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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 165 jours

Le client de l'agent immobilier protégé contre ses propres fautes

Pour la Cour de cassation, cette initiative que doit prendre l'agent immobilier entre dans son obligation de conseil et d'information vis à vis de son mandant, même si ce mandant était parfaitement conscient de sa propre tromperie.Sachant qu'un projet de création de rocade allait dévaloriser sa maison, un propriétaire s'était empressé de la vendre à des gens qui en ignoraient tout.Ces derniers avaient cependant obtenu par la suite l'annulation de la vente, leur consentement ayant été vicié par cette manœuvre dolosive.Contraint de rembourser et de reprendre sa maison, le propriétaire n'a pu la vendre par la suite que beaucoup moins cher. Mais invoquant sa propre faute, il a attaqué en justice l'agent immobilier pour être indemnisé. Il lui reprochait de ne pas avoir révélé au premier acquéreur le projet de rocade alors qu'ils étaient à l'origine d'accord pour le cacher.La justice, après des hésitations, lui a donné raison. Même si ce propriétaire peu honnête savait ce qu'il faisait en dissimulant ce qui allait dévaloriser son bien, l'agent immobilier, chargé de vendre, devait l'avertir.Son devoir de conseil de professionnel envers son client profane l'obligeait à s'assurer que rien n'était caché à l'acheteur et lui interdisait de respecter la dissimulation du vendeur.En ne le faisant pas, il a laissé son client prendre un risque en commettant une malhonnêteté. Il ne l'a pas amené à changer de projet, n'a donc pas rempli ses obligations de conseil et a commis une faute, ont tranché les juges.Cette faute peut être considérée comme à l'origine de la procédure d'annulation, finalement couteuse pour son client vendeur.(Cass. Civ 1, 9.1.2019, G 18-10.245).
Il y a 4 ans et 166 jours

L'OPPBTP s'associe au Pôle Habitat FFB pour améliorer la prévention sur les chantiers de construction de maisons individuelles

Conscients que la prévention des risques professionnels constitue un levier de performance globale des entreprises, les partenaires poursuivent désormais au niveau de chaque région le travail initié au plan national, grâce à des conventions destinées à mettre en place des actions concrètes.La prévention des risques, un enjeu multiple pour les constructeurs de maisons individuellesAvec 173.565 mises en chantiers en 2019, la construction de maisons individuelles représente à elle seule 42 % des chantiers de construction de logements neufs.Des progrès incontestables dans la prévention des accidents du travail et l’amélioration des conditions de travail ont été réalisés au cours des dernières décennies sur les chantiers de BTP, entraînant une baisse significative de la sinistralité. Pour autant, l’indice de gravité des accidents du travail sur les chantiers de construction de maisons individuelles reste supérieur à celui du BTP (43,2 pour 1.000, contre 34 pour 1.000). Cela s’explique notamment par la nature de leurs opérations, la typologie des entreprises impliquées, souvent de petite taille, ainsi que la gestion de la coactivité sur ces chantiers dont le maître d’ouvrage est souvent un particulier.Pourtant, l’implication des constructeurs de maisons individuelles dans une démarche de prévention des risques professionnels permet de faire évoluer favorablement les conditions de travail sur les chantiers, de lutter efficacement contre les accidents et les maladies professionnelles et par voie de conséquence, d’accroître la performance globale de ces opérations au bénéfice de chacun des opérateurs impliqués. La mise en place d’une telle démarche permet par ailleurs de renforcer une image positive du savoir-faire des constructeurs de maisons individuelles, que ce soit vis-à-vis de leurs clients, de leurs entreprises sous-traitantes ou de leurs collaborateurs.Un guide pragmatique pour servir de socle national en prévention à toute la professionEn accord avec ces constats, les constructeurs de maisons individuelles adhérents au Pôle Habitat FFB, la Cnam et l’OPPBTP, soutenus par la FFB et la Fédération des SCOP BTP, ont élaboré un Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles. Celui-ci apporte un éclairage pratique et des conseils simples pour traiter prioritairement les risques de chutes, les questions d’hygiène, les troubles musculosquelettiques et la coactivité.Elaboré dans le cadre spécifique du maître d’ouvrage particulier qui construit pour son usage personnel en relation avec un constructeur de maisons individuelles, il représente une base commune solide de bonnes pratiques afin d’aider les constructeurs de maisons individuelles et leurs entreprises sous-traitantes à progresser en prévention tout en répondant à leurs obligations en matière de prévention des risques.Ainsi, le guide détaille les différentes phases d’une opération de construction de maison individuelle, revient sur la mission de la coordination SPS et les documents supports qui lui sont utiles et donne des exemples de solutions opérationnelles et faciles à mettre en œuvre sur les chantiers.Poursuivre le déploiement des actions au plus près des territoires grâce à des conventions de partenariat régionalesAlors que le Guide vient tout juste d’être édité, la mobilisation des partenaires se poursuit grâce à un plan d’action en régions. En effet, le Pôle Habitat FFB, l’OPPBTP, la FFB, la Fédération des SCOP BTP et la Cnam encouragent désormais leurs réseaux respectifs à se rapprocher pour s’approprier et déployer les bonnes pratiques de façon concrète sur les chantiers.Pour cela, les partenaires vont dans les prochaines semaines mettre en place des conventions opérationnelles signées, animées et pilotées par leurs représentations locales et les engageant à définir un plan d’action adapté aux ambitions, aux ressources et au niveau de maturité de chacun sur la question de la prévention.Chaque plan d’action s’articulera autour de trois objectifs communs :Mettre en œuvre les bonnes pratiques en favorisant l’engagement des constructeurs de maisons individuelles et de leurs sous-traitants. Cela passe en premier lieu par une large diffusion du guide, tant auprès des 1.040 adhérents de Pôle Habitat FFB qu’auprès du plus grand nombre de constructeurs de maisons individuelles, d’entreprises et de salariés du BTP intervenants sur ces opérations, ainsi que par la mise en place d’actions locales permettant de présenter les thèmes de prévention abordés dans ce guideDévelopper la culture prévention de l’ensemble des acteurs d’une opération deconstruction de maisons individuelles. Les partenaires pourront mettre en place diverses actions de formation, d’information et de conseil pour améliorer les pratiques relatives à l’évaluation des risques et développer une approche positive de la prévention au sein des opérations de constructionMesurer les apports en prévention des actions réalisées, auprès de chaque cible ousur chaque thème traité. Des visites de chantier pourront être organisées afin d’évaluer les bénéfices obtenus par la mise en place des pratiques, à l’aide d’un outil de diagnostic conçu spécifiquement à cet effetLe Guide de bonnes pratiques en prévention des risques professionnels dédié à la construction de maisons individuelles est disponible ici.
Il y a 4 ans et 166 jours

Une étude ministérielle sur les balcons pointe la nécessité de renforcer la réglementation

L'AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton) se félicite de cette publication qui devrait permettre d'avancer concrètement sur les recommandations faites dans cette étude.L'AFCAB alerte depuis plusieurs années maintenant les pouvoirs publics sur la recrudescence des effondrements de balcons et la nécessité de renforcer la réglementation relative aux armatures des constructions en béton armé. Les défauts de qualité de ces armatures et de leur mise en œuvre peuvent en effet fragiliser les balcons et même l'habitat dans son ensemble.L'étude de l'AQC confirme la nécessité d'un meilleur contrôle de la mise en œuvre des armatures pour assurer une sécurité optimale. L'AFCAB attend maintenant que le Ministère se saisisse de cette étude et de ses recommandations pour avancer concrètement sur des mesures à prendre. Ce sont les messages que l'association a fait passer lors d'une réunion récente avec les conseillers de la Ministre délégué au Logement Emmanuelle Wargon.Pour l'AFCAB l'urgence est là, les accidents continuent et il ne faut pas attendre de nouveaux accidents et surtout des drames comme celui survenu à Angers en 2016.
Il y a 4 ans et 166 jours

Les intercommunalités approuvent l’ambition et la méthode des contrats de relance et de transition écologique

Le président de l’association a évoqué les appels de l’AdCF, depuis plusieurs années, en faveur d’une refondation en profondeur des relations contractuelles entre l’Etat et les territoires. Ce temps est aujourd’hui venu.Précisés par la circulaire du 20 novembre adressée aux préfets par le Premier ministre, les contours des futurs contrats et leur méthode d’élaboration correspondent sur de nombreux points aux attentes des intercommunalités de France. Les contrats dits « intégrateurs » doivent, pour l’association, permettre de réduire la prolifération des appels à projets nationaux et la mise en concurrence des territoires. Ils doivent mettre fin à la superposition de multiples contrats ou programmes mal coordonnés sur le terrain.« Ce n’est pas d’un contrat de plus dont nous avons besoin, mais d’une contractualisation plus globale, pluriannuelle, appuyée sur nos projets de territoire. Il faut sortir de l’action publique en miette. C’est l’ambition que porte le nouveau dispositif et nous nous y retrouvons pleinement » a rappelé Sébastien Martin, président de l’AdCF.Dans le cadre du plan France relance, caractérisé par des crédits budgétaires très supérieurs à ceux mobilisés au cours des dernières années par les services de l’État et ses opérateurs, les futurs contrats doivent être les vecteurs d’une attribution beaucoup plus efficace et équitable des financements. Ils peuvent avoir un effet levier sur la commande publique des collectivités du « bloc local » (plus de 50% de la commande publique nationale), ce qui nécessite de territorialiser les crédits et d’encourager la réalisation de plans de relance locaux.
Il y a 4 ans et 166 jours

Des associations s'inquiètent d'une remise en cause de la rénovation énergétique des logements

Dans une lettre adressée vendredi à Emmanuel Macron, les signataires, dont Nicolas Hulot, ex-ministre de l'Environnement, ont appelé au maintien de cette obligation, qui est l'une des propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC).Selon eux, "exclure, comme cela est proposé par certains ministères, l'obligation de rénovation globale du projet de loi viderait ce texte de son ambition sociale et climatique".La CCC, établie en 2019, s'était prononcée pour une rénovation énergétique obligatoire d'ici à 2040."La nécessité d'aller deux fois plus vite sur la rénovation énergétique (...) est largement documentée, notamment par le Haut Conseil pour le Climat (HCC)", rappelle la lettre.Mardi, le HCC avait affirmé que la France était à la traîne en matière de décarbonation du bâtiment et donc de son objectif de neutralité carbone en 2050.Les signataires rappellent que "28% de nos émissions de gaz à effet de serre proviennent en effet des bâtiments" et qu'"en moyenne, les dépenses pour se chauffer sont 50% plus importantes que celles causées par nos déplacements".Sont pointées du doigt notamment "les passoires énergétiques", soit des logements particulièrement énergivores et souvent précaires."Monsieur le Président, vous vous étiez engagé à faire disparaître les 5 millions de passoires énergétiques d'ici 2025. Force est de constater que les milliards du Plan de relance n'y suffiront pas", soulignent les signataires.Ils faisaient référence au plan de 100 milliards d'euros, dont 30 sont affectés à la "relance verte"."Le défi qui nous attend est bien plus grand: l'ensemble du parc de logements doit être rénové en moyenne à niveau BBC (bâtiment à basse consommation, ndlr) d'ici 2050", rappellent les associations.Les signataires, dont le Secours Catholique, la Fondation Abbé Pierre ou encore "France Nature Environnement", rappellent que "pour au moins 6,7 millions de personnes, le reconfinement est synonyme de froid et de privation".
Il y a 4 ans et 166 jours

Tarkett dévoile une solution vinyle effet parquet dédiée au bien-être des personnes âgées

