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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Négoce

(2089 résultats)
Il y a 3 ans et 68 jours

Porté par les gros travaux, le marché du bricolage est toujours aussi dynamique

CONJONCTURE ET TENDANCES. Le marché du bricolage ne faiblit pas. En 2021, le chiffre d'affaires du secteur est encore en croissance, porté notamment par le secteur du Bâtiment. Décryptage des tendances en chiffres.
Il y a 3 ans et 70 jours

Bâtir durable : nouveau catalogue matériaux naturels ISOLATION de France Matériaux

Alliant confort d’hiver, confort d’été et faible empreinte carbone, les isolants biosourcés sont portés par la RE 2020 et sont de plus en plus utilisés dans la construction et la rénovation durable des bâtiments. Pour présenter son offre sur cette famille de produits, France Matériaux, groupement national de négoces en matériaux indépendants, lance son premier catalogue dédié aux isolants biosourcés. Véritable guide de choix, le nouveau catalogue consacré aux isolants biosourcés de France Matériaux a pour objectif d’aider les professionnels à bâtir durablement. Conçu pour une recherche facilitée en fonction des besoins du chantier, il décline l’offre produits en 6 thématiques : • la fibre de bois en panneaux semi-rigides, rigides ou en vrac pour le doublage de mur par l’intérieur, l’isolation thermique par l’extérieur, la toiture, le plancher et les combles ; • la ouate de cellulose en panneaux semi-rigides ou en vrac pour l’isolation des murs et des combles perdus ; • le chanvre, en vrac ou en panneaux rigides, pour conjuguer isolation thermique et perspirance du bâtiment ; • la chaux, qui associée au chanvre, offre des qualités d’isolation thermique pour les maisons en pierre ou aux murs maçonnés ; • le liège, doté de performances thermiques et acoustiques, présenté en panneaux ou en vrac, pour le remplissage des murs et des combles, par exemple ; • les accessoires associés aux différents isolants biosourcés pour une pose dans les règles de l’art : pare-vapeurs, ruban adhésif, … Pour simplifier la sélection, chaque descriptif est accompagné de pictogrammes représentant la destination du produit : combles aménagés, combles perdus, mur intérieur, mur extérieur, plancher, ITE. A la fin du catalogue, une carte de France et le nouveau site internet https://www.france-materiaux.fr/ permettent au client de retrouver le point de vente le plus proche de chez lui parmi les 242 négoces indépendants du groupement. LE BUREAU DE LA PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE : UN SERVICE FRANCE MATÉRIAUX ASSOCIÉ Toujours dans un souci d’accompagnement de ses clients disposant du label RGE, rappelons que France Matériaux met à leur disposition un service, le Bureau de la Performance Energétique, pour les conseiller, les former et les accompagner à constituer leurs dossiers d’aide à la rénovation énergétique (MaPrime Rénov, dispositif CEE). Pour en bénéficier, il suffit de le contacter par mail – contact@bpe-france-materiaux.fr ou par téléphone au 04 79 62 75 57
Il y a 3 ans et 70 jours

Prévention : EPI et EPC, l’innovation aide à réduire le risque

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine L’évolution constante des EPC et des EPI contribue à la réduction régulière des chutes de hauteur, première cause d’accidents et de décès dans le BTP. [©ACPresse] Il suffit de regarder des photos de chantiers prises il y a 30 ou 40 ans pour constater le fossé qui sépare ces périodes de l’époque actuelle, en termes de sécurité et de protection des personnes. Qu’il s’agisse d’équipements de protection individuelle (EPI) ou de protection collective (EPC), on est peu à peu passé du “bricolage” à un environnement très réglementé et sécurisé. Une évolution est liée à l’acceptabilité du port régulier des équipements de sécurité. Tous les corps de métiers en ont bénéficié. Et, dans une concurrence accrue, les entreprises de toutes tailles ont intégré l’intérêt de moyens de prévention optimisés et définis dès l’amont des travaux. Le temps où l’achat d’EPC/EPI était perçu comme une dépense s’éloigne. Ces équipements participent même à la rentabilité d’une opération : réduction des risques et aussi de la fatigue pour le personnel. Soit, au final, de meilleures conditions de travail et, avantage côté entreprises, plus de productivité. EPC : Lutter contre les chutes de hauteur Pour les petits chantiers sont proposés des “kits” d’échafaudages sur remorque, permettant d’assurer de façon simple la sécurité des interventions. [©Beta Diffusion] Une règle fondamentale : les EPC doivent toujours être privilégiés lorsque la situation le permet. Les EPI les remplacent, lorsqu’une solution collective s’avère impossible à mette en œuvre. Ils sont aussi des compléments indispensables, quels que soient les cas de figure. Face au risque majeur que sont les chutes de hauteur – première cause d’accidents graves et de décès dans le BTP -, les échafaudages de pied se sont progressivement imposés. Et ont beaucoup évolué avec les années. La mise en œuvre d’échafaudages à montage/démontage en sécurité s’est banalisée, rendant impossible les situations à risques. Pour les petits chantiers, les fabricants proposent des kits transportables sur une remorque, qui permettent d’échafauder la façade d’une maison courante. Par ailleurs, des avancées sont constatées pour assurer la continuité du maintien des protections collectives tout au long de la réalisation d’un chantier. Autre exemple allant dans le même sens, un coffrage développé par Hussor supprime l’usage d’une échelle ou d’une passerelle d’accès. Malgré toutes les initiatives et innovations concernant les EPC, les préventeurs estiment qu’il est possible d’aller plus loin. Ceci, via une réflexion globale associant conception des matériels, organisation des chantiers, modes opératoires et formation du personnel. Ils poussent à mieux développer des solutions de bon sens, toutes basées sur le principe de limitation du temps de travail en hauteur. La préfabrication répond à cette démarche, le développement spectaculaire des murs à coffrage intégré (MCI) aussi. Tout comme l’intégration de potelets de garde-corps dans les prédalles, les assemblages au sol, l’usage de drones en phase d’études… EPI : Une réponse pour tous les cas de figure La réalité augmentée s’immisce au niveau des lunettes de sécurité, intégrées au casque de chantier ou non. [©Daqri] Le confort et l’ergonomie sont les points sur lesquels les EPI ont le plus progressé. Les systèmes d’arrêt des chutes sont plus simples d’usage. Ils ont gagné en légèreté comme en performances. Les casques combinés avec des lunettes ou des masques rétractables sont devenus la norme. Et la plupart d’entre eux intègrent des “logements”, permettant de fixer des équipements, tels qu’écran facial, masque de soudeur ou coquilles anti-bruits. Dans le BTP, les blessures aux mains représentent 25 % des accidents avec arrêt et 25 % des accidents graves. Le port de gants adaptés est donc prioritaire. Les fabricants s’évertuent à proposer des gammes destinées à chaque métier, même si les modèles les plus spécifiques ne sont pas toujours disponibles chez les fournisseurs et négociants spécialisés… Sans nul doute, la chaussure de sécurité est l’EPI le plus universelle. Depuis une dizaine d’années, des progrès importants sont constatés en matière de confort et d’esthétique, tout en conservant les qualités de base qu’on doit en attendre : protection contre l’écrasement, la perforation, les brûlures et les contusions. En 2022, les verres des lunettes de sécurité sont devenus transparents, indéformables, ininflammables, résistants aux chocs et à l’abrasion. Ils ne forment pas d’éclats coupants en cas de rupture. Ils sont insensibles à la buée et ne déforment plus la vision. Mieux encore, un concept innovant de réalité augmentée intègre sur les lunettes une technologie holographique, permettant de projeter sur l’écran de protection des informations pertinentes, sans interférer avec le champ visuel du porteur. Et les EPI passent au 2.0 Plusieurs fabricants commercialisent des semelles connectées, visant surtout à prévenir les risques de chutes. [©Traxxs] Les objets connectés s’imposent aussi dans le monde du BTP. Très loin de l’image de “gadget” à laquelle ils sont parfois rattachés, ils ouvrent au contraire de nouvelles perspectives pour la prévention des risques. Ils présentent l’atout d’être assez peu onéreux et donc économiquement gérables sur des chantiers courants. Quelques exemples parmi plusieurs applications… La start-up française Rcup propose une solution de semelles connectées. Installées dans les chaussures, les semelles vibrent pour prévenir leur propriétaire en cas de port de charges trop lourdes ou d’approche d’un danger, tel qu’un engin de chantier. Les semelles sont aussi géolocalisées. Elles permettent de mieux identifier les zones de sécurité. Enfin, elles sont capables de détecter les chutes de plain-pied, en envoyant une alerte pour une intervention rapide. Autre approche, la société Parade a développé une gamme de chaussures équipées d’une fonction Dati (dispositif d’aide au travailleur isolé). Un capteur installé dans le talon permet une détection du risque de chute. Cad 42 commercialise des gilets intelligents et des capteurs, liés à une application, pour sécuriser les chantiers, définir des zones de danger ou détecter la présence d’un travailleur sous un cône de grue…  Le Japonais Biodata teste, à l’heure actuelle, une montre thermique, qui calcule la température corporelle et anticipe les “coups de chaleur”. Enfin, T2S intègre dans un EPI un système d’alerte pour travailleur isolé. En cas d’accident, l’EPI se connecte au réseau GSM et envoie une alerte à un service dédié. Le produit est en phase de test. Les grands espoirs de l’assistance physique Plusieurs fabricants travaillent à la mise au point d’exosquelettes, qui peuvent se décliner pour des applications diverses. [©Foc Innovation] On a beaucoup écrit sur les exosquelettes, développés à l’origine pour des raisons médicales, mais qui ont vite suscité l’intérêt du BTP. Le principe est simple : assister la contrainte physique lors du port de charges lourdes. Cette aide concernant les bras, les jambes, le bassin… Un moyen supplémentaire de réduire la fatigue et, à terme, les risques de troubles musculo-squelettiques (TMS). Un exosquelette peut se décliner sous plusieurs formes. La plus sophistiquée est souvent constituée d’une structure en carbone (donc assez légère), portée par un opérateur appelé à soulever des charges lourdes. L’appareil est équipé d’une batterie et de servo-moteurs. On trouve ensuite des modèles conçus pour les travaux “bras en hauteur”. C’est un système mécanique passif qui ne nécessite pas de batterie et de servo-moteurs. Porté par l’opérateur, il est adapté à toutes les interventions qui nécessitent de travailler mains et bras en hauteur. Dernière forme de l’exosquelette, le bras “zéro gravité”. Dans ce cas, l’appareil n’est plus porté par le compagnon, il compense le poids de l’outil, par exemple, un marteau perforateur, utilisé par l’opérateur. Néanmoins, les préventeurs estiment que les exosquelettes présentent certaines limites, du moins dans leur définition actuelle. Ils ont l’inconvénient de reporter la contrainte physique sur d’autres parties du corps. Ces solutions restent pour l’instant assez coûteuses et doivent encore être considérées comme des prototypes avancés. Leur banalisation sur les chantiers devrait encore prendre quelques années. Gérard Guérit Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 71 jours

