Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255494 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 68 jours

Puy-de-Dôme : la réhabilitation de la déchetterie de Saint-Rémy-sur-Durolle débutera en avril 2022

Les travaux de réaménagement de la déchetterie de Saint-Rémy-sur-Durolle, dans le Puy-de-Dôme, nécessiteront un million d’euros.
Il y a 3 ans et 68 jours

Val-de-Marne : végétalisation du cimetière de Joinville-le-Pont

La mairie de Joinville-le-Pont va apporter plus de verdure aux espaces publics du cimetière communal.
Il y a 3 ans et 68 jours

Une maison bioclimatique à Pluvigner en Bretagne – FR-56

En 2002, le souhait du 1er propriétaire était de construire une maison suivant la RT 2005, en mêlant : le métal et le bois, de grands volumes et un chauffage par géothermie. Une habitation devant s’intégrer dans un ancien verger sur la commune de Pluvigner. Pour répondre à ce programme une construction mixte a été […]
Il y a 3 ans et 68 jours

Les chapiteaux plissés de K Architectures pour la scène de Bayssan

En France, l’application dès le 1er janvier 2022 de la RE2020 - d'abord dans le logement neuf, puis dans les bureaux et les équipements d'enseignement - représente, pour les architectes, un changement de paradigme. Si les principes bioclimatiques renvoient des fondamentaux vertueux, ils ne sauraient suffire. Comment penser une production architecturale […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 68 jours

La guerre en Ukraine bouscule le BTP

International - Le conflit armé déclenché par la Russie et les sanctions internationales pourraient faire flamber les prix de l'acier, des ferro-alliages et du gaz.
Il y a 3 ans et 68 jours

Bouygues Construction avance ses pions pour féminiser la profession

Ressources humaines - Afin d'attirer les étudiantes vers ses métiers, le géant du BTP envoie des marraines dans les écoles.
Cimbat
Il y a 3 ans et 68 jours

Lourdes conséquences de la guerre en Ukraine sur l'activité des aéroports français

Pour 2022, "les compagnies aériennes ont développé une offre (...) très très encourageante", en particulier depuis des aéroports hors région parisienne, a remarqué le président de l'Union des aéroports français (UAF) Thomas Juin."Les compagnies low-cost notamment sont très offensives, on note un développement supérieur à 2019", soit avant la crise sanitaire qui a gravement affecté le secteur, a ajouté M. Juin."C'est une confirmation du modèle low-cost, encore plus dans le cadre de cette sortie de crise qu'avant", a estimé le dirigeant.De fait, selon l'UAF, le trafic low-cost a représenté "un peu moins de 40% du trafic de la France métropolitaine" contre 35% en 2019.La grande inconnue reste cependant l'attitude des voyageurs, en particulier de loisirs, au moment où un conflit armé se déroule aux portes de l'Union européenne.Et ce alors que les déplacements aériens professionnels peinent à reprendre dans le contexte d'un développement du télétravail et des visioconférences.L'UAF, à l'unisson d'autres organisations du secteur, estime jusqu'ici que la France devrait retrouver cette année quelque 70% de ses voyageurs aériens de 2019. En 2021, les aéroports français ont accueilli 90,6 millions de passagers, mieux que les 70 millions de 2020 mais encore loin des 214 de 2019.La situation en Ukraine inquiète aussi les professionnels pour ses effets induits: la montée en flèche du prix des hydrocarbures va provoquer "un renchérissement du coût du transport aérien, qui va être considérable", certaines lignes risquant de ne plus être rentables selon l'UAF."Nous ne savons pas quelles vont être les conséquences, mais elles seront lourdes", a prévenu M. Juin, alors que les entreprises du secteur sortent de la crise avec des "trésoreries asséchées".A ce titre, l'UAF a repris son leitmotiv de la "compétitivité des aéroports français" comparé à ceux des autres pays et demandé en particulier à l'Etat de renoncer à demander aux aéroports le remboursement des avances de trésorerie pour assurer les missions de sûreté aéroportuaire.Celles-ci totaliseront 700 millions d'euros pour la période 2020-2022 et devront être remboursées sur sept ans à partir de 2024.
Il y a 3 ans et 68 jours

Lafarge dessine sa stratégie bas carbone et fait le bilan de ses innovations

STRATEGIE. La filiale du groupe Holcim, géant suisse des matériaux de construction, déploie son plan de diminution des émissions de CO2 de ses produits et activités. Pour cela, elle annonce avoir massivement investi dans certaines usines et développé plusieurs solutions bas carbone.
Il y a 3 ans et 68 jours

L’initiative "Rénovons !" réclame un "Bouclier Énergie" pour protéger l'économie française

Les bénéfices économiques qui découlent d’investissements dans la rénovation performante sont pourtant très importants pour les ménages, les entreprises, et toute l’économie française en général.Se chauffer au gaz ou à l’électricité, dans des logements peu performants énergétiquement, va devenir un luxe que beaucoup de ménages français ne pourront pas se permettre. Face à la hausse des tarifs des énergies - plus 41% pour le gaz et plus 3% pour l’électricité en 2021(selon l’Insee), avant même les conséquences de la guerre en Ukraine - les phénomènes de privations, d’inconfort liés au froid dans les logements et les difficultés à payer les factures augmentent en France. Une précarité énergétique qui touche déjà 5,8 millions de foyers, ceux-là même qui peinent à chauffer leur logement, malgré les aides reçues sous forme de chèque énergie. Pour beaucoup, ils se retrouvent piégés dans ces passoires énergétiques, faute de moyens suffisants pour les rénover ou déménager.Une crise qui va s’éterniserSi rien n’est fait, cette réalité sociale alarmante risque de s’aggraver : la crise énergétique mondiale à laquelle notre pays est confronté - augmentation de la demande, difficultés d’approvisionnements et hausse des prix - va avoir des répercussions pendant plusieurs années, aggravant toujours plus les restrictions volontaires ou privations que mettent en place les familles en précarité énergétique pour limiter les montants de factures. Ces privations augmentent très fortement les risques liés à la santé des habitants les plus modestes de ces logements sous-chauffés. Pour un grand nombre de français aux revenus moyens, déjà sur le fil chaque mois pour payer leurs factures, la hausse vertigineuse des prix de l’énergie va inéluctablement les faire basculer dans la précarité énergétique. Déjà en 2021, le nombre de coupures pour impayés s’établit au niveau record de 785 000 ce qui laisse présager du pire pour 2022.Le “Bouclier Énergie” est la seule solution à terme pour protéger les habitants et les entreprises grâce à la réduction des factures d’énergie dans le logement Des factures d'énergies diminuées de quatre à six fois leurs montants actuels, des dizaines de milliers d’emplois créés et des filières industrielles préservées en France : tout cela est possible si les forces politiques françaises s’engagent toutes résolument dans le soutien massif et de longue durée aux rénovations globales et performantes des logements des français.Selon le scénario Rénovons 2020 : la rénovation des 7 millions de passoires énergétiques en France dans les dix prochaines années permet de faire économiser plus de 10 milliards d’euros par an aux Français sur leurs factures de chauffage, soit près de 1100 euros par foyer/ an.Pour la France cela permettrait de réduire de plus de 2 milliards d’euros / an le déficit commercial énergétique soit autant d’argent supplémentaire à consacrer à la rénovation performantes des logements.
Il y a 3 ans et 69 jours

