Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

(8205 résultats)
Il y a 5 ans et 291 jours

Le CSTB soutient Cities to Be, 8e Congrès international du Bâtiment durable à Angers

Le CSTB est partenaire de Cities to Be, le 8ème Congrès international du Bâtiment durable. Organisé par l'Alliance HQE-GBC et Novabuild, cet événement se tiendra les 12 et 13 septembre à Angers. Il permettra de découvrir les retours de terrain en France et à l'international, de s'informer sur des projets innovants, de mutualiser les expériences, partager les bonnes pratiques et les solutions performantes, de mobiliser les dynamiques d'acteurs et de valoriser les savoir-faire français et européens. 1000 participants sont attendus pour ce congrès interprofessionnel, dont 300 internationaux, 300 nationaux et 400 régionaux. Tous les acteurs du bâtiment, de l'immobilier, de l'aménagement, des infrastructures et des collectivités – maîtres d'ouvrage, collectivités, architectes, exploitants, entreprises de construction, industriels et fournisseurs, fabricants, bureaux d'études, urbanistes, banques, investisseurs, immobilier, syndics et institutionnels (réseau FAIRE, ADEME, syndicats professionnels…) – pourront profiter d'une programmation riche et variée, autour des 12 thématiques suivantes : Performance environnementale et neutralité carbone, Économie circulaire, Rénovation et exploitation des bâtiments, Nouveaux modèles : valeur et finance verte, Santé et confort, Mobiliser les parties prenantes, Mobilité et infrastructure, Chantier, Résilience, Territoire positif et autonome, Prospectif à 2030-2050, Climat Chaud. Le CSTB à Cities to Be Stand valorisant l'expertise du CSTB en matière de stratégies urbaines, et ses solutions autour de sujets tels que l'atténuation des îlots de chaleur urbain, la mesure multi-facteurs du confort perçu, la prise en compte du changement climatique pour la gestion des eaux pluviales et du risque inondation, la réutilisation et le traitement des eaux grises Animation d'ateliers sur les thèmes de l'analyse du cycle de vie et de l'économie circulaire Prises de paroles d'experts sur les thématiques de la construction durable (retours d'expérience de coopérations franco-chinoises), de la prospective (Habiter à 20 ans à l'international), de l'agriculture urbaine En marge du congrès, le CSTB de Nantes accueillera, le 11 septembre, une délégation composée de 48 personnes originaires du monde entier, pour un après-midi sur le thème du climat chaud. Au programme : retours d'expérience sur nos activités en lien avec la ventilation naturelle dans les climats tropicaux, visite de la soufflerie Jules Verne. En savoir plus : Le site de « Cities to Be » Pour s'inscrire à l'événement: www.citiestobe.eu
Il y a 5 ans et 292 jours

Journées européennes du Patrimoine les 21-22 septembre 2019

Les 21 et 22 septembre, se tiendra, à l’initiative du ministère de la Culture, la 36e édition des Journées européennes du patrimoine.  L’occasion pour le public de découvrir, partout en France, plus de 17 000 lieux patrimoniaux. Vous pourrez également participer sur le territoire métropolitain et ultra-marin à près de 26 000 animations ayant pour but de vous faire découvrir le patrimoine sous tous ses angles.  Chaque année, c’est plus de 12 millions de visiteurs sur le sol français qui profitent de cet évènement. Cette édition 2019 marquée sous le thème « Arts et divertissements » mettra en valeur le patrimoine des spectacles (salles de théâtre, d’opéra, de concert ou encore de cinéma), des sports (piscines, stades, vélodromes, hippodromes…), des jeux et des jouets mais aussi le patrimoine culturel dit « immatériel ». Pour la première fois, le ministère de la Culture et le ministère de l’Éducation nationale s’associent pour proposer, le vendredi 20 septembre, l’opération nationale « Levez les yeux ! » qui permettra, pendant le temps scolaire, aux élèves de découvrir leur patrimoine local. Une exposition exceptionnelle « Revoir Notre-Dame » permettra au public de (re)découvrir des éléments originaux provenant de la flèche et du toit de la cathédrale Notre-Dame de Paris comme le coq rescapé de l’incendie survenu le 15 avril 2019. Cette exposition se déroulera dans les grands Salons du Palais-Royal. Pour en savoir plus sur les Journées européennes du Patrimoine, visitez le site de l’évènement. Découvrez le programme >     
Il y a 5 ans et 296 jours

Le Cerib en première ligne pour développer un béton plus vert

Pour la 5e édition de la Journée Expertise & Construction, le Cerib a démontré son savoir-faire au travers d'un programme dédié à la transition environnementale et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Il y a 5 ans et 297 jours

Exercices et évacuation incendie : et si votre smartphone facilitait la gestion de vos évacuations ?

Découvrez comment optimiser la gestion de vos évacuations incendie avec Kelio Accès, système logiciel de contrôle d’accès développé par Bodet Software, spécialiste de la sécurisation des bâtiments depuis plus de 30 ans.
Il y a 5 ans et 299 jours

Impulse aide à prioriser les plans de rénovation des bâtiments publics

Lauréats en 2015 d’un appel à projets européen sur l’efficacité énergétique des bâtiments publics, six partenaires européens viennent de finaliser Impulse. L’outil informatique d’aide à la décision, librement consultable en ligne, s’adresse aux communes de plus de 10 000 habitants.
Il y a 5 ans et 311 jours

Logiciel de topographie TcpMDT par APLITOP

Aplitop TcpMDT Pro est idéal pour les projets routiers, d’aménagements urbains, carrières, etc. De la modélisation de terrain, à l’outil pour le dessin en passant par des rapports de surfaces et volumes, ce logiciel vous offre un large choix d’actions selon les besoins de votre entreprise.
Il y a 5 ans et 316 jours

Quel est le rôle du bureau d’études techniques

Les bureaux d’études techniques interviennent dans la conception et l’analyse structurelle des différents projets du bâtiment et du génie civil. Les ingénieurs en structure peuvent faire preuve de créativité pour concevoir une structure attrayante sur le plan visuel. Ils doivent également veiller à ce que la structure soit sûre et stable pour l’usage auquel elle est destinée. Découvrez le rôle du bureau d’études techniques. Qu’est-ce qu’un bureau d’études techniques ? Le bureau d’études techniques agit sur la conception d’une structure. Son rôle est de déterminer les spécifications adaptées, pour garantir qu’une structure sera suffisamment solide pour supporter la charge prévue. Grâce à leurs études, les ingénieurs en structure conçoivent des structure avec les matériaux appropriés. Le bureau d’études techniques travaille en étroite collaboration avec les architectes. Ces derniers sont généralement chargés de concevoir les caractéristiques visuelles d’un projet. Les ingénieurs en structure se concentrent sur la résistance, la durabilité et la sécurité de la conception. Le rôle du bureau d’études techniques Les ingénieurs du bureau d’études techniques conçoivent des structures solides grâce à leurs compétences en physique et en science des matériaux. Associées aux principes fondamentaux de la conception structurelles, ces connaissances permettent de garantir la sécurité et la résistance des structures. Les ingénieurs en structures résolvent plusieurs problèmes. Leurs décisions affectent le projet entier : coût, durée, sécurité et viabilité de la structure. Le bureau d’études techniques conçoit des structures viables et sécurisées en prenant en compte plusieurs facteurs. L’analyse structurelle du bureau d’études techniques Les ingénieurs en structure sont principalement concernés par la sécurité et la stabilité des structures qu’ils conçoivent. L’analyse structurelle est le principal outil utilisé par le bureau d’études techniques, pour s’assurer qu’une structure puisse résister aux divers types de forces auxquelles elle sera confrontée. Le bureau d’études techniques doit par exemple s’assurer que la charpente et la toiture d’un bâtiment ne s’effondre pas, notamment lors d’intempéries. Une fois que le bâtiment est construit, les ingénieurs vérifient la qualité de la structure et peut, dans certains cas, préconiser des travaux de réhabilitation. Lors d’une analyse structurelle, le bureau d’études techniques étudie tous les éléments de structure du bâtiment : matériau et matériel, charges et surcharges d’exploitation, superficie, … Les éléments d’une structure doivent rester immobiles pour assurer leur stabilité. La première étape consiste à s’assurer, grâce à l’ingénierie géotechnique, que le sol sous le bâtiment constitue une base solide pour la construction. Cela permet de garantir que la structure elle-même est inamovible et qu’elle va résister aux forces extérieures. Les ingénieurs du bureau d’études font en sorte qu’un bâtiment reste stable et immobile en prenant en compte plusieurs types d’éléments : intempéries, charge du mobilier installé à l’intérieur et occupants. Ils interviennent dans toutes les phases du projet, de la conception à l’exécution. Les ingénieurs se rendent régulièrement sur le chantier. En phase de conception, les ingénieurs en structure se déplacent sur le site pour analyser la qualité du sol.  Sur la base des charges calculées par le concepteur, il faut vérifier si le sol est capable de supporter les charges calculées. L’état du sol déterminera les systèmes de fondation à utiliser pour la structure. L’analyse de la structure est réalisée par des logiciels. Au fil des années, de nouveaux logiciels sont développés pour l’analyse de structures soumises à différentes conditions de charges telles que le vent, les tremblements de terre, etc. La plupart des ingénieurs en structure doivent étudier et utiliser ces logiciels en connaissant à la fois les détails techniques et les détails de la programmation. L’ingénieur en structure doit avoir la capacité de comprendre et d’interpréter les résultats du logiciel pour connaître la validité des valeurs fournies en sortie. Les matériaux choisis par le bureau d’études techniques Le choix des matériaux de construction appropriés est l’une des principales responsabilités du bureau d’études techniques. La stabilité du bâtiment dépend des matériaux de construction. Les ingénieurs en structure choisissent des matériaux en fonction des applications souhaitées. Lorsqu’il choisit le matériau approprié, le bureau d’études techniques doit penser à plusieurs détails. La connaissance des matériaux (facteur économique, propriétés chimiques, capacité de résistance et durabilité) est donc indispensable pour un ingénieur en structure. En fonction du type de bâtiment, le matériau utilisé ne sera pas le même. Le bureau d’études techniques analyse la qualité des différents matériaux de construction afin de déterminer leur pertinence pour la conception des poutres, des poteaux ou des fondations. Le pilotage de projets par le bureau d’études techniques Le bureau d’études techniques transmet ses idées de conceptions aux différentes équipes de construction du bâtiment. L’ingénieur en structures doit donc coordonner et consulter d’autres membres, tels que les géotechniciens, les architectes, les charpentiers, les couvreurs, les paysagistes etc. Le rôle du bureau d’études techniques est donc de diffuser des informations de manière claire, afin d’éviter les confusions et les erreurs. L’ingénieur en structure effectue des contrôles fréquents des travaux et des activités sur le chantier.   La conception structurelle joue un rôle important dans les projets de construction et le bureau d’études techniques détient donc un rôle clé. Contactez les ingénieurs en structure de SG Structural Modeling !  
Il y a 5 ans et 323 jours

