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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

(61961 résultats)
Il y a 4 ans et 231 jours

Eduardo Souto de Moura lève le voile sur le théâtre de Clermont-Ferrand

Le mooc "s'engager dans l'architecture de notre cadre de vie" propose de découvrir, au fil de 25 courtes vidéos, les études et les métiers de l’architecture. Un outil de sensibilisation utile pour les lycéens en quête d'orientation, mais aussi pour rappeler la richesse des activités professionnelles […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 231 jours

A Lisieux, du palais industriel au Palais de Justice, par Léonard & Weissmann

L’atelier Leonard & Weissmann (Jean Léonard et Martine Weissmann) a livré en juillet 2020 le Palais de Justice de Lisieux (Calvados). Pour un coût de 8,2 M€ (3 580 m² SDP), ou comment transformer une architecture de friche industrielle en édifice institutionnel. Communiqué. Le nouveau palais de justice de Lisieux accueille le tribunal judiciaire, le […] L’article A Lisieux, du palais industriel au Palais de Justice, par Léonard & Weissmann est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 231 jours

"Marseille n'a plus le temps d'attendre" pour supprimer le logement indigne, selon sa maire

"Le temps est terminé où Marseille laissait seules et seuls ces personnes que vous voyez sur ces photos", a affirmé Mme Rubirola, qui a ravi la mairie à la droite cet été, à l'occasion d'un vernissage d'une exposition consacrée aux personnes délogées depuis deux ans et ballotées d'hôtels en logements provisoires.Des portraits du photoreporter indépendant Anthony Micallef s'affichent sur plusieurs mètres de haut sur la façade de l'Hôtel de ville de la deuxième ville de France. Un symbole fort voulu par le photographe comme par la maire: lors des manifestations contre le logement indigne après la catastrophe de la rue d'Aubagne, le 5 novembre 2018, des Marseillais en colère avaient conspué le maire d'alors, Jean-Claude Gaudin (LR), sous ces mêmes fenêtres.Sur l'une de ces photos, le regard inquiet de Baya, 70 ans, toujours à l'hôtel depuis 2018, arrête le visiteur. Assise sur un lit encombré de vêtements dans une pièce aux murs nus, des sacs de courses en guise de valises, la septuagénaire résume: "Je suis comme un oiseau qui n'a pas trouvé où se poser".Le photographe a aussi saisi des instants d'urgence, comme cette évacuation de la rue Curiol, en centre-ville, où un homme balance du premier étage un matelas et quelques affaires avant de quitter définitivement son appartement délabré.Le 5 novembre 2018, l'effondrement de deux immeubles en plein coeur du quartier populaire et métissé de Noailles, à quelques encablures du Vieux-Port, et ce malgré des alertes lancées sur la vétusté des bâtiments, avait mis en lumière la question de l'habitat indigne à Marseille.Dans la foulée, des centaines d'immeubles d'habitation ont été frappés d'arrêtés de péril et près de 5.000 personnes en ont été évacuées, selon la mairie.Deux ans plus tard, 390 de ces personnes sont toujours à l'hôtel et 1.100 sont relogées à titre provisoire.Dans son discours, Michèle Rubirola a dénoncé "25 années d'inaction" (de la précédente majorité municipale) et promis de produire 30.000 logements en six ans."Mes paroles, aujourd'hui, ne remplaceront pas celles qui n'ont pas été prononcées voilà deux ans. Mais en tant que maire de Marseille, je suis à la tête d'une institution qui a beaucoup à se faire pardonner et qui doit reconnaître sa faute", a conclu Mme Rubirola.L'exposition "Indigne toit" est gratuite et libre d'accès autour de l'Hôtel de ville jusqu'au 22 novembre.
Il y a 4 ans et 231 jours

Nouvelle levée de fonds pour Bulldozair

DEVELOPPEMENT D'ENTREPRISE. L'entreprise Bulldozair, qui propose une solution digitale visant à améliorer la gestion des chantiers avec les divers acteurs du Bâtiment, annonce une levée de fonds de 4 millions d'euros. A quoi va servir cette enveloppe ? Auprès de qui s'est effectuée l'opération ? Réponses.
Il y a 4 ans et 231 jours

Le Grand Palais Ephémère, nouveau monument et nouveau site olympique

EN IMAGES. Signé Wilmotte & Associés Architectes, le Grand Palais Ephémère, qui remplace le monument historique pendant ses travaux, accueillera ensuite des événements pendants les Jeux olympiques de 2024, puis sera démonté pour servir ailleurs. Le choix du bois pour sa structure découle en partie de ces contraintes.
Il y a 4 ans et 231 jours

Quand innovation, agilité et développement numérique rime avec succès

Comment une jeune entreprise française spécialisée dans les panneaux décoratifs et plafonds a réussi à s’imposer sur ce marché ? M. Anthony Despeyroux, responsable du Bureau d’études de la société NEOCLIN revient sur cette belle aventure et nous explique comment le numérique à favoriser la croissance de NEOCLIN. Des produits de qualité associés à des valeurs de flexibilité et d’agilité. NEOCLIN est une jeune entreprise, créée il y a 5 ans par M. Patrick Joyet, spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de panneaux décoratifs à claire voie pour façades de bâtiments collectifs, sociaux, industriels ou commerciaux et des plafonds acoustiques. Les panneaux à claire voie ont pour élément décoratif des tasseaux bois, des tubes aluminium ou des lames en stratifié. En effet, M. Joyet après une belle expérience dans le secteur, a décidé de fonder son entreprise, après avoir breveté un « système de crémaillère » innovant. Aujourd’hui, l’entreprise est bien installée sur le marché français et emploie 5 personnes. Je suis responsable du bureau d’études. L’agilité et la flexibilité de l’entreprise lui permettent de répondre rapidement aux demandes et ainsi de gagner de nombreux marchés privés ou publics à la fois en neuf ou en rénovation. Panneaux décoratifs NEOCLIN Les nouvelles technologies animent cette jeune entreprise. Pour quelles raisons, votre entreprise a-t-elle engagé une démarche BIM ? « Cela fait un peu plus d’un an déjà que nous avons engagé cette démarche BIM. Le but était de trouver un nouvel outil capable d’optimiser le calepinage tout en proposant un rendu photoréaliste de nos produits avant, et dans le cas du bois, après vieillissement. Pour cela, nous avons créé une bibliothèque de textures pour le bois mais également pour les autres matériaux que nous travaillons, et celle-ci compte aujourd’hui plusieurs centaines de textures. » « De plus, cela nous a permis de répondre à des projets adoptant cette démarche de manière exclusive et qui sont de plus en plus nombreux sur le marché public. En effet, si notre marque est prescrite dès le début dans le projet technique, nous avons de grandes chances d’être choisi. » Pendant mon parcours scolaire, j’ai été formé au BIM. Quand je suis arrivé chez NEOCLIN, j’ai sensibilisé mes collègues et M. Joyet à l’intérêt de la démarche. Et dès le départ, nous avons gagné un projet BIM car nous étions capables de faire un rendu 3D. En effet, nous avons développé une bibliothèque BIM depuis ARCHLINE. Nous avons choisi ce logiciel car il offre un module complémentaire LIVE qui permet d’avoir un rendu plus réaliste et il offre la capacité de visualiser les produits en réalité virtuelle. Rendu ARCHLINE LIVE Nous travaillons et nous accompagnons à la fois les architectes en phase conception et les façadiers (étancheurs bardeurs) ainsi que les charpentiers bois en phase d’appels d’offres ou d’exécution. Vis-à-vis des architectes, cette démarche nous permet d’offrir un accompagnement personnalisé et plus en amont dans leurs projets. Le but est de laisser à disposition des architectes un système de fixation simple et de réfléchir avec eux à la conception d’un produit au plus proche de leur besoin. Puis au-delà de cela, innover en créant un produit issu d’un concept architectural ou artistique compatible avec notre système tel que la technique de l’anamorphose par impression numérique. Concernant les façadiers et charpentiers, cet accompagnement se concrétise également sur les chantiers, nous suivons et vérifions comment les panneaux ont été posés. Nous conseillons les poseurs notamment dans les projets complexes pour répondre à toutes leurs questions et les fidéliser. Panneaux décoratifs et plafonds acoustique NEOCLIN sur BIMobject Enfin, notre démarche BIM améliore la communication et offre la possibilité de mieux visualiser les points singuliers d’un projet. En effet, si les plans 3D sont bien exécutés, nous constatons moins de problèmes sur le chantier. Quels sont les défis liés au BIM auxquels vous devez faire face ? L’enjeu principal se situe en externe dans le fait de faire connaître notre bibliothèque d’objets 3D et plus largement notre possibilité de faire de la conception de panneaux en 3D et d’intervenir sur des maquettes BIM. Pour ce qui est des défis en interne, il faut former avant tout le personnel et l’habituer petit à petit à travailler avec de nouvelles méthodes. Chez NEOCLIN, c’est toutefois un défi que nous avons su relever avec une équipe relativement jeune et qui a évoluée avec cette démarche dans ses organismes de formation tel que l’IUT Génie Civil. Faciliter la mise à disposition de nos objets BIM aux prescripteurs grâce à la plateforme BIMobject Nous avons décidé de publier nos objets BIM sur la plateforme dans le but d’accéder à la reconnaissance qu’offre BIMobject aux vues du large éventail de fournisseurs déjà présent sur la plateforme.                                             Les produits NEOCLIN pour façades sur BIMobject Les architectes peuvent facilement consulter nos produits sur la plateforme BIMobject 7j/7. Mais également pour le service de communication que propose la plateforme. La collaboration vient tout juste de naître mais le service de communication, qui est un des principales raisons pour laquelle nous vous avons choisi, est très réactif et satisfaisant. Quels sont vos projets en BIM ? Nous avons deux gammes de produits actuellement sur la plateforme. Une pour les éléments de façades et sous faces et une seconde pour les éléments de plafonds suspendus, le tout en bois et en aluminium. Que pensez-vous du rôle joué par le BIM dans le secteur de la construction ? C’est une technique d’échange de données indispensable dans les conceptions architecturales complexes. Quels bénéfices votre entreprise a -t-elle retirée en travaillant en BIM ?  Nous avons pu digitaliser notre gamme de produits et créer un nouvel outil commercial. Cette démarche a permis de faciliter les échanges avec les architectes et entreprise du bâtiment. Mais c’est aussi une aide précieuse à la conception partagée. Pour conclure, NEOCLIN est une jeune entreprise innovante qui a su adopter et utiliser les nouvelles technologies (digitalisation des produits, objets BIM, rendus 3D, impression numérique, réalité virtuelle…) au service de sa performance et d’un accompagnement clients.  En savoir plus sur l’univers et les actualités de NEOCLIN, visitez le site. Découvrez les 34 familles de produits NEOCLIN ATLANTIC disponibles sur BIMobject
Il y a 4 ans et 232 jours

