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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Etats et collectivités

(41855 résultats)
Il y a 5 ans et 268 jours

APPRENDRE au Lycée des Métiers de Montpellier signé Hellin-Sebbag

L’agence Hellin-Sebbag Architecture (Brigitte Hellin, Hilda Sebbag, Benjamin Pirany), qui signe Le Lycée des Métiers Léonard de Vinci, livré à Montpellier (Hérault) en 2017 pour la Région Occitanie, est lauréate des Trophées Eiffel 2019 organisés par ConstruirAcier dans la Catégorie […] L’article APPRENDRE au Lycée des Métiers de Montpellier signé Hellin-Sebbag est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 268 jours

Edouard Philippe veut renforcer la concertation avec les collectivités

Edouard Philippe a souhaité renforcer la concertation avec les collectivités territoriales et ouvert la voie à plus de différenciation des politiques en fonction des territoires, devant les élus régionaux réunis en congrès mardi à Bordeaux.
Il y a 5 ans et 268 jours

Un futur Pont Jacques Chirac sur la Saône

Un futur pont sur la Saône sera baptisé Jacques Chirac "en hommage à l'attachement de l'ancien président de la République aux territoires et à leur unité", ont annoncé les départements de l'Ain et de la Saône-et-Loire.
Il y a 5 ans et 268 jours

La Caisse des dépôts défend son rôle central dans le financement des HLM

La Caisse des dépôts, qui finance le gros des opérations du logement social, a défendu son rôle central pour le secteur, le jugeant essentiel au moment où l'idée germe d'y attirer des investisseurs privés.
Il y a 5 ans et 268 jours

Les fraudeurs à la rénovation énergétique sont épinglés par la DGCCRF

ENQUÊTE. Sur les 469 sociétés visitées l'an dernier par l'administration publique, pas moins de 56% présentaient des anomalies, selon un rapport publié par la DGCCRF ce jeudi 3 octobre. Le gouvernement doit annoncer mi-octobre un plan de lutte contre la fraude aux travaux de rénovation énergétique.
Il y a 5 ans et 268 jours

Le monde HLM en mesure de construire à un bon rythme à long terme

Les bailleurs sociaux sont en mesure de garder un rythme solide de construction les prochaines décennies, autour de 100.000 nouveaux logements annuels, a estimé mardi la Caisse des dépôts.
Il y a 5 ans et 268 jours

Fonds structurels européens : des ressources peu accessibles aux petites collectivités locales

Dans un rapport publié le 1er octobre, le Sénat se penche sur l’utilisation des subventions communautaires. S’il affirme que la quasi-totalité des 27,8 Mds € de fonds européens seront utilisés d’ici à 2023, les sénateurs reconnaissent que ces financements sont difficiles d’accès. Ils sont souvent captés par les plus grandes collectivités, au détriment des petites.
Il y a 5 ans et 268 jours

Toulouse, capitale de l'hydrogène

Véhicules propres - Les projets se multiplient dans la métropole et dans la région pour favoriser l'utilisation de l'hydrogène dans les transports du futur.
Il y a 5 ans et 268 jours

Paca mise sur la diversification

Réindustrialisation - La région parie sur des secteurs générateurs de nouvelles filières dans l'énergie, l'éolien flottant, les smart grids et les dirigeables pour relancer les implantations industrielles.
Il y a 5 ans et 268 jours

Le bourdon de Notre-Dame de Paris retentit pour la première fois depuis l’incendie

Le bourdon de Notre-Dame de Paris, Emmanuel, a retenti ce lundi 30 septembre pour la première fois depuis l’incendie en hommage à Jacques Chirac. Depuis l’incendie, le système électronique était hors d’usage, c’est donc manuellement que le bourdon Emmanuel a été actionné. Une première depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le bourdon Emmanuel, seconde plus grosse cloche de France, avait été rénové en 2017 dans le Manche, à la fonderie Cornille-Havard. Datant de 1680, c’est un bourdon de 13 tonnes et 2,61 m de diamètre qui a sonné ce lundi midi. #NotreDame sonne le glas pour #JacquesChirac Conséquence de l’incendie, le système électrique est HS et la manœuvre est faite manuellement, à la corde. #Paris #HommageNational pic.twitter.com/zFmLfDOYcP — Jean-Michel Nagat (@jmnagat) September 30, 2019
Il y a 5 ans et 268 jours

Municipales: des associations appellent à stopper le "Monopoly" urbain

URBANISME. Dans une tribune collective, une vingtaine d'associations écrivent aux candidats à la mairie de Paris et crient "halte au Monopoly" urbain.
Il y a 5 ans et 269 jours

Événement : Le Nouveau Monde de Charlotte Perriand

Disparue il y a vingt ans, la designer et architecte Charlotte Perriand fait aujourd'hui l'objet d'une grande rétrospective à la Fondation Louis Vuitton. Longtemps demeurée dans l'ombre de ses confères masculins, Le Corbusier en tête de file, elle reprend aujourd'hui la place qui lui est due au sein d'une exposition mêlant architecture, design et art. Des années 1920 à l'aube de l'an 2000, Charlotte Perriand (1903-1999) a su mettre en place un « art d'habiter » aussi ancré dans son temps qu'avant-gardiste. Première rétrospective d'une telle ampleur, l'exposition menée par Pernette Perriand-Barsac, fille de la créatrice, occupe tous les espaces du musée conçu en 2014 par Frank Gehry. L'occasion pour la Fondation d'établir un parcours chronologique pour retracer la vie bien remplie de Charlotte Perriand. Alors que la première étape s'attarde sur ses nombreuses collaborations avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret, nous assistons peu à peu à son émancipation, politique notamment, encouragée par Fernand Léger. Un parti pris qui aura pour conséquence de lui faire prendre conscience des limites du progrès et de se tourner vers une création emprunte de références à la nature. La visite se poursuit avec ses voyages au Japon, qui marqueront profondément sa pratique, et son implication dans la Reconstruction, notamment en cofondant le mouvement « Formes utiles », fondamental dans la future appréciation du design. Nous continuons de déambuler dans les nombreuses galeries de la Fondation en découvrant son fameux « art d'habiter », son séjour à Rio ou encore l'édification de la station de ski des Arcs. Cet immense parcours est également ponctué de diverses reconstitutions de lieux iconiques comme l'appartement-atelier de la place Saint-Sulpice (1927), le Salon d'Automne (1929) ou encore la Maison au bord de l'eau (1934) qui s'inscrit à l'extérieur des espaces d'exposition et offre une pose bienvenue dans la découverte de cette exposition. De nombreux chefs d'œuvre de la peinture et de la sculpture contextualisent et mettent en valeur le mobilier de Charlotte Perriand. Ainsi, on découvre avec admiration le Guernica de Picasso, de nombreux mobiles de Calder, des tapisseries de Le Corbusier ou encore de très grands formats signés Fernand Léger. Une exposition pluridisciplinaire qui rend hommage à l'une des pionnières du design tel qu'on le connaît aujourd'hui. Pour en savoir plus, visite le site de la Fondation Louis Vuitton Photographies : Fondation Louis Vuitton
Il y a 5 ans et 269 jours