Bénéfice net en forte hausse pour Geberit en 2021

RÉSULTATS. Le fabricant suisse d'équipements sanitaires Geberit affiche un bénéfice net en forte augmentation sur l'année 2021. Cette performance s'explique notamment par un marché dynamique de la rénovation.
Il y a 3 ans et 69 jours

De grands noms de l'architecture imaginent les futures folies de Neuilly

CULTURE. Le maire de Neuilly a lancé un concours international d'architecture pour concevoir 19 folies dans sa commune. Shigeru Ban, Dominique Perrault, Zaha Hadid, Su Fujimoto... les projets des 15 agences sélectionnées sont présentés dans le cadre d'une exposition gratuite et en plein air.
Il y a 3 ans et 69 jours

Les préconisations sanitaires ne s'appliqueront plus sur les chantiers dès le 14 mars

SANTÉ. Dans la foulée de l'annonce par le ministère du Travail de l'arrêt du protocole sanitaire en entreprise le 14 mars, l'organisme de prévention du bâtiment et des travaux publics indique fort logiquement que son guide de préconisations sanitaires ne s'appliquera également plus à compter de la même date.
Il y a 3 ans et 69 jours

Bâtiment et bailleurs sociaux veulent faire du logement la "grande cause" du quinquennat

PRÉSIDENTIELLE 2022. L'Union sociale pour l'habitat et la FFB ont reçu six candidats à la présidentielle pour qu'ils défendent leurs propositions sur le logement, notamment social, et la construction, le 9 mars.
Il y a 3 ans et 69 jours

Dans les Pays-de-la-Loire, 10 petites lignes bénéficieront d'un plan de sauvegarde

FERROVIAIRE. Dans le cadre des plans régionaux de sauvegarde des petites lignes ferroviaires, lancés en février 2020, l'Etat a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec une 7e région : les Pays-de-la-Loire. Dix lignes de desserte fine sont l'objet de ce plan d'actions.
Il y a 3 ans et 69 jours

Interview Alexandra Lebert, directrice de domaine d'Action Stratégique Recherche

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Alexandra Lebert, directrice de deux domaines d'Action Stratégique Recherche dédiés aux bâtiments et villes face au changement climatique et à l'économie circulaire, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis directrice de domaine d'Action Stratégique Recherche au CSTB, que j'ai intégré en 2007 après un DUT Génie Thermique et Énergie, puis une école d'ingénieur en Énergie et Environnement. Pour l'anecdote, pour mes choix post-bac, j'avais reçu le Prix de la Vocation Féminine qui encourage les lycéennes à suivre des filières à forte majorité masculine. J'ai commencé ma carrière au CSTB en tant qu'ingénieure d'étude et recherche. J'ai ensuite été responsable de l'équipe Environnement avant de rejoindre, début 2021, la direction de la Recherche. Sur quelles missions travaillez-vous dans le cadre de vos fonctions ? Mon rôle est de piloter deux domaines d'actions stratégiques : « Bâtiments et villes face au changement climatique » et « Économie circulaire et ressources pour le bâtiment ». Je coordonne le travail des équipes du CSTB pour faire progresser les connaissances et les réponses que nous pouvons apporter sur ces grands enjeux. En tant que directrice de domaine d'Action Stratégique Recherche, comment percevez-vous l'égalité femmes/hommes au sein de l'entreprise et des actions mises en place pour l'améliorer ? Je considère que nous sommes bien lotis au CSTB, avec des personnes investies côté direction et syndicats, ou au quotidien dans leurs métiers (technique ou encadrement) sur ces sujets d'égalité et de diversité (femmes/hommes, handicap, …). Mais nous baignons dans un monde qui a intégré comme normales ces inégalités, alors c'est avec nous-mêmes qu'il faut être vigilant : beaucoup d'entre nous ne les voient même pas ou n'identifient pas certaines situations comme relevant du sexisme ou comme étant inégales. Pour ma part, en 15 ans au CSTB, j'ai bénéficié deux fois de récupération de rémunération pour cause d'inégalité salariale. Le CSTB mène une politique volontaire et indispensable que nous pourrions encore accentuer pour que le sujet n'en soit plus un pour les générations à venir. Dans l'ensemble, je me considère comme chanceuse : j'évolue dans un milieu bienveillant, avec des collègues et une hiérarchie qui m'accordent leur confiance et qui me permettent de m'engager sur des sujets et des missions qui font sens pour moi. Au CSTB, la part des femmes se renforce à tous les niveaux de l'organisation, et notamment dans l'encadrement. A vos yeux, en quoi est-ce une avancée majeure ? Les choses évoluent effectivement dans le bon sens au CSTB, car les femmes représentent près de 42% des effectifs, mais trop d'inégalités subsistent encore dans le monde du travail de manière générale. Pourquoi, en 2022, des inégalités salariales entre hommes et femmes persisteraient-elles encore ? Pourquoi est-il encore compliqué de féminiser ou de masculiniser certains noms de métiers, comme rapporteuse, cheffe, directrice ou assistant, alors qu'il est naturel de dire directeur ou assistante ? Pourquoi confond-on encore universel et masculin quand on s'adresse à des groupes composés de femmes et d'hommes ? Le sexisme n'est pas toujours agressif, mais il est enfermant pour tous et toutes. Certains confondent parfois encore paternalisme, mansplaining, galanterie ou bienveillance. On a souvent tenu à m'expliquer des sujets, comme l'ACV, que je maîtrisais déjà parfaitement… Mais le sexisme est bien un fait collectif, hommes et femmes en sont co-responsables ! Quelle femme vous inspire le plus et pourquoi ? Difficile de n'en choisir qu'une seule ! Catherine Destivelle, alpiniste française qui a reçu un Piolet d'Or pour sa carrière, son engagement, son courage et son endurance. Marie Marvingt, car je suis restée bouché bée le jour où j'ai découvert son palmarès sportif. La psychologue et psychanalyste Cynthia Fleury pour son érudition et sa capacité à formuler clairement et sans ambages une pensée construite. Dans un cercle professionnel plus proche, j'ai beaucoup de respect pour Dany Escudié, chercheure au CNRS, spécialiste de thermique et d'énergétique, et présidente du conseil scientifique du CSTB. C'est une femme droite et exigeante qui a cœur de nous faire progresser collectivement.
Il y a 3 ans et 69 jours

