Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61902 résultats)
Il y a 4 ans et 87 jours

La ville sous cloche ? Le droit de l’urbanisme en jouant !

Né dans le prolongement d’un programme de recherche porté par l’Université d’Angers, le jeu ‘La ville sous cloche ?’ a pour objectif de permettre aux collectivités et acteurs de l’urbanisme et du patrimoine (agences d’urbanisme, CAUE…) de sensibiliser les habitants à la réglementation, aux procédures à respecter, ainsi qu’aux acteurs mobilisables pour leurs projets de […] L’article La ville sous cloche ? Le droit de l’urbanisme en jouant ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

A Fenouillet : surélévation autour d’un patio transparent, signée TAA pour Solvéo

Pour Solvéo Développement maître d’ouvrage, le projet livré à Fenouillet (Haute-Garonne) en juillet 2020 par TAA (Taillandier Architectes Associes) consiste en la construction d’un bâtiment de bureaux accompagné d’un entrepôt de stockage. Surface : 1 421 m² ; coût des travaux : 1,8 M€ HT.  En toute transparence ? Communiqué. Le siège de la société Solvéo, situé […] L’article A Fenouillet : surélévation autour d’un patio transparent, signée TAA pour Solvéo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

AFJ Architectes « chérit le matériau béton »

« Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique l’architecte Anne-Françoise Jumeau. [©Sergio Grazia] Depuis 24 ans, l’agence parisienne Anne-Françoise Jumeau Architectes (AFJA) met tout son savoir-faire au service d’une architecture intelligente et toujours en phase avec la réalité des contextes. Elle est particulièrement aguerrie aux projets riches et complexes. Chez elle, le matériau prend tout son sens. Son langage architectural tient pour beaucoup à une recherche constante d’optimisation des matériaux. En allant même jusqu’à la création de pièces uniques à partir des produits normalisés.  Le béton lisse se fait miroir à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. [©Luc Boegly]Le béton est incrusté de lumières fluos à L’Autre Canal, à Nancy (54). [©Luc Boegly]Le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). [©Nicolas Borel] Le béton mis en avant Ce processus de recherche se traduit dans l’attention portée aux états de surface des matériaux. « Rude, avec empreintes, lisse… le béton est mis en avant dans notre travail », indique Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme. D’ailleurs, cette dernière vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. Ainsi, est décrit comment le béton brut s’anime d’empreintes aux motifs “camouflage” au Café Musiques, à Savigny-le-Temple (77). Ou d’une texture à la planchette, rehaussée par l’incrustation de tubes fluos sur variateur à L’Autre Canal, à Nancy (54). Ou encore comment le béton peut être anobli par un surfaçage très lisse, presque miroir, comme à L’Atrium, sur le campus Pierre et Marie Curie, à Paris. Par ailleurs, cette publication rend compte de la technicité d’un béton blanc auto-plaçant, qui a été exploitée pour la réalisation d’une façade d’une hauteur de 12 m, ponctuée d’une trame de contre-formes verticales, à la Médiathèque de Clamart (92). Enfin, l’agence met aussi en œuvre le bois. Notamment, à La Dynamo, à Pantin (93) ou dans 35 logements du boulevard de Grenelle, à Paris. Quant aux autres matériaux – la terre cuite -, ils n’en occupent pas une moindre place dans le travail de l’architecte. Une fois encore, l’adage “le bon matériau pour le bon usage” se vérifie… Anne-Françoise Jumeau, architecte et fondatrice de l’agence éponyme, vient de publier un petit fascicule dénommé “Matières”, richement illustré, qui revient sur le travail des matières poursuivi par AFJA. [©ACPresse] Le fascicule “Matières” est disponible sur demande à agence@afja-architecture.com Le fascicule “Matières” publié par Anne-Françoise Jumeau Architectes reflète le travail mené par l’agence ces dernières années. [©ACPresse]
Il y a 4 ans et 87 jours

L’Ordre des géomètres-experts salue la prise en compte des spécificités régionales dans le projet de loi « Climat et résilience »

Ce principe, qui ne dénature pas les propositions citoyennes de la Convention pour le Climat, s’inscrit pleinement dans les propositions déjà formulées par l’Ordre des géomètres-experts pour mieux encadrer la notion d’artificialisation.Dès le 4 mars, l’Ordre des géomètres-experts (OGE) avait alerté le Gouvernement sur l’insécurité juridique liée à la notion d’artificialisation et sur les effets que pourraient entraîner certaines dispositions du projet de loi Climat et Résilience en l’état. La profession avait donc formulé 4 propositions visant à mieux concilier les objectifs de préservation de la biodiversité, qu’elle partage pleinement, avec les enjeux de développement des territoires, notamment ruraux. L’OGE a été entendu par Madame Emmanuelle WARGON, Ministre du Logement, et tient à saluer la qualité des échanges et des débats. L’amendement adopté par les députés est le fruit de cette étroite collaboration dont l’OGE se réjouit ; il y voit un signal fort adressé par les députés en faveur d’une meilleure définition des espaces protégés.En janvier 2020, déjà, la profession avait remis au Gouvernement un Manifeste dans lequel elle plaidait pour que l’objectif de Zéro Artificialisation Nette s’inscrive dans une démarche qui tienne compte des spécificités de chaque territoire. Faire référence à la réduction de 50% de la consommation « des espaces naturels, agricoles et forestiers » tout en gardant à terme le cap de la réduction de l’artificialisation, pour la décennie à venir, est donc une ambition forte que portait les géomètres-experts, garants d’un cadre de vie durable. « Les Géomètres-Experts - qui, par leur implantation au cœur de tous les territoires, sont les garants naturels de la qualité du cadre de vie - saluent la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers, la prise en compte de leurs contributions à ce projet de loi et l’écoute de leur Ministre de tutelle. La profession reste néanmoins attentive aux sujets essentiels que sont la préservation des dynamiques de développement en milieu rural, la valorisation des territoires déjà « vertueux » - et la nécessaire « renaturation » des espaces denses. » Vincent SAINT-AUBIN, le Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-expertsL’OGE reste donc mobilisé pour formuler des propositions répondant à ces trois enjeux majeurs de l’aménagement des territoires et de la nature en ville.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le chantier géant de "forêt urbaine" à Nice sur les rails

Candidat à un financement de l'Etat via le plan de relance, ce projet de végétalisation urbaine, très à la mode par temps de réchauffement climatique, a franchi une première étape avec la clôture de l'appel d'offres pour les cabinets d'architectes-paysagistes. Le lauréat sera désigné au dernier trimestre parmi cinq pré-sélectionnés.Coût des travaux: 75,6 millions d'euros, selon le montant donné à titre indicatif par l'appel d'offres qui regroupe plusieurs opérations pour prolonger sur huit hectares la "Promenade du Paillon", nom de la coulée verte existante, inaugurée en 2013 par M. Estrosi et plébiscitée par les Niçois.Le maire de droite avait créé la surprise en annonçant ce projet en janvier 2020, au début de la campagne ayant mené à sa réélection. En France, plusieurs municipalités écologistes ont lancé des programmes de végétalisation mais en privilégiant de "mini-forêts".A Nice, le projet est critiqué par l'opposition. Le Rassemblement national a dénoncé les "travaux répétitifs et massifs" qu'il entraînerait après le coûteux chantier tout juste achevé fin 2019 de la nouvelle ligne de tramway.La gauche, sans élu désormais au conseil municipal, a elle accusé M. Estrosi de ne s'intéresser "qu'à la façade de la ville et de déplacer le béton vers l'ouest"."Vos projets pharaoniques étaient déjà contestables avant la crise (sanitaire), maintenant alors que notre ville se désespère, ils ne sont plus acceptables! Ils nous endettent sur des décennies et contribuent au dérèglement climatique", a lancé l'élue d'Europe Ecologie les Verts au conseil municipal, Juliette Chesnel-Leroux.Vigilance"C'est très bien de planter des arbres, ça rafraîchit les villes, ça réduit la pollution. Sauf qu'il va falloir être très vigilant", notamment sur le choix des essences, prévient le géographe Philippe Rossello, membre du Groupe régional d'experts sur le climat en région Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur (Grec-Sud)."Si la sécheresse en été s'accentue avec le changement climatique, à moins d'un arrosage massif, l'évapo-transpiration des arbres sera faible et le rafraîchissement aussi", prévient-il.Longeant le Vieux-Nice et construite sur une dalle enchâssant le fleuve Paillon, la Promenade du Paillon permet de déambuler de la mer au Théâtre national de Nice (TNN). Elle offre un pendant arboré à la Promenade des Anglais le long de la Méditerranée.Le prolongement de cet espace vert doit "offrir un espace de vie qualitatif et apaisé avec moins de nuisances sonores, moins de pollution, l'effacement d'équipements devenus inappropriés du fait de leur impact visuel et de leur positionnement --théâtre national et palais des congrès-- et des façades restaurées", souligne la mairie.M. Estrosi avait initialement annoncé la démolition de deux hôtels, pas prévenus du projet, qui finalement "feront tout pour s'intégrer au nouveau paysage", a précisé à l'AFP Pierre Messe, directeur du Novotel.Le bâtiment du TNN datant de 1989 sera démoli "début 2022", puis en "décembre 2022" le Palais des congrès Acropolis, 38.000 m2 rénovés il y a dix ans pour une capacité de 6.000 congressistes. Ce dernier sera reconstruit à l'entrée de la ville près de l'aéroport. La bibliothèque centrale et un parking seront maintenus sous le jardin, avec le Musée d'art moderne et contemporain (Mamac)."Ça se précipite", confirme à l'AFP le TNN, soutien au projet et amené à préparer deux saisons "hors les murs".Le Théâtre récupèrera une petite salle dans un ancien couvent en rénovation au Vieux-Nice où les travaux retardés par le Covid-19 doivent s'achever pour janvier-février 2022. Pour la grande salle, l'échéance est plus lointaine, 2024/2025.A Paris, l'éphémère candidat d'En Marche Benjamin Griveaux avait fait une proposition similaire pour créer un "Central Park parisien" et "planter une forêt" en dynamitant la gare de l'Est, avec une facture de 1,5 milliard d'euros à la clé. La mairie PS réélue préfère multiplier les mini-forêts urbaines.
Il y a 4 ans et 87 jours