Incendie de Rouen : l'Andeva réfute les propos du préfet sur l'amiante

RÉACTION. Suite à l'important incendie de l'usine de produits chimiques Lubrizol, à Rouen, de nombreuses questions se posent autour d'éventuels risques sanitaires. Ce mardi 1er octobre 2019, le Préfet de Seine-Maritime a affirmé qu'il n'y avait pas de "risque amiante avéré". Des propos vivement contestés par l'association nationale de défense des victimes de l'amiante. Celle-ci a annoncé également le futur dépôt d'une plainte pour mise en danger de la vie d'autrui.
Il y a 5 ans et 269 jours

la Maison du Peuple à Clichy : le ministre de la Culture s’oppose au projet

Franck Riester, ministre de la Culture, se dit contre le projet de la Maison du Peuple à Clichy. Un projet de rénovation du bâtiment classé monument historique ainsi que la construction d’une tour de 99m. Pour Franck Riester, « dans l’état actuel du projet, l’Etat ne donnera pas son autorisation car cette tour, telle qu’elle est prévue, dénaturerait le bâtiment ».  Le bâtiment a été classé Monument Historique en 1983 mais peu entretenu, il se dégrade progressivement. Face à cette situation et à des travaux coûteux, un appel à projet est lancée par la Métropole du Grand Paris en 2017. C’est le projet proposé par le promoteur Duval et le cabinet d’architectes Rudy Ricciotti qui est retenu : un tour de 99 mètres qui accueillerait restaurant, hôtel 4 étoiles et appartements de luxe. Pour effectuer le projet, le conseil municipal prévoyait de déclasser les bien du domaine public afin de les céder au privé, le groupe Duval. Avec les propos tenus par le premier Ministre c’est un réel frein au projet qui est mis.  Franck Riester demande donc à ce que le projet soit réétudier. ©Groupe Duval / Rudy Ricciotti 
Il y a 5 ans et 269 jours

Bourgogne-Franche-Comté : vers une Région à Énergie Positive

Depuis 2013, l’ADEME et la Région Bourgogne-Franche-Comté accompagnent les territoires de notre région dans leur démarche TEPos : Territoires à Energie Postive. L’objectif est de réduire au maximum les besoins en énergie et les couvrir par la production d’énergie renouvelable.
Il y a 5 ans et 269 jours

ADP en discussion exclusive avec la Bolivie pour développer le plus grand aéroport du pays

Le groupe ADP et le gouvernement bolivien ont signé le 30 septembre, un protocole d'accord d'entrée en négociation exclusive d'un contrat d'alliance stratégique en vue du développement et de l'exploitation, sur une durée de 30 ans, de l'aéroport international Viru Viru de Santa Cruz de la Sierra, premier aéroport du pays avec 2,9 millions de passagers accueillis en 2018.
Il y a 5 ans et 269 jours

Lâchée par Paris sur la transformation de la gare du Nord, la SNCF craint des années de délai

Guillaume Pepy, patron de la SNCF, a regretté mardi un "revirement" de la part de la Mairie de Paris, qui a retiré son soutien au projet de transformation de la gare du Nord, et pointé le risque d'un report de plusieurs années.
Il y a 5 ans et 269 jours

