite des chantiers du BTP, impactera quand même à terme le secteur via ses effets délétères sur la croissance et la confiance des agents économiques.L'année 2020 devrait donc se solder par une contraction de l'activité d'environ - 8 % pour les granulats et de - 10 % pour le BPE (en données brutes).Les livraisons de BPE s'inscriront ainsi 5 % en deçà de leur moyenne des 10 dernières années, à 36,3 millions de m3.Quant à la production de granulats, elle atteindrait les 326 millions de tonnes, soit un niveau de 10 % en dessous de la moyenne de ces 10 dernières années (358 millions de tonnes), une décennie pourtant marquée par la crise financière de 2008. Cette période de crise s'est également accompagnée d'une nouvelle approche de satisfaction des besoins en granulats avec notamment l'essor de la production de matériaux recyclés mais aussi de leur valorisation directement sur les chantiers. De sorte que les niveaux de production sont devenus aujourd'hui structurellement plus bas qu'il y a 20 ans. D'ailleurs, en 2020, la quantité de granulats extraits atteindra son plus bas niveau historique depuis 40 ans.Pas de vrai rebond attendu en 2021Après cette année 2020 que l'on peut qualifier de « hors-norme », avec une activité mise entre parenthèses pendant plusieurs mois, plusieurs facteurs pourraient permettre de retrouver des chiffres en progression : plans de relance, besoins en logements, en investissements de renouvellement ou d'entretien des infrastructures, poursuite des projets des opérateurs privés…, le tout sur fond de crise sanitaire davantage sous contrôle. Mais les pesanteurs restent nombreuses, et les professionnels du secteur témoignent leurs inquiétudes : près de 90 % des chefs d'entreprises s'attendent à une baisse ou à forte baisse d'activité dans les 6 prochains mois (enquête d'opinion UNICEM - novembre 2020).Bâtiment : les carnets se videntSi les mises en chantier de logements ont bien observé un rebond depuis le premier déconfinement, ce n'est pas le cas pour les permis qui restent plombés dans le segment du résidentiel comme dans celui du non résidentiel. De même, le marché du logement neuf ne montre aucun rattrapage des transactions au troisième trimestre et les promoteurs demeurent inquiets sur l'évolution de la demande.La crise sanitaire, qui s'est doublée d'une crise économique et sociale, a introduit de nouveaux paramètres dans l'équation de la demande de matériaux : les risques de faillites d'entreprises, la crainte du chômage, les pertes de pouvoir d'achat des ménages, mais aussi les bouleversements dans les modes de consommation et de travail sont autant de facteurs qui modifient les comportements d'investissement immobilier des entreprises et des ménages et tirent les carnets de commandes de la filière bâtiment vers le bas. En d'autres termes, si la reprise des chantiers actuels de logements est alimentée par les commandes d'avant crise, les carnets eux ne se remplissent plus.Travaux publics : en attente des commandesAu-delà des effets délétères du double-confinement, le contexte pour les travaux publics pâtit également de facteurs négatifs. Entre séquences de confinements et calendrier électoral rallongé, les collectivités locales peinent à se mobiliser pour relancer des appels d'offre. Dans ce contexte, l'affectation des crédits du plan de relance en travaux risque fort de prendre du retard et de s'étaler dans le temps alors que la situation exigerait une traduction rapide des annonces.L'UNICEM alerte également les pouvoirs publics sur la nécessité d'actionner le levier de la commande publique afin de réamorcer l'activité dans les territoires et de privilégier l'approvisionnement en ressources locales pour soutenir l'emploi et le développement économique.Dans ce contexte, le potentiel de rebond de l'activité resterait très contraint en 2021, se limitant au maximum à + 4 % pour les granulats et étant quasi-nul pour le BPE. Les niveaux de production de 2021 s'établiraient ainsi bien en deçà de ceux de 2019 autour de - 5 % pour les granulats et de - 10 % pour le BPE.Au-delà de ces perspectives peu encourageantes, l'UNICEM alerte aussi sur certains freins qui pourraient encore davantage brider la relance potentielle du secteur.RE2020 : des annonces brutales à même de déstabiliser la filièreÀ la suite des récentes annonces des Ministres Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon autour de la Réglementation Environnementale des Bâtiments (RE2020), la fédération fait part de ses interrogations sur leurs conséquences potentielles à court et moyen termes sur l'activité de la filière. Les risques de perturbations sont réels alors même que celle-ci s'inscrit depuis plusieurs années dans un cercle vertueux d'économie circulaire, avec une prise en compte des enjeux du développement durable du secteur de la construction sous le prisme de l'analyse du cycle de vie global des matériaux utilisés.De plus, les chefs d'entreprise sont particulièrement inquiets sur la possible institutionnalisation d'une distorsion de concurrence entre matériaux. Pourtant, la filière prône depuis de longues années la mixité des matériaux, avec une approche qui repose, notamment, sur l'utilisation du bon matériau au bon endroit.L'industrie des carrières et matériaux extrêmement inquiète du manque de visibilité quant à la future filière de responsabilité élargie du producteur (REP) prévue au 1er janvier 2022L'économie circulaire est depuis longtemps une réalité au sein de la filière minérale. Aujourd'hui, le secteur des industries extractives et des matériaux de construction est un acteur majeur et reconnu en matière de recyclage et de valorisation matière des déchets inertes.Cette constante mobilisation a permis de dépasser, dès 2018, le seuil des 70 % de taux de valorisation fixé par l'Union européenne pour 2020. Les déchets inertes du bâtiment (33,5 millions de tonnes) sont ainsi déjà valorisés à hauteur de plus de 80 %, grâce à un maillage de 1 500 plateformes exploitées par les adhérents de l'UNICEM et réparties sur l'ensemble du territoire. Du fait que la loi AGEC fixe pour principe que les déchets de construction ou de démolition soient repris sans frais lorsqu'ils font l'objet d'une collecte séparée, un éco-organisme devrait être créé pour financer cette collecte séparée des déchets inertes par le prélèvement d'une éco-redevance sur les produits et matériaux de construction. Cela conduirait à une ponction économique très importante des industriels de la filière minérale, de plus de 380 millions d'euros par an, sans équivalent au niveau des REP déjà existantes sur les acteurs économiques et sans que les conséquences en aient été correctement étudiées.A l'heure où l'ADEME doit présenter les résultats de son étude de préfiguration de cette future filière REP, l'industrie des carrières et matériaux n'a pas l'assurance d'être écoutée, d'autant plus que la reprise gratuite ne permettra pas de répondre à la problématique des dépôts sauvages et installations illégales. Les dépôts sauvages sont principalement le fait de particuliers ou d'entrepreneurs peu scrupuleux ou exerçant leurs activités dans des conditions illégales (travail dissimulé).
Il y a 4 ans et 163 jours

Eclisse 40, huisserie invisible et architecturale

ECLISSE 40, une finition pensée dans les moindres détailsECLISSE 40 est une huisserie pour la pose d'une porte battante affleurante laissant apparaître le cadre en aluminium. D'un côté, des lignes géométriques donnent de la profondeur et de l'autre, la porte affleurante se fait élégante et discrète. ECLISSE 40 est une nouveauté absolue sur le marché, née de l'idée de deux architectes italiens, Lorenzo Ponzelli et Francesco Valentini. « Tout a commencé avec le sentiment qu'il manquait quelque chose dans le monde de la porte. Quelque chose qui ferait évoluer le concept de la porte d'intérieur : faire de l'invisible, une visibilité subtile sans négliger la fonctionnalité et la praticité. La perspective d'ECLISSE 40 a été une révélation » confient, les deux designers.Ce nouvel archétype permet de regarder la porte d'intérieur sous un autre angle. La structure évasée du cadre en aluminium se décline en quatre finitions : brut avec primaire, bronze clair, bronze foncé et bronze graphite. Cette porte battante s'associe parfaitement avec le design minimaliste de la collection Syntesis®.« Il y a six ans la collection Syntesis® innovait déjà dans le domaine de la porte à galandage et de la porte battante. De nouveau, avec l'huisserie ECLISSE 40, Eclisse révolution la conception des portes invisibles. La mise en avant du cadre en aluminium est une approche encore inexistante sur le marché Français. ECLISSE 40 reflète le design italien et l'exigence française à tous points de vue et fait bouger les lignes de la porte d'intérieur. », explique Olivier Guilliec, Directeur commercial d'ECLISSE France.Les caractéristiques techniques d'ECLISSE 40Compatible avec les cloisons en plaques de plâtre d'épaisseur finie de 100 mmLargeur de porte : de 616 à 1016 mmHauteur de porte standard : 2040 mmHauteur sur-mesure disponible : de 1650 à 2700 mmPour plus d'informations : télécharger la brochure
Il y a 4 ans et 163 jours

