Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Entreprises de BTP

Le constructeur de nacelles CTE SpA annonce la création d'une coentreprise, dans le secteur de la lutte contre les incendies et les plateformes de sauvetage, avec Rosenbauer International AG, spécialiste anti feu basé à Leonding en Autriche.

En 2016, le salon Eurobois se tiendra du 15 au 18 novembre. Lors de cette édition, c'est à Lyon que les professionnels du secteur des équipements de la transformation du bois se réuniront.

L'annonce est tombée le 11 juillet dernier : LafargeHolcim a signé une lettre d'entente avec Nirma Limited, soumise à l'approbation de la Commission de la concurrence indienne (CCI). Elle porte sur la cession de sa participation dans Lafarge India. Et ce, pour une valeur d'entreprise de 1,4 md$.

Le Numéro 1 de l’outillage électroportatif a présenté sa nouvelle stratégie de communication : elle sera connectée, comme sa nouvelle gamme d’outils, et visera les artisans.

Fidèle à sa vocation d'informer les professionnels du génie climatique, Cegibat propose le guide Conduit collectif pour chaudières étanches fonctionnant sous pression dédié aux conduits 3CEp. 

L'entreprise Smart Module Concept (SMC) vient de franchir un nouveau cap. Après une première phase de développement, elle est passée à l'étape d'industrialisation de sa production et a multiplié par 10 ses effectifs pour répondre à ses prévisions de croissance.

Futuren, producteur indépendant d'électricité d'origine éolienne, a annoncé avoir poursuivi sa croissance au 1er semestre 2016. L'entreprise a ainsi généré un CA total consolidé de 31,275 millions d'euros en hausse de 5 % par rapport à la même période en 2015.

Une entreprise indonésienne spécialisée dans la production de ciment a récemment monté des pneus Magna 27.00-49 MB440 sur ses tombereaux.

L'entreprise Nox, spécialisée dans l'ingénierie de la construction vient d'acquérir la filiale française du groupe américain Jacobs Engineering. Une décision stratégique qui lui permettra d'augmenter ses capacités d'intervention.

En Ecosse, l'entreprise Malcom Construction a fait l'acquisition d'un tombereau articulé Terex TA300, d'une capacité de 28 t, destiné à sa division location.

L'entreprise américaine Conewago Enterprises Inc. emploie des finisseurs Volvo ABG7820C pour la pose de béton compacté au rouleau. Une alternative rentable et durable à l'asphalte.

L'entreprise LEC, spécialisée dans la LED depuis 1977, a contribué à l'identité lumière du nouveau quartier de Hafeninsel à Offenbach-sur-le-Main près de Francfort (Allemagne) en mettant en lumière un pont routier, une passerelle piétonne, les berges et une esplanade.

Le forage dirigé prend lentement son essor en France. Si notre pays est encore à la traîne par rapport à ses voisins, le mouvement est lancé et les grands maîtres d'ouvrage sont très au fait des enjeux de la technique. Pour certaines traversées, malgré les contraintes, le forage dirigé peut mettre en avant tout son potentiel de rapidité et de discrétion. C'est le cas pour une traversée électrique réalisée par l'entreprise Coquart et Fils à St Laurent Blangy.

Les équipes de BWT France, filiale du groupe autrichien Best Water Technology (BWT) spécialisé dans le traitement de l'eau, viennent de réaliser un tour de France pour transmettre leur savoir-faire et expertise aux installateurs. Du 18 mai au 1er juillet, ce ne sont pas moins de 25 villes étapes qui ont été visitées et 1500 professionnels reçus.

Thierry Mandon, secrétaire d'État en charge de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, vient d'intégrer Matériaux & Équipements pour la Construction Durable (MECD) dans le dispositif " Tremplin Carnot ". Une mesure destinée à conduire tous les acteurs de la construction vers des solutions durables.

Scania, constructeur suédois de camions, a annoncé avoir atteint un record d'immatriculations à la fin du mois de juin 2016 : avec 12,1% de pénétration sur le marché des porteurs, l'entreprise se positionne comme la 3ème marque dans l'Hexagone. Une part de marché qui a doublé en l'espace de quatre ans.

