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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 5 ans et 213 jours

La nouvelle route du littoral à La Réunion, censée remplacer un axe vital, est à l'arrêt

La Nouvelle route du Littoral (NRL), chantier titanesque d'une voie en mer reliant le nord à l'ouest de La Réunion, est à l'arrêt faute de pierres. Le conseil régional veut tout faire pour poursuivre le projet dont les écologistes ont obtenu le blocage.
Il y a 5 ans et 213 jours

JO 2024 : lancement des consultations pour construire le village des médias

APPEL A PROJETS. La ville de Dugny, en Seine-Saint-Denis, s'apprête à accueillir le village des médias pour les Jeux Olympiques de 2024. En effet, les consultations concernant sa construction ont été lancées par la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solidéo).
Il y a 5 ans et 213 jours

FRES architectes : Y Building

Après la Maison des syndicats et la nouvelle Ecole des beaux arts installée dans les anciennes halles d'Alstom, le programme « Inspirations » réinvente le paysage urbain de l'île de Nantes (44). Dans ce contexte, l'agence FRES fondée en 2004 par Laurent Gravier et Sara Martin Camara relève le défi de construire un complexe de 101 logements pour Cogedim Atlantique. Un édifice contemporain à la volumétrie fragmentée qui répond avec brio à l'urbanisme faubourien du quartier historique de la création. Livré en mars dernier, le complexe Y Building signé FRES architectes s'inscrit dans le projet de réaménagement urbain de l'île de Nantes. Le projet de 6010 mètres carrés comprend 101 logements dotés d'une hauteur sous plafond de 2,70 mètres, ainsi que différents espaces partagés. En sous-sol, l'édifice dispose d'un parking de 54 places de stationnement. Au rez-de-chaussée, se trouvent six commerces ouverts chacun sur la rue. Le complexe comprend également une conciergerie de 65 mètres carrés, une salle de fitness équipée et une grande terrasse collective. L'édifice se compose de plusieurs volumes aux hauteurs différentes et s'articule en Y, une forme originale qui caractérise le bâtiment et lui donne désormais son nom. De même, l'enveloppe métallique modulaire perforée des façades et les bandeaux horizontaux en béton confèrent à l'ensemble un caractère industriel contemporain qui harmonise l'ensemble du projet et l'intègre subtilement à l'architecture du quartier. L'organisation volumétrique du bâtiment offre différentes orientations aux logements et s'ouvre sur l'extérieur par deux cours communicantes. Quatre halls situés au centre du complexe donnent accès aux appartements, permettant une transition progressive entre l'espace public et la sphère privée. Un choix astucieux qui assure aux habitants confort et intimité. Le projet est ainsi pensé comme une machine à habiter, à la fois sociale et innovante. La mise en place d'une isolation thermique extérieure, d'un aménagement paysager en cœur d'îlot et d'un ensemble de toitures-terrasses font de ce projet un lieu de vie agréable, collectif et fonctionnel. Une réalisation qui confirme que l'île de Nantes est bel et bien l'endroit où il faut être. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Fres Photographies : Philippe Ruault, Juan Cardona, Cogedim
Il y a 5 ans et 213 jours

Batimat : Demandez le programme !

Hall 6, Parc des expositions Paris Nord – Villepinte à l’occasion de l’édition 2017 de Batimat. [©ACPresse] Batimat se tiendra du 4 au 8 novembre prochain au Parc des expositions Paris Nord – Villepinte. Plus de 1 500 exposants seront sur salon. A cette occasion, un programme complet a été réalisé, dont une trentaine de conférences. Parmi elles, la remise des Green Solutions Awards de Construction21 ou encore des tables rondes, qui aborderont les nouvelles tendances. Le salon accueillera de nombreuses démonstrations, des évènements partenaires ou encore des visites guidées. En effet, le Mondial du bâtiment a préparé des parcours de 1 h 30 selon différentes thématiques. Un point d’honneur a été mis sur l’environnement et le bien être des acteurs du bâtiment. Au programme : appréhender le bâtiment et la mobilité, inventer les nouveaux logements, s’adapter à l’évolution, généraliser l’emploi des technologies. Mais aussi, former les individus et améliorer leurs conditions de travail, industrialiser les process, concevoir avec une empreinte carbone réduite ou nulle. Et enfin, utiliser des solutions renouvelables.  La sélection de la rédaction Edition 2015 du salon Batimat. [©ACPresse] En effet, les visiteurs pourront s’intéresser à des parcours dédiés aux solutions renouvelables et non productrices de déchets. Ces parcours se tiendront du lundi au jeudi de 14 h à 15 h 30 et partiront du Hall 6. Les stands de Préfa France, Constalica, Besteel ou encore Waste Box, pour ne citer qu’eux, seront présentés lors de ces visites. La filière bois sera, elle aussi, à l’honneur et mettra en avant les produits et services pour la construction. Les stands de Piveteaubois, Pour moi c’est le bois, France Douglas et d’autres encore feront partie des visites. Celles-ci se dérouleront de 14 h à 15 h 30, le départ aura lieu depuis Hall 6. A l’heure où l’empreinte carbone est un enjeu majeur pour les industriels, Batimat a prévu des évènements consacrés à cette problématique. Les solutions de façade, de couverture et de protection solaire pour développer le bâtiment bas carbone seront au centre de l’attention. Les guides vous donneront rendez-vous du mardi au vendredi de 11 h à 12 h 30, avec un passage sur les stands de Futurol, Technal, Edilians ou encore Armor] Enfin, le Mondial du bâtiment a fait le choix de s’intéresser à l’industrialisation des process de construction et de rénovation. Batimat prévoit de faire un détour sur les solutions de conception numérique, le BIM, la digitalisation de l’existant et tout ce qui se réfère au digital. Les visites auront lieu du lundi au jeudi de 11 h à 12 h 30. Les stands visités seront ceux de Soriba, en passant par Trimble et d’autres, pour finir chez Reynaers Aluminium.  Nul doute que ce programme vous permettra de découvrir de nouvelles pépites et pourquoi pas même, de changer votre quotidien. Retrouvez le programme en détail Retrouvez ACPresse à Batimat
Il y a 5 ans et 213 jours