Les taux des crédits immobiliers en France reculent un peu en novembre

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel français se sont en moyenne établis à 1,20%, détaille dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.C'est un peu moins que le mois précédent - 1,21% - et, surtout, cela confirme que les taux redeviennent de plus en plus avantageux après une nette hausse lors du déclenchement de la crise sanitaire du coronavirus au printemps et du premier confinement.Leur niveau moyen "revient pratiquement au niveau qui était le sien avant la mise en œuvre du premier confinement", note l'observatoire.A l'époque, les taux étaient à des niveaux historiquement bas, répercutant notamment les politiques monétaires très favorables au crédit de la part de la Banque centrale européenne (BCE).Désormais, "en dépit du renforcement de la crise économique et sociale, (...) les banques continuent à améliorer les conditions des crédits octroyés", assure l'observatoire.Néanmoins, cette évolution ne profite pas de la même manière à tout le monde, les conditions étant moins favorables pour les plus pauvres et les plus jeunes."Les emprunteurs (...) qui ne présentent pas les meilleurs profils - niveaux des revenus et de l'apport personnel... - ont bénéficié d'une baisse de taux un peu moins rapide que celle des autres emprunteurs, sur les durées les plus longues", souligne l'observatoire.Au-delà de la crise sanitaire, les professionnels de l'immobilier en tiennent responsable la mise en place, voici un an, de mesures plus strictes par les autorités financières pour resserrer un peu les conditions d'emprunt.
Il y a 4 ans et 163 jours

Alogia Groupe annonce l'acquisition d'un cabinet d'architectes spécialisés

Cette union se concrétise par la création d'une nouvelle filiale dénommée "cabinet Gardinier Chargé et associés". Avec l'internalisation de cette compétence à très forte valeur ajoutée de la chaîne du maintien à domicile, ALOGIA Groupe renforce son expertise pluridisciplinaire pour s'imposer sur les marchés de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) et de l'expertise juridique.L'architecture spécialisée "vieillissement et handicap" au cœur de l'enjeux sociétal de la transition démographiqueAujourd'hui en France, 94,5% des personnes âgées de 65 ans et plus vivent à domicile1. Ces seniors expriment pour 90% d'entre eux le souhait d'y rester2. Au cœur des enjeux de l'adaptation de notre société au vieillissement, l'habitat est ainsi devenu un déterminant de santé et d'autonomie mais aussi un défi majeur : 94% du parc immobilier n'est pas adapté aux seniors3.Face à ce constat, le Groupe ALOGIA défend une approche préventive du vieillissement en accompagnant les professionnels du secteur (bailleurs sociaux, assurances, collectivités, promoteurs…) dans leur réponse aux enjeux du "bien vieillir" à domicile. Le Groupe, qui a déjà accompagné ses clients par des actions préventives sur plus de 10 000 logements, rassemble une équipe pluridisciplinaire : professionnels de santé ergothérapeutes, UX designers, chercheurs doctorants, experts, architectes… Cette complémentarité des profils, qui permet d'apporter une réponse exhaustive aux enjeux de l'adaptation du parc immobilier, fait aujourd'hui le succès d'ALOGIA.L'intégration du cabinet Gardinier, fruit de la stratégie du Groupe pour s'imposer sur les marchés de l'AMO et de l'expertise juridiqueExpert reconnu auprès des compagnies d'assurance depuis 30 ans et chargé de cours à la faculté de médecine Paris VI, Vincent Gardinier, Architecte DPLG spécialisé Grand Handicap, interviendra dans les missions d'Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) du groupe et pilotera la filiale "Cabinet Gardinier Chargé et associés".À destination des acteurs de l'assurance, cette division propose une offre d'expertises juridiques pour les conseiller dans le dimensionnement juste et impartial de l'indemnisation des victimes de dommages corporels. Élément de différenciation fort, le binôme unique ergothérapeute-architecte formé par Thomas Chargé, directeur santé d'ALOGIA Groupe et Vincent Gardinier, s'est donné pour mission de s'imposer sur le marché des expertises juridiques.Avec leurs équipes, ils offrent aux assureurs la garantie d'une prise en charge globale des problématiques de la victime, tant architecturale qu'ergonomique. Le cabinet intervient déjà au niveau national auprès des principaux acteurs de l'assurance parmi lesquels Covéa, Axa, Groupama, Gan et bien d'autres.« Ce rapprochement est une réelle opportunité de transmettre des savoirs concrets, techniques et spécifiques, accumulés tout au long de 30 années de terrain au contact des victimes, et de former une nouvelle génération d'architectes. La complémentarité du binôme ergothérapeute / architecte renforce notre expertise ; les savoirs de l'un nourrissant la pratique de l'autre », souligne Vincent Gardinier.« La création du Cabinet Gardinier Chargé marque l'aboutissement de plusieurs années de collaboration entre Vincent Gardinier et nos équipes. L'arrivée de Vincent, dont la réputation auprès des compagnies d'assurance n'est plus à démontrer, nous permet de consolider nos activités tant au niveau du groupe qu'au sein de cette nouvelle filiale auprès des assureurs.», conclut Alexandre Petit, Président du groupe.1 Source INSEE, France, portrait social – édition 20162 Source, INSEE, Les tableaux de l'économie française – mars 20193 Source, rapport d'étude du groupe Caisse des Dépots – octobre 2013
Il y a 4 ans et 163 jours

Partenariat Siniat & Biofib' pour des cloisons avec isolant biosourcé certifiées résistantes au feu

À l'heure où la demande de matériaux biosourcés est en plein essor, Siniat et Biofib' proposent plus de 300 configurations, de EI30 à EI 180 (cloisons), avec des PV Feu répondant aux bâtiments ERP, tertiaire, logement collectif ou maison individuelle.Les solutions cloisons, contre-cloisons et plafonds de Siniat et l'isolant biosourcé à base de chanvre Biofib' Trio forment la seule offre certifiée en termes de résistance au feu. Elle constitue une vraie alternative aux systèmes constructifs traditionnels avec des performances feu et acoustique testées et validées.Un partenariat né sur un chantierFin 2018, Siniat et Biofib' interviennent sur un projet d'ERP pour lequel l'architecte souhaite utiliser des isolants bisourcés. Problème : il n'existe pas de PV Feu. Siniat et Biofib' vont alors unir leurs efforts pour que les performances acoustiques et feu des systèmes Siniat soient validées avec l'isolant Biofib' Trio. Ainsi prend forme un partenariat inédit entre un fabricant de plaque de plâtre et un fabricant d'isolant biosourcé.Début 2020, Siniat & Biofib' lancent leurs solutions de cloisons, contre-cloisons et plafonds avec isolation biosourcée en totale adéquation avec les exigences actuelles de performances énergétiques, environnementales et sanitaires. A l'heure où la demande de matériaux biosourcés est en plein essor, Siniat et Biofib' proposent plus de 300 configurations, de EI30 à EI 180 (cloisons), avec des PV Feu répondant aux bâtiments ERP, tertiaire, logement collectif ou maison individuelle.Biofib'Trio est une alliance inédite de fibres de chanvre, coton et lin, offrant une isolation thermo-acoustique exceptionnelle. Les panneaux semi-rigides Biofib'Trio (disponibles en épaisseurs allant de 45 à 200 mm) ou rouleaux, sont spécialement adaptés pour une isolation écologique et confortable de l'habitat, avec des performances thermiques certifiées ACERMI.
Il y a 4 ans et 163 jours

Dumez Île-de France transforme la tour KupkA-A dans le quartier d'affaires de Paris La Défense

Les travaux menés par les équipes de Dumez Île-de-France ont porté sur la restructuration lourde de l'IGH (Immeuble de Grande Hauteur) de 19 niveaux afin de lui offrir une nouvelle vie en adéquation aux nouveaux usages de travail. 21 mois de travaux auront été nécessaires à la transformation complète de ce bâtiment qui se destine à accueillir près de 20.000 m2 de bureaux de grand standing.L'ensemble architectural a été imaginé par Yrieix Martineau Architecture (YMA) avec des bureaux organisés en plateaux afin de permettre une flexibilité des usages. Des espaces collaboratifs et de convivialité ont également été aménagés. La création de deux atriums en façade, ouvrant les espaces intérieurs offrent une vue panoramique sur La Défense. Le site intègre un centre de fitness et un restaurant inter-entreprises de plus de 600 couverts.La restructuration de KupkA-A a également permis d'améliorer son accessibilité avec l'entrée principale qui prend désormais la forme d'un hall triple hauteur, connecté à une nouvelle passerelle donnant sur le parvis de La Défense et reliée à celle du « Couchant ». Un jardin et un rooftop végétalisé, totalisant près de 550 m2 d'espaces verts accessibles, ont été aménagés.Le bâtiment KupkA-A vise l'obtention des certifications environnementales Breeam et HQE Excellent. Par ailleurs, afin de faciliter la connectivité et la qualité de vie professionnelle de ses futurs occupants, l'immeuble souhaite intégrer les labels Well Gold et Wired Score Gold.
Il y a 4 ans et 163 jours

L'industrie des matériaux de construction représente un potentiel de 1.400 recrutements par an

