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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Energie

(18283 résultats)
Il y a 5 ans et 85 jours

Neoen triple son bénéfice en 2019, prévoit des constructions ralenties avec le Covid-19

Le producteur d'énergies renouvelables Neoen a vu son bénéfice net quasi tripler en 2019, sur fond de forte croissance de son activité tirée notamment par le solaire, mais anticipe un ralentissement des constructions avec l'épidémie de Covid-19, selon un bilan publié mercredi.
Il y a 5 ans et 85 jours

Neoen triple son bénéfice en 2019 et prévoit des constructions ralenties avec le Covid-19

Le producteur d'énergies renouvelables Neoen a vu son bénéfice net quasi tripler en 2019, sur fond de forte croissance de son activité tirée notamment par le solaire, mais anticipe un ralentissement des constructions avec l'épidémie de Covid-19, selon un bilan publié mercredi.
Il y a 5 ans et 85 jours

Comment la filière nucléaire s'organise durant la pandémie de Covid-19 ?

INDUSTRIE. L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) fait un point d'étape sur les dispositions prises par la filière atomique durant la pandémie de coronavirus en France : en fonction des sites d'exploitation, les conséquences peuvent être différentes, mais le travail d'instruction continue. L'organisation a toutefois prévenu EDF sur la situation des salariés prestataires amenés à fréquenter ses centrales.
Il y a 5 ans et 86 jours

Genatis : La nouvelle solution globale pour la Gestion des Énergies Naturelles des bâtiments

La gestion énergétique est l'affaire de tous, c'est pour cette raison que les sociétés du Groupe Adexsi, dont fait partie Bluetek, se sont réunies autour de la nouvelle offre GENATIS.
Il y a 5 ans et 86 jours

"Pas de position irréconciliable sur la reprise des chantiers", Thierry Repentin

ENTRETIEN. La sortie du guide de bonnes pratiques devant permettre une reprise progressive de l'activité du BTP est imminente. Alors que depuis une semaine, des voix discordantes à ce propos se sont élevées dans la filière, le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) a mis tout le monde autour de la table ce 25 mars, en réunissant une cinquantaine de représentants de l'ensemble du secteur. Explications avec Thierry Repentin, président du CSCEE.
Il y a 5 ans et 86 jours

Coronavirus : Les agences Loxam mobilisées au service des secteurs prioritaires et du BTP

Face à la situation sanitaire et économique liée au coronavirus, le Groupe Loxam et les professionnels de ses agences se mobilisent - tout en veillant à la sécurité et la santé de tous - pour soutenir les secteurs prioritaires tels que la santé et l'énergie ainsi que les entreprises du BTP.
Il y a 5 ans et 87 jours

Se former pendant le confinement

Plusieurs solutions existent pour se former pendant le confinement. [©Affaires photo créée par tirachardz – fr.freepik.com] Depuis près de 10 jours, le monde connaît une crise aussi bien sanitaire qu’économique… Le secteur du BTP est, lui aussi, paralysé entre l’arrêt de certains chantiers, des changements au sein des usines de production, mais aussi, la fermeture des CFA et centres de formation. Si certains peuvent poursuivre leurs activités par le télétravail, d’autres se retrouvent parfois au chômage technique, partiel ou ont posé des congés. Chacun compte, comme avec un calendrier de l’Avent, le jour où les repas de famille ou entre amis reprendront. En attendant, il faut trouver de quoi s’occuper. Plusieurs organismes mettent à disposition des outils pédagogiques ou des Mooc (Massive open online courses). L’Afpa diffusera durant 3 mois des modules gratuits sur www.mooc.afpa.fr. De nouveaux outils seront régulièrement mis en ligne pour aider à réfléchir sur son projet professionnel : recherche d’emploi, découverte des métiers du numérique, activer son compte personnel de formation ou encore préparation de l’entrée en formation. L’organisme met aussi à disposition des CFA des Mooc. Les titres professionnels du BTP concernés par ce programme sont : chef d’équipe gros œuvre, façadier-peintre, chef d’équipe aménagement-finitions et technicien d’études du bâtiment en dessin de projet. Pour la continuité de la formation des jeunes apprentis, le CCCA-BTP a créé et mis à disposition, via une rubrique dédiée sur son site Internet : ccca-btp.fr, des contenus pédagogiques. Assurer la continuité de la formation Les utilisateurs ont ainsi accès à des modules de formation, guides méthodologiques, sitographies, supports audiovisuels… Ces dispositifs sont immédiatement exploitables par les formateurs des organismes de formation aux métiers du BTP, dans les domaines de l’enseignement général (français, mathématiques et sciences…) et de l’enseignement professionnel (dans toutes les filières métiers). « Nous disposons de l’expertise et de l’expérience pour répondre à la situation exceptionnelle que nous connaissons, grâce aux modalités que nous avons déjà expérimentées et déployées aux 77 CFA du BTP à gouvernance paritaire, explique Jean-Christophe Repon, président du CCCA-BTP. C’est ce qui nous permet aujourd’hui d’être réactifs et d’être en mesure de proposer des solutions de cette ampleur. C’est aussi ce qui fait l’honneur de nos professions du bâtiment et des travaux publics pour assurer la continuité de la formation des jeunes à nos métiers. » De son côté, le Plan Bâtiment durable poursuit ses Mooc. Sur son site www.mooc-batiment-durable.fr, plusieurs sessions débuteront les prochains jours. A l’image des thématiques : Construire en terre crue aujourd’hui le 31 mars 2020 ou encore le biomooc – Découvrir le bâtiment biosourcé animé par Karibati et Ville & Aménagement durable. L’Ademe propose aussi sur sa plate-forme www.formations.ademe.fr des outils pédagogiques. Sur Infociments, les professionnels pourront participer le 31 mars à un Webinar nommé : “Guide environnemental du gros oeuvre : Faites les bons choix constructifs pour atteindre les objectifs de la RE 2020”. Sur inscription, cette conférence sera animée par Laurent Truchon, de Cimbeton et Yannick Ondo, de Cogeci. Enfin, parmi toute l’offre, Novabuild s’intéresse à la construction résiliente et bas carbone. Le collectif des acteurs engagés vers la construction durable en Pays de la Loire diffusera son Webinar le 1er avril. C’est aussi la date du top départ du Mooc Bâtiment Passif et bas carbone. En effet, la Maison Passive a décidé de rejouer son cours en ligne en ces temps perturbés. Il s’adresse aux professionnels comme aux particuliers ayant un projet de conception ou de construction.
Il y a 5 ans et 87 jours

