Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Evènements et salons

(17694 résultats)
Il y a 2 ans et 136 jours

Patrick Germe. 1952 - 2022

Figure extrêmement discrète et pourtant importante du monde de l’architecture française, Patrick Germe est mort à la veille de Noël à l’âge de 70 ans. Seule sa légendaire réserve et son peu de goût pour la sociabilité au sein du milieu professionnel peut expliquer qu’il n’ait jamais été lauréat du Grand Prix d’urbanisme. Architecte, il était avant tout un grand enseignant passionné, d’abord à l’école d’architecture de Versailles de 1979 à 2006 puis à celle de la...
Il y a 2 ans et 136 jours

Semin lance des trophées dédiés aux femmes du Bâtiment

RÉCOMPENSE. Le fabricant d'enduits, Semin, lance des trophées baptisés "Les talentueuses", visant à valoriser le travail des femmes dans le Bâtiment.
Il y a 2 ans et 136 jours

Les lauréats des Grand Prix SIMI Habitat et Logement 2022

Grand prix SIMI Habitat et Logement 2022 Catégorie transformationRÉSIDENCE ECLA - Noisy le Grand 93160, présenté par OceanisOu comment donner une seconde vie à un bâtiment de bureaux des années 80 devenu trop grand ou inadapté tout en respectant et valorisant l’architecture existante. La rénovation, inspirée du Kintsugi, art japonais qui permet de valoriser un objet cassé et de le sublimer, n’a pas cherché à masquer le passé de ce bâtiment. Respectueuse de ses qualités architecturales et techniques, elle s’est adaptée au bâti, sans déconstruction, ni grue, ni nuisances pour l’environnement proche.Dans le même esprit, sublimant chacun un étage, et suivant ce fil rouge du « Kintsugi », six artistes urbains ont travaillé à même les murs de béton brut, comme dans une immense galerie d’art accessible et non élitiste. Les murs sont réparés, ennoblis, les marques du temps soulignées. Le bâtiment compte désormais 708 logements, 2640 m2 d’espaces communs, des services apportant un vrai confort de vie au quotidien, des prestations de très grande qualité tout en permettant à des budgets très diversifiés de se loger, pour de courts, moyens et longs séjours.Grand prix SIMI Habitat et Logement 2022 Catégorie Mixité d'usagesMAISON SAINT CHARLES Paris 75015 présenté par Vinci ImmobilierL’histoire d’une renaissance audacieuse. A la fois projet de rénovation, de construction et de déconstruction, La Maison Saint Charles réunit une résidence intergénérationnelle, des chambres d’hôtes, des espaces de travail partagés, une chapelle néogothique restaurée, ainsi qu’une résidence neuve de 35 logements aux prestations haut de gamme, la résidence Hors du Temps.Le tout s’articule autour de deux jardins paysagers et potagers, empreints de spiritualité et de sérénité. Ce projet fait revivre la vocation d’hospitalité chère à la congrégation religieuse propriétaire des lieux et mêle mixité sociale et intergénérationnelle. Autre atout de cette réalisation, celle de placer la préservation du patrimoine artistique et culturel au cœur de la rénovation.Grand prix SIMI Habitat et Logement 2022 Catégorie Résidences servicesUXCO HACKER PALAISEAU 91120, PRÉSENTÉ PAR UXCO GROUPUne résidence de coliving au concept novateur, située à l’épicentre de la recherche scientifique et technologique universitaire, au cœur du plateau de Paris-Saclay. Inspiré du modèle des « Hacker Houses » aux États-Unis, le concept novateur de ce lieu de vie permet à certains résidents d’être logés dans des colocations pour startupeurs.Au total 122 logements pour 233 résidents, plus de 400 m2 d’espaces communs, et des hébergements en coliving privatifs ou partagés pour des courts, moyens et longs séjours.Imaginée et conçue comme un lieu de vie complet pour ses résidents, leur proposant à la fois un environnement de travail et de divertissement, la résidence UXCO Hacker met à disposition de grands espaces communs dédiés à la créativité, la recherche et l’innovation (espaces de coworking, salles de réunion...) ainsi qu’au bien-être et au “vivre ensemble” (cuisine partagée, espaces de détente...). Ces espaces communs d’exception sont répartis autour d’un vaste jardin paysager, faisant de cette résidence un véritable lieu de vie animé, propice aux rencontres et aux échanges.Un jury d’experts présidé par :BERNARD MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, le jury est composé de directeurs immobiliers de grandes entreprises françaises :GILLES ALLARD Président d’honneur de l’Association des Directeurs ImmobiliersJÉROME ARNAUD Directeur Immobilier groupe ALSTOMSABINE BRUNEL Directeur de l’Immobilier AXA FranceSOLANGE DARBES – PICCA Directrice de l’immobilier et des services généraux BANQUE DE FRANCEVALÉRIE FOURTHIES Directrice de l’Immobilier VEOLIA ENVIRONNEMENTFRÉDÉRIC GOUPIL DE BOUILLE Directeur exécutif SNCF IMMOBILIER Président de l’Association des Directeurs ImmobiliersADRIEN RAFFIN Real Estate Manager DOCTOLIBDIANE DE SARNEZ Directeur Immobilier – NAVAL GROUPMARIE-ALBA TERNISIEN Head of Corporate Real Estate STELLANTISEDDIE TURCON Directeur Immobilier Groupe VEEPEE
Il y a 2 ans et 137 jours

Prello transforme une longère normande en résidence traditionnelle de standing

Achevé en seulement 2 mois, ce projet de réfection a su répondre au grand enjeu du renouvellement des habitats traditionnels : concilier modernité et valorisation de l’identité architecturale locale.Une parenthèse pittoresque et paisible dans un village typique de la Haute-NormandieTransformer une maison de charme normande à colombages en un espace contemporain de bien-être, et ce tout en respectant l’esprit unique des lieux, tel était le nouveau pari de Prello.Nichée au cœur du département de l’Eure, dans un village pittoresque renommé pour ses petites ruelles boutiquières et son architecture typiquement haut-normande, la villa bénéficie d’un cadre privilégié entre littoral et campagne, à l’abri de toute nuisance. On éprouve ici le sentiment d’être hors du temps, presque hors du monde, loin de l’ordinaire, bien que la demeure soit située à proximité immédiate de toutes les commodités et à moins de trente minutes de Rouen.Cette belle résidence pouvant accueillir 11 personnes propose 292 m2 habitables répartis en 7 pièces principales sur 2 niveaux érigés sur une parcelle arborée de 4914 m2.Dès le départ, l’ensemble offre de beaux volumes parfaitement agencés et permettant différents usages : au rez-de-chaussée, une entrée, une cuisine rénovée et aménagée reliée à une grande salle à manger, un petit salon avec une cheminée et un bar, et une grande pièce de vie de 80 m2 ; à l’étage, trois chambres privatives avec toilette et douche, une chambre d’ami et une chambre d’enfants avec une salle de bain de bain commune ainsi qu’un bureau ; au sous-sol, une cave aménagée et un local technique ; au grenier, de grands espaces pour le rangement.À l’extérieur, tout a également été conçu pour garantir récréativité et détente, mais aussi praticité et autonomie à tous les résidents. Jouxtant la maison et sa terrasse, une piscine couverte et chauffée avec de grandes baies vitrées ouvrables fait face à un grand jardin. Juste à côté, un dernier bâtiment abritant un double garage et un home cinéma à l’étage complète le bien.Un subtil mélange de traditionnel contemporain Chauffage, isolation, assainissement, menuiserie, sol et revêtement… La maison était en parfait état et présentait de bonnes performances énergétiques lors de son acquisition par Prello.Récente mais restée « dans son jus », la villa nécessitait néanmoins des travaux de rafraîchissement, en particulier au niveau des peintures et des tapisseries – passées de mode et sans cohérence globale –, pour être pleinement en phase avec les attentes les plus exigeantes d’aujourd’hui. Confié à une architecte d’intérieur, le chantier s’est étalé sur 2 mois à peine, un temps record !5 grandes transformations ont ainsi été opérées, dans les espaces de vie comme de nuit. Les deux premières concernent le grand salon, qui a été entièrement repensé. Ici, la volonté était, d’une part, de donner un « coup de jeune » à la pièce, et d’autre part, d’y installer une salle de jeux.Dans cet objectif, un nouveau parquet a été posé, les peintures ont été rafraîchies et le mobilier a été intégralement remplacé. Ces modifications ont permis d’apporter luminosité et modernité à la pièce, à présent plongée dans des tons clairs de blancs, de beiges et de gris qui enveloppent l’espace de douceur. Équipé de trois grands canapés, d’un bar et d’un billard, le salon instaure désormais une ambiance chaleureuse, propice à des soirées mémorables en famille ou entre amis.La troisième transformation porte sur le petit salon avec cheminée, lui aussi mis au goût du jour. Une nouvelle fois, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été repensés dans un style plus contemporain tout en conservant l’esprit rustique du bâti existant. Une association de couleurs tout en contraste avec des tons blanc / beige clair sur les murs qui apportent de la clarté. L’utilisation du bleu clair sur les colombages et du bleu foncé au plafond procure originalité et modernité à ce lieu singulier, tout en soulignant avec finesse les différents éléments architecturaux dans les tons naturels et doux.La quatrième transformation a consisté en l’embellissement de la salle à manger. Là encore, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été complètement revus. Les couleurs claires et les matières naturelles ont été privilégiées pour valoriser la lumière naturelle de la pièce et mettre en avant les tomettes et poutres apparentes de la villa. Une grande nouveauté également : l’installation d’un panoramique sur mesure à même le mur de la salle. Ce grand décor confère une touche d’originalité tout en accentuant le caractère champêtre de la résidence. Enfin, la cinquième et dernière grande transformation concerne la salle de cinéma. Dans une grande pièce aux beaux volumes sous pentes, la salle a été réaménagée avec l’installation d'une VMC pour ajouter du confort de vie tout au long de l'année. Une peinture noire a été choisie, ainsi qu’un vidéo projecteur et un immense canapé, idéal pour des soirées films comme au cinéma en famille ou entre amis.Le projet de rénovation en brefLe lieu : Saint-Ouen-de-Thouberville (Eure).La surface : 292 m2 habitables (terrain de 4914 m2).Durée des travaux : 2 mois
Il y a 2 ans et 137 jours

AfterBIM #12 : Comment influencer le BIM ?