Dans la lignée de son positionnement Human-Conscious Design™, Tarkett s'est engagé à concevoir des revêtements de sol qui répondent aux besoins des personnes âgées et de leurs soignants, tout en leur garantissant une meilleure qualité de vie. Grâce à des recherches et des réflexions approfondies, le Groupe s'est forgé une expertise unique dans le secteur du soin aux personnes âgées, qui lui permet aujourd'hui de concevoir des produits qui facilitent la perception de l'espace et l'orientation visuelle, deux facteurs importants pour préserver la mobilité des résidents et diminuer leur niveau de stress.Les produits Tarkett offrent désormais aux architectes la possibilité de créer des intérieurs pensés spécialement pour les personnes âgées qui sont chaleureux, confortables et stimulants, afin de garantir le bien-être de tous : résidents, personnels et visiteurs.Pour mettre au point cette nouvelle offre, Tarkett a adopté une approche fondée sur deux principes essentiels : un travail sur l'aspect visuel pour évoquer l'environnement familier de la maison et une réflexion autour du niveau des contrastes pour faciliter la perception visuelle. Des études ont en effet démontré que la vue d'objets connus avec des textures ou des motifs discrets permettait de rassurer les résidents et de stimuler leur mémoire. La compréhension de leur environnement est ainsi améliorée.Si les personnes âgées ont souvent une perception altérée des couleurs, il est toutefois possible d'accentuer les contrastes grâce à des combinaisons de coloris et de valeurs de réflexion lumineuse (LRV) adaptées. La visibilité des marqueurs visuels est ainsi améliorée, ce qui facilite l'orientation dans l'espace. La finition mate ressort comme un autre paramètre important de cette recherche, puisqu'elle limite les reflets et évite de donner l'impression que la surface est mouillée.
Il y a 4 ans et 166 jours

Rexel France distribue les applications de conception d’installations électriques et solaires de l'éditeur Trace Software

Le contrat de distribution s'inscrit dans la stratégie de Rexel France d'offrir à ses clients les outils et les services associés à l'achat des équipements électriques. La gamme elec calc™ est une offre multi fabricants moderne et unique sur le marché, largement utilisée par les bureaux de contrôles, elle dispose de la marque ELIE BT™ et est indépendante de tout fabricant.Les produits distribués par Rexel France nécessitent une application pour être dimensionnés. Avec l'arrivée de la maquette numérique, Rexel France souhaite accompagner ses clients depuis la prescription jusqu'à l'exploitation des installations. Les applications de Trace Software ont été intégrées à l'écosystème Rexel et sont directement connectées au site web rexel.fr. Cette intégration offre des gains de temps importants et une prise en compte des contraintes prix et délai très en amont des projets.« Trace Software propose aujourd'hui au marché des produits modernes très pédagogiques qui seront des outils essentiels pour nos clients. Nous avons avec Trace Software un ADN commun, le métier de l'électricien, l'innovation et la proximité avec le client. Cet éditeur de 30 ans d'existence possède une agilité remarquable qui est complémentaire au fonctionnement de Rexel France. Sa vision produit lui a permis de figurer parmi les principaux éditeurs de logiciels électrotechniques dans le monde. Collaborer avec Trace Software est parfaitement en ligne avec notre stratégie qui est d'accompagner nos clients et de leur apporter de la valeur de façon pérenne. » Indique Julien Neuschwander, Directeur Innovation et Services Rexel France.« Nos équipes et moi-même sommes extrêmement fiers de travailler avec Rexel France. Nous sortons d'une période intense de R&D qui nous permet de proposer des solutions de calcul modernes sans aucun doute les plus élaborées sur le marché. Notre offre multi fabricants et notre solution Open BIM unique ont vraiment été déterminantes dans la décision de Rexel France. Ce contrat est pour nous une belle récompense et une reconnaissance de nos travaux de R&D et de notre vision des outils de conception d'installations électriques. La signature de ce contrat s'inscrit dans notre volonté de prendre le leadership des outils de conception et calcul d'installations électriques en Europe. » indique Etienne Mullie, Président fondateur et responsable R&D de Trace Software.
Il y a 4 ans et 166 jours

Altarea confirme sa place parmi les leaders mondiaux en matière de développement durable

Avec une note globale de 90/100, le Groupe se positionne au 4ème rang dans la catégorie « foncières de commerce cotées en Europe ». Ce classement vient saluer l’ambitieuse et volontariste stratégie RSE de l’entreprise et atteste de sa performance dans la durée, le Groupe ayant une note égale ou supérieure à 90/100 depuis 2016.Altarea conserve cette année encore la note A sur la dimension Transparence, témoignant de la transparence, de fiabilité́ et de l’exhaustivité́ de son reporting RSE.« Les résultats du GRESB 2020 viennent une nouvelle fois saluer nos engagements forts et de long terme pris en matière de RSE. Ils témoignent de notre capacité à travailler sur toutes les composantes du développement durable. Réduction de notre empreinte carbone, performance énergétique des bâtiments, préservation de la biodiversité des centres, impact positif local, dialogue avec les parties prenantes … notre Groupe réfléchit à l’évolution de l’immobilier pour garantir le développement durable et soutenable des villes. Cette responsabilité, au service de l’intérêt général, se traduit dans notre démarche RSE, qui est placée au cœur de notre stratégie business » indique Alain TARAVELLA, Président-Fondateur d’Altarea« Dans une année marquée par un contexte particulier, nous sommes extrêmement fiers d’obtenir ces résultats, qui témoignent d’un engagement sans faille de nos équipes Commerce et transverses, ainsi que d’une gestion exemplaire, rigoureuse et sur le long terme des enjeux RSE. Nous poursuivrons nos efforts sur la base des enjeux clés de notre politique RSE : le bas carbone, la biodiversité et l’impact positif sur nos territoires » déclare Nathalie BARDIN, Directrice du marketing stratégique, de la RSE, et de l’innovation.« Ces résultats sont une belle récompense pour toutes les équipes d’Altarea, fortement mobilisées autour des enjeux RSE, au service d’une réflexion sur la ville humaine et durable de demain. Notre démarche RSE appelée « Tous engagés ! » nous inscrit dans des actions concrètes et responsables envers nos clients, les villes et nos collaborateurs. Plus que jamais Altarea s’affirme comme un acteur exemplaire en la matière dans son secteur » conclut Eléonore DEVAUD, directrice RSE d’Altarea.Cette année encore, le Groupe a participé de manière volontaire, aux réflexions sur la résilience des villes. Face à des enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux de plus en plus prépondérants, la ville de demain doit se transformer pour garantir toujours une haute qualité de vie à ceux qui l’habitent aujourd’hui comme à ceux qui y résideront demain.*GRESB : Global Real Estate Sustainability Benchmark, classement international de référence qui évalue chaque année la performance et la politique RSE des entreprises du secteur immobilier. En 2020, le GRESB a analysé les performances de 1 200 sociétés immobilières représentant plus de 96.000 actifs au total.**Green Star : plus haute catégorie du classement GRESB
Il y a 4 ans et 166 jours

Le chantier du métro du Grand Paris a pris plusieurs mois de retard à cause de la crise sanitaire

"En cette période de second confinement, les équipes de la Société du Grand Paris et des entreprises partenaires sont mobilisées sur la poursuite des travaux, afin de ne pas augmenter les retards, de l'ordre de trois à huit mois, engendrés par le confinement du printemps", a relevé le président de la SGP Thierry Dallard, cité dans un communiqué.Le responsable n'a pas précisé de nouveau calendrier prévisionnel pour la mise en service des 200 km de métro automatique que la SGP doit mettre en service par étapes, théoriquement entre 2024 et 2030."Le projet se poursuit et s'accélère année après année, au fur et à mesure des nouveaux contrats", a néanmoins relevé M. Dallard.Le conseil de surveillance de la SGP a adopté le budget 2021, qui prévoit 4,6 milliards d'euros d'investissements, dont 4,2 milliards pour les travaux du Grand Paris Express et 400 millions pour d'autres investissements dans les transports publics franciliens.Côté recettes, la SGP, qui construit le métro en empruntant, compte disposer l'an prochain de 800 millions d'euros grâce au produit de diverses taxes, selon le communiqué.Le conseil de surveillance a également acté une modification du projet de la future ligne 18 Orly-Versailles, avec la suppression d'un viaduc entre le CEA de Saclay (Essonne) et Magny-les-Hameaux (Yvelines), qui sera remplacé par un tracé au sol moins cher.
Il y a 4 ans et 168 jours

Les Sénateurs rejettent unanimement la remise en cause des tarifs photovoltaïques

Solidarité Renouvelables, qui réunit plus de 300 acteurs de la filière, salue le soin avec lequel les Sénateurs de tout bord ont, pour pallier l’absence d’étude d’impact de la mesure par le Gouvernement, pris le temps d’apprécier sans préjugés les équilibres du secteur et les conséquences d’un reniement par l’État de sa signature.Il en ressort que :La confiance dans la signature de l’État est la clef de voûte du système. Sans elle, tout s’écroule, bien au-delà du solaire. Comment les acteurs des autres filières, et notamment l’hydrogène, le biogaz ou l’éolien offshore, pourraient-ils investir en confiance sur la base d’autres tarifs pareillement garantis par l’État ? La grande majorité des centrales visées par le projet gouvernemental a désormais des rendements financiers modiques, inférieurs à ceux des autres types de projets lancés ou soutenus par l’État (autoroutes, centrales nucléaires, etc.).Réviser les tarifs ferait peser un risque de solvabilité d’autant plus inopportun sur les acteurs concernés qu’ils sont déjà fragilisés par la crise : PME, agriculteurs, territoires ruraux…. Le Gouvernement est conscient de la nocivité de son projet puisqu’il fait le choix de ne cibler qu’une partie des contrats, transformant sa mesure en une forme d’expropriation.Solidarité Renouvelables réaffirme donc qu’il est nécessaire, dans l’intérêt de tous – finances publiques, entreprises, territoires, agriculteurs, entreprises, financeurs et citoyens attachés à l’environnement – de mettre rapidement un terme à cette révision brouillonne des tarifs.Au moment où la France perd quatre places dans le classement de novembre 2020 sur l’attractivité des pays en matière d’énergies renouvelables, où la Ministre de la Transition Écologique Barbara Pompili promeut la création d’un délit d’écocide, et où le Conseil d’État donne trois mois à la France pour prouver la réalité de son action pour le climat, ne sapons pas la confiance dans l’électricité renouvelable, énergie préférée des Français. Vous pouvez retrouver le manifeste du collectif et la liste des 300 signataires sur: https://solidariterenouvelables.org/
Il y a 4 ans et 168 jours

Les CSE pourront se réunir à distance jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire

Cette ordonnance élargit, à titre dérogatoire et temporaire, la possibilité de recourir à la visioconférence pour tenir les réunions des CSE jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire, actuellement fixée au 16 février.En effet, en l'absence d'accord entre l'employeur et les élus du comité, le recours à la visioconférence est actuellement limité à trois réunions par an."Dans le contexte d'état d'urgence sanitaire, ces mesures présentent le double avantage d'assurer la continuité du fonctionnement des instances, et notamment de permettre leur consultation sur les décisions de l'employeur induites par la crise sanitaire", souligne le gouvernement.Cependant, l'ordonnance permet aux élus de s'opposer à une réunion à distance lorsqu'il s'agit de consulter le CSE sur des sujets sensibles (licenciements économiques collectifs, mise en oeuvre des accords de performance collective, des accords portant rupture conventionnelle collective et de l'activité partielle de longue durée).Dans ce cas, la réunion se tient en présentiel, "sauf si l'employeur n'a pas encore épuisé sa faculté de tenir trois réunions annuelles par visioconférence, qu'il tient du droit commun", selon le gouvernement.Par ailleurs, le Conseil des ministres a adopté une autre ordonnance prolongeant l'indemnisation des chômeurs arrivant en fin de droits après le 30 octobre, c'est-à-dire après le début du confinement, comme l'avait annoncé Jean Castex.La durée de cette prolongation sera déterminée par arrêté de la ministre du Travail et de l'Emploi, et ne "peut dépasser le dernier jour du mois civil au cours duquel intervient la fin de l'état d'urgence sanitaire", donc le 28 février pour l'instant.
Il y a 4 ans et 169 jours

L'Insee révise en hausse, à +18,7%, le rebond de l'économie française au troisième trimestre

