Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Handicap

(340 résultats)
Il y a 13 jours

Bobigny – Pablo Picasso : la gare du Grand Paris Express par l’architecte Romain Boursier

Placée à la croisée du centre administratif (Préfecture et hôtel de Département), de la gare routière et du projet Cœur de Ville, la gare Bobigny – Pablo Picasso bénéficie d’un positionnement stratégique au cœur du centre-ville de Bobigny. Son arrivée permettra une meilleure accessibilité aux quartiers d’habitats collectifs en cours de réaménagement et au pôle administratif. Elle sera également en correspondance avec la ligne 5 du métro, la ligne 1 du tramway et la gare routière de Bobigny.
Il y a 22 jours

Salle de bain PMR - Meuble Andy & Miroir Rotary

Découvrez le meuble ANDY et le miroir ROTARY, deux innovations signées Créazur France, pour une salle de bain accessible à tous. Le meuble ANDY et le miroir ROTARY repensent l’accessibilité de la salle de bain, alliant innovation, facilité d'installation et réponse aux besoins des Personnes à Mobilité Réduite.
Il y a 309 jours

ROTO adapte la fenêtre oscillo-battante (OB) a toutes les situations de vie

[FOCUS N°4] UNE SOLUTION D’ACCESSIBILITE POUR TOUS L’un des défis des industriels est de proposer des solutions qui répondent aux besoins les plus larges. Comment adapter les produits à des logements aux configurations les plus variées ? Quelles solutions pour faire évoluer un habitat selon les besoins des personnes à mobilité réduite ou âgées qui […]
Il y a 1 ans et 41 jours

Nouveau disconnecteur BA BM X de WATTS

Nouveau disconnecteur BA BM X de WATTS andresudrie mer 03/04/2024 - 11:11 Destiné à protéger les circuits d’eau potable contre les retours de fluides pollués de catégorie 4 suivant la norme NF EN1717, le nouveau disconnecteur BA BM X de WATTS trouve son application dans toutes les installations susceptibles de présenter un danger toxicologique telles que les réseaux professionnels (traitement de surface, chimie, industrie agro-alimentaire...), sanitaires (milieux hospitaliers, laboratoires, traitement des eaux...) et techniques (eaux osmosées, déminéralisées, désalinisation...) Spécialement conçu en acier inoxydable, il convient plus particulièrement aux environnements agressifs ou avec d’importantes contraintes d’hygiène, susceptibles de générer des risques de pollution par l’utilisation de fluides abrasifs du type eau de mer, produits chimiques et acétone. Pour empêcher tous retours d’eau polluée par contre-pression ou siphonage dans le réseau de distribution d’eau potable, le disconnecteur BA BM X comprend : - trois zones de pression (amont, intermédiaire et aval), - deux dispositifs de non-retour indépendants séparant la zone intermédiaire de chacune des autres zones, normalement fermés hors eau, - un dispositif de décharge à l’air libre installé avec un entonnoir muni d’une garde d’air. Situé dans la zone intermédiaire, il est normalement ouvert en situation hors eau.   Autant d’éléments qui lui permettent d’interrompre, avec la plus grande fiabilité de fonctionnement, la continuité de l’alimentation d’eau par auto-vidange et mise à l’égout du fluide via son entonnoir intégré en cas de danger de retour dans la canalisation principale. Compact pour un encombrement minimum et résistant à la corrosion, le disconnecteur BA BM X dispose d’une soupape à technologie piston, sans membrane, qui lui assure un montage/ démontage aisé et une grande longévité. Sa maintenance est également facilitée grâce à une accessibilité totale des organes internes et une conception modulaire des pièces de rechanges. Certifié ACS, le disconnecteur BA BM X de WATTS permet ainsi de respecter les règles de sécurité relatives aux réseaux d’eau potable et leur garantit un haut niveau de sécurité ainsi qu’une mise en œuvre dans les règles de l’art, sous réserve de l’installation obligatoire des accessoires en amont et en aval (vanne à boisseau sphérique, filtre à tamis avec robinet de rinçage). Caractéristiques techniques température d’utilisation : maximum 65°C pression de fonctionnement admissible en eau : 10 bar . diamètre nominal : de 15 à 50 mm raccordement : mâle BSP conique à écrou tournant fluides admis : eau potable Choisir la Marque® - Associer l'article WATTS FRANCE Nouvelle Avancée de WATTS dans la Protection des Réseaux d'Eau WATTS étend son offre de protections anti-pollution pour les réseaux d'eau avec le disconnecteur BA BM X, adapté aux environnements corrosifs et contraintes hygiéniques fortes. Nouvelle Avancée de WATTS dans la Protection des Réseaux d'Eau WATTS enrichit sa gamme avec le disconnecteur BA BM X, une solution innovante contre la pollution dans les réseaux d'eau, conçue pour les environnements exigeants. Un Dispositif de Pointe pour la Sécurité de l'Eau Le disconnecteur BA BM X de WATTS est spécialement élaboré pour prévenir les risques de contamination des réseaux d'eau potable par des fluides pollués de catégorie 4, selon la norme NF EN1717. Destiné à des secteurs où les exigences hygiéniques sont critiques - comme le traitement de surface, l'industrie agroalimentaire, les milieux hospitaliers, et plus encore - ce nouveau dispositif est idéal pour faire face aux conditions corrosives et aux contraintes sanitaires élevées. Conception Innovante pour une Protection Optimale Conçu en acier inoxydable pour une meilleure résistance à la corrosion, le BA BM X intègre des fonctionnalités avancées telles que trois zones de pression distinctes, deux dispositifs de non-retour, et un système de décharge à l'air libre avec entonnoir pour une sécurité renforcée contre les retours d'eau polluée. Avantages et Facilité de Maintenance Outre sa compacité et sa durabilité accrue, le disconnecteur BA BM X se distingue par sa soupape à piston sans membrane, facilitant le montage et la maintenance. Ce dernier point est d'autant plus valorisé par une accessibilité totale aux composants internes et une modularité des pièces de rechange. Certification et Respect des Normes Certifié ACS, le disconnecteur BA BM X garantit le respect des normes de sécurité pour les réseaux d'eau potable, assurant ainsi un haut niveau de protection et une mise en œuvre conforme aux standards professionnels. Caractéristiques Techniques Température d'utilisation : jusqu'à 65°C Pression de fonctionnement : 10 bar Diamètre nominal : de 15 à 50 mm Raccordement : BSP conique à écrou tournant Fluides admis : eau potable  Le disconnecteur BA BM X de WATTS représente une avancée significative pour la sécurité des réseaux d'eau potable, offrant une solution robuste et efficace pour prévenir la contamination dans diverses applications industrielles et sanitaires. Catégorie: Sécurité SanitaireSous-Catégorie: Technologies de l'Eau Partager
Il y a 2 ans et 73 jours

Seine-et-Marne : la gare de Vaires-Torcy est désormais accessible aux personnes en situation de handicap

Le chantier de mise en accessibilité de la gare de Vaires-Torcy (Seine-et-Marne) a été majoritairement financé par la région...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 75 jours

Simplification des aides financières à la rénovation énergétique : le programme OSCAR donne la parole aux artisans

OSCAR, programme d’optimisation et de simplification des CEE pour les artisans et professionnels de la rénovation, présente son rapport [1] : «Simplification des CEE et Ma Prime Rénov’ : la parole aux artisans et entreprises».
Il y a 2 ans et 77 jours

Lancement de deux appels à création dans le cadre de l’activation culturelle 2023 de la Citadelle d’Ajaccio

Dans le cadre du programme d’activation de la Citadelle, la Ville d’Ajaccio et la société publique locale d’aménagement du territoire Ametarra lancent deux appels à création pour la saison 2023. Architectes, professionnels du design, artistes, plasticiens, photographes, vidéastes… sont invités à proposer une vision unique du site pour la création d’aménagements temporaires dans les douves de la Citadelle et la réalisation d’une installation artistique en lien avec la thématique de la Méditerranée.Pour cette troisième saison de l’activation, l’enjeu est de renforcer les tests programmatiques, d’ouvrir de nouveaux espaces au public, de proposer des événements variés et accessible à tous dans la Citadelle. Cette année 2023 mettra à l’honneur la Méditerranée.Pour se faire, artistes et professionnels du design et de l’aménagement sont invités à répondre aux deux appels à création lancés par la SPL Ametarra :Un appel à création pour l’aménagement temporaire des douves sud de la CitadelleUn appel à création arts visuelsAménagement temporaire des douves : Concevoir, produire, rendre accessible…Afin d’accueillir les différentes activités de la saison 2023, d’ouvrir de nouveaux espaces et d’offrir une meilleure expérience pour les visiteurs, la SPL souhaite faciliter l’accessibilité aux douves. Cet appel d’offres vise à sélectionner des artistes, architectes, professionnels du design et de l’aménagement d’espace afin de concevoir et d’assurer la production des aménagements sur trois volets essentiels :La création d’un nouvel accès desservant les douves : conception et fabrication d’un escalier ou d’une rampe respectant les normes d’accès et de sécurité, permettant de relier la passerelle de l’entrée de la Citadelle aux douves sud. Outre son aspect fonctionnel et réglementaire, il s’agira de proposer une œuvre artistique et architecturale à part entière dans un site patrimonial d’exceptionLa conception et la fabrication de mobiliers urbains originaux, temporaires et déplaçables: assises, tables et poubellesLa remise en état de fonctionnement du terrain de sport existantLes acteurs du projet font appel aux professionnels pour restituer une vision artistique, unique, et originale, qui s’intégrera au site et à son environnement, et facilitera les usages et pratiques quotidiennes des publics dans ce lieu d’exception.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 12hSélection des équipes finalistes : 27 mars 2023Visite du site animée par la SPL : semaine du 3 avril 2023Présentation à l’oral du pré-projet et sélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 8 mai 2023Production / Installation : du 1er juin 2023 au 10 septembre 2023Inauguration des aménagements : 15 septembre 2023Budget : 142.000 € HT pour le candidat retenuAppel à création « Arts visuels »Cet appel à création artistique vise à sélectionner un(e) artiste pour réaliser une installation éphémère dans l’espace public de la Citadelle Miollis. Le projet prendra la forme d’une création in situ qui devra dialoguer avec la thématique de la saison 2023 : la Méditerranée. Il s’agira de proposer :La création d’une ou plusieurs œuvres temporairesUne installation visible depuis l’extérieur du site, qui soit à la fois une œuvre signal et une invitation pour les visiteurs à pénétrer dans la Citadelle MiollisUne réflexion poétique et originale autour de l’histoire du site et de sa place dans la MéditerranéeUne grande liberté sera accordée au lauréat quant aux propositions des médiums utilisés dans le cadre de ce projet (vidéo, son, photographie, sculpture, installation lumineuse), et dans la mesure du possible. L’artiste sera accompagné d’un(e) commissaire d’exposition dans la conception de son œuvre. L’installation artistique sera inaugurée en juin à l’occasion de la soirée de lancement hè viva 2023. Il est demandé aux artistes de restituer au public leur vision unique de ce site patrimonial d’exception. Le ou la lauréat(e) devra s’adapter aux contraintes du site, favoriser les circuits courts et tenir compte de l’impact écologique dans la production de son œuvre.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 16hSélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 27 mars 2023Production / Installation : du 15 avril au 5 juinLancement de la saison 2023 : autour du 8 juinBudget : 12.000 € HTLes différents cahiers des charges sont à retrouver en ligne :www.ametarra.frwww.manifesto.parisContact projet : citadelle-ajaccio@ametarra.fr
Il y a 2 ans et 80 jours

Comment concevoir des voies pavées accessibles ?  

Tout projet de voirie peut être rendu « accessible » à condition d’intégrer ce critère bien en amont de la construction. Des pavés perméables et circulables Le choix des pavés pour réaliser une voie accessible peut s’orienter sur des formes simples à mettre en œuvre. Il sera plus facile d’assurer la planéité de l’ouvrage si les différents éléments s’imbriquent naturellement. La géométrie des pavés peut jouer sur la résistance mécanique au trafic. Le choix de la forme et de l’épaisseur du pavage a donc toute son importance. Pour accompagner le drainage des eaux de ruissellement, et si les propriétés du sol le permettent, vous pouvez sélectionner des pavés perméables. Ces éléments doivent être mis en œuvre avec des joints et des accessoires adaptés. Obligation d’accessibilité La voie pavée ouverte à la circulation des véhicules doit tenir compte des conditions de traversée des piétons. Au-delà de 12 mètres de large, la chaussée doit présenter un îlot central permettant aux usagers de s’arrêter à mi-chemin. Dans certaines configurations, l’intersection entre deux voies peut ne pas être perpendiculaire et allonger la distance de la traversée pour les usagers à pied. La mise en œuvre d’une traversée perpendiculaire pour les piétons permet de réduire sensiblement la distance. D’ailleurs le Code de la route, article R412-34 à R412-43, impose aux piétons de traverser perpendiculairement ou en continuité du trottoir. La Bande d’éveil de vigilance (BEV) doit signaler l’angle de la traversée. Elle doit être parfaitement perpendiculaire au passage piéton, et ce, quelle que soit l’orientation du trottoir. À défaut, les personnes malvoyantes ne sauraient anticiper correctement leur déplacement sur la chaussée. Sécurisation des voies pavées circulables L’aménagement d’îlots peut aussi se faire au profit de la sécurité des automobilistes. Les îlots directionnels peuvent simplifier considérablement les conditions de circulation. Il est également possible de protéger les sections de circulation dangereuses à l’aide de dispositifs adaptés. Les solutions de ralentissement par surélévation en font partie et contribuent à renforcer la sécurité de tous les usagers. Cette réduction des risques passe aussi par une bonne gestion des eaux de ruissellement. L’eau stagnante sur la voie rend la circulation plus complexe et surtout plus dangereuse. Pour assurer le drainage des eaux de ruissellement, il faut mettre en place un système de collecte de surface. Dans certains cas, ces eaux peuvent être simplement évacuées par infiltration dans les sols. Cela suppose toutefois la mise en place d’un revêtement en pavés perméable.
Il y a 2 ans et 81 jours