Façade ventilée sur bâtiment industriel centenaire

Sur l’ancien site des usines automobiles Delage, en pleine mutation urbaine, il reste une empreinte de l’histoire industrielle : un bâtiment en charpente métallique et briques de trois étages, long de 119 m. Sa toiture shed en dents de scie est typique de l’architecture industrielle du début du XXe siècle. En 2015, la quinzaine de copropriétaires s’est adressée à l’Atelier d’Architecture Alter Ego, spécialisé dans la rénovation et l’entretien des bâtiments, pour réaliser un diagnostic de la bâtisse. S’en est suivi un projet de rénovation de l’enveloppe pour restituer l’aspect des façades en briques et métal. Pour Natacha Buffa et Vincent Cabre, les architectes en charge du projet, la solution qui s’impose est une façade ventilée afin d’assurer l’isolation thermique du bâtiment. La société Béchet a proposé la solution la plus satisfaisante : le bardage StoVentec SCM avec finition en briquettes de terre cuite. Selon l’Avis Technique du procédé, l’ossature du bardage est solidarisée à la structure porteuse, généralement en béton en maçonnerie, par des pattes-équerres. Mais, ici, la difficulté est de fixer le bardage sur la façade existante qui n’est pas en béton. Impossible de l’accrocher sur les briques qui n’ont pas une résistance suffisante. Reste la structure métallique en fer puddlé, le même matériau que celui de la tour Eiffel. Les profilés verticaux et horizontaux de l’ossature sont constitués de lames de fer assemblées en cinq ou six couches par des rivets. L’idée du président de l’entreprise, Hugues Béchet, et de ses équipes est de réaliser une structure intermédiaire fixée sur les montants verticaux en fer et qui supporte le complexe de bardage. Des poutres epsilon en acier de 9 m de longueur sont boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux en fer puddlé de la façade. Neuf rangs de rails sont ainsi répartis sur la hauteur de la façade. Puis des tubes carrés de 50 x 50 mm sont vissés horizontalement sur ces profilés tous les mètres pour constituer un système de poutre treillis sur toute la façade. La structure est prête pour recevoir les rails en aluminium du système de façade ventilée StoVentec SCM. Cette dérogation à l’Avis Technique est soumise au bureau d’études structure du projet, au service technique de Sto ainsi qu’au bureau de contrôle Veritas qui valident la solution proposée après avoir vérifié que cette sous-structure ne subirait pas de déformations au-delà de ce que peut accepter ce parement. Après des tests in situ, le chantier peut enfin commencer. L’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur de façade est recouvert de la structure primaire. Un réseau de rails horizontaux en aluminium supporte des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixé directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage StoColl KM FR avant d’être jointoyées avec un produit adapté. Pour absorber les dilatations du métal, le nombre de fractionnements des plaques de bardage est revu à la hausse. Les panneaux habituels de 6 x 10 m sur des constructions en béton sont ici réduits à 6 x 6 m. Une autre innovation du chantier concerne le recoupement feu imposé aux façades ventilées par l’instruction technique IT 249. Il est ici réalisé avec un dispositif invisible de l’extérieur en remplacement de la bavette acier débordante. En cas d’incendie, cette bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité s’expanse pour compartimenter la lame d’air. Au rez-de-chaussée côté rue, la façade ventilée est remplacée par le système d’ITE StoTherm Vario associant un isolant en polystyrène graphité avec une finition en briquettes. Quant à la façade sur cour, elle est doublée sur toute sa longueur d’une verrière qui empêche la pose au sol de tout échafaudage. Il est également impossible de fixer un échafaudage en encorbellement sur la façade peu résistante. L’entreprise Béchet a donc dû faire preuve d’ingéniosité en soudant des consoles métalliques sur les fers verticaux, ces consoles reprenant un seul pied d’échafaudage tous les 9 m, puis en renforçant l’échafaudage de diagonales pour assurer sa tenue. Les consoles, dont la fixation soudée se trouvait, après travaux, derrière l’isolant, servent de support à des plateformes définitives recevant les appareils de climatisation du bâtiment. En juin 2019, après un an de travaux, le bâtiment a retrouvé son allure d’antan.
Il y a 5 ans et 213 jours

Lariviere et Actis sur un même stand au Salon international du Patrimoine Culturel

Lariviere filiale du Groupe SIG France, distributeur européen spécialiste des marchés de l’enveloppe du bâtiment et de l’aménagement intérieur, sera présent au Salon international du Patrimoine Culturel, du 24 au 27 octobre 2019 au Carrousel du Louvre, entouré de plusieurs partenaires, dont ACTIS. Au sein de la salle Le Nôtre, le groupe présentera ses diverses expertises, par le biais de sa marque d’ardoises naturelles GALIZA et sa filiale Maury-NZ, pour une conservation optimale du patrimoine, basée sur une logique d’excellence de la toiture et de respect des toitures parisiennes. Une grande maquette regroupant plusieurs solutions, isolation, ardoises, zinc, cuivre, plomb, châssis, sera présentée. Les isolants alvéolaires souples d’Actis seront là, ils permettent notamment de ne pas avoir à effectuer d’importante rehausse de toiture. Par conséquent, ces solutions sont particulièrement adaptées à la restauration d’ouvrages architecturaux ayant des contraintes très spécifiques.
Il y a 5 ans et 213 jours

Alternative esthétique aux toitures plates

Rui Moreira, entrepreneur et architecte s’est lancé dans son projet de construction de maison individuelle avec l’idée de lui offrir une enveloppe exclusive et moderne. Il souhaitait une toiture douce et plate, aux lignes épurées, qui puisse répondre aux exigences du PLU imposant une pente minimale de 14 %. Ses recherches, en matière de toiture et pour répondre à ses aspirations sans modifier l’esthétique recherchée, l’ont mené au choix de la tuile contemporaine Ultima TFP ardoisé de Wienerberger. Cette tuile adopte un pureau variable qui lui permet de s’adapter aux différentes longueurs de rampant. Ses emboîtements profonds, associés à sa structure, garantissent une étanchéité renforcée.   Photo : Grégory Tachet  
Il y a 5 ans et 214 jours

La rentabilité des entreprises du BTP progresse mais leur trésorerie s'affaiblit

ÉTUDE. Les entreprises du BTP affichent une amélioration de leur rentabilité mais un amenuisement de leur trésorerie, d'après l'étude 2019 de BTP Banque réalisée sur la période 2008-2018. Le coût de la main-d'oeuvre diminue pour sa part, tandis que les délais de paiement clients demeurent très importants. La présidente du directoire de BTP Banque, Sylvie Loire-Fabre, commente ces résultats pour Batiactu.
Il y a 5 ans et 214 jours

Une 4e période du dispositif des certificats d’économie d’énergie annoncée

Le gouvernement a confirmé l’extension d’un an de la 4e épisode du dispositif des certificats d’économie d’énergie destinés à financer la transition énergétique française.
Il y a 5 ans et 214 jours

Des usagers opposés à la future ligne 17 du métro desservant Europacity

La Fédération des associations d'usagers des transports a réclamé le "gel immédiat" des travaux de la ligne 17 du Grand Paris, compte tenu des incertitudes pesant sur Europacity, qu'elle doit desservir.
Il y a 5 ans et 214 jours

Exclusif : l'Etat planche sur une nouvelle offre "Coup de pouce"

RÉNOVATION. Les pouvoirs publics réfléchissent à lancer une nouvelle offre coup de pouce, appuyée sur les certificats d'économie d'énergie (CEE). Elle concernerait les copropriétés et serait baptisée "Rénovation globale copropriété".
Il y a 5 ans et 214 jours

CITE : Le gouvernement pourrait devenir plus favorable aux ménages aisés

RENOVATION ENERGETIQUE. Dans le cadre de l'examen, par l'Assemblée nationale, de l'article 4 du projet de loi de finances 2020, relatif au projet de réforme du crédit d'impôt transition énergétique, "le gouvernement va déposer des amendements pour compléter les dispositifs pour les rénovations performantes et les déciles 9 et 10", a tweeté Matthieu Orphelin, député Libertés et territoires du Maine-et-Loire, ce mercredi 16 octobre.
Il y a 5 ans et 214 jours

Une cuisine décloisonnée illumine tout un pavillon

AVANT/APRÈS. Situé à quelques heures de Paris, ce petit pavillon datant de la fin des années 70 n'avait pas connu de travaux depuis plusieurs années. Après une petite cure de jouvence, aujourd'hui, lumière et convivialité s'invitent au sein de cette charmante demeure oisienne.
Il y a 5 ans et 214 jours

L’État doit encore faire des efforts dans l'Aude après les inondations d'octobre 2018 selon Castaner

Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a souligné mardi que l'État devra "encore faire des efforts" pour parachever la reconstruction des localités frappées en octobre 2018 par des inondations meurtrières dans l'Aude, lors d'une visite sur place un an après.
Il y a 5 ans et 214 jours

A Strasbourg, un pionnier du BBCA garde le cap

Le programme de logements Eko2, en fin de travaux, a décroché la labellisation « bâtiment bas carbone » qu’il visait. Il a avancé pas à pas, dans un contexte où les données environnementales sur les matériaux restent parcellaires.
Il y a 5 ans et 214 jours

Les professionnels du bâtiment inquiets appellent à revenir à l'essentiel pour la transformation du CITE

La lecture des amendements débattus ou à débattre quant au volet CITE de la loi de finances pour 2020 confirme les craintes des professionnels. Plusieurs organisations du bâtiment appellent les parlementaires à revenir à l'essentiel pour ne pas rater les objectifs ambitieux en matière de rénovation énergétique.
Il y a 5 ans et 214 jours

