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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Réglementation

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Il y a 2 ans et 165 jours

La "faible mixité" au sein des équipes favorise les cas de harcèlement sexuel

SANTE. L'Institut national de recherche et de sécurité a publié un nouveau dossier sur le harcèlement sexuel et les agissements sexistes au travail. Valérie Langevin, psychologue du travail et experte d'assistance conseil au sein de l'institut, décrypte pour Batiactu les risques liés à ce type de comportements et les moyens de les éviter .
Il y a 2 ans et 165 jours

Lettre ouverte à Rima Abdul Malak – Au Mirail, à Toulouse : le gâchis !

A Toulouse (Haute-Garonne), un collectif d’architectes, associé à un collectif d’habitants du Mirail, s’oppose à la démolition programmée de sept immeubles de logements collectifs réalisés par l’équipe d’architectes Candilis, Josic et Woods dans les années 1960, un ensemble de grande qualité architecturale. Au-delà d’un moratoire sur ces démolitions, qui concernent 1 421 logements sociaux totalement […] L’article Lettre ouverte à Rima Abdul Malak – Au Mirail, à Toulouse : le gâchis ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 165 jours

Le contrôle du thermostat est désormais obligatoire lors du contrôle de la chaudière

Le contrôle obligatoire de l'état de la chaudière dans un logement ou les immeubles doit désormais vérifier l'existence d'un thermostat et son bon fonctionnement, selon un arrêté paru au Journal officiel.
Il y a 2 ans et 165 jours

Sonepar et Bureau Veritas s'allient pour répondre aux enjeux énergétiques des bâtiments tertiaires

Alors que les questions liées à la sobriété énergétique occupent une place centrale dans le débat public, de nombreuses entreprises réfléchissent à la manière de se conformer aux nouvelles obligations en la matière avec le décret tertiaire (« dispositif éco-énergie tertiaire ») qui concerne tous les bâtiments à usage tertiaire de plus de 1000 m2. Après avoir défini une année de référence pour leur consommation énergétique, les propriétaires et exploitants devront réduire cette consommation de 40% en 2030, et jusqu'à 60% d'ici à 2050.Pour accompagner ses clients dans cette démarche, Sonepar a fait le choix de mettre à disposition, une plateforme omnicanale, sur laquelle toutes les solutions Bureau Veritas liées au enjeux énergétiques seront présentées.« Grâce à cette plate-forme, les clients de Sonepar pourront commander des audits énergétiques, de l'accompagnement à la mise en oeuvre de plans de sobriété, ou encore avoir accès à des financements via les Certificats d'économie d'énergie. Par ailleurs, nous ouvrirons plus largement notre offre de services pour ces utilisateurs en y ajoutant des missions de vérifications électriques et des formations ad hoc. C'est avec fierté et engagement que Sonepar et Bureau Veritas allient leurs forces et leur expertise pour contribuer efficacement aux efforts de sobriété énergétique nécessaires aujourd'hui et essentiels sur le long terme pour répondre à l'enjeu climatique » explique Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique, France et Services aux Gouvernements de Bureau Veritas.Et Jérôme Malassigne, Président Sonepar France de poursuivre : « Les structures concernées sont nombreuses : plateaux de bureau, établissements de santé, établissements scolaires, équipements sportifs ou encore monuments historiques… En France, ce sont plus de 940 millions de mètres carrés qui sont concernés par le décret tertiaire. Notre volonté : accompagner nos clients installateurs et les utilisateurs des bâtiments dans leurs démarches de réduction de consommation d'énergie, et faire de cette réglementation une opportunité de business au service des enjeux énergétiques de demain. C'est ainsi une couverture de l'ensemble de l'écosystème électrique qui sera proposée aux professionnels du marché afin de leur apporter, partout en France, des réponses adaptées à leurs besoins de sécurité, de qualité et de conformité. »
Il y a 2 ans et 165 jours

Formats XXL, lames, esthétique : les revêtements de surfaces face à de nouvelles exigences

Le nouveau numéro de Solutions&Performances, la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré aux revêtements de surfaces. Agrandissement de format, évolution des techniques de pose et des règles professionnelles : le secteur fait face à de nouvelles exigences. Ainsi, la rubrique Tendances aborde l'évolution des textes de pose et des certifications produits induite par ces changements et qui permettent aux fabricants et aux entreprises de mise en œuvre de répondre aux attentes du marché. La rubrique Règlementation évoque notamment la sortie du guide de mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut » et la révision des NF DTU 53.12, relatif à la préparation du support et revêtements de sol souples, et NF DTU 52.2, relatif aux revêtements de sol céramiques en pose collée en travaux neufs. La rubrique Parole d'expert vous permettra de tout savoir sur la nouvelle certification QB46 Chapes fluides créée par le CSTB. La parole aux professionnels recueille les témoignages de représentants d'industriels et d'artisans de la filière. Ils nous parlent notamment de leur collaboration avec le CSTB, de son expertise et des marques de qualité qu'il délivre. Avec Pathologies, proposée par notre partenaire l'Agence Qualité Construction, vous saurez tout sur les sinistres rencontrés sur les chapes fluides à base de sulfate de calcium et à base de ciment. La nouvelle rubrique Prévention, proposée par notre partenaire l'OPPBTP, présente pour sa part des solutions innovantes pour améliorer les conditions de travail des artisans devant manipuler des carreaux grand format. Enfin, les rubriques Innovations, qui regroupe les tendances en matière d'Avis Techniques, et Focus pour aller plus loin sur le projet SIPP Certification – Database, nouveau site de publication des certificats délivrés par le CSTB. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Formats XXL, lames, esthétique : les revêtements de surface face à de nouvelles exigences

En matière de revêtements de sol et de revêtements muraux, la tendance est aujourd'hui aux grands formats, particulièrement dans la famille des carreaux. On constate également un recours accru à la pose de lames clipsables en complément des dalles et des lés. Ces changements, qui impactent la mise en œuvre des différents revêtements, ont induit une évolution des textes de pose et des certifications produits pour que les fabricants et les entreprises de mise en œuvre puissent répondre aux attentes du marché. Particulièrement esthétiques, les carreaux grands formats (dimensions supérieures à 60 x 60 cm) séduisent de plus en plus les ménages, mais aussi les commerces, les centres commerciaux, les hôtels et autres lieux accueillant du public. Élégance, large choix de modèles, résistance à l'usure et au poinçonnement : les carreaux ne manquent pas de qualités et s'intègrent dans tout type d'espace. Très plébiscitées également, les lames s'invitent dans toutes les familles de revêtements, y compris les textiles. Cette tendance est en particulier notable dans les PVC avec des formats qui s'agrandissent (jusqu'à 1,80 m de longueur). En pose collée ou libre (lames LVT clipsées avec rainures et languettes), les lames PVC sont bien adaptées à l'usage domestique, mais aussi commercial. Ces revêtements, quelle que soit leur nature, ont fait apparaître de nouvelles exigences en matière de mise en œuvre et de préparation du support. Par exemple, les formats XL, voire XXL pour les murs, exigent une planéité parfaite et, idéalement, de grandes surfaces sans fractionnement. Une réponse bien adaptée pour le sol est apportée par les chapes fluides, ouvrages d'interposition entre le gros œuvre et le revêtement de sol. Suite au récent passage d'une partie des chapes fluides dans le domaine traditionnel, et la sortie de nouvelles règles professionnelles pour la mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment ou de sulfate de calcium, le CSTB a développé la certification QB46 afin de valoriser la qualité de l'ensemble des chapes fluides et de répondre aux besoins des chapistes et des carreleurs. Côté sols souples, le NF DTU 53.12, récent DTU qui concerne la pose des revêtements de sols souples, intègre maintenant le linoleum, passé dans le domaine traditionnel, mais également le format lame pour les textiles. En réponse, le CSTB a fait évoluer sa certification QB30 « Revêtements de sol résilients » en y intégrant le linoleum, et sa certification QB31 « Revêtements de sol textiles » (en cours) en y intégrant les formats lames. Côté carreaux, le NF DTU 52.2, relatif aux revêtements céramiques en pose collée en travaux neufs, étend, dans sa récente révision, les formats admissibles des carreaux céramiques en sol et en murs. Les règles professionnelles pour « la pose collée des revêtements céramiques grand format, très grand format et format oblong en murs intérieurs en travaux neufs » le complètent en ouvrant la pose à des formats jusqu'à 36 000 cm². Les carreaux revêtent les sols mais aussi les murs. La certification QB WallPEC, créée par le CSTB, garantit le respect des caractéristiques dimensionnelles, la résistance mécanique des carreaux (P), leur comportement à l'eau (niveaux E1 et E3) et aux agents chimiques (niveaux C1 et C2). Les carreaux QB WallPEC ont également des exigences dimensionnelles plus strictes que des carreaux non certifiés, permettant une mise en œuvre avec des joints minces (environ 2 mm) et une planéité optimale pour satisfaire les exigences esthétiques. En résumé, pour répondre à ces évolutions du marché et des règles de l'art, le CSTB accompagne l'ensemble des acteurs de la construction, et en particulier les entreprises de mise en œuvre. Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Sortie d'un guide de mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut »

Suite à la parution de l'arrêté du 11 septembre 2020 qui supprime le ressaut maximal de 2 cm entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche, jusqu'alors autorisé, le CSTB, sollicité par la DHUP, a publié un Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs sur support béton. L'évolution de cette réglementation doit permettre l'accessibilité de l'espace douche aux personnes restreintes dans leurs déplacements, quel que soit le type de handicap. Elle favorise également le maintien à domicile des personnes âgées. Pour en savoir plus : Douches « zéro ressaut » : un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB Télécharger le guide : Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs Révision du NF DTU 52.2 relatif aux revêtements de sol céramiques en pose collée en travaux neufs Cette nouvelle version fait évoluer le format des carreaux céramiques admis. En pose murale, la surface des carreaux céramiques est étendue à 3 600 cm² sur les différents supports admis. En pose en sols intérieurs, leur surface est augmentée à 10 000 cm², et les formats oblongs (lames dont l'élancement est compris entre 3 et 10) sont visés. Ce NF DTU introduit également la mise en œuvre de certains Systèmes de Protection à l'Eau sous Carrelage (SPEC), jusque-là sous Avis Technique, selon les prescriptions de la nouvelle partie P1-1-4 « Cahier des clauses techniques types pour les systèmes de protection à l'eau sous carrelage ». Ces systèmes sont constitués principalement de résines pour les murs intérieurs. Pour en savoir plus : NF DTU 52.2 Pose collée des revêtements céramiques et assimilés - Pierres naturelles Nouveau NF DTU 53.12 relatif à la préparation du support et revêtements de sol souples Ce DTU regroupe les travaux de mise en œuvre des sols souples en construction neuve et rénovation. Il annule et remplace les NF DTU 53.1 et 53.2 sur les revêtements de sol textiles et résilients. Il intègre dorénavant la préparation des supports avec la mise en œuvre des enduits de sol, mais aussi les linoleums, qui ne relèvent plus de la procédure d'Avis Technique depuis le 1er juillet 2021. L'extension de la certification QB30 « Revêtements de sol résilients » à la famille des linoleums accompagne la révision de ce DTU. Pour en savoir plus : NF DTU 53.12 Préparation du support et revêtements de sol souples Révision du DTU 13.3 relatif aux travaux de dallages La révision porte notamment sur la réorganisation de ce document qui définit les règles de conception, de calcul et d'exécution des dallages en béton. La partie 1-2 de cette norme DTU introduit des critères d'aptitude à l'emploi des produits de couches d'usure incorporées qui sont en lien avec le classement P/MC de ces produits. Pour en savoir plus : NF DTU 13.3 Travaux de dallages - Conception, calcul et exécution Revêtements de sol céramiques : révision des spécifications techniques pour le classement UPEC Le Cahier 3778_V5 2022 annule et remplace le Cahier 3778_V4 2020. Il précise dorénavant le nombre d'éprouvettes dans le cas d'un contre-essai, intègre un module de rupture minimal pour le classement P3 et ouvre, pour une revendication P4s, à une légère décoration. Télécharger le cahier 3778_V5 Nouvelles règles professionnelles pour les chapes fluides Suite au passage des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium dans le domaine traditionnel, de nouvelles règles professionnelles pour leur mise en œuvre ont été rédigées. Elles précisent les conditions générales d'emploi et de mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium disposant d'un certificat QB46 du CSTB. Elles visent les ouvrages en France métropolitaine, à l'intérieur des bâtiments, pour les travaux neufs et de rénovation, sans changement de destination des locaux. Pour en savoir plus : Règles Professionnelles - Pour la mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment ou de sulfate de calcium Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

