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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 5 ans et 143 jours

LAN Architecture : Quartier de Semi-liberté et services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine

La conception d’une prison n’est jamais chose facile. Plus qu’un simple ouvrage architectural, « c’est avant tout une question sociologique et politique », précisent les architectes de LAN, en charge de la construction d’un bâtiment à double usage : un quartier de Semi-liberté et les services pénitentiaires d'insertion des Hauts-de-Seine. Focus sur un ensemble aux multiples problématiques gérées avec brio. L’univers carcéral est un monde bien complexe pensé, bien souvent, en dehors de tout tissus urbain. Entre décentralisation et murs d’enceinte, tout est mis en œuvre pour exclure les prisons de la vie citoyenne. Les architectes de l’agence parisienne LAN partent alors de ce constat pour inscrire leur projet dans le 21ème siècle, avec les questions sociétales qui accompagne notre époque. Un seul mot d’ordre ici : « l’ambition d’estomper le sentiment d’hétérotopie entre la ville et l’enclos du pénitencier ». La première caractéristique de ce projet réside dans un regroupement inédit de deux programmes bien distincts rassemblés dans un ensemble en forme de L. Alors que le siège des services pénitentiaires d’insertion et de probation des Hauts-de-Seine (SPIP), installé dans le front bâti, permet de garantir un suivi des détenus, le quartier de semi-liberté (QSL), développé en cœur d’îlot, assure à des condamnés de jouir d’un régime particulier leur permettant de quitter la prison dans le but de s’investir dans un projet de réinsertion, prévenant ainsi les risques de récidive et facilitant leur sortie finale. Le projet s’inscrit dans une zone urbaine dense où cohabitent logements pavillonnaires, grands ensembles et bâtiments industriels. Depuis la rue, la construction apparaît comme un grand monolithe en acier corten à l’angle de deux rues, percé en façade Sud par l’entrée du Quartier de semi-liberté. Un espace de transition reliant intérieur et extérieur est quant à lui surplombé d’une structure en porte-à-faux. Le Quartier de semi-liberté s’illustre aussi par un playground coloré et un jardin planté visible des cellules et accessibles via le rez-de-chaussée. Placées à ce niveau, les salles communes – réfectoire, salle de musculation, médiathèque et laverie – s’ouvrent sur la promenade. Une conception neuve du milieu carcéral qui ouvre de nouvelles perspectives bienvenues. Pour en savoir plus, visitez le site de LAN architecture Photographies : Cyrille Weiner Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 143 jours

StudioLada : Office de tourisme

Le collectif nancéien StudioLada imagine un office de tourisme tout de rose vêtu pour la commune de Plainfaing (88). Dans le cadre de ce projet, les architectes, missionnés par la communauté d’agglomérations de Saint-Dié-des-Vosges, réalisent une petite entité accueillante à partir de matériaux locaux. Retour sur l’histoire d’une architecture durable locale. Installée en face de la Confiserie des Hautes Vosges – fabrique artisanale de sucreries ouverte au public –, l’office de tourisme de Plainfaing est construite à un emplacement stratégique afin d’attirer les visiteurs de la confiserie et leurs faire découvrir les secrets de la Vallée de la Haute-Meurthe. Guidés par la volonté de développer les activités touristiques de la vallée, le collectif StudioLada conçoit une architecture locale en collaboration avec les artisans et les professionnels de la région dans le but de valoriser les circuits courte et une démarche écologique, ainsi que l’attractivité du territoire. De la structure à la façade, tous les matériaux sont produits dans les environs. Les pierres de grès rose des Vosges, utilisés pour les murs porteurs, proviennent de la carrière de Champenay à Plaine (67), tandis que les bois de la charpente, du parquet (chêne), du bardage (mélèze) et des aménagements intérieurs (épicéa) ont été achetées dans quatre scieries vosgiennes. studiolada promeut ainsi la valorisation des économies en place, du producteur au consommateur. Tout en courbes, ce petit bâtiment de 150 mètres carrées en pierres massives fait la part belle au grès rose des Vosges, pierre singulière du territoire. L’intérieur, habillé entièrement de bois, est aussi une ode à la région. L’occasion de découvrir, dès la visite de l’office du tourisme, la diversité des ressources vosgiennes. Une architecture engagée manifeste de l’économie locale et des richesses territoriales. Pour en savoir plus, visitez le site de studiolada Photographies : Ludmilla Cerveny, Christophe Aubertin Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 143 jours

Carl Fredrik Svenstedt Architecte : Chai Delas Frères

Le nouveau chai de la Maison Delas Frères, signé Carl Fredrik Svenstedt, est un monolithe raffiné à la façade remarquable, installé au cœur de la commune de Tain l’Hermitage (26). Retour sur un ensemble qui met l'architecture et le vin à l'honneur. La maison Delas Frères prend place au centre du village de Tain l’Hermitage, commune caractérisée par ses coteaux et ses terrasses ondulantes plantées en vigne. Déjà implantée dans la région depuis des années, la maison se voit désormais enrichie d’un ensemble destiné à la production et à l’accueil du public imaginé par l’agence Carl Fredrik Svenstedt Architecte. Leur intervention s’articule en deux temps : la réhabilitation d’un hôtel particulier existant en un lieu de réception et la création d’un chai vinicole. Déjà existant mais tombé en désuétude, un hôtel particulier conserve sa façade bourgeoise de la fin du XIXème siècle mais se voit transformé en un lieu d’accueil et une maison d’hôtes de 11 chambres destinées aux séjours des amateurs de vin. Au rez-de-chaussée, des salles de réceptions et une cuisine attendent les convives quand au sous-sol, une cave voûtée abrite les plus grands crus de la maison. Cette structure domine un jardin clos de murs dont les espaces verts ont été conçus par Christophe Ponceau et Mélanie Drevet. Le nouveau chai, quant à lui, s’élève face à une colonnade de pierres du caveau de vente et de dégustation – installé derrière un mur de clôture donnant sur la rue – et est dissimulé derrière une imposante façade de calcaire culminant à 7,6 mètres et s’étalant sur 80 mètres de long. Véritable marqueur d’identité du lieu, ce voile de pierre réinterprète le relief de la région grâce à ses courbes poétiques. Cette longue façade dissimule le cuvier et le chai à barriques ainsi que des locaux de travail et de production ayant accès à une arrière-cour prévue pour recevoir des véhicules agricoles. Si cet ensemble est destiné au processus de conception du vin, il contribue néanmoins à faire rayonner la région. En effet, il propose un parcours œnologique aux visiteurs qui pénètrent dans l’enceinte via une double rampe desservant les deux étages de la structure et permettant, grâce à deux baies vitrées, d’apercevoir le cuvier et le chai à barrique. Et pour prolonger le séjour, un chemin relie directement le chai à l’hôtel particulier, concluant le parcours. Un enchantement pour tous les amateurs de bon vin. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Fredrik Svenstedt Architecte Photographies : Dan Glasser Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 143 jours

