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Résultats de recherche pour federation promoteurs constructeurs

(88 résultats)
Il y a 1 ans et 106 jours

La colère monte chez les professionnels du bâtiment qui lancent un dernier appel avant le point de non-retour

La colère monte" chez les professionnels du bâtiment, a prévenu jeudi 22 février la fédération de promoteurs et constructeurs Pôle Habitat, mettant en garde contre un mouvement comme celui des agriculteurs.
Il y a 1 ans et 106 jours

La colère monte chez les professionnels du bâtiment qui lancent l'appel de la dernière chance

La colère monte chez les professionnels du bâtiment, a prévenu jeudi 22 février la fédération de promoteurs et constructeurs Pôle Habitat, mettant en garde contre un mouvement comme celui des agriculteurs.
Il y a 1 ans et 338 jours

g7 la crise du logement en question

Alors que les membres du G7 doivent se réunir au Japon pour parler de logement, de climat et d’urbanisme, les représentants de Build Europe – qui rassemble des fédérations nationales de promoteurs, constructeurs, et aménageurs – ont appelé les ministres à se pencher sur la question du logement abordable, et à trouver des pistes pour faire face à la crise du logement qui touche de nombreux pays de l’OCDE.
Il y a 1 ans et 338 jours

Promoteurs et constructeurs appellent le G7 à faciliter la construction de logements

Des fédérations européennes de promoteurs immobiliers, constructeurs et aménageurs ont appelé mercredi les ministres de l'aménagement du G7, qui se réunissent à partir de jeudi 6 juillet au Japon, à faciliter la construction pour garantir "l'abordabilité du logement".
Il y a 2 ans et 104 jours

Coups d'arrêt dans l'immobilier, les craintes de marasme s'accentuent

L'ancien ralentit, le neuf s'écroule : le marasme guette le secteur de l'immobilier, frappé par des conditions de crédit plus difficiles."2022 a marqué, vraiment, une grande dualité, avec deux semestres qui sont particulièrement prononcés": le premier en nette hausse, le second en forte baisse, a exposé Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières chez les Notaires du Grand Paris.Trois causes majeures à ce ralentissement, a-t-elle détaillé: "la difficulté du crédit à l'habitat, qui devient plus onéreux et plus compliqué à obtenir; un contexte général, aussi bien économique que géopolitique, plus tendu; et peut-être un engouement pour la maison au vert (...) qui semble se terminer."Depuis le confinement du printemps 2020, les prix des maisons anciennes augmentaient plus vite que ceux des appartements, poussés par une envie accrue de vert et d'espace.Si le prix des maisons continue d'augmenter plus vite que celui des appartements (5,8% contre 3,5%), les rythmes tendent à se rejoindre. "Une partie de ce que l'on qualifie d'appel du vert était aussi un appel de prix plus bas", souligne auprès de l'AFP Alain Tourdjman, directeur des études économiques chez BPCE.Maintenant que le prix des maisons a rattrapé celui des appartements, elles deviennent mécaniquement moins attractives, dit-il.Les craintes sur la consommation d'énergie et la réglementation qui se durcit pour les possesseurs de passoires thermiques ont pu pénaliser davantage le marché des maisons, celles-ci étant en général plus grandes et plus énergivores, pointe Alain Tourdjman.L'immobilier en province, qui augmentait plus vite qu'en Île-de-France, décélère aussi, même s'il continue de surclasser la région parisienne (6% d'augmentation annuelle, contre 1,4%).Coûteux créditsMais la cause principale du freinage est la difficulté à emprunter.La remontée rapide des taux d'intérêt a renchéri le coût du crédit. Si bien, ont calculé les Notaires du Grand Paris, qu'un acquéreur qui pouvait acheter une maison de 100 mètres carrés en janvier 2022 ne peut plus acquérir, avec le même montant emprunté, que 88 mètres carrés un an plus tard.Le taux d'usure, qui interdisait aux banques de prêter au-delà d'un certain taux, a un temps grippé le marché, avec des acquéreurs qui devaient rétracter leurs offres faute d'accès au crédit.Mais l'assouplissement de la réglementation décidé fin janvier ne va pas pour autant relancer le marché, estiment plusieurs professionnels. "C'est plus la contrainte de l'environnement économique et de la baisse du pouvoir d'achat qui réduit les volumes de crédit que le taux d'usure", estime Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim).Par rapport à l'inflation (5,2% en 2022), les prix de l'immobilier sont d'ores et déjà en baisse, souligne-t-il.Et ça ne va pas s'arrêter là. "Oui, nous allons assister à une poursuite de la décélération des prix dans les prochains mois", dit-il.Les économistes de BPCE estiment même que les prix dans l'ancien devraient refluer d'ici à la fin de l'année, de 2 à 3%.Le neuf en panneDu côté de l'immobilier neuf, les très mauvais chiffres s'accumulent. Jeudi, le pôle habitat de la Fédération française du bâtiment, qui regroupe aménageurs, promoteurs, constructeurs de maisons et rénovateurs, s'est alarmé d'une "crise sévère" touchant le secteur.Les constructions de maisons individuelles en lotissements ont chuté de 22,2% en 2022, celles en secteur diffus (hors lotissements) de 31%.En cause, pointe le pôle habitat, la remontée des taux d'intérêt, mais aussi la hausse des coûts de construction, aggravée par la guerre en Ukraine, et l'affaiblissement de dispositifs de soutien aux acquéreurs.
Il y a 2 ans et 108 jours

L'immobilier neuf tombe en panne et fait craindre aux promoteurs une "crise profonde"