Logements neufs : Une crise historique pour la FFB

Grégory Monod est le président du Pôle habitat de la FFB. [©FFB] « Crise sévère », « rouge vif », « situation irrespirable », les mots du président du Pôle habitat de la FFB, Grégory Monod, traduisent le constat alarmant de son institution. En présentant les chiffres de la construction neuve pour 2022 et les perspectives 2023, il n’a entretenu aucun suspense : « Nous sommes face à une crise historique ». S’il y avait eu un rebond en 2021, avec une progression de la construction de maisons neuves en secteur diffus de 22,1 %. La chute n’est que plus forte en 2022, avec 96 000 unités achevées. Le recul est de 31,3 % en un an. Soit le pire exercice depuis 16 ans. Au niveau géographique, la baisse est générale. Seules les régions Paca et Corse notent des chutes inférieures à 20 %. Lire aussi : Coup de froid dans le logement neuf Le constat est à peu près similaire pour les maisons neuves du secteur groupé, qui reculent de – 22,2 %, avec 6 105 unités. Un résultat inférieur de 1 000 unités par rapport au pire résultat de ces 20 dernières années. Dans le logement collectif, les ventes fondent à 95 937, soit un recul de – 14,1 %. Ramenant à des données équivalentes à celles de 2020, en pleine crise du Covid. Du côté des annulations, 16 % des opérations ont été annulées, le plus fort taux depuis la création de ces données en 2017. D’autant plus alarmant que pour le dernier trimestre, le taux atteignait 21,6 %. Des causes multiples Les autorisations terminent l’année en progression de 3,1 %, mais le dernier trimestre montre un effondrement à – 25,5 %. Alors que les mises en chantiers affichent – 3,8 % , ces données bénéficiant encore de l’anticipation de la RE 2020. Pour 2023, la FFB s’attend à une chute des autorisations à – 21 % et les mises en chantier à – 9 %. Lire aussi : Unecp-FFB, La profession de chapiste va être reconnue à son juste statut La Fédération attribue ces résultats à une inflation réglementaire, conjuguée à une inflation conjoncturelle. Ainsi la suppression de l’APL accessibilité, et le rabot du PTZ de 40 à 20 % et sa suppression des zones B2 et C seraient en cause. Jusque-là, les taux d’usure anormalement bas pratiqués par les banques permettaient de couvrir cette inflation. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Dans le même temps, la RE 2020 et les coûts des matériaux sont venus apporter une inflation conjoncturelle. Ainsi, si ce sont les marges qui ont été premièrement impactées, les prix de vente le sont aussi désormais. Ils ont progressé de + 13,9% entre 2020 et 2022, alors que sur la même période, les surfaces n’ont augmenté que de + 0,9 %. Un appel à un Bouclier du logement Pour répondre à cette crise, la FFB en appelle au gouvernement, en proposant la création d’un “Bouclier logement”, sur le modèle des “Boucliers énergie et tarifaires”. Pour cela, l’institution propose de prolonger le PTZ jusqu’à fin 2024. De le rétablir à 40 %, et ce, sans discrimination géographique. De rehausser de 25% le plafond des opérations prises en compte pour le calcul du montant du PTZ. Mais aussi, de lancer un crédit d’impôt de 15 % sur les premières annuités d’un emprunt pour contrebalancer les augmentations induites par l’introduction de la RE 2020. Et enfin, de restaurer le dispositif Pinel dans sa version 2022. Et de supprimer l’exclusion de la maison individuelle de celui-ci. Dans le même temps, la FFB souhaiterait la collaboration des établissements de crédit. Ce qui pourrait être favorisé par la révision mensuelle des taux d’usure. Et un assouplissement des contraintes imposées par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF). Enfin il faudrait une mobilisation des industriels et des filières dans l’analyse de production des matériaux de construction lancée fin janvier par Bercy. Afin notamment de favoriser une plus grande anticipation des évolutions des prix des matériaux. En conclusion, Grégory Monod a insisté sur le fait que la construction neuve n’a « pas connu de crise aussi forte, sans doute depuis celle des subprimes. Les entreprises vont devoir s’adapter pour résister à la crise. Il faut donc réagir très vite et lâcher un peu la bride pour aider à l’investissement des particuliers ». Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 90 jours

Base de Données Nationale des Bâtiments : une fiche d’identité de chaque bâtiment pour suivre l'évolution du parc existant et aider à sa rénovation

Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la Base de Données Nationale des Bâtiments établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles.Elle constitue une photographie exhaustive et « haute définition » de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc.Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 millions de logements et près d’1 milliard de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent.Il est dès lors nécessaire, vu les enjeux techniques et économiques, que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puissent élaborer leur stratégie de rénovation, suivre son exécution et mesurer ses effets.Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle : le programme GO-Rénove, dont le maitre d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment, ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux.Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes, et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, notamment sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée.En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB® renseigne notamment son histoire administrative, sa morphologie, les matériaux utilisés pour sa construction, ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE (en l’état et après rénovation), sa valeur verte…La BDNB® intègre également les consommations énergétiques publiées en open-data (SDES, données locales de l’énergie).Les règles d’accessibilité aux données de la BDNB® sont établies en plein accord avec les exploitants des bases de données et dans le strict respect du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).Il existe trois niveaux d’accès à la BDNB® :La BDNB open qui regroupe toutes les données publiques libres d’accès intégrées à la BDNB®. Son téléchargement est en accès libre depuis le portail data.gouv.fr ;La BDNB ayants-droits dont l’accès est conditionné aux règles de diffusion fixées par les propriétaires de certaines données ;La BDNB expert accessible dans le cadre de travaux de recherche et d’expertise conduits avec le CSTB.Largement accessible à tous les acteurs, transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB® constitue, en la matière, la première base publique et ouverte de référence.Les services apportés par la BDNB®Pour l’élaboration de politique publique :Simuler le DPE sur l’ensemble des bâtiments résidentiels du parc, selon la nouvelle méthode 2021.Eclairer l’élaboration de politiques publiques et faciliter leur déploiement (référence : caractérisation du parc de logements localisé dans chaque Quartier Prioritaire de la Ville (QPV) en support à l’ANRU) ;Contribuer aux observatoires publics : en produisant des données complémentaires (référence : Mission « Connaissance », service public de la connaissance territoriale initié par le Ministère de la Transition écologique) - production des DPE resimulés ;en opérant des calculs d’indicateurs à la maille élémentaire du bâtiment (référence : participation au projet TRELO en support au Service des Etudes Statistiques (SDES) et en lien avec l’Observatoire National de la Rénovation Energétique (ONRE)) ;Pour accompagner les territoires, les bailleurs et les propriétaires dans leur stratégie :Constituer le socle de données des services d’aide à la décision de rénovation (références : services publics en ligne Go-rénove Go-rénove-particuliers, Go-rénove-bailleurs, et prochainement Go-rénove collectivité et Go-rénove-tertiaire) ;Caractériser le parc de bâtiments : statistiques (âge, typologie constructive, vecteurs énergétiques, etc…), empreinte énergie/carbone, scores DPE, gisement d’économie d’énergie ... (référence : contribution à la construction d’un cadre stratégique de patrimoine en support au groupe Action Logement).Les services qui pourraient être apportés demain par la BDNB® :Simuler l’impact de scénarios de politiques publiques ; Suivre les évolutions du parc et appréhender ainsi l’impact des actions de politique publique ou le déploiement d’une stratégie patrimoniale ; Identifier et valoriser les aménités d’un parc.
Il y a 2 ans et 103 jours

Acova dévoile la nouvelle image de son site acova.fr et ses fonctionnalités inédites

Reflet de sa nouvelle identité graphique et de sa signature de marque « Créons du beau, créons durable », ACOVA a entièrement repensé son site internet pour le rendre plus moderne et plus inspirationnel. Afin d’améliorer l’expérience client, la marque, référente de son marché depuis près de 60 ans, a retravaillé la structure technique de son site dans une démarche écoresponsable, en phase avec ses valeurs. Acova, créons du beau… Vitrine du fabricant de radiateurs et radiateurs sèche-serviettes, cette nouvelle version du site offre un accompagnement au particulier tout au long de son projet de chauffage, en lui apportant conseils et inspirations pour son intérieur. Quant aux professionnels, de nombreuses fonctionnalités ont été ajoutées et/ou améliorées pour faciliter leur quotidien. Parmi celles-ci, citons : Une structure des pages et une navigation complètement réorganisées pour gagner en fluidité et intuitivité Un espace dédié à la marque mis en avant sur la page d’accueil, réaffirmant son savoir-faire, son histoire, ses valeurs et ses engagements ; La création d’un espace « Le Mag » composé de 3 rubriques : « News » (articles autour des nouveautés), « Nos conseils » et « Inspirations » ; Un espace PRO qui ne fait désormais plus qu’un avec le site principal pour faciliter l’accès aux informations pour les clients installateurs et distributeurs. Acova, créons durable Dans la continuité de sa démarche RSE, ACOVA a souhaité également étendre ses actions au digital notamment en optant pour un site internet éco-conçu. Aujourd’hui, Acova.fr est une preuve concrète de son engagement et de sa volonté de prendre en compte les questions sociétales et environnementales. Ainsi, la consommation d’énergie liée au site est limitée grâce à un hébergeur « climatiquement neutre » certifié ISO 14001 et ISO 50001, alimenté à 100% par des énergies renouvelables. De plus, ACOVA a amélioré les performances et l’accessibilité de son site pour tous les internautes grâce à une série de choix d’intégration technique. Par exemple, les contrastes des éléments distinguables visuellement ont été conçus pour rendre le contenu perceptible par les personnes malvoyantes. Acova a mesuré une baisse moyenne de son émission de CO2 par page vue de 12,5%* par rapport à la précédente version du site. Le site est d’ailleurs maintenant noté A du point de vue de son impact environnemental. Dans un souci d’amélioration continue de ses performances, Acova poursuit ses efforts d’optimisations. Tout en respectant ses nombreux engagements, la nouvelle version du site d’ACOVA offre une meilleure expérience à ses clients en termes d’accompagnement et conseils, d’informations mises à disposition et de confort d’utilisation. acova.fr
Il y a 2 ans et 104 jours

De l’architecture en France, ChatGPT répond à Chroniques

Depuis début 2023 et la mise en accessibilité gratuite par OpenAI de deux fleurons de l’intelligence artificielle, ChatGPT (version 5) et DALL.E 2, l’IA est de toutes les conversations. Puisqu’il est question d’intelligence, Chroniques a saisi l’opportunité d’une entretien avec le chatbot sur sa vision des architectes et de l’architecture en France. Rencontre. Chroniques d’architecture […] L’article De l’architecture en France, ChatGPT répond à Chroniques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 109 jours

La "Maison Sanofi" par Studios Architecture : une nouvelle ère pour les sièges d'entreprise

Dépassant la notion même de siège social, le site se définit comme un Hub : un lieu d’accueil ouvert à l’ensemble de la communauté Sanofi. Son approche révolutionne le rôle des centres névralgiques des grands groupes internationaux. A l’opposé des codes traditionnels, le bâtiment libère l’espace et les usages pour que chacun puisse s’approprier des lieux multiples, pensés pour s’épanouir, partager et innover.La communauté SANOFI est invitée à expérimenter une maison dynamique, moderne et éco- responsable, qui insuffle un état d’esprit collaboratif à tous les étages.« La Maison Sanofi » écrit une nouvelle page de l’histoire du bureau post-covid où c’est désormais l’usage qui crée le lieu. Le projet fait radicalement tomber les barrières du bureau classique pour laisser une seule et unique place à l’expérience sociale collective, à vivre pleinement dans le lieu et à partager avec les autres sites du groupe grâce au digital. L’ambition affichée par SANOFI révolutionne la conception des sièges des grands groupes, qui s’ouvrent désormais à leurs écosystèmes, passent en mode 100% flexibles et hybrides avec des nouvelles méthodes de travail innovantes. » Hidekazu Moritani, Associé Senior de STUDIOS Architecture.Un hub pensé comme un écosystème de partageL’objectif de ce nouveau site est de créer avant tout un lieu de socialisation, de collaboration et d’innovation. Une « maison » pour recevoir l’ensemble des collaborateurs de Sanofi à travers le monde, ainsi que son écosystème plus large composé de start ups, de chercheurs, de partenaires et de clients.Sur les deux niveaux du RDC, l’Agora et l’espace gradins sous l’atrium représentent le coeur actif du bâtiment. Lieu d’accueil vivant, il offre de multiples possibilités de reconfiguration au gré des évènements.Pensé pour optimiser l’ouverture à la communauté Sanofi, le hall d’accueil réinvente l’approche en matière de sécurité, en intégrant une nouvelle flexibilité : deux niveaux de contrôle d’accès ont été conçus pour pouvoir adapter le niveau d’accessibilité en fonction des évènements.Alors que 500 collaborateurs sont rattachés au site de l’avenue de la Grande-Armée, celui-ci est conçu pour recevoir également 200 visiteurs quotidiens. Les espaces facilement appropriables offrent une grande variété de configurations pour s’installer rapidement et se sentir chez soi. Marqueur fort de la transformation : 40% du bâtiment est dédié aux espaces partagés.Travail et restauration : superposition et hybridation des programmesLes espaces de partage sont conçus comme des espaces hybrides et offrent de multiples expériences tout au long de la journée. Au fil des étages, l’ensemble des espaces de rencontre et de réunion s’activent selon les usages.«The Kitchen»– un espace flexible avec de multiples types d’assises ouvert toute la journée se transforme en lieu de coworking en dehors des repas.Expériences sur mesureL’expérience utilisateur a été pensée et adaptée selon les différents profils : le collaborateur présent au quotidien, le télétravailleur plus flexible ou le visiteur d’un autre site qui vient vivre une expérience sortant de l’ordinaire.Des espaces de travail 100% flexiblesSur les 5 étages de bureaux, finie la relation binaire poste de travail / salles de réunion. Avec la mise en place du télétravail, le bureau s’adapte en mode hybride. Chaque espace est conçu pour être expérimenté avec une grande flexibilité, selon les profils et les besoins des utilisateurs. L’espace de travail distingue les zones actives des zones plus calmes, plus feutrées et propices à la concentration et aux tâches individuelles.La flexibilité est soutenue par la technologie. Les batteries mobiles permettent de « libérer » les usages. Dans la zone active, le poste de travail traditionnel fait place à des tables d’équipe avec du mobilier mobile, et les « studios » avec leurs cloisons vitrées escamotables, permettent de travailler en équipe et de passer de manière fluide en mode réunion dans le même espace.L’avènement de la communication digitale pour rassembler toute la communautéLa communication est un élément central dans l’ère post-Covid : le site accueillera un studio TV et des «blogger studios ». L’auditorium est adapté pour réaliser et diffuser des enregistrements. La multiplication de petites espaces adaptés à la visioconférence (pods pour 1, 2 ou 4 personnes) répond aux nouveaux modes de collaboration. La halle agile, quant à elle, offrira un espace propice au brainstorming et au «creative thinking», et sera connectée à d’autres sites en temps réel par le biais d’une «Vitre » comme un véritable portail spatio-temporel.Informations clésSurface : 9 000 m²Maître d’ouvrage : Sanofi, AMO JLLMaîtrise d’œuvre : STUDIOS ArchitectureCertifications : BREEAM Excellent ; HQE Excellent ; Wiredscore Gold ; WELL GoldCrédit images : ©Luc Boegly ©Stefano Candito
Il y a 2 ans et 111 jours

Après la polémique sur la fiabilité des DPE, la création d'une carte D pour les diagnostiqueurs immobiliers divise la filière