DELABIE : BLACK BINOPTIC

Avec BLACK BINOPTIC, DELABIE conçoit une robinetterie design pour des sanitaires haut de gamme. Focus sur un produit innovant. DELABIE tisse dans les nouveaux lieux de vie accueillant du public – les musées, les restaurants, les sièges d'entreprises, les aéroports – une nécessaire passerelle entre design, architecture et intérieur. Avec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE propose à la vente une collection sophistiquée qui conjugue performance et élégance.Déjà choisie et installée dans de nombreux lieux publics à travers le monde, notamment l’Aéroport International d’Abu Dabi, la Tour Incity de Lyon, la Métropole Européenne de Lille, le nouveau centre culturel Tai Kwun (Hong Kong) et la Tour Majunga à La Défense, la gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC est à la fois esthétique et fonctionnelle.Pour chaque intérieur, il y a une robinetterie BINOPTIC adaptée. La collection BLACK BINOPTIC s'invite dans les nouveaux lieux de vie dans une version noir mat. Sa conception 100 % chrome noir offre une résistance optimale à l'usage intensif, garantit des économies d'eau et d'énergie, ainsi qu'une hygiène totale grâce à un rinçage quotidien antibactérien, un bec à intérieur lisse et un robinet avec capteur pour une utilisation sans contact manuel. Une gamme de qualité spécifiquement conçue pour les lieux publics.Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE. Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 88 jours

« On ne passe pas ! » – Les fortifications

Le champ de bataille de Verdun recèle encore un patrimoine d’ouvrages fortifiés exceptionnel. Porte d’entrée de ce champ de bataille emblématique de la Grande Guerre, le Mémorial de Verdun présente une exposition sur les fortifications dans le Nord et l’Est de la France. L’expérience combattante est au cœur de la visite : « On ne […] L’article « On ne passe pas ! » – Les fortifications est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 88 jours

Avec SHIFT, à Issy l’agence Arte Charpentier reconstruit sur elle-même

A Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour Unibail-Rodamco-Westfield maître d’ouvrage, Arte Charpentier Architectes a livré en décembre 2019 SHIFT, une réhabilitation au cœur d’un quartier en plein renouveau. Communiqué. Idéalement situé dans un quartier en plein essor qui attire de nombreuses entreprises et administrations, SHIFT est conçu comme un accélérateur de transformation vers des modes de travail plus […] L’article Avec SHIFT, à Issy l’agence Arte Charpentier reconstruit sur elle-même est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 89 jours

Les murs anti-tsunami au Japon, massif héritage de la catastrophe de 2011

Dix ans après l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire, la douloureuse leçon --construire plus haut-- a été retenue dans toute la région, dont les côtes sont aujourd'hui parées de centaines de kilomètres de ces remparts de béton, sauf quand les habitants les ont rejetés.Jusqu'à 2011, les habitants de Taro, dans le département d'Iwate, se croyaient en sécurité. Nous avions "bâti la ville parfaite pour se protéger des catastrophes", déclare à l'AFP Kumiko Motoda, une guide touristique locale.Taro, déjà ravagée par des tsunamis en 1896 et 1933, s'était équipée dès 1934 de remparts de béton. Hauts de 10 mètres et s'étalant sur 2,4 kilomètres le long de la mer, ils étaient surnommés "la Grande Muraille" par les gens du coin.Pour parfaire le tout, 44 routes d'évacuation, éclairées grâce à des panneaux solaires, devaient permettre aux habitants de se mettre à l'abri des flots en 10 minutes, explique Mme Motoda.Mais il y a dix ans, une vague de 16 mètres a balayé ces certitudes, détruisant le mur et emportant maisons et voitures.Le bilan officiel à Taro s'est établi à 140 morts et 41 disparus.430 km de diguesAprès la catastrophe, le gouvernement japonais a incité les régions côtières à construire ou reconstruire ces digues protectrices, avec à l'appui l'équivalent de 10 milliards d'euros de fonds publics.Au total, un rempart discontinu de 430 kilomètres est censé être achevé prochainement sur les côtes des trois départements du nord-est frappés par la catastrophe: Fukushima, Miyagi et Iwate.Ces structures ont transformé le littoral, obstruant la vue sur la mer.Les habitants de Taro, où trois murs allant jusqu'à 14,7 mètres de haut s'étendent sur plus de deux kilomètres, doivent se tordre le cou pour en distinguer le sommet et gravir un escalier d'une trentaine de marches pour apercevoir l'océan.Mais, selon les experts, la présence de ces fortifications est justifiée par la double protection qu'elles offrent en repoussant la force des vagues, ce qui réduit les dégâts, et en accordant aux habitants un sursis pour se mettre hors de portée des flots.En 2011, "ces quelques minutes ont souvent fait la différence entre ceux qui ont pu évacuer et ceux qui ont été pris dans le tsunami", rappelle Tomoya Shibayama, professeur en génie civil et environnemental à l'université Waseda de Tokyo.Les murs les plus récents ont des bases plus larges et sont renforcés à l'intérieur pour mieux résister à la puissance des vagues. Leur hauteur a aussi été ajustée en fonction des dernières simulations, leur permettant en théorie de faire face même à des tsunamis exceptionnels.Les systèmes d'alerte ont aussi été améliorés et des simulations informatiques ont permis notamment d'optimiser les routes d'évacuation.Mais les murs sont toujours la clé de voûte, estime M. Shibayama, car "il y aura toujours un risque de catastrophe naturelle" au Japon."C'est chez moi"A Taro, la catastrophe a cependant montré qu'un mur seul ne suffisait pas. "Il y a des gens qui n'ont pas évacué, pensant que le tsunami ne les atteindrait pas", se souvient Mme Motoda.La première alerte faisait état d'une vague de trois mètres et, en raison des coupures d'électricité qui ont suivi, beaucoup d'habitants n'ont pas été prévenus quand la prévision a été révisée à dix mètres.Un fort séisme deux jours plus tôt avait aussi entraîné un petit tsunami, faisant naître une fausse sensation de sécurité."Les murs visent à gagner du temps pour évacuer, pas à arrêter les tsunamis", note Mme Motoda, dont la mère est portée disparue depuis 2011.Pour elle, ces parois doivent aussi servir à empêcher les corps d'être emportés vers le large. "Je pense qu'elle serait revenue à la maison si les murs n'avaient pas été détruits", dit-elle en pensant à celui de sa mère.Mais ces édifices de béton sont parfois impopulaires et certaines communautés ont refusé d'être coupées de la mer, quels que soient les risques.Le village de pêcheurs de Mone (département de Miyagi) --où le tsunami de 2011 a fait quatre morts et détruit 42 des 55 maisons-- a ainsi préféré déménager plus loin, à 40 mètres au-dessus du niveau de la mer."La seule manière de sauver nos vies quand un tsunami frappe est d'évacuer en hauteur. Qu'il y ait un mur ou non n'a pas d'importance", pense Makoto Hatakeyama, un ostréiculteur de Mone.Il y a dix ans, comme d'autres pêcheurs, il s'est précipité vers la mer pour tenter de sauver son bateau et a survécu en gagnant une île voisine à la nage."On ne peut rien faire contre" les tsunamis et les séismes qui se produisent régulièrement, estime cet homme de 42 ans.Il n'est pas prêt en revanche à renoncer à son lien avec la mer. "Cette vue, cette brise, cette atmosphère (...) Il ne reste presque plus d'endroits comme ça au Japon".La mer, "c'est mon identité. Elle m'apaise. C'est chez moi".
Il y a 4 ans et 89 jours

Derrière les images : photographier la guerre

La Grande Guerre marque un tournant majeur dans l’usage de la photographie. En moins de quatre ans, elle s’impose comme un outil d’information de masse : des dizaines de milliers de photographies, prises par des photographes officiels ou amateurs, reflètent la mobilisation d’un pays. Au Mémorial 14-18 Notre-Dame-de-Lorette, jusqu’au 11 novembre 2021. L’exposition Derrière les […] L’article Derrière les images : photographier la guerre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 89 jours