Cet AfterBIM #12 se fera en compagnie d’Anthony Carta, Ingénieur BIM chez BadaBIM. Anthony vous propose un retour d’expérience sur comment influencer le BIM. Au programme? Un échange sur la fédération d’une communauté autour du BIM. Lancement de défis, newsletters thématiques, échanges sur les réseaux sociaux, conseils… découvrez comment l’on peut influencer le monde du BIM ! Rendez-vous le jeudi 26 janvier à 17h30 pour le premier AfterBIM de l’année 2023
Il y a 2 ans et 137 jours

Les lauréats des Grands prix SIMI 2022

Le palmarès 2022 a distingué 7 lauréats saluant des réalisations d’exception qui, chacune à sa manière, contribuent à « Faire de demain le plus bel endroit à vivre ».Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf – de 10.000 m2 :SIÈGE SOCIAL BLABLACAR PARIS (75011), présenté par 6EME SENS IMMOBILIERLe bureau, nouveau lieu de vie et d’échanges.Situé au cœur de 11e arrondissement de Paris, cet immeuble de 5000 m2 possède des qualités architecturales rares dans la capitale. Il réunit sur 8 niveaux des espaces de vie haut de gamme, une luminosité forte des bureaux, un auditorium de 175 places, un espace fitness, 8 cafétérias-tisaneries, de nombreux espaces extérieurs dont un rooftop végétalisé de 492 m2 doté d’un potager offrant une vue à 360° sur les toits de Paris...Ce véritable “Village» BlaBlaCar sert de point d’ancrage aux 500 employés de la société basés en France. Réalisé par 6e Sens Immobilier en collaboration avec le Studio Vincent Eschalier, ce nouveau bâtiment a été pensé d’abord comme un lieu de rencontres, où se mêlent espaces de travail partagés et espaces de vie. « Nous avons anticipé le changement d’usage du bureau, devenant un lieu de vie et d’échange, acteur de la cohésion sociale”, raconte Muriel Havas, Directrice de l’Environnement de Travail de BlaBlaCar.Bâtiment éco-responsable au cœur de Paris, s’inscrivant dans la démarche environnementale de BlaBlaCar, ce lieu aspire à être un modèle d’immeubles de bureaux aux usages responsables. Sa construction a respecté les critères énergétiques et environnementaux les plus exigeants et a obtenu les labels de performance environnementale BREEAM International “Very Good” et Wiresdscore Silver. Par ailleurs, “BlaBlaCar a imprimé dans la conception de son siège une intention de responsabilité, d’efficience, de bien- être et de bon sens”, souligne Damien Bertuli, DG associé de 6e Sens Immobilier.Pour conforter la politique de télétravail souple et ouverte à tous mise en œuvre par BlaBlacar, le « BlaBlaNomad », ce bâtiment a été conçu comme un lieu de rencontres entre les équipes « à même de renforcer la renforcer le lien humain, si fondamental à leur cohésion et à leur performance. » analyse Nicolas Brusson, cofondateur et CEO de BlaBlaCar. Pari réussi !Grand prix SIMI 2022 immeuble de bureaux neuf + de 10.000 m2 :SO POP SAINT-OUEN (93), présenté par COVIVIOUn projet en perpétuelle évolution.Avec ses 32.000 m² de bureaux et ses 4.000 m² d’espaces extérieurs, So Pop se construit, s’améliore, grandit au rythme de ceux qui y vivent, en intégrant l’ensemble des dimensions spatiales, sociales et culturelles.Dans le quartier de la Porte de Saint-Ouen et de la Porte Pouchet, cet immeuble tout en courbes et en larges volumes, dessiné par LBBA architecture, devient l’un des signaux d’un quartier en plein renouveau où tout s’invente et se réinvente - les Docks, l’espace 1789, le MOB Hôtel, le Conseil Général d’Île-de-France, les mobilités avec l’arrivée de la ligne 14, etc.Avec So Pop les technologies servent de ressources essentielles. En effet, la data produite in situ grâce à plus de 1.000 capteurs intelligents permet de monitorer l’immeuble. Ses services et ses surfaces privatives évoluent en fonction des données, des besoins et des habitudes. C’est dans un échange interactif avec les occupants que la métamorphose s’organise.Tel un musée, les larges surfaces murales blanches et noires du hall et de la galerie accueillent différentes expositions inspirantes et surprenantes. Le système d’assises Tribu, spécialement pensé et dessiné pour So Pop, se module pour former des ensembles cohérents et fonctionnels.Côté restauration, la palette est large grâce aux différentes offres : restaurant, cafeteria, click & collect... Côté ambiance, le restaurant principal, qui se transforme en espace de travail en dehors du déjeuner, s’inspire des marchés parisiens et audonniens et séduit par sa convivialité. Côté saveurs, des chefs et restaurateurs locaux invitent à la découverte de recettes traditionnelles mais aussi d’encas les plus exotiques.So Pop est le premier immeuble Covivio livré postCOVID. Il est une opportunité pour Covivio de marquer la transition entre l’avant et l’après : proposer un bâtiment prenant en compte les aspirations de changement de notre société avec un environnement professionnel (vraiment) évolutif et ajustable.Grand prix SIMI 2022 immeuble rénové ou réaménagement particulièrement innovantMETAL 57 BOULOGNE – BILLANCOURT (92), présenté par BNP PARIBAS REAL ESTATEUn immeuble de bureaux ouvert au public.« Metal 57 », c’est d’abord l’histoire du sauvetage, de la réinvention et de la métamorphose d’un bâtiment industriel en immeuble tertiaire.Livrée en 1984, la construction d’origine, « 57 Metal », avait été conçue pour être un atelier des usines Renault. Elle servit à du travail de modelage et de fonderie avant de se métamorphoser, au début des années 2000, en espace d’accueil de grands événements de communication de Renault suite au transfert du site de Boulogne-Billancourt à Saint Quentin. Puis désaffecté et menacé de se dégrader, l’édifice fut acquis en 2010 par un investisseur immobilier anglais décidé à faire table rase du passé pour construire une tour à la place...Pour sauver ce bâtiment emblématique conçu par l’architecte Claude Vasconi, Grand Prix National d’architecture, BNP Paribas Real Estate et l’architecte Dominique Perrault imaginèrent, en accord avec les ayant-droits de Claude Vasconi, un projet immobilier tourné vers le futur tout en préservant son histoire.Le choix fut fait de :Réhabiliter 50% du bâtiment d’origine (dont les sheds et la façade forteresse)Y intégrer un immeuble neuf en R+8 et rooftopFaire des 37.000 m2 du nouvel ensemble un site tertiaire : Fier de son passé comme le rappelle l’architecture, la structure, les volumes intérieurs et plusieurs caractéristiques de la décoration de l’immeuble réhabilitéRSE (3 certifications, 5 labels, agriculture urbaine, mobilités douces...)Multi-locataires (6 entreprises pour une utilisation à 100%)Equipé de grands plateaux de bureaux équipés en flex-offices avec 80% d’espaces collaboratifsDoté de nombreux services rassemblés autour d’une grande rue intérieureOuvert sur la ville et aux riverains (ERP 1ère catégorie)Cette porosité extérieure est une des grandes originalités de « Metal 57 » qui est une opération pilote d’ouverture d’un immeuble de bureaux au public. Ce qui va dans le sens d’une ville plus économe de ses ressources qui mutualise ses espaces et ses équipements. Habitants de Boulogne-Billancourt comme salariés des entreprises utilisatrices ou riveraines peuvent emprunter la rue intérieure qui dessert l’immeuble et autour de laquelle s’organisent de nombreux services.« Metal 57 » se veut ainsi un immeuble de destination pour se rencontrer, sociabiliser, trouver de nombreux services et bien sûr travailler.Grand prix SIMI 2022 immobilier logistiqueV.PARK COMPANS COMPANS (77), présenté par VIRTUO INDUSTRIAL PROPERTYRéalisation d’une messagerie bas-carbone de 15.273m² pour Colis Privé.Ce centre de tri et de distribution de colis d’une surface de 15.273 m² (dont 960 m² de bureaux) s’étend sur un terrain de 49.105 m² appartenant à Aéroports de Paris (ADP). Il a été conçu par le cabinet d’architecture Aeco tandis que la maîtrise d’œuvre confiée à CLC Ingénierie.La messagerie double-face dispose d’une halle de tri de 14.200 m², de 88 portes à quai et a été développée avec le soutien de l’aménageur ADP. Réalisé pour le compte de Colis Privé, spécialiste des livraisons de colis B2C à domicile et en point relais, il illustre désormais la démarche zéro émission nette de Virtuo, sur le périmètre de la construction de l’immeuble. Lancé en septembre 2021, ce projet pilote a ainsi concentré toutes les innovations et les réflexions du V.Lab de Virtuo, un laboratoire créé tout spécialement pour répondre à l’objectif de neutralité carbone des bâtiments développés par l’entreprise.Le projet du V. PARK COMPANS est né :D’un besoin : celui de Colis Privé (le client) de disposer d’une plateforme moderne et durable pour assurer sa croissance ;D’une attente forte : celle d’ADP en sa qualité d’aménageur éco-responsable qui souhaitait attribuer les terrains à un promoteur engagé dans une vraie démarche environnementale ;D’une exigence : celle de la Mairie de Compans d’accueillir sur son territoire un immeuble exemplaire, qui puisse servir de référence à de futurs promoteurs,D’une conviction : celle d’Argan (en sa qualité d’investisseur engagé) ;D’une volonté : celle de Virtuo (en sa qualité de porteur de projet) de s’inscrire dans une démarche innovante.C’est ainsi qu’un consensus a été trouvé, toutes les parties prenantes unies, autour d’un même projet et objectif, à la recherche de l’excellence... Virtuo a accompagné son client, son investisseur, ses partenaires, en étant à la hauteur de leurs attentes.Preuve en est, le V.PARK COMPANS n’est pas un bâtiment comme les autres. En effet, l’enjeu n’était pas de construire l’immeuble le plus imposant, ni le plus haut mais de pousser le curseur sur le volet de l’éco-responsabilité et celui de la recherche d’économie d’énergie, qui sont les vrais enjeux de demain. Virtuo a, par ses actions, réduit l’impact carbone du projet de 30% et initié une action complémentaire pour restaurer l’impact environnemental de son bâtiment. Il vise aujourd’hui à obtenir le Label BiodiverCity et la certification Breeam Excellent.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteL’ODYSSEE LES ULIS (91), présenté par SIVUn immeuble techtiaire, acteur du renouvellement économique du territoire.Conscient des enjeux sociétaux et notamment de la demande croissante des filières scientifiques sur le territoire de Paris-Saclay, SIV (Société foncière d’investissement du groupe Mercator) acquiert, fin 2020, l’Odyssée, un immeuble de bureaux de plus de 3.300m2 sur 3 niveaux aux Ulis, pour accueillir des laboratoires et start-ups scientifiques.Son challenge : Répondre aux besoins très spécifiques de la filière scientifique, tout en garantissant une sobriété énergétique Redéfinir les espaces : laboratoire, bureau, technique, privatif ou partagé, afin de créer un environnement collaboratif, innovant et dynamique Rénover l’immeuble en moins de six mois pour les premières livraisonsSon idéologie : Préservation des ressources et de l’environnement Performance technologique et innovation Développement de l’écosystème scientifique Collaboration étroite avec l’agglomération Paris-SaclayDans le cadre d’une démarche environnementale, SIV a pris le parti de rénover plutôt que détruire pour reconstruire. Son programme s’est articulé autour des principes de l’immobilier bas-carbone, à savoir un maximum de réemploi dans les matériaux, le choix de mobiliers recyclés ou encore le don d’équipements non utilisés.L’Odyssée accueille aujourd’hui 4 laboratoires sur plus de 80% de l’immeuble et joue un rôle d’acteur du renouvellement économique du territoire salé par l’agglomération de Paris Saclay. Il sera bientôt rejoint par un second programme sur la même parcelle : l’Iliade, développé par SIV en 2023.Grand prix SIMI 2022 immobilier mixteMORLAND MIXITE CAPITALE PARIS ( 75004), présenté par EMERIGELe prototype de la ville de demain.En plein cœur de Paris, la réhabilitation de l’ancienne cité administrative de la préfecture de la Seine incarne le prototype de la ville de demain : mixte, vertueuse, désirable. C’est là le site le plus ambitieux de l’Appel à projets urbains innovants « Réinventer Paris » lancé en novembre 2014 par la Ville de Paris auprès des promoteurs, investisseurs, concepteurs du monde entier et remporté par Emerige.Conçue par une équipe de grands talents français et internationaux composée de David Chipperfield Architects Berlin, CALQ, Michel Desvigne et Studio Other Spaces, Ólafur Elíasson et Sebastian Behmann, l’œuvre architecturale issue du patrimoine historique est aujourd’hui un modèle durable de la ville du futur rassemblant, en un maillage complexe et innovant, onze programmes différents : des bureaux, un marché alimentaire, une crèche associative, une piscine, un spa et un fitness, un hôtel 5 étoiles de 162 chambres, une auberge de jeunesse de 404 lits, des commerces, des restaurants, un bar, des logements sociaux et privés, de l’agriculture urbaine, une galerie d’art. Plus de 43.000 m² dédiés à une mixité fonctionnelle et sociale ou la promesse d’espaces de vie ouverts à tous, Parisiens et visiteurs de Paris.La dimension environnementale y est pionnière, enrichie par la présence d’agriculture urbaine et de forêts miniatures. Morland Mixité Capitale est emblématique de cette vaste reconfiguration des villes appelant chaque citoyen à participer à l’expérimentation de nouvelles manières de vivre ensemble.Grand prix SIMI 2022 coup de cœur du juryLE 1 SAINT THOMAS PARIS 75007, présenté par SOGELYM DIXENCELe nouveau site du campus parisien de Sciences Po.Situé en cœur d’îlot dans l’un des quartiers les plus renommés de Paris, Saint Germain des Prés, ce projet vise à regrouper dans l’ancien Hôtel de l’Artillerie plusieurs unités d’enseignement et de recherche de Sciences Po jusqu’alors disséminés.La préoccupation principale de l’équipe architecturale – Wilmotte & associés, Moreau Kusunoki et Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments Historiques – a consisté à désenclaver la parcelle, à connecter les 3 cours existantes par un axe de circulation majeur et à relier ce nouveau bâtiment au 13 rue de l’Université, autre propriété de l’école. Ceci afin de proposer aux étudiants un grand site unique et unifié de 20.000 m2 aux articulations fluides tout en préservant la majesté des bâtiments à haute valeur patrimoniale. Pour ce faire, une large poutre horizontale de 4.300 m2 a été construite, véritable socle contemporain sur lequel repose le bâti ancien, fédérateur et garant de l’unité du lieu.Le lieu comprend trois beaux jardins paysagés par l’agence Mugo, un amphithéâtre de plein air pour favoriser les rencontres et accueillir les événements.La réalisation de ce campus a mis en avant le savoir-faire ancestral de nombreux métiers d’art (pas moins de 70 entreprises sont intervenues) notamment dans le domaine de la pierre, de la charpente et de l’architecture. Mêlant patrimoine, nature et innovation au cœur de la ville historique, cette réalisation exceptionnelle du nouveau campus de Sciences Po pose les jalons d’une nouvelle typologie de campus urbain pour le XXe siècle.Un jury d’experts présidé par :BERNARD MICHEL président du conseil d’administration de VIPARIS, le jury est composé de directeurs immobiliers de grandes entreprises françaises :GILLES ALLARD Président d’honneur de l’Association des Directeurs ImmobiliersJÉROME ARNAUD Directeur Immobilier groupe ALSTOMSABINE BRUNEL Directeur de l’Immobilier AXA FranceSOLANGE DARBES – PICCA Directrice de l’immobilier et des services généraux BANQUE DE FRANCEVALÉRIE FOURTHIES Directrice de l’Immobilier VEOLIA ENVIRONNEMENTFRÉDÉRIC GOUPIL DE BOUILLE Directeur exécutif SNCF IMMOBILIER Président de l’Association des Directeurs ImmobiliersADRIEN RAFFIN Real Estate Manager DOCTOLIBDIANE DE SARNEZ Directeur Immobilier – NAVAL GROUPMARIE-ALBA TERNISIEN Head of Corporate Real Estate STELLANTISEDDIE TURCON Directeur Immobilier Groupe VEEPEE
Il y a 2 ans et 137 jours

