Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

Rénové par l'agence d'architecture portugaise éOp, le centre social São Pedro de Vila Nova de Gaia (Portugal) se destine à l'accueil de la communauté locale. Le centre social São Pedro est essentiel dans la vie de Vila Nova de Gaia puisque, en plus d'être situé dans l'ancien Palais de la Casa das Freiras, bâtiment vieux de plus d'un siècle, il abrite aussi bien les réunions de nombreuses associations que de personnes âgées. L'objectif des maîtres d'"uvre était de conserver en l'état les éléments principaux de l'édifice d'origine de 350 mètres carrés, notamment les matériaux " garde-corps en fer forgé, détails en bois, pierres apparentes ", tout en revisitant l'organisation spatiale du lieu par l'optimisation des combles et l'installation d'espaces multifonctionnels dans les sous-pentes inoccupées jusque-là. Les concepteurs conjuguent ici installations pyramidales lumineuses contemporaines et géométrie existante du toit. " Un espace complice et inspirant, capable d'améliorer un esprit visionnaire pour servir le bien-être commun, à l'intérieur du concept et de l'histoire de cette institution ", éOp " arquiitectura e design   Un dialogue entre passé et présent qui, malgré des procédés simples et épurés, permet de projeter ce lieu centenaire dans l'avenir. Pour en savoir plus, visitez le site de éOp " arquitectura e design Photographies : Nelson Garrido

Derrière un bâtiment en brique rouge et acier typiquement belge, se cache un édifice identique. Ici, pas de loft luxueux, ni galerie d'art reculée, mais un magasin d'informatique. Qui l'eut cru... Réalisées par l'agence belge OFFICE KGDVS, les deux constructions sont disposées symétriquement, de part et d'autre d'une cour bétonnée. Quand l'une " côté rue " héberge la boutique, l'autre accueille les espaces logistiques.  Réparti sur deux niveaux, l'ensemble de 450 mètres carrés est composé d'une structure géométrique industrielle alliant verre et acier, clin d'"il aux édifices de la région. Composée de finespoutres et de colonnes, la structure est comblée par des panneaux en polycarbonates et de grandes baies vitrées, créant ainsi un effet d'ouverture sur l'extérieur tout en procurant aux intérieurs une grande luminosité du matin au soir. Le patio est entouré de murets en briques blanches aux hauteurs variées, définissant les contours tortueux d'un jardin en devenir. Avec ce Computer Shop, le studio OFFICE KGDVS revisite l'architecture traditionnelle de Wallonie pour accueillir un commerce original. Pour en savoir plus, visitez le site de OFFICE KGDVS Photographies : Bas Princen

Le siège de l’entreprise 50Hertz, exploitant de réseau électrique, à Berlin a été primé par la " Deutsche Gesellschaft für NachhaltigesBauen – DGNB e.V. " (société allemande pour la construction durable). Le bâtiment séduit entre autre par l’efficacité de sa protection solaire signée Warema. Celle-ci optimise l’ombrage de chaque pièce tout au long de l’année … Cet article Une protection solaire intelligente est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Implanté à l'origine à Châtenay-Malabry (92), l'École Centrale Paris s'installe à Gif-sur-Yvette, sur le plateau de Saclay (91) sous une toute nouvelle enveloppe dessinée par l'agence néerlandaise OMA. Pour ce titanesque projet de 70 000 mètres carrés, OMA et de son architecte Rem Koolhaas ont conçu un ensemble situé aux antipodes des habituels laboratoires scientifiques ou autres bâtiments de recherche, souvent peu engageants, hermétiques et froids. L'agence imagine alors un bloc aérien composé de cinq niveaux en gradins organisés autour d'une vaste place centrale baignée de lumière grâce à une verrière en ETFE. Si les 20 000 mètres carrés de cet édifice alliant béton, acier et verre sont dédiés à l'enseignement " amphithéâtres, salles de cours, de recherche etc..., l'ensemble comprend également des bureaux, des lieux de restauration ou simplement de repos. Par opposition à l'aspect extérieur de l'édifice, aux airs de forteresse, les différents espaces intérieurs sont extrêmement ouverts. Des parois mobiles disposées dans les espaces communs " notamment dans l'agora, contenant le self, un stand de restauration rapide et de nombreux sofas " les relient entre eux, permettant d'aménager différemment les surfaces. Les zones se confondent, encourageant étudiants, chercheurs et personnel administratif et pédagogique à échanger, sans cloisonner les activités de chacun. " OMA ne s'est pas contenté d'interpréter le cahier des charges ni même d'entrer dans la rationalité de l'ingénieur mais a cherché à comprendre notre modèle pédagogique, ses valeurs et ses principes, pour le traduire sous une forme à la fois architecturale et urbanistique ", Hervé Biausser, Directeur de l'ECP Même si de prime abord l'établissement semble clos sur son environnement, les maîtres d'"uvre ont en réalité pris le parti de le relier au quartier en devenir et aux bâtiments voisins par le biais d'une rue diagonale. La réponse d'OMA au programme n'est donc pas uniquement architecturale, mais également urbaine, et prendra tout son sens lorsque les bâtiments du Plateau de Saclay seront construits. Un établissement aussi stimulant pour les étudiants que pour les habitants de Gif-sur-Yvette qui, en plus de casser les codes, insuffle un nouveau souffle à une région jusqu'alors en manque de dynamique. Pour en savoir plus, visitez le site de OMA Photographies : Philippe Ruault

Fruit de la réhabilitation d'un ancien garage de Melbourne (Australie) par l'agence d'architecture australienne Mim Design, Au79 est un café réinterprétant les codes du jardin botanique. Lumière abondante, végétation luxuriante et couleurs douces invitent ici le client à déguster son petit-déjeuner dans un espace respirant la sérénité. Le nom de ce boudoir de 600 mètres carrés de plain-pied ne provient pas de son adresse, mais de l'un des éléments les plus précieux du tableau périodique : l'or, dont le symbole chimique et le numéro atomique sont Au79. De multiples clins d'"il à la matière précieuse emplissent ainsi le lieu, à commencer par un tableau noir barré de l'inscription " Gold is the new black ". Pourtant, l'endroit se situe à des années lumières des décors rocambolesques qu'une telle inspiration laisse imaginer. Lorsque l'on pénètre dans cet ancien hangar, on se rend vite compte qu'ici, naturel et simplicité sont les maîtres mots. Divisé en trois zones de restauration distinctes " un comptoir de boulangerie-café à l'ouest, un espace salle à manger à l'est et un deuxième, derrière, plus dédié à des événements particuliers et à de grosses réservations ", Mim Design a su conserver l'aspect industriel du bâtiment d'origine en laissant par exemple apparaître des éléments de plomberie au plafond ou en laissant tel quel le sol en béton poli, instaurant ainsi un esprit loft contemporain. Cependant, loin de vouloir jouer sur le passé manufacturier de l'adresse, les concepteurs l'associent à un agencement proche de celui d'une serre, dans lequel les plantes et les pots en terre cuite côtoient le bois et les parois vitrées. Un environnement organique qui, juxtaposé au mobilier simple et confortable ainsi qu'aux nuances pastel des comptoirs et divers détails, n'omet pas pour autant les références à la brillance du matériau auquel il fait écho. Car les éléments sobres ne le sont pas tant que ça. En effet, des légers liserés en laiton ornant les banquettes, le sol et les comptoirs, aux suspensions lumineuses cuivrées, l'or est ici disposé par touches et s'intègrent discrètement au décor organique. À la manière d'une usine en friche dans laquelle la nature aurait repris ses droits, Au79 nous rappelle que " l'authenticité est d'or ". L'endroit idéal pour commencer sa journée par un retour aux sources. Pour en savoir plus, visitez le site de Mim Design Photographies : Peter Clarke

Aussi singulier que son créateur à la fois designer, ingénieur, pilote d'avion et peintre " Illia Sergeevich Potemine ", dont il reprend les initiales, ISP est un élément d'éclairage qui brille par sa conception et son design innovant. Enveloppé dans un écrin de laiton poli, l'ISP n'utilise ni ampoule, ni interrupteur. L'objet lumineux est simplement composé d'un tube translucide agrémenté d'un circuit led interne dont l'intensité lumineuse varie selon sa position dans le boîtier métallique qui le contient. Grâce à sa résistance ajustable placée sur une base en marbre, l'objet peut aussi bien servir de lampe de chevet que d'applique murale. Avec son petit format " le corps mesure seulement 37 centimètres pour 8 centimètres de diamètre ", ISP tient dans la main de son propriétaire tel une baguette magique qui, lorsqu'elle sort de son étui, ensorcelle quiconque la regarde. " Cent ans après le suprematisme de Malevitch, lui-même ex-dessinateur industriel pour les chemins de fer, Ilia Sergeevitch Potemine invente une nouvelle avant-garde: le constructivISP. Ou le degré suprême de la pureté des objets ", DCW Édition Une simplicité déconcertante pour une réalisation des plus atypiques, à retrouver du 9 au 12 septembre au showroom de DCW à l'occasion de la Paris Design Week. Showroom DCW Édition Paris Design Week, du 9 au 12 septembre 2017, 30 rue des Trois Bornes, Paris (11e). Pour en savoir plus, visitez le site de DCW. Photographies : DR DCW Édition

À l'occasion des 90 ans de l'école d'ikebana " art floral ancestral japonais " Sogestsu , l'établissement organise l'exposition " Hana So ". Un événement couronné par l'installation réfléchissante monumentale du studio nendo, réinterprétation de la végétation locale , conçue pour accueillir les compositions réalisées par les étudiants. Dans un environnement en pierre imaginé par le plasticien Isamu Noguchi, l'équipe de designers dirigée par Oki Sato fait ramper un lierre unique, composé de 40 000 losanges en acier inoxydable finition miroir. Ces lianes aériennes prennent possession du lieu, comme la végétation dans une forêt. Grâce à la nature kaléidoscopique de l'ensemble, les compositions florales qui y sont disposées bénéficient d'une toute nouvelle appréciation. Les miroirs morcèlent les couleurs, les formes, créant une mosaïque atypique, située entre tradition et impressionnisme. On retrouve dans ce travail le goût pour la poésie et la délicatesse du studio nippon qui articule à la perfection un matériau industriel et froid aux plantes, matières vivantes, vedettes du lieu. " Avec cette exposition commémorant notre 90e anniversaire, je pense que j'ai atteint l'objectif de ?défier quelque chose de nouveau?, qui constitue une première étape vers notre centenaire ", Akane Teshigahara, directrice de l'école Sogestsu Avec cette réalisation, nendo prouve que même une discipline aussi vieille que l'ikebana peut toujours être réinventée et rester moderne malgré son ancienneté. Pour en savoir plus, visitez le site de nendo Photographies : Kozo Sekiya

Au-delà de la prochaine baisse de 5 euros des APL, toute baisse future de cette aide au logement ne pourra se faire que si les loyers du parc social reculent aussi, selon Jacques Mézard.

Dans le Central New Hampshire, aux USA, l'agence Anmahian Winton Architects, de Cambridge (MA), a livré en 2017 un observatoire astronomique pour un client privé : le Gemma Observatory. Communiqué. Cet observatoire astronomique privé est situé sur un sommet isolé dans le centre du New Hampshire. Le site est caractérisé par des affleurements en granite […] L'article La tête dans les étoiles avec le Gemma Observatory est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Pour lutter contre les marchands de sommeil, un rapport préconise de faciliter leur expropriation, de confisquer leurs biens et de financer la rénovation de l'habitat vétuste.

Fermé au public pour cause de travaux, le palais parisien de Chaillot s'apprête à rouvrir ses portes à partir du 16 septembre, à l'occasion des journées européennes du patrimoine.

Alors que se profile la date fatidique du 1er janvier 2019 pour la mise en vigueur de la norme européenne Stage V sur la régulation des émissions de d'oxydes d'azote et de particules, le motoriste Hatz tient ses moteurs déjà prêts.

Réalisée par l'agence chinoise LOOK Architects dans le but de connecter la rivière Minjang et le lac de Fuzhou (Chine) à travers le Jinniushan, une montagne vallonnée et verdoyante, la passerelle protéiforme Trans-Urban Connector est un projet urbain et paysager ambitieux s'intégrant à la perfection à son environnement. L'installation est composée d'un ensemble de passerelles en acier disposé sur 6,3 kilomètres de long s'inspirant de la topographie sinueuse du site. Commande du gouvernement chinois, ce parcours vise à valoriser l'une des villes les plus vertes du pays, surnommée " banyan city " en raison des nombreux arbres de cette espèce peuplant le Jinniushan. Le site verdoyant et aquatique sur lequel prend place le Trans-Urban Connector mérite en effet d'être observé lentement, depuis la canopée. Les composants de ce pont sont modulables et peuvent être déplacés et réinstallés sans grande difficulté, permettant ainsi à l'installation de se fondre dans le paysage dont il suit les ondulations. Pour minimiser l'impact visuel d'une telle construction sur un panorama d'exception, les poteaux en sont largement espacés. Et pour ne rien gâcher de la vue et laisser la végétation de prospérer, tabliers et les garde-corps sont en outre composés de caillebotis en acier. Le projet de LOOK Architects comprend également des commodités, des tours d'observation ainsi qu'un café, offrant à chacun la possibilité de profiter de cette balade à son rythme. En tout, dix points d'arrêt sont intégrés dans la passerelle qui bénéficie également, XXIe siècle oblige, d'une connexion wifi. Le parcours permet d'apprécier sous un autre "il les différents points d'eau de la région ainsi que le paysage sinueux et luxuriant. Pour en savoir plus, visitez le site de LOOK Architects Photographies : Zhou Yue Dong

Tabe, fabricant de brise-roche hydrauliques depuis plus de 40 ans, lance sur le marché un nouveau modèle : le BRH MT 80 de gros tonnage.

Le portail de services en ligne e-btp et Autodesk, développeur de logiciels pour les spécialistes de la conception, du bâtiment et de l'ingénierie signent un partenariat.

A vos agendas ! Un coup de projecteur initié par l'association 2A2F sur les actions à mettre en "uvre pour garantir l'avenir du fret ferroviaire est organisé le jeudi 7 septembre 2017 à Valenciennes.

Paru en avril dernier aux éditions Canal Architecture, l'ouvrage Construire Réversible pose la question de la réversibilité des constructions face à la multitude de locaux tertiaires proliférant dans des espaces où la pénurie de logements fait rage. " Qu'attendons-nous pour construire des bâtiments réversibles ? ", voilà la question que se pose l'architecte et fondateur de Canal Architecture, Patrick Rubin. S'il est vrai que l'usage multiple d'un édifice n'est pas un concept nouveau " rappelons-nous notamment de la maison Dom-ino du Corbusier (1915) ou du Däckshus d'Erik Friberger (1960) ", le contexte politique, économique et social actuel oblige les nombreux acteurs du logement à repenser la réversibilité. C'est donc autour de ce thème que s'articulent les pensées d'architectes, d'urbanistes, de designers mais également de politiciens, d'économistes, de sociologues ou encore de politologues dans le recueil de textes que propose Canal Architecture. En effet, pour répondre à cette question fondamentale sur l'avenir de la construction, Patrick Rubin ne disserte pas seul mais interroge un large panel de protagonistes de la construction, croisant ainsi les opinions de façon à mieux appréhender la nature hybride des édifices, car là où des bureaux sont laissés vides, des possibilités d'habitation existent. Car, au-delà d'être le premier art selon la classification d'Hegel, l'architecture est indéfectiblement en lien avec la vie et les ouvrages ne sont pas seulement conçus pour leur attrait esthétique mais bel et bien pour être habités : " c'est-a?-dire a? la fois se loger, travailler, étudier, se divertir, aimer et vieillir ", précise Patrick Rubin. Pour répondre aux problèmes d'hébergement dans les métropoles, la réhabilitation d'espaces inoccupés paraît être une bonne solution mais, ainsi que le souligne Jean-François Blassel, architecte-ingénieur et responsable du DPEA Architecture Post-Carbone à l'ENSA de Marne-la-Vallée (77), ne paraît pas bénéfique dans " la logique du marché actuelle, fondée sur une maximisation du profit immédiat ". Le coût donc, semble être une des premières contraintes à une seconde-vie du bâti. En effet, si aujourd'hui il est plus compliqué de louer un appartement qu'un bureau, la société semble encourager la production de locaux tertiaires plutôt que le changement d'affectation d'espaces vacants. La lenteur de l'obtention des permis de construire et l'absence de " permis bis de logements transformés avec des coûts limités ", comme le suggère l'architecte-urbaniste François Leclercq, compliquent également la mise en "uvre de tels projets. L'idée de Patrick Rubin va plus loin que la simple reconversion d'un ancien édifice ; elle consiste à lui donner une identité mixte, entre anciennes et nouvelles fonctions et apparences. La réversibilité, elle, réside dans la conception d'une structure labile dès le départ, offrant aux immeubles la capacité de se transformer et de s'adapter aisément si besoin. Les différentes possibilités d'appropriations apparaîtraient alors dès la phase d'étude, de façon à anticiper les évolutions d'un monde où la limite entre espaces privés et publics tend à se fondre. "Ce serait peut-être intéressant que le 1 % artistique ou autres, comme le pratique Patrick Bouchain dans ses architectures, passe devant la marge dans le cahier des charges. Pour que la réversibilité? ne demeure pas une solution technique mais un acte politique ", Se?bastien Thie?ry, politologue Pour étayer sa théorie, Patrick Rubin s'appuie sur sept principes de conception, allant de la réduction de l'épaisseur des bâtiments à la mise en place du procédé de construction poteaux-dalles, en passant par l'utilisation de doubles niveaux. Le tout est méticuleusement expliqué et illustré à l'aide de schémas et de plans, simplifiant la compréhension du concept. Enfin, pour conclure sa thèse et son ouvrage, l'auteur anticipe l'architecture de demain avec une fiction, montrant l'application concrète des principes et idées soulevés tout au long du livre. Construire Réversible dédramatise l'architecture en proposant des solutions qui remettent l'humain au centre de tout bâti. Pour en savoir plus, visitez le site de Canal Architecture Illustrations : DR Canal Architecture

Au 30 juin 2017, la puissance raccordée du parc solaire photovoltaïque atteint 7,4 GW. Au cours du premier semestre 2017, 8 558 nouvelles installations ont été mises en service, d'une capacité totale de 233 MW. Le rythme de raccordement est plus faible que l'an dernier (343 MW mis en service au prem...

Le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment a invité le 1er septembre dernier les éditeurs de logiciels à imaginer de nouvelles modalités d'accès à l'information technico-réglementaire et à son usage.

Sur l'île sud-coréenne de Jeju, l'agence d'architecture Moon Hoon, basée à Séoul, érige une drôle de maison faite de boîtes en porte-à-faux, reliées entre elles par des poutres diagonales en béton. Ironiquement nommée Simple House, cette réalisation aux multiples lignes n'est pas sans rappeler les jeux de construction de notre enfance. Entièrement réalisée en béton, cette demeure répond à des problématiques climatiques bien spécifiques à l'île de Jeju qui, bien que dotée de plages paradisiaques et d'une végétation luxuriante et variée, est également soumise à un climat capricieux, notamment à des tempêtes fréquentes. L'architecture locale doit donc s'adapter pour perdurer sans être affectée par les éléments météorologiques. Partant de ce constat, les concepteurs ont opté pour une réinterprétation contemporaine et légère du bunker tout en réinterprétant des éléments les habitations traditionnelles de l'île, notamment dans la forme du toit et des poutres obliques l'entourant qui recréent la silhouette des maisons de Jeju. Réparti sur trois étages, le bâtiment de plus de 200 mètres carrés comprend trois blocs " correspondant chacun à un niveau ", empilés les uns sur les autres, de manière à ce que les propriétaires bénéficient des meilleures vues possibles. Chaque extrémité est marquée par un balcon en verre auxquels les résidents accèdent par une large baie vitrée. Le tout est surplombé par un immense toit-terrasse avec jacuzzi offrant une vue imprenable sur les forêts alentours. Si le rez-de-chaussée contient les espaces de circulation et de divertissement " cage d'escalier, salle de jeux et salle de sport ", le premier étage accueille les pièces de vie " cuisine, salle à manger et salon ", tandis que le dernier est destiné aux couchages. Un intérieur à l'image de l'enveloppe : alambiqué et tortueux, avec par exemple, un grand escalier éclairé par une lucarne à son sommet qui illumine les différents paliers tout au long de la journée et des volumes inégaux et aléatoires définissant les plafonds. Un projet s'inscrivant dans la ligne des précédents réalisés par Moon Hoon, alliant élégance et originalité à la perfection. Pour en savoir plus, visitez le site de Moon Hoon Photographies : DR Moon Hoon

17 puits de lumière en ciment blanc i.design Ultracem 52,5 N SB de Ciments Calcia ornent les salles d'audience et les bureaux du nouveau pôle judiciaire de Martigues.

La gamme de mâts d'éclairage d'Atlas Copco a été complétée du modèle HiLight V4W, un nouveau produit conçu pour fournir un fonctionnement performant à des altitudes élevées et dans des conditions météorologiques extrêmes.

La division moteurs du groupe Liebherr s'est lancée dans le développement de moteurs diesel de grande puissance pour équiper ses propres engins ainsi que les matériels des marques concurrentes.