A Paris, STUDIOS Architecture restructure pour Oreima

STUDIOS Architecture a livré en 2020 à Paris (IIe) un ensemble de bureaux de 5 600 m² pour Oreima maître d’ouvrage. L’enjeu était de repenser et revaloriser deux immeubles contigus, datant du XIXe siècle, afin de créer un ensemble tertiaire de 5 600 m²cohérent et respectueux de l’histoire des lieux. Communiqué. Tenant compte de contraintes […] L’article A Paris, STUDIOS Architecture restructure pour Oreima est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 89 jours

Le gouvernement demande aux préfets de mettre en œuvre des "plans d'action" pour le télétravail

Ce courrier, consulté par l'AFP et cosigné par les ministres Gérald Darmanin (Intérieur), Elisabeth Borne (Travail) et Amélie de Montchalin (Fonction publique), rappelle que le protocole en entreprise prévoit que le télétravail doit être la règle pour l'ensemble des activités qui le permettent. Depuis janvier, s'est ajoutée la possibilité pour les salariés en télétravail à 100% de revenir un jour par semaine s'ils le souhaitent.Conformément à ce protocole, Jean Castex a demandé jeudi aux entreprises et administrations qui le peuvent de pousser "au maximum" le télétravail pour le mettre en place "au moins quatre jours" par semaine, un objectif dont beaucoup d'entreprises "sont encore loin aujourd'hui", selon lui.Le courrier adressé aux préfets souligne que les dernières données disponibles "font état d'un niveau de télétravail qui reste inférieur à celui du mois de novembre pour les salariés. Dans la fonction publique, le niveau s'est accru mais demeure encore insuffisant dans certains services déconcentrés", indiquent les ministres.Les préfets sont donc invités à mettre en place des plans d'action pour "permettre la pleine application des règles". Pour le privé, il pourra s'agir de "contacts plus systématiques avec les entreprises", ou d'actions de sensibilisation "à destination du grand public, des partenaires sociaux et des chambres de commerce", les administrations de l'Etat étant aussi appelées à "intensifier" le télétravail. Il est demandé aux préfets de "faire remonter" les actions envisagées d'ici au 22 mars.Depuis des mois, le gouvernement exhorte les entreprises à recourir au télétravail. Selon le ministère du Travail, l'érosion observée dernièrement a été "stoppée", mais sans retrouver les niveaux de novembre. Les contrôles vont se poursuivre, alors qu'au moins 52 mises en demeure ont été prononcées par l'inspection du travail depuis octobre.Le Premier ministre avait aussi annoncé jeudi un "protocole significativement renforcé pour la restauration collective en entreprise", notant que "le moment des repas sur les lieux de travail" est particulièrement à risque.Des concertations auront lieu lundi ou mardi et le protocole sera mis à jour dans la foulée sur ce seul volet, a indiqué le ministère du Travail.
Il y a 4 ans et 90 jours

JK Technic, entreprise française spécialisée dans le caillebotis

Avec plus de 25 ans d’expérience, la société JK Technic s’est imposée sur le marché concurrentiel des caillebotis. Créée en 1996, l’entreprise s’est dans un premier temps installée sur le marché français avant de s’exporter à l’international avec aujourd’hui plus de 20 000 clients partout en Europe. Si l’entreprise est bien entendu positionnée sur du caillebotis standard, elle est aussi spécialisée dans la réalisation de caillebotis sur mesure. A travers un bureau d’études composé d’une équipe de techniciens et directement intégré à l’entreprise, elle peut répondre aux demandes les plus techniques. Elle s’adresse à l’ensemble des professionnels du bâtiment, du secteur industriel mais aussi du secteur architectural. Bien que le caillebotis soit originellement constitué de bois, JK Technic vous propose un large choix de matières et de modèles. En effet, vous pouvez retrouver le caillebotis électroforgé (fait à partir d’acier galvanisé ou brut, d’inox et d’aluminium), le caillebotis polyester, le caillebotis caoutchouc ou encore le caillebotis pressé. En ce qui concerne le caillebotis pressé JK Technic il peut être utilisé de nombreuses et différentes façons : marches d’escalier, passerelles, brise-soleil, brise-vue, clôture ou encore garde-corps. En résumé, il peut aussi bien être utilisé pour des éléments techniques que des éléments esthétiques. De la fabrication à la mise en œuvre, JK Technic vous accompagnera tout au long de votre projet. En effet, en complément des équipes de fabrication et du bureau d’études, un service commercial ainsi qu’un service logistique ont été mis en place. En amont de la fabrication, le service commercial vous conseillera pour choisir les produits les plus adaptés à vos besoins et répondra à toutes vos questions avec la réactivité nécessaire aux professionnels que vous êtes. En aval, le service logistique garantira votre livraison et son suivi dans les meilleurs délais. Enfin, pour les demandes urgentes, il est important de noter que la société JK Technik dispose d’un stock important de caillebotis standard (+ de 100.000 m²), ce qui lui permettra d’assurer des expédition le jour même pour des commandes passées avant 10h. Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à contacter la société : JK technic spécialiste du caillebotis en france Parc industriel Sud – ZI Edison Rue Abbé Louis Verdet 57200 SARREGUEMINES Tél. : +33 3 87 98 88 76 Fax : +33 3 87 98 82 87 jktechnic@jktechnic.fr
Il y a 4 ans et 90 jours

Guyancourt : concertation publique sur le projet « quartier des Savoirs »

Dans les Yvelines, la Ville de Guyancourt s’apprête à lancer une grande concertation publique pour l’aménagement du futur quartier des Savoirs.
Il y a 4 ans et 90 jours

Covid-19 : La mutation de l’immobilier de bureau

Depuis le début de la crise sanitaire il y a maintenant un an, de nombreux secteurs ont connu des évolutions majeures. Et l’immobilier de bureau a en effet été impacté par la réalité des confinements et par l’essor du télétravail. Vers la fin du bureau traditionnel ? Le bureau est désormais au cœur de toutes les problématiques stratégiques des entreprises. Le rôle du bureau va en réalité au-delà de fournir un local pour effectuer une activité. Depuis la pandémie, sa fonction de hub social a été mise en valeur. En effet, la majorité des entreprises françaises ont adopté le télétravail. S’il a permis d’assurer la continuité de l’activité, il présente quand même quelques inconvénients, notamment au niveau des échanges et de la communication. Certains salariés ne sont pas favorables à un rythme de télétravail à 100%. Sur le long terme, les entreprises se dirigent vers un rythme hybride avec 2 ou 3 jours de télétravail par semaine. Contrairement aux idées reçues, le télétravail n’a pas tué le bureau. Au contraire, il a fait ressortir sa fonction essentielle qui est de réunir les collaborateurs. Télétravail et bureaux ne sont pas antonymiques. Les bureaux sont repensés par les entreprises, qui recherchent désormais des locaux agissant comme de véritables lieux de vie. Des lieux où seront favorisées les interactions sociales. Le bureau n’est donc pas mort, cependant les habitudes des salariés ont profondément changé. L’offre de bureaux a donc été complètement redessinée pour répondre aux nouveaux besoins des entreprises. Il ne s’agit plus d’offrir de nombreux mètres carrés, mais plutôt d’améliorer la vie des salariés au bureau. Cela se traduit par des bureaux moins grands, mais mieux équipés, plus verts et mieux placés. Quel avenir pour les espaces vides ? Le quartier d’affaires de La Défense à Paris, l’un des plus grands marchés de bureaux européen, affiche une baisse de fréquentation de 40%. Nombreuses surfaces de bureaux ont été désertées depuis l’apparition du Covid-19 et le développement du télétravail. La question que l’on se pose actuellement est : que va-t-on faire de ces surfaces de bureau inutilisées ? Selon Marie-Laure Leclercq de Sousa, porte-parole et directrice du département Conseils et Transactions locatives chez JLL France, le télétravail va avoir un impact sur 30% des surfaces occupées par les entreprises. Les surfaces de bureaux inoccupées ne devraient pas le rester très longtemps. Marie Laure Leclercq de Sousa indique que le taux de vacances sur le stock de bureaux en France est loin d’être catastrophique. La part de bureaux vides va permettre aux investisseurs de restructurer leurs immeubles et de prendre en compte le décret tertiaire pour diminuer leurs consommations énergétiques. Des réflexions autour des différents parcs de bureaux inoccupés, notamment dans les grandes métropoles, sont en œuvre. Certaines surfaces pourraient être transformées en logements ou en résidences étudiantes. Les professionnels de l’immobilier d’entreprise réfléchissent à quel va être le monde des bureaux de demain.
Il y a 4 ans et 90 jours

23% des Français estiment que le confinement a changé l’image qu’ils se faisaient de leur logement

