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Il y a 3 ans et 87 jours

Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ?

Côté magazine Côté magazine Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? Maquettes 3D et applications digitales commencent à faire partie du quotidien des acteurs de la construction. Mais où en sommes-nous des innovations dites « hardware », tels les équipements, le matériel et l’outillage ? Trois solutions à découvrir soutenues par Constructech Club.     Plus mobile que les dalles tactiles existantes, facilitant l’usage horizontal, sur table, Adok permet de retrouver le confort d’utilisation des plans papier, avec tous les avantages du numérique. « Notre Hub tactile permet de mener des revues de plans, avec des personnes en présentiel et d’autres connectées à distance. »Photo : Adok 1/ Avec Adok, les chantiers sont au bout des doigts Adok a développé un Hub tactile mobile. C’est un produit 3 en 1 qui embarque un PC Windows 10, un picoprojecteur et un système tactile. Cette technologie permet de transformer toutes les surfaces planes en interface tactile. Paul Péretié, CEO d’Adok, est parti du constat que les appareils collaboratifs disponibles dans les salles de réunion ou sur les chantiers n’étaient pas au niveau de nos smartphones ou de nos tablettes, en termes de facilité d’usage, de flexibilité, de mobilité et d’interactivité. De plus, les investissements pour passer au BIM – avec pour objectif de remonter des informations terrain, d’avoir des plans toujours à jour et de suivre la progression du chantier – étaient énormes d’un point de vue logiciel, mais n’avaient pas forcément les interfaces et notamment les appareils « hardware » pour faciliter ce passage au BIM. Cet appareil Made in France permet de mener des revues de plans et des réunions collaboratives sur une table, dans un bureau, dans une base-vie de chantier, ou dans tous les environnements de travail habituels. Paul Péretié précise que le développement de cette technologie a nécessité trois ans de recherche. « Ce système tactile fonctionne par reconnaissance d’images, et permet de retrouver la même précision et réactivité qu’un écran tactile traditionnel. » 2/ Carlita, prévenir les risques TMS dans la pose de carrelage et dallage Proposée par la start-up Robotile, la Carlita est une machine mécanique d’assistance à la pose de carrelage et dallage permettant de minimiser les efforts du compagnon, ainsi que les positions douloureuses à l’origine de TMS (troubles musculo-squelettiques) lors de la pose d’éléments de grands formats sur de grandes surfaces. Elle permet également un gain de temps qui est variable selon le format mis en œuvre et l’organisation des tâches. Son fondateur, Serge Sémété, nous explique que le principal avantage de Carlita est le fait que l’utilisateur reste en position debout et ne supporte plus le poids de l’élément à poser. « Le bénéfice physique est complet pour les muscles et articulations sollicités lors de la pose au sol, avec une charge de 10 à 30 kg à déposer en porte-à-faux devant soi : jambes, bras, mains et dos sont préservés. Une étude avec des capteurs d’efforts sur une pose manuelle d’éléments de 80 x 80 (16 kg/u) et une pose identique avec la Carlita affiche une réduction d’effort pour tous les muscles sollicités. Notre système équilibre la charge qui est en “apesanteur”. » La Carlita, un système très simple, robuste, durable et si nécessaire réparable sur chantier. Le compagnon n’a plus qu’à se soucier du placement de son carreau. La préhension des éléments est réalisée par des ventouses. Celles-ci sont très résistantes et la technologie a été éprouvée sur les postes robotisés des usines des fabricants. Photo : Robotile 3/ Instavox, le smartphone devient un talkie-walkie professionnel Instavox permet de reproduire les fonctions d’un réseau talkie-walkie professionnel (appel instantané d’un groupe prédéfini de personnes sur simple appui d’un bouton) à partir d’un smartphone grand public ou durci en utilisant les réseaux des opérateurs ou les réseaux Wifi. L’avantage essentiel de cette technologie est la complémentarité entre le « software » et le « hardware ». La solution répond aux contraintes de limite de portée des talkies-walkies conventionnels tout en proposant du matériel pouvant être utilisé dans des conditions propres aux projets de construction qui sont parfois extrêmes ; tel est le cas des casques antibruit et des micros déportés. « Nos clients utilisent sur leurs chantiers nos casques antibruit connectés à notre application sur leur smartphone talkie- walkie. Équipés d’un connecteur professionnel raccordé à leur radio, ils utilisent la fonction “push to talk” d’Instavox pour communiquer sur le chantier. L’avantage de ce casque dans les environnements très bruyants est qu’il permet de communiquer de façon très claire et très audible », explique Nicolas Grante, CEO d’Instavox. Pour communiquer entre les chantiers, les différents intervenants utilisent l’application Instavox couplée à des micros déportés – Bluetooth ou filaire – connectés aux smartphones. « En effet, les gants de protection des intervenants sur le chantier ne permettent pas de naviguer sur un smartphone. Il faudrait retirer les gants chaque fois qu’ils souhaitent communiquer et cela n’est pas possible », précise Nicolas Grante. Instavox ajoute également des fonctionnalités de géolocalisation permettant de savoir à n’importe quel moment où se situe chaque utilisateur, mais aussi des fonctionnalités d’appel vidéo instantané permettant de réaliser des levées de doute immédiates. Comme pour un talkie-walkie, le gain de temps dans la communication opérationnelle est le principal avantage de la solution Instavox : plus besoin d’appeler les collaborateurs un par un pour communiquer une information. D’une simple touche sur le smartphone, on communique verbalement un message à l’ensemble de l’équipe. Photo : Instavox À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Diana Gonzalez À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Bilan du Club Le hardware – ou solution physique – fait son apparition également dans le secteur depuis quelque temps et se développe de plus en plus. Ce type d’innovation demande un panel important de métiers et de compétences (mécanique, technique, électrique, software) et des coûts importants en recherche et développement. La mise sur le marché est plus longue par rapport à une solution digitale et les investisseurs peuvent s’avérer plus frileux. On retrouve ce type d’innovation dans la sécurité des chantiers et des personnes travaillant sur les chantiers, dans la surveillance de bâtiments, dans la communication et dans bien d’autres domaines encore.  Des « business models » alternatifs à l’achat du matériel ou de l’équipement permettent de conquérir de nouveaux clients et ainsi sécuriser la pérennité et la croissance des start-up qui développent ce type de solution. On peut citer le « leasing » (location de longue durée) et le HAAS (Hardware-as-a-Service). Ce dernier fournit le matériel – ou la machine – accompagné d’autres composants complémentaires tels que logiciels, maintenance et support, dans le cadre d’une offre mensuelle prépackagée. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 87 jours

« La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. »

Côté magazine Côté magazine « La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. » François Liermann, gérant de Panoptique Architectes, président du conseil régional de l’ordre des architectes du Grand-Est, est intervenu en septembre dernier lors de la 9e édition du Congrès international du bâtiment durable « To build or not to build ». Un rappel salutaire de la place de l’architecte dans les opérations de rénovation énergétique. Quelle est la place de l’architecte dans les opérations de rénovation énergétique ? François Liermann – Malheureusement et paradoxalement, les architectes sont peu sollicités. Ce sont essentiellement les entreprises et les artisans, prescripteurs de leur lot, qui le sont. Résultat : les rénovations globales et performantes sont rares, réduisant d’autant le potentiel d’économies d’énergie que ce type de rénovation est susceptible d’atteindre. Cet état de fait génère aussi, comme le constate régulièrement l’Agence Qualité Contruction, des problèmes de pathologies et de salubrité des bâtiments : absence de ventilation, moisissures, condensation, etc. La boucle n’est pas vertueuse. Quelle serait la solution pour qu’elle le soit ? Au niveau de l’ordre des architectes, nous militons légitimement pour prendre notre place dans le processus. La rénovation demande compétence et expertise, et les architectes, en tant que généralistes, se positionnent au mieux. Or les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique mis en place par les gouvernements successifs n’intègrent pas la maîtrise d’œuvre, ce qui est une erreur manifeste. Cela signifie-t-il que les architectes doivent s’inscrire dans des processus tels que le programme Faire (Faciliter, accompagner et informer pour la rénovation énergétique) ? Oui, mais l’héritage des anciennes plates-formes énergie, où l’on ne parle que de résistance thermique, est encore très prégnant… Pourtant, nous avons des consœurs et confrères très expérimentés sur le plan local depuis longtemps, et Faire, c’est purement du local. C’est au moment des diagnostics et des premiers conseils que le conseiller Faire doit évoquer un besoin de maîtrise d’œuvre, ne serait-ce que pour respecter la loi lorsqu’il y a demande préalable et a fortiori besoin de permis de construire. De même, le diagnostic n’est souvent qu’énergétique, alors qu’il devrait être également patrimonial. Les bâtiments et maisons anciennes souffrent aussi de leur âge. Dès lors, comment les soigner et les transformer ? Le seul diagnostic thermique ne suffit pas pour répondre à ces questions. Il est donc essentiel d’inclure dans les diagnostics initiaux le spectre patrimonial et la vision de l’architecte : état des lieux, état de la structure, reconnaissance des matériaux, et bien sûr amélioration des espaces et du fonctionnement, besoins de confort… C’est la garantie d’un projet efficace sur le long terme, en performance, en valeur vénale et en usage. Pouvez-vous donner un exemple ? Les bourgs et les villages abritent nombre d’espaces vacants ; je pense notamment aux anciennes fermes, habitations et granges. La question est de savoir comment les transformer avant qu’il ne soit trop tard. Ce qui impose une réflexion en termes d’étude de faisabilité, de mixité d’usage, de partage des lieux, de cofinancements… On peut imaginer y créer, par exemple, un logement accessible pour une personne âgée, d’autres logements dans la maison, mais aussi des espaces de travail dans les granges… et c’est là qu’un acte d’architecture est indispensable pour apporter de la cohérence. Vous parlez aussi de responsabilité… Depuis dix ou quinze ans de pratiques délicates ou incomplètes uniquement centrées sur la performance énergétique, nous constatons de nombreuses pathologies et défigurations patrimoniales. Se pose alors la question de la responsabilité. L’architecte peut apporter un service complet au client, avec des responsabilités assumées et comprises. Il organise le travail, les appels d’offres concurrentiels, les compétences, et il est formé pour éviter ces pathologies et les atteintes aux paysages tant urbains que naturels. Aujourd’hui émerge la problématique du confort d’été. Quel est le rôle de l’architecte dans sa prise en compte ? Il est essentiel. L’architecture vernaculaire, ou plus récemment celle appelée « bioclimatique », a toujours pris en compte les microclimats. Mais, malheureusement, depuis cinq ou six décennies, nous en avons oublié la fonction et la force, car l’énergie abondante et accessible venait compenser les défauts de conception. En neuf comme en rénovation, le microclimat doit inspirer l’architecture, et non l’inverse. La connaissance du climat doit être remise au goût du jour pour économiser l’énergie et améliorer le confort. C’est aussi une façon de s’ancrer sur son territoire. Aujourd’hui, le problème réside dans le changement climatique en été, voire déjà à l’intersaison. Changement qui entraîne, de manière très rapide et très forte, des conséquences sur le confort, lorsque le bâtiment est mal conçu, mal orienté, etc.  Nous devons donc repérer tous ces risques d’inconfort, notamment sous les combles et en façades ouest. Des aspects que les architectes maîtrisent très bien et savent traiter. Écorénovation de bâti ancien dans les Vosges. Photo : Panoptique Architectes Pouvez-vous donner des exemples de bonnes pratiques dans le cadre d’une rénovation ? Les protections solaires et les volets sont souvent remplacés par des volets roulants qui, lorsqu’ils sont fermés, empêchent de ventiler. Pour éviter les problèmes engendrés par le manque de ventilation, il est préférable de prévoir des volets à jalousie, avec des lamelles qui permettent de ventiler l’été, de faire de l’ombre sur le vitrage, tout en laissant la fenêtre ouverte la nuit. Ainsi, l’air frais circule la nuit et vient ventiler de façon traversante le logement. Il est recommandé également de conserver de l’inertie à l’intérieur des bâtiments en évitant de doubler avec des systèmes plaque de plâtre et isolation par l’intérieur, qui détruisent le gisement de stockage de calories ou de frigories. Il convient aussi de beaucoup isoler la toiture ou les combles, pour avoir une protection par le haut, car la toiture est « la façade » qui reçoit le plus d’énergie solaire en été. Il ne faut surtout pas non plus se priver du renfort de la végétation : les plantes à feuilles caduques apporteront une excellente protection solaire en été, mais pas en hiver. Propos recueillis par Stéphane Miget Boulangerie bio Turlupain à Sallès (67). « Il y a aussi des messages  à passer en construction neuve, dans le sens de l’installation d’artisans de qualité dans les contrées reculées, en tant qu’apport de richesses et de dynamisme local, voire de création d’emplois. » Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 87 jours