En France, Loxam retrouve ses niveaux de 2019

RÉSULTATS. Le loueur de matériels, Loxam, annonce des résultats 2021 records, dépassant les 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Il s'agit de "la meilleure année de son histoire".
Il y a 3 ans et 71 jours

Manitou sur BIM&CO

Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions digitales, le groupe Manitou a modélisé ses produits Manitou dédiés au marché de la construction. Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes, BIM modeleurs, ou encore projeteurs, peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un projet de chantier. Le choix de Manitou s’est orienté vers BIM&CO en raison notamment d’une intégration simplifiée des données dans la plateforme, d’une approche simple et ergonomique pour l’utilisateur, et de la possibilité de se doter d’une solution en constante évolution, pour une gestion plus efficace et collaborative. Manitou présentera en détails cette solution lors du salon BIM WORLD, le 5 et 6 avril 2022 à Paris. Cet article Manitou sur BIM&CO est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 75 jours

Velux verdit ses emballages

Le premier fabricant mondial de fenêtres de toit a décidé de supprimer les composants plastiques de ses emballages. Un choix qui simplifiera le tri des déchets des négoces et des artisans.
Il y a 3 ans et 77 jours

Du 21 mars au 16 Avril 2022, France MATERIAUX récompense la fidélité de ses clients avec

Afin d’augmenter et dynamiser le trafic en magasin et récompenser la fidélité de ses clients professionnels, France MATÉRIAUX, groupement national de négoces indépendants, propose à ses adhérents la mise en place de l’opération commerciale PRIM’O PRO du 21 mars au 16 Avril 2022. Ouverte à tous les professionnels clients des négoces France MATERIAUX participant à […]
Il y a 3 ans et 77 jours

"Nous observons une croissance à 3 chiffres sur le marché du pro", R. Labat, Mano Mano pro

INTERVIEW. Depuis 2019, la marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, est partie à la conquête des professionnels du Bâtiment avec Mano Mano Pro. Cette plateforme, qui affiche une croissance à 3 chiffres depuis sa création, accélère encore son développement. Roxane Labat, directrice marketing de Mano Mano Pro, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 77 jours

Manitou se « modélise »

Manitou Group, référence mondiale de la manutention, de l’élévation de  personnes et du terrassement, choisit la plateforme BIM&CO pour la modélisation de ses produits Manitou. Cette solution permet, via un logiciel d’architecture, de digitaliser son catalogue de produits  et de les rendre disponibles gratuitement depuis une bibliothèque accessible sur le site manitou.com. Retrouvez l’interview complète de Manitou sous ce lien. Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions  digitales, le groupe lance la modélisation de ses produits Manitou dédiés au marché de la construction.  Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes BIM modeleurs, ou encore projeteurs,  peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un  projet de chantier. Le BIM (Building Information Modeling) désigne les outils de modélisation des  informations de la construction, englobant toutes les phases d’un chantier, de sa conception à sa  déconstruction. Cette modélisation assure à l’utilisateur une expérience totalement immersive, tout  en lui apportant une aide à la prise de décision et à la rationalisation des coûts. Cette base de données  est gratuite et facilement accessible : une simple création de compte est suffisante pour accéder à  l’ensemble des modèles 3D. Arnaud Boyer, VP Marketing & Product Development pour Manitou Group, explique la mise en place  de ce nouveau service : “Notre transformation digitale s’accélère et doit permettre à nos clients d’être  encore plus performants sur leurs chantiers. C’est pourquoi Manitou propose des fichiers dynamiques au format BIM, qui s’inscrivent dans une approche collaborative du développement de projets. »  Découvrez l’intégralité du communiqué de presse sous ce lien.
Il y a 3 ans et 78 jours

Kingfisher : Castorama et Brico Dépôt confirment leur bonne santé en 2021

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, annonce des résultats en hausse, dans un contexte conjoncturel et géopolitique compliqué. Après quelques années difficiles, ses marques françaises, Castorama et Brico Dépôt affichent de nouveau des chiffres d'affaires en hausse.
Il y a 3 ans et 79 jours

Des salariés ukrainiens de Leroy Merlin demandent l'arrêt de l'activité en Russie

CONFLIT. Des salariés de Leroy Merlin en Ukraine se mobilisent suite au bombardement d'un point de vente à Kiev. Ils demandent au groupe Adeo, maison mère de l'enseigne de bricolage, de cesser leur activité en Russie.
Il y a 3 ans et 82 jours

La CAPEB demande au gouvernement de compléter rapidement ses mesures pour soutenir le bâtiment

S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du bâtiment. Pour remédier à ce phénomène, la CAPEB avait sollicité en urgence le Ministre Bruno Le Maire fin de semaine dernière pour lui demander de faire bénéficier le bâtiment des mesures du futur Plan de résilience économique et social.Ce plan, qui vise à atténuer les impacts de la crise (hausse des coûts des matières premières, de l’énergie et difficultés d’approvisionnement…) sur les entreprises, vient d’être dévoilé par le Premier Ministre Jean Castex. Si un certain nombre des mesures vont dans le bon sens, la CAPEB regrette que certaines propositions spécifiques à l’artisanat du bâtiment qu’elle avait émises n’aient pas été annoncées à ce stade et appelle le gouvernement à compléter les mesures annoncées.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Parce qu’elles ont été fortement impactées par le contexte sanitaire, les entreprises artisanales du bâtiment ne peuvent plus continuer à subir des hausses de coûts aussi importantes et imprévisibles. Il en va de leur survie ! Afin de contenir les effets de cette crise, nous avions rapidement proposé des mesures fortes au gouvernement à intégrer dans le Plan de résilience économique et social. Le discours du Premier Ministre cet après-midi semble montrer que le gouvernement n’a pas pris toute la mesure des conséquences de ce contexte sur l’activité des entreprises artisanales du bâtiment et sur le niveau de l’apprentissage et de l’emploi. Nous appelons donc le gouvernement à prendre des mesures complémentaires pour amortir cette nouvelle crise auprès de nos entreprises qui représentent 95 % de entreprises du bâtiment ! »La CAPEB réitère ses demandes auprès des pouvoirs publics afin que le Plan de résilience puisse être complété par les dispositions suivantes :Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Veiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs :participent activement au Comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement (initiative qui a permis d’inciter les acheteurs publics à faire preuve de compréhension et de souplesse dans l’application des règles des marchés publics) ;intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation ;assument les risques d’augmentation des prix avec la filière (solidarité et intérêts mutuels des acteurs : industriels, négoces, entreprises et clients) dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils maintiennent une stabilité des prix également durant au minimum trois mois (en effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours) ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Rendre enfin automatique, en marchés publics, l’application des pénalités de retard en cas de retard de paiement aux entreprises ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux.
Il y a 3 ans et 82 jours

La CAPEB demande au gouvernement de compléter rapidement ses mesures pour le bâtiment