Festival ON Arles : Sylvania, partenaire de la création lumière immersive orchestrée par Timothé Toury dans les thermes de Constantin

Dans le cadre du festival d’art numérique ON d’Arles organisé du 5 octobre au 3 novembre 2019, l’artiste Timothé TOURY, avec le concours de Sylvania, invite le public à vivre une expérience immersive dans les thermes de Constantin à travers une mise en lumière inédite. Perspectives, arcs et matières se révèlent à la faveur d’éclairages chauds ou froids délivrés par les projecteurs LED linéaires Concord Naster, développés spécialement en version RGBW, pour raconter une histoire contemporaine.   ON, Octobre Numérique Chaque automne, le festival ON anime le territoire arlésien et met en avant ses richesses artistiques et technologiques. En 2019, ON valorise le Rhône, source d’inspiration et d’innovation, et propose sur plusieurs temps forts une programmation festive, culturelle, citoyenne et sociale, en bordure du fleuve, dans l’espace public et dans divers lieux associés. ON engage les visiteurs vers une expérience artistique du fleuve et une approche sensible du risque d’inondation.   Thermes de Constantin : une création lumière inédite orchestrée par Timothé Toury Dans le cadre du festival ON, l’artiste Timothé Toury, en partenariat avec Sylvania, invite le public à vivre une expérience immersive dans les thermes de Constantin, site historique datant du début du IVème siècle, à travers une mise en lumière inédite. Le concept : faire revivre l’histoire du lieu par les sens et rendre au site sa dimension aquatique perdue au fil du temps. Pour cela, Timothé Toury a conçu une balade sensorielle en quatre mouvements :   • Mouvement 1 : Une lecture historique grâce à la mise en lumière Dans les thermes, les visiteurs déambulent aujourd’hui en sous-sol dans le système de chauffage appelé « hypocauste ». Par une alternance de couleurs chaudes et froides délivrées par les projecteurs linéaires LED Concord Naster RGBW, la lumière dessine la superposition des espaces : la zone de chauffe, le sol antique partiellement disparu et l’élévation architecturale.   • Mouvement 2 : Une mise en lumière de l’architecture La lumière chaude s’élève sur toute la hauteur des murs, des arcs et des voûtes. Le regard s’étire jusqu’au sommet des vestiges pour en percevoir toute la dimension. Du vaste ensemble monumental, seules les salles chaudes et des pièces de service sont visibles, la plus grande partie de l’édifice étant aujourd’hui incluse dans les maisons du quartier.   • Mouvement 3 : L’eau et la lumière Lieu de bien-être, de soin du corps et d’échanges, les thermes sont des bains publics où la population profite de bains d’eau chaude, tiède et froide. Omniprésente autrefois, l’eau est évoquée par des mouvements lumineux qui envahissent le site.   • Mouvement 4 : Un regard actuel sur le site Timothé Toury porte une attention particulière aux détails architecturaux parfois invisibles le jour, parfois simplement ignorés, qui participent à la singularité des lieux. En apportant une nouvelle lecture, perspectives, arcs et matières se révèlent la nuit à la faveur d’éclairages chauds ou froids pour raconter une histoire contemporaine.   Un partenariat au service de l’excellence Pour créer cette dimension immersive, Timothé Toury s’est une nouvelle fois rapproché de Sylvania, concepteur de solutions d’éclairage architectural. « Posés au sol, 32 projecteurs linéaires LED Concord Naster, conçus spécialement par Sylvania en version RGBW pour un rendu parfait de la couleur de la pierre, mettent en valeur l’architecture de ce patrimoine et créent de nouvelles perspectives. Le public est ainsi transporté dans un voyage étonnant où la qualité de la lumière fait évoluer ses repères visuels » explique Timothé Toury.   Univers évolutif et lumineux où le public se promène de la surface de l’eau aux abysses par un jeu de couleur en perpétuelle évolution, la balade sensorielle et immersive dans les thermes de Constantin réalisée par le concepteur lumière et artiste Timothé Toury, en partenariat avec Sylvania, est à découvrir tous les week-ends du festival ON à la tombée de la nuit. https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/
Il y a 5 ans et 214 jours

La nature sous toutes ses formes

La Maison de la Nature s’inscrit dans le projet du nouvel Espace naturel départemental du Var. [©ACPresse] « Tout art est une imitation de la nature », disait le philosophe Sénèque. De sa conception à sa réalisation, la Maison de la Nature s’inscrit bien dans cette idée. Elle prend ses quartiers dans le nouvel Espace naturel départemental du Var, un poumon vert de 130 ha, niché entre les communes de La Garde et Le Pradet. A lui seul, ce lieu concentre tout le champ lexical de la nature. « Nous voulions façonner un espace sur unCet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 214 jours

Le secteur des transports sera-t-il confronté à une disruption majeure ?

DÉBAT. A quoi ressembleront les usages des transports dans trente ans ? C'est à cette difficile question de prospective que se sont attelé une floppée d'experts, lors d'une table ronde qui s'est tenue au dernier congrès de la fédération Cobaty.
Il y a 5 ans et 214 jours

Layher France : A partir de matériaux recyclés

Layher lance sa BatiCale. [©Layher] En général, un bout de basting fait souvent office de cale sur chantier… Aujourd’hui, Layher France innove avec une cale armée réalisée à partir de matériaux recyclés. Baptisé BatiCale, cet accessoire peut être utilisé sur tous les types de sol. Il offre une capacité portante de 10 t. Côté pratique, les cales Layher sont empilables grâce à leur système d’ergot breveté. Aucun clou n’est nécessaire pour fixer les platines. Trois zones d’appui sont possibles et une cale peut accepter jusqu’à 2 platines. L’autre innovation s’appelle Flexbeam. Il s’agit d’un système de poutres éclissables en aluminium et d’étriers, permettant la construction de plates-formes suspendues. Les poutrelles offrent une capacité de charge 3 fois supérieure aux modèles acier existants… Elles disposent de jeux de perforations pour la mise en place des étriers à différents niveaux. Ces derniers permettant la suspension, le réglage et l’amarrage à l’ouvrage. Le système Flexbeam est en mesure de recevoir tous types de structures (échafaudages, bois, passerelles…).  Sur Batimat : Hall 5A Stand P96
Il y a 5 ans et 214 jours

Le système Microflex® de Watts choisi pour rénover le réseau de chaleur du 27ème BCA de Cran-Gevrier