Consultation pour 176 logements sociaux en 2 lots à Gif-sur-Yvette

L’Établissement public d’aménagement Paris-Saclay lance une consultation de maîtrise d’œuvre architecturale sur les lots NE3 – parcelle 1 et 2 – et NF2a pour la construction d’un programme de 176 logements sociaux à Gif-sur-Yvette. Jusqu’au 12 octobre 2019. A la […] L’article Consultation pour 176 logements sociaux en 2 lots à Gif-sur-Yvette est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 324 jours

Pilotage énergétique des établissements publics

Les collectivités ont un devoir d’exemplarité en ce qui concerne la transition énergétique. C’est pourquoi, le management de l’énergie des bâtiments appartenant aux collectivités, devient un enjeu majeur. Avec quels moyens est-il possible de faire du monitoring multisite sur des établissements aux consommations si différentes ? Green Systèmes propose la Green Solution, logiciel de pilotage énergétique. Quels enjeux énergétiques pour les collectivités ? La collecte des données énergétiques. Les collectivités sont en charge de nombreux établissements : piscines, gymnases, écoles, crèches, salles communes… Tous ces bâtiments ne consomment pas de la même façon et surtout n’ont pas les mêmes besoins en matière de pilotage énergétique. En effet, une mairie aura simplement besoin de mesurer le taux de CO2, la température et contrôler l’éclairage tandis que les crèches par exemple, sont soumises à des obligations réglementaires. La surveillance de la qualité de l’air pour les occupants, l’hygrométrie, le taux de CO2 et température. De plus, ces établissements ne font pas forcément appel aux mêmes fournisseurs d’énergie ce qui rend la collecte de données énergétiques complexe pour les collectivités. Il en devient donc difficile de déceler les différents gisements d’économie énergétique et financier sans l’aide d’un outil dédié. Répondre au plan climat-énergie territorial Le plan climat-énergie territorial (PCET) correspond à une démarche de développement durable, obligatoire, axée sur la qualité de l’air, de l’énergie et du climat. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte a donc renforcé le rôle des collectivités territoriales dans la lutte contre le changement climatique. Cependant, impossible de mettre en place un plan climat-énergie efficace sans réellement connaître la consommation énergétique des différents bâtiments. Quelle solution de collecte énergétique pour les collectivités ? Green Systèmes propose une solution qui répond aux différents enjeux des collectivités, la Green Solution. Logiciel de management énergétique, il restitue les données multi-fluides de plusieurs bâtiments en temps réel et à distance. La Green Solution propose un tableau de bord personnalisable et évolutif selon les établissements qui permet de piloter la consommation d’énergie, d’être alerté en cas de fuite ou de dysfonctionnement et surtout de réaliser des économies énergétiques et financières. Pour plus d’informations sur la Green Solution, contactez-nous.
Il y a 5 ans et 325 jours

Pour la Fondation ARALIS et Lyon Métropole Habitat, OGGA invente le « smartbuilding social »

Au cœur du 8e arrondissement de Lyon, la Résidence sociale Monplaisir, un bâtiment connecté géré par la Fondation ARALIS, va accueillir début 2020 des résidents aux profils variés : personnes isolées, en difficulté d’accès au logement ou en mobilité dans la région. Les fonctionnalités sur-mesure développées par OGGA des 182 logements vont les guider au quotidien vers l’insertion sociale et permettre un pilotage très précis au gestionnaire. « Cette résidence a été pensée pour être notre nouveau référentiel technique en matière de bâtiment connecté. » Ces mots sont ceux de Yannick Laurier, manager sobriété énergétique et prévention contre la précarité énergétique au sein d’ARALIS, et ils reflètent bien l’enjeu de ce bâtiment pour la Fondation d’utilité publique. Elle va occuper le principal immeuble de 7 étages de ce programme porté par Lyon Métropole Habitat et couvrant sur 3 bâtiments une surface de 4 000 m² entre l’avenue Général Frère et la rue Paul Santy à Lyon. « Le connecté pour nous, encore plus pertinent que pour les promoteurs et les bailleurs » Les 182 logements vont permettre à ARALIS de poursuivre sa mission mêlant logement et lien social. Depuis 1951, la fondation développe ainsi le logement accompagné. A mi-chemin entre l’hébergement d’urgence et le bailleur social, elle propose une solution temporaire à un public fragilisé (personnes ou ménages isolés, en difficulté d’accès au logement ou en mobilité dans la région) devant faire face à des situations ou des parcours de vie difficiles. Par l’habitat, elle permet à ces résidents de reprendre confiance et d’entamer ou poursuivre leur réinsertion. Pour cela, durant leur passage, elle les guide dans la gestion de leurs consommations du quotidien afin qu’ils adoptent les bonnes habitudes à avoir dans un logement de droit commun où ils seront responsables de leurs factures et de leurs charges. « Pour répondre à cet enjeu très fort chez nous, mais aussi pour maîtriser nos consommations énergétiques au global, nous sommes très sensibles aux évolutions technologiques. Certainement plus encore que pour les promoteurs ou les bailleurs sociaux, le logement connecté est une vraie solution pour nous, d’autant que c’est ARALIS qui paye directement les factures énergétiques de ses résidences et pas ses occupants », explique Yannick Laurier. Co-développement au service de la sensibilisation des résidents Ainsi, c’est la Fondation ARALIS qui a spécifié directement à Lyon Métropole Habitat qu’elle souhaitait équiper ses logements des solutions OGGA après l’avoir déjà fait sur deux projets récents : les résidences lyonnaises Eugène Pons (24 logements) et Saint Simon (32 logements). « Pour la Résidence sociale Monplaisir, OGGA nous a proposé de mener un minutieux travail de co-développement pour que les différentes fonctionnalités répondent parfaitement à nos besoins. » Chaque appartement, connecté par Eco-Touch, possède un système centralisé de gestion des consommations de chauffage, d’électricité et d’eau. Lorsque le résident quitte le logement, les prises électriques, les plaques de cuisson, l’éclairage et les arrivées d’eau se coupent, et le chauffage bascule en mode absence, afin de systématiser les économies d’énergie. Le gestionnaire bénéficie de la solution Eco-Pilot. Cette interface OGGA permet en temps réel ou par périodicité d’avoir une maîtrise de chaque logement. Le responsable définit des objectifs et des seuils maximums de consommation et peut avoir une action à distance sur les plaques de cuisson, les prises d’électricité, les périodes de chauffe ou les quantités d’eau utilisées : un véritable outil de suivi et de pilotage. ARALIS et OGGA ont également conjointement développé des outils pédagogiques en direction des résidents : – une fiche individuelle de consommation mensuelle simple et intelligible pour chaque logement basée sur la remontée de données, – une vidéo de présentation pour comprendre la solution diffusée dans le hall. Le nouveau modèle des résidences connectées ARALIS « Le système OGGA nous a permis de faire du sur-mesure, et sur ce programme nous avons passé un cap en déployant à grande échelle ce que nous pensons de notre modèle de résidence connectée. Tout en sachant que si on veut apporter des améliorations futures, cela reste un système souple et agile qui peut évoluer… », conclut Yannick Laurier. La livraison de ce « smartbuilding social » est prévue pour fin 2019. D’ici là, OGGA présentera à l’ensemble des acteurs du logement accompagné ce cas d’école et ses solutions lors des 19e Rencontres nationales de l’Unafo qui se dérouleront à Rennes les 3 et 4 décembre.
Il y a 5 ans et 326 jours

Liaison d'ArchiTECH.PC ou KutchCAD avec EBP Open Line

Liaison et synchronisation entre ArchiTECH.PC (ou KutchCAD) avec le logiciel EBP Open Line à travers un exemple de DPGF généré à partir d'une maquette numérique 3D.
Il y a 5 ans et 327 jours

Le premier Forum Diapason, ERP spécialisé Menuiserie, a réuni 40 utilisateurs

Le tout premier Forum Diapason a eu lieu à la Rosière d’Artois de Nantes le 2 juillet 2019. Une première pour le Groupe ELCIA qui a rassemblé 40 utilisateurs Diapason, soit plus de 15 industriels différents. Au programme : témoignages utilisateurs, présentation des nouveautés Diapason, échanges et bonne humeur.
Il y a 5 ans et 330 jours

Et si vos radiateurs connectés vous permettaient de réaliser plus d’économies d’énergie ?