Réalisation d’un radier thermique

Exiba France a édité le document “Aide au dimensionnement de la structure béton d’un radier thermique avec du polystyrène extrudé”. [©Exiba/Dow] En France, contrairement aux pays d’Europe du Nord, l’isolation thermique des radiers n’est pas très courante. Afin d’accompagner le développement de cette pratique, l’association Exiba France a édité le document “Aide au dimensionnement de la structure béton d’un radier thermique avec du polystyrène extrudé”. En effet, avec la future RE 2020, le radier thermique (radier en béton combiné à un isolant haute performance technique et mécanique) révèle son intérêt. Et ce, en constituant un bon complément et une continuité à une isolation thermique par l’extérieur, en supprimant les ponts thermiques. Mais aussi, en renforçant l’efficacité énergétique des bâtiments, et permet d’atteindre les objectifs de la RT 2012 et de la maison passive et à énergie positive. Pour Exiba France, seuls les isolants en mousse de polystyrène extrudé sont aujourd’hui indiqués dans la réalisation d’un radier thermique. Sa capacité de charge, son insensibilité à l’humidité et sa résistance à la compression à long terme en font une bonne solution. L’aide au dimensionnement conçu par Exiba met à plat le domaine d’application, les références normatives ou encore des définitions… Elle regroupe les procédés et référentiels existants dans différents pays européens. Car en effet, les radiers thermiques ne font l’objet d’aucune règle de conception et de mise en œuvre en France. Pour rappel, l’association Exiba promeut les isolants en mousse de polystyrène extrudé sur le marché français de la construction. Elle regroupe Jackon Insulation, Ravago Building Solutions, Soprema et Ursa.
Il y a 5 ans et 88 jours

Vapeur : une sous-station Spirec dans un bâtiment haussmannien

Fiabilité à toute épreuve, grande précision de régulation et sobriété énergétique pour une sous-station vapeur dans un bâtiment de la foncière Gecina
Il y a 5 ans et 88 jours

Olivier Salleron a été élu président de la FFB

Olivier Salleron est le nouveau président de la FFB. Il prendra ses fonctions le 12 juin prochain. [©FFB] Olivier Salleron a été élu président de la Fédération française du bâtiment (FFB) au cours du conseil d’administration du 20 mars dernier. Sa prise de fonction n’interviendra que le 12 juin prochain. Il succèdera alors à Jacques Chanut, qui occupe pour l’heure ce poste depuis 2014. Agé de 52 ans, Olivier Salleron est président de l’entreprise éponyme Salleron, spécialisée dans le chauffage, la climatisation et la plomberie. Cette entreprise est basée à Périgueux, en Dordogne. Olivier Salleron est aujourd’hui vice-président et président de la Commission sociale de la FFB, ainsi que président de la Fédération régionale Nouvelle-Aquitaine.
Il y a 5 ans et 89 jours

La pandémie de coronavirus, une "chance" pour les énergies renouvelables ?

ÉNERGIE. Le confinement sanitaire et la crise économique induits par la pandémie du Covid-19 impactent nombre de secteurs d'activité, et celui de l'énergie ne fait pas exception. Au moment où les marchés du pétrole et du gaz sont fortement déséquilibrés du fait d'une offre excessive et d'une demande en chute, les énergies renouvelables peuvent avoir leur carte à jouer dans les futurs plans de relance des gouvernements.
Il y a 5 ans et 89 jours

Carte de visite d'ENGIE France Renouvelables - 2020

Partenaire de référence des collectivités et des entreprises engagées dans la transition zéro carbone, Engie est le premier développeur d’énergies renouvelables en France : 1er producteur éolien, 1er producteur solaire, 1er producteur alternatif hydroélectrique, et pionner dans la production de gaz verts.
Il y a 5 ans et 91 jours

Olivier SALLERON succède à Jacques CHANUT à la tête de la FFB

Olivier SALLERON, 52 ans, Président de l’entreprise de chauffage, climatisation, plomberie SALLERON SAS à Périgueux vient d’être élu Président de la FFB au cours du Conseil d’Administration du vendredi 20 mars 2020. Il succèdera à Jacques CHANUT, Président depuis 2014, lors de sa prise de fonction le 12 juin 2020, à l’issue du prochain Conseil d’Administration de la FFB. Olivier SALLERON est actuellement Vice-président et Président de la Commission Sociale de la FFB, ainsi que Président de la Fédération Régionale Nouvelle Aquitaine. Photo : David Morganti
Il y a 5 ans et 92 jours

RTE précise son Plan de continuité d'activité pendant la crise du coronavirus

ÉNERGIE. En collaboration avec les pouvoirs publics et les marchés français et international de l'électricité, RTE a défini son Plan de continuité d'activité visant à conserver un fonctionnement normal du système électrique en pleine crise du coronavirus dans l'Hexagone. Les mécanismes commerciaux et financiers des marchés sont également visés par ces mesures.
Il y a 5 ans et 92 jours

Le site metiers-electricite.com pour découvrir les nouveaux métiers

Le syndicat des entreprises de la transition énergétique et numérique présente son nouveau site internet pour découvrir des métiers… stratégiques.
Il y a 5 ans et 93 jours

Coronavirus : La distribution des produits énergétiques et services chauffage limitée au strict minimum