Elles souhaitent la création de cursus de formation initiale et continue adaptés aux exigences professionnelles en France afin que les étudiants s’engagent massivement dans les métiers du diagnostic immobilier, indispensables pour une transition énergétique du logement et du bâti réussie. Elles demandent un système de contrôle des diagnostiqueurs renforcé par rapport à celui en vigueur.D'après les deux organisations professionnelles, "qui peut croire qu’une carte professionnelle réglerait la question des qualifications professionnelles des diagnostiqueurs et rétablirait la confiance parfois malmenée entre eux et leurs clients ? Surtout que la certification des techniciens existe."Selon ses promoteurs, la carte D serait une carte professionnelle du diagnostiqueur lui permettant d’exercer son activité, de monter son entreprise, de souscrire à une assurance RC pro. Le diagnostiqueur devrait la produire à ses clients en début de mission.Pour SIDIANE et la FIDI, la carte D n’apporterait que de la confusion en créant un niveau supplémentaire « au dessus » de la certification. Est-ce bien réaliste ? Poursuivre le travail d’amélioration de la certification nous semble beaucoup plus efficace et réalisable dés 2023.En outre, alors qu’il manque des diagnostiqueurs bien formés pour couvrir l’ensemble des besoins du marché, l’obtention de cette carte empêcherait des diagnostiqueurs indépendants de se lancer dans le métier alors qu’ils ont été formés et certifiés par un organisme indépendant.Plus de formations d’Etat disponibles et plus de Contrôles-sanctionsPour Lionel JANOT, président de la FIDI : « La carte D est une mauvaise réponse à deux vrai défis : celui des filières de formation professionnelle initiale et continue des diagnostiqueurs et celui du contrôle in situ de ces professionnels du diagnostic immobilier. »Depuis 2007, les diagnostiqueurs se sont professionnalisés sur l’ensemble des secteurs de la transaction, de la location et des travaux. Aujourd’hui, ils sont certifiés par des organismes accrédités par le COFRAC. Près de 5 millions de diagnostics sont réalisés chaque année. Ce chiffre augmente et devra continuer d’augmenter : le marché a besoin de milliers de diagnostiqueurs supplémentaires formés, compétents, certifiés.C’est pourquoi la FIDI et SIDIANE appellent de leurs vœux des mesures structurantes et durables pour le renforcement de la professionnalisation des métiers du diagnostic permettant une confiance accrue en la filière.Concernant la formation au métier de diagnostiqueur, la FIDI et SIDIANE demandent :la mise en place sur tous les territoires de métropole et d’outre-mer d’une filière post-bac pour former en 2 ans des techniciens diagnostiqueurs. Avec possibilité de bachelor et de masters pour ceux qui voudraient aller plus loin et développer des spécialisations ;l’évaluation indépendante des organismes de formation des diagnostiqueurs et la publication et l’accessibilité à tous des résultats ;la création de cycles de formations permanentes ;l’instauration d’un dispositif de tutorat pour les nouveaux entrants.Concernant le contrôle des diagnostiqueurs, les deux organisations professionnelles veulent revoir, pour les intensifier, les process et les contrôles liés à la certification.Pour Président de SIDIANE, Jean-Christophe PROTAIS : « aujourd’hui, les contrôles sur sites ne sont pas suffisants, avec une occurrence de sept ans, sur un nouveau diagnostic. Ce dispositif ne permet pas de vérifier la qualité du travail du diagnostiqueur et ne peut servir de base à une sanction. Oui, il faut donner les outils aux organismes de certification les rendant capables de sanctionner les diagnostiqueurs qui font mal leur travail. Le risque de sanction des professionnels permettra de purger le métier des diagnostiqueurs les moins professionnels et cela permettra de rétablir la confiance dans la profession. »Pour les deux syndicats professionnels, c’est bien parce que la majorité des diagnostiqueurs immobiliers sont des professionnels compétents, engagés, responsables et honnêtes que le Gouvernement et le Législateur leur ont confié la mission clé de pivot de la rénovation énergétique. Il est donc impératif de prendre très au sérieux les avertissements et le « choc de défiance » provoqué par la médiatisation et la politisation des défis que pose la fiabilité du DPE.
Il y a 2 ans et 119 jours

Le groupe PBM organise à nouveau le concours Stairs Design Awards à destination des étudiants architectes

Stairs Design Awards #3, un concours innovantL’utilisation du béton doit être manifeste mais d’autres matériaux peuvent lui être associés. L’escalier doit garder une fonction d’escalier, être conforme aux règles d’accessibilité et être réalisable.Conditions de participationCe concours est gratuit et ouvert à tous les étudiants inscrits en école d’architectures en France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Allemagne ou Espagne pour l’année 2022-2023. Les candidats peuvent se présenter soit de manière individuelle, soit en équipe. Toutes les modalités d’inscription sont présentées sur le site web dédié au concours : www.pbm-stairsdesignawards.frA l’occasion de cette troisième édition et pour mettre les étudiants dans les meilleures conditions, le Groupe PBM a choisi de mettre à jour les dates du concours.Dates clésInscriptions : 17 octobre 2022 au 31 janvier 2023Date limite rendu des projets : 28 février 2023Annonce des 10 projets finalistes : 16 mars 2023Vote du public : du 16 mars au 26 mars 2023, les internautes sont invités à voter pour leurs projets favorisCérémonie de remise des prix : 3 avril 2023 à la Sucrière, LyonRécompensesLes lauréats sont déterminés par le jury, composé d’architectes, d’enseignants et de la direction de PBM Groupe. Ils recevront les montants suivants :1er prix : 8.000 €2ème prix : 5.000 €3ème prix : 2.500 €Prix du public : 1.500 €Prix PBM : 1.500 € (vote interne des salariés de PBM Groupe)
Il y a 2 ans et 147 jours

Politique RSE : où en est la mise en pratique du développement durable au sein des entreprises du BTP ?

Le terme de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise reste encore assez peu répandu au sein des plus petites entreprises, qui composent la grande majorité des entreprises du BTP. Cependant, bien qu’un certain nombre d’actions ne soient pas directement rattachées ou valorisées dans le cadre d’une démarche RSE, elles sont nombreuses à être mises en œuvre par les entreprises de ces deux secteurs.« La Responsabilité sociétale des Entreprises est définie comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable » [1], pouvant s’articuler autour de grandes thématiques : gouvernance, droits de l’Homme, relations et conditions de travail, environnement, loyauté des pratiques, questions relatives aux clients, communauté et développement local [2]. Elle se traduit concrètement par la mise en place d’engagements et d’un plan d’actions pour progresser (ex : tri des déchets, politique de santé et de sécurité au travail, promotion de la diversité au sein des collaborateurs, transparence des pratiques…).Si la RSE a été tout d’abord destinée à des entreprises de taille importante, concernées par un cadre règlementaire, « toutes les entreprises peuvent mettre en œuvre une démarche RSE, et ce quel que soit leur taille, leur statut, leur secteur d’activité » [3].Les enjeux et les thématiques RSE majeurs dans les entreprises du Bâtiment et des Travaux PublicsSur la base d’une enquête en ligne réalisée auprès d’un panel représentatif de 716 entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics, trois grands positionnements face aux thématiques « RSE » ont pu être analysés :Dans une logique d’amélioration continue, certaines entreprises déclarent juger importantes ou mènent des actions sur les thématiques relatives à la santé-sécurité, les conditions de vie au travail, la gestion des déchets et l’économie circulaire.Certaines thématiques sont intégrées aux pratiques des entreprises, comme la formation des salariés, l’amélioration de la performance énergétique du bâti, et le recours à des matériaux locaux, comme en témoignent certains résultats de l’enquête.Enfin, d’autres thématiques sont traitées en fonction des besoins. Elles ont été identifiées selon les caractéristiques propres des entreprises, et concernent principalement :Des items généralement moins accessibles ou pertinents, pour des TPE en particulier, comme la définition d’indicateurs de pilotage ;Des items ne relevant pas d’action formalisée mais intégrées aux démarches de ressources humaines (diversité, mixité, insertion des publics fragiles…) ;Des items plus spécifiques comme l’intervention sur des chantiers relevant du patrimoine, l’accessibilité, qui ne concernent pas toutes les entreprises.Différents niveaux de pratiques et de formalisation d’une démarche de responsabilité sociétaleAu travers des entretiens et de l’enquête quantitative, 3 niveaux de pratiques ont pu être identifiés :Actions mises en œuvre sans formalisation (84% des répondants à l’enquête quantitative).Formalisation et proactivité (15,7% des répondants à l’enquête quantitative). Les entreprises formalisent une démarche structurée et se distinguent par un niveau d’engagement élevéAbsence de démarche de Responsabilité sociétale (0,3% des répondants à l’enquête quantitative). Cette catégorie d’entreprises est très minoritaire et tend à disparaître du fait de la pression croissante des réglementations et des différentes parties prenantes (clients, collectivités, etc.) et de la sensibilisation sociétale aux enjeux sociaux et environnementaux.Évolution des compétences métiers et développement durable dans les formations BTPLa transition écologique amène à des évolutions des compétences dans le Bâtiment et les Travaux Publics :Par exemple, en amont du chantier, les profils de conception nécessitent de mieux connaître les matériaux, leurs interactions, la maîtrise du cycle de vie du bâtiment.Sur les gestes métiers également dont, notamment, ceux en lien avec des techniques de construction et d’isolation supposant d’intégrer de nouveaux savoir-faire et connaissances.Enfin, sur l’organisation du travail sur le chantier, appelant à une transversalité et un décloisonnement entre les corps de métier renforcés, afin d’assurer un niveau maximum de performance énergétique.L’offre de formation s’est adaptée à ces nouvelles exigences et propose désormais des modules de formation en lien avec la « transition énergétique » ou l’« écoconstruction ».Dans la formation continue, on note notamment le dispositif FEEBAT (Formations aux Économies d’Énergie dans le Bâtiment), et différentes formations concernant les énergies renouvelables, l’enveloppe « bâti », ou encore les éco-matériaux.Concernant la formation initiale, les rénovations et créations de diplôme prennent en compte une multiplicité de concepts liés à la transition énergétique : diagnostic et mesure de l’efficacité énergétique, gestion active du bâtiment, ; sources renouvelables et mix énergétique, etc. De plus, pratiquement toutes les grandes écoles d’ingénieur en Bâtiment et Travaux Publics intègrent des options ou proposent des diplômes liés aux spécificités de la transition énergétique.Comment accompagner le déploiement de la RSE au sein des secteurs du BTP ?Si la majorité des entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics considèrent la RSE et le développement durable bénéfiques (79 % des répondants à l’enquête), le manque de temps et la complexité du sujet notamment, peuvent constituer des freins à la mise en place d’une démarche pertinente à long terme.5 grands axes ont été identifiés à l’appui des résultats de l’étude, afin de favoriser le déploiement ou la valorisation d’actions déjà mises en œuvre :Une démarche de responsabilité sociétale de l’entreprise adaptée aux TPE et PME Une aide à la prise de recul et la recherche de sens dans les enjeux et les démarches RSE Comprendre et valoriser les bénéfices d’une démarche RSE Favoriser l’engagement des salariés dans les démarches RSEValoriser les progrès liés à la mise en œuvre de la réglementation[1] https://www.economie.gouv.fr/entreprises/responsabilite-societale-entreprises-rse[2] Thématiques définies par la norme ISO 26000[3] Ministère de l’Économie, Bercy Infos, Qu’est-ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)
Il y a 2 ans et 160 jours

Sortie d'un guide de mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut »

Suite à la parution de l'arrêté du 11 septembre 2020 qui supprime le ressaut maximal de 2 cm entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche, jusqu'alors autorisé, le CSTB, sollicité par la DHUP, a publié un Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs sur support béton. L'évolution de cette réglementation doit permettre l'accessibilité de l'espace douche aux personnes restreintes dans leurs déplacements, quel que soit le type de handicap. Elle favorise également le maintien à domicile des personnes âgées. Pour en savoir plus : Douches « zéro ressaut » : un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB Télécharger le guide : Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs Révision du NF DTU 52.2 relatif aux revêtements de sol céramiques en pose collée en travaux neufs Cette nouvelle version fait évoluer le format des carreaux céramiques admis. En pose murale, la surface des carreaux céramiques est étendue à 3 600 cm² sur les différents supports admis. En pose en sols intérieurs, leur surface est augmentée à 10 000 cm², et les formats oblongs (lames dont l'élancement est compris entre 3 et 10) sont visés. Ce NF DTU introduit également la mise en œuvre de certains Systèmes de Protection à l'Eau sous Carrelage (SPEC), jusque-là sous Avis Technique, selon les prescriptions de la nouvelle partie P1-1-4 « Cahier des clauses techniques types pour les systèmes de protection à l'eau sous carrelage ». Ces systèmes sont constitués principalement de résines pour les murs intérieurs. Pour en savoir plus : NF DTU 52.2 Pose collée des revêtements céramiques et assimilés - Pierres naturelles Nouveau NF DTU 53.12 relatif à la préparation du support et revêtements de sol souples Ce DTU regroupe les travaux de mise en œuvre des sols souples en construction neuve et rénovation. Il annule et remplace les NF DTU 53.1 et 53.2 sur les revêtements de sol textiles et résilients. Il intègre dorénavant la préparation des supports avec la mise en œuvre des enduits de sol, mais aussi les linoleums, qui ne relèvent plus de la procédure d'Avis Technique depuis le 1er juillet 2021. L'extension de la certification QB30 « Revêtements de sol résilients » à la famille des linoleums accompagne la révision de ce DTU. Pour en savoir plus : NF DTU 53.12 Préparation du support et revêtements de sol souples Révision du DTU 13.3 relatif aux travaux de dallages La révision porte notamment sur la réorganisation de ce document qui définit les règles de conception, de calcul et d'exécution des dallages en béton. La partie 1-2 de cette norme DTU introduit des critères d'aptitude à l'emploi des produits de couches d'usure incorporées qui sont en lien avec le classement P/MC de ces produits. Pour en savoir plus : NF DTU 13.3 Travaux de dallages - Conception, calcul et exécution Revêtements de sol céramiques : révision des spécifications techniques pour le classement UPEC Le Cahier 3778_V5 2022 annule et remplace le Cahier 3778_V4 2020. Il précise dorénavant le nombre d'éprouvettes dans le cas d'un contre-essai, intègre un module de rupture minimal pour le classement P3 et ouvre, pour une revendication P4s, à une légère décoration. Télécharger le cahier 3778_V5 Nouvelles règles professionnelles pour les chapes fluides Suite au passage des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium dans le domaine traditionnel, de nouvelles règles professionnelles pour leur mise en œuvre ont été rédigées. Elles précisent les conditions générales d'emploi et de mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium disposant d'un certificat QB46 du CSTB. Elles visent les ouvrages en France métropolitaine, à l'intérieur des bâtiments, pour les travaux neufs et de rénovation, sans changement de destination des locaux. Pour en savoir plus : Règles Professionnelles - Pour la mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment ou de sulfate de calcium Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 160 jours

Évolution dans la conception des douches à l'italienne

Suite à la parution de l'arrêté du 11 septembre 2020, relatif à l'accessibilité aux personnes handicapées des bâtiments d'habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction, et en parallèle de la rédaction du Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs sur support béton, puis sur support bois, des ATEx sont en cours pour évaluer de nouvelles solutions de mise en œuvre des douches accessibles. Ces solutions concernent aussi bien la mise en œuvre maçonnée (douche à l'italienne) sur ouvrage flottant étanché lui-même sur support béton ou support bois, que la mise en œuvre de receveurs finis avec bande de raccord d'étanchéité. Développement de solutions alternatives à la pose collée Avec la rénovation massive du bâti existant, on assiste au développement de nouvelles techniques de pose semi-libre, assimilée libre et libre. La présence de sols amiantés dans les bâtiments en rénovation a d'abord conduit les fabricants à réfléchir à des techniques alternatives à la pose collée des revêtements PVC en lés. Objectif : ne pas dégrader la surface contenant des fils d'amiante en collant un nouveau revêtement pour éviter, lors de sa dépose, des fuites dans l'air. Les techniques de pose avec maintien périphérique, qui privilégient l'utilisation de bandes adhésives sur les côtés, se sont progressivement développées : on parle ici de pose semi-libre ou assimilée libre, ainsi que de pose libre. Outre le recours à des revêtements souples en lés, dont les performances mécaniques ont été renforcées, la pose semi-libre ou assimilée libre nécessite l'emploi de bandes adhésives. Les bandes adhésives ont évolué vers un maintien différencié, c'est-à-dire dont le pouvoir d'adhésion est plus important côté revêtement que côté support (pose semi-libre), puis vers un faible pouvoir d'adhésion des deux côtés (pose assimilée libre). La pose libre, sans aucun maintien ni collage, concerne les produits en lames ou dalles (notamment les produits dits « LVT ») semi-rigides ou rigides avec système mécanique d'assemblage des éléments entre eux (typiquement avec rainures et languettes) ; elle favorise le recyclage du revêtement après sa dépose. De nombreux ATec et ATEx ont progressivement accompagné le développement de ces techniques. Ils valident les performances mécaniques des revêtements de sol PVC souples en lés, par nature déformables et sensibles aux variations de température, et l'adéquation revêtement - bande adhésive pour l'usage prévu. Ils valident également le domaine d'emploi : auparavant réservées aux usages domestiques, les poses semi-libre, assimilée libre et libre ont été étendues aux locaux collectifs moyennement sollicités. Les revêtements de sol PVC en lames ou en dalles font également l'objet d'Avis Techniques en pose libre pour étendre leur domaine d'emploi. Rigides ou semi-rigides, ces revêtements sont naturellement plus résistants à la déformation, mais leur stabilité dimensionnelle aux variations de température doit être surveillée. Appropriés aux usages domestiques et commerciaux, grâce à leurs qualités esthétiques et à leur facilité de mise en œuvre, ils ne sont pas adaptés à l'emploi dans les locaux techniques et les locaux à exigences particulières d'hygiène. Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 161 jours