La rentrée confirme le redressement en cours pour le marché des matériaux de construction

Au troisième trimestre, les volumes produits dépassaient de +4% ceux de l'an passé pour les granulats et de +6% pour le BPE (données CVS-CJO), preuve qu'un rattrapage est bien à l'œuvre compte tenu de la décélération de l'activité qui était “normalement” attendue au second semestre 2020. Mais l'assèchement graduel des nouvelles prises de commandes, dans le gros œuvre comme dans les travaux publics, devrait modérer ce mouvement dans les prochains mois. Et la décision du re-confinement à fin octobre, même si cette fois le secteur du BTP n'est pas directement concerné, éloigne un peu plus encore la perspective d'un retour aux niveaux d'activité d'avant crise, d'ores et déjà hors de portée avant 2022.Un mois de septembre meilleur qu'en 2019Après trois mois d'été particulièrement vigoureux, le mois de septembre tempère la tendance. En repli par rapport au mois précédent, l'activité demeure néanmoins plus soutenue que celle de septembre 2019. Ainsi, selon les résultats provisoires de l'enquête mensuelle menée dans l'industrie des granulats, la production aurait baissé de -2,9% par rapport à août mais serait supérieure de +2,5% par rapport à celle de l'an passé (données CVS-CJO). Ainsi, au troisième trimestre,l'activité des granulats bondit de près de +35% par rapport au deuxième trimestre et de +4,3% au regard du troisième trimestre de 2019. En glissement sur les douze derniers mois,la chute d'activité se chiffre à -7,5% tandis que,en cumul sur les neuf premiers mois de l'année, la contraction atteint -9,5%. Du côté du BPE, les livraisons du mois de septembre, bien qu'en retrait de -2,9% sur août, sont 3% plus élevées que celles de septembre 2019. Sur les trois mois de juillet à septembre, la production de BPE a grimpé de +45,8% par rapport aux trois mois précédents et s'inscrit en hausse de +6% par rapport à la même période de l'an passé. De janvier à septembre, l'activité du béton prêt à l'emploi recule encore de -13,4% sur un an, tandis que, en glissement sur douze mois, le repli atteint -11,5% (CVS-CJO), des évolutions qui s'inscrivent pour le moment dans la trajectoire de nos estimations pour 2020.Notre indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois de septembre, enregistre également un rebond au cours du troisième trimestre (+7,1% sur un an, données CJO) après le plongeon du premier et deuxième trimestre d'environ -15% et -19% respectivement. Ce redressement, bien que plus marqué pour certains produits, est généralisé. Sur les neuf premiers mois de l'année, l'activité du panier de matériaux suivie par l'indicateur ressort à -9,4% en glissement annuel.Des enquêtes aux tonalités diversesLa dernière enquête menée par l'INSEE auprès des professionnels du bâtiment en octobre traduit à la fois un rebond de l'activité passée mais aussi une certaine stabilisation de l'activité prévue. Cette stabilité recouvre en fait deux configurations distinctes avec d'un côté le logement neuf pour lequel les perspectives sont bien orientées et, de l'autre,le non-résidentiel où la tendance est plutôt baissière même si les soldes d'opinion demeurent encore largement au-dessus des moyennes de long terme. En tout état de cause, les carnets de commandes culminent à leur point haut historique, dépassant 9 mois dans le segment du gros œuvre. Il faut sans doute y voir le résultat des retards accumulés pendant le confinement dans un contexte où l'activité des entreprises reste actuellement bridée par les contraintes sanitaires, d'une part, et les tensions sur les capacités de production, d'autre part. En effet, en octobre, près de 42% des entreprises du bâtiment ne pouvaient accroître leur production, pour des raisons liées principalement au manque de personnel (19% d'entre elles), le manque de matériel ou de matériaux ne concernant que 1% du total.Pour autant,le jugement des chefs d'entreprise sur leurs carnets de commandes continue de se dégrader, preuve que,au-delà du stock de travaux à finaliser,ils perçoivent la raréfaction des flux de nouveaux chantiers. Pour le moment, l'activité est toujours alimentée par la purge des commandes qui devraient assurer encore plus d'un semestre de travail. Pendant ce temps, du côté des promoteurs, l'opinion sur la demande de logements neufs se dégrade et les taux de désistement progressent. De fait, en octobre, leurs perspectives de mises en chantier pour les trois prochains mois accusent un nouveau repli, le solde d'opinion correspondant repassant sous sa moyenne de longue période.Dans un contexte de hausse du prix moyen des logements neufs,les promoteurs sont plus nombreux qu'en juillet à anticiper une baisse à venir des moyens de financement consacrés aux achats de logements neufs. Il faut sans doute y voir l'illustration d'une tendance au resserrement des conditions d'octroi de crédit qui se confirme, notamment auprès des primo-accédants les plus modestes, en liaison avec les recommandations du HCSF* de fin 2019.Bâtiment / TP : rebond et perspectives contrastésPour l'heure, la construction de logements a repris de la vigueur, affichant une hausse de +42% (CVS-CJO) entre le deuxième et le troisième trimestre et un rebond de +6,3% par rapport à la même période de l'an passé (soit 386 500 unités sur un an à fin septembre).S'agissant des permis,si le redressement est très net aussi sur le trimestre (+43,6%), le niveau reste en deçà de celui de l'an dernier (-11,5%) à 393 300 autorisations. Quant aux locaux, le redémarrage est plus poussif. Les surfaces commencées restaient près de -13% en deçà du niveau du troisième trimestre de 2019 et les surfaces autorisées à -2,6%. Tous les secteurs accusent des replis marqués, notamment l'hébergement hôtelier,les bureaux,le commerce, les services publics. Seuls les entrepôts semblent tirer leur épingle du jeu, portés il est vrai par la récupération tardive de gros permis et l'ouverture, fin 2019, des chantiers du parc logistique e-valley, destiné à devenir le plus grand parc logistique d'Europe. Enfin, du côté des travaux publics, après une récupération estivale moins marquée que prévue, les perspectives pour les prochains mois s'assombrissent. En octobre, les professionnels des TP pointaient certes un net redémarrage des chantiers, notamment sous maitrise d'ouvrage privée, mais l'absence de rebond de la commande publique pèse sur leurs carnets de commandes jugés peu garnis. La chute des marchés conclus se poursuit (-16,2% en cumul sur les huit premiers mois de l'année et -9% sur un an au cours des trois mois d'été),laissant craindre un véritable trou d'air pour la fin 2020.* Haut Conseil de stabilité financière (HCSF)
Il y a 4 ans et 232 jours

Le diagnostiqueur immobilier, pivot de la relance

Une démarche dont le diagnostiqueur devient le pivot incontournable pour évaluer les chantiers, optimiser leurs coûts et aboutir aux meilleures performances. Mais le diagnostiqueur immobilier est-il un métier de rappel à l'ordre, de sanction, de contrainte ou bien un allié de la transformation des bâtis et des mentalités de leurs occupants ?En première ligne de tout chantier de rénovation, le diagnostiqueur immobilier doit être considéré comme un « passeur » vers la transition énergétique. Moteur, facilitateur et conseil, il n'est pas régulateur, encore moins redresseur de tort. Son travail consiste à produire pour ses clients une information technique et objective quant à l'état de santé d'un logement ou d'un bâtiment. Une telle information sert à éclairer les décisions prises par les ménages, les bailleurs privés ou publics, les syndics de copropriété s'agissant des chantiers de rénovation notamment. À ce titre, le diagnostiqueur doit endosser et assumer la responsabilité d'orienter les travaux de rénovation énergétique vers une meilleure performance et durabilité. Ce qui permettra d'éviter les effets d'aubaine financiers et in fine de proposer aux ménages comme aux gros bailleurs, un accompagnement positif et concret, faisant de chaque contrainte réglementaire (en cours ou à venir) une opportunité d'améliorer ses factures mais aussi son confort et sa qualité de vie.Une alerte en provenance d'AllemagneDans ce domaine, d'ailleurs, s'oriente-t-on dans la bonne direction en privilégiant les travaux d'amélioration de la seule performance énergétique ? Ne devrait-on pas aussi destiner ces travaux à limiter des émissions des gaz à effet de serre des bâtiments et logements et lutter ainsi contre le dérèglement climatique ? L'expérience et le recul de ce qui a été mené en Allemagne depuis 2010 devraient nous interpeller : la rénovation énergétique massive des bâtiments, à grands renforts d'aides publiques, n'a pas fait diminuer la consommation d'énergie. Elle a incité une partie de la population à consommer plus, à coûts constants, pour satisfaire un plus grand confort. Seuls les ménages les plus modestes ont réellement subi la facture des rénovations dans l'alourdissement de leurs charges locatives, sans disposer ensuite du revenu disponible pour ajuster leurs consommations à leur confort. Des inégalités sociales concrètes ont été générées par une politique pourtant généreuse et innovante.Adopter une approche globaleNous devons rester mobiliser fortement pour réussir ce plan de relance via la rénovation énergétique du bâtiment et ceci en appréhendant systématiquement ces rénovations selon une approche globale. Considérer conjointement les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre d'un bâtiment permet d'aboutir à une stratégie de rénovation durablement efficace et rentable. C'est d'autant plus vrai lorsqu'il s'agit de bâtiments anciens, conçus en leur temps en mode ouvert, avec des systèmes d'aération naturelle ou construits avec des matériaux, tels de vieux granits, qui ont besoin de respirer pour durer et sur lesquels il serait inepte de plaquer un isolant extérieur. Le remède peut s'avérer être pire que le mal !Cette démarche globale, qu'il nous faut insuffler, va au-delà du seul diagnostic technique sur le bâti. Elle passe aussi par l'écoute des occupants et des ménages pour comprendre leurs attentes contemporaines et anticiper celles de demain, dans 25 ans, si on les met à l'échelle du cycle de vie d'un bâtiment. À quoi bon modifier les éléments d'isolation, de chauffage et tout autre levier de performance énergétique sans tenir compte des évolutions des normes de confort des habitants qui évoluent avec leur environnement, leur mode de vie, leur génération ? L'exemple allemand démontre cependant que cette équation n'est pas si simple à résoudre…Compréhension, écoute, conseil et accompagnement sont les rôles du diagnostiqueur moderne, par le décryptage des enjeux, des techniques et des solutions techniques disponibles tout en conservant une dimension humaine et sociale. Apporter au propriétaire (actuel ou futur), au bailleur privé ou social, au syndic de copropriété une information qualifiée, fiable, experte, intégrée dans le rapport de diagnostic, c'est oser s'engager et se projeter grâce à un Diagnostic de Performance Énergétique (D.P.E.) plus complet. Le DPE de demain doit préciser de quelle manière et avec quelle ampleur les travaux envisagés amélioreront la performance énergétique mais aussi indiquer ses émissions de gaz à effet de serre. C'est ouvrir de nouveaux champs au métier de diagnostiqueur immobilier qui deviendrait ainsi un « assistant à maitrise d'usage » (AMU).Penser local et renforcer la filièrePour réussir, premièrement, adaptons nos pratiques au sein de nos filières lorsque l'on évalue un projet de rénovation d'un bâtiment ou d'un logement.Sur des chantiers complexes et coûteux, le retour sur investissement se mesure aujourd'hui sur le temps long grâce à des calculs d'amortissement tenant compte quasi-exclusivement de la soutenabilité des travaux, même aidés. Ne faut-il pas aller plus loin en intégrant mieux les gains de performance réalisés en termes économiques, énergétiques, climatiques et même sociaux ? Mieux penser son investissement et comment le répartir, avant même le début du chantier, peut s'avérer plus efficace sur le moyen et long terme tant individuellement que collectivement.La relance économique par la performance énergétique est œuvre de salut public et climatique. À condition toutefois que sa mise en œuvre nationale permette de considérer toutes les particularités : le type et la nature des bâtiments, et des logements, leur localisation, leur emplacement, leur orientation, leurs matériaux de construction, etc. Cet esprit planificateur et centralisé ne doit pas entraver l'expertise, le bon sens, l'analyse et par conséquent l'élaboration concertée de solutions sur mesure, issues du terrain. Nous devons pour ce faire, prendre le temps nécessaire.Deuxième condition du succès, la qualité des analyses et des expertises produites par les diagnostiqueurs immobiliers est centrale. Le nombre de DPE réalisé chaque semaine en France s'élève à 35.000 : un chiffre énorme, pourtant loin de satisfaire les besoins. Une insuffisance qui n'est pas vouée à se résorber malgré sa réforme prévue pour 2021. D'où l'impérieuse nécessité d'accélérer la professionnalisation et l'extension du métier : en développant des formations initiales de bac +2 à bac +5 ; avec des passerelles entre les filières de l'immobilier et du BTP pour devenir diagnostiqueur en validant ses acquis professionnels ; en ouvrant des formations croisées avec les métiers de l'ingénierie du BTP, de la data, de l'informatique et des nouvelles technologies. Une professionnalisation d'autant plus indispensable lorsque l'on a conscience des millions de données traitées par les diagnostiqueurs à l'année. Des données qui peuvent aujourd'hui être modélisées, stockées et partagées avec tous dans le cadre du carnet numérique du bâti et grâce aux technologies du BIM appliquées en gestion-exploitation maintenance.Cette pluridisciplinarité mérite que nous tous, acteurs du diagnostic immobilier, du logement, de l'énergie, du BTP et pouvoirs publics, travaillions de concert à rendre concret ce plan de relance gouvernementale et à le traduire rapidement en résultats tangibles. Nous le devons à nos concitoyens, pour leur santé, pour leur qualité de vie, leur droit à un logement décent et enfin pour transmettre aux générations futures un avenir plus radieux et plus apaisé.
Il y a 4 ans et 232 jours

Reconfinement : Cinov demande un accompagnement financier et méthodologique des entreprises

La fédération patronale représentative des métiers de la prestation de services intellectuels du conseil, de l'ingénierie et du numérique a pris acte de la nécessité de durcir les mesures restrictives dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de COVID-19 mais elle demande à ce que les entreprises puissent être accompagnées financièrement et méthodologiquement.
Il y a 4 ans et 232 jours

Eiffage réalisera le nouveau siège social de Lidl à Châtenay-Malabry pour près de 140 millions d’euros

Le projet conçu par le cabinet d'architecture Atelier M3, porte sur la réalisation d'un ensemble de 40 000 m2 comprenant le siège social de Lidl, une surface commerciale de l'enseigne d'environ 3 000 m2 et une zone de stationnement de 860 places.Il mobilisera également les expertises d'Eiffage Énergie Systèmes pour les lots techniques (électricité courants forts / courants faibles, CVC) et de Goyer, filiale du groupe Eiffage, pour les façades.Le campus Lidl, qui accueillera 1 100 salariés, s'organisera en 4 immeubles indépendants : un bâtiment en R+6 et deux bâtiments en R+4, dont l'un dédié à la surface commerciale, tous trois disposés autour d'un bâtiment central en R+4. Des zones paysagères d'une surface totale de 5 000 m2 agrémenteront l'ensemble.Les travaux débuteront en décembre 2020 pour une livraison de la surface commerciale prévue sur le 2e semestre 2022 et une finalisation de l'ensemble tertiaire sur le 2e semestre 2023.L'opération vise les labels et certifications BREEAM niveau Excellent, NF HQE bâtiment tertiaire niveau Excellent, et E3C1.
Il y a 4 ans et 232 jours

Protocole sanitaire en entreprise : les nouvelles règles du reconfinement

D’après la nouvelle version du protocole sanitaire en entreprise, publiée le 29 octobre à quelques heures de l’entrée en vigueur du reconfinement, le télétravail généralisé s’impose aux employeurs pour tous les postes qui le permettent. Mais les ingénieurs, architectes et techniciens pourront se rendre sur le terrain à titre occasionnel pour les besoins de leur activité. Les entreprises pourront désormais proposer aux salariés de se soumettre, sur la base du volontariat, à des tests antigéniques.
Il y a 4 ans et 232 jours

Lancement de la 17e édition du concours Les Génies de la Construction !

Malgré le contexte de crise sanitaire, 26 académies (171 équipes engagées et 29 projets finalistes) avaient participé à l’édition précédente du concours « Les Génies de la Construction ! », grâce à la mise en place d’un dispositif exceptionnel. Des vidéos de présentation des projets avaient été réalisées, afin de permettre aux jurys d’évaluer les travaux à distance et sélectionner les lauréats. La 17e édition du concours vient d’être lancée. Pour sa 17e édition, le concours s’adaptera à nouveau avec agilité au contexte toujours perturbé, pour permettre aux établissements scolaires de participer et de s’investir pleinement dans leurs projets. C’est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes la richesse et la diversité des métiers techniques et innovants du bâtiment et de travaux publics, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s’adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. La date de clôture des inscriptions est fixée au 25 janvier 2021. https://lesgeniesdelaconstruction.fr  
Il y a 4 ans et 232 jours

Un cinéma et un espace musée à Cahors signé Antonio Virga

L’agence Antonio Virga Architecte a livré en décembre 2019 à Cahors (Lot) un cinéma de sept salles doté d’un espace muséologique indépendant (superficie totale 3 653 m²). Pour un coût  de 8,7 M€ HT, y compris les aménagements intérieurs et extérieurs, une esthétique fidèle au territoire du Lot. Communiqué. Le « Grand palais » cinéma […] L’article Un cinéma et un espace musée à Cahors signé Antonio Virga est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 232 jours

Trace Software participe à l'événement BIM World en version digitale

Les experts de Trace Software International présenteront les dernières innovations du logiciel elec calc™ BIM lors d'un atelier intitulé : « Conception des installations électriques dans un processus BIM ».Les visiteurs « online » pourront découvrir :Dessinez c'est calculé en HT/BTLe calcul de micro grid (multi source)Le dimensionnement d'une installation depuis une maquette numérique en IFC4 (générer le schéma unifilaire, routage des câbles, contrôle)Le travail collaboratif depuis RevitAnimé par Jérôme Mullie, responsable produits calcul, cet atelier sera diffusé sur la plateforme BIM World et disponible gratuitement en replay.
Il y a 4 ans et 232 jours

Un gymnase-paysage à Paris, par Archi5

L'architecte portugais Eduardo Souto de Moura fonde son agence en 1980. Il collabore à ses débuts avec Alvaro Siza et, comme lui, recevra le prix Pritzker (2011). L'architecture d'Eduardo Souto de Moura, simple et ancrée dans la réalité, appartient à la deuxième génération de l'école de Porto. Dans sa […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 232 jours

La mise en scène d'un lieu, RCR Arquitectes

Quelques jours avant le confinement, RCR Arquitectes a dévoilé au Musée national d’art moderne - Centre Pompidou à Paris un dispositif polyphonique immersif mettant en scène les projets marquants et à venir de l’agence. Une manière de découvrir le parcours des Pritzker 2017 marqué par une volonté permanente de se réinventer. Cet atelier d’architecture catalan crée en 1987, partage selon le commissaire d’exposition « la vision d’une architecture épurée, inspirée par les...
Il y a 4 ans et 233 jours

Salle de boxe à Savigny-le-Temple par Atelier Aconcept

Au creux du bois du Domaine de la Grange, au cœur du quartier de Plessis-la-Forêt à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), Atelier Aconcept a livré en juin 2020 un pavillon de béton et de verre : salle de boxe Mohamed Ali. D’une surface de 650 m² (1,4 M€ HT coût des travaux, Ville de Savigny-le-Temple maître d’ouvrage), l’ouvrage se […] L’article Salle de boxe à Savigny-le-Temple par Atelier Aconcept est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 234 jours

Fabriquer des lieux avec Fieldoffice, de Taïwan à Bordeaux

arc en rêve centre d’architecture présente dans la grande galerie, l’exposition Fabriquer des lieux consacrée à l’œuvre de l’agence taïwanaise Fieldoffice Architects fondée par Huang Sheng-Yuan. Jusqu’au 7 février 2021. Originaire de la ville de Taipei, cet architecte a choisi, depuis 1994, de vivre et de travailler dans le comté de Yilan, région rurale du […] L’article Fabriquer des lieux avec Fieldoffice, de Taïwan à Bordeaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 234 jours

Le théâtre Legendre d’Evreux remis à jour par OPUS 5

OPUS 5 Architectes (Bruno Decaris, Agnès Pontremoli et Pierre Tisserand) a livré en septembre 2019 la restructuration et restauration du Théâtre Legendre à Evreux (Eure). A l’issue de travaux en deux phases (coût : 8 M€ HT), le théâtre, qui a conservé une jauge de 360 places, a retrouvé toute sa splendeur pour s’inscrire de façon […] L’article Le théâtre Legendre d’Evreux remis à jour par OPUS 5 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 234 jours

Apollon et Dionysos

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Apollon et Dionysos est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 235 jours

Les mesures de soutien à l'économie renforcées mais encore insuffisantes pour beaucoup d'entreprises

Les principales mesuresChômage partielCe dispositif de prise en charge des salaires par l'État et l'Unedic, pour protéger l'emploi et les compétences, a déjà coûté 22 milliards d'euros. En raison de la fermeture de 300.000 entreprises employant plus d'un million de personnes, il coûtera 7 milliards supplémentaires jusqu'à la fin novembre.Le niveau de cette prise en charge a évolué dans le temps et en fonction des secteurs.Les entreprises fermées y auront droit avec zéro à charge pour l'employeur, a annoncé M. Castex, une aide qui s'appliquait déjà aux secteurs du tourisme et activités connexes (restaurants, hôtellerie, culture, événementiel...)Pendant le premier confinement, le salarié touchait 70% de son salaire brut et l'entreprise était compensée à 100% jusqu'à 4,5 fois le Smic (au lieu du niveau du Smic auparavant). Puis, après le confinement, le gouvernement avait réduit la voilure: les entreprises n'étaient plus compensées qu'à 85%, sauf pour les secteurs les plus touchés.Au maximum 8,6 millions de salariés ont été concernés par ce dispositif en avril et plus d'un million l'était toujours en septembre, selon les derniers chiffres du ministère du Travail.Reports et exonérations de chargesToutes les entreprises de moins de 50 salariés fermées administrativement seront exonérées de cotisations sociales, ainsi que celles des secteurs du tourisme, du sport, de la culture et de l'événementiel si leur chiffre d'affaires chute de plus de moitié durant cette période.Les prélèvements de cotisations des indépendants seront automatiquement suspendus.Début août, les seuls reports de cotisations sociales s'élevaient à 21,1 milliards d'euros.Les PME et les TPE pouvaient déjà étaler leur remboursement jusqu'à 36 mois.Les exonérations pures et simples qui avaient déjà été accordées dans le tourisme et les secteurs connexes pour un montant ont été évalués à 5,2 milliards d'euros par le gouvernement.En matière de fiscalité, des demandes de reports (échéance de taxe foncière, etc.) sont toujours possibles pour les entreprises les plus en difficulté.Fonds de solidaritéConçu en mars pour soutenir les plus petites entreprises et les travailleurs indépendants, il prévoit le versement d'une indemnité mensuelle pour compenser une partie de leur perte d'activité liée aux restrictions d'activité et à la crise.Son accès et les montants alloués ont été considérablement augmentés à mesure que la crise s'aggravait et entre 6 et 7 milliards d'euros ont déjà été dépensés dans ce cadre.Sa nouvelle version coûtera 6 milliards supplémentaires d'ici à la fin novembre, a indiqué Bruno Le Maire.Désormais accessible aux entreprises de moins de 50 salariés sur l'ensemble du territoire, il compensera la perte de chiffre d'affaires jusqu'à 10.000 euros pour l'ensemble des entreprises fermées, ou pour celles des secteurs du tourisme et activités connexes (restauration, événementiel, culture, etc.) dont le chiffre d'affaires baissera d'au moins 50% par rapport à la même période de 2019.Toutes les autres entreprises subissant une perte d'au moins la moitié de leur chiffre d'affaires seront éligibles à une aide de 1.500 euros.Prêts garantis par l'ÉtatPour soutenir la trésorerie des entreprises tous secteurs confondus, l'État a mis en place avec les organismes bancaires ce dispositif dans lequel il apporte sa garantie aux prêts sollicités par les entreprises.Le gouvernement a budgété un maximum de 300 milliards d'euros, et au 16 octobre plus de 123 milliards d'euros ont été accordés à près de 600.000 entreprises.Son accès a été prolongé jusqu'au 30 juin 2021 depuis l'annonce du couvre-feu.Bruno Le Maire a annoncé que le différé de remboursement de ces prêts garantis pourrait être porté de un à deux ans après accord des banques, une extension qui a été négociée avec Bruxelles car elle aurait pu être assimilée à un avantage compétitif indu.Prêts directs de l'ÉtatPour les entreprises qui ne trouvent aucune autre solution de financement, l'Etat pourra accorder des prêts jusqu'à 10.000 euros pour les entreprises de moins de 10 salariés et jusqu'à 50.000 euros pour celles qui ont de 10 à 49 salariés. Le gouvernement a provisionné 500 millions d'euros à cette fin. Baux commerciauxLes bailleurs pourront obtenir un crédit d'impôt de 30% sur leurs loyers en échange au renoncement à au moins un mois de loyer sur la période octobre - décembre, une mesure dont le gouvernement espère qu'elle permettra de résoudre les nombreux conflits autour des loyers impayés entre des commerçants et les propriétaires de leurs murs.Les professionnels du BTP saluent les mesures, mais réclament un soutien financier et méthodologiqueSuite à l'annonce du reconfinement, la Fédération CINOV, fédération patronale représentative des métiers de la prestation de services intellectuels du conseil, de l'ingénierie et du numérique, prend acte de la nécessité de durcir les mesures restrictives dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de COVID-19. CINOV salue les adaptations qui permettront de protéger l'économie et l'activité des entreprises mais demande à ce que celles-ci puissent être accompagnées financièrement et méthodologiquement dans les transformations brutales auxquelles elles se retrouvent confrontées.Donner les moyens aux entreprises de s'adapter aux nouvelles mesuresSuite à l'allocution d'Emmanuel Macron et à l'annonce de nouvelles mesures restrictives dans le cadre de la lutte contre le COVID-19, la Fédération CINOV souhaite saluer le fait que ce reconfinement se fasse dans un cadre plus souple pour les entreprises, afin de préserver au maximum leur activité déjà largement impactée par la 1ère vague de l'épidémie.Néanmoins, CINOV souligne que les entreprises sont une nouvelle fois contraintes de s'adapter très rapidement et sans préparation à ces nouvelles mesures (télétravail, digitalisation) et réclame donc la mise en place d'un accompagnement financier et méthodologique à destination des entreprises les plus impactées par ces nouvelles mesures.« Nos adhérents, spécialisés dans la prestation de services intellectuels, sont aux avantpostes de l'observation de la situation car ils interviennent dans tous les domaines. Leconstat est le même partout, tous les secteurs d'activité sont en souffrance, et cette dernière va encore s'accentuer avec ces nouvelles restrictions. Il est donc crucial, au-delà du soutien financier, d'accompagner efficacement les entreprises dans les transitions (numérique environnementale, organisationnelle …) auxquelles elle se retrouvent confrontées » Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOVLa crainte d'un effet cascade pour les entreprises de la branche BETICLa branche BETIC est composée à 99,5% de TPE-PME qui ont subi de plein fouet les conséquences économiques de la première vague de l'épidémie. L'annonce d'un nouveau confinement fait craindre le scenario de défaillances en cascades chez les clients de ces entreprises. C'est pourquoi la Fédération CINOV demande à ce que le plan d'aide de trésorerie et de relance soit considérablement augmenté et surtout suivi dans son exécution.« Il est crucial que la commande publique soit maintenue et que la digitalisation des services publics s'accélère pour que la chaine de commande et d'exécution ne s'arrête pas » souligne Frédéric Lafage, Président de la Fédération CINOV. « Les nouvelles mesures économiques qui seront prises pour épauler les entreprises et l'activité économique à l'échelle nationale doivent nous permettre d'accompagner efficacement la transition numérique et écologique des organisations ».
Il y a 4 ans et 235 jours

Rencontre avec : Warren & Laetitia

Warren et Laetitia se sont rencontrés sur les bancs de l’université Panthéon-Sorbonne, puis sont partis étudier à l’université de Strasbourg. Après l’obtention de leur diplôme de master en design, Waren s’est formé dans l'agence de l’architecte et designer Antoine Phelouzat à Paris, Laetitia a fait ses armes auprès de la designeuse industrielle Irena Übler au Portugal. En 2018, ils décident de travailler ensemble et fondent le studio warren & laetitia. Muuuz : Quand et pourquoi avez-vous choisi de créer ensemble votre studio de design ?Warren et Laetitia : Nous avons décidé de nous associer en 2019, un an après la fin de nos études. Suite à nos expériences professionnelles respectives, nous avons ressenti le besoin de créer notre propre studio de design et eu envie de continuer à travailler ensemble comme nous avions pu le faire à plusieurs reprises durant nos études.Quels objets avez-vous commencé par imaginer et fabriquer ?Notre premier objet imaginé ensemble pour notre studio est la soucoupe pour plantes baptisée « flocflac ». Aujourd’hui édité par batch.works, cet objet n’est pas fabriqué par notre studio. Notre premier objet produit en auto-édition est le double bougeoir 2.20.Vous fabriquez principalement des objets imprimés en 3D à partir de matériaux recyclés et recyclables. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de production ?Dans un premier temps, nous n’avions pas envisagé l’impression 3D comme un mode de production. C’est d’ailleurs pourquoi la soucoupe Flocflac a évolué entre le prototype que nous avions réalisé et l’objet produit par batch.works. Nous avons dû redessiner la soucoupe pour l'adapter à la production en impression 3D. C’est comme ça que nous avons commencé à concevoir des objets spécifiquement pour être produits en impression 3D. Ce mode de production nous permet de produire nos objets nous-même et donc de garder la main sur la qualité et le contrôle de la chaine de production.Le choix de matériaux s’est fait assez naturellement car nous ne voulions pas travailler avec des matériaux non recyclables. Assez rapidement, nous avons commencé à collaborer avec Reflow qui produit du filament pour impression 3D recyclé à 95% et recyclable jusqu’à dix fois. Cela nous semble être une bonne alternative, car le plastique est un matériau de moins en moins apprécié, on l’associe directement au plastique à usage unique qui est une énorme source de pollution. Travailler en collaboration avec Reflow, qui recycle justement du plastique à usage unique, nous permet de produire des objets en plastique recyclé à usage multiples. Cette démarche a beaucoup de sens pour nous.Quels sont les avantages de l’impression 3D ? L’impression 3D comme mode de production a différents avantages. Elle nous permet notamment de travailler avec très peu de stock et de posséder nos propres machines. Aujourd’hui, nous travaillons avec quatre imprimantes qui nous permettent de répondre assez rapidement à nos commandes d’autant plus que nous imaginons nos objets en prenant toujours en compte leur temps de fabrication afin d’optimiser au mieux notre production.Et ses inconvénients ?Selon nous, les principaux inconvénients de l’impression 3D sont liés à nos choix de conception. Nous essayons de concevoir autant que possible des objets « rapides » à produire. Les imprimantes 3D sont parfois un peu capricieuses surtout quand nous cherchons à obtenir un rendu précis. Nous passons donc beaucoup de temps à affiner les réglages de nos machines mais c’est cool et satisfaisant. C’est sûrement notre côté un peu nerd.Vous fabriquez des objets du quotidien, et proposer de les concevoir selon trois principes : la modularité, la possibilité de réglage ou d’ajustement, et l'appropriation. C'est-à-dire ?Oui, nous aimons concevoir des objets du quotidien, tout en y intégrant certains principes auxquels nous tenons beaucoup. Par exemple, le demi-vase Mimo est une extension de bocal alimentaire. Chaque demi-vase est compatible avec au moins deux diamètres de bocaux, ce qui permet une certaine flexibilité. C’est ce processus d’appropriation de l’objet qui nous intéresse. On peut choisir son bocal avec lequel on veut faire un vase et le changer ou non. La notion de choix est centrale dans notre studio car nous souhaitais laisser aux utilisateurs le choix de l’usage. Le double bougeoir est un autre exemple, c’est un seul objet pour deux usages potentiels, pas radicalement différent l’un de l’autre, mais quand même différent. Tous nos objets ne sont pas pensés en suivant systématiquement ces principes, mais dès que l’on peut on essaie de leur appliquer. C’est une méthode de travail assez intéressante parce que cela peut donner naissance à des formes nouvelles. Depuis 2019, vous travaillez avec batch.works. Comment abordez-vous cette collaboration ?Nous avons beaucoup de chance de collaborer avec batch.works car ce partenariat a commencé très peu de temps après la création de notre studio. Batch.works nous a contacté pour éditer notre premier objet : la soucoupe pour plantes Flocflac. C’est une collaboration qui s’est fait rapidement et c’était chouette car cela nous a permis de participer au London design festival en 2019.Quelle est votre démarche créative ?C’est une bonne question ! Nous dessinons assez peu surtout parce que nous avons la possibilité de prototyper très tôt et très vite grâce à l’impression 3D. La plupart du temps, nous faisons plusieurs prototypes imprimés en 3D et nous échangeons beaucoup entre nous sur les changements à apporter. C’est d’ailleurs la seule chose que nous faisons vraiment à deux, car c’est dans l’échange que nous trouvons les réponses aux problèmes qui se posent lors de la création de nos objets. De plus, le fait de passer par l’impression 3D lors du prototypage nous permet aussi d’anticiper toutes les questions liées à la production du futur objet, car nous utilisons la même machine pour prototyper et produire nos objets.Pouvez-vous nous parler de votre approche écoresponsable du design ?Nous avons un peu de mal avec l’adjectif écoresponsable, c’est d’ailleurs pourquoi nous ne l’employons jamais pour qualifier notre travail. Nous faisons des choix qui nous semblent évidents comme la production locale, les matériaux recyclés et recyclables français ou européens, et nous ne proposons pas d’expédition en dehors de l’Europe. Nous allons d’ailleurs bientôt pouvoir proposer une livraison à vélo à Paris. Mais cela ne fait pas partie d’une stratégie qu’on pourrait qualifier d’écoresponsable parce que c’est juste du bon sens pour nous et on ne se voit pas faire autrement. Le terme « écoresponsable » est polysémique et ses critères réels restent flous. Nous ne préférons donc pas l’utiliser par peur de tomber dans le champ lexical du greenwashing. Et après ?Aujourd’hui, nous avons plusieurs idées de projets auxquelles nous réfléchissons et que nous souhaiterions développer mais, comme nous travaillons souvent en autoédition, la production de nos objets nous prend beaucoup de temps. Nous aimerions beaucoup fabriquer notre propre plastique recyclé, mais c’est assez complexe surtout pour obtenir un matériau stable donc c’est plutôt de l’ordre du rêve… Sinon nous souhaiterions proposer des objets composés uniquement de matériaux recyclés. Pour certaines couleurs, nous ne trouvons pas de matériaux recyclés. Pour en savoir plus, visitez le site du studio warren & laetitia. Visuels : © warren & laetitiaLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 235 jours