Dans un contexte économique et social perturbé par la crise sanitaire, ces travaux ont le mérite d'apporter un éclairage sur l'état du marché du travail du secteur des matériaux avant l'arrivée de la pandémie. On y découvre une industrie pourvoyeuse d'emplois stables, riche en métiers variés, présente dans tous les territoires, et offrant des carrières professionnelles évolutives et pérennes.L'industrie des matériaux de construction en France : les grandes lignesL'industrie de matériaux de construction couvre un large spectre d'activités, allant de l'exploitation de carrières pour l'extraction de matière première à la fabrication de produits tels que le béton prêt à l'emploi (BPE), les mortiers et ciments, produits préfabriqués en béton, mais aussi la taille et le façonnage de pierres.Selon la dernière enquête annuelle de l'UNICEM*, en 2018, l'industrie de matériaux de construction représentait 2.888 entreprises, réparties sur 5.861 sites, générant un chiffre d'affaires de 9.210 millions d'euros. Cette production, essentiellement destinée au bâtiment (46%) et TP (44%), concentre plus de 73.500 emplois, un chiffre relativement stable sur ces 4 dernières années (72.189 en 2015 vs 73.576 en 2019).La majorité des salariés du secteur des matériaux travaille dans des métiers liés à la production (44%), un quart dans des emplois administratifs et commerciaux, tandis que moins d'un cinquième occupe des fonctions techniques et d'encadrement. Les emplois de chauffeurs/conducteurs d'engins et de maintenance représentent respectivement 9 % et 5 % des emplois totaux.96 % des salariés de l'industrie des matériaux sont employés en CDI soit 8 points de plus que pour l'ensemble des industries. Le salaire brut médian annuel dépasse les 30.000 euros.Si le secteur reste encore très masculin, il attire cependant aussi des femmes. Elles représentent 17% des salariés.L'étude fait également ressortir que 52% des salariés ont 45 ans et plus. Cette constatation amène une évidence. Le secteur va devoir faire face aux départs à la retraite et reconquérir des vocations chez les plus jeunes. C'est l'une des missions que s'est fixée l'UNICEM en promouvant notamment la formation et l'apprentissage via ses CFA, mais aussi en multipliant des rencontres d'information sur les différents métiers de l'industrie.Carrières et matériaux : une industrie qui forme et qui recruteDes métiers et savoir-faire diversifiésDu niveau CAP au diplôme d'ingénieur, de l'extraction des roches et minéraux jusqu'à leur transformation et leur mise en œuvre, l'industrie des matériaux de construction propose un large éventail de métiers aux savoir-faire diversifiés et offre de nombreuses opportunités professionnelles.Cependant, un constat demeure : malgré les enjeux d'avenir que le secteur représente, très souvent les entreprises peinent à recruter le personnel qualifié nécessaire au bon développement de leur activité et des territoires. Or, les défis environnementaux couplés aux enjeux de la construction de demain font de ce secteur l'un des plus dynamiques et des plus attractifs en termes d'évolution de carrière, de pérennité de l'emploi et d'innovation.L'UNICEM estime que les entreprises de la filière « carrières et matériaux » auront besoin de recruter 1.400 collaborateurs chaque année, et ce pendant 20 ans.Les entreprises adhérentes à l'UNICEM offrent une grande diversité de métiers (quelques exemples) :Sur une carrière : conducteur d'engins, pilote d'installation de traitement, chef de carrière…Sur une unité de production de béton prêt à l'emploi : conducteur de camions toupies, pilote d'installation automatisée, agent de planning…Métiers de la pierre et atelier de transformation : tailleur de pierre, marbrier du bâtiment et décoration, usinage, découpe…Métiers transverses : technicien de laboratoire, maintenance, fonctions administratives, comptabilité, gestion ressources humaines, foncier et environnement, commercial, animateur santé sécurité…Près de 2 500 stagiaires en alternanceSur l'année 2018-2019, 2.429 jeunes ont suivi une formation initiale en alternance. Un chiffre qui, même s'il reste encore inférieur à celui d'il y a 5 ans (2.545 pour 2013-2014), se révèle assez stable, sur les 4 dernières années. La formation en alternance concerne essentiellement les métiers de conducteurs (913) et mécaniciens d'engins (1.008). Les métiers de la pierre et du marbre attirent quant à eux 341 apprentis.Plus d'un million d'heures de formation engagées en un anAfin de mobiliser les compétences professionnelles et de les adapter à l'évolution des métiers, les collaborateurs sont formés tout au long de leur carrière. En 2019, 2.012 entreprises de l'industrie des matériaux ont déployé des actions de formation représentant 1.002.364 heures auprès de 44.876 bénéficiaires. Ces derniers se répartissent entre les ouvriers (41%), les techniciens et agents de maitrise (27%), les ingénieurs et cadres (18%) et les employés (14%). Les formations continues les plus suivies sont la conduite d'engins et la sécurité, représentant respectivement 14% et 13% des stagiaires.Des CFA UNICEM dédiés pour une meilleure approche des métiersLes CFA UNICEM (Centres de formation d'apprentis gérés par l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) situés en Bretagne, en Occitanie et en Auvergne-Rhône-Alpes, forment chaque année plus de 600 jeunes de 15 à 25 ans, dans les différents métiers des industries de carrières et matériaux.Accédez à l'étude complète*L'enquête annuelle UNICEM porte sur le champ : granulats, béton prêt à l'emploi, pierres de construction et produits pour l'industrie et n'intègre pas les mortiers, le ciment, et le béton préfabriqué.
Il y a 4 ans et 163 jours

Des restaurations bâclées du patrimoine culturel en Turquie suscitent l'inquiétude

La Tour de Galata, un monument emblématique d'Istanbul construit au 14ème siècle, est le dernier édifice dont la rénovation a fait l'objet d'une telle controverse. La démolition de l'un de ses murs au marteau-piqueur en août a été interrompue de justesse après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une vidéo de cette scène qui a suscité l'indignation.Le ministre de la Culture, Nuri Ersoy, avait alors tenté d'éteindre la polémique en assurant que les travaux au marteau-piqueur avaient été menés sur des murs "ne faisant pas partie de la construction originale", tout en promettant des sanctions contre les responsables du chantier.Des mosaïques romaines endommagées par une restauration bâclée, du béton coulé au milieu d'un amphithéâtre antique, des citadelles historiques qui paraissent désormais flambant neuves: la liste des monuments mal rénovés s'est allongée ces dernières années.Pour Osman Köker, fondateur de la galerie Birzamanlar, un lieu d'exposition sur la diversité culturelle du pays, "une grossièreté" envers des édifices anciens, tendant à effacer les traces des minorités non-musulmanes, a toujours existé en Turquie.Profits avant toutPourtant, le tableau fut autrement plus reluisant au début des années 2000, à l'aube du pouvoir du président Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre. "Dans le cadre des efforts pour l'adhésion à l'Union européenne, la restauration des monuments à haute valeur symbolique était alors privilégiée", explique M. Köker.Ainsi, en 2011, la restauration réussie de l'église arménienne d'Ahtamar, dans l'est de la Turquie, avait reçu de nombreux éloges.Mais l'éloignement d'Ankara de l'UE ces dernières années et le durcissement du pouvoir islamo-conservateur de M. Erdogan ont changé la donne, souligne Korhan Gumus, architecte spécialisé en protection du patrimoine."Les appels d'offres de rénovation ne sont désormais attribués par le gouvernement qu'à des groupes privilégiés. Ceux-ci ont instauré un monopole et voient les projets avant tout comme un moyen de générer des profits", déplore-t-il.Il impute ces dérives à "un système qui gère les rénovations uniquement par le biais des appels d'offres, sans réflexion préalable sur l'histoire ou l'environnement"."On se contente d'une restitution de l'original, ce qui donne des résultats caricaturaux. Or, les monuments comportent souvent des parties ajoutées au cours des siècles par différentes civilisations qu'il faudrait conserver", ajoute-il.Sollicité par l'AFP, le ministère de la Culture n'a pas réagi aux critiques.Décisions arbitrairesC'est Mahir Polat, directeur du Département de l'héritage culturel à la mairie d'Istanbul, qui a tiré la sonnette d'alarme sur la destruction au marteau-piqueur d'un mur de la Tour de Galata.La mairie, dirigée par une figure de l'opposition, a déposé une plainte, mais la demande de M. Polat d'inspecter le site a été rejetée par le ministère de la Culture, qui pilotait les travaux."Lorsque la restauration n'est perçue que comme une activité de chantier, on rate le but de conservation", estime M. Polat.Le tableau est aussi assombri selon lui par certaines "décisions arbitraires", qui court-circuitent les organismes en charge de la protection du patrimoine.Il dit ainsi avoir découvert en juillet qu'une fontaine historique à Uskudar, dans la partie asiatique d'Istanbul, avait disparu du jour au lendemain dans le cadre de l'élargissement d'une route.La municipalité du district, dirigée par le parti au pouvoir, avait décidé selon lui de "déplacer" la fontaine sans avoir obtenu les permis nécessaires."La valeur historique d'un monument n'a de sens que dans le lieu où il se trouve. Vous ne pouvez pas le transporter comme un objet quelconque". "On n'a d'ailleurs pas de nouvelles de cette fontaine depuis", ajoute-t-il.Pour Tugba Tanyeri Erdemir, chercheuse à l'Université de Pittsburgh, la Turquie privilégie "une mise sous domination du patrimoine culturel plutôt que sa conservation"."Nous l'avons vu avec les décisions de reconversion de la basilique de Sainte-Sophie et de l'église de la Chora", souligne-t-elle.La reconversion récente de ces édifices en mosquées avait suscité des inquiétudes sur le sort de leurs mosaïques byzantines."La mémoire d'une ville est intimement liée à son espace. Nous n'avons pas su vivre avec les édifices anciens dans le passé", déplore M. Polat. "J'espère que nous nous rendrons un jour compte que nous avons un trésor entre nos mains".
Il y a 4 ans et 164 jours

