Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

(55255 résultats)
Il y a 7 ans et 364 jours

Eiffage : un chiffre d'affaires porté par l'international

Eiffage publie un chiffre d'affaires porté par l'international, au 1er trimestre 2017 et confirme ses prévisions grâce à une "bonne dynamique" dans les travaux, et les concessions.
Il y a 7 ans et 364 jours

Eiffage commence bien l'année 2017

Avec un chiffre d'affaires de 3,2 milliards d'euros en cumulé sur les trois premiers mois de l'année, le groupe  enregistre une croissance de 7,6%, portée par les travaux et l'activité à l'internationale. Seule l'activité construction patine.  
Il y a 7 ans et 364 jours

Fraude à la TVA et détachements : les chantiers prioritaires de Pierre Moscovici

Parmi les nombreux chantiers prioritaires fixés par Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et financières, la lutte contre la fraude à la TVA et la révision de la directive des travailleurs détaché, a-t-il affirmé.
Il y a 7 ans et 364 jours

Fibrage optique des bâtiments dans le cadre de travaux, le décret est paru

FICHE PRATIQUE. En application d'un article de la loi Macron, le décret concernant le fibrage de bâtiments en cas de travaux est paru le 7 mai 2017 au Journal Officiel.
Il y a 7 ans et 364 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. D'Days, jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) Esquisse de Stairway to Infinity, RDAI 2) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  3) Entrée du festival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 ) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  5) Stairway to Infinity, RDAI  6) Tissu Pachisi, Dedar 7) Divano Uncle Jack Te Aomarama, Kartell & George Nuku , © Raffaele Origone 8) Phoenix Pop, Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) Pianographe, Florent & Romain Bodart 10) Premier plan : Tissu Pachisi, Dedar Second plan : Symbiotic Plan, Mameluca Studio, © Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 7 ans et 364 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. " D'Days " jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) "Stairway to Infinity" , RDAI 2) Esquisse de "Stairway to Infinity" , RDAI 3) Entrée du fesival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 & 5) "?Papier Machine" , Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  6) Tissu "Pachisi", Dedar 7) "Divano Uncle Jack Te Aomarama' , Kartell & George Nuku , ©Raffaele Origone 8)  "Phoenix Pop" , Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) "Pianographe" , Florent & Romain Bodart 10) "Symbiotic Plan" Mameluca Studio, ©Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 7 ans et 364 jours

Ligne 7 Architecture : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que l'agence Ligne 7 Architecture conçoit le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre, Bernard Ritaly et Dominique Lardeau, ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 7 ans et 364 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 7 ans et 364 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 7 ans et 364 jours

Les tunnels sacrifiés de Bercy-Charenton

Les tunnels de Bercy-Charenton, patrimoine majeur du XIXe siècle, sont un trésor architectural et historique méconnu. Datant de Napoléon, l'ancienne gare de la Rapée est aujourd'hui la cave à vin la plus importante de la capitale. Il s'agit encore du seul entrepôt écologique de Paris. Ils font l’objet d’une exposition à Paris. Photos de Teddy […]
Il y a 7 ans et 364 jours

La construction de logements au plus haut en Ile-de-France

La construction de logements poursuit sa croissance avec des autorisations de permis de construire et des mises en chantier en augmentation de près de 20% sur un an. Au total, près de 93 900 logements ont été autorisés et 75 800 mis en chantier.
Il y a 7 ans et 364 jours

Bomag fête ses 60 ans

Bomag, constructeur de machines pour les travaux routiers et spécialiste du compacte des enrobés et de la terre, fête ses 60 ans. Il emploie aujourd'hui 2 200 salariés et génère un CA annuel d'environ 700 M¤.
Il y a 7 ans et 364 jours

L'Anah ouvre ses aides aux copropriétés en difficulté

Un décret paru au JO du 7 mai 2017 avalise l'extension des aides de l'Agence nationale de l'habitat (Anah) aux copropriétés fragiles.
Il y a 7 ans et 364 jours

Filtre compact Biomeris à culture fixée sur media naturel

En plus de sa station Septodiffuseur, Sebico présente une nouvelle solution compacte en assainissement non collectif sur le principe des filières traditionnelles. Le filtre compact Biomeris, disponible en 3 tailles (4 à 20 Équivalents Habitants), peut s'associer avec trois modèles de fosses toutes eaux (polyéthylène FAN, béton BI, polyéthylène rectangulaire RI).
Il y a 7 ans et 364 jours

