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Il y a 4 ans et 258 jours

Nouvelle gamme de béton ciré Plastor : la haute performance au service des revêtements

L'application de mortiers spatulés, coulés ou le réagréage autolissant permet d'obtenir des sols en béton ciré décoratif. Teint dans la masse, le béton ciré est, comme de nombreux revêtements, sensible aux taches, à l'eau et aux poincements. Il est donc essentiel de lui apporter un traitement de protection pour qu'il résiste aux agressions quotidiennes et à l'usure.PLASTOR, spécialiste depuis plus de 50 ans dans la fabrication des finitions pour la protection de sols de toutes natures et concepteur de solutions par et pour des professionnels, a mis au point une gamme complète de produits pour les chantiers béton ciré.Riche de 6 produits, cette nouvelle gamme PLASTOR béton ciré bénéficie des plus récentes innovations pour offrir des performances inégalées en termes de résistance à l'abrasion et aux taches. Facile d'application, elle couvre l'ensemble des besoins, de la préparation du support, la protecion à l'entretien, tout en préservant la santé des professionnels applicateurs et des utilisateurs des locaux. Pour une performance optimale, même dans les pièces où le trafic est intense, la gamme est établie selon un système de sous-couche et de vitrificateur polycarbonate bi-composant.SOLUTION H3Dérochant nettoyant laitancePour obtenir une finition parfaite lorsque les pores de la surface en béton sont totalement fermés, il est recommandé de préparer au préalable le sol, en augmentant sa porosité. Solution H3 de Plastor est un dérochant nettoyant laitance qui va augmenter la porosité du béton pour garantir une meilleure adhérence du système de finition.Idéal pour les supports lisses en béton, il va décrasser et dérocher efficacement les sols.Prêt à l'emploi et facile à utiliser, sa formulation à base d'acide phosphorique dégage une faible odeur lors de l'application.Rendement : 2 à 4 m²/LSéchage entre couche : 24 à 36hConditionnement : 10 LNOUVEAU - PRIM'BÉTON PLUSSous-couche d'accrochagePour permettre un système complet de vitrification en phase aqueuse sur tous les types de mortiers décoratifs (mortier millimétrique spatulé, mortier millimétrique coulé, ragréage autolissant* ou sols en ciment, béton) et assurer une accroche durable du vernis de finition, Plastor a développé le primaire PRIM'BÉTON PLUS.Anti-poussière, cette sous-couche d'accrochage va bloquer l'alcalinité, la laitance et la porosité des mortiers, et consolider les supports en fermant les pores. Il permet au béton de conserver sa teinte initiale après vitrification.Sa formulation fluide assure une application uniforme aisée, limite les traces lors de l'application et régularise l'absorption de la finition par le support.Classé A+, PRIM'BÉTON PLUS convient aux surfaces verticales et horizontales en intérieur, salle de bains (hors bacs de douche et surfaces avec eaux stagnantes).Rendement : 1 L= 10 m² par couche ** Conditionnement : 1 L - 5 LRecouvrable : 3 à 5 h*déclaré peignable par le fabricant ** Variable selon la porosité du support.NOUVEAU - DUOPUR-T BLe vernis très haute protectionPour protéger de toutes les agressions, les finitions effet béton ciré des surfaces verticales et horizontales, sur mortier brut en pose coulée ou spatulée, Plastor a mis au point un vernis bi-composant haute performance : DUOPUR-T B.Ce vernis en phase aqueuse à base de polycarbonate garantit au mortier décoratif une résistance exceptionnelle à l'usure, à l'abrasion et aux trafics les plus intenses.Imperméable à l'eau, il offre une barrière anti-taches et anti-UV inégalée, et est idéal pour protéger les sols, les murs, salle de bains (hors bacs de douche et surfaces avec eaux stagnantes)...Classé A+, DUOPUR-T B est incolore. Facile à appliquer, il donne un aspect tendance, sans effet mouillé au béton ciré. Il est disponible en 2 aspects : mat et satiné.Rendement : 12 m² / LSéchage entre couche : 3 à 5hExiste en kit de 5 litres (4L de résine + 1L de durcisseur)kit de 1L (0,8L de résine + 0,2L de durcisseur)Il existe également la peinture de sols PU35 PLASTOR. Cette peinture polyuréthane spéciale sol bi-composante en phase solvant est idéale pour décorer les intérieurs comme extérieurs (garage, escalier, parking...) sur du ciment, béton, bois, polyester... Elle est d'une résistance extrême à l'abrasion, à l'usure et aux chocs, et d'un fort pouvoir couvrant. Elle est disponible en 210 couleurs RAL disponibles sur demande.NETTOYANT SOLSPour l'entretien quotidienPour préserver durablement la beauté des bétons cirés et la qualité de la finition, Plastor propose le Nettoyant sols. Idéal pour l'entretien régulier ou au quotidien des mortiers décoratifs et des sols en béton ciré, ce nettoyant élimine efficacement les taches et les salissures, sans agresser le support.Grâce à sa formulation contenant des agents anti-statiques, il retarde le dépôt de poussière sur la surface et empêche la saleté de s'inscruster.Pratique, il ne nécessite pas de rinçage et ne laisse aucune trace. Il s'applique avec une serpillière microfibre ou unbalai éponge, et diffuse une agréable odeur de frais sur son passage. Il est disponible en spray prêt à l'emploi pour les petites surfaces ou en bidon (1 L) concentré à diluer pour les plus grandes surfaces.Le Nettoyant sols convient également au nettoyage des revêtements de sols intérieurs en plastique et stratifiés.Rendement : 50 m²/LConditionnement : 400 ml - 1 LCIRE MÉTALLISANTERavive les surfaces, estompe les rayuresPour protéger durablement les finitions de mortiers type béton ciré de l'usure et des taches du quotidien, Plastor a élaboré une Cire métallisante.Sa formulation, une émulsion non glissante, dépose un film protecteur non jaunissant sur le vernis. Elle prolonge ainsi la durée de vie du film de la finition en le protégeant de l'usure (abrasion, rayures). Elle ravive également les sols ternis et estompe les rayures superficielles.De classe A+, la Cire métallisante Plastor est facile à utiliser grâce à sa formulation prête à l'emploi.Véritablement nourrissante, elle offre une seconde jeunesse aux finitions de mortiers qui perdent leur éclat. Elle s'applique en 1 ou 2 couches à l'aide d'une microfibre ou d'un balai éponge, et est disponible en aspect mat ou satiné.Rendement : 50m²/ LConditionnement : 1LSéchage entre couche : 30 à 60 minutes
Il y a 4 ans et 261 jours

Hellio fait le point sur les chantiers politiques et réglementaires de la rentrée

« Le secteur de la rénovation énergétique était une priorité de l'acte 2 du quinquennat : il le sera davantage dans l'acte 3. Cette rentrée en est la preuve, nous serons aux côtés de nos publics artisans, particuliers, territoires pour intégrer ces changements et ces opportunités. C'est le moment pour réaliser des travaux d'économies d'énergie », commente Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques.1/ Projet de loi de finances 2021 : du nouveau dans les aides à la rénovation énergétique (rénovation globale, CITE et Ma Prime Rénov'…)Emmanuelle Wargon, la ministre déléguée au logement, l'annonçait dans les lignes du Parisien le 30 août 2020 : la rénovation globale deviendra une priorité pour la rénovation énergétique de l'habitat. “Un ménage de la classe moyenne qui fait une rénovation complète en divisant par près de 4 sa consommation (…) pourra prétendre à une aide d'environ 20.000 €”.De quoi donner des sueurs froides au futur projet de loi finances. En effet, comme chaque année, la rentrée de septembre rime avec loi de finances publiques. Elle a pour but de donner une ligne de conduite. Les promoteurs y seront attentifs car elle donnera des précisions quant au plan de relance de 100 milliards d'euros promis par le gouvernement, mais aussi les nouvelles modalités d'application du prêt à taux zéro.Dans une audition à l'Assemblée Nationale du 21 juillet 2020, Emmanuelle Wargon a annoncé que le dispositif Ma Prime Renov' sera accessible en 2021 à tous les ménages qui souhaitent financer leurs travaux de rénovation énergétique, et ce, sans conditions de revenus. Cela signifie que les ménages les plus aisés, qui étaient exclus du dispositif entré progressivement en vigueur le 1er janvier 2020, pourront y prétendre dès l'an prochain. Pour l'heure, seuls les ménages « très modestes » et « modestes » peuvent solliciter Ma Prime Renov'. Selon le calendrier initialement établi, les ménages aux revenus intermédiaires devaient pouvoir en bénéficier à leur tour à partir de 2021.Autre nouveauté annoncée par Emmanuelle Wargon : l'ouverture de Ma Prime Rénov' aux propriétaires bailleurs (et non plus seulement aux propriétaires occupant leur logement), ainsi qu'aux travaux en copropriété.2/ L'application de la loi sur l'encadrement du démarchage téléphoniqueCette loi,votée en juillet 2020, prévoit l'interdiction de la prospection téléphonique pour les travaux de rénovation énergétique et les travaux d'installation d'équipements produisant de l'énergie renouvelable, sauf pour les sollicitations intervenant dans le cadre de l'exécution d'un contrat en cours. Elle instaure également un identifiant d'appel obligatoire, sous forme d'un préfixe, pour toutes les démarches commerciales par téléphone. Objectif : permettre au consommateur d'identifier de façon claire, la nature de l'appel qu'il reçoit.Un décret est prévu après avis du Conseil national de la consommation. Il déterminera pour tous les autres secteurs d'activité les jours et horaires ainsi que la fréquence auxquels cette prospection est autorisée. De plus, les professionnels devront indiquer au consommateur qu'il peut s'inscrire gratuitement sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique pour ne plus recevoir d'appels de prospection.Les sanctions ont, elles, été durcies. En effet, des amendes administratives seront prononcées par la Direction de la répression des fraudes (DGCCRF) et on comptera jusqu'à 75.000 € pour des personnes physiques, contre 3.000 € actuellement et 375.000 € pour les entreprises, contre 15.000 € aujourd'hui.3/ Une nouvelle charte « qualité » pour le dispositif Coup de Pouce IsolationDepuis le 1er septembre 2020, une nouvelle charte Coup de Pouce Isolation est entrée en vigueur. La prime pour l'isolation d'un plancher bas est désormais abaissée à 20 € par mètre carré d'isolant pour les ménages modestes et très modestes et 10 € par mètre carré d'isolant pour les autres ménages.Par ailleurs, un délai obligatoire de 7 jours est instauré entre la date de signature des devis et la pose de l'isolant et l'Attestation sur l'Honneur devra indiquer la date de la pose de l'isolant pour être valable. Pour que la facture soit conforme, elle devra contenir les dispositions nécessaires à la mise en place de l'isolation :Un coffrage ou un écran de protection autour des conduits de fumées et des dispositifs d'éclairage encastrés ;Une réhausse rigide au-dessus de la trappe d'accès ;Un pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu'il est nécessaire de protéger les matériaux d'isolation thermique contre les transferts d'humidité pour garantir la performance de l'ouvrage.4/ Le renforcement des contrôles RGE pour les artisans du secteurLe label RGE est l'une des principales conditions pour le versement des aides à la rénovation énergétique (Eco PTZ, Ma Prime Rénov, Certificats d'Économies d'Énergie). La réforme du label RGE a été publiée le 6 juin 2020 par un arrêté et un décret.Elle vient donc renforcer les critères de qualification demandés pour obtenir le label afin de mieux lutter contre les fraudes. Les changements se feront en deux temps. Dès le 1er janvier 2021 la nouvelle nomenclature des travaux, et dès le 1er septembre, on notera un renforcement et une multiplication des contrôles par les organismes de qualification, une plus grande transparence sur des informations relatives aux chantiers ou encore une suspension systématique de la certification en cas de non-conformité aux règles établies.5/ La matérialisation des 149 propositions de la Convention Citoyenne pour le ClimatUn projet de loi spécifique sera présenté à la fin du mois de septembre pour donner corps aux mesures qui relèvent du législatif. À l'exception de trois « jokers », toutes les propositions seront détaillées dans le projet de loi. Celles relevant du réglementaire ont été traitées lors du Conseil de défense écologique de fin juillet, notamment l'entrée en vigueur du décret « décence » pour 2023, la fin des chaudières au fioul et au charbon, et le renforcement des aides à la rénovation.D'autres feront partie du plan de relance économique, notamment les 15 milliards d'euros supplémentaires destinés à la rénovation, la mobilité, l'industrie de demain, les énergies renouvelables, etc. Les mesures sur l'efficacité et la rénovation énergétique des bâtiments, l'urbanisme et l'artificialisation des sols ou encore les mobilités, relèvent des compétences des collectivités. Emmanuel Macron a souligné qu'elles nécessitent un dialogue avec les maires et élus locaux.
Il y a 4 ans et 261 jours

France Relance, un plan en trois volets

Jean Castex présente France Relance, le plan de relance économique. [DR] Après avoir mis la « considération sanitaire au-dessus de l’économie », selon les mots du Premier ministre Jean Castex, le gouvernement présente son plan de relance pour le pays. Baptisé France Relance, ce plan dispose d’une enveloppe de 100 Md€. « Nous passons à une consolidation offensive de l’économie », poursuit le Premier ministre. L’objectif ici est de retrouver d’ici 2022 le niveau de richesse d’avant la crise sanitaire. France Relance repose sur 3 leviers : atténuer les effets de la récession pour les entreprises et les salariés, combattre et réduire les morsures de la crise dans le pacte social et territorial. Et enfin, accélérer la transformation “verte” de l’économie. Concernant le 1er volet de ce plan, le gouvernement prévoit, d’une part, pour un budget de 34 Md€, de soutenir les entreprises « pour 74 % des TPE, PME et ETI », précise Jean Castex. Via des baisses d’impôts de production ou encore, en renforçant les fonds propres. Et d’autre part, en engageant une politique de relocalisation industrielle. Une transformation verte La recherche sera encouragée avec un renforcement des moyens de l’Agence nationale de la recherche (ANR). Et des aides à l’innovation Projets d’innovation des filières stratégiques (PIA). L’objectif “cohésion” sociale et territoriale disposerait d’une enveloppe de 36 Md€. Maintien de l’activité partielle de longue durée pour les secteurs en difficulté, formation des jeunes, développement du numérique sur le territoire… Le plan s’intéresse à plusieurs thématiques. Le gouvernement attribue aussi 3 Md€ dans un plan de relance de la Banque des territoires pour la construction de logement social et de fonciers pour les petits commerces. L’écologie se verra octroyer 30 Md€. « C’est un pas de géant pour la transition écologique, explique Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Nous avons fait le choix de la relance “verte”. » Comme Emmanuelle Wargon l’avait dévoilé [Lire notre article], 6,7 Md€ seront départis à la rénovation énergétique. Dont 4 Md€ pour la rénovation des bâtiments publics, 500 M€ pour les logements sociaux et 200 M€ pour les TPE et PME. Enfin, 2 Md€ seront prévus pour le dispositif MaPrimeRénov’. Une aide qui sera désormais accessible à tous. A travers la rénovation, le gouvernement entend accélérer le développement des filières matériaux locaux et biosourcés. Booster la rénovation énergétique des bâtiments Avec la Stratégie bas carbone et l’objectif de neutralité carbone, l’Etat prend des mesures pour « une économie décarbonée », selon les mots de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie. Ainsi, France Relance prévoit de renforcer l’industrie ferroviaire et notamment, le fret. Le développement des technologies vertes a aussi sa place. « Nous comptons investir 2 Md€ dans l’hydrogène vert », complète Barbara Pompili. Pour développer et être indépendant dans cette technologie. Le gouvernement compte opérer une « décarbonation de notre industrie », reprend Bruno Le Maire. Ainsi, l’Etat pourrait prendre en charge les coûts de transformation industrielle pour les sites, qui émettraient le plus de CO2 sur le territoire. Par ailleurs, 2 Md€ seront impartis au développement de l’économie circulaire. Sont concernés le traitement des déchets, le renforcement et la modernisation des centres de tri, le recyclage et la valorisation des déchets… Enfin, 650 M€ seront attribués pour la densification et le renouvellement urbain. Avec notamment la réhabilitation des friches et une aide aux maires pour la densification de l’habitat. Des annonces accueillies de façon nuancée Dans le monde du bâtiment, les réactions ne se sont pas faites attendre. Pour la FFB, ces annonces sont à nuancer. « L’engagement résolu du gouvernement en faveur de la rénovation énergétique doit être salué, déclare Olivier Salleron, président de la fédération. La profession est prête à y répondre et à mobiliser son appareil de formation. Reste à s’assurer du détail des mesures annoncées. Ainsi que de leur entrée en vigueur. Mais surtout, la FFB, très inquiète du décrochage du neuf, réitère sa demande d’un soutien fort. Et immédiat à la construction de logements, qui manque encore dans France Relance. Cela passe notamment par un retour au Prêt à taux zéro à 40 % pour toutes les zones et par une prolongation du Pinel au-delà de 2021. Construire des logements pour tous permet aussi de préserver l’emploi dans un secteur, qui a toujours accueilli et formé les bâtisseurs du quotidien. » Quid de la construction neuve ? Même son de cloche pour la LCA-FFB, qui s’étonne du manque de soutien pour le logement neuf. « La crise de la Covid-19, conjuguée aux effets concrets des recommandations du Haut conseil de stabilité financière, a provoqué un sérieux décrochage des ventes de logements neufs, explique Grégory Monod, président de la LCA-FFB. [Une situation], dont le gouvernement n’a pas pris la pleine mesure. Des solutions immédiates et à prise rapide s’avèrent indispensables pour “solvabiliser” les ménages. Mais aussi, séduire les investisseurs pour mobiliser l’importante épargne privée disponible, restaurer nos marchés et préserver l’emploi du secteur. A l’image du Prêt à taux zéro à 40 % sur tout le territoire, du rétablissement de l’APL Accession, du renforcement et de la prolongation du dispositif Pinel. Des outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé. Et qui participent aux grands objectifs de France relance : écologie, compétitivité et cohésion. » En attente du projet de loi Finance 2021 De son côté, la FNTP félicite « une grande ambition pour les infrastructures vertes ». Mais reste « suspendu à son [le plan] exécution rapide ». Pour la fédération, deux conditions doivent être nécessaires pour l’application de ce plan pour les travaux publics. D’une part, que la majorité des crédits soient dédiés à l’investissement. D’autre part, que les crédits affichés soient consommés dans les deux années à venir. Enfin, la FNTP attend la présentation du projet de loi de finances pour 2021 pour s’assurer de la juste retranscription de l’ensemble des postes budgétaires supplémentaires annoncés hier. « Nos entreprises sont prêtes à relever le défi », affirme Bruno Cavagné, président de la FNTP. Le Cinov déplore un plan insuffisant pour les TPE/PME et regrette le déséquilibre qui semble s’instaurer entre les aides fiscales accordées aux grands groupes et la timidité des mesures en leur faveur. Dont « la valeur ajoutée induite par leur ancrage territorial constitue un atout majeur pour l’économie ». La fédération Cinov met en garde sur les mesures fiscales. Si la baisse des impôts de production est une bonne chose, il ne faut pas qu’elle impacte les collectivités, principales bénéficiaires. Comment et quand ? Ni qu’elle ne joue en défaveur des dépenses d’investissements. « Nous appelons à revoir en profondeur la méthode avec laquelle seront appliquées les différentes mesures, déclare Frédéric Lafage, président du Cinov. On ne saurait obtenir des résultats différents, en appliquant les recettes du passé ! Il faudra s’assurer de la pérennité des investissements engagés. De la viabilité des contreparties exigées. Et réclamer une garantie de résultats. Notamment, en ce qui concerne la rénovation énergétique. Via des indicateurs de performance pour lesquels Cinov s’engage à être force de proposition. » Enfin, pendant son allocution, le Premier ministre a insisté sur le caractère exceptionnel du montant de France Relance. Reste à savoir comment ce plan va se traduire dans les faits et surtout à quel moment ? Sivagami Casimir
Il y a 4 ans et 262 jours