La filière bois est prête pour répondre aux nouvelles orientations de la RE2020

Le président du SFCB, Eric Trendel revient sur les récentes annonces du Ministère de la Transition Énergétique sur la future RE2020 et assure que la filière saura relever ce nouveau défi.« Cette annonce, soudaine, est une très belle surprise tant pour la construction bois que pour le bois énergie. La filière a de nombreux atouts pour répondre à ce nouveau défi. Nous disposons d’une ressource locale et renouvelable, de solutions performantes qui préservent la qualité de l’air, de larges gammes de produits, et d’installateurs qualifiés sur tout le territoire pour assurer la pose et l’entretien des chaudières.Mettre le bois au cœur de la RE2020, c’est valoriser la première source d’énergie renouvelable de France. Nous sommes le deuxième pays européen producteur de bois énergie alors que seulement 50% de l’accroissement de notre forêt est exploité ! La filière bois est un cercle vertueux dans son ensemble. Construire en bois permet de de stocker du CO2 dans le bâtiment. L’élaboration des bois de structure dans les scieries donne naissance à des résidus de sciages, ou connexes, qui sont ensuite réutilisés pour former des granulés bois destinés au chauffage. Notre modèle encourage l’économie circulaire et locale et répond aux enjeux climatiques, tout en permettant à chacun de se chauffer de manière durablement économique.Notre offre de chaudières est très large et en mesure de s’adapter au plus grand nombre. Nos fabricants et importateurs proposent des équipements performants (ventouse ou condensation, manuelle ou automatique), adaptés à tous les budgets et pour tous les types de logement. J’ai souvent entendu dire qu’une chaudière biomasse est encombrante et compliquée à installer : nous avons aujourd’hui des systèmes qui ne prennent qu’1 mètre carré au sol et qui peuvent s’installer en une journée !Le SFCB sera aux côtés des constructeurs de maisons individuelles, des maitres d’œuvres et des bureaux d’études pour que l’installation des chaudières biomasse soit simplifiée. Si nous sommes aujourd’hui très heureux de pouvoir nous positionner plus largement dans le logement individuel, la filière a aussi les solutions pour répondre aux besoins des logements collectifs comme définis dans la RE2020. »Eric Trendel, Président du Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse
Il y a 4 ans et 164 jours

Sortie de crise en vue, mais perspectives très incertaines à court terme selon l'OCDE

L'Organisation de coopération et de développement économique a également légèrement corrigé son estimation pour 2020, mais à la hausse: le PIB mondial devrait finalement se contracter de 4,2%, contre -4,5% prévus lors de ses précédentes prévisions, en septembre.En revanche, les perspectives de rebond se sont assombries pour 2021. Car entretemps a déferlé la deuxième vague de Covid-19, qui a fait 1,46 million de morts depuis son apparition en Chine en décembre et continue à progresser rapidement dans certains pays, comme au Brésil où le PIB est attendu en hausse de 2,6% en 2021, après -6% en 2020.Même si le monde ne devrait pas retrouver son niveau d'avant-crise avant la fin de 2021, la croissance sera toutefois partout au rendez-vous l'année prochaine, selon les prévisions de l'OCDE: +3,2% aux Etats-Unis, +3,6% en zone euro, +7,9% en Inde et +8% en Chine.Pour 2022, l'OCDE table sur une croissance mondiale de 3,7%.En France, après une chute inédite de 9,1% de l'activité en 2020, la croissance devrait rebondir de 6% en 2021 et 3,3% en 2022.Les nouvelles sur le front du vaccin portent à l'optimisme. Lundi, le laboratoire américain Moderna a déposé une demande d'autorisation de son vaccin aux Etats-Unis, faisant espérer de premières vaccinations dès le mois de décembre."La perspective d'une sortie de crise s'est améliorée grâce aux (...) progrès réalisés dans la conception d'un vaccin efficace, mais les perspectives à court terme restent très incertaines, la reprise de l'activité étant de plus en plus hésitante", écrit l'OCDE.En effet, la recrudescence de l'épidémie "et les mesures d'endiguement mises en place ont freiné le rythme de la reprise mondiale, après l'effondrement de la production constatée dans la première moitié de 2020".Et cette tendance "devrait persister pendant un certain temps, étant donné les défis à surmonter, en termes de développement et de logistique, avant de pouvoir distribuer un vaccin à grande échelle dans le monde", prévient l'institution basée à Paris. Qui invite à ne pas se faire d'illusions: "vivre avec le virus pendant encore six à neuf mois au moins sera compliqué".Quant à la réponse macroéconomique, l'OCDE est sur la même ligne que le FMI: les politiques monétaires et budgétaires actuelles, expansionnistes, doivent être poursuivies, le moment n'est pas venu de serrer la vis."S'assurer que la dette est supportable ne sera une priorité que lorsque la reprise sera sur les rails" prévient-elle.
Il y a 4 ans et 164 jours

Une isolation efficace et performante des toitures végétalisées ou photovoltaïques

Rock Up C et Rockacier C, la réponse aux exigences de tous les types de toitures terrassesPour une isolation optimale des toitures végétalisées ou photovoltaïques, il est important de choisir un isolant performant et durable.Les solutions d'isolation ROCKWOOL couvrent tous les types de terrasses : bois, acier ou béton.Toitures terrasses inaccessibles, application zones techniques, toitures photovoltaïques ou végétalisées, TAN standard ou TAN grande portée, membrane bitumineuse ou synthétique, étanchéité soudée en plein ou fixée mécaniquement, étanchéité apparente ou couverture métallique… Quelles que soient les spécificités techniques et règlementaires, les produits ROCKWOOL seront parfaitement adaptés.Sécurité et performances techniques, acoustiques et mécaniquesLes solutions ROCKWOOL allient toutes les qualités nécessaires pour une isolation sans faille : sécurité incendie maximale, performances thermiques et acoustiques exceptionnelles, très bonnes performances mécaniques et stabilité dimensionnelle dans le temps.Autres points forts : outre leur excellent comportement à l'eau, avec Rock Up C et Rockacier C, il n'y a pas de création de ponts thermiques à la jonction entre panneaux et la conductivité thermique reste stable dans le temps.Réduisez votre facture énergétiqueAvec 43 % de la consommation énergétique et 23 % des émissions de CO2, les bâtiments représentent un enjeu majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. Optez pour les solutions d'isolation ROCKWOOL pour vos toitures terrasses : faites des économies d'énergie tout en limitant les émissions de dioxyde de carbone.Sérénité et tranquillité à la cléIsoler ses bâtiments efficacement, c'est bien ; dans la durée c'est encore mieux.ROCKWOOL attache une importance particulière à la durabilité et garantit à ce titre trois performances essentielles pendant 25 ans :Performance thermiqueStabilité dimensionnellePerformance au feuAvec les solutions ROCKWOOL, l'isolation thermique de vos toitures terrasses reste optimale malgré les années qui passent.En savoir plus sur les solutions ROCKWOOL pourl'isolation des toitures et terrasses béton et maçonnées
Il y a 4 ans et 164 jours

Élus et ONG dénoncent un article de loi qui pourrait favoriser la corruption dans l'attribution des marchés publics

Ils espèrent que le Conseil constitutionnel, saisi par plus de soixante députés, retoquera cette loi adoptée fin octobre, à l'issue d'une procédure accélérée. Sa décision est attendue jeudi.En cause, l'article 44 quater, qui introduit un "motif d'intérêt général" permettant de justifier la conclusion d'un marché public sans publicité ni mise en concurrence préalable, quel que soit le montant."C'est la porte ouverte au favoritisme et à la corruption", dénonce Jean-Paul Lefebvre, président d'Anticor 93. "Si les attributions de marché ne se font pas dans la transparence, c'est le régime des enveloppes, qui est déjà une pratique courante, et pas que dans les communes", ajoute cet élu d'opposition à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).De 25.000 à 40.000 euros en janvier, puis à 70.000 en juillet: si le seuil sous lequel un marché peut être conclu de gré à gré a déjà été relevé deux fois par décret, "le texte Asap ne mentionne plus de seuil. Au motif de l'intérêt général, on pourrait désormais avoir des marchés de plusieurs millions d'euros sans aucune publicité ni concurrence!", ajoute M. Lefebvre.En outre, cette notion "floue" - et "contraire à la règlementation européenne" - risque "d'envoyer des décideurs publics devant la justice, qui devra définir et vérifier le motif d'intérêt général", met en garde le conseiller municipal.Rare députée à avoir porté la contradiction à la majorité en séance, l'ex-marcheuse Emilie Cariou critique aussi la méthode: "l'article a été introduit par voie d'amendement par le gouvernement, sans aucune étude d'impact ni analyse juridique: c'est grave de légiférer sur des sujets aussi importants par voie d'amendement".Lors des débats, le rapporteur du texte à l'Assemblée, le député LREM Guillaume Kasbarian, a expliqué que l'objectif était "d'accompagner la reprise économique", en renforçant "l'accès des entreprises en difficulté et des TPE-PME à la commande publique"."L'objectif est également d'accompagner les collectivités territoriales dans l'effort de relance, par exemple pour la rénovation thermique de petits bâtiments, en accélérant la passation de marchés qui n'intéressent pas les grands groupes", a complété la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runachier.Tirée à 60% par les collectivités territoriales, la commande publique a progressé de 11% en 2019 pour atteindre 87,5 milliards d'euros, répartis en 25 milliards pour les travaux, 32,5 milliards pour les services et 12,8 milliards pour les fournitures, selon la Banque des territoires.Elle devrait bondir à la faveur du plan de relance de 100 milliards d'euros, auquel le gouvernement veut associer étroitement les "territoires" chers au Premier ministre Jean Castex.En réalité, cet assouplissement du Code de la commande publique (CCP) est réclamé "depuis des années par le BTP", affirme Benjamin Guy, responsable de la communication de Transparency France. "L'urgence et la relance servent de prétexte pour se débarrasser d'une procédure d'appel d'offres jugée fastidieuse et contraignante".Renaud Muselier, le président de la région Sud, a ainsi fait valoir auprès du gouvernement la nécessité de supprimer cette "contrainte" pour pouvoir commander rapidement des tests."Mais on ne change pas tout le Code de la commande publique pour un sujet de santé!", s'insurge Emilie Cariou. "Le Covid a bon dos, il permet de faire passer tout un tas d'atteintes à l'État de droit", déplore cette ex-cadre dans le privé.D'autant que "les règles actuelles du CCP sont compatibles avec des commandes +urgentes+ de masques ou de tests dans l'intérêt des deniers publics", renchérit Jean-Paul Lefebvre. Par exemple, les délais de publicité, qui sont de 30 jours pour une candidature par voie électronique, peuvent être réduits à 15 jours si l'urgence est dûment justifiée.
Il y a 4 ans et 164 jours

