Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

Créé en 1974 par Christian Huchedé, philanthrope et amoureux des bêtes, le Refuge de l'Arche est un havre de paix pour les animaux sauvages qui y sont soignés, choyés et surtout pas barricadés pour le plaisir des touristes. Un parc unique, victime de son succès, si bien qu'il a vite fallu imaginer un nouvel espace d'accueil pour tous les curieux qui souhaitent découvrir ce petit bout de savane en plein c"ur des Pays de la Loire. Confié à l'agence TICA et aux designers de Barreau & Charbonnet, le projet comprend la jonction, la réhabilitation et la transformation de deux édifices existants : le bâtiment d'accueil de 420 mètres carrés, situé à l'ouest, se mue ainsi en aile dédiée au personnel ; et la halle à pique-nique, positionnée à l'est, devient un espace d'animation. Le tout est dorénavant lié par une extension de 380 mètres carrés hébergeant la galerie des portraits, dans un aménagement qui se veut attractif et pédagogique, compte tenu du grand nombre de visites, notamment scolaires, organisées au sein de l'établissement. La scénographie développée tout au long de la construction se fonde sur un dialogue entre l'Homme, la nature et les animaux. En effet, pour débuter son parcours, le visiteur pénètre dans une billetterie entièrement bardée de bois sablé à haute pression " révélant les veinures du matériau ", dont certains panneaux de plafond sont ornés de représentations de rapaces occupant le parc. Le mobilier, entièrement conçu par Barreau et Charbonnet, réinterprète des éléments présents dans la nature, comme le rondin de bois que l'on retrouve décliné en banquette ou en poignées de tiroir. Le parcours débute par un " sas introductif " sinueux aux parois recouvertes de plusieurs couches de feutre, dont les motifs évoquent les écailles des reptiles. Un curieux corridor mène ensuite à la Galerie des Portraits, où des chevalets, également imaginés à partir de la figure du rondin, présentent les différentes espèces que l'on peut retrouver dans le refuge. Si tous les murs sont décorés d'autres illustrations ou plaquettes explicatives, l'un d'entre eux, bien plus coloré, est entièrement recouvert d'une fresque représentant un environnement utopique où des animaux sauvages évolueraient entre eux, à l'image du Refuge de l'Arche. Un ensemble valorisant plus que jamais le projet animalier de Christian Huchedé. Pour en savoir plus, visitez le site de Barreau & Charbonnet Photographies : DR

Créé en 1974 par Christian Huchedé, philanthrope et amoureux des bêtes, le Refuge de l'Arche est un havre de paix pour les animaux sauvages qui y sont soignés, choyés et surtout pas barricadés pour le plaisir des touristes. Un parc unique victime de son succès, si bien qu'il a vite fallu imaginer un nouvel espace d'accueil pour tous les curieux qui souhaitent découvrir ce petit bout de savane en plein c"ur des Pays de la Loire. Confié aux designers de Barreau & Charbonnet, le projet comprend la jonction, la réhabilitation et la transformation de deux édifices existants : le bâtiment d'accueil de 420 mètres carrés, situé à l'ouest, se mue ainsi en aile dédiée au personnel ; et la halle à pique-nique, positionnée à l'est, devient un espace d'animation. Le tout est dorénavant lié par une extension de 380 mètres carrés hébergeant la galerie des portraits, dans un aménagement qui se veut attractif et pédagogique, compte tenu du grand nombre de visites, notamment scolaires, organisées au sein de l'établissement. La scénographie développée tout au long de la construction se fonde sur un dialogue entre l'Homme, la nature et les animaux. En effet, pour débuter son parcours, le visiteur pénètre dans une billetterie entièrement bardée de bois sablé à haute pression " révélant les veinures du matériau ", dont certains panneaux de plafond sont ornés de rapaces présents dans le parc. Le mobilier, entièrement conçu par Barreau et Charbonnet, réinterprète des éléments présents dans la nature, comme le rondin de bois que l'on retrouve décliné en banquette ou en poignées de tiroir. L'espace débouche sur un " sas introductif " sinueux aux parois recouvertes de plusieurs couches de feutre, dont les motifs évoquent les écailles des reptiles. Un curieux corridor mène ensuite à la Galerie des Portraits, où des chevalets également imaginés à partir de la figure du rondin présentent les différentes espèces que l'on peut retrouver dans le refuge. Si tous les murs sont décorés d'autres illustrations ou plaquettes explicatives, l'un d'entre eux, bien plus coloré, est entièrement recouvert d'une fresque représentant un environnement utopique où des animaux sauvages évolueraient entre eux, à l'image du Refuge de l'Arche. Un ensemble valorisant plus que jamais le projet animalier de Christian Huchedé. Pour en savoir plus, visitez le site de Barreau & Charbonnet Photographies : DR

Ropa & Associés architectes signe la construction de la nouvelle bibliothèque universitaire Edgar Morin du campus Paris XIII. Livré au printemps 2017 pour la Région Ile de France, l'ouvrage de 6 477m² (14 M¤ HT coût de la construction) s'enroule […] L'article La réalité selon Bernard Ropa pour la BU Edgar Morin est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Jusqu'au 10 juin 2018, la Fondation Cartier pour l'art contemporain de Paris (14e) offre à ses visiteurs un voyage au c"ur de l'"uvre de l'architecte japonais Junya Ishigami. Une quarantaine de maquettes conçues spécialement pour l'occasion, accompagnées de films et de dessins, composent ainsi une promenade poétique intitulée " Freeing Architecture ". Pensée elle-même comme un projet d'architecture, l'exposition répond à l'un des enjeux majeurs de l'artiste : considérer le contexte comme partie intégrante de la réalisation. En effet, Junya Ishigami perçoit le premier art comme un phénomène naturel. C'est pourquoi des formes telles que la forêt, le rocher ou les animaux dessinent son imaginaire onirique, tout en effaçant la frontière entre le dehors et le dedans. Autour de maquettes façonnées à la main pendant près d'un an, de croquis et de documents techniques, l'on observe la construction d'"uvres phares de ce lauréat du Lion d'or 2010 de la Biennale de Venise. Parmi elles, la salle d'études de l'Institut de Technologie Kanagawa (Japon), espace de plus de 2 000 mètres carrés de plain-pied habillé de verre uniquement composé de 305 fines colonnettes, de sections variées, entre lesquelles se trouvent des zones de travail : menuiserie, administration, impression, etc. Une multiplicité de fins potelets, qui n'est pas sans évoquer une forêt de bambous. " J'aime penser librement, avoir une vision la plus souple, la plus ouverte, la plus subtile possible, pour dépasser les idées reçues sur l'architecture. " Junya Ishigami, architecte Bien plus qu'une source d'inspiration ou un obstacle, la nature est la réalité même de la réalisation. Le bâtiment devient alors un élément à inscrire dans le paysage, qu'il doit non pas supplanter mais magnifier. Junya Ishigami, reconnu dans le monde entier pour la délicatesse de ses constructions, esquisse sa vision d'une architecture qui ne cherche pas à dominer son environnement, seulement à le servir. En superposant différents environnements, l'architecte a su faire d'un jardin de plus de 16 600 m² à Tochigi (Japon) un lieu surnaturel où des arbres provenant du site de construction de l'hôtel limitrophe se mêlent à une myriade d'étangs irrigués par l'ancienne vanne de la rizière existante. Plus féérique encore, la Maison de la Paix à Copenhague (Danemark), nuage monumental de 17 mètres de hauteur sous lequel une centaine de visiteurs peut naviguer à bord de barques circulaires. Ou encore une maison/restaurant réalisée en béton moulé directement sur des monticules de terre, excavés par la suite afin de laisser place à des espaces de vie. Tout au long de l'exposition, Junya Ishigami nous dévoile un univers presqu'enfantin, dans lequel il semble s'affranchir de toute contrainte technique... et pourtant ses édifices ne sont pas des chimères. Une flânerie contemplative hors du temps qui ravira les plus grands rêveurs. Junya Ishigami, Freeing Architecture jusqu'au 10 juin 2018 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris (14e). Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier. Photographies : Luc Boegly

La Brooklyn Tower signe le renouveau des anciens Grands Moulins de Paris à Marquette-lez-Lille (Nord), un ?château industriel' trônant au milieu d'un vaste territoire en friche. Ce fleuron historique est l'objet d'une réhabilitation/rénovation en 485 logements et équipements conçue par […] L'article Brooklyn Tower aux Grands Moulins de Paris par MAES Architecture est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Le groupe de BTP et concessions Vinci a signé au Canada, via sa filiale Eurovia, un accord pour l'acquisition de l'entreprise de travaux publics québécoise TNT, qui réalise un chiffre d'affaires de 112 millions d'euros.

L'obligation de réaliser des travaux embarqués lors d'une opération de rénovation importante n'est toujours pas digérée. Interpellé par des sénateurs, le ministère de la Transition écologique et solidaire assure que les dérogations prévues répondent aux craintes exprimées et que leur mise en oeuvre ne génère pas de surcoûts.

TBC Innovations vient de publier son étude annuelle sur le marché des fenêtres. Porté par le dynamisme des secteurs de la promotion immobilière et de la construction neuve, le marché des fenêtres posées en construction neuve en 2017 connait une croissance à plus de 10%. Ene rénovation, les professionnels s'accordent sur un début d'année 2017 … Cet article Malgré les craintes en rénovation, le marché des fenêtres se porte mieux est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Tous à vos librairies spécialisées, un nouveau magazine dédié au paysage vient de sortir de terre : Paysageur. À un moment où la presse papier vit des heures sombres, cette publication fait souffler un vent d'air frais sur un secteur mis à mal. Printemps, saison du renouveau ? Le magazine Paysageur, néologisme évocateur issu de la contraction des mots " paysage " et " voyageur ", ne fait pas mentir l'adage ! Ce drôle titre de presse vient compléter une offre souvent limitée à une approche technique, professionnelle, voire académique. " Une revue qui pense avec les pieds " avertit ainsi la couverture de ce premier numéro " Puissants paysages ". Ses deux concepteurs " la photographe et paysagiste Claire Fau, et le journaliste Maxime Lancient passé sur les bancs de l'École Du Breuil ", devenus rédacteurs en chef pour l'occasion, souhaitaient en effet parler de leur passion pour le végétal par un angle atypique : celui de la marche, tel un fil rouge, ici déroulé sur 112 pages made in France. Une manière pro-active pour ces passionnés de traiter leur sujet de prédilection, dans un bel objet d'édition réalisé par le graphiste Mathieu Becker, où s'enchaînent photos, illustrations et textes (entretiens, courriers, extraits, etc.) de contributeurs bénévoles acquis à la cause " ces hirondelles qui ont fait cet exemplaire de printemps. Du volcan Popocatepetl (Mexique) à la toundra norvégienne, en passant par le territoire niçois, Paysageur transporte ses lecteurs... qui devront attendre l'automne pour dévorer son prochain numéro. Paysageur, Les éditions Paradisier, mars 2018, 112 pages, 16.25 x 24 cm, 20 euros Pour en savoir plus, visitez le site du Paysageur Photographies/Illustrations : DR

Les partenaires sociaux du secteur ont récemment signé la nouvelle convention collective nationale des ouvriers du bâtiment, adoptée le 5 mars dernier, et qui entrera en vigueur le 1er juillet 2018. Démarche de toilettage entreprise dans le cadre de la restructuration des branches, la négociation a aussi permis de modifier certaines règles, à l'image du régime des indemnités de petits déplacements.

L'Etat va procéder à un appel d'offres de 300 mégawatts pour des installations photovoltaïques dans le Haut-Rhin où la centrale nucléaire de Fessenheim va fermer.

L'assemblée générale des copropriétaires n'a pas le pouvoir de mettre à la charge de tous, pour quelque raison que ce soit, des travaux portant sur des parties privatives.

ISOVER lance ISOVER Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre. Depuis 1997, le groupe possède son propre centre de revalorisation de laine de verre, Oxymelt à Orange, qui traite les déchets de laines, les transforme en calcin et les réinjecte dans le process de fabrication de nouvelles laines. … Cet article ISOVER Recycling : la laine de verre possède sa filière de recyclage est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Loin des imposantes îles artificielles créées aux Émirats Arabes Unis, l'îlot conçu par l'agence danoise Fokstrot pour le port de Copenhague est déconcertant de simplicité : un minuscule pentagone en bois uniquement orné d'un tilleul. Une réalisation épurée et énigmatique, et pourtant pleine de sens ! Il peut s'en passer des choses sur une surface de 20 mètres carrés perdue au milieu de la mer Baltique ! Réalisé à la main, cet assemblage de planches de bois pensé comme un espace public aquatique, est voué à accueillir aussi bien les kayakistes épuisés que des baigneurs en quête d'un endroit tranquille pour prendre le soleil ou pour plonger. La plateforme CPH- Ø1 est également prévue pour abriter de petits événements. On pourra ainsi notamment y retrouver ce mois-ci une conférence sur l'avenir des villes portuaires. " CPH-Ø1 a été développé pour introduire la vie et l'activité dans le port de Copenhague, et pour y ramener une partie de la fantaisie qui a été perdue dans son évolution. " Marshall Blecher et Magnus Maarbjerg, architecte et designer chez Fokstrot La plateforme est la première d'une future série de neuf îles, avec chacune des fonctions propres : un sauna, une scène musicale, un café à voile, une ferme aquatique ou encore un plongeoir seront mis à la disposition des estivants de la capitale danoise. Ces différentes infrastructures pourront être connectées entre elles à l'occasion de manifestations ou de festivals. Une initiative visant à développer le front de mer de Copenhague, en perpétuelle évolution. Pour en savoir plus, visitez le site de Fokstrot Photographies : Christian Emdal

Près de Ptuj, plus ancienne commune de Slovénie, le petit village de Skorba semble avoir servi de piste d'atterrissage à un mystérieux OVNI. Il s'agit en réalité d'une église en plein air de 300 mètres carrés imaginée par l'agence locale Enota, à la fois lieu de culte et de rassemblement pour les habitants. Si Skorba était autrefois un bourg tout ce qu'il y a de plus " normal ", la gentrification et la croissance des villes de la région ont contribué à diluer ses limites. Intercalé entre deux zones industrielles, il devient, selon les dires des architectes " une banlieue de banlieue ". Comment faire revivre cette bourgade oubliée tout en rassemblant ses habitants ? Grâce à une structure à son image : atypique. La construction triangulaire de plain-pied, rappelant les origamis japonais, comprend un espace de prêche couvert, faisant face à deux pans obliques qui semblent s'élever vers les cieux, où sont installés les sièges des fidèles. Un traitement aérien des gradins qui fait écho à la spiritualité de cet espace. Une réalisation organique en béton blanc qui tranche avec le paysage rural local. Pour en savoir plus, visitez le site d'Enota Photographies : Miran Kambi?