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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 4 ans et 332 jours

Un sas minute pour confiner les malades

On connaissait la tente montée en deux secondes. Une entreprise nordiste, Delta Neu, a lancé un sas de confinement « minute ». Assorti d’un système de filtration de l’air, le dispositif permet de mettre à l’isolement en un temps record les patients présentant les symptômes de la Covid-19.
Il y a 4 ans et 332 jours

Élection du nouveau Bureau de l'Association Qualitel

Aux côtés des autres membres du Bureau, représentants des organisations et instances du secteur, il accompagnera les grandes orientations stratégiques de l'Association QUALITEL pour les 5 années à venir, en cohérence avec les enjeux actuels et futurs du logement.Faire progresser la qualité du logement, avec et pour tous les acteursCréée en 1974, l'Association QUALITEL poursuit une mission centrale : faire progresser la qualité du logement pour un habitat confortable, sain, sûr et durable, en phase avec son temps. Pour ce faire, elle exerce des activités d'information du grand public, de certification, de recherche, d'évaluation et expertise et de formation professionnelle.À travers ces travaux, elle accompagne les grands enjeux de l'habitat, en cohérence avec les transitions environnementale, énergétique et numérique, mais aussi en termes de santé et de confort. Elle contribue ainsi à des avancées concrètes. Pour exemples :Une meilleure connaissance du ressenti des particuliers en matière de qualité du logement, et ainsi, des progrès restant à faire, avec des données inédites recueillies chaque année dans le cadre du Baromètre QUALITEL - IPSOS ;L'élévation du niveau de performances des logements, avec la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, dans une approche multicritère intégrant les nouveaux enjeux du secteur et anticipant les tendances émergentes ;Le déploiement du numérique, dans le cadre de la certification avec l'intégration d'outils collaboratifs, et à travers des travaux dédiés au carnet numérique du logement, en appui aux actions des pouvoirs publics sur ce sujet.Fondamentales pour l'habitat de demain, ces thématiques seront notamment au cœur des priorités stratégiques de QUALITEL pour les 5 années à venir, sous la direction du nouveau Bureau de l'Association.Le nouveau Bureau de QUALITELLe nouveau Bureau de l'Association QUALITEL est composé de 10 membres, parmi lesquels :Bertrand Delcambre, réélu Président de l'Association QUALITELReprésentant du ministre en charge du Logement et Président de l'Association depuis 2015, Bertrand Delcambre a été reconduit dans ses fonctions.Ingénieur Général des Ponts, des Eaux et des Forêts, il passe l'essentiel de sa carrière professionnelle au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) dont il est élu Président en 2008.En 2014, Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l'Égalité des Territoires et de la Ruralité, le nomme Ambassadeur du Numérique dans le Bâtiment, puis Président du Plan Transition Numérique dans le Bâtiment. En 2015, il rejoint l'Association QUALITEL.Chantal Jannet, réélue vice-Présidente de l'Association QUALITELVice-Présidente de la Fédération nationale Familles rurales, administratrice de l'Union nationale des associations familiales (UNAF), Chantal Jannet a exercé diverses responsabilités dans les domaines de la consommation, du logement et du droit des femmes. Elle siège notamment au Bureau du Conseil National de la Consommation et à la Commission d'évaluation et de contrôle de la médiation de la consommation (CECMC). Elle préside également le Fonds de dotation de QUALITEL qui agit en faveur du logement des personnes défavorisées.Ainsi constitué, le nouveau Bureau accompagnera l'élaboration et la mise en œuvre des nouvelles orientations stratégiques de l'Association QUALITEL, s'inscrivant dans la continuité des actions engagées ces dernières années et en cohérence avec les enjeux et thématiques émergentes du logement. Ainsi, notamment :Rénovation énergétique, biodiversité, qualité de l'air intérieur, économie circulaire et bas carbone : ces sujets seront, par exemple, au cœur des évolutions apportées au référentiel de certification NF Habitat - NF Habitat HQE, présentées dans les prochains jours ;Déploiement du numérique, y compris dans une dynamique de services pour les particuliers : CLÉA, espace numérique du logement lancé il y a quelques semaines pour la maison individuelle, sera déployé dès cet été à tout le logement, accessible aux professionnels et aux particuliers ;Accompagnement de la montée en compétences des professionnels, avec un large programme de formations couvrant toutes les thématiques du logement : BIM, énergie et environnement, nouveaux modes constructifs, qualité et santé, réglementations.Etc.« Je remercie les membres du Conseil d'administration pour leur confiance renouvelée. J'ai particulièrement apprécié la qualité de nos échanges au fil de ces 5 dernières années. La diversité de leurs expertises et de leurs attentes, représentatives de celles de l'ensemble du secteur, y compris des consommateurs, nous ont permis de mener à bien de grands projets fédérateurs et essentiels pour faire progresser la qualité du logement.Je remercie aussi les équipes de QUALITEL et de ses filiales pour leur dynamisme et la force de leur engagement.Ensemble, nous poursuivrons, accélèrerons et intensifierons nos actions pour accompagner au mieux tous les acteurs, a fortiori dans ce contexte de crise sanitaire et économique inédite. Nous le savons, et cela s'est plus que jamais confirmé ces derniers mois : l'habitat est au cœur des préoccupations de chacun. Nous devons continuer à faire de sa qualité, notre priorité. »Bertrand Delcambre - Président de l'Association QUALITEL
Il y a 4 ans et 332 jours

Ben Young : « Mon amour pour l’océan a un impact énorme sur mon travail »

Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. Ben Young [©Jane Keam] Comment réalisez-vous vos sculptures ? Sur quoi travaillez-vous en premier ? [©Robert Gray Photography] Je suis un autodidacte. Chacune des mes réalisations est le fruit d’un énorme travail en amont. Tout commence par des concepts. Une fois que j’ai une idée que je veux poursuivre, je dessine un croquis à l’échelle pour affiner la taille et les proportions de la pièce. Je trace tous les plans et profils nécessaires à la création de mes sculptures. Je travaille avec des formes 2D et je dois trouver comment traduire cela. Et ce, afin de superposer le verre pour Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 332 jours

Renforcer une structure par des matériaux composites à base de fibres de carbone

A un moment ou à un autre, un ouvrage aura besoin d’un entretien plus ou moins poussé, d’une réparation, voire d’un renforcement structurel. [©ACPresse] 1 – Quelles sont les solutions permettant un renforcement structurel d’un ouvrage en béton ?  Plusieurs raisons imposent de renforcer une structure en béton : impact accidentel ou incendie, erreur de conception ou de positionnement des armatures, mise en conformité d’un ouvrage existant ou encore changement de destination de l’ouvrage.  Selon le type d’ouvrages, la nature de la dégradation, le moment de l’intervention ou l’accessibilité au chantier, les techniques de renforcement peuvent être différentes. On en dénombre six différentes. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne  
Il y a 4 ans et 332 jours

Rockwool dévoile son Rapport Développement Durable 2019

Des objectifs axés notamment sur la réduction des émissions de CO2, l'extension de son offre de recyclage à 11 pays et la diminution des déchets de production de 18% en 2019. S'il confirme ainsi la réduction de 4% de ses émissions de CO2 sur la production de ses produits par rapport à 2015, ROCKWOOL garde le cap des objectifs en matière de réductions des émissions de CO2 du groupe de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030En plaçant les enjeux de développement durable au centre de sa politique, ROCKWOOL poursuit les efforts nécessaires à ses objectifs en se montrant toujours plus innovant et éco-responsable chaque année. Des objectifs déclinés également à travers une campagne de sensibilisation aux économies d'énergie et à l'efficacité énergétique auprès des professionnels et du grand public lancée en mai dernier.Décarboner ses opérations : plus qu'une ambition, une priorité pour ROCKWOOL« Nous mesurons l'impact de chacun de nos produits et de nos process autour des trois éléments de base de la durabilité : la lutte contre le changement climatique et la maîtrise des émissions de CO2, le développement de l'économie circulaire, le bien-être et la sécurité dans son logement. ROCKWOOL s'est engagé à respecter 10 des Objectifs de Développement Durable (ODD) mis en place par les Nations Unies. », explique Gaëtan Fouilhoux responsable Affaires Publiques ROCKWOOL France. En 2019, l'outil d'évaluation environnementale Trucost a estimé que 100% des produits ROCKWOOL étaient propices à la réalisation des ODD. Le Groupe évalue son avancement à travers ses propres indicateurs évaluant l'impact de ses produits sur les ODD concernés en termes de performance et d'avantages apportés.L'année 2019 s'est avéré très positive pour les mesures environnementales mises en place par ROCKWOOL, à commencer par ses émissions de carbone. En effet, l'isolation des bâtiments ROCKWOOL vendue en 2019 économisera, tout au long de sa durée de vie, 100 fois le carbone émis pendant sa production et permettra d'économiser près d'1 milliard de tonnes de CO2.Poursuivant les efforts de 2018, ROCKWOOL a encore fait baisser cette année l‘intensité des émissions de CO2 de sa production de 4% par rapport à 2015, année de référence. L'objectif du Groupe est toujours d'atteindre une réduction des émissions de CO2 de 10% d'ici 2022 et de 20% d'ici 2030. Au Danemark, berceau du Groupe et laboratoire de référence pour ces mesures, la réduction de ces émissions vise même les 70% à 2030.Adopter et promouvoir l'approche circulaire partout dans le mondeROCKWOOL continue d'exploiter au maximum la recyclabilité naturelle et quasi infinie de la laine de roche. En 2019, le groupe a ainsi réduit de 18% les déchets de production mis en décharge depuis 2015, grâce à des investissements dans le recyclage interne. Des recherches sont constamment menées pour accroître cet impact dans les années futures. ROCKWOOL a également étendu son offre de services de recyclage à 11 pays, au nombre de 10 en 2018, en intégrant la Suisse. Pour rappel, l'objectif est de porter ce nombre à 30 d'ici 2030. En France, ROCKCYCLE, la solution pour récupérer les déchets de chantier, continue de se déployer auprès des clients afin d'optimiser le recyclage sur les chantiers.Accentuer sa contribution à la réalisation des Objectifs mondiauxEn 2019, ROCKWOOL a décidé d'accentuer ses efforts en ajoutant un nouvel indicateur qui apporte une contribution particulière à l'ODD 8 : Travail décent et croissance économique, surveillant désormais les emplois et la valeur économique qu'ils génèrent directement ou indirectement, ainsi que la valeur économique de l'énergie économisée par ses produits. Les produits d'isolation ROCKWOOL vendus en 2019 devraient permettre aux clients de ROCKWOOL d'économiser environ 77 milliards d'euros en besoin énergétique.Préconisant depuis longtemps la rénovation des bâtiments comme solution climatique efficace, le Groupe ROCKWOOL soutient activement les objectifs du Pacte vert de la Commission européenne. En France, toujours en 2019, ROCKWOOL a aussi souligné son engagement de longue date en faveur des économies d'énergie en signant la charte FAIRE qui regroupe l'ensemble des acteurs publics et privés de la rénovation énergétique.« En tant que leader de l'isolation en laine de roche, ROCKWOOL entent ainsi maintenir le cap de sa contribution à la concrétisation des Objectifs mondiaux. », précise Gaëtan Fouilloux.
Il y a 4 ans et 332 jours