Les seniors quittent les grandes villes à l'approche de la retraite

"Des gens habitant dans de grandes agglomérations quand ils travaillent encore tendent à aller vers des communes moins denses quand ils arrivent à la retraite", a expliqué Ronan Mahieu, auteur de l'étude, basée sur les données démographiques de l'Insee.Le phénomène est patent en région parisienne, où le solde migratoire des 55-74 ans est particulièrement négatif.Les départements abritant les plus grandes métropoles, comme le Rhône, les Bouches-du-Rhône, le Nord ou la Haute-Garonne, voient également beaucoup de seniors partir.Au contraire, ceux recevant le plus de seniors sont massivement situés "au sud-ouest d'une ligne Cherbourg-Chambéry", note l'étude.Le niveau de diplôme joue fortement dans les migrations de seniors. Ceux ayant au moins le bac sont plus nombreux à s'établir dans des communes rurales, alors qu'ils y sont nettement moins présents en général. Les seniors les plus diplômés sont significativement plus nombreux à déménager vers le Sud ou le littoral."Il se peut que ces écarts entre catégories de diplôme aient partiellement à voir avec les différences de prix du foncier, les peu ou pas diplômés étant probablement moins souvent en mesure économiquement de s'établir dans des départements où l'immobilier est cher", note l'étude.Passé 85 ans, en revanche, la mobilité change d'aspect et est bien plus corrélée à la présence de places en établissements médicalisés (Ehpad). L'étude montre que la disponibilité de l'offre de soins n'est en revanche pas un critère décisif d'installation avant l'âge de la dépendance."On n'a pas l'impression que la question de l'accessibilité des soins de santé soit importante dans la mobilité des personnes", a affirmé Ronan Mahieu.
Il y a 2 ans et 170 jours

Saône-et-Loire : Kronimus embellit Paray-Le-Monial

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Le boulevard Dauphin Louis, axe important de la ville de Paray-Le-Monial, a été rénové avec les produits Kronimus. [©Kronimus] Lire aussi : Kronimus lance City Linea Verde Située au cœur du Charolais, la ville de Paray-Le-Monial (71), autrement connue sous le nom de la “cité du Sacré-Cœur”, a entrepris plusieurs travaux de réaménagement ces dernières années. Au printemps 2021, le boulevard Dauphin-Louis, l’un des principaux axes touristiques, a été rénové. Auparavant caractérisé par un grand terre-plein central et des voies de chaque côté, l’espace a été réaménagé. A présent, une voie de circulation et des places de stationnement sur les côtés de la chaussée constituent le boulevard renouvelé. Les travaux concernent aussi des trottoirs partagés entre piétons et espaces verts. « La réorganisation de ce lieu était la suite logique d’un projet plus grand, précise Pascal Davoust, responsable des services techniques de la ville. Les objectifs premiers étaient d’offrir des aménagements de qualité, faciliter l’accessibilité des commerces et permettre à ces derniers de rester dans le centre-ville. Sans oublier l’intérêt touristique. » Des aspects techniques et esthétiques Plusieurs solutions Kronimus ont ainsi été mises en place pour rénover le boulevard. Plus de 2 600 m2 de pavés Barretto (épaisseur de 10 cm) et 1 000 m2 de pavés K4 ont été posés. Les raisons de ces choix ? Des aspects techniques et esthétiques qui répondent aux attentes du projet.  « Les contraintes de stationnement nous ont poussé à choisir les pavés K4 pour leur grande résistance, déclare Roch Dury, directeur d’Ingérop. Ces choix apportent ainsi une diversité unique sur le projet et évitent l’uniformité. » Autre particularité, ils ont été sélectionnés grâce à leurs modularités afin de les déposer et reposer sans reconstituer les sols. De plus, avec des dimensions, de couleurs et des traitements différents, Krominus a permis à la ville de positionner sur des pavés de teintes anthracite, blanche et jaune clair. Un design unique qui permet au centre-ville historique de conserver sa couleur initiale tirant sur le jaune. Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 174 jours

Haver&Boecker revoit son ensacheuse Adams

La nouvelle Adams ISL signée Haver & Boecker. [©Haver & Boecker] Le salon Vrac Tech1 est l’occasion pour Haver & Boecker de présenter l’évolution de son succès : l’Adams ISL. Cette technologie permet le conditionnement des produits pulvérulents en sacs PE étanches type FFS (Form Fill Seal). Développée historiquement pour le secteur cimentier, elle a ensuite été déclinée dans des secteurs aussi variés que le marché des matériaux de construction, la chimie et l’agro-alimentaire. Grâce à sa conception revue en profondeur, l’Adams ISL permet d’apporter une meilleure accessibilité à tous les composants de l’ensacheuse. Notamment grâce au module rotatif de préhension des sacs qui peut être sorti de la machine grâce à des rails coulissants intégrés. La plaque de fond constituant le sol est libre de tout composant. Ainsi, un parfait nettoyage est rendu possible pour des applications exigeantes, en termes de pureté de produit et d’hygiène. Le résultat de cette technologie est un sac parfaitement rempli et compact, tout en permettant une qualité de palettisation irréprochable. 1Le salon Vrac Tech se tient du 6 au 8 décembre 2022, au Parc des expositions du Mans (72). Un évènement dédié aux solutions de gestion du vrac pour tous les professionnels industriels.
Il y a 2 ans et 178 jours

La CAPEB sollicite les Sénateurs pour qu’ils soutiennent concrètement la massification de la rénovation énergétique des bâtiments

Pour Jean-Christophe Repon, président de la CAPEB : « Le projet de loi de finances constitue une opportunité de nous donner les moyens d’agir durablement et efficacement contre le changement climatique. Nous l’avions déjà exprimé haut et fort lors de l’examen du PLF 2023 par l’Assemblée nationale. Les trois amendements que nous proposons visent à booster la rénovation énergétique de nos bâtiments en simplifiant l’activité des entreprises artisanales du bâtiment et en maintenant le pouvoir d’achat de leurs clients. Leur adoption par vos soins, mesdames et messieurs les sénateurs, est une nécessité face au défi collectif auquel nous sommes confrontés. »Du fait de l’utilisation du 49-3 par le Gouvernement, ces amendements n’ont pu être examinés par les députés en première lecture. Au regard de l’enjeu crucial que représente la rénovation, la CAPEB ne peut se résoudre à cette issue.Pour réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre et lutter contre la précarité énergétique du fait de bâtiments inadaptés, il est impératif de tout mettre en œuvre pour faciliter la réalisation des travaux de rénovation nécessaires par les particuliers.Les dispositions que la CAPEB porte répondent pleinement à cet objectif.Ainsi, la CAPEB appelle les sénateurs à :Maintenir l’éligibilité à la TVA à 5,5% des travaux induits à la réalisation de travaux concourant à l’amélioration de la performance énergétique des logements. Il est, en effet, indispensable que ces travaux induits soient pris en compte par le taux de TVA réduit à 5,5% car ils sont indissociablement liés aux travaux d’économies d’énergie. Leur exclusion aurait une conséquence directe sur le volume des travaux réalisés et empêcherait l’atteinte des objectifs de rénovation énergétique fixés par le gouvernement.Du fait de l’exclusion de certains types de travaux du taux réduit de TVA à 5,5%, maintenir, à titre dérogatoire, ce niveau de TVA à 5,5% pour les opérations acceptées par un client ayant fait l’objet d’un acompte versé avant l’entrée en vigueur de l’arrêté d’application qui sera pris en 2024. Cette mesure permettrait, en effet, de ne pas faire reporter sur les seules entreprises artisanales du bâtiment, déjà fragilisées par la hausse des coûts des matériaux et les difficultés d’approvisionnement, la variation du taux de TVA, décidé après acceptation du devis.Appliquer une TVA réduite à 5,5% pour tous les travaux réalisés en Groupement Momentanée d’Entreprises (GME) constitué de plus de 3 corps de métiers pour inciter les entreprises artisanales de proximité à se constituer en GME, afin de réaliser des travaux complets et faciliter ainsi la vie des particuliers par la mise en place d’un interlocuteur unique de chantier. Cette mesure contribuera également à la réalisation de travaux d’accessibilité et favorisera ainsi le maintien à domicile des personnes âgées ou à mobilité réduite.
Il y a 2 ans et 186 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique !

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20 %. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de respecter le décret publié le 5 octobre 2022 qui impose, sous peine de sanction, de fermer les ouvrants des locaux chauffés ou climatisés. Premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, Portalp propose déjà une offre globale de produits et services (installation, mise en service, maintenance, dépannage) adaptés aux petits commerces et aux Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Aujourd’hui, pour les aider à se mettre en conformité avec un budget maîtrisé, l’entreprise familiale lance le leasing Portalp. Elle leur offre ainsi la possibilité de louer ces équipements tous services inclus. Un nouveau service Portalp opportun pour s’équiper en toute sérénité Conscient que l’installation d’une porte automatique peut constituer un frein financier au moment de l’achat, Portalp met en place, en partenariat avec Locam, une offre de financement destinée à aider les commerces et locaux d’activité tertiaire dans l’installation et l’entretien de tout type de porte automatique ou autre système d’accès, sans dépasser leur budget. Adaptée à chaque situation grâce à un paiement échelonné sur 24 à 60 mois, cette offre leur permet de profiter d’équipements répondant parfaitement à leurs usages, sans investissement considérable à l’achat. Seules des mensualités fixes apparaissent en charge d’exploitation. Tout inclus, cette formule comprend : la dépose des anciennes solutions d’accès et de fermeture, la fourniture et la pose de nouveaux équipements sur-mesure adaptés aux besoins et attentes de chacun (porte coulissante, télescopique, antipanique, ronde ou cintrée, à rupture de pont thermique, coupe-feu, opérateur de portes battantes), l’expertise et les conseils d’un fabricant de portes automatiques et intégrateur de solutions d’accès, un contrat de maintenance conforme à la législation (2 visites d’entretien annuelles) ou sur mesure pour des dépannages rapides 24h/24 – 7j/7 grâce à un large réseau d’agences sur toute la France, l’assurance de bénéficier de pièces de rechanges constructeurs. A l’issue du contrat de location, le commerçant peut choisir de le renouveler avec un équipement neuf ou d’acquérir son installation en souscrivant, conformément à la réglementation, à un contrat de maintenance standard ou ajusté à son besoin. Une réponse efficace pour limiter les déperditions thermiques Dans un contexte de crise énergétique et suite au plan de sobriété lancé par le gouvernement, l’installation de portes automatiques constitue une source d’économie d’énergie manifeste. En effet, dans les commerces, les portes, lorsqu’elles s’ouvrent, provoquent inévitablement des déperditions. En hiver, le froid glacial s’engouffre à l’intérieur et en été, c’est la chaleur étouffante. Le chauffage ou la climatisation se mettent en route, entraînant une augmentation de la consommation énergétique. Pour réduire cet échange thermique intérieur extérieur, Portalp propose trois solutions : automatiser la porte battante existante avec l’opérateur électromécanique ISO3, simple et rapide à mettre en œuvre, remplacer la porte d’entrée par une porte automatique coulissante telle que la porte Diva RS peu énergivore, permettant aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires d’accessibilité tout en réalisant des économies, installer un kit retrofit RS pour bénéficier d’un opérateur connecté nouvelle génération sur un ancien modèle de porte automatique. Quelle que soit la version choisie, les nombreux réglages disponibles (vitesses d’ouverture et fermeture, accélération des vantaux, largeurs d’ouverture, etc.) permettent d’optimiser encore davantage le fonctionnement des portes automatiques. Ouvertes quand cela est nécessaire et refermées aussitôt que possible, elles limitent le temps d’ouverture intelligemment. Elles contribuent ainsi à la sobriété énergétique de l’installation tout en assurant la sécurité sanitaire en évitant tout contact. Enfin, les portes automatiques garantissent une fermeture fiable et systématique. Au-delà de rendre accessible l’installation d’une ouverture automatique, la nouvelle offre de location Portalp constitue surtout un levier de consommation plus responsable en offrant aux clients du fabricant de portes automatiques piétonnes une liberté d’agir durablement et de privilégier l’usage. À PROPOS DE PORTALP Fondé en 1962, Portalp, fabricant français de portes automatiques, propose une offre globale de produits et de services pour la sécurité et l’accès du bâtiment dans les secteurs du commerce, du tertiaire, de la santé, du transport grâce à ses sept filiales métiers (Accor Solutions, Delebecque, Facilliance, TM Agencement, Deveugle, Sotelem et L2A). Groupe indépendant dont le siège social est basé à Domont (région parisienne), il a implanté son centre de développement et de production près de Grenoble. Misant sur son Origine France Garantie et sur la proximité, Portalp s’appuie sur son réseau de 27 agences régionales réparties en France, six agences export dans le monde (Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et USA) ainsi que 40 distributeurs partenaires présents sur les continents. En 2021, l’entreprise, qui emploie plus de 1000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 123 millions d’euros. www.portalp.com
Il y a 2 ans et 192 jours

Où les Français veulent-ils vivre ? Les résultats de la 2e édition du baromètre Kantar Public­­