La FF3C, organisation professionnelle représentative des entreprises de distribution de produits pétroliers, de bois énergie et de prestations en chauffage, a donné pour consigne aux entreprises de limiter leurs activités au strict minimum.
Il y a 5 ans et 93 jours

L'ADEME Nouvelle-Aquitaine à vos côtés

L’ADEME Nouvelle-Aquitaine est à vos côtés depuis des années et met toute son énergie pour vous accompagner.
Il y a 5 ans et 94 jours

Création de poste et nomination chez Viega

Viega, spécialiste en techniques d'installations sanitaires, chauffage et sertissage, annonce la création d'un poste de marketing manager et la nomination d'un chef des ventes national. Détails.
Il y a 5 ans et 94 jours

Rencontre avec : Florence Doléac

Créatrice « borderline » et prolifique, Florence Doléac imagine des objets, à mi-chemin entre art et design, avec beaucoup d’humour. La designeuse toulousaine, désormais basée à Douarnenez en Bretagne, nous a raconté, entre deux cours à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, sa pratique du design, son rapport à la création et ses audacieux projets. Rencontre avec une artiste libre. Muuuz : Vous êtes représentée par la galerie Jousse Entreprise, une galerie d’art contemporain, vous travaillez en atelier et vous vous considérez comme une « designer borderline ». En cela, votre travail oscille entre art et design. Comment envisagez-vous le design ?Florence Doléac : C’est en étudiant et en pratiquant le design que j’ai découvert ses limites. Finalement, en tant que designer, on peut trouver des choses à dire et se positionner, puis refuser de faire certaines choses. J’ai essayé de faire du design industriel, mais tout en étant libre. Quand j’avais une bonne idée, j’essayais de trouver l’industrie qui pouvait la développer, mais ça ne fonctionnait pas. Les industries étaient intéressées, mais ce n’est pas comme ça qu’elles travaillent. Je n’ai jamais réussi à développer mes idées avec un industriel, car j’avais un imaginaire trop fervent par rapport au cahier des charges que le métier m’imposait en France. Comme j’étais frustrée par cela, je me suis naturellement laissée porter vers l’art. Comment décrirez-vous votre pratique du design ?Aujourd’hui, et surtout depuis mon installation en Bretagne, je mène une vie d’artiste plutôt que de designer. Après mes études et mon expérience avec le groupe Radi Designers, j’ai souhaité revenir au travail de la matière et à une pratique décloisonnée du design. Dans quelle mesure racontez-vous des histoires ?Je crois que c’est cette façon d’aborder la matière de manière libre qui me permet de raconter des histoires. Je me l’approprie, la distord, ou la magnifie. Parfois, c’est fainéant, maladroit, hasardeux. Je suis spontanée et intuitive, donc je n’essaye pas d’analyser en même temps que je produis. L’assise ADADA propose un rapport de convivialité nouveau et des postures régressives. Comment l’idée d’un design ludique vous est-elle venue ? Les objets ludiques existent depuis la nuit des temps, notamment dans les années 1990. J’ai toujours été sensible à la dérision et aux petits gestes drôles. Cela vient de mon enfance à la campagne. Je viens d’une famille qui aimait beaucoup l’humour et la construction d’objets. En ce moment, je crée justement un lieu associatif de savoirs techniques et ludiques à Douarnenez. Vous avez étudié le design industriel, mais aujourd’hui vous questionnez la fonction de l’objet et cherchez à perturber rapport que les usagers entretiennent avec lui. Vous décrivez d'ailleurs votre démarche comme une « critique douce du fonctionnalisme ». Pourquoi ? J’ai toujours observé les gens, leurs comportements individuels ou collectifs. Je me suis alors rendu compte de comiques de situation liés à des dysfonctionnements. Je suis fervente de ces défauts, problèmes et attitudes, où s’immisce l’humour. Je m’amuse. Je développe une forme de critique dans mon travail tout en m’attachant à parler de la fonction des objets. Je bouscule la relation que l’on entretient habituellement avec eux.  Le recours à l’humour est-il, selon vous, le moyen le mieux à même de questionner l’usage de l’objet ?Pour moi l’humour, c’est la cerise sur le gâteau, une énergie supérieure. Je suis sensible à cela, donc je cherche à faire sourire le public. L’humour est une invitation à lâcher prise à une époque où l’on rit de moins en moins. Vous avez décidé de lancer le projet Maxidreams, qui consiste à planter des lits sous des arbres et constituer une cartographie de lits placés sous des arbres différents. Quel rôle a joué l’album illustré de Maurice Sendak Max et les Maximonstres dans votre travail ?J’ai découvert ce livre pour enfants grâce à une amie, il y a quelques années. Ce livre a été une gifle. J’ai regardé les dessins et découvert la vie de Max. J’ai trouvé ça génial. Les forêts qui poussent dans la chambre de Max m’ont beaucoup questionné. Quel est le lit de rêve ? Est-ce que c’est la forêt qui pousse dans la chambre ? Ne serait-ce pas le lit qui pousse dans la forêt ? Ces réflexions m’ont inspiré, et j’ai fini par créer une communauté internationale de rêveurs avec des lits plantés dans la forêt. J’appelle tout un chacun à venir faire partie de Maxidreams et à construire son propre lit. J’ai installé deux lits des rêves dans la nature. Le premier dans les Cévennes à Gabriac, et le deuxième sur l’île de Nègrepelisse sous une canopée de tilleuls dans le cadre d’une exposition organisée par la Cuisine, centre d'art et de design. J’ai aussi pour projet de fabriquer un lit en France, de le transporter en voilier jusqu'aux États-Unis, puis de le planter sous des érables du parc l’Université Johns-Hopkins à Baltimore. J’ai déjà rencontré les chercheurs du Centre du sommeil de la faculté qui sont d’accord pour collaborer avec moi. Il ne manque plus qu’à trouver les fonds pour faire le voyage. J’ai également conçu avec le collectif Maximum, des anciens élèves, les Maxidodo, des lits monumentaux. Une de ces créations a d’ailleurs été acquise par un musée belge, le BPS22. Je suis maxi heureuse ! Pom Pom Dust dépeint l’univers domestique à travers une sorte de chorégraphie ménagère. En quoi votre design peut-il être féministe ?J’ai fait des provocations, mais elles vont au-delà du féminisme. Pom Pom Dust peut atteindre tout le monde, parler aussi bien à un homme qu’une femme. Ma pièce Fée du logis s’inscrit dans la même logique de provocation. Il s’agit de considérer le ménage comme un art de vivre ou une danse. Avec un petit peu d’imagination, les tâches ménagères peuvent devenir très ludiques. Je balaye les convenances et tourne en dérision notre rapport au quotidien pour raconter quelque chose. A qui votre design s’adresse-t-il ?Il s’adresse à tout le monde ! Je n’utilise pas des codes culturels précis. Mes pièces sont intemporelles et universelles. Elles piègent le public là où il ne s’y attend pas. Quel projet rêveriez-vous de réaliser ?J’ai longtemps voulu créer une super discothèque, mais aujourd’hui cela m’amuse moins. Je souhaite surtout développer mes deux projets actuels, Maxidreams et mon école de savoirs techniques et ludiques en Bretagne. Comment imaginez-vous le design de demain ?Less is more. J’espère qu’il y en aura moins. J’imagine un design écologique, un design respectueux de la planète et d’autrui, qui amènerait à une évolution des consciences. Les individus commencent toutefois à réagir. J’apprécie de vivre une ère où les causes d’ampleur deviennent interplanétaires, notamment grâce aux réseaux sociaux et à la nouvelle génération. Mes élèves aujourd’hui sont très portés sur l’écologie, l’humanitaire. Ce sont des enfants de la crise très critiques. Ils arrivent à l’école sensibilisés avec des envies de réinventer leur métier, d’amener des nouvelles énergies et de questionner l’économie, les matériaux, les modes de production. Pour en savoir plus, visitez le site de Florence Doléac et le site de la galerie Jousse Entreprise Photographies : 1) Michaël Huard / Say Who 2) Florence Doléac, Adada, 2010, fauteuil 6 places circulaire, balles pvc gonflables, textile enduit pvc, filet polypropylène, velcro. Vue de l’exposition Pom Pom Dust, galerie Jousse Entreprise, Paris, 2011, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 3) Florence Doléac, En garde, 2010, polochons patères, plumes, coton, laine, cordes résinées, pitons métal, dimensions variables, © Paul Nicoué, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 4) Florence Doléac, Bamakogistretti, 2016, calebasse, 40 cm diamètre, 60 cm H, Courtesy de l’artiste et de la galerie Jousse Entreprise, Paris 5) Florence Doléac et Maximum, Maxidodo, 2019, barrière Vauban acier galvanisé, flocage, étagères en bois Ipé, accessoires, 145 cm H x 270 L x 170 l, © Paul Nicoué, Collection de la Province de Hainaut. Dépôt au BPS22, Charleroi, Courtesy galerie Jousse Entreprise, Paris Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 94 jours