S’y est ajoutée la hausse des prix de l’énergie depuis la fin 2021 qui s’accentue considérablement avec la guerre en Ukraine. Désormais, un certain nombre d’enseignes et d’industriels se refusent à s’engager sur les prix et les délais de livraison. Une situation brutale et particulièrement anxiogène pour les entreprises artisanales du bâtiment. Pour remédier à ce phénomène, la CAPEB avait sollicité en urgence le Ministre Bruno Le Maire fin de semaine dernière pour lui demander de faire bénéficier le bâtiment des mesures du futur Plan de résilience économique et social.Ce plan, qui vise à atténuer les impacts de la crise (hausse des coûts des matières premières, de l’énergie et difficultés d’approvisionnement…) sur les entreprises, vient d’être dévoilé par le Premier Ministre Jean Castex. Si un certain nombre des mesures vont dans le bon sens, la CAPEB regrette que certaines propositions spécifiques à l’artisanat du bâtiment qu’elle avait émises n’aient pas été annoncées à ce stade et appelle le gouvernement à compléter les mesures annoncées.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Parce qu’elles ont été fortement impactées par le contexte sanitaire, les entreprises artisanales du bâtiment ne peuvent plus continuer à subir des hausses de coûts aussi importantes et imprévisibles. Il en va de leur survie ! Afin de contenir les effets de cette crise, nous avions rapidement proposé des mesures fortes au gouvernement à intégrer dans le Plan de résilience économique et social. Le discours du Premier Ministre cet après-midi semble montrer que le gouvernement n’a pas pris toute la mesure des conséquences de ce contexte sur l’activité des entreprises artisanales du bâtiment et sur le niveau de l’apprentissage et de l’emploi. Nous appelons donc le gouvernement à prendre des mesures complémentaires pour amortir cette nouvelle crise auprès de nos entreprises qui représentent 95 % de entreprises du bâtiment ! »La CAPEB réitère ses demandes auprès des pouvoirs publics afin que le Plan de résilience puisse être complété par les dispositions suivantes :Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Veiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs :participent activement au Comité de crise du BTP mis en place par le gouvernement (initiative qui a permis d’inciter les acheteurs publics à faire preuve de compréhension et de souplesse dans l’application des règles des marchés publics) ;intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation ;assument les risques d’augmentation des prix avec la filière (solidarité et intérêts mutuels des acteurs : industriels, négoces, entreprises et clients) dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils maintiennent une stabilité des prix également durant au minimum trois mois (en effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours) ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Rendre enfin automatique, en marchés publics, l’application des pénalités de retard en cas de retard de paiement aux entreprises ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux.
Il y a 3 ans et 83 jours

Découvrez le nouveau plan stratégique de Mr Bricolage pour 2022-2025

STRATÉGIE. Le groupe Mr.Bricolage affiche une croissance sur 2021 portée par son plan Rebond qu'il vient d'achever. Pour la période, 2022-2025, il déploie un nouveau plan baptisé 1pacte. Découvrez les principaux objectifs et axes de travail de celui-ci.
Il y a 3 ans et 84 jours

Watts invite les installateurs à « vibrer au rythme de l’été » avec sa traditionnelle opération de fidélité

Du 1er avril au 30 juin 2022, Watts organise dans les négoces son opération promotionnelle printanière sur les produits phares de ses marques Desbordes et Watts. A cette occasion, pour dynamiser les ventes de réducteurs de pression de la marque Desbordes en magasins, Watts propose aux professionnels une multitude de cadeaux en fonction de la quantité achetée. Selon le colis (4, 6, 8 ou 15 réducteurs de pression), ils peuvent ainsi recevoir une enceinte JBL Partybox, une carte Watts Pro créditée de 1000 points à utiliser sur le site www.wattspro.fr destiné à récompenser la fidélité des installateurs, ou encore une tireuse à bière portable. Cette opération promotionnelle concerne également les groupes de sécurité inox et les siphons SFR où pour toute commande de 10 unités, le professionnel a le choix entre deux lots ; ainsi que le kit de fixation ROBIFIX + à sertir ou à glissement, pour lequel la marque offre une carte Watts Pro de 200 points. Pour la première fois, Watts propose une nouveauté côté accessoires de robinetterie : pour tout achat de 15 robinets d’arrosage et d’appliques traversée de cloison, les professionnels peuvent obtenir une carte Décathlon d’une valeur de 30 €. Enfin, pour s’informer sur cette promotion du printemps, les clients trouveront, dans les points de vente, des flyers détaillant toutes les modalités pratiques de l’opération. http://www.wattswater.fr/
Il y a 3 ans et 85 jours

Négoce à horizon 2030 : entre mutations numériques et énergétiques

RÉFLEXION. Le négoce connaît actuellement de fortes mutations. A l'occasion d'une visio-conférence du Batiactu Business Club, qui a eu lieu jeudi 10 mars, Sonepar, Bigmat et l'observatoire des métiers du négoce et des matériaux de construction ont livré leur analyse des défis à relever.
Il y a 3 ans et 91 jours

Nouvelles bases à teinter CECIL PROFESSIONNEL

Les finitions couleur sont très tendance et permettent d'animer, décorer et personnaliser les intérieurs comme les extérieurs. Dynamique, le segment des peintures intérieures (blanc et finitions couleur) représente près de 54 % des parts de marché en France et les peintures façades 19 %*. CECIL PROFESSIONNEL offre un service de mise à la teinte, via ses concepts machine à teinter, qui permet d'obtenir des teintes sur-mesure.
Il y a 3 ans et 91 jours

France Matériaux récompense la fidélité de ses clients avec Prim’o Pro

Afin d’augmenter et dynamiser le trafic en magasin et récompenser la fidélité de ses clients professionnels, France MATÉRIAUX, groupement national de négoces indépendants, propose à ses adhérents la mise en place de l’opération commerciale PRIM’O PRO du 21 mars au 16 Avril 2022. Ouverte à tous les professionnels clients des négoces France MATERIAUX participant à l’opération, PRIM’O PRO récompense leur fidélité, du 21 mars au 16 Avril 2022, grâce à une mécanique simple. Les entreprises et les artisans souhaitant prendre part et tenter de gagner un des nombreux cadeaux, doivent faire parvenir leurs coordonnées accompagnées d’une preuve d’achat (copie de leur bon d’enlèvement ou de livraison) correspondant à un montant minimum de 500 euros HT par email, sms ou courrier au siège de l’enseigne. Ils peuvent aussi, simplement, se connecter sur le site internet www.france-materiaux.fr, rubrique « Le blog France Matériaux / Actualités » pour accéder au formulaire PRIM’O PRO. Plus le professionnel achète, plus il a de chance de gagner, par tirage au sort, un des nombreux lots mis en jeu, dont le premier est un week-end pour deux personnes dans une ville européenne d’une valeur de 1000 euros. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 3 ans et 91 jours

L’ambition d’Eco-mobilier pour le recyclage des produits et matériaux du Bâtiment

« La première raison de la candidature d’Eco-mobilier, ce sont ses adhérents. Les enseignes de bricolage, du négoce matériaux et les industriels des panneaux de process, notamment, sont concernés par ces nouvelles obligations de recyclage des produits et matériaux de construction. Nous souhaitons fidéliser ces clients et compléter nos services actuels en offrant une solution complète, simple et multi-produits. Nous nous adressons plus largement aux clients de ces distributeurs, les particuliers et les artisans. Élargir notre périmètre va nous permettre de massifier les collectes et proposer ainsi un coût économique et écologique maitrisé pour le consommateur qui paie le recyclage de ses produits au travers de l’éco-participation. Eco-mobilier est le premier fournisseur de bois de recyclage, de mousses recyclées et fournit aussi des résines et textiles recyclés. Notre objectif est de capitaliser au maximum sur nos forces.Pour les artisans, la clé c’est la proximité du point de collecte. Nous nous appuyons sur le plus gros réseau existant en France : 5500 points de collecte et 3600 déchèteries publiques. Les déchèteries publiques ouvertes aux artisans ne devront plus être les seuls points de collecte pour les artisans. Nous devons équiper les points de vente du négoce et les déchèteries privées pour étendre ce maillage afin de proposer à chaque artisan un point de collecte gratuit à moins de 10 km de son chantier dès le 1er janvier 2023. L’artisan disposera d’une carte et d’une application de géolocalisation simple et informative.Pour le bois, la massification de la collecte, déjà volumineuse chez Eco-mobilier (750.000 tonnes en 2021), permettra d’optimiser le schéma opérationnel avec un tri à la source. Les acteurs de la filière Bois ont un intérêt à se rassembler autour du projet présenté par Eco-mobilier dans le climat actuel tendu sur les matières premières. Se rassembler permet de maîtriser l’éco-participation et permet aussi de prendre possession de ces matières recyclées pour en maitriser les débouchés et renforcer la stratégie industrielle de recyclage sur le territoire national. Eco-mobilier possède déjà le réseau d’opérateurs nécessaire, puisque nous avons 600 partenaires industriels.L’investissement d’Eco-mobilier est fort en innovation et R&D dans le domaine de l’éco-conception à partir du bois et des mousses. Nous poursuivons cet engagement. C’est important dans la filière bâtiment car l’innovation matériaux est très forte et nous devons être à la hauteur des exigences des entreprises et de leurs clients. Notre ambition est d’être autonome en France en termes de capacité de recyclage et que les déchets soient recyclés le plus près possible de leur lieu de production. Ce sont des économies logistique et d’impact carbone. C’est une sorte de patriotisme écologique que j’assume totalement ».
Il y a 3 ans et 92 jours

Maison, bricolage, jardinage : le e-commerce s'impose-t-il auprès des Français ?