Entretien des pompes à chaleur : un nouveau marché pour la maintenance

Un décret et un arrêté d’application ont créé l’obligation d’entretenir les pompes à chaleur tous les deux ans. Cela ouvre un nouveau marché pour les entreprises de maintenance.
Il y a 4 ans et 262 jours

La solution coupe-feu Ytong Compact 20 au cœur du spectaculaire projet Steel à Saint-Etienne

D’une architecture spectaculaire avec un design contemporain et graphique, Steel veut devenir référent en matière d’urbanisme, en réinventant l’entrée de ville. Le chantier a pris du retard avec la crise de la COVID-19 et sa livraison est prévue pour septembre 2020.Le maître d’ouvrage Apsys, lauréat du concours organisé par l’EPASE (Etablissement Public d’aménagement de Saint-Etienne) est à l’origine de cet audacieux projet qui associe 52.000 m² de surfaces commerciales - avec près de 70 enseignes, restaurants et loisirs - et 37.000 m² d’espaces verts. Visible depuis la rocade d’autoroute, grâce à son unique et gigantesque toiture résille en aluminium recyclé qui épouse le paysage urbain stéphanois, le futur centre commercial Steel veut offrir un lieu de vie inédit.Conçu dans une démarche paysagère et environnementale, ce projet se veut responsable en termes de consommation d’énergie, avec un objectif d’isolation des espaces commerciaux supérieur de 20% à la Réglementation Thermique en vigueur, et vise les certifications environnementales telles que BREEAM* Very Good (en conception), BREEAM* In use (en exploitation) et le label Biodiverticity.Sur ce type d’ERP, la réglementation relative à la protection incendie est très exigeante. Elle prévoit notamment des dispositions constructives particulières pour limiter la propagation du feu et des fumées.Parmi les matériaux et solutions techniques choisis dans ce chantier d’exception, les solutions coupe-feu Xella ont été retenues pour le cloisonnement des cellules commerciales et des locaux techniques. Les entreprises partenaires du chantier - Civez, Sopreco et Chenaud Bâtiment - qui ont l’habitude de poser du béton cellulaire, ont privilégié le bloc Ytong Compact 20. Ses hautes performances au feu, ses propriétés physiques et thermiques, sa légèreté et sa facilité de pose ont été des atouts décisifs. Ce ne sont pas moins de 550 m3 soit près de 2800 m2 de murs séparatifs coupe-feu Ytong qui ont été posés dans les différentes zones commerciales du Steel.*(Building Research Establishment Environnment Assessment Method)Murs coupe-feu YtongLe choix de la haute performance au feuSelon le cahier des charges très strict du chantier Steel en matière de sécurité, et pour respecter la réglementation incendie il fallait, pour le cloisonnement des différents commerces, des murs séparatifs coupe-feu de 2H sur des hauteurs allant jusqu’à 8 m. Sous les conseils du service technique Xella, les maîtres d'œuvre ont opté pour le bloc Ytong Compact 20 de résistance au feu EI240.Grâce à ses propriétés thermiques, ses excellents résultats en termes de résistance au feu jusqu’à 16 m de hauteur, il a parfaitement répondu aux contraintes du chantier.La meilleure réaction au feuLe bloc Ytong Compact 20 est classé A1 « matériaux non combustible ». Il n’alimentera pas le feu et limitera la propagation des flammes. De plus, il ne dégage ni fumée toxique, ni gaz, et ne se déforme pas sous la chaleur.La meilleure résistance au feuLe béton cellulaire Ytong Compact 20 limite l’élévation de la température dans les locaux adjacents à :30°C au bout de 1h3070°C au bout de 4hLes atouts légèreté et facilité de poseSur des chantiers d’envergure comme le Steel, où les surfaces à cloisonner sont très importantes, le choix du matériau a toute son importance pour le montage des murs. Faciles à mettre en œuvre, à manipuler et à découper, les murs séparatifs coupe-feu Ytong en béton cellulaire sont une véritable solution gain de temps. Avec 6,4 blocs au m², ils assurent une pose plus rapide.Les blocs Ytong comptent parmi les plus légers du marché. Et la légèreté du matériau est cruciale comme le souligne Eric Chenaud de l’entreprise Chenaud Bâtiment « Nous sommes intervenus sur l’une des enseignes du centre commercial Steel pour laquelle nous avons posé 250 m² d’Ytong Compact 20. Son faible poids (93,5 kg/m²) a permis de répondre à la contrainte de surcharge linéique des murs séparatifs sur les dalles. »Une réponse environnementaleLe Steel est un projet qui vise de nombreuses certifications comme le BREEAM et le label Biodivercity. Le mur séparatif coupe-feu Ytong Compact 20 s’inscrit parfaitement dans cette logique puisque c’est un matériau sain. Ytong Compact 20, dont la fiche FDES est disponible sur la base INIES, est fabriqué en partie à base de matières recyclées (à hauteur de 25 %) au sein d’unités de production certifiées ISO 14001.Une présence soutenue du service technique XellaPrésent à chaque phase, de la prescription auprès du bureau d’études au suivi de chantier pour la mise en œuvre, le service technique Xella a accompagné et guidé les différents intervenants de ce chantier hors-norme.En témoigne Julie Correia Ingénieure commerciale Xella « Nous sommes intervenus auprès du maître d'œuvre avec notre bureau d’études pour définir et valider avec lui les meilleures solutions techniques en termes de performances coupe-feu, thermiques et mécaniques en fonction du cahier des charges. Nous avons également soutenu les entreprises partenaires Civez, Sopreco, Chenaud Bâtiment… sur l’offre technique et tarifaire afin qu’ils puissent élaborer le DCE (Dossier de consultation des entreprises) et répondent au mieux à l’appel d’offre. Nous étions là aussi pour assurer avec eux le suivi de chantier dans les étapes de pose, afin que le produit soit mis en œuvre selon les règles de l’art. Enfin, nous avons été présents pour nos partenaires distributeurs, afin de répondre à leurs questions. »Les solutions coupe-feu Xella présentent dans de nombreuses références prestigieusesLes hautes performances techniques, mécaniques et environnementales des solutions constructives coupe-feu Xella ont été décisives dans de nombreux chantiers références, aussi étonnants que prestigieux.Ainsi, ce sont près de 4.000 m² d’Ytong Compact 20 qui ont cloisonné les boutiques et restaurants du centre commercial Lillenium à Lille, 8.500 m² de murs séparatifs Ytong Compact 15 et Ytong Compact 20 qui ont été posés dans le centre commercial Muse à Metz, 11.200 m² d’Ytong Compact 20 dans le centre commercial Open Sky de Plaisirs…Autant de projets où la résistance au feu, la facilité de pose, la légèreté du matériau et l’accompagnement technique ont fait la différence.Une large gamme de solutions de protection incendie coupe-feuPour la protection incendie, Xella propose une gamme de cloisons et murs séparatifs coupe-feu hautes performances avec de nombreux PV de 1h30 à 4h et d’une hauteur de stabilité au feu jusqu’à 16 m.Des cloisons Carreau 7 et Carreau 10De la maçonnerie chaînée avec : Ytong Compact 15/20Modulbloc 20De la maçonnerie armée avec : Ytong Compact 15/20 avec armature YtoforMaxibloc/Gigabloc 15/20 avec armature acier HA10
Il y a 4 ans et 263 jours

Architect@Work, la 13e édition les 24 et 25 septembre 2020

ARCHITECT AT WORK ARCHITECT MEETS INNOVATIONS PARIS EVENT CENTER –  13ème édition Jeudi 24 & vendredi 25 septembre 2020 Thème édition 2020 : ESPACES DE VIE   La 13ième édition d’ARCHITECT@WORK PARIS ouvrira ses portes les 24 & 25 septembre prochains.  Cet événement a sélectionné à nouveau plus de 700 nouveaux produits présentés par 220 industriels participants.  Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Plus d’info sur www.architectatwork.fr Un concept unique et haut de gamme Evénement réservé exclusivement aux architectes et architectes d’intérieur, ARCHITECT@WORK dispose d’une scénographie originale qui lui confère une atmosphère feutrée et raffinée.  Cet événement s’inscrit dans une démarche hautement qualitative. C’est en effet un comité de sélection qui choisit les nouveautés des industriels qui peuvent être présentées. Cette procédure apporte, pour le visiteur, la garantie de réaliser une visite enrichissante. En outre, des boissons et en-cas sont à disposition toute la journée ; une attention fort appréciée de tous ! Exposition matériaux – MATERI’HOME, des matières à vivre – Hall A Parce que le choix d’un matériau ou d’une technique de fabrication est déterminant dans l’aménagement de nos espaces de vie, l’équipe Innovathèque vous invite à venir découvrir une sélection de matières variées pour concevoir vos intérieurs. Avec le développement du télétravail, nous passons de plus en plus de temps dans notre habitat. Il est donc primordial d’aménager des environnements à notre image qui s’adaptent à nos modes de vie et nos envies.  Matières tactiles et connectées qui ouvrent la voie à de nouveaux usages, matières alvéolaires légères et systèmes d’assemblage innovants pour plus de modularité dans l’habitat, matières recyclées alternatives à nos matériaux traditionnels, matières qui préservent l’environnement et la santé, matières qui jouent avec nos sens…Autant de solutions techniques et esthétiques qui participent à réinventer l’aménagement intérieur pour favoriser notre bien-être.  Exposition photographique : SELECTION OF PROJECTS – Hall A Le Project Wall ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera la diversité du travail des agences membres de World-Architects. Alors que les deux premières expositions portaient exclusivement sur le travail d’architectes, la sélection de 2020 montrera l’orientation interdisciplinaire de World-Architects.  World Architects.com – Profiles of Selected Architects est une plateforme de la scène architecturale actuelle, soigneusement élaborée et reconnue à l’échelle internationale, qui met l’accent sur l’architecture contemporaine. Elle rassemble des architectes, paysagistes, ingénieurs, designers, concepteurs d’éclairage et photographes. Exposition photographique – Lauréats DUO@WORK 2014-2019 – Hall B Dans le cadre de cette 12ème édition, le Comité de pilotage a souhaité présenter les lauréats des 6 premières éditions du concours DUO@WORK    organisé par l’UNSFA Ile-de-France-.  Ce prix distingue les projets qui associent, en étroite complémentarité, recherche architecturale et création industrielle innovante. Tout projet est éligible dès lors qu’il est le résultat d’un parcours concerté, entre un architecte et un industriel, en matière de réflexion, d’invention, de création ou d’adaptation d’un produit, ou d’un ensemble de produits. Les projets présentés sont récents, en cours d’élaboration ou de mise en œuvre.  A noter que le lancement de la 7ième édition de ce concours aura lieu à l’occasion de l’inauguration officielle d’ARCHITECT@WORK 2020. Exposition ACCESSIBILITÉ SÉCURISÉE – Hall A Que cela soit dans la rue, dans des lieux publics, dans un restaurant, un hôtel ou chez soi, l’accessibilité est au cœur des débats depuis la loi de 2015, Handicap 15. Les personnes en situation de handicap sont enfin reconnues car elles sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Il élargit aujourd’hui sa réflexion à la prévention de la propagation d’une maladie virale qui voit le retour du cuivre, un métal qui neutralise tous les virus d’une façon naturelle et efficace. Interventions – Hall B En complément de ces expositions, des interventions d’architectes et de spécialistes principalement axées sur le thème ‘ESPACES DE VIE’. A noter : – une Carte Blanche Archinov dédiée à l’architecte Daniel Meszaros, agence Projectiles (musée de Lodève, musée du folklore wallon, Galerie d’histoire au Château de Versailles..)  – une table ronde ayant pour titre ‘Espaces d’après’ avec les architectes David Enon -agence TVK-, Sophie Delhay, Équerre d’Argent 2019, catégorie Habitat,, et Sarah Wertheimer-Vateau, Fondatrice chez De La Friche Au Projet. – une intervention de Jac Fol, Docteur en philosophie, architecte et chercheur à l’ENSA Paris-Malaquais. Pièces artistiques Faisant à nouveau le lien entre l’art et l’architecture, ARCHITECT@WORK Paris 2020 présentera des réalisations de la plasticienne Nathalie Camoin-Chanet. A la fois fine et puissante, révélant une subtile maitrise des lignes ondulatoires, la sculpture de Nathalie Camoin-Chanet est au croisement de deux influences qui laissent s’épanouir des œuvres aux lignes épurées vers une dynamique abstractive. La maîtrise des matériaux composites lui permet de projeter ses visions aériennes qui l’emmènent le plus souvent à exposer en extérieur. Les sculptures de Nathalie Camoin-Chanet sont paysage, le témoignage d’un flux de données contextuelles qui investit les lieux tant par les formes qu’il propose que par les histoires qu’il invente. ARCHITECT@WORK 2020 vous réserve un programme riche et animé, avec de nombreux nouveaux produits à découvrir et ce, dans un environnement sain et sécurisé.  PARIS EVENT CENTER – 24 & 25 septembre – 13ème édition Jeudi 24 septembre 2020 – 10h00 – 20h00 Vendredi 25 septembre 2020 – 10h00 – 19h00  
Il y a 4 ans et 263 jours

Du tourisme au logement, premier état des lieux post-catastrophe au Liban

LogementL'explosion a affecté 351.000 habitants de Beyrouth. Sur les 171.887 logements passés en revue par l'étude, 8% ont été complètement détruits, 15% en partie mais 49% ont été épargnés.Les pertes sont estimées entre 1 et 1,2 milliard de dollars, "ce qui reflète la forte proportion de locataires dans la population et les loyers élevés de la ville", selon la Banque mondiale. Les besoins liés à l'hébergement d'urgence et à la reconstruction sont, eux, chiffrés entre 220 et 265 millions.ÉducationDix établissements scolaires ont été entièrement détruits, et 10 millions de dollars sont nécessaires pour rouvrir au plus tôt les écoles, mais le principal défi réside dans l'accélération du transfert, déjà massif avant l'explosion, d'élèves de l'enseignement privé vers l'enseignement public, sans parler des risques de décrochage.Culture et patrimoineL'explosion a dévasté le centre historique de Beyrouth, endommageant 240 édifices religieux, 11 monuments nationaux, 9 théâtres et cinémas, 6 musées, 24 des 25 bibliothèques et archives, 64 galeries d'art... Au total, 652 des 755 immeubles classés ("heritage building") ont été endommagés.En outre, 713 entreprises (sur les 850 évaluées) liées au secteur de la culture ont été affectées à des degrés divers, au risque d'un "exode permanent". En effet, "chaque entreprise, galerie et lieu culturel (...) fournissait en moyenne cinq emplois à temps plein, principalement à des jeunes", note le rapport.Les dégâts matériels sont évalués entre 1 et 1,2 milliard, et les pertes économiques entre 250 et 310 millions de dollars. A très court terme, la Banque mondiale chiffre les besoins de reconstruction à 250-310 millions, mais ce montant devrait être "multiplié par cinq" au bout du compte.Port et transportsL'explosion au port de Beyrouth a provoqué "sept naufrages" et d'importants dommages, dont la destruction d'un "silo de 120.000 tonnes qui contenait 15.000 tonnes de grains au moment de l'explosion", 157.000 m2 d'entrepôts, 373 conteneurs pleins. La destruction des silos, "utilisés pour stocker les réserves de céréales", met en danger la "sécurité alimentaire", note le rapport.Cependant, "alors que le terminal cargo a été fortement endommagé, le terminal à conteneurs (...) est déjà de nouveau en service, et deux navires ont pu accoster à peine une semaine après l'accident".Enfin, 40 bus du réseau de transport public ont été détruits, ainsi que 430 voitures et 1,5 km de routes.Si les dommages et pertes sont estimées à 1,55 milliard, la Banque mondiale chiffre à 520 millions de dollars les sommes nécessaires à la remise en état de l'infrastructure portuaire, tout en appelant à un "changement profond" afin de bâtir un "secteur portuaire moderne, efficace et transparent, susceptible d'être un moteur" de la future croissance libanaise.Énergie, eauL'explosion a mis à mal le réseau électrique et détruit de nombreux bâtiments de la compagnie Électricité du Liban, ainsi que le siège du ministère de l'Énergie. En revanche, le réseau d'eau et d'assainissement a été "touché, mais les installations fonctionnent encore dans une certaine mesure".Commerce et industriePlus de la moitié (56%) des commerces et industries ont été endommagés, pour moitié des magasins de vêtements ou d'ameublement, pour un montant évalué à 125 millions de dollars, auxquels s'ajoutent jusqu'à 345 millions d'euros de pertes d'exploitation.La déflagration s'est produite "à un moment où les conditions financières des entreprises étaient déjà très tendues, et les moyens de subsistance des employés menacés".En revanche, seules 12% des agences bancaires de la ville ont été détruites, et le service bancaire n'a pas été très perturbé.TourismeLe secteur accuse 440 millions de dommages et pertes, selon l'estimation haute. Près de la moitié (49%) des entreprises touristiques ont été affectées, soit 2.540 établissements, dont des bars, hôtels, restaurants, agences de voyage, locations meublées. Sur ce total, 15% ont été anéantis.Les restaurants paient le prix le plus élevé en valeur mais 80% des bars, des pâtisseries et des boîtes de nuit ont été pulvérisés. "On estime qu'un employé sur cinq a perdu son travail", note la Banque mondiale, pour qui "relancer le tourisme est une priorité pour la relance de l'économie locale".
Il y a 4 ans et 263 jours

DuPont Sustainable Solutions célèbre son 1er anniversaire en tant que conseil indépendant

