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Résultats de recherche pour lyon confluence

(146 résultats)
Il y a 9 jours

Lyon Confluence : un îlot pilote valorise le bois scolyté

PROJET. Située sur l'îlot E3 Nord à Lyon Confluence, La Hora est un ensemble de six bâtiments totalisant 144 logements. Ce projet met à l'honneur les ressources locales, notamment le bois provenant des forêts du Massif Central, du Jura et de l'arrière-pays lyonnais. Il s'agit également d'un démonstrateur ambitieux, utilisant pour l'une des premières fois à grande échelle du bois scolyté.
Il y a 16 jours

À Lyon, une tour en bois de 53 mètres s'élève dans le quartier de La Confluence

URBANISME. C'est une prouesse architecturale qui vient de voir le jour à Lyon. La tour Albizzia, haute de 53 mètres, a été inaugurée dans le quartier de La Confluence. Avec ses 16 étages, elle figure parmi les plus hauts immeubles en bois construits en France.
Il y a 36 jours

la tour mirabeau lyon une tour en bois alliant coresponsabilit et innovation architecturale

La Tour Mirabeau à Lyon réinvente l’urbanisme avec une architecture en bois et verdure, symbole d’innovation et de construction durable à la Confluence.
Il y a 295 jours

Le Caterpilou, la nouvelle aire de jeu XXL de Lyon Confluence

URBANISME. Avec sa chenille géante trônant en son centre, la nouvelle aire de jeu monumentale du quartier de Lyon Confluence a fait sensation auprès des petits et des grands lors de son inauguration, mercredi 3 juillet.
Il y a 1 ans et 28 jours

Lyon : de l'activité poussera dans le Champ de Confluence

...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 106 jours

Naissance d'une aire de jeu dotée d'une drôle de chenille à Lyon-Confluence

AMÉNAGEMENT. Une aire de jeu monumentale accompagnée d'une structure en forme de chenille est en construction dans le quartier de la Confluence à Lyon. Baptisé Caterpilou, cet objet ludique, long de 40 mètres, s'adressera aux enfants de 3 à 12 ans.
Il y a 1 ans et 162 jours

Vers davantage de piétonisation dans le quartier de la Confluence à Lyon

PIÉTONISATION. Suite au succès d'une expérimentation menée en 2021, la métropole et la ville de Lyon envisagent de piétoniser le cours Charlemagne entre la rue Montrochet et le quai Antoine Riboud, dans le quartier de la Confluence.
Il y a 1 ans et 175 jours

À Lyon, Remyx, signé David Chipperfield, ce n’est pas de la magie

Bouygues Immobilier et In Extenso ont signé en septembre 2023 la VEFA de 2 450m² de bureaux au cœur du quartier innovant et durable Sollys, à Lyon Confluence, opération intitulée Remyx et confiée à David Chipperfield. Communiqué du développeur-ensemblier. In Extenso, cabinet national leader de l’expertise comptable des services professionnels pour les TPE-PME en France, […] L’article À Lyon, Remyx, signé David Chipperfield, ce n’est pas de la magie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 114 jours

Face au réchauffement climatique, les bâtiments en terre crue reviennent en grâce

La technique du pisé, de la terre crue comportant une part d'argile compactée et coffrée par couches, a été utilisée aussi bien pour bâtir l'Alhambra de Grenade dans l'Espagne médiévale, que l'église de la réconciliation à Berlin en 2001. La ville saoudienne de Dariya, près de Riyad, est bâtie en briques de terre crue.Selon Hugo Houben et Hubert Guillaud, auteurs de l'ouvrage de référence "Traité de construction en terre" (2006, réédité), un tiers de l'humanité vit dans un habitat en terre, soit plus de deux milliards de personnes dans 150 pays.En France, "la terre représente environ 15% du patrimoine bâti", soulignent Emmanuel Keita, enseignant à l'école des Ponts et Antonin Fabbri, directeur de recherche, dans un article commun consacré au sujet.Il existe différents procédés d'utilisation de la terre -- pisé, torchis (terre crue coupée de paille), bauge (couches successives de torchis sans ossature), colombage (terre compactée dans une ossature bois) ou brique de terre crue. En France, on la trouve dans les maisons à colombage en Alsace, en Normandie, dans le Gers ou en région Auvergne-Rhône-Alpes. A Lyon, dans le quartier moderne de la Confluence, au milieu du béton, a poussé un immeuble de bureaux en terre crue, conçu par l'architecte Clément Vergély et le cabinet suisse Diener et Diener, avec le maçon Nicolas Meunier, formé au pisé au Mali."Le retour en grâce de la terre crue dans la construction est basé sur un constat: un kilo de ciment émet un kilo de CO2, alors qu'un kilo de terre crue émet zéro", analyse Xavier Chateau, directeur de recherche en sciences des matériaux au laboratoire Navier (CNRS-Ecole nationale des Ponts et Chaussées).Risques d'effondrementOutre qu'aucune cuisson n'est nécessaire comme pour le ciment fortement émetteur de CO2, et que la terre est une ressource locale, elle offre aussi une très bonne inertie thermique, en régulant naturellement le taux d'humidité, et elle est recyclable à 100%, font valoir ses soutiens. Elle pourrait dès lors aider à relever un énorme défi climatique. "Si on arrivait à abaisser de 25% le volume de ciment consommé dans le monde, c'est comme si on supprimait l'impact sur le climat de tous les transports en avion", calcule M. Chateau.Néanmoins, la terre a ses fragilités. Les bâtiments doivent être protégés des intempéries et des remontées capillaires. La presse locale française se fait régulièrement l'écho d'effondrements d'immeubles en pisé. A Chaponost dans le Rhône, un immeuble de quatre étages s'est effondré en novembre, et une maison à la Tour-du-Pin en Isère le 22 décembre.Certains ajoutent un adjuvant, ciment, chaux, laitier de sidérurgie (résidu de haut fourneau) ou produits biosourcés (paille ou chanvre), pour "stabiliser" la terre, la rendre hydrophobe et un peu plus résistante sur le plan mécanique pour permettre des constructions plus durables.Le géant français des matériaux Saint Gobain a même lancé une expérimentation de bétons de terre, alliant terre d'excavation issue de chantiers, déchets de sidérurgie et chanvre.Difficile à assurerInitiative vue comme une hérésie par les puristes. "Ce n'est pas du tout le même matériau", déclare à l'AFP Paul Emmanuel Loiret, architecte qui préside "La Fabrique" à Sevran, en banlieue parisienne, une usine où sont fabriqués des blocs de terre comprimée à partir des déblais des chantiers du Grand Paris. "La norme, la législation européenne, nous imposent d'avoir des matériaux 10 à 20 fois plus résistants que ce dont on a besoin", dit-il, en estimant qu'il faut "décarboner complètement et rapidement"."En Afrique, au Burkina Faso ou au Malawi, c'est devenu un savoir-faire artisanal de stabiliser la terre crue avec du ciment en pied de bâtiment pour régler le problème de l'eau", rétorque M. Chateau."C'est un matériau naturel, variable selon l'endroit d'où il est retiré, il ne va donc pas avoir des propriétés constantes dans le temps et cela va être très dur d'assurer le bâtiment", ajoute l'expert."La terre crue est un matériau génial sur le papier, sauf qu'il n'y a pratiquement pas de personnel pour le mettre en oeuvre, et que cela coûte plus cher car il faut passer par des demandes d'expérimentation (payantes) auprès du centre technique du bâtiment, c'est donc un vrai choix d'engagement" ajoute-t-il.
Il y a 2 ans et 189 jours

Un premier immeuble sans clim ni chauffage sera inauguré en France en 2025

PREMIÈRE EN FRANCE. Déjà éprouvé en Autriche, Suisse et Allemagne, le concept 22-26 de l'agence Baumschlager Eberle Architectes (BEA) a la particularité d'avoir aucun système de chauffage, de ventilation ou de refroidissement. Un premier bâtiment de ce type va pousser en France à Lyon dans le quartier de la Confluence. Explications avec une des architectes du projet.
Il y a 2 ans et 217 jours

A Lyon, l'ancien bâtiment du marché de gros réenchante la Confluence

RÉOUVERTURE. Déjà transformé en salle de musique en 2006, l'ancien bâtiment du marché de gros de Lyon renaît une nouvelle fois avec un ensemble flambant neuf pouvant accueillir 70 concerts par an. Si les ailes du bâtiment ont été détruites et reconstruites, sa façade et son esprit industriel ont été préservés. Découverte.
Il y a 2 ans et 229 jours

Rhône : Wake Up, une nouvelle résidence au cœur de Lyon Confluence

À Lyon (Rhône), les projets immobiliers se multiplient dans le secteur de la Confluence. Le programme Wake Up vient d’accueillir ses premiers...
Il y a 2 ans et 230 jours

CoBe pour une nouvelle séquence de Lyon-Confluence

En juillet 2022, la SPL Lyon-Confluence a sélectionné l’agence CoBe, en tant qu’urbaniste opérationnel, pour la poursuite du méga projet d’aménagement du territoire, entre Rhône et Saône à Lyon (Rhône). Les écologistes veulent aussi laisser leur empreinte sur la presqu’île. Communiqué. L’agence succède aux Suisses Jacques Herzog et Pierre de Meuron, qui ont œuvré à […] L’article CoBe pour une nouvelle séquence de Lyon-Confluence est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 237 jours

À Lyon Confluence, CoBe aux manettes

C'est l'agence CoBe, en tant qu'urbaniste opérationnel, qui accompagnera désormais la SPL Lyon Confluence dans la poursuite du méga projet d'aménagement de la presqu'île, entre Rhône et Saône. Succédant aux Suisses Jacques Herzog et Pierre de Meuron, qui ont œuvré à la mise en place du masterplan de la Zac […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 238 jours

L'adaptabilité pour accompagner l'innovation : une pépinière d'entreprises à Saclay, par Ignacio Prego

C'est l'agence CoBe, en tant qu'urbaniste opérationnel, qui accompagnera désormais la SPL Lyon Confluence dans la poursuite du méga projet d'aménagement de la presqu'île, entre Rhône et Saône. Succédant aux Suisses Jacques Herzog et Pierre de Meuron, qui ont œuvré à la mise en place du masterplan de la Zac […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 316 jours

Yanis Ourabah : Alors on danse…

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine « J’ai pris quelque 700 photos pour 80 retenues. Le lieu était sombre, il fallait bien cela pour bien rendre parfaitement le mouvement de la danse. » [©Yanis Ourabah] Photographe professionnel à Lyon, Yanis Ourabah officie surtout dans la construction, l’architecture et l’industrie. Et plus précisément sur le chantier du prolongement du métro B de Lyon depuis 3 ans, pour le compte de Demathieu Bard. Il participe à immortaliser les suivis des chantiers à destination des architectes et des promoteurs immobiliers. « Je suis l’évolution du chantier depuis ses débuts et ça tombe bien, j’ai grandi dans le coin et je suis fasciné par ce chantier ! » A côté de cela, « en 2012, j’ai créé un projet qui s’appelle “Dance in Lyon”. Et qui a pour but de sortir la danse classique et contemporaine des studios et de faire découvrir la ville de Lyon grâce à cet art. Demathieu Bard a été enchanté par l’idée de réaliser une séance dans le tunnel du prolongement du métro B ! » Pleins-feux sur le chantier Ouverte en 1978, la ligne B dessert l’agglomération lyonnaise sur 8 km entre Villeurbanne et Oullins. Jusqu’alors doté de dix stations, le parcours a été prolongé de presque 2,5 km avec la construction en sous-sol de deux nouvelles stations : Oullins Centre et le terminus Saint-Genis-Laval – Hôpitaux Sud. Les travaux de génie civil ont comporté la réalisation d’un tunnel de 2,4 km et la construction de deux gares. Mais aussi, la création d’un puits d’attaque au niveau des hôpitaux Lyon Sud, un rameau de raccordement au puits du Grand Revoyet. Et enfin, l’adaptation du puits Orsel existant, situé derrière l’ancien terminus d’Oullins, pour évacuer le tunnelier et, en phase d’exploitation, ventiler les espaces souterrains. De la danse en sous-sol… Yanis Ourabah sublime le prolongement de la ligne B du métro de Lyon. [©Yanis Ourabah]Ses différentes séries ont aussi pour ambition de dévoiler la ville de Lyon à travers un œil unique, celui d’un amoureux du mouvement et de la grâce. [©Yanis Ourabah]Le photographe Yanis Ourabah suit l’évolution du chantier du prolongement du métro B de Lyon depuis ses débuts. [©Yanis Ourabah]« J’aime rechercher des lieux insolites à Lyon. Je me balade souvent seul en vélo. » [©Yanis Ourabah]« J’aime le contraste saisissant entre la dureté du béton, son graphisme épuré et la grâce de la danse. » [©Yanis Ourabah] « J’aime le contraste saisissant entre la dureté du béton, son graphisme épuré et la grâce de la danse. Ce tunnel était parfait pour cela… Mon objectif est d’amener de la légèreté et de l’élégance dans un environnement dur, froid, industriel et bétonné ! Montrer qu’un chantier peut être photogénique. Avec les deux danseuses et le danseur professionnels, nous sommes restés dans cet environnement poussiéreux et bruyant pendant 3 h. J’ai pris quelque 700 photos pour 80 retenues. Le lieu était sombre, il fallait bien cela pour bien rendre parfaitement le mouvement de la danse. » Yanis Ourabah sublime ainsi ce prolongement de la ligne B du métro de Lyon. Une démarche artistique double Ses différentes séries ont aussi pour ambition de dévoiler la ville de Lyon à travers un œil unique, celui d’un amoureux du mouvement et de la grâce. « J’aime rechercher des lieux insolites à Lyon. Je me balade souvent seul en vélo. J’arpente les rues, je repère des monuments…Si j’amène la danse hors de studios, je la mets en scène dans des hôtels 5* comme l’Intercontinental, dans des rooftop d’une clinique par exemple, dans des musées, ceux de Confluence ou le musée gallo-romain… Je fais à la fois découvrir la danse, mais aussi d’autres visages architecturaux de Lyon aux Lyonnais et aux touristes. Je me promène tel un globetrotter d’endroits en endroits toujours plus étonnants, comme les petites ruelles du quartier de La Guillotière, dans les IIIe et VIIe arrondissements… Je m’intéresse aux quartiers qui ont bougé ces dernières années comme La Confluence ou La Guillotière. » Yanis Ourabah vient de la photographie des sports extrêmes. En 2012, il a un déclic avec une série de photos sur une jeune danseuse. L’aventure avec ce médium commence : « Cette photographie est un substitut à celle de sports extrêmes. C’est une photo d’action. Il faut composer avec la lumière naturelle et l’environnement. Et surtout transmettre et retranscrire le style des artistes qui posent ». Une belle réussite… Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 338 jours

10ème Championnat de France Cordistes : 2 Jours d’efforts et des nouveaux titres de Champions de France

Bien plus que compétition d’experts, c’est surtout l’occasion de mettre en avant et de faire découvrir un métier en plein développement exercé par plus de 15 000 professionnels en France, regroupés dans 700 entreprises spécialisées. Une profession qui génère un peu moins de 1 milliard d’euro de chiffres d’affaire.Déjà 10 éditions fédératricesLancé en 2006 à Paris, le syndicat Français professionnel France Travaux sur Cordes a fait évoluer cet événement avec la volonté de réunir l’ensemble des acteurs du monde des travaux d’accès difficiles : cordistes, chefs d’entreprise, partenaires, organismes de formation, organismes, préventeurs, FFB, FNTP, Ministère du Travail, afin de mieux faire connaître la profession et d’améliorer les pratiques.Fédérateur, technique et impressionnant, les cordes fait le lien.Moyen d’accès et de déplacement sur des chantiers de travaux publics, des travaux urbains ou industriels, les déplacements sur cordes exigent un très grand professionnalisme de la part des techniciens qui allient double compétence : la maîtrise parfaite des techniques de progression sur cordes et des savoirs faire métier (maçon, tailleur de pierre, peintre, soudeur, foreur en montagne…). Travailler sur cordes exige des formations sanctionnées par des diplômes de certificat de qualification cordiste et de technicien cordiste.Un savoir-faire que le public a pu apprécier dans ce nouveau lieu, la Sucrière à Lyon !Situé en bord de Saône dans le quartier nouveau de Confluence.Un lieu idéal pour organiser ses épreuves en hauteurL’ancien portique du port qui devait charger les barges des péniches, mesure 52 mètres de long avec une hauteur de 16 mètres a permis d’organiser des épreuves très techniques de déplacement sur cordes.Le silo avec ses 21 mètres de haut est aussi idéal pour des déplacements plus confinés et plus précis comme l’épreuve du saut d’eau (monter, se déplacer et travailler avec un saut d’eau tout en perdant le moins d’eau !)Une compétition comme sur un chantier !Deux journées de confrontation dans un cadre prestigieux choisi par les organisateurs pour ce dixième événement.Des mises en situation de travail identique aux travaux sur bâtiments, en industrie, sur falaises pour sécuriser les routes, sécuriser les ouvrages d’Art, et bien d’autres encore…Les équipements, l’outillage, les matériaux, les tâches à effectuer avec précision et rapidité, tous les ingrédients sont réunis pour que les cordistes montrent les exigences techniques requises pour réaliser leurs ouvrages.Durant les épreuves 20 jurys experts de la profession chronomètrent tout en observent chaque geste, évaluent et vérifient que toutes les règles de sécurité soient respectées. Un évènement qui ne laisse personne indifférent, que l’on soit initié ou néophyte.Jusqu’aux Finales, la tension était palpable pour départager les challengers du titre individuel.Après 7 titres consécutifs Antoine Quidoz était l’homme à battre ! Ivan Muscat longtemps vice-champion de France voulait décrocher enfin le titre ! 1 er après les qualifications, il est éliminé en huitième de finale. Antoine va participer à sa 8ème finale face à Alban Girardin, une finale pleine de rebondissement qui se déroule sous l’immense portique. Antoine fini son parcours avec 30 secondes d’avance, mais écope d’une pénalité de 30 secondes suite à une faute technique. Les deux protagonistes finissent ex aequo.Les femmes ne sont pas en reste dans le métier. Elles étaient 5 à participer aux championnats de France Cordiste au terme desquels Leslie Graff est devenue championne de France pour la deuxième fois consécutivement.Le titre par équipe/entreprises est aussi très prisé par les cordistes et les entreprises. Les 3 meilleurs cordistes par entreprises se retrouvent en finale et là aussi pas beaucoup de surprises mais une bagarre de haut vol ! La finale se déroule comme 2019 entre Hydrokarst et Aplomb et est remportée par Hydrokarst.Résultats :Champions de France Hommes aexquo: Antoine Quidoz et Alban GirardinChampionne de France Femmes : Leslie GraffClassement par Équipe : HydrokarstClassement intérim : Actual Sett 1Classement organisme : Dimension CordeUne compétition et une table rondeLors de la remise des prix, Jacques Bordignon, président de France Travaux sur Corde a rappelé l’importance de cette manifestation pour la profession. « L’ensemble des acteurs, entreprises, salariés, entreprises de travail temporaire, organismes de formation et de certification, organismes préventeurs, fournisseurs y sont les bienvenus. Ils peuvent non seulement profiter du spectacle des épreuves, découvrir les nouveautés des partenaires sans lesquels l’événement ne pourrait avoir lieu, mais également échanger sur les actions en cours afin de poursuivre l’amélioration des pratiques professionnelles et la prévention des TMS »Une table ronde, avec tous les acteurs, sur le thème « Les fondamentaux des travaux sur cordes & préserver sa santé », en partenariat avec l’OPPBTP. » France Travaux sur Cordes donne rendez-vous, pour le 11ème championnat en 2024 à la Sucrière
Il y a 2 ans et 351 jours

10ème Championnat de France Cordistes les Jeudi 19 & Vendredi 20 mai 2022 à Lyon

Une décision prise collégialement par le conseil d'administration de France Travaux sur Cordes. En effet, les mesures sanitaires résultant de la pandémie risquaient de complexifier le déroulement et surtout de bouleverser l'une des valeurs principales : le professionnalisme de la compétition.Toute la profession et surtout les cordistes pourront enfin se retrouver les 19 et 20 mai prochains ! Et enfin décerner les 10ème titres de champions de France, individuel et par équipe !C'est le grand rendez-vous des cordistes. Durant deux jours, la compétition accueille plus de 100 participants venant d'une vingtaine d'entreprises. C'est surtout, le véritable rassemblement de la profession, avec des tables rondes, avec des échanges autour de la formation, de la sécurité, de l'évolution des techniques et du matériel, des stands de partenaires et fabricant de matériel spécialisé.« Le Championnat est pour l'ensemble des acteurs de notre profession un rassemblement fédérateur. Les contraintes liées aux mesures sanitaires du printemps dernier et les incertitudes trop grandes en avril ne permettaient pas de conserver la convivialité et les échanges propres à l'évènement. Nous espérons qu'au mois de mai, tout sera revenu un peu comme avant. Nous avons tous hâtes, de nous retrouver à la Sucrière à Lyon pour la première fois ! » affirme Jacques Bordignon, Président de France Travaux sur CordesUn rendez-vous fédérateur pour mettre sous les projecteurs un métier haut et physique !Les cordistes sont des ultras professionnels. Le championnat de France réunit l'ensemble des intervenants du bâtiment, de l'industrie ou des travaux publics, hommes et femmes qui exercent leur savoir-faire en utilisant les techniques d'accès et de déplacements sur cordes.C'est l'occasion de mettre en valeur la maîtrise technique, la performance physique et le savoir-faire de cette profession - Cordiste- un métier en expansion, aujourd'hui mis en lumière grâce à des chantiers historiques, tels que les travaux de consolidation de la cathédrale de Notre-Dame de Paris.Le métier de cordisteConditionné par une haute exigence en matière de sécurité, le métier de cordiste est unique par la diversité de ses activités (rénovation de bâtiments, maintenance de sites industriels, restauration de monuments historiques, travaux sur ouvrages d'art, sécurisation des voies de circulation, spectacle et événement, etc.) ainsi que par les différents environnements dans lequel il s'exerce.A ce jour, les métiers sur cordes représentent plus de 15 000 salariés et 656 entreprises répertoriées en France. Véritable corporation, le travail en commun, le professionnalisme, l'assistance mutuelle, le contrôle croisé et l'auto contrôle sont les mots d'ordre de ce métier hors du commun ou l'esprit d'équipe domine.10ème Championnat de France : deux jours, dix épreuves, cents participants hommes et femmes et des tables rondesC'est une grande compétition technique et pointue en perspective, complétée par des épreuves de secours. C'est un défi professionnel de taille pour tous les participants !Au-delà des épreuves en hauteur et spectaculaires, c'est une rencontre qui souhaite fédérer tous les acteurs de la profession. De nombreuses animations sont proposées sur les stands partenaires, favorisant les échanges et les rencontres professionnelles.Traditionnellement des tables rondes sont organisées autour de thématiques actuelle en collaboration avec des institutionnels indispensables pour la profession, donnant naissance à des avancées majeures.Suspendus sur les cordes à La Sucrière- LyonLieu emblématique des Docks au cœur du quartier Lyon Confluence, La Sucrière est un bâtiment industriel des années 30, entièrement rénové en 2011. Ce lieu chargé d’histoire a su conserver un patrimoine industriel en lui donnant une nouvelle vocation : la culture et l’événement. Le site accueille chaque année une cinquantaine de manifestations.Plus d’infos sur https://www.championnat-cordistes.com/
Il y a 3 ans et 111 jours

Vicat et Léon Grosse associent leurs expertises au service de la construction de demain

Forts d’une culture d’entreprise familiale et de valeurs communes, Léon Grosse et le groupe Vicat misent sur la complémentarité de leurs expertises. Toutes deux originaires de la région Auvergne-Rhône Alpes avec une forte implication dans le tissu industriel local, elles s’engagent dans un partenariat qui se décline autour de 3 volets :Innovation :Répondre ensemble à des projets spécifiques et innovants,Développer des projets de R&D communs (bétons bas carbone spécifiques, nouveaux process d’industrialisation, préfabrication, impression 3D...) ;Environnemental :Proposer des solutions différenciantes co-construites réduisant l’impact environnemental dans la construction, et notamment sur le “bas carbone“,Favoriser les schémas d’économie circulaire sur les territoires,Évaluer les opportunités de mise en oeuvre des solutions photovoltaïques Léon Grosse sur certains sites Vicat ;Sociétal :Construire ensemble une dynamique d’engagement territorial développant l’emploi local et les circuits courts.Contribuer à l’attractivité des métiers de la construction, notamment pour les femmes, en développant la formation et en favorisant l’inclusion, avec le support de la Fondation Louis Vicat.Ce partenariat vient concrétiser la collaboration du groupe Vicat et de Léon Grosse qui s’illustre déjà par des projets communs lancés dans la région Auvergne-Rhône Alpes :Un projet emblématique à Lyon Confluence pour lequel est utilisé un béton bas carbone fabriqué sur site, composé de matières premières régionales, notamment le ciment « DECA » Naturat CEM IV contenant des pouzzolanes naturelles ;La construction d’un établissement public pour un client historique de Léon Grosse, avec du béton prêt à l’emploi « DECA » fourni par Vicat et qui sera le premier bâtiment béton décarboné de Valence ;La fourniture de béton prêt à l’emploi pour la construction d’une importante extension d’un site industriel à Crolles, projet piloté par Léon Grosse Immobilier.L’utilisation du béton “DECA” permet une diminution de l’impact carbone de 25 à 30% par rapport à un béton dit “classique”.Guy Sidos, Président du groupe Vicat, précise : “Nous sommes fiers de nous associer à l’entreprise Léon Grosse, une organisation familiale telle que la nôtre qui s’engage en faveur des territoires et de l’environnement. Ce partenariat vient consolider notre collaboration de long terme pour construire ensemble l’habitat d’aujourd’hui et de demain.”Lionel Christolomme, Président du Directoire de Léon Grosse précise : “Notre passion pour la technique nous a toujours poussés à innover pour nos clients, notamment sur les matériaux et les structures béton. Ce partenariat entre deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs, le même ancrage régional et la même culture d’entreprise familiale vient renforcer concrètement notre volonté d’agir chaque jour en bâtisseur responsable pour faire face aux enjeux environnementaux et sociétaux.”
Il y a 3 ans et 225 jours

A Lyon, La Confluence accueillera un bâtiment résidentiel sans climatisation ni chauffage

PROJET. La Métropole de Lyon, la Ville de Lyon et la SPL Lyon Confluence ont choisi l'offre de Nexity pour la construction de deux îlots dans le quartier de la Confluence. Parmi les bâtiments résidentiels prévus, figure un immeuble fonctionnant sans climatisation, ni chauffage.
Il y a 3 ans et 280 jours

Lyon lance une expérimentation grandeur réelle d'un an pour lutter contre les îlots de chaleur urbains

Expérimentation de peinture anti-chaleurL'objectif de cette expérimentation d'une durée d'un an est de mesurer les effets de l'application de cette peinture sur la température de la voirie. Avec la hausse des températures, les îlots de chaleur urbains sont de plus en plus mal ressentis par les habitants de l'agglomération.Depuis un an, la collectivité et sa nouvelle majorité ont mis en œuvre plusieurs actions pour lutter contre un phénomène qui ne fait que s'amplifier depuis plusieurs années.a La végétalisation des espaces publics ainsi que la désimperméabilisation des sols pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales, font partie de ces actions.Il n'est toutefois pas toujours possible de végétaliser à cause de présence de réseaux ou de parcs de stationnement souterrains. La Métropole de Lyon a donc décidé de lancer cette expérimentation grandeur réelle de mise en place, sur trottoir, d'une peinture anti-chaleur.Cette initiative revient à Sonia Turmel, agent du service voirie de la Métropole dans le 7e arrondissement de Lyon. Dans le cadre de son mémoire de fin d'études d'ingénieur travaux au Cnam portant sur les revêtements de voirie innovants, elle a proposé de tester les qualités d'une peinture « anti-chaleur » sur un revêtement de voirie existant, en termes d'isolation thermique, de glissance et de tenue aux sollicitations urbaines.Le produit qui va être expérimenté est appelé « Climat'road » par l'entreprise Agilis qui le commercialise. Il est présenté comme capable de réduire les températures de surface d'au moins 10°C en période de forte chaleur et de participer ainsi à la réduction des îlots de chaleur urbains (ICU).Cette peinture recouvrante permet de baisser les températures des sols, notamment le soir, au moment où les voiries et les bâtiments restituent toute la chaleur accumulée pendant la journée.À l'origine, ces peintures ont été mises au point dans l'aérospatiale pour revêtir des éléments constitutifs des fusées et éviter leur montée en température lors de la pénétration dans l'atmosphère. Ce type de produit est aujourd'hui utilisé dans le secteur du bâtiment pour isoler les toitures, les toits ou les terrasses.En France, cette peinture est actuellement en test à Paris (13e) sur une surface de 20m². L'agglomération lyonnaise offre une possibilité d'expérimentation cinq fois plus importante ainsi qu'une possibilité d'expérimentation supplémentaire avec un climat aux contrastes de températures et d'humidité plus marqués qu'en Île-de-France.Climat'ROAD est une peinture à l'eau sans solvant dont la particularité est d'intégrer des billes de céramique. Ces billes de céramique sont constituées de vide, créant ainsi une isolation de la surface traitée. C'est ce vide qui empêche le stockage des calories et permet donc de diminuer la chaleur.Climat'ROAD est appliqué par pulvérisation au pistolet en couches fines de 0,5 mm.L'application de produit pour « accrocher » au sol n'est pas nécessaire et la peinture peut donc être appliquée directement sur le trottoir ou l'espace choisi. Sa mise en oeuvre est possible sur les zones dans lesquelles la fréquentation est élevée, les trottoirs ou les parkings et ce, quel que soit le type de revêtement (béton, asphalte, enrobé…). Le coût de l'application de cette peinture est de moins de 20€/m².Le lieu de l’expérimentation (rue Bechevelin, Lyon 7e)Il a été choisi pour plusieurs raisons :Le trottoir qui sera recouvert est situé entre deux lieux en cours de requalification : aux abords du groupe scolaire Gibert Dru (rue Saint-Michel) et près de la Place Bullard qui sera prochainement végétalisée. Cette situation de proximité géographique permettra de mesurer l'efficacité du produit comparativement aux aménagements plus lourds et à la végétalisation.Ce trottoir est très passant et il est exposé au sud-est en centre urbain dense et centre historique. Il est situé à proximité d'une terrasse, d'une école et au pied d'une résidence étudiante. Il est donc très sollicité et subit de nombreuses salissures. La résistance de cette peinture et son nettoiement seront testés en conditions réelles pendant cette année d'expérimentation. Pour éviter l'éblouissement, il sera appliqué dans une couleur ocre, proche du béton désactivé.Parallèlement à cette expérimentation grandeur nature, une planche test sera installée en extérieur au sein du laboratoire voirie de la Métropole. D'une surface de 0,25 m², elle permettra l'installation de capteurs fixes en surface, dans l'épaisseur de la peinture et sous la peinture, c'est-à-dire entre l'asphalte et la peinture. Ces capteurs seront reliés à un central qui permettra de suivre l'évolution du produit 24h/24h.Au-delà des données recueillies sur la planche test, un suivi régulier de l'expérimentation sera mis en œuvre pour vérifier l'impact de ce revêtement sur la température de surface du trottoir et sur son rayonnement. Ce suivi durera un an – le temps de l'expérimentation – et permettra de mesurer les résultats sur les quatre saisons en particulier :l'évolution de la glissance de la surfaceles températures de surface lors des journées chaudes et caniculaires, et des journées froides lors des épisodes de gell'évolution de l'indice albédo (indice de réfléchissement des rayons du soleil) au cours du tempsle constat visuel de la résistance aux usages de l'espace urbain (nettoyage, chewing-gum, cigarettes, liquides sucrés, alcools…) et au nettoyage par balayeuses mécaniquesle ressenti des riverains à l'aide de sondages façon « micro-trottoir »Les actions de la Métropole pour réduire les îlots de chaleur urbainsLes îlots de chaleur contribuent à l'exposition des populations urbaines à des chaleurs plus élevées. Ils ont été montrés responsables d'une surmortalité en période de canicule. Les personnes les plus affectées par les ilots de chaleur sont les personnes vulnérables, notamment les personnes de plus de 75 ans, les personnes souffrant de pathologies chroniques ou aigües et les enfants de moins de 5 ans.Les épisodes caniculaires vont devenir plus fréquents et plus intenses du fait du réchauffement climatique. La Métropole entend conduire une politique ambitieuse à deux niveaux :1. La réduction à court terme du phénomène des ilots de chaleur avec :La végétalisation des espaces urbainsUne place plus importante donnée à l'eauL'utilisation de matériaux urbains qui emmagasinent moins la chaleur2. À long terme, la réduction de l'émission de gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique avec :La limitation de la place de la voiture dans l'espace urbain avec l'extension de de la Zone à faible émission (ZFE) aux véhicules particuliersL'isolation des bâtiments avec un accompagnement renforcé pour aider les particuliers dans leur rénovation énergétique (ECORENO'V)La mise en place d'une stratégie d'achat responsable prenant en considération les émissions de gaz à effet de serreLa végétalisation des menus dans les cantines de nos collègesLes actions en coursAu cours de cette mandature, la Métropole conduit des actions de végétalisation des centres urbains et de conservation des arbres d'alignement. L'idée est de développer les espaces végétalisés dans tous les collèges de la Métropole et dans les espaces urbains de façon plus générale.Cette végétalisation du territoire a commencé avec la création de forêts urbaines, la plantation d'arbres d'essences différentes adaptables au réchauffement climatique et des études lancées pour permettre la désimperméabilisation des sols.Déjà deux forêts urbaines ont été créées sur le territoire de la Métropole :à Saint-Priest sur deux hectares entre le parc technologique de la porte des Alpes et l'aéroport de Bron. 2 000 arbres, 600 arbustes et une prairie fleurie y ont été plantés.L'arboretum de Sathonay-Camp situé à l'extrémité de la ZAC Castellane comprend 107 arbres plantés dans un bassin d'infiltration enherbé.Dans le même temps, 46 arbres ont été plantés dans la darse de Confluence, 19 arbres d'alignement d'essences différentes quai Sarrail à Lyon (6e) et la collectivité a voté une enveloppe de 1,5 millions € pour la végétalisation de 2 collèges métropolitains.Le plan Canopée est renforcé avec des plantations qui ne se concentreront plus uniquement sur les arbres d'alignement mais intègreront les différentes strates végétales : arbres, arbustes de grande et moyenne taille et plantations herbacées à l'image de ce qui vient d'être fait quai Sarrail. Ceci permettra d'accroître l'apport de fraîcheur, de créer des refuges de biodiversité et d'améliorer la qualité paysagère des rues et des espaces publics.Afin de créer des îlots de fraicheur, la collectivité recoure aux techniques alternatives pour la gestion des eaux pluviales avec la création de noues et de bassin d'infiltration. Ces actions seront amplifiées durant le mandat avec l'ambition de désimperméabiliser 400 ha, quatre fois plus qu'au cours du mandat précédent pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales et par conséquent le maintien de l'humidité dans les sols.Le projet « Life artisan » en est un exemple. Les travaux de création de 20 fosses d'infiltration autour d'arbres en milieu urbain dense débutent dès cet automne.De façon complémentaire, la Métropole porte une attention particulière au choix des matériaux et des revêtements dans l'espace urbain afin d'éviter le recours à des matériaux qui accumulent la chaleur au cours de la journée à l'exemple de l'expérimentation qui débute rue Bechevelin.
Il y a 3 ans et 287 jours

A Lyon, un urbanisme vert par petites touches

"Tout ce qui est au-dessus de 50 mètres" - définition administrative d'un immeuble de grande hauteur - "a été enlevé", décrypte-t-on à la société publique chargée d'aménager le site, la SPL Part Dieu. 100.000 mètres carrés de constructions sont passés à la trappe, presque exclusivement des bureaux.Végétalisé et "apaisé", le premier quartier d'affaires de France hors Paris doit devenir un endroit "à vivre", au service de ses habitants, ambitionnent les écologistes qui présentaient là leur premier grand chantier depuis leur arrivée à la tête de Lyon il y a un an."On ne veut plus d'hyper-spécialisation. Le mot clef, c'est rééquilibrage des usages", souligne-t-on à la SPL.Deux voies de circulation ont été réservées aux "modes doux" de déplacement. Et les rares espaces verts prévus seront un peu plus généreux.Michel Le Faou, qui pilota la politique d'urbanisme de la précédente équipe, s'attendait à "beaucoup plus percutant": pour lui, les écologistes "se sont contentés de +greenwasher+ le projet existant".VertueuxCar la transformation de ce quartier symbolique des errements des années 70, avec son architecture brutaliste et la priorité donnée à la voiture, était déjà bien engagée, selon des orientations dont nombre étaient "écolo-compatibles" .D'autres chantiers, moins écologiquement vertueux, étaient trop avancés pour être remis en cause. Les nouveaux élus ont dû avaler la construction d'un spectaculaire gratte-ciel jouxtant la gare, dont les premiers étages commencent à sortir de terre.Le président de la métropole, Bruno Bernard, écologiste lui aussi, et le maire de la ville, Grégory Doucet, se sont aussi retrouvés à couper le ruban après l'achèvement des travaux du centre commercial de La Part-Dieu - le plus vaste d'Europe en centre-ville.Un complexe certes désormais coiffé d'agréables terrasses végétalisées remplaçant un ancien parking mais symbole pour nombre d'écologistes d'une frénésie de consommation honnie.Quid de la suite ? Piétonnisation devant les écoles, plantations de mini-vergers, réduction des places de parking au profit du vélo: de multiples annonces depuis un an esquissent par petites touches la ville verte de demain.Mais l'opposition reproche aux écologistes un manque d'ambition, attesté par l'absence de ces grands projets qui ont marqué les mandatures précédentes, comme la réhabilitation des berges du Rhône et de la Saône."Ce qui a porté la visibilité de Lyon depuis 40 ans était sa capacité à se projeter vers l'avant grâce à des projets emblématiques", estime M. Le Faou. "On en voit peu sortir et ceux en cours sont soumis à réinterrogation ou mis en +stand-by+".Ce choix de prendre son temps avant de fixer les grandes orientations de la ville pour des décennies, les Verts l'assument pleinement."Je ne veux pas signer les permis de construire de bâtiments qu'il faudra détruire dans moins de quarante ans", affirme l'adjoint à l'urbanisme de la ville, Raphaël Michaud qui dénonce le lancement d'opérations trop "expérimentales" dans le passé.Bling-bling"Un projet qui part à la poubelle... Un autre... Encore un autre", confirme le promoteur local Didier Caudard-Breille, réputé pour ses sièges sociaux à l'architecture innovante, en égrainant les projets bloqués depuis l'arrivée des Verts. Il dit avoir appris l'abandon d'un projet de tour "par la presse".Il est certes parvenu à sauver son projet de rénovation/extension d'un vieil immeuble de La Part Dieu, mais en acceptant d'en sacrifier la partie "la plus novatrice": piscine, salle de sport et spa ouverts aux résidents - fortunés - de l'immeuble."On a mis à la place du logement social", se félicite M. Michaud. Le jeune élu reconnaît "des négociations parfois très dures avec les promoteurs" mais, dit-il, c'est une des conditions pour que Lyon survive au dérèglement climatique". Les futurs projets, assure-t-il, seront tous examinés sous le prisme de leur contribution à la transition écologique de Lyon.Même le nouveau quartier branché de la Confluence, où se multiplient les initiatives écologiques, ne trouve pas grâce à ses yeux. Trop "bling-bling", avec ses architectes stars (Kengo Kuma, Jean Nouvel, Rudy Ricciotti, Odile Decq...)."On y a beaucoup tenté mais, en matière d'écologie, c'était de la communication qui s'est faite dans des conditions financières exorbitantes, alors que dans le même temps on a abandonné d'autres quartiers", dénonce-t-il. Avec le projet Hikari, qui ambitionnait de devenir le premier îlot urbain à énergie positive d'Europe, "on s'est ridiculisé".En matière de planification urbaine, les Vert ne partent pas d'une page blanche à Lyon. Sans être la "ville du quart d'heure" appelée de leur voeux, l'agglomération est déjà largement multipolaire, surtout avec l'émergence des nouveaux quartiers de Gerland, de La Soie et bientôt de La Saulaie, où cohabitent assez harmonieusement bureaux et logements.Mais l'attractivité de la troisième ville de France a propulsé les prix de l'immobilier à des niveaux jamais atteints en province."La priorité du mandat, c'est le logement abordable, pas le logement tout court", insiste M. Michaud. Des outils ont été mis en place ou renforcés, comme les baux fonciers solidaires et l'augmentation du budget consacré au logement social.Mais s'il veut tenir ses ambitieux objectifs, l'exécutif devra trouver où construire, puisqu'il s'est engagé à ne pas bétonniser des surfaces encore intactes et à rebasculer en zones agricoles nombre de terrains jusqu'alors promis à l'urbanisation.
Il y a 4 ans et 29 jours

À Lyon Confluence, Vergély et Diener & Diener conjuguent identité lyonnaise, sobriété et innovation

Julien Boidot est diplômé de l'Ensa Nantes en 2007. Aux côtés d'Emilien Robin, il est lauréat d'Europan en 2005 et 2012, ainsi que des Ajap en 2014. En 2016, Julien Boidot est cocommissaire avec le collectif Ajap14 et Frédéric Bonnet de l'exposition « Nouvelles Richesses » à la Biennale de Venise. Il fonde son agence […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 103 jours

L'architecte star Rudy Ricciotti retenu pour remodeler le musée des Tissus de Lyon

Rudy Ricciotti "a compris ce qu'on attendait de lui, une préservation du patrimoine existant et une belle création architecturale", a expliqué M. Wauquiez au quotidien régional Le Progrès de mercredi.La région est propriétaire de ce musée depuis 2017 et le désengagement de la Chambre de commerce et d'industrie qui n'avait plus les moyens d'assurer son entretien.L'ensemble est composé de deux bâtiments historiques du 18e siècle, l'un abritant une collection de tissus rares héritée des soyeux lyonnais, l'autre une collection d'arts décoratifs.Le projet de M. Ricciotti prévoit la construction d'une nouvelle structure à la jonction des deux bâtiments existants. Un autre édifice, donnant sur la rue, sera complètement reconstruit, avec une façade ouverte sur la ville.Les travaux permettront de doter le musée d'un auditorium, d'un café en terrasse, d'un restaurant et d'une librairie.La facture du projet est évaluée, hors scénographie, entre 50 et 60 millions d'euros, a indiqué M. Wauquiez qui espère réduire l'addition finale pour la collectivité avec des aides européennes. Il va aussi solliciter la ville et la métropole de Lyon avec lesquelles il était en désaccord sur l'avenir de l'établissement quand sa fermeture était évoquée.Outre le Mucem, M. Ricciotti est connu pour avoir réalisé le stade Jean Bouin à Paris, le Stadium de Vitrolles et la cité musicale BAM de Metz. A Lyon, on lui doit le bel immeuble de bureaux Pavillon 52, tout en ondulations, dans le nouveau quartier de la Confluence.
Il y a 4 ans et 183 jours

Coffrage Schöck ASE, le chantier exemplaire de la Tour Ycone à Lyon

Cette solution innovante, clé en main, a ainsi été retenue par le spécialiste de produits béton Plattard pour la préfabrication de plus de 300 mètres linéaires de poutres assemblées au cœur de la Tour Ycone, dans le quartier Confluence, sur la presqu'île de Lyon. Signée de l'architecte Jean Nouvel, cette tour singulière culmine à 64 mètres de haut et abrite un programme mixte de 92 appartements (dont 27 logements en prêt locatif social) répartis sur 14 étages et 660 m2 de commerces localisés en rez-de-chaussée. L'ossature bois, la façade en béton habillée d'aluminium, une double peau en verre opaline ménageant de spacieuses terrasses ou loggias, et une coiffe métallique confèrent une silhouette "flottante" à Ycone. Une légèreté qui s'appuie sur la solidité des planchers montés, à chaque niveau, avec des poutres intégrant les coffrages Schöck ASE en béton fibré extrudé C40/50.Un chantier facilité par une préfabrication elle-même ultra simplifiéeAlors que pour un chantier type, le coffrage traditionnel sur site s'avère une étape fastidieuse, chronophage et parfois risquée, notamment quand les ouvriers sont amenés à coffrer sur des grandes hauteurs, la solution préfabriquée POUTRÉKO® évite nombre de manutentions et apporte une sécurité optimale.L'intégration des Schöck ASE en usine permet d'obtenir des poutres précoffrées pourvues de leur ferraillage qui seront livrées sur site afin d'être coulées en même temps que le plancher. Plus légères car évidées, elles s'avèrent plus facile à décharger et à manipuler, autant de valeurs ajoutées fort appréciées des compagnons. Quant au clavetage entre poutres, là-encore la simplicité prévaut : il suffit de découper les coffrages ASE pour couler nœuds et têtes de poteaux en une seule fois. La large gamme des ASE proposée a ainsi permis l'utilisation de 6 hauteurs d'ASE différentes (tous d'une longueur de 270 cm, mais variantes en hauteur : 18 / 20 / 25 / 30 / 35 / 40 cm) pour s'adapter aux diverses configurations rencontrées sur le chantier de la Tour Ycone ! Ces modèles ASE 0DW, dépourvus de joints d'étanchéité, ont ainsi fait la différence, leur profil chanfreiné séduisant les utilisateurs et assurant une finition irréprochable.Rappelons, par ailleurs, que les coffrages Schöck ASE se caractérisent par leur résistance au cintrage (15-16 N/mm2), à la pression (55- 60 N/mm2), au gel et aux intempéries.Soulignons, enfin, que cette solution ne génère aucun déchet en usine de préfabrication comme sur chantier par rapport aux systèmes traditionnels et amoindrit également la gêne occasionnée aux riverains (puisqu'elle réduit la longue et sonore étape du coffrage et coulage sur site).PrixGrand Prix régional au concours des Pyramides d'argent 2018Prix innovation Industriel 2018Pyramide bas carbone 2017Fiche chantier Tour YconeMaître d'ouvrage : SCCV M3 SUD CONFLUENCE, Co-promotion GROUPE CARDINAL et VINCI PROMOTION IMMOBILIÈREArchitecte : ATELIERS JEAN NOUVELEntreprise de construction : FONTANEL SAEntreprise de préfabrication : PLATTARD SAS
Il y a 4 ans et 208 jours

Coffrages : le chantier exemplaire de la Tour Ycone

Les coffrages Schöck ASE sont destinés à la réalisation d’éléments de construction apparents comme les rives de prédalles, prémurs, balcons ou encore rives de poutres, dont l’aspect totalement lisse, sans bulles ni aspérités, et le parement impeccable constituent des atouts esthétiques. Cette solution, clé en main, a ainsi été retenue par le spécialiste de produits béton Plattard pour la préfabrication de plus de 300 mètres linéaires de poutres assemblées au cœur de la Tour Ycone, dans le quartier Confluence, sur la presqu’île de Lyon. Signée de l’architecte Jean Nouvel, cette tour singulière culmine à 64 mètres de haut et abrite un programme mixte de 92 appartements (dont 27 logements en prêt locatif social) répartis sur 14 étages et 660 m2 de commerces localisés en rez-de-chaussée. L’ossature bois, la façade en béton habillée d’aluminium, une double peau en verre opaline ménageant de spacieuses terrasses ou loggias, et une coiffe métallique confèrent une silhouette « flottante » à Ycone. Une légèreté qui s’appuie sur la solidité des planchers montés, à chaque niveau, avec des poutres intégrant les coffrages Schöck ASE en béton fibré extrudé C40/50. L’intégration des Schöck ASE en usine permet d’obtenir des poutres précoffrées pourvues de leur ferraillage qui seront livrées sur site afin d’être coulées en même temps que le plancher. Plus légères car évidées, elles s’avèrent plus facile à décharger et à manipuler. Ces coffrages se caractérisent par une résistance au cintrage (15-16 N/mm2), à la pression (55- 60 N/mm2), au gel et aux intempéries. Maître d’ouvrage : SCCV M3 SUD CONFLUENCE, Co-promotion GROUPE CARDINAL et VINCI PROMOTION IMMOBILIÈRE Architecte : ATELIERS JEAN NOUVEL Entreprise de construction : FONTANEL SA Entreprise de préfabrication : PLATTARD SAS Photo : Guillaume Perret  
Il y a 4 ans et 221 jours

Tour SILEX2 à Lyon : une greffe architecturale en métal

L’opération SILEX², initiée par la maîtrise d’ouvrage COVIVIO, est la régénération d’un ensemble architectural du patrimoine du quartier d’affaires Lyon Part-Dieu. Construite dans les années 1970, la tour existante, abritant l’ancien siège d’EDF, n’était plus adaptée aux nouveaux usages. MA ARCHITECTES (conception) et ARTE CHARPENTIER (architectes associés) ont imaginé un programme, qui se développe autour de cet Immeuble de Grande Hauteur emblématique. La greffe architecturale en métal, offrant 400 m² supplémentaires par étage, s’est naturellement imposée pour assurer la viabilité du projet de bureaux d’une superficie de 31 000 m². Elle permet de répondre aux problématiques liées au vent et aux risques sismiques. Ajoutée à la façade nord, elle révèle le projet par la puissance de la structure de ses pignons et par sa silhouette élancée. Entièrement en acier, cette extension accolée est contreventée par un exosquelette composé de quatre grandes poutres verticales en métal « type I », d’une hauteur de 111,4 m et d’un entraxe de 12,2 m. Elles sont constituées de montants en deux poutres PRS* et lacées de diagonales en tubes carrés (400 mm de hauteur). L’ensemble, qui signe la nouvelle identité de SILEX2, a été fabriqué et mis en œuvre par SMB. Un challenge pour le charpentier métallique qui participe ainsi à la première tour d’acier sans noyau béton depuis la tour Eiffel et à la tour la plus élancée sur le continent européen. Culminant à 126 m, elle possède 24 niveaux de planchers collaborants, une coiffe qui protège les zones techniques et un mât de 15 m de hauteur. Côté tour existante, l’entreprise a réalisé les 4 derniers niveaux de plancher écrêtés puis reconstruits en acier afin d’alléger le sommet et optimiser la réaction au séisme. Ils accueillent les terrasses et les édicules techniques. Elle s’est également occupée des capotages de l’exosquelette, de la sur-toiture et de la structure du bâtiment ERP, qui comporte un porte-à-faux sur 8 niveaux. Ce dernier communique avec l’IGH par un socle actif. Au total, l’opération représente environ 2 000 tonnes de charpente métallique. Le chantier a débuté en septembre 2019 et s’achèvera à la fin du premier semestre 2021. Maître d’ouvrage : Covivio Maîtres d’œuvre de conception : MA Architectes et Arte Charpentier (architectes associés) Maître d’œuvre d’exécution : Builders & Partners – agence Rhône Alpes Auvergne Entreprise générale :Eeiffage construction confluences Charpentier métallique : SMB constructions métalliques Photo : SMB
Il y a 5 ans et 89 jours

Ecoles d’architecture : dites 23 !

Autant la création par Odile Decq de son école d’architecture Confluence à Lyon – The Institute of Innovation and Creative Strategies in Architecture, de son nom complet – avait en 2013 donné lieu à des cris d’orfraie, autant son déménagement […] L’article Ecoles d’architecture : dites 23 ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 109 jours

Vitrages optimisés pour un bâtiment tout en courbes signé Rudy Ricciotti

Réalisé par l’architecte Rudy Ricciotti pour le promoteur immobilier Cardinal, le Pavillon 52 est un bâtiment aux formes courbes et énigmatiques situé en bord de Saône dans le quartier Confluence à Lyon. Il présente des éléments techniques innovants destinés à optimiser les performances et l’inertie du bâtiment pour atteindre la certification BREEAM niveau GOOD : une mantille de béton, qui s’enroule autour de l’édifice, fait office de brise-soleil et limite ainsi le recours à la climatisation, des panneaux photovoltaïques en toiture, un système d’éclairage intelligent, une production par pompe à chaleur avec échanges thermiques sur la nappe phréatique, de grandes ouvertures aux performances thermiques élevées. « Pour répondre au cahier des charges et notamment pour respecter le coefficient thermique relativement bas imposé (Uw < 1.5 W/m2.K), nous avons préconisé, fabriqué et posé les fenêtres aluminium à ouvrant visible SPECI’AL K de Kawneer. Avec un Uw de 1.3 W/m2.K, elles présentaient un coefficient thermique qui correspondait aux attentes sans être hors de prix » explique M. Armand Moukhbirian, dirigeant de l’entreprise ALQUIER en charge du lot menuiseries. Au total ce sont 595 châssis composés d’ouvrants à la française 1 vantail sur allège fixe de 1,35 m de large x 3,15 m de haut qui ont été installés. &nbsp; &nbsp; Photo : mateja lux &nbsp;
Il y a 5 ans et 221 jours

Stairs Design Awards #2, un concours innovant d’escaliers

Lors de la cérémonie de remise des prix, en avril dernier, au musée des Confluences à Lyon, Madeleine Devineau et Clément Gosselin étaient les premiers lauréats du concours Stairs Design Awards #1. [©Denis Chaussende] Suite au succès de la première édition en 2019, le groupe PBM lance à nouveau le concours Stairs Design Awards. Et ce, à destination des étudiants architectes. L’idée est simple : concevoir un escalier innovant. Les étudiants sont invités à imaginer un escalier avec une identité forte. Devenant un élément architectural clef, bien au-delà de son rôle fonctionnel de base. L’utilisation du béton doit être manifeste. Mais d’autres matériaux peuvent lui être associés. L’escalier doit garder une fonction d’escalier, être conforme aux règles d’accessibilité et être réalisable. Ce concours est gratuit et ouvert à tous les étudiants inscrits en écoles d’architecture en France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Allemagne ou Angleterre pour l’année 2019-2020. Les candidats peuvent se présenter soit de manière individuelle, soit en équipe. Toutes les modalités d’inscription sont présentées sur le site web dédié. Le vote du public aura lieu du 2 au 29 mars 2020. Et la cérémonie des remises des prix se fera, le 2 avril, à l’école nationale d’architecture de Versailles.
Il y a 5 ans et 292 jours

Un bâtiment en terre de 11 mètres de haut à Lyon, qui l'eut cru ?

CHANTIER EN IMAGES. En véritable laboratoire, le quartier lyonnais de La Confluence va accueillir un immeuble en pisé, technique de construction en terre crue. S'étendant sur 11 mètres, ce bâtiment de bureaux ne devrait pas passer inaperçu avec ces cinq arches rappelant celles du parc de la tête d'or. Découverte.
Il y a 5 ans et 297 jours

Avec la canicule, le retour de la construction en terre ?

"Le gros inconvénient du pisé, c'est qu'en cas de forte chaleur, tous les voisins viennent chez vous prendre le frais", sourit Nicolas Meunier, rencontré à Lyon devant son chantier le plus ambitieux à ce jour. Dans le quartier écolo-branché de la Confluence, M. Meunier construit un immeuble de bureaux de 1.000 mètres carrés, sur trois niveaux et tout en terre.
Il y a 5 ans et 299 jours

Transformation d’un site industriel en un espace renaturé

Laboratoire grandeur nature de la ville intelligente et durable, le quartier de la Confluence est emblématique de la volonté de la Métropole de Lyon d’aménager un territoire au service du bien-être de ses usagers. Ainsi le témoigne la création du Champ, un espace boisé de 6 ha en cœur de ville en s’appuyant sur une technique inédite de fabrication d’un sol fertile à la place d&rsquo;un ancien territoire dédié aux activités industrielles, commerciales et logistiques. Afin d&rsquo;éviter de puiser dans les terres arables, un procédé intitulé « la fabrique à terre » est mis en œuvre sur site. Des limons (terre profonde) issus de chantiers de travaux publics de la Métropole, seront fertilisés notamment grâce à du compost, également d’origine locale. Cette terre recyclée et enrichie sera utilisée dans le Champ en différentes strates, et se transformera progressivement en un sol fertile et nourricier favorable à l’épanouissement de la faune et la flore sur le site. Les plantes et arbres qui vont être implantés favoriseront le développement d’un écosystème et de la biodiversité sur le site. La disposition des arbres, isolés ou en bosquet, donnera aux espaces boisés un aspect très naturel. Les essences sélectionnées seront adaptées à l’environnement et au climat actuel et futur de Lyon, l’objectif étant d’assurer leur pérennité et de répondre aux besoins de la faune locale. Peu à peu, les arbres, en se développant, formeront une « canopée » relativement dense. Avec la diminution de la lumière, les prairies céderont la place à une végétation de sous-bois. De nouvelles plantes se mêleront progressivement à celles existantes, grâce aux oiseaux et aux insectes qui transporteront de multiples graines. La faune évoluera également au fil de ces changements.
Il y a 6 ans et 51 jours

Une tour d'habitation de Jean Nouvel inaugurée à Lyon

Une tour d'habitation due à l'architecte Jean Nouvel, dont la coiffe de verre et de métal culmine à 64 m de hauteur, a été inaugurée jeudi dans le nouveau quartier lyonnais de la Confluence, déjà riche en réalisations audacieuses.
Il y a 6 ans et 51 jours

Le tour Ycone signe le retour de Jean Nouvel à Lyon

INAUGURATION. Implantée au sein du quartier lyonnais La Confluence, la nouvelle tour de Jean Nouvel, baptisée Ycone, interpelle par sa silhouette à la fois légère comme un château de carte et puissante. Inaugurée ce jeudi 7 mars, elle abrite 92 appartements dont 27 logements sociaux. Visite.
Il y a 6 ans et 102 jours

A Lyon-Confluence, Îlot G pour Gaëtan le Penhuel

En septembre 2018, Gaëtan le Penhuel (avec Z Architecture) a livré à Lyon Confluence (Rhône) un programme mixte (logements, bureaux, commerces + un parking) avec le pari de réaliser un trait d&#8217;union par le vide en fondu enchaîné entre Rhône [&#8230;] L'article A Lyon-Confluence, Îlot G pour Gaëtan le Penhuel est apparu en premier sur Chroniques d&#039;architecture.
Il y a 6 ans et 144 jours

Hardel et Le Bihan et Insolites pour un îlot à structure bois

UTEI / WOODEUM, associés aux architectes Hardel et Le Bihan et aux Lyonnais Insolites ont été retenus le 24 octobre 2018 pour le prochain îlot C2 sud de la phase 2 de la Confluence, à Lyon (Rhône). C&#8217;est le premier [&#8230;] L'article Hardel et Le Bihan et Insolites pour un îlot à structure bois est apparu en premier sur Chroniques d&#039;architecture.
Il y a 6 ans et 186 jours

Hardel Le Bihan sera associé à UTEI et WOODEUM pour l'îlot C2 Sud à la Confluence

Associés au cabinet d'architectes Hardel Le Bihan, les promoteurs UTEI et WOODEUM sont les grands lauréats du projet urbain de réhabilitation de l'îlot C2 Sud à La Confluence. Présidé par Michel Faou, vice-président à l'urbanisme Métropole de Lyon, le jury a retenu le binôme de promoteurs immobiliers à l'issue d'une phase de consultation débutée en mars 2018. Ouvert depuis quinze ans déjà, le quartier de Confluence verra la création de son premier îlot en structure bois....
Il y a 6 ans et 225 jours

Lyon City Demain : Nouvelle date de rendu le 2 octobre pour l'Appel à projet

Le FESTIVAL LYON CITY DEMA!N, créé en 2013 par l'association LYON DESIGN!, annonce sa 6ème édition. Ce festival des idées pour mieux vivre la ville, après le Grand Hotel Dieu, la Part-Dieu et Gerland, s'installera dans le quartier de La Confluence à Perrache du 20 au 25 juin 2019 avec pour signature : #PERRACHERETROUVÉ.
Il y a 6 ans et 340 jours

Avec Ynfluence Square, Lyon Confluence entre de plain-pied dans sa phase 2 [diaporama]

Le premier îlot de la ZAC 2 Lyon Confluence a été inauguré vendredi 18 mai. Démonstrateur, il illustre les principes du plan directeur définis par la SPL Lyon Confluence avec l'agence Herzog & de Meuron et le paysagiste Michel Desvigne selon un postulat: l'unité dans la diversité. Le chantier a été réalisé par l'entreprise Léon Grosse.
Il y a 6 ans et 359 jours

Lyon Confluence accueillera la Cité de la Lumière

La Cite? de la Lumie?re verra le jour en 2020. Accueillant des entreprises, des start-up et un campus virtuel traitant de toutes les formes de lumie?re, ce sera le lieu par excellence des e?changes et des rencontres autour de la lumie?re.
Il y a 7 ans et 45 jours

L'école privée d'architecture Confluence reconnue au niveau européen

Le diplôme de l'école privée d'architecture Confluence Institute, créée à Lyon par Odile Decq, a été validé par le RIBA (Royal Institute of British Architects), ce qui lui confère une reconnaissance européenne, a annoncé Confluence dans un communiqué.
Il y a 7 ans et 46 jours

L'école privée d'architecture Confluence de Lyon reconnue au niveau européen

Le diplôme de l'école privée d'architecture Confluence Institute for innovation and creative strategies in architecture, créée à Lyon par Odile Decq, a été validé par le RIBA (Royal Institute of British Architects), ce qui lui confère une reconnaissance européenne, a annoncé Confluence dans un communiqué.  
Il y a 7 ans et 268 jours

Lyon Confluence : Cemex fait école

Dans le quartier de Lyon Confluence, Cemex a permis la réalisation de deux poutres de très grande dimensions, en un temps particulièrement réduit grâce à sa solution Promptis, pour une résidence étudiante.