Les bétons végétaux : Potentiels techniques et performances environnementales

Les murs de la maison diocésaine Odette Prévot de Châlons-en-Champagne ont été isolés avec un enduit de béton de chanvre lors de sa rénovation en 2004. La consommation énergétique constatée pour le chauffage est de 61 kWh/m2/an (relevés 2013 et 2014). [©Courtesy M’Cub/Luc Boegly] I – Qu’est-ce qu’un béton végétal ?  Les bétons végétaux sont des bétons dans lesquels on remplace tout ou partie des granulats minéraux par des granulats d’origine végétale. Cette substitution modifie très sensiblement les performances de ces bétons. Les liants peuvent être de natures diverses (chaux, ciments, argiles…), mais ils exigent de prendre des précautions pour que la prise soit assurée. Pour les granulats, la variété des ressources est très large. Les granulats de bois sont utilisés depuis plusieurs dizaines d’années pour la confection de bétons légers et pour la réalisation de murs anti-bruits. Un développement plus récent concerne la fabrication de blocs à maçonner avec des granulats issus de palettes en fin de vie.  Les bétons de chanvre sont, quant à eux, apparus il y a une trentaine d’années et ont fait l’objet de nombreux travaux de recherche, mettant en valeur leurs spécificités physiques, dont leur porosité. Ces travaux, qui se poursuivent, ont permis de fiabiliser les utilisations. En dehors de ces deux “majors” – bois et chanvre – qui occupent l’essentiel du marché, de nombreuses autres ressources sont mobilisables : le miscanthus – “roseaux de Chine” ou “herbe à éléphant” – et le lin qui, malgré des filières organisées, n’ont pas encore fait réellement aboutir les travaux de développement mis en place dans le domaine de la construction Parmi les grandes cultures pratiquées en France métropolitaine, le colza, le tournesol et le maïs suscitent des intérêts croissants. Ces cultures sont susceptibles de produire des volumes très importants à partir des tiges, qui ne sont pas valorisées, sans concurrence avec les usages alimentaires et à des coûts potentiellement très bas. Plus exotiques, mais avec des potentiels importants dans des zones géographiques à fort développement démographique, les cosses de riz et les résidus de canne à sucre (bagasse) permettent de confectionner des bétons végétaux performants. Enfin, dans de nombreuses zones géographiques, les éco-systèmes naturels possèdent des potentiels importants à l’instar du typha, un roseau qui envahit, entre autres, le fleuve Sénégal et qui fait l’objet de programmes de développement ambitieux. Globalement, de nombreuses ressources végétales sont en mesure d’être transformées en granulats pour confectionner des bétons végétaux, avec l’ambition, dans la logique de la filière béton, de favoriser des ressources locales.  Les bétons végétaux offrent une grande diversité de composition et de caractéristiques techniques. [©HA Segalen] II – Quelles sont les précautions à prendre pour formuler un béton végétal ? Quelles en sont les limites ?  La principale difficulté provient de l’émission de lixiviats chargés en polysaccharides lors du mélange des granulats avec l’eau de gâchage. Ces sucres contrarient la prise des liants hydrauliques, en diminuant la résistance mécanique du béton. Plusieurs solutions existent pour réduire ce phénomène : l’adjuvantation, qui peut bloquer la diffusion des sucres, l’utilisation de liant à prise très rapide, afin que cette dernière se fasse avant l’émission des sucres. Ou encore l’enrobage des granulats, avec une barbotine de ciment ou de chaux pour former une coque protectrice.  Il faut cependant préciser que la porosité interne des granulats (d’environ 80 %) confère au béton souplesse et faible résistance mécanique (Rc proche de 1 MPa). Elle peut être améliorée par l’augmentation du dosage en liant et/ou par la compression du béton à la mise en place, ce qui permet de dépasser les 4 MPa. Mais c’est au détriment des performances thermiques. Il s’agit donc de trouver un compromis, qui réponde aux exigences des utilisations prévues. Dans presque tous les pays du monde, les bio-ressources susceptibles de fournir des granulats végétaux sont abondantes. La France, pays agricole, dispose de gisements importants. [©Bernard Boyeux] Vers une normalisation des granulats végétaux Les bétons végétaux détiennent un potentiel de développement important,dont l’un des points forts est la variété des ressources mobilisables.  Cette variété pose toutefois une difficulté quant aux spécifications des différents granulats,qui ne peuvent aujourd’hui s’appuyer sur aucune norme. Cette carence oblige à caractériser chaque formulation,ce qui limite beaucoup le développement d’une réelle massification de l’usage des bétons végétaux. Par ailleurs, la filière ne dispose pas,pour le moment,d’une structuration,qui porte l’ambition d’élaborer les cadres normatifs indispensables. C’est ce qui a amené la Guilde des métiers de la chaux à mettre en place le groupe de travail “Sable Vert”, dont le principal objectif est de pallier cette déficience. Comparaison des variations de température (mesures C) au centre d’une paroi pour différents matériaux de conductivité thermique et masse volumique très proches : briques monomur, béton cellulaire et béton de chanvre.La paroi est soumise sur l’une de ses faces à une variation de températures de 10 à 40 °C (mesures A), l’autre restant à une température ambiante d’environ 25 °C (mesures B).L’augmentation de la température est plus modérée pour le béton végétal, en raison des changements de phase de la vapeur d’eau au sein de son réseau multi-poreux.[Thèse de doctorat de Driss Samri, 2008]. III – Qu’apportent les bétons végétaux ? Sur le plan environnemental, les bétons végétaux répondent à deux attentes fortes : la capacité de fournir des quantités importantes de granulats renouvelables pour faire face à des besoins, qui croissent au niveau mondial de façon exponentielle. Et la diminution des impacts carbone des matériaux de construction, qui participent, en construction neuve, à hauteur de 60 % des émissions globales des bâtiments.  Les bétons végétaux représentent une des solutions matures pour diminuer le bilan carbone des bétons. Sans compter leur capacité de stocker du carbone, caractéristique qui, selon la loi Elan, devra être prise en compte dans les futures réglementations. Du point de vue des caractéristiques physiques, du fait de la porosité des granulats, les bétons végétaux bénéficient d’une faible masse volumique, d’une grande plasticité, d’une résistance thermique élevée et de capacités d’absorption phonique. Leur porosité permet d’expliquer leur comportement hygrothermique : les échanges de vapeur d’eau sont possibles avec l’air ambiant et les effets des vaporisations/condensations de la vapeur d’eau au sein du réseau poreux améliorent sensiblement la performance énergétique des bâtiments. Les performances des bétons végétaux sont en grande partie dépendantes de la nature, de la morphologie et des caractéristiques physico-chimiques des granulats. [©DR/CC0] IV – Quels sont les champs d’application des bétons végétaux ? En dehors des utilisations exigeant de fortes résistances en compression, les champs d’application des bétons végétaux sont larges. On voit se dessiner deux axes de mise en œuvre. D’une part, la confection de béton sur chantier avec une mise en œuvre par projection, permettant la réalisation d’enduits isolants et le remplissage de parois – en général, à structure bois. D’autre part, la préfabrication, depuis les blocs à maçonner (dont des systèmes innovants de montage à sec par emboîtement) jusqu’à de la construction modulaire, dont une proposition a été lauréate du prix de l’Innovation du salon des Maires 2014. En passant par des panneaux, incluant une structure bois ou combinant un voile structurant et une isolation en béton végétal. Sans que la frontière soit étanche, la préfabrication répond bien aux exigences de la construction neuve. Alors que la projection est une solution pertinente en rénovation, en particulier dans le cas du bâti antérieur à 1948. Dans ce dernier cas, grâce à leur porosité et à leur plasticité, les bétons végétaux respectent tant le fonctionnement hygrothermique que l’architecture, en épousant toutes les formes du bâti existant et en adaptant les épaisseurs aux différentes contraintes. Bernard Boyeux,Directeur de BioBuild Concept, membre de Sable VertSujet réalisé en collaboration avec :Laurent Arnaud, chef du département bâtiments durables du Cerema, membre de Sable Vert, et Michel Rizza, guilde des métiers de la chaux, membre de Sable Vert
Il y a 5 ans et 269 jours