24% des Français souhaitent déménagerTout au long de l'année 2020, le logement a dû s'adapter pour faire face à une mutation inédite des modes de vie. 23% des ménages français estiment ainsi que le confinement a changé l'image qu'ils se faisaient de leur habitat et 42% jugent qu'il leur a manqué quelque chose, avec en tête de liste un extérieur (jardin, balcon ou terrasse). Le premier confinement a même convaincu 24% des ménages interrogés qu'un déménagement s'imposait.La cuisine au centreEn raison de la fermeture des restaurants, la cuisine est redevenue un lieu de vie important pour de nombreuses familles. Ainsi, un quart des ménages non équipés d'une cuisine intégrée déclarent que le confinement leur a donné envie de s'équiper, tandis que 14% des ménages équipés souhaitent en changer. Ces achats ou renouvellements se feraient grâce à un crédit dans 41% des cas.Des logements majoritairement inadaptés au télétravailLa mise en place du confinement au printemps 2020 s'est traduite par une augmentation importante du nombre de télétravailleurs, dans des espaces souvent inadaptés. 37% des personnes en activité ont été concernées, et elles sont encore 23% à être en télétravail au moins un jour par semaine aujourd'hui. Or 80% déclarent ne pas avoir d'espace de travail aménagé chez elles.Le boom des loisirs à la maisonLes Français ont été nombreux à s'adonner à leurs activités de loisir chez eux. De nombreux ménages se sont ainsi équipés en matériel de sport ou en instruments de musique. La vente de piscines a également surfé sur la crise de la Covid-19, sachant que la France est le deuxième parc au niveau mondial derrière les Etats-Unis.Bricolage et jardinage en hausse2020 a été l'année du bricolage pour les Français, dont le marché enregistre une croissance de près de 5% (source : Fédération des Magasins de Bricolage). Les jardineries ne sont pas en reste, en progression de 2,2% sur l'activité jardin, qui demeure le lieu le plus convoité par les Français en 2020 : 59% déclarent avoir pratiqué le jardinage l'an passé.Des logements trop gourmands en énergieAutre prise de conscience : le bilan énergétique des maisons françaises. Un tiers des Français trouvent en effet que son logement lui coûte trop cher en gaz et en électricité, qui constituent les énergies dominantes pour le chauffage. 7,5% des propriétaires de maison se déclarent ainsi prêts à changer de système, et 43% d'entre eux s'orienteraient vers une pompe à chaleur, avec un recourt au crédit dans 54% des cas. Les panneaux photovoltaïques ne représentent que 8% des équipements, et 3,4% des ménages souhaiteraient s'équiper principalement pour un motif économique. 6,4% des propriétaires ont également l'intention de changer les fenêtres de leur logement pour en améliorer l'isolation.Un changement des comportements d'achat ?L'année écoulée aurait pu laisser croire que la vente en ligne allait prendre le pas sur la vente physique. C'est pourtant l'inverse qui ressort de l'étude puisque, selon les univers de consommation, plus de deux Français sur trois concrétiseront leur acte d'achat en magasin. Pour autant, la digitalisation du parcours d'achat est bien en marche puisque la majorité des consommateurs (jusqu'à 70% pour l'aménagement de la cuisine) préparent leurs achats d'équipement de la maison en ligne. Ce phénomène s'expliquerait par une situation sanitaire qui peine à s'améliorer et qui pousse les consommateurs à préparer davantage leurs achats afin de passer le moins de temps possible en magasin.Le crédit à la consommation facilite la concrétisation des projets d'achatsEn 2020, 24,9% des ménages remboursent un crédit à la consommation, et 21,3% de ces ménages l'utilisent pour financer l'équipement de leur maison. Par ailleurs, le panier moyen financé à crédit est supérieur de 30% au panier moyen sans financement. Élément incontournable de l'équipement des ménages, le crédit à la consommation contribue ainsi de façon directe à l'économie.Quels projets pour les Français en 2021 ?Cette année 2020 inédite, où les consommateurs ont vu leurs habitudes bouleversées, aura permis aux Français de faire un état des lieux de leur logement pour s'adapter à un nouveau mode de vie, mariant professionnel et personnel. Le confort, la performance énergétique, l'aménagement d'espaces dédiés au travail et aux loisirs restent des tendances fortes en 2021, avec en priorité des dépenses pour des travaux de réaménagement, des achats d'électroménager et des investissements dans du matériel informatique ou de la téléphonie.« La maison redevient un véritable lieu de vie pour toute la famille, avec plus de respect pour l'environnement, plus d'équipement, plus de confort, plus de bien-être et également plus de loisirs », conclut Evelyne Haond, Directrice du Développement de l'Equipement de la Maison chez Sofinco.* Étude menée en ligne du 25 octobre au 4 novembre 2020 auprès d'un échantillon représentatif de 6.000 Français sur des critères d'âge, de profession, de région d'habitation, de type de logement et de statut d'occupation de ce logement selon la méthode des quotas. Retrouvez la totalité de l'étude à cette adresse.
Il y a 4 ans et 90 jours

Le SNFA publie le premier guide dédié à l'acoustique des façades rideaux à ossature aluminium

Ce guide a pour but d’accompagner l’ensemble des acteurs de la construction tels que les maîtres d’œuvre, architectes, bureaux d’études, entreprises, en vue d’orienter au mieux les choix techniques en phase conception, de bien appréhender les solutions techniques proposées par les entreprises et enfin de suivre la réalisation en phase chantier.Il concerne les façades rideaux et semi-rideaux, conformes au domaine d’application de la norme NF DTU 33.1, et constitue un outil pratique pour les professionnels de la construction de bâtiments tertiaires : bureaux, hôpitaux, établissements d’enseignement, résidences hôtelières ou étudiantes.Un guide pratique de référenceAfin d’aboutir à un ouvrage qui se veut didactique et reconnu par l’ensemble des acteurs, le SNFA a travaillé avec ses membres, puis a consulté plusieurs experts acousticiens de bureaux d’études, de bureaux de contrôles et de laboratoires.Ce guide comporte les informations essentielles avec de nombreux schémas et exemples rendant accessibles les problématiques acoustiques, souvent mal comprises et négligées.Les principes de l’acoustique du bâtiment sont présentés, ainsi que les textes fixant des exigences acoustiques réglementaires, normatives et de certifications d’ouvrage. Il est également expliqué comment la façade légère participe à la réduction des bruits extérieurs, ainsi qu’à la limitation des bruits intérieurs entre locaux. Enfin, des règles de conception simplifiées avec des ordres de grandeur permettent de mieux comprendre les moyens à mettre en œuvre.Le guide explique notamment que l’isolement des bruits extérieurs, provient essentiellement de la performance des vitrages, des ouvrants et du nombre de peaux de la façade (simple ou double peaux).Pour l’isolement aux bruits intérieurs, c’est plutôt l’ossature de la façade qui participe à l’isolement entre bureaux accolés ou entre étages. Pour traiter cette problématique, le choix de la nature de la façade, en grille ou en cadre, est primordial. Par exemple, la façade cadre, constituée d’éléments préfabriqués plus ou moins désolidarisés, permet d’atteindre les performances d’isolation acoustique les plus élevées.Enfin, le guide montre l’étendue des améliorations acoustiques des meneaux qui peuvent être réalisées en usine, comme l’insertion de laine minérale ou végétale, de tôles acier, de plaques de plâtre ou encore de matériaux visco-élastiques. Les jonctions avec les murs et les planchers constituent les points faibles du point de vue de l'isolement acoustique entre locaux et des solutions sont présentées au moyen de plusieurs exemples.Le guide est en accès libre sur https://www.fenetrealu.com/publications
Il y a 4 ans et 90 jours

OXYNOV PRO, le spécialiste du garde-corps Inox

OXYNOV PRO est un site e-commerce spécialisé dans les composants des garde-corps en Inox, à destination des professionnels. Vous y retrouverez plus de 5000 références en stock avec une promesse : livraison en 48h à 72h. Des prix en direct d’usine OXYNOV se présente comme le distributeur le moins cher dans ce secteur qu’est la quincaillerie en Inox pour garde-corps. Grâce à un circuit court en direct d’usine, les prix proposés par OXYNOV PRO sont hyper compétitifs. Tous les achats se font directement sur le site, ce qui réduit les coûts de distribution et permet donc de se positionner avec ces tarifs. Une qualité maitrisée Les produits proviennent de leur Allemagne basée en Allemagne et la qualité de l’Inox est régulièrement contrôlée afin d’être en conformité avec la norme européenne EN 10027. Ainsi, la qualité des matériaux et de leur production est complètement maitrisée. Garde-corps Inox pour intérieur et extérieur Le catalogue propose des pièces pour garde-corps en Inox 304 et 316 à installer soit en intérieur soit en extérieur. La qualité des matériaux proposés permet de fabriquer des garde-corps sécurisés, fiables et très durables pour un résultat esthétique. De nombreuses références en stock Plus de 5000 références sont disponibles en stock et livrables sous 48h à 72h.  Vous retrouverez une gamme complète de pièces détachées dans toutes les catégories de pièces de garde-corps en Inox : Tubes et mains courantes, Pinces, Poteaux et câblage… Un espace professionnel dédié Pour accéder aux prix préférentiels des produits et options, il faut d’abord se créer un compte professionnel et renseigner son numéro de SIRET. Suite à l’inscription, l’accès aux tarifs est donné ainsi qu’à toutes les données techniques (plans, notices, fiches techniques…). Ainsi, une remise permanente est accordée aux comptes professionnels Sur votre accès professionnel vous avez accès en direct à l’avancement et l’état de vos commandes passées sur le site. A qui s’adresse-t-il ? OXYNOV PRO s’adresse aux artisans, poseurs, quincailleries et autres professionnels de ce secteur étant à la recherche d’un fournisseur fiable de produits et d’accessoires de garde-corps en Inox de qualité à des prix très avantageux. Un catalogue PDF est téléchargeable sur le site ou en cliquant ici où retrouver toutes les références disponibles sur le site avec les prix de vente. Quelle différence entre Inox 304 et Inox 316 ? Deux types d’inox sont proposés : l’Inox 304 et l’Inox 316. Voilà ce qui les différencie : Inox 304 : c’est l’aluminium utilisé pour une utilisation en intérieur ou extérieur dans des conditions standards. Il est adapté aux usages extérieurs non pollués, c’est-à-dire non humide ou non exposé aux attaques extérieures. Inox 316 : c’est un Inox plus résistant que le 304 grâce à un complément en Mobylène (environ 2 à 3%). Ce type d’Inox est idéal pour les milieux dits humides ou pollués, comme aux abords d’une piscine ou dans les milieux salins. Ces deux types d’Inox sont résistants à la rouille car ils sont inoxydables. Des produits d’entretien existent pour ces deux types d’Inox afin d’éviter les problèmes de corrosion ou de rouille.
Il y a 4 ans et 90 jours