Travail dissimilé : prison ferme pour le patron d'une entreprise du BTP

Le Tribunal de Créteil a condamné un entrepreneur du BTP à 30 mois de prison ferme, 50.000 euros d'amende et une interdiction à vie de gérer une entreprise, pour travail dissimilé. Sur les 181 personnes travaillant pour son entreprise, seules 10 étaient déclarées. Précisions.
Il y a 7 ans et 364 jours

Fibre optique : le raccordement devient obligatoire lors des travaux de rénovation

Un décret d'application de la loi Macron vient d'être publié : désormais, les travaux de rénovation en logements collectifs ou pour des locaux professionnels doivent embarquer le raccordement à la fibre optique.
Il y a 7 ans et 364 jours

Une piste d'athlétisme de compétition à Miramas

Malet, filiale de Spie batignolles spécialisée dans les travaux routiers et l'aménagement urbain, a décroché le contrat de réalisation de la piste d'athlétisme couverte de Miramas (13), la plus grande d'Europe.
Il y a 7 ans et 364 jours

"Clause Molière": la FFB pour une formation au français

Le président de la FFB Jacques Chanut a plaidé pour une formation obligatoire au français des travailleurs détachés pour garantir leur sécurité sur les chantiers.
Il y a 8 ans et 0 jours

La Seine Musicale : à prouesses architecturales, solutions innovantes et collaborations expertes

La Seine Musicale a ouvert ses portes en avril 2017 au c"ur du plan urbain de Jean Nouvel, à la pointe de l'île Seguin à Boulogne-Billancourt (92). Conçu par l'architecte Shigeru Ban associé à Jean de Gastines, ce lieu culturel se compose d'un auditorium et d'une salle de spectacle modulable, qui accueilleront concerts et événements pour tout public. En phase conception de cette architecture unique, le CSTB a accompagné les acteurs dans leurs défis techniques. D'une part, les experts en aérodynamique ont mené l'étude de dimensionnement au vent du bâtiment et de la voile solaire ; d'autre part, les instructeurs ont réalisé l'évaluation de la toiture végétalisée et de la façade vitrée. D'une superficie de 35 000 m², la Seine Musicale se distingue par plusieurs prouesses architecturales : une grande voile équipée de panneaux photovoltaïques, qui suit la course du soleil ; une toiture végétalisée en pente raide, espace vert pour les piétons et refuge pour la biodiversité ; une façade vitrée de 4 000 m² sur une forme ovoïde. Dimensionner au vent la voile solaire mobile Le bureau d'études RFR (Artelia), missionné par Bouygues Construction, s'est appuyé sur l'expertise du CSTB pour mener des études aérodynamiques sur mesure. 1ère étape : représenter l'environnement aérodynamique de la Seine Musicale. À partir de données métrologiques et topographiques locales, le CSTB a défini par simulation CFD (mécanique des fluides numérique), les vitesses du vent sur le site pour toutes les incidences. Les mesures obtenues ont été affinées en souffleries atmosphériques grâce à une reproduction du site au 1/500ème prenant en compte les effets des bâtiments les plus proches. 2ème étape : optimiser le dimensionnement au vent de la voile via une campagne expérimentale (tests sur maquettes au 1/250ème et 1/75ème en soufflerie). Le CSTB a d'abord testé la voile mobile dans plusieurs positions. Il a aussi considéré l'impact de l'environnement actuel et envisagé par Jean Nouvel. Puis, il a mesuré les efforts locaux et globaux du vent sur les panneaux photovoltaïques (1 000 m²) et la structure support pour optimiser le chargement au vent sur cette voile. Sécuriser la toiture végétalisée en pente raide Ses pentes sont inclinées à 76 % et pourtant la toiture de la Seine Musicale accueille un jardin public et offre un refuge à la biodiversité. Cette innovation a bouleversé les codes du monde de la construction végétalisée. Le CSTB a accompagné l'entreprise AMC Étanchéité dans l'évaluation de cette toiture végétalisée aux pentes hors normes. Celle-ci a porté sur la conception des ouvrages : d'isolation et de protection jardin : la structure porteuse comporte des butées de retenue (bacs collaborants en béton armé) ; d'étanchéité : des gabions métalliques assurent le compartimentage et le maintien en place de la terre elle-même et du couvert végétal. Le comité d'experts multidisciplinaires " construction, paysage, horticulture " a formulé en 2015, une Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) favorable, assortie de recommandations (méthode de mise en "uvre, contrôles d'exécution, conditions d'accès et de sécurité, prescriptions d'entretien). Évaluer une façade vitrée dans une charpente en bois inclinée L'auditorium de la Seine Musicale est niché au c"ur d'un "uf de bois tressé, aux formes arrondis recouverte d'une peau en verre. Le CSTB a été sollicité par la société Mtech pour évaluer son procédé innovant de verrière et de façade en devers (+15°) composée de vitrages isolants. Des réunions préparatoires à l'ATEx ont porté sur les conditions de mise en "uvre des vitrages sur la charpente en bois non plane. Sur la base de contre-calculs, le CSTB a défini les protocoles d'essais à réaliser (étanchéité à l'eau et à l'air ; résistance au vent, aux chocs ; sécurité des personnes). Les résultats de ces tests ont permis, lors de l'évaluation proprement dite, de valider la stabilité à froid et la durabilité de l'ouvrage. Par ailleurs, sa faisabilité a été évaluée grâce à la fabrication d'un prototype sur site et à la mise en "uvre des premiers remplissages. Une ATEx favorable a été délivrée à Mtech pour sa solution en juillet 2016. En savoir plus : Expertise Aérodynamique du CSTB Savoir-faire dédié aux Grands ouvrages Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) Grand Musée de l'Afrique à Alger?: innovation, élégance et performance
Il y a 8 ans et 3 jours