[Livre] Réédition de « Bâtir en Terre » de Romain Anger et Laetitia Fontaine

Il est possible de construire un habitat écologique où il est agréable d’y vivre. Des alternatives au béton et à ses fâcheuses conséquences sur la santé et l’environnement sont multiples. Le livre « Bâtir en Terre » de Romain Anger et Laetitia Fontaine en est une, il montre les qualités inestimables de la terre dans la construction. […]
Il y a 4 ans et 332 jours

Une île triangulaire de 43 logements, signée BFV à Nanterre

Pour penser le "monde d'après", l'architecte doit relever les défis qui s'imposent à lui aujourd'hui. Son métier, son rapport à l'écologie et à la conception de la ville et du logement, autant de sujets que la crise sanitaire a ébranlé. La Cité de l'architecture et du patrimoine […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 333 jours

L’Atelier Confiné des étudiants à l’ENSA-V

A la Galerie d’architecture à paris, une sélection de dessins d’étudiants de l’ENSA-Versailles produits durant le confinement. Atelier encadré par Guillaume Ramillien. Jusqu’au 17 juillet 2020. Lundi 16 mars, midi. Comme nous tous, mes étudiants et moi-même nous sommes trouvés assignés à résidence pour participer à lutter contre la propagation de l’épidémie de COVID-19 alors […] L’article L’Atelier Confiné des étudiants à l’ENSA-V est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 333 jours

Pour le groupe scolaire Ernest Renan de Villeurbanne, c’est Moon Safari

L’agence bordelaise Moon Safari réalisera l’extension et la restructuration du groupe scolaire Ernest Renan à Villeurbanne (Rhône). Avec une surface de 1 727 m² et un budget de 4,3 M€ HT, le projet entend mettre en valeur un patrimoine architectural de qualité. Communiqué succinct. Situé au cœur d’un quartier en pleine mutation à Villeurbanne, le […] L’article Pour le groupe scolaire Ernest Renan de Villeurbanne, c’est Moon Safari est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 334 jours

Ce week-end, "48h" pour convaincre les citadins de mettre les mains dans la terre

Des opérations de végétalisation de rue aux ateliers "bombes de graines", cette 5e édition du "grand festival du jardinage urbain" --initialement prévue en avril mais reportée en raison de l'épidémie de Covid-19-- se traduira par quelque 200 événements dans une dizaine de villes. Un format réduit par rapport à l'an dernier car "on n'a su qu'il était possible d'organiser le festival qu'au début du mois" et les restrictions sanitaires limitent le nombre de participants, souligne Sophie Boisselier, de l'association Sauge qui a créé et coordonne l'événement.Elle espère attirer les citadins en mal de verdure depuis le confinement, qui a pu agir comme un révélateur de l'ultradépendance des villes quant à leur approvisionnement en produits agricoles et renouveler l'intérêt envers les circuits courts."Les gens commencent à se rendre compte qu'il y a une question agricole et alimentaire en France, que l'indépendance alimentaire du territoire est un enjeu de sécurité", estime Sophie Boisselier.Le festival entend mettre en avant les réponses apportées par une agriculture urbaine en pleine "effervescence", montrer qu'"il y a des initiatives qui s'organisent tous les jours pour végétaliser la ville, se reconnecter à son alimentation, tisser du lien autour de la pratique du jardinage".Le programme des 48 heures dans les villes concernées - Paris/Ile-de-France, Albi, Avignon, Grenoble, Marseille, Montpellier, Nantes, Saint-Etienne, Strasbourg, Toulouse, Tournai (Belgique) - est disponible sur le site www.les48h.fr.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les professionnels déplorent le maintien des recommandations du HCSF sur les crédits immobiliers

Parmi ces mesures, celle de "laisser inchangé à 0% le coussin de fonds propres bancaires contra-cyclique" au vu des "circonstances actuelles et pour soutenir l'offre de crédit aux entreprises, notamment les TPE et PME qui dépendent fortement du financement bancaire", indique le HSCF dans un communiqué.Le "coussin contra-cyclique" est une réserve supplémentaire de capital à mettre de côté par les banques en cas de retournement de la conjoncture financière.Ce coussin s'élevait à 0,25% des fonds propres des banques depuis le 1er juillet 2019, et devait être augmenté à 0,5% en avril. Conséquence du Covid-19, il a été supprimé dès le 18 mars.Rappelant que les acteurs financiers français ont abordé cette crise dans une position "solide" avec des réserves de capital renforcées, le Haut Conseil continue d'appeler à "une attitude responsable" les banques et assurances en matière de distribution de dividendes, rachats d'actions et versements de rémunérations variables.Le HCSF, qui rassemble notamment le ministère de l'Économie et la Banque de France, anticipe par ailleurs "une reprise d'activité rapide" sur le marché immobilier tout en rappelant ses recommandations de prudence dans l'octroi de crédits immobiliers: pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans et respect d'un taux d'endettement à 33%.En toile de fond "les risques pour le système financier restent toutefois à un niveau élevé, compte tenu de l'ampleur des pertes économiques déjà subies et à venir", estime le HCSF, soulignant "l'incertitude sanitaire et la trajectoire de la reprise".D'où également le maintien de sa mesure dite "grands risques", en vigueur depuis mai 2018, consistant à réduire l'exposition des grandes banques aux grandes entreprises endettées en limitant leur exposition à ces dernières à un niveau maximum de 5% de leurs fonds propres éligibles.Cette mesure vise aussi à faciliter "la mise en œuvre des dispositifs de soutien au financement des entreprises", explique-t-il.Sur la possible création d'une structure de défaisance, ou "bad bank", une source proche du HCSF écarte cette option."Ce n'est pas à l'ordre du jour actuellement en France (...) le secteur financier est tout a fait à même d'absorber cette crise et même d'accompagner les entreprises françaises dans cette crise en faisant plus de prêts", estime cette même source.Les primo-accédants encore plus pénalisés face à l'emprunt immobilier selon La Centrale de FinancementLes primo-accédants sont une source naturelle de la production de crédit immobilier. Avec la crise sanitaire, ceux-ci ont été fortement impactés par la baisse de leur pouvoir d'achat, ne leur permettant plus de s'engager sur un projet d'emprunt immobilier. La décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) risque d'aggraver la situation d'un pan de la population déjà suffisamment meurtri par la crise...« Le maintien de ces mesures restrictives par le HCSF (pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans ni d'endettement au-delà de 33%) aura pour effet premier de pénaliser encore davantage les primo-accédants, déjà fortement affectés par l'augmentation du chômage partiel. C'est une véritable mauvaise nouvelle pour le marché du crédit immobilier.Celui-ci s'était naturellement régulé avec la crise sanitaire et ce, sans intervention du HCSF. Le premier semestre 2020 illustre d'ailleurs cette tendance avec 200 000 transactions immobilières de moins par rapport à l'année passée. Alors que nous envisagions sereinement la reprise, la décision du HCSF n'envoie aucun signe positif pour l'encourager et la favoriser... Cette position inflexible et intransigeante est en totale contradiction avec les annonces formulées par le gouvernement et les pouvoirs publics souhaitant, à l'inverse, dynamiser l'activité économique. Le marché du crédit immobilier porte notre économie, Il est donc plus que jamais urgent d'en assouplir les conditions d'accès ! »Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de FinancementLCA-FFB déplore le maintien des recommandations du HCSFÀ l'heure où les remontées de terrain sur la très forte dégradation de l'activité commerciale du secteur se confirment dans les statistiques du marché, au moment où le Gouvernement prépare un plan de relance de la construction, LCA-FFB s'étonne que le HSCF confirme sa position. Ces règles conduisent à fortement contraindre la distribution de crédits immobiliers, avec des effets qui se font durement ressentir (en particulier par les jeunes ménages et les familles modestes). L'enquête conduite début juin par LCA-FFB auprès de ses adhérents montre que 75% d'entre eux constatent un net durcissement des conditions d'octroi des prêts immobiliers, proportion en hausse de 11 points par rapport à la précédente enquête de fin avril.À fin avril, les ventes de maisons neuves en secteur diffus se sont écroulées de 36% sur trois mois en glissement annuel[1] et de 59% sur le mois d'avril. À fin mars, selon les données publiées par le Ministère du Logement[2], les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 24% par rapport au premier trimestre 2019 (-24% pour le collectif et -29% pour l'individuel groupé) et les mises en vente de logements enregistrent un recul de 28% sur cette même période.Grégory Monod, Président de LCA-FFB : « le maintien des recommandations du HCSF est incompréhensible au regard de la maîtrise des risques par le système financier français, qui ne montre toujours pas de signes de fragilité, et alors que la situation du logement neuf se dégrade fortement. Le violent trou d'air provoqué par la crise du Covid-19 va lourdement frapper nos entreprises et nos emplois. Un plan de relance d'envergure, à court et à moyen terme, et à la hauteur des enjeux du secteur est indispensable.Dans l'immédiat, il faut permettre aux établissements de crédit d'accompagner les particuliers dans la réalisation de leurs projets. Ensuite, il faut prendre des mesures pour améliorer la solvabilisation des ménages et séduire les investisseurs disposant d'épargne. Les outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé doivent être privilégiés : prêt à taux zéro, APL Accession, dispositif Pinel.Il est urgent de les renforcer car sans une réaction rapide, le pire est à craindre ! »[1] CGI Bâtiment/Caron Marketing, indicateur Markemétron.[2]Service des données et études statistiques (SDES) / Enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN)
Il y a 4 ans et 334 jours