Le PIB reste toutefois "inférieur de 3,9% à son niveau du troisième trimestre 2019", précise l'Institut national de la statistique, qui explique notamment cette révision par une réévaluation de la consommation des ménages et de l'investissement en services.Ainsi, sur cette période marquée par le déconfinement et les vacances d'été, les dépenses de consommation des ménages ont "vivement" augmenté de +17,9%, après leur chute de 11,4% au deuxième trimestre, durant lequel le PIB avait plongé de 13,8%.Elles se rapprochent ainsi de leur niveau d'avant-crise, puisqu'elles sont en baisse de 1,3% sur un an, souligne l'Insee.Malgré un rebond conséquent de 23,9%, l'investissement reste lui en retrait de 4,8% par rapport à son niveau d'il y a un an.Avec une hausse des exportations supérieure à celle des importations, le commerce extérieur contribue lui positivement à la croissance du troisième trimestre, tandis que la variation des stocks y contribue négativement (-1,5 point).Fait notable, au troisième trimestre le revenu des ménages connaît sa plus forte hausse trimestrielle depuis 1983, souligne l'Insee, en hausse de 3,7%, après un recul de 2,6% au deuxième trimestre. Ces revenus sont aussi 1% supérieurs à ceux enregistrés sur la même période de l'an dernier.Avec la baisse du recours au dispositif du chômage partiel et le rebond de l'emploi, les salaires perçus par les ménages sont ainsi repartis à la hausse (+13,1%). Mais dans le même temps, les prestations sociales ont reculé de 6,2% même si elles "restent à un niveau élevé par rapport à leur niveau d'avant la crise sanitaire" (+5% sur un an), souligne l'Insee.Enfin, le taux de marge des entreprises s'est redressé au troisième trimestre à 30,3%, contre 27,8% au deuxième trimestre.Mais ce fort rebond de l'économie française ne sera qu'un feu de paille. La deuxième vague de l'épidémie, avec le couvre-feu puis le reconfinement décidé par le gouvernement, ont fait replonger l'activité depuis octobre.Elle s'affiche en recul de 13% en novembre par rapport au niveau d'avant crise, estime l'Insee, qui s'attend ainsi à une rechute du PIB entre 2,5 et 6% au dernier trimestre.Autre sombre perspective, le moral des ménages est tombé en novembre à son plus bas niveau depuis la crise des gilets jaunes en 2018.Pour l'ensemble de l'année 2020, l'Insee table sur une récession comprise entre 9 et 10%, comme la Banque de France. Le gouvernement anticipe lui une chute du PIB de 11% et a revu à la baisse sa prévision de rebond l'an prochain, à 6% au lieu de 8% précédemment, du fait du maintien de restrictions sanitaires au moins une partie de l'année 2021.
Il y a 4 ans et 169 jours

La baisse des permis de construire de logements se confirmait en octobre, avant le reconfinement

Entre août et octobre, 93.100 logements ont été commencés, soit une progression de 3,8% par rapport à la même époque de l'an dernier, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement.Mais les permis de construire, qui permettent d'évaluer le niveau futur de la construction, ont vu leur nombre baisser de 9,0% en un an, à 102.900.Ces deux évolutions confirment celles observées un mois plus tôt, pour la période comprise entre juillet et septembre. Déjà, un léger rebond des mises en chantier avait accompagné une déprime persistante des permis.Le logement neuf peine donc à se redresser après un effondrement lors du deuxième trimestre, marqué par un strict confinement décrété par les autorités contre la propagation du coronavirus.A l'époque, les mises en chantier, qui indiquent quels logements ont concrètement commencé à être construits, avaient vu leur nombre reculer de près d'un quart. Quant aux permis de construire, leur quantité avait chuté de près de moitié.La situation ne s'est donc pas retournée pleinement dans les mois qui ont suivi, malgré un déconfinement général. Et les chiffres d'octobre ne prennent quasiment pas en compte le nouveau confinement, instauré à la toute fin de ce mois-là et destiné à durer presque jusqu'à la fin de l'année.Sur l'ensemble des douze mois écoulés à fin octobre, le nombre de mises en chantier recule en effet de plus de 5% et celui des permis de plus de 12%.
Il y a 4 ans et 169 jours

Les ingénieristes inquiets et fragilisés par une activité économique en berne

Massivement réorganisées autour du télétravail, deux entreprises sur trois ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Alors que 40% de la profession est confrontée à un allongement des délais de paiement, 35% des sondés déclarent anticiper des difficultés de trésorerie d'ici douze mois.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Le confinement que nous connaissons aujourd'hui a peu à voir avec celui de mars dernier. Si des nouvelles mesures d'assouplissement ont été annoncées par le président de la République, force est de constater que l'activité économique se poursuit en demi-teinte et que la relance se fait toujours attendre. Les ingénieristes ont basculé massivement en télétravail pour poursuivre leurs projets, mais voient leurs carnets de commande s'amenuiser et ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Les incertitudes quant à l'avenir restent fortes et les projets tardent à être lancés par les donneurs d'ordres publics et privés. C'est vrai dans le secteur industriel où, malgré le plan de relance, nos entreprises sont touchées de plein fouet par les crises automobile et aéronautique. Ça l'est aussi de la commande publique, où le bloc local doit mieux jouer son rôle de support de la relance. »Une réorganisation rapide en télétravail au service de la relance…Depuis le 28 octobre, les entreprises d'ingénierie ont massivement transféré leurs effectifs en télétravail, dans le respect du nouveau protocole sanitaire et afin de lutter contre la propagation de la pandémie. Avec 58% de leurs collaborateurs en distanciel et 13% en mission chez leurs clients (sites industriels, chantiers…), les ingénieristes accueillent ponctuellement sur site moins d'un quart de leurs ingénieurs et techniciens qui nécessitent d'avoir accès à des outils et équipements spécifiques. … qui se heurte au ralentissement de l'activité et au manque de visibilitéMalgré cette réorganisation, les sociétés d'ingénierie souffrent d'une baisse continue des prises de commande. Elles sont 65% dans ce cas, contre 58% le mois dernier. Le pôle industrie est le plus touché, avec 73% des répondants concernés, contre 57% pour le pôle construction. De même, 62% des sondés estiment que leur activité sera en baisse au premier trimestre 2021 par rapport à l'an dernier. Une proportion qui atteint 72% chez les ingénieristes du secteur industriel particulièrement impactés par la baisse d'activité des marchés aéronautique et automobile.Une situation complexe qui impacte l'optimisme des ingénieristes : 75% des répondants pensent que le redémarrage de l'activité sera lent sur un an au moins. C'est presque dix points de plus qu'au mois dernier.Allongement des délais de paiement, sous-occupation… des difficultés qui s'accumulentAlors qu'une entreprise sur deux pensait occuper ses équipes pleinement au mois de novembre, le reconfinement est venu doucher les espoirs. 38% seulement déclarent avoir des effectifs qui travaillent à 100%. C'est dix points de moins qu'en octobre. Une fois de plus, les entreprises d'ingénierie industrielle sont les plus touchées et seules 20% d'entre elles fonctionnent à leur régime nominal.Par ailleurs, 40% des répondants sont désormais confrontés à un allongement des délais de paiement, contre un tiers en octobre. Pour 13% d'entre eux, les retards s'échelonnent désormais entre +30 et +60 jours. Des situations critiques, qui peuvent notamment expliquer que 35% des sondés anticipent des difficultés de trésorerie dans les douze prochains mois. Syntec-Ingénierie, qui appelle à un rééquilibrage des relations contractuelles, souligne qu'en France, 25 % des défaillances de PME et TPE sont dues à des retards de paiement, selon le Cabinet de recouvrement ARC.
Il y a 4 ans et 169 jours

Christine Gilliot Directrice opérationnelle « Sols & Revêtements » au sein du CSTB

Entrée au CSTB en 1999, elle connait particulièrement bien les enjeux liés aux produits, solutions et process relatifs aux revêtements et systèmes de sols. Au sein de l'Établissement, elle a dirigé successivement plusieurs divisions travaillant sur les innovations et performances de composants entrant dans les systèmes de sols et revêtements.En charge de la Direction Sols & Revêtements, dont le périmètre concerne tant les procédés, que les revêtements de sols intérieurs et extérieurs, et les revêtements muraux, elle pilote à présent l'ensemble des travaux menés autour de ces sujets, qu'il s'agisse de Recherche & Expertise, d'évaluation, d'essais ou de certification.La Direction opérationnelle Sols & RevêtementsLes matériaux et systèmes conçus dans le domaine des sols et des revêtements, les process de mise en œuvre associés, contribuent au confort thermique, acoustique et à l'étanchéité, essentiels à la performance globale et à la durabilité de l'ouvrage.Au-delà de cette dimension technique, d'autres performances comme la compacité de l'ouvrage, la simplicité de mise en œuvre et l'esthétique, sont également à considérer. Les enjeux et axes de développement liés aux sols et revêtements sont donc multiples.Au sein du CSTB, une Direction opérationnelle dédiée accompagne les acteurs de la construction dans la conception, l'innovation, le développement des performances et le choix de ces matériaux, systèmes et procédés : la Direction Sols & Revêtements, nouvellement créée, qui rassemble plusieurs activités complémentaires :Recherche & ExpertiseÉvaluationEssaisCertificationPour la piloter, Etienne Crépon, Président du CSTB, a choisi Christine Gilliot, responsable de la division Revêtements, Etanchéité, Enduits et Colles depuis 2010.Le parcours de Christine GilliotIngénieur de formation, diplômée de l'École Nationale Supérieure de Chimie de Lille (ENSCL) en 1994 - option matériaux, Christine Gilliot commence sa carrière dans une filiale du groupe Lafarge en Recherche et Développement.Elle intègre le CSTB en 1999, en tant qu'ingénieur évaluation, dans le domaine des Enduits, Mortiers et Colles. À partir de 2001, elle prend successivement la responsabilité de plusieurs divisions, dans le domaine des sols et des revêtements, dans lequel elle développe, au fil des années, une solide expertise. Depuis 2010, elle dirigeait la Division Revêtements, Etanchéité, Enduits et Colles.Aux commandes de la Direction opérationnelle Sols & Revêtements, elle pilotera désormais l'ensemble des travaux menés dans ce domaine, au service des acteurs, fédérant une équipe de 50 ingénieurs et techniciens autour des enjeux d'innovation et de performance associés. S'agissant des systèmes de sols, les équipes travailleront notamment sur des enjeux-clés pour la performance et la sécurité :La compacité, pour réduire l'épaisseur des systèmes, en combinant les différentes performances visées : thermique, acoustique, étanchéité ;La glissance des sols, en intérieur mais aussi en extérieur comme dans les gares, parkings, etc., un enjeu de sécurité clé, dans lequel le CSTB accompagne notamment les Maîtres d'ouvrage.« Je suis ravie de prendre la responsabilité de la Direction opérationnelle Sols & Revêtements du CSTB. Les matériaux, systèmes et procédés développés dans ce domaine participent à la performance globale et à la durabilité de l'ouvrage. La Direction Sols & Revêtements, à travers ses activités, accompagne la filière dans la prise en compte de ces enjeux clés, et globalement nos clients, les fabricants, dans leurs démarches d'innovation et d'amélioration des performances, et les Maitres d'ouvrage, dans le choix des matériaux et systèmes les plus pertinents pour leurs projets. » Christine Gilliot - Directrice opérationnelle « Sols & Revêtements » - CSTB
Il y a 4 ans et 169 jours

Cellodrain® Ultra, première solution d'isolation et de drainage des parois enterrées en polystyrène expansé graphité