Bois : un nouveau traitement pour éradiquer les insectes à larves xylophages

Une technique innovante de traitement fondée sur la chaleur permet de lutter efficacement contre les infestations de larves xylophages dans le bois.
Il y a 5 ans et 94 jours

Radiateur sèche-serviettes Acova Fassane Spa Twist : une fonction pivotante, des serviettes chaudes encore plus accessibles à la sortie de la douche

Plaçant le confort et la praticité au cœur de ses préoccupations, ACOVA, pionnier du radiateur sèche- serviettes en France, élargit sa gamme asymétrique avec Fassane Spa Twist. Grâce à sa nouvelle fonction pivotante, il facilite la prise et la pose des serviettes. Avec Acova Fassane Spa Twist, Acova est le seul fabricant sur le marché français à proposer des radiateurs sèche-serviettes pivotants. Fonction pivotante : encore plus pratique et confortable Pivotant à droite ou à gauche pour s’adapter à l’agencement de la salle de bains, le nouveau radiateur sèche-serviettes Acova Fassane Spa Twist est ultra-pratique pour glisser les serviettes et les atteindre à la sortie de la douche. En faisant pivoter le radiateur au plus près de la cabine de douche ou de la baignoire, les serviettes chaudes sont à portée de main. Le nettoyage à l’arrière du radiateur est également facilité par la fonction pivotante. L’accès au dos du radiateur est total. Avec sa forme asymétrique composée de tubes plats, Acova Fassane Spa Twist offre un design intemporel, combiné à une faible saillie au mur (11,5 cm) qui facilite son intégration dans les salles de bains. Haut niveau d’équipement et prix doux Que ce soit en chauffage central ou en version électrique, Acova Fassane Spa Twist est proposé dans un choix de dimensions et de puissances offrant un confort parfait quel que soit le volume de la salle de bains. Le modèle «petite hauteur» (inférieur à 1 m) facilite son intégration dans les salles de bains exigües. • en chauffage central : 3 hauteurs (de 90 à et 177 cm), largeur 55 cm, puissances de 429 à 809 Watts. Prix public indicatif HT : à partir de 700 euros • en chauffage électrique : 3 hauteurs (de 83 à 170 cm), largeur 55 cm, puissances de 500 à 1000 Watts. Prix public indicatif HT à partir de 670 euros. Fabriqué en France, Acova Fassane Spa Twist affiche un haut niveau d’équipement : • les modèles eau chaude sont livrés avec le robinet thermostatisable et la tête design chromés. Ce pack robinetterie est inclu dans le prix du radiateur. • en électrique, pour combiner confort et économies d’énergie, la télécommande radiofréquence permet de piloter et programmer le radiateur : 2 programmations hebdomadaires personnalisables, détection automatique d’ouverture/fermeture de fenêtre, marche forcée manuelle ou programmable. La télécommande se fixe au mur ou sur un socle (fourni). Le modèle électrique est équipé d’un système de fixation mural astucieux et unique pour faciliter la pose en 2 temps : fixation au mur d’une charnière qui intègre les entraxes de perçage, puis le radiateur se glisse sur les gonds de la charnière. La pose est ainsi guidée par les gonds, limitant les prises de cotes et risques d’erreur de perçage au mur. 50 couleurs pour personnaliser Pour personnaliser le radiateur sèche-serviettes et l’harmoniser au style de chaque salle de bain, Acova Fassane Spa Twist est disponible dans les 50 couleurs du nuancier Acova. Ce nuancier inclut les couleurs métalliques et quartz (au toucher sablé), ainsi que les teintes mates très actuelles (blanc mat, noir mat…). L’option couleur est proposée avec un supplément de 90 euros HT. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 95 jours