Le gouvernement devrait reporter d'un an la révision de la fiscalité du gazole

"A la demande des professionnels, et dans le cadre des mesures de soutien aux entreprises face à la crise, on a accepté de décaler d'un an l'entrée en vigueur de la suppression de l'avantage fiscal sur le GNR pour l'ensemble des secteurs concernés", a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Économie et des Finances.Cette suppression devait s'effectuer de façon progressive, en trois paliers successifs: avec une hausse de la fiscalité le 1er juillet 2020 puis le 1er janvier 2021, avant l'élimination complète de la niche fiscale au 1er janvier 2022.Un amendement du gouvernement sera déposé dans le cadre de la troisième loi de finances rectificative pour décaler ce calendrier et supprimer entièrement l'avantage fiscal au 1er juillet 2021, explique-t-on à Bercy."On décale l'entrée en vigueur (d'un an) pour protéger les entreprises et leur trésorerie, mais par contre, il n'y aura pas de progressivité: on ira directement au taux de droit commun (...) La suppression (en totalité) de cet avantage fiscal sera effective six mois avant la date prévue initialement", insiste-t-on au ministère.Les entreprises du bâtiment et des travaux publics étaient très mobilisées ces derniers mois pour réclamer le maintien du taux préférentiel sur la taxe frappant l'usage du GNR afin de surmonter les graves difficultés économiques générées par la crise sanitaire du Covid-19 et le confinement."Je me réjouis que le gouvernement ait finalement accédé à notre demande de bon sens, dans le contexte de crise et de difficultés de trésorerie (...) Le maintien du premier relèvement de taxes au 1er juillet aurait exacerbé les tensions au sein de nos entreprises", a observé jeudi Bruno Cavagné, président de la Fédération nationale des Travaux publics, dans une réaction transmise à l'AFP.De son côté, l'organisation CNATP (artisans des travaux publics et du paysage) a salué jeudi soir un résultat obtenu selon elle grâce à son "travail sans relâche (...) depuis des semaines", tout en évoquant des points de "vigilance" sur l'application de cette mesure, notamment des points techniques comme la coloration du carburant.
Il y a 4 ans et 334 jours

Atelier Data : Casa no cercal

C’est à Cercal dans la région du Centre au Portugal que l’agence d’architecture Atelier Data a réinterprété la maison traditionnelle portugaise en érigeant une villa solaire qui s’intègre parfaitement au paysage vallonné alentour. Casa no cercal est une maison de 195 mètres carrés ouverte sur la nature. Fascinés par les reliefs de la région, les architectes d’Atelier Data ont choisi de valoriser la relation de la villa avec les éléments naturels environnants, notamment les collines et la rivière. Les architectes ont ainsi abaissé les frontières entre intérieur et extérieur grâce à des fenêtres et des portes vitrées coulissantes qui laissent entrer la lumière naturelle et offrent de belles vues sur le paysage. Dans la même logique, ils ont également agencé plusieurs patios, des petits espaces extérieurs plus confidentiels, qui font circuler la lumière dans la maison, et crée une grande salle de séjour qui ouvre de plain-pied sur une grande terrasse prolongée par une couloir de nage. À l’intérieur, le blanc règne en maître absolu. Partout des meubles dépareillés, des matières naturelles, des céramiques colorées distillent un esprit estival. Une véritable ode à la nature ! Pour en savoir plus, visitez le site d’Atelier Data. Photographies : © Richard John SeymourLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 334 jours

Conseils pour bien communiquer lors d’un salon du BTP

Les salons sont des opportunités en or pour conclure un contrat ou faire connaitre sa société. Et cela est valable même dans le secteur du BTP. Pour certains débutants, établir une bonne communication avec les clients cibles semble difficile voire impossible. Car il faut le dire, vous aurez beau fournir le meilleur travail au monde, la visibilité reste la clé du succès. Adopter la bonne communication dans le BTP aide ainsi à faire connaître aux clients potentiels votre savoir faire. Il n’est pas alors d’une simple rencontre mais d’un échange au profit des intervenants. Les règles de la communication Dans le BTP, établir une communication efficace permet d’obtenir des résultats rapides. Durant un salon, faites connaître vos activités en respectant les règles de base de la communication suivantes : Cibler la clientèle : établir une communication vous oblige à vous adresser à la bonne clientèle. Déterminez ainsi quel genre de personne vous cherchez à atteindre. Privilégier l’e-relation : c’est-à-dire que vous devez accorder la présence en ligne. Vous pouvez ainsi créer un site internet ou encore posséder une page sur les réseaux sociaux. Faites une bonne exploitation des réseaux sociaux  car c’est un outil important. Sur les réseaux sociaux, vous pouvez montrer vos projets et parler directement avec les clients. Privilégier le contact réel : durant le salon rapprochez vous de vos clients (partagez des flyers, donnez des cartes de visite, faites bon usage des affiches). Faites vous aidez par des auxiliaires comme www.maxilia.fr/. Misez sur votre compétence, sur votre originalité et ce qui vous démarque des autres participants. La visibilité dans les lieux dédiés au BTP Parce que vous n’aurez pas à participer qu’à un seul salon. Dans la mise en place d’une bonne communication, il faut aussi que vos présences aient lieu dans des espaces dédiés au BTP (CCI, chambre des métiers, chambre de commerce, etc.). Ainsi votre visage ne sera pas nouveau tout en ayant la possibilité de trouver des gens intéressés par votre travail. Lors d’un salon donné, soyez dans la catégorie des entreprises du bâtiment. Ainsi lorsque des visiteurs passent dans le salon, ils sauront pertinemment vers où se diriger pour consulter des spécialistes du BTP. Pour plus de visibilité, mettez en avant des outils de communication indiquant que vous êtes dans le domaine du BTP (si vous vendez des machines par exemple alors n’hésitez pas à les exposer de façon stratégique). Le but est d’attirer l’attention des personnes cibles en indiquant de façon suggestive que vous êtes le professionnel à qui ils doivent faire appel. Privilégier le partenariat Dans le domaine du BTP, les activités se basent aussi sur des partenariats. Avant même le commencement du salon, faites des alliances avec d’autres professionnels dans le domaine. Si vous vendez par exemple des machines de chantier, vous pouvez adopter comme partenariat une entreprise experte dans la construction. L’avantage avec le partenariat c’est que vous jouissez d’une double communication lors d’un salon. Ainsi lors de cet évènement, vous faites connaitre votre service et celui de votre partenaire. Ce dernier en fera de même pour vous. Dans cette perspective, il est toujours conseillé d’avoir de bonnes relations avec les investisseurs. Ces derniers peuvent rapidement vous mettre en contact avec des clients en référençant vos compétences. L’idéal est de privilégier les partenariats avec des constructeurs. Car ces derniers peuvent proposer un meilleur rapport qualité-prix tout en effectuant votre publicité auprès de leurs clients.
Il y a 4 ans et 334 jours

Un tiers des Français souhaitent rénover leur logement d'ici la fin de l'année

Après deux mois de confinement et alors que la crise sanitaire se poursuit, la maison est plus que jamais un refuge pour les Français qui ont envie de s'y sentir bien. Dans ce contexte, Cofidis a interrogé les Français sur la rénovation de leur logement : envisagent-ils de rénover leur logement ? quels projets de rénovation souhaitent-ils mener ? quelles sont leurs motivations ? quels sont leurs freins ? quel est leur budget ? comment envisagent-ils de financer leur projet ?Les travaux de rénovation ont la coteParmi les résultats marquants de l'étude, on remarque que les Français aiment entreprendre des travaux de rénovation : près des trois quarts d'entre eux (73%) en ont effectués ces dernières années, notamment les retraités (78%) et les propriétaires (86%) qui sont largement représentés en France (58% des Français sont propriétaires de leur résidence principale)[1].À noter que 65% des chantiers réalisés sont assez récents (moins de deux ans) et ont été effectués principalement par les personnes qui s'installent dans la vie, les moins de 35 ans (79%).54% des Français, soit près de 30 millions de personnes, ont l'intention de faire des travaux de rénovation prochainement, notamment les 25/34 ans (68%) et les CSP+ (65%) ; et un tiers (37%) d'ici la fin de l'année 2020. C'est le 2ème projet le plus populaire chez les Français après « partir en voyage »[2].Le confort de vie est la raison principale pour laquelle les Français entreprennent des travaux de rénovation,pour améliorer le confort de leur logement (52%) et éviter la vétusté (32%) :48% d'entre eux envisagent des travaux de décoration des pièces de vie (murs, sols, etc.), notamment les locataires (64%) et les personnes résidant en appartement (57%).32% planifient la réfection d'une cuisine ou d'une salle de bain, en particulier les Franciliens (41%).La rénovation énergétique passe au second planSeul un Français sur 4 (26%) prévoit des travaux de rénovation énergétique ou d'isolation thermique, principalement les habitants des petites et moyennes villes[3] (35%) et les propriétaires (29%).Seuls 24% des Français affirment vouloir entreprendre des travaux pour réduire leur facture énergétique, en particulier les personnes résidant dans une maison (28%).Le financement reste le principal freinPour les Français, la rénovation du logement rime d'abord avec budget (pour 55% des Français), loin devant l'efficacité énergétique (37%).Le budget envisagé par les Français pour leurs travaux de rénovation n'est pas neutre : 9 550€ en moyen, avec des différences importantes selon les catégories de Français : 6 400€ en moyenne pour les 18/24 ans. A savoir que plus d'un quart d'entre eux (26%) estiment leur budget à moins de 1 000€.10 050€ en moyenne pour les CSP- sachant qu'un tiers prévoient un budget de moins de 5 000€.10 200€ en moyenne pour les CSP+. On note que 21% d'entre eux déclarent un budget de 10 000€ et plus.9 480€ pour les retraités. Plus d'un quart (27%) estiment une facture supérieure à 10 000€ et plus.31% des Français affirment que le manque de budget est la raison pour laquelle ils n'envisagent pas de travaux ; un frein principalement évoqué par les CSP- (39%), dont la situation financière risque de se dégrader dans les prochains mois. En effet, selon le dernier Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA publié début juin, 54% des CSP- déclarent que leur situation financière personnelle est déjà touchée par la crise sanitaire. La somme qui leur manque pour financer leurs travaux est de 14 400€ en moyenne. Un montant qui s'élève à 16 000€ chez les retraités.Les conclusions de l'enquêteLa faible part des Français qui prévoient des travaux de rénovation énergétique ne serait dont pas liée à un désintérêt pour les enjeux environnementaux (d'après la consultation citoyenne « Inventer le monde d'après », le respect de l'environnement est au cœur des problématiques exprimées[4]).Elle pourrait s'expliquer par le coût important qu'elle engendre et l'impossibilité des Français de financer de tels travaux : parmi les travaux de rénovation énergétique, l'isolation est le chantier privilégié des Français (38% choisissent d'abord d'isoler leur logement[5]). Selon l'Ademe, le coût de tel travaux se situerait entre 2 000€ et 7 600€ HT mais ils permettraient aux Français de réaliser jusqu'à 25% d'économie sur leur facture énergétique annuelle. Pour optimiser son système de chauffage, le coût des travaux s'élève entre 4 000€ et 12 000€ HT, selon le dispositif choisi.Pour financer leurs travaux de rénovation, les Français utilisent principalement le budget qu'ils ont économisé à cet effet (50%) notamment les 50/64 ans (54%), ou alors, le budget courant de leur foyer (40%) en particulier les foyers les plus modestes (43%).Ils font également appel à d'autres modes de financement qui viennent compléter leur stratégie et leur capacité financière, comme le crédit à la consommation (17%), surtout les 18/24 ans (27%).En revanche, seuls 9% des Français déclarent faire appel aux aides financières / crédits d'impôts mis en place par l'État. Ces dispositifs « verts » sont en effet mal connus (65% des Français déclarent mal les connaître), ce qui peut expliquer la part faible des Français qui engagent des travaux de rénovation énergétique.Afin de réduire leurs factures, les Français réalisent eux-mêmes leurs travaux : une grande majorité (61%) font leurs travaux en partie eux-mêmes et seul un Français sur six (17%) confie l'ensemble de ses travaux à des professionnels.Ils privilégient également la location et l'occasion : location d'outils ou de matériels d'une enseigne commerçante (72%), l'achat d'outils ou de matériels à prix discount ou d'occasion (66%) ou encore la location d'outils ou de matériels entre particuliers (58%).Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis, déclare : « Les Français sont familiers des travaux de rénovation. Le confinement a renforcé cette tendance et, malgré la crise économique qui s'amorce, les Français maintiennent leurs envies de réaliser des travaux de rénovation. On observe que la priorité est donnée au confort et à l'agrément de leur habitat plutôt qu'à la rénovation énergétique, plus onéreuse. À juste titre, le financement pour entreprendre des travaux de grande ampleur reste une problématique majeure pour les Français alors que des financements alternatifs et des aides et crédits d'impôts existent. Chez Cofidis, nos 800 conseillers sont à l'écoute de nos clients pour les aider à réaliser leur projet et à construire la stratégie financière la plus adaptée à leur situation financière personnelle ».Pour télécharger l'infographie des résultats de l'enquête, cliquez ici[1]Source Insee – Statistique Propriétaires et Locataires. 27 février 2020[2]Selon les résultats de la 9ème édition du Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA (juin 2020)[3]Entre 2 000 et 20 000 habitants[4]Consultation citoyenne menée par un groupement d'associations. « Inventons le monde d'après ». Du 10 avril au 25 mai 2020. Consultable sur Make.org[5]Source Ademe - Observation sur les prix de la rénovation énergétique des logements. Octobre 2019.
Il y a 4 ans et 334 jours