L'année 2022 sera "cruciale et stratégique" pour l'artisanat

CONJONCTURE. Les entreprises artisanales ont assurément su faire preuve d'adaptation depuis le déclenchement de la crise Covid : des restrictions sanitaires aux difficultés d'approvisionnement et à l'inflation engendrées par la reprise mondiale, elles ont dû repenser leur modèle économique. Le réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat, qui vient de présenter ses propositions dans le cadre de la campagne présidentielle, considère à ce titre l'année 2022 comme un tournant dans la stratégie des entrepreneurs.
Il y a 3 ans et 69 jours

Extension bois sur terrain enclavé

Une extension en bois de 50m2 magnifie cette maison rochelaise des années 1950. L'acier, le verre et le bois définissent le projet architectural. L'autre prouesse technique réside dans sa construction : le nouveau bâtiment s'est glissé sur un terrain de ville très enclavé... Visite.
GDA
Il y a 3 ans et 69 jours

Le Guide de préconisations de sécurité sanitaire de l’OPPBTP ne s’appliquera plus à partir du 14 mars prochain

Par conséquent, le guide de préconisations pour assurer la sécurité sanitaire sur les chantiers du BTP ne s’appliquera plus. L’OPPBTP appelle néanmoins les entreprises à la prudence et publiera un document de recommandations post-Covid.La fin du protocole sanitaire en entrepriseLe 8 mars dernier, la ministre du Travail Elisabeth Borne a annoncé que le protocole sanitaire en entreprise cessera de s’appliquer à partir du 14 mars prochain. Cette mesure fait suite à la décision gouvernementale de suspendre le passe vaccinal ce même et la fin du port obligatoire du masque dans les lieux fermés, à l’exception des transports publics et établissements de soins. Cette décision intervient dans un cadre de décrue importante et rapide des contaminations. En conséquence de ces mesures gouvernementales, l’application du guide de préconisations pour assurer la sécurité sanitaire sur les chantiers du BTP sera suspendue à cette date.Les règles d’hygiène toujours de miseL’OPPBTP invite toutefois les entreprises du secteur à rester prudentes et à continuer à appliquer des règles d’hygiène, comme le lavage des mains, le nettoyage des surfaces et l’aération des locaux. En effet, malgré le contexte favorable, le nombre de nouveaux cas positifs au Covid-19 demeure relativement élevé, avec une moyenne hebdomadaire d’environ 50.000 cas quotidiens au mardi 8 mars 2022.Un guide de recommandations post-Covid publié par l’OPPBTPL’OPPBTP publiera d’ici peu un document de recommandations post-covid. Il ciblera les entreprises, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrages et salariés avec des messages axés sur les enseignements bénéfiques du Covid sur l’hygiène. Ce document insistera sur la poursuite des gestes développés par les acteurs du secteur pendant la pandémie : accès aux points d’eau, nettoyage des base-vie, port du masque en cas de risque de contagion, maintien d’un stock de matériel de protection sanitaire en cas de reprise de l’épidémie…En outre, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP restent disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. La base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est toujours à disposition sur le site PréventionBTP.« C’est avec un plaisir non dissimulé que l’OPPBTP annonce la suspension de l’application du guide Covid, en lieu et place d’une énième version ! Ceci est pour partie le fruit de la mobilisation des entreprises et des salariés du BTP pour faire obstacle à l’épidémie, réunis autour du guide de l’OPPBTP qui a posé un cadre d’action commun. Tout en savourant notre joie, restons prudents et prévoyants, gardons les bonnes habitudes d’hygiène acquises durant la crise, soyons attentifs à toujours conjuguer prévention et performance ! », se félicite Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP.
Il y a 3 ans et 69 jours

Le guide de préconisations de sécurité sanitaire mis à jour par l'OPPBTP

Ce 2 mars 2022, l'OPPBTP a publié une nouvelle mise à jour pour tenir compte des évolutions du protocole sanitaire en entreprise applicables depuis le 28 février.
Il y a 3 ans et 69 jours

Immobilier Européen : quelles stratégies pour les investisseurs ?

L’immobilier européen va-t-il changer de visage en ce premier trimestre 2022 ? Le succès des campagnes de vaccination et les mesures de soutien à l’économie ont amorti les effets de la crise sanitaire et même permis au marché immobilier d’afficher jusqu’ici une certaine résilience. Mais si les mesures gouvernementales européennes (chômage partiel, soutien aux secteurs les plus exposés, etc.) ont favorisé un retour rapide aux niveaux de PIB d’avant crise tout en limitant les destructions d’emplois, les politiques monétaires accommodantes, les ruptures dans la chaîne d’approvisionnement mondiale (notamment s'agissant des matières premières, de l’énergie et des semi-conducteurs) et une pénurie de main d'œuvre dans certains secteurs ont eu pour conséquence une résurgence de l’inflation. Dans ce contexte, certaines banques centrales sont tentées d’ajuster leurs politiques monétaires, ce qui pourrait impacter les taux à long-terme et avoir des conséquences sur les rendements immobiliers. À cela s’ajoute la situation internationale avec le conflit russo-ukrainien, source additionnelle d’incertitudes.Certains investisseurs adaptent leurs stratégies d’investissement en immobilier. En particulier, une partie des capitaux réorientée vers les actifs logistiques et résidentiels. Ce phénomène s’explique à la fois par des facteurs conjoncturels mais surtout par des tendances structurelles. Si l’on s’intéresse au secteur de la logistique, les ruptures de certaines chaînes d’approvisionnement ont conduit les acteurs à modifier leur gestion autrefois en flux tendus et donc à revoir leurs capacités de stockage. En parallèle, la progression du E-commerce génère des besoins additionnels importants, tant en logistique classique qu’en logistique urbaine dite du dernier kilomètre. Ceci explique que les 8 principaux marchés en Europe devraient connaître un nouveau record de demande placée en 2022 après deux années déjà très robustes. Une telle dynamique induit des perspectives de croissance des loyers, attirant les investisseurs à la recherche de rendements futurs.Côté résidentiel, c’est avant tout la croissance régulière des revenus alliée à des rendements désormais proches de l’immobilier tertiaire qui séduisent nombre d’acteurs. En effet, les loyers européens devraient croître de 2,6% par an en moyenne, jusqu’en 2026, soit plus rapidement que l’inflation. Ces prévisions visent essentiellement les actifs neufs, non concernés par l'encadrement des loyers. Il est toutefois à noter que la croissance locative dans les métropoles d’Europe du sud devrait être plus faible du fait d’une démographie moins dynamique.Concernant l’immobilier de bureau, la généralisation et l’intensification du recours au télétravail a réduit la visibilité des entreprises quant à leurs besoins futurs et a été un facteur d’attentisme depuis 24 mois. Pour autant, l’allègement des contraintes liées à la pandémie a confirmé le souhait des salariés d’un retour à une activité en présentiel à raison de 3 jours par semaine en moyenne. Conjugués à une dé-densification prévisible des espaces, les besoins en surfaces de bureaux ne devraient se réduire que d’environ 5% à 10% sur les 6 prochaines années alors que dans le même temps, le parc de bureaux devrait connaître une croissance modérée de l’ordre de 1% par an sur 5 ans. La conjonction de ces facteurs devrait limiter l’impact sur les vacances futures et ne pas induire une baisse généralisée des loyers. Par ailleurs, un certain rééquilibrage concernant les commerces pourrait se faire jour. Les confinements successifs, qui ont touché de plein fouet les enseignes, les poussant à rationaliser leurs implantations, ont entraîné une baisse significative des loyers prime tant pour les pieds d’immeuble (-16%) que pour les centres commerciaux (-20%). Cette adaptation structurelle du secteur rend les taux d’efforts plus soutenables et permet donc d’envisager à terme une stabilisation voire une progression de certaines valeurs locatives, une fois les contraintes sanitaires levées et la santé financière des locataires restaurée.Si on prend également en compte le réajustement des taux de rendement des actifs commerce intervenu ces dernières années, on comprend alors que les centres commerciaux prime affichent les meilleures perspectives de rendement global (7,4% par an) sur les cinq prochaines années grâce à la compression attendue des taux prime.On ne saurait évidemment conclure sans mentionner l’élément qui va transformer en profondeur notre industrie, toutes classes d’actifs confondues, à savoir la nécessité d’adapter notre parc immobilier aux exigences environnementales. Intégrer les risques climatiques dans nos stratégies d’investissement et de gestion afin de préserver durablement la valeur des actifs nécessitera des investissements importants qui devront être inclus dans les performances attendues et/ou exigées par les investisseurs. Cet ajustement des rendements aux risques climatiques, s’il paraît incontournable, ne semble pas pour autant réduire l’attractivité des marchés immobiliers. Comme en témoignent les volumes investis en 2021, l’appétit des investisseurs pour l’immobilier, qui offre résilience et protection contre l’inflation, ne semble pas encore sur le point de se tarir. Par Rob Wilkinson, CEO Europe de AEW
Il y a 3 ans et 69 jours