Boostheat étend l’emploi de sa technologie de compresseur thermique

Puissance accrue, production de froid, utilisation du solaire thermique, industrie, … Boostheat va diversifier son offre
Il y a 5 ans et 95 jours

Valorisation des déchets du second œuvre : un enjeu majeur

Sur 46 millions de tonnes de déchets issus du secteur du bâtiment qui sont produits chaque année en France, la majorité provient des opérations de démolition et de réhabilitation :…Cet article Valorisation des déchets du second œuvre : un enjeu majeur est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 95 jours

Photovoltaïque : le consommateur doit parfois exécuter un contrat irrégulier

Un particulier qui avait acheté un système de production d'éléctricité photovoltaïque s'est vu contraint d'exécuter un contrat qui ne respecte pas les obligations du code de la consommation.
Il y a 5 ans et 95 jours

Le coronavirus pourrait perturber le marché des énergies renouvelables

ÉNERGIE. La pandémie de coronavirus, qui affecte moult secteurs d'activité, pourrait bien aussi perturber le marché de la transition énergétique, par le biais notamment de la demande en énergie solaire et en batteries. Les aérogénérateurs seraient également impactés, d'après un rapport du cabinet Bloomberg NEF.
Il y a 5 ans et 96 jours

Unibéton se réinstalle à côté de Meaux

Sur son site de Poincy, Unibéton a choisi de sédentariser une centrale à béton MasterMix de Skako Concrete. [©ACPresse] A Poincy, juste à côté de Meaux, en Seine-et-Marne, Unibéton dispose d’un site de production dédié au BPE. Toutefois, celui-ci a été mis en sommeil en 2008. « L’activité était en baisse, l’outil industriel, vieillissant et le personnel, difficile à trouver », résume Renaud Boucherat, directeur d’exploitation Ile-de-France – Nord-Ouest d’Unibéton. L’activité de Poincy avait ainsi été reportée sur les sites Unibéton de Mitry-Mory (77) et de Lagny-sur-Marne (77), tous deux distants de l’ordre de 30 km.   Au fil du temps, la situation a bien évolué, poussant l’industriel à revoir sa position.« Le développement urbain de l’agglomération de Meaux s’est accéléré. Il faut dire qu’elle est une excellente alternative à Marne-la-Vallée où les prix au m2 s’envolent. »Dans ce contexte nouveau, la décision de réhabiliter le site en vue d’une réouverture fut actée dès 2015. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Des centrales à béton en rénovation Très vite, le choix s’est porté sur la sédentarisation d’une centrale à béton MasterMix dite “déplaçable”, de marque Skako Concrete. « Il s’agit d’une des deux centrales de ce type présentes dans notre parc réservé à la prestation locative sur site , indique Renaud Boucherat. La seconde est actuellement installée sur le chantier de construction de la gare Institut Gustave Roussy, sur la future ligne 15 du métro, à Villejuif. » Il n’est pas exclu qu’à l’issue de cette opération, cette unité de production soit, elle aussi, sédentarisée…  Aujourd’hui, Unibéton est entrée dans un cycle de rénovation de ses sites de production franciliens. L’industriel en compte 21 sur ce territoire. « Nous avançons à un rythme de 2 rénovations complètes par an. » La sédentarisation des unités Skako Concrete s’accompagnera sans doute de l’acquisition de nouveaux équipements mobiles pour assurer la continuité du service, en termes de prestation de production de BPE sur site.  Etanchéification indispensable du sol Toutes les eaux chargées sont déversées à même la plate-forme étanchéisée en béton, appelée “plateau de lagunage”. [©ACPresse]Par gravité, les eaux s’écoulent en direction du bassin agité, se débarrassant des éléments les plus lourds, qui restent sur la plate-forme. [©ACPresse]Le bassin agité des eaux de process bénéficie d’un volume de 146 m3. [©ACPresse]Une chargeuse sur pneumatiques Komatsu WA 200 assure l’alimentation en granulats de la centrale. [©ACPresse]Deux emplacements pour bennes de recyclage ont été prévus sur le site. [©ACPresse] A Poincy, rien n’a été conservé de l’ancienne centrale à béton. Après 8 années d’inactivité, il n’y avait pas grand-chose à sauver. D’autant que le site a servi, en plus, de décharge sauvage. « Nous avons dû opérer un important travail de préparation du site, comprenant le démantèlement de l’ancienne unité et le nettoyage de la zone, dépollution des sols y compris », détaille Karina Chaoui, directrice de production Unibéton Ile-de-France. Le terrain se développe sur une superficie de 5 500 m2, dont un peu moins de la moitié (2 700 m2) a été bétonné. L’étanchéification du sol est importante pour ce type d’installations, car il est primordial d’empêcher les eaux de la plate-forme de s’infiltrer directement. Qu’il s’agisse des eaux de pluie ruisselant sur la surface ou des eaux chargées liées aux process de production et/ou de nettoyage des outils (toupies, malaxeurs à béton…).  Dans le cadre de l’aménagement, les écoulements des eaux de pluie et des eaux de process ont été séparés. Les formes de pente ont bien été étudiées pour garantir un bon ruissellement des eaux. Et des margelles, mises en place pour limiter les pollutions. Ainsi, la zone “eaux de process” est parfaitement délimitée et identifiée visuellement.  