Une immense plateforme logistique en lamellé collé sort de terre en Eure-et-Loir

CHANTIER. La plateforme logistique du groupe Carrefour comprenant pas moins de 120.000 de m² de charpente bois lamellé collé est en train de sortir de terre à Pourpry (Eure-et-Loir). Une opération de grande envergure réalisée par le promoteur-contractant général GSE et Arbonis, filiale de Vinci construction spécialisée dans le bois.
Il y a 8 ans et 3 jours

Banksy : Hotel Walled Off

Après le parc d'attraction de Bristol Dismaland, le street-artiste britannique Banksy continue de parodier la culture populaire à des fins artistiques et politiques. Son nouveau projet, The Walled Off Hotel (littéralement " l'hôtel coupé par le mur "), en référence à la chaîne d'hôtellerie de luxe, Waldorf Astoria, prend place à Bethléem en Cisjordanie, à quelques pas de la barrière de sécurité sur laquelle l'artiste était déjà intervenu. Le Walled Off est un réinvestissement d'une maison d'hôte déjà existante située tout près du célèbre mur séparant les Israéliens et Palestiniens. L'hôtel est tout ce qu'il y a de plus traditionnel mais est également une "uvre d'art à part entière. Sur les neufs chambres, sept sont décorées et agencées par le graffeur tandis que les deux autres ont été confiées aux soins de l'artiste palestinien Sami Musa et de son confrère canadien Dominique Petrin. Plusieurs types de logements sont disponibles : les Artists, pleines d'"uvres d'art originales ; les économiques Budgets équipées des surplus de baraquements de l'armée israélienne ; les Scenic, offrant des vues imprenables sur le mur ; et la suite " présidentielle ", pouvant accueillir jusqu'à six personnes et décorée dans un style très kitsch. La résidence prévoit également des espaces communs tels qu'un piano-bar de style colonial faisant référence à la Grande-Bretagne qui, en 1917, s'est emparée de Jérusalem. On y sert d'ailleurs des spécialités anglaises comme des scones ou du thé. Dans cet espace en décalage avec le lieu Banksy installe des "uvres à visée volontairement contestataire : des caméras de surveillance remplacent alors les trophées de chasse, les graffitis recouvrent les fenêtres, les tableaux classiques deviennent des scènes de vandalisme, les représentations pastorales sont balayées par des bulldozers et les statuts Renaissance sont enveloppés de nuages toxiques. L'hôtel est également doté d'un musée dédié à l'histoire du mur, d'une galerie présentant des expositions temporaires d'artistes émergents, d'une salle d'exposition permanente composée d'une vingtaine de réalisations contemporaines palestiniennes, et d'une salle de projection.   Pour tous ceux qui se posent des questions sur la motivation de ce projet, le site web de l'hôtel a mis en place une rubrique " Questions ", où il tente de répondre aux interrogations les plus fréquentes et grâce à laquelle nous en apprenons plus sur la nature de cet édifice si particulier. " L'hôtel Walled Off est une structure de loisir entièrement indépendante mise en place et financée par Banksy. Il n'est aligné sur aucun mouvement politique ni à aucun groupe de pression. Le but est de raconter l'histoire de ce mur des deux côtés et de donner aux visiteurs l'opportunité de le découvrir par eux-mêmes. " Walled Off Hotel Banksy, qui a toujours été très inspiré par le conflit israélo-palestinien, avait déjà agrémenté les murs de Gaza de ses fresques murales. Il livre ici un lieu unique, à la fois mine d'or pour les amateurs d'art et sensibilisateur aux luttes de cette région du monde, dont tous les bénéfices sont reversés à des associations et projets locaux. Photographies : Walled Off Hotel Pour en savoir plus, visitez le site de l'hôtel Walled Off
Il y a 8 ans et 3 jours