Un tiers des Français souhaite rénover leur logement d'ici la fin de l'année

Après deux mois de confinement et alors que la crise sanitaire se poursuit, la maison est plus que jamais un refuge pour les Français qui ont envie de s'y sentir bien. Dans ce contexte, Cofidis a interrogé les Français sur la rénovation de leur logement : envisagent-ils de rénover leur logement ? quels projets de rénovation souhaitent-ils mener ? quelles sont leurs motivations ? quels sont leurs freins ? quel est leur budget ? comment envisagent-ils de financer leur projet ?Les travaux de rénovation ont la coteParmi les résultats marquants de l'étude, on remarque que les Français aiment entreprendre des travaux de rénovation : près des trois quarts d'entre eux (73%) en ont effectués ces dernières années, notamment les retraités (78%) et les propriétaires (86%) qui sont largement représentés en France (58% des Français sont propriétaires de leur résidence principale)[1].À noter que 65% des chantiers réalisés sont assez récents (moins de deux ans) et ont été effectués principalement par les personnes qui s'installent dans la vie, les moins de 35 ans (79%).54% des Français, soit près de 30 millions de personnes, ont l'intention de faire des travaux de rénovation prochainement, notamment les 25/34 ans (68%) et les CSP+ (65%) ; et un tiers (37%) d'ici la fin de l'année 2020. C'est le 2ème projet le plus populaire chez les Français après « partir en voyage »[2].Le confort de vie est la raison principale pour laquelle les Français entreprennent des travaux de rénovation,pour améliorer le confort de leur logement (52%) et éviter la vétusté (32%) :48% d'entre eux envisagent des travaux de décoration des pièces de vie (murs, sols, etc.), notamment les locataires (64%) et les personnes résidant en appartement (57%).32% planifient la réfection d'une cuisine ou d'une salle de bain, en particulier les Franciliens (41%).La rénovation énergétique passe au second planSeul un Français sur 4 (26%) prévoit des travaux de rénovation énergétique ou d'isolation thermique, principalement les habitants des petites et moyennes villes[3] (35%) et les propriétaires (29%).Seuls 24% des Français affirment vouloir entreprendre des travaux pour réduire leur facture énergétique, en particulier les personnes résidant dans une maison (28%).Le financement reste le principal freinPour les Français, la rénovation du logement rime d'abord avec budget (pour 55% des Français), loin devant l'efficacité énergétique (37%).Le budget envisagé par les Français pour leurs travaux de rénovation n'est pas neutre : 9 550€ en moyen, avec des différences importantes selon les catégories de Français : 6 400€ en moyenne pour les 18/24 ans. A savoir que plus d'un quart d'entre eux (26%) estiment leur budget à moins de 1 000€.10 050€ en moyenne pour les CSP- sachant qu'un tiers prévoient un budget de moins de 5 000€.10 200€ en moyenne pour les CSP+. On note que 21% d'entre eux déclarent un budget de 10 000€ et plus.9 480€ pour les retraités. Plus d'un quart (27%) estiment une facture supérieure à 10 000€ et plus.31% des Français affirment que le manque de budget est la raison pour laquelle ils n'envisagent pas de travaux ; un frein principalement évoqué par les CSP- (39%), dont la situation financière risque de se dégrader dans les prochains mois. En effet, selon le dernier Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA publié début juin, 54% des CSP- déclarent que leur situation financière personnelle est déjà touchée par la crise sanitaire. La somme qui leur manque pour financer leurs travaux est de 14 400€ en moyenne. Un montant qui s'élève à 16 000€ chez les retraités.Les conclusions de l'enquêteLa faible part des Français qui prévoient des travaux de rénovation énergétique ne serait dont pas liée à un désintérêt pour les enjeux environnementaux (d'après la consultation citoyenne « Inventer le monde d'après », le respect de l'environnement est au cœur des problématiques exprimées[4]).Elle pourrait s'expliquer par le coût important qu'elle engendre et l'impossibilité des Français de financer de tels travaux : parmi les travaux de rénovation énergétique, l'isolation est le chantier privilégié des Français (38% choisissent d'abord d'isoler leur logement[5]). Selon l'Ademe, le coût de tel travaux se situerait entre 2 000€ et 7 600€ HT mais ils permettraient aux Français de réaliser jusqu'à 25% d'économie sur leur facture énergétique annuelle. Pour optimiser son système de chauffage, le coût des travaux s'élève entre 4 000€ et 12 000€ HT, selon le dispositif choisi.Pour financer leurs travaux de rénovation, les Français utilisent principalement le budget qu'ils ont économisé à cet effet (50%) notamment les 50/64 ans (54%), ou alors, le budget courant de leur foyer (40%) en particulier les foyers les plus modestes (43%).Ils font également appel à d'autres modes de financement qui viennent compléter leur stratégie et leur capacité financière, comme le crédit à la consommation (17%), surtout les 18/24 ans (27%).En revanche, seuls 9% des Français déclarent faire appel aux aides financières / crédits d'impôts mis en place par l'État. Ces dispositifs « verts » sont en effet mal connus (65% des Français déclarent mal les connaître), ce qui peut expliquer la part faible des Français qui engagent des travaux de rénovation énergétique.Afin de réduire leurs factures, les Français réalisent eux-mêmes leurs travaux : une grande majorité (61%) font leurs travaux en partie eux-mêmes et seul un Français sur six (17%) confie l'ensemble de ses travaux à des professionnels.Ils privilégient également la location et l'occasion : location d'outils ou de matériels d'une enseigne commerçante (72%), l'achat d'outils ou de matériels à prix discount ou d'occasion (66%) ou encore la location d'outils ou de matériels entre particuliers (58%).Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis, déclare : « Les Français sont familiers des travaux de rénovation. Le confinement a renforcé cette tendance et, malgré la crise économique qui s'amorce, les Français maintiennent leurs envies de réaliser des travaux de rénovation. On observe que la priorité est donnée au confort et à l'agrément de leur habitat plutôt qu'à la rénovation énergétique, plus onéreuse. À juste titre, le financement pour entreprendre des travaux de grande ampleur reste une problématique majeure pour les Français alors que des financements alternatifs et des aides et crédits d'impôts existent. Chez Cofidis, nos 800 conseillers sont à l'écoute de nos clients pour les aider à réaliser leur projet et à construire la stratégie financière la plus adaptée à leur situation financière personnelle ».Pour télécharger l'infographie des résultats de l'enquête, cliquez ici[1]Source Insee – Statistique Propriétaires et Locataires. 27 février 2020[2]Selon les résultats de la 9ème édition du Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA (juin 2020)[3]Entre 2 000 et 20 000 habitants[4]Consultation citoyenne menée par un groupement d'associations. « Inventons le monde d'après ». Du 10 avril au 25 mai 2020. Consultable sur Make.org[5]Source Ademe - Observation sur les prix de la rénovation énergétique des logements. Octobre 2019.
Il y a 4 ans et 334 jours

Etat des lieux sur les ciments à base de sédiments

La norme ciment NF EN 197-1 est contraignante sur le produit final. Mais ne fournit aucune exigence sur les caractéristiques des matières premières du cru… Opération de préparation du cru dans une cimenterie. ACPresse] I – A quelles problématiques peut répondre la synthèse des ciments ? De nos jours, le niveau de production de déchets solides dans le monde est compris entre 1,3 à 2,2 Mdt/an. Ce volume devrait sans doute s’accroître en raison du développement démographique et économique mondial. Mais aussi du fait d’une surconsommation et d’une utilisation inefficiente des matériaux. En général, les déchets produits, ainsi que les émissions s’y rapportant, sont liés à des produits de la construction, aux ordures ménagères, à l’exploitation minière, aux processus agricoles, aux déchets municipaux et industriels, à la circulation maritime… Il y a donc lieu de trouver des méthodes de gestion efficaces, des techniques d’élimination appropriées. Une dose d’innovation conduisant in fine à l’utilisation de matériaux durables, telle qu’impulsée dans bon nombre de doctrines de l’Union européenne, à l’image du “Green Deal”, des programmes H2020…  Outre le problème de la gestion des déchets et du fait qu’entre 6 et 10 Mdt de bétons sont produits chaque année dans le monde, l’industrie de la construction a un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 334 jours