ÉTUDE. Alors que la crise sanitaire a dynamisé les marchés du bricolage et de la maison, comment les Français effectuent leurs achats ? Le e-commerce s'impose-t-il progressivement ? Éléments de réponse via le couplage des résultats de deux études.
Il y a 3 ans et 92 jours

Herige entre au capital de Valobat

Le groupe Herige entre au capital de Valobat. [©Herige] Spécialiste dans l’industrie et de la distribution du bâtiment, Herige entre au capital de Valobat. Ce dernier étant candidat à l’agrément d’éco-organisme pour la Rep PMCB1. Avec ses 3 activités dans le BPE (Edycem), la menuiserie (Atlantem) et le négoce de matériaux de construction (VM), Herige prend déjà part à des filières de recyclage. En témoigne la démarche d’Atlantem avec la création de Menrec, un centre de recyclage situé à Saint-Allouestre (56). Le choix de Valobat illustre donc son ambition de participer au succès de la Rep. Ainsi que de s’engager dans l’économie circulaire du bâtiment. Valobat et Herige : Des valeurs communes Avec cette entrée au capital de Valobat, Herige entame une nouvelle étape majeure dans la conduite de sa feuille de route. « Nous plaçons les enjeux sociétaux et environnementaux au cœur de notre stratégie, en nous engageant concrètement en faveur du développement de l’économie circulaire, du recyclage et de la RSE », déclare Benoît Hannaut, président du directoire de Herige. Lire aussi : L’UICB entre dans le capital de Valobat Et d’ajouter : « Un déchet doit être considéré telle une véritable matière première à reconfigurer. C’est toute l’opportunité que propose la Rep : recycler et réemployer de manière organisée et structurée. C’est aussi une opportunité de croissance, de valorisation, de création de nouvelles professions et d’innovation en matière d’éco-conception. Ceci, pour limiter l’impact environnemental de nos produits tout au long de leur cycle de vie. » 1Responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 92 jours

WEBEREXPERT TOUR 2022 – Weber va à la rencontre de ses clients dans plus de 100 négoces en France

Weber continue d’élever la proximité au rang de valeur essentielle et renforce encore l’accompagnement de ses clients artisans comme de ses partenaires distributeurs. Ainsi, plus d’une centaine de rencontres vont être organisées cette année dans des négoces partout en France (Corse comprise) avec un dispositif itinérant qui allie expertise et convivialité. Une occasion privilégiée de […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Refonte du site internet KP1: plonger dans l’univers digital du spécialiste de la préfabrication

Le digital est un marqueur fort de l’ADN de KP1. Il témoigne de sa volonté d’accompagner et de faciliter toujours plus le travail des professionnels (entreprises de gros-œuvre, négoces en matériaux, prescripteurs du bâtiment et constructeurs de maisons individuelles). La refonte de son site internet est pensée dans cet esprit.   L’interface, moderne et intuitive, a […]
Il y a 3 ans et 93 jours

Weber à la conquête de la France

Weber se lance à la rencontre de centaines de négoces partout en France. [©Weber] Weber se lance dans un tour de France. La filiale du groupe Saint-Gobain a annoncé son Weberexpert Tour 2022, prévu entre mars et novembre. Cet événement permet de faire découvrir à des négoces situés partout en France les solutions Weber, via des démonstrations et des conseils. Qu’il s’agisse d’une rénovation de façade ou de la pose d’un carrelage, les clients bénéficieront aussi de vidéos ou de bornes digitales pour accéder à un ensemble de tutoriels. Ainsi, plus d’une centaine de rencontres vont être organisées cette année. Pour sa première étape, l’industriel a déjà rejoint les Alpes-Maritimes, et plus précisément à Cagnes-sur-Mer. Weber au service de ses clients Lors de cette opération, Weber propose des espaces de rencontres, d’échanges, d’expositions et d’expérimentations. Parmi ses installations, “l’atelier des experts” devrait être le stand le plus convoité. Il accueille une sélection de produits phares, d’innovations et la gamme “éco-conçue”. Très sollicitée par les professionnels de la construction, cette dernière présente diverses solutions biosourcées ou à empreinte carbone réduite. Lire aussi : Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical Permettant ainsi de répondre aux nouveaux enjeux environnementaux. En parallèle, la caravane du tour fait office de “café”, où sont servis petits-déjeuners, déjeuners et collations. Un “jeu des experts” est enfin organisé. Il permettra aux participants de gagner de nombreux lots. De quoi renforcer les relations entre les artisans et l’industriel.
Il y a 3 ans et 96 jours

Négoce Connecté, le rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB

Comment transposer les atouts historiques du négoce dans un univers omnicanal et mobile first ? Quel peut être le rôle des négoces dans un monde dominé par les plateformes telle qu’Amazon et où les grandes marques sont tentées par la vente directe ? Comment répondre aux évolutions des comportements d’achat des PME, des pros, des artisans ?Autant de questions passionnantes qui seront abordées, jeudi 24 mars 2022 par des dirigeants et acteurs du négoce devant un public de retailers du secteur. Ne manquez pas la seconde édition du rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB organisé à Paris par Diamart Connect.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/Pourquoi participer à cet événement ?C’est une journée pour networker avec plus d’une centaine de décideurs et rencontrer des partenaires innovants comme Unifai, Mirakl, Alkemics, Akeneo ou encore Sum Up.Une deuxième édition avec un programme enrichi : 4 tables rondes de haut vol avec des dirigeants pour partager leur vision du négoce de demain :Des rencontres avec les solutions technologiques les plus pertinentes lors de One-to-One qualifiés, une journée ponctuée d’échanges et de networking entre acteurs clés du secteur.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/* invitation gratuite pour tous les cadres et dirigeants du négoce et commerce B2B, sous réserve de programmer 2 à 3 rendez-vous one-to-one avec des acteurs technologiques qualifiés
Il y a 3 ans et 98 jours

5 points clés pour le secteur du bâtiment en 2022

Une seconde vie pour les anciens bâtimentsAvec la pandémie, les mesures de santé publique ont transformé des maisons en bureaux et laissé des immeubles de bureaux vides. Si certains de ces changements se sont atténués, l’utilisation des bâtiments a véritablement changé : la fréquentation des bureaux ne sera plus la même, le télétravail et travail hybride vont perdurer et le commerce physique ne récupérera jamais complètement le terrain perdu.En parallèle, l’immobilier résidentiel fait face à une pénurie de logements que les nouvelles constructions ne peuvent combler en raison d’un manque de matériaux, de main-d'œuvre et de terrains. Dans un secteur où certains types de biens sont surabondants, alors que d’autres sont insuffisants, les entreprises devront faire de réels efforts pour relever les défis de la réaffectation des bâtiments, qui constituent des opportunités importantes afin de répondre à l'évolution des besoins immobiliers.L'énergie au cœur de la refonte de l'utilisation des bâtimentsLes évolutions observées dans l'utilisation des bâtiments au cours des deux dernières années, sont survenues alors que des changements avaient déjà été opérés afin de répondre à la pression réglementaire et sociétale pour une plus grande efficacité énergétique. Cela implique de meilleures approches de l’efficacité des bâtiments, en termes de conception, modernisation et système de gestion de l’énergie des bâtiments.Par exemple, l'adoption croissante des véhicules électriques, entraînera une demande accrue d'énergie électrique. Dans le même temps, les arguments économiques en faveur des énergies renouvelables à petite échelle entraineront les déploiements de panneaux solaires. Ces développements conduiront les bâtiments à devenir à la fois consommateurs et producteurs d'électricité. On parlera alors de "prosumers" pour décrire la manière dont les propriétaires gèrent cette nouvelle relation avec l'électricité. La façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure énergétique est depuis longtemps essentielle. Néanmoins, l’impact de l’évolution des besoins des consommateurs sur le réaménagement des bâtiments conduira à renforcer cette interaction. Les appels d'offres devraient donc être naturellement de plus en plus axés sur les questions de gestion énergétique.La digitalisation comme catalyseurLes technologies et les approches traditionnelles ne suffisent plus aujourd’hui pour que les changements majeurs dans la façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure électrique soient viables. Les technologies intelligentes, y compris les compteurs intelligents, deviendront essentielles pour permettre aux bâtiments de réinjecter de l'énergie dans le réseau et pour fournir aux opérateurs de réseau des informations sur la consommation d’énergie de chaque bâtiment.Le réseau d'un bâtiment individuel peut être rendu plus polyvalent et plus flexible grâce à la technologie numérique. Les systèmes électriques intelligents des bâtiments sont capables de réagir aux conditions du réseau, par exemple en chargeant les véhicules électriques aux heures de faible demande. Alors que le système électrique global continue de se transformer, les systèmes numériques offriront la flexibilité et l'adaptabilité nécessaires à chaque étape de la production et de l'utilisation de l'énergie. Ces changements amènent à une relation plus intelligente, plus réactive entre les bâtiments et l'infrastructure. Des projets démontrant la valeur de ce type d'approche sont déjà en cours, la gestion intelligente de l'énergie va devenir un élément essentiel de réponse à la crise climatique.La sécurité des bâtiments redéfinieAvec la pandémie, les autorités de santé publique tentent de comprendre la dynamique de la transmission virale et l'impact des interventions telles que l'augmentation de la ventilation sur le fonctionnement des systèmes de gestion des bâtiments. Il est important de trouver un équilibre entre la sécurité des personnes et le maintien des activités quotidiennes.Parallèlement, il sera indispensable d'identifier le profil de risque de cybersécurité des bâtiments, car les systèmes intelligents peuvent constituer des failles dans leur structure, au niveau des tableaux de distribution électrique et des équipements de chauffage, ventilation et climatisation. Ces éléments doivent être considérés comme faisant partie d'un système global complexe et cohérent, et non comme des questions distinctes pouvant être traitées de manière isolée. Il est donc probable que de nouvelles normes de sécurité des bâtiments se développent au cours des prochaines années.Des liens plus étroits entre les bâtiments et les autres secteurs d’activitéDe nombreux facteurs tels que les préoccupations sur le climat ou bien la pression du public pour répondre à des besoins changeants vont impacter les évolutions de ce secteur. Il est ainsi nécessaire d’impliquer un ensemble large de parties prenantes confrontées à leurs propres défis de transformation.La connexion entre les différentes industries peut être facilitée par le processus connu sous le nom de « couplage sectoriel », c’est-à-dire l’électrification des transports et des bâtiments tertiaires et industriels.Un bon couplage sectoriel dans le secteur du bâtiment permettra de soutenir et d'accélérer la décarbonation grâce à un réseau plus résilient, à une production décentralisée et à une utilisation intelligente de l'énergie qui s'adapte à l'offre. Il s'agit là d'un élément essentiel de la transformation énergétique. L’évolution de l’utilisation des bâtiments offre à ce même secteur une occasion unique de contribuer au processus.Tribune par Laëtitia Tran-Rodeghiero, Commercial Buildings Segment Manager chez Eaton Electrical France (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 99 jours