Banksy : Hotel Walled Off

Après le parc d'attraction de Bristol Dismaland, le street-artiste britannique Banksy continue de parodier la culture populaire à des fins artistiques et politiques. Son nouveau projet, The Walled Off Hotel (littéralement " l'hôtel coupé par le mur "), en référence à la chaîne d'hôtellerie de luxe, Waldorf Astoria, prend place à Bethléem en Cisjordanie, à quelques pas de la barrière de sécurité sur laquelle l'artiste était déjà intervenu. Le Walled Off est un réinvestissement d'une maison d'hôte déjà existante située tout près du célèbre mur séparant les Israéliens et Palestiniens. L'hôtel est tout ce qu'il y a de plus traditionnel mais est également une "uvre d'art à part entière. Sur les neufs chambres, sept sont décorées et agencées par le graffeur tandis que les deux autres ont été confiées aux soins de l'artiste palestinien Sami Musa et de son confrère canadien Dominique Petrin. Plusieurs types de logements sont disponibles : les Artists, pleines d'"uvres d'art originales ; les économiques Budgets équipées des surplus de baraquements de l'armée israélienne ; les Scenic, offrant des vues imprenables sur le mur ; et la suite " présidentielle ", pouvant accueillir jusqu'à six personnes et décorée dans un style très kitsch. La résidence prévoit également des espaces communs tels qu'un piano-bar de style colonial faisant référence à la Grande-Bretagne qui, en 1917, s'est emparée de Jérusalem. On y sert d'ailleurs des spécialités anglaises comme des scones ou du thé. Dans cet espace en décalage avec le lieu Banksy installe des "uvres à visée volontairement contestataire : des caméras de surveillance remplacent alors les trophées de chasse, les graffitis recouvrent les fenêtres, les tableaux classiques deviennent des scènes de vandalisme, les représentations pastorales sont balayées par des bulldozers et les statuts Renaissance sont enveloppés de nuages toxiques. L'hôtel est également doté d'un musée dédié à l'histoire du mur, d'une galerie présentant des expositions temporaires d'artistes émergents, d'une salle d'exposition permanente composée d'une vingtaine de réalisations contemporaines palestiniennes, et d'une salle de projection.   Pour tous ceux qui se posent des questions sur la motivation de ce projet, le site web de l'hôtel a mis en place une rubrique " Questions ", où il tente de répondre aux interrogations les plus fréquentes et grâce à laquelle nous en apprenons plus sur la nature de cet édifice si particulier. " L'hôtel Walled Off est une structure de loisir entièrement indépendante mise en place et financée par Banksy. Il n'est aligné sur aucun mouvement politique ni à aucun groupe de pression. Le but est de raconter l'histoire de ce mur des deux côtés et de donner aux visiteurs l'opportunité de le découvrir par eux-mêmes. " Walled Off Hotel Banksy, qui a toujours été très inspiré par le conflit israélo-palestinien, avait déjà agrémenté les murs de Gaza de ses fresques murales. Il livre ici un lieu unique, à la fois mine d'or pour les amateurs d'art et sensibilisateur aux luttes de cette région du monde, dont tous les bénéfices sont reversés à des associations et projets locaux. Photographies : Walled Off Hotel Pour en savoir plus, visitez le site de l'hôtel Walled Off
Il y a 8 ans et 3 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 3 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 3 jours

Révélations : Prix de la Jeune Création Métiers d'Art 2016-2017

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à propulser des designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont exposé leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces créateurs en devenir à suivre de près.   Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies : Portraits (de gauche à droite) :1) Camille Bellot et Paul Bouteillier2) DR Marine Dominiczak3) Yiyan Zhou4) Julien Cresp5) Julien Cresp Oeuvres :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations
Il y a 8 ans et 3 jours

Révélations : Prix de la Jeune Création Métiers d'Art 2016-2017

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à les propulser les designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont pu exposer leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces jeunes talents, à suivre de près. Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations
Il y a 8 ans et 3 jours

Suez et Cemex rejoignent la plateforme Soldating d'Hesus

Application web dévolue à la valorisation des déblais de chantier, la plateforme Soldating, mise au point par la jeune pousse Hesus, compte désormais l'implication d'acteurs majeurs comme Suez et Cemex.
Il y a 8 ans et 3 jours

Salariés détachés : la FFB veut une formation obligatoire au français

Le président de la Fédération française du bâtiment (FFB), Jacques Chanut, a plaidé le 4 mai pour la création d'une formation obligatoire au français des travailleurs détachés pour garantir leur sécurité sur les chantiers.
Il y a 8 ans et 3 jours

Un nouveau centre d'entraînement pour l'Union Bordeaux Bègles

Accolé au stade André-Moga de Bègles, le nouveau centre d'entraînement et de formation de l'équipe de rugby l'Union Bordeaux Bègles (UBB) sera livré au printemps 2018. Si les travaux ont débuté en avril, la première pierre a officiellement été posée mercredi 3 mai.
Il y a 8 ans et 3 jours

" Clause Molière ": Jacques Chanut et la FFB prônent une formation au français des travailleurs détachés

Dans deux entretiens accordés à la radio RTL et au quotidien Le Figaro, le président de la Fédération française du bâtiment regrette l'instruction ministérielle censurant la clause Molière et plaide pour un apprentissage des rudiments de la langue française pour une meilleure compréhension sur les chantiers.
Il y a 8 ans et 3 jours

La Cour de cassation affine sa jurisprudence sur la réception des travaux

Phase clé du chantier, la réception des travaux est le point de départ des délais des garanties obligatoires des constructeurs. De nombreux contentieux se nouent donc autour de sa reconnaissance, de sa portée, de sa date... Des arrêts récents permettent d'y voir plus clair.
Il y a 8 ans et 4 jours

Equipements à Partager : le BlaBlacar du matériel de BTP

Fondée en 2016 par Kévin Legault, la start-up d'Amiens www.equipementsapartager.com propose aux professionnels de louer leur matériel de BTP. Partant du constat qu'une machine sommeille en moyenne 120 jours par an entre deux chantiers, Equipements à Partager optimise le taux d'occupation de ce matériel en mettant en relation les propriétaires et les demandeurs.   Comment fonctionne Equipements à Partager ? Comme intermédiaire entre les propriétaires et les locataires, la start-up offre aux possesseurs de matériel de BTP la possibilité de créer gratuitement des annonces de location pour leurs équipements en fixant librement leur prix et leur disponibilité.  Les demandeurs, quant à eux, ont la possibilité de rechercher précisément et localement le matériel qu'ils souhaitent. La transaction est assurée par AXA via un contrat qui protège les deux parties en cas de casse, vol, incendie, etc. Ce modèle de location " gagnant-gagnant " permet aux demandeurs de louer du matériel à bas prix, tandis que les offreurs peuvent amortir leurs charges en se servant de leur matériel non utilisé. Une location de matériel en toute transparence E.A.P. mise sur la confiance et la transparence : d'une part, grâce à l'assurance AXA, mais aussi grâce à des fiches de profil propriétaire et locataire détaillées et évaluables après chaque transaction. Les informations des membres telles que leur numéro de téléphone, leur e-mail ou leur carte d'identité sont vérifiées, ce qui peut exclure les faux profils. Les fiches matériels, quant à elles, comprennent tous les détails d'utilisation du matériel (énergie, performances?) et ses informations techniques (marque, modèle, date de dernière révision, date de mise en service?). Les équipements ont eux aussi la possibilité de recevoir des commentaires des utilisateurs. Un développement national envisagé Aujourd'hui, la start-up recense près de 400 annonces de tous types de matériels (nacelles élévatrices, mini pelles, grues bétonnières, tondeuses à gazon, etc.) disponibles dans 5 départements français et compte une centaine d'utilisateurs. L'entreprise vise dans un premier temps le nord de la France, avant de s'étendre au niveau national. Pour appuyer son développement, la jeune entreprise a même reçu le lauréat de la bourse French Tech qui vise à aider les start-ups innovantes. Pour sa communication digitale, la start-up a déployé une stratégie de contenu en tenant un blog sur son site et de présence sur les réseaux sociaux principaux à savoir Facebook et Twitter, mais aussi LinkedIn, Instagram et Google Plus. Bien que Google Plus ne soit plus vraiment d'actualité malgré des nouvelles fonctionnalités présentées en ce début d'année, il semble que cette présence sociale profite davantage à la page Facebook d'E.A.P. avec presque 600 abonnés au compteur.
Il y a 8 ans et 4 jours