Création de la Fondation Castorama pour renforcer la lutte de l'enseigne contre le mal-logement

Créée en janvier 2021 et abritée par la Fondation de France, la Fondation Castorama souhaite accompagner les plus démunis dans leurs démarches d'accès au logement et dans la réalisation de travaux d'aménagement de leur maison. Son action repose sur deux piliers : le soutien à des projets associatifs de lutte contre le mal-logement et la transmission du savoir-faire auprès de publics fragiles. Présente aussi bien à l'échelle nationale que régionale, la Fondation Castorama s'inscrit dans la lignée de l'engagement local très fort des magasins de l'enseigne.Cette année, le projet soutenu par la Fondation Castorama à l'échelle nationale est celui des Bricobus, mené par Les Compagnons Bâtisseurs : 60 000 euros seront versés à l'association pour développer cette initiative solidaire qui permet, dans toute la France, d'aller à la rencontre de personnes démunies confrontées à des problèmes de mal-logement. Les membres de l'association les accompagnent dans la réalisation de leurs travaux et prodiguent différents conseils, tout en leur proposant des cours de bricolage gratuits. Le Bricobus est aussi un vecteur de lien social, luttant contre l'isolement qui peut être rencontré en territoires ruraux.La Fondation Castorama agit également au niveau local : elle soutient ainsi 13 projets partout en France. Les associations bénéficiaires ont été sélectionnées au travers d'un vote des collaborateurs organisé dans l'ensemble des magasins de l'enseigne. La Fondation Castorama versera à chaque association lauréate une aide de 10 000 euros, soit un total de 130 000 versés à des projets locaux.
Il y a 4 ans et 90 jours

ACS Lohmuller assure la ventilation de ses locaux avec une VMC double-flux équipée de solutions Ubbink

Ubbink et ACS Lohmuller, un partenariat gagnant-gagnantLuc Lohmuller, installateur, dirigeant de l'entreprise de sanitaire/chauffage ACS Lohmuller, spécialisée dans les énergies renouvelables, utilise les produits Ubbink depuis maintenant 2 ans. Sélectionnés par ce spécialiste pour leur fiabilité et leur simplicité de mise en œuvre, les solutions Ubbink s'accompagnent également de nombreux services de qualité qui ont séduit ce professionnel. Ainsi, disponibilité des produits, suivi des commandes, bureau d'études intégré… font d'Ubbink un partenaire de choix pour cette société labellisée RGE, Qualipac, Qualisol et Qualibois.Dans le cadre de l'installation d'une VMC Double-Flux et de la réalisation de son showroom dans ses locaux, l'entreprise ACS Lohmuller a logiquement utilisé les produits de la gamme AIR EXCELLENT. Ces conduits-semi-rigides permettent de contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Le choix des produits Ubbink s'est ainsi imposé comme une évidence puisque le réseau semi-rigide AIR EXCELLENT s'adapte à toutes les configurations et solutions de ventilation.Silencieuse, conçue de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau et facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.Une installation doublement utile pour l'entrepriseLe résultat offre à ACS Lohmuller un système de ventilation optimal. Installée dans une zone industrielle, l'entreprise dispose ainsi d'une VMC Double-Flux permettant de filtrer l'air et donc de renforcer sa qualité dans les 160 m² d'espace de vie, qu'il s'agisse des bureaux, du vestiaire ou du showroom. La récupération des calories issues de la baie de brassage de l'entreprise permet de chauffer les espaces en hiver et de les climatiser en été et, ainsi, de faire des économies d'énergie.De plus, cette installation répond à un double objectif, le showroom ayant vocation à accueillir les clients de l'entreprise ACS Lohmuller. Ainsi, les gaines du réseau circulaire AIR EXCELLENT ont été laissés apparentes dans cet espace afin de permettre aux visiteurs de constater le savoir-faire et les produits utilisés par l'artisan. « Les conduits verts sont un véritable atout et nous utilisons cette couleur signature des produits Ubbink afin d'en faire une démonstration visible de ce que nos clients auront comme réseau de ventilation » indique Luc Lohmuller, gérant de la société ACS Lohmuller.L'installation de cette VMC Double-Flux s'est effectuée dans le cadre d'une rénovation globale et le showroom de l'entreprise ACS Lohmuller accueillera ses clients d'ici à la fin de l'année 2020.
Il y a 4 ans et 90 jours

EPA Nice Écovallée – Consultation pour l’îlot 3.5 bis à vocation mixte

L’EPA Nice Écovallée lance sur l’îlot 3.5 bis une consultation pour un programme immobilier à vocation mixte (tertiaire, services, activités) relié au pôle d’échanges multimodal, situé dans le secteur opérationnel du Grand Arénas. Jusqu’au 31 mai 2021. L’EPA Nice Écovallée, acteur de la relance économique du territoire, propose une nouvelle consultation dans le cadre du […] L’article EPA Nice Écovallée – Consultation pour l’îlot 3.5 bis à vocation mixte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 90 jours

Le spécialiste français en ingénierie ferroviaire Ikos rachète le britannique Aegis

Fondée en 2005, la très discrète société Ikos Consulting emploie 1.000 ingénieurs dans dix pays, dont 650 en France. "Elle a pour particularité d'être spécialisée dans le secteur ferroviaire, ce qui dans le monde du conseil en ingénierie est assez atypique parce qu'on est plutôt face à des généralistes", a expliqué à l'AFP son fondateur et président Serge Chelly.Ikos n'a pas communiqué de montant pour la transaction.La société française intervient sur des problématiques de métros, tramways, trains à grande vitesse, systèmes embarqués et infrastructures, et a développé un département dédié à l'innovation, qui planche sur l'hydrogène, la cybersécurité, les trains autonomes, la maintenance prédictive et le concept de trains à sustentation magnétique Hyperloop.Aegis Engineering Systems, entreprise britannique employant 70 personnes et 50 associés, est plus spécialisée dans le matériel roulant, a souligné M. Chelly."Ils ont une offre que nous n'avons pas sur la certification du matériel, les études de qualité qui certifient des produits", a-t-il relevé.Le renforcement de la présence au Royaume-Uni devrait aussi servir à l'entreprise de tremplin pour aborder de nouveaux marchés dans les pays du Commonwealth, a-t-il noté.L'acquisition de Aegis est la première opération de croissance externe d'Ikos, mais sans doute pas la dernière selon M. Chelly. "On étudie des dossiers parce qu'on se sent solides pour le faire. Il y a des pays qui nous intéressent, comme l'Allemagne ou les États-Unis", a-t-il précisé.
Il y a 4 ans et 90 jours

Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A

L’agence DL2A (Didier Lefort) a livré en octobre 2019, pour SI Neuilly Château maître d’ouvrage, la rénovation totale des façades et la réhabilitation des parties communes d’un imposant immeuble industriel des années 30 d’une surface de 11 000 m², en bordure du canal Saint-Martin, quai de Jemmapes à Paris (Xe). Communiqué. Pour les parties communes […] L’article Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 90 jours

Nice va créer une forêt urbaine en plein centre-ville

PROJETS URBAINS. Le maire de Nice, Christian Estrosi, avait créé la surprise, juste avant sa réélection, avec un projet de forêt urbaine en plein centre, qui nécessite la démolition de deux équipements publics. L'appel d'offres de maîtrise d'oeuvre vient de se clôturer.
Il y a 4 ans et 90 jours

Une saint-chapelle de béton - Livre

Si à Metz, il y a le centre Pompidou et que la ville regorge de pépites patrimoniales, notamment sa gare monumentale en grès de style néoroman rhénan ou celles, nombreuses du quartier impérial allemand, il ne faudrait pas omettre l'église Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus. Construite par l'architecte Roger-Henri […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 90 jours

Scénographie pour la dégustation du Cognac, par l'agence Edgar

C'est une encyclopédie virtuelle composée d'une myriade d'édifices indissociables des petites routes de campagne. Châteaux d'eau, églises, pavillons individuels, corps de ferme, commerces… constituent l'essence de l'Atlas des régions naturelles* d'Eric Tabuchi et Nelly Monnier. Commencé en 2017 et en ligne depuis […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 90 jours

Loi climat : tour de vis des députés contre les nouvelles grandes surfaces commerciales