Porcher élargit son offre de robinetterie dédiée aux établissements de santé

Selon un rapport de Santé publique France, l’eau du robinet est la cause de 8,5 % des hospitalisations pour brûlures. La gravité des lésions est plus importante à mesure que l’âge des personnes est avancé et que leur condition physique ou mentale est faible. De ce fait, la population des établissements médicalisés est plus exposée au risque de brûlure par l’eau du robinet. Pour limiter ce risque tout en augmentant le niveau d’hygiène, Porcher complète son offre de robinetterie dédiée aux établissements de santé avec deux nouveautés : les mitigeurs à équilibrage de pression Okyris Safe et les mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche sans clapet anti-retour Okyris Pro Clinic. Mitigeurs à équilibrage de pression Okyris Safe Compenser les variations de pression pour plus de sécurité et d’hygiène Okyris Safe est une gamme de mitigeurs mécaniques à équilibrage de pression destinée aux chambres des patients dans les établissements médicalisés (hôpitaux, cliniques, maisons de retraite). Fabriquée en laiton chromé, elle se compose de 10 modèles permettant de répondre à de multiples configurations de sanitaires : • six mitigeurs lavabo sur table, avec ou sans tirette et vidage, déclinés dans un choix de trois poignées, • quatre mitigeurs douche muraux, avec raccords standards ou stop-purges, déclinés dans deux modèles de poignées. Une sécurité optimale contre les brûlures Afin de limiter le risque de brûlure, l’arrêté du 30 novembre 2005 fixe la température maximale de l’eau chaude sanitaire, dans les pièces destinées à la toilette des habitations et des établissements recevant du public, à 50°C aux points de puisage. Pour ne pas dépasser cette température, la gamme Okyris Safe est équipée d’un limiteur de température ainsi que d’une cartouche à équilibrage de pression. Cette dernière compense les variations de pression dans le réseau pour maintenir une température d’eau constante en sortie de robinet. Elle agit ainsi comme une sécurité anti-brûlure extrêmement fiable. Un niveau d’hygiène optimal Hygiénique, la gamme Okyris Safe est aussi une solution efficace pour lutter contre les risques infectieux. En effet, la cartouche à équilibrage de pression permet d’éviter, en amont du mitigeur, l’installation de régulateurs ou d’équilibreurs de pression, dont les cavités contribuent à la formation de niches microbiennes. Pour préserver une qualité d’eau optimale, les mitigeurs sont dotés d’un bec incliné autovidable qui empêche la stagnation de l’eau, responsable de la prolifération des bactéries, et notamment de la légionnelle. De plus, un brise-jet étoilé réduit le développement des bactéries et l’apparition du calcaire. Enfin, les mitigeurs douche s’accompagnent d’un flexible en polyéthylène réticulé (PEX) qui limite l’adhérence du biofilm. Faciles à nettoyer grâce à leur corps monobloc, les mitigeurs Okyris Safe résistent aux chocs thermiques et chimiques et sont compatibles avec des filtres terminaux. Pour diminuer le risque d’allergie, les mitigeurs Okyris Safe sont fabriqués sans nickel. Un grand confort d’utilisation Ergonomiques, les mitigeurs Okyris Safe offrent une grande hauteur sous bec de 104 mm et une grande longueur de bec, permettant de limiter les éclaboussures. Pour une préhension optimale, la gamme propose trois types de poignées (pleine, ajourée ou rallongée sans contact manuel) pour une ouverture à la main ou au coude. Pour une plus grande liberté de mouvement, les mitigeurs douches sont équipés d’un flexible de 50 cm de longueur, contre 35 cm en moyenne. Une gamme durable favorisant les économies d’eau Conforme au classement Ch2 de la norme NF Robinetterie, la gamme Okyris Safe intègre un réducteur de débit qui maintient un débit d’eau constant de 5 litres par minute en plein débit quelle que soit la pression, favorisant ainsi les économies d’eau. Pour une résistance et une longévité à toute épreuve, les mitigeurs Okyris Safe sont équipés de la cartouche FirmaFlow®, conçue et fabriquée par le groupe Ideal Standard International. Avec une tête en métal, un diamètre de 38 mm et deux disques céramiques de qualité premium, elle prolonge le cycle de vie de la robinetterie jusqu’à 500 000 cycles soit 10 à 15 ans d’utilisation quotidienne, presque deux fois le standard industriel du marché. Gage de qualité, la gamme Okyris Safe est garantie 10 ans. Une installation facile Les mitigeurs Okyris Safe sont équipés du système Easy Fix pré-assemblé : une vis en laiton maintient le mitigeur centré. L’étrier de fixation est maintenu par un joint solidaire et l’écrou se visse d’une seule main, pour une installation facilitée. Grâce à cette technologie, le temps de montage est réduit de 30 % par rapport à une installation classique. Mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche Okyris Pro Clinic Le plus haut niveau d’hygiène et de protection contre les brûlures En 2017, Porcher lançait Okyris Pro Clinic, une gamme de mitigeurs thermostatiques sur table conçue pour les hôpitaux et cliniques nécessitant un niveau d’hygiène extrême. Aujourd’hui, la gamme Okyris Pro Clinic s’agrandit avec deux nouveaux mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche sans clapet anti-retour, avec raccords standard ou stop-purge. Une hygiène irréprochable Conformes à la nouvelle norme NF 077 MM spécifique à la robinetterie destinée au milieu médical, les nouveaux mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche Okyris Pro Clinic sont fabriqués sans clapets anti-retour afin d’éviter la contamination bactérienne de l’eau. Pour limiter les risques infectieux, les mitigeurs s’ouvrent et se ferment sur eau froide. Cela évite la montée en température dans le bras mort à l’ouverture et la stagnation d’eau chaude à la fermeture, toutes deux sources de prolifération bactérienne. Grâce à leur intérieur lisse en laiton qui évite l’apparition du biofilm en offrant moins d’accroche aux dépôts et aux résidus, ils limitent le risquent d’infection. De plus, un brise-jet étoilé réduit le développement des germes et l’apparition du calcaire. Grâce à leur levier allongé, les mitigeurs peuvent se commander au coude, de manière hygiénique et ergonomique : après utilisation, le mitigeur se referme ainsi sans contact manuel. Faciles à nettoyer, les mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche Okyris Pro Clinic résistent aux chocs thermiques et chimiques. La cartouche thermostatique est également déverrouillable sans démontage de la poignée pour la stérilisation par choc thermique. La meilleure sécurité contre les brûlures De plus, ils bénéficient de la technologie Cool Body : le corps de la robinetterie reste tiède même à l’écoulement de l’eau chaude, ce qui empêche de se brûler à son contact. Enfin, l’écoulement de l’eau s’interrompt automatiquement en cas de coupure d’eau froide afin d’éviter les brûlures liées aux chocs thermiques. Des économies d’eau Grâce à un régulateur de débit intégré dans la cartouche, le débit d’eau est limité à 12 litres par minute, atout non négligeable pour les économies d’eau. Les mitigeurs thermostatiques séquentiels de douche Okyris Pro Clinic sont garantis 10 ans. En élargissant son offre de robinetterie dédiée aux établissements médicalisés, Porcher démontre son expertise dans le milieu de la santé. http://www.porcher.com
Il y a 5 ans et 269 jours

Daniel Guérin, nouveau directeur général délégué de l’Inrap

Par un arrêté en date du 30 août 2019, paru au Journal Officiel du 7 septembre 2019, la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Frédérique Vidal, et le ministre de la Culture, Franck Riester ont nommé, sur proposition de Dominique Garcia, président de l’Inrap, Daniel Guérin, directeur général délégué de l’établissement, en renouvellement de son mandat. Conformément aux statuts de l’établissement public, il est chargé de l’administration et de la gestion de l’Institut sous l’autorité du président de l’Institut, Dominique Garcia. Âgé de 56 ans, Daniel Guérin est diplômé de l’ESSEC et titulaire d’une maîtrise en droit public. Il entend poursuivre le déploiement du plan stratégique de redressement de l’Institut, engagé depuis 2 ans et qui a déjà confirmé ses premiers résultats économiques en 2018.
Il y a 5 ans et 269 jours