DuPont Sustainable Solutions célèbre son 1er anniversaire en tant que conseil indépendant La société présente une solide performance pour sa 1ère année d’activité et élargir son expertise digitale pour nourrir sa croissance future GENÈVE, Suisse – 1er septembre 2020 – Dupont Sustainable Solutions (DSS) célèbre son premier anniversaire en tant que cabinet de conseil indépendant spécialisé en sécurité industrielle, excellence opérationnelle et gestion des risques suite à sa séparation de DuPont. Toujours plus agile et mieux positionnée pour fournir à ses clients des solutions innovantes, DSS s’appuie sur une solide réputation d’excellence depuis 1968 pour aider ses clients à toujours mieux protéger leurs employés et leurs infrastructures, améliorer l’efficacité de leurs opérations, innover plus rapidement et faire progresser les capacités de leurs équipes, grâce aux nouvelles technologies. « Je suis très fier de tout ce que DSS a accompli au cours de l’année passée pour nos clients et nos collaborateurs en tant qu’entreprise indépendante » a déclaré Davide Vassalo, CEO de DuPont Sustainable Solutions. « Malgré les difficultés liées à la pandémie de COVID-19, DSS a prospéré, innové, résolu avec succès les défis rencontrés par ses clients et s’est positionnée de façon à leur offrir des résultats durables dans le futur. Je suis enthousiaste par ce que l’avenir nous réserve, et au nom des employés de DSS présents dans le monde entier, je voudrais remercier nos clients pour leur confiance durant cette première année ». Durant l’année passée, DSS a réalisé : • Une solide croissance et performance financière DSS a enregistré une augmentation de 8% de ses revenus en glissement annuel au cours de ses six premiers mois d’activité en tant qu’entreprise indépendante et a augmenté le nombre total d’employés dans le monde de 7%. DSS compte aujourd’hui plus de 900 salariés répartis dans 38 bureaux à travers le monde. • Des acquisitions stratégiques pour accroître son expertise sectorielle DSS a renforcé ses capacités et ses offres de service dans des secteurs à fort potentiel comme les industries extractives, l’agro-alimentaire et la production et distribution d’eau et d’électricité. Pour renforcer son expertise dans le secteur de l’industrie minière, DSS a acquis, en février, Lodestone Partners, une société de conseil reconnue sur le marché pour aider les entreprises à améliorer leur performance opérationnelle. • Des offres adaptées à la COVID-19 et la reprise d’activité DSS a rapidement élaboré une série de solutions pour permettre aux chefs d’entreprise de prévenir la propagation de la COVID-19 et d’atténuer son impact économique. DSS a proposé ses conseils en management pour les aider à protéger leur personnel et à réduire leur risque d’exposition au travail, à gérer efficacement un effectif en télétravail, à améliorer les capacités et les compétences en matière de leadership, à redémarrer avec succès les opérations après un arrêt prolongé et à planifier la reprise et la pérennité des activités. • De nouvelles capacités en digital et analyse de données Les opérations étant de plus en plus numériques, DSS a massivement investi dans le développement de solutions digitales qui permettent aux clients d’obtenir plus rapidement et plus efficacement des résultats en matière de sécurité et de gestion des risques. Elles reposent sur des méthodes d’apprentissage innovantes pour développer des compétences clés afin de garantir l’acceptation, l’intégration et l’utilisation correcte des nouvelles technologies ; www.SafetyTech.ai, une nouvelle plateforme pour identifier et utiliser des nouvelles technologies qui apportent une meilleure protection aux employés ; DSS Transform, une application qui permet de numériser les processus et les procédures, ainsi qu’analyser les données – tout cela pour permettre aux organisations d’obtenir les informations nécessaires pour accélérer les améliorations en matière de gestion des risques et d’excellence opérationnelle. • Une reconnaissance renouvelée de son expertise et de son impact clients DSS a continué à être reconnu pour son expertise au cours de sa première année en tant qu’entreprise indépendante. En septembre 2019, le rapport ALM Vanguard of Asset Performance Management Consulting Providers du cabinet de recherche indépendant ALM Intelligence a désigné DSS comme l’un des meilleurs cabinets de conseil en opérations en milieu industriel. En octobre 2019, le cabinet d’études indépendant Verdantix a classé DSS au premier rang des cabinets de conseil EHS (Environnement, Santé et Sécurité), et ce pour la troisième année consécutive. Et en juillet dernier, DSS a été reconnu parmi les 20 leaders mondiaux de la formation en ligne dans le 2020 Training Industry Top 20 Online Learning Library Companies Watch List par Training Industry, Inc., le centre mondial de recherche et d’information pour les leaders de la formation en entreprise. http://bit.ly/about-dss
Il y a 4 ans et 264 jours

Accusé de polluer la Seine, Lafarge parle de “malveillance”

En exclusivité, Europe 1 a révélé une pollution de la Seine, à Paris, par le groupe cimentier LafargeHolcim. Celle-ci a même été qualifiée de « Clairement volontaire ». Une accusation lancée par Jacques Lemoine, agent de développement de l’Association agréée de pêche et de protection du milieu aquatique (Aappma). De son côté, Lafarge France dément cette accusation. Et indique, dans un communiqué de presse daté du 1er septembre, « être victime d’une détérioration délibérée d’une plaque d’étanchéité ». Entre temps, Europe 1 a lancé une nouvelle salve. La station de radio a révélé qu’une seconde pollution existait au niveau de la centrale à béton du pont Mirabeau… Ce sont les membres d’une association de riverains, qui ont constaté les faits. « J’ai vu plusieurs fois des camions Lafarge déverser un liquide blanchâtre. Celui-ci ressemblait à des eaux usées, directement dans la Seine », a raconté Maryse Fourcade, vice-présidente de l’association, au micro d’Europe 1. Et le site de la radio a publié des photos montrant les faits… « LafargeHolcim est conscient de ses obligations en matière d’environnement. Et déterminé à protéger l’environnement dans les pays où il exerce ses activités. Il a toujours fermement condamné ces pratiques interdites par ses standards de production », répond en retour le groupe cimentier. Ceci, à propos de ce rejet d’eau de lavage dans la Seine. Et de poursuivre : « LafargeHolcim a immédiatement décidé de lancer une enquête interne, afin de faire la lumière sur ces possibles agissements. Dans les prochains jours, l’ensemble du personnel de nos sites parisiens fera à nouveau l’objet d’un rappel des bonnes pratiques. Et du caractère impératif du respect des règles environnementales. »  A Paris, des eaux chargées issues du recyclage des bétons se sont déversées dans la Seine depuis la centrale Lafarge France de Bercy. [©ACPresse] Un « flagrant délit de pollution environnementale » La pollution environnementale initiale s’est déroulée dans la centrale à béton Lafarge France. Une unité implantée sur la rive droite de la Seine, à côté de l’AccorHotels Arena, à Paris. Elle concerne le tout dernier bassin de décantation des eaux de process et de lavage des toupies.  C’est à ce niveau qu’est constatée la fuite, « qui a entraîné un léger écoulement temporaire d’eau recyclée dans la Seine », précise le communiqué. Dans le cas présent, cette eau comportait des micro-fibres synthétiques. Mais Lafarge souligne aussi que, « aussitôt détecté, cet écoulement a été stoppé. Et des travaux de réparation immédiats ont été engagés ». Ces affirmations sont loin d’avoir convaincus, tant l’Aappma que les élus locaux.  Dans le journal 20 Minutes, Guillaume Durand, co-responsable de EELV Paris, parle d’un « flagrant délit de pollution environnementale, qui pourrait porter atteinte à la santé des citoyennes et citoyens de Paris ». Et quant à Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, il indique sur son compte Twitter, « découvrir avec stupeur cette pollution lente qui empoisonne notre fleuve. Des explications s’imposent de la part du gestionnaire du site et une plainte sera déposée… » Un traitement des eaux en circuit fermé Le traitement des eaux de process est réalisé en circuit fermé. Et se fait au sein d’une série de bassins de décantation. Ici, les bassins de la centrale à béton Lafarge de Pantin. [©ACPresse] Pour mémoire, le traitement des eaux de process du cycle de production des bétons est aujourd’hui une obligation. Les bétonniers s’y plient, mettant en place des dispositifs dédiés. Sur le site de la centrale à béton Lafarge France de Bercy, ce traitement est réalisé en circuit strictement fermé. Et se fait au sein d’une série de bassins de décantation. Les toupies déversent leurs eaux chargées, issues du nettoyage des cuves, dans le premier bassin. Puis, celles-ci passent ensuite de bassins en bassins. Les eaux claires se concentrent dans le dernier bassin, là où la fuite a été constatée. Eaux réintroduites dans le process de production de bétons neufs. Ou employées pour de nouvelles opérations de nettoyage. Quant aux résidus (graviers, boue cimentaire), ils sont extraits, de manière régulière, du premier bassin. Et évacués vers un centre de traitement certifié pour recyclage et valorisation. La pollution constatée ne concerne pas ces résidus. Lafarge France va déposer plainte Dans ce contexte, Lafarge a déclaré au Figaro, « comprendre l’émotion que suscite cet incident à la centrale à béton de Bercy […] » Et de poursuivre : « Il est faux d’accuser notre entreprise de rejets, qui pourraient être volontaires ». De fait, le groupe cimentier a choisi de déposer plainte, lui aussi, pour faire toute la lumière sur cette affaire. Comme tous les autres équipements du groupe LafargeHolcim en France, la centrale à béton de Bercy répond à toutes les exigences environnementales en vigueur. Toutefois, suite à cet incident, l’industriel va mettre en place des actions de contrôle renforcées sur ses unités de production. Concernant le site de Bercy, il va mettre en œuvre une solution de sécurisation supplémentaire du circuit de recyclage des eaux. Et ce, dès les prochains jours…  Les toupies déversent leurs eaux chargées, issus du nettoyage des cuves, dans le premier bassin. [©ACPresse] Ces actions n’ont pas pour autant calmé le jeu. Ainsi, Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique, a annoncé que tous les sites du cimentier Lafarge situés en bord de Seine en Ile-de-France seront contrôlés. Et qu’une enquête a été ouverte pour suspicion de pollution du fleuve. La Mairie de Paris a demandé la saisine du procureur de la République pour un constat d’infraction pénale et une enquête préliminaire. Les choses semblent même être allées un peu plus loin. Puisque la même Mairie de Paris accuse aussi Haropa Ports de Paris de ne pas avoir rempli son devoir de contrôle… Cet organisme est en charge de l’aménagement de l’entretien et de l’exploitation des installations portuaires en Ile-de-France. Contacté par ACPresse, Haropa Ports de Paris n’a pour l’heure pas donné suite à cette demande. Vinci condamné pour une pollution similaire Il y a un peu plus d’un an – en avril 2019 -, le groupe de BTP Vinci a été confronté à la même mésaventure. A savoir, l’épanchement de béton dans le Seine, à Nanterre (92). C’est l’Aappma qui avait déjà lancée l’alerte à l’époque. Après enquête en interne, il s’est avéré qu’il s’agissait d’eau grise chargée en sable et comportant des traces de ciment désactivé. Moins de 5 m3 en totalité, ayant couvert environ 20 m2 de surface dans le lit de la Seine. Donc, bien loin de la catastrophe annoncée de prime abord dans les médias… Vinci s’est engagé à remettre en l’état la zone polluée. Toutefois, cela n’a pas empêché le groupe Vinci d’écoper d’une amende de 50 000 € (plus 40 000 € avec sursis) ! Article mis à jour le 3 septembre 2020.
Il y a 4 ans et 264 jours

Le Studio à Rouen mise sur les solutions connectées de Dény Security pour sécuriser ses espaces de coworking

Depuis plusieurs années, les espaces de coworking connaissent une popularité croissante en France notamment auprès des start up, professions libérales et travailleurs indépendants. Malgré la crise sanitaire, la flexibilité offerte par ce type d’établissement constitue une alternative intéressante pour les entreprises entre un retour progressif au bureau et un home office pas toujours adapté. Dernier exemple en date, l’ouverture juste après le déconfinement du 2ème Le Studio Coworking à Rouen qui, grâce aux solutions connectées de Dény Security, parvient à concilier sécurité des accès et mesures sanitaires.   Le Studio Coworking : concilier bien-être et sécurité au travail Idéalement situé dans un immeuble de logements individuels au cœur du centre historique de Rouen, Le Studio Gros Horloge est un espace de coworking à taille humaine imaginé par un trio familial de trentenaires rouennais. A la décoration affirmée, cette surface de 200 m2 accueille 5 bureaux privés, une salle de réunion et des espaces communs composés d’un grand séjour, d’une cuisine équipée et d’une terrasse privative.   Deux niveaux d’adhésion sont proposés : • un abonnement mensuel avec bureau fermé grâce auquel les membres à temps plein peuvent accéder au Studio tous les jours de la semaine, y compris le week-end, 24 heures sur 24, • un forfait nomade minimum de 10 heures qui autorise ses détenteurs, visiteurs irréguliers, à utiliser les espaces communs du lundi au vendredi, de 9h00 à 18h00.   Cette flexibilité, clé du succès des espaces de coworking, nécessite de mettre en place un contrôle d’accès qui facilite l’entrée des membres à leurs bureaux tout en garantissant la sécurité de leurs biens. Pour répondre à cet enjeu, Marine Legrand, co-fondatrice du Studio, recherchait une solution en adéquation avec la philosophie du lieu. « Design, connectés avec une dimension technique indéniable », les produits de l’écosystème de sécurité Optimal de Dény Security répondaient à cette exigence.   Une gestion flexible et rapide des accès Muni de leur carte personnalisée aux couleurs du Studio, lorsque les clients arrivent, il leur suffit de pointer le badge magnétique contenant leurs autorisations d’accès devant : • le lecteur mural Logyca anti-vandalisme situé à l’entrée de l’immeuble, • et les cylindres Optimal Lock avec contrôle d’accès – sortie libre installés sur la porte d’entrée du studio ainsi que sur les portes des bureaux fermés pour les déverrouiller.   Pour l’un des bureaux partagés, la gâche électrique est pilotée par un lecteur mural Logyca spécialement dissimulé dans la cloison pour devenir totalement invisible et respecter ainsi la décoration intérieure du lieu.   Fonctionnant en mode offline, la programmation des badges s’effectue simplement via une application dédiée sur smartphone. La personne habilitée au sein du Studio Coworking peut ainsi aisément activer/désactiver les cartes en cas de perte ou de fin d’abonnement. Autre atout, si un vol est commis dans l’enceinte de l’établissement, l’application permet de consulter l’historique détaillée des entrées (heure, quel accès…).   Conçus en inox pour être faciles à nettoyer avec un produit virucide, et bientôt disponibles avec une finition bactéricide, les cylindres Optimal Lock constituent aussi une solution rassurante dans le contexte actuel de crise sanitaire, tant pour les membres que pour les propriétaires.   Convaincus par l’écosystème de sécurité Optimal de Dény Security, l’équipe du Studio Coworking envisage de dupliquer la même installation dans son 2ème espace du Vieux Marché et d’y ajouter des verrous connectés Optimal Locker pour sécuriser casiers et mobiliers de bureau. http://www.deny-security.com
Il y a 4 ans et 264 jours

Abstraction extrême de l’architecture

La transparence n’a pas le même sens pour un(e) politique que pour un(e) photographe. Ce qui est vœu de clarté (chasteté ?) absolue pour le premier est au contraire pour le second la possibilité de flouter les limites. Ou, puisqu’il faut tout montrer, de l’indécence du premier jusqu’à l’abstraction du second. Chronique-Photos d’Erieta Attali. Brouiller des […] L’article Abstraction extrême de l’architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 264 jours

Borne veut identifier les activités professionnelles "difficilement compatibles" avec le port du masque

"On va recenser avec les partenaires sociaux" les "activités qui, par nature, sont difficilement compatibles avec le port du masque" et "on regardera les réponses qu'on peut apporter", a déclaré Mme Borne sur BFMTV.Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) "a défini une série de mesures sur la ventilation, les volumes des espaces", les protections en plexiglas, la distance entre collègues, a-t-elle énuméré. Il y a "beaucoup de critères", qui seront "partagés demain (lundi) avec les partenaires sociaux", a-t-elle indiqué. Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a souligné sur LCI que son syndicat avait "fait des propositions" pour enrichir ce protocole sanitaire. "Il faut organiser le travail différemment", par exemple avec "des temps de pause plus réguliers", et "regarder spécifiquement métier par métier", a-t-il estimé. Demandant au ministère "un guide le plus cadré possible" pour "protéger réellement les salariés", M. Martinez souhaite également "des sanctions"contre les entreprises ne respectant pas les consignes sanitaires."Les secteurs qui ont des difficultés particulières" avec le port systématique du masque, "on va les identifier, on va les rencontrer", a promis de son côté la ministre, en rappelant qu'un décret avait déjà été pris pour dispenser "les chanteurs d'opéra" du port du masque."Porter le masque systématiquement en entreprise, c'est très important quand on est à plusieurs", a souligné Mme Borne, en s'appuyant sur les recommandations du HCSP. En fonction de la mise en place dans les entreprises des mesures recommandées par ce Haut Conseil (ventilation/renouvellement de l'air, protection de type plexiglas, densité d'occupation), "on peut avoir des assouplissements au caractère systématique du port du masque", a-t-elle expliqué.Ainsi, dans des locaux avec "une très bonne ventilation" ou "dans des grands volumes" comme "par exemple ici" dans le studio de BFMTV et sur d'autres plateaux de télévision, les personnes pourront retirer le masque.La ministre répondait sans masque à trois journalistes non masqués sur le plateau de la chaîne."Évidemment, si vous êtes tout seul dans votre bureau, vous n'êtes pas obligé de mettre un masque", mais "dans les circulations, les salles de réunion, il faut porter le masque", a-t-elle noté.Le télétravail toujours "recommandé"Parmi "les cas particuliers", il y a "les ateliers", comme "les garages", où "vous êtes amenés à faire des efforts physiques" et où les salariés pourront être "dispensés du port du masque" si "l'atelier est bien ventilé", avec "les collègues (qui) sont loin", a détaillé la ministre.Dans "les bureaux partagés, les open spaces", "si on a toutes les bonnes règles", les salariés pourront "à certains moments retirer le masque", par exemple pour "souffler dix minutes". Ou si "vos collègues sont partis à la cantine, vous êtes quelques-uns à être restés, vous pouvez retirer votre masque".Les modalités d'application de ces règles "feront l'objet d'un dialogue social au sein de chacune des entreprises (...). C'est un thème très concret du dialogue social".La ministre a par ailleurs "confirmé que le télétravail reste une pratique recommandée, a fortiori quand on est dans des zones où le virus circule beaucoup" car "ça permet d'être moins nombreux sur son lieu de travail, ça évite de prendre les transports en commun quand on est dans une grande métropole".
Il y a 4 ans et 264 jours

Une application territoriale pour que tout le monde participe aux projets communaux

Après trois ans de recherches scientifiques en architecture et urbanisme, Pierre Fauré, Sébastien Labouteley et Guillaume Danger ont créé le premier réseau social citoyen pour construire ensemble des villes et des villages durables, Agora. Avec cette application, les “citoyens experts” ont un pouvoir d’implication, de décision et de proposition au sein de la commune où ils résident. Ils deviennent acteurs de leur lieu de vie. Le concept est simple, l’ensemble des échanges entre les acteurs du territoire se font au travers de la carte participative de la commune, sur laquelle, ils retrouvent : – Les consultations citoyennes : l’ensemble des projets envisagés par la commune sont référencés et expliqués sur la carte. À partir de là, les citoyens peuvent juger de la pertinence des propositions et exprimer leurs besoins et envies en répondant aux questionnaires mis en place pour chacun. – Le vote citoyen : une fois la consultation citoyenne réalisée, plusieurs architectes sont invités à proposer une réponse sur le projet initié. Les habitants peuvent alors les classer selon leurs préférences. – La boîte à idée : les citoyens partagent leurs idées d’amélioration du territoire. Une fois référencées et expliquées sur la carte participative, elles seront source de débats, d’échanges et d’initiatives afin de les amener à se concrétiser. – Les signalements : les habitants notifient les anomalies du territoire qu’ils rencontrent. Ainsi, ils préviennent leurs concitoyens ainsi que les élus qui pourront intervenir plus rapidement pour une amélioration permanente du lieu de vie. – Les rassemblements : les citoyens sont avertis des actions menées par les associations locales et peuvent notifier de leur présence. – Les agoras citoyennes : les élus organisent des moments physiques d’échanges, d’ateliers et de débats autour d’un sujet pré-défini. – Les actualités : les citoyens sont informés des nouvelles de leur commune directement par les élus ainsi que par la presse locale. Agora est aussi un outil d’aide à la décision qui accompagne les élus dans leurs choix de réalisations. Une grille d’évaluation permet de mesurer l’impact territorial, environnemental et social des interventions.
Il y a 4 ans et 267 jours

Comment améliorer mon activité en tant qu’artisan RGE ?