Une relance verte aux contours encore flous

"Notre priorité est de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire", déclarait encore le président Emmanuel Macron il y a quelques jours.Estimant qu'il fallait "créer les emplois de demain par la reconstruction écologique qui réconcilie production et climat", il a plaidé pour "un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments, des transports moins polluants, du soutien aux industries vertes".Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire répète aussi depuis des semaines que le plan de relance, prévu pour la rentrée, devra "faire de la France la première économie décarbonée d'Europe".Investissements massifs? Incitations fiscales? Contribution des territoires? Engagements contraignants? A quelle échelle de déploiement? L'exécutif s'est peu avancé sur la manière de concrétiser ses engagements."La décarbonation sera un fil rouge de toutes nos décisions même si cela nous force à faire des choix difficiles" à l'égard de certains projets ou entreprises, assure-t-on à Bercy.Moment de véritéJusqu'à présent, les plus de 460 milliards d'euros de soutien public déployés face à la crise intègrent très peu de contraintes ou de contreparties écologiques. La priorité était de sauver entreprises et emplois, se défend le gouvernement.Les aides aux secteurs aéronautique et automobile ont été teintées de vert, avec des primes à l'achat de véhicules électriques, une réduction des vols intérieurs ou des investissements dans l'avion à hydrogène.Mais on est loin du compte, ont regretté ONG et élus écologistes, quand les pouvoirs publics devraient mobiliser "seulement" 7 à 9 milliards d'euros de plus par an pour financer la transition écologique, selon l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE)."On vient de dépenser 130 milliards d'euros en trois budgets rectificatifs. Il fallait les soutiens d'urgence, mais est-ce que la place de la transition écologique était suffisante? La réponse est non, toujours pas", pointe le député Matthieu Orphelin (ex-LREM). En particulier, "il n'y a rien eu sur la modération du transport aérien à long terme"."Un moment de vérité s'ouvre à nous: on veut un virage plutôt qu'un mirage", appuie Véronique Andrieux, du WWF.Une certitude: le plan de relance devrait faire la part belle à la rénovation thermique des bâtiments. Mais d'autres plans sur le sujet lancés par le passé n'ont pas eu le succès escompté."Une priorité sera donnée aux bâtiments publics (crèches, écoles, hôpitaux, universités)" et aux Ehpad, même si les travaux sont "parfois difficiles à déclencher car l'État n'a pas toujours la main", au côté des régions et communes, indique-t-on à Bercy et à l'Écologie.Hydrogène, train, citoyensLe gouvernement compte ainsi sur le milliard d'euros accordé aux collectivités pour leurs investissements.Le recours à cette enveloppe "devra être conditionné aux investissements dans la transformation écologique et sociale, et exclure tout investissement climaticide", comme "des rocades ou des ronds-points", réclame la Fondation Hulot.Car la France, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2050, n'est pas sur cette voie. Ses émissions de gaz à effet de serre ont reculé depuis 1990, notamment dans l'industrie manufacturière, mais transports, résidentiel, agriculture restent de forts contributeurs. Et ce bilan n'inclut pas l'empreinte des importations.Le plan gouvernemental prévoit de soutenir l'hydrogène vert, technologie d'avenir pour les transports volumineux, l'industrie et le stockage d'énergie. Un appel à projet franco-allemand est dans les tuyaux, indique-t-on à Bercy, alors que les Allemands viennent d'annoncer un plan de 9 milliards.Et quid du train? Rien n'a encore été annoncé, même si le gouvernement a "des ambitions très fortes sur le ferroviaire" et compte accompagner la SNCF, assure à l'AFP la ministre de l'Écologie Elisabeth Borne.La compagnie nationale, qui a perdu 4 milliards d'euros de revenus avec la crise, risque de devoir reporter des investissements, a prévenu son président Jean-Pierre Farandou.
Il y a 4 ans et 334 jours

Covid-19 : les PME européennes seront les plus touchées par les défaillances

L’assureur-crédit français Euler Hermes a publié une étude dans laquelle il estime que la plupart des victimes de la crise sanitaire seront les petites et moyennes entreprises. Il prévoit une augmentation des défaillances des PME du secteur de la construction de 24% en Espagne, de 19% en France et aux Pays-Bas, et de 15% en Italie et au Royaume-Uni.
Il y a 4 ans et 334 jours

Le gouvernement assouplit les règles de la commande publique

Les entreprises en redressement judiciaire et qui "bénéficient d'un plan de redressement", jusqu'ici empêchées de se porter candidates à la commande publique, ne pourront plus être exclues des procédures de passation de marchés publics, prévoit notamment cette ordonnance."Les pratiques des acheteurs sont en effet diverses et il convient de sécuriser l'accès de ces entreprises en voie de redressement aux marchés publics", a justifié le gouvernement dans le compte-rendu du conseil des ministres de mercredi.Les acheteurs publics seront également désormais tenus de réserver directement ou indirectement au moins 10% de la valeur estimée de leurs marchés globaux à des petites et moyennes entreprises (PME) et à des artisans."La part que les candidats à ces marchés globaux s'engagent à confier à des PME ou à des artisans devient en outre un critère obligatoire de sélection des entreprises titulaires", affirme le gouvernement.Ces deux mesures resteront en vigueur jusqu'au 10 juillet 2021, précise le texte de l'ordonnance.Troisième évolution: lorsque le chiffre d'affaires d'une entreprise est un critère d'attribution d'un marché public, l'administration concernée "ne [tiendra] pas compte de la baisse du chiffre d'affaires intervenue au titre du ou des exercices sur lesquels s'imputent les conséquences de la crise sanitaire liée à l'épidémie de Covid-19", prévoit l'ordonnance.Cette mesure s'appliquera jusqu'à fin 2023.Par ailleurs, deux autres textes prévoyant d'autres allègements des passations des marchés publics sont actuellement examinés par le Conseil d'État, a indiqué le ministère de l'Économie à l'AFP.Le premier prévoit un relèvement temporaire à 70.000 euros du seuil nécessitant une publicité de mise en concurrence pour une commande publique, afin de faciliter la candidature des PME.Le second relève à 100.000 euros le seuil des marchés publics pour la fourniture de denrées alimentaires périssables, ceci afin de permettre aux entreprises d'écouler les stocks importants réalisés pendant le confinement, en particulier de viandes ayant dues être congelées, explique-t-on à Bercy.
Il y a 4 ans et 334 jours

Dans le Vaucluse, une charte de bonnes pratiques pour une gestion équitable des chantiers post-Covid-19

Le 22 juin, la Fédération du bâtiment et des travaux de publics du Vaucluse va signer avec la Ville d’Avignon une « Charte de bonnes pratiques pour la gestion des chantiers en situation de crise sanitaire liée à la Covid-19 ». Rédigé en concertation avec le Croa, le Cinov et les Constructeurs et Aménageurs de la FFB de Paca, le texte acte le principe d’un partage équitable des surcoûts.
Il y a 4 ans et 334 jours

Bruno Cavagné, un 3e mandat de “combat” à la FNTP

Pour son 3e mandat à la tête de la FNTP, Bruno Cavagné milite pour l’adoption de deux plans de relance. [©FNTP] Dans un contexte de crise, Bruno Cavagné, 57 ans, a été réélu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) . Ceci, pour un troisième mandat de trois ans. Ce mandat de “combat” s’ouvre dans une période de crise sanitaire et économique inédite. Bruno Cavagné milite ainsi pour l’adoption de deux plans de relance. D’abord, un plan d’urgence pour soutenir l’investissement public local. Puis, un plan de transformation au service de la transition écologique. Bruno Cavagné sera entouré d’une équipe renouvelée représentative des métiers, des territoires et des typologies d’entreprises de travaux publics. « C’est une course contre la montre » « Les administrateurs de la FNTP ont souhaité me renouveler leur confiance dans cette période, qui s’annonce très difficile pour le secteur des travaux. Et je les en remercie. Mon seul combat est aujourd’hui de surmonter la crise que nous vivons. Et pour ce faire, je plaide pour l’adoption en urgence d’un plan de soutien à l’investissement public local et d’un plan de transformation de nos infrastructures au service de la transition écologique. Le temps nous est compté et c’est une course contre la montre qui s’engage avec le gouvernement. Plus il tardera à engager ces plans, plus les dommages de la crise seront profonds dans notre secteur », estime Bruno Cavagné.  Celui-ci est toujours investi dans le groupe Giesper, à Toulouse, spécialisé dans les activités de génie civil, de canalisations, de VRD, de gros œuvre, de peinture, de recyclage, d’hôtellerie et de promotion. Homme d’échanges, Bruno Cavagné s’est impliqué dans la vie professionnelle comme dans son entreprise, depuis de longues années. Ainsi, Il est membre du bureau du Medef (Mouvement des entreprises de France), conseiller du Conseil économique, social et environnemental (Cese) au titre de la vie économique et du dialogue social. Et administrateur de BTP Banque, de la SMAvie BTP et de la Caisse nationale des entrepreneurs de travaux publics (CNETP). Il est aussi vice-président de la SGAM BTP, vice-président du Conseil d’orientation des infrastructures.
Il y a 4 ans et 334 jours

Risque plomb : L’OPPBTP et GESTES réalisent un recueil de solutions

Afin de répondre à la demande exprimée par des entreprises confrontées au risque plomb, l’OPPBTP et le Groupement des Entrepreneurs Spécialisés dans le Traitement et l'Embellissement des Surfaces (GESTES) ont réalisé un kit de documents utiles pour les travaux de peinture en présence de plomb dans les cages d’escaliers en sites occupés. Ces outils pratiques ont pour but d’aider les entreprises à préparer une intervention en toute sécurité et à communiquer avec les maîtres d’ouvrage et occupants des bâtiments avant et pendant les travaux
Il y a 4 ans et 334 jours

Kadoor de Thirard, l'ouvre porte au pied qui facilite le quotidien après le Covid-19

Créé par l'agence LS Design et fabriquée par Thirard, Kadoor est une solution très pratique au quotidien et (presque) sans contact pour tous les professionnels en milieu hospitalier, industries, entreprises, lieux publics et particuliers.Kadoor, où comment ouvrir et fermer facilement les portes avec le pied !Kadoor a été pensé pour rendre l'ouverture des portes accessible à tous. En complément d'une poignée classique, l'ouverture au pied est rendue possible grâce à une béquille installée en bas de la porte. Poignées haute et béquilles basses sont reliées par un câble (ou une tige métallique fine) placé le long de l'ouvrant.En appuyant sur la béquille basse - la pédale - avec un pied, la poignée haute s'actionne. Le système de câble et de biellettes Kadoor entraine la rotation du carré et le retrait du pêne ½ tour. La serrure est ouverte, la porte est libérée. Elle peut donc être ouverte puis refermée en la tirant ou la poussant avec le pied. Des caoutchoucs placés sur les béquilles basses facilitent encore les mouvements exercés sur la porte avec le pied.Kadoor est un dispositif discret et très simple à installer. En seulement quelques minutes, toute porte intérieure devient plus accessible. Pour ouvrir les portes, c'est vraiment le pied !Kadoor libère vos mouvements !Kadoor est ingénieux ! Il permet l'accessibilité à toutes les personnes se déplaçant les mains prises par des colis, des documents ou même des cafés… Ce système apporte également une solution pour certaines personnes ayant un handicap en leur permettant de gagner en autonomie.Cet ouvre porte est aussi un accessoire « propre » puisqu'il évite tout contact avec les mains. Il sera donc très utile dans un environnement industriel, des cuisines ou des ateliers, où l'on est souvent amené à avoir les mains sales.Permettant une ouverture des portes sans contact, Kadoor devient par extension une réponse évidente et indispensable aux problématiques de sécurité sanitaire actuelle. Une solution plus hygiénique que l'ouverture des portes avec les mains !Kadoor, c'est la simplicité et la sécurité au service de tous !Pensé par LS Design, fabriqué par Thirard, Kadoor réinvente l'ouverture de porte pour améliorer le bien-être de tous vos collaborateurs quel que soit le secteur : médical, industrie, entreprises de service, artisanat, salons de coiffure, restaurants… ou même particuliers en recherche de solutions astucieuses pour leur garage, Kadoor permet d'ouvrir la majorité des portes intérieures tout en assurant une utilisation saine et accessible au plus grand nombre !Le nouveau Kit main libre Kadoor MK1 (garniture sur rosace) est disponible dès juillet 2020 au prix public de 49.76 euros TTC
Il y a 4 ans et 334 jours