Cette mesure a été votée par la commission spéciale qui passe en revue le projet de loi climat, avant sa venue en plénière dans l'hémicycle à partir du 29 mars.L'article 52 du texte, très débattu, fixe selon son exposé des motifs "un principe général d'interdiction de création de nouvelles surfaces commerciales qui entraîneraient une artificialisation des sols".Le but est de limiter leur empiètement sur des terrains non-bâtis, agricoles notamment, à la périphérie des centres urbains, avec des conséquences pour l'environnement et les paysages, mais aussi le déclin des commerces de proximité.Le texte stipule toutefois que par dérogation, la commission départementale d'aménagement commercial pourra, "à titre exceptionnel", autoriser "un projet d'une surface de vente inférieure à 10.000 m2".Le projet devra ainsi s'insérer dans le tissu urbain existant, répondre à un "type d'urbanisation adéquat", ou répondre aux "besoins du territoire". La compensation des terrains artificialisés par des surfaces rendues à la nature ou à l'agriculture pourra aussi être prise en compte pour une dérogation.Le seuil de 10.000 m2 a été jugé trop élevé par de nombreux parlementaires. Loïc Prud'homme (LFI) a indiqué que "ce sont 80% des projets de surfaces commerciales qui se situent au-dessous de ce seuil", tandis que l'écologiste Matthieu Orphelin estimait que "cet article ne va quasi rien changer".Plusieurs députés, y compris dans la majorité, ont réclamé en vain un seuil à 5.000 m2 ou plus bas.Au centre droit, Thierry Benoît (UDI) a demandé "un vrai moratoire", estimant qu'en la matière "on ne peut pas continuer comme on le fait depuis 50 ans" avec des zones commerciales s'étendant de plus en plus à la sortie des villes.Le rapporteur général du texte Jean-René Cazeneuve (LREM) a plaidé le pragmatisme, affirmant que "cet article ne fait peut-être pas tout le job pour certains, mais c'est un progrès".Abaisser le seuil risquerait de provoquer selon lui une multiplication dans le paysage périurbain de "petites boîtes à chaussures", des centres commerciaux plus réduits au détriment de projets plus grands mais "plus cohérents".Certains élus comme Julien Aubert (LR) ont demandé que les parkings de ces centres, pas seulement les bâtiments, soient pris en compte. Le co-rapporteur Lionel Causse (LREM) s'est dit prêt à travailler sur ce sujet pour l'examen en séance plénière.Cette lutte contre l'artificialisation des sols va aussi demander aux collectivités de remettre à jour leurs documents d'urbanisme. Mardi soir, les députés ont adopté un amendement pour leur donner plus de temps, cinq à six ans après l'adoption du projet de loi.
Il y a 4 ans et 91 jours

Les architectes "atterrés" par les rapports Sichel et Michel-Rivaton

PROFESSION. Le président du principal syndicat d'architectes ainsi que la sous-directrice à l'architecture du ministère de la culture se disent "atterrés" par le traitement réservé aux architectes dans deux rapports rendus publics récemment, sur la construction en préfabriqué et sur la massification des rénovations énergétiques.
Il y a 4 ans et 91 jours

Relance : la Banque des Territoires détaille ses six plans

« Six plans déployés, avec de l’argent disponible et fléché » : Olivier Sichel, directeur de la Banque des Territoires, a synthétisé le 18 mars les programmations arrêtées pour la période 2020 – 2024 afin de contribuer à la relance de la France. La filiale de la caisse des dépôts s’est saisie de la troisième édition du printemps des territoires, son rendez-vous printanier annuel avec les collectivités, pour médiatiser ses engagements.
Il y a 4 ans et 91 jours

Les milliards des six plans de relance de la Banque des territoires

INVESTISSEMENTS. Rénovations énergétique, mobilité verte, foncières commerciales, commande de logements aux promoteurs... le bras armé de la Caisse des dépôts tire un premier bilan de ses six plans de relance, qui touchent de nombreux secteurs et doivent s'échelonner jusqu'en 2024.
Il y a 4 ans et 91 jours

L'EPTB Seine Grands Lacs reconduit son programme d'actions de prévention des inondations (PAPI) de la Seine et de la Marne franciliennes

Le PAPI est construit autour de 4 objectifs prioritaires :Réduire la vulnérabilité du territoire francilienAgir sur l'aléa pour réduire le coût des dommagesAider les territoires sinistrés à se remettre rapidement des dommages subisMobiliser tous les acteurs autour de la culture du risqueA l'issue de cette première période, le bilan permet de constater que ce programme, d'une envergure unique en France, a créé une dynamique collective bénéfique au territoire.La connaissance des phénomènes naturels en est considérablement améliorée, la sensibilisation des populations riveraines renforcée, ainsi que l'alerte et la gestion de crise, et de nouveaux ouvrages de régulation des crues ont pu être aménagés. Poursuivant le même objectif, dans une démarche progressive d'amélioration continue, la construction d'un nouvel ouvrage, le site pilote de la Bassée, a été intégré au programme en 2020, avec un double objectif de diminution des niveaux de la Seine en crue et de valorisation écologique du territoire de la Bassée aval.Le bilan très encourageant de ce PAPI n°1 a conduit l'EPTB Seine Grands Lacs à poursuivre le travail engagé et à élaborer un PAPI n°2 qui s'étendra sur la période 2022-2028.Ce second programme, dont le périmètre va évoluer et intégrer de nouveaux acteurs, viendra consolider cette dynamique et faire de l'Île-de-France un territoire mieux préparé et plus résilient face aux prochaines crues de la Seine et de la Marne. Ainsi, le PAPI n°2 devrait notamment concerner, dès 2022, les axes Seine et Marne sur l'ensemble de la Région Île-de-France, avec une extension sur la partie aval dans les Yvelines.
Il y a 4 ans et 91 jours

Écoles d’architecture et profession, de passion à désillusion

En partenariat avec L’Architecture d’Aujourd’hui, l’Union nationale des étudiants en architecture et paysage (UNEAP) prend la ...En savoir plus Cet article Écoles d’architecture et profession, de passion à désillusion est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 91 jours

Feedback QVT & lumière naturelle au centre de l'usine K-Line Les Herbiers

Genèse d'un projet lumièreHistoriquement, les équipes K-LINE étaient déjà connaisseuses des prestations Bluetek bien avant 2020. En effet, elles avaient déjà travaillé avec le Groupe Briand il y a quelques années dans le parc industriel de la Plaine de l'Ain situé à Saint-Vulbas. Satisfaits du résultat, les décideurs K-LINE ont simplement reconduit des valeurs sûres en termes d'efficacité et d'organisation, c'est-à-dire les prestations de travaux collaboratifs entre l'entreprise de construction Briand et le fabricant poseur Bluetek.Un atelier qualité de vie au travail comme point de départ Comme beaucoup d'entreprises, la société K-LINE s'est investie ces dernières années dans une réflexion sur la Qualité de Vie au Travail. C'est dans cette thématique que s'est articulée l'un des ateliers QVT ; le bien-être passant aussi via une bonne qualité de lumière naturelle à l'intérieur des bâtiments. La proposition a été complétée de brise-soleils orientés permettant la suppression de l'effet de serre via une protection solaire largement dissocié du vitrage. C'est ainsi que le projet a été validé. Il allait améliorer les conditions de travail des salariés de l'usine vendéenne en leur apportant un éclairement tout neuf.Organisation et timing64 anciennes voûtes en polyester ont été déposées et remplacées par les équipes travaux Bluetek. Le service, basé à Ambert dans le Puy-de-Dôme, a mobilisé plus de 6 personnes. Ces travaux ont été réalisés pendant la fermeture estivale, soit les trois premières semaines d'août. La livraison des appareils a été scindée afin de respecter le temps de pose et éviter un stockage inutile. Les brise- soleils ont été posés courant septembre 2020. La globalité de la prestation a été largement félicitée par l'entreprise Briand.Bluevoûte Therm et Voile-Dôme : l'assurance d'un confort de travailLes 64 Bluevoûte ont été fournies avec sablières et grilles 1200 joules. Elles sont équipées d'un brise-soleil latéral ou longitudinal de type Voile-Dôme. L'une des voûtes est également équipée de 2 ouvrants pneumatiques de type Exuvoile. La toiture du bâtiment est ainsi devenue une opportunité majeure pour la diffusion d'une lumière naturelle optimisée. Elle favorise le confort de travail, en limitant la surchauffe estivale et l'éclairage artificiel. Elle permet donc de réaliser des économies d'énergies tout au long de l'année.Étude lumière post réalisationImplantationSur ce bâtiment de 23 770 m² pour 9,690 m de hauteur (à l'acrotère) ont été posés :Zone Est : 18 Bluevoûte dimensions 2,1 X 7,89 m + Voile-Dôme longitudinalZone Ouest : 45 Bluevoûte dimensions 2,095 X 10,54 m + Voile-Dôme longitudinalPetite zone : 1 Bluevoûte dimensions 2,154 x 10,46 m + Voile-Dôme latéralLes voûtes sont munies d'un remplissage en polycarbonate alvéolaire (PCA) épaisseur 16 mm incolore. Transmission lumineuse 33 %. Facteur solaire brut 0,12. Toutes les baies en façade ont une transmission lumineuse globale de 70 %.RésultatsL'installation d'éclairage zénithal, couplée à l'éclairage en façade, a été bien conçue. Elle permet d'atteindre une autonomie lumineuse naturelle supérieure à 50 % pour 300 lux d'éclairement entre 8 h et 18 h, avec une répartition de lumière globalement homogène.Le FLJ moyen de 2,8 % est atteint sur toutes les zones pour 60 % et plus d'autonomie lumineuse.Maître d'Ouvrage : K-LINE / Les Herbiers (FR-85)Contact : Marc Cotillon / Chargé de Travaux et MaintenanceTravaux : Briand / Les Herbiers (FR-85)Contacts : Cédric Girardeau / Chargé d'Affaire - Guerric Bruandet / Responsable Service TravauxFourniture lanterneaux Bluetek - Luynes (FR-37)Contacts : Ludovic Berthonneau / Responsable Commercial Régional BluetekDaniele Mariotti / Ingénieur Recherche & InnovationPose Bluetek Service Travaux - Ambert (FR-63)Contacts : Danièle Boyer / Responsable Activité Travaux - Marie Compte / Assistante Commerciale Travaux -Daniel Marel / Responsable Montage - Yannick Beal / Monteur
Il y a 4 ans et 91 jours