Un préfigurateur pour débuter la restauration de Notre-Dame de Paris

Un décret paru fin septembre 2019 détaille le contenu des missions attribuées par la loi au préfigurateur de l’établissement chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il est chargé de préparer l’organisation et le fonctionnement des services de l’établissement public qui assurera la conduite, la coordination et la réalisation des études et des opérations concourant à la conservation et à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Le préfigurateur met en place le règlement intérieur de l’établissement et celui de son conseil d’administration, les projets de budgets pour les années 2019 et 2020, les modalités d’organisation du contrôle interne budgétaire et comptable ainsi que la composition et le fonctionnement du conseil scientifique et du comité des donateurs. Il prépare le transfert des contrats passés dans le cadre de la maîtrise d’ouvrage des travaux sur la cathédrale Notre-Dame de Paris et conventions en relation avec sa mission pour lesquels l’établissement se substitue dans les droits et obligations de l’Etat ainsi que le transfert ou l’adaptation des conventions concourant à sa mission. Il peut en outre préparer des contrats ou conventions en vue d’expertise ou d’études préalables au lancement des travaux de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et de l’aménagement de son environnement immédiat ; préparer le recrutement des personnels de l’établissement ; préparer les conventions de mécénat financier ; préparer et signer les conventions de mécénat de compétences ; signer des conventions d’occupation de locaux à titre gratuit. Ce décret sera abrogé à compter de la nomination du président de l’établissement.
Il y a 5 ans et 269 jours

L'Ordre des architectes condamné par l'Autorité de la concurrence pour avoir imposé des prix

Tarifs obligatoires, "police des prix", délation, pressions sur les collectivités locales... L'Autorité de la concurrence a dressé mardi un portrait noir de pratiques dans l'architecture, infligeant 1,5 million d'euros d'amende à sa principale instance dans une décision d'une ampleur historique.
Il y a 5 ans et 269 jours

La Fnaim appelle à une refonte majeure de la fiscalité locale

IMMOBILIER. Malgré les différentes décisions du gouvernement pour tenter de diminuer la fiscalité immobilière, la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) prédit que la France devrait rester championne du monde en la matière. Pour contrer cela, l'organisme appelle à une refonte majeure de la fiscalité locale.
Il y a 5 ans et 269 jours

Eloge du terrain vague, de la friche et de la dent creuse

Dans les grandes villes, les constructeurs se battent sans vergogne pour des parcelles de quelques centaines de m² encore vides. Pour y construire quoi ? Six, sept, huit logements ? Dans le bilan du maire, combien pèsent-ils ces bâtiments rarement […] L’article Eloge du terrain vague, de la friche et de la dent creuse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 269 jours

PPP "écoles" : nouveau coup dur pour la mairie de Marseille

JUSTICE. La Ville de Marseille a échoué à obtenir un sursis à exécution auprès de la cour administrative d'appel de Marseille, censé préserver la poursuite du partenariat public-privé pour ses écoles le temps de la procédure judiciaire.
Il y a 5 ans et 269 jours

Le gouvernement repousse l'augmentation des charges sociales pour les auto-entrepreneurs

Un décret devant raboter un dispositif d'exonérations de charges sociales pour les auto-entrepreneurs, rejeté par les représentants de ces derniers, ne sera pas publié mardi contrairement à ce qui était prévu, a indiqué lundi soir l'entourage de la ministre du Travail.
Il y a 5 ans et 270 jours

Une colonne d'algues filtre l'équivalent de la pollution émise par 150 voitures

Testé depuis deux ans en région parisienne, le mobilier urbain futuriste mis au point par Suez a rendu ses premiers résultats. Son intérêt à grande échelle doit encore être démontré.
Il y a 5 ans et 270 jours

Coup d'accélérateur pour la construction de logements sociaux en Île-de-France

Dans le cadre du 80e congrès de l'Union sociale pour l'habitat, en présence de Julien Denormandie, ministre chargé de la ville et du logement, Michel Cadot, préfet de la région d'Île-de-France, Jean-Luc Vidon, président de l'AORIF / L'Union sociale pour l'habitat d'Île-de-France, et Marianne Louradour, directrice régionale Île-de-France de la Banque des Territoires, ont signé le 26 septembre, un accord de partenariat dans le but d'accélérer le développement du parc de logements sociaux dans la région.
Il y a 5 ans et 270 jours

A propos de la Maison du Peuple de Clichy-la-Garenne

On n’avait guère entendu les syndicats jusque-là au sujet de la Maison du Peuple mais le veto du ministre de la Culture a conduit le Syndicat de l’Architecture à prendre position par la voix de Patrick Colombier, son co-fondateur et […] L’article A propos de la Maison du Peuple de Clichy-la-Garenne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 270 jours

Vinci Construction France agrandit son centre de formation Césame

Inauguration de l’extension du centre de formation Césame de Vinci Construction France. De gauche à droite : Rémi Lefeuvre, directeur ressources et techniques opérationnelles de Vinci Construction France, Franco Cianfaglione, architecte du projet et Yann Poncet, responsable du centre de formation Césame. Sur le côté gauche, Georges Joubert, maire de Marolles-en-Hurepoix. [©ACPresse] Vinci Construction France vient d’inaugurer son nouveau centre de formation, à Marolles-en-Hurepoix (91). En fait, il s’agit d’une importante extension des locaux existants, afin d’améliorer les conditions d’accueil et de formation. « Nous avons construit plus de 300 m2 de nouveaux locaux, installés en lieu et place d’un bâtiment, qui a été démoli », indique Yann Poncet, responsable du centre de formation Césame de Vinci Construction France. Près de 2,5 ans de travaux ont été nécessaires pour atteindre ce résultat. Couverts, les nouveaux bâtiments vont permettre des formations dans des conditions optimales, en particulier en hiver. En effet, il est difficile de décaler des sessions programmées de longue date pour des questions de météo défavorable… Le confort est total, les locaux bénéficiant en particulier de ponts roulants pour manutentionner les banches et autres bennes à béton.  L’extension a aussi permis de mettre en place un second parcours Acrobate, dédié à la formation “sécurité”. En parallèle, Vinci Construction France a pérennisé les salles de formation, en les regroupant en une zone unique.  « Césame, qui est l’entité “formation” du groupe, assure quelque 115 000 h de formation chaque année, reprend Yann Poncet. C’est quelque chose d’essentiel pour nous. Nous investissons beaucoup dans ce sens. » Le grand retour de la V-Expo La V-Expo a réuni près de 500 personnes autour des stands des fournisseurs de Vinci Construction France. [©ACPresse] Pour Vinci Construction France, l’inauguration de son nouveau pôle pour la formation a aussi été celle de la réactivation de sa V-Expo. Mis en sommeil pour permettre les travaux de construction, ce rendez-vous avait déjà connu trois éditions, toujours sur le site de Marolles-en-Hurepoix. Il a vocation à créer des opportunités d’échanges directs entre les personnels de l’entreprise et les fournisseurs de celle-ci.  Cette année, ces rencontres, que Vinci Construction France souhaite annuelles, ont repris le principe d’un mini-salon sur lequel les fournisseurs ont présenté leurs solutions sur des stands. Matériels comme matériaux y ont été exposés… Vinci Construction France a profité de l’évènement pour présenter ses propres services, tel le service béton du groupe.  Quelque 350 personnes se sont inscrites à la V-Expo. Principalement, des encadrants travaillant en Ile-de-France, auxquels se sont ajoutés près de 160 chefs de chantiers. Un joli succès, qui est aussi décliné en régions, avec des rendez-vous similaires…
Il y a 5 ans et 270 jours