Tarkett et le design En Bande Organisée

En 2019, Tarkett, fabricant de revêtements de sol, faisait sensation à la Milan Design Week avec ...More about Cet article Tarkett et le design En Bande Organisée est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 69 jours

En tertiaire, pas de purificateur d’air sans ventilation, ni maintenance

Uniclima publie un guide sur les différentes technologies d’épuration d’air qui met en avant la nécessité d’une ventilation, que l’épuration d’air ne remplace pas, et d’une maintenance attentive
Il y a 3 ans et 69 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une mobilisation internationale sans précédent sur le thème de la construction bas carbone

Parallèlement, le Mondial du Bâtiment déploie un programme spécial pour faire venir le top 100 des cabinets d’architecture européens et africains spécialistes de la construction bas carbone.Low Carbon Construction Tour by BATIMAT, INTERCLIMA, IDEOBAINDepuis quelques années, le secteur de la construction innove pour proposer de nouveaux modes de construction en vue d’une décarbonation des bâtiments, un pré-requis pour atteindre la neutralité carbone dans de nombreux pays.Observatoire du secteur et de ses évolutions, les salons du Mondial du Bâtiment entendent être les porte-parole engagés dans les enjeux de la construction bas carbone. Objectif : valoriser des solutions, mettre en avant des exemples de projets portés par différents pays et croiser les bonnes pratiques.Première étape : aller à la rencontre des acteurs locaux grâce à l’organisation du Low Carbon Construction Tour by BATIMAT, INTERCLIMA, IDÉOBAIN. Celui-ci prévoit d’organiser, dans 12 pays (voir programme ci-après), une série de conférences et de moments d’échanges avec des experts locaux pour partager leurs visions globales et locales, et valoriser les solutions qui seront présentes sur les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, du 3 au 6 octobre prochain à Paris.Deuxième étape : accueillir les visiteurs internationaux en les accompagnant à la découverte des solutions contribuant à la neutralité carbone des bâtiments qui seront présentées dans les différents salons. Un espace d’échange sera également proposé en présence des experts rencontrés lors du Low Carbon Construction Tour by BATIMAT, INTERCLIMA, IDÉOBAIN,Autres temps forts proposés exclusivement sur BATIMAT :une conférence internationale sera organisée sur le thème de la construction bas carbone,un colloque international de la construction hors-site sur le thème « Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone »,un programme de conférences organisé par l’École des Ponts, prévoyant 27 sessions en présence de 27 conférenciers internationaux et retransmises en digitale.Le programme de tournée du Low Carbon Construction Tour by BATIMAT, INTERCLIMA, IDEOBAIN (sous réserve de modifications)DateVille – Pays26/04 au 28/04Madrid – Espagne05/05Milan – Italie11/05 au 12/05Abidjan – Côte d’Ivoire17/05Tunis – Tunisie19/05Lisbonne – Portugal24/05 au 25/05Yaoundé – Cameroun31/05Dakar – Sénégal07/06Casablanca – Maroc14/06 Munich – Allemagne21/06 Londres – UK28/06 Bruxelles - Belgique18/07 Istanbul – TurquieQuelques noms des experts identifiés : Elaine Toogood, Head of Architecture at the Concrete Center (Royaume-Uni), Alberto Boriani, CEO Isnova (Italie), Ignasi Pérez Arnal, Directeur Rebuild (Espagne), Ibtissem Bouattay, Membre de l’alliance Global ABC-UNEP (Tunisie).Le top 100 des cabinets d’architecture internationaux engagés dans le bas carbone présent à Paris du 3 au 6 octobre 2022Les salons du Mondial du Bâtiment ont pour objectif d’attirer du 3 au 6 octobre 2022, à Paris au Parc des Expositions de la Porte de Versailles, le top 100 des cabinets d’architecture européens et africains spécialistes de la construction bas carbone.Un programme privilégié de plusieurs jours sera proposé pour leur permettre de participer au programme de conférences, rencontrer les grands décideurs, visiter des chantiers et des bâtiments exemplaires. Ce dispositif sera déployé dans plusieurs pays et sera financé par le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, dans le cadre du plan Destination France, de PROMOSALONS et de RX France. Ils seront accueillis dans le cadre du Club International dédié aux délégations internationales situé dans le Pavillon 6.
Il y a 3 ans et 69 jours

Xella optimise ses procédés de fabrication

Pour limiter son bilan carbone et développer une production plus respectueuse de l’environnement, le spécialiste de la production de béton cellulaire et de pierre silico-cellulaire a investi 1,1 M€ sur son site de production de Saint-Savin
Il y a 3 ans et 69 jours

Pour ses 150 ans, Beissier présente un nouveau logo et de nouvelles ambitions

INDUSTRIEL. La société spécialisée dans la production d'enduits du peintre fête son anniversaire cette année. L'occasion de réaffirmer des ambitions, lancer un nouveau produit et changer son logo.
Il y a 3 ans et 69 jours

2021, année record pour Eiffage

INFOGRAPHIE. L'activité du groupe Eiffage a dépassé les attentes de ses dirigeants sur l'exercice 2021, plusieurs indicateurs se hissant même à des niveaux jamais connus. Après leur analyse, retrouvez l'essentiel des résultats dans un tableau de bord Batiactu.
Il y a 3 ans et 69 jours

Modénatures de façade sur mesure, sur ITE, pour une reconstruction à l'identique

La grande maison du 5 rue de l'Abbé Lemire, à Strasbourg, a connu une période tourmentée et a bien failli disparaître. Construite à la fin du XIX siècle, elle fut autrefois une école puis accueillit jusqu'en juin 2008 un service municipal d'accueil pour la petite enfance. Elle reste ensuite inoccupée quelques années avant qu'un nouveau projet voie le jour en 2013. Il s'agit d'intégrer ce bâtiment au centre d'hébergement et de réinsertion sociale de l'association Home Protestant, nouvellement construit juste à côté. L'opération est menée par le bailleur social Domial avec l'agence S&AA Patrick Schweitzer & Associés Architectes qui obtient un permis de construire pour réaménager la bâtisse en quatre logements et une micro-crèche.Démolir et reconstruireMais au moment de démarrer les travaux, le bâtiment s'avère infesté par la mérule. Ce champignon a dévoré une grande partie du bois de la structure et la démolition s'impose. La mairie exige que la maison soit reconstruite avec un rendu esthétique identique. L'agence S&AA obtient en 2016 un nouveau permis de construire pour un bâtiment neuf qui respecte cette exigence, à l'exception de quelques nouvelles fenêtres créées en pignons et l'ajout d'un volume à l'arrière pour abriter l'escalier. Le projet reproduit notamment l'ornementation de la façade sur rue. Les chaînages d'angles, les encadrements de fenêtres et les décors des allèges du premier étage sont reproduits fidèlement et la niche de la façade avant est toujours là, même si elle a perdu sa profondeur. Isolation par l'extérieur, enduit taloché et étiquette B à la clé Le bâtiment est construit en béton et enveloppé d'un système d'isolation thermique par l'extérieur (ITE) afin de répondre aux attentes de la réglementation RT 2012. Il obtiendra une étiquette énergétique B (consommation de 51 à 90 kWh d'énergie primaire par m2 et par an).Les travaux de façade sont confiés à la société Les Peintures Réunies qui travaille régulièrement avec les produits Sto. L'entreprise propose le système d'ITE StoTherm Vario 1 avec un enduit de finition organique Stolit K 1.5. Les panneaux de polystyrène expansé de 20 cm d'épaisseur sont collés sur le support en béton puis revêtus d'un sous-enduit mince StoLevell Uni armé d'un treillis en fibre de verre. La finition est assurée par l'application de l'enduit organique à base de résine acrylique Stolit K, d'aspect taloché. Sa teinte blanc cassé est la même que celle du bâtiment d'origine. L'architecte Patrick Schweitzer est satisfait : « Puisque l'exigence était de reconstruire le bâtiment à l'identique, nous devions choisir un enduit de finition lisse qui ressemble à l'enduit à la chaux de l'ancien bâtiment démoli. Le Stolit K1.5 remplit parfaitement cette mission ».Des modénatures fidèlement reproduitesLes modénatures de la façade ont été étudiées en amont du projet. Le service prescription de Sto prend très tôt contact avec le maître d'œuvre puis l'entreprise pour proposer de réaliser l'ensemble des éléments décoratifs avec les produits StoDeco. Fabriqués sur mesure dans un matériau minéral imputrescible et ininflammable à base de perlite expansée, le Vérolith, ces profils présentent une meilleure tenue dans le temps que les éléments en polystyrène revêtu de résine. Avec l'aide d'un géomètre, l'entreprise a au préalable réalisé des relevés et des moulages des décors d'origine. Puis, Sto l'accompagne dans le chiffrage de ces travaux peu courants. Après vérification des cotes sur le bâtiment construit, les modénatures sont fabriquées sur mesure et un technicien d'application assiste l'entreprise au démarrage de leur mise en œuvre. « Le chantier s'est ainsi très bien passé, souligne Patrick Schweitzer. Aucune reprise n'a été nécessaire ». Pour sa part, Barbara Boch, chargée d'opérations à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage de Domial, attendait une solution qui dure dans le temps : « Nous avons fait confiance à l'entreprise pour le choix des encadrements de fenêtres et des modénatures rapportées sur les façades. Il nous semble que les éléments StoDeco répondent à notre exigence de durabilité ».Profils collésLes profils sont collés sur la façade à l'aide du mortier-colle StoDeco Coll à base de liant hydraulique amélioré de résines synthétiques présenté sous forme de poudre à diluer.Ces éléments décoratifs ne restent pas à l'état brut. Ils sont recouverts de deux couches d'Irtop S V Mat, un revêtement souple d'imperméabilité. « Sa teinte a été choisie un peu plus soutenue que celle de l'enduit de façade afin de mieux souligner les motifs décoratifs », précise l'architecte.En juillet 2020, Domial a remis les clés du bâtiment terminé à l'association Home Protestant qui y accueille désormais des femmes isolées en grandes difficultés.Fiche technique Type de bâtiment : immeuble neuf à vocation mixte logements et crèche Localisation : 5 rue de l'Abbé Lemire, 67200 Strasbourg Surface de façade traitée : 300 m2 Maître d'ouvrage : Domial Maître d'œuvre : S&AA Patrick Schweitzer & Associés Architectes Entreprise applicatrice : Les Peintures Réunies Date de livraison : juillet 2020 Solutions utilisées : Système d'ITE StoTherm Vario 1 finition Stolit K1.5, modénatures et encadrements de fenêtres StoDeco
Il y a 3 ans et 69 jours

Lafarge, toujours plus pour moins de carbone

Le cimentier a présenté jeudi 10 mars les investissements et les innovations sur lesquels il compte s'appuyer pour accélérer sa transformation bas carbone.
Il y a 3 ans et 69 jours

Traxxeo lève 3 millions d’euros et propulse sa plateforme de gestion des ressources