Acova modernise le process de traitement de surface de son usine historique de Vaux Andigny

Dans son unité de fabrication historique située dans l’Aisne, Acova, marque du groupe Zehnder, modernise le process de traitement de surface de ses radiateurs en acier afin de réduire leur impact environnemental et pérenniser son outil de production français. Un investissement de 3 millions d’euros au service de l’environnement… Dans le cadre de sa démarche RSE, Acova, fabricant français de radiateurs décoratifs et radiateurs sèche- serviettes dont l’usine historique est implantée à Vaux-Andigny, a entrepris, depuis quelques mois, la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface et de peinture, sans arrêt de la production. Représentant un investissement de 3 millions d’euros, celle-ci concerne : • le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse, une technologie innovante de protection anticorrosion beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz. Doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface, sa mise en service sera effective en Mai 2021. Ce nouvel équipement et l’étuve de séchage vont permettre une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). … et de la qualité Made In France Cet investissement s’inscrit également dans la politique d’amélioration continue d’Acova. Si le nouveau procédé chimique de protection anti-corrosion des radiateurs par autophorèse réduit l’impact environnemental du process de fabrication, il garantit aussi la qualité et la durabilité des produits. En effet, cette nouvelle technologie offre ainsi : • une répartition uniforme de la couche anticorrosion même dans les zones les plus étroites du radiateur pour une protection parfaite. • une résistance exceptionnelle du radiateur, attestée par la tenue au test de brouillard salin 3 fois plus longue que le niveau d’exigence de la marque NF. Conjuguer savoir-faire historique et innovations durables Acova, dont le nom a pour origine l’acronyme de « Atelier de COnstruction de Vaux Andigny », est une marque pionnière qui a inventé le radiateur sèche serviettes mais aussi proposé les premiers radiateurs en couleurs dans les années 70. Aujourd’hui, ils sont disponibles dans une palette riche de plus de 50 couleurs et finitions. Grâce à la modernisation du process de traitement de surface, Acova réduit non seulement l’impact environnemental de ses produits mais pérennise également son outil de production pour offrir des radiateurs décoratifs de haute qualité en acier, fabriqués en France, qui continuent à évoluer pour s’adapter aux tendances de la décoration. L’usine de Vaux Andigny a fêté ses 100 ans en 2020 et emploie 178 salariés. http://www.acova.fr
Il y a 4 ans et 91 jours

Le Cerema partenaire d'un projet européen pour améliorer la qualité de l'air dans les salles de classes

La qualité de l'air à l'intérieur des bâtiments a un effet démontré sur la santé et le bien-être. On lui attribue un coût annuel minimum de 19 milliards d'euros par an en France pour la collectivité. Le projet 3SqAir pour « Sustainable Smart Strategy for Air Quality Assurance in Classrooms » est lauréat de l'appel à projets Interreg SUDOE, qui vise à soutenir le développement régional dans le sud-ouest de l'Europe. L'objectif du projet est de concevoir un plan d'actions pour améliorer la qualité de l'air intérieur de salles de classes de différents niveaux en mettant en œuvre des solutions innovantes, soutenables et intelligentes.Les actions portent à la fois :Sur les aspects techniques, avec le développement d'une plateforme de métrologie open-source qui permet de reproduire cette démarche, avec une mise à jour continue des données et un coût maîtrisé ;Sur le comportement des utilisateurs, avec des approches spécifiques innovantes pour chaque type d'occupant (personnel technique, professeurs, élèves), à la fois pour mesurer le bien-être individuel en relation avec la qualité de l'air intérieur et pour les sensibiliser aux enjeux de santé et de confort associés (approche pédagogique).Le Cerema pilotera une des deux démonstrations françaises dans un collège en Gironde. Le choix du site pilote privilégiera un lieu socialement défavorisé, accueillant jusqu'à 1 000 élèves entre 11-15 ans. L'étude se concentrera sur les salles de classe, les bureaux, les salles de réunion et les lieux de restauration. L'objectif est d'atteindre une efficacité énergétique élevée couplée à un faible impact environnemental, en recherchant des installations avec ventilation mécanique double flux et énergies renouvelables.Le Cerema œuvre pour valoriser l'expérience et le savoir-faire français dont il est détenteur au bénéfice de l'Union européenne. Dans ce cadre, cette collaboration transnationale est essentielle pour évaluer l'impact des aspects interculturels, techniques et juridiques de l'espace européen SUDOE sur le déploiement des plans d'amélioration de la qualité de l'air intérieur. Les résultats finaux sont attendus pour avril 2023.
Il y a 4 ans et 91 jours

Valode & Pistre prime les jeunes architectes

Le 1er prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. [©Archi Jeunes /Valode & Pistre] L’agence parisienne Valode & Pistre Architectes a lancé un grand concours autour de l’habitat durable. Celui-ci est dédié aux étudiants en école d’architecture et aux jeunes diplômés de moins d’un an. Les résultats viennent d’arriver… Cinq prix pour cinq visions de l’habitat collectif de demain. Le jury a ainsi récompensé les meilleures réponses à ce thème. La réflexion des candidats s’est portée à la fois sur la dimension sociale et les enjeux environnementaux de l’habitat.  De nouvelles formes d’habitat Les architectes Denis Valode et Jean Pistre, co-fondateurs de l’agence éponyme, pensent qu’il est nécessaire d’ouvrir le débat avec une nouvelle génération d’architectes. Ceci, pour imaginer de nouvelles formes d’habitats. « Conscients aussi des difficultés d’insertion professionnelle de cette jeune génération, directement impactée par les effets de la crise sanitaire, ils ont souhaité agir concrètement pour tendre la main aux talents de demain », peut-on lire dans le communiqué de presse. Le projet architectural attendu était une proposition d’habitats collectifs innovants. Apportant des réponses au constat d’inadaptation des logements et de leur environnement. Ainsi qu’aux aspirations apparues lors de la crise de la Covid et du confinement, en particulier. Le contexte, la localisation, les caractéristiques urbanistiques et le choix entre réhabilitation et construction neuve étaient laissés à l’appréciation des candidats. Les lauréats sont… • Le 1er prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. Il s’agit d’un projet de régénération d’un quartier constitué de maisons ouvrières typiques des Flandres. L’objectif est de développer des extensions, de structurer des associations de volumes. Mais aussi de redévelopper l’usage des jardins pour définir un habitat adapté à de nouvelles conditions de vie. Le duo de filles gagne une bourse de 8 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence Valode & Pistre. • Le 2e prix récompense “au Kêr de demain”, un projet de développement d’un habitat urbain dans des quartiers très pauvres de Dakar, au Sénégal.Porté par Zineb Bennouna et Marylou Machecourt, ce projet est constitué de groupement de logements assemblés autour de la ressource en eau. Ceci, avec des préoccupations d’auto-suffisance et de convivialité. La mise en œuvre de la construction remet au goût du jour des techniques traditionnelles oubliées, comme la voûte nubienne en terre. Les lauréats remportent une bourse de 6 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence. • Le 3e projet récompensé propose “Prémalliance”, à Grenoble. Il s’agit de la réhabilitation/transformation d’un complexe tertiaire préfabriqué des années 1970. Les espaces sont reconfigurés pour créer des logements panoramiques disposant de loggias et d’un espace non affecté. Diaeddine Khaled remporte une bourse de 4 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois. • Telmo Escapil-Inchauspe remporte le 4e prix avec son projet “What goes up must come down – Vivre dehors”. Une construction de deux extensions en forme de tours transparentes dans l’espace inutilisé d’une résidence d’habitat social, à Paris. Le gagnant remporte une bourse de 3 000 €. • Enfin, pour le 5e et dernier prix, remporté par Louis Gibault, il récompense le projet “Tour circuit – Circuit court”. Une tour constituée d’un empilement de maisons individuelles. C’est comme une nouvelle typologie d’habitats qui associe mixité, flexibilité et qui est pensée comme un éco-système. Lui aussi bénéficie d’une bourse de 3 000 €. Par ailleurs, les projets des lauréats seront exposés pendant une période de deux mois au sein de l’agence (VIIe arrondissement parisien). Et seront visibles sur le site Internet de l’agence.
Il y a 4 ans et 91 jours