QB46 Chapes fluides

Parole d'expert Rencontre avec Virginie Cordier, ingénieure évaluation, direction Sols et Revêtements, rapportrice du GS13, CSTB et Goulam Houssein Abasse, gestionnaire de certification, direction Sols et Revêtements, CSTB. Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Carrelages grand format : des solutions innovantes pour améliorer les conditions de travail

Depuis quelques années, la tendance est au format XXL pour les carrelages. Il s'agit de carreaux dont les dimensions sont supérieures à 60 cm x 60 cm et dépassent souvent le mètre carré. Ces augmentations de format entraînent des difficultés en termes de transport, manutention, découpe et pose. Elles imposent la plupart du temps d'avoir recours à deux personnes pour manipuler les carreaux et les poser. Ces contraintes conduisent parfois les artisans à décliner ce type de chantier. Face à ce constat, l'UNA Maçonnerie-Carrelage de la CAPEB, l'Iris-ST et des équipementiers ont engagé, en partenariat avec l'OPPBTP, une étude ergonomique sur les conditions de travail des artisans carreleurs pour la pose de carreaux de grand format. Les objectifs : lister les problématiques rencontrées et identifier des solutions innovantes pour améliorer les conditions de travail. L'observation, une étape fondamentale En 2019, une première phase observatoire a été menée sur deux chantiers avec un ergonome de l'OPPBTP. En parallèle, un relevé des caractéristiques des chantiers (neuf-rénovation – individuel-collectif) et des matériaux mis en œuvre, ainsi qu'un recensement des équipements existants ont été réalisés. Cela a permis d'obtenir des résultats concrets sur l'organisation d'un chantier, les postures de travail des carreleurs et les contraintes rencontrées. À l'issue de cette première phase, l'UNA Maçonnerie-Carrelage, l'Iris-ST et l'OPPBTP ont réuni des équipementiers, des industriels et des start-up afin de leur présenter les résultats de cette étude. Trois des équipementiers, Probst, Robotile et Raimondi, se sont engagés à collaborer dans la recherche de solutions. Des équipements ont été expérimentés sur trois chantiers en 2021. En savoir plus : OPPBTP - Carrelages grand format : des solutions innovantes pour améliorer les conditions de travail Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Estelle Breillat - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Estelle Breillat, déléguée régionale SNBPE et SNPB. Gage de confiance pour les acteurs de la construction, la certification QB46 valorise la qualité des chapes fluides des fabricants. Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional – Pour percer, scier et couper tout en puissance et en toute liberté 

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V. Le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional offre la liberté du sans-fil avec les performances d’un outil filaire et davantage de confort. Quant à la GSA 18V-28 Professional, elle est la première scie sabre sans-fil avec la technologie BITURBO. Son rapport poids/puissance et ses performances de coupe font toute la différence. Enfin, la meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional combine les avantages des grandes et des petites meuleuses d’angle : une grande profondeur de coupe, un poids réduit et un design optimisé. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d’atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d’autonomie. NOUVEAU PERFORATEUR SANS-FIL GBH 18V-40 C : LE PLUS PUISSANT DE SA CATÉGORIE Le nouveau perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Bosch Professional offre des performances équivalentes à un outil filaire pour percer dans le béton, la pierre et la maçonnerie grâce à la technologie BITURBO Brushless. Il dispose d’une force de frappe élevée de 9,0 J pour buriner et percer rapidement des trous jusqu’à 40 mm dans du béton. Il bénéficie d’un rapport poids/puissance optimal grâce à son mécanisme de frappe optimisé, qui contribue à le rendre plus léger, et son système d’entraînement très performant. Un affichage interactif et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone permettent aux artisans de contrôler la machine, l’état de la batterie, et de personnaliser les réglages via 3 modes de travail : – le mode « Auto » pour des performances maximales, par exemple lors du percement dans le béton,– le mode « Soft » pour travailler dans des matériaux fragiles tels que la maçonnerie ou les carreaux,– le mode « Favori » pour personnaliser les performances de perçage via l’application Bosch Toolbox. Pour un meilleur confort d’utilisation, la batterie du perforateur est intégrée à l’avant de l’outil, ce qui optimise son centre de gravité et le rend plus facile à manier. La poignée déportée permet une manipulation aisée et une réduction des vibrations de l’outil. Les fonctions de démarrage progressif EPC (Electronic Precision Control) et ASC (Adaptive Speed Control) assurent un maximum de précision et de confort lors des travaux de perçage et burinage. En plus du débrayage de sécurité, le système KickBack Control protège l’utilisateur. Un capteur arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l’accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Le perforateur est également équipé d’un éclairage LED, d’un variateur de vitesse, d’un interrupteur blocable et de la fonction Vario-Lock. Il est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. Bosch propose également une large gamme d’accessoires dont les forets Expert, particulièrement résistants à l’usure.  ©Bosch NOUVELLE SCIE SABRE SANS-FIL GSA 18V-28 : DES PERFORMANCES DE COUPE ÉQUIVALENTES AUX OUTILS FILAIRES 1 100 W La nouvelle scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Bosch Professional BITURBO a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. Métal, maçonnerie, isolant, plastique ou bois, tous les matériaux courants sont facilement et rapidement sciés. Grâce à la nouvelle technologie BITURBO Brushless, la GSA 18V-28 Professional profite des performances de coupe équivalentes à celles d’une scie sabre filaire de 1 100 W. Pour réaliser chaque découpe avec une grande précision, elle bénéficie d’un variateur de vitesse sur la gâchette qui assure un démarrage progressif et en douceur. Compacte et parfaitement équilibrée, la scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Professional offre un grand confort d’utilisation grâce à sa poignée optimisée, aux formes ergonomiques, et son très bon rapport poids/puissance. Elle est idéale pour effectuer des coupes à ras des tuyaux ou près des murs, et permet à l’utilisateur de travailler facilement et sans effort, quelle que soit sa position : en hauteur, dans les endroits difficiles d’accès, exigus… La GSA 18V-28 Professional dispose du système SDS sans outil qui permet de changer la lame facilement et rapidement en toute sécurité, d’une seule main. Pratique, elle est dotée d’un crochet métallique, situé à l’arrière de l’outil, pour être suspendue dans une position équilibrée à une échelle ou un échafaudage entre 2 utilisations. Par ailleurs, lorsque la scie sabre GSA 18V-28 Professional est équipée de la lame à technologie carbure Expert Thick Tough Metal, les artisans peuvent couper rapidement, de manière précise et droite, du métal épais, des tuyaux en fonte, des profilés en acier… La GSA 18V-28 Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. La large gamme d’accessoires Bosch permet à la scie sabre GSA 18V-28 Professional de couvrir un large champ d’applications. ©Bosch NOUVELLE MEULEUSE D’ANGLE SANS-FIL GWS 18V-180 PC PROFESSIONAL : L’ERGONOMIE DES PETITES MEULEUSES, LA PERFORMANCE DES GRANDES D’un design ergonomique et compact, la nouvelle meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Bosch Professional BITURBO combine les avantages des petites meuleuses en termes de confort et maniabilité, et les performances des grandes. En effet, elle offre la même profondeur de coupe qu’une grande meuleuse d’angle de 230 mm, tout en étant 30 % plus légère et plus petite grâce au disque de 180 mm et à sa tête d’engrenage réduite. La technologie BITURBO Brushless lui permet de disposer de suffisamment de puissance pour effectuer des coupes rapides et tronçonner tous types de métaux, béton, brique et carrelage. Autre avantage, la GWS 18V-180 PC Professional assure une très bonne protection de l’utilisateur, notamment lorsqu’il est sur un échafaudage ou un toit, grâce à différentes fonctions. Le système PROtection switch (interrupteur homme mort) arrête immédiatement la meuleuse dès que l’utilisateur relâche l’interrupteur. La fonction KickBack Control prévient les rebonds imprévisibles et le système de freinage intelligent réduit considérablement les risques d’accidents. Par ailleurs, la protection anti-redémarrage, le démarrage progressif ainsi que la poignée latérale anti vibrations garantissent une maîtrise et une sécurité totales de l’outil. La GWS 18V-180 PC Professional BITURBO est équipée d’un module Bluetooth Connectivity qui permet aux professionnels de coupler la meuleuse avec un Smartphone pour voir, définir et personnaliser ses fonctions via l’application ToolBox. Enfin, la meuleuse possède un carter d’engrenage rotatif à 90° et des disques qui permettent de découper une grande variété de matériaux (métal, béton, pierre) tout en protégeant l’utilisateur. D’autres accessoires sont également disponibles tels que le disque à tronçonner Expert « Diamond Metal Wheel » pour des applications plus exigeantes dans le métal et les matériaux abrasifs. La GWS 18V-180 PC Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch.  ©Bosch www.bosch.fr
Il y a 2 ans et 165 jours

Évolution dans la conception des douches à l'italienne

Suite à la parution de l'arrêté du 11 septembre 2020, relatif à l'accessibilité aux personnes handicapées des bâtiments d'habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction, et en parallèle de la rédaction du Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible « zéro ressaut » dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs sur support béton, puis sur support bois, des ATEx sont en cours pour évaluer de nouvelles solutions de mise en œuvre des douches accessibles. Ces solutions concernent aussi bien la mise en œuvre maçonnée (douche à l'italienne) sur ouvrage flottant étanché lui-même sur support béton ou support bois, que la mise en œuvre de receveurs finis avec bande de raccord d'étanchéité. Développement de solutions alternatives à la pose collée Avec la rénovation massive du bâti existant, on assiste au développement de nouvelles techniques de pose semi-libre, assimilée libre et libre. La présence de sols amiantés dans les bâtiments en rénovation a d'abord conduit les fabricants à réfléchir à des techniques alternatives à la pose collée des revêtements PVC en lés. Objectif : ne pas dégrader la surface contenant des fils d'amiante en collant un nouveau revêtement pour éviter, lors de sa dépose, des fuites dans l'air. Les techniques de pose avec maintien périphérique, qui privilégient l'utilisation de bandes adhésives sur les côtés, se sont progressivement développées : on parle ici de pose semi-libre ou assimilée libre, ainsi que de pose libre. Outre le recours à des revêtements souples en lés, dont les performances mécaniques ont été renforcées, la pose semi-libre ou assimilée libre nécessite l'emploi de bandes adhésives. Les bandes adhésives ont évolué vers un maintien différencié, c'est-à-dire dont le pouvoir d'adhésion est plus important côté revêtement que côté support (pose semi-libre), puis vers un faible pouvoir d'adhésion des deux côtés (pose assimilée libre). La pose libre, sans aucun maintien ni collage, concerne les produits en lames ou dalles (notamment les produits dits « LVT ») semi-rigides ou rigides avec système mécanique d'assemblage des éléments entre eux (typiquement avec rainures et languettes) ; elle favorise le recyclage du revêtement après sa dépose. De nombreux ATec et ATEx ont progressivement accompagné le développement de ces techniques. Ils valident les performances mécaniques des revêtements de sol PVC souples en lés, par nature déformables et sensibles aux variations de température, et l'adéquation revêtement - bande adhésive pour l'usage prévu. Ils valident également le domaine d'emploi : auparavant réservées aux usages domestiques, les poses semi-libre, assimilée libre et libre ont été étendues aux locaux collectifs moyennement sollicités. Les revêtements de sol PVC en lames ou en dalles font également l'objet d'Avis Techniques en pose libre pour étendre leur domaine d'emploi. Rigides ou semi-rigides, ces revêtements sont naturellement plus résistants à la déformation, mais leur stabilité dimensionnelle aux variations de température doit être surveillée. Appropriés aux usages domestiques et commerciaux, grâce à leurs qualités esthétiques et à leur facilité de mise en œuvre, ils ne sont pas adaptés à l'emploi dans les locaux techniques et les locaux à exigences particulières d'hygiène. Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Les clés de la certification

Marquage & Certificats  » Certification dans Revêtement de sol Solutions & Performances - Numéro 10 : « Revêtements de surfaces » Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF 1.06 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 165 jours