Alors que la crise climatique devient plus que jamais concrète aux yeux des Français, cette deuxième édition s’intéresse plus particulièrement à leurs perceptions et attentes en matière de lutte contre l’artificialisation des sols dans les territoires, mais aussi de réindustrialisation du pays.Des grandes agglomérations en crise : la revanche des petites villes et villes moyennesLa deuxième vague du baromètre confirme l’aspiration des Français à un idéal de vie au calme, dans un environnement naturel et préservé, loin de la grande ville et de ses désagréments : promiscuité, coût de la vie et insécurité… Comme nous l’observions fin 2020, l’attractivité d’un territoire est inversement proportionnelle à sa densité : l’agglomération parisienne fait figure de repoussoir (seuls 11% des Français aimeraient y vivre), tandis que 58% des Français aspirent à vivre dans un village ou un hameau.En deux ans, l’attrait des petites villes et agglomérations (moins de 20.000 habitants) se renforce encore : elles constituent un lieu de vie aspirationnel pour un Français sur deux (en progression de plus de 10 points), quel que soit leur âge. 30% de leurs habitants disent d’ailleurs davantage envisager qu’avant le Covid-19 de quitter leur lieu de vie, contre 23% des habitants des villes moyennes et seulement 13% des petites villes et zones rurales.En tête des attentes : sécurité, proximité avec la nature et accès aux services de santéLa petite ville répond aux facteurs jugés les plus importants par les Français dans le choix de leur lieu de vie : le sentiment de sécurité (cité comme déterminant par 61 %), suivi de l’accès à la santé et aux soins (57%) puis de trois dimensions proches évoquées par plus d’un Français sur deux : la proximité avec la nature (55%), la qualité de l’air (55%) et la présence d’espaces verts (54%). Sur chacune de ces dimensions (à l’exception de l’accès aux soins de santé), les habitants des zones rurales ou des petites villes se montrent davantage satisfaits que ceux des villes moyennes, eux-mêmes plus satisfaits que les habitants des grandes villes.Les petites villes sont perçues comme le territoire le plus adapté pour élever ses enfants… mais aussi pour y passer sa retraite. Selon les Français, c’est également l’échelle qui favorise le plus la qualité des relations sociales, offre des logements de meilleure qualité et où le coût de la vie est plus accessible. Ainsi, avec le village, les petites agglomérations sont pour les Français le territoire qui offre la meilleure qualité de vie. En revanche, l’emploi apparaît comme la faiblesse des petites villes et des zones rurales pour les Français, qui estiment majoritairement que les grandes et moyennes agglomérations sont les territoires qui offrent le plus d’opportunités d’emploi.Services publics, commerces et mobilité : les arguments des villes moyennesLes agglomérations moyennes (de 20 à 200.000 habitants) semblent offrir à leurs habitants un équilibre apprécié entre la qualité de vie et le calme propres aux villes à taille humaine et les services qu’elles proposent. Ainsi, six dimensions sont à la fois jugées très importantes pour les habitants des villes moyennes et suscitent une large satisfaction : la présence d’espaces verts, la proximité avec la nature et la qualité de l’air, mais aussi l’accessibilité et la variété des commerces et enfin la possibilité de se déplacer facilement à pied ou en voiture.La nécessité écologique face aux imaginaires88% des Français estiment que préserver les sols naturels et lutter contre l’artificialisation des sols est quelque chose d’important, 59% l’estiment même prioritaire. Toutefois, derrière ce consensus, les moyens pour y parvenir font l’objet d’appréciations diverses de la part des Français. En cohérence avec leurs aspirations de proximité à la nature, les Français sont avant tout favorables à la renaturation des sols artificialisés (84%). Ils soutiennent également largement l’idée de renoncer aux nouveaux projets d’infrastructures (60%) ou encore d’être incités à la rénovation de logements anciens (78%).En revanche, ils se montrent plus partagés quand il s’agit de limiter très fortement la construction de maisons isolées et de lotissements (53% y sont favorables et 31% opposés) voire de renoncer à la maison individuelle : 46% des répondants sont opposés à des incitations à vivre en appartement ou en maison mitoyenne (contre 33% qui y sont favorables). Une opposition qui grimpe à 51% chez ceux qui habitent en maison individuelle. Les Français se montrent en effet profondément attachés à l’habitat individuel : pour 79% d’entre eux, la maison est le logement idéal. Cette aspiration existe dans toutes les catégories de population, mais davantage encore chez les ménages employés et ouvriers (81%) que chez les cadres (73%).Parmi les autres actions pour lutter contre l’artificialisation des sols, la très forte limitation de la construction de nouvelles zones commerciales est majoritairement soutenue par les Français (72%). Une majorité relative de Français (46%) estime d’ailleurs que dans les années à venir il faut en priorité encourager le développement de commerces de centres-villes. Toutefois, à l’heure actuelle, 57% d’entre eux disent privilégier les zones commerciales pour leurs achats contre 27% qui préfèrent les commerces de centres-villes. Si les commerces de centres-villes sont perçus comme plus conviviaux et agréables, les zones commerciales cumulent les avantages suivants : facilement accessibles, bon marché, adaptés à des courses en famille et répondant à tous les besoins.Une réindustrialisation sous conditions : le syndrome Nimby n’est jamais loinL’idée de réindustrialiser la France est perçue positivement par les Français, et d’abord comme un moyen de créer des emplois et de garantir l’indépendance économique du pays. Ils ne sont toutefois que 4% à envisager l’installation d’une nouvelle usine près de chez eux sans condition. Les préoccupations sont nombreuses : nuisances diverses (bruits, odeurs, poussières et mauvaise qualité de l’air), sont redoutées par 1 Français sur 2. L’intégration paysagère de l’usine, la création d’emplois qu’elle génère et l’encadrement des risques industriels sont aussi des conditions souhaitées par environ 4 Français sur 10 dans la perspective d’une installation d’usine près de chez eux.Sur la question de la réindustrialisation, comme sur celle de la lutte contre l’artificialisation des sols, on observe une forte tension non-résolue entre l’aspiration des Français à vivre dans un environnement préservé et la perception d’une réindustrialisation bénéfique pour l’emploi et l’économie.Les résultats en infographie.
Il y a 2 ans et 201 jours

Brico Dépôt propose de financer l’audit énergétique de ses clients

Première enseigne de bricolage à financer l’audit énergétiqueOutil de diagnostic indispensable, réalisé par un professionnel qualifié, l’audit énergétique établit des préconisations de travaux afin d’améliorer significativement l’efficacité énergétique d’un logement. A partir du 1er avril 2023, cet audit devient obligatoire en cas de vente d’un logement dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) est de classe F ou G. Et pour que le coût de cet audit ne soit pas un frein pour les Français [1], Brico Dépôt finance à 100% celui-ci pour ses clients encartés [2] dès lors qu’ils réalisent des travaux de rénovation énergétique avec Ynergie, partenaire de l’enseigne et délégataire CEE [3].C’est une grande nouveauté dans le secteur puisque l’enseigne est la première à proposer cette offre qui débute le 24 octobre prochain sur tout le territoire national et se prolongera jusqu’à fin janvier 2023. Dans le cadre des travaux réalisés avec Ynergie, le client bénéficie d’un accompagnement, tout au long de son projet, de la phase de conseils jusqu’à la réception des travaux, en passant par le financement, le calcul des aides (l’audit étant éligible à Ma Prime Rénov’), le pilotage ou encore la maitrise des dépenses.Pour Peggy Sadier, Directrice E-Commerce et Expérience Clients de Brico Dépôt : « Avec les équipes, nous avons constaté que de nombreux clients n’osaient pas se lancer dans leur projet, faute de connaissance, d’assistance et de conseil. Avec Ynergie, nous avons pensé ce service comme un véritable facilitateur de travaux. Notre ADN repose sur la simplicité, la qualité et l’accessibilité de nos produits, et c’est ce que nous avons voulu retranscrire avec le financement de l’audit énergétique : faire de la rénovation énergétique de son logement une expérience à la fois simple, humaine et performante. »Le financement intégral de l’audit énergétique s’inscrit dans le cadre d’un dispositif plus global d’actions déjà déployées par Brico Dépôt en faveur de la rénovation énergétique. L’enseigne propose depuis toujours des produits d’isolation, de chauffage, de menuiserie, d’outillage, etc. qui permettent de réaliser des économies d’énergie. Afin de continuer à proposer les prix les plus compétitifs du marché, l’enseigne a anticipé, avant l’été, des arrivages spéciaux liés à la rénovation énergétique (Chauffages, isolants en laine de verre, poêle à bois/granulés, fenêtres...). Ces opérations promotionnelles permettent aux Français d’anticiper leurs achats et de réaliser une double économie :À la caisse : avec des prix bas ;À l’investissement : avec des produits qui permettent de faire des économies d’énergie.[1] En fonction des revenus, l’audit énergétique peut coûter jusqu’à 600 €[2] La carte de fidélité de Brico Dépôt est gratuite[3] Certificats d'économies d'énergieBrico Dépôt, l’atout anti-crise pour le pouvoir d’achat des FrançaisLe contexte actuel de tensions sur le pouvoir d’achat rend l’accompagnement de Brico Dépôt encore plus pertinent reposant sur la force d’un modèle éprouvé : des produits essentiels à des prix bas et en quantité « chantier » sans compromis sur la qualité, des marques propres exclusives et une dynamique commerciale avec notamment des arrivages. Aujourd’hui, l’enseigne accélère sa modernisation au service de l’expérience client, en capitalisant sur des équipes expertes et engagées, au siège comme en dépôt.Pour Laurent Vittoz, Directeur d’enseigne de Brico Dépôt : « J’ai la conviction que c’est dans les situations de tension économique, comme celle que nous traversons actuellement, que notre positionnement de discounter peut encore plus faire la différence pour nos clients. Pour Brico Dépôt, garantir des prix compétitifs, ce n’est pas seulement un slogan, c’est avant tout un contrat de confiance entre l’enseigne et ses clients. Et nous sommes déterminés à tenir nos promesses en proposant des actions concrètes comme le financement de l’audit énergétique ou bien le remboursement de deux fois la différence si nos clients trouvent moins cher ailleurs. »
Il y a 2 ans et 202 jours

Premiers résultats de l'Observatoire Santé et Qualité de vie urbaine

Son principe : transposer aux habitants d’une zone urbaine les grilles d’analyse des risques psychosociaux utilisées en entreprise pour conseiller les municipalités sous l’angle de la “santé psychologique” de leurs riverains. Testées depuis début 2022 sur un échantillon de plus de 3.000 répondants dans 58 départements, les premiers chiffres de référence nationaux viennent d’être publiés, afin de pouvoir ensuite être comparés avec les villes qui souhaiteront analyser le ressenti de leurs habitants.De premiers indicateurs riches de pistes de réflexion pour les municipalitésLa création d'un Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine (QVU) est une première en France qui évalue de manière scientifique la perception qu’ont les habitants de leur cadre de vie. A travers 98 questions regroupées en 11 dimensions, 4 modérateurs de QVU sont estimés : facteurs de protection, de risque, levier, vigilance. Leur analyse permet de répondre à la question « comment vont les français dans leur quartier/ville » en :Identifiant les impacts négatifs comme le stress éprouvé ou la santé morale et physique perçue.Distinguant les impacts positifs, source de bien-être et de qualité de vie urbaine appréciée par les habitants.L’Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine permettra aux collectivités et municipalités de :Procéder à un référendum continu, puissant facteur de satisfaction pour leurs populations.Redonner de la force et de la légitimité à l'expérience citoyenne et à la vie politique locale.Les principaux chiffres de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine montrent que les Français évaluent positivement leur qualité de vie urbaine, avec la note de 69/100.Stress : 15,2/40Santé physique : 67/100Santé morale : 66/100QV personnelle : 70/100Au-delà de ces résultats bruts, moyenne nationale de comparaison, ces indicateurs ont pour objectif de mettre en lumière les facteurs prioritaires aux yeux de ceux qui vont le mieux, et inversement, afin que les municipalités et collectivités puissent mettre en place des projets qui visent l’amélioration continue.Pour Barbara Attia : « Pour l’heure, le questionnaire aborde l’ensemble des dimensions dont on sait, de par la littérature, qu’elles ont un impact sur la santé et la qualité de vie des habitants : sentiments de liberté, de sécurité ou d’appartenance, attachement au lieu, importance du soutien social, des souvenirs etc ; tout en évaluant leurs perceptions à propos de leur environnement urbain : l’espacement des constructions, la beauté des bâtiments, les différents espaces disponibles, l’accessibilité, l’exposition à différents risques etc. Le croisement de ces données permet de faire à la fois un état des lieux de la santé globale des riverains mais aussi de donner une définition d'un environnement urbain de qualité. »Analyse qualitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineLes impacts positifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :Les facteurs de protection stratégiques : la sensation d’être bien intégré dans son quartier et la réputation de ce dernier, le soutien social perçu, les contacts visuels établis dans son environnement urbain de proximité, l’offre d’activités proposée pour les enfants, le volume des bâtiments.Les leviers pour l’amélioration de la Qualité de Vie Urbaine : l’importance du tissu associatif, la facilité à d’accès aux sanitaires, la présence d’équipements médicaux, le sentiment d’être consulté et la possibilité de mener des actions en faveur de l’écologie,Les impacts négatifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :La gêne provoquée par les bruits de voisinage ainsi que la gêne provoquée par la gestion des ordures et des déchets, la sensation d’oppression et le risque sécuritaire sont les points de vigilance auxquels prêter la plus grande attention.Enfin, la sensation que l’on construit trop est le facteur de risque prioritaire pour la population française aujourd’hui.Analyse quantitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineGlobalement les femmes sont plus stressées que les hommes (15.9/40 vs 14.2/40).Elles ont également une forme physique et morale moins élevée que les hommes. (F=64.7/100 ; H=68.8/100) (F=63.8/100 ; H= 68.9/100)Avec l’âge le stress diminueLes jeunes âgés de moins de 20 ans présentent le score de stress le plus élevé (18.1/40), les personnes âgées entre 20 et 49 ans sont à peine moins stressées (16.8/40). Dans cette continuité, les personnes âgées entre 50 et 59 ans sont également moins stressées avec 13.2/40, ainsi que les seniors âgés de 70 ans et plus (12.3/40). Plus précisément, les données montrent que les plus stressés sont les étudiants (18.7/40) suivis des personnes en recherche d’emploi (17.6/40) et des personnes ayant signé un contrat à durée déterminée (17.6/40).Des niveaux de forme perçus hétérogènesLes étudiants montrent un niveau de forme morale assez faible (57.6/100) à la différence des cadres et catégories professionnelles supérieures (70.7/100).Les personnes en recherche d’emploi ont une forme physique et morale plutôt faible (58.2 et 57.3/100), comparé aux personnes en activité indépendante qui présentent le plus haut niveau de forme physique (71.1/100).Des retraités et des couples en forme et heureux dans leur quartierLes retraités sont ceux qui présentent le niveau de stress le moins élevé (12.3/40) et ont également le niveau de forme morale le plus élevé (69.9/100). Ce sont eux qui ont le moins l’intention de quitter leurs quartiers (33.1/100).Les personnes vivant en couple sont également peu stressées (13.5/40) et ont une bonne forme morale et physique (70.1 et 67.6/100). Cette catégorie de personne est également une de celle qui désire le moins quitter son quartier (37.6/100).Pour Barbara Attia : « Avec l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine, mon objectif final est de parvenir à inclure le bien-être des populations dans les statistiques nationales, et ainsi compléter les données auxquelles nous avons l’habitude de nous référer, qui sont aujourd’hui trop centrées sur l’économie et trop peu sur la questionnement des usagers. L'ambition de l'Observatoire Santé et Qualité de Vie urbaine est d'apporter une analyse fine et précise des attentes des citadins, car la Qualité de Vie Urbaine est à la fois un enjeu d’utilité et de santé publiques : améliorer la qualité de vie des habitants et la perception de leur environnement urbain, de façon scientifique et responsable. Pour les collectivités locales, considérer les attentes des habitants revient à avoir une démarche proactive vers une « cité heureuse ». Donner aux populations les clés pour comprendre un projet qui les concerne revient à les y engager. »
Il y a 2 ans et 208 jours

Schindler installera les escaliers mécaniques et les ascenseurs dans neuf gares de la future ligne 18 du Grand Paris Express