Isolation thermique : grâce aux qualités du polystyrène expansé graphité, Cellodrain® Ultra bénéficie d’une excellente performance thermique (lambda λ de 0.031 W/(m.K) et permet d’atteindre des résistances thermiques très élevées, jusqu’à 6,45 m².K/W, en limitant les épaisseursDrainage des eaux pluviales : disposant d’une surface à ergots protégée par un géotextile, Cellodrain® Ultra assure une fonction de drainage performanteProtection de l’étanchéité : les bords feuillurés 4 côtés des panneaux forment une protection optimale de l’étanchéité du supportOutre sa performance thermique élevée, Cellodrain® Ultra offre des performances mécaniques permettant un enfouissement jusqu’à 3 mètres de profondeur. Il convient ainsi parfaitement pour la construction de bâtiments d’habitation ou les ERP (Établissements Recevant du Public). Grâce à une finition gaufrée sur la face arrière, Cellodrain® Ultra peut être posé facilement sur les murs porteurs en béton ou en maçonnerie (NF DTU 20.1). Véritable gain de temps sur le chantier, la solution Cellodrain® Ultra permet à la fois de réduire les ponts thermiques du plancher bas, les déperditions des parois enterrées (RT 2012 et RE 2020) et les risques de condensation sur les parois intérieures, sans avoir à poser plusieurs éléments. Il évite également l’accumulation d’eau contre les murs et permet de préserver le bâti sur le long terme. Pour proposer un nouveau produit à la fois performant thermiquement et capable d’assurer les fonctions de drainage et de protection, HIRSCH Isolation a associé plusieurs atouts pour proposer une solution unique.Cellodrain® Ultra Caractéristiques techniquesÉpaisseur (mm) 80 100 120 140 160 180 200R (m².K/W) 2,55 3,20 3,85 4,50 5,15 5,80 6,45Dimensions : 1 250 mm x 600 mm - Conductivité thermique : 0.031 W/(m.K) - Comportement au feu : Euroclasse ECellodrain®Ultra & Cellocem® Ultra : une solution globale pour les murs en soubassementPour assurer une parfaite continuité d’isolation thermique des murs enterrés jusqu’à l’isolation par l’extérieur des façades, HIRSCH Isolation propose une solution prête à l‘emploi avec les panneaux Cellocem® Ultra. Seul complexe d’isolation et de protection des soubassements certifié ACERMI en totalité (isolant + parement), Cellocem® Ultra associe un isolant en polystyrène expansé graphité et un parement en plaque ciment. Totalement imputrescibles, les panneaux Cellocem® Ultra assurent isolation et protection mécanique en une seule opération !L’association de Cellodrain® Ultra en partie enterrée et de Cellocem® Ultra en soubassement assure une solution optimale pour l’isolation et la protection des constructions. Fabriqué en France, Cellocem® Ultra est compatible bâtiment passif et BEPOS.
Il y a 4 ans et 169 jours

Après 33 ans à la tête de Profils Systèmes, Christophe Derré nomme Aymeric Reinert Directeur Général

« C'est un plaisir et une fierté pour moi de vous annoncer la nomination d'Aymeric Reinert au poste de Directeur Général à compter du 1er Janvier 2021. Depuis 17 ans que nous travaillons ensemble étroitement, nous avons, grâce à vous tous, fait évoluer PROFILS SYSTEMES tant en taille qu'en efficacité. Nous avons su rester toujours et de loin les plus innovants et les plus « iconoclastes » au niveau des produits comme du marketing dans notre métier. Je reste à ses côtés en soutien et toujours à votre disposition. » C'est ainsi que s'est exprimé Christophe Derré auprès des salariés, clients et partenaires de Profils Systèmes en cette fin d'année 2020.Créée en 1987 par Christophe Derré, la société gammiste aluminium, spécialisée dans la conception de profilés pour le bâtiment et plus particulièrement la menuiserie, a commencé avec deux salariés et une comptable à mi-temps dans un local de 1000m2 à Castries dans l'Hérault. En 1992, elle lance les premiers concepts de gammes de menuiseries « design », où la recherche de l'esthétique et de la cohérence créée une vraie rupture avec les produits du marché. En 1995, elle cherche à intégrer les phases amont de fabrication et commence par l'isolation thermique, puis le laquage. En 1998, Christophe Derré, soucieux de poursuivre l'intégration industrielle et de faire du « MADE IN FRANCE », décide de franchir le pas de l'extrusion des profilés aluminium. PROFILS SYSTEMES rejoint alors le groupe ALIPLAST pour démarrer ensemble cette nouvelle aventure. Parallèlement, la politique d'innovation continue et le design devient LA culture d'entreprise.En 2003, Aymeric Reinert vient renforcer le Bureau d'Études et en prend la direction. La presse d'extrusion démarre la même année, ainsi qu'une augmentation des capacités de laquage avec une nouvelle ligne verticale. L'entreprise poursuit son très fort développement. Pour y faire face, Aymeric Reinert est nommé Directeur Général Adjoint en 2014 tout en restant Directeur du Bureau d'Études. C'est la parfaite application de la volonté du groupe CORIALIS d'un management stable et expérimenté dans ses filiales.
Il y a 4 ans et 169 jours

Le pétrolier Repsol va investir 18,3 milliards d'ici à 2025 pour se décarboner

Ce plan stratégique du groupe prévoit "une accélération de la transition énergétique" pour "continuer à avancer avec succès vers l'objectif de zéro émission nette en 2050", a expliqué la société.Cette date de 2050 a été retenue par l'Union européenne et plusieurs pays comme le Japon pour atteindre la neutralité carbone.Sur le montant investi durant les cinq prochaines années, Repsol affectera 5,5 milliards, soit près d'un tiers du total, à des projets à faible empreinte carbone.Ce plan ne générait pas d'enthousiasme sur le marché: à 12h30 (11h30 GMT), le titre Repsol reculait de 4,26% à 8,37 euros à la Bourse de Madrid.Le pétrolier a reconnu qu'il lançait ce plan dans "un contexte de difficulté historique" en raison de la pandémie de coronavirus, qui a provoqué une chute des prix du pétrole, du gaz et de la demande, largement responsable des pertes cumulées du groupe de 2,6 milliards d'euros entre janvier et septembre 2020.Face à la crise, l'entreprise a rappelé qu'elle prévoyait d'économiser jusqu'à 2,4 milliards d'euros durant l'exercice afin de disposer d'un "flux de trésorerie opérationnel positif".Dans le cadre de ce plan, Repsol, qui développe de nombreux projets de parcs éoliens et photovoltaïques en Espagne et au Chili, renforcera la production d'énergie à faibles émissions, en s'appuyant notamment sur "l'acquisition d'actifs internationaux pour stimuler l'expansion hors d'Espagne".L'objectif est "d'être un opérateur mondial, avec une capacité de production qui atteindra 7,5 gigawatts (GW) en 2025 et 15 GW en 2030", dit la compagnie dans son communiqué.
Il y a 4 ans et 169 jours

Eurovia et ElectReon réalisent en Allemagne un projet pilote de route à recharge électrique par induction

La question de la recharge en énergie est essentielle au développement de l'électromobilité. La technologie de charge inductive d’ElectReon directement intégrée à la chaussée permettra une charge sans contact à la fois lorsque le véhicule est à l'arrêt et pendant la conduite.Ce projet est une première en Allemagne. Il vise à équiper dans un premier temps, début 2021, les voiries du centre de formation d’EnBW sur une longueur totale de 100 mètres (90 mètres de charge dynamique / 10 mètres de charge statique). Dans un second temps, 600 mètres de voirie publique reliant le centre de formation à la ville de Karlsruhe seront construits. La société de transport public de Karlsruhe a l'intention d'utiliser ce système pour charger ses bus.Le partenariat entre Eurovia et ElectReon permet d’offrir des solutions complètes de routes à induction : Eurovia assure la promotion de la solution ElectReon en l’intégrant dans son offre « produits » et prend en charge la conception, la construction et l’entretien des plateformes de recharge. ElectReon fournit, pour sa part, la technologie de recharge, y compris l'installation, l'exploitation et la maintenance. Le projet implique également VIA IMC (filiale d’Eurovia et de VINCI Highways) pour la conception du projet avec ElectReon et Omexom (VINCI Energies) pour les raccordements électriques.Ce projet fait suite à une collaboration précédente dans le cadre de prototypes en Suède et en Allemagne où Omexom avait également participé.
Il y a 4 ans et 169 jours

Le gouvernement confirme qu'il n'y aura pas de baisse de financement de l'apprentissage à la rentrée 2021

Réunis lundi soir avec les partenaires sociaux, Jean Castex et Elisabeth Borne "leur ont indiqué que le niveau de prise en charge des contrats d'apprentissage ne baissera pas à la rentrée 2021" afin de "maintenir la bonne dynamique de l'apprentissage" pendant la crise. Mais la question reste posée pour les années suivantes car l'équilibre financier du système "reste un objectif", souligne le ministère.A la suite de la réforme de l'apprentissage de 2018, le financement des CFA a été transféré des régions aux branches professionnelles et repose depuis cette année sur une prise en charge de chaque contrat d'apprentissage: à chaque fois qu'un jeune signe un contrat, le centre perçoit une somme - appelée "coût contrat" - censée couvrir ses frais pédagogiques, selon un barème national par diplôme établi par France Compétences, l'instance en charge du financement de l'alternance et de la formation professionnelle.France Compétences a ainsi validé plus de 20.000 coûts de formation, souvent proposés par les branches (5.000 euros pour un CAP maçon, 8.000 euros pour un ingénieur de l'école des Mines de Saint-Etienne, etc.). Mais les dépenses se sont envolées car l'apprentissage a atteint un niveau record en 2019 (+16% de contrats) qui devrait être maintenu, voire dépassé en 2020 grâce aux primes à l'embauche (5.000 euros pour un apprenti mineur, 8.000 euros pour un majeur) décidées cet été.Parallèlement, les ressources ont diminué du fait de la crise - la contribution formation des employeurs étant assise sur la masse salariale -, ce qui a contribué à détériorer la situation de France Compétences. Celle-ci s'est vue en conséquence allouer une dotation de 750 millions d'euros pour équilibrer son budget en 2021.Pour rétablir structurellement l'équilibre, un rapport Igas-IGF avait proposé cet été de diminuer le niveau de ces "coûts contrats" dès 2021, ce qui inquiétait les CFA."Or, compte tenu des contraintes opérationnelles et de coûts supplémentaires considérables que fait peser la crise sur les CFA, le gouvernement a décidé (...) d'attendre les remontées des comptabilités analytiques pour commencer plus progressivement l'exercice. Dans ce cadre, il appartiendra au conseil d'administration de France Compétences de déterminer les modalités précises et le calendrier de la convergence", explique le ministère dans son communiqué.
Il y a 4 ans et 169 jours

Le Conseil d'État annule deux points très contestés de la réforme de l'assurance-chômage

Cette décision n'a cependant pas d'impact immédiat puisque, du fait de la crise économique, le gouvernement a suspendu l'application de la réforme, décidée par décret en juillet 2019, jusqu'au 1er avril 2021.Dans un communiqué, la ministre du Travail Elisabeth Borne estime d'ailleurs que les concertations en cours avec les partenaires sociaux pour tenir compte de la crise "permettront de proposer des solutions conformes à la décision du juge".Mais, dans sa décision, le Conseil d'Etat annule le point le plus contesté par les syndicats de la réforme rédigée par l'ex-ministre du Travail Muriel Pénicaud: les modalités de calcul de l'allocation. Il estime que cela "porte atteinte" au principe d'égalité entre allocataires.Pour une raison de forme, il annule aussi l'instauration d'un bonus-malus sur la cotisation chômage de certaines entreprises, critiquée par le patronat.La juridiction n'a en revanche pas remis en cause le durcissement des conditions d'affiliation ni l'introduction d'une dégressivité pour les hauts revenus, également critiqués par les syndicats.Les syndicats se sont unanimement félicités de "cette première victoire"."Il faut amplifier la lutte pour obtenir l'annulation totale d'une réforme profondément injuste", a réagi la CGT; pour la CFDT, le gouvernement "doit plus que jamais renoncer à sa réforme".La disposition annulée est au coeur de la philosophie de la réforme voulue par Emmanuel Macron qui jugeait que le mode de calcul actuel n'incite à pas à la reprise d'un emploi stable.La réforme prévoyait que le salaire journalier de référence, base de l'allocation mensuelle, soit calculé non plus sur le total des salaires divisé par les jours de travail des 24 derniers mois mais sur ce total divisé par l'ensemble des jours, y compris non travaillés, de la période.Dans l'esprit du gouvernement, cette modification visait à corriger un système plus favorable, pour le même nombre d'heures de travail, à celui qui a des contrats fractionnés par rapport à celui qui a un temps partiel en continu.Mais cela pénalisait fortement les "permittents", ceux souvent précaires qui alternent chômage et contrats courts."Du fait des règles qui ont été retenues, le montant du salaire journalier de référence peut désormais, pour un même nombre d'heures de travail, varier du simple au quadruple", constate le Conseil d'Etat. "Il en résulte (...) une différence de traitement manifestement disproportionnée au regard du motif d'intérêt général poursuivi".Selon l'Unedic, avec la réforme, 840.000 nouveaux entrants toucheraient une allocation plus faible qu'avec les règles actuelles. La baisse serait en moyenne de 24% (de 902 à 689 euros net par mois). Leur indemnisation durerait en revanche 18 mois au lieu de 12.Bonus-malus reporté ?L'autre point annulé par le Conseil d'Etat est l'instauration d'un bonus-malus sur la cotisation d'assurance-chômage payée par les entreprises dans sept secteurs grands consommateurs de CDD courts et d'intérim (hébergement-restauration, agroalimentaire, transports, plasturgie...).Mais elle est annulée pour une raison mineure, le juge estimant que le dispositif de bonus-malus renvoyait, pour certaines modalités, à un arrêté là où il aurait fallu un décret.La fédération de la plasturgie s'est dite cependant satisfaite de cette décision et demande au gouvernement de "renoncer au nom de la sauvegarde économique à une nouvelle mise en place pour les prochaines années".Dans les discussions en cours, le gouvernement a proposé de reporter d'un an l'entrée en vigueur du bonus-malus, qui ne s'appliquerait que sur la cotisation 2023.Côté chômeurs, le ministère du Travail a proposé de revenir sur le passage de 4 à 6 mois de travail (sur les 27 derniers) pour ouvrir des droits, mais uniquement pour les jeunes de moins de 26 ans.Le seuil de rechargement des droits passerait de six mois (prévus dans la réforme) à quatre.Quant à la dégressivité pour les demandeurs d'emploi ayant eu auparavant un salaire de plus de 4.500 euros brut, celle-ci, d'un montant de 30%, interviendrait au bout de 8 mois au lieu de 6.Ces aménagements n'ont pas du tout satisfait les syndicats, et une prochaine réunion est prévue début décembre.
Il y a 4 ans et 169 jours