Locken Smart Access un logiciel pour paramétrer et gérer l’ensemble des accès

Spécialisée depuis près de 20 ans dans le développement de solutions de gestion des accès personnalisés et de services à valeur ajoutée, LOCKEN a notamment mis en avant sa solution LSA (Locken Smart Access) particulièrement adaptée aux grandes infrastructures et aux entreprises composées de sites dispersées. En effet, le logiciel Locken Smart Access (LSA) est le cœur des solutions de contrôle d’accès développées par Locken. Simple et sécurisé, il gère, à partir d’une même interface, l’ensemble des solutions proposées par Locken : clés électroniques, mécaniques, solutions smartphones, badges, …Multi-technologies & multi-environnements, le logiciel LSA permet de renforcer la chaîne de valeur des entreprises, de paramétrer et gérer l’ensemble des accès. Le logiciel LSA peut être utilisé tel quel, mais aussi s’intégrer au système d’information de l’entreprise. Il reprendra alors automatiquement des informations comme le statut contractuel des intervenants, la prévention des risques au travail, ou les consignes à transmettre en cas d’incident. Dans certaines entreprises, cette solution de gestion des accès contribuera à l’amélioration du niveau de service en s’intégrant aux données préexistantes, celles par exemple des Responsables Sécurité ou des Ressources Humaines.Un logiciel sécurisé et personnalisableLe logiciel de contrôle LSA permet de configurer les accès sur mesure. Dans sa version « Plug & play », il couvre la totalité des besoins des utilisateurs. Sur mesure, il répond aux attentes spécifiques de chaque entreprise. Le logiciel LSA peut alors s’interfacer avec le système d’information de chaque client et intégrer des fonctionnalités avancées comme la visualisation graphique ou la validation instantanée des demandes d’accès. Ainsi, avec l’appui des experts Locken, chaque entreprise peut disposer d’une solution entièrement adaptée à ses besoins.Un logiciel de gestion des accès convivialLe logiciel LSA, est un logiciel de gestion des accès de nouvelle génération qui bénéficie des dernières avancées en matière d’ergonomie et d’affichage. La cartographie – ou mapping – est l’une des fonctionnalités phare de la solution : les points d’accès positionnés sur une carte Google facilitent la visualisation et le suivi des activités. Interactifs et liés, ils permettent au gestionnaire de naviguer et d’ouvrir de nouvelles pages donnant accès à davantage d’informations. Entièrement personnalisable, la représentation graphique peut se conformer à l’univers visuel et aux besoins de chaque entreprise.Focus : les composantes de la solution Locken La solution de contrôle d’accès développée par LOCKEN repose sur les éléments suivants : Un logiciel de gestion LSA - Locken Smart Access -Une application mobile MyLOCKEN Une gamme de produits incluant une clé électronique à induction sans contact certifiée ATEX et une gamme complète de cylindres et de cadenas électroniques. Des services additionnels standards ou personnalisés.
Il y a 2 ans et 165 jours

ESTP et FFB, unis par les valeurs

Grégory Monod, président Pôle Habitat FFB, et Joël Cuny, directeur général ESTP, ont signé ce partenariat lors des 24h du Bâtiment. [©ESTP FFB pôle habitat] Lors des 24 h du Bâtiment, L’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP) et le pôle habitat de la FFB ont conclu un partenariat. Celui-ci a pour objectif de promouvoir la formation, le recrutement et les compétences nécessaires aux entreprises de la maîtrise d’ouvrage privée. « L’enjeu de ce partenariat est important car il s’agit de faire connaître à nos étudiants les métiers de la maîtrise d’ouvrage privée », explique Joël Cuny, directeur général de l’ESTP. Ce partenariat se base sur une valeur commune : celle d’accompagner les jeunes dans la réussite de leur formation. Et cela jusqu’à la réalisation de leur projet professionnel. L’ESTP et la FFB ambitionnent de favoriser la visibilité des entreprises adhérentes auprès des étudiants. Avec pour finalité le recrutement des jeunes diplômés. Un partenariat pour la recherche, l’innovation et l’entreprenariat Lire aussi : La FFB revoit à la baisse ses prévisions pour 2023 Ce rapprochement entre l’ESTP et la FFB permettra aussi la mise en place d’activités d’innovation et de R&D, au sein du laboratoire de l’école. Ces recherches se concrétiseront par la présentation de travaux, d’appels à projets, nationaux ou européens, et d’appels à manifestation d’intérêt. Cette fois-ci l’objectif est de proposer une formation aux adhérents du pôle habitat de la FFB. Cela sur des sujets nouveaux comme les transitions numérique et écologique ainsi que sur la performance énergétique. « Le Pôle Habitat FFB et ses adhérents vont pouvoir renforcer leur participation aux activités de formation et de recherche de l’ESTP. Ils pourront bénéficier de perspectives de recrutement de collaborateurs à même de répondre aux nombreux challenges que la construction de logement doit relever », conclut Grégory Monod, président du pôle habitat de la FFB. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 165 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V : le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional, la GSA 18V-28 Professional et la meuleuse d'angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d'atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d'autonomie.
Il y a 2 ans et 165 jours

Cepsa va investir 3 Mds d'euros dans un projet d'hydrogène vert en Andalousie

Ce projet, baptisé "Vallée andalouse de l'hydrogène vert", permettra la production de 300.000 tonnes de ce gaz considéré comme crucial pour la décarbonation de l'économie, sur une vaste zone située entre Cadix et Huelva, a indiqué l'entreprise espagnole dans un communiqué.Il s'accompagnera d'un investissement additionnel de deux milliards d'euros pour le développement de parcs éoliens et solaires et devrait générer "10.000 emplois", selon le groupe.La production d'hydrogène sera "une contribution vitale pour la transition énergétique et la sécurité d'approvisionnement du continent" européen, a souligné le directeur général de Cepsa, Maarten Wetselaar, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.Selon ce dernier, l'investissement réalisé par Cepsa devrait permettre à l'Andalousie, qui bénéficie en particulier d'un fort ensoleillement toute l'année, de devenir "l'une des régions les plus compétitives au monde en matière de production d'hydrogène" vert à partir d'énergie solaire et éolienne.L'hydrogène vert est actuellement en plein essor en Espagne, qui cherche à s'affirmer comme un acteur clé de la transition énergétique en Europe. Ce gaz, produit en décomposant les molécules de l'eau à l'aide d'un courant électrique (dont l'origine peut être renouvelable ou non), ne libère en brûlant que de la vapeur d'eau, à la différence des carburants fossiles.Il peut être utilisé pour remplacer le charbon dans les industries ayant besoin de beaucoup de chaleur, comme la sidérurgie, et est perçu comme une solution d'avenir pour faire marcher les bus, les trains et même les avions.
Il y a 2 ans et 165 jours

La colocation se réinvente pour séduire toutes les générations

Avec ses immeubles de nouvelle génération équipés de salle de coworking ou de restaurants, ses appartements ou maisons rénovés proposant des chambres spacieuses et pléthore de services - salle de sports, de cinéma ou cours de cuisine - l'habitat partagé s'est métamorphosé.Plébiscitée par les étudiants en raison du coût souvent exorbitant de l'immobilier dans certaines villes, il s'ouvre désormais aux actifs "en transition" professionnelle."Les jeunes repoussent leur décision d'acquisition" pour des questions "de budget et de liberté", explique Benoît Joubert, un des cofondateurs de The Babel Community, qui propose des immeubles mixant "coliving", avec de multiples espaces partagés, et coworking pour les entrepreneurs locaux.Il n'est donc plus rare de voir des trentenaires tenter de vivre dans le partage pendant quelques mois pour prendre la température d'une ville, constate Benoît Joubert.C'est ce qu'a fait Pauline, 28 ans. Saisonnière dans l'animation, elle s'est installée en colocation en banlieue de Nantes entre deux contrats à l'automne. "Ça m'a évité les démarches" d'internet, d'électricité et l'achat de meubles, explique-t-elle.Comme un studioLa France a pris le train de la colocation bien après les pays anglo-saxons ou asiatiques. En cause, un "manque de produits" adaptés et la frilosité des propriétaires, dit Sébastien Champion, directeur et fondateur associé du réseau d'agences Colocatère.Si la colocation est largement associée dans l'imaginaire commun au film "l'Auberge espagnole" (2002), ce n'est toutefois pas ce que recherchent les locataires, avertit M. Champion.Et notamment les plus aisés, qui souhaitent profiter, en plus de grandes salles communes, d'espaces privés ressemblant davantage à un studio qu'à une chambre chez l'habitant.Certains restent néanmoins contraints de partager une salle de bain, car le prix de ces nouvelles formes d'habitat partagé, dans des logements décorés et rénovés, avoisine voire égale ceux des studios classiques.Depuis moins de dix ans, les entreprises de colocation ou coliving se sont multipliées et redoublent d'initiatives pour attirer de nouveaux locataires, particulièrement des CSP+.La Casa a choisi de proposer des maisons thématiques pour ses locataires, en majorité des actifs de 30 ans de moyenne d'âge, selon son fondateur et PDG, Victor Augais. Casa "verte" agrémentée d'un grand jardin, Casa "des chefs" pour les gourmets ou Casa "des sportifs" avec salle de sport...Les demandes affluent, avec en moyenne "huit candidatures par chambre" disponible, selon M. Augais.Ouverture aux seniorsCorentin Durin, 26 ans, y a loué une chambre toute équipée quand il a obtenu son premier CDI. "Je suis quelqu'un de sociable, je n'avais pas envie de vivre seul" dans une chambre de bonne ou un petit studio parisien, explique-t-il.Les "services inclus évitaient les problèmes" entre colocataires, détaille-t-il encore, notamment le passage d'une femme de ménage deux fois par semaine dans les parties communes. Financièrement, ces nouveaux habitats peuvent être "plus chers" qu'une colocation classique, confirme-t-il, mais les prestations font qu'il "s'y retrouvait" quand même.Outre ce public de jeunes actifs, Casa doit s'ouvrir au printemps prochain aux seniors, via deux maisons en banlieue parisienne. Une réponse au "besoin" de trouver une alternative aux Ephad, assure Victor Augais.Les personnes âgées "encore autonomes" y partageront des espaces communs en profitant de chambres adaptées.Une idée déjà mise en place par l'entreprise CetteFamille qui offre, en périphérie des grandes métropoles, des colocations de huit seniors, assistés en permanence d'auxiliaires de vie.Cette formule permet de s'implanter "là où les grands opérateurs ne vont pas" et de "faire revenir des services d'aide à domicile" dans les zones rurales "qui sont souvent des zones blanches", relève Paul-Alexis Racine Jourdren, son président et cofondateur.A l'origine, CetteFamille réalisait de l'accueil familial, qui permettait d'orienter un senior dans une famille d'accueil."Mais nous avions beaucoup de demandes et pas assez de familles", détaille M. Racine Jourdren, alors que les personnes âgées réclamaient "de la proximité, de la sécurité et du lien social". C'est finalement la colocation qui s'est imposée.
Il y a 2 ans et 166 jours

Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023

A l’heure du défi climatique et de la crise énergétique, les filières de l’énergie et du bâtiment vivent une révolution. Plus que jamais, la sobriété énergétique, les énergies renouvelables, le numérique, et l’innovation sont au cœur de la trajectoire à suivre pour une gestion optimisée et responsable de l’énergie. C’est pour accompagner cette démarche que le salon BePOSITIVE aura lieu du 21 au 23 mars 2023 à Eurexpo Lyon. Cette édition abordera également 3 thématiques phares qui sont au cœur de l’actualité des filières : l’emploi et la formation, la digitalisation de l’énergie et la construction durable. Durant 3 jours, tous les acteurs engagés pour la transition énergétique sont attendus pour échanger et découvrir les dernières innovations du marché ! BePOSITIVE rassemble l’ensemble des acteurs de la transition énergétique tels que les prescripteurs, les artisans et installateurs, les distributeurs, les négociants ou encore les collectivités publiques.   Photo : Alexandre Moulard   Le salon s’adresse à eux à travers 4 secteurs d’exposition : Nouveaux systèmes énergétiques : solaire photovoltaïque, stockage et mobilité durable seront ainsi présentés sur le salon. Solutions constructives pour un bâtiment plus durable et performant : menuiseries et fermetures, matériaux biosourcés… Energie dans le bâtiment : génie climatique, confort thermique, traitement de l’air et de l’eau… Bois énergie – Flam’expo, sur lequel seront installés jusqu’à 70 appareils en fonctionnement, pour le plus grand bonheur des visiteurs qui en avaient été privés lors de la dernière édition. « Le contexte actuel, et finalement celui que nous connaissons depuis quelques années, nous confirme que, pour avancer ensemble et dans le bon sens, il est nécessaire de réunir les filières concernées par la transition énergétique ». Florence Rousson Mompo, Directrice de la division GreenTech+ Photo : Alexandre Moulard     Cette édition 2023 sera aussi marquée d’animations et de temps forts qui rythmeront durant les 3 journées de salon : [NEW] Le Campus emploi-formation, pour mettre en relation les professionnels en recherche de savoir-faire et de montée en compétences. Les BePOSITIVE Awards mettront en lumière les dernières innovations et valoriseront les nouveautés et les évolutions technologiques des filières énergie et bâtiment. Un espace conférences, pour assister à des prises de parole d’experts, des retours d’expérience et tables rondes afin d’éclairer l’analyse des participants et nourrir les projets dans la durée. [NEW] Un forum exposants, un espace dédié aux prises de parole des exposants pour présenter leur entreprise, leurs produits et services, leurs innovations, ou encore leur démarche RSE. [NEW] 3 ateliers sur les thèmes de la « construction durable », la « digitalisation de l’énergie » et le « bois énergie & génie climatique » seront également proposés aux participants, qui pourront ainsi échanger autour de retours d’expérience et de cas concrets.   Pour plus d’information, rendez-vous sur bepositive-events.com/fr   Cet article Le salon BePOSITIVE de retour en mars 2023 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 166 jours

