Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255520 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 61 jours

Var : des travaux de valorisation des espaces publics dans le quartier de Saint-Aygulf à Fréjus

Le quartier de Saint-Aygulf à Fréjus (Var) bénéficie d’une large campagne d’aménagement.
Il y a 3 ans et 61 jours

Le programme d'Emmanuel Macron pour le BTP

Le candidat-président Emmanuel Macron a dévoilé son programme jeudi 17 mars après-midi. Le Moniteur met en exergue ces mesures qui intéressent particulièrement le BTP.
Il y a 3 ans et 61 jours

Une nouvelle DG pour Etex France

Le groupe, connu en France pour ses marques Siniat et Promat, nomme à la tête de son activité française une spécialiste des produits de la construction.
Il y a 3 ans et 61 jours

Vendée : travaux de requalification dans le centre-bourg de La Barre-de-Monts

Le chantier engagé dans le centre-bourg de La Barre-de-Monts prendra fin en juin 2022.
Il y a 3 ans et 61 jours

Dispositif Pinel+ : le décret est paru, les critères sont connus

LOGEMENT. Le décret encadrant le dispositif Pinel+ vient de paraître au Journal officiel. Il fixe les conditions pour l'obtention de la réduction d'impôt à taux plein pour les années 2023 et 2024.
Cimbat
Il y a 3 ans et 61 jours

Retrouvez l'Édition Spéciale de Batiactu en Live d'EnerJ-Meeting

ÉDITION SPÉCIALE. À l'occasion d'EnerJ-Meeting, la journée de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment, le 31 mars à Paris, la rédaction de Batiactu vous donne rendez-vous en ligne, pour des émissions en live depuis l'événement : tables-rondes, interviews, décryptages... avec de nombreux invités !
Il y a 3 ans et 61 jours

Découvrez le programme de Valérie Pécresse pour le BTP en infographie

INFOGRAPHIE PRÉSIDENTIELLE. La candidate Les Républicains à la plus haute fonction de l'Etat a présenté son programme le 14 mars 2022.Un projet qu'elle juge "de rupture", promettant "deux fois plus d'économies que de dépenses", sans toutefois rogner sur les investissements. Décryptage en 3 points et une infographie.
Il y a 3 ans et 61 jours

Le salon Nordbat revient

Dédié aux professionnels du bâtiment, le Salon Nordbat, revient. Après deux tentatives annulées pour cause de Covid-19, la 12e édition, qui se tiendra du 30 mars au 1er avril 2022 à Lille Grand Palais mettra l’accent sur l’innovation, avec notamment un espace dédié aux start-up. Au menu également, de nombreuses conférences. Suivez le guide.
Il y a 3 ans et 61 jours

Les villes flottantes, solution à la montée des mers ?

Au Salon mondial de l'immobilier Mipim, qui a débuté mardi et s'achèvera vendredi à Cannes (Alpes-Maritimes), un prototype de ville flottante aux Maldives concourt pour remporter un prix du meilleur grand projet.Cette cité n'a pas encore de nom mais consistera, assurent ses concepteurs, en un assemblage de plateformes flottantes au milieu d'un lagon de cet archipel dans l'océan Indien. Quelque 5.000 maisons colorées devraient s'y dresser."Une ville flottante n'est pas un luxe, c'est une nécessité" pour ce pays insulaire dont l'existence même est menacée par le réchauffement climatique et la montée des océans, affirme à l'AFP Paul van de Camp, chef de l'entreprise néerlandaise Dutch Docklands, promoteur du projet.Et la capitale, Malé, où plus de 150.000 habitants se pressent sur un atoll de 8 km2 entièrement urbanisé, est complètement saturée, rappelle-t-il.Il ne s'attarde pas sur les caractéristiques techniques précises du projet, qui seront présentées officiellement au printemps par le président des Maldives. Ni sur leur coût. Mais il promet que le financement sera assuré et assure que les contraintes techniques ne sont pas rédhibitoires."Il y a de très gros acteurs mondiaux qui nous ont aidés avec des systèmes pour l'énergie, les égouts, l'eau, l'électricité, qui ont été bien testés et sont relativement innovants", assure Paul van de Camp.Il espère que le chantier sera terminé en 2027 au plus tard et assure avoir été approché pour répliquer l'expérience par "plusieurs pays", sans préciser lesquels.Trop cher ?Il existe déjà des bâtiments flottants à travers le monde, de même que des villages traditionnels de pêcheurs sont construits sur l'eau, en Amazonie, Thaïlande ou Indonésie, souligne Paul van de Camp.Mais aucun projet moderne et de cette ampleur n'a encore vu le jour.Un autre est en préparation à Busan (Corée du Sud), piloté par l'entreprise Oceanix et soutenu par l'ONU-Habitat.Là aussi, les détails techniques, le coût, etc. n'ont pas encore été dévoilés. Ils le seront officiellement en avril, explique à l'AFP Itai Madamombe, fondatrice d'Oceanix. L'objectif est d'avoir terminé le chantier fin 2025.Des doutes subsistent cependant sur la viabilité de telles constructions.Pour Ayça Kirimtat, chercheuse à l'université tchèque de Hradec Kralove qui a longuement étudié les villes flottantes, l'obstacle économique est difficile à surmonter. "Construire de très grandes structures flottantes au-dessus du niveau de la mer coûte beaucoup plus cher que des immeubles normaux sur la terre", explique-t-elle à l'AFP.Energie, transports, services, nourriture... la quantité de paramètres à prendre en compte est énorme, souligne-t-elle."Je ne crois pas qu'il y ait un problème de technologie", pense de son côté Nicholas Makris, professeur spécialiste des océans au Massachusetts Institute of Technology (MIT). "C'est plutôt l'efficacité économique. Réussir à tout faire d'une façon réalisable et viable économiquement", dit-il.Quelque chose de possible dans un endroit suffisamment protégé des évènements climatiques extrêmes et des conditions hostiles de la haute mer.ÉmergenceCe qui pourrait, in fine, rendre les villes flottantes attractives est la montée des eaux, qui menace les États insulaires mais aussi toutes les villes côtières, pense Chien Ming Wang, professeur de génie civil à l'université du Queensland (Australie)."Pour les villes côtières, si vous subissez les vagues et la montée des océans, vous n'avez pas d'autre choix que de supporter les dégâts et reconstruire. Donc c'est très coûteux", explique ce spécialiste des villes flottantes, qui a été consulté pour le projet des Maldives."Avec les villes et maisons flottantes, vous n'avez pas à vous préoccuper des inondations puisque votre maison est toujours au-dessus du niveau de la mer"."On va voir les villes flottantes émerger partout dans le monde dans les dix ou vingt prochaines années", prédit-il.
Il y a 3 ans et 61 jours

Tunnel sous la Manche : contrat renouvelé pour Colas Rail

Colas Rail a remporté deux contrats pour la maintenance des 200 km de voies ferrées du Tunnel sous la Manche attribués par Eurotunnel. Le montant total des deux contrats s’élève à 10,4 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 61 jours

Les prix du bois flambent, la maison bois brûle

Les carnets de commande sont pleins. Pourtant, l’activité est en danger face à des prix du bois qui explosent, et une pénurie alimentée par un surstockage. La faute à la guerre en Ukraine, entre autres.
Il y a 3 ans et 62 jours

Vinci remporte 338 M€ de contrats en Australie

La filiale australienne de Vinci Construction, Seymour White, a remporté les contrats pour la réalisation des zones d’accès du nouvel aéroport de Sydney et la rénovation d’un important axe routier de Melbourne.
Il y a 3 ans et 62 jours

L'Union nationale des géomètres-experts se dote d'une nouvelle présidente

CARNET-NOMINATION. Cécile Taffin devient présidente de l'Union nationale des géomètres-experts. C'est la première fois qu'une femme prend les rênes du syndicat.
Il y a 3 ans et 62 jours

Var : la nouvelle direction départementale des services d'incendie et de secours du Var est à Le Muy

Les nouveaux locaux de la direction départementale des services d'incendie et de secours du Var ont été implantés à Le Muy.
Il y a 3 ans et 62 jours

Nouvelle solution de fermeture destinée au logement collectif : Des coffres de volet roulant invisibles de l’intérieur du logement, performants thermiquement et facilitant les opérations de maintenance

Bouyer Leroux lance le CVR Collectif C35 bio’bric, un nouveau coffre gros œuvre en terre cuite destiné à recevoir les menuiseries BBI (Bloc Baie Inversé) équipées du bloc-baie Stylbloc de SPPF. En forme de « C », ce nouveau coffre dispose d’une sous-face prête à enduire, ce qui le rend invisible de l’extérieur du bâtiment. Le bloc-baie Stylbloc, […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Val-de-Marne : début des travaux de mutation urbaine du quartier sud de Choisy-le-Roi en 2022

À Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne, l’année 2022 marque un tournant important dans le processus de réaménagement de la partie sud de la ville.
Il y a 3 ans et 62 jours

Pour ses 30 ans, l'Ademe lance la 1ère édition du "Grand Défi Écologique"

L’ADEME : trente ans d’actions et de recherches En 1990, l’État décidait de créer l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). L’agence voit le jour en 1992 par regroupement de plusieurs agences publiques : l’Agence nationale pour la récupération et l’élimination des déchets (ANRED) déjà basée à Angers, l’Agence française pour la maîtrise de l’énergie (AFME) et l’Agence pour la qualité de l’air (AQA). Il est décidé par le gouvernement d’Edith Cresson que son siège serait à Angers. Le rôle et la place de l’ADEME dans l’action publique ont évolué depuis sa création et l’Agence est aujourd’hui incontournable dans la transition écologique, principal défi de notre temps. Économies d’énergie et énergies alternatives, déchets, qualité de l’air et des milieux, sont les thématiques fondatrices de l’Agence et restent au cœur de sa mission. Avec la prise de conscience générale des périls environnementaux qui nous menacent – l’ADEME a l’âge du sommet de Rio –, ces sujets ont aussi gagné le cœur du débat public. Désormais, l’influence de l’ADEME dépasse de loin ses seuls moyens. Des centaines de salariés et de doctorants ont essaimé ses savoirs et ses méthodes dans autant d’organismes publics, de collectivités, d’entreprises et d’associations. Elle pourvoit en informations fiables chercheurs, influenceurs et décideurs publics. Il n’y a pas une seule grande loi touchant l’environnement qui ne se fasse sans sa contribution. L’effet de levier est immense. Ainsi, l’État confie à l’ADEME un montant de plus en plus conséquent d’aides à distribuer. Cette mission récente d’opérateur de l’aide publique à l’investissement manifeste le passage à un nouveau « temps » du combat écologique : le déploiement à grande échelle des technologies éprouvées, qui permet de massifier l’action pour atteindre la neutralité carbone en 2050, ce qui n’empêche pas de soutenir l’innovation de rupture via de nombreux appels à manifestation d’intérêt. Par ailleurs, pour réussir les transformations sociétales d’ampleur, nécessaires pour faire face aux défis climatiques, l’ADEME a besoin d’adhésion. Cela n’interdit pas de tenir un langage de vérité sur l’effort à produire. L’ADEME tient ainsi un rôle de « coach » qui incite,impulse et soutient. Les trente ans de l’ADEME cette année sont une bonne occasion de redire ces vérités en organisant des événements en région et à Angers pour les collectivités, entreprises, enseignants, jeunes et familles autour d’un fil rouge, « Le Grand Défi Écologique ». Les trente ans de l’ADEME cette année sont une bonne occasion de redire ces vérités en organisant des événements en région et à Angers pour les collectivités, entreprises, enseignants, jeunes et familles autour d’un fil rouge, « Le Grand Défi Écologique ». Le Grand Défi Écologique : une semaine pour rassembler L’ADEME lance la toute première édition du Grand Défi Écologique. S’adressant à un large public, le Grand Défi Écologique se décline autour de trois axes :Le Grand Défi Écologique Citoyens Les citoyens sont invités à se joindre à cette célébration autour de plusieurs évènements gratuits et ouverts à tous (jeunes, adultes et familles), conçus et animés en partenariat avec ChangeNOW. Tout au long de la semaine, des activités, animations et conférences grand public se déroulent en continu dans différents lieux d’Angers. Certains sont en accès libre et d’autres se font sur inscription. Cet événement a pour vocation d’éveiller les consciences sur les enjeux environnementaux et sociaux de notre siècle, de faire découvrir des solutions pour s’engager en faveur du climat et de la biodiversité et d’engager un large public dans le passage à l’action.Le Grand Défi Écologique Professionnels Cet événement destiné aux professionnels et aux médias propose aux acteurs économiques, organisations publiques et privées, de décrypter les scénarios prospectifs de l’ADEME, d’en débattre et de s’y projeter concrètement pour permettre de construire la voie vers la neutralité carbone d’ici à 2050.Le Grand Défi Écologique Étudiants Le Grand Défi Étudiants lancé en octobre 2021 offre la possibilité à un élève ou un groupe d’élèves d’enseignement supérieur, de plus de 16 ans et de l’agglomération angevine de voir son projet de transition écologique financé.
GDA
Il y a 3 ans et 62 jours

Les activités de Lafarge en Syrie examinées en justice le 24 mars

La cour d'appel de Paris examinera de nouveau la possible "complicité de crimes contre l'humanité" du groupe cimentier français Lafarge dans l'enquête sur ses activités en Syrie jusqu'en 2014.
Il y a 3 ans et 62 jours

Oise : livraison des premiers logements du quartier Ordener à Senlis

Une centaine de logements seront créés dans le quartier Ordener de Senlis. Quelques-uns viennent d’être livrés et n’attendent plus que leurs occupants.
Il y a 3 ans et 62 jours

Solutions Bas-Carbone, le RDV des acteurs du cadre de vie bâti durable

Bati-Journal et le magazine Planète Bâtiment sont partenaires de l’événement Solutions Bas-Carbone, le rendez-vous des acteurs du cadre de vie bâti durable. Solutions Bas-Carbone en partenariat avec l’observatoire Low-Carbon World, donne rendez-vous à l’ensemble des acteurs de la transition écologique de la construction et des territoires. Collectivités territoriales, acteurs de la construction, de l’immobilier, de l’énergie et des services à l’environnement, se retrouvent autour des solutions opérationnelles, des dernières innovations et des projets pour relever les défis de cette transition. L’événement se tiendra les 5 & 6 avril à Paris Expo – Porte de Versailles > Découvrez le programme des conférences et Workshops > Inscription gratuite avec le code SBC22-BATIJOURNAL  Cet article Solutions Bas-Carbone, le RDV des acteurs du cadre de vie bâti durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 62 jours

Bourneuf refond complètement son site internet pour plus de cohérence avec les évolutions de la marque

Créé il y a 13 ans, le site Internet des Menuiseries Bourneuf vient d’être renouvelé et modernisé pour mettre en lumière toutes les évolutions qui ont donné lieu, ces 10 dernières années, à des innovations notables en matière de sécurité, de thermique et d’acoustique. Bourneuf, expert de la menuiserie bois de prestige, s’est doté d’un site moderne, enrichi d’informations sur les spécificités de leurs menuiseries et de réalisations exemplaires. Mis en ligne depuis le début du mois de décembre 2021, le site www.bourneuf.fr permet une navigation fluide et agréable, apportant une plus grande visibilité grâce à une ergonomie aérée et esthétique. Par ailleurs, le site a été paramétré de manière à être lisible aussi bien sur ordinateur que sur Smartphone ou tablette. La refonte du site s’est faite autour de rubriques thématiques axées sur la présentation de l’entreprise, son savoir-faire, ses réalisations et les spécificités techniques de ses menuiseries. Les références exceptionnelles des Menuiseries Bourneuf soulignent parfaitement leur singularité. La marque gage sur cette distinction et a fait le choix de valoriser ses chantiers à travers son nouveau site, avec de nombreuses photos. L’aspect visuel met également en évidence toute l’esthétique des menuiseries Bourneuf. La notion de proximité avec le client est également plus en phase avec les évolutions de la marque sur le territoire national. Ces dernières années, Bourneuf a ouvert des agences en région ; 4 au total. En effet, au-delà de son siège social placé au cœur de La Sarthe, Bourneuf s’est implantée à Paris en 2012, à Lyon en 2016 et depuis 2020, a ouvert ses agences de Nantes et de Bordeaux, afin de répondre rapidement et efficacement à la demande. Pour finir, une vidéo, disponible dans l’onglet « Qui sommes-nous », emmène le visiteur au cœur du savoir-faire de la menuiserie et détaille avec attention le geste du menuisier, l’industrialisation de pointe, le sur-mesure et le service de pose. Des compétences essentielles et garantes d’une menuiserie et d’un service haut de gamme. Architecte, professionnel du bâtiment, entreprise ou particulier pourront découvrir au travers de ce nouveau site, l’ensemble des prestations que propose les Menuiseries Bourneuf ; mais également comprendre que l’entreprise cultive l’exigence du travail bien fait. La refonte de ce nouveau site Internet transcrit parfaitement cette vision. Partager la publication « Bourneuf refond complètement son site internet pour plus de cohérence avec les évolutions de la marque »
Il y a 3 ans et 62 jours

La qualité de l'air en temps de Covid, nouveau filon économique

Au salon mondial de l'immobilier Mipim, du 15 au 18 mars à Cannes, une étrange forme d'oiseau est perchée sur le stand de la compagnie danoise Leapcraft.C'est en réalité un capteur de CO2, qui au-delà d'une certaine concentration dans l'air se met à gazouiller, signe qu'il est temps d'aérer ou de sortir prendre l'air.La compagnie en propose plusieurs modèles: l'oiseau, le plus ludique, est plutôt destiné au grand public ou aux écoles. D'autres, pour les bureaux, ont plutôt une allure de box internet, à fixer au mur ou au plafond. Ils sont connectés en réseau et peuvent capter d'autres données.Depuis fin 2020, Leapcraft a vu ses ventes tripler et ce sans avoir pu satisfaire toute la demande, la faute à la pénurie mondiale de semi-conducteurs, assure à l'AFP son patron, Vinay Venkatraman."Le point de bascule, ça a été quand on a admis que le Covid se transmettait par l'air", explique-t-il.Le coronavirus responsable du Covid-19 se transmet surtout par les aérosols, particules ultra-légères qui s'accumulent et restent en suspension dans l'air d'une pièce mal ventilée. Mesurer la teneur en CO2 est donc un moyen d'évaluer le renouvellement de l'air intérieur, et donc le risque de contagion."Ce que la pandémie a le plus changé, c'est que +les gens normaux+ parlent de ventilation, raconte Vinay Venkatraman. Avant, les gens qui parlaient de ventilation étaient uniquement ceux avec des problèmes respiratoires, des allergies...""Un réveil"Les demandes liées à la qualité de l'air viennent souvent sous la pression des salariés, témoignent les entreprises rencontrées par l'AFP. "Nous avons (des demandes) particulièrement dans quelques pays comme la France, les Pays-Bas, la Belgique", explique Aakash Ravi, fondateur de l'entreprise néerlandaise Spaceti, spécialisée dans la collecte et l'exploitation de données pour les immeubles de bureaux."C'est important parce que le niveau de CO2 n'est pas exactement réglementé, pour ces clients, c'est plutôt une demande des salariés", dit-il. "Tout le monde se préoccupe de la santé dans ses bâtiments désormais, bien plus qu'avant le Covid. C'est sans aucun doute un grand changement", assure aussi William Cowell de Gruchy, fondateur de l'entreprise britannique Infogrid, également spécialisée dans l'exploitation de données pour les bâtiments.Et parmi les différents types de dispositifs qu'elle propose, ceux pour contrôler la qualité de l'air tiennent désormais le haut du pavé. Avant la pandémie, ils étaient le troisième produit le plus demandé, derrière... ceux permettant de détecter la légionellose, maladie souvent causée par les climatiseurs mal réglés ou des défauts de canalisations.Infogrid propose à ses clients de croiser le taux de CO2 avec ceux d'humidité et de température, pour une estimation plus fine du risque viral."La pandémie a été un réveil et c'est en train de devenir la norme pour des entreprises du monde entier. Elles ne vont plus revenir en arrière et négliger la qualité de l'air", veut croire William Cowell de Gruchy.
Il y a 3 ans et 62 jours

Réchauffement climatique : selon le GIEC, quel rôle le bâtiment et ses industries peuvent-ils jouer ? Analyse du dernier rapport publié

Avec un premier volet déjà très alarmant paru en août 2021, le GIEC publie le second volet de son 6ème rapport et y met en évidence les impacts du réchauffement climatique sur nos sociétés, les écosystèmes et la biodiversité.  Cercle Promodul / INEF4 propose une analyse synthétique et répond aux interrogations suivantes :  • Et […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Fusion 25 : DAIKIN EUROPE annonce la création de 4000 postes et un plan d’investissement de 840 millions d’Euros d’ici l’année fiscale 2025

La direction européenne du groupe Daikin, acteur majeur sur le marché mondial du génie climatique, du chauffage, de la ventilation et de la réfrigération a dévoilé son plan stratégique “Fusion25“.  Il s’agit d’un projet d’envergure dont l’objectif est de répondre aux besoins d’un monde en pleine mutation, et de confirmer la position de leader du […]
Il y a 3 ans et 62 jours

CLIMAVER®, le premier conduit aéraulique pré-isolé rigide sous Avis Technique de la marque ISOVER

Alternative aux gaines métalliques, CLIMAVER®  est un panneau de laine de verre rigide, façonnable en conduits et en raccords de ventilation et réalisable directement sur site. Sa conception technique étanche permet de transporter l’air chaud, tempéré ou froid dans les bâtiments et assure également le double rôle d’isolant thermique et acoustique. CLIMAVER® est adapté au marché […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Attractivité des métiers du bâtiment et sensibilisation des jeunes générations : l’UFME participe au dispositif FOQUALE dans un collège de Châlons-en-Champagne (51)

 L’Union des Fabricants de MEnuiseries (UFME) est historiquement engagée dans la valorisation et l’attractivité des métiers de la menuiserie. Une question sociétale et économique cruciale à l’heure où le secteur du bâtiment est confronté à un manque de main d’œuvre et recherche de nouveaux talents alors qu’il connaît une croissance exceptionnelle. Portée par cet enjeu, […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Le ministère délégué au logement et l’ADEME lancent une campagne pour favoriser le recrutement dans le secteur du BTP et de la rénovation énergétique des bâtiments

 En France, le secteur du bâtiment est responsable de 47% des consommations finales énergétiques et de 25% des émissions de gaz à effet de serre. Dans l’objectif de réduire de 50% les émissions de CO2 d’ici à 2030, la rénovation énergétique des bâtiments est une priorité.  Cependant, la construction fait aujourd’hui face à un déficit […]
Il y a 3 ans et 62 jours

L’association Energies & amp; Avenir s’agrandit et accueille le syndicat Cochebat parmi ses membres.

 En 2022, Énergies & Avenir, l’association des professionnels engagés pour le développement du chauffage durable regroupant les métiers de la filière du chauffage à eau chaude, intègre parmi ses membres Cochebat, syndicat national des fabricants de composants et de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaires.  À travers l’adhésion du syndicat Cochebat, Énergies & Avenir […]
Il y a 3 ans et 62 jours

POLYREY dote ses produits d’un passeport environnement , une carte d’identité verte

« Conscients de notre responsabilité environnementale, nous menons nos actions autour d’une démarche proactive et engagée, confie Jean-Louis André, Directeur Général de Polyrey. A chaque niveau de l’entreprise, nous privilégions des actions concrètes, vérifiables, de préservation des ressources, de réduction de nos déchets, dans le but de concevoir des surfaces toujours plus innovantes, plus respectueuses de […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Cork Haven : une rénovation en bois et liège aux États-Unis

Cork Haven est une maison contemporaine située à South Salem dans l’État de New York, aux États-Unis. Elle a été conçue en 2020 par Multitude Studio. Cork Haven est une vaste rénovation et reconstruction d’une maison existante, conçue par l’architecte Nate Dalesio pour sa jeune famille. Nathan et sa femme, Allison, ont acheté une résidence […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Dossier Détails : bâtiments flottants

    La tendance à bâtir sur l'eau - mer, lac, fleuve, canal - se développe depuis quelques années pour répondre à des préoccupations environnementales, financières, ou programmatiques favorisant les bâtiments légers, voire temporaires. Des contraintes constructives spécifiques s'appliquent cependant […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 62 jours

Ville de Périgueux (24)

Le maître d'ouvrage de la semaine -
Il y a 3 ans et 62 jours

Nouvelle-Aquitaine : « Nous développons notre métier d'aménageur », Jean-Baptiste Desanlis

Entretien avec Jean-Baptiste Desanlis, directeur général de Clairsienne.
Il y a 3 ans et 62 jours

Disparition de Michel Holley

Ce 18 mars 2022, l'architecte-urbaniste Michel Holley s'est éteint à l'âge de 97 ans. Connu pour ses tours d'habitations parisiennes, il applique un principe de "zoning vertical" inspiré de la charte d'Athènes de Le Corbusier. Sa réalisation la plus aboutie aura été la dalle des Olympiades dans le 13ème arrondissement. Il sera inhumé au cimetière du Père Lachaise le 22 mars 2022 à 11h15....
Il y a 3 ans et 62 jours

MaPrimeRénov' : l'Etat offre finalement un répit aux chaudières gaz

ANNONCE. Le ministère de la Transition écologique a enclenché la marche arrière au sujet de l'exclusion des chaudières gaz de MaPrimeRénov' dès le 1er avril 2022. L'échéance a finalement été repoussée au 1er janvier 2023.
Il y a 3 ans et 62 jours

Nette amélioration du trafic des aéroports parisiens, les prévisions ne sont pas affectées par la guerre

Les installations de Roissy et d'Orly ont vu transiter le mois dernier 4,5 millions de voyageurs, en hausse de 3,3 millions par rapport à février 2021, a précisé le Groupe ADP dans un communiqué.En retrouvant plus d'un passager sur six d'avant la crise sanitaire, les aéroports desservant l’Île-de-France enregistrent un bond de plus de 10 points sur un mois : janvier n'y avait vu transiter que 52,2% du trafic de 2019, mieux toutefois que la moyenne de 2021, 38,8%.Le niveau de fréquentation de février, dans une période traditionnellement creuse, rapproche le Groupe ADP de la fourchette de ses objectifs pour ses plateformes franciliennes lors de l'exercice 2022, c'est-à-dire entre 65% et 75% du nombre de passagers de 2019.Comme depuis le début de la crise en mars 2020, Roissy et Orly ont connu des situations contrastées: le premier a continué à pâtir de la fermeture de certaines destinations, ne retrouvant que 57,8% du trafic de février 2019, tandis qu'Orly a atteint 72,9% du niveau de passagers d'il y a trois ans.Pour l'ensemble du Groupe ADP, qui gère en direct ou via des filiales près de 30 aéroports dans le monde, de Santiago du Chili à Almaty en passant par Amman et New Delhi, le trafic passagers du mois dernier s'est établi à 62,5% de celui de février 2019. L'objectif 2022 est de 70% à 80% de l'avant-crise, après 45,6% réalisés en 2021.Mais l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février a conduit les pays européens à fermer leur espace aérien aux compagnies russes. Moscou a pris des mesures réciproques."En 2019, le trafic avec l'Ukraine et la Russie représentait 1,4% du trafic total" des aéroports desservant Paris, mais "17,1% du trafic total de (la filiale turque d'ADP) TAV Airports", a expliqué le groupe.Ce dernier, "à ce stade, n'anticipe pas que les conséquences du conflit soient de nature à remettre en question ses hypothèses de trafic", a-t-il ajouté.ADP, contrôlé par l'État français, prévoit un retour aux bénéfices en 2022 après avoir subi en 2021 une perte de 248 millions d'euros, divisée par quatre par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 62 jours

Un plan gouvernemental pour réduire les accidents du travail mortels

Quelque 540.000 personnes ont été victimes d'accidents du travail en 2020, dont 550 mortels, hors accidents de la route, a indiqué le ministère du Travail dans un communiqué. Ce chiffre ne baisse plus depuis 2010. "Le coût humain, social et économique des accidents du travail nous impose de ne pas céder à la fatalité", plaide le secrétaire d'Etat chargé de la Santé au travail, Laurent Pietraszewski, qui a présenté cette feuille de route devant le comité national de prévention et de santé au Travail (CNPST), dans le cadre du "4ème plan santé au travail 2021-2025".Ce plan cible d'abord les salariés les plus vulnérables (jeunes et nouveaux embauchés, travailleurs intérimaires, indépendants ou détachés) en mettant l'accent sur la formation à la sécurité, notamment lors de leur formation initiale pour les jeunes ou lors de la prise de poste. Les messages de prévention qui leur sont destinés, notamment pour les travailleurs détachés qui parlent mal français, seront renforcés.Selon l'Assurance-maladie, près de 15% des accidents graves et mortels surviennent au cours des trois premiers mois suivant l'embauche et un quart des accidents du travail concerne des salariés ayant moins d'un an d'ancienneté dans l'entreprise.Une autre cible prioritaire sont les TPE-PME qui ont souvent moins de ressources à consacrer à la prévention.Selon l'inspection du travail, les accidents graves et mortels dans les TPE-PME représentent 26% des accidents totaux alors qu'elles emploient seulement 18% des salariés.Certains risques professionnels feront l'objet de mesures ciblées en raison de leur impact élevé, tel le risque routier (356 accidents mortels selon la Cnam), le risque associé à l'utilisation des machines (24% des accidents mortels) et les chutes de hauteur (18% des accidents du travail mortels).Le plan est axé avant tout sur la prévention, l'information et les campagnes de communication."Il ne suffit pas d'accumuler les réglementations, il y a une dimension d'appropriation du terrain très forte", estime-t-on dans l'entourage du secrétaire d'Etat."Ce n'est pas principalement une question budgétaire, mais une question d'information au sein de la communauté qui ne connait pas assez +l'épidémiologie+ des accidents mortels", ajoute-t-on.
Il y a 3 ans et 62 jours

8 nouvelles start-up intègrent le CSTB'Lab

Carbon Saver, eCOMEN, GR BIM, Ithaque, Nooco, Qiimcy, Revibat et Ubiplace Le CSTB'Lab, incubateur d'entreprises innovantes, accueille aujourd'hui huit nouvelles jeunes pousses, qui vont pouvoir bénéficier d'un écosystème dédié : accompagnement personnalisé dans le développement et l'optimisation de leurs solutions, accès aux connaissances scientifiques et techniques du CSTB, synergies inter start-up, etc. Les thématiques portées par ces 8 entreprises sont au cœur des enjeux de demain pour le monde de la construction et de l'urbain : industrialisation de la rénovation énergétique, optimisation de l'empreinte carbone, amélioration de la collecte et de l'utilisation des data et gestion patrimoniale. En savoir plus : Communiqué de presse mars 2022
Il y a 3 ans et 62 jours

La filière de l'isolation des bâtiment réclame des mesures urgentes pour relancer le secteur