ISOcomble s'adapte en cette période délicate

En adaptant parfaitement ses méthodes selon les exigences actuelles dues au contexte sanitaire, toutes les agences ont pu reprendre leur activité depuis mi-avril pour le côté technique, et le 11 mai pour l'activité globale. Zoom sur l'accompagnement du réseau en cette situation délicate et sur cette dynamique reprise.Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics).Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Économie d'Énergie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 4 ans et 335 jours

Les solutions créatives de sols textiles Balsan à la portée de tous avec BIMobject

Audrey Chanvril, Responsable Prescription chez Balsan, fabricant de sols textiles, livre sa vision sur l’engagement BIM du groupe. Le groupe Balsan en quelques mots Balsan est un fabricant français de sols textiles en lés et dalles avec des usines au cœur du Berry dans l’Indre, près de Châteauroux. Balsan, fondé en 1751, est le spécialiste français des revêtements de sol textiles et fabrique des moquettes en dalles et en rouleaux pour différents marchés tels que les espaces tertiaires et commerciaux, les hôtels et restaurants, les cinémas, sans oublier l’activité résidentielle. En tant que prescriptrice, j’apporte des solutions créatives et décoratives à nos promoteurs, architectes, aménageurs et bureaux d’études parisiens, grâce à une large gamme de produits et de coloris. Balsan compte 220 employés dont la majorité se situe en France – entre les personnels de production, administratifs et les équipes commerciales. Je n’oublie pas mes collègues à l’étranger générant près de 45% du Chiffre d’affaires. Les produits Balsan ont des domaines d’application divers à la fois sur des réalisations en neuf ou en rénovation pour des logements collectifs et tertiaires. Nos clients sont la maîtrise d’ouvrage publique, privée, la maîtrise d’œuvre, les entreprises générales, les entreprises de pose et le réseau de distributeurs professionnels. Produits BIM Balsan sur BIMobject Pourquoi Balsan s’est-il lancé dans une démarche BIM ? Balsan est activement engagé dans la démarche BIM depuis 2019. Nos motivations sont nombreuses. Tout d’abord, le BIM est un outil de travail d’avenir dans lequel Balsan croit très fortement. Nous souhaitons offrir à nos clients prescripteurs la possibilité de travailler leurs projets en amont avec nos produits, facilitant ainsi leur intégration dans leurs projets. Le BIM est la parfaite expression de l’évolution des métiers de la conception et de la construction et nous voulons y être associés. En plus d’apporter des solutions techniques et décoratives, nos produits sont désignés et fabriqués en France, et nous savons combien nos clients y sont sensibles. L’organisation Balsan par sa force de vente, son service clients et ses usines, est taillée pour répondre aussi bien aux prescripteurs qu’aux entreprises et assurer le bon suivi des projets conséquents. Quels sont les défis liés au BIM auxquels vous devez faire face ? La création et la mise à jour des objets BIM sont très consommatrices de temps et il a fallu mettre en place les ressources nécessaires pour y parvenir. Heureusement, nous avions déjà beaucoup d’éléments suite à la refonte récente de notre site internet pour lequel beaucoup d’éléments avaient été regroupés. Notre service Marketing s’est montré très réactif. En externe, notre défi est de faire connaître à nos clients cette nouvelle possibilité d’intégrer nos produits dans leurs projets et nous devons redoubler nos efforts de communication pour les informer et les accompagner. Quelles sont vos motivations de disposer d’objets BIM ? Balsan a de tout temps été précurseur dans son domaine et nous pensons qu’il est important de bien suivre les évolutions des marchés et des méthodes de travail. La révolution numérique ne s’arrête pas en marche et le monde du bâtiment prend un nouveau virage avec l’arrivée du BIM. Donner les bons produits et outils à nos clients et prescripteurs pour travailler est une de nos priorités. Les objets BIM permettent d’intégrer tous les aspects de nos références, à la fois déco, techniques qu’environnementaux. Nous cherchons à faciliter la vie de nos clients en leur apportant les bonnes réponses. De plus, les objets BIM permettent des mises à jour rapides. Il est clair que rapidité et optimisation des process permettront de générer des économies pour tous. Après avoir étudié les différentes possibilités s’offrant à nous, BIMobject nous est paru comme étant le portail le plus utilisé et adapté à nos clients et à notre couverture géographique. Prduits de revêtements de sols Balsan sur BIMobject La collaboration entre Balsan et BIMobject nous donne satisfaction. Les échanges sont fluides et les collaborateurs de BIMobject disponibles. La notoriété du portail est appréciable ainsi que les délais de développement et la qualité des objets. Votre entreprise a-t-elle retiré des bénéfices avec le BIM ? Même s’il est un peu tôt pour répondre à cette question, je pense que cela nous permettra de mieux faire connaître nos produits et de nous intégrer sur un plus large panel de projets. Pourquoi participez-vous au salon BIM World avec BIMobject cette année ? Encore tout récent sur la plateforme BIMobject, participer au salon BIM World cette année nous offrira l’occasion de communiquer sur notre présence. Il sera également intéressant d’avoir un retour direct de nos prescripteurs afin d’apporter les compléments ou améliorations nécessaires. Showroom parisien Visitez le site Balsan pour connaitre tout l’univers et les collections de ce fabricant de sols textiles. Parcourez les 36 familles de produits Balsan disponibles sur la plateforme BIMobject.
Il y a 4 ans et 335 jours

Élection de Cécile Mazaud à la présidence de Foncière Logement

À l'issu du Conseil d'administration, Cécile MAZAUD a déclaré : « Fière de poursuivre les actions engagées au service des entreprises, des salariés et des territoires, je sais l'importance de la mission qui m'attend pour faire perdurer les valeurs de Foncière Logement. Mon engagement en matière d'insertion et de logement se concrétise plus encore. »Cécile Mazaud est présidente de la société Mazaud, entreprise générale de bâtiment, basée à Villeurbanne. Depuis 2019, elle préside la Chambre de maçonnerie et béton armé de la fédération BTP Rhône et métropole. Elle est co-présidente du Comité Territorial Insertion Emploi de Villeurbanne. Au sein du Medef, elle est membre du COMEX 40 et co-dirige un groupe de travail sur le thème de la démocratie.
Il y a 4 ans et 335 jours

L’avenir des Champs-Elysées

L’idée de végétaliser l’avenue des Champs-Elysées est celle qui émerge le plus fortement. [©PCA-Stream] Pendant la période de confinement, alors que les espaces culturels étaient fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public ayant été invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive était aussi participative. Parents et enfants pouvaient, depuis leur canapé, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. Plus de 2 000 propositions et 450 000 votes Le Comité Champs-Elysées et Make.org dévoilent aujourd’hui les résultats de cette consultation citoyenne. Cette dernière s’est déroulée du 14 février au 4 juin 2020. Soit avant, pendant et après le confinement. Et peut se lire en filigrane comme une synthèse des attentes des Franciliens pour “la ville d’après”. Avec près de 100 000 participants, il s’agit de la plus vaste consultation jamais réalisée dans le cadre d’un projet de réaménagement urbain. Les citoyens étaient invités à répondre à une question simple : “Qu’aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Elysées ?” Parmi les 2 000 propositions, 6 grandes idées ont été plébiscitées. Les 6 idées par ordre d’importance Idée 1 – Végétaliser l’avenue est le concept, qui émerge le plus. Il s’agit de “verdir” l’artère, avec des plantations d’arbres, arbustes ou l’installation de parcs.  Idée 2 – Créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu’à l’arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons (notamment de la place de la Concorde). Idée 3 – Le meilleur partage de l’espace public entre les différentes mobilités apparaît comme une priorité pour les citoyens.  Idée 4 – Les citoyens plébiscitent la promotion d’une offre de commerce plus authentique et plus française. Valorisant davantage le savoir-faire, la gastronomie et l’art de vivre français. Ceci, plutôt que des grandes chaînes internationales perçues comme aseptisées et peu différenciantes.  Idée 5 – Préserver ou revaloriser les éléments patrimoniaux de l’avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques.  Idée 6 – Enfin, les citoyens plaident pour préserver la sécurité et la tranquillité de l’avenue. D’une part, en intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées. D’autre part, en renforçant les efforts en matière de propreté. M. C.
Il y a 4 ans et 335 jours

Malgré le report, contre-la-montre à Dubaï pour finir le chantier de l'Expo universelle

