Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

RENOVATION. La commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur les énergies renouvelables a interrogé l'énergéticien Effy ce mardi 23 juillet, afin de tenter de mieux comprendre la problématique des offres de rénovation énergétique à un euro, sous le feu des critiques depuis plusieurs mois en raison des cas de fraudes.

ANALYSE. Le texte était attendu depuis longtemps : l'arrêté du repérage avant travaux pour les bâtiments est enfin paru au Journal officiel. Décryptage avec Isabelle Vio, du Syndicat du retrait et du traitement de l'amiante et des autres polluants (Syrta).

Une balade en bord de mer pour bien finir la journée ? A Pornic, Colas Centre-Ouest a réalisé le chantier de requalification de deux boulevards du front de mer afin d'améliorer la circulation des piétons et cyclistes. Un aménagement qualitatif mêlant enrobés beiges et noirs qui se fond dans le le littoral du site. Ces 2 km de voirie ont été réalisés dans un timing très court afin de limiter la gêne pour les riverains et commerçants.

Après avoir annoncé le rapprochement de deux marques historiques [Lire notre article à ce sujet], Saint-Gobain est entré en négociation exclusive avec le groupe Frans Bonhomme pour la cession de DMTP1. L’entité du groupe, plus connu sous le nom de Point.P TP, pourrait être cédé pour une valeur de 70 M€. DMTP est spécialisée dans la distribution de produits en béton destinés aux travaux publics, génie civil et infrastructure. Elle dispose de 58 points de vente en France et affiche un chiffre d’affaires de 250 M€ pour un résultat d’exploitation de près de 3 M€ en 2018. « Cette acquisition repose sur la grande complémentarité de DMTP et du groupe Frans Bonhomme, explique Pierre Fleck, président du groupe Frans Bonhomme. Nos clients et fournisseurs seraient au cœur de ce rapprochement : ils auraient ainsi accès à un vaste réseau de 416 points de vente répartis sur tout le territoire français. Ils pourraient bénéficier d’une chaîne logistique plus efficace et trouver partout une gamme élargie de produits et de services pour réussir leurs projets » En effet, le futur acquéreur est plutôt présent en zone rurale et dans les villes moyennes, tandis que Point.P TP dispose de nombreuses implantations dans les zones urbaines, notamment en Ile-de-France. « Le potentiel de nos offres combinées est considérable. Nous espérons poursuivre notre chemin ensemble et construire une histoire commune sur nos expertises respectives et la compréhension des besoins de nos clients et fournisseurs. Notre actionnaire principal, Centerbridge Partners, a été un pilier du succès du groupe Frans Bonhomme jusqu’à aujourd’hui, et soutient le rapprochement avec DMTP. » Sous réserve de l’achèvement de la procédure d’information et de consultation des instances représentatives du personnel concernées et de l’obtention de l’autorisation des autorités de la concurrence compétentes, la négociation pourrait aboutir au cours du 4e trimestre 2019 ou du 1er trimestre 2020. 1Distribution de matériaux pour les travaux publics. L’article Saint-Gobain veut céder Point.P TP est apparu en premier sur ACPresse.

Les travaux de réaménagement de la place Copernic, lieu de convergence des usagers du Technopôle, entrent dans leur dernière phase aux abords de la sculpture Extase, jusqu’au mois d’août 2019.

Un rapport du think tank la Fabrique écologique fait le bilan des différentes manifestations du changement climatique sur les littoraux et de la mise en œuvre encore très insatisfaisante des différentes modalités d’adaptation. 25% des côtes sont aujourd’hui en érosion, tandis que la submersion marine menace 1,4 million de résidents. Le changement climatique, et principalement l’élévation du niveau de la mer, va venir amplifier ces deux phénomènes. A l’échelle européenne et à l’horizon 2050, ce sont 55 000 personnes qui pourraient être, chaque année, concernées par les submersions marines, contre 10 000 aujourd’hui. La France fait partie des pays européens les plus vulnérables à la submersion marine. L’une des options d’adaptation à l’élévation du niveau de la mer fait l’objet d’une attention croissante de la part des pouvoirs publics et de la société. Il s’agit de la relocalisation des activités et des biens. La Stratégie Nationale de Gestion Intégrée du Trait de Côte a comme sous-titre « Vers la relocalisation des activités et des biens ». L’Etat affirme sa volonté de mettre en œuvre une telle recomposition des littoraux. Depuis quelques années, les travaux de chercheurs de différentes disciplines étudient la faisabilité d’une telle mesure et les conditions de son succès. Le corps politique s’est également saisi de cette question puisque des propositions de loi ont été faites tour à tour par l’Assemblée Nationale puis par le Sénat, sans aboutir. Le gouvernement a mis en place en 2019 une mission d’inspection interministérielle sur la question du financement de la recomposition spatiale des littoraux. Le ministre de l’environnement a annoncé récemment la création d’une mission parlementaire visant à préparer un futur débat législatif sur ces enjeux. La question de la répartition du coût des relocalisations se pose. Faut-il faire reposer le financement sur la solidarité nationale, comme cela est le cas pour l’indemnisation des victimes de catastrophes naturelles, ou imaginer des mécanismes de solidarité au niveau local ? Faut-il moduler les indemnisations afin de tenir compte des impératifs de justice environnementale ? Quels seraient dans ce cas les critères d’équité ? D propositions commencent à émerger : modulation en fonction du revenu, de l’attachement au bien, d’un éventuel lien entre l’activité professionnelle du ou des occupants et l’utilisation du bâtiment, etc. Source : L’adaptation au changement climatique sur le littoral français – Jill Madelenat Chargée d’études à La Fabrique Ecologique  

Engagés en 2018, les travaux de doublement de la voie ferrée sur la portion Gardanne - Aix-en-Provence imposent un arrêt total du trafic et la mise en œuvre de travaux complexes simultanés au cœur de l’été.

RENOVATION. Adopté en fin de semaine dernière par le Sénat, qui a renforcé certaines dispositions relatives à la rénovation des logements mal isolés, le projet de loi Energie et Climat sera examiné jeudi en commission mixte paritaire. Des députés LREM et Soliha appellent dans une tribune à la création d'un dispositif solidaire de rénovation énergétique.

Le président du promoteur Altarea Cogedim Alain Taravella a racheté le spécialiste de l'immobilier de luxe Daniel Féau à ses dirigeants qui resteront en poste et garderont une part minoritaire, a annoncé mercredi le réseau.

En mars dernier, WICONA dévoilait en avant-première le process de fabrication de l’aluminium bas carbone recyclé « HYDRO CIRCAL 75R ». Confirmant son engagement volontaire en matière de développement durable, WICONA annonce aujourd’hui la commercialisation de la WICLINE 75 MAX, la première fenêtre en aluminium recyclé « HYDRO CIRCAL 75R ». Cette nouveauté produit sera présentée au salon BATIMAT 2019 en sa version connectée avec le Dynamic Locking Sensor (DLS), un capteur inédit autonome d’ouverture / fermeture. WICLINE 75 MAX – © WICONA Cette nouvelle référence a pour base la série WICLINE 75 EVO, développée en Allemagne, qui a fait ses preuves sur de nombreux ouvrages de par le monde. Cette fenêtre en profilés d’aluminium recyclé, offre des lignes minces et épurées ainsi qu’une transparence accrue pour une luminosité maximale, afin de répondre aux quatre exigences majeures auxquelles sont confrontés les architectes et les maîtres d’ouvrage en matière de menuiseries : design esthétique, performances thermiques, luminosité maximale et respect de l’environnement. Avec WICLINE 75 MAX, l’évolution urbaine a sa fenêtre ! Fenêtre écoresponsable WICLINE 75 MAX est élaborée à partir d’aluminium post-consommation, c’est-à-dire issu de menuiseries récupérées sur d’anciens bâtiments lors de chantiers de déconstruction. Elle affiche un taux minimum de 75% d’aluminium recyclé dans sa composition. A la clef : une empreinte carbone particulièrement réduite en moyenne a 2 kg de CO2 par kilogramme d’aluminium produit. Les fiches FDES sont calculées à partir de la moyenne européenne. Autres atouts, cette fenêtre durable se distingue également par sa barrette isolante fabriquée à partir de polyamide recyclé. WICONA est le seul gammiste à avoir décidé, dès 2014, de basculer ses approvisionnements de polyamide vers un polyamide 100% recyclé issu de l’industrie automobile pour la production de ses barrettes de rupture de pont thermique. WICLINE 75 MAX WICONA Un ensemble de performances qui lui ont valu la certification Cradle to Cradle (C2C) niveau Silver. Ce certificat C2C représente un complément et une alternative aux certificats connus dans le domaine du bâtiment (DGNB, LEED, BREEAM, etc.) dans la mesure où les critères font référence directement au produit et non à l’ensemble du bâtiment. La certification se focalise sur la responsabilité du fabricant du système et inclut toute sa chaîne de fabrication et de fournisseurs en amont. Cette distinction constitue aujourd’hui un moyen supplémentaire pour les partenaires de la marque (architectes, menuisiers, façadiers…) de se démarquer de la concurrence et d’affirmer auprès de leurs clients une volonté forte de réduire l’impact environnemental et d’agir en faveur d’une ville durable. Discrétion maximale Poignée cachée – © WICONA Destinée aux bâtiments tertiaires, aux ouvrages administratifs, résidentiels ou de prestige, la WICLINE 75 MAX, fenêtre à ouvrant caché, se distingue par ses lignes claires et continues, à l’extérieur comme à l’intérieur, tout en offrant la possibilité de mettre en valeur le caractère individuel de chaque bâtiment. Ce design harmonieux est rendu possible par une grande unité de coloris et des lignes épurées, dans lesquelles fixe et ouvrant se confondent. Toutes les paumelles et les quincailleries sont en effet cachées, notamment la poignée dissimulée dans l’ouvrant, ce qui lui confère une grande homogénéité ainsi qu’une intégration parfaite. La fenêtre vient affleurer le mur en se confondant dans la pièce, sans accessoires en débord du cadre. QUAND LA POIGNÉE JOUE LA DISCRÉTION La nouvelle poignée invisible WICONA répond aux exigences architecturales actuelles, en quête de lignes épurées, ainsi qu’à la tendance minimaliste des fermetures contemporaines. Elle est en effet totalement intégrée dans le cadre de l’ouvrant et de plus, affleurante. Côté finition, elle est disponible dans tous les coloris de la gamme. Au plan pratique, sa manipulation aisée offre deux possibilités d’ouverture : à la française (bascule à 90°) ou oscillo-battante (180°). Le caractère esthétique et innovant de la poignée cachée WICONA a déjà obtenu trois distinctions prestigieuses : l’IF Design Award et le Reddot Design Award, reçues en 2018 et, plus récemment, le German Design Award 2019. Clair de vitrage optimisé Les largeurs étroites des profilés permettent à la WICLINE 75 MAX de WICONA de répondre aux attentes des investisseurs et maîtres d’ouvrage, dans le cadre d’un aménagement urbain toujours plus friand de façades élancées en filigranes. Corollaire : les masses vues affinées de la WICLINE 75 MAX offrent plus de transparence et de luminosité, qui se traduit, pour l’usager, par une sensation d’espace et de bien-être. Cette nouvelle fenêtre augmente en effet la luminosité et l’apport solaire. Preuve en est : un élément de 0,55 m x 1,8 m offre un taux de transparence jusqu’à 56% plus élevé qu’une fenêtre traditionnelle. Performances techniques Les performances thermiques sont conformes aux plus hautes exigences en matière d’économie d’énergie et de protection de l’environnement avec un Uw jusqu’à 0,81 W/(m²K) pour une taille de fenêtre standard de 1 230 mm x 1 480 mm, Ug = 0,5 W/(m²K), et acoustiques de Rw jusqu’à 48 dB. Performances : A*4 – E*E750 – V*C5/B5 La fenêtre WICLINE 75 MAX est également disponible dans de grandes dimensions (jusqu’à L 1400 mm et H 2250 mm) Nouveau capteur autonome d’ouverture/fermeture Avec un secteur du bâtiment responsable de 45% de la consommation énergétique et de 20% des émissions de GES, il est nécessaire d’adopter un pilotage intelligent des bâtiments. WICONA entend apporter sa pierre à l’édifice de l’automatisation du bâtiment en fournissant une brique technologique. A l’occasion du salon BATIMAT, la marque a souhaité doter la WICLINE 75 MAX d’un capteur inédit d’ouverture/fermeture autonome, électromagnétique, sans fil et sans piles : le Dynamic Locking Sensor (DLS). Dynamic Locking Sensor – © WICONA Le DLS communique avec les systèmes de GTB via la technologie EnOcean® utilisant la bande des 868MHz. EnOcean® est un protocole de communication demandant très peu d’énergie pour émettre le signal. Telle une dynamo, le DLS utilise l’énergie fournie par la pression mécanique générée lors de l’ouverture / fermeture de la menuiserie (effet électromagnétique). Il dispose d’une portée de 30 m à l’intérieur du bâtiment. Facile à installer, le DLS se place dans la rainure du profilé de l’ouvrant. Avec une installation sans travaux sur des menuiseries neuves ou déjà installées, le capteur permet d’effectuer d’importantes économies de coûts et d’énergies.

ALTEREA, société d’ingénierie spécialisée dans l’énergie et le bâtiment, a été sélectionnée par la Ville de Paris pour une mission d’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMO) dans le cadre des travaux initiaux du Marché Public Global de Performance Énergétique pour 60 écoles de la ville.

L’arrêté du 16 juillet 2019 « relatif au repérage de l’amiante avant certaines opérations réalisées dans les immeubles bâtis » vient de paraître. Attendu par les professionnels depuis plusieurs mois, il vient consolider le décret du 9 mai 2017 qui rendait effective l’obligation de Repérage Amiante avant Travaux (RAT). L’arrêté précise les modalités de réalisation du repérage, le contenu du rapport, les mesures à mettre en œuvre en cas d’impossibilité de réaliser le repérage, les compétences de l’opérateur de repérage, etc. Fini le perçage, le ponçage ou le remplacement d’une faïence sans connaître la nature des matériaux présents dans son habitation. Désormais lors de travaux à la maison, dans un immeuble d’habitation collective, dans un bâtiment tertiaire ou autre, le propriétaire, le maître d’ouvrage ou le donneur d’ordre devra faire réaliser un RAT portant sur le périmètre et le programme exact des travaux, et faire intervenir des entreprises qui respectent leurs obligations en matière de prévention du risque amiante (« Sous-section 4 » du Code du travail) et de protection de leurs collaborateurs. Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et du BIM accompagne les particuliers et les professionnels face à leurs nouvelles obligations. Texte de l’arrêté…    

Le Sénat estime que le projet de loi relatif à l’énergie et au climat manque de vision stratégique à long terme : en se contentant d’actualiser certains objectifs et d’empiler…Cet article Le Sénat donne plus d’ambition à la loi énergie climat est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Après avoir entamé la rénovation de ses centrales, l'entreprise vendéenne vient d'acquérir la société finistérienne Béton du Poher.

Evaluer en quelques clics la quantité de CO2 émise par son projet de construction en béton. C'est l'un des nouveaux services proposés par Lafarge, depuis début juillet, dans le cadre d'une démarche d'entreprise baptisée « Lafarge 360 ».

Le ministère de la Culture a refusé et remboursé un mécénat de 200.000 euros du groupe cimentier Lafarge dans le cadre du financement des travaux de modernisation du Musée national du Moyen-Âge de Cluny, à Paris.

EN IMAGES. De nombreux particuliers souhaitent profiter de leur terrasse, en installant une cuisine d'extérieur aussi bien équipée qu'une cuisine traditionnelle. Découvrez 26 exemples en images.

Certaines associations ont dénoncé que la restauration expresse de Notre-Dame de Paris est une incitation à la mise en danger de la vie d’autrui. Entre la toiture et la flèche, ce seraient plus de 300 tonnes de plomb qui sont parties en fumée et retombées sous forme de poussières autour de Notre-Dame sur un périmètre indéterminé. Ce problème inquiète de nombreuses familles. Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, est intervenu pour en parler. Il explique qu’ils ont observé deux choses : « la première, c’est qu’il y a des taux qui sont anormalement hauts, c’est ce qu’évoquait à l’instant le directeur régional de la santé, mais pas du tout dans des proportions préoccupantes « , « il n’y aucun risque sanitaire, comprenez bien que nous ne prenons aucun risque ». Une situation qui semble être contrôlée et surveillée par la mairie de Paris. En effet, dans le cas où le taux de plomb atteindrait une proportion alarmante, « les établissement seraient fermés dans l’instant ». 

AEG propose une tronçonneuse à l’autonomie et aux performances poussées au maximum grâce au moteur BRUSHLESS et à la puissance de ses batteries. Cet outil nécessite un couple élevé. Les professionnels de la charpente peuvent envisager sereinement l’exécution de travaux répétitifs avec la garantie d’un travail accompli rapidement et sans effort. La PRO18V AEG peut réaliser 90 coupes dans du sapin de 10 x 10 lorsqu’elle est équipée d’une batterie 18V 6 Ah HD. Son guide de chaîne de 30 cm et sa vitesse de chaîne de 10 m/sec assurent une coupe rapide et nette et garantissent une plus grande polyvalence (pour des coupes de bastaing de charpente, par exemple). L’ergonomie et l’équilibre sont optimisés grâce au positionnement de la batterie pour un meilleur confort de travail. Une pompe à huile avec niveau de remplissage visible, lubrifie automatiquement le guide et la chaîne évitant ainsi les risques de surchauffe. Pour une sécurité maximale, un frein de chaîne mécanique assure l’arrêt instantané de la chaîne de la tronçonneuse.

A Lille (59), Atelier 9.81 signe un complexe architectural comprenant 63 logements sociaux et intermédiaires, ainsi qu'une médiathèque et un commerce. En rupture avec le paysage urbain environnant, la réalisation redéfinit respectueusement l'espace dans lequel elle s'insère. Dans tous ses projets architecturaux et urbains, Atelier 9.81 développe une écriture créative au prisme d'une approche pluridisciplinaire, du mobilier à la scénographie en passant par la construction. Avec cette réalisation, il propose une autre façon d'habiter la ville. C'est dans le quartier résidentiel de Saint-Maurice au nord-est de Lille qu'est venu s'installer ce projet d'ampleur. Un ensemble de 4 860 m2 d'habitations et 440 m2 d'équipement. En bordure de la place dotée d'une station de métro, la médiathèque et les logements frappent par la contemporanéité de leur langage architectural. Les balcons, les toit-terrasses, les modules fractionnés, les blocs de béton laissé brut ou peint, et les volumes vitrés des façades, ont bien été imaginés en ce sens. La médiathèque est une bibliothèque-relais, un espace éducatif de rencontres et d'échanges. Cet équipement municipal public intègre en effet une salle d'accueil et des pièces dédiées à la consultation et à la documentation. Ouvert à tous, la médiathèque favorise la transmission du savoir dans un lieu de vie intimiste et lumineux, ouvert sur l'extérieur. Une opération sociale réalisée avec brio ! Photographies : Atelier 9.81 Pour en savoir plus, visitez le site d'Atelier 9.81

Fin du suspense. La préfecture de Haute-Garonne a publié les cinq avis favorables de la commission d’enquête publique concernant le projet urbain ToulouseEuroSudOuest (TESO), et le permis de construire de la tour Occitanie.

Les architectes Joan Arnau et Carme Muňoz de l'agence espagnole 05AM arquitectura ont relevé le défi d'aménager l'intérieur d'un appartement parisien ancien de 172 mètres carré dans le 16ème arrondissement. Pari réussi ! Avec ce projet de rénovation et d'aménagement intérieur d'un logement privé, le studio signe une création très originale dans un esprit à la fois minimaliste, lumineux et intimiste. La complexité de la rénovation réside dans le renversement de l'organisation originale. Avant les travaux, l'appartement était réparti sur deux niveaux : les pièces principales à double hauteur menaient à une terrasse. Le grenier en sous-pente n'était qu'un espace de stockage. Depuis sa modernisation, ce penthouse a été entièrement repensé, de l'agencement à la décoration en passant par la restructuration. La réhabilitation de l'appartement consiste à supprimer la double hauteur et les combles pour créer à l'étage une pièce lumineuse donnant accès à la terrasse. Cela a permis de converser la volumétrie du lieu tout en révélant la structure de la toiture, ses charpentes et ses pannes en bois. L'escalier de lames de bois est l'élément central autour duquel s'organise le lieu. En dépassant sa fonction utilitaire première, il devient aussi un mobilier de rangements, une frontière de volumes et une assise. Ainsi crée-t-il l'unité et la spatialité de l'ensemble. Un appartement renversant ! Photographies : David Foessel Pour en savoir plus, visitez le site de 05AM arquitectura

Procédé d'isolation de la toiture par l'extérieur, le sarking est de plus en plus répandu en rénovation. Basé sur la mise en œuvre de panneaux isolants rigides sur la charpente, cette méthode garantit la performance énergétique d'un bâtiment en limitant les déperditions thermiques au niveau de la couverture et de la ventilation.

Niché dans la station des Deux Alpes en Isère (38), le People Hostel est le premier hôtel construit en panneaux de bois massif CLT (Cross Laminated Timber), spécialité tout droit venue d'Autriche. Cet établissement destiné à une clientèle jeune allie l'accessibilité de l'auberge de jeunesse au confort de l'hôtel et de la maison d'hôte, redéfinissant ainsi l'hébergement à la montagne. Financé par La Foncière Hôtelière des Alpes (Groupe CDC) et exploité par France Hostels, l'hôtel a été imaginé par Tectoniques Architectes et réalisé par Adim – Vinci Construction France. Le People Hostel est conçu en extension d'un bâtiment déjà existant, l'ancien centre UCPA datant de 1962. L'objectif de la réhabilitation et de la modernisation de l'édifice est donc de transformer ce lieu emblématique des années 1960-70 par une écriture architecturale adaptée aux besoins de notre temps. La résidence est un « One Stop Hostel », un hôtel convivial et dynamique, qui propose des hébergements abordables. L'établissement comprend différents espaces communs et privés. Il compte 362 lits, répartis entre 43 dortoirs de quatre à huit lits et 45 chambres doubles. Il dispose également de lieux communs, du stockage du matériel aux espaces de détente et de restauration. Les dortoirs et les espaces partagés sont installés dans l'ancien bâtiment, alors que les grandes chambres sont intégrées à la nouvelle expansion. La rénovation et la surélévation de l'édifice d'époque, ainsi que la construction de l'extension, ont été pensées pour s'intégré à la fois à l'architecture et à l'environnement montagnards. La composition des toitures adaptées aux aléas climatiques, par exemple, se réfère aux toits enchevêtrés traditionnels des villages de la région. De plus, les motifs décoratifs abstraits du bois et la matérialité plurielle des façades – bois, pierre, tôles – inscrivent l'ensemble dans un certain héritage de l'architecture alpine française tout en créant un complexe contemporain. La spécificité du bâtiment vient surtout du travail du bois. Deux traitements de la matière créent l'originalité de l'ensemble. Les carrelets de la façade, sujets aux intempéries, sont travaillés avec un saturateur de gris qui lui donne sa teinte unie, tandis que les bois de l'intérieur sont enduits d'une lasure blonde. Les panneaux de bois massifs de la structure, utilisés notamment pour les murs et les planchers, ont permis la réalisation de ce projet d'ampleur. A l'intérieur, ils restent apparents dans plusieurs espaces. Ce parti pris tranche radicalement avec l'architecture hôtelière du coin qui dissimule les réseaux et les matériaux de construction par des habillages archétypaux de l'ambiance montagnarde. La démarche de cette opération architecturale est donc relativement inédite pour les Alpes françaises. Résidence hôtelière unique en son genre, le People Hostel réunit subtilement tradition et contemporanéité. Photographies : Renaud Araud Pour en savoir plus, visitez le site de Tectoniques

Le trio d'architectes parisiens Freaks et les équipes du studio danois Bjarke Ingels Group emporte la ville de Bordeaux (33) dans une spirale créative avec la MECA, un centre culturel néo-aquitain de 18 000 mètres carrés posé sur la rive gauche de la belle endormie. Bordeaux s'enivre de culture avec la MÉCA, son tout nouveau temple de l'Art. Investie par le Fond Régional d'Art Contemporain et deux agences dédiées au théâtre ainsi qu'au cinéma, cette Maison de l'Economie Créative et de la Culture en région Nouvelle-Aquitaine doit son imposante bâtisse à l'agence danoise BIG, réalisée en collaboration avec le studio français Freaks. Bordée par les eaux de la Garonne, son architecture aux lignes saillantes a été pensée comme une boucle aux jambes asymétriques se déroulant de part et d'autres d'une vaste esplanade permettant ainsi aux riverains de rejoindre la ville ou les rives du fleuve. Sa structure en béton conçue à partir des sables de la région, puis recouverte de 4 800 panneaux blancs en hommage à la pierre bordelaise, est percée de fenêtres rectangulaires illuminant une arche d'un nouveau genre à la tombée de la nuit. En son centre, une suspension en lettrines composée d'ampoules LED vient se refléter dans la sculpture de bronze aux contours du personnage mythologique d'Hermès, signée de l'artiste français Benoît Maire. Derrière les murs de cette nouvelle institution girondine, le FRAC néo-aquitain – détenant un Jeff Koons acquis en 1980 avant que la côte de l'enfant terrible de l'art contemporain n'explose – prend ses quartiers sur trois niveaux où se déploient bureaux et espaces d'archives ainsi qu'une salle d'exposition de 1 200 mètres carrés dont le parcours s'achève sur le salon MECA – un espace collaboratif avec vue sur les flots. Le septième art et le spectacle vivant aussi sont mis à l'honneur dans cet incubateur de la culture accueillant une salle de projection pouvant accueillir jusqu'à 80 personnes, des salles de conférences et un théâtre entièrement modulable d'une jauge de 250 places. Sa scène de 360 mètres carrés – la plus grande de la région – possède des gradins rétractables permettant de doubler sa surface. Les artistes bénéficient également d'un studio de danse pour les répétitions. Au rez-de-chaussée, Le Crem, un bar-restaurant dont le mobilier aux différentes teintes de rouges a été créé par le studio BIG en clin d'œil à la culture vigneronne de la région, saura sustenter les estomacs des visiteurs. Une résidence d'artistes gérée par l'OARA (Office artistique de la région Nouvelle-Aquitaine) et l'ALCA (Agence livre, cinéma et audiovisuel en Nouvelle-Aquitaine) a également été mise en place afin de soutenir la scène créative et de faire vivre le lieu par le biais de divers évènements éphémères. Du grand art ! Pour en savoir plus, visitez le site des studios Big ; Freaks Photographies : Laurian Ghnitoiu, Sergio Grazia

Situé aux Galeries Lafayette Champs-Elysées (8ème arrondissement), le café Citron est l'adresse parisienne tendance de 2019. Pensé par le jeune styliste français Simon Porte Jacquemus et la Maison Caviar Kaspia, Citron vous régale, pour le plaisir des yeux et des papilles ! Le bâtiment de l'ancien Virgin Megastore accueille désormais les nouvelles Galeries Lafayette, au 60 avenue des Champs-Elysées. Au premier étage, Citron invite le Sud dans votre assiette... Et dans le décor. Solaire, l'intérieur du café nous plonge instantanément dans l'atmosphère si particulière des premiers jours d'été. L'odeur des citronniers, les grandes jarres en céramique, le mobilier en bois clair, les couleurs vives, les tapis de paille, l'art de la table... évoquent d'emblée le souvenir de vacances au bord de la Méditerranée. Côté food. La carte est locavore et respectueuse de la saisonnalité. Et pour cause ! Elle a été confectionnée en étroite collaboration avec des artisans parisiens d'exception tels que la boulangerie Sain par Anthony Courteille (10ème arrondissement), la pâtisserie Stohrer par le chef pâtissier Jeffrey Cagnes (2ème arrondissement), la chocolaterie A La Mère de Famille, la plus ancienne de Paris (9ème arrondissement), ou encore les primeurs des Vergers St Eustache (94). Inspirée par la Provence natale du créateur, le menu propose une vaste sélection de recettes et de saveurs gourmandes, de l'encas aux desserts, en passant par des assiettes chaudes et froides à accompagner de délicieux cocktails et de vins nature. La star de la carte – et des réseaux sociaux – est le citron en trompe-l'œil signé Cédric Grolet, chef pâtissier prodige à la célébrité assumée sur Instagram (@cedricgrolet). C'est donc en s'inspirant de l'ambiance estivale et des paysages idylliques de son enfance que Jacquemus a transporté le Sud de la France dans ses valises pour en faire profiter la capitale. Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit. Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées. Photographies : IG @citronparis Pour en savoir plus, visitez le site du café Citron

SFIRES est un acteur majeur et incontournable de la filière du chauffage en France. Distributeur de chauffages à granulés et à bûches depuis plus de 10 ans, la société française propose à ses clients des produits outdoor (chauffage extérieur, barbecues..) et indoor (poêles à granulé, chaudières…). Pour profiter pleinement des extérieurs à la mi-saison et prolonger les moments de convivialité, POB, marque de SFIRES, propose FARO, première gamme de chauffages de terrasse à pellets. Écologique et économique, le pellet est un granulé fabriqué à partir de sciure de bois et de copeaux de rabotage compactés. Grace à sa faible teneur en poussière et en humidité, ce combustible performant offre un fort pouvoir calorifique. FARO allie design, confort d’utilisation et plaisir du feu. En effet, 7 kg de pellets suffisent pour profiter pendant toute une soirée d’une chaleur diffusée par convection et rayonnement. Composée de 4 modèles, la gamme FARO propose une colonne simple (FARO Light) et trois autres appareils de chauffage équipés d’une coupole et d’un plateau pour accueillir jusqu’à 5 personnes autour du point de chaleur. UN CHAUFFAGE AUX PELLETS, UNE SOLUTION ÉCOLOGIQUE ET ÉCONOMIQUE FARO est la première gamme de chauffage extérieur aux pellets qui associe avantages écologiques et économiques. En effet, le pellet est l’un des combustibles les plus écologiques puisqu’il est constitué à 100 % de bois naturels sans additifs chimiques. De plus, cette ressource inépuisable ne dégage pas de fuites de goudron ou de poussière, contrairement aux autres combustibles. Économiquement parlant, le chauffage aux pellets offre un avantage non négligeable à l’heure où les prix des produits pétroliers décollent et les taxes sur les énergies fossiles ne cessent d’augmenter. Si à l’achat, un chauffage aux pellets est plus onéreux qu’un chauffage au gaz propane, le retour sur investissement est rapide. En effet, actuellement, le prix d’un sac de granulé de 13 kg avoisine les 4 euros alors que la bouteille de gaz atteint les 34 €. En prenant en compte la consommation horaire de chacun des chauffages et en considérant que les appareils fonctionnent 6 heures par jour, le chauffage à pellets offre une économie journalière de près de 9 euros avec un coût de 279 € à l’année. FARO, UNE GAMME DESIGN POUR EMBELLIR LES EXTÉRIEURS Créateur d’ambiance, FARO se fait remarquer par son design élégant, moderne et sa haute convivialité. Tout de noir vêtu et doté d’une forme cylindrique, le foyer extérieur entoure la flamme d’une vitrine permettant de profiter d’une belle flambée en toute sécurité. Innovant, FARO fonctionne grâce à un processus de pyrolyse. La chaleur se diffuse exclusivement par convection naturelle dans un rayon de 3 mètres, pour prolonger les soirées en toute saison, aux abords des terrasses, piscines et jardins. UNE FACILITE DE MISE EN ROUTE POUR UNE CHALEUR IMMÉDIATE EN TOUTE SÉCURITÉ Pour la mise en marche du FARO, il suffit de charger le réservoir en acier de pellets et de les arroser avec un combustible végétal. Une fois le réservoir inséré dans son emplacement à l’aide de la poignée amovible, il suffit d’allumer la flamme pour activer son fonctionnement. Un regard est savamment placé pour insérer l’allume-feu et ainsi éviter tout contact avec la flamme. La combustion se fait de façon autonome jusqu’à la fin du réservoir. Avec 7 kg de pellets, il est possible de profiter durant 4 à 5 heures du point de chaleur. Silencieux et économique, FARO bénéficie d’un confort thermique sécurisé. Sa poignée étant amovible, elle reste froide et peut être manipulée en toute sécurité. Indépendant de toute source électrique, FARO contient un Power Bank, rechargeable tous les 2 cycles via son port USB. Cette batterie fournit l’énergie nécessaire au moteur du ventilateur qui alimente la flamme en air comburant.

Le permis de construire du futur CHU de Nantes, censé ouvrir en 2026, a été signé mardi à la préfecture, ouvrant la voie aux travaux qui feront sortir de terre ce colossal projet à près d'un milliard d'euros.

Inauguré le 29 juin dernier, le MOCO (Montpellier Contemporain) est le premier centre d'art nouvelle génération d'Europe proposant une version globale de l'institution muséale, de la formation des artistes à la présentation de collections publiques ou privées. Retour sur un projet audacieux. Nouveau centre d'art contemporain de Montpellier (34), le MOCO est né sous l'impulsion du maire Philipe Saurel. Pensé comme un ensemble artistique global novateur, il se déploie sur trois sites : l'ESBA, Ecole Supérieure des Beaux-Arts, la Panacée, un centre d'art contemporain pour les jeunes créateurs, et le MOCO, un centre international des collections d'art. Sans collection permanente mais destiné à exposer la diversité de la scène artistique française et internationale, le MOCO a pour ambition de renouveler l'offre culturelle actuelle tout en assurant le dynamisme culturel de la métropole à travers le monde. L'Hôtel Montcalm, maison particulière datant du début du XIXème siècle, a été réhabilité par l'agence PCA-STREAM de l'architecte Philippe Chiambaretta, pour devenir l'Hôtel des Collections qui accueille désormais les accrochages temporaires de l'institution. Imaginé selon une logique non-formaliste de l'architecture, cet édifice est un « bâtiment-outil » conçu pour valoriser la diversité de la création contemporaine. Le MOCO comprend notamment 1 282 mètres carrés d'espaces d'exposition, 3 100 mètres carrés de jardin paysager signé Bertrand Lavier et 974 mètres carrés de terrasses et d'allées. Le bâtiment s'étend sur trois vastes modules éclairés par un astucieux dispositif de blocs lumineux et de spots mobiles. Les salles peuvent ainsi s'adapter à toutes sortes de productions et de scénographies. Alimenté par la théorie de « l'esthétique relationnelle » développée par le critique d'art devenu directeur général Nicolas Bourriaud, le MOCO est aussi un lieu de vie et d'échanges. Il comprend par exemple un restaurant locavore prônant les circuits courts et des endroits de détente propices aux rencontres et aux interactions entre les visiteurs. Nouveau venu dans le paysage artistique montpelliérain, la troisième entité de ce projet de longue haleine constitue un véritable écosystème culturel. Jusqu'au 29 septembre 2019 prochain, l'exposition inaugurale « Distance intime » propose de découvrir l'histoire contemporaine depuis les années 1990 à travers une sélection d'œuvres tirées de la collection constituée par l'entrepreneur nippon Yasuharu Ishikawa. Pierre Huyghe, On Kawara, Tino Sehgal, Felix Gonzalez Torres, ou encore Danh Vo, sont les grandes figures de l'art qui jalonnent l'accrochage. Le commissariat, assuré par Yoko Hasegawa, professeure, curatrice et directrice artistique tokyote, établit des liens signifiants entre chaque création. Disparition, écologie, globalisation, histoire personnelle et collective, mémoire, temps. Autant de thématiques universelles convoquées tout au long de l'exposition. Ni chronologique, ni géographique, le parcours s'apparente davantage à un cheminement didactique. La pertinence de la scénographie conduit les spectateurs à pleinement profiter des créations choisies. Une invitation au voyage dans l'histoire de l'art contemporain. Photographies/Illustrations : Jean-Philippe Mesguen et Salem Mostefaoui pour PCA-STREAM Pour en savoir plus, visitez le site du MOCO

TERREAL a fourni 1000 m² de bardage émaillé en terre cuite dans le cadre de la construction de la nouvelle école primaire de Villeneuve-Tolosane (31). Pour répondre à la créativité du cabinet d’architecture 360° en charge du projet, l’industriel a proposé un bardage haut en couleur réalisé sur mesure. Cette nouvelle école se pare d’une façade avec des bardages en terre cuite émaillé (30x120cm) réalisés dans un coloris bleu méridional unique. Ce bardage en finition vernissée permet de réfléchir la lumière à la manière du verre, si bien qu’au fil de la journée le bardage dévoile toutes ses variations de bleu (bleu-noir à azur). A cette métamorphose de nuances de couleurs s’ajoute les qualités intrinsèques de la terre cuite que sont sa pérennité, sa résistance dans le temps et sa belle patine. Inaltérable, ce matériau se décline dans une grande diversité de teintes, textures et taille de modules : des qualités esthétiques permettant un constant renouvellement et qui ont inspiré le cabinet d’architecture. Groupe scolaire Las Fonses, Villeneuve-Tolosane, FR Architecte : Atelier 360° Architecture Maitre d’ouvrage: Mairie de Villeneuve-Tolosane Poseur : CEFB Ravalement Photo : Les yeux carrés / 360° Architecture / Terreal

Grâce à sa fine plaque de mousse rigide en résine phénolique, le système complet ITE StoTherm Resol garantie les meilleures performances thermique du marché avec un lambda de 0.022 et autorise ainsi une épaisseur plus fine. Il permet de réduire de 5 cm l’épaisseur de la mousse phénolique par rapport à un isolant PSE standard : une épaisseur de 9 cm répond aux critères exigés par le CITE, contre 14 cm pour le PSE blanc et 12 cm pour le PSE graphité. Ce système ITE apporte également une solution pour réduire la pénibilité de la pose. Il inclut dans sa composition le StoLevell Novo utilisé pour le calage (collage + chevillage) de la mousse phénolique et le marouflage de la trame armée. L’avantage est sa légèreté, un sac pèse 15 kg (contre 25 Kg pour les autres sous-enduits) : sur le chantier il aide à préserver les applicateurs des troubles musculo-squelettiques. Le secret réside dans sa formulation innovante, avec des billes de polystyrène, qui permet d’alléger le produit tout en fournissant un rendement identique en pâte avec moins de poudre.

Les autres cathédrales de France, sont-elles en danger ? L'incendie à Notre-Dame de Paris a soulevé la question polémique des coûteux travaux d'entretien de ces joyaux architecturaux dont beaucoup n'ont rien à envier à Notre-Dame.

Ne vous y trompez pas… Une Smart Window peut en cacher une autre ! Smart Window EVO est la 1ère fenêtre respirante VEC connectée développée par WICONA. Elle fait partie des innovations phares qui seront présentées à l’occasion du salon BATIMAT 2019. Smart Window EVO / © WICONA Avec son vantail de service et son store intégré, cette fenêtre allie hautes performances thermique et acoustique, et protection solaire. Avec la densification urbaine, la verticalisation des villes s’accentue, l’enveloppe du bâtiment devient plus que jamais un enjeu majeur qu’il convient d’exploiter au mieux. Il est indispensable d’y intégrer de nouvelles fonctions afin que les façades et fenêtres deviennent actives, et intelligentes pour le confort des utilisateurs. Ainsi, dans sa version « smart », elle s’équipe d’une carte électronique spécifique de contrôle et de communication qui lui confère un véritable statut d’objet connecté du bâtiment. Sa conception se caractérise par une flexibilité maximale en termes de fonctionnalités souhaitées et autorise un grand nombre de solutions techniques. Le système Smart Window EVO se distingue par son interopérabilité. S’inscrivant dans le protocole EnOcean®, norme pour les bâtiments automatisés la plus répandue au monde, il est capable de communiquer et d’interagir avec la majeure partie des systèmes de Gestion Technique du Bâtiment (GTB). Le protocole EnOcean® est défini par la nouvelle norme ISO/IEC 14543-3-1X fonctionnant sur les bandes de basse fréquence (inférieures à 1 GHz). Il nécessite très peu d’énergie pour fonctionner. Le système Smart Window EVO reste également entièrement pilotable localement via des points de commandes ou une application smartphone. Performances accrues Basée sur un module de 115 mm, cette menuiserie allie hautes performances thermique et acoustique, protection solaire et grandes dimensions. La fenêtre se distingue par l’intégration d’un système respirant qui fait la différence. Une parclose perforée avec un filtre en acier inoxydable est dissimulée et intégré dans la partie supérieure de l’ouvrant extérieur afin d’éliminer l’embuage et la condensation. Smart Window EVO affiche des valeurs Uw inférieures à 0,83 W/(m².K) avec une profondeur de dormant de 115 mm, des dimensions de châssis de 1 230 mm x 1 480 mm avec Ug de 0,6 W/(m².K), tout en assurant une protection solaire et visuelle optimales grâce à un store totalement intégré et motorisé. L’isolation phonique, quant à elle, atteint un maximum 50 dB Rw pour du triple vitrage isolant à l’intérieur, simple vitrage à l’extérieur, et 49 dB Rw pour du double vitrage isolant à l’intérieur, simple vitrage à l’extérieur. Ses dimensions maximales peuvent atteindre L 1200 mm x H 2500 mm. Performances : A*4 – E*E1200 – V*C5/B5. Design et esthétique Le Vitrage Extérieur Collé rajoute une dimension esthétique et architecturale particulièrement appréciée pour les façades. Destinée aux marchés du neuf et de la rénovation, pour les bâtiments de santé et immeubles tertiaires, la Smart Window EVO se distingue par une continuité des lignes depuis l’extérieur. Fabrication et installation simplifiées A la manière d’une façade cadre, la fabrication de la fenêtre et l’intégration du système Smart Window EVO s’effectuent en atelier. Il suffit alors simplement de mettre en œuvre et de brancher le module sur chantier.

Le promoteur immobilier Kaufman & Broad a vu ses revenus décliner au deuxième trimestre, subissant une moindre activité dans les bureaux, et confirme sa prévision d'une stagnation sur l'ensemble de l'année.

Le gouvernement lance un plan pour le logement en Outre-mer jusqu'en 2022, comptant encourager la construction de logements sociaux et introduire une aide locale à l'accession à la propriété.

L'Etat à lancé le site internet Facil Habitat afin d'aider les propriétaires dans l'ensemble de leurs démarches immobilières, de la mise en location à l'obtention d'aides pour des travaux.

La rénovation de la nouvelle résidence du prince Harry, de son épouse Meghan et de leur fils Archie a coûté 2,4 millions de livres (2,7 millions d'euros) aux contribuables britanniques, selon les comptes annuels de la famille royale publiés récemment.

Une centaine de millions d'euros: c'est ce que débourse Altarea Cogedim, troisième promoteur français, pour s'allier avec un spécialiste de la construction en bois, un secteur qui reste marginal mais fait l'objet de vifs encouragements des pouvoirs publics.

LÉGISLATION. Lors du Conseil des ministres du 17 juillet 2019, les ministres de la Cohésion des territoires et du Logement Jacqueline Gourault et Julien Denormandie ont présenté le projet de loi de ratification de quatre ordonnances concernant les secteurs HLM et de la construction de maisons individuelles.

Les architectes d'intérieurs Hugo Toro et Maxime Lieutard signent la décoration d'un appartement privé de 140 mètres carrés sous les combles en plein cœur de la capitale, dans un esprit masculin jouant de couleurs et de matières nobles. Le studio Toro & Liautard revient dans l'arène de l'architecture d'intérieur avec brio. Si le duo mené par les français Hugo Toro et Maxime Liautard n'en est pas à son premier coup d'éclat – ils sont notamment à l'origine du restaurant la Perruche du Pintemps Haussmann, du Grand Café Capucines ou encore de BB Blanche – cet appartement niché sous les toits de Paris est leur tout premier projet résidentiel. La genèse de ce pied-à-terre au charme rétro des années 1970 se résume à une carte blanche donnée par un couple d'amis dans cet espace de 140 mètres carrés, en lieu et place de ce qui fut autrefois un ensemble de chambres de bonne. Disposant de belles hauteurs sous plafond allant jusqu'à 4,5 mètres – malgré la contrainte d'un pan de mur mansardé dont ils font sauter les cloisons – ce lieu de vie d'inspiration speakeasy accueille une cuisine ainsi qu'une salle à manger toutes en longueur. Les tons chauds des différents bois, que l'on retrouve sur la table en chêne, sur les chaises de bar espagnoles des années 1930, ou encore sur le papier peint effet cuir de Cordoue, sont réveillés par la brillance du laiton qui s'affiche par touches, le tout ponctué de marbre italien tricolore. De l'autre côté des imposantes colonnes de séparation dorées placées entre cet espace et le salon, la même palette de couleur s'invite sur les tables basses, le manteau de la cheminée en céramique verte et les canapés en panne de velours. Côté mobilier, les créations sur mesure du studio et objets chinés sont posées au sol en parquet de chaine blanchi huilé. L'espace jour disposant d'un escalier en acier noir menant sur le toit terrasse, offre une vue à 360 degrès sur la capitale. L'espace nuit quant à lui, est desservi par un couloir vouté avec une enfilade de portes derrière lesquelles se cachent deux chambres à coucher. La première est agencée autour d'un lit cerclé de bois d'ébène de Macassar, prolongée de panneaux en cannage et en verre mis en valeur par le bleu céladon de la moquette, contrastant ainsi avec la seconde au style plus sobre. Point d'orgue de cette réhabilitation menée avec maestria ? La salle de bain, tout de rose vêtue, du sol en terrazzo, jusqu'aux murs en béton enduit, accueillant une baignoire sabot en porcelaine blanche. So chic ! Pour en savoir plus, visitez le site du studio Toro & Liautard  Photographies : DR