Trophées des TP 2022 - Eclaireurs

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Eclaireurs" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 88 jours

Présidentielles : le livre blanc de la Capeb

La Capeb vient de publier un livre blanc en vue de la présidentielle et des législatives qui vont suivre. 29 pages de propositions et de rappels concernant le rôle des entreprises artisanales du bâtiment. Parmi les vœux de la confédération, un souhait que les règles, en matière fiscale, soient fixées une fois pour toute, notamment, de MaPrimeRenov’, des CEE, de l’ECO PTZ et du PTZ accession qui ne doivent pas constamment évoluer au gré des Lois de Finances. La Capeb appelle également à davantage de lisibilité et de simplification du quotidien des entreprises artisanales du bâtiment, tant du point de vue des dispositifs administratifs les concernant que pour les dispositifs d’aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilité, pour la qualification RGE et des dispositifs CEE. Découvrez les autres propositions de la Capeb en téléchargeant son livre blanc… https://www.capeb.fr/www/capeb/media/document/livre-blanc-capeb-2022.pdf
Il y a 3 ans et 88 jours

AGC investit dans une nouvelle ligne de verre feuilleté à l'usine d'Osterweddingen en Allemagne

Un investissement en accord avec les besoins des clientsLa Division Verres architecturaux d'AGC constate un intérêt croissant pour le bien-être dans les espaces intérieurs des bâtiments. Les usagers sont en demande de sécurité, confort acoustique, lumière naturelle et vitrages à hautes performances. Afin d'accorder ses capacités de production aux besoins de plus en plus exigeants de la part de ses clients, AGC a décidé de procéder à un investissement majeur sur le marché le plus important de l'UE, l'Allemagne, porteur de croissance pour le verre feuilleté de sécurité (grâce notamment à la récente version revue de la norme allemande DIN 18008). L'usine d'Osterweddingen d'AGC est stratégiquement située au cœur de l'Europe, entre les marchés du DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) et ceux de l'Europe Centrale (Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie).La nouvelle ligne de production de verre feuilleté contribuera également à une rationalisation du transport routier en Europe, réduisant ainsi l'empreinte carbone d'AGC de 1 100 tonnes d'émissions de CO2 par an.Cet investissement fera d'Osterweddingen une usine totalement intégrée, où le verre standard et extra-clair produit sur la ligne de float existante pourra ensuite être transformé en produits à valeur ajoutée dans le coater, sur les lignes de transformation pour les applications solaires, et sous peu sur la nouvelle ligne de verre feuilleté. Avec cette dernière ligne, à grande capacité et moderne, AGC disposera d'un outil flexible qui lui permettra de produire sa gamme complète de verres feuilletés, du DLF à dimensionnement individualisé « Tailor Made Size » au Jumbo « taille XXL », avec ou sans couches à hautes performances.Enrico Ceriani, VP Primary Glass, AGC Glass Europe, précise : « Chez AGC, le client est au cœur de notre démarche, dans laquelle nous nous focalisons sur ses attentes et besoins spécifiques. Notre nouvel investissement stratégique répond à la demande croissante de confort et de bien-être chez soi, au travail et partout ailleurs. Un des atouts imbattables du verre est qu'il s'agit d'une matière où des qualités telles que la sûreté, la sécurité, l'isolation phonique et les économies d'énergie peuvent être intégrées dans des vitrages toujours impeccablement transparents, qui ne font jamais perdre aux occupants et usagers le lien avec l'environnement extérieur ! »La nouvelle ligne de verre feuilleté, dont les travaux préparatoires ont dès à présent commencé sur le site, sera opérationnelle fin 2023.
Il y a 3 ans et 88 jours

Lancement de la 8ème édition du concours d’idées

Tous les ans, le Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi (SNBPE), en partenariat avec CIMbéton, organisent à destination des écoles d’ingénieurs et des IUT Génie Civil, un concours d’idées. Pour cette 8ème édition, les étudiants sont invités à réfléchir sur le thème suivant : « Le futur des infrastructures de transport décarbonées : la réduction des distances […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Lancement des inscriptions au Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance

Créé en 2012 par la Fédération Française des Tuiles et Briques en partenariat avec le Réseau des maisons de l’architecture, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance récompense depuis 10 ans des réalisations architecturales qui mettent en valeur l’usage de la tuile terre cuite devenue matériau d’architecture. L’appel à projets pour la 6ème édition est ouvert jusqu’au 30 juin 2022. Il concerne tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France, inscrits à l’Ordre. En 10 ans les 5 palmarès reflètent l’évolution de nos façons de vivre chez soi et ensemble, avec notre famille, nos voisins, nos liens avec le paysage, avec l’environnement, avec le présent et le passé.   https://architendance.wiin.io/fr/  
Il y a 3 ans et 90 jours

Les chantiers des JO de Paris 2024 vont être "impactés" par l'inflation

Auditionné à l'Assemblée par le groupe de travail sur les JO et interrogé sur l'impact de l'inflation des coûts de la construction et des matières premières, M. Ferrand a répondu : "j'aimerais que les chantiers de la Solideo ne soient pas impactés, malheureusement ils le sont".La Solideo est chargée de construire ou de rénover des ouvrages pour les JO, qui vont du village des athlètes, en passant par la rénovation de gymnases ou des échangeurs ou ponts routiers, ce qui représente une soixantaine d'ouvrages.Elle a un budget de 4 milliards en euros courants, a rappelé M. Ferrand, dont 1,5 milliard d'euros d'argent public."On a un travail qu'on est en train d'initier aujourd'hui qui est d'évaluer l'impact effectif de l'évolution de ces indices sur chacun des chantiers pour les dépenses futures et de voir si on tient toujours avec l'actualisation de la maquette (financière, ndlr) ou s'il faut revenir dessus", a-t-il dit.En juillet 2021, la Solideo avait revu son budget en raison de l'inflation. Cette révision avait conduit à augmenter la partie publique de 175 millions d'euros pour la faire passer de 1,38 milliard à 1,55 milliard d'euros."La mission qu'on nous a donnée c'est en euros constants 2016 vous ne sortez pas de la maquette financière exprimée en euros constants, les effets de l'inflation vous sont extérieurs", a-t-il expliqué. "Ça, on le tient absolument", a-t-il affirmé. "J'insiste, hors inflation, il n'y a pas de dérive, il n'y pas d'éléments en plus, pas d'éléphant blanc, les évolutions de maquette sont exclusivement liées à l'inflation", a-t-il ajouté.Faisant le point sur les ouvrages, M. Ferrand a aussi évoqué un "nouveau chantier" qui est "le raccordement de Bercy au réseau de froid de la ville de Paris", "un sujet indispensable pour les Jeux". "Aujourd'hui Bercy n'enchaîne pas plusieurs compétitions dans la même journée et ne fonctionne pas au mois d'août", a-t-il dit."On est en train de travailler avec la ville de Paris pour bien cadrer les montants financiers, qui sont en jeu autour de 5 millions d'euros", a-t-il dit.Le 10 février dernier, les écologistes, alliés turbulents de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, avaient souligné le poids des Jeux olympiques de 2024 pour les finances de la Ville, passées en revue par un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC). Anne Hidalgo est présidente de la Solideo.
Il y a 3 ans et 90 jours

Kompozite, la plateforme digitale d’aide à la décision pour les professionnels du bâtiment bas carbone