Basé à Cran-Gevrier dans la banlieue d’Annecy (Haute Savoie), le 27ème bataillon de chasseurs alpins (BCA) figure parmi les meilleures unités d’élite de l’armée de terre française. Sur ce site de 34.000 m2, le 27ème BCA compte de nombreuses infrastructures. Afin d’apporter le même niveau de confort thermique aux 26 bâtiments qui composent la caserne, le régiment est en train de rénover l’ensemble de son réseau de chaleur avec le système Microflex® de Watts.   Une rénovation en deux temps Spécialiste des conditions climatiques extrêmes, le 27ème bataillon de chasseurs alpins est présent à Cran-Gevrier depuis 1967. Organisé en 8 compagnies, le régiment accueille entre 1300 et 1400 personnes dans « cette mini-ville dans la ville où se trouvent les services administratifs, les dortoirs, le restaurant militaire, le centre de commandement ou encore des installations sportives ».   Construits entre les années 1970 et 2017, les 26 bâtiments de la caserne ne disposent pas tous du même niveau de confort thermique. Conçu en acier il y a environ 40 ans, le réseau de chauffage est vieillissant. Plusieurs fuites liées à la corrosion empêchent une production d’eau satisfaisante et sont sources d’importantes pertes thermiques.   En 2018, le SID – Service Infrastructure de la Défense décide de rénover l’ensemble du système de distribution de chaleur du quartier Tom Morel et d’opter pour une solution uniquement en PE dans tous les bâtiments afin de faciliter la maintenance.   Suite à un appel d’offres publiques, la société ACOFROID remporte le chantier en proposant, sur les conseils de son distributeur SOROFI, le système Microflex® de Watts. Un test est effectué sur une première ramification de 400 mètres qui alimente un bâtiment impossible à chauffer depuis 6-7 ans. L’objectif : s’assurer que le système Microflex® répond techniquement aux besoins du quartier.   Concluant, le résultat donne entière satisfaction au SID – Service Infrastructure de la Défense. L’ensemble du réseau de canalisations enterrées qui relie la chaufferie principale du 27ème BCA aux 26 bâtiments à chauffer est alors rénové avec les tubes flexibles pré-isolés du système Microflex® de Watts.   Un chantier Microflex® d’exception Comme l’explique le SID – Service Infrastructure de la Défense, « la rénovation du réseau primaire du 27ème BCA se distingue par sa structure particulière qui repose sur une seule chaudière centrale pour alimenter l’intégralité des 26 sous-stations et chauffer correctement chaque bâtiment, le tout en limitant les déperditions énergétiques ». D’une grande flexibilité pour s’adapter à toutes les configurations et grâce à la conception en multicouches de ses tubes pré-isolés qui limitent les pertes thermiques lors du transport des fluides, le système Microflex® répondait à cette problématique.   Autre avantage du Microflex®, le réseau sanitaire primaire de la caserne étant en dessous de 6 bars, « l’Attestation de Conformité Sanitaire du système rendait possible à la fois la rénovation du réseau de chauffage et celle du réseau primaire d’eau chaude avec le même tube », précise Fabien Garcia de la société ACOFROID.   « Après avoir identifié les débits à véhiculer, les tronçons concernés et quelles étaient les conditions optimales pour disposer de la puissance nécessaire à l’alimentation des sous-stations », les solutions retenues sont : • au départ de la chaufferie, le tube simple Microflex® Uno en diamètre 125 dans lequel circule 900 kW. Au fur et à mesure, la section du tuyau est réduite pour passer en diamètre 110, 90 et 75. • le double tube Microflex® Duo du diamètre 63 à 25, notamment pour l’installation dans les caniveaux existants où diminuer les diamètres étaient parfois nécessaires afin de limiter l’encombrement extérieur. Avec barrière anti-oxygène, les deux sont adaptés à des fluides ayant une température comprise entre -10°C et +95°C et des pressions jusqu’à 6 bars.   Au niveau du dimensionnement, « la priorité était de toujours prendre le diamètre extérieur le plus important afin d’obtenir la meilleure classe d’isolation et d’avoir un minimum de déperditions thermiques dans les caniveaux. Grâce à ses deux diamètres extérieurs disponibles (200 ou 160), ce qui signifie plus ou moins d’isolation, le système Microflex® de Watts nous permet d’atteindre notre but : réaliser un réseau en classe 3 d’isolation », indique Fabien Garcia de la société ACOFROID.   Une mise en œuvre simple et rapide Habituée à poser le système Microflex®, l’entreprise ACOFROID apprécie sa rapidité et sa simplicité de mise en oeuvre. Comme l’explique Fabien Garcia, « tout est déjà intégré dans le tuyau : le tube, l’isolation et la gaine extérieure de protection. Contrairement à d’autres produits comme l’acier qui est plus lourd et pour lequel il faut souder les tronçons dans les caniveaux, avec le Microflex® nous faisons la manipulation une fois et c’est réglé, le tout avec un minimum de raccordement ».   La rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA nécessite 40 couronnes de Microflex® livrées enroulées d’un seul tenant. Chacune pèse entre 200 et 300 kg pour une longueur maximum de 100 mètres. Pour gagner encore plus de temps et faciliter le travail des 3 personnes mobilisées sur le chantier, ACOFROID a fait preuve d’une grande ingéniosité. Grâce à un astucieux système composé d’un ratelier de suspension, soudé à un godet de pelle mécanique, et d’un treuil électrique, « 2 ouvriers suffisent pour tirer même les plus grosses couronnes en 30 minutes seulement, contre 4 personnes et plusieurs heures nécessaires habituellement », annonce fièrement Fabien Garcia.   Conception, livraison, réalisation : un accompagnement de tous les instants Afin de « traduire le réseau acier existant en réseau Microflex®, le dimensionner correctement et l’optimiser d’un point de vue calorifique, fourniture et pose », l’installateur a pu compter sur le soutien technique et logistique de Watts et de SOROFI, son partenaire distributeur depuis plus de 10 ans.   Dès la conception du réseau, « le spécialiste technique de Watts a calculé les pertes de charge, les pertes calorifiques mais a aussi défini tous les produits et accessoires nécessaires ». Le travail réalisé sur plan a ensuite été vérifié sur le terrain « afin de s’assurer de la parfaite compatibilité de tous les éléments du réseau (tubes Microflex®, vannes d’isolement, brides inox pour les gros diamètres, raccords laiton et dérivations) et valider la faisabilité technique et financière du projet », expliquent conjointement Fabien Garcia d’ACOFROID et Pascal Rebatel de SOROFI.   Tout au long de la phase d’exécution, l’installateur bénéficie également de l’accompagnement de Watts et de son distributeur pour assurer le bon déroulement de ce chantier d’envergure : • chaque couronne de Microflex® est préalablement identifiée par Watts à l’usine. Une fois livrée, ACOFROID sait ainsi exactement où elle doit être posée, • le planning des livraisons, piloté par SOROFI, assure un approvisionnement en fonction de l’avancement sans aucune rupture de stock.   Parfaitement rodée, cette organisation est appréciée par Fabien Garcia d’ACOFROID qui conclut : « tant au niveau logistique qu’au niveau technique, tout s’est très bien passé. Pour preuve, les délais ont été respectés et les mises en eaux effectuées sur la 1ère tranche de travaux réalisée en avril 2019 ont été une réussite ».   Avec près de 3 km de tubes pré-isolés Microflex® installés à l’issue de la 2ème tranche qui devrait s’achever à l’automne 2019, la rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA constitue l’un des plus grands chantiers jamais réalisés tant pour Watts que pour l’installateur et le distributeur ! http://www.wattswater.fr
Il y a 5 ans et 214 jours

Démolition : quelles sont vos obligations ?