Un outil pour coller et décoller en prévention

L'entreprise Morales, 35 ans d'expérience, spécialisée dans les travaux de plâtrerie et d'isolation a opté pour un outil innovant : le banjo. Cet accessoire à jointer permet aux opérateurs d'éviter les gestes répétitifs et de gagner du temps sur le chantier.
Il y a 8 ans et 4 jours

Extension de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour

L'extension de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour utilise la tuile terre cuite émaillée en façade pour diffuser la bonne luminosité, mais également pour jouer avec les couleurs environnantes.
Il y a 8 ans et 4 jours

Les défenseurs de la clause Molière persistent et signent

TRAVAIL ILLEGAL. Malgré la rédaction d'une instruction interministérielle affirmant que la clause Molière est "illégale", certains de ses promoteurs, en région, vont continuer de la faire appliquer. L'affaire pourrait se terminer devant le tribunal administratif. Explications.
Il y a 8 ans et 4 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L 'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations Photographies :  1) Visuel officiel Révélation 20172) © Photoproevent3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland8) © Photoproevent9) © Photoproevent
Il y a 8 ans et 4 jours

Time renouvelle sa gamme de nacelles VTX

La nacelle Versalift VTX-240 est désormais disponible sur Iveco Daily et Renault Maxity de 3,5 t Euro 6 en plus du traditionnel porteur Mercedes-Benz Sprinter. Cette nouveauté a été dévoilée sur le salon APEX à Amsterdam.
Il y a 8 ans et 4 jours

Soprema Entreprises recrute !

Face au succès de sa 1ère promotion en alternance de conducteurs de travaux, initiée en octobre 2016, Soprema Entreprises a décidé de reconduire la formation pour la rentrée 2017, toujours en partenariat avec le CESI de Strasbourg. La campagne de recrutement est d'ores et déjà lancée. Objectif : 15 nouvelles recrues.
Il y a 8 ans et 4 jours

D'architectures : Dire et faire l'architecture autrement

Les mutations économiques, sociétales et environnementales qui bousculent notre monde depuis déjà quelques décennies, sans que personne ne semble en avoir complètement pris la mesure, s'invitent dans le champ de l'urbain. À la faveur des crises migratoires, de la faillite des États et d'un climat en surchauffe, urbanistes, architectes, acteurs de l'aménagement ou simples citoyens remettent en question la fabrication des territoires telle que nous la pratiquons depuis des décennies.  ÉDITORIAL / Dans le moteur : Hyper-moderno, hyper-organique, hyper-minimaliste, hyper-programmatique, hyper-austère, hyper-brut, hyper-écolo : depuis trois décennies, tous les genres semblent avoir été poussés à leur paroxysme. Notre environnement est-il si hétérogène qu'il produise des causalités différentes au point de générer des formes aussi antinomiques ? Ou ne subissons-nous pas plutôt une débauche de postures dont se parent certains architectes pour gagner des parts de marché ?En réaction à ce catalogue aléatoire des styles et à l'épuisement esthétique qu'il engendre, ne serait-il pas salutaire, pour tenter de retrouver une légitimité aux formes que l'on donne à l'espace, de revenir à deux questions essentielles : dans ce monde en mutation permanente, comment fabriquer l'architecture, le paysage et la ville, et comment en parler ? Quand tout change " les conditions de la commande et de la mise en oeuvre, les impératifs écologiques, l'exigence de processus participatifs ", peut-on encore concevoir selon les mêmes méthodes que pendant la modernité triomphante de la reconstruction ? Assurément non, et c'est ce que la Biennale d'architecture de Lyon entend nous montrer du 8 juin au 9 juillet : accompagnés de nouveaux acteurs, des architectes travaillent déjà autrement. Mais comment rendre compte de ces nouvelles manières d'aborder le projet ? L'équipe de la Biennale a fait le pari un peu fou de nous montrer ces équipes pluridisciplinaires en train d'inventer ou d'expérimenter ces processus. Leur ambition est de nous donner l'opportunité de comprendre in vivo comment leurs projets se concrétisent et d'en rendre compte en direct devant le public. Tout en vous invitant évidemment à participer à cet événement, nous avons voulu dans notre dossier mensuel introduire les enjeux et les questions qui le fondent. Emmanuel Caille Pour en savoir plus, visitez le site de d'architectures
Il y a 8 ans et 4 jours