Pour encourager les travaux entrant dans le cadre des économies d’énergies, les autorités gouvernementales ont instauré depuis 2013 une certification dénommée label RGE : « Reconnu garant de l’environnement ». Cette qualification est délivrée aux artisans comme gage de reconnaissance et de qualité par rapport au sérieux et à la rigueur qu’ils mettent dans l’exercice de leur fonction. Découvrez comment cette mention peut vous tailler une bonne réputation, élargir votre panel de clientèle et faire prospérer vos activités. Qu’est-ce qu’un artisan certifié RGE ? Le sigle RGE se définit par « Reconnu garant de l’environnement ». Il s’agit d’un label créé par les pouvoirs publics de l’ADEME pour distinguer les artisans intervenant dans le domaine de l’énergie renouvelable et du bâtiment. Il est généralement attribué aux professionnels reconnus pour la qualité, l’expertise et la rigueur qui font l’objet de leurs prestations. Mise en application à partir de l’année 2013, cette certification est un véritable gage de qualité pour le client qui sollicite l’intervention d’un artisan pour réaliser des travaux d’économie d’énergie sur Auchan. D’un autre côté, elle permet ainsi aux professionnels d’être reconnus comme artisan compétent et de bénéficier de nombreux avantages pour ses activités. Améliorer vos activités grâce à la certification RGE La certification RGE a indéniablement un impact positif sur les activités de l’artisan qui en bénéficie. Le particulier qui désire rénover son logement sait éventuellement que la qualité des travaux à effectuer dépend en grande partie des compétences de l’artisan qui s’en occupera. Il est évident qu’il n’hésitera pas à faire appel à un professionnel certifié RGE, ce label étant un indicateur d’expertise qui revient essentiellement au professionnel qualifié. En bref, si vous êtes un travailleur intervenant dans le bâtiment et dans l’installation des équipements faisant référence aux énergies renouvelables, vous avez tout intérêt à exercer votre fonction à titre d’artisan RGE. C’est un élément fondamental qui vous distingue parmi la masse de professionnels intervenant dans votre secteur et atteste de la bonne qualité de votre prestation. Ce qui aura l’avantage de soigner votre image et d’inciter les clients à faire appel à vos services ou prestations sans crainte. Vous élargirez votre clientèle et gagnerez plus de chantiers chaque jour, gage de l’amélioration de votre chiffre d’affaires. Des éco-primes très intéressantes Dans le souci permanent de réaliser des économies d’énergie afin de remédier à la précarité énergétique, l’État français a instauré des réformes qui encouragent tous travaux entrant dans le cadre de l’efficacité énergétique. Pour cela, plusieurs subventions financières ont été établies, notamment des éco-primes très intéressantes. Ainsi, lorsque vous décidez de renforcer l’isolation de votre habitation, vous pouvez solliciter l’apport d’un professionnel pour vous installer des chaudières bois, des chauffe-eau solaires, des chaudières à condensation ou à micro-cogénération gaz, des pompes à chaleur, des échangeurs de chaleur géothermiques… Mais cette prime ne vous sera accordée que si l’artisan ayant effectué les travaux jouit d’une certification RGE, lequel permet à l’état de s’assurer qu’il délivre un travail respectant les normes environnementales et les critères de performances énergétiques. Cette aide peut faire bénéficier plusieurs centaines d’euros au client. Il pourra s’en servir pour financer une bonne partie des travaux. Cela représente indiscutablement un élément important dans le développement de vos activités en tant qu’artisan RGE, d’autant plus que le client sait qu’il a tant de choses à gagner en vous sollicitant en lieu et place d’un professionnel ordinaire. En gros, la mention RGE est non seulement une garantie de sérieux pour le particulier qui désire réaliser des travaux, mais aussi une manière de profiter des avantages économiques. Les démarches à suivre pour devenir artisan RGE Plusieurs démarches sont à mener pour devenir un artisan Reconnu garant de l’environnement. En prime, vous devez choisir la certification qui correspond à votre domaine de prédilection parmi la qualification QualiBat (spécialiste du bâtiment), la qualification Qualifelec (expert en électricité), la qualification Qualisol (spécialiste en installations des solaires thermiques), QualiPV (expert en installation des systèmes solaires photovoltaïques), et la certification QualiPAC (installateur de pompes à chaleur). L’étape suivante consiste à établir un dossier pertinent pour accéder à la formation donnant droit à la qualification RGE. Cette formation vous permettra de vous perfectionner dans la réalisation des travaux de rénovation et d’amélioration énergétique. Cependant, elle doit être administrée par un organisme compétent, et surtout agréé par l’État.
Il y a 4 ans et 268 jours

Comment choisir une bonne moustiquaire adaptée à sa maison, ses ouvertures, son appartement ?

Les moustiquaires, hélas souvent délaissées, offrent une protection particulièrement efficacement contre les  moustiques mais également envers les autres insectes comme des guêpes, des papillons de nuit, des mouches… Bzzz… Ce bruit si particulier d’un moustique qui se promenant autour de votre tête ? l’installation d’une moustiquaire vous protègera à coup sûr dans votre chambre ou salon. Avec la chaleur écrasante, nous avons tendance à ouvrir ses fenêtres le soir en rentrant à la maison pour faire un courant d’air plus frais. Un peu plus de confort dans la fournaise ambiante à l’exception de l’intrusion des moustiques et autres insectes attirés par les odeurs… Au lieu d’utiliser les produits anti-moustiques pour essayer de s’en débarrasser, pourquoi ne pas plutôt installer une moustiquaire moustistores, fabriquée en France. Idéale dans le salon ou la chambre à coucher, nous oublions souvent les moustiquaires alors qu’elles s’avèrent être très efficaces et économiques, sans compter les moindres désagréments écologique pour notre environnement. Portes, fenêtres, baies vitrées, mais aussi lits peuvent être protégées par une moustiquaire. Afin de vous protéger des moustiques et autres insectes nuisibles, il est nécessaire voire recommandé d’installer une moustiquaire. Si acheter une moustiquaire représente un investissement important, vous verrez qu’il permet de réaliser de belles économies sur le long terme ! Mais quel type de moustiquaire choisir ? MOUSTIQUAIRES ENROULABLES Pour les fenêtres ou les portes, une moustiquaire enroulable est l’option la plus populaire. La store est placée dans une petite boîte qui s’ajuste au-dessus du cache à l’extérieur de la fenêtre, et des guides fourrus sont ajustés des deux côtés du cache pour sceller la moustiquaire contre les insectes. Ce type de moustiquaire ne fait pas partie de la fenêtre et peut être installé après l’installation ou sur des fenêtres existantes qui ne sont pas changées. MOUSTIQUES COULISSANTES Pour une utilisation avec des cadres coulissants en aluminium, nos moustiquaires coulissantes couvrent la moitié de l’ouverture lorsqu’ils sont utilisés avec deux curseurs de feuille ou un tiers (trois curseurs de feuille) ou un quartier avec quatre feuilles sur deux pistes. La moustiquaire est toujours visible sur la partie de l’ouverture qu’il couvre. De construction légère mais solide, la moustiquaire s’enlève facilement, si vous le souhaitez, pendant les mois d’hiver. Les moustiquaires enroulées peuvent également être utilisées sur les portes et fenêtres coulissantes L’usage des répulsifs chez les jeunes enfants L’innocuité des répulsifs chez les enfants de moins de trente mois n’a pas été démontrée de façon formelle. Néanmoins, face au risque de maladies graves transmises par les moustiques et au vu des rares effets indésirables rapportés, le Conseil supérieur d’hygiène publique considère que les produits à base de DEET peuvent être utilisés dès l’âge de deux mois à condition de ne pas dépasser la concentration de 30 % et de respecter les contre-indications et les précautions d’emploi. L’application de répulsif ne doit pas être faite sur les mains. Chez les enfants ayant souffert de convulsions, l’usage des répulsifs est contre-indiqué par précaution. Dans tous les cas, les moustiquaires imprégnées sont considérées comme le moyen prioritaire de protection efficace chez les jeunes enfants. Enfin, n’oubliez pas que tous les répulsifs sont toxiques lorsqu’ils sont ingérés : ne les laissez pas à portée des jeunes enfants et empêchez ces derniers de se sucer les doigts après pulvérisation, que sans ces produits supplémentaires la moustiquaire est La prolifération de ce parasite s’étend constamment, nous avons tendance à l’oublier au vu de la situation actuelle mais elle est très préoccupante : https://solidarites-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/risques-microbiologiques-physiques-et-chimiques/especes-nuisibles-et-parasites/article/cartes-de-presence-du-moustique-tigre-aedes-albopictus-en-france-metropolitaine Les diffuseurs électriques sont en effets contre-indiqués à l‘âge de vos enfants, pour des raisons de toxicité. Même chose pour les produits à base d’huiles essentielles, qui n’ont d’ailleurs pas d’efficacité prouvée. Idem pour les appareils à ultrasons. La moustiquaire reste la solution la plus efficace avec le moins de risque pour les enfants, votre entourage. Si une installation sur le lit de votre bébé vous est impossible, en sachant que vous trouvez toutes les tailles, demandez une installation en rideau à sa fenêtre.
Il y a 4 ans et 268 jours

En Finlande, des récompenses pour les éco-citoyens

Baptisée "CitiCap", l'initiative, financée par l'Union européenne, propose aux habitants de tracer leurs émissions de carbone lors de déplacements, grâce à une application qui détecte s'ils circulent en voiture, en transports en commun, à pied ou à vélo.Chaque semaine, les citoyens volontaires se voient crédités d'un "quota de carbone" qui, s'il n'est pas épuisé à échéance, se transforme en "euros virtuels", échangeables contre des entrées à la piscine, des tickets de bus ou, pour les plus gourmands, une part de gâteau dans un établissement de la ville."Lahti est encore une ville très dépendante de la voiture, notre objectif est que d'ici 2030, plus de 50% de tous les déplacements soient effectués via des modes de transport durables", explique à l'AFP la responsable du projet, Anna Huttunen.Actuellement, 44% des déplacements dans la ville sont considérés comme "durables".L'objectif du projet à long terme est de développer une nouvelle méthode pour encourager des comportements plus écologiques, en utilisant notamment un système d'"échange personnel de droits d'émission de carbone" que d'autres villes peuvent reproduire, expliquent ses fondateurs.Le concept s'inspire du système européen d'échange de quotas d'émission de carbone, où les entreprises et les gouvernements se voient attribuer des crédits carbone. S'ils dépassent ce quota, ils payent, mais s'ils émettent moins que convenu, ils peuvent vendre tout excédent."CitiCap a suscité beaucoup d'intérêt dans le monde entier, non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis et au Canada", détaille Mme Huttunen.21 kg d'équivalent CO2 par semaineL'application CitiCap donne à chaque participant un "budget" carbone hebdomadaire basé sur sa situation personnelle.En moyenne, un habitant de Lahti, ville de 120.000 habitants, "émet 21 kilos d'équivalent CO2 par semaine", selon Ville Uusitalo, responsable recherche du projet.L'application met les utilisateurs au défi de réduire leurs émissions d'un quart - soit remplacer en moyenne 20 km de conduite en voiture par l'équivalent en transports publics ou à vélo.Reste à savoir si des récompenses plus importantes inciteraient davantage de citoyens à délaisser leur voiture."C'est possible de gagner jusqu'à deux euros (par semaine) si vos émissions liées aux déplacements sont vraiment faibles", explique M. Uusitalo. "Mais cet automne, nous avons l'intention de décupler le prix", poursuit-il.Capitale verte européenneSi le semi-confinement imposé en Finlande a entraîné une baisse drastique des trajets en voiture, les créateurs du projet ne parviennent pas encore à évaluer les effets de leur application dans la ville.Mais, assurent-ils, ils continueront à recueillir des données l'année prochaine, alors que Lahti deviendra pour un an "Capitale verte européenne".Jusqu'à présent, 2.000 habitants ont téléchargé l'application, avec jusqu'à 200 utilisateurs actifs simultanément."Les gens trouvent très intéressant de voir leurs propres émissions", selon la responsable du projet.Mirkka Ruohonen, employée municipale à Lahti, utilise l'application depuis sept mois maintenant. Ce qui l'a immédiatement surprise, c'est de voir les effets de ses propres déplacements sur l'environnement.Dernièrement, raconte-t-elle, "je suis allée passer un week-end de randonnée, nous avons fait 15 kilomètres de marche, mais j'ai dû faire 100 km en voiture" pour rejoindre le sentier."Après cela, j'ai vérifié l'application et je me suis dit +C'était une bonne chose ?+ Peut-être pour moi, mais pas pour l'environnement !", s'exclame-t-elle.La Finlandaise dit ne pas être dérangée par les conséquences sur la vie privée d'une telle application qui enregistre les moindres déplacements."Je pense que toutes les applications que j'utilise collectent des informations", juge-t-elle.Selon Anna Huttunen, si l'application est conforme à la réglementation européenne sur les données personnelles, les organismes tiers ne pourront pas analyser les données.Les créateurs de CitiCap espèrent à l'avenir pouvoir également aider les gens à gérer leurs émissions liées à la consommation."La mobilité n'est qu'une partie de notre empreinte carbone", rappelle M. Uusitalo.
Il y a 4 ans et 268 jours

Fast Formation Beissier : l'apprentissage des enduits en 1/2 journée

Parce qu'il est parfois difficile de mobiliser ses forces vives sur une journée face à un calendrier de chantiers chargé ou pour répondre au développement de nouvelles activités, Beissier initie, depuis février 2020, un nouveau concept de formations d'1/2 journée.Cette phase de découverte des enduits assure aux stagiaires d'aborder bien entendu une partie théorique ainsi qu'une connaissance des produits phares des gammes BAGAR ou PRESTONETT, mais leur apporte aussi toutes les clés de la réussite en pratique puisqu'elle fait également la part belle aux types d'applications (mécanique ou manuelle) de chaque gamme.Débutant à 8 h 30 pour se finir à 12 h 30, ces Fast Formations Beissier sont dispensées sur le site de La Chapelle la Reine (77) au sein de l'Académie Beissier, pourvu notamment de 5 cabines d'application spécialement réalisées avec différents matériaux y reproduisant toutes les configurations chantier possibles.Précisons enfin que, plus flexible, le calendrier de ces Fast Formations (coût de 150 euros HT pris en compte par le 1 % formation) permet à Beissier de s'adapter parfaitement aux contraintes de planning d'intervention sur chantier des professionnels.L'entreprise Reux basée à Fontainebleau (77) qui a suivi, avec 5 de ses peintres, une Fast Formation Beissier le 26 février dernier, confirme tout son intérêt et sa satisfaction. Contenus, qualité de la formation, de l'écoute comme des moyens matériels, ces 5 collaborateurs se sont unanimement félicités des précieux apports de cette demi-journée.Un autre témoignage d'une formation suivie le 10 juin confirme également tout l'intérêt de ces nouveaux modules : "Sur une demi journée, j'ai pu profiter d'un apprentissage m'assurant une maîtrise de l'application des enduits airless. Cela m'a permis de réaliser parfaitement et rapidement mon premier chantier en maison individuelle !"Inscription sur : https://www.beissier.fr/demande-dinformations/
Il y a 4 ans et 270 jours

Le Medef demande plus de "souplesse" concernant l'obligation du port du masque en entreprise

Le nouveau protocole sanitaire dans les entreprises en cette rentrée devra laisser "un peu de souplesse aux entreprises", a-t-il affirmé en ouverture de l'Université d'été du Medef, baptisée cette année "Renaissance des entreprises de France", à l'hippodrome de Longchamp dans l'ouest de Paris.Il a toutefois convenu que "tout est préférable au reconfinement" du point de vue de la relance de l'économie et de la reprise de l'activité des entreprises.Arrivé sur scène au son du tube "I will survive" de Gloria Gaynor, le patron du Medef a affirmé vouloir transmettre un message "d'optimisme" en cette rentrée marquée par un regain de contaminations sur le front de l'épidémie de Covid-19.Maintenir cet événement annuel, c'est "envoyer un message à nos salariés et à nos concitoyens: oui le Covid-19 est là, mais on peut, mais on doit se réunir, on doit continuer à consommer, à produire, bref à vivre", a-t-il estimé.Devant le Premier ministre Jean Castex qui prenait la parole après lui, il a appelé le gouvernement à poursuivre le soutien aux entreprises et aux salariés.Indiquant qu'il restait encore "2 millions de salariés" au chômage partiel, il a notamment jugé qu"'il faudra être financièrement bienveillant pour eux" dans les mois qui viennent.Devant un public de chefs d'entreprises réduit pour cause d'épidémie, le patron du Medef a aussi réitéré son appel à rouvrir le débat sur le temps de travail, après avoir déjà suscité un tollé en évoquant ce sujet durant le confinement."Je pense qu'il faudra rouvrir le débat" lorsque reprendront les négociations sur la réforme des retraites, c'est-à-dire "pas maintenant", mais "pas non plus en 2022", a-t-il affirmé."La richesse d'un pays c'est la quantité de travail par individu multipliée par le nombre de gens qui travaillent. Tout le reste c'est de l'idéologie", a-t-il martelé, estimant que les pays du nord de l'Europe "nous demanderont des comptes sur les réformes"."On a une priorité, c'est l'emploi", a répondu Elisabeth Borne, la ministre du Travail, interrogée à propos de la demande du patron du Medef sur le temps de travail, lors d'un déplacement sur un site d'Engie, à la Défense (Hauts-de-Seine), où elle a fait le point sur le protocole de déconfinement."On est dans un contexte d'épidémie qui s'accélère ces dernières semaines", a-t-elle encore déclaré pour défendre l'obligation du port du masque en entreprise. "Evidemment, on souhaite aussi appliquer des règles de bon sens et pouvoir, le cas échéant, trouver des exceptions, quand on est très peu nombreux dans un très grand espace, par exemple", a-t-elle ajouté."On a ressaisi le Haut conseil de la santé publique et on attend d'ici vendredi la réponse sur les cas particuliers qui permettront de ne pas avoir un masque, au-delà du bureau individuel. En fonction de son retour, on finalisera le nouveau protocole avec les partenaires sociaux qui sera mis en ligne lundi", pour une application à partir du 1er septembre, a-t-elle précisé.
Il y a 4 ans et 271 jours

TenCate Toptex GLS 340 protège les glaciers du réchauffement climatique

La préservation des glaciers fait tout autant partie des préoccupations de l’expert en géosynthétiques, d’un point de vue de leur écosystème bien entendu mais également des économies locales qui vivent du tourisme et des loisirs d’hiver. TenCate Geosynthetics a donc fait le choix d’étendre le champ d’application de sa technologie TenCate Toptex®, qui bénéficie déjà de plusieurs décennies d’expertise reconnue dans le secteur agricole pour la couverture des récoltes. TenCate Toptex® GLS 340 se révèle ainsi des plus efficaces en vue de protéger les glaciers du réchauffement climatique. Les atouts de cette nappe non tissée composé de filaments continus, 100% propylène, s’avèrent nombreux : très simple à mettre en œuvre sur des surfaces immenses, imputrescible, perméable à l’eau et à l’air, stabilisé aux UV et présentant une faible conductivité thermique, TenCate Toptex® GLS 340 lutte contre la fonte de la glace, limite le glissement de la neige et réduit ainsi le risque d’avalanche.Démonstration exemplaire Le glacier Presena, dans le nord de l’Italie Chaque été depuis 2008, le glacier Presena, dans le nord de l’Italie, revêt un insolite manteau blanc : de spectaculaires nappes réfléchissantes TenCate Toptex® GLS 340 habillent ses pentes pour le protéger du soleil ; si 30 000 m² étaient ainsi recouverts la première année, ce sont désormais 100 000 m² de non-tissé qui se déploient à une altitude comprise entre 2700 et 3000 m pour ralentir la fonte du glacier ! Le caractère incroyable de cet "emballage façon Christo" révèle le pendant d’un constat malheureusement tout aussi étonnant : depuis 1993, le glacier Presena avait perdu plus d’un tiers de son volume ! La saison de ski terminée, de longues bandes de TenCate Toptex® GLS 340, mesurant 70 m sur 5 m, sont donc tendues à flanc de montagne, assemblées ensemble (par soudage au moyen d’un chalumeau à gaz) pour ériger une barrière efficace aux courants d’air chaud. Une fois en place, elles présentent également l’avantage de se confondre avec la neige, presque invisibles. Comment ça marche ? TenCate Geosynthetics est parti d’un constat : des mesures effectuées sur les glaciers autrichiens montrent une réduction de leur superficie de 15% entre 1969 et 1998, et cette tendance se poursuit. En effet, les conditions climatiques rencontrées dans les sommets des Alpes présentent des spécificités comparées aux montagnes de basse altitude : températures inférieures à zéro et chutes de neiges possibles tout au long de l’année, vitesse du vent pouvant atteindre 200 km/h et très forte influence des UV. Ainsi les stations de ski voient leurs accès directs aux glaciers s’amenuiser, les pylônes des remontées mécaniques perdent leur stabilité ou se trouvent positionnés dans des zones désormais sans neige, sur des pentes de plus en plus rocheuses, parsemées de crevasses dangereuses...C’est pourquoi TenCate Geosynthetics a développé un tapis de protection spécifique pour les glaciers qui limite considérablement la fonte des glaces : TenCate Toptex® GLS. Et ceci, sans impacter la flore et la faune très sensibles des régions alpines. Dans les faits, il réduit le risque d’avalanche grâce à sa surface rugueuse sur laquelle l’eau de pluie s’écoule. Sa perméabilité à l’air suffisante pour résister aux forces d’aspiration causée par des vents violents se double d’une résistance élevée à la pénétration de l’eau, évitant ainsi qu’une trop grande quantité d’eau "chaude" n’atteigne la neige. Enfin, mentionnons que sa haute réflectivité induite par sa couleur blanche réduit le réchauffement par les rayons du soleil, et ce, à long terme car TenCate Toptex® GLS affiche une grande stabilité aux UV qui se double d’une résistance optimale à la traction. Des performances qui permettent de l’exploiter sur plusieurs saisons hivernales allégeant de facto l’investissement. Caractéristiques techniques Matières premières : polypropylène, stabilisé aux UV Couleur : blanc Épaisseur : 2 mm Réflectivité de la lumière (longueur d’onde 500 nm) : 78 % Résistance aux UV : 75 % Résistance à la traction : 23 kN/m Résistance thermique R (t=10°C) : 0,0593 m²K/W Résistance à la pénétration de l’eau : > 80 mm
Il y a 4 ans et 271 jours