Lorsque vous prenez la décision de démolir un bâtiment partiellement ou intégralement, il est important que vous respectiez certaines obligations, que vous soyez maître d’ouvrage ou propriétaire. Les diagnostics et règles à respecter avant une démolition ont pour but de limiter les risques de pollution et de protéger les personnes environnantes. Cet article vous en dit plus. Le permis de démolir Le permis de démolir est obligatoire pour mettre à exécution tous projets de démolition. C’est une autorisation administrative qui donne le droit d’effectuer une démolition partielle ou totale d’un bâtiment situé dans un territoire protégé. Cependant, cette autorisation n’est valide que durant 2 ans. Comment obtenir le permis de démolir ? Le permis de démolir est délivré par le maire qui dirige la commune dans laquelle vous souhaitez effectuer les travaux. Les composants du dossier que vous aurez à fournir vont varier en fonction de votre projet (une démolition sans reconstruction ou une démolition avec reconstruction). Une fois le permis en main, assurez-vous d’être bien préparé en faisant appel à une entreprise de démolition. Le diagnostic amiante et le diagnostic plomb avant les travaux La réalisation de ces diagnostics est exigée en fonction de l’âge de la construction à démolir. Le diagnostic amiante par exemple est réservé aux constructions bâties avant juillet 1997. Il consiste à repérer la présence de l’amiante dans les matériaux avariés. Ce diagnostic est obligatoire vu qu’il a pour but d’assurer la bonne santé des ouvriers. Il s’effectue en trois étapes principales : Le repérage ; Le retrait des matériaux contenant de l’amiante ; La gestion de l’amiante. Le diagnostic plomb quant à lui, concerne les constructions dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1948. Il consiste à évaluer et prévenir les risques liés à la forte quantité de plomb présent dans la peinture et les autres matériaux de construction. Le diagnostic termites avant travaux Dans certaines régions, les termites sont fréquents. Elles attaquent généralement les bois de la charpente et provoquent leur fragilité. Le diagnostic termites permet donc de prévenir les risques d’effondrement lors des travaux de démolition. Même si elles n’en ont pas l’air, les termites sont nuisibles. Donc, vous ne devez pas prendre à la légère ce diagnostic. D’ailleurs, n’hésitez pas à le confier à un professionnel certifié. Un conseil : si vous êtes apprenti bricoleur et vous souhaitez apprendre à construire une maison, vous devez avoir les aptitudes pour réaliser ce diagnostic. La gestion des déchets de démolition Avant d’entamer les travaux de démolition, il est important de passer en revue la question concernant la gestion des déchets issus du chantier. En France, le code de l’environnement veut que ce soit le maître d’ouvrage qui s’en charge. Ce dernier se doit de faire appel à un diagnostiqueur professionnel. Cependant, il ne suffit pas de réaliser un diagnostic de déchets pour être tiré d’affaire. Le maître d’ouvrage doit suivre le processus de gestion des déchets afin qu’elle soit menée à bien. Enfin, si vous avez un projet de démolition, sachez qu’il n’est pas seulement obligatoire de respecter ces obligations. Elles sont faites pour garantir un environnement sain.
Il y a 5 ans et 214 jours

Les avantages des stores

Les stores assurent l’intimité, contrôlent la lumière et rehaussent la pièce. À elles seules, les fenêtres ne sont en réalité que des trous dans les murs. Mais ajoutez un revêtement de fenêtre comme des stores et bénéficiez plus d’intimité, un contrôle sur la quantité de lumière du soleil qui remplit la zone et une pièce de meilleure apparence. Que vous choisissiez des parures pour une fenêtre ou pour toute une maison, vous devez tenir compte de la forme et de la taille de la fenêtre, de la manière dont vous utilisez la pièce et de la quantité de soleil que vous souhaitez laisser entrer. Aussi bien fonctionnels que décoratifs, les stores à Lyon et les volets peuvent être utilisés sur les portes ainsi que sur les fenêtres pour diriger, filtrer ou bloquer la lumière. Où acheter des stores Vous pouvez acheter des stores dans les magasins d’ameublement, les centres de rénovation, les magasins de peinture et de carrelage et par l’intermédiaire d’un décorateur. Tous vous permettent de voir et de sentir les produits, et ces points de vente fournissent souvent des échantillons afin que vous puissiez tester des sélections à la maison. Si vous êtes soucieux de mesurer avec précision les fenêtres, les décorateurs et certains détaillants feront le travail. Si les stores ne s’adaptent pas correctement, ils le feront à leurs frais. Acheter des stores à partir d’un catalogue de vente par correspondance ou par téléphone (de nombreux magazines à domicile proposent de petites annonces proposant des prix « directement du fabricant ») signifie que vous êtes responsable de l’exactitude des mesures. Bien que vous puissiez économiser de l’argent de cette façon, la qualité du store lyon peut varier. Méfiez-vous des marques inconnues et demandez si les stores sont de première ou de deuxième qualité. Vous pouvez également ne pas avoir un choix aussi large que vous le ferez dans un magasin. Nuances en nid d’abeille Fabriquées en polyester filé, les nuances en nid d’abeille sont extrêmement flexibles, ce qui en fait un bon choix pour les fenêtres aux formes inhabituelles. Elles sont disponibles en peignes simples, doubles ou triples. Les peignes donnent à ce produit son aspect distinctif, mais elles emprisonnent également l’air, ce qui confère à ces teintes une bonne isolation acoustique et thermique. Par exemple, le nid d’abeilles à trois cellules affiche une valeur R de 4,8, au centre de l’ombre. Légers, les nids d’abeilles peuvent être installés verticalement ou, plus conventionnellement, horizontalement. Ils offrent également divers niveaux de contrôle de la lumière. Sur les fenêtres faisant face à l’ouest, vous pouvez bloquer totalement toute la lumière par temps chaud; si votre chambre fait face à l’est, vous voudrez peut-être éviter les rayons du soleil de bon matin. Sur d’autres fenêtres, des nuances transparentes peuvent être plus appropriées.
Il y a 5 ans et 214 jours

Premier contrat pour Bessac près de Vancouver

La filiale de Vinci Construction réalisera d’importants travaux dans la station d’épuration d’Annacis Island près de Vancouver, pour un montant de 126 M€.
Il y a 5 ans et 214 jours

Inauguration du centre de conservation du musée du Louvre à Liévin

Le ministre de la Culture, Franck Riester, a inauguré le centre de conservation du musée du Louvre à Liévin. Ce lieu permet de rassembler les réserves du Louvre dans un lieu unique et fonctionnel, d’apporter des conditions de conservation optimales et une meilleure accessibilité des collections aux chercheurs. Environ 250 000 œuvres sont encore conservées dans plus de 60 réserves différentes au sein du palais du Louvre à Paris, majoritairement en zone inondable ou à l’extérieur dans des lieux de stockage provisoire en attente d’une solution pérenne. Le Louvre dispose d’un plan de protection contre les risques d’inondations (PPCI), mais le délai d’évacuation est insuffisant pour mettre à l’abri l’ensemble des collections exposées au risque d’inondation. Par ailleurs, les aménagements de réserves ne répondent plus pour certaines aux exigences de conservation et de fonctionnement d’un musée (absences notamment d’espaces dédiés aux traitements des collections). D’ici à 2014 ces œuvres seront transférées à Liévin. Le centre de conservation s’étend sur 18 500 m², dont 9 600 m² réservés au stockage des œuvres et 1 700 m² destinés à l’étude et au traitement des œuvres. Le cabinet d’architectes britannique Rogers Stirk Harbour + Partners a imaginé un bâtiment paysage où la nature investit le toit, légèrement incliné. Il conjugue lumière naturelle pour les espaces de travail et de circulation des œuvres, et haute performance pour assurer la stabilité climatique nécessaire à la bonne conservation des collections. Cet équipement d’étude et de recherche – l’un des plus importants d’Europe – permettra de consolider les synergies liées à la création du Louvre-Lens, de conforter l’ancrage du Louvre dans le Bassin minier et de renforcer l’attractivité du territoire. Le Louvre et la Région souhaitent ainsi faire du Centre de conservation du Louvre un acteur de dynamique culturelle et économique, en développant des collaborations avec les nombreux musées de la région et en favorisant le développement de formations et d’activités liées à la gestion de collections, grâce à des partenariats de coopération scientifique et culturelle avec les universités des Hauts-de-France et des organismes de formation continue comme l’Institut National du Patrimoine (INP).Le Centre de conservation du Louvre, outre sa mission première de conservation des collections nationales, pourra aussi héberger les œuvres de pays menacés par les conflits. Photo : Centre de conservation du Louvre © Architecte RSHP / Mutabilis Paysage et Urbanisme / Joas Souza Photographe
Il y a 5 ans et 214 jours