Schindler, l’un des leaders ascensoristes depuis plus de 150 ans, a annoncé le 17 octobre avoir remporté le marché pour la fourniture des escaliers mécaniques et ascenseurs de la future ligne 18 du Grand Paris Express.Ligne 18 : Aéroport Orly - Versailles en 30 minutesCette ligne automatique, qui reliera l’aéroport Paris-Orly à Versailles, en passant par la Communauté d’agglomération Paris-Saclay, sera réalisée en trois phases : le tronçon Massy Palaiseau – CEA Saint-Aubin en 2026, le tronçon Orly Aéroport – Massy Palaiseau en 2027 et enfin le 3ème et dernier tronçon CEA Saint-Aubin – Versailles Chantiers en 2030.Longue de 35 km, la ligne 18 permettra notamment d’accompagner le développement du cluster Paris-Saclay par sa mise en relation avec la région, les aéroports et les TGV, et de garantir l’attractivité des centres de recherche publics et privés, tout en assurant la liaison avec Paris-centre, via les correspondances à Massy et Versailles avec les réseaux existants et la correspondance avec la ligne 14 à l’aéroport Paris-Orly.Les ascenseurs et escaliers mécaniques signés Schindler, permettront le transport vertical des usagers dans 9 gares de la ligne 18. Les équipements seront livrés en 3 temps : en 2026, 2027 et 2030.La Société du Grand Paris a des attentes bien précises vis-à-vis de ses prestataires. En premier lieu, la sécurité sur le chantier de la ligne 18 du Grand Paris doit répondre aux mêmes exigences que sur l’ensemble des autres sites de ce projet d’envergure. De même, le respect de l’environnement reste une composante majeure de son cahier des charges comme la réduction des nuisances du chantier pour les riverains.Pour Philippe Boué, CEO chez Schindler France : « Nous sommes heureux et fiers que la Société du Grand Paris nous ait renouvelé sa confiance et de poursuivre notre collaboration sur le projet du Grand Paris Express. Car, chez Schindler, nous avons bien compris et respecté la contrainte de maîtrise des coûts de ce marché. De plus, de même que pour la ligne 15 et la ligne 16, notre capacité à gérer les interfaces avec les autres lots a été distinguée. »Les ascenseurs Schindler : confort, robustesse et designLa Société du Grand paris a opté pour des ascenseurs haut de gamme, conçus pour le transport public alliant confort, robustesse et design. Les ascenseurs Schindler série 5000 largement installés dans le Transport Public (gare, aéroports, métros…) ont fait leurs preuves auprès des acteurs majeurs du transport collectif.Une identité uniqueAttentifs à leur identité visuelle, Schindler a conçu en collaboration avec Henri Gagnaire, designer chez Patrick Jouin ID, une cabine à la décoration unique alliant le respect du design, la conformité pour l’accessibilité des personnes à mobilité réduite et la résistance aux actes de vandalisme.De la boite à boutons à l’éclairage de la cabine, tout a été conçu dans les moindres détails pour une identité visuelle « Grand Paris Express » destinée au bien-être des usagers. L’attribution de ce nouveau marché vient récompenser le travail de conception et l’investissement de notre bureau d’études.L’organisation études et travaux de la direction des Grands projets dédiée au Grand Paris a également été un point déterminant pour l’attribution de ce marché. Notre savoir-faire dans la gestion des Grands Projets garantit à nos clients un accompagnement de A à Z.Les escaliers Schindler : la mobilité axée sur la sécurité et le respect de l’environnementTout au long du projet, la sécurité et le respect de l’environnement ont été les maitres mots. La sécurité : Pour permettre à la Société du Grand Paris d’assurer la sécurité de son réseau, les escaliers mécaniques sont conçus pour garder leur stabilité dans une gare en cas d’incendie. Les analyses de tenue au feu des structures ont permis à la Société du Grand Paris de mieux appréhender ces besoins en protection de charpente contre le feu.Les études d’évacuation ont aussi permis de proposer un fonctionnement de redémarrage automatique des escaliers mécaniques dans le sens de la sortie, incluant les préconisations relatives à l’entretien et la maintenance de ces équipements.L’environnement : Soucieux de proposer des produits de qualité tout en veillant à la préservation de l’environnement, tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont totalement recyclables et/ou valorisables et de nombreux composants sont fabriqués à partir de produits recyclés, tels que l’aluminium ou l’acier.Les escaliers mécaniques que Schindler sont conçus et fabriqués en Europe de même que 75% de leurs composants.Cette proximité, au sein de l’Union Européenne, assure un maintien de l’emploi et de la production au sein de l’Europe, une grande flexibilité dans le circuit de livraison sur site et un bilan carbone très favorable.
Il y a 2 ans et 216 jours

Salon de la Copropriété, Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant

Les 8 et 9 novembre 2022, Lorenove Grands Comptes sera exposant du salon de la copropriété, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Exposant assidu du salon de la copropriété, Lorenove Grands Comptes est une entité du Groupe Lorillard, qui rappelons-le, se dédie aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires.C’est un interlocuteur de choix pour évoquer l’ensemble des problématiques rencontrées sur ce sujet. Durant ces 2 jours, à son accoutumé, sur un stand de 36m², Lorenove Grands Comptes se tiendra à la disposition des acteurs de la copropriété. L’omniscience de la Copropriété Que ce soient les essais acoustiques, le respect de l’architecture des façades, la gestion des travaux, la complexité en milieu occupé, les difficultés d’intervention en IGH, etc. l’ensemble de ces notions, et bien d’autres encore, font partie des services et compétences de Lorenove Grands Comptes. L’entité va même plus loin et, est en capacité de fournir – en partenariat avec Lorillard Façades – l’établissement de diagnostic énergétique de façades afin de proposer un plan de rénovation énergétique de façade par l’extérieur. Ces travaux d’efficacité énergétique sont notamment aidés par le dispositif MaPrimeRénov, désormais accessible aux copropriétés pour les travaux réalisés dans les parties communes. MaPrimeRénov s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%.Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés. Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Depuis plus de 15 ans Lorenove Grands Comptes accompagne au quotidien les copropriétés dans la rénovation de leurs menuiseries, l’isolation des façades y compris lorsque ces projets nécessitent une intervention de désamiantage ou de déplombage via Protectéa. Cette antériorité et l’expérience des chantiers leur ont permis de constituer un ensemble complet de prestations, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. La force du Groupe Lorillard Lorenove Grands Comptes, simultanément fabricant et installateur, bénéficie de souplesses commerciales et industrielles qui lui permettent de limiter les impacts négatifs qui s’imposent dans la conjoncture actuelle. Sur le plan tactique, Lorenove Grands Comptes est à même de mener des opérations “coup de poing” lors desquelles le temps d’exécution de la pose est réduit grâce à la mobilisation d’un effectif important sur un temps réduit. Il leur est notamment possible de poser plus de 80 fenêtres en une seule journée. L’entité a également développé une ingénierie de chantier adaptée aux milieux habités ou aux chantiers en cœur de ville avec des particularités d’accessibilité et d’organisation délicates (stationnement et base de stockage réduits, coactivité, limitation des nuisances pour les résidents et l’environnement immédiat, etc.) Sur le plan technique, les menuiseries sont performantes et dotées des capacités thermiques et phoniques les plus efficientes. À ce titre, deux modèles seront exposés sur le stand. Une menuiserie aluminium à ouvrant caché qui offre des lignes très fines et apporte un maximum de lumière naturelle dans la pièce. Cette menuiserie est équipée de profils à rupture de pont thermique avec des barrettes isolantes sur le dormant et l’ouvrant, pour réduire les échanges de température intérieurs et extérieurs. Ceci évitant la condensation et le ruissellement d’eau. Menuiserie aluminium à ouvrant caché Également, un verrouillage par galets champignons constitue une sureté supplémentaire contre l’effraction et assure une protection efficace contre le levage par force de levier. Cette menuiserie possède également 3 joints pour une parfaite étanchéité et une meilleure isolation thermique.Pour plus d’harmonie et d’originalité, il est possible de choisir la bicoloration pour coordonner la menuiserie à la fois aux intérieurs et aux extérieurs. Une bicoloration qui est particulièrement pertinente pour les immeubles des années 1970 – dont les tons bois des menuiseries correspondent à la majorité des cahiers des charges – et qui offre alors aux propriétaires la possibilité de personnaliser le coloris intérieur de leurs menuiseries. Un coulissant monobloc en aluminium, équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Ce coulissant est doté d’une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité.Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés.Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6 mètres) selon les besoins et la configuration du lieu. C’est à l’appui de son expertise que Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant, le mardi 8 novembre à l’agora – de 11h30 à 12h – sur le thème « Remplacement des menuiseries :de l’approvisionnement aux bénéfices clients, un cycle de vie durable ».Cet atelier sera dirigé par Aurélien Hoellinger, responsable commercial Lorenove Grands Comptes. Cette intervention qui sera filmée pourra être visionnée par la suite sur les réseaux sociaux ; et amorcera la première étape vers une série de webinaires consacrés à la rénovation énergétique !
Il y a 2 ans et 222 jours

Solution « dépose totale » Louineau pour la rénovation de menuiseries

La dépose totale est la technique qui possède le plus d’avantages pour les particuliers. Se rapprochant d’une pose en neuf, elle consiste à démonter entièrement l’ancien cadre de la fenêtre, porte, porte-fenêtre ou baie coulissante y compris les systèmes de fixation, pour retrouver le support initial.Apporteur de solutions avant-gardistes et certifiées, LOUINEAU a développé des systèmes de fixation uniques pour ce procédé : Patte de Rénovation, Patte Renforcée de Rénovation et Cornière Filante de Rénovation en Dépose Totale. Conformes au DTU 36.5, ils maintiennent les dormants des menuiseries Aluminium, Bois et PVC dans l’isolant en applique intérieure. Ils peuvent être fixés sur tous les types de supports constructifs (parpaing, brique...) et dans des épaisseurs d’isolation de 60 à 200 mm. Les travaux sont concentrés uniquement sur les ouvertures sans avoir besoin de reprendre les finitions et la décoration des murs. Conçue pour répondre aux dimensions toujours plus importantes et aux vitrages toujours plus lourds, l’offre « Dépose Totale » LOUINEAU contribue au gain de lumière naturelle et au confort intérieur des occupants. Les nouvelles menuiseries fixées avec les solutions LOUINEAU sont sous garantie décennale.Des travaux réduits, des coûts maîtrisésLes systèmes de fixation LOUINEAU, conformes au DTU 36.5, assurent un perçage de biais directement dans le doublage isolant. Plus besoin de réaliser des saignées dans la plaque de plâtre synonyme par la suite d’enduit de finition, de peinture ou de papier peint. Coûts maîtrisés et aucun dommage intérieur !Des pièces inondées de lumière naturelleÀ l’inverse d’une rénovation partielle ou sur cadre existant, pour laquelle le vitrage sera nécessairement plus petit pour s’adapter à l’ancien cadre, la dépose totale permet, elle, de conserver des dimensions identiques voire supérieures. Par exemple, pour une fenêtre aluminium L. 1,6 x h. 2 m, le clair de vitrage sera de 2,08 m2 en rénovation partielle ou sur cadre existant alors qu’il atteindra 2,53 m2 en dépose totale. L’offre « Dépose Totale » de LOUINEAU renforce cet apport de lumière dans les pièces de vie en garantissant l’intégration de menuiseries aux dimensions XXL. Les propriétaires ne sont plus contraints par des tailles prédéfinies et peuvent profiter pleinement d’une source lumineuse naturelle et généreuse.Le bien-être intérieur en toute saisonLes solutions « Dépose Totale » LOUINEAU assurent une mise en œuvre fiable et durable. Conçues pour maintenir des ouvertures possédant des vitrages de plus en plus lourds et performants, elles participent au confort thermique et acoustique de l’habitat. En hiver, les factures énergétiques sont réduites, en été petits et grands peuvent dormir paisiblement sans être ennuyés par la chaleur de la journée. Toute l’année ils profitent d’un intérieur où la quiétude est de mise...À l’instar d’une pose en neuf, la dépose totale permet de reprendre totalement l’étanchéité. L’isolation à l’air et à l’eau est maximisée, les risques d’infiltration ou de pont thermique sont supprimés. Les menuiseries conservent leur finesse esthétique en s’affranchissant d’un large couvre-joint grâce au vissage en biais et non de face des fixations LOUINEAU.Les + LouineauDans le respect des normes de construction pour l'accessibilité des Personnes à Mobilité Réduite (PMR), LOUINEAU a développé une patte à clipper permettant de fixer la traverse basse d'une porte d'entrée ou d'une baie coulissante adaptée au passage d'un fauteuil roulant (respect du DTU 36.5).
Il y a 2 ans et 223 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 230 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 230 jours

Wicona renforce son offre sécurité incendie avec la nouvelle porte Wicstyle 75 FP EI30

La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 FP EI30 : une porte coupe-feu 30 minutes en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, ingénieusement équipée pour atteindre ces performances, sans insert coupe-feu. Conçue pour le marché du neuf comme de la rénovation, cette porte, développée comme une extension de gamme dont les clients maîtrisent déjà la fabrication, autorise de grandes dimensions et cumule performances techniques, esthétique et environnementale.L'ingénierie technologique et l'ingéniosité au service de la performanceLa porte WICSTYLE 75 FP EI30 de WICONA se distingue par son ingéniosité. En effet, la performance au feu EI1-30 est obtenue sans recourir à l'utilisation d'inserts coupe-feu. Le châssis reste stable, étanche au feu pendant 30 minutes et préserve la température en dessous des 180° au côté opposé au feu. Cette performance est couverte par le PV EFECTIS EFR-19-V-005149 (marché français). Seuls le recours à une nouvelle génération de clips inox associés à des bandes intumescentes, le tout placés à des emplacements stratégiques, permet de préserver l'intégralité mécanique, l'étanchéité et l'isolation thermique de la porte WICSTYLE 75 FP EI30 durant 30 minutes.Concrètement, les clips inox sont mis en place sans usinages. Ils préservent la rigidité du système et garantissent le maintien du vitrage. Les bandes intumescentes auto-adhésives et optimisées, dissimulées derrière les joints de battement, s'expansent sous la montée en température et viennent combler les espaces entre vitrage et fond de feuillure. Les barrettes à rupture de pont thermique en polyamide recyclé sont essentielles dans l'obtention de la performance coupe-feu de cette porte, le rupteur thermique jouant pleinement son rôle.La fibre de verre qu'elles contiennent contribue à la meilleure résistance mécanique du profilé RPT face à la montée en température. La barrette extérieure (multi-chambres), sous brevet WICONA, apporte une résistance renforcée ; l'une des chambres étant conçue pour recevoir les vis de fixation des différents éléments de quincaillerie.Solution compétitive et esthétiqueLa force de WICONA est d'avoir conçu ses gammes de protection incendie comme des extensions de gammes existantes, sans en modifier les process de fabrication. Les performances coupe-feu et pare-flamme sont atteintes par simple ajout d'accessoires.Développée à partir des systèmes de portes (WICSTYLE 65 et 75) éprouvés et connus des clients, la WICSTYLE 75 FP EI30 reprend les solutions et équipements – paumelles à clamer en feuillure ou paumelles en applique, couvre-joints, équerres, poignées - avec lesquels ils ont l'habitude de travailler.Cette homogénéité des solutions et des équipements leur permet de proposer une solution économique, laissant une grande liberté dimensionnelle (jusqu'à 3,480 m de haut) et contribue aussi à l'optimisation des stocks et des temps de production.Une pérennité qui ne se fait pas au détriment de l'esthétique puisque la porte coupe-feu, disponible en un vantail, offre le même design, résolument contemporain, que celui des modèles 65 et 75 standards. Elle peut également être équipée de paumelles cachées ou visibles. Et parce que la protection incendie est un domaine de spécialistes, une formation aux spécificités incendie prodiguée par les experts WICONA est obligatoire dès la première commande.Solution durable et bas carboneToutes les applications « feu » de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone recyclé Hydro CIRCAL®. Cet alliage de seconde fusion est le seul sur le marché à se composer d'au minimum 75% de matières recyclées post-consommation, provenant essentiellement de menuiseries aluminium issues de chantiers de déconstruction. Il affiche ainsi la plus faible empreinte carbone, soit 2.3 kg de CO² par kg d'aluminium produit.Caractéristiques techniquesOuvrant jusqu'à 3 480 mm de hauteur (1 vantail)Accessibilité PMR ou sans seuilUw = 1.3 W/(m2K), avec Ug de 1.1 W/(m2K)Acoustique : Rw (C;Ctr) = 48 (-1 ;-4) dBAEV A4 E1050 VC5/B5
Il y a 2 ans et 232 jours

Juridique : Les obligations de l’architecte

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine L’architecte est tenu à une obligation de conseil. [©ACPresse] Comme toutes les professions réglementées, l’architecte obéit à un code des devoirs professionnels. Le manquement à ces règles peut constituer une faute professionnelle susceptible de sanctions. Mais quelles sont ses obligations ? Obligation générale de conseil En sa qualité de professionnel du bâtiment, l’architecte est tenu d’une obligation générale de conseil sur l’ensemble des aspects du projet et pendant toute la durée de sa mission. Il doit satisfaire à ce devoir en temps utile, afin de permettre au maître d’ouvrage de mesurer les risques et les aléas du projet2. Par ailleurs, il doit être complet et précis dans l’accomplissement de ce devoir, ne pouvant se contenter de « rares recommandations peu contraignantes et inefficaces3 ». Il doit ainsi aller jusqu’à ne pas retenir les choix du maître d’ouvrage s’ils compromettent la solidité de l’ouvrage4. Son devoir de conseil englobe deux points importants : • une obligation de se renseigner sur la destination de l’ouvrage et les souhaits de son client, même en cas de silence de ce dernier5 (par exemple, au regard de l’accessibilité aux personnes handicapées6 ou des prescriptions techniques administratives propres à certains projets7). • une obligation de collaboration avec les autres maîtres d’œuvre et les entreprises dans l’intérêt de l’opération8. Comme pour toutes les obligations professionnelles de conseil, il revient à celui qui y est soumis de démontrer qu’il y a satisfait9. Le devoir de conseil de l’architecte subsiste enfin en présence d’un maître d’ouvrage notoirement compétent10.  Obligations techniques spécifiques Lors de la conception du projet, l’architecte doit garantir sa faisabilité au regard de l’existant, notamment en tenant compte des contraintes du sous-sol ou des constructions voisines11, en étant responsable du choix des matériaux12 et du respect des règles de l’art13. Lors de la passation des marchés, l’architecte procède à l’analyse comparative des offres des entreprises, vérifie leurs qualifications et assurances14. Pendant l’exécution des travaux, il organise et dirige les réunions de chantier, coordonne les entreprises, vérifie l’avancement des travaux et leur conformité avec le marché15. A l’issue des travaux, il signale au maître d’ouvrage les désordres apparents à la réception et suit le déroulement des reprises liées aux réserves16. Enfin, il est soumis à des obligations comptables, juridiques et déontologiques classiques pour sa profession : respect du budget et vérification des décomptes, conformité aux règles d’urbanisme, de mitoyenneté et de copropriété, établissement d’une lettre de mission écrite et préalable, et obligation d’intégrité. Naturellement, il doit justifier d’une assurance décennale et d’une assurance professionnelle. Pierre LacoinAvocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats Légendes 1Cass. 3e civ., 3 juill. 2016, n° 94-18.377.2CA Paris, 23e ch. civ., sect. A, 22 mars 2000 : AJDI 2000, p. 530.3Cass. 3e civ., 22 nov. 2000, n° 99-12.182.4Cass. 3e civ., 13 janv. 1982 : JurisData n° 1982-700043 ; JCP G 1982, IV, p. 115.5Cass. 3e civ., 30 nov. 2011, n° 10-21.273.6Cass. 3e civ., 12 oct. 2017, n° 16-23.982.7Cass. 3e civ., 9 mai 2015, n° 14-13.178.8Cass. 3e civ., 2 juin 2016, n° 15-16.981.9Cass. 3e civ., 17 déc. 2013, n° 12-28.019.10Cass. 3e civ., 23 mars 2017, n° 15-16.077.11Cass. 3e civ., 24 mai 1989, n° 87-19.169.12Cass. 3e civ., 20 oct. 1993, n° 92-10.782.13Règles qui correspondent à l’état de la technique au moment de la conception et de la réalisation de l’ouvrage. Elles sont pour partie codifiées, notamment dans les DTU et les normes Afnor - (CE, 5 févr. 1998, n° 35687, Ville de Paris/Sté Linville).14Cass. 3e civ., 17 déc. 1997, n° 96-11.83.15CA Metz, 22 sept. 2015, n° 13/02233.16Cass. 3e civ., 30 oct. 1991, n° 90-12.993. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 234 jours

Quelles énergies de chauffage sont utilisées dans les régions françaises ?

Au coût environnemental s’ajoute aujourd’hui un coût financier, puisque les prix du fioul ont augmenté de plus de 80% ces douze derniers mois.A cette occasion, Butagaz et le Synasav propose un panorama des usages énergétiques en France afin de permettre aux décideurs d’identifier les enjeux et le chemin à parcourir par région pour accélérer la transition énergétique vers des énergies de chauffage moins carbonées.Les 3 grands enseignements de l’étude :Toutes les régions françaises sont engagées dans la voie de la transition énergétiqueGlobalement, l’ensemble des régions progresse vers des énergies de chauffage moins carbonées. Fini le fioul, place aux énergies moins carbonées. Les réponses sont multiple avec de nombreuses solutions existantes comme l’électricité, le gaz naturel, le gaz propane pour certains types de bâtiments, ou encore d’autres énergies comme les pellets de bois. Telles sont les énergies alternatives au fioul et majoritairement en croissance qui séduisent les Français dans les territoires.Les régions les plus avancées avec l’utilisation d’énergies moins carbonées sont l’Île-de-France, la région Sud (PACA) et l’Occitanie. Les trois régions utilisent respectivement 76%, 77%, et 73% d’énergies moins ou peu carbonées (électricité & gaz naturel) pour se chauffer. L’électricité dans ces régions fortement peuplées est l’énergie majoritaire à l’exception de l’Île de France qui se chauffe à 42% au gaz naturel et 34% à l’électricité.A chaque région son mix énergétique pour s’adapter aux besoins des logements, leur typologie, leur situation géographique et au climatMême si on note une évolution favorable dans toutes les régions, on constate des grandes disparités sur le choix des énergies de chauffage et de leur proportion dans le mix énergétique. La Normandie, le Centre-Val de Loire et Pays de la Loire ont un mix énergétique équilibré avec environ 1/3 en électricité, 1/3 au gaz naturel et 1/3 sur les autres énergies de chauffage mais plus de 10% de fioul. A l’inverse, la Corse dispose d’un parc à 68% chauffé à l’électricité et seulement 2% au fioul. Cela s’explique par sa position géographique particulière et son plus faible nombre de logements. Le Nord est la région la plus équipée en proportion en chauffage au gaz naturel. Ceci s’explique par la typologie de logements en fonction de leur catégorie, résidentiels ou tertiaires.Des régions encore dépendantes du fioul prioritaires pour accélérer vers des énergies moins carbonéesAlors que le gouvernement a fixé comme objectif de remplacer l’ensemble des équipements fioul d’ici à 2028, le chemin est encore long. Lors de la dernière mesure INSEE, en 2018, 3,8 millions de logements et bâtiments français utilisaient encore cette énergie de chauffage, soit environ 11% du parc. Certaines régions sont identifiées comme prioritaires à la lecture de cette étude.L’Auvergne-Rhône-Alpes affiche le plus gros gisement de bâtiments chauffés au fioul en nombre avec près de 637.000 logements soit 14% de son parc. En proportion, c’est cependant la région Bourgogne-Franche-Comté en tête avec 17% du parc au fioul, suivi par la région Grand-Est et Bretagne à 15%.Pour Natacha Cambriels, Directrice Générale de Butagaz : « Cette étude nous permet d’identifier le chemin parcouru et surtout le chemin à parcourir pour accélérer la transition énergétique de proximité dans les territoires. Avec plus de 1.000 collaborateurs dédiés à cette mission chez Butagaz, nous sommes fiers de proposer des services et des énergies peu carbonées, adaptées aux habitudes de consommation des Français et aux territoires avec leur spécificité géographique. Nous souhaitons être acteur et moteur pour accompagner les Français, professionnels et particuliers, dans les énergies de demain. »Pour Roland Bouquet, Président du Synasav : « Face à l’urgence climatique et les enjeux d’accélérer notre indépendance aux énergies fossiles étrangères, il est primordial de déployer des politiques incitatives et expertes pour accompagner les Français dans leur transition énergétique. Par cette étude, nous pouvons identifier au mieux les énergies les plus utilisées dans les territoires en fonction de leurs spécificités. Cela nous permet d’adapter nos offres et services de maintenance et de rénovation à chaque situation afin d’aider les Français à concilier leurs enjeux économiques et environnementaux. »Les enjeux pour demain selon Butagaz :Accroître les dispositifs et les services pour accélérer la sortie du fioulAfin de limiter le chauffage par ce combustible énergivore, Butagaz propose depuis 2020 ses services de remplacement de cuve à fioul auprès des particuliers et des professionnels ainsi que des aides financières comme Butaprimes, Artiprimes ou encore le Pack Facilipass. Grâce à ces services, le bilan carbone peut être réduit jusqu’à 70%.Les freins à la transition sont majoritairement identifiés dans les territoires les plus enclavés, par le manque d’accessibilité aux énergies plus propres. C’est là que Butagaz s’engage à agir en priorité, grâce notamment à son implantation dans toutes les régions françaises.Exemples de transition opérées : Le refuge de Beauregard – Mairie de Vert-ToulonAméliorer la relation client, les offres et les services pour aider les Français à faire les bons choix dans la rénovation énergétique de leur logementAujourd’hui circule une multitude d’informations parfois contradictoires. Afin d’accompagner au mieux les Français pour faire des choix éclairés en fonction de leurs besoins énergétiques, de leur budget et de leur situation géographique, il est nécessaire d’avoir des experts pour répondre à leurs questions. C’est le sens donné à la collaboration renforcée entre le Synasav et Butagaz.
Il y a 2 ans et 238 jours

25 ans après son interdiction, l’amiante continue de peser sur nos vies

Un numéro hors-série de 84 pages, pour rouvrir le dossier de l’amiante, véritable boîte de Pandore, dont on n’a pas fini de mesurer les conséquences. Une enquête fouillée et édifiante sur les millions de tonnes de matériaux toxiques qui subsistent dans de nombreux bâtiments, notamment dans les écoles de la République. Le média révèle également, alors même que leur importation est formellement prohibée, que des produits manufacturés contenant de l’amiante continuent de franchir les frontières de l’Europe. Un nouvel acte, dans cette tragédie sans fin, est en train de se jouer.L’amiante d’aujourd’hui, ce sont les cancers de demainPour réaliser ce hors-série consacré aux 25 ans du scandale de l’amiante, la rédaction d’Infodiag a interrogé de nombreux grands témoins, dont la sociologue de la santé Annie Thébaud-Mony, présidente de l’Association Henri-Pézerat, du nom de son compagnon, lanceur d’alerte en matière d’amiante dès les années 1970. Pour cette spécialiste des maladies professionnelles, on peut véritablement parler d’un « crime industriel ». « J’ai été impressionnée par la mortalité précoce chez les ouvriers. Mourir d’un cancer à 40-50 ans n’est pas la même chose que de mourir d’un cancer à 80-90 ans. Je ne m’y fais pas, je trouve toujours ça terrible », souligne-t-elle. Dans cet entretien, Annie Thébaud-Mony évoque également avec colère les années 80, et « l’usage contrôlé de l’amiante » qui constituait à ses yeux une véritable mystification. Pendant longtemps, rien n’a bougé. Et puis, en 1995, des études publiées en Grande-Bretagne ont montré que l’on s’acheminait vers une catastrophe sanitaire similaire à celle du sang contaminé. C’est alors que le couvercle a sauté.Seule une volonté politique peut changer la donne…Suite à son interdiction de 1997, la production et la commercialisation de l’amiante ont été stoppées. Mais le combat n’est pas fini. Les équipements de protection respiratoire utilisés sur les chantiers ne sont pas suffisamment étanches pour éviter l’inhalation de fibres d’amiante. Il faut donc abaisser encore les valeurs limites de façon drastique et envisager des équipements comme ceux utilisés dans l’industrie nucléaire. Le problème tient au coût très élevé du désamiantage. À partir de là, les considérations économiques reprennent le pas sur la santé. Le ministère du Travail ou les parlementaires arguent qu’un renforcement de la réglementation mettrait les entreprises en difficulté avec des milliers d’emplois supprimés.Pour Aline Archimbaud, qui a présidé le Comité de suivi de l’amiante au Sénat, autre grand témoin interrogé par Infodiag : « Seule une volonté politique, avec un pilotage national, peut changer la situation. Nous ne pourrons pas tout désamianter du jour au lendemain, vingt, trente ans ou plus seront nécessaires. Si nous n’avons pas une stratégie nationale pour identifier les urgences, nous ne nous en sortirons pas. »L’amiante à l’école : une vraie bombe à retardementLe hors-série d’Infodiag révèle un autre scandale. En France, 8 établissements scolaires sur 10 sont concernés par l’amiante, sans que l’on sache forcément où il se trouve. La réglementation est sans doute bien faite, mais elle demeure très mal appliquée dans les écoles de la République. La seule enquête réellement sérieuse qui ait été menée sur le sujet remonte à 2016. 20.000 établissements ont alors répondu à un questionnaire de l'Observatoire national de la sécurité et de l’accessibilité des établissements d’enseignement (ONS), organe de l'éducation nationale aujourd'hui disparu. Ce qu’il en est ressorti : 85% des établissements scolaires français sont sortis de terre avant 1997. Leurs bâtiments sont donc concernés par l’amiante et par l’obligation de remplir un Dossier technique amiante (DTA). Or, 30% des établissements ayant répondu à l’enquête ont indiqué ne pas disposer de ce document.38% des DTA des écoles publiques comptent au moins un matériau amianté (cela s’élève à 77% pour les lycées publics et 80% pour les lycées professionnels).En 2022, l’amiante continue de frapper durement le corps enseignant. Chaque année, on recense peu ou prou une douzaine de maladies professionnelles liées à l’amiante ; soit près de 10% des maladies professionnelles reconnues au sein de l’Éducation nationale.
Il y a 2 ans et 241 jours

L’interphone «VOG5» d’Urmet présenté au congrès HLM

Véritable allié pour réduire la consommation d’énergie et favoriser l’accessibilité et l’adaptabilité des logements aux personnes en situation de handicap, le moniteur interphone VOG5 présente des fonctionnalités exclusives. Urmet qui dispose de la gamme la plus large du marché en interphone GSM sans fil ou hybride, n’en oublie pas pour autant le filaire qui reste la solution répondant aux besoins des bailleurs sociaux, notamment dans le cadre de la loi […]
Il y a 2 ans et 241 jours

Covid-19 : L’OPPBTP rappelle les bons réflexes pour maintenir une protection contre le virus