Thierry Muller, une valeur sûre dans le paysage depuis 40 ans !

L’entreprise alsacienne, spécialisée dans l’aménagement paysager, passe ce 30 octobre le cap des quatre décennies. Le trio de jeunes dirigeants emporte avec lui les valeurs du fondateur, vers les nouveaux horizons du métier.
Il y a 4 ans et 235 jours

Les entreprises de restauration des monuments historiques adressent une lettre ouverte aux acteurs de la filière patrimoine

Nous, entreprises de restauration du patrimoine, allons continuer à travailler sur les chantiers du patrimoine, en respectant le guide de préconisations sanitaires de l'OPPBTP et le protocole national. Nos entreprises sont compétentes et disciplinées. Les mesures de reconfinement ne modifient pas les conditions d'applications de ces dispositions. Nous nous engageons auprès de vous à assurer l'activité des chantiers en cours et à venir, tout en garantissant la sécurité de nos salariés.Nous nous adressons à vous pour pouvoir continuer à travailler de la meilleure façon possible. Nous avons besoin que chacun de vous s'engage à faire de même, à collaborer pour surmonter les semaines à venir. Evitons les réflexes de repli professionnel, conservons la fluidité dans nos échanges.Maintenons les réunions de chantier en présentiel, mettons en place des protocoles de validation, faisons preuve de créativité et de solidarité professionnelle.Les chantiers du bâtiment rassemblent une multitude de collaborateurs, si l'un des acteurs de cette équipe fait défaut, des chantiers seront arrêtés. Nous voulons à tout prix l'éviter, pour la continuité des entreprises, le maintien des emplois et de toute la filière qui assure la sauvegarde du patrimoine de la France.Notre avenir dépend du maintien des projets d'investissement et de la mise en œuvre du plan de relance pour le patrimoine. Leur bon déroulement est capital pour l'activité de nos entreprises. Nous avons besoin de l'assurance que les calendriers annoncés par les maîtres d'ouvrage seront respectés.Nous avons besoin de votre soutien. Ensemble nous réussirons à traverser cette période difficile.Yann de Carné, Président de GMH
Il y a 4 ans et 235 jours

Les entreprises de restauration des monuments historiques adresse une lettre ouverte aux acteurs de la filière patrimoine

Nous, entreprises de restauration du patrimoine, allons continuer à travailler sur les chantiers du patrimoine, en respectant le guide de préconisations sanitaires de l'OPPBTP et le protocole national. Nos entreprises sont compétentes et disciplinées. Les mesures de reconfinement ne modifient pas les conditions d'applications de ces dispositions. Nous nous engageons auprès de vous à assurer l'activité des chantiers en cours et à venir, tout en garantissant la sécurité de nos salariés.Nous nous adressons à vous pour pouvoir continuer à travailler de la meilleure façon possible. Nous avons besoin que chacun de vous s'engage à faire de même, à collaborer pour surmonter les semaines à venir. Evitons les réflexes de repli professionnel, conservons la fluidité dans nos échanges.Maintenons les réunions de chantier en présentiel, mettons en place des protocoles de validation, faisons preuve de créativité et de solidarité professionnelle.Les chantiers du bâtiment rassemblent une multitude de collaborateurs, si l'un des acteurs de cette équipe fait défaut, des chantiers seront arrêtés. Nous voulons à tout prix l'éviter, pour la continuité des entreprises, le maintien des emplois et de toute la filière qui assure la sauvegarde du patrimoine de la France.Notre avenir dépend du maintien des projets d'investissement et de la mise en œuvre du plan de relance pour le patrimoine. Leur bon déroulement est capital pour l'activité de nos entreprises. Nous avons besoin de l'assurance que les calendriers annoncés par les maîtres d'ouvrage seront respectés.Nous avons besoin de votre soutien. Ensemble nous réussirons à traverser cette période difficile.Yann de Carné, Président de GMH
Il y a 4 ans et 235 jours

AA et Paris, 90 ans de projets

En novembre 2020, AA fête ses 90 ans ! 90 ans d’architecture, de débats, de reportages, ...En savoir plus Cet article AA et Paris, 90 ans de projets est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 235 jours

Le chiffre d'affaires de Tarkett recule de 14,4% au 3ème trimestre

"Au troisième trimestre, nous avons augmenté notre rentabilité par rapport à l'année dernière, tout en nous désendettant et en maintenant un niveau de liquidité élevé", s'est félicité Fabrice Barthélemy, président du directoire.Le groupe a réalisé une "réduction des coûts significative de 34 millions d'euros, incluant 16 millions d'euros d'économies structurelles", selon le communiqué.Il maintient ses objectifs de marge d'Ebitda (excédent brut d'exploitation) ajusté pour 2020 "globalement" conforme à celle de 2019, qui était de 9,4%.Il indique avoir également bénéficié "de coûts d'achat en baisse de 16 millions d'euros au troisième trimestre, reflétant les baisses du cours du pétrole au deuxième trimestre", selon le communiqué.Mais la reprise de la pandémie et les mesures de confinement partiel "continuent à affecter les décisions d'investissement et le comportement de consommation des clients", note Tarkett.Les marchés des bureaux, des salles de sport et de l'hôtellerie ont été particulièrement affectés, tandis que la santé et le résidentiel "sont plus dynamiques", selon le groupe. Si Tarkett confirme ses objectifs à moyen terme, il souligne qu'à plus long terme l'impact de la pandémie n'est pas connue et que certains segments de marché -bureaux ou sport-, "devraient rester pénalisés au moins sur la première partie de l'année 2021".Au 30 septembre, le groupe disposait de 1,1 milliard d'euros de liquidités, dont 825 millions d'euros de lignes de crédit confirmées non tirées et 258 millions d'euros de trésorerie.
Il y a 4 ans et 235 jours

Panasonic présente sa nouvelle unité de ventilation

Aujourd'hui, les maisons neuves doivent répondre à des normes élevées avec la construction de murs, de fenêtres et de portes quasiment étanches, sans interstices. Même si ces normes garantissent une efficacité énergétique accrue et permettent de prévenir les courants d'air ou une ventilation non contrôlée, il est primordial en parallèle d'améliorer la qualité de l'air intérieur. Pour ce faire, un système de ventilation efficace, tel que la nouvelle unité PAW-A2W-VENTA, est idéal.Panasonic n'a de cesse de développer des systèmes capables de garantir une efficacité énergétique accrue afin de répondre à la demande de bâtiments à consommation d'énergie quasi nulle (« Nearly Zero-Energy Buildings » ou NZEB). Cette nouvelle unité de ventilation avec récupération de chaleur est donc la solution idéale, notamment pour les habitations à basse consommation. Elle permet d'assurer la qualité de l'air intérieur, mais également de récupérer la chaleur qui, avec une simple ventilation, aurait été perdue. Conformément à la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (DPEB), l'objectif est ici de réduire les besoins en chauffage.Des solutions compactesConçue pour les surfaces allant jusqu'à 140 m², la nouvelle unité compacte de Panasonic peut être combinée avec les pompes à chaleur air-eau de la gamme Aquarea pour le chauffage, la climatisation, la ventilation et la production d'eau chaude sanitaire. Idéale pour les espaces restreints, l'association des deux systèmes représente un véritable gain de place en termes d'installation. Pour s'adapter à tous les besoins, l'unité se décline en deux modèles : l'un avec une sortie d'air à gauche, l'autre avec une sortie d'air à droite. L'unité dispose également d'un échangeur de chaleur rotatif à haute efficacité énergétique, lui-même doté de ventilateurs EC et d'une fonction de transfert d'humidité afin de prévenir la condensation dans l'air en hiver.Il est possible de combiner cette unité de ventilation avec d'autres solutions de Panasonic, telles que la pompe à chaleur Aquarea compacte avec ECS intégrée. Elle peut être aussi installée au-dessus du ballon ECS d'un système Aquarea monobloc ou bi-bloc, ou bien sur un mur à l'aide des supports muraux fournis par Panasonic.Une interface intuitive et convivialeDans un monde toujours plus digital, Panasonic répond aux besoins de ses clients en proposant une interface à la fois intuitive et conviviale. Il est possible d'accéder à l'ensemble des paramètres et fonctionnalités de l'unité PAW-A2W-VENTA grâce à un tableau de commande facile d'utilisation, intégré à l'avant. Il est également possible de connecter jusqu'à 10 tableaux de commande externes via un seul et même système. Autres avantages : la programmation hebdomadaire des points de consigne du ventilateur et de la température, ou encore le menu affichant le temps de filtrage restant (particulièrement pratique pour l'entretien du filtre).En combinant l'unité de ventilation avec la pompe à chaleur Aquarea, il est possible de gérer les deux solutions à l'aide d'une seule commande. Doté de nombreuses fonctionnalités, le système dispose entre autres d'un mode manuel et d'un mode automatique, et offre la possibilité de sélectionner ses paramètres favoris parmi les modes utilisateur préconfigurés.FonctionnementParticulièrement efficace, l'unité de ventilation filtre et fournit un air frais afin de garantir un environnement sain et un confort optimal. Pour ce faire, l'unité :extrait l'air des pièces humides comme la cuisine ou la salle de bain;aspire l'air frais extérieur via un système de tuyauterie et, à l'aide de l'échangeur de chaleur, récupère 84% de la chaleur de l'air extrait avant de la transférer dans l'air soufflé;diffuse l'air frais dans des pièces sèches comme le salon ou les chambres.Pour en savoir plus, consulter le site www.aircon.panasonic.fr.
Il y a 4 ans et 235 jours

Terminal T1 de Lyon-St-Ex, par Rogers Stirk Harbour + Partners

Le nouveau Terminal T1 de l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry, réalisé par Rogers Stirk Harbour + Partners avec l’agence lyonnaise Chabanne, est lauréat des Trophées Eiffel 2020 dans la Catégorie « Voyager ». Toiture légère et lumière naturelle. Le cahier des charges était complexe : créer une nouvelle identité pour le Terminal 1, doublant la superficie utile […] L’article Terminal T1 de Lyon-St-Ex, par Rogers Stirk Harbour + Partners est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 235 jours

Tectone - Portrait

L’architecte urbaniste Pascal Chombart de Lauwe fonde Tectone en 1986 avec Jean Lamude (décédé en 1996). Etienne Chevreul-Demas devient associé en 2017. Bien que les normes complexifient la production des logements, l’agence Tectone, forte d’une expérience de trente ans dans le domaine, défend qu’il est possible d’en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 235 jours

Réhabilitation de l’auditorium Grand Parc Versailles par PARC Architectes

L’agence PARC Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) a livré en 2019 la réhabilitation de l’auditorium du Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles (Yvelines) devenu vétuste. Pour lui redonner une image de prestige, le projet a consisté à ajouter dans le volume existant de nouveaux espaces et à donner la sensation qu’ils sont plus grands […] L’article Réhabilitation de l’auditorium Grand Parc Versailles par PARC Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 235 jours

Gecina, peu touché par le Covid, est plutôt optimiste pour l'année

Entre janvier et septembre, Gecina a dégagé un chiffre d'affaires de 496,9 millions d'euros, soit un très léger recul (-0,7%) par rapport à un an plus tôt.Le groupe a légèrement relevé son objectif annuel de résultats. Il s'attend à un bénéfice net récurrent, son indicateur de référence, de 5,70 euros par action. Auparavant, ce n'était que la fourchette haute de prévisions données en juillet, peu après le confinement et le déclenchement de la crise sanitaire.Malgré les conséquences économiques de celle-ci, Gecina se félicite de n'avoir subi que très peu d'impayés de la part de ses locataires.Plus largement, le groupe assure de son optimisme alors même que le marché des bureaux subit une chute historique en Île-de-France depuis le début de la crise.Même si Gecina reconnaît un "attentisme" de la part de locataires potentiels, il s'estime avantagé par ses choix de localisations. Le groupe fait en effet depuis des années le pari de largement se concentrer sur Paris même ou ses abords immédiats.Or, la déprime du marché concerne surtout des emplacements plus éloignés ou le cas spécifique du quartier d'affaires de la Défense.Le "marché locatif montre donc une forme de polarisation, révélant des perspectives toujours favorables pour les zones centrales privilégiées par Gecina, et une visibilité dégradée sur les zones secondaires", se félicite le groupe.Au-delà des bureaux, le groupe fait par ailleurs part de son "ambition croissante" dans le logement. Il détient un petit portefeuille dans le secteur et compte le développer avec un récent partenariat signé avec le promoteur Nexity.
Il y a 4 ans et 235 jours

Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris

Parmi les architectes contemporains, Jean Nouvel est sans doute celui qui a le plus bâti à ...En savoir plus Cet article Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 235 jours

Plastor au cœur de la Grande Halle du Wip à Colombelles en Normandie

Menée dans le souci des normes de qualité environnementale, la rénovation de cet édifice du patrimoine industriel intègre principalement du béton et du bois, avec 1.600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois.Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d'escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet.« Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l'appel d'offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d'où l'importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Choisir les aspects les plus naturels permettait de réduire les sources d'émission.Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout.Comme il s'agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit.Pour répondre aux prérequis d'émissions de COV très limitées, nous avons choisi d'utiliser l'huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l'huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, Gérants de l'entreprise Les Sens du Bois (50)Les Sens du Bois - ParqueteurLieu-Dit La Cour - 50220 Ducey-Les-Chéris - Tél : 06 71 14 71 75Architectes du projet : Agence d'architectes Encore Heureux104 rue d'Aubervilliers - 75019 Paris - Tél : 01 53 19 09 36Huile AQUANATL'huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l'aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur.Facile d'utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches.Elle s'applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n'est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut.Rendement : 15 m2/L par coucheExiste en 1L, 5L et 10LVitrificateur DUOPUR-T 3Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important.Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d'essences.Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant.Rendement : 10 m2/L par coucheExiste en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L)et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 235 jours

La tour Alto, nouvelle pyramide inversée de La Défense

Pyramide inversée de verre et d’acier de 38 étages, la tour Alto se dresse désormais dans le paysage de... Cet article La tour Alto, nouvelle pyramide inversée de La Défense est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 235 jours

Fernand Pouillon en son royaume de Belcastel

L'architecte portugais Eduardo Souto de Moura fonde son agence en 1980. Il collabore à ses débuts avec Alvaro Siza et, comme lui, recevra le prix Pritzker (2011). L'architecture d'Eduardo Souto de Moura, simple et ancrée dans la réalité, appartient à la deuxième génération de l'école de Porto. Dans sa […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 235 jours

Castex annonce vingt milliards de plus pour soutenir l'économie pendant le nouveau confinement