La continuité numérique au fil du cycle de vie du bâtiment

D’après une étude internationale menée par RICS (2022) sur la digitalisation de la construction, 40% des acteurs du BTP interrogés déclarent ne pas utiliser les technologies numériques dans le cadre de leurs projets. Seuls 11% des professionnels du bâtiment déclarent les utiliser dans tous leurs projets de construction et 18% dans la plupart d’entre eux.  Malgré leur petit nombre, ces personnes qui adoptent le digital indiquent en revanche rencontrer de nombreux avantages : amélioration du suivi des progrès et de la sécurité, meilleurs planification et contrôle des coûts, questions environnementales. En dépit des possibles réticences ou freins à passer au digital, cette méthodologie s’avère alors idéale pour améliorer l’ensemble des activités et étapes que composent le cycle de vie d’un bâtiment.  Ces phases peuvent toutes être optimisées grâce au numérique. De l’étude de faisabilité d’un projet, à la conception, construction, gestion et enfin démolition d’un bâtiment. Découvrons, phases par phases, les différents bénéfices que peut apporter la continuité numérique à vos projets de construction. Phase d’étude de faisabilité Une meilleure collaboration pour une plus grande efficacité Réaliser des projets de construction digitalement permet de définir clairement en amont les rôles de chacun. Avant même de commencer le projet, vous assurez que les données soient bien transmises aux bonnes personnes. Elles seront également mises à jour en temps réel. Une meilleure organisation des rôles signifie également une meilleure productivité de la part de chacun. En ne se préoccupant pas de la récolte manuelle des données et de leur ressaisie par exemple (car tout est déjà centralisé grâce au digital), chacun se dédie uniquement à ses tâches; ce pourquoi il a un savoir-faire et une expertise. D’après Le Hub, dans l’industrie de la construction, la digitalisation des entreprises serait responsable de +2,5% de productivité par an sur les 10 dernières années. Phase de conception Garantir la précision de ses rendus En phase de conception d’un projet, il est primordial d’être le plus précis possible, afin de réduire les erreurs. Avec le passage de la planche à dessin vers les maquettes numériques, vos rendus seront beaucoup plus qualitatifs. Et cela sans pour autant entraver votre créativité. Aujourd’hui avec l’usage du «Building Information Modeling» (BIM), les phases de maturation de vos ouvrages sont maintenues grâce aux LOD (Level of Detail). En plus de réduire la marge d’erreur, la digitalisation permet de gagner énormément de temps dans le classement, la consultation et l’analyse des données. Gestion et maintenance du bâtiment Une meilleure vue de chaque projet L’usage du BIM signifie travailler ensemble et collaborer afin d’avoir une meilleure vue de chaque projet. L’emploi du digital et de la 3D permet de visualiser rapidement chaque projet. Comme évoqué précédemment, il est donc plus simple de repérer d’éventuels problèmes et ainsi de les éviter.  Par exemple, avec les outils de réalité virtuelle, on peut tout de suite se projeter dans un futur lieu de vie. Le propriétaire d’une maison en construction peut, lors d’une visite dans un chantier, se visualiser dans son futur salon. Cela permet aussi une meilleure compréhension avec les constructeurs, les maîtres d’ouvrage, et peut aussi rassurer le client. La possibilité de faire vivre un bâtiment avant sa construction est une opportunité réelle de construire mieux et plus efficacement via l’utilisation des technologies immersives. Au-delà de la maquette numérique, du BIM, la réalité virtuelle digitalise la construction. Découvrez la suite sur la continuité numérique au fil du cycle de vie du bâtiment dans notre article complet.
Il y a 2 ans et 141 jours

LE PDG DE LG PARTAGERA LA VISION A LONG-TERME DE L’ENTREPRISE LORS DU CES 2023

 Sous le slogan  » Life’s Good « , la société présentera sa feuille de route et introduira de nouvelles gammes de produits pour 2023 lors de la prochaine conférence CES.  COURBEVOIE — LG Electronics (LG) a annoncé aujourd’hui qu’elle fera son retour au CES®, avec un stand physique et l’organisation d’une conférence de presse LG World […]
Il y a 2 ans et 140 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2022

10 - L’ADEME et le CSTB présentent 4 scénarios prospectifs inédits permettant d’anticiper les avenirs possibles pour le bâtiment et l’immobilier, à l’horizon 2050Changement climatique, transition démographique, évolutions des usages, mutations technologiques sont quelques-uns des défis qui vont transformer en profondeur la demande et l’offre immobilière dans les années à venir.Lire l'article9 - MaPrimeRénov', CEE, "coup de pouce chauffage" : les nouvelles annonces du gouvernementLa totalité des acteurs de la filière de la rénovation énergétique attendaient de l'État un geste pour redynamiser le marché des CEE, en difficulté depuis plusieurs mois. C'est maintenant chose faite avec l'annonce du Ministère de la Transition écologique qui prévoit une hausse de 25% de l'obligation en cinquième période.Lire l'article8 - MaPrimeRénov', primes CEE, retraites, prix des carburants... ce qui change au 1er juillet 2022Le 1er juillet est traditionnellement une date à laquelle des tarifs et des mesures importantes entrent en application. Nous faisons le point pour vous sur ce qui va changer cette année.Lire l'article7 - Polémique après une décision de la Cour de Cassation qui va coûter au moins 10 milliards d’euros aux copropriétairesLa 1ère chambre de la Cour de Cassation, par un arrêt du 29 juin 2022, semble vouloir réserver aux seuls géomètres-experts le marché des plans annexés aux actes de copropriété.Lire l'article6 - Poujoulat recrute 30 agents de productionFace au dynamisme du marché du chauffage au bois, Poujoulat SA cherche à accroître ses capacités de production et recrute actuellement 30 agents de production.Lire l'article5 - Le décret interdisant l'installation d'équipements de chauffage fonctionnant au charbon ou au fioul à compter du 1er juillet 2022 est paruDe nouvelles normes environnementales entreront en vigueur en juillet, visant à limiter les émissions de gaz à effet de serre des équipements de chauffage et excluant ainsi notamment l'installation de nouvelles chaudières au fioul, selon un décret paru jeudi 6 janvier au Journal Officiel.Lire l'article4 - Les 5 grandes tendances du CES 2022 qui devraient impacter les secteurs du bâtiment et de la villeLancée en 2018, la démarche Construction Tech qui propose cette analyse, est une initiative inédite, portée par le salon BATIMAT, et qui a pour vocation de faire connaître et valoriser les innovations technologiques adaptées au monde du bâtiment.Lire l'article3 - Près d'1 consommateur sur 2 souhaite rester au fioul malgré l'interdiction d'installer de nouvelles chaudièresC'est acté ! Le décret rendant impossible l'installation d'appareils de chauffage fonctionnant au fioul ou au charbon en rénovation et dans le neuf vient de paraître au Journal Officiel le 6 janvier 2022.Lire l'article2 - Le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) : au-delà d'un nouveau défi à relever, une opportunité à saisirDécryptage de Marc-André Merlet, Directeur Performance Energétique chez EQUANS France et expert du Dispositif Eco-Energie Tertiaire.Lire l'article1 - Les députés votent pour un statut unique des travailleurs indépendants plus protecteurLes députés ont voté lundi en faveur d'un statut unique pour les quelque trois millions de travailleurs indépendants, prévoyant notamment la protection de leur patrimoine personnel en cas de coup dur.Lire l'article
Il y a 2 ans et 141 jours

Des papiers peints, là où on ne les attend pas…

Posé traditionnellement sur un pan de mur ou plusieurs dans la chambre ou le salon, le papier peint ne cesse de surprendre et multiplie les espaces d’expression. Avec originalité et audace, Lé Papiers de Ninon ouvre de nouvelles perspectives, en apportant le papier peint là où on ne l’attend pas …
Il y a 2 ans et 150 jours

Solids

Solids est un salon allemand, qui permet aux exposants nationaux et internationaux de présenter leurs technologies et solutions pour le traitement, la manutention, le stockage, le transport et l'analyse des poudres, granulés et solides en vrac.
Il y a 2 ans et 144 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer

Pour fischer la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation la responsabilité le sérieux. Véritable philosophie du groupe elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale initiée depuis plus de 60 ans cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentauxLe bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires - clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés.Gestion de l’énergie et des émissionsPour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques... Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production Des produits responsablesDu choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable.La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle.Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment.Parmi les dernières innovations :La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton.La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand.Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling).La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.
Il y a 2 ans et 145 jours