Dubaï a investi 8,2 milliards de dollars pour assurer le succès, durant six mois, de l'exposition universelle présentée comme le plus grand événement jamais organisé dans un pays arabe. Voulue comme un moyen de stimuler l'attractivité de la ville, l'exposition affiche déjà son logo partout dans l'émirat.Aussi, malgré le report à octobre 2021, Dubaï semble vouloir mettre un point d'honneur à livrer dans les délais les principales infrastructures dédiée à l'événement.Pourtant, les organisateurs font eux-mêmes face à des vents contraires, comme l'apparition de cas d'infections au nouveau coronavirus sur des chantiers."Le Covid-19 a affecté bien sûr la logistique et les processus de livraison de certains travaux", reconnaît auprès de l'AFP Ahmed al-Khatib, responsable du développement et des livraisons.Mais ceux-ci "se poursuivent et certains pavillons ont atteint un stade final. 2020 est l'année de livraison", insiste-t-il.25 millions de visiteurs ?Sur le site de 4,5 km2, les pavillons ont commencé à prendre forme. Celui des Emirats arabes unis, en forme de faucon volant, est en voie d'achèvement. Le pavillon adjacent de l'Arabie saoudite ressemble maintenant à une immense fenêtre à ciel ouvert.Sous le thème "connecter les esprits, créer le futur", l'Expo, qui visait les 25 millions de visiteurs, verra la participation de 192 pays, dont Israël, qui n'a pourtant pas de relations avec les Émirats arabes unis.Servi par une importante campagne de promotion avec des vedettes comme le footballeur Lionel Messi, l'événement avait vocation à servir de planche d'appel pour les secteurs de l'immobilier, du tourisme et du commerce, atones ces dernières années.Mais la situation a au contraire été aggravée par le ralentissement de l'économie mondiale provoqué par le Covid-19.Manal AlBayat, chargée de mission à l'Expo 2020 Dubai, veut rester optimiste: le report n'a pas eu d'impact sur "l'engagement à réaliser une exposition qui inspire le monde", assure-t-elle."Fort malheureusement, un certain nombre d'employés vont nous quitter. La décision a été très difficile à prendre", ajoute la responsable, en allusion à une vague de licenciements parmi le personnel de l'Expo 2020 Dubai car les budgets ne seront pas augmentés à la suite du report, approuvé en mai par le Bureau international des Expositions (BIE) basé à Paris.InfectionsSur les chantiers, dans le sud de Dubaï, le Covid-19 n'a pas épargné un certain nombre d'employés et les Emirats arabes unis annoncent encore des centaines de nouvelles infections chaque jour.Mais des tunnels ont été creusés, des routes pavées, un système de sonorisation et des antennes 5G installés. Et les manguiers et oliviers plantés continuent eux aussi de pousser sous un soleil brûlant.Parmi les mesures de précaution prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie figure la création de centres de tests sur le site et le lancement d'une campagne de sensibilisation, selon Mme AlBayat.Là encore, si elle reconnaît "quelques cas positifs" au sein des ouvriers et parmi le personnel de l'Expo, aucun chiffre ne filtre. Toute personne infectée n'est acceptée sur le site qu'une fois totalement rétablie, enchaîne-t-elle.Plus de la moitié des cas de coronavirus enregistrés dans les six pays arabes du Golfe, qui dépassent aujourd'hui les 355.000, concernent des travailleurs étrangers, lesquels vivent souvent dans des conditions d'exiguïté.Pour contenir la pandémie, Dubaï s'est fermée en mars mais veut rouvrir ses portes avant le début de la saison touristique en septembre. L'an dernier, l'émirat avait accueilli 16,7 millions de visiteurs et visait les 20 millions en 2020.Dans le "monde d'après", Dubaï devra-t-il revoir à la baisse ses objectifs de fréquentation pour son exposition universelle?"Nous travaillerons pour atteindre la meilleure fréquentation possible. (...) Un an de report signifie plus de marge de manoeuvre pour améliorer les choses", veut croire Ahmed al-Khatib.
Il y a 4 ans et 335 jours

Photovoltaïque : des panneaux plus puissants et toujours moins coûteux

L’amélioration des panneaux photovoltaïques se poursuit. La génération 2020 dépasse 500 Wc, peut être posée sur les pentes Nord des toitures et les prix baissent encore.
Il y a 4 ans et 335 jours

La pierre dans tous ses états - Livre

Après le béton, la brique et le bois, les éditions Phaidon ont choisi d’explorer la pierre en portant un regard nouveau sur la beauté, la diversité et la polyvalence de ses architectures. D’une grande richesse visuelle, l’ouvrage montre la fascination qu’exerce ce matériau incontournable à travers 170 réalisations des […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 335 jours

Plus de verdure, de piétons et de commerces de proximité pour les Champs-Élysées

Au total, 96.702 personnes (Parisiens, Franciliens ou autres) ont participé à cette consultation citoyenne lancée du 14 février au 4 juin, à l'initiative du Comité des Champs-Élysées, structure qui regroupe tous les grands acteurs de l'avenue.Les participants, invités à répondre à la question "Qu'aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Élysées ?", ont formulé "plus de 2.000 propositions", et produit "450.000 votes", qui ont permis de faire remonter "huit idées prioritaires", note le Comité des Champs-Élysées, qui y voit "une synthèse des attentes des Franciliens pour +la ville d'après+".Parmi ces idées prioritaires, les participants ont d'abord plébiscité l'idée de verdir l'avenue avec des plantations d'arbres et arbustes ou l'installation de parcs, mais aussi de développer la pleine terre et les sols poreux afin de favoriser l'écoulement des eaux et la constitution d'îlots de fraîcheur.Ils réclament ensuite de "créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu'à l'Arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons, en multipliant les points d'eau, les toilettes publiques, les bancs et les endroits pour faire une halte gratuite".Ils souhaitent également un "meilleur partage de l'espace public entre les différentes mobilités", avec le développement des vélos mais "sur des pistes délimitées et bien séparées des automobiles et des espaces piétons (idem pour les trottinettes)", et "une réduction de l'espace réservée à l'automobile", sans pour autant souhaiter une piétonnisation intégrale des Champs-Élysées.Autres propositions plébiscitées, la présence sur l'avenue de commerces de proximité et valorisant "le savoir-faire, la gastronomie et l'art de vivre français plutôt que des grandes chaînes internationales", la valorisation et la préservation "des éléments patrimoniaux de l'avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques", et le maintien des sites historiques de culture (musées, cinémas et théâtres).Enfin, les participants à l'enquête plaident pour "la sécurité et la tranquillité de l'avenue", en "intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées", et "en renforçant les efforts en matière de propreté".Les conclusions de la consultation seront remises à l'ensemble des candidats à l'élection municipale.Cette consultation citoyenne accompagnait l'exposition "Champs-Élysées histoire & perspectives", présentant un projet de réaménagement urbain de l'avenue par l'architecte Philippe Chiambaretta, prolongée exceptionnellement jusqu'au 6 septembre à cause de l'épidémie de coronavirus.
Il y a 4 ans et 335 jours

La nouvelle aide MaPrimeRénov pour la rénovation des logements peine à convaincre

"Depuis janvier 2020, 47.775 dossiers ont été déposés et les premières aides ont été versées pour les travaux terminés", a annoncé dans un communiqué l'Agence nationale de l'habitat (Anah), qui dépend du ministère du Logement.Cette prime a été instaurée cette année afin de remplacer le précédent système de crédit d'impôt. L'idée est de rendre l'aide beaucoup plus attirante en permettant aux ménages de vite récupérer de l'argent au lieu d'attendre des mois après la réalisation des travaux.Mais les chiffres de l'Anah témoignent d'un rythme nettement inférieur aux attentes du gouvernement qui souhaitait, en début d'année, que 200.000 primes soient attribuées en 2020.Entretemps, la crise du coronavirus est arrivée, d'abord sanitaire puis économique face à l'arrêt ou au ralentissement contraint de multiples activités à la suite de strictes mesures de confinement."Malgré la crise sanitaire, l'Anah constate un dynamisme continu sur l'ensemble de ses programmes", y compris hors de MaPrimeRénov', a nuancé l'agence.Elle "a réussi à maintenir près de 70% d'activité en moyenne dans l'instruction et le traitement des dossiers".Certains observateurs ont, de fait, lié le difficile démarrage de Maprimerenov' à d'autres facteurs que la crise sanitaire."Il semble que l'objectif initial de primes à accorder (200.000) ne puisse être atteint en raison des effets de la crise sanitaire et peut-être aussi de la grande complexité de ce dispositif", avançait fin mai un rapport de la commission des Finances de l'Assemblée nationale.Le montant de l'aide dépend en effet de plusieurs variables, entre les travaux envisagés et le niveau des revenus du ménage qui la demande.Le rapport parlementaire faisait par ailleurs état d'objectifs désormais moins ambitieux de la part de l'Anah, qui prévoit d'octroyer entre 104.700 et 135.600 primes cette année.La rénovation des bâtiments reste un objectif particulièrement mis en avant au plus haut niveau de l'État. Dimanche, le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé qu'elle ferait l'objet d'un plan dédié dans le cadre de ses projets de relance d'après-crise.
Il y a 4 ans et 335 jours

«Si les projets ne sont pas lancés, il n’y aura plus d’entreprises pour réaliser les travaux», Marie-Ange Gay-Ramos, présidente de la FFB Nouvelle-Aquitaine

Marie-Ange Gay-Ramos a été élue le 9 juin dernier à l’unanimité à la tête de la FFB Nouvelle-Aquitaine pour remplacer Olivier Salleron, nouveau président national. Présidente de la FFB Gironde depuis novembre 2015, elle est à la tête de l’entreprise d’électricité Etrelec, qui compte 15 salariés.
Il y a 4 ans et 335 jours

Soprema conçoit un nouvel outil digital pour le particulier

CALCULATEUR DIGITAL. Le spécialiste de l'étanchéité et de l'isolation, Soprema, s'adresse depuis plusieurs années aux particuliers. Dans cet objectif, il leur propose un tout nouvel outil digital.
Il y a 4 ans et 335 jours

«Le bâtiment peut être un amortisseur du chômage», Frédéric Carré, nouveau président de la FFB Occitanie

Nouveau président de FFB Occitanie, il vient d’être élu pour 3 ans, Frédéric Carré — dirigeant du groupe Carré spécialisé en métallerie et en menuiserie aluminium — tire les premières leçons de la crise sanitairs en tant que responsable régional de la fédération.
Il y a 4 ans et 335 jours

La rénovation thermique des logements, le miracle économique douteux de l'État

"Un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments": c'est la promesse faite dimanche par le chef de l'État, Emmanuel Macron, dessinant les premiers axes d'un projet de relance pour sortir de la crise du coronavirus.L'idée est ancienne. Cela fait plus d'une décennie que s'enchaînent les plans en faveur d'une rénovation à grande échelle des bâtiments, notamment les logements, pour mieux les isoler et donc dépenser moins d'énergie.Début 2018, l'actuel gouvernement promettait déjà d'arriver à rénover 500.000 logements par an. Les derniers chiffres en date, fournis à l'AFP par le ministère du Logement, s'en rapprochent avec 380.000 rénovations dans les logements privés et 100.000 dans les HLM, en moyenne sur les dernières années.Cette politique s'inscrit dans un discours partagé bien au-delà de l'actuelle majorité, notamment chez les écologistes: la rénovation énergétique des logements serait une panacée qui permet à la fois de protéger l'environnement et de faire gagner de l'argent aux Français, en diminuant les factures de gaz et d'électricité.Ces dernières semaines, un autre argument a gagné de l'ampleur. La rénovation des bâtiments va créer "des centaines de milliers d'emplois", selon Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique, un argument crucial à l'entame d'une crise économique à l'ampleur sans précédent.Mais "le risque, c'est qu'on crée de la mauvaise rénovation énergétique par des emplois très peu qualifiés", prévient auprès de l'AFP l'économiste Matthieu Glachant, qui a travaillé sur l'évaluation des politiques publiques de rénovation des bâtiments."L'enjeu, c'est d'améliorer la qualité", insiste-t-il. "Et si on se met à faire de la relance là dessus, j'ai peur que ça rate un petit peu. Car ce que fait la relance, c'est améliorer la quantité."M. Glachant est enclin au scepticisme car il a évalué, à partir de données observées entre 2000 et 2013, les économies vraiment réalisées par les particuliers sur leur facture après des travaux de rénovation énergétique.La réalité est très décevante par rapport aux modèles promus par les pouvoirs publics. Une dépense d'un millier d'euros se traduit en moyenne par une économie annuelle de moins de 10 euros. Autrement dit, il faut plus d'un siècle pour rentabiliser son investissement.Politique injusteCes données remettent en cause le bien-fondé du système français d'incitations. Il est largement basé sur le principe d'une subvention octroyée en fonction des travaux réalisés et non des résultats observés ensuite."Les subventions, ça déresponsabilise les gens sur les résultats des travaux: moins il y a de reste à charge, moins vous faites des efforts pour trouver un bon artisan", avance M. Glachant.Ces résultats décevants ne sont par ailleurs pas spécifiques à la France. Aux Etats-Unis, aussi, plusieurs études montrent d'importants écarts entre prévisions et factures.Comment expliquer un décalage aussi systématique ? Les économistes interrogés par l'AFP avancent que les modélisations rendent difficilement compte des situations très variables selon les logements."Il peut y avoir aussi un effet rebond: vous allez augmenter le thermostat parce que ça coûte moins cher" après les travaux d'isolation, remarque Stefan Ambec, spécialiste de l'économie de l'environnement.L'inefficacité économique des subventions n'est en outre pas leur seul problème. Elles posent aussi un souci d'équité sociale car, en s'adressant aux propriétaires, elles gonflent le portefeuille de ménages généralement plus aisés."C'est le problème de la régressivité de cette politique: on fait des transferts de pauvres à riches", souligne M. Ambec, par ailleurs sceptique sur les ambitions du gouvernement en matière de créations d'emplois.Certes, l'exécutif a récemment exclu les ménages les plus aisés de l'actuelle prime, dite MaPrimeRenov'. Mais cela revient aussi à réduire la portée de cette aide, alors même qu'il se dit plus ambitieux que jamais en matière d'environnement."Il y a un arbitrage entre efficacité - combien de logements on va rénover - et équité", admet M. Ambec qui, comme de nombreux économistes, favorise plutôt une politique de taxation des dépenses d'énergie pour inciter à des travaux efficaces.
Il y a 4 ans et 335 jours