Fort Boyard ne baisse pas la garde

Les chantiers se poursuivent à Fort Boyard (Charente-Maritime) après la création, en 2016, d'une seconde ouverture, réalisée par les compagnons de Saint-Jacques (La Rochelle) et la Vendéenne de Tôlerie et Mécanique (Fontenay-le-Comte), qui débouche sur la nouvelle plate-forme offshore. Un nouvel héliport et l'autonomie énergétique figurent parmi les projets présentés mercredi 3 mai par le département de la Charente-Maritime.
Il y a 8 ans et 4 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

Pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro. " Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 4 jours

Copenhague Architecture Festival (CAFx) : Architecture as Identity

usqu'au 7 mai et pour la troisième année consécutive, le Danemark célèbre l'architecture avec le festival CAFx. Rencontre avec Josephine Michau, co-commissaire de cet événement rythmé par des conférences, projections de films, workshops, concerts, performances, visites, etc. Une immersion totale au c"ur de l'aménagement bâti et urbain. Muuuz : Comment est né l'idée de ce festival ?Joséphine Michau : C'est Mads Farsø et moi qui avons eu l'idée de cette manifestation architecturale, qui ne présentait à ses débuts que des films, car nous venons tous les deux du monde du documentaire cinématographique. Nous avons découvert l'universde l'architecture un peu par hasard, en distribuant des films traitant de cette thématique, notamment Le rêve de Copenhague de Max Kestner qui a remporté un grand succès ainsi qu'un reportage sur l'architecte et urbaniste Jan Gehl. Ces deux réalisations ont été la première brique du festival.Nous avons alors découvert l'intérêt général suscité par le sujet. Les gens se soucient réellement du développement de leur ville, de la physionomie de leur balcon et du développement de leur quartier, etc. Comment avez-vous alors financé le projet ?Nous avons tout d'abord appelé la municipalité, qui nous a expliqué comment et où trouver les fonds nécessaires. L'événement existe donc actuellement grâce aux dons de nos sponsors, de fondations, de financements publics et de la vente des billets : nous avons eu 13 000 visiteurs l'an passé ! Les films ont par ailleurs été montrés dans les transports en commun et plus de 211 000 personnes les ont visionnés sur la chaîne nationale DR K. Comment êtes-vous arrivés à obtenir un tel rayonnement ?Les premières éditions, 2014 et 2015, se sont cantonnées à Copenhague. Puis, à la demande de professionnels, nous l'avons étendu à la ville d'Aarhus, qui possède une longue tradition architecturale et urbaine, notamment avec la présence d'une importante école d'architecture. Nous avions toujours imaginé intégrer un jour ou l'autre ces villes, mais cela s'est passé plus vite que prévu. Comment choisissez-vous le thème de chaque édition ?Comme je ne suis pas architecte, j'ai une approche très naïve sur le sujet. Cela permet finalement d'ouvrir les thématiques ! Je peux par exemple me demander comment l'architecture affecte mon identité, comment mon corps est relié aux bâtiments. Toutes ces réflexions ont donné la thématique de cette année " Architecture as Identity ". En effet, celle-ci est ressentie à plein de niveaux différents : chez soi, dans un quartier, dans une ville. On a voulu traiter toutes ces échelles, du micro au macro." Architecture as Identity " fait également écho à une part oublié de notre histoire : la colonisation. Car il s'agit cette année des 100 ans de la vente des îles Vierges (Antilles) au Royaume-Uni et aux États-Unis. Nous avons tendance à oublier que le commerce du sucre et la traite des esclaves payait une grande partie de l'aménagement des centres-villes danois ! Nous abordons donc en parallèle le sujet du post-colonialisme dans les banlieues et le statut du modernisme tardif des grands-ensembles qui y ont été construits, comme en France. L'exposition " Never Demolish ! " dirigé par Andreas Ruby, directeur du Musée d'architecture de Bâle, présente ainsi, à la galerie Space 10 de Copenhague et dans un appartement témoin de la banlieue d'Aarhus, une reproduction à l'échelle 1 de ce type de logements, rénové par les agences Lacaton & Vassal, Druot et Hutin à Bordeaux [les trois agences se sont penchées sur la rénovation de 530 logements sociaux, soit 68 000 mètres carrés. Chaque les habitants de chaque logis ont été interrogés afin de connaître et de répondre à leurs besoins. Les habitations ont été thermiquement améliorées et se sont vus adjoindre des jardins d'hiver ou balcon. Le tout, sans que personne n'aient à quitter son chez soi durant les travaux, ndrl].En résumé, le festival est un cadre, un catalyseur pour lancer des discussions ! " Architecture as Identity ", Copenhague Architecture Festival, jusqu'au 7 mai 2017, Copenhague, Aarhus et Aalborg (Danemark) Photographies : Kasper Nybo Photography Pour en savoir plus, visitez le site du Copenhague Architecture Festival et de la Future Architecture Platform
Il y a 8 ans et 4 jours

Hiroshi Nakamura & NAP : Sayama Forest Chapel

L'architecte japonais Hiroshi Nakamura érige une majestueuse chapelle multiconfessionnelle au c"ur d'une forêt de la banlieue de Tokyo. Le temple à la structure épurée et tout en hauteur se situe à côté du cimetière de Sayama, où le maître d'"uvre a conçu un bâtiment permettant d'accueillir les personnes en deuil. Le rapport entre le bâtiment et son environnement est très important dans la culture japonaise, surtout pour des lieux de culte. En effet, traditionnellement, les Nippons ont des croyances animistes et considèrent que la nature possède des qualités spirituelles. De plus, le polythéisme et la fréquentation de différents lieux de culte sont choses courantes au pays du Soleil Levant. Le fait que les sanctuaires soient placés à la lisière d'un bois est une pratique courante. La toiture pentue de l'édifice qui se prolonge jusqu'au sol est une référence à l'architecture traditionnelle des temples shintoïstes. Elle est ici recouverte de plus de 20 000 feuilles d'aluminium de 4 millimètres d'épaisseur. La couverture et les murs de huit mètres de hauteur ne font alors plus qu'un, complétés par de hautes fenêtres, conférant au lieu un air de cathédrale gothique tant sa hauteur sous plafond est élevée. Ce saint site, d'une superficie totale de 110 mètres carrés, comprend une salle de prière dotée d'un autel placé contre une des importantes baies vitrées, dont le sol est légèrement incliné permettant aux fidèles de prier face à la végétation. L'entrée de cet abri triangulaire se fait ainsi côté forêt. L'utilisation de poutres en bois de mélèze renforce ce lien entre architecture et nature. L'élévation des charpentes forme un V inversé rappelant, d'après Hiroshi Nakamura, le geste rituel " gassho-zukuri " qui est effectué par les bouddhistes lorsqu'ils joignent leurs mains devant leur poitrine. " As people pray, so does the architecture " Hiroshi Nakamura Le tout est un endroit à l'abri de la civilisation, parfait pour se recueillir ou pour simplement apprécier le calme de ce lieu spirituel atypique. Photographies : Hiroshi Nakamura & NAPPour en savoir plus, visitez le site de Hiroshi Nakamura & NAP
Il y a 8 ans et 4 jours

Herzog & de Meuron : Feltrinelli Porta Volta

C'est à Milan, Volta Porta, porte historique de la ville, que le cabinet d'architecture suisse Herzog & de Meuron livre deux bâtiments symétriques, dont le plus important abrite la Fondation Giangiacomo Feltrinelli, et le plus petit une partie de la Mairie. L'implantation géographique des bâtiments était primordial pour les dirigeants de cette fondation spécialisée dans la recherche en histoire contemporaine, qui souhaitaient déménager leur siège au nord de la ville. De plus, le choix d'un lieu aussi historiquement chargé que la Porta Volta, dont l'architecture remonte au XVe siècle, n'est pas anodin. Le projet s'inscrit en effet dans un programme plus large de redynamisation de la zone quelque peu délaissée, comprenant la réalisation d'un poumon vert avec promenades et pistes cyclables, et mise en place d'évènements et d'activités. L'empreinte vernaculaire du bâti est telle dans cette zone que Jacques Hergoz et Pierre de Meuron ont choisi de s'inspirer des fermes typiques de la campagne lombarde, très longues et monolithiques, et des bâtiments milanais célèbres tels que l'hôpital Maggiore ou le château Sforzesco. La trame structurelle est ainsi volontairement répétitive, allongée et étroite, et reprend la figure locale du toit à deux pans mais largement vitré. Le rez-de-chaussée du bâtiment Feltrinelli, où prend place la fondation, est occupé par la bibliothèque du même nom. Le premier étage est un espace polyvalent voué à accueillir des projections et des performances artistiques. Les deux niveaux supérieurs abritent quant à eux des bureaux et des salles de conférences. Enfin, tout en haut, se trouve une salle de lecture, équipée de stations de lecture multimédia. Grâce à ce nouveau siège, la Fondation Giangiacomo Feltrinelli espère devenir un centre culturel à part entière et dynamiser le quartier. Photographies : Filippo Romano Pour en savoir plus, visitez le site de Herzog & de Meuron et de la Feltrinelli Porta Volta