Sur un plateau de lagunage Trémie de réception des granulats sur la centrale à béton. [©ACPresse]Au-dessous des 4 trémies de stockage prend place une goulotte tournante, qui assure la distribution des granulats dans les cases dédiées. [©ACPresse]Circuit de remplissage gravitaire des cuves à adjuvants. [©ACPresse]Pour assurer le transfert des adjuvants vers le malaxeur, l’option “pompes pneumatiques” a été privilégiée. [©ACPresseLes ciments et autres pulvérulents sont stockés dans 4 silos de 80 t de capacité chacun. [©ACPresse]Paul Cordelle est en charge du pilotage de la dernière-née des unités de production Unibéton. [©ACPresse] « Le génie civil a constitué un poste important au niveau du coût global de l’aménagement », confirme Renaud Boucherat. L’entreprise AEM s’est vue confier cette partie du chantier. Outre la construction de la plate-forme bétonnée, elle a assuré la réalisation du bassin d’orage, d’une capacité de stockage de 240 m3. Mais aussi et surtout, du bassin agité des eaux de process, d’un volume de 146 m3. La méthodologie choisie par Unibéton pour traiter, aussi bien les eaux de lavage du circuit de production que des toupies, est très simple. Toutes les eaux chargées sont déversées à même la plate-forme étanchéisée en béton, appelée “plateau de lagunage”. Par gravité, les eaux s’écoulent en direction du bassin agité, se débarrassant des éléments les plus lourds (sable, graviers), qui restent sur la plate-forme. A intervalles réguliers, la chargeuse de remplissage des trémies à granulats vient racler ces éléments au sol pour les déverser dans une benne de recyclage. Afin de limiter l’abrasion du béton, dû au raclement du godet de la chargeuse, des rails métalliques ont été intégrés dans le sol en béton du plateau de lagunage.  En toute logique, la benne de recyclage constitue le point de vidange des retours de béton frais dans les toupies. Deux emplacements pour bennes ont été prévus sur le site. Dès que pleines, les bennes sont évacuées vers un centre de traitement. Celui-ci valorise leur contenu en granulats recyclés, réutilisables pour la production de nouveaux bétons.  Sédentariser une centrale Skako Concrete D’une capacité de 2,66 m3 par gâchée, un malaxeur Skako Concrete constitue le cœur de la centrale à béton. [©ACPresse] L’option “bassin agité” permet d’éviter la sédimentation, en gardant les éléments fins (ciment et fillers) en suspension. L’eau chargée peut directement être réinjectée dans le process de production. Idem pour les eaux de pluie et de ruissellement, elles aussi, employées dans la fabrication de béton, après passage dans un bac déshuileur.  La centrale à béton n’a pas été construite sur mesure. Il s’agit d’un équipement issu de la gamme standard de Skako Concrete. Un malaxeur de la marque, d’une capacité de 2,66 m3par gâchée, en constitue le cœur. Il est associé à un bloc trémie, divisé en 4 cases de 50 t unitaires, et à 4 silos à pulvérulents de 80 t chacun.  Une chargeuse Komatsu WA 200 assure l’alimentation en granulats de la centrale. Elle s’approvisionne au niveau d’un stock primaire de 4 x 75 m3, aménagé au fond du terrain. Des mégablocs en béton en dessinent le pourtour. « Ce dispositif est pratique, car il permet de changer de configuration très rapidement, en cas de besoin. » La chargeuse déverse les matières premières dans une trémie de réception reliée à un tapis de transfert. Au-dessus des trémies de stockage prend place une goulotte tournante qui assure la distribution des granulats dans les cases dédiées. Ce dispositif est un des seuls aménagements réalisé sur mesure sur la centrale. « Nous avons confié à l’industriel EMCI l’installation et les adaptations nécessaires de cet outil de production », souligne Renaud Boucherat.  Basculement chez Command Alkon La centrale Unibéton de Poincy est implantée sur un terrain de 5 500 m2. [©ACPresse] Il n’y a pas de skip, mais un tapis de pesage et de reprise, qui part du dessous des trémies à granulats pour rejoindre le malaxeur. Juste à côté des trémies est installé le local à adjuvants. Celui-ci est fermé et chauffé : une installation à 100 % Unibéton. Le remplissage des cuves, au nombre de 8, d’une capacité unitaire de 2 400 l, est gravitaire, d’où la présence des bouches de remplissage en hauteur, accessible par un escalier sécurisé. Pour assurer le transfert des adjuvants vers le malaxeur, c’est l’option de pompes pneumatiques qui a été choisie, simple d’utilisation et d’entretien.  La centrale de Poincy est dimensionnée pour une production annuelle de l’ordre de 20 000 m3 de bétons. Entre 4 et 5 toupies doivent y être rattachées, à terme. Les bétons sont formulés sur la base des 3 ciments disponibles sur l’unité : CEM I 52,5 R et CEM II 42,5 originaires de la cimenterie Ciments Calcia de Couvrot (51) et CEM III 42,5 R LH PMES de la cimenterie Rombas (57). Côté granulats, les coupures disponibles sont 0/4, 4/10 et 4/20. Ils sont fournis par GSM, la filiale “granulats” d’HeidelbergCement. Une 4e case reste disponible pour toute coupure complémentaire. Idem au niveau des silos à pulvérulents. Pour les adjuvants, Unibéton travaille ici avec Sika.  Comme nombre d’unités du groupe, l’unité de Poincy a basculé sur le nouveau logiciel de pilotage Conactive Process (ou CP) de Command Alkon [Lire Béton[s] le Magazine n° 87, p. 22]. Celui-ci cohabite pour le moment avec le système de gestion et de suivi clients Boréal, interne à Unibéton.  Frédéric Gluzicki Equipements et intervenants Centrale à béton : MasterMix de Skako ConcreteChargeuse : Komatsu Génie civil : AEM Béton esthétique de sol : Elégance Minéral Concept Installation centrale : EMCI et Arteal Sondes de niveau : Véga Filtres : Wam Pompes pour adjuvants : WildenLogiciel de pilotage : Command Alkon Ciments : Ciments Calcia Granulats : GSM Adjuvants : Sika  [\inscrits]
Il y a 5 ans et 96 jours

Les communes peu efficaces sur le plan énergétique, selon un sondage

Selon un sondage, 67% des Français considèrent que les communes sont préoccupées par les enjeux d’efficacité énergétique, mais seulement 49% les jugent efficaces dans ce domaine.
Il y a 5 ans et 96 jours

Les configurateurs E+C- en 30 secondes

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Il y a 5 ans et 96 jours

ACO Stormclean, la solution de prétraitement par excellence.

ACO Stormclean traite les eaux pluviales en toute sécurité ACO Stormclean joue un rôle décisif en réduisant considérablement les risques de pollution. Avec ACO Stormclean, la qualité de l’eau traitée est si élevée qu’elle peut être directement rejetée dans les réseaux d’assainissement ou en milieu naturel en toute sécurité. Fabriqué en Plastique Renforcé de fibres de Verre, ACO Stormclean se présente comme une solution complète 3 en 1 comprenant un débourbeur, un filtre dépollueur et une unité d’échantillonnage intégrée. Le mode d’action d’ACO Stormclean s’appuie sur un double process. Dans la première phase de nettoyage, les eaux usées sont, par effet gravitaire, déchargées des matières en suspension (boues, gravillons, matières organiques, etc.) qui se retrouvent piégées au fond de la cuve. La deuxième phase de traitement permet de retenir les particules les plus fines (zinc, cuivre, plomb et huiles d’hydrocarbures) grâce à un matériau filtrant, à base de matériaux hautement réactifs. Ce double procédé, particulièrement efficace, confère un haut niveau d’abattement. Une grande partie des métaux lourds (98% du cuivre, 99% du zinc, etc.) et plus de 83% des matières en suspension sont ainsi captés et absorbés. Afin de garantir un fonctionnement optimal et durable dans le temps, ACO Stormclean est équipé d’une unité d’échantillonnage permettant d’effectuer des prélèvements et d’analyser avec précision le niveau de dépollution des eaux après traitement. ACO Stormclean garantit une filtration des matières polluantes durant 4 ans (en fonction des conditions locales). Cette solution flexible, prête à l’installation, est recommandée pour traiter les eaux pluviales qui s’écoulent des surfaces de circulations telles que les parkings, les zones industrielles ou résidentielles et les plateformes logistiques. ACO Stormclean se décline en deux versions pour s’adapter à tous types de projets et pour toutes superficies : • ACO Stormclean G-V est qualifié pour traiter des débits d’eau allant de 20 à 27 litres/seconde. Cette version nécessite l’installation d’un débourbeur en amont. • ACO Stormclean G-H est qualifié pour traiter des débits d’eau allant de 32 à 41 litres/seconde. Grâce à sa construction horizontale, de version 1 000 et 1 300 mm, il est possible de modifier la longueur de l’ensemble du réservoir et de le configurer précisément pour répondre aux besoins de drainage d’une surface donnée afin de traiter des débits supérieurs. Ce modèle est équipé d’un débourbeur intégré. Autres points forts de la gamme ACO Stormclean : – Une haute résistance au fluage. – Une conception avec des matériaux non poreux. – Une résistance à la corrosion. Le filtre est résistant à tous types de produits chimiques ainsi qu’au sel de déneigement. – Une facilité d’installation. Grâce à ses éléments préinstallés et à son faible poids, ACO Stormclean peut être très facilement transporté et mis en oeuvre. – Un accès optimal pour la maintenance et le nettoyage à partir du regard de visite.
Il y a 5 ans et 96 jours

Comment le secteur de l'énergie s'organise face au coronavirus

APPROVISIONNEMENT. Au moment où les mesures gouvernementales s'amplifient pour contenir la propagation du coronavirus, le secteur de l'énergie s'organise lui aussi pour maintenir un niveau de production électrique suffisant. Ceci dit, la demande en électricité devrait baisser dans les prochains jours, du fait du ralentissement de l'économie et du confinement des citoyens.
Il y a 5 ans et 98 jours

Le coronavirus devrait aussi affecter la transition énergétique

La pandémie de Covid-19 devrait affecter aussi la transition énergétique, via notamment la demande d'énergie solaire et de batteries, souligne un rapport publié jeudi.
Il y a 5 ans et 99 jours

Les acteurs publics et privés s'interrogent sur les contours de la future REP

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Alors que la plateforme Démoclès, l'éco-organisme Ecosystem et l'Ademe ont lancé ce 12 mars 2020 un appel à projets destiné à promouvoir les pratiques vertueuses de gestion et de traitement des déchets, les acteurs publics comme privés se penchent sur cette problématique "conséquente". D'autant que, bien qu'actée, la REP devrait mettre un certain temps à se concrétiser.
Il y a 5 ans et 99 jours

Les CEE en éclairage : gare aux arnaques

Le Syndicat de l'éclairage, partie prenante du dispositif des Certificats d'Économie d'Énergie depuis ses débuts, alerte sur les dérives observées dans son secteur.
Il y a 5 ans et 99 jours

Spie met en avant sa contribution dans la lutte contre le changement climatique

RSE. Le groupe Spie a décidé de mesurer sa contribution en matière d'efficacité énergétique en appliquant le référentiel européen Taxonomy. Si ce système de classification exigeant "ne rend pas tout à fait justice à ce que nous faisons, selon le PDG de l'entreprise, Gauthier Louette, il a au moins le mérite d'exister".
Il y a 5 ans et 99 jours