Zehnder, partenaire de l’équipe française « Habiter 2030 », lauréate du Solar Decathlon Europe 2019

En partenariat avec le groupe Zehnder, l’équipe française « Habiter 2030 » a remporté le Solar Decathlon Europe 2019 avec son projet de rénovation énergétique des maisons de ville mitoyennes des Hauts de France. La mise en œuvre d’un système de ventilation double flux et d’un plafond rayonnant chauffant et rafraîchissant Zehnder, associés à d’autres solutions, ont ainsi contribué aux performances énergétiques du prototype de maison à énergie positive réalisé par les lauréats.   L’équipe française constituée d’étudiants de l’Ecole Nationale d’Architecture et de Paysage de Lille, des Compagnons du Devoir et du Tour de France de Villeneuve d’Ascq, avec l’association Habiter 2030, a remporté le Solar Decathlon Europe 2019 organisé en Hongrie. Parmi les 13 projets présentés, leur prototype de maison à énergie positive s’est distingué notamment par son bilan énergétique.   L’équipe « Habiter 2030 » s’est attaquée à la question des maisons de ville mitoyennes telle qu’il en existe environ sept cent mille dans la région des Hauts-de-France. Ces maisons généralement en brique, caractéristiques de l’époque industrielle, souvent mal isolées, nécessitent aujourd’hui une réhabilitation massive pour lutter activement contre les « passoires thermiques ».   En s’appuyant sur leurs connaissances techniques, les étudiants, architectes, ingénieurs, designers et jeunes Compagnons de l’équipe « Habiter 2030 » ont élaboré, pendant 2 ans, une réplique des maisons de ville mitoyennes en optimisant sa construction d’un point de vue énergétique.   Pour améliorer l’efficacité énergétique du prototype et obtenir une maison produisant plus d’énergie qu’elle n’en consomme, ils l’ont équipé des dernières technologies : • isolants performants et écoresponsables, • système de ventilation double flux Zehnder ComfoAir 200 Luxe et réseau de distribution, • plafond rayonnant chauffant rafraîchissant Zehnder Alumline, • panneaux solaires, • végétalisation…   La victoire de l’équipe « Habiter 2030 » démontre l’enjeu réel de la réhabilitation énergétique des bâtiments et met à l’honneur l’expertise des solutions Zehnder. http://www.zehnder.fr
Il y a 5 ans et 270 jours

Inspection du travail : 2.800 arrêts de chantier au premier semestre 2019

BILAN. Au cours des six premiers mois de l'année 2019, l'inspection du travail a réalisé près de 150.000 interventions. Parmi elles, plus de 70.000 ont concerné des priorités ciblées par le ministère du Travail, comme la lutte contre le travail illégal ou la prévention des chutes de hauteur et du risque amiante.
Il y a 5 ans et 270 jours

Gerard & Kelly : Modern Living / Clockwork

Qui a dit que danse et architecture ne faisait pas bon ménage ? Certainement pas les chorégraphes Gerard & Kelly qui, à l'occasion du Festival d'Automne, investissent la Villa Savoye et l'Appartement-atelier de Le Corbusier. Au programme : architecture moderne et pas de deux ! Habitués à mêler chorégraphie et architecture, Brenna Gérard et Ryan Kelly ont déjà dansé à travers de nombreux ouvrages iconiques des Etats Unis, comme la Glass House de Philip Johnson dans le Connecticut ou encore la maison de Rudolf Schindler de Los Angeles. À l'occasion de l'édition 2019 du Festival d'Automne – manifestation à la programmation pluridisciplinaire inaugurée en 1972 –, le duo investit deux hauts lieux de l'architecture de la région parisienne : l'Appartement-atelier et la Villa Savoye, signés Le Corbusier. Partant de l'architecture brutaliste du CND (Pantin), la troupe des deux chorégraphes se meut jusqu'à la Villa Savoye, située dans les Yvelines. Inspirés par la brève liaison que l'architecte et la danseuse Josephine Baker ont entretenus à la fin des années 1920, les artistes imaginent que la villa est la demeure (fictive) de ce couple iconique et inattendu : l'homme rationnel et la danseuse passionnée, celui auquel on reproche ses penchants fascistes et l'héroïne de la Résistance, l'intellectuel et la vedette. C'est cette relation complexe qu'ils réinterprètent grâce aux mouvements de leur corps, associant la rigidité de l'édifice à la souplesse de leurs membres. Cette performance comprenant sept danseurs sera visible du 28 septembre au 6 octobre, chaque jour durant une heure. Autre étape dans ce voyage musical, l'Appartement-atelier de l'immeuble Molitor (16ème arrondissement) devient ici, sous la houlette de trois performeurs, l'occasion de réfléchir sur le temps. Un spectacle qui s'expérimente debout du 16 au 18 octobre et qui questionne également les nouvelles notions du « vivre ensemble ». Entre rigueur et sensualité, le duo Gerard & Kelly donne un tout nouveau sens à ces ouvrages iconiques. Pour en savoir plus, visite le site de Gerard & Kelly Photographies : CND, BFA.com et Barrère & Simon/Phom
Il y a 5 ans et 270 jours

L'Autorité de la concurrence frappe l'Ordre des architectes au porte-monnaie

Pour avoir diffusé et rendu obligatoire un barème d'honoraires que les architectes devaient appliquer dans leurs réponses aux marchés publics de maîtrise d'œuvre, l’Ordre des architectes est sanctionné à hauteur de 1,5 million d’euros.
Il y a 5 ans et 270 jours

Rénovation de la gare du Nord: la mairie de Paris s’oppose à son tour au projet

Deux élus parisiens, dont Jean-Louis Missika, estiment que le projet actuel, qui fait la part belle au commerce, "est le contraire de ce qui est nécessaire". Une position qui rejoint celle d’une vingtaine d’architectes.
Il y a 5 ans et 270 jours