Pour le Symbiote : "Le bâtiment représente plus de 40% des consommations d’énergie et plus de 25% des émissions de GES. La massification des rénovations énergétiques est donc essentielle et indispensable pour réduire significativement les besoins en énergie du parc bâti existant. Dans ce contexte, l’isolation des bâtiments, notamment du secteur résidentiel, doit être LA priorité car c’est l’action la plus efficace sur le long terme. L’isolation est un « bouclier tarifaire permanent » contre la hausse du coût de l’énergie, elle permet de réduire massivement les émissions de GES et enfin elle permet également de renforcer notre indépendance énergétique en réduisant notre consommation.La filière de l’isolation des bâtiments est une filière jeune, qui a commencé à se professionnaliser il y a moins de 10 ans. Elle a bénéficié, de 2016 à 2020, d’un soutien massif des pouvoirs publics qui lui a permis de recruter, de former, de structurer … et d’isoler. Ainsi, plus de 150 millions de m2 de combles, 40 millions de m2 de planchers et 10 millions de façades ont été isolés ces trois dernières années, permettant aux Français de réaliser près de 500 millions d’euros d’économies de chauffage par an et de réduire massivement leurs émissions de GES dans l’atmosphère.Depuis près d’un an et demi, les pouvoirs publics (et notamment le Ministère de la Transition Énergétique et Solidaire) ont de fait abandonné la filière de l’isolation, en réduisant drastiquement les aides au bénéfice des ménages français. Compte-tenu du coût significatif d’une rénovation énergétique, nos concitoyens et notamment les plus précaires doivent être accompagnés financièrement. Pour cela, les pouvoirs publics s’appuient sur deux dispositifs distincts : les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) et MaPrimeRénov’ (MPR). Or, les aides MaPrimeRénov ont été très peu fléchées vers l’isolation, avec plus de 65% du budget consacré à l’installation de pompes à chaleur et de poêles à bois. Pire, depuis juillet 2020, l’ANAH a acté une baisse de 25% des aides à l’isolation des façades accordées aux Français. Concernant les CEE, les pouvoirs publics ont successivement réduit le Coup de Pouce pour l’Isolation des planchers en septembre 2020, puis supprimé le Coup de Pouce pour l’Isolation des Combles au 30 juin 2021, avec six mois d’avance. Les chiffres du Ministère sont sans équivoque : le volume de combles et de planchers isolés a depuis baissé de plus de 80%. Alors qu’il s’isolait en moyenne 60.000 combles par mois en 2020, moins de 5.000 combles ont été isolés mensuellement depuis la fin du Coup de Pouce en juin 2021. En 2022, les Français n’isolent plus leur logement car il n’y a quasiment plus d’aides nationales. Prenons l’exemple d’un ménage aux revenus très modestes qui souhaite réaliser un chantier d’isolation performante (combles, planchers et façades) de sa maison individuelle de 100 m2, d’un montant global de 20.000 €. Son reste à charge, une fois les aides déduites, était de 1750 € en mars 2020. Il est, en mars 2022, de plus de 9.500€. L’impact des évolutions brutales et non concertées des schémas de subventions à l’isolation est considérable et funeste pour la jeune filière de l’isolation. En six mois, plus de 13.000 emplois ont été détruits. Des entreprises qui avaient investi dans un outil de production performant sont au bord du dépôt de bilan, les compétences qui commençaient à se structurer disparaissent au fil des licenciements. Même son de cloche du côté des industriels qui avaient développé massivement leur capacité de production et qui ont besoin de stabilité pour rentabiliser leurs investissements.Dans six mois, la filière de l’isolation aura sombré. Qui aura la capacité de réaliser la rénovation énergétique de demain ? Mais que font les pouvoirs publics ? Le Ministère, dans la plus grande discrétion, a décidé de privilégier le chauffage à l’isolation. Ainsi, les ventes de pompes à chaleur ont-elles cru de 50% en 2021, largement soutenues par MPR et l’un des rares Coups de Pouce CEE encore actif. Certes il s’agit d’un mode de chauffage plus écologique que le fioul mais améliorer le chauffage d’une maison non isolée ne change pas le fait que l’on chauffe essentiellement l’atmosphère. Cette politique, constatée mais non annoncée et encore moins assumée, est incompréhensible. En affaiblissant considérablement la filière isolation, les pouvoirs publics compromettent durablement la capacité de la France à atteindre ses objectifs de rénovation thermique des bâtiments et de réduction des émissions de GES. A l’heure où la question du pouvoir d’achat des français est au cœur de l’actualité, c’est aussi se priver d’un moyen efficace pour l’améliorer. 2022 doit être l’année de la relance de la filière de l’isolation en France. A l’heure de l’explosion des prix de l’énergie, il y a urgence à créer un contexte permettant aux ménages français, et notamment aux plus modestes, de renforcer la sobriété énergétique de leur logement. Cela passera impérativement par de l’isolation…"
Il y a 3 ans et 62 jours

Menuiserie bois-aluminium : MéO débloque 20 millions d'euros

INVESTISSEMENT. Le fabricant de menuiseries bois-aluminium, MéO, débloque une enveloppe de 20 millions d'euros afin d'accroître son site de production de Cugand en Vendée.
Il y a 3 ans et 62 jours

En Finlande, des habitations vont être réchauffées par un centre de données

INSOLITE. Des logements et des entreprises de plusieurs districts du grand Helsinki bénéficieront de l'énergie issue d'un centre de données. La chaleur émise devrait permettre d'économiser environ 400.000 tonnes de CO2.