Les nouveautés Salles de Bains de Scavolini

JEOMETRICA, le nouveau langage de l'habitat contemporain signé Luca NichettoLes rappels aléatoires à ces grands maîtres du design et de l’art ont donné naissance à Jeometrica : un système d’ameublement expressif et de caractère, dont les détails sophistiqués mettent en valeur l’excellence Scavolini dans les processus industriels. Capable de créer des espaces fluides et coordonnés, Jeometrica est un programme à vocation multiple qui, en se déclinant en solutions pour la cuisine, le salon et la salle de bains, garantit une cohérence stylistique dans toutes les pièces de la maison. Les spécificités du programme : le design contemporain de la porte de 29 mm de profondeur - les profils en aluminium (blanc, anthracite, titane) - les assortiments de finitions (laques, revêtements décoratifs, verre ...) - la poignée courbe tubulaire qui épouse de manière sinueuse la surface de la porte - le dosseret stratifié associé à une ligne d'accessoires. Il se décline en trois formes : ronde, en forme de goutte ou rectangulaire. LIBRA, design Vuesse - des lignes précises et rigoureusesLibra est la nouvelle solution d’ameublement complète et polyvalente, conçue pour décliner le même langage stylistique dans tous les espaces de la maison : de la cuisine au salon en passant par la salle de bains. Des lignes précises et des formes rigoureuses définissent la cuisine Libra. Le projet Libra se distingue par son niveau esthétique élevé, à la fois sophistiqué et contemporain, conféré par le design de la porte lisse, carrée, de 22 mm, et par les finitions spéciales et inédites, disponibles en trois nuances à l’effet perlé.Les spécificités du programme : meubles bas avec porte lisse carrée de 22 mm avec poignée sur gorge- trois finitions effet "perlé" - de nouvelles variantes de coloris de laques - un nouveau placage lisse ou cannelé - une version spéciale à listels verticaux ou horizontaux pour les façades en verre - les meubles hauts en tôle percée Round ou Linear avec éclairage interne - les modules ouverts en profondeur réduite - la barre rétro-éclairée sur laquelle on peut placer des petites étagères ou porte-accessoires.Diesel Misfits Bathroom : design contemporain et esprit industrielDiesel Misfits Bathroom est la déclinaison pour salle de bains de la collection de cuisines Diesel Get Together réalisée par Scavolini en partenariat avec Diesel Living. Ici, les formes du chariot et du vaisselier Misfits sont revisitées pour pouvoir accueillir le lavabo. Ces compositions originales ont été conçues pour répondre à des projets résidentiels et immobiliers. Misfits Bathroom est proposé dans de nombreuses configurations qui associent différents matériaux et nuances – pour portes, plans, profils et verres – afin de créer un projet avec une forte empreinte contemporaine. Les spécificités du programme : les meubles sous lavabo en métal peint Misfit Cart ou Misfit Chest coloris Coal Black ou Soft Grey - les miroirs porte-objets - des meubles de rangement muraux et des étagères en métal finition Titane et verre finitions Acier Soft ou Bronze.
Il y a 2 ans et 148 jours

A La Défense, la plus grande tour de bureaux d'Europe économise l'électricité

"L'efficacité énergétique, ça fait trois ou quatre ans qu'on en parle", explique le directeur technique Ludovic Levavasseur, 52 ans qui accompagne le changement, déjà bien engagé avec près de 40% de consommation en moins entre octobre 2021 et octobre 2022.Invisible sur la facture, car le prix du kWh a augmenté en parallèle, la baisse va continuer, assure-t-il, notamment grâce aux milliers de détecteurs de présence implantés progressivement dans les 170.000 m2 de bureaux.Heure par heure, jour après jour, ces automates communiquent avec l'ordinateur d'une modeste pièce aveugle du sous-sol où Nicolas Puype, 42 ans, surveille. Salarié du prestataire de maintenance Engie Solutions, il est depuis trois ans le "manager énergie" du bâtiment.Six à 7.000 personnes travaillent dans les sept bâtiments de Cœur Défense, avec une tendance à la baisse liée au télétravail.Sans les voir, Nicolas Puype assiste au ballet de leurs arrivées et départs, instantanément transmis au système de gestion technique du bâtiment (GTB)."Je sais presque tout ce qui se passe, sans me déplacer, je n'ai même pas besoin de caméra", confesse l'automaticien qui va jusqu'à deviner quel train les gens ont emprunté pour gagner le quartier d'affaires.Sur ses écrans, les ascenseurs montent, les lumières s'allument, les ventilo-convecteurs démarrent, et la courbe de consommation électrique grimpe, puis s'effondre en fin de journée.Quand un bureau est inoccupé, il est automatiquement éteint.Nicolas Puype ne dicte pas la température, pas plus qu'il ne la règle à distance, mais il a l’œil.Sur un écran à sa droite, toute la production d'énergie est synthétisée, la moindre anomalie signalée. Des graphiques en couleurs se superposent, la consommation du jour, celle de la veille.Tous les capteurs de Cœur Défense, et les ordinateurs que Nicolas Puype surveille, ont une mission finalement simple: ne chauffer, n'éclairer que lorsque que les travailleurs sont présents. "Si déjà vous ne consommez que ce que vous devez consommer, vous êtes tranquilles", commente Thierry Chambon, directeur général d'Energisme, société qui vend un logiciel de maîtrise d'énergie.Tout électriqueLe gratte-ciel, reconnaissable à ses deux tours de 40 étages aux bords arrondis culminant à 161 mètres et à ses baies vitrées formant un damier blanc changeant, est occupé à 80%.Impossible par définition d'y arrêter le chauffage ou la climatisation, ni bien sûr d'ouvrir les fenêtres.Pour respirer, il faut pulser de l'air neuf, chaud ou froid selon la saison, alimenter 42.000 points d'éclairage, 76 ascenseurs, 11 escalators, 14.000 stores, plus de 8.000 ventilo-convecteurs, etc.Tout est électrique. Des groupes électrogènes de sécurité démarrent en cas de coupure. La facture électrique est donc le deuxième poste de dépenses pour la tour, après la sécurité et la sûreté incendie.Et à l'heure où les tarifs s'envolent, l'homme de la situation, c'est M. Puype : "Ici c'est un paquebot. Une fois que ça dérive, pour rattraper c'est un peu tard, c'est pour ça que je surveille au jour le jour", dit-il.En 2021, l'immeuble a remplacé ses six groupes froids à récupérateurs de chaleur. Un matériel qui produit tout le chaud et le froid dont la tour a besoin, le réseau urbain ne servant qu'en appoint.Ces équipements dataient de l'inauguration en 2001. Neufs, ils sont plus performants et c'est cet investissement qui a permis la spectaculaire baisse de consommation électrique de l'an dernier.Pour l'an prochain, la baisse attendue, de 10 à 15%, sera moins facile: "On va essayer", assure Frédéric Galvez, directeur général adjoint Property Management chez BNP Paribas Real Estate qui gère 2.000 immeubles en France, dont Coeur Défense.Reste l'isolation. "Ce serait un investissement colossal, monstrueux, coûtant presque le prix de l'immeuble (acheté 1,8 milliard d'euros en 2017, ndlr)", dit-il. "Cela obligerait à déposer toute la coque, à faire sortir les locataires et laisser le propriétaire sans revenu pendant le chantier".Pour l'heure, la tour réfléchit plutôt à s'équiper en photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 148 jours

Chauffer à 19°C : 70% des Français comptent appliquer cette consigne et 63% jugent cette demande justifiée