FIS V Zero, la première résine sans substances nocives ! fischer France engagé avec EcoTree dans le reboisement des forêts françaises dans le cadre d’une campagne inédite 

Depuis plus de 60 ans, fischer parfait sa démarche environnementale à bien des niveaux car limiter l’impact des produits utilisés dans l’industrie, la construction, la décoration… sur l’environnement et la santé des utilisateurs est une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine sans substances nocives :  FIS V Zero.Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero est plus respectueuse de l’homme et de l’environnement. Puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle est exempte de pictogrammes de danger et de fiche de données de sécurité. De plus, les cartouches usagées peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Au cours du premier semestre, pour soutenir le lancement de la résine sans substances nocives FIS V Zero et accentuer son engagement en faveur de l’environnement et du développement durable, fischer s’est associé à EcoTree et Papier Ensemencé. Ces partenariats inédits, avec des acteurs qui œuvrent pour l’environnement et dont les missions sont vertueuses, prennent tout leur sens avec la résine FIS V Zero fischer.  SOUTENIR DES DÉMARCHES ENVIRONNEMENTALES VERTUEUSESActeur français engagé, EcoTree œuvre à la préservation et à la valorisation des forêts françaises ainsi qu’à la protection de la biodiversité. fischer s’est engagé à ses côtés pour participer au reboisement.Ainsi, en achetant la résine FIS V Zero, les utilisateurs ont contribué au reboisement de forêts françaises, gérées par EcoTree. Ce sont 2000 arbres, 1000 pins maritimes et 1000 chênes sessiles dits « chênes noirs », qui ont été plantés dans la forêt de Berné (Morbihan).Fidèle à sa démarche de développement durable, fischer a souhaité faire évoluer ses supports de communication, favorisant des matériaux recyclés, recyclables et biodégradables, en s’associant à Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables. Aussi, pour promouvoir l’opération sur la résine FIS V Zero, ancrée dans une démarche environnementale, fischer a opté pour un flyer ensemencé, 100% biodégradable. Une fois le flyer humidifié et planté, les graines qu’il renferme donnent naissance à de belles fleurs des champs. Véritable alternative au recyclage, le papier ensemencé est l’illustration parfaite du zéro déchet !À travers cette belle opération FIS V Zero et l’aide des nombreux distributeurs partenaires, fischer a mis en exergue l’art de mixer innovation et environnement. Des partenariats vertueux que l’entreprise entend bien renouveler. FIS V Zero : PLUS RESPECTUEUSE DE L’HOMME ET DE L’ENVIRONNEMENT Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. fischer a remplacé ce composé par des substances plus respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté.Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées.UNE RÉSINE POLYVALENTELa résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains- courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires… et est agréée pour tous les matériaux de construction (brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse…). Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits.  D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton.Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C.PLUS DE CONTRAINTE DE RECYCLAGE ET DE STOCKAGE Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier, les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Et, puisqu’aucune substance nocive n’entre dans sa composition, elle est la seule résine à être exempte de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques. Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’extrusion du produit, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 166 jours

Le classement énergétique des stations de ski françaises : une avalanche de passoires énergétiques sous la menace de l’interdiction de louer

Les résultats sont éloquents : avec en moyenne près de 50% de logements considérés comme des passoires énergétiques, contre 16,9% en moyenne nationale - et jusqu’à 90% dans certaines d’entre elles - la plupart des stations de ski vont être touchées de plein fouet par l’interdiction de louer dès 2023 mais surtout en 2028. Etat des lieux de la situation. Jusqu’à 90% de logements F ou G dans certaines stations de ski ! Au moment où la saison hivernale va commencer, Heero, fintech spécialisée dans l’accompagnement à la rénovation énergétique et l’analyse des données du territoire a étudié la performance énergétique des logements dans 70 stations de skis, aussi bien des Alpes, du Massif central, des Vosges, du Jura et des Pyrénées (classement intégral en pièce jointe). Le constat est alarmant. Alors qu’en France, 16,9% des logements sont considérés comme des passoires énergétiques, les stations de ski étudiées comptent en moyenne 50% de logements avec un diagnostic de performance énergétique F ou G ! Et dans 30 stations sur 70, plus de la moitié des logements sont des passoires énergétiques, avec des écarts élevés selon les massifs et les stations : la part des logements énergivores va ainsi de 15% à Bellefontaine dans le Jura, station la plus économe du classement, à 90% de logements considérés comme des passoires énergétiques à Isola 2000, pourtant dans les Alpes du Sud!Pour Romain Villain, directeur général de heero : « Les stations de ski les plus énergivores, celles qui comptent plus de la moitié de passoires énergétiques au sein de leur parc de logements, se situent majoritairement dans les Pyrénées et les Alpes, alors qu’au contraire celles qui ont la plus faible part de logements F ou G, inférieure à un tiers du parc, se trouvent plutôt dans les Vosges, le Jura et le Massif central. Plusieurs facteurs sont en cause : l’altitude, la zone géographique, l’âge de construction des bâtiments, avec un impact écologique et économique à prévoir dans les années à venir très différent selon les stations et les massifs. »D’importants écarts liés à différents facteurs climatiques, architecturaux…Les stations de skis françaises, tant dans les Alpes que les Pyrénées ont commencé à émerger dès les années 20, notamment la station de Megève dans les Alpes ou Barèges et la Mongie dans les Pyrénées, puis dans les années 45.Courchevel 1850 est la 1ère station d’altitude construite sur un site vierge en 1946. La grande phase de développement des stations de ski s’est ensuite effectué dans les années 60-70 avec le plan Neige et la construction de stations toujours plus hautes en altitude - comme la Plagne, les Menuires, les Arcs - composées majoritairement d’appartements dans des résidences construites rapidement, avant la 1ère règlementation thermique, soumises à des températures plus rudes, avec une isolation parfois insuffisante et des systèmes de chauffage pas toujours performants. Ce n’est en effet qu’à partir de 1974 que la 1ère règlementation thermique fixe l’objectif de réduire de 25% la consommation énergétique des bâtiments neufs en limitant les déperditions de chaleur, avec notamment l’imposition de la mise en place d'une fine couche d'isolation thermique et l'installation de thermostat de chauffages.Pour Romain Villain : « L’histoire des stations de sports d’hiver françaises s’est faite en plusieurs étapes. D’abord nées à partir d’un village existant, les stations de ski se sont progressivement industrialisées pour s’implanter sur des sites vierges à la fois pour être au plus près du domaine skiable mais aussi pour pouvoir construire plus de bâtiments, avec une problématique davantage pratique et esthétique qu’énergétique à cette époque-là. Aujourd’hui beaucoup de stations construites dans les années 70 se retrouvent donc confrontées à la nécessité d’entretenir, voire de rénover massivement, leur parc de logements devenu vieillissant sous peine de ne plus pouvoir le louer. »C'est à partir des années 80 qu'on commence à construire des stations plus basses, mieux intégrées dans le paysage avec des chalets divisés en appartement, souvent de meilleure qualité, et peu énergivores comparés aux stations de skis des années 70.Mais au-delà des époques de construction et d'urbanisation des massifs, les écarts selon les massifs sont probablement liés aux altitudes. Le Jura, les Vosges et le Massif Central sont globalement moins soumis à des conditions extrêmes - à la fois en termes de climat actuellement utilisé dans le DPE mais aussi au moment de la construction, qui est ainsi plus facilitée que dans les Hautes Pyrénées par exemple, avec potentiellement des coûts moins élevés et donc des constructions ou des matériaux de meilleure qualité. Les conditions et matériaux de constructions ont donc un fort impact au-delà de l’âge des stations.A noter : le mode de calcul du DPE peut également avoir un impact non négligeable sur les mauvaises performances énergétiques des stations de ski. En effet, le DPE mesure une consommation d’énergie par m2. Les studios et petits appartements, très répandus en montagne, sont donc plus fortement pénalisés que les grands appartements, car ils consomment proportionnellement plus d’énergie par rapport à leur surface, avec les mêmes équipements de chauffage par exemple.Bientôt moins de biens à louer dans les stations de sports d’hiver : une autre difficulté économique à laquelle elles vont devoir faire faceDès cette saison, certaines stations de ski pourraient être impactées par la Loi climat compte tenu de l’état de leur parc de logements. En effet, dès le 1er janvier 2023, les logements G avec un DPE indiquant une consommation supérieure à 450 kWh par m2 seront interdits à la location. A partir du 1er janvier 2025, tous les logements classés G seront concernés, puis à partir du 1er janvier 2028, les logements classés F seront sortis du parc locatif puis ceux classés E à partir du 1er janvier 2034.Pour Romain Villain : « A la base, la Loi Climat ne concernait que les locations longue durée, mais récemment le Ministre du Logement, Olivier Klein, a indiqué que les locations de vacances et meublés touristiques seront également concernés, ce qui va avoir un impact très négatif pour les stations de ski qui risquent de voir leur parc locatif diminuer en moyenne de moitié dès 2028, soit dans 5 ans seulement ! Car pour certaines d’entre elles, il sera matériellement impossible de rénover l’ensemble des logements concernés d’ici là… »Fort heureusement, d’ores et déjà certaines régions lancent des initiatives et aides pour améliorer la performance des stations. En Auvergne Rhône Alpes par exemple, Laurent Wauquiez, le président de la Région, a mis en place un nouveau plan pour la montagne de 100 millions d’euros, dont 10 millions d’euros consacrés pour la rénovation immobilière de loisirs et des centres de vacances notamment…Rénover son bien, un coût pour les propriétaires de résidences secondaires ou bailleurs, mais la possibilité d’obtenir des aides !Contrairement aux idées reçues selon lesquelles les aides sont souvent réservées aux acheteurs de résidence principale, il existe des dispositifs pour les résidences secondaires ou investissements mais ils sont bien sûr insuffisants, alors même que ceux-ci sont les plus contraints par la Loi Climat et sont en première ligne pour rénover les biens ces prochaines années.Le certificat d’économie d’énergie (CEE) : le logement doit avoir plus de 2 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le montant dépend des travaux réalisés et de la zone géographique. Exemple : jusqu’à 25 € d’aide par m² pour l’isolation des comblesMaPrimeRénov’ : le logement doit avoir plus de 15 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le dispositif est éligible pour jusqu’à 3 logements par propriétaire bailleur. Le montant est calculé selon les revenus et le gain écologique des travaux, avec des bonus possibles de 500 € à 1500 € si les travaux permettent de sortir du statut de passoire thermique. Sur la base de connaissance de plus de 150.000 travaux de rénovation énergétique, Heero estime à 450 € par m2 le budget moyen d’une rénovation énergétique pour gagner une ou deux classes de DPE. Quelques exemples de devis : Installation d’une VMC double flux : entre 4.000 € et 5.000 € Isolation des murs par l’intérieur : entre 60 et 120 € / m² Isolation des murs par l’extérieur : entre 80 et 120 € / m²Pour Romain Villain : « Il est certain qu’effectuer des travaux de rénovation a un coût, et que dans les stations de ski certains travaux peuvent être compliqués par l’altitude, par l’architecture existante ou par la taille des appartements souvent déjà réduites ne permettant pas forcément une isolation par l’intérieur. Certains travaux devront également être effectués au niveau des copropriétés notamment en ce qui concerne le système de chauffage, et pour cela, un audit énergétique des immeubles est un préalable indispensable. »
Il y a 2 ans et 166 jours