La cité de l’atome

La cité de l’atome écrit par Ana Bela de Auraujo.  “Auguste Perret : La cité de l’atome” est l’histoire de la création par Auguste Perret du Centre d’études nucléaires de Saclay (91). Fleuron de la recherche atomique française et modèle d’une architecture industrielle publique de prestige. Il s’agit de la dernière grande œuvre du maître, dont Ana Bela de Araujo livre une splendide monographie. Au croisement de la science et de la politique, la recherche atomique a une histoire nécessairement complexe que l’auteur restitue avec brio. Racontant les avancées des scientifiques, leurs tiraillements face aux applications possiblement militaires d’une science qu’ils préféreraient voir destinée au bien-être des populations. Editeur : Editions du PatrimoineAuteur : Ana Bela de AuraujoPrix : 45 €TTCRetrouvez l’ouvrage sur le site de l’éditeur ici.
Il y a 5 ans et 270 jours

JO d’été 2024 : le stade nautique olympique d’Ile de France s’appuie sur le savoir-faire technique de TRACTEBEL

Dans la perspective des Jeux Olympiques et paralympiques de 2024, le stade d’eau vive de l’île de loisirs de Vaires – Torcy (77), d’une superficie de 17.000 m2, accueillera les épreuves de canoë-kayak et d’aviron. Ce premier équipement, livré en juin 2019 et renommé Stade nautique olympique d’Ile-de-France, a été conçu par le cabinet d’architecture AUER WEBER qui s’est appuyé sur les compétences en ingénierie pluridisciplinaire de TRACTEBEL, filiale du Groupe ENGIE.   Un concept architectural innovant Situé à 30 kilomètres à l’est de Paris, le stade nautique olympique d’Ile de France regroupe toutes les activités du centre d’entraînement de l’équipe de France d’aviron et de canoë- kayak et servira de site olympique des JO 2024.   Suite à un concours international organisé en 2012 par le Conseil Régional et les fédérations françaises et internationales de canoë-kayak et d’aviron, le cabinet d’architecture Auer Weber a été désigné lauréat et a travaillé en co-traitance avec Tractebel, avec qui il avait déjà collaboré sur le Centre Aquatique de Courchevel, pour le dimensionnement des structures des bâtiments en béton armé, en métal et en bois.   Plus grand centre d’eau vive d’Europe, le stade nautique olympique d’Ile de France est un équipement atypique. Il est composé : • de rivières artificielles composant le stade d’eau vive, • de 4 pôles de 3 bâtiments bioclimatiques HQE, où dominent le bois et le verre, • d’aménagements réalisés dans le lac : tour d’arrivée et passerelle.   Des défis techniques relevés par TRACTEBEL De la conception à la mise en service des installations techniques, Tractebel a assuré l’ingénierie des structures (béton armé, acier, bois) avec l’appui d’un groupement formé avec l’architecte Auer Weber et d’autres bureaux d’études. Ils ont ainsi conçu des structures uniques intégrant les contraintes de chacun tout en respectant le projet architectural et les normes en vigueur :   • la Tour d’Arrivée réalisée sur pilotis et reliée à la base nautique par une passerelle métallique carrossable, constitue une réalisation particulièrement emblématique du projet. Ce bâtiment mixte exploite les qualités des trois matériaux fondamentaux de la construction (métal, béton et bois) pour donner vie au projet de l’architecte. Ainsi, ce bâtiment mixte dispose de 3 niveaux de planchers : . des fondations métalliques (pieux) ancrées dans le fond du lac, . un socle et un noyau en béton armé pour assurer la stabilité d’ensemble de la tour, . une structure secondaire (façades et planchers) en bois.   Outre ce bâtiment emblématique, les compétences de Tractebel en matière d’études de structures en bois ont également été mises à contribution. Ces dernières sont intervenues pour la conception et le suivi de réalisation du Bâtiment d’Arrivée Eau Vive (BAEV) constitué d’une structure en bois massif sur radier en béton armé, ainsi que de la salle panoramique située en toiture du pôle et des logements du pôle 4 (structure en bois lamellé collé et façade en bois massif).   De plus, l’expertise de Tractebel a conduit à développer et proposer 3 solutions différentes de renforcement du bâtiment abritant les courts de tennis, dont la plus optimale a finalement été retenue pour l’exécution.   • le Stade d’eau vive, constitué de rivières, de bassins et de structures uniques abritant les pompes et les escalators à bateaux. Il représente l’équipement le plus caractéristique du projet. Tous les ouvrages sont réalisés en béton armé : . les rivières sont constituées de tronçons de 25m environ, séparés par un joint de dilatation étanche. Elles sont fondées sur radiers, reposant eux-mêmes sur un sol d’apport en matériaux drainants, renforcé d’inclusions rigides. . les bassins sont réalisés en béton armé ou en gabions, et très ponctuellement en palplanches métalliques selon les conditions géotechniques rencontrées. . les autres ouvrages sont en béton armé, fondés sur radiers ou palplanches métalliques selon les charges en jeu.   Les conditions géotechniques particulières du Stade d’eau vive (SEV) ont nécessité des études approfondies afin d’assurer la stabilité et la durabilité de cet équipement public destiné non seulement aux JO de Paris 2024, mais aussi à l’entraînement permanent des athlètes français avant et après les jeux olympiques.   • les bâtiments ponts franchissant la rivière d’entraînement. Tractebel a conçu ces bâtiments de deux étages en béton armé dont la particularité est de reposer sur des tabliers de ponts à caissons. D’une portée maximum de 35 mètres (3 travées), ces ouvrages très atypiques ont pu être bâtis grâce à l’expertise de Tractebel en matière de béton armé, et notamment en ce qui concerne la maîtrise des déformations différées du béton armé.   Grâce à sa capacité à regrouper au sein d’un même bureau des compétences fortes portant sur le béton, l’acier, le bois, la contribution de TRACTEBEL a été essentielle pour la maîtrise technique des projets structurels du Stade nautique olympique d’Ile de France.   Avec cette réalisation exemplaire, Tractebel, qui a largement contribué à donner vie au projet de l’architecte Auer Weber, illustre son expertise en ingénierie pluridisciplinaire dans les domaines du bâtiment et des infrastructures en général. http://www.tractebel-engie.fr/fr
Il y a 5 ans et 270 jours