Transformer le bâti pour "ne pas faire de ghettos de vieux"

Francis Rambert est le commissaire de ce focus sur des projets pensés pour maintenir les anciens au cœur de la ville ou du village.Question : En 2060, plus de 17% de la population en France aura plus de 75 ans, contre 9,5% actuellement selon l'Ined. Comment répondre au défi du vieillissement de la population et de la gérontocroissance ?Réponse : Chez les plus de 80 ans, 83% sont autonomes, et dans les 17% restants, seuls la moitié sont dans des Ehpad. Avec cette exposition, nous défendons la thèse qu'il est possible de rester chez soi le plus tard possible dans un bon logement, quelle que soit sa taille.La question du bien vieillir ensemble pose celle de l'insertion des anciens dans la ville. Comment ne pas faire de ghettos de vieux ? Il s'agit de réfléchir autrement la question du logement.Les architectes savent justement élaborer des projets de vie avec un espace qui soit le plus vivable possible et soit autre chose qu'un couloir qui distribue des chambres.A Barcelone, à 300 mètres de la cathédrale gothique, il existe une résidence pour personnes âgées conçue dans le cadre de la transformation d'un marché, un projet qui illustre la détermination d'une ville à dire : nos personnes âgées méritent encore plus d'attention".Q- L'urbanisme des grands ensembles en France permet-il cette adaptation au 4e âge ?R- Dans les Trente Glorieuses, il fallait rééquiper la France, il y avait une demande de logements énorme et donc on a construit très vite. L'entretien de ces grands ensemble peut poser question, de même l'espace public parfois un peu oublié ou mal traité. Mais certains ensembles marchent très bien, comme le prouve la réhabilitation du quartier du Grand Parc à Bordeaux. Une structure a été bâtie en plus devant le bâtiment existant, ce qui a agrandi les logements. Il y reste des personnes âgées déjà présentes au moment de la construction dans les années 60. Il n'est pas besoin de mettre ces personnes dehors au motif que leurs logements sont soit-disant devenus obsolètes. Le fait de ne pas démolir fait que vous pouvez hériter d'une situation que vous améliorez. On peut reconquérir dans un paysage bâti un espace pour créer des conditions sociales du vivre ensemble. Le patrimoine existant est transformable, ce qui a également été le cas par exemple de la Grande poste à Strasbourg (réhabilitée notamment en bureaux et résidence pour seniors).Q- Le logement collectif est-il la solution ?R- Certains ne veulent pas vivre seuls ou n'ont plus envie de vivre dans des grands appartements. L'architecture doit s'adapter à cela. A Maisons-Alfort, la ville a décidé d'implanter un équipement pour les anciens au cœur de la ville, au milieu d'un parc lui-même entouré d'un urbanisme des années 60, fait de tours et de barres. Dans le bâtiment, les parties communes sont dilatées pour que les couloirs deviennent des lieux où vous avez envie de vous asseoir et discuter avec les voisins.Il est possible aussi d'adapter des sites parfois très urbanisés. Ainsi dans le XVe arrondissement, à Paris, dans une ancienne friche industrielle avec des tas de logements autour, trois programmes différents s'articulent : une résidence sociale pour des femmes battues, un équipement pour la petite enfance et un Ehpad. Chacun vit dans des temporalités différentes mais ils peuvent se rencontrer. Cela fait aussi vivre le quartier. La mixité est de mélanger les générations à toutes les échelles, comme à Nancy où, dans un petit bourg, un bâtiment existant et délaissé a été transformé en trois appartements pour des personnes âgées et deux pour des familles plus jeunes. La mixité générationnelle et le dialogue sont donc tout à fait possibles.
Il y a 3 ans et 100 jours

Saint-Gobain annonce des résultats record en 2021 grâce à l'isolation des logements

Le groupe français a annoncé un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros en 2021, en hausse de 15,8% par rapport à celui de 2020.Son résultat net a quintuplé à 2,5 milliards d'euros contre 456 millions en 2020, et 1,4 milliard en 2019.Le résultat net courant s'inscrit à un "record historique" de 2,8 milliard d'euros. Et, "pour la première fois", le groupe a atteint "une marge à deux chiffres" (+10,2%), a indiqué son directeur-général Benoit Bazin au cours d'une conférence téléphonique.Le groupe a vécu une "très belle année 2021", a résumé M. Bazin qui a pris les rênes du groupe mi-2021, succédant à Pierre-André de Chalendar.Il attribue les résultats notamment à son modèle d'organisation local. Celui-ci lui permet de réagir au plus près des demandes de ses clients, et notamment de régler les problèmes d'approvisionnement qui se sont multipliés en 2021 avec la crise logistique qui a suivi les confinements, mis à profit par beaucoup de gens pour rénover leur intérieur ou isoler leur logement."35 millions de bâtiments à rénover en Europe""Il y a 35 millions de bâtiments à rénover et isoler en Europe d'ici 2030" pour faciliter la transition énergétique, a souligné M. Bazin, qui compte pour 2022 sur l'ouverture du marché de la rénovation des bâtiments publics en France, et sur l'ouverture de mesures de soutien dans la rénovation énergétique en Allemagne.En France, l'an passé, le groupe a tiré parti du dispositif de soutien aux ménages MaPrimeRenov' qui représente quelque 2 milliards d'euros distribués pour plus de 800.000 dossiers.Il a aussi bénéficié de "trois à cinq millions d'euros" de subventions distribuées dans le cadre du plan de relance pour investir sur des projets de décarbonation liés notamment à l'achat de fours électriques, a indiqué M.Bazin.Deuxième explication évoquée par le dirigeant pour expliquer les bons résultats : une "allocation rigoureuse et disciplinée du capital".En clair, le groupe s'est délesté l'an passé d'actifs jugés "sous performants" ou pas suffisamment dans ses priorités stratégiques, comme la chaine française d'ameublement Lapeyre, alors qu'il a investi dans des acquisitions jugées "rentables", notamment dans le secteur de la chimie de la construction.Enfin, Saint Gobain s'est aussi félicité de "fortes avancées" sur les aspects sociaux et environnementaux. En particulier il s'est dit "en ligne" avec son objectif de réduire de 33% ses émissions de gaz à effet de serre (scope 1 et 2) d'ici 2030, validé par l'organisme Science-Based target (SBT).Alors que les déchetteries sauvages liées aux déchets du bâtiment continuent de se multiplier en France, le groupe affirme avoir baissé de 24% le volume de ses déchets non valorisés depuis 2017.Il a aussi souligné que les investissements en Norvège visant à faire de son usine de Fredikstad la première usine du monde de plaques de plâtre neutre en carbone "ont bien progressé".Les actionnaires sont récompensés : le conseil d'administration de jeudi a décidé du versement d'un dividende de 1,63 euro par action, en hausse de 23% par rapport à celui de 2020, ce qui représente 30% du résultat net courant.Le groupe allouera aussi "au moins" 400 millions d'euros en rachat de ses propres actions en 2022 pour continuer à réduire le nombre de ses titres en circulation. Le prix d'achat sera relevé de 80 à 100 euros par action.
Il y a 3 ans et 104 jours

Quelles (r)évolutions pour le négoce à horizon 2030 ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Transitions numériques et énergétiques, attentes client... Comment le négoce effectue sa mue ? C'est à cette question que Bigmat, Sonepar et l'Observatoire des métiers du négoce et des matériaux de construction répondront le jeudi 10 mars de 9h30 à 11h à l'occasion d'une visio-conférence organisée par Batiactu.
Il y a 3 ans et 106 jours

Castorama se lance dans le reconditionnement de produits

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. L'enseigne de bricolage, Castorama, a noué un partenariat avec la plateforme de vente de produits reconditionnés, Back Market, afin de pouvoir y vendre des produits remis en état.
Il y a 3 ans et 106 jours