Pour Damien Cuny, cofondateur de Kompozite : « Nous avons construit des bâtiments pendant des décennies sans nous poser la question du carbone. Aujourd’hui, le réchauffement climatique est une réalité urgente. La réglementation environnementale RE2020, les différentes mesures législatives et les politiques publiques locales obligent les acteurs du secteur à construire différemment. »Cette start-up française, créée en 2020, incubée par le « CSTB Lab » et Station F, apporte une solution unique de comparaison de systèmes constructifs qui dépasse la simple évaluation de matériaux. La plateforme digitale et automatisée propose via le « generative design», des combinaisons constructives optimisées en construction comme en rénovation, selon les contraintes techniques du projet immobilier. Et ce, tout en calculant l’empreinte carbone des systèmes générés par Kompozite. En effet, une fois les quelques données renseignées, les produits qui ne fonctionnent pas sont écartés et ne sont proposés que les matériaux et combinaisons les plus adaptés. « En quelques clics, l’utilisateur connaît l’impact carbone de n’importe quel matériau mais également ses conditions d’utilisation », ajoute Damien Cuny. Un outil d’aide à la décision objectif et efficace La plateforme Kompozite permet aux architectes, bureaux d’études, maîtrises d’ouvrage, bailleurs, promoteurs et constructeurs, d’être soutenus dans leur choix de conception, de façon indépendante, rapide et optimisée. Ses avantages sont multiples : la solution favorise la prise de décisions techniques dès la phase de conception du bâtiment, tout en maîtrisant les contraintes réglementaires et les risques d’assurabilité. Cette aide à la conception fiabilise les arbitrages entre systèmes constructifs, en précisant les conditions de mise en œuvre à performances comparables. De plus, Kompozite permet de faire émerger l’innovation matériaux bas carbone, car elle recense de façon continue les données des nouveaux produits du marché. La solution héberge sa propre base de données de plusieurs milliers de références produits pour la façade et l’enveloppe. Elle devrait très vite s’étendre à la structure et à la toiture afin de proposer une offre complète à l’ensemble du bâtiment. Au-delà des lots architecturaux, les lots techniques seront insérés. Demain, l’intégration dans le BIM sera proposée pour permettre les échanges de données, ou de simplifier les saisies d’entrées.La plateforme Kompozite se distingue également par l’élégance de son design graphique et une expérience utilisateur unique, pour simplifier le quotidien des professionnels.Un projet soutenu par les pouvoirs publics, les acteurs de la filière et les fonds d’investissements La start-up, qui figure parmi les 40 projets les plus prometteurs de 2022 nommés par Station F, a été labellisée GreenTech Verte par le Ministère de la Transition Écologique.Une cinquantaine d’acteurs de la filière ont testé et approuvé une version bêta (dont le BE Pouget Consultant, Vinci Construction, Woodeum...) ce qui a permis son lancement. Des fonds d’investissement engagés dans la réduction des risques liés au climat accélèrent les ambitions de Kompozite. La start-up réunit près de 1,4 million d’euros auprès d’un consortium composé des investisseurs historiques et de nouveaux entrants : Citizen Capital, l’acteur de référence de l’investissement impact en France depuis 2008. Sa mission est de mobiliser des fonds pour relever les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Citizen Capital finance et accompagne des projets et des entreprises à fort potentiel qui répondent à des besoins fondamentaux et apportent des solutions innovantes qui transforment leur marché. Société indépendante, Citizen Capital gère plusieurs véhicules d’investissement dédiés au financement de l’early stage, du growth et de l’agriculture. La société a la qualité de Société à mission, est certifiée B Corp, est adhérente aux UN-PRI et membre fondateur de la communauté des entreprises à mission. AFI Ventures, nouveau véhicule d’investissement impact notamment porté par le célèbre fonds Ventech. Foundamental, fonds d’investissement allemand spécialisé sur le secteur construction et dont Kompozite a été le premier investisseur en France.En 2020, une première levée de 200.000 euros avait déjà été réalisée auprès de cinq business angels prestigieux issus du monde de la finance et des nouvelles technologies. Au-delà de la profondeur du problème, les investisseurs ont été séduits par l’approche innovante de l’équipe et sa capacité à mettre en œuvre ses ambitions. Une version bêta avait par ailleurs déjà été testée et approuvée par une cinquantaine d’acteurs de la filière. Les fonds ont permis d’embaucher une équipe désormais composée de 9 personnes : ingénieurs du Bâtiment, développeurs web et deux docteurs : le premier en mathématiques appliqués, le second en physique des matériaux. L’ambition porte désormais sur une diffusion très large du produit sur tous les métiers de la conception des bâtiments en France. Depuis janvier 2022, la plateforme est accessible gratuitement pour la donnée carbone lissée des produits de construction. Comptez ensuite entre 79 à 149 euros HT par mois pour l’abonnement, selon la formule choisie. De beaux débuts pour cette start-up qui innove pour la neutralité carbone des bâtiments.
Il y a 3 ans et 91 jours

Hexaom affiche des ventes record en 2021

RÉSULTATS. Le premier constructeur de maisons individuelles affiche sa satisfaction après la publication de ses résultats pour 2021.
Il y a 3 ans et 91 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une mobilisation sans précédent pour répondre aux défis actuels et futurs du bâtiment

En phase avec toutes les grandes mutations du secteur, il s’affirme comme un événement incontournable pour tous les acteurs de la filière qui trouvent, au cœur des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, des sources précieuses d’information et de décryptage des tendances actuelles et futures. Grâce à une stratégie de transformation qui associe salons physiques et outils digitaux inédits, le Mondial du Bâtiment s’annonce déjà comme une édition exceptionnelle. Pour Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment : "Toute la filière s’est plus que jamais mobilisée pour que l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment soit une pleine réussite. Nous sommes très heureux de la confiance que les exposants nous accordent et de la présence de nombreux leaders dans tous les secteurs. A huit mois de l’ouverture des salons, nous sommes totalement engagés, avec tous nos partenaires et les exposants, pour apporter aux visiteurs toutes les réponses aux grands défis d’aujourd’hui et de demain auxquels ils sont confrontés. Nous avons hâte de tous nous retrouver à la Porte de Versailles au mois d’octobre. »La mobilisation de toutes les filières du bâtiment et de la construction Organisés par RX France, l’Afisb1 et Uniclima2 , le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA sont le lieu de convergence physique de tous les acteurs du secteur. A huit mois de l’ouverture des salons, ce sont déjà 968 exposants (listes en pièce jointe) qui ont répondu présents pour accueillir les visiteurs et leur apporter des réponses concrètes à toutes leurs interrogations.Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l’inscription de 711 exposants dont 37 % de nouveaux venus. 70 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l’inscription de 81 exposants dont 42 % de nouveaux venus. 71 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l’inscription de 176 exposants dont 35 % de nouveaux venus. 82 % de la surface d’exposition sont ainsi déjà vendus. À noter que parmi ces exposants figurent 39 adhérents UNICLIMA.Le Mondial du Bâtiment se mobilise pour faire venir et accueillir les professionnelsPlus que jamais, le Mondial du Bâtiment met tout en œuvre pour permettre à l’ensemble des professionnels de participer à cet événement majeur pour la filière.Des services de transport pour les visiteursLes salons INTERCLIMA et BATIMAT organisent des voyages de groupe par train au départ de Marseille, Avignon, Aix en Provence, Bordeaux, Angoulême, Poitiers, Lyon, Strasbourg, Nantes, Rennes, Angers, Le Mans… 1 800 visiteurs pourront bénéficier de ce service. Par ailleurs, des bus sont affrétés depuis les régions (Tours, Blois, Bourges, Vierzon, Orléans, Le Mans, Chartres, Le Havre, Evreux, Dreux, Rouen, Beauvais, Auxerre, Montargis, Troyes, Sens, Reims, Epernay, Lille, Lens, Amiens, Compiègne, Caen) afin de transporter 3 200 visiteurs vers Paris.Des espaces conviviaux pour se retrouverLe Mondial du Bâtiment, ce sont aussi des moments d’échanges riches et de convivialité et des événements dans l’événement. Toute la filière se donne rendez-vous durant ces 4 jours et de nombreux institutionnels ont choisi de profiter de cette occasion unique pour organiser leurs événements à destination de leurs adhérents. Déjà plus de 15 rendez-vous sont programmés dans les deux espaces dédiés : L’Espace 2000 sur le Pavillon 1 et la Salle Océanie sur le Pavillon 4.Des anniversaires40 ans de l’AQC30 ans du Club de l’Amélioration de l’Habitat20 ans de l’AFPACDes réunions privéesFFB UMGCCPFFBDes colloques et des conférencesL’Ecole des Ponts : Programme du Mastère Spécialisée® (conférences traduites et hybrides) - Des sessions de conférences ouvertes à tous les professionnels avec 27 créneaux et 27 conférenciers internationaux Lundi 3 octobre : Architecture décarbonée et solidaireMardi 4 octobre : Politique environnementaleMercredi 5 octobre : Démonstrateurs et solutions bas carboneJeudi 6 octobre : Industrie de la constructionConférences organisées par OPQIBIGroupe Métallerie Syndicat SFECEDes remises de prixLe Prix National de la Construction BoisLe Trophées des bâtiments résilientsLancement des Green Solutions Awards par CONSTRUCTION 21Trophées de l’installateurTrophées de l’ingénierie performanteUne offre de restauration vertueuseLes exposants et les visiteurs ont à disposition plus de 40 espaces de restauration, à l’intérieur comme à l’extérieur des pavillons. Parmi ceux-ci, une offre de food trucks mais aussi des restaurants tels que Le Perchoir, Mama Paris West ou Pedzouille la Grange. L’ensemble de ces espaces travaillent par ailleurs, avec les équipes du Mondial du Bâtiment, sur des repas préparés sur site, avec des produits locaux. Il est aussi prévu de réduire au maximum l’utilisation des plastiques et PET et de valoriser les déchets issus de la restauration.Le Mondial du Bâtiment à l’internationalLe Mondial du Bâtiment est un événement international qui mobilise de nombreux exposants et visiteurs étrangers. Afin de toucher ces publics en amont des salons, une tournée internationale, Low Carbon Construction Tour sera lancée à partir du mois d’avril. Elle est principalement centrée sur un sujet phare pour le Mondial du Bâtiment, et plus largement pour le monde de la construction, et qui sera incarnée sur le Mondial du Bâtiment dans un espace « Low Carbon Construction » (Pavillon 1).Cette tournée se déroulera sur 5 mois et permettra aux équipes d’aller à la rencontre des organisations professionnelles, des grands donneurs d'ordres, des prescripteurs et des ministères en Espagne, en Italie, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Sénégal, au Maroc, en Allemagne, en Belgique, en Turquie et en Tunisie.Par ailleurs, un programme inédit d’invitation du Top100 des architectes et influenceurs du bas carbone en Europe et en Afrique complète ce dispositif.
Il y a 3 ans et 91 jours