Total lance le plus grand site de stockage électrique par batterie de France

Total a annoncé jeudi la construction à Dunkerque d'un site de stockage d'électricité par batterie, le plus grand du pays selon le géant pétrolier qui veut affirmer ses ambitions dans les renouvelables.
Il y a 5 ans et 99 jours

Le coronavirus force le gouvernement à différer la privatisation d'ADP

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a indiqué mercredi que la question de la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP) "ne saurait se poser dans l'immédiat compte-tenu des conditions" actuelle du marché dues à la crise du coronavirus et du pétrole.
Il y a 5 ans et 99 jours

Déchets du bâtiment : un appel à projets "maîtres d'ouvrage exemplaires" lancé

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Alors qu'une filière REP doit se mettre en place dans les mois qui viennent dans le secteur du bâtiment, la plateforme collaborative Démoclès, l'éco-organisme Ecosystem et l'Ademe lancent ce 12 mars 2020 un appel à projets intitulé "50 maîtres d'ouvrage exemplaires" afin de mieux valoriser les déchets de chantiers.
Il y a 5 ans et 100 jours

Autoconsommation photovoltaïque collective : un pas en avant, deux pas en arrière !

La France est en retard sur ses objectifs de développement des énergies renouvelables. Pourtant, elle imagine régulièrement de nouveaux obstacles administratifs à leur développement.
Il y a 5 ans et 100 jours

Pascal Casanova est nommé Président d’Edilians

Dardilly le 9 mars 2020 : Le conseil d’administration d’Edilians a nommé Pascal Casanova Président d’Edilians. Ingénieur de formation, Pascal Casanova, 52 ans, bénéficie de plus de 25 années d’expérience dans l’industrie de la construction aussi bien dans des fonctions de Recherche et Développement que de Direction Générale. Diplômé de l’Ecole Polytechnique (X87) et titulaire d’un doctorat de l’Ecole nationale des Ponts et Chaussées, Pascal Casanova a débuté par une expérience terrain en 1995. Il a poursuivi une carrière internationale au Royaume-Uni et en Allemagne comme Directeur de la R&D et de la Performance industrielle de l’activité Lafarge Roofing (devenue Monier puis BMI), puis Directeur Général de l’activité Composants de Toitures (2005 – 2008). Par la suite, Directeur de la R&D du groupe Lafarge, il a mis l’accent sur les solutions à bas carbone, l’efficacité énergétique et l’économie de la construction. En 2012, à la tête des activités de Lafarge en France, il a mis en œuvre les synergies métiers à travers un ambitieux programme de transformation. En 2015, il rejoint le Comité de Direction du groupe Lafarge Holcim, alors au cœur d’une fusion internationale, où il a été en charge de l’Amérique Latine puis de l’Amérique du Nord. Plus récemment, il s’est recentré sur la France en prenant la Direction du groupe Alkern en 2019. Dans cette ETI de 1100 personnes spécialisée dans l’industrie de la préfabrication en béton, l’activité a été dynamisée grâce à une stratégie de performance, d’innovation et de croissance externe. Pascal Casanova, Président d’Edilians déclare : « C’est avec une grande fierté que je prends aujourd’hui la Direction d’Edilians. C’est une belle entreprise industrielle, aux collaborateurs engagés et de qualité, leader sur son marché et ancrée au cœur des territoires avec son siège en Rhône-Alpes. Je crois fondamentalement au respect de chacune et de chacun, à la performance, à l’innovation ainsi qu’au rôle sociétal et à la responsabilité environnementale de l’entreprise. Je souhaite qu’ensemble nous mettions la toiture en terre cuite au cœur de l’éco-habitat.» Le Groupe tient à remercier Pierre Jonnard pour ses 15 années au service de l’entreprise, en particulier pour son soutien dans les 18 derniers mois. Pierre Jonnard a souhaité prendre du recul pour mener à bien des projets personnels et a fait valoir ses droits à la retraite.
Il y a 5 ans et 100 jours

Les Tours Duo, une mixité d'usage dans un milieu contraint

ARCHITECTURE. Dans le 13e arrondissement de Paris, les Ateliers Jean Nouvel ont conçu les Tours Duo, deux édifices de 180 mètres et 122 mètres. A l'occasion d'EnerJ-meeting, Vincent Chaigneau, architecte et de chef de projet des Ateliers Jean Nouvel, et Paul Lucazeau, chef de projet et ingénieur en stratégie énergie carbone chez Artelia développement bâtiments durables sont venus présenter le projet.
Il y a 5 ans et 100 jours

Hauts-de-France : un site de stockage d'électricité par batteries en projet

ÉNERGIE. Ce 12 mars 2020, l'énergéticien Total a annoncé la construction prochaine d'un site de stockage d'électricité par batteries à Dunkerque, dans le Nord. D'après le groupe, la future installation sera la plus grande du genre en France, et sera implantée en lieu et place de l'ancienne raffinerie du géant pétrolier, sur le port.
Il y a 5 ans et 100 jours

La privatisation d'ADP reportée à cause du coronavirus

AÉROPORT. La porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a expliqué que la privatisation du groupe aéroportuaire "ne saurait se poser dans l'immédiat". En cause : l'impact du coronavirus et de la chute des prix du pétrole sur les marchés financiers.
Il y a 5 ans et 101 jours

Vinci devra payer 50 000 € pour avoir déversé des résidus de béton dans la Seine

L'entreprise de BTP Dodin Campenon Bernard, filiale à 100% de Vinci Construction France, a été reconnue coupable d'avoir déversé de manière accidentelle dans la Seine de l'eau grise chargée de sable et de traces de ciment désactivé provenant de sa centrale à béton sur le chantier d'extension du train Eole. L'amende totale se monte à 90 000 euros, dont 40.000 avec sursis.
Il y a 5 ans et 101 jours

Les femmes sont-elles pénalisées dans l'accès au crédit immobilier ?

À l'occasion de la Journée internationale des Droits des Femmes, la Centrale de Financement s'est penchée sur l'écart de conditions d'emprunt entre les hommes et les femmes.