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Résultats de recherche pour issy les moulineaux

(230 résultats)
Il y a 19 jours

À Issy-les-Moulineaux, Daniel Libeskind entre en gare

À Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), l’architecte Daniel Libeskind a été sélectionné en février 2025 pour transformer le quartier de la gare de la future ligne 15 avec un projet mixte de logements, bureaux, commerces, etc. Surface : 20 000 m². Coût : n.c. Communiqué de la ville. À l’issue d’un concours international réunissant huit équipes prestigieuses, c’est l’architecte américain […] L’article À Issy-les-Moulineaux, Daniel Libeskind entre en gare est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 32 jours

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À l’issue d’un concours international réunissant huit équipes, l'architecte américain Daniel Libeskind, en partenariat avec La Compagnie de Phalsbourg, a été sélectionné pour concevoir l’édifice phare du quartier Léon Blum, à Issy-les-Moulineaux, autour de la future ligne 15 du Grand Paris Express.
Il y a 178 jours

La restructuration d'Equilis contribue à la revitalisation du quartier Val de Seine à Issy-les-Moulineaux (92)

La ville d'Issy-les-Moulineaux poursuit un ambitieux programme de transformation urbaine sur le quartier Axe Seine au nord de la ville. Le projet de redéveloppement d'Equilis - un immeuble de bureaux de 17.055 m2 géré par PIMCO Prime Real Estate pour le compte d’Allianz - est un exemple de ce renouvellement urbain. Ce redéveloppement est le dernier d'une série de projets de transformation d'actifs exécutés par la société en France.
Il y a 361 jours

Là où la ville change, par Alexis Paoli

La transformation de la ville n’est jamais qu’une promesse enfermée de palissades. Que reste-il d’un quartier quand tous ses habitants sont partis ? Récit du photographe Alexis Paoli. Dans l’album de mes souvenirs d’enfant, les paysages urbains le long des quais de Seine, entre Saint-Cloud, Sèvres, Meudon, Issy-les-Moulineaux et Paris figurent en bonne place. Ce trajet […] L’article Là où la ville change, par Alexis Paoli est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 2 jours

Hauts-de-Seine : coup de neuf pour la gare du RER C, à Issy-les-Moulineaux

Les travaux menés par la SNCF Gares & Connexions dans le cadre de la rénovation de la gare du RER C à Issy-les-Moulineaux, dans le...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 6 jours

À Issy-les-Moulineaux, Equilis, immeuble réhabilité par AAAB

L’Agence d’Architecture A. Bechu & Associés (AAAB) a conçu à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour Pimco Prime Real Estate maître d’ouvrage, la réhabilitation d’un immeuble de bureaux devenu Equilis. Surface : 16 500 m². Coût : n.c. Livraison prévue : septembre 2024. Communiqué. Le programme demandait : un socle serviciel, six plateaux de bureaux de 1 718 m², quatre niveaux de sous-sols regroupant des […] L’article À Issy-les-Moulineaux, Equilis, immeuble réhabilité par AAAB est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 13 jours

À Issy-les-Moulineaux, La Serre, selon MVRDV

À Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour OGIC maître d’ouvrage, l’agence néerlandaise MVRDV a imaginé La Serre, un programme immobilier avant-gardiste de 190 logements (30 % social) du studio au 5-pièces alliant architecture contemporaine, cohésion sociale et nature. Surface : 12 700 m² SDP. Budget : n.c. Livraison prévue : 2026. Communiqué du maître d’ouvrage. Située en plein cœur de la Zac Léon […] L’article À Issy-les-Moulineaux, La Serre, selon MVRDV est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 157 jours

Hauts-de-Seine : un nouveau pôle social départemental à Issy-les-Moulineau

À Issy-les-Moulineaux, le département des Hauts-de-Seine a investi un budget de plus de 24 millions d’euros dans la réalisation de son...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 183 jours

Hauts-de-Seine : prix de l’innovation urbaine pour la rénovation de la résidence ILN Mairie à Issy-les-Moulineaux

Dans le département des Hauts-de-Seine, le chantier de réhabilitation de la résidence INL Mairie à Issy-les-Moulineaux a été récompensé...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 199 jours

Hauts-de-Seine : ouverture de l’hôtel le « Domaine de la Reine Margot », à Issy-les-Moulineaux

Le « Domaine de la Reine Margot », à Issy-les-Moulineaux, dans le département des Hauts-de-Seine, ouvrira ses portes à la fin du mois...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 219 jours

Hauts-de-Seine : à Issy-les-Moulineaux, réhabilitation du groupe scolaire Marie-Marvingt

À Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine, le Département et la métropole du Grand Paris ont contribué financièrement au projet de...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 220 jours

Programme mixte école et 104 logements sociaux à Issy par BGA

Pour Seine Ouest Habitat et Patrimoine maître d’ouvrage, l’agence Brenac & Gonzalez & Associés (BGA) a livré en 2021 à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) une école maternelle et 104 logements sociaux. Surface : 10 200 m² SDP (3 200 m² école – 7 000 m² logements). Coût : 32,5 M€ HT. Communiqué. La superposition de programmes aussi […] L’article Programme mixte école et 104 logements sociaux à Issy par BGA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 283 jours

Hauts-de-Seine : inauguration du programme Trilogy et du nouveau siège social du promoteur immobilier OGIC, à Issy-les-Moulineaux

Le promoteur OGIC vient de livrer le programme immobilier Trilogy et son nouveau siège social, La Fabrique, à Issy-les-Moulineaux...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 20 jours

Hauts-de-Seine : à Issy-les-Moulineaux, réhabilitation d’un collecteur d’assainissement unitaire

À Issy-les-Moulineaux, le département des Hauts-de-Seine va réhabiliter le collecteur d’assainissement situé sous la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 56 jours

Démarrage des travaux de Spotlight, un immeuble tertiaire indépendant de 4.000 m2, à Issy-les-Moulineaux (92)

Après une phase de démolition d’un actif acquis par AG Real Estate France en 2019, les travaux d’un nouvel immeuble démarrent en janvier. Le projet s’inscrit dans la dynamique urbaine d’Issy-les-Moulineaux, ville innovante en plein renouveau avec l’aménagement de nouveaux quartiers mixtes.
Il y a 2 ans et 66 jours

Issy Cœur de ville, le nouveau projet de quartier à Issy-les-Moulineaux

Le concept retenu consiste à construire les bâtiments autour d’un nouveau parc urbain. La vie s’organise autour de l’espace central, entièrement piétonnier et abondamment planté d’arbres de haute tige. Cette option a une double finalité, satisfaire le désir de contact avec la nature des résidents et des promeneurs mais également s’inscrire dans l’histoire même de la Ville d’Issy-les-Moulineaux, tel un prolongement.C’est une commune qui s’est développée sur un ensemble de parcs appartenant à des châteaux ou des communautés religieuses en partie disparus, mais dont il subsiste de vastes espaces verts qui constituent une trame végétale dans laquelle s’intègre la création de ce nouveau parc.Cette contextualité est essentielle car cette ville dispose d’une identité propre et l’objectif était de créer une véritable greffe urbaine.Alors que ce territoire se présentait comme une enclave, le projet Coeur d’Issy proposait de recréer la continuité du centre-ville. Celle-ci est assurée par la prolongation des rues adjacentes à travers le site mais également par la construction d’îlots bâtis de même dimension et de même forme que les îlots existants aux alentours. Enfin, la relation entre le nouveau parc et la ville est exprimée par la création de cinq portes urbaines qui mettent en scène ses accès et offrent des points de vues sur la ville (clochers des églises, arbres remarquables, patrimoine culturel de la ville...).Le parc constitue donc le centre du quartier. Les immeubles qui l’entourent ont été découpés en gradins successifs pour ouvrir largement cet espace planté vers le ciel et favoriser son ensoleillement. L’ensemble constitue une véritable vallée verte.Ce dispositif permet de fournir aux logements des prolongements extérieurs sous forme de terrasses ombragées par des pergolas. Dans le parc, un soin particulier est apporté au traitement des cheminements, des sols minéraux et végétalisés, au choix des espèces d’arbres et de couvre-sols.Ce projet se caractérise également par sa mixité : mixité fonctionnelle, générationnelle et sociale. Il associe des logements en accession et des logements sociaux, organisés en 5 îlots, à des immeubles de bureaux, répartis sur le site en 3 ensembles. Les RDC sont occupés par des commerces, des restaurants et des brasseries qui s’ouvrent sur le parc central. On y trouve également un groupe scolaire (écoles maternelle et primaire), une crèche, des hébergements pour personnes âgées, un atelier de création numérique et des cinémas.Il y a quelques années un tel programme aurait entrainé la réalisation d’un socle associant centre commercial et équipements. Ici, c’est exactement l’inverse qui a été fait. Le parc est un lieu de promenade arboré qui longe la totalité des équipements situés en pied d’immeuble.Les immeubles de bureaux sont répartis sur le site pour éviter tout effet de zoning, ce qui permet à leurs usagers de profiter de la vie et de l’animation du quartier.Ce projet illustre également que la densité urbaine peut être heureuse.Ce projet compte plus de 105.000 m2 de surface de plancher sur une parcelle de 3 ha ; il propose aux citadins un quartier à la fois dense et aéré par sa morphologie architecturale et son paysagement. Par des jeux de percées, de construction en gradins, d’échelle et de niveaux, la vision reste aérienne, offrant une grande variété architecturale. Cœur d’Issy a été imaginé dans la tradition historique de la ville où les espaces verts et la qualité architecturale ont toujours été un enjeu.La densité urbaine pour une opération située en centre-ville à proximité de deux stations de métro est une façon vertueuse de lutter contre l’étalement urbain et tous ses inconvénients.Enfin, ce nouveau quartier est exemplaire en termes de respect de l’environnement et d’économie d’énergie. Les immeubles de bureaux sont des bâtiments à énergie positive et l’ensemble du quartier est certifié « WELL COMMUNITY», il bénéficie du label BiodiverCity, son fonctionnement est assuré à 70% par de l’énergie renouvelable.Chiffres-clésLocalisation : Issy-les-Moulineaux, FranceUn nouveau quartier : caractérisé par une mixité fonctionnelle, sociale et générationnelle, composé de 8 bâtiments ouverts sur la ville, autour d’une promenade piétonne de 7.250m2.Programme : 607 Logements répartis en 5 bâtiments (40.909m2 SDP)3 bâtiments de bureaux (40.903m2 SDP)34 Commerces et restaurants dont un cinéma de 7 salles (17.332 m2 SDP)Atelier de création numérique (1578m2)Équipements publics : crèche, école, salle polyvalente (6158m2 SDP)932 places de stationnement dont un parking public1 ha de surfaces végétalisées110 arbres de haute tige,235 arbres à petit développement3413m2 de pleine terre3247m2 de panneaux photovoltaïquesSurface : 105.000m2 sur un terrain de 3 haMaître d’ouvrage : ALTAREACalendrier : Concours 20161ere pierre 11 juin 2019Livraison en octobre 2022Labels et certifications : Au niveau du quartier Label BiodiverCityWELL Community StandardBâtiments de bureaux NF HQE Bâtiments tertiaires 2015« Passeport exceptionnel »BREEAM niveau Excellent référentiel 2016WELL « Core and Shell » niveau SilverLabel BiodiverCity niveau ABCCLabel BEPOS Effinergie 2013Commerces BREEAM « Shell and Core » niveau Excellent référentiel 2016Logements NF Habitat HQEIntervenants Valode et Pistre ArchitectesBuilders & Partners (Maîtrise d’Œuvre d’exécution)Raphia ( Paysagiste)SETEC (Structure et Fluides)EGIS (Fluides)CEEF (Façades)CEE (Economiste)Avel (Acousticien)Concepto (Eclairagiste)Terao (Conseil environnemental)Bureau Veritas ( Bureau de Contrôle)Bouygues Construction – Entreprise Générale
Il y a 2 ans et 69 jours

Hauts-de-Seine : Nid d’Idées d’Avenir, le nouveau tiers-lieu d’Altarea à Issy-les-Moulineaux

À Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), un établissement a été créé par Altarea pour impulser l’innovation et la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 78 jours

À l’UGC d’Issy-les-Moulineaux, dans les Abysses, un temple du Soleil

L’art contemporain en architecture est souvent devenu un élément rapporté, comme une bru, un gendre ou une belle-mère, ce dont témoigne le programme « 1 immeuble, 1 œuvre », sorte de 1% artistique pour les bonnes œuvres du privé, imaginé en 2015 par Fleur Pellerin alors ministre de la Culture.* Cela dit, les architectes n’ont […] L’article À l’UGC d’Issy-les-Moulineaux, dans les Abysses, un temple du Soleil est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 103 jours

Propriétaires immobiliers cherchent acquéreurs... presque désespérément

A 66 ans, Fabricia Lasne et son mari cherchent un acquéreur pour leur maison de 200 mètres carrés près de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée), qu'ils veulent quitter pour un logement plus petit et plus facile à entretenir.L'annonce est en ligne depuis un an et ils n'ont reçu aucune offre."Les gens qui viennent visiter sont en majorité des personnes âgées. Ils trouvent la maison très belle, le jardin impeccable, mais c'est la superficie qui les dérange, pour l'entretien quotidien", raconte Fabricia. "Il y a des jours où le moral est bien bas."Même problème pour Odile et Jacques, un couple de retraités qui, depuis un an et demi, cherche à vendre sa grande maison familiale du Périgord pour se rapprocher de ses enfants, en région parisienne.Là encore, des visites mais aucune offre pour cette propriété de 230 mètres carrés proposée à 519.000 euros, frais d'agence compris. "Si, une qui faisait une négociation à moins 70.000 euros. Donc on a dit non tout de suite !", confie Odile, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille."On ne veut pas non plus brader ce bien, et plutôt attendre quelques mois pour voir comment le marché va réagir", explique son époux, reconnaissant que "le marché n'est tout de même pas très florissant"."On négocie davantage"Après des années de hausse continue, les prix de l'immobilier commencent à stagner, voire à baisser dans certaines zones, comme en région parisienne.La remontée des taux d'intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d'usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d'un certain taux d'endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché.Conséquence : ces derniers négocient davantage avant de signer. "Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu", explique à l'AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris."Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l'ajuste, cela prend du temps", relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.Selon son réseau d'agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d'une annonce et la signature d'un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne."Il y a de l'attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs", témoigne Romain Gonzalez, directeur d'une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux."On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n'est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas", dit-il."Les délais s'allongent""Pour les appartements avec défauts, les rez-de-chaussée qui donnent sur la rue, exposés au Nord... les délais s'allongent et les baisses de prix se font au fur et à mesure", affirme aussi Sandrine Lucas, directrice d'une agence Guy Hoquet à Suresnes.A cela s'ajoute la réglementation sur les passoires thermiques, dont nombre de professionnels redoutent qu'elle fasse chuter le prix des biens concernés.Depuis le 1er janvier, en métropole, les logements qui consomment plus de 450 kilowattheures par mètre carré par an sont tout bonnement interdits à la location. L'ensemble des biens étiquetés G pour leur performance énergétique doit suivre en 2025, avant les F en 2028 et les E en 2034."L'effet passoires thermiques, on l'a vu énormément sur les petites surfaces, studios, deux-pièces", plus souvent voués à la location, explique Mme Frémont. Tendance qu'elle a aussi constaté sur les maisons. "Les gens sont regardants sur l'économie énergétique", dit-elle.Mais là aussi, les prix de biens ayant besoin de travaux tardent à baisser. "Les vendeurs, à date, ne sont pas encore disposés à défalquer ce coût du prix" de vente, constate Charles Marinakis.
Il y a 2 ans et 135 jours

MAF ATLANTIQUE met son expertise en portes et cloisons résistantes au feu, au service du chantier ISSY CŒUR DE VILLE

Issy cœur de ville, c’est un projet d’éco-quartier initié en 2016 par la ville d’Issy Les Moulineaux (92) dont la livraison a débuté en juin dernier. 17 270 m2 de commerces et services, 40 900 m2 de bureaux… un chantier gigantesque confié au promoteur Altaréa avec le cabinet d’architecture Valode & Pistre. En entreprise générale : Bouygues Construction. À l’ouvrage et mandatée par Bouygues Construction, pour les portes automatiques et les portes et parois vitrées anti incendie, dans les parties Bureaux et Infra/Mail/Commerces : l’entreprise RECORD. Celle-ci choisit d’emblée de s’associer à MAF ATLANTIQUE pour lui confier la conception et la fabrication des ouvrages résistants au feu dont il est spécialiste. Résultat : 450 m2 de surfaces vitrées fabriquées sur mesure pour ce projet d’envergure. Rdc IMC : menuiserie vitrée acier EI60 B1- Hall : cloison acier vitrée EI60 + Porte 1 vantail RdC B1 : Paroi monumentale bord à bord EI60 + partie ouvrante 2 vantaux vitrés acier E30. Lorsqu’il est contacté par Record en 2019 pour concevoir et fabriquer différents ouvrages feu de deux super-entités du projet Issy Cœur de Ville, MAF Atlantique accepte de relever le défi. Il s’agit certes d’un très grand chantier auquel la PME guérandaise peut répondre. Mais, c’est surtout l’occasion pour son DG Guillaume Leborgne, et ses équipes, de s’attaquer à un superbe défi technique d’ouvrages feu complexes et sur-mesure.   Record, n’étant pas spécialiste des normes anti incendie et ne possédant pas les PV et certifications feu, a spontanément choisi d’associer MAF Atlantique au projet. Il lui propose d’être son partenaire pour la conception et la fabrication des ouvrages feu, il se charge de l’installation. À la clé : 450 m2 de surfaces vitrées résistantes au feu incluant portes battantes et cloisons vitrées conçues et fabriquées sur mesure par MAF Atlantique, en partenariat avec Record.  » Nous ne pouvions répondre à cet appel d’offre sans s’appuyer sur un fabricant partenaire spécialisé dans les normes anti-incendie comme MAF Atlantique, avec qui nous avions déjà travaillé. Ce projet s’est d ’ailleurs mené en toute transparence et en bonne intelligence entre nos deux entreprises et Bouygues Construction, » déclare François-Xavier Vlin, directeur régional de Record. Au total MAF Atlantique a fourni 36 unités de portes battantes E et EI avec acoustique.Également, différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier pour parois bord à bord, toutes installées en intérieur (rez-de-chaussée, niveaux et sous-sols) par Record. Elles équipent, pour la majorité, la super-entité BUREAUX du chantier qui regroupe 3 ensembles de bureaux (répartis dans 3 bâtiments B1, B2, B3). Elles équipent également, dans la super entité INFRA/MAIL/COMMERCES, au niveau des ERP, la salle polyvalente, les parkings, les sas, les paliers, les escaliers et les locaux techniques. Pour Guillaume Leborgne, directeur de MAF Atlantique,    » Ce partenariat avec Record prouve que la mutualisation des compétences et la complémentarité des savoir-faire deviennent une vraie force, le projet étant davantage motivant lorsqu’il est partagé et qui plus est lorsque le suivi de chantier se passe bien et en confiance avec les partenaires. Il démontre aussi que notre PME est reconnue pour sa spécificité dans la protection incendie, mais aussi pour sa capacité à être force de proposition et à concevoir des ouvrages sur mesure, pour des chantiers d’envergure. «  La construction vitrée architecturale résistante feu : la spécialité de MAF Atlantique Les ouvrages résistant au feu, exigés dans le cahier des charges, devaient s’adapter aux contraintes techniques des matériaux, des emplacements et des volumes à équiper, mais aussi aux souhaits d’esthétisme voulus par les architectes. Les bureaux d’étude de MAF Atlantique, Record et Bouygues ont travaillé de concert et en bonne entente, pour définir les spécificités techniques et les adaptations des ouvrages à concevoir. Afin d’être en harmonie avec les valeurs et l’esthétisme du projet souhaité par l’architecte, MAF Atlantique a proposé une menuiserie en acier JANISOL© C4 (pour sa pérennité), un remplissage en simple vitrage ou double pour le hall principal, avec finition thermolaquage teinte RAL, condition intérieur. Pour assurer la tenue des portes lors de la pose par Record, MAF Atlantique a adapté des impostes spécifiques. En fonction des exigences des lieux, les portes et cloisons intérieures sont toutes normées E (Pare flamme) ou EI (coupe-feu) associées à leur performance en minutes de 30 ou 60 pour l’étanchéité au feu (E) ou l’isolation thermique (I). Les châssis des cloisons sont fixes et montés, selon le besoin, en bord à bord. Les portes sont en 1 vantail ou 2 vantaux.  » MAF est allé au-delà du simple schéma technique en proposant différents échantillons pour la teinte des miroiteries, les poignées et paumelles, pour répondre aux exigences esthétiques des architectes notamment sur la couleur des vitres intérieures selon l’exposition au soleil. En plus de leur réactivité, nous avons aussi apprécié leur efficacité logistique dans des lieux fréquentés et peu accessibles, pour la livraison d’ouvrages complexes. » poursuit François-Xavier Vlin. B2 : Cloison vitrée 2 vantaux de 2,83 m x 3 m de hauteur. RdC B1 : Paroi monumentale EI60 de 34,58 m de long x 2,9 m de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1,8 m x 2,4 m. Trois exemples d’ouvrages techniques réalisés par MAF Atlantique : Au rez-de chaussée du bâtiment 1, l’installation d’une paroi monumentale de 34,58 m de long x 2,90 m de haut, composée de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord. Adjointe, une partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mm. Dans le bâtiment 2, une cloison de 2,83 m x 3 m de haut, composé de menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 et une porte EI260 à 2 vantaux de 1 800 x 2 400mm. A l’étage du bâtiment 1, une paroi de 8,36 m x 2, 7 m en menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 + une partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mm. Ouvrages MAF Atlantique / Issy Coeur DE VILLESUPER ENTITÉ BUREAUXINFRA/MAIL/COMMERCE (IMC)B1 – RDC – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 5 720 x 2 900 mm + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E3 –1 800 x 2 400 mm – Différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord dont une paroi monumentale de 34 580 de long x 2 900 mm de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mmRDC : – Porte acier vitrée E30 2 vantaux  B1- Hall : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 2 000 x 1 500 mm en double vitrageIMC : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 3 400 x 1 200 mm  B1- R+1 : – Paroi menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 de8 360 x 2 700 mm + partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mmParking sous-sol 2 : – 2 Portes acier vitrées E30 2 vantaux + 1 porte à 1 vantail – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 3 500 x 1400 mm  B2 – RDC : – Cloison de 2 830 x 3 000 mm de hauteur en menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 + Porte EI260 2 vantaux – 1800 x 2400mmEscalier Monumental accès Bâtiment 1 : – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord de 4 860 de long x 2 700 mm de haut.  B3 – 6 Portes acier vitrées E30, 1 vantail avec serrure électrique– 1 100 x 2 650 mmSalle Polyvalente : – Ensemble EI60 composé d’une porte 2 vantaux avec châssis fixes latéraux – 5 900 x 2 500 mm À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. MAF Atlantique en chiffres Créée en 2004 3 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021 Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Pour en savoir plus : MAF Atlantique – contact presse : Agence Com4 – scruz@com-4.fr – 02 40 73 50 51
Il y a 2 ans et 192 jours

Issy Coeur de ville au cinéma avec Jean-Marc Lalo

Spécialiste du genre, l’Atelier d’architecture Lalo (Jean-Marc Lalo) a signé le cinéma d’Issy Coeur de Ville à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Livré en 2022 pour Altarea-Cogédim, le nouvel équipement de 5 300 m² est également le théâtre d’une importante collaboration avec les artistes Kenia Almaraz Murillo et Elliott Causse. Communiqué. « Un cinéma, c’est la théâtralisation de la rencontre […] L’article Issy Coeur de ville au cinéma avec Jean-Marc Lalo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 202 jours

Hauts-de-Seine : une « cour oasis » pour l’école Ernest-Renan à Issy-les-Moulineaux.

La commune d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) a réaménagé la cour de l’école Ernest Renan pour végétaliser l’ensemble de...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 220 jours

Issy-les-Moulineaux digitalise le suivi énergétique de ses bâtiments grâce à la plateforme Citron !

Dans un contexte où la sobriété énergétique devient indispensable, la ville d’Issy-les-Moulineaux prend les devants et digitalise le suivi énergétique de ses bâtiments publics grâce à Citron ! Le 14 juillet dernier, le Président de la République annonçait un plan de sobriété énergétique ayant pour objectif un objectif de réduction de la consommation énergétique française […]
Il y a 2 ans et 225 jours

Sobriété énergétique : la chasse au gaspi des communes pour limiter la facture

Éclairage publicEn réduisant dès l'automne l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel et des bâtiments municipaux de la capitale, dont l'emblématique Hôtel de Ville, Paris veut "donner l'exemple", a justifié la maire Anne Hidalgo, qui entend investir 286 millions d'euros dans la rénovation de l'éclairage public pour le rendre 60% moins énergivore qu'un quart de siècle plus tôt.Lille, qui a cessé d'éclairer les bâtiments publics la nuit, sauf sur la Grand'Place et la place de l'Opéra, ce qui lui permettra selon elle d'économiser 170.000 kWh par an, l'avait devancée début septembre. Marseille a acté une mesure similaire avec l'extinction des feux à 23h30, et à 22h30 en hiver, pour ses 140 monuments, avec Notre-Dame-de-la-Garde pour seule exception. La mairie de Toulon veut atteindre le même objectif "le plus vite possible".Depuis juillet 2021, l'emblématique citadelle Vauban de Besançon n'est plus éclairée systématiquement la nuit "pour baisser la consommation d'énergie, préserver la biodiversité et limiter la pollution lumineuse", selon la maire Anne Vignot.Les mêmes raisons sont invoquées par la ville de Montpellier, qui a validé et accentué en avril une expérimentation d'extinction de l'éclairage public sur cinq axes routiers.Les grandes villes ne sont pas les seules à éteindre la lumière : ainsi en Nouvelle-Aquitaine, Libourne, Saint-Sever ou le Syndicat Énergies Vienne, qui gère le service public de l'énergie dans 220 communes rurales du département, ont décidé de s'en priver la nuit.Ces mesures de rationnement s'accompagnent généralement du remplacement annoncé des ampoules par du LED.Température des bâtimentsLille avait marqué les esprits en annonçant une baisse de température de 2 degrés - de 20 à 18 - dans deux musées, une baisse équivalente de la température de l'air et de l'eau dans les piscines municipales, ou encore deux heures de chauffage en moins en fin de journée dans les salles de sport.Là aussi, Paris a emboîté le pas en annonçant une baisse généralisée d'un degré de tous les bâtiments ne recevant pas un public vulnérable (Ehpad et crèches). Le début du chauffage, désormais fixé à 18°C, sera repoussé à la fois le matin, d'une demi-heure, et dans l'automne, d'un mois.À Lyon, la Métropole a arrêté à 19°C la consigne de chauffe cet hiver dans son patrimoine pour faire face au doublement anticipé (de 55 à 100 millions d'euros) des coûts de l'énergie en 2023.La même température vaudra pour les communes rurales de la Vienne, avec un système de bonus/malus pour récompenser les municipalités les plus économes, et à Marseille, qui a par ailleurs fixé à 26°C le palier pour la climatisation l'été dans ses locaux.À Libourne, le maire Philippe Buisson a carrément décidé "de ne quasiment plus chauffer les gymnases", maintenus à... 10 degrés, sauf pour les douches et les vestiaires.Fermeture des piscinesComme Lille, la mairie de Toulon a prévu de baisser la température de l'eau de ses piscines de deux degrés, de 28°C à 26°C, "sauf pour une piscine qui accueille des maternelles et des bébés", et réfléchit également à des fermetures "ponctuelles" de ces établissements énergivores, par exemple lors des vacances scolaires.Si Paris n'envisage cette option qu'en "dernier recours", sa voisine Issy-les-Moulineaux a franchi le pas cet été, en fermant la plus énergivore de ses deux piscines, pour lesquelles l'envolée des prix de l'énergie représente un surcoût de 400.000 euros par an.Lille a également annoncé que deux fontaines municipales ne seraient pas remises en fonctionnement pour économiser l'eau et l'énergie. Les annonces de ce type vont se poursuivre dans les prochains jours, avec des plans d'économies attendus par exemple à Toulouse et Grenoble.
Il y a 2 ans et 274 jours

Hauts-de-Seine : la nouvelle apparence de la halle Eiffel à Issy-les-Moulineaux se dévoile

Après les travaux de rénovation, la halle Eiffel accueille ses marchands dans de nouveaux locaux.
Il y a 2 ans et 295 jours

Hauts-de-Seine : un tiers-lieu au cœur de l’écoquartier d’Issy-les-Moulineaux

Le développeur immobilier Altarea va intégrer un nouveau concept de tiers-lieu au sein du futur écoquartier d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Il y a 2 ans et 322 jours

Plus de 1500 pompes à chaleur sur boucle d’eau dans un bâtiment à Issy-les-Moulineaux

La pompe à chaleur sur boucle d’eau est une solution peu connue, mais vertueuse en tertiaire neuf et en rénovation. Bouygues Immobilier l’apprécie et l’a retenue pour le bâtiment de Canal+.
Il y a 2 ans et 348 jours

Le téléphérique urbain, une bien lente progression

Le dernier élu à jeter l'éponge est le président de la Métropole de Lyon, Bruno Bernard (EELV), qui rêvait de télécabines pour rejoindre la banlieue ouest, au relief tourmenté."Il y a une forte opposition des citoyens qui se sont exprimés sur ce nouveau mode de transport. Les conditions ne sont donc pas réunies pour réaliser ce projet", a-t-il annoncé mardi, au terme d'une concertation publique particulièrement agitée."De nombreux participants ont souligné leur attachement au paysage et craignent que les stations, les pylônes, les câbles et les cabines ne viennent abîmer, défigurer, changer l'identité visuelle (du) paysage", ont rapporté les garants de la concertation. D'autres se sont inquiétés du bruit, du survol des habitations et ne voulaient pas être vus d'en haut.Un certain nombre de projets plus ou moins avancés de téléphériques urbains ont été abandonnés ces dernières années: à Orléans, à Marseille, à Paris, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), à Grasse (Alpes-Maritimes)...Pour le centre public d'études des mobilités Cerema, pourtant, le téléphérique urbain est "une solution de transport efficace et pertinente pour des territoires présentant de forts dénivelés ou des coupures urbaines liées à des obstacles hydrologiques (fleuves) ou urbanistiques (infrastructures linéaires de transport de personnes ou d'énergie telles qu'un faisceau ferroviaire ou des voies autoroutières)".Offrant des fréquences élevées, qui compensent la petite taille des cabines, il doit être intégré au réseau de transports urbains. "Pour la collectivité porteuse du projet, le transport par câble donne une image attractive et innovante tout en offrant une expérience voyageur originale", estime aussi le Cerema."Convaincre"L'histoire a failli mal tourner à Brest, où le premier téléphérique urbain de France relie depuis fin 2016 le centre-ville à un nouveau quartier situé de l'autre côté du port militaire. Le modèle choisi était nouveau et des pannes à répétition ont terni son image."Maintenant, ça marche vraiment très bien", assure un porte-parole de Brest Métropole. "C'est un énorme succès !"A Saint-Denis-de-la-Réunion, le deuxième grimpe depuis mars vers un quartier résidentiel en passant par un lycée et le campus universitaire, sur 2,7 km.Téléo, le téléphérique mis en service dimanche à Toulouse, est un modèle du genre : long de 3 km, il relie une station de métro à un hôpital situé sur une colline, puis franchit la Garonne. Ses concepteurs y voient le maillon central d'une rocade de transports publics au sud de la ville rose.De même, le futur "Câble 1" (ou C1) dont la construction commence au sud-est de Paris doit relier le terminus du métro à Créteil à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), en 4,5 km et cinq stations. En franchissant des voies rapides et des faisceaux ferroviaires avant d'aborder une jolie côte.D'autres téléphériques doivent suivre à Ajaccio, Grenoble et à nouveau Saint-Denis-de-la-Réunion, puis peut-être à Bordeaux, à Lyon et en Ile-de-France.Dans la région-capitale, Ile-de-France Mobilités (IDFM) a étudié pas moins de treize projets."Il y a de l'opposition locale. Ça inquiète les riverains et c'est légitime", explique le directeur général d'IDFM Laurent Probst."Avoir des cabines qui passent au-dessus de sa tête, c'est quelque chose qui n'est pas très confortable", dit-il, rappelant qu'"il a fallu convaincre" et modifier le C1, en particulier pour éloigner les pylônes des habitations.En outre, "un bus en site propre est moins cher et plus efficace" sur certaines liaisons envisagées, note le responsable. Seule "une poignée" de projets devraient finalement être concrétisés, selon lui."Je suis plutôt confiant pour ce mode de transport qui amène une solution là où les autres ont calé" pour franchir des obstacles, estime Jean Souchal, président du directoire du constructeur grenoblois de remontées mécaniques Poma qui a fourni les systèmes de Toulouse, Saint-Denis-de-la-Réunion, Ajaccio et Grenoble."Dans la problématique, on a beaucoup d'avantages!", souligne-t-il, convaincu que le modèle fera école, peu à peu. Comme il s'est imposé en Amérique latine, de La Paz à Rio de Janeiro, Bogota et Medellin, ou en Algérie.
Il y a 2 ans et 357 jours

Infographie de la consommation d'électricité : dans quelles villes françaises consomme-t-on le plus ?

Consommation par habitant et par ville d'électricité en FranceConsommation d'électricité par habitant : 2.223kWh/anLes villes qui consomment le plus en France : Aix-en-Provence, Bordeaux, NiceLes villes qui consomment le moins en France : Saint-Étienne, Rennes, MulhouseLes conclusions :Cette disparité peut être liée à une électrification des usages qui varie d'une ville et/ou d'une région à l'autre, ainsi qu'à des investissements dans les solutions d'isolation plus ou moins élevés (grâce au dispositif MaPrimeRenov').À noter :Concernant l'électrification des usages que certaines villes ont des usages du fioul et du gaz encore importants ce qui réduit leur consommation d'électricité par habitant.Ce qu'il faut anticiper : Les actions du gouvernement en terme de renouvellement d'équipements incitent à se tourner vers des équipements de plus en plus électriques. Il faut donc prévoir dans les années à venir une part plus importante de l'électricité dans notre consommation d'énergie versus les énergies fossiles (fioul, gaz, charbon…). Ce constat nous oblige à anticiper un accroissement de la consommation et donc de la production d'électricité qui nous sera nécessaire.Le top trois des villes qui consomment le plus ?Les trois villes qui consomment le plus en France sont Aix-en-Provence, Bordeaux et Nice. Situées dans des régions aux hivers doux, ce résultat a de quoi surprendre. On consomme en effet davantage en hiver quand les températures sont au plus bas. Mais c'est sans compter les étés chauds. Lorsque les températures grimpent trop, les particuliers enclenchent la climatisation ou la ventilation.Or, les études montrent que 1°C de plus entraîne une hausse de consommation de 500MW. Ainsi lors des pics d'été, la consommation s'élève à 12.3kWh par habitant, soit 2 fois plus qu'en Île-de-France à la même saison.A contrario, les villes où l'on consomme le moins d'électricité sont Saint-Étienne (- 7°C en hiver), Rennes (ville très humide) et Mulhouse (climat semi-continental avec des chutes de neige fréquentes). Ce classement se vérifie à l'échelle de l'hexagone si l'on compare la consommation électrique par habitant dans plusieurs villes françaises :Fréjus (Var) : 3.15 MWh/habitantNarbonne (Occitanie) : 2.77 MWh/habitantLa Rochelle (Nouvelle-Aquitaine) : 2.08 MWh/habitantIssy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) : 2.05 MWh/habitantParis (Île-de-France) : 1.82 MWh/habitantNancy (Grand Est) : 1.83 MWh/habitantLille (Hauts-de-France) : 1.87 MWh/habitantLyon (Rhône) : 1.73 MWh/habitantPlusieurs hypothèses peuvent expliquer ces écarts de consommation. Si les régions les plus froides ne sont pas les plus grandes consommatrices d'électricité, c'est peut-être parce que dans le Nord, les particuliers utilisent encore leur vieille chaudière au fioul domestique.En revanche, si les régions du Centre-Val de Loire et de Normandie ont consommé la plus grande quantité d'électricité en 2021, c'est parce qu'elles sont aussi les plus équipées en chaudières électriques.La démographie jouerait aussi un rôle. En Occitanie par exemple, la population a augmenté de 10.3% entre 2006 et 2009 d'après l'Insee, ce qui justifierait une augmentation de la consommation de 9.5% sur la même période.Enfin, les Français sont thermosensibles, ce qui expliquerait leur comportement de chauffe. Cela explique que plus les températures baissent, plus les Français ont tendance à augmenter la température du chauffage.Le RTE (Réseau de transport d'électricité) estime d'ailleurs qu'une baisse de 1°C entraîne une hausse de consommation de 3,2% sur la période hivernale. Concrètement, cela correspond à une consommation supplémentaire de 24MW soit la consommation totale de Paris intra-muros.Sensibilité aux variations du thermomètreC'est dans les Hauts-de-France que l'on est plus sensible aux variations du thermomètre si l'on en croit les chiffres. En 2021, la consommation y a en effet augmenté de 7,3% sur l'année. Parallèlement, elle n'a augmenté que de 5,6% dans la région PACA.L'écart de consommation entre le nord et le sud de la France dépend très certainement aussi de la qualité de l'isolation des logements. Un logement moins isolé souffre davantage de déperditions de chaleur, il faut donc chauffer davantage pour compenser cette perte. D'ailleurs, dans les villes où le nombre de logements BBC (Bâtiment basse consommation) construits selon la RT 2012 est important, les factures d'énergie sont beaucoup moins élevées.Le type de logement importe plus que le nombre de personnesLes données fournies par la Commission de régulation de l'Énergie ont servi de base de calcul à la consommation moyenne d'électricité par personne et par an dans le secteur résidentiel en France. Pour le troisième trimestre 2020, elle s'élève à 2240kW, soit une moyenne de 6kW par jour.L'étude montre aussi qu'une personne supplémentaire dans un logement ne génère que 5 à 10% de consommation supplémentaire. En revanche, une pièce augmente la consommation électrique de 20%. Ce qui signifie que la consommation par personne n'est pas un critère suffisant.En effet, plus que le nombre d'occupants dans un logement, c'est sa taille qui explique la consommation électrique (nombre de pièces à éclairer et à chauffer), le nombre d'équipements installés (électroménager, électronique…) et la qualité des équipements (étiquette A+++).La consommation électrique est également à pondérer selon que le logement est tout électrique (avec chauffe-eau et chauffage) ou partiellement électrique (uniquement éclairage, électroménager, électronique). La consommation dépend ainsi des usages.Répartition des usages en électricité (source ADEME, 2019) :Chauffage : 27.6%Ventilation : 1.7%Éclairage : 5.6%Cuisson : 7.8%Eau chaude sanitaire : 12.9%Multimédia et informatique : 13.6%Froid et lavage : 18.6%S'agissant du chauffage, la consommation dépend d'un certain nombre de paramètres : la surface à chauffer, l'isolation thermique et les habitudes de chauffe (certains sont plus frileux que d'autres et ont besoin de monter la température).Exemples de consommation moyenne selon le type d'installation, la surface et le nombre de personnes :Tout électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 5.261kWh – 13.292kWhPartiellement électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 1.669kWh – 2.092kWhLe chauffage : poids lourd des dépensesD'après l'ADEME, le chauffage représente 60% de la consommation électrique en France. Les statistiques du Ministère du Développement durable illustrent ces chiffres puisque 10 millions de logements étaient encore chauffés à l'électricité en 2018.La performance des équipements joue donc un rôle important dans la consommation électrique. Des convecteurs, des radiateurs, une chaudière électrique ne consomment pas la même quantité d'énergie. Un radiateur à inertie par exemple est bien moins énergivore qu'un convecteur basique. Un logement équipé d'une pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïque fait baisser la facture d'énergie jusqu'à 80%.
Il y a 3 ans et 1 jours

A Issy-les-Moulineaux, Altarea livre un coeur de ville mixte et relié à la géothermie

INNOVATIONS. Sur une ancienne friche tertiaire en plein centre-ville, au sud-ouest de Paris, voit le jour un quartier mixte bureaux-commerces-logements. Innovation principale : Engie Solutions y a installé un réseau de chaud et froid alimenté par la géothermie, qui desservira aussi les logements.
Il y a 3 ans et 7 jours

104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés

Spie batignolles outarex parachève la transformation du quartier Léon Blum sur la commune d’Issy-les-Moulineaux en livrant une opération immobilière mixte de plus de 10 000 m², qui s’est inscrite dans une démarche environnementale forte. L’ensemble des réflexions menées entre tous les acteurs engagés sur le choix des techniques constructives et des matériaux raisonnés a permis l’obtention de la certification NF Habitat HQE, des labels E+C- niveau E2C1, BBC Effinergie, Bâtiment Bas Carbone et Bâtiment biosourcé niveau 3. Le nouveau bâtiment ccomprend un immeuble en R+9 offrant 104 logements sociaux, du studio jusqu’au 5 pièces, ainsi qu’un groupe scolaire de 3 200 m² sur deux niveaux. 111 places de stationnement ont également été aménagées en sous-sol. Au-delà de l’enjeu environnemental, c’est aussi la complexité technique d’imbriquer dans un même projet deux usages complètement différents qui a stimulé le travail de l’architecte Brenac & Gonzalez & Associés et de Spie batignolles outarex, en charge de la construction en tous corps d’état. Les méthodes de construction et les matériaux employés ont été choisis en fonction des usages et nécessitaient sur cette opération de s’agréger de façon optimale tant sur le plan fonctionnel, technique qu’esthétique au service du confort de chaque type d’utilisation. Tandis que le groupe scolaire s’élève depuis un socle réalisé en béton architectonique tramé avec des voiles verticaux en béton jusqu’au second niveau, c’est ensuite une structure bois qui a été privilégiée pour les niveaux de logements, du R+2 au R+9. Le bois a également été employé pour la réalisation des planchers et murs de la partie résidentielle par l’entreprise Mathis, tandis que les flux circulatoires intégrant cage d’escalier et ascenseur sont en béton. Au sein de l’école, un escalier hélicoïdal de 2 étages dit monumental, à la fois technique et design, a été réalisé pour animer l’espace. Les équipes ont eu recours à une solution innovante de coffrage en polystyrène expansé pour béton proposée par la société Arbloc. Maîtrise d’ouvrage : Seine Ouest Habitat et Patrimoine (SOHP) Maîtrise d’oeuvre : Cabinet d’architecture Brenac & Gonzalez & Associés Entreprise générale : Spie batignolles outarex et son co-traitant Mathis pour la structure en bois. Lot fondations : Spie batignolles fondations Lot cloisons et faux-plafonds : Spie batignolles partésia Lot menuiserie intérieure : Spie batignolles sedib Photo : Spie batignolles – Germain Hazard / Royal Spark
Il y a 3 ans et 7 jours

104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés

Spie batignolles outarex parachève la transformation du quartier Léon Blum sur la commune d’Issy-les-Moulineaux en livrant une opération immobilière mixte de plus de 10 000 m², qui s’est inscrite dans une démarche environnementale forte. L’ensemble des réflexions menées entre tous les acteurs engagés sur le choix des techniques constructives et des matériaux raisonnés a permis l’obtention de la certification NF Habitat HQE, des labels E+C- niveau E2C1, BBC Effinergie, Bâtiment Bas Carbone et Bâtiment biosourcé niveau 3. Le nouveau bâtiment ccomprend un immeuble en R+9 offrant 104 logements sociaux, du studio jusqu’au 5 pièces, ainsi qu’un groupe scolaire de 3 200 m² sur deux niveaux. 111 places de stationnement ont également été aménagées en sous-sol. Au-delà de l’enjeu environnemental, c’est aussi la complexité technique d’imbriquer dans un même projet deux usages complètement différents qui a stimulé le travail de l’architecte Brenac & Gonzalez & Associés et de Spie batignolles outarex, en charge de la construction en tous corps d’état. Les méthodes de construction et les matériaux employés ont été choisis en fonction des usages et nécessitaient sur cette opération de s’agréger de façon optimale tant sur le plan fonctionnel, technique qu’esthétique au service du confort de chaque type d’utilisation. Tandis que le groupe scolaire s’élève depuis un socle réalisé en béton architectonique tramé avec des voiles verticaux en béton jusqu’au second niveau, c’est ensuite une structure bois qui a été privilégiée pour les niveaux de logements, du R+2 au R+9. Le bois a également été employé pour la réalisation des planchers et murs de la partie résidentielle par l’entreprise Mathis, tandis que les flux circulatoires intégrant cage d’escalier et ascenseur sont en béton. Au sein de l’école, un escalier hélicoïdal de 2 étages dit monumental, à la fois technique et design, a été réalisé pour animer l’espace. Les équipes ont eu recours à une solution innovante de coffrage en polystyrène expansé pour béton proposée par la société Arbloc. Maîtrise d’ouvrage : Seine Ouest Habitat et Patrimoine (SOHP) Maîtrise d’oeuvre : Cabinet d’architecture Brenac & Gonzalez & Associés Entreprise générale : Spie batignolles outarex et son co-traitant Mathis pour la structure en bois. Lot fondations : Spie batignolles fondations Lot cloisons et faux-plafonds : Spie batignolles partésia Lot menuiserie intérieure : Spie batignolles sedib Photo : Spie batignolles – Germain Hazard / Royal Spark Cet article 104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 22 jours

Sommet de la Transformation Durable : Issy-les-Moulineaux lauréat du Trophée d’Or pour la meilleure transformation durable

A l’occasion de la première édition du Sommet de la Transformation Durable le 10 mars 2022, la ville d’Issy-les-Moulineaux s’est vue décerner le Trophée d’Or de la catégorie  » Acteurs Publics : Meilleure transformation durable « . Récompensant ses actions en faveur d’une ville et d’une administration exemplaire face aux enjeux climatiques, la ville d’Issy-les-Moulineaux s’est […]
Il y a 3 ans et 28 jours

Show-room : Cemex hisse son Pavillon

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano] Au 26 quai d’Issy-les-Moulineaux, dans le XVe arrondissement de Paris, en bord de Seine, s’élèvent plusieurs unités de production de bétons, dont celle de Cemex France. La plus importante de France. Avec son ballet incessant de camions-toupies, d’hommes munis d’EPI, de silos qui pointent vers le ciel, de marquages au sol, de barges qui acheminent leur chargement, de zones sécurisées… Et, dans les bureaux administratifs, Le Pavillon by Cemex, un tout nouvel espace dédié au matériau béton et à ses solutions constructives. Qu’est-ce qui se cache derrière cette appellation ? « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. Un cadre propice à la discussion Le Pavillon by Cemex est un lieu moderne et convivial, situé à proximité immédiate de la Seine, axe stratégique et emblématique des activités franciliennes du groupe et de son origine en France. Son nom fait référence à un lieu d’accueil, au monde du bâtiment et à celui de la navigation. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation. Mais aussi, les écoles qui veulent se documenter », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de préciser : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. [©Philippe CastanoUn autre secteur reprend les chantiers marquants de la marque. [©Philippe Castano] Plusieurs espaces Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. « C’est ici que l’on identifie les besoins des acteurs du bâtiment. A l’aide d’un tableau digital, d’un tableau noir et d’un écran-vidéos qui abordent toutes les problématiques que l’on veut soulever. Nous les aidons de la conception à la réalisation d’un projet. Une fois les besoins identifiés, on passe dans un autre espace, celui-ci dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… Le tout, avec des échantillons de matériaux et des QR-codes qui permettent d’accéder à des documents, à des fiches de produits et à des vidéos. Tous ces éléments sont transmis aux participants à la fin de la visite. Enfin, la dernière partie du show-room est plus conviviale et permet un débriefing. Les visiteurs font le point sur ce que l’on leur a proposé », explique Dominique Sestillange. Et de poursuivre : « Ce pavillon n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges, qui apporte une vraie réflexion sur les matériaux et les services, et répond à un besoin précis ». Le Pavillon by Cemex a aussi vocation à évoluer. Au fur et à mesure de l’avancée de l’année, vont y être proposés des événements ponctuels autour de l’économie circulaire, de la RE 2020 ou encore du bas carbone. Et Dominique Sestillange, de conclure : « Nous avons de plus créé Le Pavillon Virtual Tour, permettant aux porteurs de projets de s’immerger à distance à 360° dans Le Pavillon by Cemex ». Pour prendre rendez-vous pour une visite en présentiel et pour accéder à une visite virtuelle Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 68 jours

Procès du balcon effondré : "un jour ou l'autre", il serait tombé, selon les experts

"On peut penser à une forme de bricolage", lâche Pierre Lemaire, devant les magistrats d'Angers, qui jugent cinq prévenus pour homicides et blessures involontaires. L'ingénieur conseil, expert agréé par la cour de Cassation, résume d'un mot l'"environnement général" des travaux réalisés en 1997-1998 sur la résidence Le Surcouf : "médiocre".A la demande des juges d'instruction, M. Lemaire et son confrère Gérard Caussé-Giovancarli ont réalisé l'expertise principale sur l'effondrement de ce balcon, lors d'une pendaison de crémaillère, le 15 octobre 2016.Le béton, à la porosité "très élevée", a ainsi été "mouillé", c'est-à-dire qu'"il y a eu des ajouts d'eau au moment du moulage pour faciliter sa mise en oeuvre", ont expliqué les experts. "Toutes les entreprises savent très bien qu'on n'a pas le droit de le faire", a souligné M. Lemaire.De mauvaise qualité, "pas correctement vibré", ce béton contenait également "de nombreuses bulles d'air".Les aciers, qui ont "un rôle prépondérant dans la stabilité de la dalle", étaient en outre "très mal positionnés" car "beaucoup trop bas", ont aussi souligné les ingénieurs conseils.Enfin, la reprise de bétonnage entre le bâtiment et le balcon a été mal réalisée. Or, "la reprise de bétonnage joue un rôle essentiel dans ce genre d'accident", a noté M. Caussé-Giovancarli, qui avait rencontré une situation similaire après la chute du balcon du député-maire d'Issy-les-Moulineaux André Santini (UDF), en janvier 2007. Le balcon en avait à l'époque entraîné six autres dans sa chute, sans faire de victimes."Aciers rouillés et dégradés"A Angers, la surface était "lisse au niveau du collage", alors qu'elle aurait dû être en biseau avec des aspérités pour permettre une meilleure adhérence. Au fil des ans, une fissure s'est ouverte, laissant l'eau s'infiltrer et les aciers s'oxyder."Les aciers étaient plus que rouillés, ils étaient dégradés dans leur masse", a souligné M. Lemaire. Du fait de cette "corrosion progressive", "le balcon serait tombé tout seul, quelques années plus tard", a-t-il ajouté."Un jour ou l'autre, sous son propre poids, la dalle de béton risquait de tomber", a confirmé M. Causse-Giovancarli.Pour couronner le tout, les travaux ont été menés sans respecter les plans de l'ingénieur béton, qui avaient été conçus pour des balcons préfabriqués et non pour des balcons coulés sur place. Si ces plans avaient été suivis, le balcon aurait pu supporter 35 personnes, soit près de deux fois le nombre de victimes le soir du drame."Dès le début de la construction de l'immeuble, on a donc décidé de mettre les plans à la benne ?", a interrogé Me Louis-René Penneau, avocat des parties civiles."Quasiment au début du chantier", a confirmé M. Causse-Giovancarli. "Pendant des mois, les aciers étaient au vu de tout le monde, ça aurait dû attirer l'oeil" sur ce changement de mode de construction, a-t-il en outre pointé.D'autant que le cabinet de l'architecte Frédéric Rolland, 66 ans, "avait une mission complète de maîtrise d'oeuvre", comprenant la direction des travaux et lui demandant de "viser les plans d'exécution de l'entreprise", a souligné l'expert.A l'ouverture du procès, M. Rolland s'était présenté comme un "homme de l'art", tourné "exclusivement sur la recherche de la création d'un concept"."A aucun moment je ne fais de calcul de dalles et de ferraillage", avait-il assuré.Le procès doit se terminer le 4 mars.
Il y a 3 ans et 70 jours

Autour du chantier de la Tour Triangle, riverains et commerçants parisiens sont partagés

Ils ont pris place en contrebas du périphérique, derrière une palissade, au milieu d'une rangée d'arbres à moitié épargnée : après deux mois de travaux préparatoires, l'arrivée lundi de dix silos de 16 mètres de hauteur, renfermant du béton liquide, a marqué le début officiel d'un chantier de quatre ans.A terme, une pyramide de 180 m de hauteur pour 42 étages, soit 95.000 m2, doit devenir le troisième édifice le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse. "Trois fois par semaine, je m'arrête et j'imagine cette horreur", frémit Michèle Guittard-Golberin, qui habite à une centaine de mètres de là.Cette riveraine de longue date lutte contre ce projet "aberrant" au sein du Collectif contre la Tour Triangle. "On ne verra plus ce ciel", désespère la retraitée de 70 ans pour qui le futur gratte-ciel "va faire une sacrée ombre".Au milieu du Parc des expositions et sous le périphérique, personne ne prête trop attention aux premiers travaux sur cette artère qui relie Paris à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Mais chacun y va de son avis."Arrêter avec ces délires"Nassera, 53 ans, redoute "beaucoup de monde" dans le quartier. Pour Rémi, éducateur spécialisé de 34 ans, "il faut arrêter avec ces délires" car "il y a assez de tours comme ça". Un autre passant redoute lui des "problèmes d'embouteillage, de circulation, de transports en commun".Du côté des "pour", Thierry, 52 ans, pense que la tour va permettre "une transition entre Paris et Issy". "Il y a des grandes capitales internationales qui évoluent, comme Londres", juge cet Isséen pour qui le choix du site, sans vis-à-vis direct, a été fait "de manière intelligente".Le tour "va redynamiser le quartier", positive Anne, une propriétaire qui espère voir "monter le prix du m2".La tour ne commencera à sortir de terre qu'à l'été 2023, pour finir d'être érigée mi-2025 et livrée en 2026, selon le calendrier du promoteur, le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) qui anticipe 5.000 emplois directs et indirects pendant le chantier et 5.000 collaborateurs installés à terme.De quoi redonner espoir à des commerces à la peine après deux ans de crise sanitaire. "Tout le quartier vit avec les salons" du Parc des expositions, "c'est très dur pour nous", souligne Tran, gérante d'un restaurant de sushi."Depuis deux jours que le chantier est ouvert, on bosse bien le matin, les patron des sous-traitants payent le café", note une serveuse du Dupont qui redoute en revanche "la poussière en terrasse"."Réversibilité"Pour faire accepter son projet, URW met en avant les 1.000 m2 de panneaux photovoltaïques, le "béton bas carbone" et la "réversibilité" de la tour, critiquée pour faire la part belle à des bureaux (75% d'espaces de travail) pourtant mis à mal par le télétravail."Demain, on pourra si on le souhaite transformer 30.000 m2 de bureaux en logements", affirme URW.Pas de quoi convaincre Christine Nedelec, présidente de France Nature Environnement (FNE) Paris et SOS Paris, qui dénonce une "impasse verticale avec une pléthore d'ascenseurs" et "une tour-barre de 150 m de long". "C'est faux de dire qu'il n'y aura pas d'ombre", assure-t-elle."Sa forme a été définie pour ne pas générer d'ombre sur les riverains" mais en "majorité" sur le Parc des expos, répond Vincent Jean-Pierre, directeur du développement bureaux et projets mixtes chez URW.Les opposants espèrent toujours pouvoir arrêter le chantier, notamment grâce à l'enquête préliminaire pour "favoritisme" ouverte en juin 2021 autour de la concession.Jeudi 10 février, Patrice Maire, président de l'association Monts 14, a demandé à Emmanuel Macron un moratoire sur les travaux, s'appuyant sur un document récent de l'Unesco demandant à l'Etat de redéfinir la zone tampon entourant les Rives de Seine, classées au patrimoine mondial.
Il y a 3 ans et 75 jours

Lancement du chantier controversé de la tour Triangle, un des projets-phares de Paris

La Tour Triangle, projet pharaonique chiffré à 660 millions d'euros, commence à sortir de terre dans le XVe arrondissement. Des silos de plusieurs mètres de haut y ont fait leur apparition sur le site des travaux.Une fois terminé, ce gratte-ciel de 180 mètres et 42 étages, dont la livraison est prévue au premier semestre 2026, doit devenir le troisième immeuble le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse."Ça participe de la philosophie de développement du groupe, qui est un opérateur des grandes villes", s'est félicité auprès de l'AFP le président d'URW, Jean-Marie Tritant. "Cette tour fait une couture urbaine entre Issy-les-Moulineaux et Paris, elle participe à l'évolution de la ville de demain".Le projet, lancé en 2008, a été validé en 2015 sous la mandature d'Anne Hidalgo malgré la vive opposition de ses alliés écologistes et d'élus de droite dont Philippe Goujon, le maire (LR) du XVe."Le quartier va être sinistré pendant plusieurs années", s'est-il indigné auprès de l'AFP, dénonçant déjà un "ballet ininterrompu de camions qui vont délivrer du béton, quatre grues géantes..."Le parquet de Paris a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie la tour.Prévue essentiellement pour des bureaux, qui occuperont les trois quarts de ses 91.000 mètres carrés de surface, elle abritera également un hôtel de 130 chambres, une crèche et des commerces, mais est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.Redresser la barreSigne de sa fragilité financière, le groupe a réduit à 30% sa participation au chantier en lançant une coentreprise avec l'assureur Axa pour réduire ses coûts.En 2021, la foncière, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon, a vu ses résultats s'éroder encore, largement à cause des restrictions anti-Covid en Europe pendant le premier semestre.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,72 milliard d'euros, soit moins qu'en 2020 (-3,7%, -1,6% à périmètre constant), tandis que son résultat net récurrent, indicateur de référence pour les foncières, a rétréci à 1,01 milliard (-4,9%).Mais le groupe a redressé la barre, avec un taux de vacance qui a nettement reculé au second semestre (à 7%, -1,3 point en un an), grâce aux réouvertures permises par la campagne de vaccination."C'est quand même une entreprise qui a subi un énorme +stress test+ en 2020 et 2021. On a fermé à plusieurs reprises les centres commerciaux, l'activité événementielle, et là, on voit une reprise", note Florent Laroche-Joubert, analyste chez Oddo BHF.L'activité événementielle du groupe, qui possède plusieurs parcs d'expositions dont celui de Villepinte (Seine-Saint-Denis), s'est relevée avec 32 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 6 en 2020.Bye bye USA ?Mais le groupe est toujours corseté par une dette de 22,6 milliards d'euros (contre 24,2 milliards fin 2020), produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield et de son large portefeuille aux Etats-Unis, jamais totalement digérée.Il n'engage ainsi plus de nouveaux investissements seul, et a promis de céder pour 4 milliards d'actifs en Europe d'ici à la fin de l'année.Il en est pour l'heure à 2,5 milliards, la dernière cession en date étant une part de 45% dans le centre commercial Carré Sénart, en région parisienne, reprise par les filiales assurances de la Société Générale et BNP Paribas."La deuxième partie de cet effort, c'est la réduction drastique de notre exposition au marché américain", explique à l'AFP Jean-Marie Tritant, qui avait pris la tête d'URW après une fronde d'actionnaires menée par Xavier Niel, premier actionnaire du groupe, et Léon Bressler, l'ancien patron, opposés à l'acquisition de Westfield."On aura engagé dans le courant de l'année 2022 la sortie de tout ou partie des Etats-Unis", a assuré Jean-Marie Tritant lors d'une conférence téléphonique.A la Bourse de Paris, vers 09h40, le titre URW prenait 5,79% à 70,48 euros dans un marché en légère hausse de 0,13%.
Il y a 3 ans et 77 jours

Issy-les-Moulineaux : travaux d’installation d’une géothermie aux ILN Mairie

Des travaux de voirie importants sont nécessaires pour raccorder le quartier Issy Cœur de Ville aux 315 logements sociaux des ILN Mairie.
Il y a 3 ans et 131 jours

Une nouvelle cité des sports à Issy-les-Moulineaux

La ville d’Issy-les-Moulineaux s’est offert un nouveau complexe sportif. Ce dernier est déjà opérationnel.
Il y a 3 ans et 225 jours

Le manque d’offre pèse toujours sur les prix de l'immobilier neuf

Prix en hausse dans une centaine de villesTrois-quarts des villes de ce baromètre des prix de l’immobilier neuf voient leur prix augmenter lors des six derniers mois. Elles étaient 6 sur 7 en début d’année.Si l’on note proportionnellement moins de villes affichant des prix en hausse, Trouver-un-logement-neuf.com observe tout de même que l’offre y est de plus en plus restreinte. Le site spécialisé dans l’immobilier neuf enregistre que le nombre de villes comptant au moins 5 programmes neufs continue de se tarir : 141 précisément en cette rentrée, contre 150, début 2021. Moins d’offre, c’est indubitablement une pression sur les prix. D’autant que la demande reste forte, confirment les promoteurs immobiliers, dans la dernière enquête trimestrielle de l’Insee.Un T3 au-delà des 300 000 € en moyenneLe prix moyen d’un trois-pièces a ainsi augmenté de + 3,07 % en six mois, pour une inflation sur un an de + 1,9 % à fin août, selon l’Insee. En cette rentrée 2021, il faut donc compter en moyenne 302 484 € pour acheter un trois-pièces dans le neuf en France. Le cap symbolique d’un prix de mise en vente moyen à 300 000 € pour un T3, surface de référence dans la promotion immobilière, est donc franchi pour la première fois dans ce baromètre.« Si, globalement, moins de villes sont concernées par la hausse des prix en cette rentrée qu’en début d’année, cela n’empêche que le manque d’offre fait indubitablement grimper les prix dans ce baromètre », décrypte Céline Coletto, porte-parole de Trouver-un-logement-neuf.com. Exemple à Bayonne.Immobilier neuf Bayonne : la plus forte haussePlus forte hausse de ce baromètre : Bayonne. Avec un prix qui grimpe d’un tiers en six mois, à 412 300 €, la cité basque compte moins d’une dizaine de programmes neufs en commercialisation actuellement et l’arrivée d’un nouveau programme immobilier très haut de gamme fait s’envoler la moyenne. On peut toutefois toujours y trouver des trois-pièces à moins de 250 000 €.Contre-exemple : Ajaccio. La ville corse a encore moins de projets immobiliers en commercialisation mais des programmes neufs plus abordables qui lui permettent d’afficher un prix en baisse de presque -27% à un accessible 282 200 € pour un trois-pièces en moyenne.A noter que des grandes villes font leur retour dans le top 10 des plus fortes hausses : Lille : +17,5%, Caen : +16,5%, Toulon : +12,5%. Paris où les prix étaient en baisse ces derniers mois, enregistre une nouvelle progression importante : +7,6% à presque 856 000 € le trois-pièces.Les tops 5 des prix du neufParmi les villes les plus chères de France, à la suite de Paris, on retrouve à nouveau uniquement des villes des Hauts-de-Seine. Compter plus de 680 000 € pour acheter un trois-pièces à Issy-les-Moulineaux. Clichy, malgré une légère baisse de -1,78% complète le podium.Pour trouver des prix plus accessibles en Ile-de-France, il faut se tourner vers Meaux et Melun en Seine-et-Marne, les deux seules villes franciliennes où l’on trouve encore des trois-pièces à moins de 200 000 € en moyenne. Pour un appartement neuf à Paris, on peut désormais en acheter 4 à Meaux.Pourtant, parmi les villes les plus abordables, la hausse des prix se poursuit aussi. Tout en restant accessible, devenir propriétaire d’un trois-pièces à Saran au nord d’Orléans coute désormais 10,5% plus cher qu’il y a six mois. D’autres localités comme Perpignan, Tourcoing, Haguenau… restent sous la barre des 200 000 €, même si les prix y augmentent aussi ces derniers mois.Quelle ville est la plus demandée ?Berceau de l’investissement locatif, Toulouse, où le prix augmente de 3% environ à presque 260 000 €, repasse en tête des villes les plus recherchées sur le portail Trouver-un-logement-neuf.com à l’approche de cette rentrée, passant de la 5ème à la pole position. Elle devance Rennes et Nantes, qui perd sa première place, sur le podium des localités les plus demandées par les internautes. Toulouse profite peut-être du regain des requêtes pour l’investissement, qui a grimpé de 2,5 points en cette rentrée sur le portail dédié au logement neuf.ConclusionA voir maintenant si ce regain d’intérêt pour l’investissement locatif se traduira en réservations dans les semaines à venir. Pour l’heure, les ventes du deuxième trimestre restent en retrait de presque 14% à la période d’avant crise sanitaire, d’après les chiffres du ministère.D’importantes annonces, notamment à propos d’un Super Pinel pour 2023, mais aussi d’un référentiel pour du logement de qualité et de propositions pour soutenir l’immobilier, sont attendues d’ici la mi-octobre. Objectif : relancer la construction et donc l’offre. A suivre pour savoir si cela fera baisser la pression sur les prix.Les plus fortes évolutions de prix du neuf en France en six moisConsulter ici le prix de l’immobilier neuf ville par ville
Il y a 3 ans et 231 jours

À Issy comme à New York pour les habitants des tours Loci Anima ?

A Issy-les-Moulineaux, (Hauts-de-Seine), dans la ZAC du Pont d’Issy, les travaux de la tour Keiko conçue par l’architecte Françoise Raynaud ont débuté en 2021. L’ouvrage de 69 mètres de haut sur 14 étages comptera, en 2023, 25 000 m² de bureaux qui offriront une vue imprenable sur la Seine et la Tour Eiffel. Et personne […] L’article À Issy comme à New York pour les habitants des tours Loci Anima ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 278 jours

Issy-les-Moulineaux mise sur la géothermie pour se rafraîchir sans climatisation

Installé dans les sous-sols, le système, conçu et réalisé par Engie Solutions, utilisera de l'eau à 15°C, puisée à 35 mètres sous terre, pour produire du froid, mais aussi de la chaleur en hiver, grâce à des machines appelées "thermofrigopompes".Un autre réseau utilisant la géothermie doit être installé à Saint-Denis, pour rafraîchir le village olympique en 2024.Dans un contexte de réchauffement climatique et de vieillissement de la population, "on ne parle pas d'un besoin de froid de confort, mais d'un besoin de froid sanitaire", soutient Aurélie Lehericy, directrice générale adjointe d'Engie Solutions Villes & Collectivités.Chaque année, des îlots de chaleur se forment en effet dans les villes: la température augmente localement à cause de la pollution, et aussi de la chaleur dégagée par les systèmes de climatisation.Le réseau de froid permettrait de limiter la formation de ces îlots, en évitant le recours à la climatisation individuelle sur les 105.000 mètres carrés d'immeubles du Coeur de Ville.70% d'énergie renouvelableAu total, le réseau de chaud et de froid du quartier utilisera un peu plus de 70% d'énergie renouvelable. Pour le reste, il faudra de l'électricité pour faire fonctionner la plupart des machines, et des chaudières au gaz seront installées en appoint pour les périodes de grand froid.Comme les climatiseurs classiques, l'installation utilise aussi des fluides frigorigènes. Sous forme gazeuse, ces fluides sont de puissants gaz à effet de serre et peuvent s'échapper lors de la construction, de la maintenance, ou à cause de fuites. Ce sont eux qui contribuent le plus fortement à la pollution des climatiseurs."Avec ce système, on utilise 90% de fluides frigorigènes en moins par rapport à une climatisation classique, ce qui revient à diviser par deux les émissions de CO2", assure Mme Lehericy.Ces fluides sont notamment utilisés dans des petites billes qui constituent la principale innovation du chantier: placées dans une grande cuve de 130 m3, elles servent à stocker du froid (à la manière de glaçons réutilisables), en particulier la nuit, afin de répondre aux fortes demandes de fraîcheur pendant l'été.Et la facture ?Pour ce nouveau quartier d'Issy-les-Moulineaux, le réseau de chaud et de froid a coûté 8 millions d'euros. 25% de cette somme a été prise en charge par le promoteur immobilier Altarea, et l'Agence de la transition écologique (Ademe) a contribué à hauteur de 532.000 euros.Dans la commune, où la géothermie est déjà utilisée dans le quartier du Fort, le maire UDI André Santini vante les mérites de l'installation pour les habitants: "Les gens sont très surpris de voir leur facture baisser", assure-t-il.En effet, l'utilisation de la géothermie permet de limiter l'impact des fluctuations du prix des énergies fossiles et de l'électricité sur le coût du chauffage et de la climatisation.Pour les futurs habitants du quartier, qui devraient arriver à l'été 2022, Engie a estimé à 700 euros par an le coût du chauffage et de la climatisation pour un appartement de 65 mètres carrés.En France, les réseaux de froid mutualisés représentent seulement 7% de la production de froid: ils n'utilisent pas tous le même fonctionnement, mais tentent de présenter une alternative plus verte à la climatisation individuelle.Entre 2016 et 2020, le recours à la climatisation a augmenté de 11% selon l'Ademe, qui estime "impératif de maîtriser cette évolution pour en limiter l'impact au maximum".
Il y a 3 ans et 299 jours

Travail post-Covid: des salariés nomades, des mètres carrés en moins et des économies

En dépit de conditions très variables, la grande majorité des salariés souhaitent continuer à télétravailler de leur domicile ou d'un endroit extérieur à leur entreprise à raison d'un à trois jours par semaine, attestent plusieurs enquêtes.L'occasion pour les entreprises de "repenser l'occupation et l'organisation de leurs espaces de travail", dit Pierre-Yves Guice, directeur général de l'établissement public d'aménagement de la Défense."C'est le cas pour presque toutes. Nombreuses sont celles aussi qui l'ont expérimenté avant la crise du Covid, qui les a confortées dans leur choix" au profit d'économies locatives, ajoute cet observateur privilégié du quartier d'affaires parisien. Il cite des "estimations" tablant sur "15 à 20% de demandes en espaces de bureaux en moins chaque année en Île-de-France après la crise".A la Défense, "le loyer de référence" (bureaux) "est de 540 euros par mètre carré et par an (hors taxes, hors charges) pour des baux de trois, six ou neuf ans" qui "laissent peu de flexibilité aux entreprises". Nombreuses sont celles à se tourner vers des espaces de coworking (espaces de travail partagés par des salariés et des entreprises), louables en nombre de "postes" de travail, à raison de "500 à 600 euros par mois en moyenne" et facilement résiliables, précise à l'AFP Yannis de Francesco, directeur grands projets chez JLL, acteur du conseil en immobilier d'entreprise."Il y a toujours une bonne équation à trouver en termes d'économies", admet Séverine Legrix de la Salle, directrice du projet du tout nouveau siège social d'Orange à Issy-les-Moulineaux, envisagé dès 2015, confirmant une réduction des coûts "confidentielle" à la faveur du déménagement.Congés, RTT, formations, déplacements, maladies... "Avant la crise", dit-elle, "entre 30 et 40% des postes du tertiaire étaient déjà inoccupés quotidiennement en Île-de-France". Chez Orange, 40% des salariés exerçaient déjà en télétravail, y compris les vendeurs et salariés des plateaux d'appel.L'opérateur télécom a abandonné Paris pour "regrouper" ses équipes et "répondre aux nouveaux besoins" et "pratiques collaboratives" des 2.850 personnes qui fréquenteront son nouveau siège à l'avenir, selon la responsable."Très horizontal avec seulement huit étages, il est organisé autour d'un immense atrium couvert d'une structure vitrée, très végétalisé, et comprend un auditorium, trois restaurants dont celui d'entreprise, un espace sportif et nombre de cafétérias, machines à café", soit "30% d'espaces de réunion et de convivialité contre 10 à 15% auparavant", précise-t-elle."Beaucoup plus qu'avant la crise, venir au travail va devoir être générateur de valeur ajoutée", estime M. Guice. Cela "se traduit par une tendance à l'expansion du flex-office (pas de bureau attitré) avec moins d'open space et de plateaux traditionnels pour dégager des surfaces nouvelles dédiées aux lieux de rencontre, de création, de présentation"."Rentabiliser les surfaces"Certains grands groupes situés dans le quartier d'affaires "commencent à rapatrier ou à regrouper des filiales, des équipes" pour mieux rentabiliser leurs surfaces de bureaux à la Défense. "Dans certaines tours, une entreprise qui occupait dix étages envisage d'en abandonner un ou deux", et dans le même temps des entreprises basées dans des sites périphériques "envisagent de se réinstaller dans le quartier d'affaires car elles ont besoin de moins de mètres carrés mais des services qu'il offre", détaille M. Guice.Benoît Serre, vice-président délégué de l'Association nationale des directeurs de ressources humaines (ANDRH), observe lui aussi "un mouvement de réflexion pour repenser les métiers, les rendre +télétravaillables+ et gagner en nombre de sites"."Les petits sites, surtout, sont concernés par des fermetures. Dans les grands, c'est plutôt une réduction de mètres carrés, une réorganisation. Il va falloir trouver le juste équilibre entre le télétravail, attractif, et le maintien du service de proximité. Cela ne se pense pas uniquement en termes de réduction de mètres carrés", dit-il.Car "la tentation de faire des économies sur la location de bureaux peut être préjudiciable à l'exercice du collectif de travail", met en garde Thomas Coutrot, chef du département conditions de travail à la Dares, le service statistique du ministère du Travail. "L'ultraformalisation du fonctionnement collectif risque de faire disparaître le fonctionnement informel, très important pour la régulation quotidienne", fait-il valoir.Attentes fortes"On ne reviendra pas au schéma antérieur", estime Sébastien Desideri, responsable des études stratégiques chez Malakoff Humanis, pour qui "le télétravail est généralisable"."Moins de bureaux individuels, plus d'espaces de convivialité, mais aussi un travail sur l'acoustique - en raison de la multiplication des réunions en ligne - sont au programme", précise Jean-François Colle, directeur de l'environnement de travail au sein de ce groupe de protection sociale.A la Société Générale, on "repense" aussi la donne. La banque transforme l'espace et ajoute "des espaces de coworking et de brainstorming (réflexion)", plus de "petites salles" de rencontre, dit Caroline Guillaumin, DRH.On revient au bureau "pour le lien social mais aussi parce que tous les outils (Teams, Skype...) bloquent la créativité. L'objectif est d'avoir des espaces de convivialité. Quand les gens reviennent sur site, ils doivent retrouver ce qui leur manque à la maison", estime-t-elle.A la tête de Freelance.com, spécialisée dans la transformation digitale, Laurent Lévy envisage de quitter la Défense et "réunir (ses) deux sites parisiens" dans un espace de coworking du 17e arrondissement."Nous ne réfléchissons pas en termes d'économies locatives mais les tours de la Défense ont tendance à favoriser le travail en silos (cloisonné). Les espaces libérés nous permettront d'aménager plus d'espaces collaboratifs". Objectif ? "Un mode de fonctionnement dans la durée avec seulement trois jours sur site et la totalité des équipes (220 personnes) en flex-office", dit-il."La crise a tellement ancré le télétravail dans les habitudes que les équipes attendent vraiment un autre mode de fonctionnement; c'est beaucoup plus profond qu'une question de quantité de jours de télétravail", insiste-t-il.
Il y a 3 ans et 322 jours

Le nouveau siège social d’Orange révèle tout le potentiel du bambou MOSO®

Aucune parcelle architecturale du nouveau siège social d’Orange n’échappe aux solutions bambou de MOSO® International. Installées du sol au plafond en passant par les murs, la prééminence du bambou caractérise ce chantier d’envergure situé à Issy-les-Moulineaux. Idéalement placé dans la ville, le bâtiment est prêt à accueillir 3000 salariés de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde. Ce projet aussi ambitieux que novateur est signé par l’agence VIGUIER, promu par Altarea Cogedim. Un bâtiment marqué par une identité architecturale forte mixant le minéral et le végétal Étendu sur 56 000 m², le nouveau siège d’Orange appelé « Bridge » peut difficilement passer inaperçu à Issy-les-Moulineaux. Son emplacement stratégique, à la fois proche du centre-ville, bien desservi par les transports et en bord de Seine offre une promesse de confort aux futurs occupants des lieux. Pour ce projet fortement symbolique, le cabinet d’architecture VIGUIER a tenu à sélectionner un faible nombre de matériaux afin d’aboutir à un ensemble harmonieux et cohérent entre l’architecture extérieure et intérieure. Le choix du bambou, du métal et du minéral a ainsi permis d’atteindre le résultat attendu, c’est-à-dire un ensemble unifié et clair. Le projet d’architecture d’intérieur a consisté à revêtir de bambou les zones largement ouvertes au public et aux événements, le rez-de-chaussée ou encore les lieux de passage. Découlant de ces zones prédéfinies qui constituent le cœur du projet, le cabinet a assuré une continuité du revêtement en bambou à travers les ascenseurs, leurs paliers, les sanitaires et les terrasses intérieures situées dans les étages. Dans la même logique, cette démarche a été déclinée sur les espaces paysagers extérieurs, c’est-à-dire sur la terrasse du toit, sur les balcons et le parvis. Un accompagnement sur-mesure opéré par un partenaire de confiance Le choix du matériau végétal ne s’est pas porté immédiatement sur le bambou, et ne devait concerner au départ que le parquet. L’architecte prônait initialement le chêne dont l’option semblait pertinente au vu du déploiement prévu sur des espaces larges, variés et particulièrement sollicités par les passages. Le promoteur investisseur était surtout soucieux de la pérennité que pouvait offrir le matériau choisi, considéré comme le point essentiel du projet. En premier lieu, le bambou a séduit par ses qualités techniques. Ce matériau remplissait toutes les contraintes en matière de résistance au poinçonnement, et il présentait de forts atouts en matière de durabilité et de flexibilité. Ainsi, sa souplesse autorisait toutes les audaces créatives. Il restait toutefois un dernier point à satisfaire : la tonalité du bambou devrait se rapprocher de celle du chêne. Soucieux de répondre à cette exigence esthétique, MOSO® a su faire preuve d’écoute et d’adaptabilité. La société a mobilisé les équipes de son site de production, situé en Chine, pour contretyper la teinte du revêtement sol jusqu’à l’obtention de la finition souhaitée. Convaincue, l’agence d’architecture décide alors de décliner le bambou non seulement sur les sols, mais également sur les murs et plafonds. Possibilités illimitées avec les solutions MOSO® Bambou Le bambou est un matériau flexible offrant des possibilités illimitées en termes d’application. Selon le mode de fabrication, il peut tout aussi bien être installé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les architectes en charge du projet Bridge Pont d’Issy l’ont bien compris ; le matériau est décliné sous plusieurs formes, ajoutant dans chaque espace une touche naturelle, qualitative et chaleureuse. Des sols en bambou– intérieur et extérieur Au total, 8 600 m2 de sol BambooPlex sont installés à l’intérieur de l’édifice, dans des zones de passage et des marches d’escalier. Le sol BambooPlex, muni d’une couche d’usure en bambou Density® de 4,5 mm d’épaisseur, assure une résistance au trafic intense. MOSO® BambooPlex dispose d’une haute stabilité permettant également une installation sur sol chauffant. Enfin, il a été livré avec une certification FSC afin de répondre aux exigences environnementales du projet. En extérieur, 1 200 m2 de terrasse Bamboo X-treme® habillent le toit et les balcons, créant une continuité entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. MOSO® Bamboo X-treme® est une lame de terrasse combinant un thermo-traitement avec une compression à haute densité des lamelles de bambou. Grâce à ce procédé, la solution bénéficie de la plus haute durabilité. Elle est certifiée Classe 1 en termes de durabilité biologique (selon EN 350 / CEN/TS 15083-2, test de bois enterrés Classe 1 EN 350 / CEN/TS 15083-1) et une classe d’usage Classe 4 (selon EN 335). Panneaux, placages et carrelets en bambou L’auditorium est revêtu en extérieur et intérieur de placages en bambou et de rouleaux flexibles Flexbamboo s’adaptant parfaitement aux courbes de cet espace. Pour répondre aux exigences de performances acoustiques, le placage en bambou est appliqué sur des panneaux acoustiques. Les dossiers et tablettes des assises sont également recouverts de placage en bambou. Les carrelets MOSO® Bambou ornent les faux plafond et mur rideaux. Les industriels ont eux-mêmes opéré le travail de finition dans le même esprit que la réalisation du parquet, à partir des solutions MOSO® fournies à l’état brut. Ainsi, les teintes ont subi la variation de couleurs attendue à chaque itération. Les panneaux massifs MOSO® Bambou permettent de créer d’élégantes mains courantes, portes et huisseries. Les 3 atouts majeurs des produits MOSO® Bambou La dureté favorise la pérennité des revêtements Les produits MOSO® Bambou offrent de nombreux avantages, tels qu’une dureté exceptionnelle, grâce à un procédé de compression à haute densité des lamelles de bambou.  Celui-ci permet d’obtenir une résistance Brinell supérieure à 9.5kg/mm2 selon la norme EN1534 pour les solutions Density® et Bamboo X-treme®. Les solutions sont déclinables sans fin Les produits MOSO® Bambou se démarquent également par leur stabilité dimensionnelle considérable avec des coefficients de dilatation très faibles, comparés à toutes les essences de bois. Ils sont ainsi tout à fait adaptés à des environnements à fortes contraintes et à fort trafic. Il répond à de nombreuses applications, telles que les sols, murs, extérieurs couverts, bardage…. Le bambou possède des caractéristiques mécaniques proches des bois tropicaux, ce qui favorise sa dureté et sa résistance, y compris au feu. La durabilité en faveur des enjeux environnementaux Le bambou MOSO® est un matériau durable. Ce n’est pas un bois, mais une graminée. Cette plante présente la croissance la plus rapide au monde, pouvant aller jusqu’à 1 mètre par jour. Grâce à son système de rhizomes permettant un renouvellement des cannes de bambou très élevé, sa production n’occasionne pas de déforestation. Cet aspect essentiel participe à réduire l’impact environnemental. Les produits MOSO® Bambou permettent d’obtenir de nombreux crédits de différents écolabels comme HQE, BREEAM et LEED. L’analyse du cycle de vie des produits MOSO® Bambou, réalisée de manière indépendante par l’Université de Delft aux Pays-Bas, démontre l’empreinte carbone neutre des produits MOSO®. Plus récemment, MOSO® offre la possibilité de calculer les émissions carbone retenues dans un projet selon les produits employés. L’étroite collaboration avec MOSO® International a permis de répondre aux attentes techniques et esthétiques de ce projet architectural ambitieux. La présence du bambou a finalement donné du contraste à la tonalité blanche de l’architecture et a apporté une note chaleureuse à l’ensemble. Détails du projet Orange – Siège social Lieu : Issy-les-Moulineaux (92) Architecte : Agence VIGUIER Promoteur investisseur : Altarea Cogedim. Applications en bambou : 8600m2 sol BambooPlex Density® Naturel, certifié FSC installation sur sol chauffant (produit sur-mesure conçu pour le projet) ; Installateur : INTERSOL 3000m2 placages fins vertical pour panneaux acoustiques ; Industriel : Topakoustic ; Installateur : BOISTECH 80m3 carrelets vertical (section 20X55mm) pour plafonds acoustiques ; Industriel : Laudescher Installateur : CERTAC 20m3 carrelets Bamboo N-Finity pour murs rideaux ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Panneaux massifs (Vertical Caramel) et mains courantes et portes ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Placage fin (Vertical Caramel) pour portes ; Industriel et installateur : BOISTECH 1200m2 Terrasse Bamboo X-treme® (toit terrasse) ; Installateur : SPORTS ET PAYSAGES Légende photo : Daniel Osso et MOSO® Bambou  À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso-bamboo.com/fr/