Une nécropole antique exceptionnelle à NARBONNE

Aux portes de Narbonne, une nécropole antique est actuellement fouillée par une équipe de l’Inrap, sur prescription de la Drac Occitanie, en préalable à l’aménagement d’un nouveau quartier. Par son importance et son exceptionnel état de conservation, ce site est une découverte majeure pour l’archéologie française et bénéficie d’un important financement public, de la mobilisation des collectivités. La nécropole est structurée par des enclos maçonnés, implantés selon un parcellaire régulier. Ceux-ci permettent de discerner des groupes distincts dont il est possible de comparer les pratiques respectives. Ces concessions, accolées, parfois séparées par des chemins de desserte, présentent des petits monuments ornés d’enduits peints. Des plaques peuvent être apposées sur les monuments. Leurs épitaphes documentent les couches les plus modestes de la plèbe urbaine (esclaves ou affranchis) d’origine essentiellement italienne ; elles témoignent également de la prospérité économique de ces milieux plébéiens. Les sépultures sont majoritairement des crémations : sont présents de nombreux bûchers et des tombes simples – souvent protégées par une couverture ou un coffrage de tuiles. La sépulture comporte les ossements brûlés placés dans un contenant accompagné d’un dépôt de cruches en verre ou en céramique, parfois associées à des vases à parfum et des lampes.  La diversité des structures funéraires, leur état de conservation, la superposition des sols et des tombes font de ce site un cas unique en Gaule, la nécropole de Narbonne apparaît d’ores et déjà comme la référence pour l’étude des pratiques funéraires en Gaule romaine, mais aussi pour la connaissance de la plèbe durant l’Antiquité. Le site est à proximité immédiate du musée archéologique Narbo Via qui, dès 2020, présentera sur 8 000 m² le patrimoine et le récit exceptionnel de la Narbonne antique. Aménagement : Alenis​​ Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Occitanie) Recherche archéologique : Inrap​ Responsable scientifique : Valérie Bel, Inrap Photo : Vue de drone de la nécropole antique de Narbonne – Denis Gliksman – Inrap
Il y a 5 ans et 214 jours

Doit-on végétaliser les villes ?

Tout fout le camp, les espèces animales et végétales disparaissent les unes après les autres, le dérèglement climatique nous prive de la régularité (qui a toujours été relative) des saisons, l’air est pollué, tant celui des intérieurs que l’extérieur, les moineaux, les fameux “piafs” de Paris, ont quasi déserté les villes, faute d’espaces pour nicher […]
Il y a 5 ans et 215 jours

Christophe Hutin pour le pavillon français de la biennale de Venise

L’architecte Christophe Hutin vient d’être désigné pour la réalisation du pavillon français de la 17e édition de la Biennale internationale d’architecture de Venise. Il succède ainsi aux architectes d’Encore Heureux et leurs lieux Infinis. Pour l’année 2020, Christophe Hutin propose le pavillon « Les communautés à l’œuvre ». Une réponse à la thématique « How we will live together » dévoilé en juillet dernier par l’architecte libanais et commissaire de l’exposition,...
Il y a 5 ans et 215 jours

Plomb à Notre-Dame : le chantier est "étanche" et il n'y a pas de "surcontamination"

Le chantier de reconstruction de Notre-Dame, toujours dans une phase de sécurisation, est "totalement étanche" s'agissant du risque d'exposition au plomb et les dernières analyses réalisées n'ont pas montré de surcontamination des jeunes enfants.
Il y a 5 ans et 215 jours

Notre-Dame n'est toujours pas définitivement sauvée six mois après l'incendie

La consolidation de Notre-Dame de Paris progresse lentement six mois après l'incendie mais "l'ambition" des cinq ans pour sa reconstruction est maintenue, 922 millions d'euros ayant été déjà promis pour le chantier du siècle.
Il y a 5 ans et 215 jours

Événement : Pli Public Workshop 01

Pli lance la première édition du Pli Public Workshop (PPW), un concours destiné aux jeunes architectes, artistes et designers pour valoriser différentes approches de la création architecturale. L'exposition des projets retenus se tiendra au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) du 28 novembre 2019 au 5 janvier 2020. Curieuse, engagée et pluridisciplinaire, cette nouvelle génération de créateurs force l'admiration. Revue des talents émergents à suivre. Depuis 2015, l'association Pli – fondée par Christopher Dessus, Marion Claret et Adrien Rapin – promeut la recherche architecturale à travers une revue collaborative publiée chaque année. Prochaine étape dans la démocratisation de la discipline, l'événement Pli Public Workshop, co-produit par Pli, Paf atelier et le Pavillon de l'Arsenal, soutient activement la nouvelle génération d'architectes, d'artistes et de designers, soit des étudiants et des jeunes diplômés. Le programme d'aide à la création du PPW permet en effet aux candidats de produire un projet tout en bénéficiant d'un suivi professionnel jusqu'à la réalisation de l'exposition collective. Pour son lancement, le PPW aborde la notion d'obsession, qui est aussi la thématique centrale du cinquième numéro de la revue. Les onze lauréats sélectionnés par un jury d'experts – notamment la chanteuse et interprète Juliette Armanet, les designers Mathieu Bassée et Matali Crasset – développent donc une réflexion sur ce thème tout en expérimentant la pratique artistique par la production d'un projet concret. Halah Al JuhaishiDiplômée d'un master de Design Global recherche et innovation, la jeune designer d'espace Halah Al Juhaishi cherche à rendre poétique un design simple et fonctionnel. Cet automne, elle présentera son œuvre « ru – iinhiar », bouleversant ainsi les frontières entre art et design. .   Pauline Bailay et Hugo PoirierLe duo Poirier.Bailay expérimente design textile et design produit et questionne nos modèles actuels de production. Dans « x, y, z Variations autour de la grille », il s'intéresse aux savoir-faire et à l'utilisation des matériaux. . Antoine Behaghel et Alexis Foiny Antoine Behaghel et Alexis Foiny sont deux étudiants de l'ENSAD. Pour cet appel à projets, ils choissisent d'associer leurs compétences respectives et créent « Tubulure », un ensemble de tubes divers et très colorés. . Laure Berhet, Axel Mert et Julienne RichardLe studio satël fondé en 2016 par Laure Berhet et Axel Mert collabore avec la designer graphique Julienne Richard pour promouvoir un design accessible, curieux et pluridisciplinaire. Leur réalisation « Lénor » est le fruit de la rencontre entre design produit, design graphique et design conceptuel. . Rebecca Chipkin et Jack Swanson L'artiste et commissaire Rebecca Chipkin (abctwins) et le jeune architecte Jack Swanson diplômé de la RCA travaillent main dans la main pour réaliser « Fixation », une compilation de divers modules géométriques. . Lionel Dinis-Salazar & Jonathan Omar (Döppel Studio)Les designers de Döppel Studio envisagent le design comme « un sport de combat ». Selon eux, la confrontation des idées et du dessin amène à l'élaboration de projets aboutis. Dans « FATA MORGANA », ils donnent vie à leur devise. . Maud Lévy et Antoine Vercoutère (MLAV.LAND)Les deux architectes diplômés d'état, Maud Lévy et Antoine Vercoutère, s'interrogent sur l'architecture. MLAV.LAND, leur Micro-Laboratoire pour l'Architecture et la Ville est un espace privilégié de recherches et d'expérimentations. Leur installation protéiforme « La Mesure et le Tas, fiction et réalité » devient ainsi un territoire propice à la création et à l'investigation. . Giaime Meloni et Parasite 2.0Le photographe et architecte Giaime Meloni et le studio Parasite 2.0, créé en 2010 par Stefano Colombo, Eugenio Cosentino et Luca Marullo, et basé à Milan et Bruxelles, s'associent pour le PPW. Ils mettent en commun leurs réflexions et imaginent le projet « Manufatto », qui explore des problématiques actuelles. . Alexandre Nesi, Sanae Nicolas (Maison N) et Cécile GraySuite à leur collaboration pour les vitrines Hermès en 2018, les architectes de Maison N et l'architecte-styliste Cécile Gray conçoivent un langage artistique transdisciplinaire à travers leur réalisation « Tisser le paysage ». . Bertrand Rougier et François SabourinLes architectes installés au Canada Bertrand Rougier et François Sabourin s'intéressent à l'environnement et à la relation que l'homme entretient avec lui. Dans « Verdures », ils mettent l'accent sur le rapport entre la chasse et les constructions architecturales. . Erwin SouvetonDe son côté, le jeune architecte diplômé d'état basé à Paris Erwin Souveton élabore une esthétique personnelle et une démarche artistique contemporaine. Son œuvre « Soon » présentée au concours est entièrement conçue en 3D. Un événement inédit qu'il nous tarde de découvrir cet automne ! Pour en savoir plus, visitez le site de Pli Public Worshop Photographies : bonjourgarçon
Il y a 5 ans et 215 jours

La Réunion : le chantier de la nouvelle route du littoral à l'arrêt

Débuté en 2014, le chantier devait se terminer en 2022. Mais la livraison de la nouvelle route, longue de 12,5 km, est désormais projetée vers 2025, dans le meilleur des cas.
Il y a 5 ans et 215 jours

Nouveau brise-soleil WEO : Un élément d’architecture contemporain en bois composite qui préserve sa couleur naturelle pendant 20 ans !

FIBERDECK : Le meilleur du bois composite Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité, de performances exceptionnelles, et garantissent des ouvrages durables. Spécialisé dans les terrasses, les clôtures, et les bardages, Fiberdeck a développé un nouveau segment dans sa gamme WEO® avec le brise-soleil en bois composite. Constitué de profils décoratifs, il imite parfaitement le bois exotique tout en résistant à la décoloration pendant plus de 20 ans ! Destiné à filtrer les rayons du soleil tout en laissant entrer la lumière, le brise-soleil régule la température intérieure, limite l’apport thermique en été et évite le recours systématique à une ventilation parfois énergivore. Il s’inscrit ainsi dans une logique de développement durable et connaît un vif succès en France. Fiberdeck a conçu un élément d’architecture contemporain et décoratif qui réduit l’inconfort lié au rayonnement direct du soleil : le brise-soleil en bois composite coextrudé WEO®. Son imitation bois, à la fois moderne et authentique, sa stabilité et son faible entretien séduisent architectes, maîtres d’œuvre et particuliers. Grâce à la technologie exclusive de coextrusion, le brise-soleil WEO® conserve son aspect bois avec une intensité de couleur remarquable. Faciles à mettre en œuvre, les profils alvéolaires peuvent être fixés de plusieurs manières et selon différentes orientations. BRISE-SOLEIL WEO À la fois légers et renforcés, les profils du brise-soleil WEO® Fiberdeck peuvent être utilisés pour tous les types d’ERP, les bâtiments tertiaires, les logements individuels et collectifs. Esthétiques, ils subliment les bâtiments et donnent du rythme aux façades.   Des profils d’une excellente résistance et d’une bonne stabilité Le brise-soleil WEO® se compose de 2 éléments distincts : un profilé en bois composite coextrudé alvéolaire de section rectangulaire et un renfort en aluminium de 2 mm d’épaisseur. Ce renfort permet de reprendre les efforts de flexion entre 2 supports et de limiter la flèche de déformation du profilé à moins de 1,5 mm. Solide, imputrescible et 100 % résistant aux termites, sans reprise d’humidité, le brise-soleil WEO® bénéficie d’une très bonne stabilité dimensionnelle avec 1,15 mm/ml pour une amplitude thermique de 30°C. Des couleurs intenses promises à la longévité Bénéficiant d’une technologie de coextrusion, chaque profil WEO® est recouvert d’un film protecteur en polyéthylène, insensible aux UV, qui garantit l’éclat du matériau pendant plus de 20 ans. Le brise-soleil ne nécessite pas d’entretien particulier. Il pare les façades des bâtiments sans se décolorer au fil du temps. FIBERDECK : Leader de la technologie du bois composite coextrudé Pour résoudre les problèmes récurrents de taches et de décoloration des lames en bois composite de première génération mono-extrudées, Fiberdeck a mis sur le marché le premier produit coextrudé lors du salon Batimat en 2009. Ce fût une véritable révolution qui a bouleversé l’univers du bois composite. Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité et stabilise le matériau. Une alternative écologique Soucieux de proposer des solutions d’aménagement éco-responsables, Fiberdeck fabrique des produits 100 % recyclables à partir de 95 % de matériaux recyclés. Le bois polymère high-tech biosourcé du brise-soleil WEO® provient de 50 % de sciures de bois et de 50 % de polyéthylène recyclé. Les profils en bois composite WEO® sont dénuées de produits toxiques, colles et métaux lourds. Une imitation parfaite du bois Le brise-soleil WEO® offre un décor à claire-voie. Les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires lui donnent un aspect bois ultra-réaliste car chaque profil est unique. Chaleureux au toucher, ils sont disponibles dans les coloris Ipé et Teck. Pour parfaire l’imitation du bois et offrir une finition soignée, des bouchons de finition de la même couleur et du même matériau que les profils sont proposés. Une mise en œuvre facile Le brise-soleil WEO® de Fiberdeck peut être posé horizontalement ou verticalement. La portée entre 2 appuis ne doit pas excéder 2 m et le porte-à-faux peut atteindre 60 cm. Il est possible de le fixer selon 2 modes : – Directement sur une paroi en bois ou en métal à l’aide de vis auto-perçeuses (ø 5 mm au minimum) ou de rivets inox (ø 4,8 mm). – Sur des murs en béton ou des structures métalliques à l’aide d’équerres inoxydables qui peuvent présenter des angles variables pour faire varier l’orientation des profils sur la façade. Brise-soleil WEO® : Coloris : Teck, Ipé Sections des profilés : 42×60 mm – 52×100 mm – 62×120 mm Longueur : 4 m – Epaisseur paroi profilé : 5 mm Prix public indicatif : profilé 42×60 : à partir de 13.44 euros TTC/mètre linéaire profilé 52×100 : à partir de 23.10 euros TTC/mètre linéaire profilé 62 X 120 : à partir de 28.50 euros TTC/mètre linéaire Points de vente : Négoces spécialisés
Il y a 5 ans et 215 jours

6 mois après, Notre-Dame surveillée comme le lait sur le feu

PATRIMOINE. Six mois après l'incendie qui a dévasté la flèche et la toiture de Notre-Dame de Paris, la sécurisation de l'édifice n'est pas encore acquise. Malgré le renforcement de nombreuses parties de la cathédrale, les entreprises et les services du ministère de la Culture surveillent de près les réactions de l'échafaudage qui doit être retiré.
Il y a 5 ans et 215 jours

MJC des Hauts de Belleville, une réhab signée CODA Lair et Roynette

CODA Lair et Roynette a livré en septembre 2019 la réhabilitation de la MJC/FJT des Hauts de Belleville, à Paris (XXe), fruit de deux ans de travaux d’envergure, cinq ans d’études et de travail collaboratif. Un foyer de jeunes travailleurs, […] L’article MJC des Hauts de Belleville, une réhab signée CODA Lair et Roynette est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 215 jours

Trophées Placo 2019 : 5 entreprises du plâtre et des ouvrages d'exception distingués

Sur les 72 projets présentés à travers le territoire, Placo a récompensé cinq entreprises agréées pour leur participation dans la réalisation d’ouvrages emblématiques.
Il y a 5 ans et 215 jours

Opération promotionnelle Daitem jusqu’au 30 novembre.

Du 1er octobre au 30 novembre 2019, avec l’opération promotionnelle « Souriez ! Vous êtes filmés », 2 caméras de vidéoprotection offertes pour tout achat d’un système d’alarme Daitem*(*d’une valeur minimum de 2500 € TTC*). Lancée il y a tout juste un an, la nouvelle génération de caméras de vidéoprotection connectées à l’alarme de Daitem apportent un « plus » essentiel à la protection de la maison. Le système se compose d’une ou plusieurs caméras de très haute définition (possibilité d’installer jusqu’à 16 caméras) à associer au système d’alarme Daitem. Autonomes et intelligentes, les caméras Daitem se pilotent à distance, et ce quel que soit l’endroit où l’on se trouve, grâce à l’application sécurisée e-Daitem (téléchargeable gratuitement sur APP Store et Google Play). En cas d’intrusion, le système d’alarme envoie un message d’alerte à l’utilisateur qui peut alors voir et entendre en direct tout ce qui se passe chez lui, depuis l’application e-Daitem sur son Smartphone ou sa tablette. Il peut également prendre des photos sur le vif qui peuvent dès lors constituer une preuve et les transmettre aux autorités compétentes (notons que le système Daitem est conforme à la législation française en ce qui concerne la protection des données). L’enregistrement des vidéos s’enclenche lorsqu’un événement est détecté. De jour comme de nuit, cette nouvelle génération de caméras connectées garde, en temps réel, un œil vigilant sur l’intérieur et l’extérieur de l’habitation. Caméras pour la surveillance intérieure  Dotées d’un objectif grand angle d’une résolution Full HD qui garantit une haute qualité d’image (1920 x 1080 pixels pour 30 images/sec) pour plus de précision et un meilleur confort de visionnage, ces deux caméras sont également équipées d’un zoom intégré (x16), parfait pour distinguer tous les détails. Leur vision infrarouge ultra performante permet une vision nocturne jusqu’à 10 mètres. A cela s’ajoutent un micro et un haut-parleur intégrés qui permettent d’entendre et d’interpeller l’intrus. Caméras pour la surveillance extérieure Conçues pour résister aux intempéries et à la poussière, les caméras extérieures bénéficient toutes du label IP 67 et certaines d’une protection anti vandale (IK10). Coté qualité d’image, les modèles se déclinent en deux versions : 2 et 4 Mp. Une résolution élevée qui produit des images de qualité. Rotation sur 90° pour éviter la capture de données inutiles, et zoom optique très puissant complètent le dispositif. Toutes les caméras bénéficient de la vision nocturne jusqu’à 50 mètres, idéale pour les applications avec des conditions d’éclairage variables, fournissant des images en couleur pendant la journée et passant automatiquement en monochrome lorsque la scène s’obscurcit. Ces nouvelles caméras connectées Daitem intègrent les avancées technologiques les plus récentes : la technologie IVS (IntelligentVideo System) permet de détecter et d’analyser les objets en mouvement ou le franchissement d’une ligne prédéterminée pour une surveillance vidéo optimisée. la technologie WDR (Wide Dynamic Range) permet d’obtenir des images de qualité même dans des conditions d’éclairage de faible luminosité qui changent rapidement. Pour répondre à des besoins spécifiques, il est également possible de compléter son système avec un enregistreur, afin d’assurer un enregistrement des vidéos en continu 24h/24. L’offre Daitem permet également d’accéder au service de télésurveillance à distance 24h/24 et 7j/7, Daitem Services, avec levée de doute vidéo et appel aux forces de l’ordre si nécessaire. Reconnu pour son expertise, Daitem Services opère une télésurveillance partout en France avec des centres opérationnels certifiés APSAD P3. Tous les produits Daitem sont posés par des experts en sécurité, formés aux solutions Daitem, qui sont présents de l’étude des besoins jusqu’au suivi de l’installation. C’est la garantie d’une installation dans les règles de l’art.        
Il y a 5 ans et 215 jours

L'Institut Paul Bocuse lance les travaux de doublement de son campus

L'Institut Paul Bocuse a donné le coup d'envoi à l'extension de son campus, un projet à 25 millions d'euros qui doit lui permettre de devenir la "référence mondiale" dans l'enseignement de la cuisine et de la gestion en hôtellerie-restauration.
Il y a 5 ans et 215 jours

L'Institut Paul Bocuse donne lance les travaux de doublement de son campus

L'Institut Paul Bocuse a donné le coup d'envoi à l'extension de son campus, un projet à 25 millions d'euros qui doit lui permettre de devenir la "référence mondiale" dans l'enseignement de la cuisine et de la gestion en hôtellerie-restauration.
Il y a 5 ans et 215 jours

Le groupement mené par Eiffage remporte la 2e tranche de l’Opération Campus Bordeaux

Eiffage Construction, vient de signer un marché public global de performance avec la société immobilière et d’aménagement de l’université de Bordeaux pour la réhabilitation d’un ensemble de bâtiments d’enseignement ainsi que de la grande bibliothèque de lettres et droit sur le domaine universitaire Pessac-Talence-Gradignan.
Il y a 5 ans et 215 jours

Arnaud Behzadi : Les Jardins du Faubourg

Si, chez Muuuz, on aime dénicher de petites pépites dans des quartiers inattendus, il nous est pourtant impossible de passer à côté de l'hôtel les Jardins du Faubourg, établissement cinq étoiles situé en plein triangle d'or de la capitale. Un projet signé Arnaud Behzadi très « luxe, calme et volupté ». Bien qu'Arnaud Behzadi soit né à Téhéran (Iran), ce parisien d'adoption a su, plus que quiconque, capturer l'essence de « l'art de vivre à la française » et nous le prouve une fois de plus à travers la réhabilitation d'un ancien hôtel particulier haussmannien en un établissement de luxe où le clinquant habituel fait place à un raffinement sans pareil. L'architecte souhaitait conserver l'âme d'antan du bâti tout en l'inscrivant dans une tradition architecturale plus contemporaine. Pas question donc de se fier à cette façade classique ni à la réception typiquement parisienne qui accueille les vacanciers et locaux en quête d'une pause : nous sommes ici dans un ouvrage bien dans son époque qui conjugue avec brio patrimoine et design contemporain. L'ensemble s'organise autour d'une cour de 100 mètres carrés largement arborée où l'ancien et le moderne se font face. Alors que la structure contemporaine recouverte d'un acier effet miroir accueille balcons et végétation luxuriante, le bâtiment d'origine à la façade immaculée fait la part belle à la tradition.Comptant 32 chambres et 4 suites – dont une comprenant également un jardin privé –, l'hôtel propose deux ambiances distinctes. Côté hôtel particulier, les chambres s'inscrivent dans un décor promettant une expérience parisienne élégante et un brin nostalgique quand, au sein du nouveau bâtiment, les aménagements comprennent des pièces de mobilier épurées et résolument contemporaines. Pour asseoir la qualité des séjours, deux niveaux ont été creusés sous le sol et abritent désormais 400 mètres carrés de spa. Piscine, sauna et hammam sont ici complétés par une salle de sport et deux cabines de massage, le tout dans une atmosphère à mi-chemin entre art déco et minimalisme contemporain. Deux salles, deux ambiances, mais une expérience qui promet une pause hors du temps et loin de l'agitation de la capitale. Pour en savoir plus, visite le site de Arnaud Behzadi Photographies : Yvan Moreau
Il y a 5 ans et 215 jours

L'Empire State Building rouvre son observatoire avec une vue à 360°

L'Empire State Building à New York a rouvert son observatoire du 102ème étage après près de 10 mois de travaux, qui permettent d'offrir désormais une vue à 360° depuis la flèche du gratte-ciel le plus célèbre au monde.
Il y a 5 ans et 215 jours

Portée par son dynamisme, l’Anah est prête pour la réforme du CITE

L’Anah connaît un fort dynamisme de l’ensemble de ses programmes et présente des résultats positifs au plan national et dans tous les territoires avec près de 95 000 logements subventionnés…Cet article Portée par son dynamisme, l’Anah est prête pour la réforme du CITE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 216 jours

Les Génies de la Construction : le concours des territoires intelligents, durables et connectés

Le concours Les Génies de la Construction ! a pour objectif de mieux refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics dans toutes leurs dimensions. Il incarne aussi les enjeux auxquels les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire, qui sont en première ligne, doivent répondre, notamment en termes de transition numérique, technologique et environnementale.