"Nous voulons être encore plus proches de nos utilisateurs", Fabemi

INTERVIEW. Fabemi, spécialiste des produits en béton, annonce un changement de stratégie de marque dont l'objectif est de capitaliser sur la force du groupe. Jérôme De Mauroy, directeur marketing et communication nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 335 jours

La CPME demande l'abandon des protocoles sanitaires en entreprise après le 10 juillet

Au moment où le gouvernement a décidé d'alléger les consignes sanitaires dans les écoles, "il serait incohérent de maintenir le protocole national de déconfinement et les guides métiers de bonnes pratiques sanitaires, au-delà de la fin de l'état d'urgence sanitaire", indique l'organisation dans un communiqué.Les mesures imposées aux entreprises, comme la fourniture d'équipements de sécurité (masque, gel, etc.) aux salariés ou les consignes de distanciation sociale "représentent des coûts importants qui minent la productivité et freinent la reprise d'activité", justifie la CPME."Il est maintenant impératif de tenir compte de la situation réelle et de déconfiner totalement les entreprises en imposant le seul respect des gestes barrières. Quitte à réinstaurer les mesures qui s'imposent en cas de reprise de la pandémie", ajoute-t-elle.
Il y a 4 ans et 335 jours

Du 15 juin au 31 juillet, sécurisez vos locaux professionnels grâce à l’offre exceptionnelle du réseau d’expert en sécurité Proxeo !

Cabinet, étude, commerce… votre local professionnel représente beaucoup à vos yeux et mérite d’être sécurisé contre toute forme d’intrusion. Pour envisager des absences en toute sérénité pendant l’été, le réseau d’experts en sécurité Proxeo lance sa « Promotion jamais vue », avec du 15 juin au 31 juillet 2020 inclus, deux caméras offertes pour un système d’alarme Daitem acheté, d’une valeur supérieure ou égale à 3000 € HT[1]. Couplées à l’application e-Daitem, les caméras apportent un réel complément au système d’alarme, permettant d’enregistrer les séquences vidéo et de les recevoir automatiquement en cas d’incident. En cas d’intrusion avérée, la levée de doute vidéo permet aux opérateurs de notre service de télésurveillance actif 7j/7 et 24h/24, de gagner en efficacité et de demander, le cas échéant, aux forces de l’ordre d’intervenir. Pour plus de sécurité, les séquences vidéo sont enregistrées sur les propres serveurs sécurisée de Daitem. Un système d’alarme Daitem, c’est le choix d’un matériel certifié, conçu, fabriqué et assemblé en France, en Isère. Les produits de la gamme e-Sens ont obtenu le label Origine France Garantie délivré par le bureau Veritas Certification. Les systèmes d’alarmes Daitem sont conformes aux dispositions des directives européennes et certifiés NF&A2P 2 boucliers, certification délivrée conjointement par l’AFNOR et le CNPP, garantissant un niveau de fiabilité maximale. Enfin, les produits Daitem sont garantis 5 ans, respectant les normes industrielles les plus rigoureuses, avec un contrôle de chacun de ses composants à 100%. Pour sécuriser votre local professionnel, faites appel à un expert de la sécurité Proxeo ! Proxeo, c’est le premier réseau français de distribution et d’installation de systèmes d’alarmes, avec plus de 200 agences à votre service sur tout le territoire. Expert en sécurité depuis 40 ans, le réseau a été réalisé plus d’un million d’installations de systèmes de sécurité à travers l’Europe. Votre agent Proxeo est à votre écoute pour vous proposer une prestation de qualité et des produits certifiés. Il réalise un diagnostic précis de vos besoins spécifiques et vous transmet un devis détaillé, gratuit et sans engagement. Proxeo, c’est aussi la garantie d’un service après-vente rapide, et le service d’un expert pour l’entretien et l’évolution de votre système de sécurité. Détails de la promotion  Un système d’alarme Daitem acheté, deux caméras offertes. Pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 3000 € HT ou 1 caméra et/ou détecteur de mouvement images offerts pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 2000 € HT, voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo. Les montants s’entendent hors pose. [1] Pour l’achat d’un système d’alarme Daitem supérieur ou égale à 3000 euros HT (matériel hors pose), voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo.
Il y a 4 ans et 335 jours

Bétontherm : Un béton isolant et structurel, en sac

Le béton thermique Bétontherm et désormais disponible en version sac. [©Granulex] Entité de Granulats Expansés de la Mayenne (Gem), la marque Granulex est spécialisée dans la fabrication de granulats d’ardoise expansée. Associés au béton, ces derniers permettent de réaliser des matériaux légers et isolants. En plus de cela, Granulex a mis au point Bétontherm, une gamme de bétons thermiques, désormais proposé en sac. « Ce produit a été développé en partenariat avec l’industriel Route Service Industrie, spécialiste des bétons spéciaux et haute performance en sac », explique Vincent Gallizia, directeur commercial de Granulex. La marque s’occupe de fournir la partie “granulats légers”. De son côté, RSI réalise le prémix “liant”. « Tous les ciments peuvent être retenus. Le prémix fonctionne en CEM III, mais les producteurs de BPE retiennent plutôt des formules en CEM I. Et ce, pour tout ce qui est tests au feu, performances thermiques et pour les autres paramètres techniques. Dans tous les cas, les deux formules ont été testées. » Les deux composants sont ensuite mélangés par RSI et ne nécessitent que le rajout d’eau chez le client. « Nous sommes à la disposition de chaque BPE pour mettre en place le Bétontherm chez eux, en les assistant au niveau de la formulation, du commercial. Et même jusqu’au calcul thermique pour développer des solutions avec leurs clients. » Une façon de mettre à disposition une formule standard avec une densité de granulats d’ardoise expansée associée. Et d’envisager toutes les options de développement possibles, selon la demande. Bétontherm est disponible sur l’ensemble du territoire et les pays limitrophes à la France.
Il y a 4 ans et 335 jours

L'AMF alerte sur l'augmentation des arnaques liées aux investissement dans les parkings

L'AMF indique avoir reçu "de nombreux signalements" de personnes ayant été escroquées et ayant versé de fortes sommes d'argent pour investir dans des places de parking, notamment "d'aéroports européens", en échange de la promesse fallacieuse d'un rendement élevé."Il n'y a en réalité aucune acquisition ni location de parkings derrière ces offres frauduleuses", affirme le gendarme boursier dans un communiqué.A chaque fois, la méthode utilisée est la même: les victimes sont démarchées par "téléphone ou mail", avant d'être redirigées vers une plateforme en ligne et de signer un faux contrat de location.Ces sites "usurpent les noms d'acteurs financiers ou de groupes cotés en bourse du secteur de la construction pour rendre leur offres plus crédibles", précise l'AMF.L'autorité cite l'exemple d'un retraité ayant perdu "ses économies" après avoir succombé à une offre venant soit-disant d'un "directeur d'une société immobilière ayant son siège en Allemagne" et envoyé 50.000 euros avec l'espoir d'un rendement de 4,5% sur un an.Elle appelle de nouveau à la vigilance sur "les informations données par les sociétés que cela soit à l'oral ou à l'écrit" et rappelle que ce n'est pas parce qu'une société n'a pas fait l'objet d'une mise en garde de la part de l'AMF qu'elle est autorisée à fournir des services financiers.Les publicités sur les réseaux sociaux sont particulièrement "les terrains de prédilection des escrocs pour hameçonner leurs futures victimes", souligne le régulateur.Le gendarme français des marchés n'a eu de cesse de mettre en garde ces derniers temps contre les nouvelles arnaques dans le vin, l'or et les cheptels de vaches.Parmi les autres placements particulièrement incriminés figurent ceux en diamant, cannabis, terres rares, cryptoactifs, grands crus ou devises internationales ("forex").Et avec la crise du coronavirus, l'AMF a récemment tiré la sonnette d'alarme devant des sites proposant d'investir dans la chloroquine, le whisky, ceux promettent un crédit en moins de 3 jours sans aucune condition ou de fausses cagnottes en ligne.Depuis le début de l'année, plus de 200 sites ou entités frauduleux sont venus gonfler les listes noires publiées sur le site Assurance Banque Épargne Info Service (ABEIS).
Il y a 4 ans et 335 jours

Le gouvernement propose au BTP des mesures pour alléger les coûts liés à la crise

Après avoir lancé un cri d’alarme collectif, le secteur du BTP a pris connaissance des mesures de soutien annoncées par le gouvernement dont certaines inédites. Mais insuffisantes selon la FFB.
Il y a 4 ans et 335 jours

En avril 2020, le BTP européen a atteint son plus bas niveau depuis 1995

CONJONCTURE. A l'échelle de la Zone euro, le niveau de production du secteur de la construction a perdu 14,6% en avril 2020 comparé au mois précédent. Sur un an, la chute est même de 28,4%. Les statistiques européennes montrent en outre que la France occupe, une fois de plus, la première place des pertes d'activité.