Franklin Azzi : Deskopolitan Voltaire

Après un premier espace à Paris, la firme française de coworking Deskopolitan ouvre un nouveau centre, boulevard Voltaire, dans le 11ème arrondissement. Installé dans un immeuble historique du quartier, ce campus urbain abrite sous le même toit des espaces de travail et de vie. L’agence Franklin Azzi, en charge de la rénovation et de l’extension du bâtiment existant, réalise ici une réhabilitation audacieuse. Zoom sur un projet d’envergure. Quatre ans après l’acquisition d’un ensemble immobilier appartenant la RATP, Deskopolitan a inauguré en juin 2019 son deuxième espace de coworking à Paris. Véritable lieu de vie et de travail, ce complexe contemporain de 6 000 mètres carrés révolutionne le coworking et propose aux citadins de l’Est parisien des services variés. Deskopolitan Voltaire réunit, au sein d’un même pôle, 400 postes de travail, un hôtel, un restaurant, des studios sportifs, des ateliers de création, un studio d’enregistrement, un potager collectif, une crèche associative, un barbier et un speakeasy. Derrière la façade haussmannienne du 226 boulevard Voltaire se cachait autrefois les locaux de la maison Cusenier, une distillerie française fondée en 1868. Une arrière-cour qui abritât ensuite le siège social de la Mutuelle B2V, puis un pôle de la RATP rapidement abandonné. En 2015, Deskopolitan achète l’ensemble immobilier et confie le projet de rénovation et d’extension des constructions existantes à Franklin Azzi. Soucieux de préserver l’âme du site, l’architecte conserve la trame du bâti historique tout en le transformant en un complexe contemporain. Dans le cadre de ce projet d’ampleur, Franklin Azzi privilégie une démarche écologique afin de réaliser une réhabilitation durable avec un faible impact environnemental et énergétique. Les structures, les ouvertures et les ouvertures des bâtiments d’origine sont conservées, tandis que les parkings sont transformés en bureaux. A cela s’ajoutent une extension contemporaine – un module en verre placé sur le toit de l’édifice principal – et un bâtiment neuf, qui accueille l’hôtel. Ces deux entités dialoguent avec l’histoire et l’architecture des bâtiments existants, créant ainsi un ensemble urbain harmonieux. A l’intérieur, sobriété et minimalisme sont de mise pour créer un environnement de travail. Les équipes de Morey Smith, studio britannique de design et d’architecture, imagine des espaces flexibles et ouverts propice aux rencontres et à la collaboration. Plus qu’un espace de travail, Deskopolitan Voltaire est un véritable lieu de vie. Une réhabilitation réussie qui garantit à la préservation de l’âme du site historique et sa transformation en une structure contemporaine adaptée aux nouvelles manières de travailler et de vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de Franklin Azzi Architecture Photographies : We Are Content(s) Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 143 jours

Cro&Co : Carré Michelet

Bâtiment iconique du quartier d’affaires Paris La Défense (92), le Carré Michelet bénéficie d’un lifting de qualité signé Cro&Co. Le bâti, datant de 1986, voit ainsi ses façades nettoyées, son volume clarifié et sa surface augmenter. Zoom sur un projet de réhabilitation des plus réussis. La première étape de cette restructuration consiste à désolidariser le Carré Michelet de ses bâtiments voisins dans le but d’afficher clairement sa présence dans le paysage de la Défense. La stratégie urbaine mise en place par les maîtres d’œuvre est « connecter, clarifier, innover ». Une fois cette disjonction effectuée, deux percées ont été réalisées de part et d’autre du volume afin de relier La Défense et Puteaux. Des terrasses ont par la suite été construites à l’intérieur même du bâtiment afin de compenser 14 mètres de dénivelé et d’assurer une continuité entre le parvis et la ville. Les choix architecturaux s’articulent également selon diverses valeurs qui contribuent à fonder l’identité du Carré Michelet, soit « connectivité, ouverture, valeur humaine et sérendipité ». Afin d’inscrire les bureaux dans l’ère du temps, les architectes ont misés sur le modèle du flex office aux différents espaces baignés de lumière naturelle. Trois niveaux ont été ajoutés à la construction initiale qui passe d’ailleurs de 30 000 à 37 000 mètres carrés. Le 9ème étage est alors surélevé et les architectes ont également créé des mezzanines, formant un grand attique panoramique en double hauteur offrant une vue d’exception sur le Mont Valérien. Un dialogue entre intérieur et extérieur accentué par la large présence de végétalisation sur les différents plateaux. Concernant la matérialité, l’intérieur du projet est traité selon une esthétique « loft » où les planchers CLT en porte-à-faux sont suspendus à une ossature métallique apparente. Entre bureaux monumentaux et esprit « atelier d’artiste », le Carré Michelet est une belle réussite qui complète la skyline à la française de La Défense. Pour en savoir plus, visitez le site de Cro&Co Photographies : Gaston Bergeret Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 143 jours

Le cahier des charges de l'appel à projets pour valoriser les déchets dévoilé

NEUTRALITÉ CARBONE. L'appel à projets pour la réduction, le recyclage et la valorisation des déchets du bâtiment, lancé le 5 février 2020 par la secrétaire d'Etat à la Transition écologique Brune Poirson, a fait l'objet d'un arrêté au Journal officiel ce 7 février. Son cahier des charges a également été publié.
Il y a 5 ans et 143 jours

La raffinerie de la SARA en Martinique se dote d'une pile à combustible de forte puissance, une première mondiale

Le projet européen ClearGen©, initié et mené par HDF Energy, permet de produire de l’électricité sur le réseau électrique martiniquais à partir de l’hydrogène coproduit par la raffinerie.
Il y a 5 ans et 143 jours

Boman Architectes : Logis pour archers

Niché au cœur de la coulée verte des Vallons-de-la-Bièvre (92), le logis de la compagnie de tir à l’arc « Arc de Sceaux » est un édifice d’une grande sobriété qui dialogue élégamment avec son environnement. Imaginé par le studio d’architecture Boman, le bâti est conçu dans des matériaux entièrement naturels, rendant hommage à ce poumon vert en plein milieu urbain. Pour ce projet, les équipes de l’agence Boman prennent le parti de construire un logis respectant l’environnement dans lequel il s’inscrit. Un engagement écologique qui se retrouve dans le choix de matériaux minéraux pour réaliser cet ensemble de 49 mètres carrés de surface de plancher. Le logis est construit en briques de terre cuite perforées et porteuse, matériau choisi pour son caractère biosourcé et sa participation à une économie de la matière. Ces briques ont été assemblées une à une sur 3 à 4 rangs par jour et prennent place sur une semelle périphérique, créant ainsi une façade esthétique autoporteuse. La sobriété de ces murs est soulignée par la présence de trois fenêtres rondes qui encerclent le paysage à la manière d’un tableau bucolique. Là encore, le choix de la forme n’est pas anodin et renvoie à l’univers du tir à l’arc et à la silhouette d’une cible. L’uniformité des façades est également rythmée par les cadres des menuiseries et les linteaux de portes en béton préfabriqué et lasuré de teinte rose. Ce rythme et cette géométrie se retrouvent également dans l’ajout d’un grand volet rond coulissant en bois lasuré sur rail aux proportions monumentales. Un logis surprenant au sein duquel on jouerait bien les Robin des Bois ! Pour en savoir plus, visitez le site de Boman Architectes Photographies : Antoine Séguin Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 143 jours

Polémique sur la RE2020 : le ministre tente de calmer le jeu

RÉACTION. Le ministre de la Ville et du Logement s'est pour la première fois exprimé sur la polémique concernant les récents arbitrages étatiques en amont de la réglementation environnementale 2020. Il a souhaité calmer le jeu, lors de son discours de clôture d'EnerJ-meeting Paris 2020.
Il y a 5 ans et 143 jours

« Il manque l'appareil industriel pour que le secteur décolle », Eric Aurenche, président de l'Acim

Construction modulaire - L'Association des constructions industrialisées et modulaires (Acim) s'est muée en syndicat professionnel. Son président, Eric Aurenche, nous explique pourquoi, et ce qu'il attend d'une telle transformation.
Il y a 5 ans et 143 jours

Les Carrières du Boulonnais à fond de train

Extraction - La plus grande carrière à ciel ouvert de France mène un chantier colossal pour faire face aux commandes croissantes de granulats du Grand Paris Express.
Il y a 5 ans et 144 jours

Résultat des Trophées Eurobois 2020 : 6 candidats récompensés pour leur innovation !