Le SNBPE et Cimbéton lancent la 8e édition du concours d’idées

Le concours d’idées organisé par le SNBPE et le Cimbéton a cette année pour thème “Le futur des infrastructures de transport décarbonées”. [©SNBPE] Le SNBPE et Cimbéton lancent la 8e édition du concours d’idées. Organisée chaque année, la compétition est réservée aux élèves en écoles d’ingénieurs et en IUT génie civil. Pour cette édition, les étudiants sont invités à réfléchir sur le thème “Le futur des infrastructures de transport décarbonées : la réduction des distances dans un monde post-TGV”. Par équipes de 2 à 6 élèves, les candidats peuvent déposer, dès maintenant, leur dossier et jusqu’au 5 septembre 2022. Composé de professionnels adhérents au SNBPE et au Cimbéton, le jury désignera deux lauréats. Un groupe sera choisi parmi les dossiers des écoles d’ingénieurs et un autre parmi ceux des IUT. Innover pour le futur A travers ce thème, les groupes devront concevoir un projet autour de deux réflexions au choix. A savoir, dresser un panorama d’innovations exploitant la logique de futur des infrastructures de transport. Cela, afin de concevoir des projets architecturaux et urbanistiques à base de béton. Ou imaginer des méthodes de construction et des solutions innovantes, vertueuses et réalistes en béton, pouvant être développées au cours des prochaines décennies pour créer les transports post-TGV. Dans les deux cas, les dossiers devront mettre en lumière les dimensions environnementales et sociétales des apports du béton dans une logique d’économie circulaire et d’innovation. Par ailleurs, les étudiants pourront s’inspirer de certains projets déjà en cours. De quoi laisser parler l’imagination de la future génération d’ingénieurs. En effet, la question du transport et des infrastructures sont des enjeux majeurs de ces prochaines décennies. Aujourd’hui ,plusieurs sociétés travaillent sur des programmes novateurs. Tel, l’Hyperloop imaginé par Elon Musk en 2013 ou le SpaceTrain, inspiré par le projet d’aérotrain sur monorail de l’ingénieur Jean Bertin (1970). Le premier est un train “subsonique”, propulsé à une vitesse avoisinant les 1 220 km/h. Il pourrait relier Paris à Marseille en 40 mn. Il fonctionnera, d’une part, à l’énergie solaire et, d’autre part, avec des systèmes de sustentation électromagnétique. De son côté, le SpaceTrain, développé par une start-up française, circulera en lévitant sur des coussins d’air, grâce à des moteurs électriques. Il pourra se déplacer jusqu’à 700 km/h et permettrait d’aller de Paris à Orléans en 13 mn. Fonctionnant avec des turbines à hydrogène, il n’émettra pas de CO2.
Il y a 3 ans et 91 jours

Bouygues Construction reçoit la certification « Top Employer France » et « Top Employer Europe » 2022

Cette certification « Top Employer » vient récompenser les initiatives que Bouygues Construction déploie depuis de nombreuses années au sein de son organisation pour fournir le meilleur environnement de travail possible à ses collaborateurs à travers des pratiques RH innovantes. Le groupe est le seul acteur de la construction présent dans cette enquête.Le programme Top Employers Institute a ainsi évalué la politique RH de Bouygues Construction grâce à l’enquête « HR Best Practices Survey », qui couvre 6 grands domaines RH, répartie en 20 thématiques tels que la stratégie de gestion des talents, l’environnement de travail, le Talent Acquisition, la formation et le développement des compétences, le bien-être au travail, ou encore la diversité et l’inclusion.Pour Amélie Quidor, directrice des Ressources humaines de Bouygues Construction : « Nous sommes heureux d’être une nouvelle fois Top Employer Europe. Cette reconnaissance vient souligner notre volonté constante de toujours mieux accompagner nos collaborateurs et collaboratrices et de cultiver l’esprit d’équipe, même dans un contexte 2021 perturbé par la crise sanitaire. Au-delà de la certification, ce qui nous tient à cœur, ce sont les retours positifs de nos salarié(e)s, leurs propositions pour aller encore plus loin, dans un esprit d’échange, d’ouverture et de co-construction. Notre marque employeur doit se vivre et s’incarner au quotidien. Je suis très fière des équipes pour leur engagement au quotidien ! »En 2021, deux nouveautés ont été mises en avant par Bouygues Construction :Son nouvel entretien annuel d’échange qui favorise une préparation de qualité et des échanges plus riches.Son programme Chance to Meet qui permet de créer des rencontres entre le top management et les talents identifiés au sein de l’entreprise. Les plus jeunes peuvent ainsi découvrir des parcours inspirants et bénéficier de conseils, et les top managers peuvent ainsi recueillir des idées auprès des leaders de demain.Pour 2022, deux thématiques prioritaires seront complétées et enrichies suite au retour de l’enquête Top Employer :L’attractivité et la richesse de nos parcours professionnels, au travers d’une nouvelle offre de formation et d’une meilleure valorisation des mobilités professionnelles comme des passerelles inter-métiers.Le second sujet renforce notre ambition Diversité, avec la volonté de promouvoir encore plus fortement la diversité des parcours et des cultures au sein du Groupe, notamment au travers de nos programmes de mixité et de l’internationalisation de notre management comme de nos talents.
Il y a 3 ans et 91 jours

Trophées des TP 2022 - Biodiversité

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Biodiversité" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 92 jours

Appel à projets : 6ème édition d’Architendance – La Tuile Terre Cuite

Créé en 2012 par la Fédération Française des Tuiles et Briques en partenariat avec le Réseau des maisons de l’architecture, le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance récompense depuis dix ans des réalisations architecturales qui mettent en valeur l’usage de la tuile terre cuite devenue matériau d’architecture. Jusqu’au 30 juin 2022. Qui peut s’inscrire […] L’article Appel à projets : 6ème édition d’Architendance – La Tuile Terre Cuite est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 92 jours

La CAPEB dévoile les grandes priorités des entreprises artisanales du bâtiment pour le prochain quinquennat

Équité entre toutes les entreprises, petites ou grandesLa CAPEB demande que les règles de calcul de la représentativité patronale soient modifiées pour que les TPE occupent la place qui leur revient dans le dialogue social, par l’application de la règle suivante : une entreprise = une voix.L’équité s’entend aussi en matière de marchés publics par un juste accès des TPE à la commande publique.Stabilité et lisibilité des mesures, notamment en matière fiscale et sociale La CAPEB demande que les règles, en matière fiscale, soient fixées une fois pour toute. Il en est ainsi, notamment, de MaPrimeRenov’, des CEE, de l’ECO PTZ et du PTZ accession qui ne doivent pas constamment évoluer au gré des Lois de FinancesSimplification du quotidien des entreprises en particulier concernant les aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilitéLa CAPEB appelle à davantage de lisibilité et de simplification du quotidien des entreprises artisanales du bâtiment, tant du point de vue des dispositifs administratifs les concernant que pour les dispositifs d’aides aux ménages pour les travaux de rénovation et d’accessibilité (MaPrimeRénov’, ECO PTZ, PTZ Accession…), pour la qualification RGE et des dispositifs CEE.Enfin, la CAPEB réaffirme sa mobilisation sur les questions de l’emploi, de la valorisation des déchets, de la TVA à 5,5% pour l’ensemble de la rénovation, de la mise en œuvre des ZFE, de la formation, de l’attractivité des métiers du bâtiment, de la lutte contre la concurrence déloyale, de l’accessibilité et du maintien à domicile des aînés.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Parce qu’elles ont été fortement impactées par le contexte sanitaire et que le secteur du bâtiment est en perpétuelle mutation, il est primordial que les entreprises artisanales du bâtiment puissent se faire entendre sur les principaux enjeux du secteur. C’est l’objectif du livre blanc que nous publions aujourd’hui pour une économie plus durable dans laquelle les entreprises artisanales du bâtiment doivent trouver toute leur place. »
Il y a 3 ans et 92 jours

Grand Paris Express : les marchés systèmes de la ligne 18 ont trouvé preneurs

CONTRATS. La Société du Grand Paris a attribué les 4 marchés systèmes de la future ligne 18 du réseau francilien. Ils concernent les façades de quai, le système radio exploitant, le réseau multi-service, et le système de sécurité incendie.
Il y a 3 ans et 92 jours

REP Bâtiment : une filière en attente

Cette avancée réglementaire dans la mise en place effective du dispositif nécessite de la part de la filière des produits ou matériaux de construction du secteur du bâtiment de se mettre en ordre de marche sinon d’accélérer le mouvement.Tant attendu par les professionnels du secteur, le décret d’application n°2021-1941 du 31 décembre 2021, publié au Journal Officiel le 1er janvier 2022, est venu mettre sur pied la nouvelle REP bâtiment. Prévue par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, la filière de responsabilité élargie des producteurs (REP) pour les déchets issus du bâtiment a pour objectif d’apporter des solutions concrètes et durables à la problématique de gestion de la production de déchets et des dépôts sauvages, émis par la filière. Chaque année, le secteur du bâtiment génère plus de 42 Mt/an de déchets, soit l’équivalent de la quantité totale de déchets produits annuellement par les ménages en France.Si la nécessité de réduire cette forme de pollution fait consensus auprès des professionnels de la filière, les moyens et les coûts de sa mise en œuvre font toutefois débat.Un dispositif centré sur la collecte et le traitement des déchets L’objectif est clair : collecter et revaloriser les déchets générés lors de la destruction et la rénovation des bâtiments. Tous les efforts sont donc concentrés sur le traitement des déchets, à défaut de pouvoir réduire efficacement leur émission.Le dispositif en tant que tel repose sur deux piliers que sont le développement des filières de réemploi et la lutte contre les dépôts sauvages.Le renforcement du maillage territorial des installations destinées à recueillir les déchets est indispensable. Or, ce dernier n’est pas directement fixé par le décret qui donne seulement compétence aux éco-organismes agréés. Ceux-ci auront donc la charge d’établir un projet de maillage. Ce projet devra respecter les standards fixés par le décret et retranscrits à l’article R. 543-290-5 du code de l’environnement. Par exemple, à l’échelle régionale, la distance moyenne entre le lieu de production des déchets et l’installation de reprise des déchets doit être, en principe, de 10 kilomètres.Ces standards ont été salués par les acteurs du bâtiment, comme la CAPEB (Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment), car ils permettraient de limiter les coûts de transport, sous réserve qu’un projet de maillage soit mis en œuvre incessamment. A défaut, les dépôts sauvages continueront de croître et les dispositifs comme l’obligation de reprise des déchets perdront de leur efficacité.Si ce décret ne permettra pas de résoudre à lui seul cette question majeure, son apport est indéniable. Il permet en effet de fixer l’étendue des nouvelles obligations de reprise des déchets. Par ailleurs, en définissant les matériaux et producteurs concernés par la REP, ce décret ajoute une pierre à l’édifice au régime de responsabilité élargie des producteurs.Des retards dommageables dans la mise en œuvre du dispositifPour autant, et bien que le texte ait été salué par l’ensemble de la filière, sa mise en œuvre s’avère plus complexe que prévu. En effet, les concertations engagées avec les parties prenantes de la filière n’ont pas abouti dans les temps impartis par la réglementation applicable. A ce jour, aucun éco-organisme n’a été agréé alors que cet agrément est indispensable à la mise en place de la REP.Alors que la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC) du 10 février 2020, prévoyait une mise en œuvre du dispositif au 1er janvier 2022, le gouvernement a annoncé un report pour partie au 1er janvier 2023. La filière du bâtiment se retrouve de fait dans une situation paradoxale où la REP a force obligatoire, nécessitant de se mobiliser afin d’être en conformité avec cette réglementation, alors que les moyens de traitement et de collecte des déchets n’ont toujours pas été précisément définis et déployés concrètement. Cela se traduira pour l’exercice 2022 par un rattrapage dont les modalités devront être ultérieurement précisées d’ici à 2023.Ainsi, bien que ce décret soit une avancée majeure, l’agrément d’un éco-organisme est encore indispensable. Plus la période entre la mise en vigueur de la REP et cet agrément sera longue, plus le rattrapage dans la structuration de la filière sera complexe à organiser.Tribune de Maître Adrien Fourmon, Counsel en Droit public, énergie et environnement au sein du cabinet Jeantet (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 92 jours

Étienne Crépon, président du CSTB, "Grand Témoin" dans la revue Batimétiers

Dans la publication de la Fédération Française du Bâtiment (FFB), Étienne Crépon revient sur le rôle du CSTB pour accompagner les mutations que vit la filière du bâtiment. Transition environnementale, révolution numérique, besoins de rénovation, performances des produits adaptés à l'usage, sécurisation de l'innovation..., découvrez la prise de parole du président du CSTB sur les enjeux majeurs d'aujourd'hui et de demain pour le secteur de la construction et de l'aménagement. Étienne Crépon partage sa vision pour aider les acteurs à répondre à ces défis, mettant compétences, pluridisciplinarité et approche systémique du bâtiment, « un objet complexe, remplissant une multiplicité de fonctions... », à leur service. En savoir plus : Lire l'article
Il y a 3 ans et 93 jours

Rapport de branche du négoce des matériaux de construction sur l'exercice 2021

Emploi : malgré la crise, une hausse des effectifs et des perspectives d’emploi soutenuesL’enquête réalisée en 2021 pour l’exercice 2020 s’est faite auprès des 3.551 entreprises de la branche - dont 77 % de moins de 11 salariés - ce qui a permis de dégager un taux de représentativité global de 50 % des salariés et de 19 % des entreprises.L’un des principaux constats de cette analyse a montré que les chiffres de la branche de l’année 2020 sont en légère hausse tant sur le nombre d’entreprises (3.551 entreprises contre 3.301 en 2019) que sur les effectifs salariés (78.350 salariés, soit une hausse de 1,5 % comparé à 2019).À ces chiffres assez encourageants pour la branche, s’ajoute une donnée positive sur les perspectives de recrutement en 2020 puisque 40 % des entreprises envisageaient de recruter dans les prochains mois dans un cadre d’emploi pérenne (95 % des salariés sont en CDI et 96,5 % à temps plein). 10 % des entreprises ont indiqué rencontrer des difficultés de recrutement. Par ailleurs, les perspectives de recrutement se concentrent essentiellement sur les métiers de la force de vente, le management et ceux des chauffeurs-livreurs.Ainsi, malgré la crise sanitaire et une proportion de 60 % des salariés ayant connu au moins une période de chômage partiel (2% en 2021), le secteur reste dynamique. Par ailleurs, 20 % des salariés ont connu au moins une période de télétravail en 2020 (proportion qui a chutée de moitié en 2021 passant à 10%).Pour Stéphanie GAZEL, Secrétaire Générale Affaires Sociales et Formation de la Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction : « Pour cette édition du rapport de branche, portant sur les données 2020, nous avons souhaité prendre la mesure de l’impact de la pandémie sur l’organisation du travail dans les entreprises de la distribution des matériaux de construction. Ce contexte difficile s’est traduit par des périodes de chômage partiel mais nous constatons cependant une légère hausse des effectifs sur l’année. Les perspectives de recrutement témoignent également d’un dynamisme certain dans l’ensemble de la branche. »Les autres données marquantes de cette enquête Emploi :Il est intéressant de noter la répartition des emplois selon le sexe. Bien que la part des femmes ne représente que 25 % en moyenne, on constate qu’elle est plus importante dans les entreprises de moins de 11 salariés (30%) par rapport aux entreprises de 20 à 49 salariés (23%) et 50 à 299 salariés (23%).L’âge moyen des salariés de la branche est de 42 ans. Un âge moyen identique pour les hommes et pour les femmes.L’ancienneté moyenne des salariés de la branche est de 10 ans, soit une légère baisse comparée à 2019 (- 0,5 an). La répartition des salariés selon l’ancienneté est quasiment identique entre les hommes et les femmes.Formation : l’apprentissage largement plébiscitéEn termes de formation, l’année 2020 est marquée par une hausse sans commune mesure du nombre de contrats d’apprentissage (+ 85%) alors que les contrats de professionnalisation connaissent une baisse assez nette par rapport à 2019.Ainsi, en 2020, on compte 1.794 apprentis contre 970 en 2019 alors que les contrats de professionnalisation subissent une baisse passant de 711 contrats de professionnalisation signés en 2019 à 517 en 2020. On peut notamment expliquer cette évolution par une substitution d'une partie des contrats de professionnalisation par des contrats d’apprentissage, observable dans d'autres branches.Les autres données remarquables en 2020 sur les chiffres Formation :Sur les contrats de professionnalisation : 82 % des contrats de professionnalisation ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.2 salariés sur 3 en contrat de professionnalisation suivent une formation en commerce et vente.Les BTS représentent plus de 40 des formations en contrats de professionnalisation inscrites au RNCP.Sur l'apprentissage : 558 entreprises ont signé des contrats d’apprentissage en 2020 soit 3,2 contrats en moyenne par entreprise.Plus de la moitié des contrats ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.Près de 70 % des apprentis sont des hommes, soit une part nettement inférieure à celle des hommes dans le total des salariés (75 %) et donc une part supérieure d’apprenties femmes (31 %) par rapport au total des salariées (25 %).Près d’un apprenti sur deux suit une formation de commercial alors que les vendeurs conseils qui représentent 24 % des salariés sont peu représentés parmi les apprentis (2 % seulement).Sur le Plan de développement des compétences : En 2020, 1 621 stagiaires ont été formés dans les entreprises de moins de 11 salariés. 464 entreprises sont concernées avec une moyenne de 3,5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont la conduite d’engins et le CACES ainsi que des formations de comptabilité gestion.Dans les entreprises de 11 salariés et plus (dont 39 % de 20 à 49 salariés), 4 909 stagiaires ont été formés en 2020. 420 entreprises sont concernées avec une moyenne de 11, 5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont celles en lien avec les achats, le commerce et le marketing (27 %) devant la conduite d’engins et le CACES (25 %).
Il y a 3 ans et 93 jours

Pratique du vélo en ville : Montreuil ville cyclable en plus forte progression ces deux dernières années

Pour Patrice Bessac, maire de Montreuil : « Meilleure progression en Seine-Saint-Denis : Montreuil ! Comment ne pas se réjouir de ce classement issu d'une enquête de satisfaction menée auprès de celles et ceux pour lesquels nous travaillons au quotidien à améliorer, sécuriser, faciliter les déplacements alternatifs. En deux ans, Montreuil s'est fortement impliquée et a fait preuve d'un réel volontarisme dans l'amélioration du partage de la voirie en aménageant 7 nouveaux kilomètres de pistes cyclables au sortir du premier confinement qui ont permis d'améliorer le réseau cyclable, de réduire les coupures et de renforcer les liaisons avec les autres réseaux comme celui du RER V, le réseau vélo de la Région Île-de-France. »Avec son adjoint en charge des mobilités et de la ville cyclable, Olivier Stern, Montreuil prête une attention renforcée à cette enquête de satisfaction spontanée qui se reproduit tous les deux ans car, c'est pour elle une façon de mesurer et d'évaluer les efforts qu'elle met en œuvre pour répondre à la diversité des besoins de mobilité des habitants. Montreuil est la ville d'Île-de-France qui enregistre la plus forte progression et qui creuse l'écart avec les autres villes. Montreuil obtient une des meilleures notes à la question de l’ouverture au double sens cyclable des rues en sens unique, résultat de la mise en place généralisée à toute la ville de la zone 30.Au-delà, Montreuil est récompensée pour l'écosystème favorable à l'usage du vélo qu'elle a réussi à générer et qui transparaît au travers de la bonne note obtenue dans les catégorie « trouver un magasin ou un atelier de réparation de vélo » et « efforts faits en faveur du vélo par la ville sont importants ».En effet, les cyclistes montreuillois ayant répondu au questionnaire de ce baromètre saluent les efforts de la Ville faits en faveur du vélo et disent se sentir en sécurité dans les rues résidentielles. Deux catégories qui permettent à Montreuil de creuser l'écart avec d'autres collectivités.Bien entendu, et comme dans toutes les villes, des efforts restent à mener notamment sur le stationnement de véhicules motorisés sur les aménagements cyclables, sur les solutions alternatives à mettre en œuvre lors de travaux sur les itinéraires cyclables, sur le manque de respect de la part des conducteurs de véhicules motorisés ou encore sur le nombre de vols de vélo.Si Montreuil progresse c'est que la Ville s'est engagée depuis plusieurs années maintenant dans un plan vélo qui repose sur l’apaisement de la circulation et sur la création d’un réseau complet et sans coupures d’aménagements cyclables. Montreuil conçoit son développement en protégeant l’environnement, en favorisant la santé des Montreuillois et en préservant leur qualité de vie. Le développement de ce réseau de transport alternatif au déplacement automobile est un des éléments essentiels de la politique menée par la Ville en faveur des mobilités durables et de la lutte contre la pollution de l’air.En juin 2018, Montreuil a adopté un plan vélo sur cinq ans, destiné à rendre ce mode de déplacement plus populaire en programmant des aménagements qui en facilitent et en sécurisent la pratique.Ce Plan vélo concrétise l'attachement de la Ville de Montreuil à concevoir des politiques publiques de déplacement qui préservent l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour améliorer la qualité de vie en ville. Ce mode de déplacement est performant, économe, souvent plus rapide que la voiture sur de courts trajets et bon pour la santé.Le Plan vélo de Montreuil compte cinq volets d'action, financés à hauteur de 30 % ou 50 % par la Région Île-de-France :Sécuriser et améliorer la qualité des déplacements cyclables ;Développer l’offre de stationnement vélo ;Proposer des services aux cyclistes ;Promouvoir le vélo ;Évaluer, en concertation avec les usagers, la progression de la politique vélo de la Ville.Le Plan vélo adopté par le Conseil municipal de juin 2018 s'est fixé pour objectifs de contribuer à :améliorer les aménagements et itinéraires cyclables continus, structurants et sécurisés pour renforcer et apaiser le partage de la voirie ;augmenter l’offre de stationnement sécurisé, dans les nouvelles constructions et sur l’espace public (nouveaux parcs de stationnement Véligo' et arrivée de 20 Vélobox dans les rues) ;garantir un meilleur partage de la voirie par des aménagements luttant contre les points noirs de vitesse et d’insécurité routière, en confortant ainsi le passage à la ville à 30 km/h généralisés en juin 2018 et permettant la mise en double sens de toutes les rues pour les cyclistes ;poursuivre l’expérimentation de la suppression des répétiteurs installés sur les feux tricolores créant naturellement un sas-vélo qui renforce la sécurité des cyclistes et piétons ;soutenir le marquage Bicycode permettant d’identifier un vélo volé ou perdu.Le Plan vélo de Montreuil c'est : 28 km d’itinéraires cyclables, 4 400 places de stationnement (2 200 arceaux), 11 pompes à vélo publiques en libre service, l’installation en 2018 de la première borne publique de réparation de vélo en Île-de-France et, une augmentation de 13 à 21 stations Vélib’ ainsi que de multiples associations de cyclistes et points de vente.
Il y a 3 ans et 93 jours

La loi en faveur de l'activité indépendante est promulguée, les professionnels satisfaits

ENTREPRENEURIAT. La loi en faveur de l'activité professionnelle indépendante a été promulguée au Journal Officiel ce matin. Si la plupart des professionnels reconnaissent des mérites au texte, certains points suscitent malgré tout de l'inquiétude, à l'image de l'accès à l'information des assurances complémentaires.
Il y a 3 ans et 93 jours

Entrepreneurs individuels... Vos textes officiels du mardi 15 février 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 93 jours

Trophées des TP 2022 - Sobriété et décarbonation des engins

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Mise en oeuvre des matériaux bas carbone" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 94 jours

Report de travaux du RER B pour éviter de perturber un concert d'Indochine

Ces travaux de modernisation sont en cours sur le RER B, l'une des lignes ferroviaires les plus fréquentées d'Europe et reliant banlieues Sud et Nord de Paris. Ils se traduisent par des interruptions de circulation en soirée ou certains week-ends.Mais le service a été maintenu le samedi 21 mai afin de faciliter la venue et le départ des spectateurs du groupe de rock au Stade de France à Saint-Denis, a confirmé lundi à l'AFP le cabinet du ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari.Les travaux seront "reprogrammés avec d'autres travaux" et ce report se fera "sans surcoût, contrairement à ce qu'affirme l'article du Monde", selon la même source.Le journal a évoqué "plusieurs centaines de milliers d'euros" de dépassement.Le cabinet du ministre a indiqué avoir "demandé le report des travaux, après avoir vérifié qu'il étaient sans incidence sur le calendrier du CDG Express ou du RER D".L'achèvement du CDG Express, train rapide censé relier Paris à l'aéroport Roissy - Charles-de-Gaulle, a été reporté l'année dernière à la fin 2026.Contactés lundi par l'AFP, ni le maître d'œuvre des travaux SNCF Réseau, ni l'autorité organisatrice Ile-de-France Mobilités (IDFM) n'ont réagi dans l'immédiat.
Il y a 3 ans et 94 jours

Pour Emmanuelle Wargon, "la RLS a été compensée auprès des bailleurs sociaux"

DÉBATS. La ministre du Logement s'est expliquée, le 14 février, sur la production de logements sociaux, la RLS (réduction de loyer de solidarité) ou encore la pérennisation de la loi SRU, à l'occasion d'une table-ronde organisée par le quotidien L'Humanité.
Il y a 3 ans et 94 jours

Présidentielle : pour quel candidat pensez-vous voter ?

ENQUÊTE BATIACTU. Selon vous, quel(le) est la ou le candidat(e) idéal(e) pour la filière de la construction, du BTP, de l'immobilier et du cadre de vie ? Quelles sont les priorités du secteur ? Faites entendre votre voix en répondant à notre sondage.
Il y a 3 ans et 94 jours

A l'Exposition universelle 2020, le pavillon Oman rend hommage à la culture de son pays

ARCHITECTURE. Batiactu s'est rendu à Dubaï, où la rédaction a visité le pavillon Oman. Le bâtiment multiplie l'utilisation de différents matériaux et met en lumière la flore du pays. Suite et fin de notre série sur les pavillons exceptionnels de l'Exposition universelle 2020.
Il y a 3 ans et 94 jours

“Un jour dans la nuit”, un roman graphique à l’initiative de NGE

[©NGE] A l’initiative de groupe de BTPNGE, l’illustrateur rouennais Virgile Dureuil et les éditions “Autrement” publient un roman graphique retraçant la reprise d’un chantier de nuit à Marseille, au sortir du premier confinement de 2020. Il s’agit d’un chantier sur la Côte bleue commandité par la SNCF. La Côte bleue est la façade maritime qui se situe au Nord de Marseille, après le quartier de l’Estaque. Et se termine à Martigues, en passant par Carry-le-Rouet. Une superbe luminosité s’en dégage… « Le cadre était tellement exceptionnel qu’un film contemplatif a été réalisé. Et NGE a voulu compléter tout l’univers visuel qu’il y avait autour de ce chantier, avec un roman graphique », raconte Virgile Dureuil. Une association inédite entre le 9e art et le 1er, c’est-à-dire l’architecture. Cette démarche s’inscrit dans la série des nombreuses initiatives prises par NGE pour recruter. Et aller au-devant de ses publics cibles. Et qui donne le ton de l’année pour l’entreprise… En effet, le groupe fête ses 20 ans en 2022. Une journée type de chantier Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE, devant une planche géante extraite du roman graphique “Un jour dans la nuit”, présentée en grands formats à la gare Saint-Charles, à Marseille. [©NGE]  « A la base, je suis fan de BD. J’avais déjà lu des ouvrages de Virgile, dont “Dans les forêts de Sibérie”. En plus, Virgile est Haut-Normand comme moi ! Ca rapproche !  Les choses se sont donc faites naturellement… », explique Bruno Pavie, le “tintinophile” DRH du groupe NGE. Le résultat est l’ouvrage “Un Jour dans la nuit”, qui raconte l’histoire de ce site, avec deux personnages : Cémal, le chef de chantier et Lucille, la conductrice de travaux. « On a travaillé pendant 4-5 mois et NGE nous a donné carte blanche », poursuit Virgile Dureuil, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues. Ce livre qui retrace la journée type d’un chantier s’adresse à tous ceux qui sont intéressés par le milieu du BTP. Et à ceux qui s’intéressent aux profils qui travaillent sur ce type de chantiers. Mais aussi à ceux qui sont passionnés de la Côte bleue… Son objectif : toucher le grand public, en offrant un nouvel éclairage sur les métiers du BTP par une narration sensible, un dessin précis et très chaleureux. « Accessible à tous, de 5 à 95 ans ! », insiste Bruno Pavie. Comment raconter l’expérience vécue par les équipes de la “deuxième ligne” lors de la reprise des chantiers après plus de 50 j d’arrêt ? Intensité de la vie de chantier Virgile Dureuil, l’illustrateur, qui a collaboré avec Foucauld Duchange pour les textes et les dialogues du roman graphique “Un jour dans la nuit”. [©Virgile Dureuil] Comment faire découvrir et ressentir par la même occasion, ce qu’est l’engagement quotidien des invisibles du BTP ? Quelque 64 pages où Lucille et Cémal nous font vivre leur quotidien et leurs métiers… Juste la réalité, sans pudeur… « Ce roman aux dessins expressifs porte une attention particulière sur l’illustration du terrain. On vit avec Lucille et Cémal les différentes parties de ce chantier de nuit», reprend Bruno Pavie. Ainsi, ce roman graphique reprend sur le papier l’intensité de la vie de chantier dans ce qu’elle a de foncièrement humaine. Celle que l’on ne soupçonne jamais une fois que l’ouvrage est fini et qu’il s’inscrit dans le quotidien. L’occasion pour les jeunes lecteurs de découvrir des métiers d’excellence… Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 97 jours

Grenoble, La Rochelle et Saint-Aubin, stars du vélo selon les cyclistes

Rennes rejoint cette année les deux capitales françaises du vélo devant Annecy, Nantes, Lyon et Tours, selon ce baromètre biennal présenté jeudi par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), qui tient son congrès à Tours.La Rochelle, Bourg-en-Bresse et Chambéry se classent comme les meilleures villes moyennes, la catégorie la plus mal notée de toutes. Saint-Aubin-de-Médoc, Le Tech et Séné sont les meilleures communes de banlieue, respectivement situées près de Bordeaux, Arcachon et Vannes."Les villes qui s'en sortent bien sont celles qui ont historiquement une politique tournée vers le vélo", a indiqué à l'AFP le secrétaire général de la FUB, Séraphin Elie.Pour la troisième édition de ce baromètre, l'association a recueilli 277.384 contributions en ligne du 14 septembre au 30 novembre 2021, et 1.625 communes ont été classées, soit une participation en forte hausse, avec plus de femmes et de cyclistes occasionnels que les années précédentes."Avec le Covid, on aurait pu s'attendre à ce que la participation des grandes villes augmente. Mais l'explosion des participations vient des petites villes", a précisé M. Elie."Le vélo est redevenu un mode de transport sérieux et un objet politique", a-t-il souligné. "Les élus ne peuvent plus ignorer le sujet. De plus en plus de maires s'y mettent, mais beaucoup partent de très bas".Saint-Jean-de-Monts (Vendée), Val-de-Reuil (Eure) et Marseillan (Hérault) se classent comme les meilleurs petites villes pour le vélo.La-Tranche-sur-Mer (Vendée), Vieux-Boucau (Landes) et Brétignolles-sur-Mer (Vendée) se classent en tête des meilleurs bourgs et villages."Les communes de la côte atlantique se sont emparées du vélo il y a longtemps, grâce au tourisme notamment. Elles s'en sortent très bien. Le ressenti est positif, même si, à la campagne, on circule toujours en voiture", a commenté M. Elie.64% des répondants trouvent que les conditions pour l'usage du vélo sont mauvaises, et 47,8% que la situation est restée identique pour les cyclistes sur les deux dernières années. 36,5% trouvent qu'elle s'est améliorée.
Il y a 3 ans et 97 jours

Ouate de cellulose : "Il faut réagir dans les semaines qui viennent", E. Bavouset (Ecima)

CRISE. Les professionnels de l'isolation par ouate de cellulose en appellent à un geste du gouvernement dans les "trois à quatre semaines" à venir, pour éviter la mise à mal de toute une filière. Emmanuel Bavouset, président de l'association européenne des fabricants de ouate de cellulose (Ecima), fait le point auprès de Batiactu.
Il y a 3 ans et 97 jours

Comment engager la décarbonation de nos routes

DÉCRYPTAGE. La décarbonation du réseau routier, notamment aux abords des grandes métropoles, apparaît comme un enjeu majeur pour atteindre la neutralité carbone. Lors d'une matinée d'échanges sur le sujet à laquelle Batiactu a participé, les acteurs des infrastructures ont débattu de solutions à mettre en place, estimant qu'il devenait urgent d'agir.
Il y a 3 ans et 97 jours

Lundi 14 février, Emmanuelle Wargon, Ian Brossat et Emmanuelle Cosse, en colloque sur le logement

Face à l’urgence climatique, aux exigences sociales, sanitaires, et à quelques semaines désormais de l'élection présidentielle de 2022, le Pavillon de l’Arsenal à Paris, accueille lundi 14 février 2022 un colloque organisé par le quotidien L’Humanité, intitulé «Le logement en pleine […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 98 jours

Le pavillon France à l'Expo Dubaï 2020 : tuiles photovoltaïques et leds

Face à l’urgence climatique, aux exigences sociales, sanitaires, et à quelques semaines désormais de l'élection présidentielle de 2022, le Pavillon de l’Arsenal à Paris, accueille lundi 14 février 2022 un colloque organisé par le quotidien L’Humanité, intitulé «Le logement en pleine […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 98 jours

Les EPI : histoire d’innovation

Les employeurs ont une obligation de fournir des EPI à leurs salariés, pour prévenir des accidents. [©Uvex] En 2020, nous avons expérimenté, pour la première fois de notre vie, un confinement général, en raison de la pandémie du Covid. Un souvenir pas très agréable. Cependant, un point positif s’en est démarqué : avec l’arrêt du travail pour de nombreux secteurs d’activité, le nombre d’accidents du travail a diminué de 17,7 % par rapport à 2019, avec moins de 540 000 accidents. Dans le secteur du BTP, qui a été le moins longtemps touché par cet arrêt, la diminution est de 12,8 %*. En règle générale, le BTP est l’une des activités les plus touchés par des accidents. C’est pour diminuer les risques que le Code du travail impose aux employeurs de fournir des équipements de protection individuelle aux salariés. Rappelons ce qu’est un EPI : c’est un dispositif ou un moyen destiné à être porté ou être tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé, ainsi que sa sécurité. Depuis 1991, les EPI font partie du quotidien des salariés. Rendus  obligatoires, ils ont mis un certain temps pour s’imposer réellement. Toujours plus de nouveautés… Avec l’évolution des réglementations, des technologies et des demandes, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. [©Cepovett] Avec l’évolution des réglementations et des technologies, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. Notamment, avec l’usage de nouveaux matériaux plus légers et plus résistants. Certains vêtements sont renforcés, ce qui permet de mieux absorber les chocs. Pour certains utilisateurs, le port d’un EPI peut représenter une gêne dans leur travail quotidien : trop lourd, trop chaud, contraignant…. Ainsi, nombre d’équipements sont réalisés avec de nouveaux matériaux qui améliorent leur confort. Par exemple, les casques, gants et chaussures de sécurité sont fabriqués à partir de “matériaux respirants”. De même, les coutures des chaussures ou des casques sont étudiées de manière à éviter les frottements. Bien que les EPI préviennent des risques, parfois un accident est si vite arrivé qu’il ne peut être évité. Pour cela, les marques peuvent proposer des équipements connectés, qui permettent de prévenir les secours en cas d’incident grave.   Grâce à de constantes innovations, les EPI sont toujours plus performants, confortables et esthétiques. Il faut noter, notamment, l’arrivée de produits pour femmes, adaptés à leur morphologie. Par ailleurs, avec le port obligatoire du masque et les nouvelles obligations dû au Covid, les marques répondent aux nouvelles attentes des usagers Aujourd’hui, les géants du secteur rivalisent d’ingéniosité et de créativité pour proposer des EPI plus innovants que jamais, mais en n’oubliant pas le plus important : la sécurité des usagers. *Source : Assurance Maladie. Retrouvez nos articles déjà publiés sur le sujet : Des lunettes de protection anti-buée pour une super vision Des EPI dédiés aux femmes Parade : La chaussure de sécurité Connect Milwaukee dévoile 4 nouveautés Spécialiste des EPI, Uvex dévoile sa nouvelle technologie Supravision, qui garantit une performance anti-buée maximale. Enfin une gamme d’EPI dédiés entièrement aux femmes. C’est une petite révolution dans le secteur du BTP. Mais ça change, preuve en est… La gamme Parade Connect propose 8 modèles de chaussures de sécurité connectées. Une première sur le marché français. Milwaukee est un acteur incontournable du secteur des EPI. Avec une gamme composée de 145 articles, la marque vient de dévoiler 4 nouveaux équipements pour protéger les professionnels de la construction.
Il y a 3 ans et 98 jours

Trophées des TP 2022 - Mise en oeuvre des matériaux bas carbone

Découvrez dès à présent les nommés représentés dans la catégorie "Sobirété et décabornation des engins" pour la 8ème édition des Trophées des TP qui se déroulera le 24 février au Grand Palais Ephémère.
Il y a 3 ans et 98 jours

Expo Dubaï 2020, l'universalisme à l'épreuve du désert

Face à l’urgence climatique, aux exigences sociales, sanitaires, et à quelques semaines désormais de l'élection présidentielle de 2022, le Pavillon de l’Arsenal à Paris, accueille lundi 14 février 2022 un colloque organisé par le quotidien L’Humanité, intitulé «Le logement en pleine […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 99 jours

Rendez-vous aux jardins début juin 2022

La prochaine édition des Rendez-vous aux jardins aura lieu du vendredi 3 juin au dimanche 5 juin 2022, sur le thème « Les jardins face au changement climatique ». Ce sera l’occasion de se pencher sur les effets du changement climatique, dans les parcs et jardins : modification de la palette végétale, changement des pratiques culturales, mutation du rythme des saisons, floraisons précoces, apparition de nouveaux parasites… et d’échanger avec les professionnels autour des actions mises en œuvre pour adapter les pratiques de jardinage à ces bouleversements, afin que les jardins demeurent des réserves de biodiversité pour le bien-être de l’homme et de l’ensemble du vivant. https://rendezvousauxjardins.culture.gouv.fr  
Il y a 3 ans et 99 jours

Safer Internet Day : qu’en est-il de l’Internet des Objets ?

Vous avez déjà entendu, à coup sûrs, de nombreux conseils vous invitant à utiliser des mots de passe uniques difficiles à deviner pour tous vos comptes en ligne, à masquer votre navigation sur Internet avec des VPN lorsque vous utilisez des points d'accès Wi-Fi publics ou encore à vous méfier d'e-mails non sollicités vous indiquant qu’un colis vous est destiné ? Mais en 2022, ceci ne suffit plus. Depuis des années, des millions d'appareils n’ayant pas été conçus en prenant en compte la cybersécurité se connectent quotidiennement à Internet. Ils transfèrent vos données sensibles et personnelles vers des serveurs sur internet. C’est ainsi que de plus en plus d'appareils du quotidien intègrent des ordinateurs, alors que peu d’entre nous en prennent réellement conscience. Nous les appelons innocemment « Objets connectés » ou « Internet des objets » (IOT). Cette myriade d'appareils dits « intelligents » nous entourent et profitent de plus en plus d’Internet, qu'il s'agisse d'ampoules ou de fours que vous pouvez allumer à distance, d’un réfrigérateur connecté qui peut déterminer ce qui doit être commandé, des moniteurs pour bébé, des voitures jusqu’aux implants médicaux… Le débat sur la sécurité de ces nouveaux objets est vaste. Dans certains cas, les avantages peuvent nous rendre perplexes. Posséder un réfrigérateur connecté à Internet est-ce vraiment nécessaire ou sommes-nous simplement influencés par le marketing ? Un sèche-linge partageant des informations de diagnostic avec une équipe de service après-vente et se mettant à jour. Tout cela semble vraiment pratique et peu dangereux pour la sécurité de nos données à première vue. A l’inverse, un véhicule pouvant communiquer avec d'autres voitures pour savoir où se trouvent les risques sur notre trajet, cela semble très utile. Pour autant, cela doit nous interroger sur le sort de nos données et l’enregistrement de nos déplacements. L’IOT est un sujet qui divise et interroge beaucoup d’entre nous. Certaines entreprises peuvent sembler laxistes en matière de sécurité et de confidentialité alors que le grand public continue d’adopter ces gadgets à bras ouverts sans prise de conscience notable. Mais, il est à noter que malgré les failles régulièrement décelées sur les objets connectés, celles-ci sont souvent vite corrigées. Il faut simplement faire attention aux données que l’on transmet comme sur tout appareil numérique et effectuer les mises à jour régulièrement pour être en sécurité. Le Safer Internet Day pourrait être, cette année, l’occasion de réfléchir à notre utilisation de l’Internet des Objets. Faites vos choix en âme et conscience. L’utilisation idéale est sûrement dans un juste milieu.Tribune de Benoit Grunemwald, Expert en Cyber sécurité, ESET France (LinkedIn)
Il y a 3 ans et 101 jours

Carrier et Barrisol lancent en Europe une gamme de solutions innovantes de plafonds CVC

A partir d’une solution tout air, chauffer, rafraîchir, ventiler, épurer l’air, sans bruit, ni mouvement d’air discernable, c’est la promesse du nouveau procédé développé par Carrier et Barrisol
Il y a 3 ans et 101 jours

L’École polytechnique publie son Plan climat et met le développement durable au cœur de ses missions et de son campus

La publication du Plan climat de l’École polytechnique accentue son engagement pour contribuer à bâtir un monde plus soutenable. Elle affirme son ambition d’intégrer pleinement la transition écologique dans l’ensemble de ses missions de formation, de recherche, d’innovation et dans le fonctionnement de son campus. Résultat d’un processus large et participatif qui a impliqué les équipes académiques, les étudiants, les personnels et les partenaires de l’École, ce Plan climat fixe 10 objectifs réalisables à 5 ans, regroupés en 3 piliers - former et engager, développer et innover, et réduire et responsabiliser – pour transformer en profondeur les comportements et contribuer à l’avènement d’une prospérité responsable et soutenable. Le Plan climat de l’École polytechnique s’inscrit dans le prolongement des engagements forts en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique pris par l’École lors du colloque international « Réflexions : Chercher, former et agir pour le développement durable », organisé en juin 2019, dans le cadre de son 225e anniversaire. L’École a ainsi publié en 2020 un premier bilan carbone du campus, permettant d’établir un diagnostic et de définir des trajectoires de réduction de ses émissions pour parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2050.Elle a ancré cette nouvelle étape de la transition écologique au sein de l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), qui lui a permis d’unir ses forces à celles de quatre autres Écoles d’Ingénieur prestigieuses : l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Telecom Paris et Telecom SudParis. Dans ce cadre, elle a poursuivi le déploiement de ses modules de formations développement durable et des actions de recherche du centre interdisciplinaire d’IP Paris, Energy4Climate (E4C). Depuis sa création, l’École polytechnique n’a cessé d’accompagner et de façonner les transformations économiques, techniques et sociétales qui se sont succédées et qui ont permis des avancées au bénéfice du plus grand nombre. L’engagement de l’École en faveur d’un développement soutenable entre en résonance avec sa mission originelle de promotion de la science dans la formation, la recherche et l’innovation au plus haut niveau et au service du bien commun. Complexes et globaux, les défis environnementaux doivent être abordés avec humilité, agilité, vision de long terme et dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire que l’École porte depuis ses origines.Les 10 objectifs du Plan climat à cinq ans :Intégrer des heures de formations appliquées sur les enjeux de durabilité dans 100% des parcours professionnalisantsTripler le nombre d’heures de formation obligatoire sur les enjeux de soutenabilité pour l’ensemble des formationFormer nos collaborateurs et leur permettre d’appliquer la transition écologique au quotidienCréer un campus démonstrateur de la transition, s’appuyant sur ses communautés de recherche et d’innovationIntégrer le développement durable comme paradigme dans 100% des projets de recherche structurantsAlimenter un fonds climat permettant de soutenir des actions de transition au sein de l’ÉcoleRéaliser annuellement une cartographie de la recherche à l’échelle IP Paris portant sur les enjeux environnementaux et de son impactDiminuer de 20% les émissions de gaz à effet de serre par usager du campus sur le poste énergieAssurer 50% des commandes sous critères d’achats responsablesSanctuariser un cœur de campus dédié aux modes de déplacements doux
Il y a 3 ans et 101 jours

La construction ossature bois dans la poche !

Bois PE propose l’édition poche de son « Manuel de chantier pour la Construction à ossature bois ». Pratique, le livre présente toutes les étapes de chantier en dessins  – plus de 1 000 illustrations en 2D et 3D -, ouvrage par ouvrage, pour réaliser l’ensemble d’un bâtiment. Ce guide pratique, écrit par Christian Fanguin, charpentier et cofondateur du Centre de formation Bois PE , s’adresse aux charpentiers, constructeurs, maîtres d’œuvre, enseignants,  formateurs… Le livre (352 pages au format poche : H 147 x L 104 mm), est vendu 32 € TTC et peut être acheté en ligne sur www.boispe.fr ainsi que dans les librairies.  Anna Ader  
Il y a 3 ans et 101 jours

Maison individuelle : "Le zéro énergie n'était pas le modèle à suivre" (E. Wurtz, CEA)

ENTRETIEN. Chargé de monitorer l'expérimentation Comepos qui a porté sur une vingtaine de maisons individuelles à énergie positive, Etienne Wurtz explique pourquoi le Bepos n'est plus un objectif prioritaire, et expose, pour Batiactu, les perspectives de la relation entre bâtiment et réseaux énergétiques.
Il y a 3 ans et 90 jours

Plastor Fond dur et Huile parquet Effet bois nu

Un résultat totalement invisible pour préserver la beauté naturelle et brute du bois Chaleureux, le parquet en bois est très tendance. Chaque essence dispose d’une couleur, d’un veinage et d’un rendu qui lui est propre et qui apporte une authenticité unique aux lieux. Pour perdurer, ce revêtement a besoin d’être protégé contre le trafic, les taches et l’humidité. Mais bien souvent les vitrificateurs et les huiles réhaussent la teinte du bois et jaunissent fortement à cause des remontées de tanins. Pour tous ceux qui souhaitent préserver l’aspect brut du bois, Plastor, spécialiste depuis plus de 50 ans dans la fabrication de finitions pour la protection de sols, a développé une nouvelle gamme avec 2 produits pour parquet, totalement invisibles : le Fond dur et l’Huile Effet bois nu. Fabriquées en France dans le Jura, ces nouveautés Effet bois nu Plastor conservent et protégent la beauté naturelle du bois, sans réchauffer ni blanchir le bois d’origine. Simples et rapides à appliquer, elles limitent les contraintes de chantiers pour les professionnels du parquet. PRÉPARATION NOUVEAU – FOND DUR EFFET BOIS NU – Sous-couche d’accrochage Pour assurer une finition parfaite aux parquets clairs ou bruts, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor imprègne le bois en profondeur, bloque les remontées de tanin tout en conservant complètement sa couleur pour lui laisser un aspect totalement naturel. Cette sous-couche d’accrochage s’utilise en système avec tous les vitrificateurs en phase aqueuse PUR-T® Plastor. Il est conseillé de l’appliquer avec le vitrificateur PUR-T®3 DUO mat pour garder un rendu totalement invisible. Prête à l’emploi et facile à utiliser, sa formulation fluide permet une application uniforme et sans traces de reprises. Ainsi, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor offre des conditions de travail agréables aux artisans parqueteurs. Il sèche très rapidement, en 1 à 2 h entre couches, et ne nécessite pas d’égrenage. Il est conseillé d’appliquer 2 couches de sous-couche et 1 couche de vitrificateur.   Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L et 5L FINITION NOUVEAU – HUILE PARQUET EFFET BOIS NU – Protège la nature du bois Totalement invisible, l’Huile Effet bois nu Plastor préserve efficacement les parquets tout en mettant en valeur l’authenticité et le toucher naturel des essences de bois. En phase aqueuse, sa formulation haute qualité nourrit en profondeur le bois et protège durablement tous les parquets neufs ou anciens des agressions quotidiennes, des taches et de l’humidité. Prête à l’emploi, cette nouveauté assure le huilage complet d’un parquet en 1 journée, avec un seul égrenage entre la 2ème et la 3ème couche et un séchage de 1 à 2 h entre 2 couches. Cette application sans lustrage permet ainsi aux parqueteurs d’effectuer 3 couches dans la journée, un véritable gain de temps, appréciable sur les chantiers. Sans odeur gênante, cette huile pour parquet qui dégage seulement 25 g/L de COV est très agréable à appliquer. Excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense, l’Huile pour parquet Effet bois nu Plastor leur confère une excellente résistance à l’usure et facilite leur entretien. Rendement : 15 m2/L par couche Existe en 1L et 5L