Rockwool remporte le trophée de la Relation Commerciale France Matériaux

Chaque année France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, adresse à ses 147 adhérents un formulaire pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l'offre et qualité de service. Véritable reconnaissance par les paires, les fournisseurs les mieux notés sont alors récompensés par le Trophée France Matériaux. Parmi les Lauréats 2022, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, s’est vu attribuer le Trophée de la Relation Commerciale. En 2020 ROCKWOOL avait déjà reçu une récompense aux Trophées du Négoce dans la catégorie « Service aux négoces » pour sa plateforme intuitive Rockcommerce, une plateforme digitale sur mesure permettant aux clients ROCKWOOL d’harmoniser et d’optimiser la réalisation de l’ensemble des démarches, le tout de manière autonome : consulter l’ensemble des fiches produits, passer une commande de manière simplifiée, effectuer un tracking en temps réel sur les livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver les factures.« Nous remercions tous les adhérents de France Matériaux qui à travers ce prix viennent souligner le travail des équipes du service commercial de ROCKWOOL. En effet, ce sont eux qui forment cette dynamique commerciale positive et centrée sur la satisfaction du client. Aujourd’hui c’est l’ensemble de ces efforts pour accompagner et conseiller nos clients qui est récompensé par le Trophée France Matériaux.» commente Sébastien Flament, Directeur Régional Sud Est de ROCKWOOL
Il y a 3 ans et 106 jours

URSA : Opération ‘Coup double pour la planète’

URSA poursuit son engagement au service de l’environnement et invite ses clients, Négoces, GSB et Installateurs, dans cette dynamique vertueuse Objectif : un maximum d’arbres plantés Pour contribuer toujours davantage à la protection de l’environnement, URSA, spécialiste de l’isolation laine de verre minérale et polystyrène extrudé (XPS), vient de lancer l’opération spéciale   »Coup double pour […]
Il y a 3 ans et 110 jours

Tout Faire 2022 : une nouvelle ère se dessine pour le 1er groupement indépendant de négoce

Retransmis en direct auprès de plus de 500 personnes et de 1000 personnes présentes lors de la soirée, il a été l’occasion de présenter ses ambitions et ses grands axes stratégiques de développement pour cette nouvelle année qui s’annonce pleine de promesses.Cette année sera l’année de l’innovation, du changement et de la transformation pour le groupement de négoces qui souhaite se restructurer sur différents points.Une nouvelle identité graphique simplifiée et épurée, mais qui conserve son authenticitéTout Faire Matériaux réalise une refonte de sa charte graphique, et devient désormais Tout Faire ! Depuis sa création, le groupement a fortement évolué et s’est diversifié. Au-delà de leur qualité de négociant, les adhérents proposent à leur client particulier et pro tout un éventail de solutions pour la maison. Puisque chaque adhérent est unique, Tout Faire souhaite que chacun conserve son indépendance et sa personnalité qui lui est propre. Pour cela, le nom du point de vente sera également davantage mis en avant sous le logo du groupement.Les couleurs symboliques jaune et noir, ainsi que le symbole de la maison propre à Tout Faire sont conservés mais le logo a été simplifié, épuré et modernisé.Un nouveau concept magasin pour être encore plus proche de ses clientsTout Faire a conçu, avec un cabinet d’architecte, de nouveaux aménagements pratiques et intelligents pour ses magasins afin de répondre aux nouvelles attentes des professionnels et des particuliers. Ils ont été pensés à l’image du groupement pour être encore plus accueillants et chaleureux. Chaque magasin sera organisé sous forme de module pour clarifier les offres et les services proposés pour un parcours client plus facile et plus compréhensif. Ce nouveau concept sera flexible et adaptable à toutes les situations pour que chaque adhérent s’y retrouve et s’y sente bien. Les magasins ne sont pas seulement la vitrine des produits, ils sont aussi l’incarnation même des valeurs du groupement et de chacun de ses adhérents.Et le service a une place toute particulière puisqu’elle fait partie de l’ADN de Tout Faire. C’est pourquoi, ce nouveau concept magasin met particulièrement l’accent sur des outils simples et pratiques qui ont pour but de simplifier la vie des clients : un système de box collect sera mis à la disposition devant les magasins pour retirer ses commandes plus facilement et plus librement. Le comptoir d’accueil sera réaménagé pour une meilleure prise de contact, et des espaces de travail seront mis à la disposition des particuliers et des professionnels afin de construire ensemble, leurs projets futurs.Ces premiers concepts magasins seront mis en place à Angoulême et à Valence.Des magasins qui passent au vert pour devenir des acteurs écologiques actifs et dynamiquesLe vert : une troisième couleur à intégrer au nouveau Tout Faire. Pour cela, le groupement veut dépasser les attentes réglementaires pour devenir une référence dans la réduction de leur impact écologique et de la rénovation écologique.La consommation d’énergie des bâtiments sera réduite avec la révision des systèmes de chauffage et de luminaires. Une énergie verte sera créée avec la disposition de panneaux voltaïques sur les toits des 480 points de vente et sur les parkings.Pour accompagner ses adhérents dans cette nouvelle ère plus verte, Tout Faire a identifié un bureau d’études expert pour les aider à entreprendre les démarches administratives, les études techniques, les déclarations diverses et le montage du dossier de financement.L’empreinte plus verte du groupement passera également par la valorisation des produits Made in France, du savoir-faire français et des valeurs de ruralité et de proximité auprès des locaux. L’empreinte carbone est ainsi réduite. Il prône également la réduction de son impact environnemental en choisissant des matériaux biosourcés.L’école Tout Faire valorise, forme et accompagne ses talents de demainL’école Tout Faire fait son grand retour ! Le groupement souhaite ainsi assurer la transmission des savoir-faire des métiers de négoce. Ces formations assureront ainsi aux fournisseurs et aux partenaires que leurs produits et leurs innovations seront mis en valeur auprès de la clientèle. Elles permettront d’accueillir les nouveaux collaborateurs et de les familiariser avec les valeurs du groupement. Plusieurs formations, reconnues et certifiées par l’État, seront proposées à partir de mars, dont celle pour devenir chef d’agence de niveau Bac+2 ou bien la formation commerciale, de niveau Bac.Ce sera l’occasion pour les collaborateurs actuels et futurs de partager leurs meilleures pratiques et de développer leur expertise. Ces formations garantissent ainsi aux fournisseurs et aux partenaires que leurs produits et leurs innovations soient mis en valeur auprès de la clientèle. Elles seront sous forme de classrooms, soit en physique, soit en e-learning digitale ou en mode mixte.Après ces annonces, place à l’action ! Ces dispositifs seront pour certains à découvrir dans les prochains mois et progressivement pour l’ensemble des adhérents Tout Faire.
Il y a 3 ans et 111 jours

Procès du balcon effondré : "un jour ou l'autre", il serait tombé, selon les experts

"On peut penser à une forme de bricolage", lâche Pierre Lemaire, devant les magistrats d'Angers, qui jugent cinq prévenus pour homicides et blessures involontaires. L'ingénieur conseil, expert agréé par la cour de Cassation, résume d'un mot l'"environnement général" des travaux réalisés en 1997-1998 sur la résidence Le Surcouf : "médiocre".A la demande des juges d'instruction, M. Lemaire et son confrère Gérard Caussé-Giovancarli ont réalisé l'expertise principale sur l'effondrement de ce balcon, lors d'une pendaison de crémaillère, le 15 octobre 2016.Le béton, à la porosité "très élevée", a ainsi été "mouillé", c'est-à-dire qu'"il y a eu des ajouts d'eau au moment du moulage pour faciliter sa mise en oeuvre", ont expliqué les experts. "Toutes les entreprises savent très bien qu'on n'a pas le droit de le faire", a souligné M. Lemaire.De mauvaise qualité, "pas correctement vibré", ce béton contenait également "de nombreuses bulles d'air".Les aciers, qui ont "un rôle prépondérant dans la stabilité de la dalle", étaient en outre "très mal positionnés" car "beaucoup trop bas", ont aussi souligné les ingénieurs conseils.Enfin, la reprise de bétonnage entre le bâtiment et le balcon a été mal réalisée. Or, "la reprise de bétonnage joue un rôle essentiel dans ce genre d'accident", a noté M. Caussé-Giovancarli, qui avait rencontré une situation similaire après la chute du balcon du député-maire d'Issy-les-Moulineaux André Santini (UDF), en janvier 2007. Le balcon en avait à l'époque entraîné six autres dans sa chute, sans faire de victimes."Aciers rouillés et dégradés"A Angers, la surface était "lisse au niveau du collage", alors qu'elle aurait dû être en biseau avec des aspérités pour permettre une meilleure adhérence. Au fil des ans, une fissure s'est ouverte, laissant l'eau s'infiltrer et les aciers s'oxyder."Les aciers étaient plus que rouillés, ils étaient dégradés dans leur masse", a souligné M. Lemaire. Du fait de cette "corrosion progressive", "le balcon serait tombé tout seul, quelques années plus tard", a-t-il ajouté."Un jour ou l'autre, sous son propre poids, la dalle de béton risquait de tomber", a confirmé M. Causse-Giovancarli.Pour couronner le tout, les travaux ont été menés sans respecter les plans de l'ingénieur béton, qui avaient été conçus pour des balcons préfabriqués et non pour des balcons coulés sur place. Si ces plans avaient été suivis, le balcon aurait pu supporter 35 personnes, soit près de deux fois le nombre de victimes le soir du drame."Dès le début de la construction de l'immeuble, on a donc décidé de mettre les plans à la benne ?", a interrogé Me Louis-René Penneau, avocat des parties civiles."Quasiment au début du chantier", a confirmé M. Causse-Giovancarli. "Pendant des mois, les aciers étaient au vu de tout le monde, ça aurait dû attirer l'oeil" sur ce changement de mode de construction, a-t-il en outre pointé.D'autant que le cabinet de l'architecte Frédéric Rolland, 66 ans, "avait une mission complète de maîtrise d'oeuvre", comprenant la direction des travaux et lui demandant de "viser les plans d'exécution de l'entreprise", a souligné l'expert.A l'ouverture du procès, M. Rolland s'était présenté comme un "homme de l'art", tourné "exclusivement sur la recherche de la création d'un concept"."A aucun moment je ne fais de calcul de dalles et de ferraillage", avait-il assuré.Le procès doit se terminer le 4 mars.
Il y a 3 ans et 111 jours