Grâce aux radiateurs connectés Thermor et à leurs fonctions intelligentes, il est possible de réaliser jusqu’à 20% d’économies sur sa facture d’électricité (1). 1 français sur 2 ne programme pas radiateurs et 60% chauffent toute la journée leur logement, en cas d’absence prolongée durant un week-end(2).  A quoi bon, tout cela gaspille de l’énergie et alourdir inutilement la facture d’électricité. Avec les radiateurs Thermor, les particuliers peuvent programmer la mise en route du chauffage, peu avant leur retour, grâce à la programmation intégrée ; et ne chauffer une pièce que si elle est occupée (détection d’occupation avec capteurs intégrés). Les radiateurs Thermor peuvent aussi couper automatiquement le chauffage dès qu’une fenêtre ouverte est repérée. Enfin, avec l’application Thermor Cozytouch, il est possible de piloter ses équipements, quel que soit l’endroit où l’on se trouve, régler la température du chauffage pièce par pièce au demi degré près et visualiser en temps réel sa consommation d’énergie sur son smartphone ou sa tablette.   Pour aller encore plus loin et proposer encore plus d’économies, Thermor s’allie avec la start-up Wivaldy, spécialiste de l’analyse de la consommation d’énergie. 2 foyers sur 3 ont des options tarifaires non rentables : 58% ont surévalué la puissance électrique de leur installation et donc de leur abonnement et 41% ont une tarification Heures Creuses / Heures Pleines non justifiée au regard de l’utilisation de leurs appareils électriques(4). C’est ce constat qui a amené Wivaldy à proposer, aux 16 millions de particuliers équipés de compteurs communicants Linky, d’évaluer leur consommation énergétique afin qu’ils puissent comprendre comment ils peuvent réduire leurs dépenses. En associant les radiateurs connectés Thermor et l’appli Cozytouch à l’expertise Wivaldy, c’est le bénéfice d’un bilan de consommation électrique offert et de conseils hebdomadaires personnalisés pour réduire la facture d’énergie. Un rapport, envoyé par email chaque semaine, permet de vérifier que les options tarifaires sont bien adaptées aux logements et aux habitudes des occupants, d’identifier les sur-consommations et de définir avec précision quels sont les équipements de la maison qui requièrent une amélioration en termes d’usage. Sur la base de ces éléments, les particuliers reçoivent également de la part de Wivaldy des recommandations tangibles afin d’abaisser leur facture d’énergie et optimiser leur abonnement électrique. En effet, avoir les bonnes informations sous les yeux, c’est avoir la possibilité de prendre les bonnes décisions. A l’exemple de celles qu’offre la visualisation Wivaldy de la consommation générale de son logement, et du chauffage pièce par pièce grâce à la richesse des fonctionnalités des radiateurs connectés Thermor. En cette période de prise de conscience énergétique, Thermor et Wivaldy affichent une même volonté qui consiste à influer de manière concrète sur la consommation électrique de leurs clients, en leur permettant de réaliser des économies financières non négligeables. (1) Par rapport à un convecteur « grille-pain ». Exemple : pour un ménage qui dépense en moyenne 1500€ par an en facture d’électricité (source ADEME), il peut réaliser grâce à ce système de chauffage jusqu’à 300€ d’économies (soit 20%), sans procéder à des travaux d’isolation. (2) Source : Etude Groupe Atlantic (3) Source Ademe (4) Source Wivaldy  
Il y a 5 ans et 330 jours

Événement : Les Rencontres de la photographie d’Arles

A l'occasion du cinquantenaire des Rencontres de la photographie d'Arles (13), les fondateurs de la manifestation, Lucien Clergue, Michel Tournier et Jean-Maurice Rouquette, sont mis à l'honneur. L'édition 2019 revient sur ce qui a fait le succès du festival et exploite également de grandes thématiques universelles, dont l'architecture. Aperçu d'un programme alléchant. Imaginée comme une déambulation dans la petite ville camarguaise, la 50ème édition du festival photographique aborde la mémoire des cinq dernières décennies dans des séquences thématiques signifiantes : « Mon corps est une arme », « À la lisière », « Habiter » et « Construire l'image ». Une année spéciale qui a pour ambition de raconter l'Histoire pour mieux regarder vers l'avenir et envisager le futur de notre société. À cet égard, la section « Habiter » du programme dresse un état des lieux des espaces domestiques au travers d'expositions engagées. La première exposition, intitulée « Bâtir à hauteur d'hommes, Fernand Pouillon et l'Algérie », est le fruit de la rencontre entre la cinéaste américaine Daphné Bengoa et le photographe italo-suisse Leo Fabrizio. À l'abbaye de Montmajour, ils exposent un projet d'ampleur conçu main dans la main. Leur œuvre commune porte sur l'architecte et urbaniste français Fernand Pouillon, connu pour avoir contribué à l'amélioration de la qualité de vie des citadins. Les clichés réalisés en Algérie présentent la relation entre les notions de construction et d'habitation si chère à Pouillon. L'accrochage invite ainsi les spectateurs à questionner l'architecture d'hier et de demain. Dans la partie suivante, « Humanité végétale, le jardin déployé », Mario del Curto explore les rapports de l'homme à son environnement en racontant ses pérégrinations autour du monde. Le photographe suisse pense l'évolution d'une « humanité hors sol » à travers des images fortes qui célèbrent le jardin sous toutes ses formes. Véritable récit de l'histoire de la photographie britannique, « Home sweet home » est caractérisée par un accrochage qui rend hommage à trente artistes qui ayant capturé les réalités quotidiennes de la Grande-Bretagne des années 1970 à aujourd'hui. C'est à travers la relation des Anglais à leur sweet home que les photographes exposés posent un regard sur leur identité et leur pays. Enfin, l'exhibition « La zone, aux portes de Paris » interroge sur une réalité urbaine et sociale encore taboue : la Zone, terme désignant un ensemble de terrains vagues en bordure de Paris habité par une population des moins aisées à partir de 1844. Les clichés documentaires présentés réhabilitent l'histoire et le quotidien de ses habitants et réintègre une partie du paysage urbain souvent oubliée au patrimoine architectural français. Envisagé ici pour ses dimensions historiques, culturelles, politiques et sociales, passées et actuelles, l'aménagement de l'espace s'impose comme un enjeu d'envergure. Dans l'objectif des photographes, il devient aussi un objet esthétique. Une aventure à tenter cet été ! Photographies : Mario del Curto, Daphné Bengoa et Leo Fabrizio Pour en savoir plus, visitez le site des Rencontres de la photographie d'Arles
Il y a 5 ans et 332 jours

A Toulouse, le permis de construire de la tour Occitanie est délivré

Après l’avis favorable de la commission d’enquête publique, en fin de semaine dernière, la mairie de Toulouse a signé le permis de construire de la tour Occitanie, premier programme immobilier du projet Toulouse EuroSudOuest (TESO) le 23 juillet.
Il y a 5 ans et 332 jours

Plus de 40 participants présents au premier événement utilisateurs Diapason, ERP spécialisé Menuiserie

Le tout premier Forum Diapason a eu lieu à la Rosière d’Artois de Nantes le 2 juillet 2019. Une première pour le Groupe ELCIA qui a rassemblé 40 utilisateurs Diapason, soit plus de 15 industriels différents. Au programme : témoignages utilisateurs, présentation des nouveautés Diapason, échanges et bonne humeur. La Rosière d’Artois, 2 juillet 2019 « Diapason a été labellisé ScoreFact Certified en 2018. L’audit mené dans le cadre de cette labellisation nous a permis de récolter les retours des utilisateurs Diapason et ainsi définir des axes d’amélioration. Parmi eux : l’organisation d’un événement afin que chacun puisse échanger et partager des bonnes pratiques sur l’utilisation de Diapason. Ce Forum Diapason était une grande première, et devant les retours positifs des participants, il se pourrait bien qu’il devienne un événement annuel » Laurent Haristoy, Directeur des Opérations, ISIA Des retours d’expériences et témoignages clients autour de l’utilisation de Diapason : Ce sont Stéphanie PEYROT, Product Owner Diapason et Benjamin TARRIER, Directeur produit et développement Groupe qui ont pris la parole pour introduire cet après-midi en présentant l’audit réalisé avec une dizaine d’utilisateurs Diapason sur le premier semestre 2019. Un audit qui a permis de retranscrire, comprendre et recueillir les besoins autour de l’expérience de l’ERP et configurateur technique spécialisé Menuiserie. À la suite de cet audit, le Groupe ELCIA a établi trois axes stratégiques : l’amélioration de l’expérience utilisateur, le configurateur commercial et technique 3D, ainsi que la prise en compte des usages autour du web et de la mobilité. 4 témoignages d’utilisateurs Diapason : Benjamin BENABES, Responsable du Pôle ERP chez ATLANTEM, intervient premièrement autour du thème de la Gestion Multisite et le schéma logistique. ATLANTEM fait face à une réelle complexité logistique due aux multiples usines de fabrication. Diapason répond à cette complexité multisite en synchronisant l’ensemble des flux. Ainsi le client reçoit de façon complète l’ensemble de ses commandes de Menuiseries, au bon moment. Cette synchronisation permet une meilleure gestion des charges usines, des flux de sous-traitance interne ou encore de la traçabilité logistique. Marc CAREY, DSI de la société EURADIF prenait la parole autour de 0 papier dans l’atelier. L’objectif était de supprimer les ordres de fabrication papiers et de mettre à disposition des écrans tactiles à chaque étape de fabrication dans l’atelier, ce qui permet une déclaration d’étape rapide et fluide. Ce fonctionnement permet également de travailler par ordre de priorité. Le résultat s’est avéré très positif pour la société EURADIF, au bout de 10 jours d’utilisation, les résultats d’ordonnancement s’étaient grandement améliorés. Maxime LUCIANI, Responsable Informatique et Réseaux chez SIMIRE, intervenait autour des portails Diapason. SIMIRE rencontrait une difficulté quant au rassemblement et à l’exploitation de l’ensemble de leurs données (plusieurs documents différents, fastidieux à suivre et à mettre à jour, ce qui rendait complexe le suivi des performances). SIMIRE a choisi de démarrer avec quatre portails Diapason témoins, la facilité de mise en place et l’efficacité de ceux-ci les a menés par la suite à utiliser 15 portails différents. Les portails Diapason permettent un pilotage de la performance efficace, des informations adaptées à tout type de population dans l’entreprise, accessibles en temps réel, et une simplification du flux d’informations. David REVERSEAU, Responsable Systèmes d’Informations, et Christophe AUGEREAU, Responsable ERP chez CAIB, prenaient eux aussi la parole autour du thème du 0 papier dans l’atelier et à l’ADV. L’objectif pour CAIB était d’avoir un flux de production sans aucun support papier. La digitalisation de ces documents permet de fournir les informations appropriées à chaque poste de montage, de développer un système de « file d’attente », de diminuer les coûts d’impression et surtout de garantir la traçabilité de chaque ordre de fabrication. L’idée d’adopter le 0 papier également à l’ADV a permis de réduire le temps d’archivage des documents, de faciliter les analyses après-vente, et de fluidifier les process au travers de workflow documentaire. Benjamin BENABES,Responsable du Pôle ERP chez ATLANTEM Maxime LUCIANI,Responsable Informatique et Réseaux chez SIMIRE Une nouvelle interface et une nouvelle ergonomie pour Diapason Roland PEYRAN, Directeur Commercial d’ISIA a ensuite évoqué les nouveautés Diapason et présenté en avant-première la nouvelle interface du logiciel, et sa nouvelle ergonomie. Les nouveautés Diapason : #1 Le Configurateur ELCIA directement lancé depuis Diapason, pour permettre entre autres aux équipes internes de pouvoir chiffrer plus facilement directement depuis leur ERP. #2 Le configurateur 3D RAMASOFT interfacé avec le logiciel Diapason. L’interface entre ces deux solutions offre un paramétrage plus simple et plus rapide. Comme le dit Laurent Haristoy, Directeur des opérations ISIA : « Le langage universel qu’est la 3D simplifie et rend plus intuitives les opérations, notamment sur des opérations complexes, pour contrôler des usinages spécifiques ». A terme, l’objectif est d’intégrer complètement le configurateur 3D Ramasoft dans Diapason. #3 Le nouveau module GANTT : un nouvel outil dédié à la gestion des plannings (planification des séries, ordonnancement dans l’atelier, gestion de chantier…). Ce module paramétrable est aussi souple qu’un tableur dynamique avec des liaisons et mises à jour possibles avec toutes les entités de Diapason. Les personnes présentes à cette occasion ont pu assister en avant-première à la présentation de la nouvelle interface de Diapason. En harmonie graphique avec les autres solutions du Groupe ELCIA, cette nouvelle interface offre une meilleure ergonomie à tous ses utilisateurs. Rendez-vous sur le salon Batimat pour des démonstrations en direct. Nouvelle interface Diapason, juillet 2019 Retour de Carol LAMBERT de la société BOULANGEOT, cliente utilisatrice Diapason : « Je suis ravie. Nous avons obtenu des informations techniques détaillées, des informations commerciales avec toutes les évolutions du moment, les témoignages clients étaient très qualitatifs, nous nous sommes très vite identifiés aux cas présentés. Cela nous permet de se projeter très facilement et cela m’a permis de découvrir de nouvelles fonctionnalités. De plus, le fait de rencontrer nos confrères et les équipes du Groupe ELCIA, c’était top ! Une journée d’échanges à refaire impérativement. »
Il y a 5 ans et 333 jours