Paris : Une crèche de chêne et de béton

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Un habillage en bois enveloppe le bâtiment sur toute sa hauteur, lui conférant son uniformité et son relief. [©ACPresse] La parcelle est minuscule. Elle est même le fruit d’un assemblage complexe. La réunion de deux espaces mitoyens : l’un appartenant à une opération de logements et l’autre, à un Espace Vert Protégé. Ce dernier “emprunt” est restitué au sein du projet. Conçu par l’architecte Jean Bocabeille, l’équipement n’est autre qu’une crèche familiale et multi-accueils de 139 places. Sise rue de la Justice, à Paris, dans le XXe arrondissement. Il est réalisé dans un contexte métropolitain où le foncier est rare. D’où cette optimisation de surfaces pour permettre la construction.  Maître d’ouvrage, la Ville de Paris a imposé une Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 271 jours

Le nouveau DTU 20.1 des travaux de maçonnerie

Retrouvez cet article dans le numéro 90 de Béton[s] le Magazine. Les murs isolés par l’extérieur (ITE) complètent les nouvelles solutions constructives du NF DTU 20.1. La composition des murs avec ITE et leur destination d’emploi ont été ajoutées au nouveau document. Enfin, homologué en juin 2020, le NF DTU 20.1 apporte aussi une précision quant au nombre minimum d’orifices de ventilation naturelle dans les vides sanitaires. Revue de détail avec le Bureau Veritas Construction. 1 &#8211; Est-ce une nouvelle norme&nbsp;? Non, mais il s’agit d’une révision des plus complètes du NF DTU 20.1 d’octobre 2008. Le nouveau document intègre certains procédés de maçonnerie montés à joints minces, qui relevaient auparavant de la procédure d’Avis technique. Et dont le caractère traditionnel a été décidé par la Commission chargée de formuler les Avis techniques (CCFAT). De façon identique au précédent document, le nouveau NF DTU comporte toujours un Cahier des clauses techniques et un Cahier des clauses administratives spéciales types (parties P1-1 et P2). Mais ils sont maintenant complétés par des Critères généraux de choix des matériaux (P1-2) et des Dispositions constructives minimales (P3). L’ancien guide pour le choix des types de murs de façades en fonction du site a été intégré dans la partie P3. Le présent document ne porte que sur les murs avec ITE, puisque le NF DTU 20.1 traite, comme toujours, des murs, dont l’isolation est prévue par l’intérieur. a &#8211; Qui en sont les destinataires ? Maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, bureaux d’études, maçons, entreprises et artisans. b &#8211; Une autre nouveauté ? Le NF DTU 20.1 indique que les vides sanitaires doivent être ventilés naturellement, avec au moins quatre ouvertures débouchant à l’air libre. La surface totale des ouvertures est déterminée de la façon suivante : &#8211; Surface totale (en cm2) ≥ 5 x Surface du plancher (m2)&nbsp;;&#8211; Par exemple, pour une surface de 350 m2, la surface totale des ouvertures sera d’au moins 1 750 cm2. Bien entendu, cette règle de calcul n’intéresse pas les vides sanitaires comportant un équipement technique, qui peuvent relever d’un autre référentiel et donc d’autres règles de calcul. c &#8211; Référence du nouveau référentiel Norme NF DTU 20.1 &#8211; Juillet 2020 &#8211; indice de classement P 10-202 2 &#8211; Quand a-t-elle été homologuée&nbsp;? La norme NF DTU 20.1 a été homologuée en juin 2020. 3 &#8211; Quels sont les nouveaux murs avec ITE&nbsp;? Le nouveau NF DTU 20.1 introduit de nouveaux types de murs, ceux comportant une isolation thermique par l’extérieur (ITE). Si le précédent document classait les murs de type I au type IV, en fonction de leur résistance à la pluie, le nouveau NF DTU répertorie aussi les murs de type XI au type XIV, c’est-à-dire les murs à simple paroi isolés par l’extérieur [Voir partie 4]. Selon qu’il existe ou non un procédé de revêtement extérieur, les murs de type XI, XII et XIII ont cette prescription particulière :&#8211; Avec un procédé de bardage : un corps d’enduit (ou sous enduit) conforme au NF DTU 26.1 est appliqué du côté extérieur.&#8211; Sans un procédé de bardage : un enduit est placé du côté extérieur ou du côté intérieur. Le NF DTU 20.1 précise que cette possibilité, enduit extérieur ou intérieur, est aussi valable pour les murs de type IV et XIV. Le mur de type XI, XII, XIII ou XIV se distingue du mur de type I, II, III ou IV par le fait que l’isolant est placé sur la face extérieure du mur. Le mur de type XIV a une peau extérieure étanche à l’eau, une lame d’air et un isolant non hydrophile [1]. Le mur de type IV comporte un bardage étanche à l’eau, sur liteaux et chevrons [2]. Un enduit plâtre éventuel peut revêtir la face interne de la maçonnerie [3]. 4 &#8211; Pour en savoir plus sur les murs avec ITE a &#8211; Comment sont-ils classés ? La numérotation des murs correspond à une efficacité croissante du système d’isolation et/ou de la paroi support. Le mur de type XI ne possède aucune disposition particulière en vue de s’opposer à la migration de l’eau de pluie jusqu’au parement intérieur. Le système d’isolation et la paroi support sont réputés perméables à l’eau. Celui de type XII comporte :&#8211; Soit, un système d’isolation capable de s’opposer au cheminement de l’eau de pluie vers l’intérieur (XIIa).&#8211; Soit une paroi en maçonnerie pouvant empêcher de faibles quantités d’eau de pénétrer vers l’intérieur (XIIb). Quant au mur de type XIII, il comporte : &nbsp;&nbsp;&nbsp; &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur dont la peau extérieure n’est pas totalement étanche à l’eau de pluie, mais derrière laquelle est disposée une lame d’air continue permettant la récupération et l’évacuation des eaux d’infiltration (XIIIa). C’est le cas des bardages rapportés et ventilés. &#8211; Soit un système d’isolation par l’extérieur s’opposant au cheminement de l’eau par capillarité et par gravité, mis en œuvre sur une maçonnerie suffisamment imperméable pour s’opposer au cheminement de l’eau qui pourrait l’atteindre accidentellement (XIIIb). Enfin, l’étanchéité du mur de type XIV est assurée par la seule peau du système d’isolation, y compris au droit des baies. Ce sont des systèmes de bardage rapporté à recouvrement avec isolation par l’extérieur, qui relèvent soit, par extrapolation, des DTU de la série 40, soit de la procédure de l’Avis technique. b &#8211; Cas des systèmes Etics L’exposition à la pluie des procédés Etics (External Thermical Insulation Composite System), qui relèvent de la procédure de l’Avis technique, est déterminée à partir de la reprise d’eau par capillarité du système (isolant + système d’enduit) après 24 h : • murs de type XI ou XII, reprise d’eau ≥ 0,5 kg/m2,• murs de type XII ou XIII, reprise d’eau < 0,5 kg/m2. Le Document technique d’application ou l’Avis technique du procédé spécifie les types de mur réalisables. [1] Enduit hydraulique sur isolant ou mortier léger&nbsp; [2] Enduit à base de liant organique armé d’un treillis de verre sur panneaux PSE&nbsp; [3] Enduit hydraulique sur panneaux PSE, complexe fibres-ciment ou mortier léger&nbsp; [4] Peau extérieure à joints ouverts sur lame d’air, isolant non hydrophile&nbsp; [5] Système d’enduit sur isolant&nbsp; [6] Enduit plâtre éventuel [7] Enduit plâtre&nbsp; Le tableau ci-dessous indique le choix du type de murs pour une maçonnerie avec ITE. Façade abritée : façade opposée à la direction des vents de pluie quand ils possèdent une direction bien déterminée, façade sur cour ou courette, façade protégée par un obstacle naturel par exemple.Front de mer : façade en première ligne de construction autorisée la plus proche de la mer. Définitions des situations pour les constructions &nbsp; a &#8211; Situées à l’intérieur des grands centres urbains (commune où 50 % au moins des bâtiments ont plus de quatre niveaux). b &#8211; Situées dans les villes petites ou moyennes ou en périphérie des conurbations.&nbsp; c &#8211; Isolées en rase campagne. Avec l&rsquo;aimable autorisation du Bureau Veritas Construction Textes de références NF DTU 26.1 - Travaux de bâtiment - Travaux d’enduits de mortiers Conditions générales d’emploi des systèmes d’isolation thermique des façades par l’extérieur faisant l’objet d’un avis technique. Cahier du CSTB 1833 - livraison 237 de mars 1983
Il y a 4 ans et 271 jours

L'application mobile ProDevis START simplifie la prospection des Artisans Menuiserie, Store et Fermeture

Le carnet de notes des Artisans dans leur SmartphoneAlors que l'application 100% Web ProDevis START simplifie la création de devis et le passage de commande, son extension mobile intervient elle, en amont du chiffrage. C'est tout l'avant-projet, de la prospection jusqu'à la prise de notes de chantier, que l'application mobile optimise.Équipé de son Smartphone, l'Artisan retrouve les contacts autour de lui et est guidé par GPS chez ses prospects et clients. Une fois arrivé, il renseigne toutes les informations sur son client et sur le chantier directement dans son application mobile (type de produits, dimensions, couleurs, préférences du client…). Il joint également à son dossier les photos prises avec son Smartphone pour se rappeler des détails importants.Son application mobile étant synchronisée avec ProDevis START, l'Artisan retrouve son nouveau projet et toutes ses notes automatiquement à son retour au bureau. Il y finalise ainsi son devis et lance en commande en quelques minutes.De la prospection jusqu'à la commande Fournisseur, en passant par la création du projet et le chiffrage : avec ProDevis START, c'est sur tout son process de vente que l'Artisan gagne en temps et en réactivité pour augmenter son chiffre d'affaires.L'application mobile ProDevis START disponible* :Sur iOS : https://apple.co/2B0kPaUSur Android : https://bit.ly/2XVmffR*L'accès à l'application nécessite d'être abonné à ProDevis STARTL'application mobile ProDevis START pour de nouvelles fonctionnalitésCréation de projets directement lors des rendez-vous chez les clients et prospectsSynchronisation avec l'application de chiffrage ProDevis START pour y retrouver toutes les informations de son dossier et créer son devisGestion du fichier clients avec l'ensemble de l'historique disponible en quelques clicsAjout de médias (photos de chantier par exemple) pour enrichir, compléter et illustrer ses projets. 100Mo de données d'hébergement inclus gratuitementLancement de l'itinéraire vers un contact ou un projet en géolocalisation avec Waze, Google Maps ou Plan pour être diriger vers ses clients et prospectsProDevis START, un concentré d'innovations qui simplifie le chiffrage et l'activité des Artisans Menuiserie, Store, FermetureParce que le client particulier leur demande des réponses toujours plus rapides, les Artisans se doivent de gagner en réactivité pour augmenter leurs chances de remporter plus d'affaires. Une réactivité qui passe notamment par la digitalisation de leur activité, que leur apporte ProDevis START : Une application Métier Menuiserie Store Fermeture, équipée du Configurateur de vente ELCIA pour des devis et passages de commande en un clicPlus de 1 750 tarifs de 600 industriels toujours à jourUne application 100% Web, 0 contrainte informatique, disponible tout le temps et de partout (bureau, chantier, rendez-vous client)Un processus d'abonnement en ligne simple, en 5 minutes sur elcia.com/prodevis-startUn prix attractif de 55€ HT/mois sans engagement pour une liberté totaleUne application mobile synchronisée avec l'application Web, disponible sous iOS et Android pour remplacer ses notes papiers avec prise de photosEn savoir plus : www.elcia.com/prodevis-start
Il y a 4 ans et 272 jours

Tarkett rejoint le réseau Clean Hospitals

Chaque année dans le monde, des millions de patients¹ contractent, lors de leur séjour à l'hôpital, une infection nosocomiale², dont la plupart pourraient être évitées. Clean Hospitals a pour vocation de mettre l'accent sur l'importance de l'hygiène dans l'environnement hospitalier et d'améliorer la sécurité du patient.Présidée par le Professeur Didier Pittet des Hôpitaux Universitaires de Genève et expert auprès de l'Organisation Mondiale de la Santé, Clean Hospitals est une association à but non lucratif qui réunit universités, établissements de recherche, industriels, et hôpitaux de différents pays.Tarkett dispose de plus de 70 ans d'expérience dans le secteur de la santé et équipe un hôpital sur deux en Europe. Le Groupe entend ainsi apporter son expertise du sol aux différents groupes de travail de Clean Hospitals et contribuer aux travaux de recherche sur les protocoles de nettoyage et de désinfection des sols. Fabrice Barthélemy, Président du Directoire de Tarkett, a déclaré: “La lutte contre les infections liées aux soins et la résistance aux agents antimicrobiens sont deux défis majeurs du monde hospitalier, enjeux exacerbés par la pandémie de la Covid 19.Rejoindre le réseau Clean Hospitals est un engagement important auprès de la communauté hospitalière, et nous avons à cœur d'accélérer la diffusion des meilleures pratiques de nettoyage des sols dans le respect de la santé et l'environnement. L'approche scientifique et collaborative de Clean Hospitals, centrée sur la qualité de vie et la sécurité des patients et du personnel hospitalier, correspond parfaitement à notre engagement de « HumanConscious Design », plaçant l'humain au cœur de la conception de nos sols. »Le Professeur Pittet ajoute : « La plus belle réussite de Clean Hospitals, c'est d'être capable de rassembler les acteurs du monde de l'hygiène environnementale autour d'un même objectif, afin de prendre les décisions appropriées. Ce partage d'expérience et de connaissance est la clef et fait l'unicité de cette initiative. Collaborer avec toutes les parties prenantes nous permet d'être réactif en tant que réseau, quand il y a par exemple un besoin de susciter une prise de conscience, pour la recherche et l'innovation, ainsi que pour soutenir l'éducation et la formation. Cette initiative s'investit dans le but de rendre les établissements de santé plus sûrs en renforçant et en rationalisant l'hygiène environnementale. Clean Hospitals est heureux d'accueillir Tarkett. Cette collaboration apportera un nouveau domaine d'expertise au sein du réseau et l'on sait que la diversité est une richesse. »Soutenir la communauté de la santé par une approche responsable de la conception des sols, mettant l'humain au cœur du design : « Tarkett Human-Conscious Design™ »Depuis des décennies, Tarkett développe des solutions innovantes de revêtements de sol en plaçant les utilisateurs au cœur de sa démarche : patients, soignants, équipes de nettoyage.En 2013, Tarkett a décidé de ne plus intégrer de biocides dans la composition de ses sols et promeut les meilleurs standards de nettoyage et de désinfection par une utilisation raisonnée des désinfectants. Cette initiative pionnière contribue ainsi à réduire le risque inhérent à l'utilisation abusive et inappropriée des biocides entraînant un effet de résistance aux antimicrobiens.A travers cette collaboration, l'objectif de Tarkett est de contribuer au développement et à la diffusion des protocoles de nettoyage les plus efficaces et respectueux de la santé, de l'environnement et de la biodiversité en limitant l'utilisation abusive des biocides.Clean Hospitals et Tarkett : une approche collaborative au service d'une meilleure hygiène dans l'environnement hospitalierLa pandémie Covid-19 a révélé non seulement le rôle fondamental des équipes de nettoyage dans les établissements de santé mais aussi l'importance de l'application rigoureuse des protocoles.L'objectif de Clean Hospitals est d'élever les standards afin d'améliorer l'hygiène hospitalière au travers d'une approche scientifique, fondée sur des preuves. Les travaux de Clean Hospitals réalisés au profit de la santé publique ont pour vocation d'améliorer la prévention et le contrôle des infections liées aux soins et de réduire l'antibiorésistance.¹ - https://www.who.int/gpsc/country_work/gpsc_ccisc_fact_sheet_en.pdf² - Les maladies nosocomiales, ou infections liées aux soins, se réfèrent à des maladies contractées par des patients lors d'un séjour à l'hôpital.
Il y a 4 ans et 275 jours

Eqiom Bétons lance sa nouvelle plateforme d'inspiration dédiée aux bétons décoratifs

Véritable source d'inspiration et de tendances, www.articimo.fr ambitionne d'accompagner les particuliers et les professionnels en recherche d'idées et/ou désireux de concrétiser un projet d'aménagement en béton décoratif. Entièrement responsive, ce nouveau site internet offre aux internautes une expérience fluide sur tous les écrans et s'inscrit dans une démarche de proximité et de qualité avec son réseau d'applicateurs spécialisés « Créateurs Sols Béton ». ARTICIMO révèle toute l'audace du BétonHautement performant, aux qualités incontestables (thermique, acoustique, durabilité), le béton s'invite dans tous les espaces de vie. Plébiscité par les architectes et les décorateurs, malléable et personnalisable, le béton offre une diversité de déclinaisons et de finitions qui s'adapte à tout type de style. Il devient une solution d'aménagement esthétique, durable et économique nécessitant peu d'entretienIl s'applique aussi bien en intérieur qu'en extérieur pour les aménagements de terrasses, de jardins, d'allées, d'espaces de stationnement, pour les murs ou les escaliers… Par ses formes, ses textures et ses couleurs, le béton décoratif offre une multitude de possibilités pour créer une signature unique ultra contemporaine.Ses qualités techniques associées à sa richesse esthétique répondent parfaitement aux envies des clients sensibles aux finitions épurées et stylisées des sols et murs pour un résultat unique et moderne.Le site internet de référence des bétons décoratifsDans le cadre d'un projet d'aménagement intérieur et extérieur, particuliers et professionnels sont souvent à la recherche d'inspiration et de tendances sur le web. EQIOM Bétons, a développé sous la marque ARTICIMO, une gamme de bétons décoratifs pour tous les espaces de vie et propose aux internautes une toute nouvelle approche du béton sous un angle esthétique et harmonieux, personnalisable et éco-responsable, pour sublimer chaque espace afin qu'il soit un projet unique. Du choix de la solution, à son application et son entretien, www.articimo.fr propose de découvrir les meilleures idées d'aménagements en béton décoratif et met à disposition toute son expertise pour répondre à chaque besoin et à chaque style.En quête d'inspiration ou de nouvelles idées, à la recherche de solutions innovantes et durables ou d'une alternative à d'importants travaux, particuliers et professionnels découvriront au fil de leurs critères de choix, le revêtement tendance, durable et personnalisable qui leur ressemble. Créateurs Sols Béton, le réseau des professionnels experts et passionnés par le béton déco L'application des bétons décoratifs est un projet qui requiert une parfaite maîtrise et qui doit être réalisé par un professionnel formé et qualifié. Créé par EQIOM Bétons, le réseau Créateurs Sols Béton regroupe des entreprises spécialisées dans la mise en œuvre des bétons décoratifs. Les artisans sont régulièrement formés aux dernières techniques et innovations et sont garant de la qualité et des services ARTICIMO.De l'expertise produits aux conseils de mise en œuvre, le réseau offre également un service de proximité pour l'entretien et la rénovation des bétons décoratifs.www.articimo.fr permet de mettre en relation des clients et des professionnels du réseau Créateurs Sols Béton à proximité de chez eux pour accompagner leurs projets d'aménagement en béton décoratif. Il offre également, aux artisans intéressés, la possibilité de candidater pour intégrer le réseau.Enfin, pour aller plus loin et rendre leurs projets plus concrets, des showrooms ARTICIMO ont été ouverts au public – uniquement sur rendez-vous – en France et au Luxembourg. Véritables ateliers de création et d'échange, ces espaces dédiés à l'inspiration permettent à chacun, particuliers et professionnels, de découvrir l'éventail des finitions, des nuances et des textures des solutions ARTICIMO et bénéficier des conseils de nos experts.
Il y a 4 ans et 275 jours