Un nouveau directeur d'enseigne pour Brico Dépôt

CARNET-NOMINATION. L'enseigne de magasin de bricolage français de Kingfisher, Brico Dépôt, vient de nommer Laurent Vittoz au poste de directeur d'enseigne.
Il y a 3 ans et 111 jours

Etat des lieux du secteur du négoce de matériaux de construction

GROS PLAN. Comment s'est porté le secteur du Négoce des matériaux de construction en 2020 ? Quel est le profil des salariés ? Quelles sont les perspectives d'emplois et les métiers recherchés ? Réponses avec le rapport de branche annuel de l'Observatoire des métiers du Négoce des matériaux de construction.
Il y a 3 ans et 112 jours

Rapport de branche du négoce des matériaux de construction sur l'exercice 2021

Emploi : malgré la crise, une hausse des effectifs et des perspectives d’emploi soutenuesL’enquête réalisée en 2021 pour l’exercice 2020 s’est faite auprès des 3.551 entreprises de la branche - dont 77 % de moins de 11 salariés - ce qui a permis de dégager un taux de représentativité global de 50 % des salariés et de 19 % des entreprises.L’un des principaux constats de cette analyse a montré que les chiffres de la branche de l’année 2020 sont en légère hausse tant sur le nombre d’entreprises (3.551 entreprises contre 3.301 en 2019) que sur les effectifs salariés (78.350 salariés, soit une hausse de 1,5 % comparé à 2019).À ces chiffres assez encourageants pour la branche, s’ajoute une donnée positive sur les perspectives de recrutement en 2020 puisque 40 % des entreprises envisageaient de recruter dans les prochains mois dans un cadre d’emploi pérenne (95 % des salariés sont en CDI et 96,5 % à temps plein). 10 % des entreprises ont indiqué rencontrer des difficultés de recrutement. Par ailleurs, les perspectives de recrutement se concentrent essentiellement sur les métiers de la force de vente, le management et ceux des chauffeurs-livreurs.Ainsi, malgré la crise sanitaire et une proportion de 60 % des salariés ayant connu au moins une période de chômage partiel (2% en 2021), le secteur reste dynamique. Par ailleurs, 20 % des salariés ont connu au moins une période de télétravail en 2020 (proportion qui a chutée de moitié en 2021 passant à 10%).Pour Stéphanie GAZEL, Secrétaire Générale Affaires Sociales et Formation de la Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction : « Pour cette édition du rapport de branche, portant sur les données 2020, nous avons souhaité prendre la mesure de l’impact de la pandémie sur l’organisation du travail dans les entreprises de la distribution des matériaux de construction. Ce contexte difficile s’est traduit par des périodes de chômage partiel mais nous constatons cependant une légère hausse des effectifs sur l’année. Les perspectives de recrutement témoignent également d’un dynamisme certain dans l’ensemble de la branche. »Les autres données marquantes de cette enquête Emploi :Il est intéressant de noter la répartition des emplois selon le sexe. Bien que la part des femmes ne représente que 25 % en moyenne, on constate qu’elle est plus importante dans les entreprises de moins de 11 salariés (30%) par rapport aux entreprises de 20 à 49 salariés (23%) et 50 à 299 salariés (23%).L’âge moyen des salariés de la branche est de 42 ans. Un âge moyen identique pour les hommes et pour les femmes.L’ancienneté moyenne des salariés de la branche est de 10 ans, soit une légère baisse comparée à 2019 (- 0,5 an). La répartition des salariés selon l’ancienneté est quasiment identique entre les hommes et les femmes.Formation : l’apprentissage largement plébiscitéEn termes de formation, l’année 2020 est marquée par une hausse sans commune mesure du nombre de contrats d’apprentissage (+ 85%) alors que les contrats de professionnalisation connaissent une baisse assez nette par rapport à 2019.Ainsi, en 2020, on compte 1.794 apprentis contre 970 en 2019 alors que les contrats de professionnalisation subissent une baisse passant de 711 contrats de professionnalisation signés en 2019 à 517 en 2020. On peut notamment expliquer cette évolution par une substitution d'une partie des contrats de professionnalisation par des contrats d’apprentissage, observable dans d'autres branches.Les autres données remarquables en 2020 sur les chiffres Formation :Sur les contrats de professionnalisation : 82 % des contrats de professionnalisation ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.2 salariés sur 3 en contrat de professionnalisation suivent une formation en commerce et vente.Les BTS représentent plus de 40 des formations en contrats de professionnalisation inscrites au RNCP.Sur l'apprentissage : 558 entreprises ont signé des contrats d’apprentissage en 2020 soit 3,2 contrats en moyenne par entreprise.Plus de la moitié des contrats ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.Près de 70 % des apprentis sont des hommes, soit une part nettement inférieure à celle des hommes dans le total des salariés (75 %) et donc une part supérieure d’apprenties femmes (31 %) par rapport au total des salariées (25 %).Près d’un apprenti sur deux suit une formation de commercial alors que les vendeurs conseils qui représentent 24 % des salariés sont peu représentés parmi les apprentis (2 % seulement).Sur le Plan de développement des compétences : En 2020, 1 621 stagiaires ont été formés dans les entreprises de moins de 11 salariés. 464 entreprises sont concernées avec une moyenne de 3,5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont la conduite d’engins et le CACES ainsi que des formations de comptabilité gestion.Dans les entreprises de 11 salariés et plus (dont 39 % de 20 à 49 salariés), 4 909 stagiaires ont été formés en 2020. 420 entreprises sont concernées avec une moyenne de 11, 5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont celles en lien avec les achats, le commerce et le marketing (27 %) devant la conduite d’engins et le CACES (25 %).
Il y a 3 ans et 113 jours

Point.P se densifie dans l'Hérault

INTÉGRATION. Le négoce de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, Point.P annonce avoir acquis deux points de ventes Arnaud Matériaux implantés dans l'Hérault.
Il y a 3 ans et 117 jours

Marine Charles, nouvelle Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France

Marine Charles vient de prendre ses fonctions de Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France pour succéder à Charlotte Famy. Marine Charles a en charge la poursuite et le développement de la stratégie Weber en termes d’innovation, de performance et de développement durable. Forte d’une solide connaissance du groupe qu’elle a intégré en 2013 en tant que Directrice Stratégie et M&A du Pôle Distribution Bâtiment, elle avait rejoint en 2016 l’enseigne Lapeyre, détenue par Saint-Gobain, d’abord comme Directrice Générale adjointe, puis Directrice Générale. Diplômée de Sciences Po Paris et HEC, elle a également occupé diverses fonctions de Direction pour le Groupe Casino entre 2008 et 2013, au sein des équipes Stratégie et Finance. Soulignons qu’au rang de ses multiples compétences, l’ouverture et l’adaptabilité s’avèrent de mise puisqu’elle a vécu 13 ans à l’étranger (Cameroun, Royaume-Uni…).
Il y a 3 ans et 119 jours

Le concept de magasin de bricolage de proximité "Casto" arrive en petite couronne

PROXIMITÉ. Après un projet pilote à Lille, "Casto", concept de magasin de bricolage de proximité de Castorama, poursuit son déploiement près de Paris avec deux nouveaux magasins.
Il y a 3 ans et 120 jours

Brico Dépôt et Castorama accélèrent la formation de leurs managers au digital

TRANSFORMATION DIGITALE. Kingfisher, qui dispose en France des enseignes de bricolage Castorama et Brico Dépôt, a décidé d'accélérer la formation de ses managers à la culture numérique.
Il y a 3 ans et 120 jours

Marine Charles devient la nouvelle Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France

Elle a pris ses fonctions le 1er février, succédant à Charlotte Famy, appelée à de nouvelles responsabilités au sein du Groupe Saint-Gobain. Marine Charles aura en charge la poursuite et le développement de la stratégie Weber en termes d’innovation, de performance et de développement durable.Marine Charles, 40 ans, accède à son nouveau poste chez Weber, forte d’une solide connaissance du Groupe Saint-Gobain qu’elle a intégré dès 2013 en tant que Directrice Stratégie et M&A du Pôle Distribution Bâtiment. Elle avait rejoint en 2016 l’enseigne Lapeyre, détenue par Saint-Gobain, d’abord comme Directrice Générale adjointe, puis Directrice Générale. Diplômée de Sciences Po Paris et HEC, Marine Charles, a également occupé diverses fonctions de Direction pour le Groupe Casino entre 2008 et 2013, au sein des équipes Stratégie et Finance. Soulignons qu’au rang de ses multiples compétences, l’ouverture et l’adaptabilité s’avèrent de mise puisqu’elle a vécu 13 ans à l’étranger (Cameroun, Royaume-Uni…).Pour Marine Charles, Directrice Générale de Saint-Gobain Weber France : « Ravie de rejoindre cette belle entreprise » et prenant toute la mesure de sa nomination, Marine Charles met déjà en exergue sa volonté de « poursuivre et déployer une stratégie de croissance durable, basée sur l’innovation et la satisfaction clients. Ce dernier axe m’est particulièrement cher, ayant été plutôt du côté des clients (B2B et B2C) ces dernières années. Je suis également très attachée à une culture d’entreprise collaborative et respectueuse des individus, tout en demeurant exigeante et toujours en recherche d’excellence. Il me semble que cela correspond bien à la culture Weber. »Notons que ses équipes accueillent Vincent Hannecart, Directeur Marketing France, qui prend la suite de Meriem Dussart, elle-même nommée Directrice Régionale Nord Centre Ile-de France de Saint-Gobain Weber France.
Il y a 3 ans et 124 jours

Comment améliorer la productivité des chantiers en zone urbaine grâce à la digitalisation ?