Le polyuréthane est léger et mince

Il y a 4 ans et 170 jours

Les travaux de rénovation énergétique continuent-ils réellement pendant le reconfinement ?

Sur le terrain, tous les acteurs de la chaîne se mobilisent pour que cette poursuite de l'activité soit une réalité. Parmi eux, Hellio, spécialiste des travaux d'économies d'énergie pour l'habitat, du conseil à la réalisation, en passant par l'obtention des aides, met tout en œuvre pour maintenir la réalisation des chantiers à un rythme normal. Un enjeu qui a toute son importance puisque les travaux de rénovation énergétique sont placés au coeur du plan de relance.La période pourrait être propice : confinés chez eux, les Français peuvent mesurer l'importance d'un logement confortable, qui plus est à l'approche de l'hiver où les factures de chauffage risquent de s'envoler ! Mais qu'en est-il réellement ? Les demandes de travaux explosent-elles en cette période ou au contraire ralentissent-elles ? Les particuliers acceptent-ils cette fois d'ouvrir leurs portes aux artisans pour isoler leurs combles ou changer leur chauffage, contrairement au premier confinement qui avait suscité beaucoup de méfiance et d'inquiétude ?Pour répondre à toutes ces interrogations, Hellio a pris la température sur le terrain auprès de ses entreprises de travaux partenaires aux quatre coins de la France.Une activité quasi normale pour le secteur du résidentiel individuel mais des inquiétudes pour les mois à venirContrairement au premier confinement, les entreprises de travaux, qu'elles soient spécialistes de l'isolation ou du chauffage, n'ont subi aucun arrêt brutal de leur activité. Autorisées à travailler, elles ont parfaitement intégré le protocole sanitaire qui fait désormais partie de leurs habitudes, au même titre que leurs équipements de protection et de sécurité.Du côté des chantiers déjà programmés, ils se déroulent quasiment tous normalement, même si certaines entreprises ont quand même accusé une légère baisse de l'ordre de 10%, essentiellement au début du reconfinement ou pour la clientèle des personnes à risque.« A l'annonce du reconfinement, nous avons eu quelques rendez-vous annulés à la demande des particuliers qui préfèrent attendre la fin du confinement pour réaliser leur travaux », indique Pierre Le Mouhaer Marty, gérant de la société Habitat breton (35).« Nous ne sommes pas dans la même situation que la première fois car nous avons le droit de travailler. Les clients sont moins fermés, nous arrivons à travailler. Nous enregistrons quand même quelques reports de chantiers chez les personnes âgées, à la demande de leurs enfants qui nous interdisent l'intervention », témoigne Joël Maizel, gérant d'Isoltoit 2EF et Chauff&Vous (61).La situation est donc très différente du premier confinement qui avait vu bon nombre d'entreprises contraintes de mettre leur personnel au chômage partiel. Cette fois, les particuliers ne refusent pas les interventions, y compris lorsqu'elles impliquent de pénétrer au sein du domicile pour le remplacement d'une chaudière par exemple.Certaines entreprises relèvent même que cette période est plus propice à la réalisation de travaux de rénovation énergétique grâce au télétravail.« Les clients ont plus de disponibilités car ils sont en télétravail. Les gens profitent d'être chez eux pour penser à leurs travaux », précise Amaury Du Tertre, gérant de Logic Energy (63).En revanche, plusieurs artisans font part de leurs inquiétudes pour les mois à venir car du côté des visites techniques, la situation n'est pas aussi idyllique.« Je suis un peu plus inquiet pour l'avenir car beaucoup de particuliers demandent le report des visites techniques après le confinement. Mon visiteur technique n'est pas à plein rendement en ce moment », tempère Mehdi Kraiem, dirigeant de l'entreprise Isopro Nord Est (51).« Nous payons actuellement le premier confinement, le volume d'affaires actuel nous permet à peine de faire tourner l'entreprise, mais ne suffit pas. L'activité commerciale que l'on ne peut pas mener avec l'annulation des salons par exemple aura des répercussions sur les chantiers du début d'année 2021 », s'inquiète Laurent Garrido, PDG de DER Développement et Énergies Renouvelables (16).« Pour les particuliers, c'est presque plus facile d'intervenir car ils sont chez eux », constate Alexis Delacommune, directeur d'ERTI – Etudes Réalisations de Travaux d'Isolation (75).Une activité en baisse pour l'habitat collectifEn revanche, le secteur de l'habitat collectif se heurte à davantage de difficultés.La plupart des assemblées générales en copropriétés n'ont pas lieu en présentiel du fait du confinement lié au COVID-19 et le format digital n'est pas perçu comme une solution de remplacement efficace. Ces reports empêchent ainsi la prise de décision de faire des travaux. Sur les mois de septembre à décembre, Hellio constate que le nombre de chantiers acceptés a été divisé par deux alors que cela devrait être une période de relance et de décision sur des chantiers d'isolation. Cette tendance devrait s'inverser très rapidement dès que la reprise des assemblées générales en présentiel sera rendue possible.Un impact mesuré des dernières annonces gouvernementales concernant MaPrimeRénov'L'ensemble des artisans sont unanimes pour déclarer qu'il est encore trop tôt pour évaluer l'impact des dernières annonces gouvernementales, qui ne sont pas encore ancrées dans les esprits. Les entreprises ont besoin de temps pour s'approprier les nouvelles modalités du dispositif de MaPrimeRénov' ; et les particuliers pour assimiler l'information avant de se lancer dans les travaux.Ce qui est certain c'est que les professionnels ressentent un besoin de leurs clients pour la prise en charge de ces démarches, longues et chronophages.« Les personnes font appel à notre groupe car nous nous occupons de toutes les démarches. Si les clients devaient gérer eux-mêmes les demandes pour MaPrimeRénov' et les Certificats d'Économies d'Énergie, ils ne le feraient pas. Notre objectif est d'apporter des solutions clés en main », souligne Fabrice Genet, directeur du service isolation et chape du Groupe Vinet (86).« L'ouverture de MaPrimeRénov' à tous les ménages est un vrai levier mais tout l'enjeu repose sur notre savoir-faire et notre capacité à accompagner le client dans le montage et le pilotage des dossiers, de l'inscription jusqu'à la bonne réception des aides, et dans l'idéal avancer les primes pour éviter que le particulier avance les frais », ajoute Christophe Lhomet, gérant de la société Isol&Moi (37).« Nous nous rendons compte qu'un partenariat avec un mandataire proactif, disponible et joignable comme Hellio est primordial pour la réactivité de création des offres clés-en-mains pour nos clients », conclut Amaury Du Tertre.
Il y a 4 ans et 170 jours

Le moral des ménages français au plus bas, un frein de plus à la relance

"Les ménages sont beaucoup moins optimistes sur leur situation financière future" et la proportion de ceux "estimant qu'il est opportun de faire des achats importants baisse fortement", a constaté jeudi l'Institut national des statistiques et des études économiques (Insee).Par rapport à octobre, l'indicateur qui reflète la confiance des ménages perd quatre points et tombe à 90, la moyenne de longue période étant de 100.La population est devenue beaucoup plus pessimiste concernant l'évolution de son niveau de vie, le solde d'opinions négatif, c'est à dire anticipant une dégradation, atteignant -65 en novembre, contre -46 en septembre et -25 sur une moyenne de longue période.En avril, lors du premier confinement, le moral des ménages n'avait chuté qu'à 95 points, alors même que l'activité avait freiné d'environ 30% contre seulement 13% prévus par l'Insee pour le mois de novembre.Mais de l'avis général, la crise sanitaire dont on pouvait espérer une sortie rapide au printemps, ne pourra pas être surmontée au cours des tout prochains mois, même avec l'arrivée sur le marché de plusieurs vaccins."On s'attend maintenant à ce que l'économie et la situation sanitaire aient partie liée au moins jusqu'à la mi-2021", déclarait la semaine dernière Julien Pouget, responsable du département conjoncture de l'Insee.Aussi le gouvernement a-t-il ramené de 8% à 6% sa prévision de croissance pour l'an prochain, après une récession sans précédent de 11% attendue en 2020.Peur du chômageAutre mauvais signe pour la consommation et la reprise de l'économie, "la part des ménages estimant qu'il est opportun d'épargner augmente à nouveau", alors que les Français devraient accumuler cette année environ 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaire, soit l'équivalent des dépenses prévues pour le plan de relance.Mais pour que ce bas de laine, détenu selon l'OFCE à 70% par les 20% de ménages les plus aisés, soit dépensé ou investi dans l'économie productive, il faut que la confiance soit de retour, or celle-ci paraît avoir été plus entamée par le deuxième confinement que par le premier, même si la réouverture des commerces le 28 novembre et la période des fêtes de fin d'année devraient relancer la consommation.L'un des principaux freins à cette confiance est la crainte du chômage, qui atteint ainsi son plus haut niveau depuis juin 2013, en augmentation de quatre points par rapport à octobre, rapporte encore l'Insee.Tandis que des grands groupes comme Danone, Sodexo ou IBM ont annoncé ces derniers jours des coupes dans leurs effectifs, une entreprise de taille intermédiaire (ETI) sur trois prévoit de réduire les siens au cours des trois prochains mois, selon une enquête publiée mercredi par leur organisation professionnelle, le METI.Et si les dispositifs de soutien aux entreprises et à l'emploi ont permis jusqu'ici d'éviter une explosion des licenciements, la situation pourrait se dégrader si le soutien budgétaire n'est plus au rendez-vous, a mis en garde l'assureur-crédit Euler Hermes dans une étude selon laquelle une entreprise européenne sur quatre court un "risque de trésorerie" en 2021.Mais la poursuite de ces soutiens, qui en 2020 coûteront 34 milliards d'euros pour le chômage partiel et 20 milliards pour le Fonds de solidarité, implique un creusement encore plus important du déficit de l’État, alors que la dette publique devrait atteindre 120% du produit intérieur brut (PIB) cette année.
Il y a 4 ans et 170 jours

Myral dévoile les 24 nouveaux coloris de la collection Les Intemporels pour sa solution d'ITE