Dans le cadre du plan de sobriété énergétique, la Première ministre Elisabeth Borne a martelé à plusieurs reprises au cours du mois d’octobre 2022 « La règle, c’est de se chauffer à 19 C ». Principaux concernés (avec les entreprises), les foyers français sont ainsi appelés par la Première ministre à faire face aux difficultés énergétiques attendues cet hiver via une plus forte responsabilisation individuelle quant à leurs habitudes en matière de chauffage de leur logement.Température intérieure idéale, podium des pièces où il doit faire chaud, petits gestes pour réduire la facture énergétique, utilisation de chauffages d’appoint… les Français ont-ils changé leur rapport au chauffage depuis 2018 ? Comment réagissent-ils aux annonces gouvernementales et à la « règle des 19°C » ? Sont-ils de meilleurs élèves en matière d’économies d’énergie ?A travers ce deuxième volet, Eni et l’IFOP s’intéressent aux attitudes et comportements des Français vis-à-vis du chauffage, dans le but de prendre la température de l’opinion à l’égard de cette « règle » des 19°C, et d’actualiser plus largement les connaissances du rapport des Français à leur chauffage par rapport à 2018. Une étude menée du 25 octobre au 4 novembre 2022 auprès d’un échantillon de 2500 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.Impacts de la crise énergétique sur les ménages et leur rapport au chauffage19,9°C, la température intérieure idéale des français… en légère baisse par rapport a 2018Pour les Français, la température moyenne idéale du foyer est de 19,9°C. Une moyenne en légère baisse par rapport au sondage mené en 2018, où la température idéale se situait à 20,2°.Coté spécificités à signaler, la différence entre « Mars et Vénus » est toujours persistante. Les hommes se sentent à l’aise à 19,7°C (contre 20°C en 2018) tandis que les femmes aiment disposer de quelques décimales supplémentaires à 20°C (contre 20,4°C en 2018).En région, ce sont les Bretons qui se révèlent les moins frileux, avec une température intérieure idéale moyenne de 19,4°C. A l’opposé, pour les Bourgo-Francs-Comtois, la température intérieure idéale est bien au-dessus : 20,2°C !Halte aux idées reçues ! Côté âge, pas de différence significative, avec une température intérieure moyenne à 19,9°C, aussi bien chez les moins de 35 ans que pour les plus de 35 ans.Règle des 19°c en intérieur : forte adhésion des français !Depuis 2018, la température intérieure idéale des Français a baissé. Pour autant, se situant à presque 20°C, elle reste supérieure à la règle fixée par le Gouvernement : 19°C en intérieur. Alors comment les Français réagissent-ils à cette injonction ?70% des Français sondés comptent bien appliquer cette consigne et 63% jugent cette déclaration justifiée.Une adhésion plus marquée chez les plus jeunes, avec 74% des 18-24 comptant appliquer cette mesure et 65% dans cette même tranche estimant cette déclaration justifiée, soit deux points de plus que la moyenne nationale ! Les seniors (65 ans et plus) y adhèrent également d’avantage : 73% comptent appliquer la règle et 68% la trouvent justifiée.A contrario, en région, les habitants de la région Bourgogne-Franche-Comté s’avèrent plus réticents, avec seulement 56% des sondés considérant cette mesure justifiée. En toute logique, pour les Bourgo-Francs-Comtois, les plus frileux des sondés, seulement 59% comptent appliquer cette consigne, 11 points de moins que la moyenne nationale !Si cette consigne remporte de prime abord une large adhésion, la propension à appliquer la consigne des 19°C reste cependant très dépendante des habitudes de chauffage au sein du foyer et du degré de sensibilité aux économies d’énergie.7 Français sur 10 (70%) déclarent qu’ils vont appliquer la règle des 19° C en moyenne au sein de leur logement. Dans les faits, cette volonté à appliquer « tout à fait » la consigne émane principalement des Français les plus sensibles aux économies d’énergie, ou ceux pour qui cette règle aurait peu d’impact sur leurs habitudes à l’égard de leur chauffage.Si une large majorité d’interviewés qui considèrent que la température idéale au sein de leur foyer est supérieure à 20° C déclarent être prêts à faire un effort c’est-à-dire concernant leur confort en appliquant la consigne des 19°C (59%), ils ne sont en revanche que 19% à déclarer qu’ils sont « tout à fait » prêts à le faire. Par opposition, ceux pour qui l’application de la consigne est moins coûteuse en matière de confort c’est-à-dire ceux dont la température idéale pour se sentir bien chez soi est inférieure ou égale à 19°C sont beaucoup plus nombreux à déclarer qu’ils vont appliquer la consigne (88%). Ces derniers sont par la même occasion plus nombreux à la considérer comme justifiée (47%).Ce constat peut donc laisser penser que le choix du confort inciterait à une certaine irrégularité des plus frileux dans l’application quotidienne de cette consigne jugée moins largement parmi eux comme justifiée. Elle est peut être alors le signal d’une adhésion plus théorique, qu’une application de faits qui entrainerait dans la foulée une transformation des habitudes à l’égard de son chauffage.Au-delà du confort, le degré de sensibilité aux économies d’énergies joue un rôle majeur. Parmi les répondants qui se déclarent sensibles aux économies d’énergie, 85% déclarent qu’ils vont appliquer la consigne des 19°C (contre 49% qui le sont mais pas au point de réduire leur confort et 30% pour ceux qui ne sont pas sensibles aux économies d’énergie). De même, 77% d’entre eux jugent cette déclaration justifiée (contre 43% de ceux qui sont sensibles aux économies d’énergies mais pas au point de réduire leur confort et 29% pour ceux qui n’y sont pas vraiment sensibles).Dans un contexte de forte inflation, où le pouvoir d’achat se hisse parmi les sujets qui préoccupent le plus les Français, la propension plus forte à respecter la consigne des 19° C dans les foyers aux plus faibles revenus n’est pas observée. Alors que l’on aurait pu s’attendre à une plus forte adhésion, pour des raisons financières notamment et de baisse de pouvoir d’achat, les plus faibles revenus sont en revanche surreprésentés parmi les répondants ayant déclaré qu’ils n’appliqueraient « pas du tout » la consigne.De plus en plus de français sensibles aux économies d’énergie, au point de réduire leur confortLes répondants à l’enquête font en effet état d’une sensibilité quasi unanime à l’égard des économies d’énergie (95%, stable par rapport à 2018) même plus marquée encore cette année qu’en octobre 2018 puisque 61% des Français déclarent même l’être « au point de réduire un peu leur confort » +8 points.Dans le détail, les principaux concernés sont les plus âgés et les plus faibles revenus. A 35 ans et moins, 56% des sondés se disent prêts à réduire leur confort, contre 62% au-delà de 35 ans.Les Français sont par conséquent moins nombreux à déclarer ne pas vouloir répercuter leur sensibilité vis-à- vis de sujets énergétiques sur une détérioration de leur confort thermique (34%, -8 points par rapport à 2018 et -7 points par rapport à 2012) et la proportion de Français ne se déclarant pas vraiment sensible aux économies d’énergies reste stable, mais marginale (5% en 2022 et 2018). 84% déclarent ainsi qu’ils préfèreront s’habiller plus chaudement cet hiver pour maîtriser leur consommation d’énergie (+1 point par rapport à 2018).Le soir, moment cocooning où le besoin de chaleur est le plus importantDepuis 2018, les Français ont évolué dans lesur rapport à la chaleur. S’ils tolèrent une température plus basse, ont-ils besoin de confort aux mêmes moments, et aux mêmes endroits ?Et bien… pas totalement ! En 2018, 1 Français sur deux indiquait avoir le plus besoin d’avoir chaud, de se sentir bien sans avoir à se couvrir, le matin. En 2022, ce chiffre est en baisse avec seulement 41% des sondés indiquant le matin comme le moment le plus important pour avoir bien chaud chez soi.A contrario, le confort du soir devant la télévision gagne du terrain, avec 34% des sondés en 2022 estimant ce moment comme celui où le besoin de chaleur est le plus important, contre 26% en 2018. Malgré l’essor du télétravail, bien moins pratiqué en 2018, le besoin de chaleur en journée reste identique en 2022 et en 2018 ; seulement 16% des sondés considèrent qu’il s’agit du moment où le besoin d’avoir chaud, sans avoir besoin de se couvrir, est le plus important.Côté distribution, peu voire pas d’évolution depuis 2018. En toute logique, les pièces du logement dans lesquelles le besoin de chaleur est le plus important sont le salon (85% du total des citations) et la salle de bain (77% du total des citations). Les toilettes (6%) ou encore le garage (1%) arrivant en fin de classement.Si le recours au chauffage est de plus en plus raisonné, l’habitude de mettre ses appareils en veille se perd !Les Français sont de plus en plus sensibilisés au besoin de réduire leur consommation énergétique. Dernier exemple en date, la vaste campagne de communication portée par le Gouvernement : « Chaque geste compte », visant à rappeler tous ces écogestes qui permettent de réduire sa consommation énergétique, et par la même occasion, sa facture. Alors, depuis 2018, les Français ont-ils vraiment modifié leurs habitudes de consommation en vue de réaliser des économies d’énergies ?Selon les résultats de l’enquête, le taux de « bons élèves » en matière d’écogestes progresse sur une majorité d’items.En 2018, 53% des sondés avaient toujours pour habitude d’ajouter un pull ou une couverture quand ils avaient froid plutôt que d’allumer ou d’augmenter le thermostat de leur chauffage. En 2022, ils sont désormais 58% à le faire systématiquement.De même, 51% des sondés indiquaient mettre toujours le chauffage en veille durant la journée et durant leurs absences en 2018, en hausse de 4 points en 2022.De plus en plus de Français pensent également désormais systématiquement à dégivrer leur réfrigérateur : 34% en 2022 contre seulement 23% en 2018.A contrario, certains écogestes se perdent. Alors que 64% des Français sondés en 2018 éteignaient toujours leurs appareils électroniques (ordinateur, télévision, box) pour ne pas le laisser en veille, ils ne sont plus que 41% en 2022.Côté écogestes, une fracture générationnelle existe. Si 85% des seniors (65 ans et plus) indiquent utiliser toujours des ampoules basse consommation… seulement 57% des moins de 35 ans ont cette même habitude.En cuisine, même constat. 77% des seniors sondés mettent toujours un couvercle sur leurs casseroles lors de la cuisson… contre 44% des moins de 35 ans.La mise en route des appareils électroménagers pendant les heures creuses peine à entrer dans la routine des Français… tout particulièrement des Franciliens. S’ils sont en moyenne 36% à toujours utiliser leurs appareils électroménagers en heures creuses, ils ne sont que 26% en Île-de-France. Côté bons élèves, l’Occitanie sort son épingle du jeu avec 46% de sondés le faisant toujours.Quand la nuit tombe, les habitudes diffèrent selon les régions. Quand 39% des Bretons sondés indiquent toujours arrêter leur chauffage pour dormir… seuls 25% des Normands témoignent de cette même habitude.Ces 5 dernières années un tiers des français ont revu leur isolation et leur équipement de chauffageAu cours des 5 dernières années, une part importante de Français a réalisé des travaux de rénovation énergétique pour réduire leur consommation d’énergie.Près d’un propriétaire sur deux (47%) a investi dans l’isolation (combles, murs, sous-sols, fenêtre) au cours des 5 dernières années.C’est la Bourgogne Franche Comté qui comptabilise le score le plus important, avec 46% des sondés ayant réalisé des travaux d’isolation ces 5 dernières années (propriétaires et locataires confondus) … contre seulement 27% en Bretagne !En seconde place des travaux les plus réalisés au cours de ces 5 dernières années arrive la régulation du chauffage (thermostats programmables, robinets thermostatiques…) avec 30% des sondés indiquant avoir mis en oeuvre ces travaux de rénovation.Près d’un tiers des Français (27%) ont également revu l’installation de leur mode de chauffage pour un équipement plus performant (chaudière individuelle, pompe à chaleur, radiateurs nouvelle génération…).En revanche, ils ne sont que 18% à avoir installé un équipement de chauffage renouvelable, tel qu’un chauffage au bois, des panneaux solaires ou un chauffe-eau solaire. Des équipements qui séduisent majoritairement les plus jeunes : 24% des moins de 35 ans ont indiqué avoir investi dans un équipement de chauffage renouvelable, contre seulement 12% des plus de 65 ans.Un engouement en faveur de la rénovation énergétique qui se maintient… mais pas a court terme !Dans le contexte énergétique actuel, les économies d’énergie préoccupent de plus en plus les Français et de fait, accroit le besoin de réaliser des travaux de rénovation énergétique.Si près de la moitié des Français sondés (43%) envisagent de réaliser des travaux énergétiques, ils ne sont que 8% à l’envisager à court terme (c’est-à-dire dans l’année). Pour 16% des sondés, ce projet s’inscrit dans une durée à moyen terme, il s’agit d’un projet certain mais pas dans les années à venir. 19% des sondés indiquent quant à eux l’envisager, mais à long terme et sans savoir quand exactement.Dans les faits, ceux qui songent à réaliser ce type de travaux, quelle que soit la temporalité sont les plus hauts revenus, les propriétaires (55%, 43% pour l’ensemble) et les Français qui passent plus de temps chez eux en journée, notamment ceux qui pratiquent le télétravail (dont 64% pour la totalité de leur temps de travail, contre 38% pour ceux qui n’en n’ont jamais fait).Du côté du portefeuille, le budget moyen qu’ils seraient prêts à dépenser pour effectuer ces travaux s’élève en moyenne à 5 991€. A noter qu’une forte proportion de Français n’a sans doute pas commencé à concrétiser ce projet, notamment par la réalisation de devis, puisque 65% des interviewés ne parviennent pas à indiquer quel montant ils seraient prêts à investir.Légère baisse du recours au chauffage d’appointEn 2018, 67% des sondés indiquaient avoir rarement, voire jamais recours, au sein de leur logement principal, à un chauffage d’appoint (électrique ou à pétrole), en complément de son chauffage principal.De moins en moins plébiscité par les Français, 71% indiquent désormais avoir recours rarement, voire jamais à ces chauffages d’appoint, souvent très énergivores.Une habitude qui persiste pourtant chez les plus jeunes. Ils sont en effet 38% des moins de 35 ans à y avoir recours souvent, ou de temps en temps, en complément du chauffage principal.Une région, une typicité ! la carte des spécialistes régionales du chauffage en 2022Frédéric DABI, Directeur Général de l’IFOP indique : « Le message de la Première ministre, perçu comme légitime par une majorité de Français, est le signe d’une réelle prise de conscience collective. L’adhésion mesurée à la consigne des 19°C est en effet le corolaire d’un processus de plus long terme de progressive adoption de comportements destinés à réduire ses dépenses énergétiques. La crise énergétique annoncée pour cet hiver a en revanche accéléré ce processus, et renforcé de manière indéniable les habitudes de chauffage de son foyer qui avaient déjà été observées en 2018 ». Benoît IGNACE, Directeur Général Adjoint d’Eni précise : « Si l’énergie a toujours été une préoccupation importante, la prise de conscience écologique couplée à la crise énergétique en ont fait un enjeu majeur pour les Français. Lancé en 2018, le sondage « ENI – IFOP, les français et le chauffage » permet de mieux comprendre le rapport des Français à leur consommation d’énergie et surtout d’y déceler les enjeux de demain. Cette nouvelle édition nous offre un nouvel éclairage sur la nécessité d’assister les Français sur les travaux d’efficacité énergétique car si près de 50% envisagent de réaliser des travaux d’amélioration énergétique, seuls 8% l’envisagent à court terme alors que c’est un levier majeur d’économies d’énergie… Il est urgent d’accompagner les consommateurs et c’est la mission que s’est donnée Eni depuis plusieurs années. » En complément de cette grande vision nationale, l'enquête Eni - Ifop permet également d'observer les grandes typicités régionales, le chauffage n'échappant pas au phénomène de « frontières territoriales ».
Il y a 2 ans et 148 jours

Bonnes fêtes !

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 148 jours

Découvrez les nouvelles fonctionnalités de l'eshop würth.fr

Mon Top ProduitsDepuis septembre 2022, les clients Würth ont vu apparaître une nouvelle rubrique dans leur espace : mon Top Produits. Elle regroupe ses produits préférés qui correspondent aux produits les plus commandés via tous les canaux de vente ! La fréquence d’achat ainsi que la disponibilité des produits sont également indiquées. Cette fonctionnalité leur permet d’acheter à nouveau les produits en 1 clic.Le modèle de commande et le catalogue de code-barresDepuis octobre 2022, les clients Würth peuvent créer un modèle de commande : il suffit de se rendre sur le compte Eshop, rubrique « Modèle de commande » et cliquer sur « Créer un modèle de commande ». Sinon, il est possible d’en créer un à partir du panier, en y ajoutant tous les produits qui s’y trouvent. Il est possible de créer plusieurs modèles de commande par thématiques (ex : EPI, visserie, chimique…). Une fois créé, il peut être réutilisé à chaque nouvelle commande. En un simple clic le contenu du modèle de commande est transféré vers le panier mais reste modifiable.Les modèles de commandes peuvent également se transformer en catalogue de code-barres. Ces catalogues permettent de générer un code-barre pour chaque produit. Il suffira ensuite de scanner les codes-barres grâce à l’application mobile pour qu’ils soient directement rajoutés au panier !Pour en savoir plus, rendez-vous sur wurth.fr
Il y a 2 ans et 148 jours

Les chantiers à suivre en 2023 #3 : Les bétons immaculés de la nouvelle école d'architecture de Marseille

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 149 jours

Quel élément bien particulier 1 propriétaire sur 4 rêverait d'ajouter à son intérieur ?