L’objectif de Traxxeo est d’aider les gestionnaires dans le suivi de leurs ressources en permettant une visibilité en temps réel de l’activité et en optimisant les plannings grâce aux meilleures technologies (apps mobiles, objets connectés et intelligence artificielle).Après une année 2021 placée sous le signe de l’accélération, Traxxeo a de l’ambition pour 2022. L’éditeur belge compte aujourd’hui parmi ses références des acteurs majeurs tels que Sendin, Fontanel, Cougnaud, Eiffage, Veolia et Equans mais également de nombreuses entreprises de taille moyenne (à partir de 50 salariés) et ambitionne de se développer fortement sur ce segment.La digitalisation, enjeu majeur de productivitéLa digitalisation fait le lien entre le chantier et les bureaux, et connecte les ressources humaines et matérielles afin d’en optimiser les performances, avec des gains de productivité de 5 à 10% sur le terrain et de 10 à 20% pour le siège central. Un des premiers freins à cette productivité dans le BTP est la fiabilité des données en provenance du terrain, encore trop souvent collectées à l'aide des supports dépassés (papier, Excel...) qui imposent des ressaisies chronophages et prônes aux erreurs.Structurer et enrichir la collecte des données permet en outre des analyses plus fines, tout en fournissant à tous une source unique d’information.Au final, c’est toute l’entreprise qui gagne en réactivité, grâce au raccourcissement des délais entre la collecte, le reporting et l’analyse des données :Les directions et équipes financières disposent d’une remontée des indicateurs clés de productivité, ainsi que des dépenses en temps réel.Les gestionnaires de projets gagnent du temps grâce à des outils ergonomiques et à une visibilité en temps réel sur les présences, les coûts engendrés et les exigences administratives du chantier.Les équipes de terrain gagnent en productivité et en réactivité, les outils digitaux leur permettant de communiquer rapidement les événements et anomalies rencontrées et de recevoir des réponses adaptées en temps voulu.Les sous-traitants et clients peuvent bénéficier de canaux de collaboration structurés afin d’accélérer le partage de données entre entreprises.Les départements ressources humaines gagnent en temps et en précision sur les données de présences, d’absences et de pointage et bénéficient d’une automatisation de nombreux traitements de données.Les responsables admin, QSE ou légaux bénéficient de la simplification de la gestion documentaire, du contrôle d’accès et le contrôle de présence pour obtenir une visibilité maximale et un monitoring en temps réel de la conformité des chantiers.Les gestionnaires matériels peuvent bénéficier d’une meilleure traçabilité de l’emplacement et de l’utilisation de ressources matérielles (équipement, engins, véhicules et outils), pour une gestion automatisée et une planification améliorée.Les responsables planning peuvent bénéficier d’une vue holistique sur les ressources nécessaires et disponibles permettant une allocation optimale.Une plateforme collaborativePour répondre à ce besoin de données fiables et partagées, Traxxeo a développé une suite de solutions digitales autour d’une plateforme unique, véritable outil de pilotage de l’ensemble des ressources de l’entreprise :Gestion des équipesGestion des temps et des activitésGestion des absencesPlanification des équipesGestion et partage des documents administratifs Gestion de chantierSuivi de productivité de chantierContrôle d’accèsGestion des présencesPlateforme en ligne de formation & certificationGestion de flotte et matérielGestion et suivi de matériel, avec assignation de responsabilitésGestion de flotte de véhiculesPlan d’affectationUn investissement croissant dans le collaboratifLes solutions connectées et collaboratives ont connu un engouement sans précédent ces 2 dernières années. Traxxeo a ainsi enregistré une croissance à 3 chiffres sur ses solutions collaboratives basées sur l’intelligence artificielle et les applications mobiles.Pour soutenir sa vision à long terme, son développement commercial et assurer son excellence technologique, Traxxeo annonce un renforcement de ses capacités financières de 3 millions d’euros grâce au soutien de ses partenaires historiques.
Il y a 3 ans et 69 jours

CNP Assurances rachète 2,4 milliards d'euros de logements à une filiale de la Caisse des Dépôts

La filiale de la Caisse des Dépôts (CDC), gestionnaire de plus de 525.000 logements, qualifie l'opération d'"exceptionnelle par son ampleur" et précise qu'elle a lieu "à l'issue d'un processus compétitif auquel ont participé une trentaine d'investisseurs français et étrangers".Le directeur des investissements de CNP Assurances Olivier Guigné, a de son côté affirmé aux journal Les Echos que "c'est la plus grosse opération qu'on a jamais faite en immobilier".Les 7.600 logements concernés se trouvent dans des "immeubles neufs", situés à 50% "en Ile-de-France à proximité des réseaux de transports structurants" et l'autre moitié dans les "principales métropoles françaises", détaille CDC Habitat.La transaction se fait "au bénéfice de la production de logements", d'après CDC Habitat, qui entend maintenir le rythme de production de logements "impulsé par les deux plans de relance, annoncés en 2020 et 2021, qui génèrent en moyenne plus de 20.000 livraisons de logements par an".
Il y a 3 ans et 69 jours

Equilibre des énergies craint une complexification du parcours d'aide à la rénovation

Equilibre des Energies, plate-forme qui fédère des entreprises de l'énergie, du bâtiment et de la mobilité, a indiqué ses réserves quant au décret qui encadre le dispositif Mon Accompagnateur Rénov' le 2 mars.
Il y a 3 ans et 69 jours

Une optimisation énergétique guidée par le digital à Sochaux

Engie Solutions a été choisi par la ville de Sochaux pour optimiser la consommation énergétique de 18 bâtiments communaux en août 2020.
Il y a 3 ans et 69 jours

À Paris, des tunnels transformés en parkings à vélos, par Dietmar Feichtinger

En France, l’application dès le 1er janvier 2022 de la RE2020 - d'abord dans le logement neuf, puis dans les bureaux et les équipements d'enseignement - représente, pour les architectes, un changement de paradigme. Si les principes bioclimatiques renvoient des fondamentaux vertueux, ils ne sauraient suffire. Comment penser une production architecturale […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 69 jours

Guerre en Ukraine : appel à la solidarité des géomètres-experts

L'Ordre des géomètres-experts (OGE) s'engage pour aider les confrères ukrainiens réfugiés en France à trouver un emploi.
Il y a 3 ans et 69 jours

Vendée : 196 logements seront rénovés dans le quartier des Moulins-Liot

Aux Moulins-Liot, les bâtiments A, B, C, D, E, J, K et L se refont une beauté. Les bâtiments F, G et H seront quant à eux démolis.
Il y a 3 ans et 69 jours