« Un nouveau cap est désormais franchi pour Myral, celui de la performance au service de l'esthétique ! » Ces mots sont ceux de Sylvain Bonnot, président de Myral. Ils démontrent la volonté d'innovation du groupe industriel qui, au travers des nouveaux coloris de la gamme Les Intemporels, souhaite renouveler durablement le positionnement de sa solution d'ITE.Pour élaborer des nuances équilibrées et pertinentes, en cohérence avec les attentes du marché, le groupe Myral s'est fait accompagner dans toute la phase de conception par Nacarat, agence spécialisée dans le design couleur. Forte de son expertise spécifique sur l'identité et le patrimoine coloriel des marques et des territoires, l'agence a mis au cœur de sa stratégie deux objectifs centraux : créer une gamme innovante à partir des tendances et des pratiques contemporaines de la couleur et du matériau de façade, et emprunter aux couleurs locales pour que cette nouvelle gamme puisse facilement s'intégrer dans le paysage urbain.Un large choix de couleurs et d'aspects adapté à la conception architecturale contemporaineCe renouvellement offre un panel de couleurs harmonieuses, actuelles et plus à même de toucher les marchés de l'architecture contemporaine et du bâti particulier, notamment dans le but de mieux s'intégrer aux paysage urbain et péri-urbain en France. Directement inspirés des nuances présentes sur le territoire français, ils sont le témoignage concret d'une diversité des patrimoines bâtis, locaux, qu'ils perpétuent aujourd'hui dans la conception architecturale contemporaine.Les 24 nouveaux coloris Myral s'organisent autour de 5 univers, chacun représentant un extrait de voyage, du Nord au Sud et d'Ouest en Est du territoire français. Dans chaque univers, le portrait de l'une des 24 couleurs illustre l'air du temps et les tendances 2020-2022.Terres de lumièreSur une grande partie Nord, la construction sérielle en briques est un leitmotiv. Les badigeons de lait de chaux blanchissent les appareillages ordinaires dont les reliefs irréguliers affleurent sous cette épaisse couche de blanc. Les enduits très légèrement colorés du pays de la Loire se marient avec les tuffeaux de calcaire blanchâtre et les ardoises bleutées. Ceux de l'Île de France varient davantage dans leurs tonalités : blanc, beige et grisé, jusqu'à l'ocre jaune. Les grands ports atlantiques sont pleins de lumière. La pierre de taille aux délicates nuances dorées, révèle sa minéralité sous les lumières rasantes et les ombres projetées. Partout, les façades classiques recherchent la plus grande blancheur, mêlant pierres claires taillées, staffs et enduits blancs.Terres d'oxydeLes briques rouge-violacé à brunes bâtissent les villes et villages du nord composant un paysage architectural homogène. Un pied en Centre-Est, et le calcaire blond illumine la Bourgogne, faisant écho aux Côtes d'Or. Au Midi, les briques s'allongent et s'adoucissent dans les orangés. Les influences italiennes se manifestent dans les villes-capitales des massifs alpins par des colorations ocre soutenu. À l'extrémité méridionale, les tonalités chaudes, orange à rouge, s'intensifient et font chanter les façades des rues étroites et pentues.Monts et bocagesLa pierre de silex éclatée est une rareté à dénicher sur les façades des côtes du nord et parfois au beau milieu des campagnes des hauteurs du pays.Au centre, les reliefs basaltiques ont nourri le bâti de leurs pierres de lave sombres. Les mortiers blonds les éclairent. La pierre de molasse verte jalonne les hauts-reliefs, s'associant à la chaux, au pisé, aux granits et aux pierres de champs élevant des bâtisses multi-centenaires.Méridien sudLes pierres aux éclats mordorés sont la marque d'un climat continental contrasté. Les schistes et les grès captent ces nuances dans toute leur intensité. Leurs notes chaudes, jusqu'aux cuivrées, accompagnent la rigueur des saisons.Les chromaticités douces et éclaircies sont réservées aux littoraux et aux bords de Loire, dont les enduits et les granits font écho à la lumière changeante. La pierre de lave a des accents brunis qui la ramènent à la terre et révèle des villages aux allures troglodytes. Plus bas, les enduits ocres délavés composent le paysage des provinces sud, symbole de Méditerranée. Les pigments naturels d'oxyde de fer affleurent sur les façades de maisons rayonnantes.Méridien nordÀ l'extrémité septentrionale se trouve la pierre bleue, uniforme et compacte comme un marbre. En lisière de côtes, le granit émerge. Riche de tonalités denses, parfois sombres, il varie du gris au violet en passant par le bleu. Il compose le paysage austère du bâti littoral. Au cœur des montagnes, les schistes répondent au granit gris et dialoguent avec les enduits teintés de sables alluvionnaires. La pierre est endurante et résiste au passage du temps et au climat rigoureux.Un projet ? Besoin d'informations ? Prenez contact avec Myral !Les nouveaux coloris se déclinent en 5 aspects et matérialités qui réinventent la couleur :Clin veiné boisPlisséClin lisseLisseStructuréLa solution d'isolation par l'extérieur Myral M32Le revêtement de façades intégrant un isolant de type P.I.R, conçu, fabriqué et commercialisé par Myral, allie esthétique, rapidité de pose et efficacité énergétique (lambda de 23 mW/m.K.). Réalisé à la dimension du calepinage, la longueur des pans est variable, de 1,5 ml à 14 ml (contre 1,5 à 2 ml pour les panneaux de bardage traditionnels). Les revêtements de façades Myral peuvent être posés en vêture ou en vêtage sur tous les types de construction, à l'horizontale ou verticale. Deux épaisseurs sont disponibles, le M32 et le M62. La solution est un investissement pérenne avec une durée de vie estimée dans l'analyse du cycle de vie à plus de 50 ans.Les produits d'isolation thermique par l'extérieur proposés par Myral sont fabriqués en FranceIls sont certifiés et sous Avis Technique du CSTB, pour répondre à l'ensemble des besoins d'isolation de façades, en logements collectifs ou individuels, en bâtiments tertiaires ou en équipements publics, en neuf ou en rénovation.Un projet ? Besoin d'informations ? Prenez contact avec Myral !
Il y a 4 ans et 170 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profitera pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 170 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profite pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 170 jours

Nouveaux adhérents et seconde convention pour le réseau gap référencement

Mais qui sont les petits nouveaux ?Promobat – 47 Villeneuve sur lotEntrée en Juillet 2020C'est le Lot et Garonne qui est à l'honneur avec la société Promobat. Implantée depuis 1993 dans la ville de Villeneuve-sur-Lot, la société de 5 personnes est dirigée par Frédéric Veschambres. Spécialiste de la menuiserie extérieure et intérieure, elle dispose d'un showroom de plus de 300 m² pour proposer des gammes de produits alu, bois et pvc. Expert généraliste, Promobat se positionne sur des projets neuf et rénovation aussi bien pour les particuliers que les professionnels de sa région.Ancien adhérent d'un réseau national, Frédéric Veschambres rejoint le réseau GAP Référencement pour développer sa notoriété sur son marché régional à l'aide des supports personnalisés.Vérandas Lauragaises 31540 Saint Félix LauragaisEntrée en juillet 2020Direction la région Toulousaine avec la société Vérandas Lauragaises. On parle ici du spécialiste de la pose et de la vente de portails, clôtures piscines, volets roulants, stores et vérandas. Experts de tous types de vérandas classiques, sur-mesure, aux fermetures de terrasses et sas d'entrée, la société dispose d'un showroom de 350 m². Créée et dirigée par Frédéric Bes depuis 13 ans, cette entreprise de 7 personnes rejoint le réseau GAP Référencement pour développer son offre en menuiserie extérieure et intérieure. Le dirigeant a été séduit par la qualité des fournisseurs et les prix d'achats négociés du réseau sans oublier les outils de communication.Grand sud habitat – 13 MarseilleEntrée en Septembre 2020Retour dans le fief du réseau GAP référencement avec l'arrivée de Grand Sud Habitat, spécialiste de la fourniture et pose de fenêtres, volets, stores, pergolas et vérandas à Marseille et ses alentours. Créée en 2003 et dirigée par Rudy Asseraf, l'entreprise dispose d'un showroom de 300 m² pour accueillir et conseiller la clientèle de particuliers. Le choix du réseau GAP Référencement réside dans la communication 100 % personnalisée qui valorise son point de vente (au lieu du réseau) et la plateforme e-commerce pour débuter la vente en ligne ainsi que le projet d'ERP qui doit être finalisé fin 2021.Un positionnement identitaire qui séduitAvec le recul de ses 12 adhérents, le réseau GAP Référencement commence à bien cerner la demande de ses nouveaux membres. « Au-delà des services traditionnels que peut apporter les réseaux classiques, les négoces de menuiseries qui nous rejoignent sont unanimes sur notre positionnement identitaire. Chez nous, ils gardent leur identité à 100% quelques soient les supports. » explique Eric Beyne, le directeur commercial du réseau. « C'est notre choix depuis le départ de cette aventure. Nous souhaitions un réseau où notre adhérent se sente comme chez lui, une deuxième famille comme dans le milieu du Rugby qui transpire au travers de notre communication. Par nos outils et actions, nous valorisons l'enseigne de notre adhérent sur sa zone de chalandise pour développer sa notoriété. Le logo de notre réseau est invisible à l'opposé des autres réseaux du marché, nous ne sommes affiliés à aucun industriel, ce qui nous donne une totale liberté d'action. » développe Eric Beyne.Si les supports sont mutualisés, la communication et le contenu sont aussi personnalisés, ce qui nécessitent beaucoup plus de travail et d'investissement. « Par exemple, notre nouveau catalogue est naturellement à l'effigie de notre adhérent mais il contient également un contenu personnalisé. Nous y avons intégré les photos de sa région (tuile pour le Sud ou ardoise pour le Nord) ou encore les différents services qu'ils proposent. C'est du boulot, certes, mais le résultat est à la hauteur de notre adhérent mais surtout de ses clients qui se reconnaissent dans le discours. » enchérit Florent Ardouin, Maître d'œuvre en communication du réseau GAP Référencement.Fier de réunir ses adhérents pour la seconde conventionLe réseau GAP Référencement a également réuni ses adhérents pour sa 2e convention les 8 et 9 septembre dernier. Un véritable moment de plaisir de se retrouver après l'annulation de la date de juin du fait des mesures sanitaires. 2 journées qui avaient pour objectif de présenter les nouveaux adhérents et les nouveaux services avec notamment une plateforme e-commerce, encore une fois, complètement personnalisée. Les achats ont été aussi au cœur du terrain avec l'arrivée de nouveaux fournisseurs premium qui entrevoient le fort potentiel de développement du réseau. Enfin, les différentes actions « business » pour 2021 ont été présentés car là aussi, le réseau ne cache pas ses intentions « Nous construisons notre équipe petit à petit mais nous sommes déjà prêts à gagner ! » conclut Eric Beyne.
Il y a 4 ans et 170 jours

LCA arbore de bois la médiathèque de la Jarrie à Olonne-sur-Mer

Livré cette année, le programme « un saut dans le temps », à l'architecture contemporaine singulière, comprenait deux volets.D'une part, la construction d'une médiathèque accueillant un auditorium de 46 places, un espace de convivialité et d'exposition ainsi qu'un espace de consultation. Et d'autre part, la restructuration du logis de la Jarrie, une bâtisse du XIe siècle, en mairie annexe d'Olonne-sur-Mer.Pour cette réalisation, l'entreprise LCA Construction Bois s'est chargée en intérieur des charpentes de la médiathèque avec l'utilisation de l'épicéa sous deux formes : en bois massif et en bois lamellé-collé. Pour les extérieurs, et avec l'objectif de limiter l'empreinte environnementale du bâtiment, les équipes de LCA ont créé et posé un bardage bois ajouré jouant le rôle de filtre solaire. Cette seconde peau de la médiathèque est ponctuée de « moucharabiehs » venant faciliter la ventilation naturelle du bâtiment. Enfin, un plafond extérieur en bois vient compléter l'ouvrage.Informations sur le chantier et les matériaux utilisés :Maître d'ouvrage : Mairie d'Olonne-sur-Mer (85)Maître d'œuvre : forma6Volige 18mm en couverture : 260 m² (soit 4,7 m3)Surface murs ossature bois : 430 m² (soit 13,2 m3)Surface bardage bois ajouré : 425 m² (soit 23,4m3)Structure ITE bois massif épicéa : 8 m3Charpente bois massif épicéa : 11,2 m3Charpente bois lamellé-collé épicéa : 4,1 m3
Il y a 4 ans et 170 jours