Amelia Tavella Architectes : Casa Santa Teresa

À Ajaccio, sur la route des Sanguinaires, Amelia Tavella a entièrement réinventé une villa des années 1950 ouverte sur la mer Méditerranée. À la Casa Santa Teresa, l’architecte corse s’inspire des douces soirées estivales de son enfance pour concevoir une maison de vacances à la fois sereine et chaleureuse. Pour une propriétaire aimant particulièrement les vacances en famille ou entre amis, l’architecte Amelia Tavella a insufflé un nouveau souffle à une demeure construite dans les années 1950 sur un terrain rocheux en bord de mer. L’idée de la rénovation est simple : imaginer une maison de vacances solaire et valoriser son implantation exceptionnelle, tout en favorisant la circulation de la lumière. Bâtie en surplomb de la Grande Bleue, la maison bénéfice d’un cadre idyllique, que l’architecte a souhaité mettre en évidence. Amelia Tavella a fait le choix, d’une part, de concevoir un habitat fonctionnel et, d’autre part, d’adoucir la frontière entre intérieur et extérieur pour conserver l’esprit de l’ancienne bâtisse et concevoir un habitat contemporain facile à vivre. Spacieuse, la maison s’étend sur 400 mètres carrés répartis sur quatre niveaux. Au rez-de-chaussée, la salle de séjour est rythmée par de grandes portes vitrées pivotantes, qui ouvrent la villa sur l’extérieur, laissent pénétrer la lumière et offrent une vue imprenable sur la baie d’Ajaccio. Ce grand volume épuré et lumineux, donne sur une charmante terrasse, complétée par une cuisine d’été, une piscine et un accès privatif à la plage. Au rez-de-jardin et dans les étages, les cinq chambres et salles de bains affichent un style authentique toujours réchauffé par une palette de couleurs chaudes. À l’intérieur comme à l’extérieur, des matériaux bruts et naturels – briques, zelligues de terre cuite émaillée, bois, cannages – croisent des pièces de mobilier aussi sobres qu’élégantes. Non loin de l’archipel des Sanguinaires, la Casa Santa Teresa est une maison de rêve, disponible à la location et pouvant accueillir jusqu’à douze personnes. Et si l’on posait ses valises en Corse cet été ?Pour en savoir plus, visitez le compte Instagram de l’agence Amelia Tavella Architectes ainsi que le site et le compte Instagram de la Casa Santa Teresa.Photographies : © Amelia Tavella ArchitectesLa Rédaction
Il y a 4 ans et 276 jours

L'Urssaf accompagne les entreprises touchées par la crise

Plus de deux millions de travailleurs indépendants ont bénéficié de reports de cotisations pour un montant de 6,9 milliards d’euros depuis mars dernier. 700.000 employeurs en ont également bénéficié, pour un montant de 14,2 milliards d’euros.Pour continuer de soutenir les entreprises dans le contexte de la reprise d’activité, l’Urssaf va mettre en place les mesures issues de la troisième loi de finances rectificative pour 2020: exonérations de cotisations sociales et aide au paiement pour les entreprises appartenant aux secteurs les plus touchés, remises de dettes, plans d’apurement pouvant aller jusqu’à 36 mois.Depuis le mois de juillet, les employeurs doivent payer les cotisations sociales courantes. Ils peuvent toutefois demander à reporter leurs cotisations patronales en cas de difficulté. Dès publication des décrets d’application de la loi de finances, les employeurs concernés pourront bénéficier des exonérations et de l’aide au paiement, qui viendront réduire voire annuler la dette constituée pendant la crise. Des remises de dettes pourront être accordées aux entreprises les plus en difficulté, lorsqu’elles ne bénéficient pas d’exonérations et d’aide au paiement. Les Urssaf proposeront aux entreprises concernées, au plus tard en novembre, des plans de règlement amiable de leur dette restant à payer.Les cotisations sociales des travailleurs indépendants sont reportées de façon automatique en août. Le recouvrement normal reprend en septembre, selon des échéanciers qui sont adressés en août aux travailleurs indépendants, sur la base d’un revenu provisionnel 2020 diminué de 50% par l’Urssaf, afin de reporter au deuxième semestre 2021 le paiement des cotisations reportées pendant la crise. Les travailleurs indépendants sont invités à ajuster cet échéancier, s’ils le souhaitent, pour le rapprocher de la réalité de leur revenu, afin de limiter l’ampleur de la régularisation en 2021.Dès publication des décrets d’application de la loi de finances, les travailleurs indépendants pourront bénéficier de l’exonération exceptionnelle sur leur échéancier 2020 en ajustant leur revenu en ligne. Aucune majoration ne viendra pénaliser les travailleurs indépendants dont le revenu réel se révélerait finalement supérieur au revenu estimé.Des remises de dettes pourront être accordées. Des plans d’apurement seront proposés au plus tard en novembre aux travailleurs indépendants qui auraient des impayés.L’Urssaf a également mis en place un mini-site visant à apporter un premier niveau d’information aux secteurs concernés. Ce site, accessible à l’adresse suivante : mesures-covid19.urssaf.fr, sera enrichi et mis à jour dans les prochaines semaines.
Il y a 4 ans et 276 jours

Une étonnante résidence hôtelière aux finitions luxueuses en Hi-Macs®

Offrant un hébergement de cinq chambres d'hôtes avec salles de bains et une cuisine intérieure et extérieure, le véritable attrait de cette villa couleur argile, sont ses espaces extérieurs, dans le cadre magnifique du Haut Atlas.Cette villa spacieuse a été conçue avec un aménagement intérieur d'une qualité exceptionnelle, complété par de vastes terrasses et une imposante piscine. Doté d'une polyvalence à nul autre pareil, HI-MACS® se décline à l'intérieur et à l'extérieur.HI-MACS est un matériau Solid Surface thermoformable à l'envi. Composé de minéraux, d'acrylique et de pigments naturels, le matériau revêt une surface lisse, non poreuse et visuellement transparente, et répond aux normes les plus élevées en matière d'esthétique, de fabrication, de fonctionnalité et d'hygiène - offrant une myriade d'avantages par rapport aux matériaux conventionnels.A l'intérieur, les cuisines, les salles de bains, les têtes de lits, les bureaux, et même certains meubles et œuvres d'art ont été fabriqué en HI-MACS® pour se fondre dans les lieux tout en les sublimant.Mais c'est à l'extérieur que le matériau démontre véritablement sa polyvalence. Des tables des patios aux chaises longues incurvées semi-immergées, situées dans une zone peu profonde de la piscine, aux goulottes de bordure de la piscine, jusqu'aux étonnantes sculptures, HI-MACS®, dans sa déclinaison Alpine White, a été choisi pour refléter la lumière et apporter un sentiment de sérénité au lieu.Les pelouses vertes luxuriantes, parfaites pour une promenade pieds nus, invitent les clients à explorer les nombreuses sculptures fascinantes que l'on trouve dans les jardins. Des pièces sinueuses ressemblant à de la vigne qui serpentent aux coins du bâtiment, aux structures cubistes flottantes entourant les vieux oliviers, la diversité des œuvres fait écho aux plantations sculpturales de la propriété.Adjacent à la terrasse principale, l'imposante piscine de 25 mètres est aussi architecturalement remarquable que l'intérieur de la villa, étonnamment linéaire, mais sans compromis sur le confort. Et, pour s'abriter de la chaleur du soleil marocain, à l'ombre de la pergola, des fauteuils et canapés d'extérieur surdimensionnés. Comme la cour intérieure, à l'image des forts du désert, les Olivades Marrakech chuchotent l'histoire de la région, offrant une grande inspiration pour le yoga, la méditation et la relaxation.Les projets de cette nature exceptionnelle méritent des matériaux de la plus haute qualité, cette réalisation en est l'exemple parfait.Informations techniquesProjet Les Olivades, MarrakechLieu : Marrakech, MarocArchitecte : Gérard Iffrig, FranceFabrication : Plan Design, MarocMatériau : HI-MACS® S028 Alpine White
Il y a 4 ans et 277 jours

Le port du masque obligatoire en entreprise y compris dans les open spaces

"Il est nécessaire de systématiser le port du masque dans tous les espaces de travail qui sont clos et partagés", comme les "salles de réunions, couloirs, vestiaires, open spaces", a indiqué la ministre.Elle s'appuie sur le Haut conseil à la santé publique (HCSP) et tient ainsi compte du risque de propagation du Covid-19 par aérosols (fines gouttelettes en suspension dans l'air expiré par les malades).Considéré comme un "équipement individuel de sécurité", le coût du masque, chirurgical ou en tissu, est à la charge de l'employeur.Précédemment, son port était recommandé en entreprise quand le mètre de distance (mesure qui demeure) n'était pas techniquement possible.Par ailleurs, des mesures spécifiques, à définir, seront applicables pour l'hébergement des travailleurs saisonniers et les abattoirs, qui se sont révélés des foyers de contamination cet été, a indiqué à l'AFP, Yvan Ricordeau, de la CFDT, présent à cette réunion qui s'est déroulée en visioconférence.Un protocole national pour assurer la santé et la sécurité des travailleurs en période de Covid-19"Des réunions vont commencer la semaine prochaine", a-il dit, se montrant satisfait de la généralisation du port du masque en entreprise.Cette mesure sera consignée "dans les prochains jours" dans un "protocole national pour assurer la santé et la sécurité des travailleurs en période de Covid-19", en vue d'une application pour "la fin août", a encore expliqué la ministre.En fonction de l'évolution sanitaire et des typologies de locaux d'entreprises cette mesure pourra souffrir de "dérogations" après avis des autorités de santé.Le télétravail recommandéS'agissant du télétravail, "on va rester sur les règles d'aujourd'hui: télétravail recommandé dans les zones où le virus circule activement", a précisé la ministre. Elle a incité les partenaires à entamer et à accélérer une négociation sur le sujet."Les masques, ça ne fait pas tout, il faut aussi travailler sur les questions d'organisation du travail, de télétravail et de réduction du temps de travail", a déclaré Fabrice Angéi qui représentait la CGT à la réunion."Dans l'attente d'autres précisions, la règle sera celle-ci, elle a au moins le mérite d'être claire, si elle n'a pas le mérite d'être souple", a réagi de son côté François Asselin, le président de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises).Il s'est interrogé au passage sur le cas des restaurants, ou les clients ne portent pas le masque quand ils mangent y compris en intérieur, ou sur des personnes présentes en plateaux télés."Il faudra quand même répondre à ces sujets", lors de la redéfinition des différents protocoles, a-t-il dit.S'agissant de télétravail, il est satisfait qu'"on reste dans le système courant et qu'on ne revienne pas dans le système exceptionnel (post-confinement)", c'est-à-dire qu'il sera "à la discrétion de l'employeur et dans le dialogue social".
Il y a 4 ans et 279 jours

Réalisation d'une crèche unique en son genre dans le 20e arrondissement de Paris

Après 22 mois de travaux (dont arrêt pendant le confinement), le numéro 21 rue de la Justice dans le 20e arrondissement de Paris a accueilli une toute nouvelle crèche multi-accueil offrant 99 berceaux et une crèche familiale de 40 places sur près de 1.200 m² de surface de plancher. La réalisation est imposante et surprend par son architecture rassurante et lumineuse. Les enjeux relatifs à cette opération ont été nombreux pour l'ensemble des parties prenantes de cette opération, parmi lesquels le constructeur Spie batignolles boyer, et ont permis de véritables prouesses en matière d'économie circulaire, notamment au travers de la réutilisation de matériaux.Un modèle de construction durable Le manque de place en structures collectives pour la garde de jeunes enfants est criant et généralisé à toutes les communes françaises. Paris est forcément en première ligne en raison d'une forte densité de population et du peu d'espaces encore disponibles pour abriter une crèche. Devant ces problématiques reconnues, la Mairie de Paris s'est fixée pour ambition la création d'une nouvelle crèche à double vocation d'accueil dans un espace contraint qu'il convient d'optimiser pour offrir un maximum de places et de confort aux occupants. En ligne avec ses engagements environnementaux, la Direction des Constructions Publiques et de l'Architecture de la Ville de Paris, en qualité de maître d'ouvrage, a eu à cœur de penser un projet novateur sur le plan durable. C'est dans ce cadre qu'en 2017 était lancé un appel d'offres concernant la création d'une crèche multiaccueil, implantée rue de la Justice dans le 20e arrondissement de Paris. Ce marché imposait à toutes les entreprises désireuses d'y répondre de proposer une construction à très haute qualité environnementale dans une enveloppe budgétaire ouverte aux économies et parfaitement maîtrisée.Compte-tenu du faible espace au sol vacant à l'angle de la rue de la Justice, le cabinet d'architecture a proposé l'édification d'un bâtiment tout en hauteur en R+4 d'environ 1.200 m², peu commun pour une crèche, recouvrant une partie de l'immeuble jouxtant la future crèche et un espace vert existant. Celui-ci a été complètement réintégré à l'intérieur même de la nouvelle construction. Cette proposition pragmatique permet de réaliser une réelle économie sur le foncier. En fonction de leurs âges, les enfants accueillis au sein de la crèche, seront répartis sur les différents étages par sections, les plus âgés occupant le dernier étage. Le sous-sol a été dévolu à l'implantation des équipements techniques et au stockage de produits employés au sein de la crèche. Les équipes de Spie batignolles boyer ont réalisé un bâtiment béton à l'aide d'éléments préfabriqués de type prémurs isolés (isolant intégré dans les prémurs pour une conformité thermique garantie) en façade, en conservant son effet brut d'origine via une lasure gris béton sur la façade extérieure et un bouche pore incolore en intérieur. Les dalles ont été coulées sur place. Ce sont ces prémurs qui assurent la portance de l'ensemble du bâti et permettent de s'affranchir de la pose de nombreux éléments porteurs dans les différentes pièces pour gagner en espace de vie.Application du principe de ParetoLa réflexion des différentes parties-prenantes engagées dans cette opération s'est appuyée sur la théorie de Pareto selon laquelle 80 % des conséquences sont le résultat de 20 % des causes, ou autrement dit « faire le plus avec le moins ». Les matériaux utilisés pour la construction du bâtiment témoignent de la pugnacité des différents acteurs à inscrire le projet dans un modèle d'économie circulaire locale notable et dans un cadre budgétaire réduit. Ainsi, la réutilisation de matériaux a été privilégiée, notamment pour la conception de la façade bois issue de la transformation de 600 portes palières en chêne massif, lesquelles étaient à l'origine installées dans les immeubles de logement de la RIVP en rénovation dans le même quartier et destinées à être détruites.Conçue telle une vêture en forme de V, celle-ci vient recouvrir la première enveloppe du bâtiment réalisée en béton donnant sur rue et sur la résidence Paris Habitat pour apporter une touche de chaleur et de nature à l'ensemble. Elle a également vocation à préserver l'intimité des enfants de l'extérieur et à apporter un confort l'été en servant de brise-soleil. Les panneaux bois viennent prendre appui sur une ossature en acier galvanisé constituée de montants verticaux et de traverses horizontales.Tous les étages disposent de balcons filants aménagés, les uns sous les autres, entre la structure même du bâtiment et la vêture en bois. Un filet en maille inox faisant office de garde-corps a été disposé derrière les balcons, pour garantir la sécurité des enfants. L'angle du bâtiment reçoit un grand escalier balancé desservant l'ensemble des étages, aménagé pour répondre aux normes de sécurité de l'immeuble. C'est un combo gagnant qui a été judicieusement adopté dans cette construction : optimisation des matériaux voués à la destruction = réduction des déchets = transformation + réutilisation de ces matériaux pour préserver les ressources et générer des économies. De surcroît, les attributs environnementaux de ce bâtiment lui confèrent des perspectives d'économie avantageuse sur les futures charges d'exploitation.Fiche d'identité du projetMaître d'ouvrage : Direction des Constructions Publiques et de l'Architecture de la Ville de ParisAssistant MOA : InddigoArchitecte : Jean Bocabeille - BFV Architectes Assistant MOE : Bellastock et AGI2D BET technique : Berim BET acoustique : Vivie & Associés Entreprise générale : Spie batignolles boyer
Il y a 4 ans et 283 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 284 jours

Le Groupe Würth résiste à la crise sanitaire au premier semestre avec une baisse modérée des ventes

Les ventes ont baissé à la fois en Allemagne (-0,5%) et, dans une plus large mesure, à l'étranger (-4,9%). « Étant donné le contexte actuel de pandémie mondiale, nous sommes plus que satisfaits de cette évolution relativement stable », a déclaré, soulagé, Robert Friedmann, Président et porte-parole de la Direction du Groupe Würth. « Grâce à la prise en compte de l'artisanat comme un « commerce essentiel » et à la mise en place réussie de notre infrastructure digitale pour les processus de commande et d'approvisionnement ces dernières années, nous avons toujours été en mesure de livrer nos produits et nous n'avons pas subi de goulot d'étranglement dans l'approvisionnement ».« Nous avons bénéficié du fait que le secteur du bâtiment a continué d'afficher des ventes en hausse durant les premiers mois de l'année 2020 », a expliqué M. Friedmann. « D'un autre côté, en tant que fournisseur du secteur automobile, nous ressentons les effets consécutifs aux grandes difficultés de cette industrie ».E-business : un stabilisateur en temps de criseDans les pays durement touchés par la COVID-19, comme l'Italie, la France et l'Espagne, les filiales du Groupe Würth ont particulièrement ressenti les effets de la crise. Cependant, malgré la paralysie économique générale dans de nombreux pays, notamment en France, où le gouvernement a imposé un confinement total entre le 17 mars et le 11 mai, les entreprises ont tout de même pu connaître de belles réussites grâce à leurs canaux de commerce électronique. Le changement structurel stratégique vers les canaux digitaux, tels que les boutiques en ligne, l'application Würth et l'e-procurement, ont permis à Würth France d'enregistrer une hausse de l'e-business de 27,8% au cours du premier semestre. Les solutions d'approvisionnement « sans contact » se sont révélées être une solution idéale. La performance et l'efficacité du groupe restent dirigées par trois facteurs : la stratégie multicanale, la diversification des risques à travers l'implantation internationale du groupe et son modèle commercial. Par conséquent, le groupe a toujours été en mesure d'être un partenaire flexible pour ses clients de l'industrie et de l'artisanat tout au long de la crise du coronavirus.Forte croissance dans la division BâtimentAu premier semestre 2020, les ventes mondiales de la division Bâtiment, poussées par la demande toujours élevée dans ce secteur, ont augmenté de 9,2% par rapport à la même période de l'année dernière. La gestion de projet pour chantiers proposée par le groupe a représenté un moteur de croissance particulièrement important.Le commerce de gros en matériel électrique épargné par la criseLes sociétés de l'unité Commerce de gros en matériel électrique ont déclaré une forte hausse des ventes de 13,7%. Parmi les facteurs positifs qui ont influé sur l'évolution des ventes de l'unité figurent des capacités d'approvisionnement stables et une acquisition en Espagne, achevée en 2019. Résultat d'exploitationAvec 280 millions d'EUR à la fin du premier semestre 2020, le résultat d'exploitation du Groupe Würth est largement en dessous de celui de l'année précédente (340 millions d'EUR en 2019). « C'est une baisse que nous allons devoir gérer. Cependant, compte tenu des circonstances, nous sommes plutôt satisfaits de ces résultats. Pour l'heure, nous examinons toutes nos options en termes d'activités de vente et de gestion des coûts afin de nous assurer de notre capacité à convertir cette crise en opportunité », a conclu M. Friedmann.EffectifsLe nombre d'employés a diminué de 603 personnes, passant de 78 686 employés à la fin de l'année 2019 à 78 083 au premier semestre 2020. La force de vente du Groupe compte actuellement 33 467 conseillers commerciaux.Le Groupe Würth fête son 75e anniversaireL'année 2020 marque la célébration de deux anniversaires au sein du Groupe Würth : les 85 ans de Reinhold Würth et les 75 ans du Groupe. Le magasin de visserie Adolf Würth a été immatriculé au registre du commerce de Künzelsau le 16 juillet 1945. Cette date marque les débuts d'une entreprise d'envergure mondiale.La construction du Carmen Würth Forum à Künzelsau est achevéeL'annexe au centre culturel et de congrès Carmen Würth Forum à Künzelsau, dans le Bade-Wurtemberg, également conçue par le cabinet d'architecture David Chipperfield Architects, est terminée. D'une superficie totale de 5 500 mètres carrés, la nouvelle aile ajoute un espace de conférence polyvalent et un musée d'art, le musée Würth 2, ainsi qu'une cafétéria et un hall d'entrée pour la salle de musique de chambre et la Grande salle. Le musée met en vedette les principales œuvres d'art moderne et contemporain de la Collection Würth. La société Adolf Würth GmbH & Co. KG a investi près de 39 millions d'EUR pour cette annexe.
Il y a 4 ans et 285 jours

EN 197-1 : La norme ciment coincée à Bruxelles

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. Laurent Izoret est directeur délégué produits et applications à l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). [©ACPresse] Le retard de publication de la norme ciment EN 197-1 se calcule en années, à présent&#8230; Ce blocage est la conséquence d’une décision de la Cour européenne de justice, comme le rappelle Raoul de Parisot, président de Cembureau : «&nbsp;Aujourd’hui, une norme harmonisée &#8211; c’est-à-dire une norme unique et identique pour l’ensemble des pays membres &#8211; fait pour ainsi dire force de loi. De ce fait, la Commission européenne a souhaité vérifier que chacune de ces normes couvre bien les éléments essentiels de leur objet. Ceci pour garantir, par exemple, la sureté de la construction pour les normes concernées.&nbsp;»&nbsp; Le problème avec le blocage de l’EN 197-1 est qu’il empêche la mise sur le marché des nouveaux ciments “bas carbone”. Alors même que la Commission européenne milite pour faire baisser les émissions de carbone ! Le premier ciment concerné est le CEM II/C-M. Il est constitué d’une part de clinker compris entre 50 et 64 %, additionné d’une part de 36 à 50 % de calcaire et autres composants au choix (laitier de hauts fourneaux, fumée de silice, pouzzolane, cendres volantes ou schiste calciné). Vers une norme non harmonisée « Cela ouvre la voie aux ciments dits “LC3” ou “Limestone Calcinated Clay and Clinker Cement”, c’est-à-dire des ciments composés d’argile calcinée et de calcaire broyé », confirme Laurent Izoret, directeur délégué produits et applications à l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh). Ces ciments n’étaient pas programmés dans l’EN 197-1 révisée, mais compte tenu du retard pris par Bruxelles, il n’est finalement plus exclu que cette catégorie puisse y faire son entrée&#8230; La seconde famille de ciments est inédite dans la norme et se nomme CEM VI. Il s’agit de ciments ternaires : une part de 35 à 49 % de clinker, une part de 31 à 59 % de laitier de hauts fourneaux et une part de 6 à 20 % d’un 3e constituant au choix (pouzzolane naturelle, cendres volantes siliceuses ou calcaire). Afin de pallier cette problématique de retard de révision &#8211; et pour ne pas continuer à bloquer la sortie des nouveaux ciments -, le Comité européen de normalisation, qui a la responsabilité d’édicter les normes, vient d’autoriser la publication de la norme ciment. Mais d’une manière non harmonisée ! En d’autres termes, chaque organisme national de normalisation &#8211; l’Afnor pour la France &#8211; va publier cette norme dans son pays. Cette dernière sera identique d’un pays à l’autre&#8230; Réviser les documents d’application Comment s’appellera-t-elle exactement ? Le “197” sera présent, tout comme la marque “NF”. Pour le reste, comme la mention “EN” et le petit chiffre final, les choses sont encore dans le flou. Mais l’important n’est pas là. En effet, outre la norme, il est indispensable de travailler sur les différents documents d’application pour autoriser l’utilisation des nouveaux ciments. Cela va de la NF BPE aux normes produits auto-portants, en passant par le Fascicule 65, les NF DTU, le cahier EDF ou encore la NF Liants hydrauliques. « Concernant la norme ciment non harmonisée, nous espérons une publication pour la fin de cette année 2020, précise Laurent Izoret. Et durant le premier trimestre 2021 pour les divers documents d’application. » Cette approche va permettre de faire avancer les choses, en attendant que la situation se débloque à Bruxelles. D’autant plus qu’il est indispensable de garder le caractère technique de la normalisation. C’est même sa raison d’être. Si, après révision par la Commission européenne, les normes sont vidées de leur substance technique au seul bénéfice du cadre juridique, ce ne seront plus des normes. Ce sera autre chose&#8230; Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 285 jours

Après la crise, les géants des centres commerciaux restent dans le flou

"Il y a encore pas mal d'incertitudes", a résumé à l'AFP Christophe Cuvillier, patron du géant français des centres commerciaux URW qui, comme son grand concurrent Klépierre, présentait mercredi ses comptes semestriels.Tous deux ont dû fermer plusieurs semaines leurs centres dans de nombreux pays suite aux mesures de confinement face au coronavirus.Klépierre, notamment détenteur de Créteil Soleil, et URW, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, sont basés en France, mais leurs centres sont disséminés à travers l'Europe et, pour le second, les Etats-Unis.Les revenus semestriels d'URW ont chuté de 14,2% à 1,07 milliard d'euros et son bénéfice récurrent, indicateur de référence de l'immobilier, de 27,2% à 667 millions.Plus résistants, les revenus et le bénéfice de Klépierre ont respectivement baissé de 7,8% à 616 millions et de 4,3% à 392,1 millions.Et maintenant? Le secteur reste en pleine incertitude même si les deux géants français ne sont pas dans la situation de leur homologue britannique Intu, qui vient de déposer le bilan.Les deux groupes français avaient renoncé à leurs prévisions au début de la crise. Ils n'en donnent pas de nouvelles, quand bien même leurs centres ont tous (chez Klépierre) ou largement (chez URW) rouvert, avec un redémarrage qu'ils s'accordent à juger meilleur qu'attendu."Il est préférable d'attendre d'avoir un peu plus de visibilité", a admis M. Cuvillier. "On vient de sortir du confinement dans certains pays; pour l'Angleterre c'était le 15 juin. Et aux USA, on a un centre qui n'a toujours pas pu rouvrir (à New York)."L'ironie, c'est que les Etats-Unis et le Royaume-Uni sont justement les pays où l'ancien Unibail-Rodamco s'est implanté récemment avec l'acquisition massive du groupe Westfield, une opération d'une vingtaine de milliards d'euros qui peinait à séduire les investisseurs avant même la crise.Le spectre du moratoireKlépierre, essentiellement présent en Europe, n'a pas ce souci et signe donc de meilleurs résultats. Mais les deux groupes partagent un avenir d'autant plus flou qu'ils sont en pleine négociation avec leurs locataires, les enseignes elles-mêmes, dont beaucoup désirent annuler des semaines ou des mois de loyers.Les tensions étaient telles, en plein confinement, que le gouvernement français a forcé les deux secteurs à la discussion. Conclue début juin, celle-ci a plutôt tourné à l'avantage des propriétaires, aucune annulation générale n'étant décrétée.Désormais, "la plupart des négociations se passent de manière très cordiale et très efficace", a assuré M. Cuvillier, même si son groupe estime n'en avoir mené à bien qu'un quart.Un nouvel écueil menace le secteur avec les succès électoraux des écologistes aux municipales de juin. Plusieurs grandes villes, comme Lyon et Bordeaux, ont élu des maires verts sur un programme généralement défavorable au gigantisme commercial incarné par les grands centres.Plus largement, le discours écologiste, également mis en avant par l'écho donné début juillet aux conclusions de la Convention citoyenne pour le Climat, infuse dans le reste de la classe politique jusqu'au chef de l'Etat lui-même, Emmanuel Macron."Nos concitoyens ne veulent plus de nouvelles grandes surfaces en périphérie", proclamait-il début juillet. "Ils veulent retrouver des commerces de centre-ville."Au nom de la lutte contre l'"artificialisation des sols", le gouvernement promet en particulier un moratoire sur les nouvelles zones commerciales à la périphérie des villes, même si l'application de cette mesure reste floue dans l'attente d'une loi annoncée pour 2021."Il est important que la préservation du souci écologique ne se fasse pas au détriment de la modernisation du commerce et la création d'emplois", a prévenu M. Cuvillier, assurant pour autant d'une différence "entre ce que l'on peut entendre dans les discours et la réalité du terrain"."Quand vous parlez aux maires des villes dans lesquelles on est, ils ont tout à fait conscience de l'importance du commerce et de l'investissement dans ces centres", a-t-il rapporté.
Il y a 4 ans et 285 jours

GCC : Le fond environnemental avant la forme

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Amandine Debrand, ingénieure environnement de GCC. [©GCC] Amandine Debrand, ingénieure environnement, et Stéphane Loiseau, directeur technique de GCC, détaillent les grands principes de&nbsp;la politique environnementale du groupe&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Nous souhaitons d’abord rester pragmatiques. Nous avons toujours comme objectif de travailler les projets le plus en amont possible. Ce qui nous permet de proposer aux maîtrises d’ouvrage et d’œuvre des adaptations, des variantes, des solutions techniques… Allant dans le sens d’une limitation de l’impact environnemental, tant au niveau de la période de chantier que sur la durée. Néanmoins, nous devons toujours rester réalistes, ce qui ne nous empêche pas de tester en permanence des solutions innovantes, qui seront ou pas retenues pour les chantiers à venir. Comme nous disposons d’une quarantaine d’agences sur l’ensemble du territoire national, cela nous permet de pratiquer une remontée d’information systématique et d’en faire profiter l’ensemble des collaborateurs du groupe&nbsp;». téphane Loiseau, directeur technique de GCC. [©GCC] «&nbsp;Les maîtres d’ouvrage sont de manière globale réceptifs à nos propositions,&nbsp;précise Stéphane Loiseau.&nbsp;Surtout lorsqu’ils constatent qu’une approche environnementale sérieuse n’implique pas toujours une augmentation des coûts.&nbsp;»&nbsp;Pour structurer ces démarches, la direction “Ingénierie et technique” dispose des capacités à développer des solutions innovantes, globales, mais aussi performantes dans la durée. Le tout en répondant aux labels en vigueur.&nbsp;«&nbsp;Nous avons lancé un plan “Environnement-énergie-climat”, ajoute Amandine Debrand.&nbsp;Nécessaire dans le cadre des accords de Paris, avec des maîtres d’ouvrage contraints de pousser les entreprises à intégrer de plus en plus de paramètres environnementaux dans leurs projets. » Gérard Guérit Travailler sur les systèmes et les matériaux GCC développe des partenariats dans l’application de nouveaux matériaux, comme les bétons décarbonés d’Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Les exemples de recherche appliquée sont nombreux. Comme ce partenariat engagé avec l’industriel vendéen Hoffmann Green Cement Technologies, qui a mis au point un béton décarboné. Les équipes de GCC ont réalisé de nombreux tests sur le liant U-HKR. Et les résultats sont prometteurs. GCC travaille aussi autour des applications bois/béton. Y compris sur des évolutions spécifiques, comme le bois utilisé en coffrage, dans une démarche proche de celle du prémur.&nbsp;«&nbsp;Nous étudions les solutions “tout bois”, sachant qu’elles sont souvent plus coûteuses que les techniques béton, explique Stéphane Loiseau. Les chantiers sont plus rapides et moins contraignants pour l’environnement immédiat. Tout dépend du contexte et du type de constructions.&nbsp;» Pour sa part, le développement du BIM aide à étudier des bâtiments. Pouvant être évolutifs dans le temps, sans avoir à déconstruire la structure en cas de changement d’affectation.&nbsp; «&nbsp;Nous appliquons la devise “Le bon matériau au bon endroit”.&nbsp;Aucun matériau n’est donc écarté. Et le choix est fait à la lumière des contraintes techniques et économiques. Mais aussi de la volonté du maître d’ouvrage&nbsp;»,&nbsp;détaille Stéphane Loiseau. Et de rajouter&nbsp;:&nbsp;«&nbsp;Nous privilégions la simplicité et la facilité de maintenance. Par exemple, nous préférons proposer un bâtiment naturellement peu énergivore. Plutôt que d’arriver au même résultat officiel, en “compensant” par une production d’électricité via des capteurs photovoltaïques&nbsp;». De la production des bétons aux déchets de chantier GCC privilégie l’installation d’une centrale à béton sur site lorsque cela est possible. [©GCC] L’organisation, l’approvisionnement et la logistique des chantiers font partie des points importants de la politique environnementale de GCC. La première question qui se pose est le choix du moyen de production des bétons.&nbsp;«&nbsp;Lorsque c’est possible,&nbsp;nous privilégions l’installation d’une centrale sur site,&nbsp;»,&nbsp;précise Stéphane Loiseau.&nbsp;Pour les approvisionnements, l’entreprise favorise les circuits courts.&nbsp;«&nbsp;A titre d’exemple, nous préférons parfois promouvoir un isolant classique, mais fabriqué dans la région du chantier, plutôt qu’un isolant biosourcé qui nécessite un transport de plusieurs centaines de kilomètres&nbsp;»,&nbsp;indique Amandine Debrand. Les modes de conditionnement, les matériaux retenus… contribuent à l’optimisation de la gestion des déchets de chantiers et de leur recyclage.&nbsp;«&nbsp;L’économie circulaire commence à être une réalité,&nbsp;ajoute Amandine Debrand.&nbsp;Nous avons engagé plusieurs réflexions à ce sujet. Nous avons aussi initié des démarches avec des start-up spécialistes de ces sujets.&nbsp;» Dans le cas de déconstructions et/ou de rénovations lourdes, le concassage et la réutilisation des bétons de démolition sont privilégiés dans l’environnement immédiat du chantier.&nbsp;«&nbsp;Contrairement à ce que l’on imagine, le recyclage des bétons n’est pas toujours évident, surtout lorsque l’on souhaite utiliser ces bétons pour la réalisation de structures porteuses. D’où l’intérêt de pouvoir conserver le gros œuvre d’un ouvrage dans la durée et dans des affectations différentes », explique Stéphane Loiseau. Optimiser les installations, gérer les nuisances La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains. [Gérard Guérit] Les installations de chantier font aussi l’objet de réflexions à des degrés divers. L’idée de cantonnements “verts” a permis d’imaginer des bungalows assez indépendants en énergie, grâce à la pose de capteurs photovoltaïques. La direction de GCC est ensuite allée plus loin, faisant appel à des fournisseurs de capteurs européens et non chinois. Mais aussi, en améliorant les performances thermiques des bungalows, par habillage de bois et isolation à l’aide de matériaux biosourcés. Les opérations en site urbain imposent de réduire au maximum les nuisances. Cela peut influer les modes opératoires. Par exemple, retenir des bétons auto-plaçants pour éviter les opérations de vibration. Adapter les horaires de travail pour les interventions les plus bruyantes (usage de marteaux-piqueurs ou travaux de concassage en phase de démolition). Ces adaptations, qui peuvent aller jusqu’à modifier une technique d’intervention, sont incontournables pour les travaux situés à proximité d’écoles, de crèches, d’établissements de santé… La gestion des nuisances passe aussi par une bonne communication avec les riverains.&nbsp;«&nbsp;Une nuisance expliquée est plus facilement admise. Nous organisons des visites de chantier pour les riverains. Ce qui leur permet de mieux comprendre nos contraintes, d’accepter des désagréments passagers, et qui sait, de donner des vocations aux plus jeunes. Le BTP peinant toujours à recruter du personnel qualifié&nbsp;»,&nbsp;confirme Amandine Debrand. Réinventer les modes de déplacement GCC a fait le choix du véhicule électrique, même si les véhicules à motorisation thermique restent majoritaires. [©Nissan] La politique environnementale passe par l’optimisation des transports. Amandine Debrand en expose les grandes lignes.&nbsp;« Nous évitons que des personnes qui habitent dans le Sud de l’Ile-de-France soient envoyées sur des chantiers situés à l’autre extrémité de la région. Nous travaillons à optimiser les déplacements des commerciaux, des conducteurs de travaux et de tous les collaborateurs.&nbsp;» GCC prend en compte les évolutions des modes de déplacement. A moyen terme, l’entreprise vise le “tout électrique”, estimant que la solution de l’hybridation n’a pas vraiment de sens pour des véhicules surtout utilisés sur route. GCC s’appuie sur le fait que les derniers modèles de véhicules électriques disposent d’une autonomie suffisante pour pouvoir être utilisés comme un véhicule thermique, moyennant une organisation un peu adaptée. Ces hypothèses ont déjà pu déjà être vérifiées par des cadres de l’entreprise, amenés à se déplacer sur des distances relativement importantes. De plus, les salariés peuvent bénéficier d’un “pack mobilité GCC”, qui prend la forme d’un forfait permettant de retenir le moyen de transport le plus adapté à la situation du moment, de la trottinette électrique à la location de voiture, en passant par le Vélib et l’achat de billets de train&#8230; Cette démarche correspond à une vraie demande, surtout de la part des générations montantes, qui ne  considèrent plus la voiture de fonction comme un “plus”, mais pour certains comme une contrainte, en particulier dans les grandes zones urbaines. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 285 jours

Enghien-les-Bains : les immeubles insalubres seront remplacés par des logements sociaux

Les immeubles insalubres en face de la gare d’Enghien-les-Bains vont céder leur place à des logements sociaux.
Il y a 4 ans et 289 jours

Beepiz, le dispositif d'alarme pour travailleurs isolés (DATI) dépasse les 15.000 téléchargements

Ils permettent d'aviser les secours lorsqu'un salarié fait face à un danger (agression, chute, immobilité prolongée, perte de verticalité…). Ces derniers mois, le confinement et le chômage partiel ont vidé les locaux des entreprises et généré une forte hausse des sollicitations pour Beepiz. Son application a franchi le cap des 15 000 téléchargements.La protection des travailleurs isolés : une obligation légale pour les entreprises Selon l'article R 4543-19 du Code du travail, « un travailleur isolé doit pouvoir signaler toute situation de détresse et être secouru dans les meilleurs délais. »Cette disposition concerne, en France, plus de 3 millions d'employés qui travaillent hors de vue et de voix : ouvriers, techniciens, personnel d'entretien, agents de maintenance, de sécurité, chauffeurs routiers… Pourtant, ce ont seulement de 5% à 10% de ces collaborateurs qui sont équipés d'unDispositif d'Alarme pour les Travailleurs Isolés (DATI). En cause : le coût lié aux équipements et la difficile appropriation d'un appareil encombrant par les salariés.En 2017, Beepiz se positionne en précurseur avec la première application qui transforme le smartphone en dispositif d'alerteL'application comporte 5 modes d'alerte : 2 modes manuels (SOS & Agression) et 3 modes automatiques (détection de chute, d'immobilité prolongée ou de perte de verticalité). En cas de danger, une alerte enrichie comportant les informations nécessaires aux secours (identité, heure, date, type de danger, localisation extérieure, localisation intérieure…) est envoyée aux personnes préalablement définies. Les encadrants disposent quant à eux d'un portail web en ligne leur permettant de gérer et superviser les applications DATI. Ils peuvent ainsi paramétrer les alertes, la localisation intérieure ou vérifier que tous les collaborateurs se portent bien. Une nette croissance des sollicitations durant la crise sanitaireDisponible en version gratuite, standard ou premium, Beepiz a été développée pour répondre aux besoins de clients de taille et d'univers très différents (usines, services à la personne, entretien, sociétés de services, collectivités territoriales, BTP, Établissements de santé…)Cette flexibilité, inhérente à la solution, a été le mot d'ordre de son éditeur dans le contexte particulier de la crise sanitaire. Objectif : accompagner au mieux les entreprises durant cette période inédite.Julien Rousseau, dirigeant de Beepiz indique :« Pour faire face au Covid-19, les entreprises ont dû se réorganiser dans l'urgence. Nous avons ainsi connu une forte hausse des sollicitations. Beaucoup de structures devaient en effet sécuriser les collaborateurs qui continuaient de se rendre sur les sites parfois presque vides du fait du recours prioritaire au télétravail et du chômage partiel. Au regard du contexte et pour accompagner au mieux ces dernières ainsi que leurs salariés, nous nous sommes engagés sur un déploiement accéléré : activation de la licence sous 2h et formation à la prise en main sous 6h.Sur la période, nous avons enregistré 76 nouveaux clients, soit + 150 % par rapport à l'année précédente, (et même 850% d'augmentation de licences vendues sur les 6 premiers mois 2020 par rapport à la même période en 2019) et plus de 2300 téléchargements de l'application avec des pics à 100 téléchargements par jour. Notre leitmotiv est de gagner du temps pour sauver des vies et nous sommes particulièrement fiers d'avoir pu mettre notre savoir-faire au service de ceux qui n'avaient pas la possibilité de rester chez eux. »Forte de cette expérience et convaincue de sa capacité d'adaptation, Beepiz - qui a réalisé une progression de 90 % de ses ventes entre 2018 et 2019 - se projette désormais sur son déploiement en France mais aussi à l'international, en ciblant, dans un premier temps, la Belgique, la Suisse et l'Italie. L'entreprise compte ainsi se renforcer avec l'intégration d'un Business Developer International et l'ouverture de 13 postes de commerciaux, de techniciens et de développeurs à pourvoir sur la période fin août/début septembre.
Il y a 4 ans et 292 jours

Hérault : Le port de Sète à nouveau enjambé

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Zone technique où seront installés deux vérins de 200 t destinés à lever le futur pont du port de Sète. [©Coffrin] Le port de Sète était traversé par le pont Sadi Carnot qui supportait le route départementale 2 reliant Balaruc-les-Bains à l’étang de Thau. Mais ce pont métallique, vieux de 70 ans, ne correspondait plus aux normes de sécurité actuelles. Il a donc été remplacé, lors d’un chantier qui a couru sur l’année 2019. Mené par NGE GC/Lagarrigue, la nouvelle réalisation s’articule autour de de deux énormes vérins d’un poids unitaire de 200 t destinés au levage du pont. Ces vérins sont logés dans une zone de maintenance technique, coffrée à l’aide d’un outil développé par l’industriel Coffrin. «&nbsp;Nous faisions face à plusieurs contraintes, notamment trois phases de coulage distinctes, explique Guillaume Larrieu gérant de l’entreprise.&nbsp;Mais aussi l’obligation d’intégrer et l’assembler des coffrages à l’intérieur de l’imposante cage d’armatures. Enfin, le démontage en éléments mesurant 90 cm maximum pour passer par la trappe d&rsquo;évacuation.&nbsp;» Pour ce faire, Coffrin a divisé son outil en plusieurs coffrages distincts. A commencer par une porte d’accès pour les techniciens de maintenance, par un quart de cercle de rayon de 3 m (permettant le passage de l’extrémité des poutres du tablier métallique du pont au moment du basculement). Mais aussi un triangle support des vérins et un support du tablier supérieur. La zone obtenue a permis d’installer les vérins, qui lèvent le pont en acier massif trois fois par jour. 
Il y a 4 ans et 292 jours

ADP confie la réfection de la piste la plus longue de l'aéroport de Paris-Le Bourget à NGE

Les travaux consistent en la rénovation de la piste 03/21 sur une longueur de 1.800 ml. NGE s'appuie sur son expérience en travaux similaires sur autoroutes et mobilise sa plus grande centrale d'enrobés pouvant produire 400 tonnes d'enrobés par heure. L'ensemble des enrobés rabotés sera revalorisé dans les formulations d'enrobés et mis en œuvre autour des regards de balisage ou d'assainissement le long de la piste. Cette opération appelée la « déléthalisation » permet que les regards ne soient plus un obstacle pour le train d'atterrissage des avions et évite le sur-accident.Du fait d'un accès au chantier très sécurisé, via un Poste d'Accès Routier Inspection Filtrage (PARIF) créé spécifiquement par NGE, tout le personnel doit suivre une formation sûreté afin de valider un Titre de Circulation Aéroportuaire (TCA).L'aéroport Paris-Le Bourget est le plus ancien aéroport de Paris. Son passé historique démontre un risque de pollution pyrotechnique avéré datant de la seconde guerre mondiale. Un diagnostic pyrotechnique des sols a été réalisé avant le démarrage des travaux, le 28 juin 2020, par la société BÉRENGIER DÉPOLLUTION, filiale de NGE spécialisée en dépollution pyrotechnique et amiante, qui assurera un suivi spécifique de ces travaux.Enfin, la piste à rénover s'exécutera avec le maintien en activité des deux autres pistes. Pour sécuriser la circulation de ses engins, NGE développe, par le biais de son service innovation, une application mobile de localisation GPS (barrière virtuelle) appelée géofencing. Les engins sont géolocalisés en temps réel et reçoivent une alarme à l'approche d'une zone interdite.« Groupe ADP nous a fait confiance grâce aux compétences acquises sur nos grands chantiers autoroutiers. Mais sur une piste d’aéroport, ce sera une première pour NGE. Cette opération est donc importante pour NGE. Nous avons investi dans la formation sûreté propre aux aéroports pour tous nos collaborateurs et nous développons spécifiquement une application mobile pour sécuriser la circulation de nos engins. Enfin, dans notre démarche qualité et environnementale, un effort est fait pour le recyclage des enrobés ».- Yoann André, Directeur des travaux NGE
Il y a 4 ans et 296 jours

Hilti et Ottobock développent en partenariat des Exosquelettes pour le secteur de la construction

Des solutions prometteuses pour améliorer l'ergonomie des utilisateurs !Hilti, groupe spécialisé dans les technologies de construction, et Ottobock, entreprise de technologie médicale, conjuguent leur savoir-faire en matière de sécurité, de protection de la santé et de biomécanique afin d'étendre leur portefeuille de solutions ergonomiques. Les deux entreprises disposent d'une vaste expérience dans ces secteurs accumulée au cours de nombreuses décennies et coopéreront à l'avenir dans le domaine de la recherche et du développement.« Les exosquelettes sont une véritable tendance de fond pour nous. Ils permettent un certain soulagement dans le cadre d'activités physiques pénibles, comme on peut notamment les rencontrer sur les chantiers de construction. Nous avons trouvé en Ottobock le partenaire idéal pour combiner nos connaissances approfondies en matière de protection des utilisateurs et d'ergonomie grâce à l'expertise centenaire de cet acteur en biomécanique. Notre partenariat technologique est la première étape du développement d'autres systèmes innovants et axés sur les besoins de la clientèle. »- Johannes Wilfried Huber, Membre du Comité Exécutif chez Hilti« Nous sommes ravis d'acquérir un nouveau champ d'application avec le concours de Hilti. Nous misons en effet sur les expériences que nous avons recueillies dans le cadre de 500 projets de conception d'exosquelettes réussis, notamment dans l'industrie automobile et l'artisanat. Les opportunités qui s'offrent aux solutions permettant de réduire la contrainte physique subie par les collaborateurs dans le secteur de la construction sont très prometteuses. Nous avons pour ambition de consolider ensemble cette activité au cours des années à venir. »- Sönke Rössing, Directeur d'Ottobock Industrials Cette division développe depuis 2012 des exosquelettes industriels de la gamme Paexo qui permettent d'améliorer l'ergonomie des postes de travail.Sortie début 2021 du modèle Hilti EXO-O1Hilti commercialisera début 2021 un premier produit commun : le système EXO-O1. Il s'agit d'un modèle passif qui ne nécessite aucune alimentation en énergie. Le poids des bras est transféré vers les hanches via des coques de bras et à l'aide d'un système mécanique de câbles de traction. Les pics de contrainte exercés sur les muscles sont ainsi réduits jusqu'à 47%, ce qui soulage les épaules, d'après des études indépendantes et des analyses d'Ottobock.Les exosquelettes contribuent ainsi largement à la protection de la santé, notamment dans le cadre de travaux réalisés au-dessus de la tête ou des épaules. Ils sont tout particulièrement utiles dans le secteur de la construction où les tâches répétitives et prolongées ne manquent pas. La fatigue est par ailleurs réduite. Ces travaux peuvent donc être réalisés sur un intervalle prolongé et à un degré de productivité supérieur.A long terme, le soulagement préventif peut contribuer à la réduction de maladies musculosquelettiques professionnelles. Ces affections font en effet partie des principales causes de maladies professionnelles et présentent donc un important facteur de coût pour les entreprises et les systèmes de santé.
Il y a 4 ans et 296 jours

Quoi de neuf dans les produits liés aux chapes fluides ?

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Comparée à une chape traditionnelle, la XXs d’Edilteco est 50 % plus légère. [©Edilteco] Retrouvez tous les produits liés au secteur de la chape fluide. BASF : La MasterFiber 236 est aussi destinée aux chapes Les fibres MasterFiber 236 n’impactent pas la rhéologie du mélange grâce à leur rigidité.[©BASF] Avec la MasterFiber 236 bénéficiant d’une ETPM, BASF intensifie son activité dans le domaine des dalles et chapes fluides. En complément de son rôle structurel dans les bétons, cette fibre macro-synthétique adresse désormais aux professionnels de la chape. Les qualités intrinsèques des fibres MasterFiber 236 en font un complément aux chapes et dalles fluides. En effet, ces fibres n’impactent pas la rhéologie du mélange grâce à leur rigidité. Leur forme ondulée permet un très bon ancrage et enrobage dans la matrice. Et leurs propriétés mécaniques favorisent les reprises d’efforts. Les fibres se répartissent facilement et de manière homogène dans les bétons et chapes. De plus, il n’y a pas d’épis de fibre en surface de la chape après le passage de la batte, car les MasterFiber 236 s’orientent bien dans le sens de l’écoulement. Elles sont transparentes et peuvent être ajoutées aux matériaux secs ou bien après l’eau et les adjuvants. Brinkmann : L’EstrichBoy se réinvente Présenté lors de la dernière Bauma, en avril 2019, l’EstrichBoy DC 450 de Brinkmann est distribué en France via le réseau de vente de Lancy.[©ACPresse] Pas moins de cinquante années au compteur et l’EstrichBoy DC 450 de Brinkmann continue de se réinventer. Ce transporteur de chapes à air comprimé dispose d’un nouveau tableau de commande, orienté vers l’opérateur et lui permettant d’avoir accès à toutes les fonctions, tout en restant à côté de l’équipement. L’afficheur est protégé par une plaque en verre résistante aux rayures, aux chocs, à l’eau et à la saleté. Mais qui peut néanmoins être changée individuellement en cas de besoin. Ce tableau dispose notamment d’un indicateur de carburant. Afin que la machine puisse fonctionner plus longtemps sans avoir à refaire le plein de carburant, le volume du réservoir fait désormais 70 l (soit 20 % de mieux que la génération précédente), ce qui est suffisant pour durer une journée entière sur un chantier “classique”. Le pot d’échappement a également été revu, avec une sortie à l’exact opposé de l’opérateur. Réduisant d’autant les rejets désagréables. Edilteco : La chape légère XXs arrive sur le marché Comparée à une chape traditionnelle, la XXs d’Edilteco est 50 % plus légère.[©Edilteco] Fin, 2019, Edilteco a lancé sa nouvelle chape légère XXs, prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sol. Fibrée, cette dernière permet d’améliorer l’affaiblissement acoustique des sols, tout en ne les surchargeant pas. En effet, comparée à une chape traditionnelle, elle est 50 % plus légère. Elle doit sa légèreté à la présence de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (diamètre 2 – 3 mm). De plus, la XXs admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Sa simplicité d’utilisation et son faible poids lui permettent d’être utilisée pour des chapes adhérentes ou désolidarisées. Mais aussi pour des rattrapages de niveaux, des formes de pentes, et pour la mise à niveau des planchers. Côté phonique, ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (17 dB en épaisseur 5 cm) permettent une absorption efficace des bruits de chocs. Priomix : Des pompes plus mobiles Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort.[©ACPresse] Qu’on se le dise, une pompe à chapes sur remorque pèse un peu plus lourd qu’une valise à roulettes ! Chez Priomix, une telle machine affiche sans complexe ses 750 kg… Autant dire qu’essayer de la manœuvrer à la main relève de la gageure. Et pour peu que le terrain soit boueux, présente des obstacles ou des pentes, on se retrouve face à un véritable défi… C’est pour répondre à cette problématique particulière que Priomix propose son système baptisé Mover. Ce dispositif est constitué de deux galets ou rouleaux à friction à mettre en contact avec les roues de la remorque. Cette action permet dans un premier temps d’immobiliser la machine, car les galets sont office de freins. Ensuite, pour déplacer la remorque, il suffit de mettre en fonctionnement la radiocommande, qui pilote les puissants moteurs électriques 12 V destinés à entraîner les galets. La pompe à chapes peut alors se déplacer vers l’avant, vers l’arrière, vers la droite ou la gauche. Simple et efficace ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. 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Il y a 4 ans et 296 jours

Les chapes fluides : Entre changements et évolutions

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Bétons des Fins propose les chapes fluides Prontopp Azo de Knopp et Viscochape de Sika. [©Bétons des Fins] Retrouvez toutes actualités liées au secteur des chapes fluides. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 297 jours

Les nouvelles règles européennes sur le travail détaché entrent en application

Cette directive, que les États membres avaient deux ans pour transposer et qui s'applique à partir du 30 juillet, consacre le principe "A travail égal, rémunération égale sur un même lieu de travail".Un salarié détaché par une entreprise établie à l'étranger bénéficiera désormais de la même rémunération qu'un salarié employé par une entreprise établie localement réalisant les mêmes tâches. Jusque-là il était simplement soumis au respect du salaire minimum.Le texte prévoit aussi l'application des conventions collectives du pays d'accueil aux travailleurs détachés, qui pourront ainsi bénéficier des mêmes primes ou encore des mêmes remboursements que les nationaux.Les cotisations sociales du travailleur détaché demeurent cependant celles de son pays d'origine, ce qui fait le coût du travail d'un détaché peut rester inférieur à celui d'un national.La directive limite le détachement à 12 mois, pouvant être prolongé de six mois. Au-delà, un statut de détachement de longue durée est créé, à partir duquel le salarié bénéficiera de tous les droits applicables aux salariés nationaux, à l'exception des dispositions relatives à la conclusion et à la rupture du contrat de travail.Le texte ne concerne pas le transport routier. Celui-ci a fait l'objet d'une législation à part qui vient d'être définitivement adoptée par le Parlement européen début juillet.La directive permet également de nouvelles sanctions contre les fraudes et une transparence renforcée pour le détachement en chaîne, quand une entreprise étrangère de travail temporaire met des intérimaires à la disposition d'une autre entreprise étrangère qui effectue une prestation en France."C'est une étape importante", s'est réjouie la ministre du Travail Elisabeth Borne dans un communiqué.La ministre veut aller plus loin car "depuis 10 ans, le recours au travail détaché en France a plus que doublé. La nature dérogatoire et temporaire de ce dispositif a, dans certains cas, été dévoyée et certains travailleurs sont accueillis dans des conditions qui ne sont pas acceptables", souligne-t-elle.Une concertation doit s'ouvrir avec les partenaires sociaux à la rentrée pour élaborer d'ici la fin de l'année des plans de réduction de recours au travail détaché dans les secteurs les plus concernés (BTP, agriculture...).
Il y a 4 ans et 297 jours

Les nouvelles règles de l'activité partielle de longue durée entre en vigueur vendredi

Ce décret était très attendu des entreprises intéressées par ce dispositif, principalement pour l'instant dans l'aéronautique mais pas uniquement. Le motoriste Safran a déjà négocié un accord avec ses syndicats jusqu'à la fin 2022 afin d'éviter tout licenciement en France. D'autres équipementiers et Airbus envisagent de le faire.Cette mesure, intitulée dans le décret "dispositif spécifique d'activité partielle en cas de réduction d'activité durable", est née d'une idée des partenaires sociaux de la métallurgie. Elle vise à inciter les entreprises durablement impactées par la crise "à garder leurs salariés et leurs compétences pour être prêtes quand l'activité repartira", selon la ministre du Travail Elisabeth Borne.Dans ce but, le dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'État plus fortement que le chômage partiel de base, sous condition d'un accord collectif au niveau de l'établissement, l'entreprise, le groupe ou la branche.Sur la base "d'un diagnostic sur la situation économique", cet accord, d'une durée de 6 à 24 mois, doit "définir les activités et les salariés concernés, la réduction maximale de l'horaire de travail et les engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle".Sur les heures chômées, le salarié touchera 84% de son salaire net (ou 70% de son brut), calculé à partir d'une rémunération maximale de 4,5 Smic. Comme celles-ci sont au maximum de 40% de son temps de travail, cela lui garantit 93% de son salaire net.De son côté, l'entreprise recevra une compensation de 85% de l'indemnité versée au salarié, (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre et 80% pour un accord conclu après.La réduction de l'horaire de travail "s'apprécie pour chaque salarié concerné sur la durée d'application du dispositif". Elle ne peut être supérieure à 40% de l'horaire légal mais une dérogation à 50% est possible dans des cas exceptionnels avec accord de l'administration.L'accord "peut" aussi prévoir "les conditions" dans lesquelles les dirigeants et actionnaires "fournissent des efforts proportionnés à ceux demandés aux salariés".Les frais de formation pendant la période pourront être pris en charge à hauteur de 80% par l'Etat et le compte personnel de formation des salariés pourra aussi être mobilisé.
Il y a 4 ans et 298 jours

Travailleurs détachés : ce qui change au 30 juillet

La directive 2018/957 du 28 juin 2018, qui révise la première directive « Détachement » de 1996, entre en vigueur le 30 juillet. Le texte prévoit notamment l’application du principe « à travail égal, rémunération égale ».