La cheminée, l'élément le plus regretté en cette période de fêtes…Et c'est la cheminée (ou le poêle) qui est l'élément le plus regretté pour près d'un quart des propriétaires. Vient ensuite l'envie d'avoir une salle à manger plus grande, un salon plus spacieux (19%), pour accueillir de grandes tablées, ou des chambres en plus (19%) pour héberger confortablement ses invités.… mais pas le plus recherché pour un achat immobilier.En revanche, quand il s'agit de prioriser les éléments susceptibles de leur donner envie d'acheter un bien, seuls 13% de Français citent la présence d'une cheminée comme déclencheur de coup de cœur décisif. Le jardin, plébiscité lors des confinements liés à la crise sanitaire, reste incontournable (45% de citations), suivi par la taille du salon/salle à manger (30%) et la pièce en plus ou garage (20%). Si la cheminée ne semble séduire qu'en cette période hivernale, il n'est pas exclu qu'elle soit de plus en plus recherchée par des Français en quête d'économies d'énergie.* Enquête YouGov France, réalisée sur 1001 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire YouGov France pour le compte de SeLoger, du 28 au 29 novembre 2022.
Il y a 2 ans et 149 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.  Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure « Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. » Devise fischer  Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux – Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…– L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires – clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.– Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés. Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.  ©Fischer – Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants… L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques… Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes. – Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage. La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage. Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.– La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer – Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :– La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.– La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.– La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. – Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 149 jours

Les chantiers à suivre en 2023 #2 : Techniques sportives à l'Arena Porte de La Chapelle

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 149 jours

Bouches-du-Rhône : Lancement du village BTP&co à Marseille

La présidente de la Fédération BTP 13 Isabelle Lonchampt et Laure-Agnès Caradec, présidente du conseil d’administration d’Euroméditerranée, ont reçu le ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion Olivier Dussopt, lors de l’inauguration du Village BTP&co. [©VillageBTPandco] C’est l’aboutissement d’un projet ambitieux et unique en France mené par la Fédération du BTP 13. Le Village BTP&co a été inauguré le 25 novembre 2022. Il se situe au 99 rue de Lyon, à Marseille. C’est un espace dédié à l’emploi, avec pour objectif la création d’un lieu permettant de répondre à toutes les interrogations et demandes des personnes en recherche de travail. Le Village propose un accompagnement personnalisé aux demandeurs d’emploi. Le cheminement se divise en plusieurs phases, de l’accueil du candidat à son intégration dans un parcours de formation et de recrutement. Tout au long de sa visite, l’ensemble des métiers du BTP lui sont présentés. Il peut ainsi choisir celui qui lui correspond le mieux, grâce à des films en réalité virtuelle, une application mobile, des visites de chantier et des rencontres avec des professionnels. Des objectifs bien définis Mis en place dans le cadre du plan Macron “Marseille en grand”, le Village BTP&co a des objectifs bien définis. Tout d’abord, promouvoir les métiers du BTP auprès de tous les publics, ainsi que le développement économique du secteur. Le Village doit accompagner les personnes ayant un projet développé. Il doit favoriser le lien entre l’offre et la demande d’emploi dans le BTP et permettre le développement des compétences des publics les plus éloignés de l’emploi. La finalité de tous ces objectifs est de mettre en lien les candidats et les entreprises, via la FBTP 13. Les premiers résultats du Village permettront d’établir le pouvoir de cette initiative. Sur le papier, c’est un moyen important de développement du recrutement dans le BTP en région Paca. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 149 jours

Les chantiers à suivre en 2023 #1 : La charpente bois XXL de la piscine des JOP 2024

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 150 jours

Comment la pandémie a-t-elle redéfini l’usage et la conception du logement dans le monde entier ?

En s'appuyant sur les données provenant de 12 pays* en Europe, Amérique du Nord et au Moyen-Orient, PlanRadar fournit une analyse détaillée de l'influence de la pandémie sur la conception et l'usage du logement. Ainsi portée par le développement du travail à distance, la maison du futur se doit d'être davantage fonctionnelle, durable et connectée pour s'adapter aux nouveaux besoins de ses occupants. Le logement sera plus grand et modulableAujourd'hui en Europe, la République Tchèque est le pays en Europe où la surface minimum d'une pièce de vie est la plus grande : 16 m². L'Italie suit de près, avec une surface minimum de 14 m². La France semble se situer dans la moyenne (9 m²), loin des Etats-Unis (6,5 m²) et des Emirats Arabes Unis (3 m²).L'enquête de PlanRadar révèle surtout que dans la plupart des pays étudiés, la taille minimale des logements augmente, alors que les surfaces moyennes par habitant restent très disparates d'un pays à l'autre : 46 m² en Allemagne et 27,5 en Pologne par exemple. En Autriche, la taille des logements est passée de 86 m² dans les années 90 à 99,2 m² en 2015. En France, la taille minimum des logements pouvant bénéficier d'aides fiscales immobilières (Pinel) va doubler en 2023, pour passer à 28m² pour un T1. La tendance va donc vers une augmentation de la taille minimale des surfaces.Avec l'émergence du télétravail et du travail hybride, la frontière entre espace privé et espace de travail s'est progressivement amincie participant à l'émergence de nouveaux besoins et désirs de ses occupants. Ainsi, des millions de propriétaires et de locataires recherchent désormais des logements dotés d'un espace où ils peuvent travailler sans être interrompus par la vie de famille. Lorsque cela n'est pas possible, ils recherchent un mobilier flexible qui leur permet de transformer certaines pièces en bureau pendant la journée, avant de les réaménager en cuisine, salon ou chambre, la journée de travail terminée.L'étude de PlanRadar montre que les espaces multifonctionnels sont à présent une priorité dans 7 pays sur les 12 étudiés (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Italie et les Émirats Arabes Unis). Certains pays comme la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Autriche affirment même que les bureaux à domicile seront une tendance clé à l'avenir.De nouvelles aspirations vers des espaces partagés et durablesDe plus en plus préoccupés par la crise climatique, les citoyens se tournent vers le « vivre durable ». Cette aspiration partagée dans la majorité des pays, se décline sous différents prismes. L'Allemagne, la France et la République Tchèque misent sur les matériaux biosourcés tandis que le Royaume-Uni priorise les maisons passives. De leur côté, les États-Unis orientent leurs efforts vers la mobilité durable avec le développement de bornes de recharge pour les véhicules électriques. Tous sont soucieux de l'impact du mobilier sur l'environnement. 9 pays sur les 12 interrogés s'attendent à ce que leurs meubles soient fabriqués à partir de matériaux recyclés, durables ou d'origine naturelle. Ainsi, quatre pays (Allemagne, Autriche, France et Hongrie) montrent un intérêt pour les meubles d'origine locale, à la fois pour soutenir les efforts de durabilité et pour éviter les retards d'approvisionnement observés pendant la pandémie de COVID-19. L'Allemagne quant à elle est le seul pays à exprimer un intérêt pour les surfaces autonettoyantes et les matériaux antibactériens.Enfin, l'enquête révèle que durabilité rime avec partage des usages. Privés d'espaces extérieurs pendant la pandémie, les habitants ont de nouvelles attentes en termes d'espaces verts. Ainsi, les Américains, les Britanniques et les Italiens sont particulièrement désireux de disposer d'un espace extérieur directement accessible depuis leur maison. Il ne s'agit pas nécessairement d'un jardin privé ; beaucoup s'intéressent aux espaces extérieurs communs.La maison connectée : une priorité pour la France et les Etats-UnisGrâce aux progrès technologiques, la domotique se développe et les maisons connectées ou « intelligentes » deviennent réalité. Ces équipements connectés doivent rendre les logements plus confortables, plus faciles à gérer et plus sûrs, mais doivent aussi permettre de réaliser des économies. C'est ce que révèle l'étude PlanRadar qui montre que l'ouverture aux technologies intelligentes se généralise dans le monde entier. Parmi les technologies les plus populaires, on retrouve les systèmes d'éclairage intelligents, les thermostats connectés et les dispositifs de sécurité domestique connectée. La France et les États-Unis sont les plus en avance de phase et prévoient l'adoption de 14 des 24 technologies répertoriées dans cette étude tels que (le thermostat et éclairage intelligents ainsi que les dispositifs de sécurité connectés).Retrouvez l'étude complète de ce troisième volet sur ce lien.*Étude menée par PlanRadar en juin 2022 sur les tendances et priorités des architectes concernant la construction, l'habitat et les bureaux du futur dans 12 pays Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, France, Espagne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Italie, Emirats arabes unis et Pologne. Les sources proviennent principalement des données publiques d'experts, d'instituts indépendants et d'organismes professionnels et gouvernementaux. En France, il s'agit principalement du Conseil national des architectes, du Ministère de la Transition écologique et de l'UNSFA.
Il y a 2 ans et 150 jours

Les solutions Owatrol pour Magnifier les intérieurs

Le bois s’est installé depuis toujours sur le sol des habitats des plus somptueux aux plus simples, chez les particuliers comme dans les lieux de travail. Il ne subit pas les intempéries mais face à son usage, il est essentiel de les protéger correctement pour garantir un vieillissement optimal.Souvent en chêne, parfois en bois exotiques, les parquets, plan de travail,… sont généralement faits de bois durs difficilement imprégnables. Laissés bruts ils vont rapidement se tacher, s’abîmer (griffures, usure…) du fait de leur utilisation plus ou moins intensive. Il est donc indispensable de les protéger si l’on souhaite garder leur bel aspect. Autrefois la cire était le moyen utilisé pour assurer leur longévité et leur bel aspect. Néanmoins, celle-ci présente plusieurs inconvénients :Elle nourrit et protège en surface mais encrasse le bois au fil du temps, le fait monter en teinte et le rend glissant.Elle nécessite un entretien très régulier, plusieurs fois par an dépendant du trafic.Après la cire, l’ère des vitrificateurs a pris la relève depuis plusieurs décennies :Ils apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau, seules les zones de passages peuvent devenir très visibles dès que l’usure due au trafic apparaît.La maintenance peut être lourde avec un ponçage fastidieux. De plus, le film donne un aspect satiné ou brillant qui peut ne pas être apprécié.Actuellement certains produits apparentés à des huiles donne un effet seconde peau qui permet de conserver l’aspect naturel du parquet.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur.Les finitions de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles d’origine naturelle et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié avec une protection optimisée.OLÉOFLOOR®, décryptage : imprégnation / fini seconde peau / résistance :Imprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans tous les bois d’intérieur pour les protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien celles mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).Les plus :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.Déco :OLÉOFLOOR® CLASSIC qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® NATURAL qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® NATURAL est totalement invisible avec la version Incolore, ou trendy dans ses versions blanc antique et gris antique.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont réduites.Afin de répondre à toutes les demandes, Owatrol® propose aussi avec le VEGAFLOOR® et l’ULTIMAFLOOR® une gamme de vitrificateurs particulièrement performants grâce à leurs résines hybrides polyuréthanes acryliques garantissant une protection optimale face à un usage intensif.VEGAFLOOR® : apporte la garantie d’un vitrificateur haute résistance : idéal pour le salon, la salle à manger ou les chambres d’enfants, il résiste aux rayures, passages répétés, poinçonnement, impacts. Également adapté aux environnements plus difficiles, Vegafloor est le soin parfait pour les salles de bains ou cuisines : il ne craint ni les projections, ni l’eau stagnante, tout en résistant aux produits ammoniaqués. Son film qui présente une souplesse à coeur lui permet de suivre les éventuelles déformations du sol sans craquer : il est idéal avec les parquets anciens.ULTIMAFLOOR® : avec ses qualités « extrêmes » est la réponse pour protéger efficacement les parquets à forts trafics des bureaux, musées, lieux publics ainsi que les escaliers… Ces deux solutions s’appliquent facilement sur tous les bois, sèchent rapidement (2/3 heures) sans dégager d’odeur, garantissant le confort de l’applicateur. Le fini est non glissant, l’aspect naturel du bois est préservé, le film obtenu ne jaunit pas dans le temps et ne craint pas la lumière.La touche déco :VEGAFLOOR® est disponible en mat, satin ou brillant et ULTIMAFLOOR® en mat et satin. Ils peuvent aussi être préalablement teintés avec une teinte à bois, permettant d’obtenir des effets tendance tels que « faux cérusé » ou blanc « vieilli ».À savoir : une passe de PRIMAFLOOR® avant le VEGAFLOOR® permet aussi de préparer et teinter le parquet.Une gamme parquet respectueuse de l’environnement : En tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).GAMME OLEOFLOOR®, gamme vitrificateur : des solutions owatrol® techniques et novatrices pour des bois intérieurs magnifiés !Pour en savoir consultez la page du Groupe DURIEU ou visitez le site OWATROL.
Il y a 2 ans et 150 jours

ACPresse vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année !