Néanmoins, la Covid-19 reste un danger à surveiller, qui a toujours des conséquences problématiques pour les entreprises, pour partie en raison de l’absentéisme qu’elle provoque. Il est donc nécessaire de continuer à être attentif. L’OPPBTP rappelle dans un article synthétique et pratique tous les réflexes et les gestes efficaces pour se protéger du virus et limiter les contaminations dans les entreprises du BTP et sur les chantiers.Se laver les mains fréquemmentLa proximité et l’accessibilité à l’eau sont primordiales pour permettre aux compagnons de se laver les mains le plus souvent possible. Le lavage des mains avec du gel hydroalcoolique est une solution complémentaire quand il n’est pas possible de se laver les mains à l’eau et au savon.Porter un masque dans certaines situationsLe port du masque pour se protéger et protéger les autres est conseillé dans les véhicules, lors de déplacements à plusieurs compagnons si on ne peut pas aérer, dans les transports en commun, et dans les espaces clos ou confinés et les salles de réunion qui ne peuvent pas être régulièrement aérés. Le masque reste également recommandé pour les personnes malades ou fragiles, les personnes symptomatiques, cas contact et pour les interventions chez des particuliers malades.Aérer périodiquement les salles, les réfectoires et les véhiculesAérer les espaces fermés (bureaux, bases vie, véhicules, engins) au minimum 10 minutes toutes les heures est efficace contre la propagation des virus. L’aération régulière est à privilégier quel que soit le mode d’aération ou de climatisation des locaux.Nettoyer régulièrement les surfacesLe nettoyage régulier des locaux, des tables, des poignées, des équipements des installations de chantier (toilettes, lavabos et douches) et des véhicules et engins avec de l’eau et les produits de nettoyage habituels est à encourager.Sensibiliser les salariésUne information auprès de tous les salariés lors des briefings de poste ou lors des quarts d’heure sécurité permet de rester vigilant et de rappeler les bons réflexes pour se protéger. De nombreux supports sont à disposition et utilisables sur preventionbtp.fr.S'organiser et dialoguerDes mesures organisationnelles peuvent être décidées par le chef d’entreprise concernant l’organisation des flux de circulation, des temps de travail, etc. Lorsqu’il existe un CSE ou une commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT), une information ou une consultation sur les mesures sanitaires envisagées ou prises au sein de l’entreprise peuvent être mises à l’ordre du jour.Organiser la coopération des acteurs du chantierPour chaque chantier, les questions de coordination sur les mesures de prévention liées à la circulation du virus de la Covid-19 doivent être abordées. Le maître d’ouvrage, le coordonnateur SPS, le maître d’œuvre et les entreprises pourront ainsi échanger sur les moyens organisationnels, comme l’accessibilité et les points d’eau nécessaires, la gestion de la coactivité, la configuration des installations de chantier… Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « Tous les gestes adoptés pendant la pandémie ont permis de travailler en sécurité sur les chantiers. Nous avons tout à gagner à les conserver. Rappelons aussi que la vigilance de chacun au respect des gestes barrières, le port du masque dès l’apparition des premiers symptômes et la vérification de son statut au regard du virus par un test sont essentiels pour protéger les autres. » Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose de nombreuses ressources ainsi qu’une base de Questions / Réponses spécifiques sur la Covid-19 à destination des professionnels. Une nouvelle page « Focus COVID-19 » est également disponible sur le site de PréventionBTP. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct.
Il y a 2 ans et 248 jours

Douches « zéro ressaut » : un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB

Le CSTB vient de publier un guide pour la mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs. Il présente les solutions techniques existantes et les produits adaptés à la conception de ce type d'ouvrage. L'arrêté du 11 septembre 2020 supprime le ressaut maximal de 2 cm entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche jusqu'alors autorisé. L'évolution de cette réglementation « zéro ressaut » doit permettre l'accessibilité à l'espace douche à toutes les populations restreintes dans leurs déplacements, les seniors notamment ou celles souffrant d'un handicap. Cette nouvelle disposition favorise notamment le maintien à domicile des personnes âgées. Un espace de douche « zéro ressaut » étant un ouvrage techniquement complexe à réaliser, il est nécessaire de combiner différentes contraintes telles que l'écoulement de l'eau vers le dispositif d'évacuation, l'étanchéité du support, la résistance à la glissance de l'espace douche, l'acoustique et les exigences réglementaires électriques. Pour respecter le caractère accessible, des dimensions minimales sont également attendues pour l'espace douche (120 x 90 cm) et les zones adjacentes (espace d'usage et espace de manœuvre). Plusieurs solutions de réalisation évaluées techniquement Sollicité par la Direction de l'Habitat, de l'Urbanisme et des Paysages (DHUP), le CSTB a conçu un « guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs ». Au travers d'un groupe de travail piloté par le CSTB, près de 80 acteurs (promoteurs, entreprises, industriels, contrôleurs techniques, assureurs et experts) se sont mobilisés pour identifier les solutions techniques les plus aptes à répondre à cet objectif règlementaire. Trois façons de réaliser une douche « zéro ressaut » ont ainsi été identifiées pour les deux configurations possibles que sont les espaces de douche ouverts et les espaces de douche cloisonnés : les espaces de douche maçonnés ; les receveurs de douche prêts à revêtir ; les receveurs de douche finis. Pour autant, ce guide n'exonère pas les acteurs de justifier de l'aptitude à l'usage ouvrage par ouvrage, en respectant les DTU, ATec ou ATEx, d'autant que certaines combinaisons de produits ne bénéficient pas encore toutes d'un retour d'expérience en France. Ce guide, qui a pour vocation d'alerter les concepteurs sur les dispositions à prendre selon la configuration de mise en œuvre retenue, est une version provisoire en attente d'être complétée à court terme avec d'autres solutions techniques (notamment pour les receveurs finis) dès lors qu'elles bénéficieront d'évaluations techniques. Que ce soit par l'évaluation de solutions innovantes ou la certification, le CSTB accompagne l'ensemble des filières professionnelles dans cette évolution. En savoir plus : « Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs »
Il y a 2 ans et 248 jours

Socotec acquiert Ascaudit

Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit [©Socotec] Le groupe Socotec a racheté l’intégralité du bureau d’études d’Ascaudit. Ceci, via sa filiale Socotec Smart Solutions. Présent sur toute la France avec 10 implantations, Ascaudit est composé de 135 experts techniques et réalise plus de 12 M€ de chiffre d’affaires. Il travaille en direct sur de grands projets tertiaires, ainsi qu’avec les bailleurs sociaux, les grandes copropriétés et les collectivités territoriales.   « Rejoindre le groupe Socotec et sa filiale Smart Solutions permet à nos équipes de passer une nouvelle étape favorable au dimensionnement de nos activités, déclare Hervé Lasseigne, dirigeant historique d’Ascaudit. Nous obtenons une présence renforcée sur le territoire français, une base de clients plus large et un partage des expertises qui vient accélérer le développement de prestations. En particulier sur les enjeux de la sobriété énergétique, de l’adaptation et de la rénovation des bâtiments. » Une culture similaire Grâce à cet achat, une nouvelle offre complète de solutions d’ingénierie de spécialités est ainsi proposée. Elle accompagne les acteurs publics et privés sur la performance énergétique de leurs bâtiments, leur accessibilité et leur sécurité.  « Nos positionnements se combinent avec d’un côté, Socotec Smart Solutions qui œuvre déjà sur ce marché auprès des propriétaires fonciers et industriels. Puis de l’autre, avec Ascaudit très bien implanté auprès des bailleurs sociaux et des collectivités, précise Hervé Montjotin, directeur général du groupe Socotec. Notre culture est proche, puisque les deux entreprises sont composées d’ingénieurs de la construction avec des compétences fortes et recherchées et une culture du service clients, qui ne transige pas et qui apporte une qualité de service forte et reconnue à ses clients et partenaires. » Avec cette acquisition, le groupe devient n°3 sur le marché français de la transition énergétique et de de la performance du patrimoine immobilier. Son panel de prestations s’étend aussi aux attestations d’effets équivalents dans le cade la loi Essoc sur tout projet d’innovation.
Il y a 2 ans et 256 jours

Au cœur urbain de Nice, le Groupe Kardham va rénover l'historique campus universitaire Valrose

Construire, rénover et redynamiserLa mission s’inscrit dans le parc classé de Valrose, d’une surface de 11 hectares, remarquable pour la richesse de sa flore et la beauté de ses monuments. Le projet comporte trois parties :La rénovation des façades de deux établissements recevant du public (ERP), les bâtiments chimie et sciences naturelles, ainsi que la rénovation de deux niveaux dans l’ERP sciences naturelles.La construction d’un bâtiment neuf de 500 m² SDP pour des laboratoires de recherche.Un volet « expression culturelle » pour redynamiser le campus : relier la scène de l’Isba, un chalet traditionnel ukrainien, au campus et réfléchir à comment accompagner de façon évènementielle la vie des étudiants sur le site.Les principales caractéristiques du projetRespecter un patrimoine de 31 bâtiments et ouvrages dont une multitude classée au titre des monuments historiques.La mise en valeur de ce magnifique passé culturel et espace paysager fonctionnera comme ligne de conduite pour le projet. Ce dernier se conformera ainsi à la protection des monuments historiques en respectant les ouvrages existants. Aucun pastiche d’une architecture locale ne sera recherché et les références aux ouvrages présents sur le site ne seront que des évocations subtiles. Une charte définie par l’architecte des monuments historiques imposera par ailleurs les coloris, matériaux et les mobiliers du site.Conserver le patrimoine végétal et s’intégrer dans le paysageLa rénovation des façades suit le plan de gestion, et marque les socles des bâtiments (socle métal dans les tons rouille). Les étages seront traités en isolation thermique par l'extérieur dans un ton pierre. Ces choix permettent de mettre en valeur le parc arboré qui présente richesse et diversité en essences végétales : les niveaux hauts s’effacent derrière les arbres et la végétation luxuriante. Les socles ramènent à la terre et assurent une pérennité.Constitué de deux niveaux, et principalement enterré, le nouveau bâtiment de recherche a été pensé par les équipes de Kardham comme un empilement de strates horizontales qui viennent s’insérer suivant les lignes topographiques du terrain, et s’ancre dans la colline, prouesse d’intégration dans un site naturel enclavé. Sa façade unique expérimente des parois en béton imprimé, avec l’objectif de travailler la matière dans une forme libre. Cette démarche architecturale s’inscrit dans la continuité historique propre au site, dans une veine art nouveau avec un rusticage caractéristique du début du 19ème siècle. La 5ème façade poursuit le thème du parc avec la création de jardins, intégrant un petit pavillon en bois aux façades en moucharabiehs végétalisés.Les espaces paysagers extérieurs sont traités comme des jardins accessibles pour tous avec des plantées de cépées et arbustes. Pour la toiture végétalisée non accessible, Kardham a opté pour une plantée en garrigue sur couche drainante : lavandes, graminées et plantes de garrigues résistantes. Une large terrasse en bois permettra d’accueillir de l’événementiel, redonnant vie au site de l’Isba.Intégrer des solutions bioclimatiques et environnementales nouvellesLe volet rénovation énergétique comprend la rénovation de l’enveloppe, avec une isolation de façade par l’extérieur et de nouvelles menuiseries, la gestion de la protection solaire (brise-soleil et stores) et la pose de panneaux photovoltaïques. L'énergie sera ainsi mieux maîtrisée. La construction neuve en bâtiment troglodyte enterré dans la colline, ainsi que la toiture végétalisée rejoignent une démarche de bâtiment durable. Notons que le chantier est réalisé dans un contexte de site occupé.Un campus reconnecté et accessible à tousLe parc d’origine avait été transformé lors de la construction de plusieurs bâtiments du campus par l’architecte René Egger. Leur implantation murait le chalet de l’Isba, créant une rupture. En requalifiant les abords de l’Isba avec la création d’un aménagement ouvert à tous, cette partie du parc est désormais reconnectée au campus.La mise en accessibilité ADAP (agenda d'accessibilité programmée) du site est traitée au fur et à mesure des chantiers de rénovations. Pour les personnes à mobilité réduite et les non-voyants, elle comprendra la création de places de stationnement implantées aux pied d’immeubles, la pose de rails de guidage et l’installation de rampes sur les cheminements jusqu’aux entrées des bâtiments. Elle répond à l’accessibilité pour tous, lors de la mise aux normes des escaliers existants : bande podotactile, main courante, etc.Concernant le thème de l’expression culturelle, il a été proposé d’établir des constructions bois éphémères de petite échelle jalonnant le Parc, supports de liens et connectivités entre les différents acteurs du campus. Celle positionnée sur des points hauts du Parc et aux pieds de l’Isba redynamise le lien.Caracteristiques du projetMaitre d’ouvrage : Université Côte d’AzurPartenaires : EQUANS, Tractebel, Edeis, Ineo, Dumez, CofelyMission : conception architecturale, suivi des travaux et AORLivraison : 3ème trimestre 2023
Il y a 2 ans et 258 jours

La transition écologique doit être aussi « une transition accessible », réclame le CNCPH

Les Universités d’été du Conseil national consultatif des personnes handicapées, qui se déroulent du 29 au 31 août en présence de huit ministres, ont permis de rappeler le retard pris en matière d’accessibilité universelle. Les parties prenantes incitent à mutualiser les combats contre les urgences, climatique et de prise en compte du handicap.
Il y a 2 ans et 279 jours

Val-d’Oise : des travaux à la gare d’Herblay-sur-Seine

La SNCF entreprend des travaux pour améliorer l’accessibilité à la gare d’Herblay-sur-Seine (Val-d'Oise).
Il y a 2 ans et 293 jours

L'objectif de 2.500 structures France Services sera atteint en 2022, assure Guerini

"Au niveau national, on sera à l'objectif (...) qui était fixé à 2.500 maisons France Services dans l'année 2022", a déclaré le ministre lors d'un point presse."Tous les Français sont à moins de 30 minutes d'une maison France Services et même à moins de 20 minutes pour 9 Français sur 10. C'est évidemment une granularité dans la carte qui est le bon niveau", s'est-il félicité après une visite d'un "camping-car France Services" pouvant accueillir du public."500.000 Français viennent tous les mois dans une maison France Services. (...) Sur une année, il faut considérer que c'est quasiment 10 % des Français qui ont accès aux services publics via une maison France Services, qu'elle soit sous format sédentaire ou sous format mobile", a-t-il ajouté."Il faut qu'on continue cette montée en accessibilité, en fréquentation (...) parce que maintenant, le dernier kilomètre, c'est d'aller chercher les citoyens les plus éloignés des services publics (...). C'est pour ça que les bus, c'est fondamental. Ca va permettre d'amener les services publics aux citoyens, parfois sur la place d'un village ou au sein d'un quartier prioritaire", a-t-il insisté."On est en train d'inventer une nouvelle politique publique, une politique d'accès aux services publics, mais aussi de lutte contre la fracture numérique", a jugé M. Guerini, alors que l'Etat finance chaque structure à hauteur de 30.000 euros, tout en assurant 40% des frais de fonctionnement, selon lui.Emmanuel Macron avait lancé en avril 2019 le réseau France Services pour que chacun puisse être accueilli dans un lieu unique et être accompagné dans ses démarches administratives, avec la volonté de lutter contre l'isolement d'une partie de la population.A l'issue des élections législatives, qui ont porté 89 députés RN à l'Assemblée nationale, de nombreux élus, comme le président de l'Association des maires ruraux (AMRF) Michel Fournier, avaient réclamé un "plan d'urgence" pour les territoires ruraux désertés par les services publics. L'Association des petites villes de France (APVF) avait de son côté demandé "solennellement" à Emmanuel Macron de prendre en compte "un vote de colère et de profonde inquiétude" dans les campagnes.
Il y a 2 ans et 310 jours

Corniche Kennedy : Entre terre et mer

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine La Corniche Kennedy épouse le littoral marseillais. Elle a fait l’objet d’une grande rénovation. [©Setec Diades] Construite entre la fin de la IIe République et le Second Empire, la Corniche Kennedy épouse aujourd’hui le littoral marseillais de la plage des Catalans jusqu’aux plages du Prado. L’édifice offre une belle balade comme une liaison entre terre et mer. Et en plus de la promenade, la corniche dispose de bancs, formant une chaîne de 3 km sur pratiquement tout son parcours. Le banc le plus long du monde selon la légende ! L’ouvrage connaît plusieurs transformations, dont un élargissement entre 1954 et 1968. C’est à cette époque qu’il devient la Corniche Kennedy en hommage au président américain John Fitzgerald Kennedy, mort en 1963. Soumise aux contraintes du temps, de la circulation ou encore des embruns et autres agressions dues à l’environnement, la Corniche a récemment fait peau neuve. « Les travaux se sont déroulés en quatre phases entre octobre 2018 et avril 2022 », explique Loriana Pace, ingénieure maîtrise d’œuvre chez Setec-Diades. En effet, pour permettre aux habitants et aux nombreux touristes de profiter de l’espace l’été, le chantier était en activité entre l’automne et le printemps. Initiée par la Métropole Aix-Marseille-Provence, la restauration de la corniche visait différents objectifs. D’une part, redonner la pleine vocation de la promenade et renforcer l’accessibilité du littoral. Et d’autre part, remettre à neuf les bancs et les ouvrages et la création d’une piste cyclable bidirectionnelle sécurisée. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne