Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Architecture

Dans le cadre de la 10e Biennale de design de Saint-Étienne, le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole " MAMC pour les intimes ", a choisi d'explorer les rapports existants entre art, design et cinéma avec l'exposition POPCORN. Art, Design et Cinéma. Un titre tripartite pour une approche multi-médias présentant un recueil non-exhaustif d'"uvres d'art, photos, projections, objets et mobilier. Il revient donc aux deux commissaires de l'exposition, Alexandra Midal et Sébastien Delot, de tisser un lien entre ces trois domaines, dont deux sont apparus de manière quasi-simultanée au XIXe siècle. Pour cela, les deux comparses ont choisi comme étendard la figure du popcorn car associée " aux formes pop du divertissement " et " aux technologies mass-médiatiques : la radio, la télévision et surtout le cinéma et, dans un autre registre, au micro-ondes ". Entre maïs soufflé, art, design et cinéma, il n'y a donc qu'un pas ou plutôt quatre séquences ici déroulées : " cinéma et usine ", " vers la lune ", " leçon de cinéma " et " western ". Le tout premier film de l'histoire La sortie de l'usine Lumière, réalisée par les frères Lumière, fait office d'introduction et entre particulièrement en résonance avec la thématique de la Biennale de design de Saint-Étienne " Working promesse " les mutations du travail ". Plus loin, la vidéo de Georges Méliès Le voyage dans la lune présente quant à elle un moyen pour les travailleurs de fuir la réalité du travail. Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles... Parmi les différents supports exposés, le spectateur découvre également une série de photographies du couple de designers Eames prises sur des tournages de Billy Wilder durant une vingtaine d'années, démontrant l'importance d'une approche interdisciplinaire dans la conception d'objets et de mobilier. Une leçon de cinéma pour une leçon de design, comme l'affirmait par ailleurs leur confrère Roger Tallon, amateur de westerns. Par la diversité de leurs formes d'expression, les croisements entre art, design et cinéma présentés dans le cadre de l'exposition POPCORN ouvrent donc un champ d'interprétation infini.   Photographies :  1- Paul Facchetti, Brigitte Bardot, 1948, photographie couleur cibachrome. Collection MAMC. Crédit photo : YvesBresson / MAMC © ADAGP, Paris 2016 2- Charlie Chaplin, Les Temps Modernes, 1936, capture. MK2 tous droits réservés 3- Richard Prince, Untitled (Cowboy), 1980-1986. Collection du Frac des Pays de la Loire. Photo : Bernard Renoux © Adagp, Paris 2017 Pour en savoir plus, visitez le site du MAMC de Saint-Étienne Métrople et de la Biennale de design de Saint-Étienne  

Dans le cadre de la 10e Biennale de design de Saint-Étienne, le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole " MAMC pour les intimes ", a choisi d'explorer les rapports existants entre art, design et cinéma avec l'exposition POPCORN. Art, Design et Cinéma. Un titre tripartite pour une approche transdisciplinaire présentant un corpus non-exhaustif d'"uvres d'art, photos, projections, objets et mobilier. Il revient donc aux deux commissaires de l'exposition, Alexandra Midal et Sébastien Delot, de tisser un lien entre ces trois domaines, dont deux sont apparus de manière quasi-simultanée au XIXe siècle. Pour cela, les deux comparses ont choisi comme étendard la figure du popcorn car associée " aux formes pop du divertissement " et " aux technologies mass-médiatiques : la radio, la télévision et surtout le cinéma et, dans un autre registre, au micro-ondes ". Entre maïs soufflé, art, design et cinéma, il n'y a donc qu'un pas ou plutôt quatre séquences ici déroulées : " cinéma et usine ", " vers la lune ", " leçon de cinéma " et " western ". Le tout premier film de l'histoire La sortie de l'usine Lumière, réalisée par les frères du même nom, fait office d'introduction et entre particulièrement en résonance avec la thématique de la Biennale de design de Saint-Étienne " Working promesse " les mutations du travail ". Plus loin, la vidéo de Georges Méliès Le voyage dans la lune présente quant à elle un moyen pour les travailleurs de fuir la réalité du travail. Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles... Parmi les différents supports exposés, le spectateur découvre également une série de photographies du couple de designers américains Charles et Ray Eames prises sur des tournages de Billy Wilder durant une vingtaine d'années, démontrant l'importance d'une approche interdisciplinaire dans la conception d'objets et de mobilier. Une leçon de cinéma pour une leçon de design, comme l'affirmait par ailleurs leur confrère Roger Tallon, amateur de westerns. Par la diversité de leurs formes d'expression, les croisements entre art, design et cinéma présentés dans le cadre de l'exposition POPCORN ouvrent donc un champ d'interprétation infini.   Photographies :  1- Paul Facchetti, Brigitte Bardot, 1948, photographie couleur cibachrome. Collection MAMC. Crédit photo : YvesBresson / MAMC © ADAGP, Paris 2016 2- Charlie Chaplin, Les Temps Modernes, 1936, capture. MK2 tous droits réservés 3- Richard Prince, Untitled (Cowboy), 1980-1986. Collection du Frac des Pays de la Loire. Photo : Bernard Renoux © Adagp, Paris 2017 Pour en savoir plus, visitez le site du MAMC de Saint-Étienne Métrople et de la Biennale de design de Saint-Étienne  

Implanté dans la ville Marly-le-Roi (78), le projet de l'agence Karawitz a pour ambition de réduire la frontière qui existe bien souvent entre espace public et privé dans les quartiers pavillonnaires constellés de clôtures. Dans ce but, les architectes ont choisi d'ouvrir cette maison marlinoise sur l'extérieur. À l'inverse des habitations voisines situées en retrait de la rue, la demeure est disposée à l'entrée de la parcelle discrètement délimitée par une clairevoie qui laisse traverser le regard des passants. La volumétrie du bâtiment éveille également la curiosité : le rez-de-chaussée perché sur des pilotis semble ainsi léviter au-dessus du sous-sol semi-enterré qui accueille l'entrée et la chambre d'amis. Sa forme asymétrique et son revêtement de bois en claustras rompent en outre la monotonie du complexe résidentiel dans lequel il prend place. À l'intérieur, l'agence Karawitz habille l'ensemble des surfaces et le mobilier de blanc immaculé, amplifiant la luminosité naturelle apportée par les nombreuses baies vitrées du lieu. Marly House est donc une maison familiale qui célèbre la connexion entre intérieur et extérieur. Pour en savoir plus, visitez le site de Karawitz

Implanté dans la ville Marly-le-Roi (78), le projet de l'agence Karawitz a pour ambition de réduire la frontière qui existe bien souvent entre espace public et privé dans les quartiers pavillonnaires constellés de clôtures. Dans ce but, les architectes ont choisi d'ouvrir cette maison marlinoise sur l'extérieur. À l'inverse des habitations voisines situées en retrait de la rue, la demeure est disposée à l'entrée de la parcelle discrètement délimitée par une clairevoie qui laisse traverser le regard des passants. La volumétrie du bâtiment éveille également la curiosité : le rez-de-chaussée perché sur des pilotis semble ainsi léviter au-dessus du sous-sol semi-enterré qui accueille l'entrée et la chambre d'amis. Sa forme asymétrique et son revêtement de bois en claustras rompent en outre la monotonie du complexe résidentiel dans lequel il prend place. À l'intérieur, l'agence Karawitz habille l'ensemble des surfaces et le mobilier de blanc immaculé, amplifiant la luminosité naturelle apportée par les nombreuses baies vitrées du lieu. Marly House est donc une maison familiale qui célèbre la connexion entre intérieur et extérieur. Pour en savoir plus, visitez le site de Karawitz

L'entreprise CIM vient de faire l'acquisition du leader britannique des solutions de levage pour ateliers ferroviaire. Une nouvelle opportunité pour accélérer son développement à l'international.

Le décret devant encadrer le partage des charges liées aux ouvrages d'art destinés à assurer, en cas de travaux liés à la réalisation d'infrastructures de transport, la continuité d'une voie appartenant à une collectivité territoriale, vient d'être publié au "JO".

Hobas a mis au point une nouvelle gamme de produits dont la structure est renforcée d'une couche de protection interne très durable. Le tuyau gravitaire standard fabriqué par centrifugation a lui aussi bénéficié de quelques améliorations.

L'exposition Monobloc " A chair for the World, présentée au Vitra Design Museum du 17 mars au 18 juin, met à l'honneur un objet si commun et universel qu'il n'en est plus questionné : la chaise de plastique blanc. Utilisé par tous, cette pièce de mobilier grand public soulève d'importantes questions sociétales et écologiques. Financièrement et géographiquement accessible, elle célèbre en effet la démocratisation du design, tout en illustrant la société de surconsommation. Les artistes exposés ici tels que Martí Guixé, Maarten Baas et Tina Roeder racontent l'histoire de cette chaise faite de plastique, ses origines, ses variantes et ses réinterprétations, tout en interrogeant les concepts de mondialisation, de consumérisme et de développement durable. L'exposition Monobloc - A Chair for the World se tiendra du 17 mars au 18 juin 2017 au Vitra Design Museum, Charles-Eames-Str. 2, Weil-am-Rhein (Allemagne) Pour en savoir plus, visitez le site du Vitra Design Museum

L'exposition Monobloc " A chair for the World, présentée au Vitra Design Museum du 17 mars au 18 juin, met à l'honneur un objet si commun et universel qu'il n'en est plus questionné : la chaise de plastique blanc. Utilisé par tous, cette pièce de mobilier grand public soulève d'importantes questions sociétales et écologiques. Financièrement et géographiquement accessible, elle célèbre en effet la démocratisation du design, tout en illustrant la société de surconsommation. Les artistes exposés ici tels que Martí Guixé, Maarten Baas et Tina Roeder racontent l'histoire de cette chaise faite de plastique, ses origines, ses variantes et ses réinterprétations, tout en interrogeant les concepts de mondialisation, de consumérisme et de développement durable. L'exposition Monobloc - A Chair for the World se tiendra du 17 mars au 18 juin 2017 au Vitra Design Museum, Charles-Eames-Str. 2, Weil-am-Rhein (Allemagne) Pour en savoir plus, visitez le site du Vitra Design Museum

Après avoir animé plusieurs interventions techniques lors des précédentes éditions, la FSTT était de nouveau présente à la 22e édition du congrès Infra organisé par le Ceriu (Centre d'Expertise et de Recherche en Infrastructures Urbaines).

Intervenants :  Benjamin Mermet, prescripteur bois, FIBRA Anne-Laure Boichot, architecte Tangram, administratrice Bois des Alpes Enri Chabal, architecte, Chabal Architectures Cet article BePositive 2017 : La construction en bois local : quels impacts économiques pour les territoires ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Ce matin, le Centre d'Études et de Recherches de l'Industrie du Béton (Cerib) organisait une matinale à Dôle dans le Jura, consacrée à la pertinence des produits en béton pour construire des ouvrages de voirie durables, esthétiques et conçus pour faciliter la vie des personnes à mobilité réduite.

La Fondation WWF France a confié à Rabot Dutilleul Construction la réhabilitation d'un immeuble industriel désaffecté au Pré Saint Gervais qui abritera son futur siège social.

A Strasbourg, le tribunal de grande instance a été inauguré. Le bâtiment vient d'ouvrir ses portes après deux ans et demi de travaux engagés par l'APIJ (Agence Publique pour l'Immobilier de la Justice).

Le Sénat entre en travaux de septembre 2017 à septembre 2020 afin de rénover ses immeubles situés du 26 au 36 rue de Vaugirard. Les sénateurs et autres collaborateurs seront déménagés dans un bâtiment conçu et mis en place par Cougnaud Construction dans la cour d'honneur du Sénat.

La briqueterie née dans la commune des Rairies, berceau français de la terre cuite, a su se faire un nom et toucher une clientèle internationale. Le 27 janvier dernier, la société a lancé son nouveau site internet www.rairies.com : on vous donne nos observations d'un point de vue web !   Sur ce nouveau site, on retrouve des objectifs clairement définis : l'entreprise angevine a voulu mettre en valeur ses produits, ses showrooms et ses réalisations. La boutique vient en second plan, une volonté de communiquer alors sur son savoir-faire en premier lieu.   Une page d'accueil dynamique assez bien organisée La page d'accueil du site est plutôt dynamique, claire et épurée, la " règle des 3 éléments " est respectée dans les sliders et autres sections. La charte graphique est harmonieuse et agréable à l'"il. Les photos sont de bonne qualité et donnent envie. Cependant, certains problèmes d'UX (Expérience Utilisateur) se font sentir : des écritures blanches sur une photo très claire, quelques petits bugs d'affichage, multiplicité des éléments cliquables? On perd un peu le fil ! Des pages riches, presque parfaites Le site est assez riche en contenu : les pages produits sont plutôt bien fournies, malgré la ligne " Lire la suite " qui cache 90% du texte : si ce texte est important, pourquoi ne pas l'afficher directement pour le visiteur ? Le reste des pages reprend l'aspect design qu'on trouve sur les sites d'architecture avec une charte graphique épurée et moderne. La page des showrooms présente bien les deux lieux d'exposition à Paris et aux Rairies, des " laboratoires de tendances ". L'apparence de la page peut faire penser à un guide d'accès à un musée avec une introduction rappelant les caractéristiques artistiques, des photos prises à l'intérieur du lieu, le plan d'accès et les coordonnées. Un bon point qui renforce le côté esthétique des produits de la société. Les réalisations, quant à elles, sont joliment présentées à la manière d'un portfolio de photographies et sont classées par type (monuments historiques, carreaux muraux, façades en briques, sols, etc.). Les photographies des réalisations sont d'ailleurs un élément clé pour les entreprises de façades de bâtiments, on retrouve cette même volonté de photos haute qualité sur le site du façadier Acodi. Enfin, la partie boutique aurait mérité quelques améliorations visuelles : il est recommandé d'avoir son contenu important " above the fold " (en français : au-dessus de la ligne de flottaison), c'est-à-dire visible sur la page dès le premier coup d'"il, sans avoir à la dérouler. Ainsi, les produits ne sont pas tous visibles (seuls 3 produits le sont). La faute au texte, encore plus allongé si l'on clique sur " Lire la suite ". Cette tendance des industriels à commercialiser leurs produits directement sur une partie boutique en ligne se voit de plus en plus sur le web, nous l'avions déjà remarqué lors de notre article sur la boutique du fabricant Kampmann.   En résumé, le nouveau site de Rairies Montrieux présente un bel effort graphique et offre du contenu riche, bien que souvent caché volontairement.   Vous souhaitez nous confier la réalisation de votre nouveau site internet ? Contactez notre équipe de spécialistes du web !

  Intervenants :  Laurent Maziès, directeur de filiale, Biesse Sandrine Sarrat-Behr, responsable grands comptes solutions pour le meuble Anthony Cosentino, directeur Cosentino Toulouse Cet article BePositive 2017 : Productivité performante avec Biesse, Réhau et Cosentino est apparu en premier sur Planète Bâtiment.