GRAITEC devient partenaire exclusif de BIM&CO pour la commercialisation en Amérique du Nord de OnFly, la solution pour gérer et harmoniser ses objets et données BIM

Le BIM poursuit son fort développement au Canada et aux États-Unis dans le monde de l’AEC. Une des problématiques au cœur du BIM est l’optimisation des processus, notamment ceux liés aux objets et aux données BIM. GRAITEC, éditeur international de logiciels BIM pour la conception, la simulation, la fabrication et la gestion des données dans l’industrie de l’AEC, partenaire Gold aux Etats-Unis et au Canada, est ravi d’annoncer la signature d’un partenariat exclusif avec BIM&CO. Ce partenariat a pour vocation la commercialisation et l’implantation en Amérique du Nord de OnFly.   OnFly est la solution qui permet de gérer, centraliser et harmoniser les objets et données BIM, composants des projets BIM, pour accélérer la conception et faciliter la mise à jour des maquettes BIM. Destinée à tous les acteurs d’un projet de construction, depuis le donneur d’ordre jusqu’au facilities manager, en passant par les architectes, ingénieurs, entrepreneurs et fabricants de produits du bâtiment, la solution OnFly de BIM&CO s’inscrit parfaitement dans l’offre de services BIMup de GRAITEC. Hugo Michaud, directeur GRAITEC, déclare : « Ce partenariat avec OnFly ne pouvait arriver à un meilleur moment. Lorsque nous accompagnons les entreprises à implanter le BIM ou à optimiser leurs processus, nous avons besoin de solutions comme OnFly pour résoudre les problématiques liées à la gestion des familles, à la mise à jour des données des maquettes, aux exigences client… Il s’agit de faire gagner du temps à nos clients. Avec OnFly, nous facilitons la collaboration entre les équipes mais aussi entre partenaires et avec leurs fournisseurs.» S’appuyant sur sa technologie unique d’harmonisation des données, BIM&CO compte des clients internationaux et à la pointe du BIM comme ENGIE ou encore GA Smart Building. BIM&CO permet à ses clients de bénéficier pleinement de la valeur du BIM. Acteur global, BIM&CO est présent en propre à Paris, Bologne, Madrid, Singapour et Montréal et plus largement via ses distributeurs. « Nous sommes ravis de compter GRAITEC comme partenaire, cela nous permet de continuer à construire une communauté de spécialistes pour accompagner nos clients au plus près de leurs problématiques » affirme Philippe Joron, VP Sales de BIM&CO.
Il y a 5 ans et 333 jours

Toshiba Airconditioning annonce son retour sur le salon Interclima et lance une offensive d’envergure

Le salon Interclima ouvrira ses portes du 4 au 8 novembre prochain au Parc des Expositions de Villepinte. Pour ce grand rendez-vous, Toshiba mobilise ses équipes autour d’un stand de plus de 300 m2. Connectivité, services et innovations sont au cœur de l’ADN de Toshiba. Interclima va permettre de valoriser pleinement ces thèmes, mais aussi de présenter en avant-première les innovations produits avec une nouvelle offre chauffage au R32 et la future génération de DRV, qui intégrera d’importantes avancées technologiques.  « Cette année Interclima sera un lieu de communication et d’échanges important pour la profession autour de la RE 2020. Pour Toshiba ce sera l’occasion de se positionner et proposer les réponses et solutions apportées par rapport à cette nouvelle réglementation. Non seulement au niveau des clients mais aussi des pouvoirs publics qui pourront constater les investissements importants réalisés par les fabricants dans la transition vers les fluides à faible PRP. »   précise Jean-José Naudin, Directeur Général France Toshiba Airconditioning   Une actualité riche à l’occasion du salon Interclima Toshiba, spécialiste de solutions en chauffage et climatisation, est en pleine phase d’expansion. Pour répondre à cette croissance, l’entreprise prévoit un vaste développement de ses gammes produits. Sur un stand de plus de 300 m2, plusieurs espaces seront proposés avec 2 axes stratégiques pour Toshiba consacrés au chauffage et solutions DRV. Au programme de cette nouvelle édition, Toshiba propose de découvrir des innovations avec le lancement d’une nouvelle génération de PAC Air-Eau qui viendra compléter l’offre sur le chauffage thermodynamique. Sur le secteur tertiaire, Toshiba présentera en première mondiale un nouveau DRV commercialisé courant 2020 en France et qui intégrera d’importantes avancées technologiques. Autre innovation présentée à Interclima : le système de pilotage à distance Wifi désormais proposé sur l’ensemble des gammes Toshiba résidentielles et tertiaire avec l’utilisation de serveurs Toshiba. Ces serveurs pilotés 100 % Toshiba, permettent ainsi une très grande réactivité dans l’utilisation du produit et une pérennité des systèmes de pilotage. Un espace sera consacré à la formation mobile technique et qualifiante désormais disponible en région pour faire grandir les talents de la filière. Il s’agit d’un besoin grandissant et important, d’où la création de ce service de formation mobile à découvrir sur le stand Toshiba.   2019 : une vraie dynamique de développement Depuis le début de l’année 2019, sur le premier semestre, Toshiba affiche une progression des ventes à + 32 % par rapport à l’année dernière, avec un carnet de commandes supérieur de 43 % à celui de 2018. Ces chiffres témoignent d’un marché extrêmement porteur dont bénéficie Toshiba. Pour accompagner ce fort développement, Toshiba a misé sur les investissements avec un plan de recrutement et un changement de dimension logistique. Depuis plus d’un an, Toshiba a anticipé une partie de cette forte activité avec l’accroissement de ses effectifs, qui s’est concrétisé par une progression de 10 % des collaborateurs (6 commerciaux itinérants et 4 internes pour le service et la hotline). En parallèle, l’entreprise a changé de dimension logistique : l’investissement dans un nouveau site logistique de 8 000 m2 implanté à Meyzieu (69) permet d’avoir + 45 % de production et une capacité de stockage en progression de 25 %. Par ailleurs, Toshiba est de plus en plus fédérateur auprès de ses clients. Après l’organisation d’un road show R32 qui a permis de présenter la stratégie de transition fluide (fluide frigorigène de nouvelle génération retenu par Toshiba, sur le choix des gammes résidentielle, petit et moyen tertiaire), cette année le lancement de la gamme Seiya a permis de réunir 3 000 clients. «Cette démarche souligne l’excellent partenariat que nous pouvons avoir avec des distributeurs en France qui représentent une partie importante de notre CA.» précise Jean-José Naudin   Repères > + 32 % de progression des ventes. > un carnet de commandes supérieur de 43 % par rapport à l’an dernier. > 90 collaborateurs chez Toshiba Airconditioning en France (services externes et partagés inclus) avec une progression de l’effectif de 10 %.   Communiqué de presse et visuels téléchargeables en salle de presse www.lecrieurpublic.fr
Il y a 5 ans et 333 jours

Baies télécommandées

Somfy, leader mondial de l’automatisation des ouvertures et des fermetures et le Groupe Liébot, leader français de la fenêtre industrielle ont mobilisé leurs équipes pendant plus de 2 ans pour créer une baie coulissante automatisée et connectée. L’ouverture et la fermeture des baies se font sans effort et avec une fluidité de mouvement grâce à la motorisation Somfy qui permet un démarrage et un accostage en douceur. Le pilotage peut se faire à distance depuis un smartphone ou en local grâce au point de commande. Avec la fonction « My », l’utilisateur programme une position d’ouverture favorite pour maintenir une liberté de passage. La baie coulissante automatisée s’intègre parfaitement dans l’écosystème des équipements connectés de la maison comprenant : fenêtres et capteurs, volets roulants, chauffage, alarme… Les solutions K.LINE SMART HOME, CAIB CONNECT et MéO associées à la box domotique Tahoma de Somfy permettent de la manœuvrer à distance, de la programmer ou de l’intégrer à un scénario « départ » pour déclencher la fermeture automatique des baies, déclencher le système d’alarme et couper le chauffage. Disponible en avril 2020.   Photo : Somfy – Adrien Daste  
Il y a 5 ans et 334 jours

Repérage de l’amiante avant travaux

L’arrêté du 16 juillet 2019 « relatif au repérage de l’amiante avant certaines opérations réalisées dans les immeubles bâtis » vient de paraître. Attendu par les professionnels depuis plusieurs mois, il vient consolider le décret du 9 mai 2017 qui rendait effective l’obligation de Repérage Amiante avant Travaux (RAT). L’arrêté précise les modalités de réalisation du repérage, le contenu du rapport, les mesures à mettre en œuvre en cas d’impossibilité de réaliser le repérage, les compétences de l’opérateur de repérage, etc. Fini le perçage, le ponçage ou le remplacement d’une faïence sans connaître la nature des matériaux présents dans son habitation. Désormais lors de travaux à la maison, dans un immeuble d’habitation collective, dans un bâtiment tertiaire ou autre, le propriétaire, le maître d’ouvrage ou le donneur d’ordre devra faire réaliser un RAT portant sur le périmètre et le programme exact des travaux, et faire intervenir des entreprises qui respectent leurs obligations en matière de prévention du risque amiante (« Sous-section 4 » du Code du travail) et de protection de leurs collaborateurs. Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et du BIM accompagne les particuliers et les professionnels face à leurs nouvelles obligations. Texte de l’arrêté…    
Il y a 5 ans et 337 jours

Vinci Construction décroche un contrat de 970M€ en Nouvelle-Zélande

MARCHE. Vinci Construction Grands Projets et Soletanche Bachy International, filiales de Vinci Construction, ont remporté ce 19 juillet 2019 un programme de conception-construction d'une ligne ferroviaire à Auckland, en Nouvelle-Zélande. Montant : environ 970 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 339 jours

In'li signe le premier acte immobilier par la blockchain

CONTRATS. Le 15 juillet 2019, la filiale dédiée au logement intermédiaire du Groupe Action Logement a signé le premier acte immobilier via la technologie de la blockchain. Ce nouveau contrat lance un programme en Vente en l'état futur d'achèvement (VEFA) à Choisy-Le-Roi (Val-de-Marne).
Il y a 5 ans et 340 jours

Modernisation et extension d'un parking au-dessus d'un marché toulousain

RÉNOVATION. A Toulouse (Haute-Garonne), le parking Victor Hugo, proche de la Place du Capitole, a été remis à neuf. Sa particularité, il se situe au-dessus d'un marché. Au programme, une extension, la modification du sens de circulation et la modernisation du système de stationnement.
Il y a 5 ans et 340 jours

EuroRennes, le projet lauréat de Julien de Smedt (JDSA)

Julien de Smedt (JDSA), Stéphane Maupin (SMAC), Maurer et Gilbert architectes et Think Tank. Le 9 juillet 2019 a été dévoilé le projet architectural lauréat de la consultation pour la réalisation d’un programme immobilier de 32 000 m² (quatre bâtiments) […] L’article EuroRennes, le projet lauréat de Julien de Smedt (JDSA) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 340 jours

EuroRennes, les projets recalés du dernier tour

Pour chaque groupement ayant atteint les demi-finales, puis la finale, le 9 juillet 2019 fut un crève-cœur, sauf pour le groupement lauréat* de la consultation pour la réalisation d’un programme immobilier de 32 000 m² (quatre bâtiments) comprenant le futur […] L’article EuroRennes, les projets recalés du dernier tour est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 341 jours

Rénovation urbaine : 270 projets validés à fin juin 2019

URBANISME. Le Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) s'est doté fin juin 2019 de 17 nouveaux projets de rénovation urbaine, portant à 270 le total de quartiers bénéficiant du soutien de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) et des collectivités territoriales.
Il y a 5 ans et 341 jours

Parexlanko récompensé au 47e Congrès Untec : Trophée OR pour la réalisation de 6000 m2 de façades inédites en ITE

A l’occasion de la première édition des Trophées de l’UNTEC 2019, PAREXLANKO, marque leader de la façade en France, a reçu le Trophée Or dans la catégorie « Projets innovants constructions neuves », pour le projet NIWA. NIWA est un programme de cinq bâtiments d’habitations, à Vanves (92), créé par le cabinet d’architectes Kengo Kuma & Associates. Sur des parois en béton banché, le dessin de façade propose une transcription du jardin minéral japonais. Le nom du projet, NIWA, signifie « jardin » en japonais. Les architectes souhaitaient jouer sur le contraste des matériaux naturels, entre le bois des brise-soleil et des panneaux de façade, rappelant l’aspect de la roche reconstituée. Pour cette réalisation, Parexlanko a mis en œuvre une solution ITE sur-mesure pour les 6000 m2 de façades, avec trois aspects de finition différents délimités par un joint creux. Ce chantier posait un défi majeur dans la mesure où le dessin de la façade prévoyait un aspect très découpé, avec 3 finitions différentes (couleurs et texture) et des panneaux séparés par des joints creux profonds de 30 mm. Parmi les spécificités, le joint devait être exécuté non pas dans la finition mais dans le système ITE complet, pour répondre à l’esthétique et à l’enveloppe budgétaire souhaitées par l’architecte. Cette 47e édition du congrès de l’Untec, rendez-vous incontournable des économistes de la construction et de l’ensemble des acteurs du bâtiment, maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvres et industriels, s’est déroulé à Avignon en juin 2019. Les professionnels ont pu découvrir à cette occasion l’offre produits de Parexlanko qui couvre trois grands domaines d’application pour la construction : mortiers pour la protection et la décoration des façades en bâti neuf et ancien, et l’Isolation Thermique par l’Extérieur, mortiers pour la pose de carrelage et préparation des supports, mortiers spéciaux pour la protection, la réparation et l’entretien des ouvrages en béton.
Il y a 5 ans et 341 jours

A San Francisco, Autodesk et Citi investissent dans une start-up de construction modulaire

Factory_OS, une entreprise qui construit des maisons préfabriquées, a reçu des investissements stratégiques de Autodesk et Citi pour faire face à la crise du logement à San Francisco.
Il y a 5 ans et 341 jours

Eqiom adopte le gaz naturel pour véhicules

Eqiom adopte 4 véhicules plus “propres” qui fonctionnent au gaz naturel pour véhicules sur certains de ses trajets. [©Eqiom] Eqiom poursuit son engagement dans la transition énergétique, en particulier au niveau de ses transports. Le cimentier opte pour le gaz naturel pour véhicules (GNV) et le bioéthanol (bioGNV) pour 4 de ses camions. Adhérent au programme Fret 21, qui invite les entreprises volontaires à mieux intégrer l’impact des transports dans leur stratégie de développement durable, l’industriel compte bien diminuer de 6 % ses émissions de CO2 générées par ses transports, d’ici 2020. Composé de méthane (95 %) et d’hydrocarbure très légers, le GNV présente l’avantage d’être plus “propre”. Il permet de réduire l’empreinte écologique, puisqu’il émet 95 % en moins de particules fines et 50 % de NOx en moins par rapport aux seuils fixés par la norme Euro VI. Tandis que le bioGNV dispose d’un bilan carbone quasiment neutre, avec jusqu’à – 80 % de CO2 par rapport au diesel. « Aujourd’hui, les premiers résultats validés par l’agence de notation TKBlue sont là, déclare Yann Lafillé, responsable du pôle “route ciments et granulats” d’Eqiom. Les émissions de CO2 associées aux transports ont baissé de 4 % entre 2016 et 2017. En maintenant ce rythme, notre objectif à 2020 sera atteint. » Ainsi, 2 tracteurs gaz naturel liquéfié (GNL – une forme différente du GNV) de Transports Mauffret Littoral et Transports Hautier assurent la boucle entre le Nord et la région parisienne pour la branche ciment. Les livraisons entre la plate-forme logistique Eqiom Granulats de Vernou (77) et le Sud de l’Ile-de-France fonctionnent, entre autres, avec un tracteur (Transports Prejam) au gaz naturel comprimé (GNC – une forme différente du GNV). Enfin, un véhicule (Transports Kuchly) au bioéthanol circule entre l’Allemagne et la région Alsace-Lorraine pour les approvisionnements en matières premières de la cimenterie d’Héming (57). L’article Eqiom adopte le gaz naturel pour véhicules est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 341 jours

Appel à manifestation d'intérêt Programme CEE PROFEEL RénoStandard

Recherche de terrains d'expérimentations et modèles de maisons individuelles standardisées Le CSTB, en partenariat avec l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) et URBANIS, sont porteurs du projet RénoStandard, développé dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. PROFEEL est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé par le gouvernement. Le projet RénoStandard : Démultiplier les prises de décisions sur la typologie des maisons individuelles standardisées Le projet RénoStandard vise à développer, concevoir et engager le déploiement de solutions « types » de réhabilitation, optimisées pour quelques gammes de maisons standardisées, notamment au sein du parc résidentiel privé. Ces solutions seront adaptées aux spécificités des logements à rénover. Par l'adjectif “standardisé”, il s'agit de logements pour lesquels il existe une forme de réplicabilité de la construction, du potentiel de transformation et des solutions de réhabilitation. L'amélioration de la performance énergétique et environnementale est clairement ciblée. Ces composantes sont cependant et évidemment à intégrer dans le cadre d'une approche globale, transverse de la réhabilitation et possiblement du développement d'une forme de préfabrication, d'où l'intérêt aussi pour la réplicabilité. Les acteurs concernés RénoStandard s'adresse à l'ensemble des professionnels au contact des particuliers dans le cadre du marché de la rénovation énergétique : aux opérateurs qui portent des offres de rénovation ou d'accompagnement à la rénovation, aux collectivités et aux acteurs des services publics qui œuvrent pour la rénovation des maisons individuelles, mais aussi, aux prescripteurs, aux assistants à maitrise d'ouvrage et aux maitres d'œuvre. Les résultats attendus Concevoir et déployer – pour quelques gammes de maisons individuelles standardisées – des solutions types de réhabilitation optimisées, possiblement dans une perspective de préfabrication. Construire l'adaptation des solutions types aux enjeux spécifiques des logements à réhabiliter et des attentes des occupants et des projets portés par les particuliers : offrir une « certaine gamme de sur-mesure » à partir de solutions « prêt-à-porter », à l'aide d'un diagnostic transverse du logement et d'outils d'aide à la décision (notamment numériques) ; Développer une approche transversale/multicritère du diagnostic et de la définition de solutions de réhabilitation énergétique. Évaluer les performances effectives des ouvrages. Initier le déploiement territorial de cette offre de réhabilitation énergétique, à partir de solutions types optimisées, sur le résidentiel diffus. Les conditions de l'AMI Le projet s'appuie sur deux Appels à Manifestation d'Intérêts (AMI) successifs : Juillet 2019 / AMI n°1 : Identification de maisons individuelles “standardisées” Attentes Nous recherchons des terrains d'expérimentations, chacun proposant un modèle type de maisons individuelles standardisées. Ces maisons d'un même modèle peuvent être regroupées à l'échelle d'un même quartier ou distribuées à une plus grande échelle territoriale. Les résultats du présent AMI n°1 constitueront la base de l'AMI n°2 : pour chacun des modèles de maisons individuelles standardisées qui aura été sélectionné, au moins une solution globale de réhabilitation énergétique sera conçue par un groupement, possiblement dans une perspective d'industrialisation, de préfabrication. Septembre 2019 / AMI n°2 : Solutions de réhabilitation globale et perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Attentes Ce second AMI visera ainsi à identifier et accompagner plusieurs groupements, incluant potentiellement les types d'acteurs suivants : entreprises de pose, bureaux d'études, architectes, industriels, maîtrise d'œuvre, centres de R&D, conseiller territoriaux, entreprises de coordination d'acteurs, CMistes impliqués fortement dans la rénovation, etc. Ces groupements pourront bénéficier d'un accompagnement technique et financier de la part des équipes compétentes du CSTB et de ses partenaires. @CMIstes, industriels, architectes, bureaux d'études, entreprises spécialisées, conseillers territoriaux, cette démarche vous permet de proposer des maisons existantes « standardisées » pour lesquelles vous cherchez déjà à définir ou expérimenter des solutions de rénovation. Pour déposer votre candidature : Consulter le cadrage complet de l'AMI > Cadrage de l'AMI Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet avant le 31/08/2019 > à l'adresse suivante : renostandard_AMI1@cstb.fr Pour en savoir plus : Le projet RÉNOvation globale et amélioration énergétique de maisons individuelles STANDARDisées - Fiche Le programme Profeel – site Internet
Il y a 5 ans et 344 jours

Groupe Urmet France : FDI Matelec, Yokis et SCS Sentinel bientôt regroupées à Cholet

Un déménagement pour accompagner la croissance Le permis de construire vient d’être signé ! FDI Matelec, YOKIS et SCS Sentinel – entités du groupe Urmet France spécialisées dans les solutions de sécurité pour les bâtiments résidentiels ou tertiaires – vont s’installer dans la zone industrielle du Cormier à Cholet. Fin 2020, ce sont près de 140 personnes qui prendront possession des 7 400 m² de ce nouveau siège, sur un terrain de 3 hectares. Avec la présence de Castel à Saumur, le Groupe Urmet France comptera donc prochainement quatre de ses six sociétés en Maine-et-Loire. Si Yokis (systèmes domotiques) a déjà une antenne à Cholet depuis 2014, les sociétés FDI Matelec (solutions de contrôle d’accès) et SCS Sentinel (solutions de confort et de sécurité via les enseignes de distribution bricolage) sont historiquement implantées aux Landes-Génusson, en Vendée. Hébergées sur le même site, ces deux entreprises affichent une croissance soutenue et souhaitent s’implanter sur la région choletaise pour accompagner des objectifs de développement ambitieux. « L’objectif est d’offrir un espace de travail mieux adapté à l’activité croissante de ces trois sociétés du Groupe Urmet, de répondre au mieux aux besoins et attentes de nos clients, tout en offrant un environnement de qualité à nos collaborateurs et en attirant de nouveaux talents », explique Philippe Mallard, directeur général du Groupe Urmet France. Après avoir envisagé différentes hypothèses, le déménagement s’est avéré être la meilleure solution. « Nous restons très attachés à la région des Landes-Génusson. Installée depuis 1996, FDI Matelec y a grandi ! ». Une opportunité de croissance Dynamisme de son bassin d’emploi, main d’œuvre de qualité et fiable, choix d’infrastructures : Cholet s’est imposé par l’attractivité de son territoire et par la facilité d’accès du site sur la zone industrielle du Cormier. Autre atout : sa proximité avec le siège actuel des Landes-Génusson, à une vingtaine de kilomètres. Ce regroupement est l’opportunité de renforcer les activités de recherche et développement, notamment avec la création d’une cellule dédiée à l’innovation. Il facilitera également les synergies commerciales et optimisera les moyens de production en mutualisant certains services et outils. Pour accompagner les quelques 140 personnes, dont 70 ingénieurs, qui rejoindront le futur siège, le recrutement d’une vingtaine d’ingénieurs est d’ores et déjà programmé pour les prochains mois. « Notre implantation à Cholet constituera un atout supplémentaire pour séduire plus facilement les profils d’ingénieurs et de techniciens supérieurs », affirme Philippe Mallard. Un choix pour et avec les salariés Sur le futur site, 4 000 m² seront dédiés à la production et au stockage, tandis que les bureaux occuperont 2 800 m². Des espaces de coworking et de détente sont également prévus. Intégrés au projet dès ses débuts, les collaborateurs ont pu apporter leurs idées pour optimiser les espaces. Transport, accueil, télétravail… Des discussions ont également été engagées pour faciliter le transfert des postes de travail. Les travaux, qui vont démarrer en fin d’année, représentent un investissement de l’ordre de 7 M€. Livraison prévue fin 2020 ! Les entités administratives de Yokis, initialement situées à proximité de Toulon, avaient quant à elle déjà déménagé au siège social d’Urmet France à Roissy-en-France depuis mars dernier (www.urmet.fr). Contact presse : 02 53 00 62 24 | 06 15 10 53 06 m.droulin@agencebside.fr
Il y a 5 ans et 344 jours

Événement : Melting Botte – Festival Bellastock 2019

Depuis 14 ans déjà, le Festival Bellastock encourage la jeune création architecturale et le réemploi dans un cadre utopique où travail et festivité font définitivement la paire. Cette année, c'est à Evry-Courcouronnes (91) que les quelques 500 participants élaboreront leur ville éphémère, du 11 au 14 juillet, à partir d'un matériau imposé : la paille. Sorte de Burning man à la française, bienvenu à Melting Botte ! Créé en 2006 par des étudiants de l'école nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville, le festival d'architecture expérimentale Bellastock ne cesse de croître, devenant l'un des temps forts de la saison estivale. Comptant désormais près de 500 participants – élèves, jeunes diplômés ou même nouveaux fondateurs d'agences –, l'événement invite ces passionnés à concevoir une cité utopique en suivant une thématique imposée à chaque nouvelle édition. Ainsi, après avoir expérimenté la construction en terre crue en 2017 et imaginé des habitations suspendues à la cime des arbres en 2018, les adhérents s'attaquent maintenant à la fibre qu'ils disposent le long du Chemin de Halage d'Evry, grande bande de verdure longeant la Seine. Mais Bellastock, ce n'est pas qu'une mission architecturale, c'est aussi un art de vivre. Pour se nourrir, les chefs proposent des plats élaborés à partir des invendus de Rungis qu'ils disposent dans la seule éco-cup donnée aux participants. Et s'ils veulent se désaltérer ensuite ? Pas de problème : une grande baignoire sert d'évier et chacun lave sa vaisselle dans le respect et la bonne humeur. Pour le terrain, c'est pareil : « pas question d'ouvrir le bar tant qu'il reste un brin de paille par terre » nous confie malicieusement Antoine Aubinais, co-fondateur de l'événement. « On fait un discours à chaque début de festival afin d'expliquer rapidement les règles de vie du lieu, mais finalement, on pourrait s'en passer car naturellement, tous ceux qui participent à Bellastock sont en accord avec les valeurs du festival ». Une autogestion totale qui fait exister de façon unique cette bulle située hors du temps. L'une des valeurs les plus importantes de Bellastock, c'est sans doute le partage. De connaissances, de biens, d'expériences. C'est pour cette raison que les curieux, architectes ou non, sont invités à rejoindre toute la troupe le samedi pour une journée placée sous le signe de la culture, du réemploi et de la fête.A partir de 14h, la ville Melting Botte accueillera ses premiers touristes autour d'une table ronde animée par le Réseau Français de la Construction en Paille où il sera question de sensibiliser le public à cette filière d'avenir. Un tour du propriétaire sera également prévu, durant lequel le visiteur pourra découvrir ce microcosme bâti à partir de 5 000 bottes de pailles. Divers ateliers recevront également petits et grands pour aborder plusieurs thématiques : initiation à l'enduit terre sur botte de paille, discussions citoyennes sur le bateau Dans le Sens de Barge, apprentissage de la petite vannerie avec le collectif CAVAPU et même introduction au Parkour. Et pour se rafraîchir sous se soleil harassant, une station thermale – et musicale – imaginée par le génial collectif Superfluides sera mise à la disposition de tous les festivaliers. A partir de 20h00, ce petit coin de paradis s'animera sous la houlette des Hyropathes, collectif artistique et festif, qui propose pour l'occasion une programmation musicale éclectique agrémentée de projections ciné-psychées visibles jusqu'à 00h00 dans un espace du festival encore tenu secret. Plus d'hésitation permise sur le programme de ce weekend. Pour en savoir plus, visitez le site de Bellastock Photographies : Alexis Leclercq
Il y a 5 ans et 345 jours

Le Plan Solaire : EDF veut être un des leaders en 2035

Avec son Plan Solaire, un programme volontariste de développement du photovoltaïque en France, EDF s’engage pour le climat. Son ambition : faire d’EDF le leader du photovoltaïque en France avec 30% de parts de marché à l’horizon 2035 et l’un des leaders du solaire dans le monde.
Il y a 5 ans et 346 jours

TRACE SOFTWARE PARTICIPE AU SALON EXPOSOLAR EN COLOMBIE

Saint-Romain de Colbosc le 10 juillet 2019 – Exposolar Colombia, ouvrira ses portes aux professionnels du secteur des énergies renouvelables et du développement durable en Colombie du 11 au 13 juillet. Cet événement, véritable plateforme stratégique pour les entreprises et l’innovation, aura lieu au Centre International des Conférences et des Expositions de Medellín. Trace Software International, acteur majeur du marché des logiciels pour l’ingénierie électrique et photovoltaïque, confirme sa participation à Exposolar Colombia. La société présentera la solution logicielle archelios suite. Cet outil comprend les applications archelios Pro, archelios Calc et archelios O&M.  Cette  technologie PV unique permet d’obtenir la plus grande précision et les meilleures performances, tout au long des phases d’un projet photovoltaïque : étude de faisabilité et design, conception 3D, dimensionnement électrique et normes, exploitation et monitoring PV. Les solutions logicielles sont utilisées dans le développement de différents types de projets photovoltaïques, tels que les installations photovoltaïques sur les toits, les grandes centrales solaires, les installations photovoltaïques connectées au réseau ou les systèmes en autoconsommation. L’événement ne cible pas uniquement les entreprises, les investisseurs et les parties prenantes du gouvernement, il s’adresse aussi à l’éducation. En Colombie, un programme éducatif a été mis en place, afin de doter les prochaines générations de professionnel des compétences techniques requises pour le marché de l’énergie solaire. Exposolar est une excellente vitrine pour les étudiants qui souhaitent orienter leur avenir professionnel dans ce secteur. 15 000 visiteurs de 25 pays et 200 sociétés exposantes sont attendus sur cette édition Exposolar. Trace Software International vous attend stand 149 – Hall Green.
Il y a 5 ans et 346 jours

testo 191, la nouvelle gamme d’enregistreurs de données pour une validation efficace des process dans le secteur agro-alimentaire

Dans l’industrie agro-alimentaire soumis aux règles strictes de l’HACCP, la validation des processus de pasteurisation, de stérilisation et de lyophilisation est un élément essentiel prouvant la destruction des germes pathogènes et le haut niveau de sécurité des produits finis. Certifiée par l’HACCP International, la nouvelle gamme d’enregistreurs de données testo 191 est un système extrêmement précis de surveillance et de validation du process de pasteurisation, de stérilisation et de lyophilisation. Durables, intuitifs et fiables, ils contrôlent l’homogénéité de la température et la pression dans les liquides ou sur les surfaces, comme par exemple sur les plateaux des installations de lyophilisation, quelle que soient leurs tailles. testo 191, une conception unique pour une fiabilité et une durabilité à toute épreuve ! La nouvelle gamme testo 191 comprend : . quatre enregistreurs de température HACCP, . un enregistreur de pression HACCP extrêmement précis. Les composants techniques de mesure étant protégés dans un boîtier hermétique en acier inoxydable, ils convainquent par leur fiabilité et leur robustesse maximale. Grâce à une conception unique, la pile et les composants sont logés dans deux boîtiers séparés. La pile étant vissée sans outil sur l’enregistreur, ceci garantit un gain de temps lors du changement de piles et une parfaite étanchéité des enregistreurs. Le boîtier de la pile présente une enveloppe en PEEK résistant aux températures élevées. Avec des piles d’une durée d’utilisation de 2500 à 250 heures (à une cadence de mesure de 10 secondes à 121° C), aux dimensions compactes (2 tailles), les enregistreurs de données HACCP testo 191 s’adaptent à la tâche de mesure. Compatibles dans toutes les configurations, les sondes de mesure existent en différentes versions (longue sonde souple, courte sonde rigide, longue sonde rigide) pour réaliser des mesures dans des liquides, sur des surfaces, des boîtes de conserve, … Des mallettes connectées, multifonctions pour programmer, consulter et transporter les enregistreurs de données HACCP testo 191 La programmation et la consultation des enregistreurs de données s’effectuent à l’aide de deux mallettes multifonctions (disponibles dans deux tailles) extrêmement pratiques qui servent aussi au rangement de ceux-ci. Connectées à un ordinateur, elles sont prévues pour programmer et lire jusqu’à 8 enregistreurs de données testo 191 simultanément. Confortable, la grande mallette contient des supports pouvant accueillir jusqu’à 32 enregistreurs et 25 piles. Après le processus de consultation, les enregistreurs sont rangés et transportés de manière sûre aussi bien dans l’unité de consultation que dans les supports prévus à cet effet. A l’utilisation suivante, ils peuvent directement être reconfigurés, sans retrait préalable de l’unité de consultation et nouvelle mise en place. Cela permet de gagner du temps et d’optimiser le processus de validation. Logiciel Professionnal testo 191, un guidage intuitif tout au long du processus Le logiciel Professional testo 191 à commande intuitive permet de programmer l’enregistreur de données sur PC et de consulter et évaluer les données de mesure. La structure claire du logiciel guide pas à pas l’utilisateur, expert ou novice, tout au long du processus. Grâce aux avertissements, il assiste la saisie aux points critiques. Le logiciel testo 190 Professionnal bénéficie ainsi de nombreux avantages : . création de rapports d’un simple clic, . aperçu rapide et fiable des résultats de mesure, . aucune exportation nécessaire pour l’évaluation des données dans Excel, . lecture jusqu’à 254 enregistreurs dans un processus de validation. http://www.testo.com
Il y a 5 ans et 346 jours

TOSHIBA AIRCONDITIONING lance des formations mobiles techniques et qualifiantes pour faire grandir les talents de la filière.

Véritable partenaire des professionnels de la filière et à l’écoute des besoins de ses clients, Toshiba Airconditioning annonce la création d’un programme de formations mobiles à partir de Septembre 2019. Qualifiantes et techniques, les formations Toshiba jouent la carte de la convivialité et de la proximité pour répondre au mieux, aux attentes des participants. Dispensées par une équipe de professionnels Toshiba, les sessions sont proposées soit au centre de formation près de Paris*, soit pour plus de souplesse, en région, dans plus d’une dizaine de villes : Paris, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Montpellier, Salon de Provence, Nice… chez les distributeurs ou installateurs. Des formations techniques et qualifiantes disponibles en région ! Devenir un expert est désormais possible en suivant ces formations techniques et qualifiantes proposées par Toshiba et son partenaire CERER ! Des équipes dédiées se déplacent directement en région avec des plateformes équipées des solutions produits en fonctionnement. Lors de ces sessions, l’ensemble des outillages nécessaires seront mis à la disposition de chaque candidat pour s’entraîner dans des conditions optimales. Chaque formateur dispose d’une connaissance technique de l’ensemble des solutions Toshiba, et sait être à l’écoute des attentes de chaque participant pour une simple expérimentation des produits Toshiba en fonctionnement, pour actualiser ou approfondir leur niveau de connaissance sur les gammes détente directe résidentiel, petit tertiaire & DRV et PAC Air-Eau TOSHIBA. Les modules techniques proposés permettent d’apprendre les fondamentaux sur le dimensionnement et le fonctionnement d’une pompe à chaleur, de maîtriser les conditions d’installation et de maintenance des équipements Toshiba. Quant aux sessions qualifiantes**, elles permettent d’obtenir la/les qualifications nécessaire(s) à la mise en œuvre de systèmes de climatisation et à l’obtention d’aides financières pour le client final dans le cadre de la réalisation de travaux énergétiques. ** Suite à la formation QualiPAC du responsable technique, l’entreprise pourra prétendre également à cette qualification. « Il est essentiel pour nos clients d’avoir des qualifications et connaissances techniques nécessaires au bon dimensionnement, à la réalisation d’une installation dans les règles de l’art et à la bonne maintenance de nos solutions. Nous avons cette responsabilité en tant qu’industriel de veiller à apporter cette expertise pour répondre aux contraintes du marché », précise Jean-José Naudin, Directeur Général Toshiba Airconditioning France.   Les aides financières En tant que centre de formation agréé et référencé dans le Datadock, toutes formations ainsi dispensées peuvent faire l’objet d’un remboursement auprès des organismes payeurs. Les programmes détaillés, les tarifs et les conditions d’accès aux formations sont disponibles en libre accès sur le site internet :  www.toshibaclim.com/Services/Formations Les inscriptions se font via, le formulaire d’inscription à télécharger et à retourner par email. > Formations au Centre : formation@toshiba-hvac.fr > Formations mobiles : formation.mobile@toshiba-hvac.fr *Centre de formation TOSHIBA 17-19 Rue des Grandes Terres 92500 RUEIL MALMAISON Communiqué de presse et visuels téléchargeables en salle de presse www.lecrieurpublic.fr
Il y a 5 ans et 347 jours

Nouvelle gamme d’enregistreurs de données testo 190 de Testo pour la stérilisation et la lyophilisation

Dans l’industrie pharmaceutique, la validation des processus de stérilisation et de lyophilisation est un élément essentiel prouvant la destruction des germes pathogènes et le haut niveau de sécurité des produits finis. La nouvelle gamme d’enregistreurs de données CFR testo 190 est un système de surveillance et de validation du process de fabrication. Durables, intuitifs et fiables, ils contrôlent l’homogénéité de la température et la pression dans l’enceinte des autoclaves, des cuves, des lyophilisateurs quelle que soit leur taille. testo 190, une conception unique pour une fiabilité et une durabilité à toute épreuve ! La nouvelle gamme testo 190 comprend : . quatre enregistreurs de température CFR, . un enregistreur de pression CFR. Les composants techniques de mesure étant protégés dans un boîtier hermétique en acier inoxydable, ils convainquent par leur fiabilité et leur robustesse maximale. Grâce à une conception unique, la pile et les composants sont logés dans deux boîtiers séparés. La pile étant vissée sans outil sur l’enregistreur, ceci garantit un gain de temps lors du changement de piles et une parfaite étanchéité des enregistreurs. Le boîtier de la pile présente une enveloppe en PEEK résistant aux températures élevées. Avec des piles d’une durée d’utilisation de 2500 à 250 heures (à une cadence de mesure de 10 secondes à 121° C), aux dimensions compactes (2 tailles), les enregistreurs de données CFR testo 190 s’adaptent à la tâche de mesure. Compatibles dans toutes les configurations, les sondes de mesure existent en différentes versions (longue sonde souple, courte sonde rigide, longue sonde rigide) et peuvent être adaptées aux souhaits du client. Des mallettes connectées, multifonctions pour programmer, consulter et transporter les enregistreurs de données CFR testo 190 Les deux mallettes multifonctions (disponibles dans deux tailles) sont extrêmement pratiques.Tout en un, elles sont équipées d’une unité de programmation et de consultation intégrée et servent aussi au rangement des enregistreurs.Connectées à un ordinateur, elles sont prévues pour programmer et lire jusqu’à 8 enregistreurs de données testo 190 simultanément. Confortable, la grande mallette contient des supports pouvant accueillir jusqu’à 32 enregistreurs et 25 piles. Après le processus de consultation, les enregistreurs sont rangés et transportés de manière sûre aussi bien dans l’unité de consultation que dans les supports prévus à cet effet. A l’utilisation suivante, ils peuvent directement être reconfigurés, sans retrait préalable de l’unité de consultation et nouvelle mise en place. Cela permet de gagner du temps et d’optimiser le processus de validation. Logiciel testo 190 CFR, un guidage intuitif tout au long du processus Le logiciel testo 190 CFR, conforme à la Directive FDA 21 CFR Part 11 permet de programmer l’enregistreur de données sur PC, de consulter et évaluer les données de mesure. Audit trail et signature électronique sont, bien entendu, disponibles avec le logiciel testo 190 CFR. La structure claire du logiciel guide pas à pas l’utilisateur, expert ou novice, tout au long du processus. Grâce aux avertissements, il assiste la saisie aux points critiques. Le logiciel testo 190 CFR bénéficie ainsi de nombreux avantages : . documentation complète d’un simple clic, . aperçu rapide et fiable des résultats de mesure, . aucune exportation des données dans d’autres systèmes comme Excel par exemple, . lecture jusqu’à 254 enregistreurs dans un processus de validation. http://www.testo.com
Il y a 5 ans et 347 jours

Le Cours des Arts, résidence intergénérationnelle à Beauregard par a/LTA

Sur la ZAC Beauregard, Quincé à Rennes (Ille-et-Vilaine), l’agence rennaise a/LTA (Maxime Le Trionnaire, Gwénaël Le Chapelain) a livré en 2019 sur 8.350 m² SdP Le Cours des Arts, un programme de 119 logements, quatre ateliers d’artistes / logement, deux […] L’article Le Cours des Arts, résidence intergénérationnelle à Beauregard par a/LTA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 347 jours

Impression 3D en béton : Entre essais physiques et simulations numériques

I – Quels sont le contexte et la problématique ? Echantillons de béton imprimé et moulé. [©Insa Toulouse] L’impression 3D appliquée aux matériaux cimentaires est une technique récente de construction, pour laquelle le matériau, extrudé par une buse, est déposé par couche, sans nécessiter de coffrage Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne. Par rapport aux techniques de construction in situou de préfabrication, les principaux avantages de l’impression 3D sont la liberté architecturale, la réduction des coûts de matériaux par un design optimisé et de main-d’œuvre, ainsi qu’une production rapide, efficace et sûre. Imprimer en 3D nécessite un béton assez fluide pour être extrudé, mais suffisamment ferme pour ne pas s’affaisser une fois déposé. Les propriétés de ce béton sont dépendantes des facteurs, tels que l’environnement, la vitesse d’impression, le chemin d’impression, la forme de la buse, la hauteur de couche et la géométrie de l’élément. Par conséquent, la formulation d’un béton imprimable est primordiale et doit sans cesse être adaptée dès que l’un de ces facteurs est modifié.  Par ailleurs, la réalisation d’essais permettant d’étudier le comportement des structures imprimées est très coûteuse en temps et en argent. D’où la pertinence de développer des approches numériques pour simuler le comportement de ces structures et étudier leurs propriétés. De plus, pour s’assurer que le béton imprimé vérifie certaines normes de construction (notamment celles liées à la stabilité des bâtiments), la réalisation d’essais sur béton durci visant à tester la résistance mécaniqueest aussi nécessaire.  Au vu de ces différentes remarques, une étude comprenant une partie expérimentale et une partie numérique a été réalisée au Laboratoire matériaux et durabilité des constructions (LMDC) à Toulouse, dans le cadre de la chaire “Construction et Innovation” soutenue financièrement par l’entreprise GA Smart Building.  II – Quelle est la nature du programme expérimental ? Dans cette étude, le béton imprimé est constitué d’un ciment CEM I 52,5 N (30 % de la masse du mélange sec), de filler calcaire (10 %), de kaolin (10 %), de sable siliceux naturel (50 %), d’un superplastifiant (0,4 % d’extrait sec par rapport à la masse de ciment) et d’eau potable (avec un E/C de 0,31). Les propriétés au jeune âge ont été mesurées à 30 mn, ce qui correspond au temps nécessaire pour imprimer un objet. A l’état durci, des essais mécaniques ont été réalisés pour déterminer les résistances en compression, traction et flexion.  Les échantillons ont été extraits d’objets en forme de U, imprimés au laboratoire IRDL de l’université Bretagne Sud [Image 1]. La résistance en compression a été évaluée dans deux directions : chargements perpendiculaire (D-1) et parallèle (D-2) aux couches imprimées. De même, des essais de flexion dans le plan (D-1) et hors plan (D-2) ont été réalisés pour étudier le comportement anisotrope. Afin de comparer les comportements mécaniques des bétons imprimés et coffrés, des échantillons ont été coulés dans des moules, en utilisant la même formulation. Dans la suite de cet article, le béton coulé est appelé “béton de référence”, tandis que le béton imprimé garde son nom. III – Comment se présente l’approche numérique ? Géométrie des modèles étudiés. [©Insa Toulouse] Pour prédire le comportement des objets imprimés, des simulations ont été effectuées, en utilisant le logiciel aux éléments finis “Comsol Multiphysics” et en adoptant le critère de plasticité de Mohr-Coulomb. Les valeurs des paramètres ont été fixées conformément aux mesures réalisées sur béton frais : masse volumique (2 000 kg/m3), module d’élasticité (240 kPa), cohésion (2,1 kPa), angle de frottement (25°) et coefficient de Poisson (0,3). Par ailleurs, deux objets creux – l’un à section circulaire [Image 2a] et l’autre à section carrée [Image 2b] – ont été imprimés. Ces deux géométries ont été modélisées et les résultats, en termes de nombre maximal de couches imprimables et de mode de rupture, sont comparés aux résultats expérimentaux. L’article Impression 3D en béton : Entre essais physiques et simulations numériques est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 347 jours

Command Alkon : Opération à cœur ouvert

Les changements de logiciels ont été déployés au rythme de quatre centrales par semaine. [©Command Alkon] Peu d’éléments d’une centrale à béton ont un rôle aussi important que le logiciel de pilotage, qui permet de gérer la production. A 100 % automatisées, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne L’article Command Alkon : Opération à cœur ouvert est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 347 jours

SNCF souhaite valoriser les espaces d'un millier de petites gares

FONCIER. La SNCF a lancé le 28 juin 2019 un programme de valorisation des espaces d'un millier de petites gares situées en régions. Un site Internet dédié permettra aux associations, entreprises ou collectivités de présenter leurs projets de réaménagement.
Il y a 5 ans et 347 jours

Trois immeubles et une tour pour EuroRennes

L’équipe composée des agences Julien de Smedt (Copenhague et Bruxelles), Stéphane Maupin (Paris), Maurer et Gilbert architectes (Rennes) et Think Thank (Paris) a remporté l’appel d’offre lancé à l’automne 2018 pour EuroRennes. Trois immeubles et une tour de 24 étages rassemblent un programme immobilier de 32000 m² et le futur siège social du groupe Samsic. L’équipe lauréate a remporté ce concours face à quatre autres équipes : la première rassemblant les agences Sou...
Il y a 5 ans et 350 jours

Les nouveaux appareillages et exosquelettes vont-ils révolutionner la manutention?

L’émergence de nouveaux matériaux combinée à l’apparition de nouvelles technologies est sur le point de révolutionner de nombreux domaines. Aéronautique, microélectronique, construction, mais aussi médecine, sont autant de secteurs qui voient leurs méthodologies évoluer à grande vitesse et au rythme des chamboulements technologiques. Mais les secteurs de pointe ne sont pas les seuls qui sont impactés fortement par ces avancées. En effet, des métiers moins sensibles à la technologie semblent eux-aussi connaître de profondes mutations, ou apparaissent sur le point de les subir. Ainsi, la maçonnerie dispose chaque année de nouveaux bétons, la peinture de nouvelles matières et de nouvelles textures, et le déménagement pourrait rapidement disposer de camions autonomes. Des évolutions inévitables Il est aujourd’hui clair que la vitesse avec laquelle se produisent ces évolutions ne peut être ralentie, et que cela devient un enjeu majeur pour tous les artisans de s’adapter à toutes les nouveautés qui seront proposées dans leur corps de métier afin de rester compétitifs. Cela a été le cas avec l’apparition d’internet, qui a contraint l’immense majorité des entreprises à basculer vers le numérique, et qui a condamné nombre de firmes n’ayant pas su s’adapter. La révolution actuelle porte davantage sur les outils, qui se veulent plus connectés, plus souples et plus en adéquation avec les besoins des clients. Etre en mesure d’adopter ces nouvelles méthodes, c’est se garantir la possibilité de continuer à faire des affaires sans subir trop fortement la concurrence d’entreprises qui viendront se placer sur des niches auparavant inaccessibles, mais ouvertes par la digitalisation ou la démocratisation de matériaux jusque là très onéreux. La manutention épargnée par ces mutations La manutention échappe pour le moment à ce constat. Effectivement, ce secteur qui repose actuellement à 80% sur la force et la motricité humaine ne semble pas directement impacté par les bouleversements technologiques. Les sangles et les gants de manutentions ont ainsi une large espérance de vie devant eux. Toutefois, le futur nous réserve quelques surprises, et il y a fort à parier que des changements majeurs viendront modifier en profondeur ce secteur aussi. Au programme, et de manière purement prospective, nous nous sommes entretenus avec plusieurs dirigeants de PME et de TPE dont l’objet social est le déménagement ou le débarras. Il ressort que la plupart (85%) ne voient pas de changements majeurs se profiler à horizon 2025, et qu’ils sont tout autant à penser que leur métier n’évoluera pas du tout d’ici à 2030 (88%). Lorsque nous évoquons le futur et les diverses possibilités offertes par les développement scientifiques actuels, peu nombreux sont les entrepreneurs à croire en un avenir très différent. Aussi, seuls 15% environ croient en l’utilisation de véhicules autonomes pour la réalisation de travaux de débarras et de déménagement, et moins de 5% osent imaginer une inclusion d’une technologie complètement innovante, telle que l’exosquelette, dans leur quotidien professionnel. Au final, c’est Matthieu Ramillien, dirigeant de la société Hexa débarras, entreprise spécialiste du débarras de maison basée à Grenoble, qui nous livre le point de vue le plus ambitieux : « Il est, de mon point de vue, certain que le futur permettra à notre métier de changer. La manutention ne restera pas éternellement un métier de force, et se reposera de plus en plus sur l’usage d’outils n’existant pas encore. Je pense personnellement que d’ici 5 ans, nous disposerons toujours des mêmes modes de production, mais que cela ne sera plus forcément le cas dans 10 ans. Pour le débarras, nous avons déjà pu voir l’apparition du web, qui a intégralement transformé le rapport au client. Cette révolution s’est faite en quelques années seulement, alors que personne ne l’attendait. Alors pourquoi pas une autre révolution que l’on ne verrait pas du tout venir? » En conclusion, nous pouvons affirmer que, si l’évolution technologique n’impacte pas encore le milieu de la manutention, il semble clair que celui-ci sera amené à changer à moyen terme. Le problème demeure l’aversion affichée de la majorité des patrons d’entreprises de déménagement et de débarras à prendre en considération cet élément dans le développement de leur société, ce qui peut laisser espérer de nombreuses opportunités dans ces domaines.
Il y a 5 ans et 351 jours

Transform & Grow, ou comment Saint-Gobain se repense en profondeur

Le géant des matériaux de construction et leader de la distribution professionnelle en France, Saint-Gobain, est un fleuron de l'économie hexagonale (au CAC 40) et un symbole dans l'univers du BTP. Depuis l'année dernière, le groupe s'est engagé dans un programme de transformation profonde, pour accélérer sa croissance. Avec de multiples impacts.