Un manifeste commun pour le patrimoine

Le G7 Patrimoine réunit les 7 grandes associations du patrimoine, reconnues d’utilité publique et agréées au titre de l’environnement. Poursuivant chacune un objet large, elles sont unies par une même vision du développement durable et de la valeur éducative du patrimoine. À l’occasion des élections présidentielles de 2022, elles publient un manifeste commun dont les revendications précises pourraient permettre aux différents candidats d’appréhender les principaux enjeux patrimoniaux des cinq prochaines années. Renouveler la gouvernance du patrimoine Engagement n° 1 : Une protection renforcée La protection du patrimoine recevra une reconnaissance constitutionnelle, comme en Italie. La Charte de l’Environnement, déclinée dans une loi organique du patrimoine, en sera le modèle. La priorité attachée à la protection du patrimoine sera garantie par une loi-programme. Les architectes des bâtiments de France retrouveront le pouvoir d’autorisation qui était le leur avant l’intervention de la loi ELAN. Engagement n° 2 : Une société civile mieux associée Redonner vie aux consultations de la société civile d’une manière générale, ratifier sans délai la Convention de Faro, renforcer l’indépendance des commissions départementales de la nature, des paysages et des sites prouveront la volonté réelle d’associer la société civile. Engagement n° 3 : Des droits de recours pleinement restaurés Quelle que soit la date de leur création, les associations doivent pouvoir agir en justice pour défendre le patrimoine. Ecorné par des restrictions récentes, ce droit fondamental sera restauré et renforcé par l’institution d’un référé protection du patrimoine, sur le modèle du référé-liberté. Assurer la protection effective du patrimoine Engagement n° 4 : Un moratoire national de l’éolien pendant 2 ans La transition écologique qui s’impose à tous ne peut se faire contre les populations. Répondant aux votes de nombreuses collectivités, un moratoire national de l’éolien d’une durée de deux ans sera décrété. Il permettra de refonder la transition écologique sur des bases transparentes. Nulle installation ne pourra être décidée en passant outre l’avis majoritaire des populations et de leurs élus. Sur terre, la distance minimale des installations aux habitations sera égale à 10 fois leur hauteur ; l’avis des ABF et des inspecteurs des sites s’imposera pour toute installation projetée dans un rayon de 10 kms autour d’un monument ou d’un site protégé. En mer, l’avis rendu en juin 2021 par la Commission supérieure des sites, perspectives et paysages servira de guide aux futures installations1 : ainsi, l’éolien flottant à grande distance sera privilégié. Le bilan économique des installations en projet intégrera tous les coûts ainsi que l’impact sur le bien- être des populations. Les subventions au prix d’achat du kWh éolien seront supprimées pour toutes les installations. Le contentieux éolien sera désormais soumis aux règles de droit commun. Engagement n° 5 : La reconnaissance de la valeur du patrimoine de proximité Insuffisamment reconnu en dépit de sa richesse, le patrimoine de proximité sera inventorié, en vue d’être labellisé puis protégé autant que de besoin. Les communes et les intercommunalités auront l’obligation de le répertorier dans les documents d’urbanisme (PLU et PLUI). En matière de logement, le réemploi et la restauration de ce patrimoine seront privilégiés. Engagement n° 6 : Priorité à l’éducation et à la formation L’éducation au patrimoine bâti et paysager dans chaque école donnera une leçon d’histoire concrète et favorisera l’insertion de la jeunesse ainsi que la citoyenneté. Dans les programmes scolaires, les actions d’éducation au patrimoine seront systématisées. Dans les classes primaires, une demi-journée par mois sera consacrée à découvrir le patrimoine de proximité. Les collaborations entre culture et éducation seront renforcées. 10 % des lycées professionnels, à comparer à 3 % actuellement, proposeront une formation à la restauration du bâti ancien. Protéger le patrimoine dans la durée Engagement n° 7 : Stabiliser les moyens budgétaires sur le temps long Entretenir régulièrement le patrimoine est la meilleure manière de le préserver : les bonnes dépenses d’entretien éviteront demain de coûteux sauvetages. L’entretien sera une priorité durable au sein d’une enveloppe budgétaire globale, consolidée au niveau actuel. La part du patrimoine monumental privé dans les crédits de restauration sera portée à 20 %. Pérennisé, le Loto du Patrimoine privilégiera le patrimoine rural. L’assistance à maîtrise d’ouvrage sera généralisée. Engagement n° 8 : Accompagner la transition énergétique du patrimoine ancien Plus vite encore que les ravages du temps, une rénovation thermique inadaptée peut saper le patrimoine ancien. Respecter les matériaux anciens, former les accompagnateurs rénovation au bâti ancien, doter les DRAC de référents transition énergétique, mobiliser des moyens dédiés éviteront cette erreur en servant pleinement la cause du développement durable. Engagement n°9 : Conforter le modèle économique du patrimoine protégé Une révision des valeurs locatives, aux effets mal évalués, pourrait ruiner les efforts d’une fiscalité des monuments historiques qui a fait ses preuves par sa pérennité : les taux esquissés pour 2026, déconnectés de la réalité économique, devront être abaissés. La protection du patrimoine mobilier sera mieux assurée tandis que la notion d’ouverture au public s’adaptera aux pratiques actuelles. De nouvelles incitations faciliteront la transmission et la sauvegarde des monuments historiques.     Les associations qui composent le G7 Patrimoine : La Demeure Historique. Association nationale fondée en 1924, reconnue d’utilité publique en 1965. Comptant 3 000 adhérents, propriétaires gestionnaires, elle se consacre à la sauvegarde du patrimoine historique privé. Les 3 000 monuments et jardins protégés qu’elle accompagne et conseille accueillent chaque année 9 millions de visiteurs. Maisons paysannes de France. Association nationale créée en 1965, reconnue d’utilité publique en 1985. Comptant 7 000 adhérents, elle œuvre à la préservation du patrimoine culturel rural et des paysages ruraux en accompagnant, par le partage de son savoir-faire, la restauration du bâti ancien13 non protégé. Son centre de formation au bâti ancien, certifié qualiopi, propose un programme adaptable à la demande des acteurs du patrimoine. Patrimoine-Environnement. Fédération nationale née en 2013 de la fusion de la Ligue urbaine et rurale (1928) et de la FNASSEM (1967). Reconnue d’utilité publique en 201314 et agréée pour la protection de l’environnement. Regroupant 200 associations et 600 membres, elle représente 40 000 adhérents indirects (hors membres du G7). Elle se consacre à la défense juridique du patrimoine et à la sauvegarde du patrimoine de proximité. Sauvegarde de l’Art français. Née en 1921 sous forme d’association nationale, reconnue d’utilité publique en 1925 et transformée en fondation en 2019, elle se consacre à la sauvegarde du patrimoine religieux (églises et chapelles rurales notamment) ainsi qu’à la restauration des œuvres d’art du patrimoine français. Sites & Monuments (SPPEF). Association nationale créée en 1901, reconnue d’utilité publique en 1936 et agréée pour la protection de l’environnement. Elle mène devant les tribunaux, les enceintes politiques et médiatiques le combat pour la préservation du patrimoine naturel, bâti et mobilier. Union Rempart. Union nationale d’associations locales et régionales. Créée en 1966, reconnue d’utilité publique en 1982. Réunissant près de 200 associations, 10 000 citoyens engagés, 4 000 bénévoles et 20 000 jeunes scolaires, elle promeut la sauvegarde et la transmission du patrimoine par l’éducation populaire. VMF Patrimoine (Vieilles Maisons Françaises). Association nationale fondée en 1958, reconnue d’utilité publique en 1961. Comptant 17 000 adhérents propriétaires ou passionnés, elle se mobilise pour faire connaître, sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine bâti et paysager.
Il y a 3 ans et 69 jours

Le “4/5/10”, la solution d'Isover pour répondre aux exigences de la RE 2020

La solution ISOVERUn renforcement de l’isolation de l’enveloppe des bâtiments de 20 %, sans aucune perte de surface habitable grâce à l’association de la triple résistance thermique “4/5/10”.Cette préconisation donne la priorité à la sobriété énergétique des nouvelles constructions, tout en garantissant le confort des habitants été comme hiver !Une réponse aux exigences en matière de performances énergétiquesL’association de la triple résistance thermique “4/5/10” de l’isolation aide à bâtir des logements à faible empreinte carbone, ainsi que des maisons passives qui dépensent très peu d’énergie.Une réponse aux exigences sur le cycle de vie du bâtiment depuis sa construction jusqu’à sa destructionProduit éco-conçu et recyclable à 100 % et à l’infini, la laine de verre ISOVER est fabriquée en France à partir de matières minérales entre 40 % et 80 % de verre recyclé (calcin). Chaque étape de son cycle de vie est optimisée pour avoir un impact le plus faible possible sur l’environnement. Sont pris en considération : la consommation d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la consommation d’eau, la génération de déchets, l’intégration de laines de verre usagées dans le process de recyclage pour en refaire du calcin réinjecté ensuite dans le process de production. Les produits et systèmes ISOVER bénéficient de FDES, permettant un calcul aisé des impacts carbone via une ACV dynamique du bâtiment, nouveauté demandée dans le cadre de la RE 2020.Concernant l’isolation en fibre de bois, Isonat fabrique ses matériaux à partir du bois de résineux issus de la région forestière des plaines de la Loire, dans un rayon maximal de 60 km autour de son usine de Mably (42).Une réponse aux exigences en matière de confort thermique été comme hiver, sans perdre de surface habitableLa RE 2020 vise à améliorer le confort de vie des occupants. Le système “4/5/10” préconisé par ISOVER participe activement au renforcement de l’isolation thermique et phonique de l’enveloppe des bâtiments. Les panneaux en laine de verre de type GR 30 permettent, à performance thermique équivalente, de regagner de la surface habitable.Partenaire expert, ISOVER s’engage à accompagner les acteurs de la constructionISOVER, engagé dans la réduction de l'empreinte environnementale des bâtiments et l’habitat durable, accompagne les professionnels du bâtiment, maîtres d’ouvrage, constructeurs et bureaux d’études thermiques avec une offre évolutive et des formations adaptées. Son objectif : les aider à répondre aux exigences de réduction de l’impact environnemental de la construction, dont les conditions pour les bâtiments neufs seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.
Il y a 3 ans et 69 jours

En Charente, incroyable découverte d’une vaste grotte sépulcrale

La découverte fortuite d’un réseau souterrain menant à une impressionnante cavité occupée à l’âge du Bronze (2 200/800 av. J.C.), révèle l’existence d’une des plus vastes grottes sépulcrales connues à ce jour en France. Cumulant plus d’un kilomètre linéaire de galeries sous presque vingt mètres de profondeur, cette découverte baptisée « Réseau de la Licorne » par ses inventeurs revêt un caractère exceptionnel tant par sa richesse archéologique que par son état de conservation (traces de pas ; nombreuses céramiques dont plusieurs dizaines intactes : bols, vases, pots, assiettes… ; restes humains et animaux…). Il présente un potentiel scientifique remarquable, encore à déterminer mais probablement sous-estimé à ce jour, pour la documentation et la connaissance des traditions funéraires de l’âge du Bronze. La très grande dimension du site de la Licorne et sa fréquentation durant plus d’un millénaire suggèrent un contexte archéologique complexe dont l’étude représente, pour les années à venir, un défi scientifique. Découverte en février 2021 par des spéléologues, lors de travaux de voirie sur la commune déléguée de Saint-Projet-Saint-Constant (La Rochefoucauld-en-Angoumois) en Charente, une première expertise est diligentée début avril 2021 par le Service régional de l’Archéologie (SRA) de la Drac de Nouvelle-Aquitaine. Une fois authentifiée, cette découverte est baptisée « Réseau de la Licorne » par les membres de l’Association de recherches spéléologiques de La Rochefoucauld (ARS-LR), ses découvreurs. Les premières constatations confirment l’importance de la découverte et sa très probable datation à l’âge du Bronze. Une seconde expertise réunissant des protohistoriens s’est déroulée en juin 2021 pour documenter l’impressionnant contenu archéologique découvert et confirmer sa datation. L’implication et l’expertise des services de l’Etat dans la conservation de ce patrimoine archéologique, en lien avec les acteurs concernés, ont joué un rôle primordial. La priorité pour le ministère de la Culture est de préserver ce site exceptionnel, d’une très grande fragilité. Cela suppose de comprendre les conditions environnementales qui ont permis la conservation de ce site vieux de 3 à 4 millénaires, afin d’être capables de les maintenir. Photo : J. Primault – Drac Nouvelle-Aquitaine  
Il y a 3 ans et 69 jours

Web ateliers du patrimoine

Les web ateliers gratuits de Patrimoine-Environnement sont animés par la juriste de Patrimoine-Environnement. Ils sont proposés toutes les 3 semaines, pendant 1h30, en présence d’un intervenant spécialiste d’un sujet (juristes, professionnels, élus, associatifs…) qui répond aux questions. L’adhésion à la Fédération Patrimoine-Environnement permet d’aller plus loin en accédant aux replays de tous les ateliers passés, plus de 15h de formations aux thématiques variées : communiquer en temps de crise, comment faire un recours, fonctionnement d’une association, le rôle de l’ABF, tout savoir sur les Monuments historiques… http://www.patrimoine-environnement.fr/web-ateliers/
Il y a 3 ans et 69 jours

Un livre pour célébrer les 100 ans de l’école d’architecture de Strasbourg

Un beau livre illustré de 144 pages qui retrace l’histoire de cette école créée dans l’Alsace redevenue française, et détaille son influence sur l’architecture alsacienne et les nombreux projets et réalisations de ceux qui l’ont dirigée et fréquentée. Il est également le catalogue de l’exposition présentée à partir du 14 mars aux archives de Strasbourg. Disponible en souscription ou en librairie. L’école d’architecture de Strasbourg (1921-2021)