De plus en plus d’installateurs Qualibois Eau

En juin 2019, le SFCB (Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse) pointait du doigt la pénurie d’installateurs Qualibois Eau. Qualit’EnR communique des chiffre rassurants et encourageants pour le développement du bois énergie : le nombre d’installateurs formés « Qualibois Eau » a augmenté de 179% sur le premier semestre 2019 par rapport au premier semestre 2018 (863 pour 309). Les ventes de chaudières bois ont augmenté de 50% passant de 12 000 chaudières vendues en 2018 à 18 000 en 2019 (chiffre prévisionnel). Thomas Perrissin, Vice-Président du SFCB, est satisfait : « Ces résultats sont très encourageants, nous travaillons main dans la main avec QualitENR, qui a su réagir. Espérant que cette dynamique puisse continuer en 2020, pour nous permettre de répondre au plan de sortie du fioul initié par le gouvernement »
Il y a 5 ans et 270 jours

Emplois liés aux énergies renouvelables dans les territoires impactés par la fermeture d’une centrale à charbon

Une étude de l’Ademe montre que le développement des énergies renouvelables et de récupération dans les territoires où une centrale à charbon va prochainement arrêter son activité permet de créer un nombre important d’emplois. On estime à 24 600 le nombre d’emplois directs existants du fait de ces filières (hors éolien offshore) dans les départements de la Moselle (Grand-Est), Seine-Maritime (Normandie), Loire Atlantique (Pays-de-Loire) et Bouches du Rhône (PACA). En 2019, la France dispose de cinq centrales à charbon en fonctionnement sur son territoire métropolitain, réparties sur quatre sites distincts au Havre en Normandie, à Meyreuil (à côté de Gardanne) en PACA, à Saint-Avold dans le Grand Est et à Cordemais en Pays-de-la-Loire. Ces centrales, principalement appelées lors des pics de demande hivernaux, représentent une puissance cumulée de près de 3 GW et ont produit 9,7 TWh, soit 1,8 % de la production d’électricité en France métropolitaine. Cette production d’électricité à partir de charbon est très émettrice de gaz à effet de serre : elle a émis 7,1 Mt de CO2 en 2017, soit 31 % des émissions du secteur de la production d’électricité. Leur fermeture progressive d’ici 2022 représente un fort enjeu social et territorial : environ 670 emplois directs et 740 emplois indirects sont concernés. Dans ce contexte, l’étude montre que les filières EnR&R dans ces territoires constituent un gisement pour des créations d’emplois : Éolien terrestre ; Solaire photovoltaïque ; Hydroélectricité ; Biocarburants : biodiesel et bioéthanol ; Biogaz ; Chaleur renouvelable pour les particuliers : chauffage au bois, solaire thermique, pompes à chaleur (PAC) et chauffe-eau thermiques (CET) ; Chaleur renouvelable collective (collectivités, industries et tertiaire) : chaufferies bois collectives, géothermie, valorisation énergétique de l’incinération des déchets, réseaux de chaleur ; Réseaux électriques intelligents. Les marchés associés à ces filières dans les 4 régions considérées sont estimés à 6 502 M€ en 2017. Ils représentent près de 25 % des marchés générés par ces filières au niveau national (26 548 M€). Les emplois directs associés à ces filières dans les 4 régions considérées sont estimés à 24 610 en 2017. Ils se répartissent comme suit : activités d’investissement (46 %), exploitation-maintenance et vente d’énergie (49 %) et exportation (5%).
Il y a 5 ans et 270 jours

Innovation : "La puissance publique doit accepter une part du risque"

RÉGLEMENTATION. La fédération Syntec ingénierie organisait ce 30 septembre 2019 une conférence intitulée "Innovation et commande publique", rassemblant acteurs publics et privés pour aborder la place des techniques et technologies innovantes dans les marchés publics. Le rôle central de la puissance publique dans ces partenariats et l'assouplissement de la réglementation semblent constituer les deux leviers majeurs.
Il y a 5 ans et 270 jours

Terra Nova ouvre le débat sur "le nouvel urbanisme parisien"

MUNICIPALES. Deux semaines après la publication du "Nouvel urbanisme parisien" par l'adjoint à la maire de Paris à l'urbanisme Jean-Louis Missika, le think tank Terra Nova ouvre ses colonnes aux réponses d'acteurs de l'architecture, de la ville, et de la transition écologique.
Il y a 5 ans et 270 jours

Le Sénat vote la création de nouvelles filières pollueur-payeur

Mégots de cigarettes, lingettes, articles de sport, de bricolage, jouets, mais aussi matériaux de construction : le Sénat a voté la création de nouvelles filières reposant sur le principe pollueur-payeur.
Il y a 5 ans et 270 jours

Riester contre un projet de tour sur la Maison du Peuple à Clichy

Le ministre de la Culture, Franck Riester, s'est dit opposé au projet d'une tour de 99 mètres sur la Maison du Peuple de Clichy (92), jugeant qu'elle "dénaturerait" le bâtiment, un monument historique classé.
Il y a 5 ans et 270 jours

Notre-Dame de Paris : Bernard Arnauld et la famille Pinault concrétisent leurs promesses de don

Suite à l’incendie de la Cathédrale, Bernard Arnauld avait fait une promesse de 200 millions d’euros pour la restauration de Notre-Dame de Paris. Promesse qui a été officialisée le mardi 24 septembre après la signature d’une convention avec la Fondation Notre-Dame. Et aujourd’hui, le 30 septembre, MM. François et François-Henri Pinault, ont également signé une convention de 100 millions d’€. Ce sont donc environ 380 millions d’euros de dons ou de promesses « concrétisées ». Pour Mgr Aupetit, archevêque de Paris, « ces contributions sont évidemment majeures pour ce chantier – peut-être celui du siècle – en tout cas qui nécessite un soin très grand et des moyens considérables. Au nom de la Fondation Notre Dame, j’exprime notre vive et profonde reconnaissance à ces grands entrepreneurs, tout comme à la multitude des autres donateurs qui contribuent à cette restauration. Je tiens à les en remercier tous ensemble. » Selon la loi de restauration de Notre-Dame votée cet été, les dons seront reversés à l’État ou à l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale. Signature par Bernard Arnault et Mgr @MichelAupetit, président de la @FondationND, de la convention de don pour la restauration de #NotreDame En savoir plus https://t.co/Bw59AYVy2D pic.twitter.com/0WJJqk1hTZ — Fondation Notre Dame (@FondationND) September 25, 2019 La fondation Notre-Dame stipule que « le montant total nécessaire à la restauration de la cathédrale demeure inconnu et devrait le rester jusqu’à la fin du printemps 2020. C’est pourquoi la Fondation Notre Dame poursuit la collecte avec détermination car chaque euro compte pour s’assurer d’un soutien et d’un financement dans la durée, jusqu’à la fin du chantier. »  ©La Fondation Notre Dame