Élus et ONG dénoncent un article de loi qui pourrait favoriser la corruption dans l'attribution de marchés publics

Ils espèrent que le Conseil constitutionnel, saisi par plus de soixante députés, retoquera cette loi adoptée fin octobre, à l'issue d'une procédure accélérée. Sa décision est attendue jeudi.En cause, l'article 44 quater, qui introduit un "motif d'intérêt général" permettant de justifier la conclusion d'un marché public sans publicité ni mise en concurrence préalable, quel que soit le montant."C'est la porte ouverte au favoritisme et à la corruption", dénonce Jean-Paul Lefebvre, président d'Anticor 93. "Si les attributions de marché ne se font pas dans la transparence, c'est le régime des enveloppes, qui est déjà une pratique courante, et pas que dans les communes", ajoute cet élu d'opposition à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).De 25.000 à 40.000 euros en janvier, puis à 70.000 en juillet: si le seuil sous lequel un marché peut être conclu de gré à gré a déjà été relevé deux fois par décret, "le texte Asap ne mentionne plus de seuil. Au motif de l'intérêt général, on pourrait désormais avoir des marchés de plusieurs millions d'euros sans aucune publicité ni concurrence!", ajoute M. Lefebvre.En outre, cette notion "floue" - et "contraire à la règlementation européenne" - risque "d'envoyer des décideurs publics devant la justice, qui devra définir et vérifier le motif d'intérêt général", met en garde le conseiller municipal.Rare députée à avoir porté la contradiction à la majorité en séance, l'ex-marcheuse Emilie Cariou critique aussi la méthode: "l'article a été introduit par voie d'amendement par le gouvernement, sans aucune étude d'impact ni analyse juridique: c'est grave de légiférer sur des sujets aussi importants par voie d'amendement".Lors des débats, le rapporteur du texte à l'Assemblée, le député LREM Guillaume Kasbarian, a expliqué que l'objectif était "d'accompagner la reprise économique", en renforçant "l'accès des entreprises en difficulté et des TPE-PME à la commande publique"."L'objectif est également d'accompagner les collectivités territoriales dans l'effort de relance, par exemple pour la rénovation thermique de petits bâtiments, en accélérant la passation de marchés qui n'intéressent pas les grands groupes", a complété la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runachier.Tirée à 60% par les collectivités territoriales, la commande publique a progressé de 11% en 2019 pour atteindre 87,5 milliards d'euros, répartis en 25 milliards pour les travaux, 32,5 milliards pour les services et 12,8 milliards pour les fournitures, selon la Banque des territoires.Elle devrait bondir à la faveur du plan de relance de 100 milliards d'euros, auquel le gouvernement veut associer étroitement les "territoires" chers au Premier ministre Jean Castex.En réalité, cet assouplissement du Code de la commande publique (CCP) est réclamé "depuis des années par le BTP", affirme Benjamin Guy, responsable de la communication de Transparency France. "L'urgence et la relance servent de prétexte pour se débarrasser d'une procédure d'appel d'offres jugée fastidieuse et contraignante".Renaud Muselier, le président de la région Sud, a ainsi fait valoir auprès du gouvernement la nécessité de supprimer cette "contrainte" pour pouvoir commander rapidement des tests."Mais on ne change pas tout le Code de la commande publique pour un sujet de santé!", s'insurge Emilie Cariou. "Le Covid a bon dos, il permet de faire passer tout un tas d'atteintes à l'État de droit", déplore cette ex-cadre dans le privé.D'autant que "les règles actuelles du CCP sont compatibles avec des commandes +urgentes+ de masques ou de tests dans l'intérêt des deniers publics", renchérit Jean-Paul Lefebvre. Par exemple, les délais de publicité, qui sont de 30 jours pour une candidature par voie électronique, peuvent être réduits à 15 jours si l'urgence est dûment justifiée.
Il y a 4 ans et 164 jours

Kingfisher rachète la plateforme de services NeedHelp

Kingfisher, propriétaire en France des enseignes Castorama et Brico Dépôt, précise dans un communiqué détenir 80% du capital de la start-up française, tandis que son fondateur, Guillaume de Kergariou, conserve 20% des parts.La plateforme NeedHelp permet, "en ligne ou directement en magasin", de mettre en relation des clients ayant besoin d'aide pour réaliser leurs travaux avec des experts du bricolage, artisans professionnels ou simples particuliers."Avec cette opération, Kingfisher étend son offre de service et accélère sa transformation digitale. Cette prise de participation est un pas en avant significatif dans la concrétisation d'une des priorités majeures de la nouvelle stratégie du groupe, +Powered by Kingfisher+, qui vise à proposer une expérience-client résolument tournée vers le mobile et les services", est-il indiqué.Fondée en 2014, NeedHelp est présente majoritairement en France, mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Autriche et Pays-Bas. La plateforme "propose déjà ses services aux clients de plus de 500 magasins, incluant notamment les enseignes Castorama et Brico Dépôt du groupe Kingfisher en France", détaille le communiqué."Les plateformes de services en ligne ont un rôle clef à jouer dans la définition du futur de notre secteur. Pour toujours mieux servir nos clients, nous devons être résolument tournés vers le digital et développer les services que nous leur proposons, tout en continuant à nous appuyer sur l'actif que constituent nos magasins", a commenté Thierry Garnier, directeur général de Kingfisher, cité dans le communiqué."Dans les mois à venir, nous allons rapidement développer l'activité de NeedHelp au Royaume-Uni et en Pologne en capitalisant sur notre large réseau de magasins et sur les différentes identités de nos enseignes, qui s'adressent aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels", a-t-il indiqué.
Il y a 4 ans et 164 jours

Calista, propriétée de CDC Habitat, revisite la résidence pour personnes âgées valides

Douze météoritesOuverts sur la lumière et dotés de jardins suspendus ou d'espaces privés extérieurs, les logements de la résidence Calista de Jacou jouent la carte de l'originalité.« J'ai souhaité créer comme des cabanes perchées sur des toiture-terrasse, et casser le monolithisme d'un immeuble classique, en fractionnant les volumes. On se situe entre la villa individuelle et le logement collectif », ajoute l'architecte.Chacune des douze « boîtes », « comme des météorites tombées de façon aléatoire », se caractérise par une variété spécifique de matériaux – parements en pierre, zinc ou bois.« Les résidents se sentent repérés. Ils peuvent dire, de l'extérieur, ‘j'habite là'. Les échos sont très positifs », explique joliment Jean-Luc Martineau. Tout en restant dans des coûts raisonnables de construction, car certains résidents bénéficient de loyers modérés.« Avec Amétis, nous avons beaucoup échangé pour trouver des systèmes techniques efficaces de construction. »Résidence Calista : un écrin accueillantUn salon commun offre la possibilité aux habitants d'échanger, autour d'une partie de cartes, ou de visionner ensemble la télévision. L'habitat se structure autour d'une ruelle intérieure piétonne et végétalisée.Les passerelles et coursives offrent des effets de contreplongées d'une qualité presque cinématographique. On est loin des batteries de logements exigus, destinés à des personnes âgées seules. Calista propose par exemple des T3, pour l'accueil de familles ou d'amis, ou, tout simplement, pour la vie de couple.Le secteur est par ailleurs bien équipé, avec un collège, des équipements sportifs, des espaces verts, des voies dédiées à la mobilité douce, des services publics et la proximité de la ligne 2 du tramway de la métropole montpelliéraine.Des châssis de très grands formatsProfils Systèmes a réalisé les menuiseries aluminium en partie haute. Ces grands châssis (8 mètres sur 3) ont été installés par la société Alutech, également située à Jacou. « Il ne s'agit pas de formats standard. Amétis nous a contacté, car ils ne trouvaient pas d'entreprises pour ce type de prestation. Les échanges ont débuté un an et demi avant le début du chantier, pour déterminer, entre autres, un type de verre rejetant les UV du soleil, et pour harmoniser le châssis par rapport aux traverses et aux meneaux. »De plus, des stores intérieurs motorisés à bandes verticales, parachèvent la bonne protection solaire des logements, tout en laissant pénétrer généreusement la lumière.« Les douze ensembles de la résidence Calista de Jacou ont été équipés de ces grands châssis, mais pas de façon identique. La prise de cote a été à chaque fois différente, avec des prises d'angles inédites, vu les formes trapézoïdales de la construction », souligne Josian Laux, responsable commercial d'Alutech.Les châssis ont chacun été posés d'un seul tenant, à chaque fois au second étage, après un transport très court (environ 1 kilomètre) entre le lieu de fabrication et le chantier. Le chantier ayant pris du retard, seulement trois sur douze ont pu être hissés à l'aide d'une grue. Neuf autres l'ont été avec des cordes, à la force des bras, « et avec le risque de frottement sur la façade », rembobine Josian Laux.Compliqué, mais gagné. Au final, Bruno Bidault, gérant d'Alutech, encense l'esthétique de Calista, « que l'on reconnaîtrait entre mille, avec ses habillages différents de façade».
Il y a 4 ans et 164 jours

Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique et France de Bureau Veritas élu Président de la COPREC

Avant de rejoindre Bureau Veritas en 2018, Jacques Pommeraud travaillait pour SAP en tant que Senior Vice-Président Customer Success. Il a débuté sa carrière dans le Conseil en Stratégie au sein de McKinsey & Co, à Paris et Boston. En 2009, il intègre Atos pour prendre la direction du Lean et étend progressivement ses responsabilités jusqu'à être nommé Directeur Général de Canopy Cloud, joint- venture entre Atos, EMC2 et VMware. En 2014, il rejoint Salesforce Inc, en tant que Senior Vice-Président & Directeur Général Success Services, basé à San Francisco, aux Etats-Unis. Jacques Pommeraud, 44 ans, est diplômé d'un Master d'Ingénierie de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (France) et est titulaire d'un MBA à l'INSEAD.Jacques POMMERAUD indique : « Je suis honoré d’être élu Président de la COPREC et d’avoir la confiance de mes pairs pour représenter notre profession. La crise sanitaire que nous traversons a particulièrement mis en lumière l’importance de nos métiers d’essais en laboratoires, inspections et certifications qui constituent un pilier essentiel pour la santé et la sécurité de tous les Français. Je salue l’engagement total de l’ensemble des acteurs de notre filière, qui ont permis aux pouvoirs publics et aux acteurs économiques de relever les défis historiques que nous rencontrons. Aujourd’hui plus que jamais, nous sommes aux côtés des entreprises et des institutions pour soutenir la relance et pour les accompagner dans les transitions environnementales, numériques ou les nouveaux modes de consommation. L’expertise, l’agilité et l’intensité des efforts des femmes et des hommes qui composent notre collectif ont profondément changé le regard sur notre profession, une véritable filière de confiance. »À propos du secteur :Créée en 1991, la COPREC réunit les organismes tierce partie qui réalisent des activités de Testing, Inspection, Certification. Ils contribuent à l’amélioration de la qualité, de la sécurité et de la performance dans tous les secteurs (environnement, santé, industries, construction et infrastructures, collectivités, services aux gouvernements, loyauté, food, marine, automotive...)3 milliards de chiffres d’affaires (France) et 35.000 emplois directLa COPREC se compose de 40 membres (leaders : Apave, Bureau Veritas, Dekra, Qualiconsult, Socotec, SGS) et de 300 experts répartis dans 5 délégations : Equipements, Construction, Environnement, Sécurité Incendie, Certification
Il y a 4 ans et 164 jours

Peinture radiateur Oxi pour réchauffer les intérieurs avec style

Bien au chaud, bien chez soi... Dernière ligne droite pour peaufiner quelques détails avant de prendre nos quartiers d’hiver. Les radiateurs ne sont pas forcément « top of the list » lorsque l’on pense déco ou rénovation et pourtant il est simple de leur offrir un coup de frais ou de simplement les habiller de couleur pour qu’ils se fondent dans le décor tout en étant protégés et assurés de durer mieux esthétiquement.Pour la partie classique, Oxi a mis au point « Peinture Radiateur Fonte et Acier »Composés de fonte, les radiateurs anciens nécessitent une attention particulière :La fonte garde la chaleur et la peinture subit des contraintes fortes avec les variations de températureLa fonte offre une surface poreuse et rugueuse sur laquelle l’adhérence est difficilePeinture Radiateur Fonte et Acier intègre la Rustol Technology et donc du Rustol dans sa composition ce qui lui confère de nombreuses qualités :Une adhérence parfaite et une application simpleUn très bon garnissant qui pallie la porosité du matériau et offre ainsi une finition très couvrante avec un beau tendu et un rendu bien uniformeUn film qui vit au rythme des variations de température sans s’écailler avec une garantie de 5 ans contre l’écaillageGrâce à sa composition technique pointue qui intègre des résines de haute qualité, la finition ne nécessite pas l’application préalable d’un primaire.Pour la partie moderne, oxi a développé « Peinture Radiateur Convecteurs et Tuyaux »Une peinture qui apporte durabilité et esthétique à des matériaux modernes :Une excellente adhérence qui permet à la finition d’être appliquée sans primaire préalableUne résistance forte : grâce à son film souple qui résiste aux chocs thermiques, la peinture respire en suivant les variations de température et ne s’écaille pas. La qualité des résines lui permet aussi de résister aux chocs de la vie quotidienneUne finition durable qui vieillit bien :Grâce à la technologie « Gliss Protect », et ses additifs qui permettent à la poussière de glisser sur le radiateur sans s’agglomérer et sans former de paquets disgracieux.Grâce à des pigments ciblés qui apportent une protection anti corrosion indispensable pour les convecteurs en acier dans les pièces humidesSouvent les radiateurs blancs finissent par jaunir, grâce à des résines réticulantes, le film de Peinture Radiateur Convecteurs et Tuyaux forme un maillage souple et résistant au jaunissement dû à la chaleur et aux UV.Atout environnementLes résines très spécifiques intégrées dans les 2 peintures radiateurs d’Oxi permettent au radiateur d’assurer une diffusion optimale de la chaleur dans la pièce.
Il y a 4 ans et 164 jours

Le Parlement adopte la proposition de loi "zéro chômeur longue durée"

Députés et sénateurs s'étaient mis d'accord sur un texte commun, en commission mixte paritaire, le 28 octobre. L'idée du dispositif est de mobiliser les sommes destinées à l'indemnisation du chômage pour financer des entreprises à but d'emploi (EBE) qui recrutent en CDI des chômeurs de longue durée, payés au Smic pour des activités utiles socialement et non concurrentes des emplois existants.Votée à l'unanimité par 79 voix pour et 0 contre, la proposition de loi vise à étendre à 50 nouveaux territoires, pour cinq ans, une expérimentation lancée début 2017 et menée aujourd'hui dans dix "territoires" de 5.000 à 10.000 habitants, de Loos (Nord) à Jouques (Bouches-du-Rhône) en passant par Pipriac (Ille-et-Vilaine) ou Villeurbanne (métropole de Lyon).Ils accueillent 13 EBE employant plus de 800 salariés dans des activités de maraîchage, bûcheronnage, recyclage de métaux ou réparation de vélos.L'État contribue largement au financement de l'expérimentation, à hauteur de 18.000 euros par an, par emploi, alors que la part des départements est de l'ordre de 1.500 euros.La proposition de loi comprend par ailleurs d'autres mesures pour simplifier l'insertion par l'activité économique (IAE), comme la suppression d'un agrément obligatoire auprès de Pôle Emploi.Elle crée un "CDI inclusion" pour des personnes de plus de 57 ans en difficulté ou met en place l'expérimentation d'un "contrat passerelle", afin de faciliter le recrutement en entreprises classiques de personnes en fin de parcours d'insertion.En CMP, les parlementaires ont acté une augmentation "dérogatoire" du nombre de territoires habilités pour l'expérimentation, qui sera possible par décret en Conseil d'État.L'accord du président du conseil départemental sera également une condition requise pour qu'un territoire puisse se porter candidat à l'expérimentation.Le texte avait été voté en première lecture à main levée au Sénat, avec les voix des groupes LR, centriste, RDPI (ex LREM), RDSE à majorité radicale et Indépendants. Il avait été adopté à l'unanimité à l'Assemblée nationale.En 2019, le nombre de personnes au chômage depuis un an ou plus était de 1,004 million, dont 518.000 depuis deux ans ou plus, selon l'Insee. Si on ajoute celles qui ne sont pas ou plus inscrites à Pôle emploi, on estime à quelque 2,5 millions les personnes privées durablement de travail.
Il y a 4 ans et 164 jours

Castex promet "autant de moyens que nécessaire" pour soutenir l'apprentissage

"On est autour de 400.000 apprentis cette année" ce qui signifie que "malgré la crise forte, nous devrions faire davantage d'apprentis en 2020 qu'en 2019", a affirmé le Premier ministre lors d'un déplacement sur le site de l'entreprise d'ascenseurs et escalators Koné, à Trappes (Yvelines).L'apprentissage avait atteint un niveau record en 2019 (+16% de contrats) qui devrait être maintenu, voire dépassé en 2020 grâce aux primes à l'embauche (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur) décidées cet été.Voyant dans ce succès un signe "que notre plan +Un jeune une solution+ fonctionne bien", M. Castex a plaidé pour "que tout le monde puisse se sentir concerné par l'apprentissage, notamment parce que ça marche"."On en fait la clé de voûte de notre politique de formation professionnelle" et "on mettra autant de moyens que nécessaire pour poursuivre cela", a-t-il promis à l'issue d'une rencontre avec des apprentis."C'est aussi un signe de confiance dans l'avenir de la part des entreprises. Cela veut dire qu'elles ont confiance dans la reprise de l'activité", a de son côté affirmé la ministre du travail Elisabeth Borne qui l'accompagnait, avec la ministre déléguée à la Ville Nadia Hai.Le ministère du Travail avait annoncé le 24 novembre que le financement des centres de formation d'apprentis (CFA) ne diminuerait pas à la rentrée 2021, en dépit du déséquilibre créé par la forte progression du nombre de contrats d'apprentissage et la baisse des ressources liée à la crise.
Il y a 4 ans et 165 jours