Véritable plateforme de lancement de produits, Eurobois 2020 a récompensé ce mardi 04 février l’innovation, les nouveautés et les évolutions technologiques présentées par les industriels et les fabricants sur le salon.
Il y a 5 ans et 144 jours

Economie circulaire : une priorité en construction

ENVIRONNEMENT. Ce jeudi 6 février 2020, le Palais Brongniart accueille la quatrième édition d'EnerJ-meeting, la Journée de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment. Pour l'occasion quatre acteurs de la construction se sont réunis pour une table ronde avec comme thème : la rénovation bas carbone et l'économie circulaire.
Il y a 5 ans et 144 jours

Le H2 Pro Extreme de Collingwood Lighting France

Allez à l'extrême avec le dernier produit de la gamme d'encastrés résidentiels Collingwood Lighting. Le H2 Pro Extreme et son joint totalement étanche est une première en matière d'innovation Collingwood.
Il y a 5 ans et 144 jours

Atelier Steve : Appartement Jules César

Pauline Borgia, la fondatrice de l’Atelier Steve, s’appuie sur son expérience d’architecte pour réaliser la rénovation et l’aménagement d’un appartement parisien de 90 mètres carrés. Elle imagine un intérieur coloré, fluide et lumineux, où le parquet en chevrons, les radiateurs en fonte et les cheminées historiques se marient brillamment avec des panneaux naturels ou écologiques, hauts en couleur. La rénovation de l’appartement Jules César est le premier projet, porté par l’agence Atelier Steve, dont le programme s’inscrit dans une démarche écologique, de l’organisation spatiale à la décoration d’intérieur, en passant par le choix de matériaux organiques, minéraux ou recyclés. Pauline Borgia a pris le parti de conserver l’identité haussmannienne de ce logement parisien – les radiateurs en fonte et le parquet ancien sont restaurés – tout en le transformant en une habitation confortable et lumineuse résolument contemporaine. La rénovation consiste en la réorganisation de la distribution des pièces, l’optimisation de l’espace et la personnalisation d’un intérieur. Il s’agissait d’un appartement typiquement parisien à la distribution classique. Repensée sur mesure, l’habitation est désormais envisagée comme un lieu de vie ancré dans son époque. Les cloisons d’origine sont ajourées ou abaissées pour favoriser les circulations d’air et de lumière par un mouvement traversant. Grâce à ce tour de force, toutes les pièces sont baignées de lumière naturelle, ce qui permet de retarder, en été comme en hiver, l’heure de l’éclairage artificiel. L’organisation spatiale est entièrement modifiée selon une logique d’éco-rénovation innovante : des panneaux de fibres de bois naturel, en coton recyclé et en fibre gypse redessinent l’espace. Ces panneaux, utilisés pour les rangements et les cloisons, permettent à l’architecte de jouer avec les perspectives, les textures et les couleurs de la cuisine ouverte sur la salle à manger, du salon, du dressing et des chambres. Les pièces d’eau, quant à elles, sont recouvertes de carreaux en terre cuite récupérés dans une ancienne ferme d’Ile-de-France et dotées de vasques en céramique blanche issue d’une école parisienne.Les menuiseries, toutes en MDF – Medium Density Fiberboard – écologique, et les aplats réalisés en peinture végétale soulignent la volonté de l’agence de créer des intérieurs tendance respectueux de l’environnement. Une rénovation, aussi écologique que tendance, qui se fond dans l’air du temps. Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier Steve Photographies Bertrand Fompeyrine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 144 jours

Evolutions des normes environnementales dans le bâtiment : les impacts sur l’usage du bois

En direct du plateau Bati-Journal TV à Eurobois 2020, nous allons parler, avec nos invités, de la construction bois. Nous allons aborder sa capacité à s’inscrire dans une démarche environnementale Invités : Jacques Bouillot – Directeur filière sèche et solutions bas carbone de Eiffage Construction Jean-Denis Forterre – Responsable service technique CAPEB Aura Jean-Pierre Mathe – Prescripteur bois Fibois Aura
Il y a 5 ans et 144 jours

Habitat modulaire : d'un marché de niche à un marché de masse

Le marché de l'habitat modulaire pourrait doubler de taille d'ici 10 ans si le secteur parvient à creuser un écart de compétitivité avec l'habitat traditionnel. La recherche d'une taille critique et le recours à des modèles industriels, inspirés notamment de l'automobile, seront les enjeux des 10 prochaines années pour passer d'un marché de niche à un marché de masse.
Il y a 5 ans et 144 jours

Urbanmaker : La Canopée

À deux pas de l’ancien Palais de justice de Nantes (44), les architectes d’intérieur d’Urbanmaker imaginent un écrin de verdure, où règnent goût et gastronomie, le tout dissimulé derrière une porte cochère verte. Bienvenue à Canopée, nouveau temple du cool de la Belle endormie. Le programme réside en la restructuration et rénovation d’une cour d’immeuble du XIXème siècle aux mille vies. Tour à tour une usine de machines à coudre, un garage automobile puis une cave à vin, c’est aujourd’hui en brasserie branchée que l’adresse revit, sous la houlette de l’agence d’architecture d’intérieur nantaise Urbanmaker. Profitant des espaces généreux de la structure – 350 mètres carrés –, les maîtres d’œuvre imaginent un concept dédié aux épicuriens, et proposent, inspirés par les nombreux investissements du lieu, un ensemble éclectique aux espaces divers. Cohabitent ainsi un bar, véritable invitation au voyage ; un cabinet de curiosité confortable ; des loges intimistes ; une salle de restauration et une terrasse. Grâce à l’immense verrière suspendue sur l’ancienne cour et à l’omniprésence d’une végétation luxuriante, le restaurant estompe les notions d’intérieur et d’extérieur. Pour l’aménagement, les architectes puisent leur inspiration dans les codes des grandes brasseries françaises et agrémentent l’espace aux éléments de structure laissés bruts – sols en béton, murs en pierre – d’éléments plus luxueux. S’invitent alors dans ce décor des banquettes cannelées en velours, des suspensions en laiton et en verre, un comptoir en marbre et du mobilier en chêne naturel. Le résultat ? Un lieu intemporel et élégant au sein duquel il fait bon vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de Urbanmaker Photographies : C-H.Paysan Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 144 jours

Comment les réseaux informatiques peuvent être piratés via les ampoules des éclairages intelligents ?

Des pirates pourraient exploiter les vulnérabilités du protocole ZigBee pour installer des logiciels rançonneurs ou des logiciels espions dans les réseaux en compromettant des ampoules intelligentes et leurs contrôleurs.
Il y a 5 ans et 144 jours

Dossier : Un week-end design à Bruxelles

Restaurants animés, boutiques tendance, musées et galeries d’art… Bruxelles vibre au rythme du design et la création. Après un week-end passé dans la Capitale de l’Europe, la rédaction de Muuuz vous propose un tour d’horizon des adresses incontournables de la capitale belge, des grands espaces culturels aux lieux les plus festifs. Un restaurant : Café FloraLieu mythique installé sur le parvis de la Place Saint-Gilles, le Café Flora est la nouvelle adresse tendance de la capitale, qui avait déjà tapé dans l’œil de la rédaction . Le bistrot historique a en effet fait peau neuve grâce à la collaboration entre le décorateur et designer Lionel Jadot – à qui l’on doit la création des Ateliers Zaventem – et les Atelier J&J – un studio de conception et de fabrication de meubles design. Le tandem réhabilite l’ancien Aegidium avec brio. Le créateur belge choisit de conserver son style années 30 de la salle de spectacle en y apportant une touche contemporaine. Le décor, inspiré par l’univers des cafés milanais, mêle alors mobilier coloré et motifs pop. Idéal pour boire un verre autour de délicieuses tapas, le lieu retrouve aujourd’hui son faste d’antan. . Un espace culturel : BozarA deux pas du Mont des Arts, le Palais des Beaux-Arts, désormais baptisé BOZAR, est un espace culturel pluridisciplinaire à la programmation variée – concerts, expositions, spectacles et autres manifestations artistiques – installé dans le chef-d’œuvre Art nouveau signé Victor Horta. Cette année, à l’occasion du festival EUROPALIA, BOZAR célèbre l’œuvre de Constantin Brancusi. La rétrospective réunit pour la première fois à Bruxelles les œuvres maîtresses du sculpteur roumain – Le Baiser, Leda, Muse endormie – et les créations de ses contemporains, de Marcel Duchamp à Man Ray. Une exposition monographique passionnante qui nous entraîne dans la réflexion de Brancusi sur la sculpture, l’espace et la représentation. . . Un hôtel : Jam Hôtel Installé dans des anciens bureaux, le Jam n’est pas un hôtel classique. Mélanger les genres et les styles, voilà le parti pris de Lionel Jadot, qui signe la décoration de l’hôtel, et de l’agence Olivia Gustot Architectes, qui réalise la rénovation du bâtiment existant. Côté extérieur, la façade a été entièrement rénovée et les toitures ont été aménagées en espaces partagés comprenant une terrasse répartie sur deux niveaux et une piscine chauffée ouverte toute l’année. Entre l’auberge de jeunesse haut de gamme et l’hôtel branché, le Jam comprend 80 chambres, allant de 1 à 18 lits, qui ont toutes conservé la facture industrielle de l’édifice d'origine. La décoration d’intérieur du rez-de-chaussée et du rooftop confié à Lionel Jadot joue la carte de la démesure. Popular, le restaurant de l’hôtel, embarque sa clientèle en Italie à coups de pizzas napolitaines, de burratas crémeuses et de vins italiens. Au centre de la salle trône une installation lumineuse imaginée par le Studio Elémentaires. Le Jam propose ainsi une expérience aussi bien olfactive que gustative. . Une galerie : Eleven SteensJeune galerie ouverte au printemps 2019, Eleven Steens est un vaste espace culturel dédié à la création contemporaine internationale. Le curateur Jean-Marc Dimanche, en charge la direction artistique et du commissariat général du centre culturel, promeut la jeune création à travers une programmation pluridisciplinaire et transversale qui fait la part belle à l’art, au design, à la mode et à l’architecture. Inaugurée à l’occasion de la BRAFA, l’exposition spécial Art & Craft « MATIERE(S) / MANIFESTE » présente jusqu’au 15 mars le travail d’artistes contemporains qui travaillent notamment le bois, la céramique, le textile et le métal. Théâtre de la lumière, la galerie est répartie sur quatre niveaux, d’environ 400 mètres carrés chacun, ouverts sur la rue. Pour le premier accrochage de l’année, le centre guide notre déambulation en dédiant les trois premiers plateaux à l’exposition des créations en bois, céramique et textile. Le dernier étage quant à lui accueille le solo show du designer Johan Viladrich, qui crée des objets minimalistes à partir de matériaux industriels bruts tels que le métal et le polymère. Tapisseries, sculptures, meubles, ou même installation nous invitent ainsi à découvrir le design émergent. Ici, la galerie bruxelloise propose au public de prendre le temps de comprendre les possibilités artistiques de la matière. . Une boutique : Patterns Entre objets vintage et mobilier contemporain, la boutique Patterns mélange les époques et les styles. Ici, les créations de jeunes designers européens cotoyent des pièces classiques. Situé dans le haut de la ville entre la Place du Châtelain et le musée Victor Horta, le showroom s’installe dans un espace lumineux au décor raffiné qui devient l’écrin de la sélection de luminaires, d’assises, de tables et d’objets d’art chinés avec goût par Christian Giraudo. . Un centre culturel : Centre de la gravure et de l’image impriméeSituée à La Louvière, non loin de la capitale, le Centre de la gravure et de l’image imprimée organise des expositions temporaires qui mettent à l’honneur la diversité de la création moderne et contemporaine en dévoilant des clichés, des estampes, des gravures, ou encore des lithographies d’artistes émergents ou mondialement connus. Après deux rétrospectives dédiées à des artistes femmes, Louise Bourgeois et Françoise Pétrovitch, le Centre de la gravure et de l’image imprimée organise la première monographie belge dédiée à la plasticienne américaine Kiki Smith. Jusqu’au 23 février, plus de cent dessins, estampes, collages et sculptures révèlent les multiples facettes de son œuvre syncrétique. L’exposition « Kiki Smith, Entre chien et loup » présente en effet l’univers pluriel de l’artiste empreint de légendes ancestrales ou de contes merveilleux, ses femmes célestes et ses corps féminins, ses créatures hybrides et ses animaux fantastiques : une création marquée par un engagement féministe et social, un monde enchanté et une réflexion sur la mort. Kiki Smith appartient à cette génération d’artistes femmes pionnières et s’impose aujourd’hui comme une figure tutélaire de l’art féministe. . Un espace artistique : MAD Brussels Le MAD de Bruxelles est une école, un lieu où les gens partagent leurs réflexions, leurs connaissances et leurs pratiques de la mode et du design. Actuellement, ce hub créatif expose l’installation Triclinium réalisée par Caroline Wolewinski et Sandro Della. Comme son nom l'indique, la pièce est un voyage au cœur de l’été. Trois confortables banquettes vertes, sur lesquelles on peut s’asseoir ou s’allonger, des petites tables d'appoint, des murs d’un bleu Majorelle éclatant, des céramiques fantaisistes, ou même des plantes crée le décor de cette oasis fantasmée. Pour Triclinium, le duo a remporté le Prix Visual Merchandising à la Design Parade Toulon en 2019. Photographies : 1) © Johan Viladrich2) DR 3) Brancusi Constantin, Muse endormie, 1910 © Centre Pompidou, MNAM-CCI, © Sabam Belgium, 20194) © Jam Hôtel5) © Johan Viladrich6) © Patterns7) Kiki Smith, Puppet, 1993-1994, Coll-CGIi8) Caroline Wolewinski et Sandro Della Noce, Triclinium, 2019 © Alexandra Bertels Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 144 jours

Mixité des matériaux dans l’agencement

En direct du plateau Bati-journal TV à Eurobois 2020, nous allons parler personnalisation des espaces en mixant des matériaux. Invités : strong>Margot Uscalde – Commercial Grand-Est – Responsable produit – Rehau Joël Goyer – Designer – MSAFrance / SFL François Bouy – Dirigeant LMC Jérôme Barbry – Directeur des ventes Pfleiderer
Il y a 5 ans et 144 jours

A EnerJ-meeting, le cap est fixé vers la rénovation bas carbone

ENVIRONNEMENT. Alors que la construction neuve va, dès 2021, tenir compte de l'impact carbone d'une construction, il n'en est toujours pas clairement question pour la rénovation de l'existant. Mais c'est le prochain grand chantier qui attend le secteur, ont assuré des décideurs intervenant lors d'EnerJ-meeting Paris 2020.
Il y a 5 ans et 144 jours

Partenariat entre Stradal et Hydro International

De gauche à droite : Christian Jacob, directeur marketing Stradal, et Phil Collins, directeur commercial Europe Hydro International lors de la signature du partenariat, fin janvier dernier. [©Stradal] A l’occasion du Carrefour des gestions locales de l’eau, Stradal et Hydro International ont signé une convention de partenariat exclusif. L’objectif est d’apporter au marché français First Defense, la première solution brevetée de traitement des eaux pluviales par décantation hydrodynamique intégrée à une enveloppe béton haute résistance. Stradal devenant le représentant officiel en France de la solution développée par Hydro International. First Defense pour dépolluer les eaux fluviales En effet, First Defense permet de dépolluer les eaux pluviales et d’en améliorer la qualité. Une première phase d’expérimentation en 2019 a été menée pour valider la fabrication des éléments circulaires en béton selon les dimensions (diamètres de 1,20 m et 2 m). Les chantiers réalisés ont permis de mesurer l’efficience de la technologie embarquée dans le produit fini en béton. Mais aussi de vérifier les différentes possibilités de raccordements. Et in fine, de peaufiner et de finaliser l’offre technologique globale.  Hydro International va ainsi pouvoir s’appuyer sur le savoir-faire de Stradal pour pré-fabriquer les enveloppes en béton. Et sur son maillage commercial et industriel pour développer cette technologie sur tout le territoire. Cette nouvelle solution va permettre à Stradal d’élargir son offre. Ainsi que de la mixer à d’autres solutions en béton préfabriqué que l’industriel développe en faveur de la gestion durable et de la collecte des eaux de ruissellement. Comme les caniveaux hydrauliques et les regards de visite. Par effet vortex First Defense s’appuie sur le principe de la séparation par effet vortex. Ceci, en combinant la décantation gravitaire et les effets de la force centrifuge pour séparer et capter les matières en suspension et leurs polluants associés (métaux lourds, hydrocarbures). Cet équipement est composé d’une chambre circulaire préfabriquée en béton dans laquelle un mouvement de rotation est exercé par le simple fait de l‘introduction tangentielle de l’effluent. Le temps de séjour augmente et l’action de séparation des polluants est ainsi renforcée. Le First Defense offre un stockage des liquides légers, un bypass intégré et une accessibilité aisée pour un entretien par simple curage aspiration. Sa conception compacte, son encombrement réduit, sa mise œuvre rapide en font un produit économique. 
Il y a 5 ans et 144 jours

Davide Galbiati : L’âme intemporelle du béton

Davide Galbiati porte toute son attention sur les visages. [©CM] Davide Galbiati parle de l’homme. Il est attaché à l’esprit, au sens du sacré, qui reste bien souvent invisible. Convaincu que ce lien, entre l’énergie spirituelle qui nous entoure et l’homme, existe, il réalise des sculptures ornées de coiffes, de cornes ou d’auréoles de toutes les époques, cultures, religions et légendes. Ces ornements créant un lien avec le sacré, un passage, un axe… Le haut et le bas se rejoignant, l’invisible devenant concret. C’est comme un contraste fort entre le spirituel et le matériau béton. L’artiste veut révéler l’énergie sacrée présente en chaque être. L’artiste cherche à révéler l’énergie sacrée présente en chaque être. [©CM] Les sculptures en béton sont teintées. [©CM] Ornées de coiffes, de cornes ou d’auréoles, les sculptures en béton ou en bois de David Galbiati sont d’un autre temps. « Ce que j’aime c’est que l’on ne voie pas tout de suite que mes sculptures sont en béton. »« Le fabuleux coiffe la pureté de ses figures ésotériques. Le fantastique flambe dans la statique de ses œuvres. » Les mains chirurgicales de Davide dissèquent patiemment le béton, à la découverte des âmes prisonnières. Davide est descendant en formes directes des sculpteurs de l’Egypte d’Osiris. Sa quête est identique. « Tailler dans le fruit de la chair afin d’atteindre le pur noyau de l’indicible. » Les figures immobiles de Davide Galbiati nous emportent dans des espaces où règne une gravité silencieuse. Davide Galbiati porte toute son attention sur les visages. C’est là qu’il résout la construction géométrique et architecturale du corps. Ses visages sont conçus comme des chapiteaux, des clefs de voûte où se négocient le poids du monde et le poids du ciel. Poids si lourd que les yeux se ferment, les visages sont concentrés. On y perçoit la vie intérieure : prière, crainte, attention, contemplation, pensée, abandon, imaginaire… Son parcours C’est dans les Dolomites en Italie, où la tradition du travail du bois se perpétue depuis le XVIesiècle, que Davide Galbiati s’est formé à la sculpture. Mais c’est en 2007, lors d’un concours de sculpture qu’il commence à utiliser le béton dans ses œuvres. Il faut dire qu’il vient d’une grande métropole, de Milan. Le béton a envahi sa ville depuis les années 1960-1970. Davide Galbiati avait envie de faire la paix avec ce matériau, de l’appliquer dans l’art, de le charger d’une autre dimension, d’une autre signification. « Juste dédramatiser l’approche parfois négative du béton. » Si le bois, son autre médium, est vivant, le béton se laisse modeler. On peut le charger d’une âme. Il suit les mouvements de la main, se concrétise dans la solidité. « C’est une matière forte, qui dégage de l’énergie. » Davide Galbiati utilise le Ciment Fondu d’Imerys (ex-Kerneos) : ligne Secar et Secar 51, toujours à base d’aluminates de calcium. Il met en œuvre aussi le Thermal White, un ciment hyper blanc, « très agréable à traiter ». Et de conclure : « Ce que j’aime c’est que l’on ne voie pas tout de suite que mes sculptures sont en béton ». Sources : Aude de Kerneos et Michel King. Retrouvez davantage de sculptures ici. Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 144 jours

Picard Serrures fête ses 300 ans à l’Elysée et reçoit la 1ère certification A2P@ pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®

Entreprise française spécialiste de la haute sécurité, Picard Serrures célèbre ses 300 ans d’existence en 2020. En cette année anniversaire, l’entreprise vient d’incarner le savoir-faire français à La Grande Exposition du Fabriqué en France qui s’est tenue au Palais de l’Elysée, et de recevoir la 1ère certification européenne A2P@ pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®. Présence 3, la serrure haute sécurité s’expose dans les salons de l’Elysée Basée à Feuquières-en-Vimeu en Picardie, fief historique de la serrurerie, Picard Serrures a fait partie des 101 entreprises choisies par le jury présidé par Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’état auprès du Ministre de l’Economie, pour représenter le savoir-faire français lors de La Grande Exposition du Fabriqué en France au Palais de l’Elysée. Premier fabricant sur le marché des portes blindées à avoir obtenu le label Origine France Garantie, Picard Serrures, retenu parmi 1750 candidats en provenance de métropole et d’outre-mer, représentait le département de la Somme. Après l’inauguration officielle par le Président de la République Emmanuel Macron, dix mille visiteurs ont pu découvrir durant le week-end du 18 janvier la Présence 3, une serrure multipoints haute sécurité certifiée A2P*** qui était mise à l’honneur dans le jardin d’hiver du palais présidentiel sur un stand intitulé « Au quotidien ». Après l’Elysée, la serrure Présence 3 de Picard Serrures rejoint Bercy pour être exposée dès à présent au sein du Ministère de l’Economie et des Finances dans le cadre de la dixième semaine de l’industrie qui se tiendra du 30 mars au 5 avril prochain. Ermétis® Tapkey®, 1ère serrure connectée A2P@ certifiée en Europe Organisme reconnu par les professionnels de la sécurité et de l’assurance, le CNPP Cert. vient de délivrer le premier certificat A2P@ à Picard Serrures pour sa serrure connectée Ermétis® Tapkey®. Elle devient ainsi la 1ère serrure connectée certifiée A2P@1* en Europe. Ce passeport de confiance attribué par le Centre National de la Prévention et de Protection couvre l’ensemble de la solution de protection contre le cambriolage dont les performances validées concernent : la résistance mécanique à l’effraction de la serrure carénée multipoints Ermétis®, associée à la robustesse aux attaques numériques du cylindre mécatronique TapKey® et de son application mobile dédiée, dont le cryptage complexe de la communication entre les deux supports empêchent tout piratage. L’année de son 300ème anniversaire, ces distinctions sont une reconnaissance du savoir-faire industriel de Picard Serrures, une entreprise française qui continue d’écrire son histoire tout en restant profondément attachée à ses valeurs.
Il y a 5 ans et 144 jours

Tain l'Hermitage choisit SPIE pour une meilleure performance énergétique

La commune de Tain l'Hermitage (Drôme) a confié à SPIE CityNetworks et à Mabboux Electricité les travaux de renouvellement de la totalité de son éclairage public, avec l'accompagnement du cabinet de Conseil EECI.
Il y a 5 ans et 144 jours

Concours La Canopée – Catégorie Startup

En direct d’Eurobois 2020 sur le plateau de Bati-Journal TV nous allons parler du concours La Canopée. C’est un concours national d’innovation au sein de la filière forêt-bois. Cette initiative est portée par Forinvest Business Angels et l’École Supérieure du Bois. Invités : Arnaud Godevin – Directeur de l’ESB Nantes Grégoire Hetuin – Projet Ephemere Square Fabio Mulone – Projet Proxipel Eric Boittin – Projet Forestry Club de France
Il y a 5 ans et 144 jours

Valoriser les métiers du bois

Sur le plateau de Bati-Journal TV en direct d’Eurobois 2020, nous allons parler des métiers du bois, leur attractivité mais aussi les difficultés pour embaucher des personnes motivées et bien formées. Invités :Bénédicte Muller – Chargée de missions, Fibois Auvergne-Rhône-AlpesCécile Gueux – Cheffe de projet Forêt-Bois – Pôle Emploi Auvergne Rhône AlpesMathieu Hugon – Responsable IEMAE, Les Compagnons du DevoirRaphaël Moronnoz – Menuisier, Menuiserie Moronnoz
Il y a 5 ans et 144 jours

R+MuR d’Alkern : La solution de parois complète

Avec R+MuR, Alkern lance une solution de parois complète, économique et bas carbone pour répondre au besoin du marché du petit collectif jusqu’à R+4. [©Alkern] Avec R+MuR, Alkern lance une solution de parois complète, économique et bas carbone pour répondre au besoin du marché du petit collectif jusqu’à R+4. Ce nouveau système constructif cumule ainsi des performances thermiques et bas carbone compatibles avec la RT 2012 et les exigences du label E+C–. Egalement un fort affaiblissement des nuisances acoustiques, des résistances mécaniques optimales. Et enfin, une conception adaptée aux zones sismiques (Eurocode 8) et une résistance au feu allant jusqu’à REI 90 sous une charge de 18,7 t/m avec doublage en laine de roche. A l’ensemble de ces qualités techniques, la solution R+MuR ajoute une grande facilité de mise en œuvre grâce à la pose collée, et un support compatible avec les enduits monocouches OC3 sans trame généralisée. Cette solution est à base de blocs en béton de granulats courants pour un calepinage traditionnel. Le concept de construction R+MuR repose sur l’association de trois éléments majeurs : les blocs Elitherm, les blocs Elipsi et les planelles Isoplanel, ces deux derniers apportant une capacité isolante.   Mise en œuvre de la solution R+MuR d’Alkern sur chantier. [©Alkern]
Il y a 5 ans et 144 jours

Espace libre : Rampe à Creil

Comment relier un quartier isolé au centre ville ? C’est la question que les acteurs de la ville de Creil (60) ont posé aux équipes de l’agence Espace Libre, paysagistes et urbanistes, qui proposent une solution d’aménagement mettant spectaculairement le paysage en scène. Retour sur un projet à la fois discret et remarquable. « L’originalité de cette opération tient à une maitrise d’ouvrage déterminée qui a décidé de relier un quartier isolé du centre-ville par l’inscription d’une rampe urbaine au travers d’un coteau boisé ». C’est en ces mots que Maxime Saïsse, paysagiste fondateur de l’atelier, décrit le projet de la Rampe à Creil. La ville de Creil est caractérisée par un contexte urbain d’après-guerre. Alors que le centre-ville continue de vivre, un quartier dense s’est développé sur les hauteurs de la commune, délaissant la colline boisée scindant les deux parties de la municipalité. Une rupture nette que seul un escalier monumental permettait alors de contrer. La mission d’Espace Libre résidait donc en la création d’un parcours plus doux reliant les différents quartiers de Creil, en tenant compte cette fois-ci des normes handicap. La réflexion s’est axée autour de la restauration écologique du parc, et des études approfondies du site, de ses potentialités et du sol ont été réalisées dans le but de limiter l’impact environnemental de la construction.Il s’agit ici de bâtir pour valoriser la nature. Les maîtres d’œuvre misent donc sur une implantation discrète, faisant des contraintes du terrain une force. Pour rattraper un littoral plat, indispensable à l’usage de personnes à mobilité réduite, une passerelle placée en bas du chemin débute le parcours qui s’élève à la cime des arbres et traverse un parc anglais. Un belvédère en haut du pont à la structure en acier et au cadre en chêne et mélèze offre alors un point de vue d’exception sur l’Oise et le reste de la ville. Il s’agit de la première étape d’un parcours de 1,2 kilomètres de long qui en comprend cinq autres : les clairières Laversine, le belvédère du carrefour, le carrefour, la place du randonneur et la rampe. La nuit, des illuminations élégantes et subtiles subliment le chemin et ajoutent une touche de magie à la balade. Un projet à la sobriété poétique. Pour en savoir plus, visitez le site d'Espace Libre Photographies : Julien Falsimagne Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 144 jours

A6A x Atelier Archipel : Les Patios

En collaboration avec Atelier Archipel, l’agence A6A – Atelier 6 Architecture – construit une Maison de Santé, baptisé Les Patios. Installée à Jarnac (16), le centre médical regroupe plusieurs cabinets de médecins généralistes et spécialistes dans un édifice à la volumétrie simple et à l’esthétique épurée. Isolé de l’espace public, la Maison de santé Les Patios est bordée par une sur-largeur de trottoir formant un parvis et un grand jardin arboré surélevé. Le centre de santé est fermé sur lui-même, protecteur et confidentiel. Repère identifiable, avec sa volumétrie simple et son architecture horizontale, à l’entrée de la zone tertiaire de la commune, l’établissement devient un équipement structurant de la ville de Jarnac. Choisi à la fois pour son apparence brute, sa durabilité et la facilité de son entretien, le béton blanc des façades est adoucit par des bardages et des persiennes en bois noir. Le tout s’inscrit ainsi dans le paysage local ponctué de carrières de calcaire et de chais noircis. Répartis sur un seul niveau, les différents volumes de la Maison de Santé s’organisent autour du jardin extérieur et d’une galerie intérieure, qui donne accès aux quatre pôles médicaux et aux espaces partagés. Baignée de lumière naturelle grâce à de larges baies vitrées, la galerie donne également sur l’espace vert et les patios extérieurs.Les Patios réunit au sein d’un même centre des cabinets de médecins généralistes, dentistes, ostéopathes, psychologues, psychiatres, sages-femmes, Orthophonistes, Podologues, Infirmiers. De quoi faciliter la vie des Jarnacais ! Pour en savoir plus, visitez le site de l’Atelier 6 Architecture Photographies : Agnès Clotis Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 144 jours

Bois et zinc pour une surélévation esthétique sur un toit d’un ancien hôpital

L’association d’aide à l’enfance, la Chaîne de l’Espoir s’est installée dans un l’ancien hôpital Broussais Auch, rue des Morillons, à Paris, à Paris. Pour agrandir les capacités d’accueil, l’agence d’architecture Gérard Rosier a su profiter et utiliser 150 m2 de surface libre et déjà existante pour revaloriser l’immeuble en le surélevant. De cette ambition sont nées une salle de réunion et une salle polyvalente. Séparée par une cloison mobile, la salle de réunion est couverte sur 95 m2 et donne sur une terrasse extérieure de 60 m2. Pour l’enveloppe, les architectes se sont tournés vers le zinc GRANUM skygrey de RHEINZINK, pour sa proposition de solutions esthétiques, idéales pour la rénovation. Cette vêture présente un aspect gris mat traditionnel obtenu par un traitement de haute technicité laissant alors transparaitre la veinure typique du .Le choix d’une ossature bois a été retenu pour sa légèreté car la terrasse existante ne pouvait pas supporter un étage en dur. La couverture en zinc est venue se poser dans une même logique et se fond dans le paysage des toitures parisiennes. Mise en œuvre en pente à 10 %, elle aborde pleinement l’effet recherché. Architecte maître d’œuvre : Gérard RosierEntreprise de pose : Julien Tramblay – Tramblay CouverturePhoto : Philippe Dureuil
Il y a 5 ans et 144 jours

Colle pour tout faire sur les membranes EPDM

Griffon lance une nouvelle colle à usage professionnel, l’EPDM MAX, qui fixe les membranes EPDM sur de nombreux supports en leur conférant une étanchéité hors pair. Résistante à l’eau, à l’humidité et aux intempéries, l’EPDM MAX Griffon peut aussi servir lors de travaux de réparation. Sans solvants, elle colle et/ou rend étanches tous les EPDM européens fixés sur une grande variété de matériaux comme le bois, le métal, le béton, la pierre et la mousse isolante rigide. Ce produit d’une efficacité exceptionnelle sert également à réparer les déchirures sur l’EPDM, et à rendre étanches les jonctions entre l’EPDM et d’autres supports. Elle présente une puissance de collage élevée (110 kg/cm2) associée à une résistance exemplaire à l’eau, aux intempéries, aux UV et aux écarts thermiques (– 40 °C à + 100 °C). Facile et rapide à appliquer sur des surfaces verticales comme horizontales, le produit offre une prise très rapide. Après 24 heures de pose, les éléments collés sont manipulables et la colle affiche une prise définitive au bout de 48 heures. Autres avantages : l’EPDM MAX ne rétrécit pas et ne forme pas de bulles.
Il y a 5 ans et 144 jours

Nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle

BLUETEK innove avec Slick inside carré, nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle pour les toitures plates et couvertures des bâtiments tertiaires, les logements collectifs et l’habitat individuel, en neuf ou en rénovation. Ce lanterneaú se décline dans 2 modèles pour répondre à tous les besoins : Slick inside carré fix pour l’éclairement zénithal, Slick inside carré Air pour l’aération naturelle. Il bénéficie d’une costière blanche en polyester avec une isolation thermique renforcée. Disponible dans de multiples dimensions, il transmet 54 % de la lumière, isole des bruits extérieurs et résiste aux chocs (1200 joules). En fonction des exigences d’isolation thermique, il est équipé d’un double ou d’un triple vitrage feuilleté. Grâce à ce vitrage performant et à une étanchéité à l’air élevée, le lanterneau apporte lumière et aération naturelle aux pièces situées sous un toit plat. Pour une grande discrétion, le mécanisme d’ouverture est invisible, puisque le vérin à chaîne est intégré à la costière.
Il y a 5 ans et 144 jours

Toutes les techniques d'étanchéité à l’air et à l’eau à Dach+Holz

Les spécialistes montrent toutes les techniques d’étanchéité pour la construction bois, murs, toitures en pente, toitures terrasses et de toutes les interfaces entre éléments de gros-œuvre.
Il y a 5 ans et 144 jours

Chauffage des bâtiments neufs: des associations dénoncent une "manipulation"

Treize associations, issues notamment du secteur gazier ou des énergies renouvelables, ont critiqué les arbitrages du gouvernement favorables à l'électricité pour le chauffage des bâtiments neufs.
Il y a 5 ans et 144 jours

Béton auto-cicatrisant : Le réveil des bactéries

Le microbiologiste Hendrik Marius Jonkers, en collaboration avec l’Université technologique de Delft, a développé un additif pour la formulation de béton auto-cicatrisant. [©Basilisk] Aux Pays-Bas, le microbiologiste Hendrik Marius Jonkers s’est intéressé à la fissuration des bétons. Et plus particulièrement, comment ce matériau peut panser ses propres plaies… En effet, si certaines fissures sont inévitables dans le béton et non nocives, d’autres peuvent menacer sa durabilité, corroder les armatures et entraîner de graves dégâts [Lire notre article à ce sujet]. « Dans la nature, il existe des plantes et des animaux qui s’auto-soignent. Nous nous sommes donc inspirés de ce principe. » Le scientifique a ainsi développé et breveté, en collaboration avec l’Université technologique de Delft, une solution pour créer des bétons auto-cicatrisants. Et c’est de là qu’est née la start-up Basilisk. L’entité fait par ailleurs partie du programme LH Accelerator. Pour permettre au béton de combler lui-même ses fissures, Hendrik Marius Jonkers a fait appel à une ressource naturelle et biosourcée : les bactéries. Ces dernières peuvent se trouver dans la nature, en particulier dans la pierre volcanique. Un additif respectueux de l’homme et l’environnement La solution de Basilisk se présente sous la forme d’un additif qui se mélange à la formulation du béton. Il se compose de particules qui contiennent des bactéries dormantes et des nutriments pour celles-ci. Lorsque des fissures se forment dans le béton, il suffit que les bactéries soient en contact de l’eau pour se “réveiller”. En se nourrissant des nutriments présents dans la solution de Basilisk, elles vont combler les fissures, en créant du calcaire. La start-up estime que les fissures peuvent se remplir ainsi en 3 semaines. Peu importe leur longueur, mais pour une largeur allant jusqu’à 0,8 mm. Le produit développé par Hendrik Marius Jonkers et Basilisk permet de prolonger la vie de la construction en béton, mais limite aussi les risques d’infiltration d’eaux. Sans nocivité pour l’homme, les bactéries isolées dans la solution peuvent rester à l’état “dormant” durant près de 2 000 ans. Une version pour les bétons déjà existants L’additif de Basilisk peut être utilisé dans la formulation de béton dédié à la fabrication de voussoirs, de réservoirs d’eau, ou encore de ponts et dallages… La start-up propose aussi une solution spécifique pour les fissures déjà existantes : Basilisk Liquid Repair System ER7. Le produit s’adapte aux petites fissures, qui ne peuvent pas être traitées avec un mortier. Après l’application – une passe si la fissure fait entre 0,2 et 0,4 mm de largeur et 2 ou 3 passes jusqu’à 0,8 mm – le liquide forme un gel qui la remplit. Les bactéries convertissent ensuite le gel en calcaire pour une étanchéité permanente. Basilisk compte déjà plusieurs projets à son actif, à l’image d’un bassin de rétention d’eau au port de Rotterdam ou encore l’extension du Het Loo Palace à Apeldoorn, toujours aux Pays-Bas.
Il y a 5 ans et 144 jours

DokaXLight : Un nouveau coffrage-cadre plus léger

DokaXLight est le coffrage-cadre le plus léger de la gamme de Doka. [©Doka] Doka propose désormais DokaXLight, le coffrage-cadre le plus léger de sa gamme. La nouvelle solution de l’industriel autrichien ne dépasse pas les 22,6 kg pour l’élément principal (0,75 m x 1,50 m). Elle s’adapte à tous types d’ouvrages en béton avec ses différents formats, que ce soit en construction neuve ou en rénovation. Le DokaXLight est manipulable sans grue et par une seule personne. Il permet de travailler plus rapidement et de gagner en productivité, en optimisant les ressources disponibles sur le chantier. Doka précise que le coffrage supporte une pression de bétonnage, allant jusqu’à 50 kN/m2 pour les voiles et jusqu’à 75 kN/m2 pour les poteaux. Le Dokaxlight peut se réemployer plusieurs fois grâce au panneau Xlife et à la bague de protection pour ancrage, édités par Doka. Son cadre en aluminium assure aussi la durabilité du produit. Son nettoyage est facilité, puisqu’il a bénéficié d’un traitement spécifique. Le DokaXLight est disponible en vente et en location (sauf les panneaux de 3 m de haut sur 30 à 75 cm de largeur, réservés à la vente).
Il y a 5 ans et 144 jours

Bilan et perspectives pour le marché de la construction par l’AIMCC

Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique pour le marché de la construction. [©Anhydritec] L’AIMCC1 a présenté les résultats de la 4e édition de “Tendances Conjoncture”. Menée entre décembre 2019 et janvier 2020, l’enquête s’est appuyée sur le retour de 80 organisations professionnelles et membres de l’association. Elle a permis de dresser un bilan de l’année passée et de revenir sur des problématiques clefs en cours et à venir. Contrairement aux prédictions établies fin 2018 et après 3 années de croissance, l’année 2019 n’a pas été si catastrophique. L’association parle même d’un « atterrissage maîtrisé ». En effet, l’activité du bâtiment devrait connaître une progression de 1,2 %. C’est moins que 2018 (+ 2,3 %), mais plus que les prévisions des professionnels du secteur. Si le nombre de mises en chantier de logements a subi une légère baisse (410 000 contre 417 000), le non-résidentiel atteint + 6,9 %. L’entretien/rénovation enregistre un petit + 0,2 %. Un marché pénalisé par un mauvais 1er trimestre 2019. De leur côté, les travaux publics sont portés par les investissements des collectivités locales avec un + 10 % de croissance. Un dynamisme qui s’explique par l’approche des élections municipales et par des chantiers d’envergure, à l’image de ceux du Grand Paris. En revanche, ces projets, essentiellement métropolitains, creusent les disparités entre les territoires urbains et ruraux. Du côté des industriels, 47 % enregistrent une croissance significative (supérieure à 4 % en volume), 1 % et 3 % progressent de façon plus limitée et 8 % se sont stabilisés. Le camembert restant (entre 44 % et 42 %) est sur une phase de recul. + 1,2 % de croissance contre 2,3 % en 2018 Des différences sont observables au niveau des segments d’activités : 93 % des industriels du gros œuvre ont vu leur activité s’envoler, contre 72 % pour ceux du second œuvre. Pour l’équipement, ils sont 86 % à bénéficier d’une légère croissance. Pour 2020, les professionnels du secteur sont mitigés. Les indicateurs économiques laissent entrevoir un ralentissement et une relative stagnation de l’activité. Le FMI a d’ailleurs revu à la baisse, en octobre dernier, ses prévisions de croissance mondiale pour 2020. Les avancées réglementaires et autres mesures des Pouvoirs publics auront aussi leur rôle à jouer. A l’image de la future RE 2020, les concrétisations de la loi Essoc ou encore le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage pour une économie circulaire. Selon les estimations de la FFB, le secteur ne devrait pas dépasser 1 % de croissance (+ 0,8 %). Du fait de la baisse des mises en chantier de logements neufs, des faibles progressions du non-résidentiel et du secteur de l’entretien/rénovation. De son côté, la FNTP prévoit une année plutôt stable, malgré la baisse de la commande publique prévue durant cette année électorale. L’année 2020 sera aussi marquée par plusieurs enjeux pour le secteur du bâtiment et les travaux publics. La lutte contre les passoires énergétiques reste toujours une perspective porteuse. 2020 : Entre enjeux environnementaux et sociétaux Le marché de la rénovation est vaste et le gouvernement semble vouloir s’investir dans la massification de la rénovation énergétique. Notamment avec la mise en place de mesures favorables : aides, lutte contre la fraude… L’AIMCC estime que « compte tenu de la masse de travaux à générer, les industriels ont un rôle essentiel à jouer, en termes de formation, de pénétration de l’innovation. Et d’intégration des offres les plus performantes et de gains de productivité. » D’autres perspectives vont occuper les professionnels du secteur. L’environnement et l’économie circulaire, le Plan Energie Climat, la décarbonatation, la transition numérique, la révolution 3D. Ou encore, la formation et le développement des compétences qui est un axe stratégique. L’AIMCC vient d’ailleurs de signer un accord EDEC1 avec le ministère de l’Emploi, la CFE CGC Sidérurgie et le soutien de la Capeb. Cependant, l’association précise que la filière construction ne pourra bénéficier d’une reprise durable et d’un retour à la compétitivité des entreprises que sous certaines conditions. Comme le retour des marges pour les sociétés, un soutien à l’investissement productif et à l’économie circulaire pour maintenir la modernisation du parc industriel. Mais aussi, une stabilité réglementaire, juridique et fiscale, en France et en Europe. Et enfin, la mise en place de partenariats dans le secteur de la formation professionnelle comme réponse à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. 1Association française des industries des matériaux et produits de construction2Engagement développement emploi compétences.
Il y a 5 ans et 144 jours

Charlotte Flores, nouvelle Déléguée générale de ConstruirAcier

Nommée Déléguée générale le 1er janvier dernier, Charlotte Flores, également Directrice de la communication, depuis dix ans chez ConstruirAcier, entend bien porter haut et fort, les valeurs du matériau acier et le rôle de l’association.
Il y a 5 ans et 144 jours

Saint-Gobain devient un acteur majeur sur le marché de la plaque de plâtre

Saint-Gobain a obtenu l'accord des actionnaires de Continental Building Products et des autorités de la concurrence américaine pour finaliser l'acquisition du fabricant de plaques de plâtre.
Il y a 5 ans et 144 jours

Le pari du stockage de carbone dans des granulats de béton recyclés

Lafarge Holcim participe depuis 2017 au projet FastCarb de stockage de CO2 dans du granulat de béton concassé. L’une des expérimentations industrielles a commencé dans la cimenterie de Val d’Azergues (69).
Il y a 5 ans et 145 jours

LiVE, des bureaux habillés d'écailles de métal

ARCHITECTURE. Sur le site du marché à la ferraille de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), Maud Caubet a imaginé un immeuble de bureaux original. Au programme : des formes arrondies, des jardins intérieurs et des écailles métalliques en couverture du bâtiment. Contactée par Batiactu, elle nous explique les spécificités du projet.
Il y a 5 ans et 145 jours

Interview de Damien Quidet – Responsable pôle construction Itech

En direct d’Eurobois sur notre plateau Bati-journal TV, nous rencontrons Damien Quidet, Responsable du Pôle construction chez Itech qui nous présente le logiciel ACORD (Assistant de calcul par ordinateur). Invité : Damien Quidet – Responsable du Pôle construction, Itech