2022 s’achève dans quelques jours… L’occasion pour l’équipe d’ACPresse de revenir sur cette année riche en informations… Toute l’équipe d’ACPresse vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année ! Un grand merci pour votre fidélité ! Rendez-vous l’année prochaine … Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 150 jours

ICCX Central Europe

International Concrete Conference & Exhibition (ICCX) est devenu un rassemblement incontournable pour l'ensemble des acteurs de l'industrie du béton d'Europe centrale. Pendant 2 jours, des conférences animées par des experts, ainsi que des rencontres entre exposants et visiteurs ont lieu.
Il y a 2 ans et 150 jours

Global industrie Connect

Global Industrie Connect rassemble les acteurs internationaux de l'industrie de l'impression 3D. Le salon propose les dernières nouveautés technologiques, une vitrine des innovations, ainsi qu'une plate-forme d'échanges entre industriels.
Il y a 2 ans et 150 jours

Retour sur 2022, les livraisons de l'année #2 : Un totem méditerranéen signé Brenac & Gonzalez

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 150 jours

World of Concrete Las Vegas

World of Concrete est le salon international dédié aux industries mondiales de la construction en béton et en maçonnerie. Il présente les nouveaux produits, les technologies de pointe, les derniers équipements, des événement, des ateliers interactifs, des formations pratiques...
Il y a 2 ans et 151 jours

AIRZONE : la sobriété énergétique grâce à la régulation du chauffage

Leader dans son domaine depuis plus de 20 ans, AIRZONE conçoit et fabrique des systèmes de contrôle et de qualité de l’air. Les équipements de régulation AIRZONE s’intègrent aux climatiseurs pour gérer les apports en froid et en chaud en fonction des besoins de chaque espace. Grâce aux systèmes AIRZONE, les consommations énergétiques des bâtiments sont réduites pour gagner jusqu’à 53 % d’économies d’énergie, en comparaison à un équipement Inverter standard. Engagé dans le respect de l’environnement et la réduction des consommations de chauffage, AIRZONE est un acteur de la sobriété énergétique depuis toujours. L’intégration du système AIRZONE dans les climatiseurs permet de générer la quantité nécessaire, en froid ou en chaud, à tout moment. AIRZONE apporte une réponse concrète à la problématique environnementale en se concentrant sur l’optimisation du confort thermique pour l’utilisateur et l’amélioration de la performance énergétique du bâtiment. Les systèmes de contrôle AIRZONE permettent de proposer une solution valide dans les logements RE2020 pour couvrir efficacement les besoins de l’utilisateur en termes de performances énergétiques et de confort. Les systèmes de régulation AIRZONE s’adaptent à l’ensemble des équipements de chauffage et de climatisation, alimentés par pompe à chaleur, et s’intègrent facilement et efficacement dans les systèmes domotiques. L’installation est connectée à une platine centrale AIRZONE qui analyse ses données et régule sa consommation, le tout contrôlable depuis des thermostats sur place ou via le Webserver Airzone Cloud. Easyzone QAI : le contrôle pièce par pièce du chauffage, de la climatisation et de la qualité d’air intérieur Grâce à l’intégration d’un plénum motorisé à ioniseurs dans son système de régulation, AIRZONE propose désormais une solution capable d’optimiser l’installation de chauffage/climatisation et d’améliorer la qualité de l’air intérieur. Easyzone QAI permet de réduire de 30 à 65 % la durée d’exposition des personnes aux poussières, acariens, pollen, bactéries et virus en suspension en1 heure, et de 80 à 90 % en 24 heures. Le système Easyzone QAI est aussi facile à poser qu’un système de régulation classique : un système Plug&Play, câblé en usine, s’intègre aux installations gainables et l’accès aux paramètres du système se fait par Bluetooth via l’application Airzone Cloud. Compatible avec plus de 80 fabricants du marché, Easyzone QAI peut être intégré en neuf comme en rénovation, dans les bâtiment résidentiels et tertiaires. Aidoo Pro Ventilo-convecteur : la solution qui donne une seconde vie aux installations en les dotant des dernières avancées technologiques. Parce que la gestion optimisée d’une installation passe dorénavant par un contrôle précis de ses équipements, la question de changer des appareils non connectés est fréquente. Pourtant, la durée de vie des ventilo-convecteurs ne demande pas systématiquement de les renouveler, et encore moins de les gaspiller. C’est pourquoi AIRZONE propose une solution simple et économique pour connecter les ventilo-convecteurs existants à son application Airzone Cloud et transformer ainsi son installation en une solution d’optimisation des consommations et d’économies d’énergie. Aidoo Pro Ventilo-convecteur est une solution unique pour lutter contre l’obsolescence technologique et réaliser des économies pour un minimum de frais. Idéal pour les hôtels et les bureaux, Aidoo Pro Ventilo-convecteur permet une gestion centralisée de tous les ventilo-convecteurs de l’installation depuis l’application Airzone Cloud, ou le système de gestion du bâtiment, afin : d’avoir une vue d’ensemble de toutes les installations réalisées et créer des groupes, si nécessaire, pour contrôler tous les dispositifs ensemble ; d’effectuer des configurations avancées des systèmes. Cette configuration comprend, par exemple, le choix de la température de consigne maximale ou minimale ou la sélection du mode de fonctionnement de l’équipement ; de surveiller l’installation à distance afin qu’en cas d’erreur du système, l’installateur puisse rassembler les informations instantanément depuis son smartphone et régler le problème plus efficacement.
Il y a 2 ans et 150 jours

Retour sur 2022, les livraisons de l'année #1 : La mixité en boîtes de MVRDV

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 150 jours

GCC et Nobatek/Inef4 mettent l’accent sur l’impact carbone

Lors du salon Simi, GCC et Nobatek/Inef4 ont consolidé leur partenariat afin de prendre en compte l’impact carbone. [©GCC] Un an après l’officialisation de leur partenariat, le groupe GCC et l’Institut de transition énergétique du bâtiment Nobatek/Inef4 renforcent leur collaboration. L’objectif initial de ce rapprochement était d’expérimenter des solutions innovantes et responsables en faveur du bâtiment. Désormais, l’ambition évolue. A travers un programme spécifique, les deux sociétés souhaitent mettre l’accent sur l’impact carbone des projets de construction. Un plan qui répond à trois critères. Intégrer la dimension carbone Ainsi, le premier consiste à réduire le temps de réalisation des études d’analyse du cycle de vie (ACV) opérées par GCC. Le second vise à évaluer, puis à faire émerger des propositions d’optimisation de projets sur la base des performances environnementales et économiques des deux entités. Quant au dernier, il propose une solution qui s’intègre dans le projet d’évolution digital de GCC. « C’est le fruit de nos échanges continus depuis le début de notre partenariat, déclare Julien Szabla, directeur général de Nobatek/Inef4. Nous voulons mettre notre expertise au service d’un acteur majeur de la construction, tel que GCC. Cela lui permettra d’intégrer pleinement la dimension carbone dans ses opérations. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Les grands concours de 2022 #3 : Le réemploi des Ateliers Médicis par Encore Heureux

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 151 jours

Les grands concours de 2022 #2 : Le signal urbain de l'AUC

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 152 jours

Oknoplast et le musée Mocak lance un grand concours artistique

Pour sceller ce partenariat, un grand concours international pour les artistes est organisé par le groupe OKNOPLAST et le musée d'art contemporain de Cracovie MOCAK du 28 novembre 2022 au 27 février 2023. Le concours est ouvert à tous les artistes et groupes d'artistes professionnels et non professionnels d'Europe.Une fenêtre en guise de toilePour ce grand concours toutes les techniques sont autorisées : dessin, graphisme, peinture, technique mixte avec pour seule obligation d'utiliser une fenêtre comme base de travail. Ces œuvres devront garder la forme originale de la fenêtre sans en détruire la structure, le verre et le système d'ouverture. Les groupes artistiques ou les co-auteurs peuvent également participer au concours en soumettant une seule œuvre.Le jury évaluera, entre autres, le caractère unique du projet, la technique d'exécution et la valeur artistique. Le grand gagnant recevra un chèque de 8.000 euros, les deuxième et troisième gagneront un chèque de 2.000 euros. Les œuvres d'art lauréates seront également présentées à un large public lors d'une exposition spéciale post-concours au Musée MOCAK. Les candidatures peuvent être envoyées via le site http://art.oknoplast.com/ entre le 28 novembre 2022 et le 27 février 2023.
Il y a 2 ans et 152 jours

Les grands concours de 2022 #1 : LAN sur les pas de Zaha Hadid

La rédaction d’AMC vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année et vous donne rendez-vous en janvier pour de nouvelles actualités. En 2023, abonnez-vous à AMC pour recevoir le mensuel et ses suppléments en version papier et digitale, ainsi qu'accéder à tous les contenus et services du site ! Lire l'article
Il y a 2 ans et 152 jours

Biennale de Venise : un Pavillon signé Muoto

Les deux associés de l’agence parisienne Muoto, Yves Moreau et Gilles Delalex, ont été nommés commissaires du Pavillon français de la 18ème Biennale d’architecture de Venise qui se tiendra de mai à novembre 2023, sous le commissariat général de Lesley Lokko. Ce projet sera réalisé avec l’équipe artistique composée des architectes eux-mêmes, des scénographes Clémence La Sagna et Georgi Stanishev, de Jos Auzende en tant que commissaire associée et de Anna Tardivel à la coordination...
Il y a 2 ans et 155 jours