Sogeprom nomme Philippe Depasse au poste de Directeur Général Délégué aux Régions

Fort de sa connaissance des marchés immobiliers et des enjeux des territoires régionaux, Philippe Depasse bénéficie d’une solide expérience de chef d’entreprise et sait accompagner la dynamique de développement des régions.Promoteur réputé pour ses réalisations, Philippe Depasse a, aux côtés de Caroline Fortier, pour principales missions :D’accompagner et de superviser les Directeurs Régionaux (hors Île-de-France) dans la déclinaison du projet stratégique UP (Utiles et Performants) sur leurs territoiresDe leur apporter son expertise pour la réalisation de leurs business plans« La nomination de Philippe Depasse en tant que Directeur Général Délégué aux Régions vient consacrer son fort investissement au sein de Sogeprom. Ses qualités reconnues de promoteur et de chef d’entreprise sont de véritables atouts pour accompagner au mieux nos différents directeurs régionaux. Sa culture d’entreprise est en parfaite adéquation avec les ambitions et les valeurs de Sogeprom, et je suis ravie qu’il ait accepté ce poste » Caroline Fortier, Directeur Général de Sogeprom.
Il y a 4 ans et 170 jours

Panneau solaire thermique en ardoise dédié à la terrasse

Le leader mondial de l’ardoise naturelle dévoile aujourd’hui une version dédiée aux surfaces planes et transforme la terrasse en source d’énergie. Résultats : l’implantation de ce système sous un dallage de 8 panneaux permet d’assurer les deux tiers de la production d’ECS d’une famille de 4 personnes.Une terrasse en ardoise chauffante qui allie esthétisme et performance énergétiqueNaturelle et minérale, l’ardoise conjugue élégance et performance énergétique. D’une durée de vie de 100 ans, fendue à la main, elle se révèle peu gourmande en énergie et en eau. Matériau traditionnel de couverture, elle répond aujourd’hui aux enjeux d’une architecture moderne grâce à ses teintes bleutées et aux jeux de lumière qu’elle provoque. Sa polyvalence et son aspect brut lui permettent de s’adapter aussi bien à l’ornement des châteaux qu’aux fulgurances contemporaines, de la façade aux abords de la piscine. Dont elle peut désormais contribuer à chauffer l’eau!Pour maximiser ce potentiel et capitaliser sur la capacité du schiste à capter la chaleur, Cupa Pizarras développe depuis 2014 un panneau solaire thermique qui dispose de l’Avis Technique du CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment). En France, ce sont plus d’une centaine de toitures qui sont aujourd’hui équipées de ce système et de ses capteurs invisibles.Pour accompagner les architectes, Cupa Pizarras s’emploie à développer de nouveaux usages de l’ardoise. Avec le système Thermoslate Plat, l’ardoisier dédie une solution innovante - unique sur le marché - dédiée aux surfaces planes : de la terrasse aux toits plats en passant par la façade.Le panneau Thermoslate Plat est composé de 12 ardoises de 40x20 cm, reliées par un adhésif thermique breveté. L’ensemble se présente ainsi sous la forme d’une composition parfaitement lisse qui ne concède aucune aspérité, circulable jusqu’à 300 kg/m2. Sous les ardoises de 5 mm d’épaisseur est glissé un capteur de 35 mm raccordé grâce à des flexibles. Un dispositif d’ouverture permet un accès direct aux connexions.Le panneau est ensuite incorporé parmi des ardoises non équipées et demeure invisible. Il se distinguera en revanche d’un point de vue énergétique puisqu’une base de 8 panneaux (superficie : 7,68m²) générera l’économie de 1 500 kWh et d’une tonne de CO2 à l’année. Coût de l’investissement : aux alentours de 5 000€.Des solutions sur-mesure dédiée aux architectes et aux acteurs du bâtimentPour Stéphane Renard, Directeur commercial France de Cupa Pizarras, cette nouvelle solution s’inscrit dans une volonté de promouvoir l’ardoise au-delà de son utilisation traditionnelle : “L’ardoise est plus que jamais un matériau dans l’air du temps. D’un point de vue environnemental comme esthétique. Le schiste s’intègre particulièrement bien dans le paysage, en toiture comme en façade et donne un véritable cachet aux maisons individuelles comme aux logements collectifs et aux immeubles tertiaires. Nous mettons notre savoir-faire au service des acteurs du bâtiment et des architectes. L’objectif est de les nourrir grâce à de nouvelles solutions sur-mesure telles que nos concepts de façades ventilées Cupaclad Design qui sont disponibles à la demande ou ce système Thermoslate Plat, d’ores et déjà opérationnel, fiable et prêt à être livré.”Selon les études techniques réalisées par Cupa Pizarras, les panneaux capteurs au sol peuvent ainsi être déployés partout en France, à condition, évidemment, d’une exposition sans ombre.
Il y a 4 ans et 170 jours

Ne pas louer un logement saisi

Si ce bien vient à être vendu aux enchères, le nouveau propriétaire ne sera pas tenu de respecter le bail et pourra faire expulser le locataire, rappelle la Cour de cassation.La date fatidique est celle du premier acte d'une procédure de saisie. La "signification", c'est à dire la notification par huissier au propriétaire d'un commandement de payer qui "vaut saisie".À partir de ce jour, le bien étant juridiquement saisi, mais pas encore vendu, est indisponible pour son propriétaire, expliquent les juges. Si la procédure de saisie aboutit à une vente au tribunal, le bien doit être vendu dans l'état où il était au jour de la saisie, libre ou occupé. En conséquence, le bail qui aurait été signé depuis cette date pourrait être ignoré par les tiers, qu'il s'agisse du créancier ou du futur propriétaire.Le locataire se trouverait alors dans une situation difficile, susceptible d'être prié de quitter les lieux s'il ne peut pas prouver, par des quittances, des virements, des attestations d'assurance ou des factures diverses qu'il a bien emménagé avant la saisie.Pour connaître la situation de l'immeuble, le commandement de payer est publié au service de la publicité foncière.(Cass. Civ 2, 10.1.2019, F 17-27.420).
Il y a 4 ans et 170 jours

Covid-19: réflexion pour rendre temporairement le télétravail obligatoire "quelques jours par semaine", selon le Medef

"Le Premier ministre lundi soir nous a demandé de réfléchir à une deuxième phase de télétravail pour le début de l'année qui ne soit pas le 100% télétravail comme aujourd'hui mais qui ne soit pas non plus le retour au stade précédent", a déclaré sur BFMTV/RMC M. Roux de Bézieux.La solution envisagée pourrait être du type "quelques jours par semaine obligatoires, mais pas 100%", a-t-il ajouté, précisant qu'un tel dispositif serait appliqué pendant "quelques mois" le temps que la pandémie soit passée."On est tous persuadés - les partenaires et le gouvernement - que le 100% télétravail au bout de quelques semaines a d'autres conséquences psychologiques, on voit la hausse des violences conjugales, des addictions", a encore dit le président de l'organisation patronale.Sur la négociation engagée entre patronat et syndicats pour un accord national interprofessionnel (ANI) sur le télétravail, il a estimé que "la balle est dans le camp des syndicats" après les dernières propositions mises sur la table par le patronat.Le Medef plaide pour qu'au-delà des obligations définies dans le code du travail, les décisions sur l'organisation du télétravail restent prises par l'employeur et puissent être différentes d'une entreprise à l'autre, voire entre deux sites au sein d'une même entreprise, a rappelé M. Roux de Bézieux.
Il y a 4 ans et 171 jours

RE2020 : Les industriels de la construction dénoncent la modification de la comptabilisation du carbone

Les professionnels pointent, notamment, les incohérences relatives à l’introduction dans la réglementation d’un nouveau mode de calcul de l’empreinte carbone, dite « Analyse du Cycle de Vie (ACV) dynamique simplifiée », et une dérive de la Loi qui favorisera le bois au détriment de l’innovation dans les solutions constructives.Les professionnels du secteur marquent leur opposition suite aux annonces du Ministère de la Transition écologique qui, en cherchant à favoriser les matériaux biosourcés, s’affranchit de la rigueur scientifique, crée un risque environnemental inconsidéré et rend inutile toute réflexion sur la manière de construire « intelligemment » les bâtiments de demain.De fait, s’ils partagent l’objectif d’une mise en place à court terme de mesures efficaces pour lutter contre le réchauffement climatique, les professionnels ne peuvent laisser passer des choix politiques qui seraient contreproductifs et mettraient en péril tout un secteur.Une méthode qui fait disparaitre plus de 5 millions de tonnes de CO2... sans modification du mode de constructionComptabilisant plus de 100.000 emplois directs répartis sur le territoire, les Filières qui s’associent pour s’opposer aux récentes annonces des pouvoirs publics sont unanimes pour dénoncer, en premier lieu, l’introduction de la nouvelle méthode de calcul de l’empreinte carbone instaurée pour la première fois dans le projet « RE 2020 ». Une décision d’autant plus surprenante qu’une méthode de calcul d’ « ACV classique », normée et utilisée par tous les pays européens de façon homogène, a fait ses preuves. Ces Filières investissent massivement et régulièrement pour mettre en place leurs trajectoires de décarbonation et ont pris, depuis de nombreuses années, le virage de la transition écologique.Des chiffres parlantsLa nouvelle méthode de calcul fait disparaitre pour un bâtiment classique de l'ordre de 100 kg de CO2 par m² (sur une empreinte moyenne de l'ordre de 700/750 kg de CO2 par m²) soit plus de 5 millions de tonnes de CO2 par an, sans même modifier le mode de construction… alors que l’empreinte carbone d’un m3 de CLT (bois lamellé croisé) sera diminuée de -350 % en passant de +100 kg de CO2 à -250 kg de CO2 : un artifice qui aurait tous les atours d’une opération de greenwashing.Les acteurs de la construction français, pourtant en pointe sur le sujet, risquent ainsi d’être considérablement isolés, voire décrédibilisés.Gare aux déconvenues industrielles et écologiques passéesLe passage à une approche dynamique induirait que le seul levier valable pour réduire l’empreinte carbone des bâtiments de demain serait donc une utilisation massive de produits biosourcés, avec une logique de surconsommation de bois, au détriment d’une réflexion de fond relative à la conception des bâtiments, aux modes constructifs ou au mix matériau.Les résultats pénaliseront systématiquement les matériaux qui émettent au début de leur cycle de vie et minoreront les émissions futures. La nouvelle approche transfère ainsi la responsabilité de la bonne gestion des émissions des produits et matériaux des bâtiments construits aujourd’hui aux prochaines générations, ce qui est éthiquement contestable et opposé aux principes du développement durable.Le recyclage des matériaux en fin de vie serait, en outre, très peu valorisé, en totale contradiction avec la Loi économie circulaire… portée par le même Ministère.Cette méthode de comptage, extrêmement favorable aux matériaux biosourcés déstabilisera une filière qui peine à se structurer. Une phase de transition est nécessaire pour se prémunir d’une vague d’importations et des inévitables émissions de gaz à effet de serre liées. Le ministère doit chercher au maximum à éviter les déconvenues industrielles et écologiques déjà rencontrées dans d’autres secteurs (solaire, biocarburant...).L’union et la détermination des professionnels de la construction est indéniable : industriels, représentant des maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’étude… ont appelé de leurs vœux les pouvoirs publics à abandonner le projet d’ « ACV dynamique simplifiée » et d’inscrire le choix du nouveau procédé de calcul dans une démarche concertée entre les pouvoirs publics et les acteurs du bâtiment.Au-delà de cette modification de la comptabilisation du carbone, les professionnels dénoncent une véritable dérive de la Loi avec l’annonce de décrets qui favoriseront le bois au détriment de l’innovation dans les solutions constructives.
Il y a 4 ans et 171 jours

Réouverture des agences immobilière, "le plus tôt sera le mieux" selon Bruno Le Maire

Bruno Le Maire a indiqué lors d'un entretien à France Inter que la décision d'une réouverture des agences immobilières devrait être tranchée aujourd'hui, précisant que pour lui le "plus tôt sera le mieux".Dix grands réseaux immobiliers avaient lancé un appel au gouvernement pour rendre possible la visite des biens immobiliers, ce qui leur avait été aussi refusé.
Il y a 4 ans et 171 jours

RE2020 : pour les constructeurs de maisons individuelles le gouvernement marche sur la tête !

