Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

A l'occasion de la Fête des sciences, le Cérib s'installe au "Village des sciences" au Coudray. Au programme : des ateliers, des démonstrations et une exposition autour du béton et de ses différentes utilisations. L'article Le Cérib célèbre la science et le béton est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

La maison de demain sera-t-elle entièrement vitrée, saturée d'écrans et régentée par un robot sur roulettes autoritaire ? Rien n'est moins sûr, à en croire l'agence dot Architects qui signe en 2017 la rénovation d'une maison traditionnelle à Pékin (Chine) pour le compte d'une entreprise spécialisée dans les hautes technologies. Leur tour de force ? Allier domotique et respect de l'existant, sans pour autant tomber dans le cliché. À l'origine de cette maison à la fois traditionnelle et ancrée dans le présent " pour ne pas dire le futur ", une commande formulée par une société spécialisée dans les hautes technologies auprès de l'agence dot Architects. Leur requête ? Transformer un pavillon d'habitation d'un quartier historique de Pékin en logement adapté aux pratiques quotidiennes des jeunes. Comprendre : un écrin à la fois confortable et pratique, propice au travail à domicile, permettant d'inviter amis et collègues. Pour répondre à ce cahier des charges, les concepteurs se sont d'abord attelés à rendre sa superbe à ce vieil édifice en structure bois, coiffé d'une toiture recouverte de tuiles traditionnelles ondulées, ouvert sur cour et dont le plan se résume à un simple volume de base rectangulaire. Le plafond et les cloisons en très mauvais ont donc été retirés, révélant au passage une surface plutôt agréable et surtout une sublime charpente traditionnelle. Côté aménagement, deux boîtes en bois fixées sur rails offrent la possibilité de moduler l'espace : en mode jour, elles peuvent être accolées aux murs afin de libérer la place nécessaire à l'installation d'un grand bureau. En mode nuit, il est possible de les faire coulisser au milieu de la pièce pour ménager l'apparition de deux chambres. En outre, un troisième bloc " fixe celui-ci " abrite un lit escamotable permettant à un convive supplémentaire de faire de beaux rêves. À noter que les habitants n'ont pas à déplacer ces systèmes manuellement, puisque chaque volume peut être commandé via un écran de télévision en apparence classique mais intelligent, lequel permet également de contrôler l'éclairage, les rideaux, l'alarme de sécurité et même les appareils électroménagers. Avant-gardiste, la Baitasi House of the Future l'est également grâce à sa cuisine et ses toilettes regroupées dans un bloc à part, implanté dans la cour et conçu grâce au système Wikihouse, logiciel en open-source dédié à la construction d'habitation. Une option privilégiée pour sa rapidité d'exécution " le volume a été fabriqué numériquement " et pour son impact moindre sur le site. Preuve que l'architecture individuelle de demain peut être à la fois smart et mesurée, n'en déplaise à Disney et à sa Maison du futur, film sorti en 1999 dans lequel le personnage principal, tout de parpaings et d'enduit, malmène ses occupants... Pour en savoir plus, visitez le site de Dot Architects Photographies : Wu Qingshan

Du design Made in Liban " mais pas que ", des événements " tables rondes, conférences et autres débats ", des prix " destinées à récompenser des designers comme des galeristes ", le tout inscrit dans une scénographie de l'architecte Galal Mahmoud. Tel était le programme de la seconde édition de la Beirut Design Fair, organisée du 20 au 23 septembre dernier afin d'exprimer au monde entier le savoir-faire libanais en la matière... Pour cette deuxième année, les fondateurs de la manifestation, Hala Moubarak et Guillaume Taslé d'Héliand, visaient haut, espérant attirer 20 000 visiteurs entre les murs de la Seaside Arena de Beirut où se tenait l'événement. Un pari tenu, puisque ce sont en tout 19 800 curieux et passionnés (soit 20% de plus que l'an passé) qui sont venus découvrir les réalisations et projets de 58 exposant, pour la plupart issus de la région quand quelques-uns venaient d'Europe et triés sur le volet par un jury prestigieux. Aline Asmar d'Amman et Lina Ghotmeh (architectes), Marc Baroud et Karim Chaya (designers), et Mathias Ohrel (journaliste et conseiller en design), ont ainsi prêté leur regard d'expert pour retenir la crème de la crème des jeunes artistes. Temps forts de la manifestation, les différents awards remis par le comité de sélection, et qui ont pour ambition de couronner les plus belles et les plus ingénieuses créations, mais également les meilleures initiatives des entrepreneurs spécialisés dans le domaine. Initiative Award : Joy Mardini, saluée pour le travail de son agence, la Joy Mardini Design Gallery qui assure la promotion des designers libanais auprès du public local et européen.  . Object Award : Fadi Sarriedine pour sa collection personnalisable Damascus Revisited Again, composée de différents petits objets " bougeoirs, presse-papiers, plateaux "pouvant être assemblés pour en former de plus grands, comme des tables.  . Talent Award : Vivian van Blerk et ses Memento vixisti (littéralement " Souviens-toi que tu étais vivant "), de drôles de vases, lampes et autres bols en forme de crânes !   Des lauréats enthousiasmants qui donnent envie d'être déjà en 2019, afin de découvrir les surprises que nous réservent Hala Moubarak et Guillaume Taslé d'Héliand pour la prochaine édition... Pour en savoir plus, visitez le site de la Beirut Design Fair Photographies : DR

Rapprocher le monde de la Recherche et du Développement, les start-up des entreprises, les idées du marché. C'est la mission du CSTB'Lab qui accompagne les jeunes entrepreneurs dans l'innovation au service de la construction durable. Avec des start-up, qu'il soutient dans le développement de leur projet, le CSTB'Lab sera présent au Congrès USH 2018, dès le 9 octobre à Marseille. Ensemble, ils s'ouvrent aux acteurs du marché pour concevoir et construire le logement de demain. Venez partager une expérience, découvrir des talents, puiser dans la science de nouvelles idées. Rendez-vous au stand n° M09. Votre contact au CSTB'Lab : Pierre Mascloux pierre.mascloux@cstb.fr En savoir plus : Le CSTB'Lab Stand du CSTB'Lab, aux côtés d'Impulse Partner : N°M09 Congrès USH, du 9 au 11 octobre 2018 Parc Chanot, Marseille Village start-up Hall : 2 - Allée : M - Stand n° : M09 En savoir plus : Congrès USH 2018 Sur le stand M09, des start-up partenaires vous accueillent aux côtés du CSTB'Lab : Attestis : La preuve numérique Attestis protège les maîtres d'ouvrage des recours tardifs grâce à son système breveté. Celui-ci prouve en continu l'affichage du panneau de permis de construire. Nexelec : Les solutions de Nexelec analysent et comparent en temps réel, les mesures de température, humidité, fumée, CO ou CO2 au service des écosystèmes Smart Home et Smart Building. Cette approche novatrice permet aux opérateurs immobiliers de disposer de données fiables et à moindre coût pour améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments tout en garantissant la sécurité et le confort des usagers. Seve-up : Seve Up développe une solution logicielle pour lier le BIM et ses données à la gestion de patrimoine. Celle-ci est fondée sur le développement de maquettes de références structurées, permettant de recevoir les données patrimoniales dans le système d'information client, et d'extracteurs de données permettant de réaliser la migration depuis les maquettes numériques dans le système d'information du Maître d'Ouvrage. Syscobat : Syscobat développe le projet B²R+ : système constructif hybride bois/béton, bio sourcé et bas carbone. Ce système léger est fabriqué sur mesure selon les contraintes du Maître d'Ouvrage ou du Maître d'"uvre (structurelles, thermiques, environnementales, Etc..). B²R+ est hautement performant, utilisable pour des maisons individuelles comme pour des immeubles de grande hauteur.

L'éditeur français de logiciels Carl Software développe sa présence sur de nouveaux marchés en Europe et au Moyen-Orient.

Les 145 4'Axes qui ont su faire leur preuve auprès des services de SNCF Réseau vont faire l'objet d'un vaste programme de régénération dans les ateliers de France Elévateur.

Les 145 4'Axes qui ont su faire leur preuve auprès des services de SNCF Réseau vont faire l'objet d'un vaste programme de régénération dans les ateliers de France Elévateur.

DJI, spécialiste des drones civils et de la technologie d'imagerie aérienne, lance l'UTC (Unmanned Aerial Systems Training Center) en Europe, un programme conçu pour fournir une formation théorique et pratique aux opérateurs de drones.

DJI, spécialiste des drones civils et de la technologie d'imagerie aérienne, lance l'UTC (Unmanned Aerial Systems Training Center) en Europe, un programme conçu pour fournir une formation théorique et pratique aux opérateurs de drones.

Le groupe Duval et Vinci Immobilier construiront un programme mixte de 60 000 m² au sein de la ZAC de la gare d'Amiens.

Le groupe Duval et Vinci Immobilier construiront un programme mixte de 60 000 m² au sein de la ZAC de la gare d'Amiens.

À Concepción, au Chili, une lanterne géante illumine depuis 2018 les rives du fleuve Biobío le soir venu. Imaginée par l'architecte et enfant du pays Smiljan Radi? " en collaboration avec Eduardo Castillo et Gabriela Medrano ", elle abrite les cinq étages du plus grand théâtre régional. À l'origine de cette réalisation titanesque de presque 10 000 mètres carrés accueillant deux salles de spectacles " une première d'une capacité de 1 500 sièges et une seconde 250 places ", un concours public lancé en 2011 pour que la région dispose de son propre théâtre, un an après que la ville de Concepción a été frappée et partiellement détruite par un séisme. Un événement marquant, lequel impliquait d'imaginer un édifice solide et rassurant, à l'épreuve des secousses les plus violentes. Pourtant, si le projet de Smiljan Radi? ne manque pas de robustesse, grâce à sa structure antisismique en béton armé prenant la forme d'une grille en 3 dimensions, il n'en laisse rien paraître. La raison : son enveloppe, réalisée en polytétrafluoréthylène (PTFE) blanc translucide et en verre, dont l'apparence est aussi légère qu'une lanterne chinoise. " C'est un emballage pour la fiction. Une tentative d'évoquer la nature du programme, de le cacher, de l'envelopper ", explique à ce sujet le concepteur. Un parti pris d'autant plus efficace que cette peau peut être ouverte en été pour ventiler le bâtiment tandis qu'elle retient la chaleur quand arrive l'hiver. À l'intérieur, le squelette minéral permet, grâce à son maillage semblable à celui des échafaudages utilisés dans les coulisses de la plupart des salles de spectacles, de multiplier les vides et donc d'amplifier le sentiment de légèreté inspiré aux visiteurs. L'endroit idéal pour débattre " et critiquer ? " des dernières productions des dramaturges ! Photographies : Cristobal Palma

La firme Airware, spécialiste des solutions logicielles pour le relevé par drones, a annoncé vendredi sa mise en faillite.

La firme Airware, spécialiste des solutions logicielles pour le relevé par drones, a annoncé vendredi sa mise en faillite.

Tout roule pour SPACE10 lorsqu'il s'agit de penser au futur proche ! Ce laboratoire danois des modes de vie de demain, créé par IKEA, propose un concept de véhicules autonomes mettant à profit le temps perdu en voiture. Ce qui n'était jusqu'ici qu'un moyen de déplacement revêtira alors de multiples autres usages. Réalité ou science-fiction... Suite aux avancées technologiques et juridiques en matière de véhicules autonomes " notamment avec l'autorisation de leur mise en circulation sur les voies américaines en février 2018 et la fin des énergies fossiles ", le géant de l'ameublement suédois prend de l'avance avec le programme Space on wheels. Sensible au temps passé sur la route, SPACE10 interroge l'utilisation de l'automobile en tant qu'espace de vie. En collaboration avec FOAM Studio et Norgram, une agence de graphisme et de design, le collectif propose sept lieux roulants du quotidien capables d'accueillir une activité le temps d'un trajet : bureau, café, salle de soin, maraîcher, salle de jeu, hôtel et magasin. Des alternatives, en réponse à des temps de déplacement toujours plus importants en ville. En ce qui concerne les services d'urgence, une salle d'osculation sera par exemple proposée dans le but de diagnostiquer les symptômes d'un patient le temps du trajet. De la même manière, un client pourra y essayer des vêtements sans se déplacer dans un centre commercial. Des phases de tests sont prévues d'ici la fin 2020 en vue d'une commercialisation aux alentours 2030. Le futur n'a jamais été aussi proche. Pour en savoir plus, visitez le site de SPACE10 Illustrations : FOAM studio

Tout roule pour SPACE10 lorsqu'il s'agit de penser au futur proche ! Ce laboratoire danois des modes de vie de demain, créé par IKEA, propose un concept de véhicules autonomes mettant à profit le temps perdu en voiture. Ce qui n'était jusqu'ici qu'un moyen de déplacement revêtira alors de multiples autres usages. Réalité ou science-fiction... Suite aux avancées technologiques et juridiques en matière de véhicules autonomes " notamment avec l'autorisation de leur mise en circulation sur les voies américaines en février 2018 et la fin des énergies fossiles ", le géant de l'ameublement suédois prend de l'avance avec le programme Space on wheels. Sensible au temps passé sur la route, SPACE10 interroge l'utilisation de l'automobile en tant qu'espace de vie. En collaboration avec FOAM Studio et Norgram, une agence de graphisme et de design, le collectif propose sept lieux roulants du quotidien capables d'accueillir une activité le temps d'un trajet : bureau, café, salle de soin, maraîcher, salle de jeu, hôtel et magasin. Des alternatives, en réponse à des temps de déplacement toujours plus importants en ville. En ce qui concerne les services d'urgence, une salle d'osculation sera par exemple proposée dans le but de diagnostiquer les symptômes d'un patient le temps du trajet. De la même manière, un client pourra y essayer des vêtements sans se déplacer dans un centre commercial. Des phases de tests sont prévues d'ici la fin 2020 en vue d'une commercialisation aux alentours 2030. Le futur n'a jamais été aussi proche. Pour en savoir plus, visitez le site de SPACE10 Illustrations : FOAM studio

Afin de compléter sa suite logicielle Fixperience, Fischer a développé un module d'application : Rail-Fix.

L’Atelier Novembre, lauréat du concours en janvier 2014, a livré en janvier 2018 le Conservatoire à rayonnement départemental d’Orsay (Essonne), près de Paris. Le programme compte des espaces d’accueil, un auditorium de 300 places, des salles de cours théoriques et […] L'article Le lyrisme mesuré de la façade de l'Atelier Novembre est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Les îles de Sein, Molène et Ouessant se sont félicitées des avancées réalisées depuis le lancement du programme de transition énergétique visant à parvenir d'ici 2030 à une consommation 100% renouvelable.

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects

Vous avez jusqu'au 30 novembre pour découvrir l'exposition " Our Urban Living Room ", à Helsinki (Finlande) et son ouvrage éponyme, qui retrace le développement de Copenhague (Pays-Bas) à travers 10 ans de pratique de l'agence COBE. Au-delà de la rétrospective, l'événement porte un regard critique sur la production architecturale danoise. Plusieurs fois récompensée par des grands prix nationaux et internationaux, dont le Lion D'Or 2006 à la Biennale d'Architecture de Venise, l'agence COBE, fondée par Dan Stubbergaard en 2005 à Copenhague, poursuit son essor. Avec plus de 130 employés, elle mène une réflexion à mi-chemin entre l'architecture et l'urbanisme, illustrée par des réalisations telles que la gare de Norreport (Pays-Bas) " actuellement la plus fréquentée de Copenhague ", le port du Nord de Copenhague, ou le siège social de Adidas en Allemagne. Un succès qui lui a notamment permis de collaborer avec l'agence internationale BIG (Bjarke Ingels Group), pour la conception de Waterfall, un centre aquatique ; une expérience retranscrite dans l'interview de Bjarke Ingels, publiée dans le catalogue. Sensible au devenir de la capitale danoise, COBE soutient une approche humaine dans ses projets, tout en prenant en compte l'aspect historique du site. Une attitude qui encourage l'usager à s'approprier avec enthousiasme son lieu de vie. Le but ? Créer une connexion fluide entre espace privé et public, ce qui n'était pas le cas plusieurs années auparavant dans la Capitale danoise. En effet, Copenhague est passée d'une ville portuaire, industrielle et populaire, à une destination touristique et culturelle. Une évolution due aux importants travaux de rénovation urbaine commencés dans les années 1980, dans le but de favoriser une plus grande diversité sociale. Une restructuration qui s'inscrit par ailleurs dans un programme de développement plus large, visant à relier la partie est du Danemark au sud de la Suède, avec le pont de Malmö, inauguré en 2000. Une exposition de 350 mètres carrés, qui permet de faire découvrir l'histoire locale au travers d'outils numériques, photographies mais aussi de maquettes illustrant les réflexions de l'agence COBE. Le tout est mis en scène dans une structure quadrillée en tasseaux de bois. Le cotenu est quant à lui compilé dans un ouvrage largement illustré, comprenant en plus des détails techniques, interviews et dessins. Un événement prônant l'échange pour penser la ville de demain. Quoi de mieux pour une agence d'architecture en plein boum ? Our Urban Living Room, COBE Architects, éditions Arvinius + Orfeus Publishing AB, 2016, 352 pages, 21 x 26 cm Pour en savoir plus, visitez le site de COBE Photographies : RASMUS HJORTSHÖJ/COBE Architects

APPEL. Ils sont anciens ministres, responsables d'ONG ou spécialistes de l'environnement et signent une tribune collective pour réclamer au gouvernement de lancer un grand programme d'investissement public en faveur de la transition écologique. Zoom.

A Annecy (Haute-Savoie), Christian de Portzamparc (avec Méristème Paysagiste) propose au travers d'un programme mixte – Logements, hôtel, EHPAD -, une réinterprétation contemporaine de l'architecture de montagne. Communiqué. Sur un terrain de six hectares, dont deux sont un jardin public, […] L'article En Haute-Savoie, Christian de Portzamparc "coule" ses bâtiments dans la pente est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

À la demande des deux principaux bailleurs sociaux du Mexique, CIDS et INFONAVIT, l'architecte Francisco Pardo livre un parc public dans un quartier déshérité de la ville de Toluca de Lerdo. Une intervention qui va bien au-delà du simple aménagement mais s'inscrit dans un programme de déségrégation sociale plus large, visant à atténuer la faiblesse d'une politique de logement social menée trente ans durant. À un budget serré et à la nécessité d'un entretien aisé, Francisco Pardo Arquitecto répond par l'usage de matériaux robustes et bon marché, tels que le béton, l'acier et les blocs de ciment. Une réduction des coûts également permise par le soutien des habitants qui ont mis la main à la patte durant le chantier. Une co-construction essentielle dans le processus d'appropriation de la population et le développement d'une identité collective. " C'est important de ne pas seulement changer les conditions physiques mais aussi la perception de l'espace : en tant que concepteur, je crois que supporter les communautés locales pour fournir de meilleurs espaces publics est ce qui aide le plus ces familles. " Francisco Pardo, architecte Au lieu de faire table-rase des infrastructures existantes, le maître d'"uvre a préféré repenser et diviser deux zones pavées du quartier de Los Héroes Sección III, situées de part et d'autres d'une école primaire et maternelle. Les deux parcelles rectangulaires ont ainsi été dotées de multiples activités telles que des zones de jeu, un skate-park ainsi que deux terrains de basket et un de football. Peut-être ce projet sorti de terre en seulement 6 mois, saura-t-il initier des changements de taille dans cette zone déshéritée de Toluca ? Pour en savoir plus, visitez le site de Francisco Pardo Arquitecto Photographies : © Jaime Navarro

À la demande des deux principaux bailleurs sociaux du Mexique, CIDS et INFONAVIT, l'architecte Francisco Pardo livre un parc public dans un quartier déshérité de la ville de Toluca de Lerdo. Une intervention qui va bien au-delà du simple aménagement mais s'inscrit dans un programme de déségrégation sociale plus large, visant à atténuer la faiblesse d'une politique de logement social menée trente ans durant. À un budget serré et à la nécessité d'un entretien aisé, Francisco Pardo Arquitecto répond par l'usage de matériaux robustes et bon marché, tels que le béton, l'acier et les blocs de ciment. Une réduction des coûts également permise par le soutien des habitants qui ont mis la main à la patte durant le chantier. Une co-construction essentielle dans le processus d'appropriation de la population et le développement d'une identité collective. " C'est important de ne pas seulement changer les conditions physiques mais aussi la perception de l'espace : en tant que concepteur, je crois que supporter les communautés locales pour fournir de meilleurs espaces publics est ce qui aide le plus ces familles. " Francisco Pardo, architecte Au lieu de faire table-rase des infrastructures existantes, le maître d'"uvre a préféré repenser et diviser deux zones pavées du quartier de Los Héroes Sección III, situées de part et d'autres d'une école primaire et maternelle. Les deux parcelles rectangulaires ont ainsi été dotées de multiples activités telles que des zones de jeu, un skate-park ainsi que deux terrains de basket et un de football. Peut-être ce projet sorti de terre en seulement 6 mois, saura-t-il initier des changements de taille dans cette zone déshéritée de Toluca ? Pour en savoir plus, visitez le site de Francisco Pardo Arquitecto Photographies : © Jaime Navarro

Dans sa série (Non) Gravità, l'artiste numérique italien Massimo Colonna nous transporte dans un univers où la 3D ne fait pas que représenter le réel mais le dépasse, joue avec lui, autant qu'il joue avec les lois de la pesanteur. Massimo Colonna est né en 1986 à Scandiano, dans le nord de l'Italie. Le moins que l'on puisse dire de lui est que Massimo, tout millenial qu'il est, est né avec son temps. Il manie aussi bien l'appareil photo que les logiciels de conception 3D et de retouche. Il nous offre ainsi des scènes de vie à la fois quotidiennes et atypiques, avec en arrière-plan des motifs et décors architecturaux minimalistes et colorés, tels que la maison-atelier de Luis Barragán au Mexique ou la Muralla Roja de Ricardo Bofill en Espagne.Dans ces représentations extrêmement graphiques, il ajoute des " signes ", comme des cyprès, présents en fond d'image ainsi que des objets en mouvement comme une balle en plein rebond, un ballon s'envolant ou un sac poubelle pris dans un souffle d'air. Une sensation d'équilibre instable brillamment modélisée et représentée. Massimo Colonna mérite donc pleinement son statut d'artiste numérique, néologisme décrivant une discipline émergente, qui rejoindra, qui sait, peut-être un jour les Beaux-Arts. Pour en savoir plus, visitez le site de Massimo Colonna Illustrations : Massimo Colonna

Dans sa série (Non) Gravità, l'artiste numérique italien Massimo Colonna nous transporte dans un univers où la 3D ne fait pas que représenter le réel mais le dépasse, joue avec lui, autant qu'il joue avec les lois de la pesanteur. Massimo Colonna est né en 1986 à Scandiano, dans le nord de l'Italie. Le moins que l'on puisse dire de lui est que Massimo, tout millenial qu'il est, est né avec son temps. Il manie aussi bien l'appareil photo que les logiciels de conception 3D et de retouche. Il nous offre ainsi des scènes de vie à la fois quotidiennes et atypiques, avec en arrière-plan des motifs et décors architecturaux minimalistes et colorés, tels que la maison-atelier de Luis Barragán au Mexique ou la Muralla Roja de Ricardo Bofill en Espagne.Dans ces représentations extrêmement graphiques, il ajoute des " signes ", comme des cyprès, présents en fond d'image ainsi que des objets en mouvement comme une balle en plein rebond, un ballon s'envolant ou un sac poubelle pris dans un souffle d'air. Une sensation d'équilibre instable brillamment modélisée et représentée. Massimo Colonna mérite donc pleinement son statut d'artiste numérique, néologisme décrivant une discipline émergente, qui rejoindra, qui sait, peut-être un jour les Beaux-Arts. Pour en savoir plus, visitez le site de Massimo Colonna Illustrations : Massimo Colonna