"Mercredi, le conseil des ministres adoptera un nouveau projet de loi de finances rectificative prévoyant une enveloppe de 20 milliards d'euros supplémentaires pour financer ces mesures de soutien et d'accompagnement", a expliqué le Premier ministre à l'occasion d'un débat sur les nouvelles restrictions annoncées mercredi soir par Emmanuel Macron."Les PME qui connaissent des difficultés pourront bénéficier d'un renforcement des exonérations de charges et nous prolongerons de six mois les prêts garantis par l'État", a également annoncé le Jean Castex.Dans le détail, "tous les secteurs faisant l'objet d'une fermeture administrative bénéficieront d'aides pouvant aller jusqu'à 10.000 euros par mois via le fonds de solidarité" et, pour ces mêmes secteurs, "nous mettons en place l'activité partielle avec zéro à charge pour l'employeur"."Pour les autres secteurs, le dispositif d'activité partielle en vigueur, qui devait se réduire au 1er novembre sera maintenu et prolongé pour les salariés, aux conditions actuelles", a également précisé le chef du gouvernement."Nous devons collectivement assumer ces dépenses", a-t-il lancé devant les députés, en faisant valoir "ne rien faire aurait un coût économique, financier et surtout humain encore plus considérable".Selon le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt, un mois de confinement représente "10 milliards d'euros de dépenses d'intervention"."Lorsque l'activité s'arrête pendant un mois entier, c'est entre 2 et 2,5 points de PIB que nous perdons. C'est plus de 10 milliards d'euros de dépenses d'intervention et c'est au moins 10 milliards d'euros de perte de recettes fiscales", avait-il expliqué mercredi, en rappelant que depuis le début de la crise, l'État avait vu ses recettes baisser de 70 milliards d'euros de recettes fiscales.
Il y a 4 ans et 235 jours

Complexité technique invisible. Le projet de Rudy Ricciotti

L’ouvrage de protection du portail occidental de la Cathédrale d’Angers prend ses sources selon plusieurs raisonnements croisés. Projet technique ? Présentation. Le premier constat de notre analyse est que l’ouvrage requis de protection du portail de la cathédrale doit protéger sans confisquer. Protéger les ouvrages polychromes dans leur contexte, les maintenir dans leur situation offerte […] L’article Complexité technique invisible. Le projet de Rudy Ricciotti est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 235 jours

Les Revêtements de surfaces à la Une de Solutions & Performances n°3

Dans son édition du mois d'octobre, Solutions & Performances s'intéresse aux Revêtements de surfaces, et plus particulièrement aux Revêtements de sol, très sollicités par les usagers du bâtiment, ce qui induit des problématiques spécifiques de performances et de durabilité. Intérieur, extérieur, dans des matériaux et des formats variés, le revêtement de sol est un élément central de tout local, qu'il soit situé dans un bâtiment privé ou à usage public. C'est pourquoi ce numéro de Solutions & Performances, au travers de ses différentes rubriques, s'attache aux enjeux de la filière, actualités, réglementation, tendances, sinistralité, etc., pour proposer une vision d'ensemble du secteur. Enjeux s'intéresse à la complexité des systèmes de sol et à leurs applications dans les différents types de bâtiments. Les Actualités se concentrent sur les règles de l'art du secteur des Revêtements de surfaces. Tendances propose un focus sur les carreaux de terrasse de 20 mm sur plots, un produit de construction aux multiples atouts. Parce qu'ils sont fréquents et peuvent avoir d'importantes conséquences, les décollements et fissurations des carreaux collés en terrasse sont traités dans la rubrique Malfaçons. Dans Parole d'expert, découvrez tout sur les carreaux de grande dimension, produits permettant un rendu très esthétique, principalement utilisés pour les grands espaces et lieux de prestige. Prenez connaissance des nouveaux Avis Techniques pour les Revêtements de surfaces dans la rubrique Innovations. À consulter également Certificats, Process, Éditions, Formations pour se tenir informé sur le secteur des Revêtements de surfaces et développer ses connaissances sur les plans technique, réglementaire et prospectif. Solutions & Performances - Numéro 3 : « Revêtements de surfaces » PDF 1.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 4 ans et 235 jours

Performances, fiabilité et esthétisme : les revêtements de surfaces sur tous les fronts

Essai de résistance à la flexion sur carreau céramique - Photo : Clément GuillaumeLe sol d'un bâtiment est un système constructif complexe composé de différents éléments assemblés : chape, enduit, mortier et colle, sous-couches et revêtement. Il occupe une place centrale dans le bâtiment, puisque c'est le procédé de construction qui permet aux usagers d'y accéder, mais aussi de s'y déplacer et d'y évoluer au quotidien. Il est à ce titre l'une des parties très sollicitées de l'ouvrage avec des enjeux forts de durabilité - il doit être résistant à l'usure, au poinçonnement et aux chocs, voire à l'eau en fonction de l'usage. Le sol joue par ailleurs un rôle essentiel de limite entre les différents et espaces du bâtiment et doit donc pouvoir répondre aux exigences de performances acoustiques et thermiques. Enfin, étant donné que le revêtement (dernière couche visible) habille les sols, la dimension esthétique est, elle aussi, primordiale. Au-delà de ses performances minimales et de son aspect décoratif, c'est l'usage du bâtiment qui déterminera les performances attendues du revêtement dans le cadre du projet de construction ou de rénovation. En effet, les besoins sont différents pour une galerie marchande, ou pour un logement individuel, par exemple. Le choix du système de sol et du revêtement est donc clé pour répondre aux besoins des usagers. Des outils d'aide aux choix ont été élaborés en ce sens, pour que les prescripteurs et utilisateurs fassent un choix éclairé et optimisé. Le classement UPEC, au travers de cinq critères déterminants - U. pour Usure, P. pour Poinçonnement, E. pour Eau, C pour Chimie – a pour objectif principal d'identifier simplement un revêtement dont les performances seront adaptées aux sollicitations rencontrées dans le local. Pour s'adapter aux évolutions du marché, le classement UPEC pour les carreaux céramiques s'est récemment enrichi de nouveaux critères spécifiques. L'option D+ - pour « Dimensionnement + » -, qui certifie la longueur, la largeur, la rectitude, l'angularité et la planéité des carreaux de grande et très grande dimension, afin de répondre à l'attente de mise en œuvre avec des joints minces (2mm). Et l'option F+ - pour « Flexion + » -, qui valide la sécurité (tenue aux chocs) et la durabilité des carreaux épais destinés à être posés sur plots, par exemple, pour les terrasses. Mises à part les caractéristiques des produits et le choix adapté à l'usage, la préparation et la pose de ces systèmes de sols doivent être réalisées dans les règles de l'art, par des professionnels formés à cet effet. En cas de défaut de mise en œuvre, les désordres peuvent apparaître, allant d'un simple décollement du revêtement, à des pathologies plus graves. Pour limiter les désordres potentiellement observés sur les chantiers, le CSTB dispense des formations sur les pathologies du bâtiment - notamment liées aux revêtements de sols carrelés -, et propose des éditions dédiées à la règlementation relative aux carrelages, pour un accès facilité des professionnels à ces informations. Solutions & Performances - Numéro 3 : « Revêtements de surfaces » PDF 1.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 4 ans et 235 jours

Paroles d'expert - 3 questions à Claire Fouillet – responsable certification à la Direction Sols et Revêtements

Le carreau de grande dimension, tendance architecturale Le carreau de grande dimension est surtout utilisé pour les grands espaces de lieux de prestige. Il est très contemporain, très esthétique et élégant et donne de la continuité à l'ouvrage et une sensation d'espace. Pour que l'effet soit réussi, une pose et une finition très soignée sont nécessaire, ce qui incite à prévoir des joints très minces, de 2 mm de largeur minimum. L'option D+ - Dimensionnement + - est proposée aux produits qui bénéficient déjà de la certification du CSTB : QB – Qualité pour le bâtiment, et du classement UPEC pour les revêtements de sol. Au travers de cette option sont certifiées plusieurs caractéristiques : la longueur, la largeur, la rectitude, l'angularité et la planéité du carreau, au dixième de millimètre près, avec des exigences plus strictes que la norme européenne, pour des carreaux de très grande taille. Le CSTB certifie des surfaces de carreaux allant jusqu'à 15 000 cm². Solutions & Performances - Numéro 3 : « Revêtements de surfaces » PDF 1.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 4 ans et 235 jours

Gothique dans l’émotion, contemporaine dans l’expression, l’arche de Philippe Prost

Saint-Maurice d’Angers, la première cathédrale du gothique de l’Ouest de la France, gothique dénommé tantôt Plantagenêt, tantôt angevin. Présentation. Comme aimait à dire Victor Hugo, la cathédrale « c’est l’art total ». La cathédrale est la relique d’elle-même, la cathédrale, c’est aussi un patrimoine commun ; un monument par excellence de la longue durée, un […] L’article Gothique dans l’émotion, contemporaine dans l’expression, l’arche de Philippe Prost est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 236 jours

Le Sacré-Coeur de Montmartre est désormais inscrit aux monuments historiques

Le Sacré-Coeur de Montmartre, édifice emblématique de Paris, a été inscrit aux monuments historiques, première étape vers son classement au premier semestre prochain.
Il y a 4 ans et 236 jours

Un habit et un abri. Le projet de Bernard Desmoulin

La protection du portail de la cathédrale Saint-Maurice d’Angers est un projet atypique, un abri, dont la principale fonction est de retrouver les conditions climatiques qu’apportait la présence d’une ancienne galerie adossée à sa façade occidentale. Présentation. Cette galerie qui permit une relative conservation du remarquable portail a disparue au XIXe siècle. Afin de retrouver […] L’article Un habit et un abri. Le projet de Bernard Desmoulin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.