Les Maires de France et professionnels du bâtiment solidaires pour une relance dans les territoires

Conscientes de la baisse sans précédent des capacités d'autofinancement des collectivités induite par les effets la crise sanitaire, elles plaident pour que les dotations et compensations de L’État fléchées vers les collectivités territoriales constituent un appui décisif à cette relance des investissements en accompagnement de la part territoriale de « France relance ».D'ores et déjà, les artisans et entrepreneurs de bâtiment connaissent une contraction forte de leur activité (-15% attendu sur l'année 2020) et s'inquiètent des perspectives pour 2021, lorsque les commandes d'avant-crise auront été honorées et que les mesures d'aide à la trésorerie auront cessé de produire leurs effets.Or, la crise sanitaire du printemps a retardé la mise en œuvre des projets de rénovation ou de construction des bâtiments publics. Elle a aussi révélé le souhait d'un nombre important de nos concitoyens de s'installer dans des zones urbaines moins denses d'où la nécessité d'amplifier et de territorialiser le prêt à taux zéro au-delà de sa quotité fixée à 40% et de rétablir, en le renforçant, le dispositif « Pinel » dans les territoires ruraux et péri-urbains.La crise accentue également les inégalités territoriales et la précarité de la population. C'est pourquoi, il est urgent de doter l'ANRU de moyens financiers exceptionnels pour soutenir durablement la relance dans les quartiers politique de la ville et permettre de financer le reste à charge des projets qui ne peuvent l'être actuellement.Par ailleurs, le retour à un rythme habituel d'instruction des autorisations d'urbanisme et la prochaine mise en œuvre des permis de construire dématérialisés doivent permettre de soutenir pleinement la reprise d'activité du secteur du bâtiment sur tout le territoire.Enfin, la rénovation énergétique des bâtiments, chantier majeur de la relance, doit pouvoir s'appuyer sur une offre de qualité en capacité de répondre aux enjeux nationaux.Olivier Salleron, président de la FFB, précise : « Dans les périodes de crise, les maires ont toujours été à nos côtés. Nous sommes des alliés objectifs et cela se vérifie encore plus aujourd'hui. C'est par les territoires, par leur capacité d'entraînement, que doit s'amorcer la relance économique. Une relance économique solide, qui s'appuie sur des choix de long terme et écarte les offres anormalement basses pernicieuses pour le tissu économique et l'emploi local ».François Baroin, président de l'AMF souligne que : « les communes et les intercommunalités sont parfaitement conscientes du rôle décisif qu'elles ont dans le maintien de l'activité des entreprises de proximité que sont les artisans et les entreprises du bâtiment. Elles doivent le faire dans un contexte budgétaire difficile, puisque la crise sanitaire a réduit leur niveau d'autofinancement, ce qui pèsera sur leur capacité d'investissement. Mais, les besoins sont là, et chacun est conscient de l'urgence ».
Il y a 4 ans et 165 jours

Immobilier 2020 en France : évolution des prix d’une année atypique

La Bretagne, Auvergne-Rhône-Alpes et Pays de la Loire sur le podium !Alors que la crise faisait espérer aux acheteurs une baisse des prix de l'immobilier, force est de constater que les vendeurs ne baissent pas leur prix, bien au contraire. En effet, si l'on regarde les annonces immobilières publiées sur l'année 2020 dans les 10 plus grandes villes de chaque région, on constate que la France a connu une hausse des prix dans toutes ses régions, avec en tête la Bretagne.L'Armorique culmine à 14% de hausse pour 2.669 € du m² en 2020 contre 2.337 € à la même époque en 2019. Une hausse entrainée par sa capitale : Rennes. En effet, la ville a connu une hausse de 15%.Elle est suivie de près par Auvergne-Rhône-Alpes, avec une hausse de 10% (3.559€ du m² en 2020 contre 3.233€ en 2019). La région connait d'importantes disparités, puisqu'elle rassemble des villes qui ont connu une hausse importante comme Villeurbanne (+22%), et des villes moins dynamiques, comme Vaulx-en-Velin, dont les prix ont reculé de 5%.Si les Pays de la Loire profitait jusqu'alors d'un marché de l'immobilier assez stable (+3,4%) entre 2015 et 2019, la hausse s'est accélérée cette dernière année jusqu'à atteindre la troisième place de notre classement avec une hausse de 9% de ses prix immobiliers. La région est tirée vers le haut par la ville d'Angers notamment avec 19% de hausse, l'une des plus fortes augmentations de l'année.Hauts-de-France, Bourgogne et Centre-Val de Loire en retraitA l'inverse, ce sont les Hauts-de-France qui connaissent le plus faible dynamisme : +2% avec 2.208€ par m² cette année contre 2 161€ en 2019. Précédés par la Bourgogne et le Centre-Val de Loire avec 4% de hausse chacune.Il faut néanmoins noter qu'aucune des régions françaises ne connait de baisse de prix globale.Cette résistance des prix des annonces malgré le contexte sanitaire s'explique par plusieurs facteurs :L'offre de logements se raréfieLes vendeurs restent ambitieux dans la fixation de leurs prix de venteLa structure du marché se rééquilibre : les conditions d'accès au crédit bancaire pour les foyers les plus modestes sont plus difficiles en 2020, ce qui tire les moyennes vers le hautLes grandes villes, restent des foyers d'attraction importants, avec un dynamisme qui impacte les prix à la hausseÉvolution des prix immobiliers en régions entre 2019 et 2020*Région20192020ÉvolutionVille à la plus forte augmentationVille à la moins forte augmentationBretagne2 3372 669+14%Rennes (+15%)Lannion (+0%)Auvergne-Rhône-Alpes3 2333 559+10%Villeurbanne (+22%)Vaulx-en-Velin (-5%)Pays de la Loire2 5632 790+9%Angers (+19%)Saumur (-1%)Corse3 3593 633+8%Corte (+11%)Calvi (+1%)PACA3 7024 004+8%Marseille (+10%)Avignon (+3%)Grand Est2 1542 324+8%Mulhouse (+10%) Châlons-en-Champagne (+2%)Nouvelle Aquitaine3 2273 454+7%La Rochelle (+13%)Niort (-1%)Occitanie2 6792 858+7%Béziers (+12%)Montauban (+0%)Ile-de-France10 37910 906+5%Puteaux (+11%)Saint-Denis (+3%)Normandie2 0712 172+5%Le Grand-Quevilly (+11%) Evreux (+1%)Centre-Val de Loire2 0642 149+4%Tours (+8%)Vierzon (-1%)Bourgogne1 7711 842+4%Dijon (+8%)Sens (-2%)Hauts-de-France2 1612 208+2%Saint-Quentin (+13%)Beauvais (-1%)* Méthodologie : évolution des prix constatés sur les annonces immobilières des portails en 2020 et en 2019 dans les 10 plus grandes villes de chaque région. Attention, cela ne concerne pas les prix de vente constatés au niveau des transactions, sur des biens réellement vendus.« Dans une année fortement marquée par la crise sanitaire, l’analyse des prix des annonces publiées sur les sites immobiliers dans les grandes villes de France démontre que les prix moyens au m2 ne sont pas en baisse, bien au contraire. Les propriétaires restent ambitieux et fixent des prix de vente élevés, et ce particulièrement dans les plus grandes villes. Cependant, il faut rester assez prudent vis-à-vis de ces chiffres, car il s’agit des prix constatés des annonces. Il faudra attendre de voir comment ces projets de vente se concrétisent au niveau des transactions réelles. La plus grande difficulté d’accès au crédit immobilier, avec des restrictions plus importantes de la part des banques en 2020, devrait en effet impacter les prix à la baisse. » explique Maxime Le Gonidec, Responsable BU de Drimki.
Il y a 4 ans et 165 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circultation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 165 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circulation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 165 jours