Grand Est : 28 logements passifs en Jackodur Atlas

C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est que quelque 18 logements passifs profitent de la performance Jackodur Atlas. [©ADS Architecture] C’est sur la commune de Bréviandes, en région Grand Est, qu’un projet de construction passive de 28 logements est en cours. Il se développe sur un terrain de 3 050 m2 prévoyant la réalisation de 3 bâtiments distincts, avec une emprise au sol de 2 x 280 m2 et de 265 m2. Les deux premiers compteront 10 logements individuels. Ils seront constitués à l’identique de 5 logements type 3 en duplex accolés. Le troisième bâtiment comprendra 8 logements collectifs de type 2 superposés. Des exigences élevées L’ensemble s’envisage dans une démarche environnementale forte avec la certification de ces habitations en construction passive. Le maître d’ouvrage (Troyes Aube Habitat) a choisi une structure à ossature bois et des isolants extérieurs issus de la filière bois. Il a prescrit le procédé Jackodur Altlas, qui offre une solution performante permettant de réaliser une isolation très efficace, sans ponts thermiques. Le procédé accorde aussi une rapidité et une simplicité de mise en œuvre. Les exigences de la certification sont les suivantes : des besoins de chauffage ≤ 15 KW/h/an/m, une infiltrométrie 0,6 h-1 à N50, un maintien du confort d’été. Mais aussi un contrôle de l’air intérieur et enfin, l’interdiction des fibres minérales dans les filtres. Lire aussi : Jackon Insulation dans le giron du groupe Bewi Une solution idéale pour l’architecte Pour l’architecte Sébastien Da Rosa, le système Jackodur Atlas a permis d’obtenir une isolation parfaite du radier béton. C’était une première pour lui. « Il est sans conteste très efficace, mais aussi simple à mettre en œuvre, ce qui n’est pas forcément le cas des autres techniques proposées sur le marché. C’est exactement ce que je recherchais et l’expérience a été concluante. L’absence de pont thermique est un atout incontestable pour atteindre les critères imposés par les constructions passives. Il faut aussi souligner l’accompagnement actif des équipes Jackon Insulation. La mise en place d’un système assurant le hors-gel de la construction a pu être élaborée très rapidement et simplement par l’encastrement vertical d’un écran thermique en XPS sur le pourtour du fond de forme. Le bureau technique de Jackon Insulation nous a immédiatement orientés vers cette solution technique qui devait avoir lieu avant la pose du système Jackodur Atlas. La décision a été à la fois rapide, pertinente et en parfaite conformité avec les hautes exigences de ce chantier. » Réalisée par l’entreprise Geciba Les équipes de l’entreprise Geciba se sont chargées du terrassement et de la mise en place des dalles Jackodur Atlas. Pour Bernard Lebreton, gérant de Geciba, contrairement à l’architecte, ce n’était pas une première. Il connaît le procédé et apprécie en particulier sa facilité et rapidité de pose. Tout est préparé sur mesure en usine pour être livré prêt à poser selon un plan qui indique l’emplacement précis des éléments. L’ancrage supplémentaire pour le hors-gel n’a pas non plus posé de problème. « En plus de la facilité et de la rapidité de mise en œuvre, il faut insister sur l’absence de pénibilité du travail en raison de la légèreté des éléments, ainsi que sur la propreté du chantier permise avec le procédé Jackodur Atlas. » Une mise en œuvre sans aucun problème La pose du système s’effectue sur une chape en béton maigre de 3 à 4 cm. Les blocs de coffrage sont emboîtés au fur et à mesure dans les éléments latéraux spécifiques. Et les éléments de surface se posent aisément grâce aux feuillures alternées. Quant à la mise en œuvre et le repérage des éléments à l’avancement du chantier, ils sont définis par un plan de pose et de colisage précis. Les réservations à travers les panneaux sont, elles, réalisées avec une scie-sabre. La mousse de fixation Jackodur permet ainsi de verrouiller thermiquement et efficacement les sorties VRD. La pose a été effectuée en 1 journée et demie. Un film polyéthylène est mis en place par pose flottante et en recouvrement de 150 mm minimum. Les bâtiments passifs seront équipés par la suite de ballons de production d’eau chaude sanitaire avec panneaux solaires. Ceci, en corrélation avec la démarche environnementale souhaitée. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 166 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 166 jours

Anatomies d'architecture - Portrait

Depuis 2018, l'agence Anatomies d'architecture (Ad'A) aborde l'habitat écologique à travers trois activités : la construction bioclimatique et localiste, la recherche et la pédagogie. Les fondateurs d'Anatomies d'Architecture, les architectes Raphaël Walther et Mathis Rager, également conducteur de travaux, et l'anthropologue […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 166 jours

Buildwise, nouvelle ère en Belgique

Les nouveaux locaux de Buildwise, à Zaventem [©Buildwise] Du changement en Belgique dans le secteur de la construction. Après plus de 50 ans d’existence, le Centre scientifique et technique de la construction change d’identité. Il devient Buildwise. C’est une mutation tournée vers l’avenir, qui voit bien au-delà de ce nouveau nom. Buildwise réaffirme ses objectifs : devenir d’ici 2025 un guide pour stimuler et soutenir la modernisation du secteur de la construction belge. Il est désormais un centre d’innovation fidèle à ses valeurs originelles et ambitionne de travailler sur 3 thématiques : les métiers, le green deal ou pacte vert et la construction 4.0. Nouveau nom et nouveaux moyens Changement de nom, changement de locaux. Buildwise a emménagé dans un bâtiment durable, entièrement rénové et qui correspond aux normes énergétiques les plus strictes. Situé à Zaventem, dans la périphérie Est de Bruxelles, il est une sorte de laboratoire. C’est un véritable terrain d’essais pour les nouvelles technologies avec, pour objectif, d’inspirer les professionnels de la construction. Grâce à son espace “Experience Center”, les acteurs du secteur pourront venir directement découvrir les technologies de leurs futurs chantiers. De centre de recherche à fédérateur et forum d’interactions entre les professionnels de la construction, Buildwise a évolué sans changer de fond. Dans le secteur de la construction, c’est l’innovation qui prime. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 166 jours

Fin du chantier pharaonique de réhabilitation de la Maison de Radio France

"2022 marque la fin d'un chantier historique: la réhabilitation de la Maison de la Radio et de la Musique" dont "l'apparence et l'âme originelles" ont été conservées mais qui a été "modernisée sur les plans technique, avec une remise aux normes du bâtiment, mais aussi technologique", précise Radio France dans un communiqué.Inaugurée en grande pompe par le général de Gaulle en 1963, la Maison Ronde, au 116, avenue du Président-Kennedy à Paris, avait dû être mise en conformité avec les normes anti-incendie et désamiantée.Au total, 90.000 m2 ont été rénovés, dont l'auditorium de Radio France d'une superficie de 2.300 m³ et 1.461 places, 38.000 m2 de bureaux ou le fameux studio 104 qui peut accueillir 856 visiteurs.Les discussions concernant ces travaux avaient démarré en 2005. Il était alors prévu de les lancer début 2006 pour une durée de six ans et un coût d'environ 240 millions d'euros.Le chantier, initié finalement en 2008, avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes qui pointait "une dérive financière" contribuant au "déséquilibre des comptes de l'entreprise" publique.En février 2019, la Cour relevait encore des "allongements de calendrier" - fin des travaux repoussée à 2022 au lieu de 2018 - qui "dégradent le climat social" et "une augmentation continuelle des coûts, désormais portés à 583 millions d'euros".Radio France a souligné vendredi que la rénovation de son bâtiment s'achevait "dans le respect du calendrier établi en 2018 et sans dépassement de budget", soit un coût total de 493 millions d'euros hors taxes.En 2018, "le projet avait en effet fait l'objet d'une mise à jour pour assurer un pilotage efficace, intégrer les nouveaux enjeux numériques, ainsi que les modes de production de demain" et s'adapter "aux aléas inhérents" à un tel chantier, selon la direction.Le conseil d'administration avait alors fixé le coût total maximum de l'opération à 510 millions d'euros, selon un périmètre différent de celui de la Cour des comptes.Un montant que "l'équipe de réhabilitation est parvenue à faire diminuer au fur et à mesure de la modération des risques", a précisé à l'AFP Radio France.
Il y a 2 ans et 168 jours

EDF condamné définitivement pour la mort de faucons protégés dans l'un de ses parcs d'éoliennes

La justice, saisie par l'association France Nature Environnement (FNE), a constaté que "vingt-huit faucons crécerellettes (...) avaient été tués entre 2011 et 2016 par collision avec les éoliennes des parcs du Causse d'Aumelas" et que "cette destruction perdurait malgré la mise en place" en 2014 d'un système électronique d'effarouchement.Or, en vertu d'une directive européenne, toute destruction de ces espèces protégées est illégale, sauf stricte dérogation préfectorale. Une telle dérogation aurait autorisé la survenue d'un nombres restreints d'accidents mortels, mais EDF Energies nouvelles (devenue EDF Renouvelables France) et les entreprises exploitantes du parc ne l'avaient pas sollicitée, avait constaté la cour d'appel de Versailles dans son jugement rendu en 2021.En conséquence, la cour avait reconnu "l'imprudence" des exploitants, condamnés à verser 3.500 euros de dommages et intérêts à la FNE.Contestant le droit de l'ONG d'agir en justice dans ce dossier, EDF avait attaqué la décision devant la Cour de cassation. Celle-ci a rejeté ce pourvoi mercredi, rendant la condamnation définitive."A travers cette importante jurisprudence, c'est toute la doctrine construite par la filière éolienne et le ministère de l'Environnement concernant les destructions d'espèces protégées par les éoliennes qui est remise en cause", s'est félicité la FNE dans un communiqué jeudi."Une infrastructure de production d'énergie renouvelable ne peut pas se prétendre écologique si elle ne respecte pas le droit de l'environnement", ajoute l'association, très impliquée dans le débat parlementaire sur les énergies renouvelables.Avec plusieurs des principales associations environnementales, la FNE critique vivement le projet de loi du gouvernement en cours d'examen à l'Assemblée nationale.Le texte vise à rattraper le retard de la France sur ses engagements de développement des renouvelables, notamment en limitant les recours contre les projets éoliens et solaires. Mais les ONG craignent de voir la biodiversité sacrifiée au profit d'objectifs climatiques."Certains parcs ont été construits au mauvais endroit, de telles erreurs doivent pouvoir être corrigées", a déclaré Simon Popy, président de FNE Languedoc-Roussillon. L'association demande "l'arrêt des éoliennes d'Aumelas pendant la période de présence des faucons crécerellettes" et que le Causse d'Aumelas soit sorti des +zones favorables à l'éolien+ dans la nouvelle planification régionale en cours d'élaboration".
Il y a 2 ans et 168 jours

La CAPEB adresse 26 propositions à Elisabeth Borne pour une contribution active des artisans à la rénovation énergétique des bâtiments

Hausse des prix des matériaux, difficultés d'approvisionnement, répercussions de la hausse des coûts de l'énergie : les entreprises artisanales du bâtiment subissent, depuis 2021, des conditions impactant leur trésorerie et leur marge. Pourtant, « elles ont su, jusqu’à présent, grâce à leur compétence et leur capacité d'adaptation, s’organiser pour répondre à la demande de leurs clients, maîtriser la gestion de leurs chantiers et embaucher sur tout le territoire » selon la lettre ouverte de la CAPEB.Cette situation pourrait néanmoins être améliorée et les entreprises artisanales pourraient optimiser leur capacité à rénover des bâtiments avec une levée de certains freins et des actions du gouvernement.La CAPEB demande notamment :Une simplification de la qualification RGE pour augmenter le nombre d'entreprises qualifiées.La sécurisation du mandataire commun des groupements momentanés d'entreprises (GME) pour développer le recours à la cotraitance des TPE. Cela aurait pour effet d'augmenter leurs moyens pour effectuer des rénovations de bâtiment.Une optimisation du pilotage du dispositif MaPrimeRénov’ couplée une plus grande implication de l'industrie bancaire dans financement des travaux de rénovation permettrait une démultiplication significative du marché de travaux et ainsi au renforcement de l'efficacité des mesures gouvernementales dès 2023, au bénéfice d’une majorité de ménages et d’entreprises du bâtiment.Veiller à ce que les dispositions en matière de CEE ou de qualification RGE ne pénalisent pas les TPE. Cette égalité de traitement, ce qui permettrait de libérer le potentiel de 500.000 entreprises de moins de 10 salariés.Vous pouvez retrouver l'intégralité de la lettre ouverte ainsi que les 26 propositions de la CAPEB en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 169 jours

Fabemi rachète Sobemo et renforce son maillage territorial

Le groupe Fabemi compte 14 sites de production en France et dispose maintenant de l’usine Sobemo. [©Fabemi] Implanté depuis 1961 à Donzère (26), Fabemi prend de l’ampleur avec le rachat de Sobemo, basée à Nogent-sur-Seine (10). Une acquisition qui permet au groupe de disposer d’une usine produisant 70 000 t de blocs béton creux traditionnels par an. « Nous avons pour ambition d’augmenter notre capacité de production, déclare Julien Viossat, directeur commercial de Fabemi. Avec le savoir-faire de cet industriel, nous pourrons proposer à nos partenaires, en régions Grand Est et Ile-de-France, une qualité de produits et de service reconnue. » Cet investissement vise aussi à faire évoluer les outils de production de Sobemo, afin de réaliser les blocs béton isolants du groupe. De plus, l’impact carbone de son activité est réduite grâce à une distribution au plus près des sites de production. « De nouveaux investissements sont, d’ores et déjà, à l’étude pour développer le parc machines ainsi que l’offre produits de Sobemo. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

Qu'est-ce que la "petite série" ? Découvrez-le avec 3DExperience Make et Ligérium 3D Group

Qu'est-ce que la fabrication en petites séries ? La fabrication en petites séries consiste à fabriquer de nombreux produits différents en petites quantités. Elle privilégie la variation, l'agilité et la capacité de réagir rapidement aux opportunités. Elle est à l'opposé de la fabrication à haut volume, où l'accent est mis sur la fabrication d'un très grand nombre de produits identiques. La fabrication en petites séries n'est pas un concept nouveau, mais les contraintes des techniques de production manuelle ont toujours limité son utilisation. Les progrès de la conception assistée par ordinateur, de l'usinage automatisé et de l'impression 3D ont permis de surmonter ces limites en offrant une vitesse, une flexibilité et un contrôle supérieurs. Des technologies de plus en plus abordables comme celles-ci aident les entreprises à produire des biens en faibles volumes qui peuvent être facilement adaptés et personnalisés en réponse à l'évolution rapide du monde actuel. La fabrication en petites séries a traditionnellement été privilégiée par les petites entreprises et les artisans, en grande partie parce qu'ils ne pouvaient pas se permettre les investissements élevés en machines et en bâtiments nécessaires à la production de masse. Aujourd'hui, les grandes entreprises se rendent compte des avantages de la fabrication en petites séries. Cette méthode s'inscrit dans la tendance croissante à créer de multiples mini-usines à proximité des clients plutôt que de servir le monde entier à partir d'une méga-usine centralisée.
Il y a 2 ans et 169 jours

Cedeo enrichit son outil de chiffrage Solu+

Solu+ : aider les professionnels à être plus performantSolu + est un outil de chiffrage qui permet de dimensionner et chiffrer précisément les produits et la main d’œuvre nécessaires à la réalisation de chantiers en neuf et en rénovation. Les professionnels l’utilisent pour faire leurs devis, chiffrer leurs chantiers et sélectionner les meilleures solutions. Solu + leur permet de soumettre à leur client une ou plusieurs solutions et devis si besoin.Facile à utiliser, seulement quelques étapes suffisent à réaliser le chiffrage du chantier :Sélection du ou des ouvrages concernés ;Saisie des caractéristiques du chantier ;Obtention rapide d’une solution technique de pro tenant compte des normes et DTU en vigueur ;Comparaison des prix, des mises en oeuvre et des performances ;Consultation des tarifs CEDEO personnalisés chiffré en prix net et finalisation de la commande en ligne ;Impression du rapport détaillé (avec ou sans prix) et export du chiffrage dans le devis Tolteck.Enfin tout au long de la saisie des éléments nécessaires au chiffrage, le professionnel bénéficie de points d’informations sur la configuration du chantier et des solutions et peut aussi vérifier la disponibilité et les délais de livraison des produits.10 parcours sont déjà disponibles pour les membres de CEDEO Boost : Chaudière murales gaz ; PAC air/eau ; Radiateurs/sèches-serviettes ; Planchers chauffants ; Cabine de douche Concerto ; Calcul de puissance chaud/froid…Accessible sur PC, tablette et smartphone, Solu + est gratuit et exclusivement réservé aux membres de CEDEO Boost.Solu+ : toujours plus de nouveautésSolu + permet de chiffrer rapidement des monosplit / multisplit pour le résidentiel ou le petit tertiaire ; les unités souhaitées (murale, console, cassette, plafonnier et gainable) ; les supports muraux ou supports au sol ; les pompes de relevage ; les liaisons frigorifiques ; les câbles électriques et disjoncteurs et la régulation associée.L’outil facilite le travail du professionnel en permettant de :combiner des monosplits et des multisplits dans le même parcours pour le chiffrage de l’installation ;dimensionner le groupe extérieur selon le la température de base extérieure de la commune saisie ;configurer les diamètres et les longueurs des liaisons frigorifiques et des câbles électriques selon les contraintes du chantier.CEDEO propose également un nouveau chiffrage sur la ventilation et, dans les prochains mois, des chiffrages sur la robinetterie encastrée, les pompes eau froide.
Il y a 2 ans et 169 jours

Rockwool dévoile son nouveau positionnement de marque « By Nature », inspiré des performances naturelles de la laine de roche

A l’occasion du lancement de la campagne, qui intervient au moment de la COP27, l’ensemble du concept « By Nature » est poétiquement résumé dans un court métrage réalisé par le cinéaste primé, Martin Aamund.Les 6 performances naturelles de la laine de rocheLa nouvelle signature de marque "By Nature" (« par nature » /NDLR), constitue la clé de voute du positionnement de ROCKWOOL. Cette expression a été développée afin révéler les performances intrinsèques à la matière première de la laine de roche : le basalte. En tant que matériau principal de tous les produits ROCKWOOL, la laine de roche est circulaire, respirante, résistante à l'humidité, insonorisante, durable et résiliente au feu. Ce sont ces performances intrinsèques qui contribuent à créer des environnements bâtis sains pour les personnes et la planète - "par nature".Afin d’illustrer ce concept, ROCKWOOL a confié au cinéaste primé Martin Aamund la réalisation d’un film. Tournée à l'envers, ce court métrage retrace le parcours d'une femme, dont chaque étape de sa vie est une manière de souligner avec émotion l’importance d’un habitat sain et sur pour ses occupants.Un intérieur qui compteLe film débute sur son accouchement, puis remonte le fil de sa vie pour clore sur une image d’elle enfant, courant vers son père qui inscrit sa taille sur un cadre de porte. Le message hautement humain qui résume cette position stratégique pour ROCKWOOL est "Ce qui est à l'intérieur compte" : Alors que les discussion à la COP 27 battent leur plein, le message sous-jacent est que, en tant que choix naturel d'isolation, la laine de roche ROCKWOOL est également un choix responsable - pour l'environnement, la sécurité incendie, la santé et le bien-être.Une protection invisibleA travers cette campagne la marque souhaite mettre en évidence les fonctions essentielles de l'isolation en laine de roche dans les bâtiments qui nous entourent. Bien qu’invisible, l’isolation protège. S’adressant aux propriétaires de maisons et de bâtiments, aux architectes, aux prescripteurs et autres professionnels du bâtiment, en proposant des produits qui respecte l’humain et la planète, le groupe invite l’ensemble des parties prenantes à faire des choix responsables en termes de matériaux.Enfin, à l’heure où la transition énergétique des bâtiments est plus que jamais un enjeu pour lutter contre les changements climatique, la campagne vient sensibiliser le grand public à l’importance d’une bonne isolation pour réduire sa consommation d’énergie.Pour Mirella Vitale, Directrice Marketing, Groupe ROCKWOOL : "Les bâtiments sont la plus grande source d'émissions au monde. Les choix que nous faisons lors de leur conception et de leur spécification doivent donc être faits de manière responsable - pour le climat, pour notre santé et notre bien-être collectifs. Pour ROCKWOOL, cela signifie innover en proposant des produits qui réduisent les émissions et les déchets, et qui contribuent à la création d'espaces plus sains et plus responsables. Pour les professionnels du bâtiment - les architectes de nos maisons, écoles, hôpitaux, bureaux et établissements de soins - cela signifie faire des choix intelligents et conscients en matière de matériaux, de traitements et de finitions. C'est pour les aider à faire ces choix que nous avons adopté le positionnement "By Nature".Une campagne d’envergure internationaleLa nouvelle campagne de positionnement de la marque ROCKWOOL "By Nature" a été lancé au siège de la marque le 8 novembre 2022 sous la forme d'un film d'une minute et demie et de ressources numériques. La campagne est lancée en Italie, en France, en Espagne, au Danemark, au Royaume-Uni et aux États-Unis. D'autres marchés suivront au début de 2023.
Il y a 2 ans et 169 jours

TomTom et Webfleet Solutions lancent une solution mobile intégrée

Les deux entreprises ont combiné leur expertise pour créer une application unique dédiée aux gestionnaires de flotte et aux conducteurs leur permettant de relever les défis auxquels ils sont confrontés quotidiennement, notamment la conformité des itinéraires, le respect des délais de livraison et les problématiques de sécurité.WEBFLEET Work App permet aux conducteurs professionnels de réaliser leur travail facilement et efficacement grâce à leurs appareils mobiles Android uniquement. Les gestionnaires de flotte et leurs conducteurs, ont accès à un large éventail de fonctionnalités de gestion de la main-d'œuvre sans avoir besoin de matériel supplémentaire. Cette application comprend la localisation des véhicules, l'enregistrement des temps de travail, l’identification des conducteurs, la gestion des missions et des plannings et une communication bidirectionnelle avec le back-office. L'application TomTom GO Fleet y est parfaitement intégrée, et permet aux conducteurs de toujours disposer des cartes les plus à jour, ainsi que les infos trafic et la navigation dans un outil unique. Ils peuvent démarrer automatiquement leur itinéraire vers la destination de leur choix depuis WEBFLEET Work App, et les gestionnaires de flotte bénéficient d'une visibilité en temps réel sur les heures d’arrivée estimées et la destination en cours. La combinaison de WEBFLEET Work App et TomTom GO Fleet, permettent aux conducteurs de bénéficier d'une navigation professionnelle pour tous les types de véhicules. Une navigation dédiée aux poids lourds est également disponible en fonction des caractéristiques du véhicule, du type de cargaison, des réglementations locales et des caractéristiques de la route empruntée. De plus, TomTom GO Fleet assiste les chauffeurs routiers en localisant des points d'intérêt (POIs) dédiés aux poids lourds tels que les parkings et les stations-service, et offre les cartes les plus à jour, même en l'absence de connectivité. L'application propose également les heures d'arrivée estimées fiables et des informations sur le trafic en temps réel, ce qui permet aux conducteurs de respecter aisément les délais et de réduire les coûts de carburant en empruntant les meilleurs itinéraires.Pour Paul Verheijen, Vice President Product Management chez Bridgestone Mobility Solutions : « WEBFLEET Work App est la solution idéale pour les entreprises et les conducteurs qui souhaitent profiter de leurs appareils mobiles existants pour gérer efficacement les tâches quotidiennes. La configuration et l'intégration sont rapides et faciles à réaliser, avec une interface utilisateur intuitive, ce qui en fait une combinaison parfaite avec l'application TomTom GO Fleet. Ensemble, nous pouvons offrir encore plus de valeur à nos clients en leur fournissant une solution intégrée. »Pour Mike Schoofs, Vice President Product Management chez TomTom Enterprise : « Simplifier la technologie de localisation et aider à résoudre les problèmes des conducteurs ont toujours été au cœur des priorités de TomTom. C'est enrichissant de travailler avec des partenaires comme Webfleet Solutions, qui ont les mêmes objectifs que nous. Cette collaboration permet aux deux entreprises d'intégrer ce qu'elles font le mieux dans une seule solution dédiée aux conducteurs professionnels. » WEBFLEET Work App est désormais disponible pour tous les clients Webfleet Solutions disposant d'un dispositif de suivi LINK 740/710/530/510/410 installé. L'option de suivi mobile - sans aucune installation matérielle nécessaire - sera disponible dans les mois à venir.
Il y a 2 ans et 169 jours

Au Pavillon de l’Arsenal à Paris, un catalogue de solutions pour revaloriser l'existant

Depuis 2018, l'agence Anatomies d'architecture (Ad'A) aborde l'habitat écologique à travers trois activités : la construction bioclimatique et localiste, la recherche et la pédagogie. Les fondateurs d'Anatomies d'Architecture, les architectes Raphaël Walther et Mathis Rager, également conducteur de travaux, et l'anthropologue […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 169 jours

L’Ifpeb, un socle technique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”

L’Institut français pour la performance du bâtiment a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. [©IFPEB] L’Institut français pour la performance du bâtiment (Ifpeb) a présenté un socle programmatique pour des bâtiments “compatibles neutralité carbone”. Pendant 8 mois, les membres de l’Ifpeb ont travaillé sur le sujet. Issu de ces recherches, le socle technique part du constat que les objectifs prévus ont du retard. Seulement la moitié du chemin a été parcouru, dans l’objectif neutralité carbone horizon 2030, en trois quarts du temps. Ces experts constatent aussi la différence de rythme entre les rénovations et les constructions neuves. La taille du parc tertiaire a augmenté de 50 % entre 1990 et 2019. Alors que seulement 41 000 rénovations de logements en BBC ont été réalisées, loin des 500 000 prévues à la Stratégie nationale bas carbone. Le rapport donne alors des axes programmatiques, afin de réduire de façon immédiate l’impact carbone du bâtiment. 5 axes fondamentaux pour un bâtiment compatible neutralité carbone Lire aussi : Ifpeb : Appel à innovations “béton bas carbone” Le socle technique de l’Ifpeb donne 5 axes fondamentaux pour atteindre les objectifs neutralité carbone du bâtiment. Tout d’abord, le texte insiste sur le progrès constant, ne pas viser le “zéro carbone” trop vite. Le rapport explique devoir s’appuyer sur 3 leviers programmatiques : intensifier l’usage du bâtiment, atteindre la sobriété énergétique. Le 3e levier est l’adaptation de la consommation pour consommer mieux. Le bâtiment compatible neutralité carbone doit aussi évaluer son potentiel de décarbonation maximum, ainsi que sa performance carbone énergie. Enfin, il faut calculer la performance carbone matériaux du bâtiment. La démarche proposée par l’Ifpeb n’est pas un label ou une certification. C’est une véritable démarche pour baliser une marche à suivre vers la neutralité carbone. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 169 jours

Lourds travaux de rénovation en vue pour le tunnel du Mont-Blanc

Construit il y a près de 60 ans, emprunté quotidiennement par des milliers de voitures et de poids-lourds, ce tunnel bidirectionnel d'une longueur de 11,6 km "arrive dans une phase où il faut faire des travaux importants de rénovation", notamment de réhabilitation de la voûte, a expliqué Grégory Schwarshaupt, directeur adjoint du Tunnel du Mont Blanc dans un entretien avec l'AFP. Un premier temps, qualifié de "phases-tests", entraînera une fermeture totale du tunnel pendant 3 mois et demi en 2023 et 2024, de septembre à décembre pour rénover 600 mètres de voûte à chaque intervention. Le calendrier précis des fermetures, rendues nécessaires par le démontage d'une grande partie des équipements de sécurité, devrait être communiqué début 2023, selon l'exploitant. "Sans ces phases tests, il est impossible pour nous, et même inconsidéré, d'annoncer aujourd'hui un quelconque programme de travaux d'ampleur" à mener, explique M. Schwarshaupt. Alors que, de l'autre coté des Alpes, des responsables italiens s'inquiètent de possibles fermetures "trois mois par an pendant 18 ans", "il n'y a aujourd'hui pas de scénario privilégié, c'est trop tôt", indique le responsable. Grâce aux tests, l'exploitant espère "minimiser l'impact sur la liaison franco-italienne" en optimisant les procédures. "Pour d'autres chantiers, on a réussi à trouver des solutions pour le faire en fermeture nocturne", explique ainsi Grégory Schwarshaupt. Le tunnel voit passer toute l'année environ 1.500-1.700 camions poids lourds par jour, tandis que le trafic de véhicules légers oscille entre quelque 4.000 voitures/jour en octobre-novembre et des pics de 8.000 l'été. D'où le choix de la saison automnale pour les fermetures prévues en 2023 et 2024. Côté italien, les milieux économiques s'inquiètent déjà du futur chantier alors que "92% des marchandises exportées vers la France le sont par voie routière", comme l'a récemment rappelé Ivan Russo, directeur de la société publique RAM chargée de la mobilité durable au ministère de l'Economie. "Les hypothétiques fermetures prévues du tunnel du Mont Blanc, trois mois par an pendant 18 ans, risquent de mettre à genoux l'économie italienne qui a en grande partie recours au transport par la route", a prévenu le président de l'association italienne des transporteurs routiers Conftrasporto-Confcommercio, Paolo Uggè. "Des fermetures de trois mois par an pendant les 18 prochaines années sont programmées.(...) Si le projet est confirmé, ce serait un coup très dur pour tout le Nord-Ouest" de l'Italie, a estimé de son côté le président du lobby patronal Confindustria, Carlo Bonomi. "Je crois nécessaire à ce stade de mettre immédiatement en chantier le second tube du tunnel. Mais la France s'y oppose et nous avons des doutes sur le futur", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 169 jours

Rêve d’Egypte : Rodin l’Egyptien

Auguste Rodin n’a cessé d’étudier les arts du passé. S’il regardait vers la Grèce, l’Asie ou le Moyen-Âge, il s’est aussi passionné pour l’Égypte. Il a réuni une collection exceptionnelle, en nombre et en qualité dont des centaines de fragments sont présentés au musée Rodin à Paris (VIIe) dans « Rêve d’Egypte ». Jusqu’au 5 mars 2023. « […] L’article Rêve d’Egypte : Rodin l’Egyptien est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 169 jours

Le rachat de SOBEMO par Fabemi ouvre de nouveaux horizons 

Afin de conforter sa position sur le marché des produits préfabriqués en béton, Fabemi mène une stratégie de développement et d’investissement dynamique. Le Groupe l’a encore prouvé récemment en acquérant la société SOBEMO, basée à Nogent-sur-Seine, dans l’Aube. Cet investissement permet à Fabemi de renforcer ses capacités de production de blocs béton creux traditionnels et, à terme, de proposer l’ensemble de son offre dans le Grand Est et en Île-de-France.  Implanté depuis 1961 à Donzère dans la Drôme, le Groupe Fabemi compte 14 sites de production en France. L’acquisition de l’usine SOBEMO, qui produit actuellement 70 000 tonnes de blocs béton creux traditionnels par an, permet à Fabemi de renforcer son maillage territorial, mais aussi de réduire l’impact carbone de son activité grâce à une distribution au plus près de ses sites de production. Julien Viossat, Directeur commercial de Fabemi, souligne : « Notre Groupe a pour ambition d’asseoir son ancrage territorial en augmentant sa capacité de production grâce aux outils de production et au savoir-faire des équipes de SOBEMO. Fabemi pourra dorénavant proposer en régions Grand Est et Île-de-France une qualité de produits et de service reconnue, et fournir à ses partenaires des blocs creux traditionnels fabriqués au plus près des chantiers. »L’objectif de cette opération de croissance externe vise également à faire évoluer les outils de production de SOBEMO afin de produire les blocs béton isolants Fabemi, en complément des blocs béton creux traditionnels. Cette unité a pour objectif d’être prochainement équipée d’une rectifieuse et des outils complémentaires pour la fabrication des blocs isolants à base de mousse minérale.Julien Viossat voit plus loin : « Le Groupe Fabemi souhaite rapidement proposer à ses partenaires la totalité de son offre produits Gros Œuvre dans le nord de son dispositif comme cela est déjà le cas dans les régions Occitanie, PACA et Auvergne-Rhône-Alpes. C’est pourquoi, de nouveaux investissements sont d’ores et déjà à l’étude pour développer le parc machines ainsi que l’offre produits de SOBEMO. » www.fabemi-structures.com
Il y a 2 ans et 170 jours

Le marché des applications individuelles solaires en pleine croissance en 2021

En métropole le marché décolle enfinLa crise énergétique, l'augmentation des prix de l'électricité ou du gaz et la volonté d'autonomie toujours plus affirmée de la part des consommateurs sont les moteurs de cette reprise. Les acteurs saluent également le rôle de MaPrimeRénov' qui a permis d'élargir les profils de consommateurs en proposant des aides financières bonifiées pour les revenus les plus modestes. En revanche, les professionnels estiment que la nouvelle réglementation RE2020 ne valorise pas correctement les solutions solaires, prolongeant ainsi un biais déjà dénoncé dans la précédente réglementation (RT2012).Dans les territoires d'outre-mer, l'activité enregistre certes un recul en 2021 (89.050 m2 contre 101.285 en 2020) mais reste à un niveau largement supérieur à celui de la métropole. Portés par des subventions qui financent une large part des équipements, les chauffe-eaux solaires individuels équipent une bonne partie des particuliers des DROM.Dans leur ensemble, les professionnels du secteur des applications solaires thermiques individuelles affichent leur optimisme pour les deux années à venir, estimant que les tensions sur les prix des énergies électriques, gaz et fioul, jouent en leur faveur. Les bons retours des ventes du premier semestre 2022 viennent confirmer ce ressenti.Ces constats sont issus des deux études qu'Observ'ER (Observatoire des énergies renouvelables) vient de publier sur le marché des applications individuelles solaires thermiques. Une étude quantitative couvre les volumes de marché et l'évolution des prix. Une seconde, qualitative, analyse la position des acteurs sur l'actualité des 12 derniers mois.Les deux études sont disponibles en téléchargement avec les liens suivants :observer-marche-2021-solaire-thermique-individuelrdobserver-quali-2022-st-individuelrd/
Il y a 2 ans et 170 jours

Immobilier logistique : l’amorce d’un nouveau cycle ?

Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France et François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L dressent le bilan des 9 premiers mois de l’année et se projettent à fin 2022.Un niveau de demande placée contraint par la conjoncture et le manque de disponibilitésAvec plus de 2,9 M de m² placés depuis le début de l’année, le marché de l’immobilier logistique français (> 5000 m²) fait preuve de robustesse face à une conjoncture pourtant vacillante (- 15% sur un an et + 10% par rapport à la moyenne décennale). Le marché au 3ème trimestre est resté dynamique (794.400 m² placés), porté par le retour en force des logisticiens et la grande distribution alimentaire. Les volumes placés se retrouvent néanmoins impactés par la dégradation de la conjoncture macroéconomique et le manque de disponibilités d’entrepôts. Géographiquement, les marchés qui composent la Dorsale ne représentent plus que 60% de la demande placée nationale (vs 70% au 1er semestre 2022). Pour Pierre-Louis Dumont, Directeur Exécutif Agence I&L France : « Comme anticipé, nous constatons un tassement de l’activité sur la Dorsale lié en grande partie à la difficulté de réaliser des transactions en Ile-de-France, Rhône-Alpes et PACA, en raison d’une offre disponible insuffisante. »Le recul de l’offre disponible se généralise et s’accentue sur les marchés de la Dorsale. Plus largement, la faiblesse des libérations ne permet pas de contrer l’asséchement des disponibilités sur le territoire français dans un contexte de durcissement des politiques environnementales.Pour Pierre-Louis Dumont : « Le maintien à un niveau satisfaisant de la demande locative, conjugué à une politique de sobriété foncière, orientent toujours à la hausse les valeurs locatives sur les secteurs les plus tendus ; tandis que les marchés plus offreurs bénéficient dans une moindre mesure de ce déséquilibre. Une croissance des loyers à deux vitesses se dessine sur le territoire français. »Au-delà des problématiques foncières, les incertitudes d’ordre conjoncturel, notamment liées à la crise énergétique et à la baisse du pouvoir d’achat des ménages, pourraient restreindre l’activité logistique au cours des prochains mois. La demande placée devrait rester contenue au 4ème trimestre 2022, confirmant notre scénario d’atterrissage inférieur à 4 M de m².Rééquilibrage à l’œuvre sur le marché l’investissement I&LPlus de 4,8 Mds d’€ ont été investis en immobilier industriel et logistique au cours des 9 premiers mois de l’année. Si la dynamique du 1er semestre reflète la solidité des fondamentaux de marché couplée à la tendance haussière des loyers, les investisseurs se sont montrés plus prudents au 3ème trimestre dans un contexte complexe et incertain. « Sur fond de tensions géopolitiques, de poussée inflationniste et de remontée des taux de financement, les investisseurs réévaluent leur stratégie de cession et/ou d’acquisition pour l’adapter au nouveau paradigme financier » observe François-Régis de Causans, Directeur Investissement I&L. Entre allongement des opérations et repricing, le marché cherche un nouvel équilibre. « Si un ralentissement de l’activité au 4ème trimestre est très probable, les montants investis au cours des 9 premiers mois de l’année nous laissent entrevoir un bilan 2022 tout à fait honorable à plus de 6 Mds d’€ » précise François-Régis de Causans. Les investisseurs pourront compter sur plusieurs relais de création de valeur au cours des prochains mois, qu’ils s’agissent d’opérations de logistique urbaine ou de projets de restructuration de biens s’inscrivant dans une logique de conformité aux critères ESG.
Il y a 2 ans et 170 jours

Les politiques de rénovation énergétique des logements épinglées par un rapport de France Stratégie

"Depuis l'adoption de la première SNBC (Stratégie nationale bas-carbone, ndlr), la baisse des émissions dans le secteur du bâtiment demeure insuffisante au regard des objectifs", note l'organisme qui dépend de Matignon. En 2020, déjà, le Haut conseil pour le climat (HCC), cité dans le rapport, pointait l'insuffisance des dispositifs de subvention comme MaPrimeRénov' ou la TVA à 5,5% et des offres de prêt existant jusque-là "face au montant des travaux et à la faible capacité de financement des ménages". "L'obtention des aides n'est par ailleurs pas systématiquement conditionnée à une obligation de résultat en terme de gain de performance énergétique", note France Stratégie, relevant également un "déficit d'accès à l'information et d'accompagnement", "les délais de réalisation des travaux" ou encore la nécessité de "montée en compétences des artisans", qui constituent "autant de blocages à la rénovation énergétique". Si les dernières mesures mises en place, comme la réglementation environnementale 2020 (RE2020), désormais obligatoire pour les constructions neuves, ou l'interdiction de l'installation de chaudières fonctionnant au fioul "permettront de renforcer l'effort de décarbonation dans le secteur, il n'y a toutefois pas de garantie qu'elles soient pleinement suffisantes et adaptées", estime France Stratégie. "Les actions de rénovation entreprises dans les logements se résument aujourd'hui principalement à des gestes isolés ou combinés par couches successives", a ajouté l'organisme, rappelant que 86% des dossiers MaPrimRénov' validés "entre janvier 2020 et juin 2021 concernaient des travaux de rénovation mono-gestes", qui sont, pour 98% d'entre eux, des changements de systèmes de chauffage, "majoritairement des pompes à chaleur, qui, installées dans des logements peu isolés, soulèvent des questions en termes de pointe électrique lors des journées très froides". Or, le coût des travaux et le "faible calibrage des aides (...) expliquent en partie que les ménages" fassent ce choix de mono-gestes, quand "les opérations de rénovation complète en une seule étape (ou très peu d'étapes) sont souvent mises en avant comme condition nécessaire à l'atteinte d'un niveau équivalent BBC" (bâtiment basse consommation). La SNBC fixe comme objectif que le parc résidentiel "atteigne en moyenne un niveau de performance BBC en 2050", a encore précisé France Stratégie.
Il y a 2 ans et 170 jours

FOAMGLAS – 25 ans de garantie sur l’isolation des toitures du Centre aquatique de Vitry-le-François… 

@foamglas Oui, c’est possible. Et, c’est surtout remarquable de pouvoir appliquer à ce type de  bâtiment une durée de garantie de 25 ans. Cette garantie concerne : 1. les performances thermiques, 2. l’étanchéité à l’eau de l’isolant et 3. l’absence de condensation dans la toiture. Le Centre aquatique de Vitry-le-François bénéficie de 25 ans de garantie pour ses toitures. Un bâtiment fort sollicité par l’humidité de l’air extérieur, classé en Très Forte Hygrométrie par les DTU.Le maître d’ouvrage du Centre aquatique de Vitry-le-François a demandé à son architecte, CHABANNE ARCHI\\INGE, une conception d’ensemble privilégiant un objectif d’économie sur le long terme lors de l’exploitation de la piscine. Il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. Ainsi, le Centre aquatique gagne sur trois critères.  À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, la pérennité de la performance thermique, l’étanchéité à l’eau et l’absence de condensation dans toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans. De nombreux aspects de l’ouvrage ont été travaillés avec un objectif de durabilité fixé par la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der (51). Ainsi, par exemple, c’est de l’inox qui a été retenu pour réaliser l’étanchéité et le revêtement des bassins.Il est encore rare que les toitures fassent l’objet d’une telle analyse tant l’Assurance Décennale est bien installée dans les esprits en France. Les dix ans de garantie qu’offre l’entreprise au maître d’ouvrage sont souvent considérés comme suffisants. Or, 10 années passent bien vite et refaire une toiture de piscine au frais du contribuable 15 ans après sa construction n’est pas satisfaisant d’un point de vue écologique et financier. La même analyse vaut pour les toitures actives (avec accès piétons, véhicules, jardins, installations photovoltaïques…) : refaire les toitures plates avec un nouvel isolant et une nouvelle étanchéité, avec dépose préalable des complexes existants, coûte très cher. Avec la seule Assurance Décennale, la maîtrise d’ouvrage se trouve à la merci d’une mauvaise mise en œuvre ou d’une conception peu qualitative entraînant des désordres au bout de 12 à 14 ans.  La GarantieToiture25®, une avancée considérableFace à cette situation, et fort de l’expérience de 60 ans d’isolation thermique de toitures parmi les plus contraignantes, Owens Corning FOAMGLAS® propose depuis 3 ans une GarantieToiture25®. Soit 25 ans de garantie thermique de la toiture et 15 ans sur l’étanchéité de la toiture après la garantie décennale. Deux critères sont exigés pour d’obtenir cette garantie : en conception, l’isolation des relevés d’étanchéité (ou la mise en place de chanfreins en FOAMGLAS®) et, en phase chantier, l’établissement d’un plan d’assurance qualité par l’entreprise en collaboration avec l’Équipe Technique de Owens Corning FOAMGLAS®. Ce plan d’assurance qualité demande la présence du technicien FOAMGLAS® au démarrage des travaux d’isolation et d’étanchéité afin de délivrer un training rigoureux des compagnons, et son intervention à tout moment du chantier avec l’accord de l’entreprise d’étanchéité. Ce dispositif apporte une amélioration reconnue de la gestion des risques en phase chantier et in fine une garantie contractuelle apportée par Owens Corning FOAMGLAS® au maître d’ouvrage qui confère une valeur considérable à l’ouvrage.Cette garantie souligne aussi deux points importants restant à améliorer dans l’acte de construire :– À ce jour, les fabricants ne sont pas obligés de garantir leurs matériaux isolants une fois mis en œuvre, ni même de garantir dans le temps une partie de la résistance thermique annoncée dans leur validation technique. En effet, les PV ACERMI concernant les isolants engagent l’ACERMI sur des valeurs obtenues en sortie d’usine seulement et suivant un protocole d’essai précis visé par les normes EN. Obtenir un engagement de 25 ans sur 100 % de maintien de la performance thermique de l’isolation de la toiture représente une avancée considérable.– L’Assurance Décennale engage l’entreprise d’étanchéité pour 10 ans sur l’étanchéité de l’ouvrage. Du point de vue écologique et financier (économie des matériaux, transport, immobilisation de l’ouvrage, gestion des déchets…) refaire une toiture 15 ans après sa réfection devient peu satisfaisant. Disposer d’une garantie complémentaire de 15 ans sur l’étanchéité après la décennale de l’entreprise représente, là aussi, un progrès considérable pour l’ouvrage et le maître de l’ouvrage.Les Services de la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der, appuyés par les analyses de CHABANNE ARCHI\\INGE, ont bien analysé ces diverses données. CHABANNE ARCHI\\INGE a proposé les deux solutions avec leurs incidences financières, et il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, l’isolation thermique et l’étanchéité de toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans.  Le verre cellulaire sécurise totalement les toitures de piscine. Pourquoi ?Le verre cellulaire sait garantir 25 ans une résistance thermique constante dans le temps et une absence de condensation dans les toitures de piscine, quel que soit l’élément porteur : bac acier, bac acier acoustique, bois ou dalle béton. FOAMGLAS® garantit une réelle performance thermique des toitures, même celles des bâtiments les plus sollicités par l’humidité de l’air intérieur, classés en Très Forte Hygrométrie par les DTU. Isolé avec du verre cellulaire (isolant étanche dans la masse, mis en œuvre avec le collage des plaques entre elles sur toute leur épaisseur), la couche isolante de la toiture d’une piscine restera sèche, et gardera, toute la vie du bâtiment, une performance thermique intacte. Si sa Résistance Thermique d’origine est de 5 m².K/W, soit une Conductance Thermique de 0,2 W/m².K, alors, 25 ans plus tard, la conductance de la toiture sera toujours de 0,2 W/m.K ! La GarantieToiture25® d’Owens Corning FOAMGLAS® l’atteste.Seule une isolation en verre cellulaire permet cette performance très économique pour le maitre d’ouvrage !   En piscine, la garantie d’une absence de condensation en toiture est essentielle, tant les risques sont grands lorsque la température extérieure est froide, compte tenu de l’air intérieur du bâtiment très humide. Comme sur le sujet de la résistance thermique, FOAMGLAS® est au rendez-vous : le verre cellulaire est de perméabilité nulle (PV du CSTB) et les plaques sont collées entre elles avec une colle imperméable à la vapeur. Si l’épaisseur de la couche isolante est de 18 cm (Rth = 5), alors il y aura une épaisseur de colle de 18 cm située au droit des joints de FOAMGLAS® ! Ainsi, l’humidité intérieur de la piscine ne peut pas migrer dans une couche isolante de FOAMGLAS®, qui est pare-vapeur dans la masse. Et, le point de rosée (appelé aussi température de rosée) ne peut pas être atteint par la vapeur située à l’intérieur de la piscine. Il ne peut donc pas y avoir de condensation dans la toiture. www.foamglas.fr
Il y a 2 ans et 170 jours

Les accidents du travail mortels causés par une chute de hauteur toujours élevés

En 2021, 421 accidents du travail causés par une chute de hauteur avaient été signalés, dont 46 mortels et 249 ayant entraîné des blessures graves.En moyenne, sur les trois dernières années, la France enregistre 674 décès liés au travail par an.Les principales causes sont les accidents de la route, les accidents dus à des équipements de travail ou des engins dangereux, les chutes de hauteur (26% des accidents du travail et 18% des accidents mortels). "On observe un palier", a commenté lors d'une conférence de presse, le directeur général du travail Pierre Ramain avec un nombre d'accidents et leur indice de fréquence qui ne baissent plus.Pas moins de 3.647 décisions d'arrêt de travaux liées à un risque de chute de hauteur ont été notifiées en 2021 par l'inspection du travail qui a réalisé 31.520 interventions sur ce thème, deuxième motif derrière la lutte contre le travail illégal.Après une année 2020 qui avait vu l'inspection du travail réduire ses interventions du fait du Covid et les concentrer sur le contrôle du protocole sanitaire en entreprise et la fraude à l'activité partielle, 2021 a vu un retour à "un niveau d'activité classique" selon M. Ramain.L'inspection du travail a cependant ajouté la lutte contre les recours abusifs aux contrat courts de moins d'un mois dans ses priorités, avec 4.800 interventions entre octobre 2021 et juin 2022. "Il y avait des actions d'initiative mais l'idée c'était d'y travailler collectivement et de manière visible", a expliqué M. Ramain. Ont été ciblés les secteurs visés par la mise en place d'un "bonus-malus" lors de la réforme de l'assurance chômage.Globalement en 2021, 68% des interventions des agents de contrôle ont eu lieu dans des entreprises de moins de 50 salariés, principalement dans la construction (27%), l'industrie (13%) et le commerce (12%).Au total, 2.160 décisions de sanctions ont été prises en 2021 et 11,2 millions d'euros d'amendes ont été mises en recouvrement.
Il y a 2 ans et 165 jours

Communes rurales : une proposition de loi pour déroger à la participation minimale du maître d'ouvrage

Le texte déposé mi-novembre vise, selon son auteur, à débloquer de nombreux projets mis à l'arrêt par des capacités financières trop...-Réglementation