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal reçoivent le prix Pritzker 2021

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal ont reçu le prix Pritzker 2021. [©Lacaton & Vassal] Les architectes français Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal viennent de décrocher le prestigieux prix Pritzker 2021. Distinction suprême dans le domaine, ce prix récompense des années de travail. En effet, les deux architectes ont fondé Lacaton & Vassal, à Paris, en 1987. Diplômés de l’Ecole d’Architecture de Bordeaux, le duo a aussi bien conçu des logements privés que sociaux, des institutions culturelles ou encore des espaces publics et académiques. Leur travail est un plaidoyer pour la justice sociale et la durabilité. La maison Latapie réalisée à Floirac, près en Bordeaux en 1993. [©Philippe Ruault] Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal privilégient la générosité de l’espace et la liberté d’utilisation, grâce à des matériaux économiques et écologiques. Ils se sont d’ailleurs fait connaître grâce à la réalisation de la “maison Latapie” à Floirac, près de Bordeaux en 1993. Aux allures de hangar, la maison est à la fois spacieuse, autonome et économique. La préservation de l’existant tient aussi une place importante. Partant ainsi du principe qu’il vaut mieux réutiliser que démolir. L’usage plus que l’esthétique « L’existant a de la valeur, si vous prenez le temps et l’effort de l’examiner attentivement, explique Anne Lacaton. En fait, c’est une question d’observation, d’approcher un lieu avec un regard neuf, une attention et une précision… Pour comprendre les valeurs et les manques. Et voir comment on peut changer la situation, tout en gardant toutes les valeurs de ce qui est déjà là. » La réhabilitation de la Tour Bois-Le-Prêtre, un ensemble d’une centaine de logements datant des années 1960, à Paris, en est un bel exemple. Tout comme la rénovation du Palais de Tokyo, devenu depuis le temple de l’art contemporain. La Tour Bois Le Prêtre, un ensemble d’une centaine de logements datant des années 1960, à Paris. [©Philippe Ruault] Le duo regarde un projet de façon globale. Dans l’usage, un aspect prioritaire, son environnement et sa dimension économique. Leur sélection judicieuse de matériaux modestes permet aux architectes de construire de plus grands espaces de vie à un prix abordable. A l’image de la réalisation de 14 résidences pour un lotissement social (2005) et des 59 logements (2015) dans des immeubles de faible hauteur, à Mulhouse. « Une bonne architecture est un espace où quelque chose de spécial se produit, déclare Jean-Philippe Vassal. Où vous voulez sourire, simplement parce que vous êtes là. C’est aussi une relation avec la ville, une relation avec ce que l’on voit et un endroit où l’on est heureux. Où les gens se sentent bien et à l’aise. Un espace qui donne des émotions et des plaisirs. » La rénovation du Palais de Tokyo à Paris a pris fin en 2012. [©Philippe Ruault]
Il y a 4 ans et 91 jours

Ligne Eole : une grue de 750 tonnes pour terminer un ouvrage ferroviaire d’exception

Une estacade, un bow-string et un double franchissement de la Seine… Sur 1 km, cet ouvrage destiné à prolonger la ligne Eole jusqu’à Mantes-la-Jolie, dit « le saut-de-mouton », additionne les prouesses.
Il y a 4 ans et 91 jours

Domestiquer le brutalisme: un immeuble de bureaux signé Claude Parent, transformé en résidence pour étudiants par Canal

Si à Metz, il y a le centre Pompidou et que la ville regorge de pépites patrimoniales, notamment sa gare monumentale en grès de style néoroman rhénan ou celles, nombreuses du quartier impérial allemand, il ne faudrait pas omettre l'église Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus. Construite par l'architecte Roger-Henri […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 91 jours

Guide Weber 2021-2022

Le Guide Weber 2021-2022 vient de paraître, dans une version encore plus enrichie à la demande des artisans et négociants en matériaux, qui plébiscitent notamment les caractéristiques techniques et recommandations de mise en œuvre. 78 produits profitent désormais d’une double pagination explicitant la préparation des supports et l’application. Toutes les descriptions s’étayent d’informations complémentaires, sur les autres produits pouvant être associés à celui présenté par exemple, la conservation, la consommation, les normes et certifications… Une rubrique inédite conclut chaque focus produit, « Weber vous accompagne », renvoyant à des services, nuanciers ou solutions chantiers, une ligne « Temps » précise les étapes et la durée d’application des différentes solutions. 29 nouveaux produits, font leur apparition, habillés de jaune pour les reconnaître instantanément.
Il y a 4 ans et 91 jours

Pose d’une toiture-terrasse ou toiture plate : les étapes à savoir

Le toit plat a le vent en poupe actuellement. Il est particulièrement très prisé de ceux qui procèdent à la construction d’habitations neuves ou à la rénovation. Cette préférence s’explique notamment par son adaptation à tous les styles d’architecture. Avec une structure porteuse solide, il est possible de le mettre en place. D’autant plus qu’avec l’évolution des techniques de construction et l’apparition de matériaux efficaces, les infiltrations et l’étanchéité sont plus efficaces. Voici d’ailleurs quelques points à savoir sur la pose d’une toiture-terrasse. Les raisons de poser une toiture plate De nombreuses raisons poussent les propriétaires à opter pour le toit plat. Déjà, il fait gagner de l’espace sachant que la surface du toit n’est plus perdue. Pour certains propriétaires d’ailleurs, le toit plat permet la mise en place d’un jardin de toit ou encore une terrasse ou même un toit photovoltaïque. Dans tous les cas, le toit plat doit intégrer l’isolation, le drainage et l’étanchéité. Ce qui explique les raisons de toujours faire appel à une entreprise de couverture expérimentée comme sur https://www.couverture-47.fr/. Dans tous les cas, le toit plat permet d’optimiser l’espace sous toiture avec un plafond plat. Il permet également d’offrir une structure esthétique épurée et design à l’habitation. Il est aussi écologique avec les éléments comme l’isolation thermique avec la toiture solaire ou encore la toiture végétalisée sans parler de l’aspect inférieur de la prise au vent. Son entretien est aussi moindre qu’un autre type de toiture. La toiture-terrasse est également un bon moyen de valoriser le bien pour la revente. Quelles solutions pour changer le toit par une toiture plate? Si vous avez donc un projet de changer votre toiture en toiture plate, vous devez tout d’abord vous assurer que le toit existant puisse supporter la charge ajoutée et l’usage piéton. Pour ce faire, il est possible d’utiliser le technique du SEL ou système d’étanchéité Liquide. Pour l’appliquer, il faut tout de même ôter la membrane d’origine pour un toit plat non accessible. Il faut ensuite nettoyer le support. Après cela, il est possible d’appliquer des couches de résines autoprotégées. Une fois les angles protégés, il est possible de recouvrir la toiture-terrasse. L’isolation thermique par l’extérieur est aussi faisable pour protéger les pièces en dessous. Avant de poser le toit plat, il est tout de même conseillé de vérifier le classement du matériau de revêtement présent dans l’Avis technique du revêtement d’étanchéité pour mieux choisir le matériau résistant et étanche. En plus du revêtement, il faut être vigilant quant à la charpente. De ce fait, il est nécessaire de faire vérifier la faisabilité du projet, car toutes les structures porteuses de toits ne sont pas toujours en mesure de supporter le poids d’une toiture plate. Il faudra avoir une tôle d’acier avec dalle de béton armé, une charpente en bois massif traité hydrofuge ou encore une dalle pleine en béton, composite ou armatures acier. Dans tous les cas, il est important de connaître la réglementation du toit plat en termes d’étanchéité comme le respect des normes NF P84.208 et NF P84.208-1. Dans tous les cas, pour avoir le cœur net, il est conseillé d’être guidé par un expert, notamment une entreprise qualifiée Qualibat. D’autant plus qu’il faudra respecter les règles établies par le PLU de la région.  
Il y a 4 ans et 91 jours

« Les Actes Fondamentaux III » : Punir, au Pavillon de l'Arsenal

Après « Jardiner » et « Soigner » en février, Richard Scoffier poursuit son investigation sur les actes essentiels de l’humanité. Le samedi 19 mars à 11h, Richard Scoffier interrogera l’acte de « Punir ». La conférence est accessible en direct sur le site du Pavillon.  Richard Scoffier, professeur, philosophe et collaborateur régulier de d’a, propose d’interroger l’acte de punir et son implication dans la détermination de l’espace. Il fera le tour d’horizon de...
Il y a 4 ans et 91 jours

Les rigoles de douches « Advantix Cleviva » en quatre couleurs attrayantes

Le fabricant de techniques d'installation Viega a ajouté quatre coloris à sa gamme de rigoles de douche « Advantix Cleviva ». Cette évacuation centrale innovante pour les douches de plain-pied est maintenant disponible en noir mat, or, cuivre doré et champagne. Les salles de bains peuvent ainsi parfaitement s'accorder aux tendances actuelles du design jusque dans le moindre détail. Le système permet même de combiner différentes grilles et supports de grille.