Naissance d'Enalia, E.T.I « Made in France », dédiée à l’efficacité énergétique

La naissance de ce groupe, annoncé ce jeudi 15 octobre par Gaëtan Thoraval, directeur général, correspond à un changement d’échelle important. Le groupe s’ouvre à de nouvelles activités (logement collectif, maîtrise d’œuvre, …) à de nouveaux clients et partenaires pour devenir un acteur global de la transition énergétique.Ce changement d’échelle est marqué par l’acquisition d’Abokine, société délégataire indépendante employant 35 salariés et implantée à Nantes. Abokine accompagne et forme près de 3.000 artisans ancrés dans le tissu local et dédiés à la rénovation énergétique.Ce rapprochement permet à Enalia de couvrir un territoire plus large et de cibler toutes les typologies d’artisans. De son côté, Abokine, en forte croissance, peut désormais s’appuyer sur l’expertise du groupe Enalia en matière de conseil et de financement.Avec trois implantations nationales (Paris, Lyon, Nantes), 135 collaborateurs et un chiffre d’affaires de plus de 160 millions d’€ en 2019, Enalia touche désormais l’ensemble des segments du marché de l’efficacité énergétique au travers de ses 5 filiales :Alto simplifie la rénovation énergétique des logements collectifs, en assurant la maîtrise d’œuvreNeutrali accompagne les grands consommateurs d’énergie vers la réduction de leur consommation, de l'audit au financementPass’Renov propose un service sur-mesure aux particuliers pour les aider à choisir, financer et réaliser leurs travaux d’économies d’énergieEnr’Cert appuie ses partenaires artisans dans le financement de leurs travaux, et leur propose des formations pour faire évoluer leurs offresAbokine accompagne ses partenaires artisans à rayonnement local en simplifiant la réalisation de leurs chantiers de rénovation énergétique« La réduction de notre empreinte environnementale fait désormais l’unanimité. Nous souhaitons y contribuer par notre expertise et notre capacité à créer, rassembler et réaliser. Nous sommes fiers de porter le groupe Enalia en tant que nouvel acteur de cette transition ; une ETI Made In France qui a triplé ses effectifs en deux ans. » Gaëtan Thoraval, Directeur Général Enalia« Enalia est la contraction d’« énergie » et d’alliance ». « Energie » car c’est notre métier de la rendre visible, de la comprendre et de l’optimiser. « Alliance » car nous sommes un groupe de 5 sociétés qui avancent dans le même sens, et qui sait aussi construire des partenariats forts avec d’autres professionnels de la rénovation, en premier lieu les artisans. Bastien Resse, Directeur de la stratégie et des relations extérieures
Il y a 4 ans et 165 jours

Ciments Calcia renonce à un projet contesté en Île-de-France et prévoit la suppression de 162 postes

Ce projet de réorganisation, qui doit encore être validé par les représentants du personnel, "entrainerait la suppression de 162 postes et la création de 20 autres postes", indique Ciments Calcia dans un communiqué.Le groupe prévoit parallèlement d'investir 400 millions d'euros "sur quatre de ses principaux sites émetteurs de CO2", dont près de 300 millions d'euros sur le seul site d'Airvault (Deux-Sèvres).Dans le détail, le groupe, filiale du géant allemand Heidelberg Cement, va reconvertir son usine de Gargenville (Yvelines) en "centre de broyage", résultat du "contexte d'incertitude liée aux nombreux recours" déposés contre l'ouverture d'une nouvelle carrière."Notre source calcaire de la carrière actuelle est en fin de période d'exploitation, on ne peut pas maintenir une usine sans calcaire", a expliqué à l'AFP la porte-parole du groupe.Ce projet de nouvelle carrière, qui devait permettre de continuer à alimenter à hauteur de 15% les entreprises de BTP construisant le Grand Paris, avait été déclaré "projet d'intérêt général" en 2016.Il était toutefois fortement contesté par des élus locaux et des associations, ces dernières dénonçant un grignotage des terres arables en plein coeur du parc naturel régional (PNR) du Vexin."Cette réorientation d'activités, appelée de nos voeux comme de ceux de milliers d'habitants du Mantois, évitera tous les dommages que ce mauvais projet aurait causé pour la santé publique et pour l'environnement", ont salué la vice-présidente du Conseil départemental Cécile Dumoulin et le député des Yvelines Michel Vialay dans un communiqué commun.Autre annonce faite par Ciments Calcia dans le cadre de sa réorganisation, l'arrêt de l'activité de production de ciment blanc du site de Cruas (Ardèche), "dont le résultat est structurellement négatif".Le site serait transformé "en un terminal cimentier automatisé pour la distribution de ciment blanc", précise le groupe, qui prévoit également une réorganisation de son siège social à Guerville.Le groupe allemand Heidelberg Cement emploie 3.500 personnes en France, dont environ 1.300 personnes pour la partie Calcia Ciments.
Il y a 4 ans et 165 jours

Les élus alsaciens s'insurgent contre des travaux envisagés au Parlement européen à Bruxelles

"Le Parlement européen dispose à Strasbourg, sa ville siège, d'un bâtiment parfaitement fonctionnel et prévu pour faire face aux défis à venir. Il est suffisamment vaste pour s'adapter à des mesures sanitaires et conçu de manière à réduire considérablement notre empreinte écologique", défendent le président LR de la région Grand Est Jean Rottner, la maire écologiste de Strasbourg Jeanne Barseghian, la présidente de la métropole Pia Imbs, ainsi que les présidents des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, Frédéric Bierry et Rémy With."Autant d'atouts qui ne peuvent qu'accentuer notre surprise en apprenant qu'il est prévu de rénover l'hémicycle à Bruxelles, une partie de la reconstruction du bâtiment Paul Henri Spaak, appelé +le Caprice des Dieux+, pour un montant de l'ordre de 500 millions d'euros", ajoutent les élus dans une lettre ouverte adressée au président du Parlement européen, l'Italien David Sassoli."L'Europe a-t-elle les moyens de se payer le luxe d'un tel investissement ?", critiquent-ils, réclamant "un véritable débat" public sur ce projet de rénovation.Interrogée par l'AFP à Bruxelles, une porte-parole du Parlement européen s'est dit "un peu surprise" du montant de 500 millions d'euros évoqué."Ce qu'ils disent dans la lettre n'est pas vrai. (...) On est vraiment un peu surpris. On ne sait pas d'où sort ce chiffre", a-t-elle affirmé, indiquant que David Sassoli devait répondre "bientôt" à cette lettre ouverte."Nous avons lancé un concours d'idées sur quoi faire du bâtiment en question (Paul-Henri Spaak). En août, quinze propositions ont été retenues qui seront présentées en février pour, à nouveau, en retenir cinq. Mais pour l'instant ce ne sont que des idées d'architectes, etc... On est encore loin d'un projet concret. Et nous n'avons pas encore parlé du budget", a détaillé la porte-parole de l'institution.Donnant lieu à un débat depuis des années, le siège officiel du Parlement européen, seule institution européenne élue par les citoyens, est à Strasbourg dans un immense bâtiment construit il y a vingt ans où ont lieu, en temps normal, douze sessions plénières de trois jours et demi par an. Mais la grande majorité du travail parlementaire a lieu à Bruxelles, dans un bâtiment construit en 1993 qui devrait faire l'objet d'importants travaux de rénovation.Les nombreux partisans d'un siège unique, qui serait établi à Bruxelles, dénoncent régulièrement le coût financier et écologique de cette transhumance mensuelle d'environ 2.500 personnes vers Strasbourg, tandis que les défenseurs du siège strasbourgeois craignent que l'actuelle crise sanitaire ne serve d'excuse à délaisser la capitale alsacienne, et ce en dépit de ce qui est inscrit dans les traités européens.En raison de la crise sanitaire, le Parlement européen n'a pas tenu de session plénière à Strasbourg depuis février, les suivantes ayant eu lieu soit à Bruxelles, soit à distance.
Il y a 4 ans et 165 jours

Cermiphone XL, la pose flottante au cœur de la solution antibruit Cermix

Les bonnes pratiques de mise en œuvre pour l'isolation acoustique57% des Français s'estiment aujourd'hui plus sensibles à la qualité de l'environnement sonore qu'auparavant (CidB, juillet 2020). Cela prouve à quel point la question de l'isolation acoustique dans les logements est cruciale.Et parvenir à améliorer les résultats de l'acoustique dans les bâtiments neufs comme en rénovation dépend des systèmes de mise en œuvre prescrits. Tenus par des objectifs et assujettis à de nombreux critères (nature et durée du chantier, coûts, normes et réglementations à respecter, délai de livraison…), les décideurs recherchent « les bonnes pratiques » : la facilité et la rapidité de la mise en œuvre conjuguées à la performance acoustique.CERMIPHONE XL, la pose flottante au cœur de la solution antibruit CERMIXLe savoir-faire CERMIX permet chaque année des innovations de mise en œuvre destinées à améliorer le confort et l'efficacité de travail des poseurs.CERMIPHONE XL, la solution CERMIX dédiée à l'isolation acoustique sous carrelage face aux bruits de chocs répond à ce besoin. CERMIPHONE XL se compose de plaques acoustiques à base de fibres synthétiques. Ces plaques souples de grandes dimensions (+/- 80 par 120 cm) brevetées se posent directement sans colle sur le sol, les unes contre les autres sans nécessité de joint.Elles sont complétées :par des bandes de pontage adhésives misent en place à la jonction des plaques pour les maintenir entre elles. Elles permettent d'éviter les infiltrations du mortier colle lors de l'étape de la pose du carrelagepar une bande de désolidarisation autocollante en pourtour de la pièce, sur les tuyauteries et autres parties saillantes du solCe système de mise en œuvre offre :Une isolation rapide et simple, avec un procédé léger. Le professionnel gagne un temps précieux sur l'avancée du chantier, ce qui améliore la rentabilité de ce dernierUne pose des carreaux sans délai d'attente directement sur les plaques par simple encollage, pour tous les formatsCoté performances, CERMIPHONE XL réduit les bruits de chocs jusqu'à 19 dBCERMIPHONE XL est conforme à la réglementation acoustique NRA 2000 et est référencé QUALITEL et CERQUAL. Cette solution est dédiée aux locaux P2E2 en priorité