Le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) annonce avoir cédé sa participation majoritaire dans la centrale géothermique de Bouillante, en Guadeloupe, à l'entreprise nord-américaine Ormat Technologies ainsi qu'à la Caisse des dépôts et consignations.

Le groupe Saint-Gobain vient de communiquer sur les opérations entreprises par sa filiale Weber, spécialisée dans la préparation et la finition des sols ainsi que les mortiers, pour consolider sa présence en Europe et au Brésil.

Ce sont des travaux de grande ampleur que la Métropole Européenne de Lille a entrepris et que réalise le groupement d'entreprises Bouygues TP, Sade et Claisse environnement, à Roubaix. Le but du projet est de canaliser un ouvrage à ciel ouvert existant en lui offrant plus de capacité tout en le faisant passer sous le canal de Roubaix via un siphon flambant neuf. Tout cela se passe à ciel ouvert et impose donc la coupure du canal en "uvrant à près de 10 m sous la côte du terrain naturel. Un défi de taille !

Noremat, entreprise française spécialisée dans les matériels de fauchage, d'élagage et de traitement des déchets verts, a pris en compte les retours d'expérience de ses clients quant à la déchiqueteuse Valormax D 80-120 et a donc décidé d'y apporter des modifications.

Total Energy Ventures (TEV), le fonds d'investissement de Total dans les start-up, a officialisé le 12 juillet 2016 son entrée dans le capital de United Wind. Cette entreprise développe des projets de mini-éoliennes (10 à 100 kW) pour des petites sociétés rurales et des particuliers américains.

La première Journée Technique Nationale de Federec a rassemblé près de 300 participants au musée de l'air et de l'espace du Bourget, au nord de Paris. Un rendez-vous organisé par le syndicat professionnel des entreprises du recyclage afin de booster le marché. Bilan avec Jean-Philippe Carpentier, président de Federec.

Pour optimiser le dimensionnement au feu des grands ouvrages, de plus en plus utilisés dans la construction industrielle notamment, le CSTB développe une approche combinant calcul et expérimentation grandeur réelle. Après avoir mis au point un nouveau modèle de prévision, il a réalisé un essai hors norme de résistance incendie sur un panneau en béton armé de 9 m de haut. Retour sur cet essai R&D inédit, réalisé dans la plateforme Vulcain au CSTB, pour connaître plus finement le comportement au feu des grands ouvrages. L'essai de résistance incendie du CSTB en images Enjeux liés aux ouvrages de grande hauteur En situation d'incendie, le comportement d'un ouvrage dépend du matériau, mais aussi de ses dimensions, notamment de sa hauteur, et de la configuration des lieux. Les pompiers l'ont bien compris, une équipe de Seine-et-Marne assiste ainsi à l'essai piloté par le CSTB dans sa plateforme Vulcain. Il s'agit pour eux, de faire évoluer leurs techniques d'intervention, en comprenant mieux le comportement au feu des grands ouvrages. La résistance au feu des panneaux en béton de grande taille intéresse aussi les experts de la sécurité incendie, venus d'Italie, de Belgique et du Royaume-Uni pour observer l'essai du CSTB. L'utilisation de tels panneaux tend à se généraliser dans les bâtiments aux grands volumes, comme les entrepôts logistiques ou usines. Il s'agit de bien les dimensionner face au risque incendie. Caractériser le comportement au feu des grands ouvrages Lorsqu'un ouvrage est exposé à de fortes chaleurs, plus sa hauteur (à épaisseur égale) est grande, plus il a tendance à se déformer. Ce changement de géométrie du mur, quand il atteint un certain seuil, est un facteur d'effondrement. L'autre impact essentiel de la chaleur concerne la dégradation des caractéristiques des matériaux. Quelle hauteur maximum les murs doivent-ils donc respecter pour que le bâtiment résiste au feu la durée fixée par la réglementation ? Si des murs de 9 m de haut sont intégrés dans un bâtiment, combien de temps vont-ils rester stables en cas d?incendie ? L'essai de résistance incendie du CSTB doit contribuer à mieux répondre à ces questions. Leur prise en compte dans la conception du bâtiment permet d'assurer, lors d'incendie, l'évacuation des personnes et l'intervention des pompiers. Au-delà des données chiffrées, c'est la cinématique de l'effondrement du bâtiment que l'on veut qualifier au travers de l'essai, pour identifier les signes d'avertissement avant le moment critique. Valider le nouveau modèle de simulation du CSTB Des modèles de calcul thermomécanique existent déjà pour simuler le comportement au feu d'ouvrages de 3 m de haut, et prévenir les risques pour les personnes et les biens. Pour les ouvrages de 9 m, l'étude se fonde actuellement sur l'extrapolation de ces calculs. Pour renforcer la précision des études menées, le CSTB a mis au point un nouveau modèle de calcul dédié aux ouvrages de plus de 3 m. L'essai de résistance incendie à échelle 1 mené dans la plateforme Vulcain, sur un mur porteur en béton, haut de 9 m, a permis de valider ce modèle. Perspectives de cet essai L'analyse des données post-essai est essentielle pour comprendre finement la déformée d'un ouvrage en béton de 9 m de haut exposé au feu. Elle permettra aussi au CSTB de proposer aux professionnels une offre Ingénierie Sécurité incendie plus complète pour les grands ouvrages (jusqu'à 9 m), combinant simulation et essai grandeur réelle. Par extrapolation des résultats obtenus par le calcul, il sera également possible de caractériser le comportement au feu de murs en béton d'une hauteur supérieure à 9 m, et de mieux connaître celui des éléments horizontaux de grande dimension. En savoir plus : L'expertise Sécurité incendie du CSTB La plateforme d'essais au feu Vulcain du CSTB Contact : Eric Gallet

La Cité de la Mode et du Design accueille PLAY!, une exposition innovante et interdisciplinaire qui place le jeu au c"ur la pratique créative. Vingt artistes, designers, photographes, architectes, vidéastes et plasticiens dévoilent leurs propres jeux pour des instants de surprise, d'émotion ou d'interrogation, empreints de justesse et d'impertinence. " Avant, chaque jeu était destiné à une catégorie sociale, mais ça, c'était avant. Aujourd'hui, il est multiculturel, mondialisé, se moque des tranches d'âge et réunit " les cheveux blonds, les cheveux gris ". Le XXIe siècle serait-il ludique ou ne serait-il pas ? Compétition, hasard, simulacre, recherche d'un certain vertige, le jeu, en période de crise(s) ne s'est jamais aussi bien porté. " Véronique Thouvenin, commissaire générale de l'exposition   Pratique individuelle ou collective, éducative ou récréative, le jeu est universel et reflète l'évolution d'une société et de ses technologies : le damier nait avec la géométrie, les cartes apparaissent avec l'imprimerie, le train électrique illustre l'ère industrielle, le Monopoly symbolise encore le capitalisme et si le XXIe siècle était un jeu, il serait numérique. Eh bien, jouez maintenant ! Les 2000 m² du Grand Foyer des Docks accueillent 20 designers, artistes, photographes, plasticiens, vidéastes et architectes à questionner et réinventer le jeu. Leurs installations se veulent ludiques, interactives, parfois physiques, sensitives ou bien critiques.  Guidé par une scénographie de confettis imaginée par Elise Fouin, le visiteur est invité à découvrir et expérimenter ces jeux inédits, de l'arbuste qui chante de Scenocosme aux danses chamaniques interactives de Masomenos, des tables de ping-pong inédites de Laurent Perbos aux architectures imaginaires de Victoria Gravelier. 20 artistes et créateurs L'Art et la Matière, Blow Factory, Fédération Française de Tennis de Table, Fichtre, Fixioneers, Franck Magné, Julien Nonnon, Laurent Perbos, Leblox, Lisa Keome, Masomenos, Millimètre, Minh Ta, Plus+Mieux Création, Scenocosme, Tim Knapen & Unfold, Victoria Gravelier/L'Ecole Bleue. Play !, Les Docks, Cité de la Mode et du Design, 75013, Paris, du 13 juillet au 15 août 2017, de 13h à 19h tous les jours sauf le mardi, tous publics, entrée libre. Pour en svoir plus, consultez le site de la Cité de la Mode et du Design.

Thierry Mandon, secrétaire d'État en charge de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, vient d'intégrer Matériaux & Équipements pour la Construction Durable (MECD) dans le dispositif " Tremplin Carnot ". Une mesure destinée à conduire tous les acteurs de la construction vers des solutions durables.

Une entreprise basée à Beijing (Chine), Huashang Tengda, a annoncé avoir construit la première maison entièrement en 3D. Cette villa, qui ressemble à un petit château, serait même capable de résister à un tremblement de terre de 8 sur l'échelle de Richter.

Didier Gaillot, directeur général des Transports Gaillot, entreprise basée à Ennery en Moselle, s'est déplacé à Auxerre pour prendre livraison de sa première benne grand volume en aluminium AgroMax du constructeur Fruehauf.

À Nice, 140 familles volontaires ont réalisé 28 % d'économie sur leur consommation d'électricité entre 18 h et 20 h, durant l'hiver 2016. C'est un des résultats du projet CITYOPT, qui a expérimenté un " réseau social de l'énergie " pour mieux maîtriser la demande en électricité aux heures de pointe. Piloté par la métropole Nice Côte d'Azur, le fournisseur d'énergie EDF, l'agence de design Expérientia et le CSTB, CITYOPT s'appuie sur de nouvelles technologies numériques pour accompagner l'évolution des usages électriques à l'échelle de la ville. Focus sur les enseignements de ce projet, présentés au salon Innovative City 2016 à Nice. Enjeux, organisation et résultats du projet CITY OPT en vidéo. L'expérimentation CITYOPT, menée auprès de 140 foyers à Nice entre novembre 2015 et avril 2016, a permis une économie moyenne de 300 watts-heure par participant sur le créneau 18 h - 20 h. Si l'ensemble des foyers de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) participaient à cette initiative, cela représenterait près de 360 MW-h d'économies, soit la consommation énergétique annuelle de 2 écoles. Comment ? Chaque famille niçoise participante s'est vu remettre une tablette mobile équipée de l'application mobile CITYOPT, développée par le CSTB avec l'agence Expérientia. Elle a ainsi pu recevoir des alertes la veille de chaque pic de consommation d'électricité (25 alertes au total). Elle a alors été invitée à réduire sa consommation électrique entre 18 h et 20 h par des gestes simples : baisser la température de consigne de son chauffage électrique, limiter ou déplacer son utilisation des appareils électriques les plus puissants, par exemple. L'application lui a également permis de connaître l'impact de ses éco-gestes, et de mesurer l'action de la communauté à l'échelle du quartier. L'idée que la protection de l'environnement et les économies d'énergie passent par la somme des gestes simples individuels, le projet CITYOPT en apporte la démonstration. Ses participants en témoignent : " J'apprécie l'élan collectif, communautaire, on est moins seul et là, c'est concret ". Ils jugent stimulant de pouvoir comparer le résultat de leur action à celle des autres participants. (Source : Dossier de presse). Autre moteur du projet : l'engagement des citoyens en faveur de l'environnement. Ceux-ci souhaitent " mieux comprendre leur consommation et apprendre à mieux consommer ". Plus de 70 % des participants interrogés estiment que modifier son usage de l'électricité aux heures de pointe, entre 18 h et 20 h, n'est pas contraignant. Enfin, c'est l'envie de soutenir financièrement des projets d'intérêt général qui a fédéré les citoyens autour de CITYOPT. Rappelons que l'économie d'énergie solidaire est au c"ur de ce projet : chaque kW-h économisé fait gagner des points à l'usager, qu'il transforme en subvention à un projet associatif local de son choix. Le vainqueur de cette expérimentation ? L'association PIMMS, qui développe des lieux de proximité et de solidarité, au sein desquels les Agents médiateurs, professionnels du lien social, aident les citoyens pour un meilleur accès aux services publics. En savoir plus : CITYOPT, l'économie d'énergie solidaire, dossier de presse, juin 2016 Le site du projet européen CITYOPT Vers la ville intelligente grâce à une gestion innovante de l'électricité