Cette RE2020, telle que présentée, engendrera une hausse importante des coûts de l’ordre de +10% à +15%. Et c’est bien méconnaitre le sujet que d’affirmer que le renchérissement de la RT2012 a été rapidement absorbé par des effets d’apprentissage ! Le gouvernement feint d’ignorer que la hausse des coûts de construction a été en partie gommée par une baisse des prestations vendues aux ménages. Ces marges de manœuvre n’existent plus !Dans un contexte où l’économie du pays n’a jamais eu autant besoin de soutien à l’emploi, demander à un secteur représentant près de 45 % de la construction neuve de modifier radicalement son point de fonctionnement en 3 mois est tout simplement irresponsable. Nos dirigeants ont-ils oublié que la mise en place de la RT2012 s’est traduite 2 ans plus tard par l’atteinte des points bas de production de logement ?L’année 2020 a mis en exergue les limites de la densification et le besoin d’espace de nos concitoyens. Les pouvoirs publics y répondent par l’absence totale de mesures de relance au logement neuf et un accroissement des contraintes de construction en maison individuelle. Le gouvernement chercherait-il à rendre un produit accessible en un produit de luxe que seuls nos concitoyens les plus aisés pourront acquérir ?Devant un tel constat, la FFC demande :la mise en place d’une application différée des mesures envisagées, et ce au plus tôt à l’année 2022l’introduction d’une progressivité sur les performances recherchées en matière de Bbio, afin de permettre à la filière de s’organiser et de trouver des solutions économiquesla mise en place d’un réel plan de soutien et de relance d’une filière considérée encore récemment comme indispensable à l’activité de la Nation
Il y a 4 ans et 171 jours

Toulouse Quartier Guillaumet

Il y a 4 ans et 171 jours

Wizzcad s’allie à Upcyclea pour créer la 1ère solution de smartbuilding circulaire

Le secteur du bâtiment et de la construction est, avec les transports, l'un des plus mauvais élèves en matière d'empreinte carbone. Il représente à lui seul 25% des émissions de gaz à effet de serre et génère chaque année plus de 245 millions de tonnes de déchets, un chiffre qui représente 70% du volume total des déchets en France.Face à cet enjeu, Wizzcad propose une solution BIM qui permet de créer le jumeau numérique de n’importe quel bâtiment pour en optimiser la qualité et mieux maîtriser et prévoir les risques et l’impact environnemental du projet que ce soit en phase de construction comme d’exploitation du bâtiment.Quant à Upcyclea, l’éditeur est à l’origine d’une plateforme de gestion circulaire qui permet de construire des bâtiments ‘banque de matériaux’. Sa technologie vise à faciliter l’éco-conception et la gestion de bâtiments totalement déconstructibles et zéro déchet via des matériaux à impact positif.En associant leurs technologies au sein d’une même offre, les deux partenaires créent un outil puissant permettant d’industrialiser la conception, l’exploitation et la déconstruction de bâtiments zéro déchet, une première dans le secteur !A l’occasion de ce partenariat, Christine Guinebretière, cofondatrice d’Upcyclea déclare : « De plus en plus d’acteurs cherchent à digitaliser leurs parcs immobiliers et à concevoir, construire et exploiter des bâtiments qui respectent la santé, l’environnement, et qui sont source de revenus plutôt que déchets. Notre alliance avec Wizzcad offre la première réponse du marché pour répondre concrètement à de tels enjeux. »Cyril Perrin, cofondateur de Wizzcad, conclut : « Nous sommes ravis d’avoir noué ce partenariat technologique avec Upcyclea car sa proposition de valeur est totalement complémentaire de celle de Wizzcad. Ensemble, nous sommes dès aujourd’hui capable d’accompagner les acteurs du BTP dans la conception d’une nouvelle génération de bâtiments zéro déchet totalement en adéquation avec la vision WIZZCAD : construire mieux, plus vite et durablement. »
Il y a 4 ans et 171 jours

Demathieu Bard livre le Pôle d’Echanges Multimodal de Nantes

La naissance d’un Pôle d’Echanges Multimodal régionalUne gare modernisée pour plus de servicesSous la maîtrise d’ouvrage de SNCF Mobilités – Gares & Connexions, le projet comportait la construction d’une passerelle-mezzanine de 160 mètres de longueur et culminant à 18 mètres de hauteur afin de relier la gare Nord avec la gare Sud. Il comportait également la rénovation d’une partie des bâtiments voyageurs Nord et Sud de la gare ainsi que des espaces dédiés au public afin d’augmenter le confort des usagers. Ce projet est central pour le développement de la métropole et de la région.La gare de Nantes est la première gare régionale en termes de fréquentation et de trafic. Elle est également la porte d’entrée qui assure la desserte de l’ensemble de la région et est la sixième gare de France. En 2009, elle accueillait 11 millions de voyageurs par an : à l’horizon 2030, elle devrait en accueillir 25 millions.La mobilité est au cœur des défis du territoire des Pays de la Loire : recherche d’équilibre entre les territoires urbains et ruraux, raccordements aux dynamiques territoriales, amélioration de l’accessibilité, et des déplacements de seshabitants au quotidien.Le nouveau Pôle d’Echanges Multimodal (PEM) dote la Métropole d’une infrastructure moderne de transport ferroviaire en mesure de répondre à tous ses futurs enjeux et ainsi, insuffler une nouvelle dynamique territoriale.Avant travauxUne gare Nord datant de 1967 et une gare Sud de 1989Reliées par deux souterrains avec des accès aux quaisAprès travauxUne gare unique et moderne avec une mezzanine surplombant les voies et assurant des accès aux quaisVolume d’accueil augmentéAjout de commercesUn projet architectural à la signature internationaleLa passerelle-mezzanine, pièce emblématique de la nouvelle gare, a été imaginée par Rudy Ricciotti, architecte de renommée mondiale (MuCEM de Marseille, Passerelle pour la Paix de Séoul, département des arts de l’islam au Musée du Louvre...).Le projet architectural repose sur une utilisation massive du béton, matériau signature des réalisations de Rudy Ricciotti. La passerelle est en forme de parallélépipède en béton posé sur d’immenses piles organiques de formes variables qui font office d’arbres qui portent la structure. Dans le prolongement de la charpente, à l’extérieur, se déploient des ombrières horizontales en Béton Fibré à Ultra-Haute Performance (BFUP), œuvres de Méditerranée Préfabrication, qui collabore régulièrement avec Rudy Ricciotti. Ces fines langues de dentelle renvoient à l’allégorie du branchage et font songer à celles du MuCEM de Marseille.Le projet architectural a été mené en collaboration avec un architecte associé, l’agence nantaise Forma6.Les synergies DEMATHIEU BARD au service d’un projet à haute technicitéLe projet de la gare de Nantes est une opération multi-métiers qui a combinél’ensemble des expertises et des savoir-faire DEMATHIEU BARD CONSTRUCTION dans le domaine du Génie Civil et du bâtiment. En effet, le chantier a constitué un réel défi technique par sa conception, un ouvrage d’art couvert construit sur des bâtiments existants.Il a été supervisé par les équipes Infrastructures - Génie Civil et Bâtiment Ouest DEMATHIEU BARD, ainsi que par une filiale du Groupe, André BTP. Dès la phase conception, les équipes ont combiné leurs expertises en ingénierie et en travaux internes pour répondre aux multiples enjeux du projet. Le travail de conception a été réalisé en collaboration des Bureaux d’Études techniques, regroupant l’ensemble des compétences en bâtiment et ouvrages d’art : Lamoureux & Ricciotti Ingénierie (structure), BERIM (TCE) et AGID2D (HQE).Pour les missions de sous-traitance, les équipes DEMATHIEU BARD se sont appuyées sur l’expertise et le savoir-faire d’entreprises issues en majorité du tissu local.Chantier d’envergure, la construction de la nouvelle gare de Nantes a participé au dynamisme économique de la métropole nantaise et du marché de l’emploi. Ce sont 11.000 heures d’insertion professionnelle qui ont été réalisées sur ce projet.Elles ont permis à des personnes éloignées de l’emploi de se former aux métiers du Génie Civil et du bâtiment.Un environnement contraint pour une opération multi-métiersL’environnement du chantier a constitué l’un des enjeux principaux pour les équipes DEMATHIEU BARD CONSTRUCTION. Située en cœur de ville, la gare accueille chaque jour 40 000 voyageurs. Durant les travaux, la gare a été maintenue en totale exploitation. Cela a concerné aussi bien le trafic ferroviaire que les services annexes (commerces, services...). Pour réaliser les phases de travaux spécifiques, telle que la pose des poutres du tablier de la future mezzanine, les équipes sont intervenues de nuit avec une consignation ferroviaire d’une courte durée (5 heures).Les principaux défis du chantier :Travaux réalisés en site occupé : utilisation de matériel limitant les encombrementsDésamiantage, gestion du plomb et de la dépollution des solsDémolition partielle et restructuration des Bâtiments VoyageursRespect de l’architecture : choix de bétons clairs ou bétons blancs avec de fortes exigences sur les élévationsDimensions hors normes de la charpente métallique et des murs rideaux de la mezzanineJeux de déplacement sur les piles arborescentes en béton blancConception sismique d’un bâtiment conçu comme un pont500 nuits de travail nécessaires durant les 3 ans de chantierLe projet en quelques chiffres :2015 : lancement du projet2016 : conception de l’ouvrage2017 : démarrage des travaux en juin2020 : livraison de la nouvelle gare132 M€ : montant du projet global du PEM36 mois : durée des travaux110.000 heures travaillées par les équipes DEMATHIEU BARD550.000 heures travaillées y compris travaux sous-traités60 collaborateurs : effectif de pointe500 nuits travaillées4.300 m3 de béton (hors préfabrication)18 piles de 10 mètres de hauteur10 mois de démolition et désamiantage4.000 m² : surface totale de la mezzanine
Il y a 4 ans et 171 jours

Foncière ATLAND annonce l'acquisition de la société Les Maisons de Marianne

Depuis plus de 10 ans, lutter contre l'isolement et retrouver le sens du partage sont les fondements du concept des Maisons de Marianne. Reconnu et plébiscité aujourd'hui par les élus et les bailleurs sociaux, Les Maisons de Marianne compte à ce jour 21 résidences intergénérationnelles en exploitation sur toute la France avec plus de 5.000 résidents. La société Les Maisons de Marianne conçoit et réalise ses opérations en partenariat avec des promoteurs et des opérateurs sociaux.Afin de faciliter le lien social entre les seniors, handicapés, et familles qui s'y côtoient, l'animation des résidences est assurée par sa filiale Maisons de Marianne Services, avec la participation active des locataires. Une philosophie du « vivre ensemble » qui est au cœur de ce concept. La société a 45 résidences en développement représentant 4.300 logements.L'objectif pour Foncière ATLAND est d'accompagner le développement de la société tout en préservant son autonomie.« Dans un environnement où l'entraide et le bien vivre ensemble sont plus que jamais des enjeux essentiels pour la cohésion sociale, Foncière ATLAND se dote d'un nouveau relais de croissance dans un marché où la demande d'habitat social et solidaire est en plein essor. En s'appuyant sur l'expertise reconnue des équipes des Maisons de Marianne et en collaboration avec les collectivités locales et les bailleurs sociaux, nous allons pouvoir élargir notre champ de compétences et être force de proposition pour l'habitat et la ville de demain, en plaçant le lien intergénérationnel au cœur de nos réflexions » déclare Georges Rocchietta, Président Directeur Général de Foncière ATLAND.« L'entrée au capital de Foncière ATLAND constitue une véritable reconnaissance de notre savoir-faire et de notre professionnalisme et marque une étape importante dans notre développement. Cette opération permet à notre société de bénéficier de l'expertise immobilière, opérationnelle et financière de Foncière ATLAND afin d'accélérer le déploiement de notre concept en Ile-de-France et en régions en partenariat avec les collectivités locales et les bailleurs sociaux qui nous accompagnent », précise Eric Vialatel, Président des Maisons de Marianne.