61% des entreprises du secteur gèrent des chantiers en zone urbaine. À l’approche des JO 2024 et du développement des chantiers affiliés, les problèmes de congestion, de pollution (de l’air, sonore…) ne vont que croître, notamment en Ile-de-France. D’un côté, les villes vont devoir réduire leur impact environnemental tout en améliorant la logistique urbaine, et de l’autre, les acteurs du BTP vont devoir accélérer leur digitalisation afin d’optimiser leur productivité. Mais le chemin à parcourir reste encore long, et une prise de conscience doit s’opérer le plus tôt possible.BTP et logistique urbaine : un enjeu commun lié à la productivitéEn moyenne, les PME et TPE du bâtiment ont réalisé 113 chantiers en 2020, dont 61% en zone urbaine. Sans surprise, les villes continuent donc d’être au cœur de la construction. Et au cours des 10 dernières années, les acteurs les plus actifs du secteur ont affirmé avoir eu le sentiment de gagner en productivité : +40% pour les entreprises réalisant de 1 à 10 chantiers, et +68% pour celles réalisant plus de 100 chantiers.Seulement, si ces acteurs se trouvent aujourd’hui plus performants qu’il y a 10 ans, le niveau de productivité pourrait être encore amélioré. En effet, nombreuses sont les entreprises qui se fournissent en matériaux de manière extrêmement régulière : tous les 1 ou 2 jours soit en moyenne 14 fois par mois. Une régularité d’approvisionnement qui pourrait s’expliquer par le manque d’espaces de stockage en zone urbaine ou encore des problématiques organisationnelles et prévisionnelles.Pour y répondre, les acteurs du BTP disposent le plus souvent d’une flotte de véhicules dédiée avec en moyenne 4 VUL (Véhicules Utilitaires Légers) et moins d’un PL (Poids Lourd) par entreprise. Mais cette flotte interne peut s’avérer contre-productive. Les répondants déclarent en moyenne plus de 12 jours d’immobilisation par an de leurs véhicules sur les chantiers et plus de la moitié des entreprises sondées (58%) affirment que ces approvisionnements rendent inactives plusieurs personnes pendant 2h en moyenne, soit près de 4,5 mois-homme d’improductivité par entreprise chaque année, ou encore 10% du temps de travail d’une équipe de 4 personnes.Une digitalisation encore faible malgré la pandémie Aujourd’hui, le digital fait office de pivot novateur pour de nombreux secteurs. Cependant, seules 20% des entreprises interrogées ont déclaré qu’Internet et l’informatique ont amélioré leur productivité ou fait baisser les coûts de leurs chantiers pendant la pandémie. La raison ? Dans un univers encore très traditionnel, l’échange physique reste pour de nombreux acteurs une habitude bien ancrée. Seule 1 entreprise sur 6 effectue des achats de matériel (gros œuvre ou outillage) en ligne et près de 30% des entreprises du BTP se rendent directement chez le négoce pour effectuer leurs commandes, quand 66% les effectuent par téléphone.La digitalisation du secteur est donc faible. En effet, 8 entreprises sur 10 n’utilisent pas de logiciels ou d’applications pour faciliter leur productivité sur les chantiers. La consultation des sites est effectuée par une minorité et seulement pour les devis ou pour regarder les stocks, mais beaucoup plus rarement pour l’achat de matériel.La livraison : une solution plébiscitée par les professionnels La livraison est l’un des points cruciaux et stratégiques de la productivité des entreprises. Pour les professionnels interrogés, le prix et les délais de livraison constituent les deux priorités dans le choix d’un distributeur de matériaux. Seulement, selon les sondés, une minorité d’entreprises du BTP (35%) se fait livrer en zone urbaine directement sur le chantier. Et les raisons évoquées devraient pourtant inspirer la majorité : le gain de temps (38%), la facilité/praticité/le confort car c’est le fournisseur qui décharge (28%) et enfin cela permet de faire venir de grandes quantités, volume, poids, charges importantes (27%). En faisant appel à des solutions de logistique externe, les acteurs du secteur peuvent désormais se concentrer pleinement sur leurs chantiers et leur productivité. Ces solutions permettent d'organiser le transport de matériaux vers leurs chantiers en 3 clics, tout en répondant aux normes environnementales actuelles, de la vignette Crit’air 2 à la livraison verte.Vers un développement de la livraison verte ?Et une prise de conscience est en train de se produire : 25% des entreprises interrogées sont déjà prêtes à payer un peu plus cher pour passer à de la livraison verte. 20% sont d’ailleurs prêtes à payer - en moyenne - 57€ supplémentaires par livraison pour passer à de la livraison propre. Au global, plus de la moitié (55%) des entreprises sont sensibles à l’argument des véhicules verts mais plus de la moitié d’entre elles évoquent également le manque de prestataires pour expliquer ce qui les empêchent de passer à de la livraison électrique. Pour Guillaume Fournier, CEO et fondateur de Supervan : “ Aujourd’hui, la notion de productivité sur les chantiers est le principal challenge des professionnels du bâtiment. Avec l’apparition des politiques d’urbanisation ou encore les JO 2024, les prochaines années vont être décisives. Il est donc nécessaire de changer leurs habitudes dès à présent et de leur ouvrir de nouveaux horizons. L’étude démontre ainsi à quel point le digital est une opportunité de taille aussi bien pour le développement des entreprises du secteur - productivité, économies,... - que pour répondre aux enjeux colossaux liés à l’environnement. “
Il y a 3 ans et 124 jours

Les nouvelles éditions des catalogues SFA sont disponibles

Que l’on soit professionnel (prescripteur, artisan plombier, entreprise et acteur du TP et de l’assainissement) ou bien particulier, SFA propose en effet à chacun une édition propre qui cristallise les solutions de l’industriel tricolore, synonymes de performances comme de simplicité et facilité de mise en œuvre. Catalogue SFA Domestique 2022 Enrichie encore de 12 pages cette année (124 pages), la référence historique auprès des professionnels (négoces et professionnels de la plomberie sanitaire) constitue une découverte de l’ensemble des réponses SFA pour des utilisations domestiques. Et force est de constater que de nombreuses innovations viennent compléter les offres 2022 en WC équipés de broyeur, pompes de relevage domestiques, pompes vide-cave, stations de relevage à poser ou à enterrer, mais aussi en pompes de relevage de condensats de climatiseurs et de chaudières ou encore bacs et séparateurs de graisse. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et tirage en 19 000 exemplaires).SFA Projets 2022 Dévolue à la prescription (architectes, bureaux d’études…) comme aux professionnels du TP et de l’assainissement, cette édition prend elle aussi de l’ampleur avec, cette fois, pas moins de 16 pages complémentaires (112 cette année). Une offre particulièrement exhaustive (eaux grises, eaux-vannes ou eaux pluviales) qui concerne tant les stations de relevage à poser, que les stations de relevage à enterrer, les pompes, les accessoires ou encore les séparateurs de graisse. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et imprimé en 25 000 exemplaires).Catalogue SFA GSB 2022 Au sein de cette documentation de 12 pages sont rassemblées toutes solutions SFA dédiées aux problématiques du particulier bricoleur. Créer de nouveaux WC, une nouvelle salle d’eau, une cuisine, n’importe où et sans gros travaux, s’avère un véritable jeu d’enfant. Dans la même logique de facilité d’installation, SFA leur met également à disposition ses Sanipompe Condensats et Sanicondens Clim Déco pour qu’ils puissent compléter leur installation de climatiseur ou de chaudière. (disponible en version feuilletable et téléchargement de pdf sur www.sfa.fr et imprimé en 20 000 exemplaires).SFA Pocket 2022 Résolument dévolu aux artisans et entreprises pour l’avoir toujours à disposition, que ce soit sur chantier ou bien en clientèle, cette bible de poche, enrichie des 8 nouveautés 2022, ouvre le champ des possibles pour dévoiler toutes les solutions SFA envisageables, performances à la clé. (imprimé en 50 000 exemplaires).