Les statistiques, publiées vendredi par le ministère de la Transition écologique, de la commercialisation de logements neufs, ont de quoi inquiéter.Les réservations des particuliers auprès des promoteurs n'ont cessé de décliner au cours de l'année. Au dernier trimestre, avec 22.500 réservations, elles ont été à peine supérieures à leur niveau pendant le confinement du printemps 2020.Au total, les particuliers ont réservé quelque 110.000 logements en 2022, soit 15% de moins qu'en 2021."Ce n'est pas bon du tout, et malheureusement, ce qu'on avait prédit arrive", regrette Grégory Monod, président du Pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, qui représente promoteurs, constructeurs de maisons et aménageurs. "Le logement collectif s'enfonce inexorablement, lentement mais sûrement, dans une crise profonde, et on le voit encore plus au travers des chiffres de la commercialisation", dit-il.Depuis 2020, les professionnels alertaient sur un manque d'offre, pointant la frilosité des maires à signer des permis de construire.Le nombre de mises en vente sur l'année a d'ailleurs baissé lui aussi en 2022, de 6%, à environ 110.000."On a vu nos chiffres de l'offre se casser la figure. Et depuis quelques mois, les chiffres de la demande sont aussi en chute libre", se désole Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Le manque d'offre, souligne-t-il, entraîne mécaniquement une baisse de la demande. "C'est une lapalissade : vous ne pouvez pas vendre ce que vous n'avez pas à vendre !"DésistementsMais ce sont surtout les réservations qui subissent un coup de frein.Comment l'expliquer ?D'abord, les acquéreurs sont pris en tenaille entre des prix de commercialisation élevés et un pouvoir d'achat qui s'effrite. "On a atteint des niveaux de prix qui ont explosé, avec l'augmentation des coûts des matériaux et l'envolée des taux", constate Grégory Monod. Les coûts des matières premières, et donc des chantiers, ont en effet grimpé dans le sillage de la guerre en Ukraine.Les promoteurs doivent donc vendre plus cher pour que leurs opérations restent rentables... mais les particuliers ne peuvent pas suivre."Les arbres ne grimpent pas jusqu'au ciel", grince Pascal Boulanger.La remontée rapide des taux d'intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d'usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d'un certain taux, a empêché des acquéreurs de décrocher leur crédit.Ce qui explique que les désistements aient été de plus en plus nombreux : au dernier trimestre, les annulations de réservations ont représenté plus de 20% du total, selon les chiffres du ministère.Il y a aussi des acquéreurs, "minoritaires" parmi les désistements, "qui réservent, puis se disent +c'est pas le moment+ et qui annulent sans raison", raconte Pascal Boulanger.Face à ces contraintes, de plus en plus de promoteurs préfèrent reporter le lancement de certaines opérations voire y renoncer ; cela arrive dans près d'un cas sur cinq, selon Pascal Boulanger.Du côté des ventes en bloc, c'est-à-dire des ventes d'immeubles entiers, la situation n'est pas meilleure, avec une chute de 20% des réservations en 2022. Essentiellement du fait des bailleurs sociaux.La hausse des taux d'intérêt a en effet fait gonfler leur dette, et les chantiers de rénovation énergétique accaparent déjà une bonne partie de leurs investissements."On a pas mal d'inquiétudes pour 2023", confie Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat (ESH), les bailleurs sociaux privés.
Il y a 3 ans et 44 jours

Build Europe envoie des centaines de lits en Pologne pour aider les réfugiés ukrainiens

L'organisation, qui représente les fédérations nationales de promoteurs, constructeurs et aménageurs européens a livré plus de 500 lits en aide aux Ukrainiens et a interpellé la présidente de la Commission Européenne.
Il y a 3 ans et 174 jours

Les acteurs du cadre de vie présentent leur rapport "Pour une vision renouvelée de l’habitat individuel"

Cette démarche collective réunissant les principaux acteurs du secteur : Fédération des SCoT, Union Nationale des Aménageurs, Conseil National de l'Ordre des Architectes, Office Professionnel de Qualification des Urbanistes, Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment, Fédération des Promoteurs Immobiliers, Fédération Française des Constructeurs de Maisons Individuelles, a abouti ce 16 décembre, à la remise à Emmanuelle WARGON, Ministre déléguée auprès de la Ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, d’un rapport inédit compilant diagnostics et propositions afin de repenser puis faire évoluer l’habitat individuel. La Ministre a accueilli les propositions formulées avec la plus grande attention.Un groupe de travail pluridisciplinaire pour une approche à 360°Autour de l’Ordre des géomètres-experts, l’objectif du groupe de travail était de concilier trois impératifs : la trajectoire de sobriété foncière souhaitée par le Gouvernement pour répondre aux enjeux environnementaux, les besoins en matière de logements face à une tension croissante sur le marché résidentiel, et le souhait des Français voulant très majoritairement résider dans des logements individuels.Le rapport qui résulte des travaux, disponible via ce lien, articule un diagnostic de la production neuve d’habitat individuel, du parc existant et des aspirations résidentielles des Français, ainsi que des propositions portant autant sur l’intensification urbaine douce que sur le développement d’une offre nouvelle intégrant les enjeux de sobriété foncière.Vers une vision renouvelée du cadre de vieLes crises se succèdent mais les besoins fondamentaux de nos concitoyens restent. Les modes de fabrication des espaces urbains et des territoires doivent être renouvelés pour inventer de nouveaux modèles de développement.Les métropoles portent une vision de la croissance et de la densité, qui ne saurait obérer le choix de vivre dans des villes petites ou moyennes, ni le choix de s'installer dans les communes les moins denses qui occupent les trois-quarts du territoire.Enfin la complémentarité des typologies d’habitat (collectif, individuel, groupé, maisons de villes) des modes de financements (accession et locatif, libre et social), des services, des emplois et des équipements souligne toujours plus le besoin d’une vision transversale et prospective.Dans un contexte de doute sur le modèle dominant, de graves crises de production du logement, et de crises énergétiques et environnementales, les professions réunies rappellent comment ils peuvent, avec des outils de production du logement renouvelés, concourir à faire émerger des solutions politiques, économiques et environnementales. Avec ce rapport, ils flèchent vers des réformes possibles et souhaitables.Conjuguer intensification du tissu existant et développement d’une offre nouvelle plus sobre en foncier : des solutions sont possiblesLes professions réunies font le constat que l’habitat individuel, par sa souplesse d'organisation spatiale, permet d'utiliser des emprises foncières de petite taille ou de configuration complexe et représente une réponse pertinente pour fabriquer une densité de proximité heureuse, traiter les discontinuités urbaines et territoriales, et recycler les friches urbaines et périurbaines des bourgs, petites villes et villes moyennes qui maillent notre territoire.Il constitue également un moyen de conforter la place des pôles urbains secondaires et tertiaires, à l’heure où la réduction des déplacements pendulaires doit être une priorité pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre.Pour le tissu d’habitat individuel existant, une double opportunité d’amélioration et d’intensification ressort dès lors qu’il peut proposer des formes urbaines adaptées plus économes en foncier. Trois axes de travail porteurs de solutions ont ainsi été identifiés :Améliorer la qualité de l’existant avec des approches mutualisées à l’échelle du territoire ou du quartierLever les freins, notamment réglementaires, à la densification et créer une incitation fiscaleRenforcer l’approche opérationnelle et professionnelle de la densification, en favorisant l’innovation et acculturant les collectivités à un urbanisme de projetEn complément, et pour répondre notamment à l’attractivité renouvelée de territoires jusqu’alors détendus, le groupe de travail a également identifié trois champs d’intervention prioritaires pour le développement d’une offre nouvelle d’habitat individuel sobre en foncier :Agir sur la fiscalité pour lutter contre la rétention foncière et encourager le développement de l’offre nouvelle à proximité des bassins d’emplois, de services et de transports et en secteur urbain constituéPromouvoir le développement de formes plus denses, en redéfinissant la notion d’habitat individuel, groupé ou organiséRenforcer la qualité de la planification et des documents d’urbanisme, et lutter contre les règles contraires à l’objectif de sobriété foncièreLa nécessité de bien prendre en compte les diversités des habitats, des besoins et des territoires« Ce qu’il faut retenir, c’est un écueil, celui qui voudrait nous voir mettre en concurrence l’habitat individuel face à l’habitat collectif. » Joseph Pascual, Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, l’a rappelé lors de la présentation du rapport : « Un parcours résidentiel serein et répondant aux besoins des Français ne peut se bâtir qu’en intégrant la diversité des typologies d’habitat proposées : on n’habite pas de la même façon pendant ses études, à l’arrivée du 3ème enfant, ou en vieillissant lorsque l’on devient moins mobile. Toutes les offres résidentielles doivent être adaptées, contextualisées au regard des attentes des Français et des besoins spécifiques des territoires. Cette territorialisation de la trajectoire nationale de sobriété foncière sera nécessairement accompagnée par les experts du foncier que sont les géomètres-experts, les acteurs de l’aménagement, de la construction et du cadre de vie. »
Il y a 3 ans et 202 jours

Toujours pas de reprise pour les logements neufs en France

Il n'y a toujours pas de "mécanique de rattrapage", a expliqué Pascal Boulanger, président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) lors d'une conférence de presse, alors même que les indicateurs sont au vert: "le revenu des ménages progresse" et "les conditions de l'accès au crédit restent favorables", notamment avec la prolongation du prêt à taux zéro.Entre juillet et septembre, les promoteurs, l'une des deux grandes branches du logement neuf avec les constructeurs de maisons, ont vendu 28.247 logements, soit 3% de moins qu'un an plus tôt. Mais comparé au niveau d'avant-crise, la baisse s'élève à 23,2%.L'année 2019 n'avait pas non plus été exceptionnelle pour le logement neuf: avec les élections municipales 2020 qui arrivaient, le nombre d'autorisations de permis de construire avait chuté, un phénomène cyclique habituel pour le secteur.Le logement neuf reste donc en berne et ces chiffres "ne sauraient masquer la pénurie désormais manifeste de logements adaptés aux besoins des ménages", a alerté la FPI.Concrètement, "en rythme annuel, les maires autorisent aujourd'hui 50.000 logements collectifs de moins qu'en 2017. Si la reprise nous échappe, c'est donc le résultat d'un choix collectif implicite et subi, celui de la rareté du neuf dans les villes attractives", développe la fédération."Le vrai sujet c'est l'acceptabilité de l'acte de construire", estime son président, qui constate une réticence des maires découlant du blocage des populations à accepter de nouvelles constructions dans leurs environs."Nous attendons de l'Etat qu'il incite fortement les maires à reprendre les stylos pour signer les permis de construire", a dit M. Boulanger, saluant toutefois le renforcement des aides aux maires bâtisseurs.
Il y a 4 ans et 201 jours

Après une nouvelle baisse au troisième trimestre, le marché du logement neuf à un niveau historiquement bas

En un an, "on a (...) perdu un tiers du marché", a regretté Marc Villand, l'un des cadres de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), lors d'une conférence de présentation des chiffres du secteur pour le troisième trimestre. Ces derniers sont mauvais. Entre juillet et septembre, les promoteurs, l'une des deux grandes branches du logement neuf avec les constructeurs de maisons, ont vendu 26.177 logements, soit 28,7% de moins qu'un an plus tôt. Contrairement à d'autres secteurs économiques, les promoteurs n'ont donc pas profité de l'accalmie estivale dans la crise sanitaire du virus, après un premier semestre marqué par des semaines de strict confinement. Cela témoigne de difficultés plus large que la crise sanitaire, même si celle-ci a contribué à bloquer le marché. Les ventes sont en effet en baisse depuis plusieurs années et ont accentué le mouvement fin 2019.Les mises en vente à un niveau "historiquement faible" Les promoteurs y voient d'abord la conséquence de la timidité des élus locaux à octroyer des permis de construire, phénomène accentué selon eux par la très longue campagne des élections municipales conclues en juin. "Moins vous avez d'offres, moins vous avez de réservations (...) parce que le marché se referme", a résumé M. Villand. Les mises en vente, un indicateur du niveau de l'offre, ont, de fait, fortement baissé au troisième trimestre (-37,5%) pour atteindre un niveau "historiquement faible", selon la fédération, à guère plus de 15.000. Un élément apparaît toutefois nouveau. Les prix, qui ne cessent de monter depuis des années, ont ralenti et n'observent qu'une petite hausse (+0,3%) par rapport à un an plus tôt. "Ils ne sont pas en train de s'effondrer", a minimisé M. Villand, s'abstenant de tirer des conclusions avant plusieurs trimestres. Il a toutefois admis que la crise sanitaire prolongée, avec l'entrée en vigueur fin octobre d'un nouveau confinement, était de nature à ralentir la demande. "On est dans une France dépressive", a-t-il résumé. "Personne n'investit." "Il est à peu près logique que dans une période comme ça, (...) les produits restent à leur prix", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 239 jours

5e baromètre "Les Français et l'ascenseur" réalisé par Ipsos pour la Fédération des Ascenseurs

« Tournée à la fois vers aujourd'hui et vers demain, cette nouvelle enquête confirme que pour plus de 7 Français sur 10, la présence d'un ascenseur avant 4 étages est nécessaire. Et pour près de 6 Français sur 10 (58%), l'ascenseur figure (avec le siège monte-escalier ou l'élévateur) en leader des solutions pour le maintien à domicile ! Deux chiffres forts qui attestent du caractère indispensable de ces équipements de mobilité aux yeux des Français. »Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des AscenseursUne attente très forte des Français en 2020 : l'extension à la mobilité verticale des aides à la rénovation des logementsEn lien avec l'actualité de la rénovation des logements, ce 5e baromètre a sondé l'opinion des Français sur les aides financières pour cette rénovation. Aides dont le Gouvernement fait un axe fort du volet BTP de son plan de relance.Les Français sont unanimes quant à un élargissement de ces aides financières à l'équipement en solutions de mobilité verticale : près de 9 Français sur 10 (89%) y sont favorables. Plus d'un tiers (38%) le jugent même essentiel. Une installation dont l'intervention est rentabilisée en quelques mois, qui rend de façon concrète le logement plus accessible et qui facilite la mobilité pour améliorer le quotidien des personnes à mobilité réduite, qu'il s'agisse des personnes âgées ou de tout un chacun dans certaines occasions de sa vie quotidienne. Une des réponses à l'enjeu crucial du maintien à domicile que la Fédération soutient depuis des années.De façon concrète, s'ils étaient mieux informés sur les aides existantes pour s'équiper (en ascenseur, élévateur domestique, monte-escalier, plateforme élévatrice…), 6 Français sur 10 déclarent que cela les inciterait à doter leur immeuble ou leur maison (66% dont 22% certainement).Dans le cas d'un logement en habitat collectif, 7 Français sur 10% attendent que cette information provienne de leur gestionnaire, bailleur ou syndic.Une autre contribution majeure de la mobilité verticale aux yeux des Français : permettre le maintien à domicileLa crise du coronavirus a fait ressurgir d'une façon très vive le souhait des Français de pouvoir vieillir chez eux. Et face aux défis de la perte d'autonomie liée au grand âge, la mobilité des seniors a plus que jamais besoin d'être facilitée pour les aider à rester plus longuement à leur domicile.N'oublions pas, le vieillissement de la population française s'accentue avec 40% de la population qui devrait avoir plus de 65 ans en 2040[1].L'opinion des Français intègre désormais pleinement l'importance et le rôle que peuvent jouer les équipements de mobilité verticale.En effet, les solutions de mobilité verticale (par le biais d'un ascenseur pour un appartement ou bien d'un élévateur ou monte-escalier pour une maison individuelle) sont leaders lorsqu'il s'agit du 1er choix, avec un total de 39%. S'en suivent la salle de bain adaptée pour 33% des Français, puis les sanitaires adaptés pour 10% d'entre eux.Et que pensent les Français de l'équipement des lieux publics ? Globalement satisfaisante, avec 4 axes d'améliorationAlors que l'ascenseur demeure le moyen de transport le plus utilisé avec plus de 100 millions de trajets par jour en France[2], il est omniprésent dans le quotidien de tous et en particulier dans les lieux publics.Les Français sont aujourd'hui globalement satisfaits du niveau d'équipement de ces nombreux lieux : 81% jugent les aéroports et (grandes) gares bien équipés, 78% les bureaux, 75% les centres commerciaux, 67% les parkings, 54% les lieux culturels/musées/cinémas.Pour bien vivre en résidentiel, 7 Français sur 10 jugent l'ascenseur nécessaire avant le 4e étageLe plébiscite des Français pour disposer d'un ascenseur en logement collectif est majeur, la loi ELAN ayant rendu obligatoire fin 2019 la présence d'ascenseurs à partir du 3e étage dans le neuf.La preuve avec ces chiffres qui vont plus loin encore : un tiers des Français (32%) juge l'ascenseur nécessaire à partir du 2e étage. Parmi eux, 43% des femmes et 50% des hommes de plus de 60 ans sont de cet avis. Pour 43%, c'est dès le 3e étage que l'ascenseur est nécessaire, et enfin 19% à partir du 4e. Soit au total 75% de l'opinion pour qui l'ascenseur est nécessaire avant le 4e étage.Et cet équipement reste de façon récurrente un critère décisif pour près d'un Français sur deux quand ils choisissent un nouveau logement, en location comme à l'achat. Pour 19% c'est même un critère systématiquement, pour 30% la plupart du temps.Avec une certaine forme de logique, près de 6 Français sur 10 (54%) de plus de 60 ans ont ce critère de décision à l'esprit, pour 26% d'entre eux il est systématique.Alors que le confinement a obligé des millions de Français à passer bien davantage de temps chez eux, leur expression d'un besoin de bien y vivre s'est faite encore plus vive depuis.Pour cela, accéder facilement à son logement en accomplissant les tâches courantes du quotidien (le transport des courses, l'accompagnement d'un proche âgé ou de ses jeunes enfants) passe par le besoin de pouvoir utiliser un ascenseur.Cette forte attente est certainement liée aux principales situations dans lesquelles la présence d'un ascenseur a pu manquer aux Français en 2020.Il a manqué à :59% pour déplacer des charges occasionnelles (déménagement, encombrants, objets volumineux, valises…)53% des 60 ans et plus l'ont ressenti en 2020 (vs 59% de l'ensemble). Et ‘face à eux', ce sont 7 jeunes sur 10 (73%) entre 18-24 ans qui ont eu ce ressenti (vs 59% de l'ensemble), vraisemblablement parce qu'ils prennent souvent une part active à ce type de ‘transport'.56% pour porter des charges du quotidien (courses, sacs…)Ce sont même près de 7 jeunes sur 10 (67%) parmi les 25-34 ans qui ont souvent ce ressenti, possiblement rattaché à une situation de famille avec jeunes enfants (vs 56% de l'ensemble)53% en étant accompagnés par des proches âgésIci également, ce ressenti est éprouvé par les jeunes, par 57% des 18 à 24 ans qui soutiennent ou ont été amené à soutenir des parents âgés voire leurs grands-parents.40% en étant accompagnés par des enfants en bas âgeDont 45% des 25-34 ans qui déclarent avoir ressenti ce manque d'ascenseur pour se déplacer dans ce cas.36% pour se déplacer suite à un accident de la vieUn jeune sur deux (49%) entre 18 et 24 ans a regretté le manque d'ascenseur en étant dans cette situation (vs 36% de l'ensemble).23% pour sortir de chez soiPrès d'un Français sur 4 s'est senti pénalisé en 2020 dans son besoin de sortir de chez lui parce que son logement n'est pas équipé d'un ascenseur. Un besoin qu'un jeune sur trois de moins de 35 ans (29%) a éprouvé également (vs 23% de l'ensemble).Les jeunes aussi aiment l'ascenseurL'ascenseur semble manquer davantage aux jeunes qu'aux plus âgés au quotidien : souvent aux 25-34 ans dans des situations qui les concernent au quotidien (avec de jeunes enfants, avec des courses) ; mais souvent aussi aux 18-24 ans.On peut y voir la preuve que l'ascenseur est devenu un équipement de ‘base' pour les plus jeunes générations, et non plus un luxe. Jeunes qui d'un point de vue sociologique sont davantage urbains et donc plus à même d'avoir besoin d'un ascenseur pour rejoindre des étages élevés (versus les personnes plus âgées vivant davantage en maison individuelle).En parallèle de ces situations avérées de besoin, les Français expriment aussi des attentes au niveau des (nouveaux) services les plus souhaités dans l'ascenseur.Deux se distinguent :Pour 36% des Français, un système de commande vocale (d'appel, fermeture/ouverture des portes…), une nouveauté qui prend tout son sens en cette période Covid-19 et qui connaît déjà des applications.Pour 31%, un strapontin ou un siège, un souhait en adéquation avec le vieillissement de la population.« Plus que jamais, la mobilité verticale permise par les ascenseurs, escaliers roulants, élévateurs et plateformes, sièges monte-escaliers est un enjeu de société et un besoin fort chez les Français. Alors que les logements sont engagés dans un grand plan de rénovation, les Français souhaitent qu'ils intègrent la mobilité verticale, non seulement pour leur vie de tous les jours mais aussi en songeant au maintien à domicile où la mobilité doit être facilitée. »« Alors que l'immobilier et les Français font face au manque de logements neufs, nous découvrons avec cette étude qu'un tiers de la population (29%, dont 41% des -35 ans) est favorable à la construction de bâtiments hauts de plus de 6 étages. Cet indicateur va dans le sens de notre message, qui est qu'une densification urbaine raisonnée et durable est possible avec la surélévation des bâtiments pour peu que la mobilité verticale y ait bien sa place. Et la profession des ascensoristes et élévatoristes est prête à relever ce défi avec les promoteurs et les constructeurs. »Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des AscenseursMéthodologie de l'enquête :Étude réalisée auprès d'un échantillon national représentatif de 988 personnes de la population française âgée de 18 ans et plus. L'échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, âge, profession de l'individu, région et catégorie d'agglomération, dans le respect de la norme internationale ISO 20252 ‘Études de marché, études sociales et d'opinion'.Dates de terrain : du 25 au 28 août 2020. Étude réalisée sur Internet via le panel Ipsos en ligne.[1] Source : Insee[2] Source : Fédération des Ascenseurs
Il y a 4 ans et 341 jours

La vague écologiste préoccupe le monde du logement

"On craint un coup d'arrêt ou en tout cas un ralentissement", reconnaît auprès de l'AFP Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB).Les résultats des municipales sont sans précédent. Jusqu'alors, Grenoble était la seule métropole française dirigée par un élu vert. Lyon, Strasbourg et Marseille l'ont rejointe, et de plus petites villes comme Besançon et Poitiers.Ces nouveaux maires écologistes ont souvent fait campagne sur une franche opposition aux projets de construction immobilière, au nom de la défense de l'environnement.A Bordeaux, Pierre Hurmic promet ainsi de "geler les programmes immobiliers" pour lutter contre la "bétonisation" supposée de la ville."On s'attend toujours à ce que des villes basculent d'un côté ou de l'autre", explique M. Salleron. "Mais là, on crée une idée nouvelle, celle qu'il faut vivre d'une façon différente"."Aujourd'hui sont arrivées des personnes qui ont vraiment des idées bien arrêtées et je pense qu'il va y avoir un sacré blocage".De telles frictions interviendraient alors que le besoin de logements est pressant dans plusieurs grandes villes gagnées par les écologistes, comme en témoigne une hausse marquée des prix ces dernières années à Bordeaux et, plus récemment, à Lyon.Surtout, la construction a été brutalement interrompue plusieurs mois par la crise du coronavirus, au point de menacer le marché d'un déficit de plusieurs dizaines de milliers de logements neufs cette année.Or, les maires détiennent une responsabilité cruciale dans la politique du logement en décidant ou non d'octroyer la plupart des permis de construire."Si ces élus veulent que la ville soit vraiment écologiste, il ne faut pas qu'ils imposent des choses à des fins électorales et populistes", estime auprès de l'AFP Marc Villand, un responsable de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI)."Sinon, qu'est-ce qui va se passer? Il n'y aura plus de projets nouveaux et les prix de l'ancien vont flamber", insiste-t-il, s'attendant néanmoins à ce que les nouveaux maires écologistes adoucissent leurs discours.Programmes nuancés"Il y a une vertu du pragmatisme dans l'exercice du pouvoir", assure-t-il. "Je connais quelques élus écologistes, ils ne sont pas anti-construction. Enfin, pas toujours".Certains nouveaux maires verts ont effectivement un discours nuancé. Celui de Lyon, Grégory Doucet, veut limiter les immeubles de bureaux dans le quartier d'affaires de la Part-Dieu, mais au profit de nouveaux logements.Comment deviner ce que feront vraiment les mairies vertes?On peut regarder celle déjà en place à Grenoble, dont le maire Eric Piolle a été réélu largement dimanche. Depuis son arrivée au pouvoir en 2014, le nombre de permis de construire des logements y a chuté de près de 40%. Sur la même période, il a aussi décliné en France mais de manière bien moins marquée.Ces chiffres annoncent-il un effondrement dans toutes les nouvelles villes vertes? Difficile d'en juger et certains professionnels refusent d'ailleurs de restreindre leurs inquiétudes aux seuls élus verts.Ils remarquent que certaines thématiques écologistes dominent désormais largement le débat public, comme la lutte contre l'étalement urbain.Avec cette idée, selon laquelle les villes grandissent trop vite au détriment des zones rurales, et son corollaire, l'"artificialisation" des sols, ce sont surtout les constructeurs de maisons qui se sentent menacés."On déconne complètement. Si on ne fait plus de maisons et qu'on ne fait plus d'immeubles, qu'est-ce qu'on va faire?", regrette auprès de l'AFP Patrick Vandromme, patron d'Hexaom, premier constructeur de maisons en France.Il vise surtout la Convention citoyenne pour le climat. Ces citoyens tirés au sort viennent de rendre leurs conclusions et demandent, entre autres, de limiter drastiquement l'artificialisation des sols."C'est inquiétant pour l'avenir du logement et pour la (sortie) de la crise économique", conclut M. Vandromme. "C'est bien gentil de planter de la lavande mais ce n'est pas ça qui va faire repartir la machine."
Il y a 4 ans et 341 jours

Le logement neuf subit un violent coup d'arrêt en France avec une chute de 44% par rapport à 2019

Entre mars et mai, soit en gros la période de confinement décrétée en France contre la propagation du coronavirus, la construction de 53.900 logements a débuté en France, selon les chiffres donnés jeudi par le gouvernement.Il s'agit d'une chute de 44%, par rapport à un an plus tôt, sans surprise alors que de multiples chantiers ont dû s'arrêter pendant des semaines, le temps de mettre en place des mesures sanitaires.Pire encore pour l'avenir, les mairies ont largement cessé l'examen des projets immobiliers. Les permis de construire ont chuté de 40% à 65.700 unités.C'est donc un déficit durable de nouveaux logements qui s'annonce, une tendance préoccupante car il faut maintenir une offre solide pour contenir des prix qui augmentent déjà depuis des années en France, en particulier dans plusieurs grandes villes.Le sujet est d'autant plus crucial que le logement représente une grande part des dépenses des ménages et que ces derniers vont être confrontés à une récession économique d'une ampleur historique: -11% cette année en France, selon les dernières estimations.Est-il encore temps de rattraper le retard pris en matière de logements neufs? Le gouvernement a pris des mesures pour que l'examen des permis reprenne rapidement après la fin du confinement, mais les professionnels sont pessimistes.Le mois dernier, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) estimait que le nombre d'immeubles autorisés allait reculer de 100.000 logements cette année. Et cela ne comprend même pas les maisons individuelles, l'autre pilier du marché.Restrictions sur les empruntsLes inquiétudes du secteur sont multiples car elles concernent à la fois l'offre et la demande.Sur le premier plan, le logement neuf fait face depuis près d'un an à un enchaînement de situations néfastes à l'octroi de permis de construire.Il y a d'abord eu la perspective des élections municipales avec un phénomène systématique, selon les professionnels: les maires sont timides à autoriser des projets potentiellement impopulaires.Là-dessus est arrivée la crise du virus qui a non seulement bloqué l'examen des permis de construire mais aussi prolongé cette période électorale de plusieurs mois, avant que le second tour se tienne enfin fin juin."Ensuite, à la sortie de ça, on a des majorités compliquées, qui regroupent des gens qui ont des divergences", estime auprès de l'AFP Marc Villand, un dirigeant de la FPI.Il estime qu'un certain nombre de nouvelles équipes ont été élues par "dégagisme" et risquent de peiner à s'accorder sur une politique cohérente.Côté demande, les promoteurs et les constructeurs de maisons regrettent que les autorités financières maintiennent des restrictions sur les crédits immobiliers.Ces limites ont été mises en place fin 2019 par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF), qui regroupe entre autres Banque de France et ministère de l'Economie, par crainte que l'essor des emprunts immobiliers finisse par aboutir à des situations difficiles pour les ménages les plus modestes.Les banques ont notamment été invitées à ne plus accepter des remboursements supérieurs à un tiers des revenus d'un ménage.Le secteur immobilier espérait que la crise du virus infléchisse l'attitude des autorités, dans l'idée de ne pas freiner la reprise du marché du logement à la sortie de la crise. Mais il n'en a rien été.Le marché immobilier connaît "une reprise d'activité rapide", a jugé le conseil en juin, maintenant ces mesures et suscitant les critiques de plusieurs acteurs du monde du logement.Les conclusions des autorités financières sont "hors sol", a estimé dans un communiqué Alain Dinin, PDG de Nexity, premier promoteur français."Il n'y a (...) pas de reprise rapide de l'immobilier", mais "il y a pénurie d'offre et il y a +désolvabilisation+ de la demande", a-t-il conclu, annonçant lui aussi une chute durable des nouveaux logements.
Il y a 5 ans et 91 jours

Municipales : que veulent les promoteurs ?

ÉLECTIONS. A quelques jours du premier tour des élections municipales, les fédérations de promoteurs et de constructeurs d'Ile-de-France ont listé leurs propositions aux futures équipes dirigeantes. Foncier, fiscalité, marchés publics : tour d'horizon des demandes du secteur.
Il y a 9 ans et 65 jours

Lyon : le projet Ynfluences Square est Pyramide d'Argent

Icade Promotion s'est vu remettre la Pyramide d'Argent du Grand Prix Régional et le prix de la Mixité Urbaine de la Fédération des Promoteurs Constructeurs qui récompensent son projet Ynfluences Square à Lyon.
Il y a 9 ans et 100 jours

Crédit immobilier : une norme bancaire en préparation inquiète

La FNAIM, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) et les Constructeurs-Aménageurs (LCA-FFB), s'inquiètent dans un communiqué commun, de l'impact négatif que pourrait avoir une nouvelle recommandation bancaire sur le risque de crédit.
Il y a 15 ans et 36 jours

Promoteurs-constructeurs : hausse des ventes au T1, mais avenir incertain

Les ventes de logements neufs par les promoteurs ont enregistré une hausse de 18% au premier trimestre 2010. Mais la Fédération des promoteurs-constructeurs (FPC) tablent sur un chiffre inférieur à 100.000...
Il y a 15 ans et 126 jours

Promotion immobilière : « On a évité le pire, mais on ne satisfait pas aux besoins »

Le président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC), Marc Pigeon, a estimé que la profession avait « évité le pire » grâce à l'efficacité du plan de relance gouvernemental. C?est notamment le dispositif Scellier qui a permis aux promoteurs de redresser la barre. Détails.
Il y a 15 ans et 343 jours

Palmarès des Pyramides d'or 2009

Organisé par la Fédération des Promoteurs Constructeurs de France (FPC), le concours des Pyramides d'or vient de distinguer cinq nouveaux lauréats pour l'année 2009. Les résultats en images...
Il y a 15 ans et 344 jours

Palmarès des Pyramides d'or 2009 (diaporama)

Organisé par la Fédération des promoteurs constructeurs de France (FPC) pour promouvoir l'innovation dans le domaine de la construction, le concours des Pyramides d'or vient de distinguer cinq nouveaux lauréats pour l'année 2009. Découvrez les résultats en images...
Il y a 15 ans et 350 jours

Marc Pigeon prend la tête de la FPC

Marc Pigeon, 57 ans, est le nouveau président de la Fédération des promoteurs-constructeurs (FPC) pour trois ans. Il succède à...
Il y a 15 ans et 350 jours

Le nouveau "boss" des promoteurs-constructeurs

Deuxième tour de piste pour Marc Pigeon qui avait déjà dirigé la Fédération des promoteurs-constructeurs (FPC) entre 2003 et 2006. Hier il a été de nouveau élu pour un mandat de trois ans lors du congrès annuel de la Fédération à Montpellier.
Il y a 16 ans et 16 jours

"Le Village", Pyramide d'Argent 2009

A l'occasion du 13ème Printemps de l'Immobilier, le projet "Le Village", situé dans la ZAC Saint-Charles, à Marseille vient de recevoir la "Pyramide d'argent 2009 - Grand Prix Régional". Décerné par la fédération des Promoteurs Constructeurs de Provence, découvrez ce...
Il y a 16 ans et 135 jours

L'année 2008 à -40% pour les promoteurs

Les promoteurs immobiliers ont connu en 2008 une chute historique avec une baisse de 40% de leurs ventes, selon la Fédération des promoteurs constructeurs. La conjoncture devrait cependant se stabiliser en 2009.
Il y a 16 ans et 139 jours

L'année 2008 à -40% pour les promoteurs

Les promoteurs immobiliers ont connu en 2008 une chute historique avec une baisse de 40% de leurs ventes, selon la Fédération des promoteurs constructeurs. La conjoncture devrait cependant...
Il y a 16 ans et 139 jours

Chute record des ventes des promoteurs immobiliers en 2008

Les ventes des promoteurs immobiliers en 2008 devraient être comprises entre 75.000 et 78.000 logements en 2008 contre 127.400 en 2007, soit une baisse historique de 40%, a annoncé Jean-François Gabilla, le président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC).
Il y a 16 ans et 189 jours

Logement: victimes d'une "crise brutale" les promoteurs veulent des mesures

PARIS, 2 déc 2008 (AFP) - Victimes d'une "crise brutale", les promoteurs attendent des mesures fortes pour la construction dans le plan anti-crise que dévoilera Nicolas Sarkozy, jeudi à Douai (Nord), a déclaré mardi Jean-François Gabilla, le président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC).
Il y a 16 ans et 197 jours

Opération 30.000 logements: les promoteurs "réservés" sur une décote de 35%

PARIS, 24 nov 2008 (AFP) - La Fédération des promoteurs et constructeurs (FPC) a fait part lundi de ses "plus expresses réserves" concernant la décote moyenne de 35% dont aurait bénéficié l'Etat dans le cadre du rachat de 30.000 projets de logements invendus, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Il y a 16 ans et 198 jours

Opération 30.000 logements: les promoteurs "réservés" sur une décote de 35%

La Fédération des promoteurs et constructeurs (FPC) a fait part lundi 24 novembre, de ses "plus expresses réserves" concernant la décote moyenne de 35% dont aurait bénéficié l'Etat dans le cadre du rachat de 30.000 projets de logements invendus, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Il y a 16 ans et 253 jours

Les promoteurs ne vendraient que 90 000 logements cette année

Jean-François Gabilla, président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC), a revu fortement à la baisse ses prévisions de ventes de logements pour 2008 : 90.000 unités contre 127.400 en 2007. Avant l'été, il était encore sur une prévision de 110.000 ventes.
Il y a 16 ans et 288 jours

L'Outre-Mer en désaccord sur le logement intermédiaire

La Fédération des promoteurs-constructeurs de La Réunion déplore que le projet de loi sur l'Outre-mer examiné fin juillet en conseil des ministres "ne propose aucune solution après 2011 pour financer de façon patrimoniale la construction de logements intermédiaires".
Il y a 16 ans et 311 jours

Logement intermédiaire en Outre-Mer : quelles solutions après 2011 ?

La Fédération des promoteurs-constructeurs de La Réunion déplore que le projet de loi sur l'Outre-Mer examiné lundi 28 juillet en conseil des ministres "ne propose aucune solution après 2011 pour financer de façon patrimoniale la construction de logements intermédiaires".
Il y a 17 ans et 35 jours

Pyramides d'or : trois candidats pour l'Alsace et la Lorraine (portfolio)

Trois projets figurent au palmarès 2008 des pyramides d'argent d'Alsace Lorraine. Cette compétition orchestrée par la fédération des promoteurs constructeurs qualifie les lauréats régionaux pour les ...
Il y a 17 ans et 71 jours

Une "année de paradoxe" ou paradoxalement la chute du marché du logement n'est pas si grave ?

La Fédération des promoteurs constructeurs (FPC) a qualifié 2007 d'"année de paradoxe" après un record absolu de 127.420 logements vendus en France et un ralentissement de l'activité qui s'est...
Il y a 17 ans et 71 jours

Marché du logement : «le ralentissement d’activité devrait perdurer en 2008» (FPC)

Dans son analyse conjoncturelle publiée lundi, la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC) prévoit que le ralentissement d'activité constaté depuis le 2e semestre 2007 devrait perdurer en 2008, surtout sur le...
Il y a 17 ans et 89 jours

La baisse des ventes n'inquiète pas les promoteurs

La tendance de la fin 2007, où les ventes avaient commencé à baisser, devrait se confirmer en 2008, selon Jean-François Gabilla, président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC), qui ...
Il y a 17 ans et 91 jours

Ventes en baisse : les promoteurs constructeurs restent confiants

Le président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC) a livré lundi sa vision du secteur en 2008. Assurant que les fondamentaux étaient bons, il s'est dit confiant même si les ventes de logements neufs sont en légère baisse. Il en a profité pour appeler les pouvoirs publics à libérer...
Il y a 17 ans et 92 jours

Promotion immobilière : la FPC confiante malgré la baisse des ventes

Jean-François Gabilla, président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC), s'est dit confiant pour 2008 car "les fondamentaux sont bons", tout en confirmant une baisse des ventes.
Il y a 17 ans et 135 jours

La FPC et l'UESL pour la promotion du Pass-Foncier

Dans le cadre de ses 18è Journées d'études professionnelles, les 22 et 23 janvier, la Fédération des promoteurs constructeurs de France (FPC) a signé une convention avec l'UESL, l'organisme du 1% Logement, pour la promotion du...
Il y a 17 ans et 159 jours

Actu / Reportage : Playtime gagne La Pyramide d'Or 2007

Le prix national de la Fédération des Promoteurs Constructeurs de...
Il y a 17 ans et 173 jours

Neuf : Fléchissement du marché au troisième trimestre

Selon la Fédération des Promoteurs Constructeurs (FPC), le marché du...
Il y a 17 ans et 174 jours

Michel Auzon devient délégué général de la FPC

Le secrétaire général de la Fédération des promoteurs constructeurs de France vient d'être nommé au...
Il y a 17 ans et 177 jours

Logement neuf : fléchissement du marché au 3e trimestre

Selon la Fédération des Promoteurs Constructeurs (FPC), le marché du logement neuf au 3e trimestre 2007 connaît «un fléchissement attendu». Et pour l'année prochaine, le marché s'inscrit dans «une dynamique moins favorable». Détail de l'étude et explications...
Il y a 17 ans et 181 jours

Pour les promoteurs, Nicolas Sarkozy donne "une impulsion nouvelle" au logement

La Fédération des promoteurs constructeurs (FPC) a salué les propositions du président de la République Nicolas Sarkozy sur le logement qui "donne une impulsion nouvelle au développement du secteur", ...