La demande de bois de chauffage flambe en Alsace

En cette mi-décembre en Alsace, le mercure plonge largement en-dessous de zéro depuis quelques jours. Vendeur de bois de chauffage à Wissembourg (Bas-Rhin), à la frontière avec l'Allemagne, Christophe Glad est venu livrer bûches et granulés à l'entreprise Moose, spécialiste des poêles et des cheminées-inserts, installée à Vendenheim, près de Strasbourg.M. Glad exerce "depuis 23 ans" mais cette année est particulière : "Je suis tout le temps sur la route en train de livrer. On est obligé de rationner, de livrer en deux, voire trois fois pour que les clients puissent commencer l'hiver", explique celui qui préside le groupement syndical des négociants en bois de chauffage d'Alsace."Spéculation"Beaucoup de ses clients sont en Allemagne, où la "spéculation" sur le bois est importante : en France, le stère oscille entre "90 et 100 euros", contre "70 à 80" auparavant. Outre-Rhin, où la dépendance au gaz russe était très forte, il peut monter jusqu'à "200 euros"."Il y a de plus en plus de gens qui souhaitent faire des économies" et "le bois", en chauffage principal comme en appoint, est "l'énergie la moins chère", confirme Laura Menrath, assistante administrative chez Moose. Celle-ci constate une explosion des poêles à bûches cette année, largement devant les appareils à granulés."Avant c'était vraiment du 50/50", mais désormais c'est la bûche qui a le vent en poupe : chez ce vendeur alsacien, seulement "une personne sur vingt" s'intéresse désormais aux granulés, explique-t-elle.Le conflit ukrainien "dope le marché européen", notait en novembre Patrice Escrieut, président de la Fédération des installateurs de poêles et de cheminées (FIPC).Avec pour conséquence "un engorgement au niveau des usines" et des délais de fabrication de poêles allant de "quatre à douze mois", expliquait-il sur Sud Radio. "Trop tard" donc pour ceux qui rêvent d'acheter un poêle cet hiver, prévenait-il, invitant les clients à commander dès à présent "pour l'hiver 2023".Face à cette demande accrue, les vendeurs de bois, qui constituent traditionnellement leurs stocks en amont dans l'année, peinent depuis des semaines à suivre la cadence.Normalement, "on livre durant l'été" mais cette année, on continue à avoir "entre 30 et 50 appels par jour", avec des pointes "jusqu'à 100 par jour", confie M. Glad.Il a dû renoncer à livrer des personnes qui, redoutant une facture d'énergie trop salée, ont opté, malheureusement trop tardivement dans l'année, pour un chauffage bois."Marché exsangue""Le marché est totalement exsangue, les stocks de bois sec sont à zéro depuis quelques semaines", confirme Jocelyn Auffret, vendeur de bois de chauffage à Gertsheim (Bas-Rhin). Lui aussi à dû récemment décliner des commandes de "personnes qui n'avaient pas eu le réflexe de commander assez tôt, alors qu'en en mai ou juin, j'étais déjà dans le rouge".Retraité à Nordheim, à l'ouest de Strasbourg, Joël Bûcher, 69 ans, a lui a opté "dès 1988" pour le chauffage bois : dans le salon de sa maison de 220 m2 sur les hauteurs de ce village du piémont des Vosges, trône un imposant poêle en faïence. Un "kachelofe" typiquement alsacien dont cet ancien cadre technique vante les qualités réfractaires qui permettent de chauffer une bonne partie du logement.Comme chaque année, il a passé sa commande de cinq stères de bois bien en amont et n'a pas constaté une hausse de la facture. Tout au plus quelques euros supplémentaires sur le transport, répercussion logique de la hausse des prix du carburant, relève-t-il.Mais l'an prochain, il s'attend à ce que les choses soient un peu différentes : "Tout augmente, donc je pense qu'il faut s'attendre aussi à une hausse" du côté du bois de chauffage", explique M. Bûcher, à qui son vendeur de bois a conseillé de passer commande plus tôt dans l'année.
Il y a 2 ans et 155 jours

quels sont les materiaux qui bloquent les ondes magnetiques

Nous sommes en permanence exposés à des champs électromagnétiques. S’interroger sur les matériaux qui bloquent ces ondes magnétiques est essentiel afin d’en réduire l’exposition.
Il y a 2 ans et 156 jours

Le pouvoir d'achat immobilier des Français chute en 2022 selon les notaires

En moyenne, en s'endettant sur 20 ans avec une mensualité à hauteur du tiers de leur revenu disponible, les Français de métropole peuvent acquérir un logement de 80 mètres carrés. C'est 4 de moins qu'en 2021, une chute inédite depuis 15 ans.Ce chiffre stagnait depuis 2018 autour de 85 mètres carrés, après une décennie de forte augmentation - il était de 58 mètres carrés en 2008, son point le plus bas.La chute en 2022 est due au "cumul d'une augmentation des prix, qui est quand même assez forte, moins forte que l'inflation mais quasi, et de l'augmentation des taux d'intérêt", a avancé en conférence de presse Thierry Delesalle, notaire en charge des statistiques immobilières de Paris et d'Ile-de-France.L'érosion du pouvoir d'achat immobilier est très marquée pour les maisons, dont les prix se sont envolés depuis la sortie des confinements. Avec une mensualité de 1.300 euros sur 20 ans, il est possible d'acquérir une maison ancienne de 113 mètres carrés, 10 de moins qu'en 2021.Pour les appartements anciens, la surface finançable en s'acquittant d'une mensualité de 800 euros sur 20 ans est de 43 mètres carrés, un de moins qu'en 2021, estiment les notaires à partir des ventes conclues au cours des neuf premiers mois de l'année.L'effet de la loi Climat et résilience, qui va progressivement interdire à la location les logements les plus énergivores, commence à se faire sentir, ont remarqué les notaires.Les logements étiquetés F ou G, les deux pires classes du diagnostic de performance énergétique (DPE), représentaient ainsi 17% des ventes conclues au troisième trimestre 2022, contre 11% un an plus tôt.Les logements classés G seront interdits à la location en 2025, et même dès janvier 2023 pour les plus énergivores (consommant plus de 450 kilowattheures par mètre carré par an). Les F le seront en 2028 et les E en 2034."Malgré tout, attention, on est en train de comparer des choses qui ne sont pas tout à fait comparables", le mode de calcul du DPE ayant été entièrement revu en juillet 2021, a prévenu Frédéric Violeau, notaire chargé des statistiques immobilières nationales.
Il y a 2 ans et 156 jours

Les effets de la crise énergétique n'épargneront pas le secteur des matériaux en 2023

Lors de sa conférence de presse annuelle ce jeudi, l'Unicem a annoncé que la baisse d'activité du secteur, déjà bien amorcée dès le second trimestre 2022, devrait se poursuivre en 2023.
Il y a 2 ans et 157 jours

Unicem : Bilan 2022 et projection 2023

Carole Deneuve, cheffe du service économique et statistique de l’Unicem, et Alain Boisselon, président, lors de leur conférence de fin d’année. [©ACPresse] Il est 9 h 00, au 16bis boulevard Jean Jaurès, à Clichy (92). Dans ses nouveaux locaux, l’Unicem vient de lancer sa traditionnelle conférence de fin d’année. Au programme : bilan de l’année écoulée puis, projection pour la suivante. La première partie n’est pas la plus drôle : le secteur de la construction est mis à mal par plusieurs problématiques. Tout d’abord, la guerre en Ukraine s’est ajoutée à la crise sanitaire. Conséquence directe : la hausse du prix de l’énergie et donc des coûts de production. Le prix du BPE a augmenté de 7 %, autant que la pierre et les granulats. Mais la grande problématique de cette fin d’année 2022 reste le comportement de stockage. Les granulats sont très faciles à conserver et c’est pour cela que les industriels en produisent plus, pour les stocker. Cependant, la demande est faible : « On est en train de passer d’un choc de l’offre à un choc de la demande, affirme Carole Deneuve, cheffe du service économique et statistique de l’Unicem. C’est-à-dire que la demande va être inférieure à l’offre. Et cela pourrait rendre très compliqué le début de l’année 2023. »   2023, la feuille de route d’Unicem en 4 axes Pour l’année à venir, l’Unicem a taillé une feuille de route en 4 axes. Tout d’abord, agir pour la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). Elle entrera en vigueur le 1er janvier 2023 et imposera aux producteurs de matériaux français de financer ou d’organiser la gestion des déchets de leurs produits en fin de vie. Cependant, l’Union a jugé trop court le délai de mise en place de la Rep, ne permettant pas aux acteurs de bien s’y préparer. L’Unicem est dans l’attente d’un retour du gouvernement sur cette question, alors que la date butoir se rapproche. Ensuite, l’Unicem continue ses travaux, afin de décarboner totalement ses activités. Pour la partie granulats, elle travaille sur l’électrisation des moteurs de ses machines. L’Unicem espère aussi produire de l’énergie verte et locale, en installant des panneaux solaires sur ses carrières. Pour le secteur du BPE, l’Union mise sur les alternatives au clinker pour décarboner le béton. De même, l’Unicem demande le maintien des dispositifs Pinel et PTZ. Elle milite pour une construction neuve plutôt qu’une rénovation, dès lors que la structure du bâtiment demanderait trop d’investissements. « Parfois, il faut déconstruire pour mieux reconstruire. Surtout que la construction neuve répond à toutes les problématiques pour atteindre la sobriété énergétique », explique Alain Boisselon, président de l’Unicem. Enfin, afin de lutter contre la hausse des prix, l’Unicem continue de miser sur l’économie circulaire avec un objectif d’indépendance minérale. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! Lire aussi : L’Unicem Entreprises Engagées souhaite renforcer ses démarches
Il y a 2 ans et 157 jours

FFB : Coup de froid sur le logement neuf

Olivier Salleron, président de la FFB, ne prévoit pas une bonne année 2023… [©ACPresse] Ce mardi 13 décembre 2022, la FFB a tenu sa traditionnelle conférence de presse annuelle, pour dresser le bilan de l’année écoulée et donner ses perspectives pour 2023. « Malgré le ciel de traîne de la Covid-19 et le déclenchement de la guerre en Ukraine, l’année 2022 ressort comme une bonne période, en termes d’activité pour le bâtiment », explique Olivier Salleron, président de la FFB. En effet, malgré un ralentissement, la Fédération prévoit tout de même une année 2022 en croissance. « Au global, la production du bâtiment s’inscrira, hors effet prix, dans une hausse de 3,7 % en 2022. Même si c’est un peu moins que les 4,3 % initialement prévus en fin d’année dernière… » Du côté des emplois, « le secteur progressera de 15 000 postes en 2022, y compris intérim en équivalent-emplois à temps plein. Après intégration des artisans non-salariés, le bâtiment comptera donc 94 000 actifs de plus qu’en mars 2020 ». Pour le détail, le segment amélioration-entretien aura augmenté de + 2,1 %, soit son niveau d’avant-crise, et de + 5,7 % pour le neuf. Sérieux coup de froid sur le logement neuf Pour ses perspectives 2023, la Fédération décrit un secteur du BTP sur deux autoroutes différentes. Pour les bonnes nouvelles, il faut regarder du côté de l’amélioration-entretien, boostée par la rénovation énergétique. Lire aussi : Bilan des “24 h du Bâtiment” « Pour ce secteur, la FFB s’attend à une progression assez rapide de la rénovation énergétique, à + 2,6 %. Elle sera tirée par MaPrimeRénov’, par un marché des CEE qui s’est redressé. Mais aussi par  le retour du crédit d’impôt pour la rénovation des locaux des TEP-PME et le plan de rénovation des écoles annoncé par le Président de la République lors des “24 h du Bâtiment”. Sans compter le contexte plus favorable aux économies d’énergie. Cette évolution positive se trouverait toutefois contrebalancée par une baisse des travaux non énergétiques, dans un environnement incitant à la prudence. » Des mises en chantier en fort recul Les mauvaises nouvelles viennent du logement neuf. « Le recul des permis de construire se transformerait en effondrement de 21,3 % en 2023. De fait, alors que les ventes reculaient de plus de 30 % dans l’individuel et de près de 15 % dans le collectif en 2022, l’environnement retenu ne permet pas d’envisager une compensation en 2023 », reprend Olivier Salleron. Et de poursuivre : «  L’impact sur les logements mis en chantier s’observerait immédiatement, avec un repli global de 8,6 %, et même de 13,1 % dans l’individuel. Compte tenu des délais de production et du niveau actuel des carnets de commandes, soit un peu plus de 7 mois en moyenne, l’activité associée ne reculerait cependant “que” de 2,6 %. » Un appel à l’aide au gouvernement par la FFB Pas mieux pour le résidentiel neuf qui s’infléchirait à – 0,8 %. « Au global, malgré l’entrée dans la crise du logement neuf, la production bâtiment s’afficherait en petite hausse de 0,7 % en 2023. Ceci, hors effet prix, soit encore 0,8 % en deçà du niveau de 2019. Il faut aussi signaler que la crise du logement neuf pourrait s’installer dans le temps, suite à la chute des permis prévue pour l’année prochaine. » Lire aussi : La FFB revoit à la baisse ses prévisions pour 2023 Cette crise du logement neuf s’expliquerait par plusieurs effets structurels. Telle, la hausse des coûts de construction, avec pour source la crise des matériaux. Tels, l’inflation et le surcoût de la RE 2020. Tel, le difficile accès au crédit des primo-accédants, la FFB évoquant un taux de refus de crédit actuel établi à 60 %. C’est pourquoi la Fédération appeler au rétablissement du PTZ à 40 % dans le neuf pour les zones B2 et C. Tout comme la mise en place d’un crédit d’impôt absorbant le surcoût de la RE 2020. Ou encore, le maintien du dispositif Pinel et un assouplissement du Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !