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Il y a 3 ans et 111 jours

100 millions d’euros supplémentaires pour le recyclage des friches

Entre 20 000 et 30 000 hectares sont aujourd’hui grignotés chaque année sur la nature et les terres agricoles dans notre pays. La loi Climat et Résilience a l’objectif Zéro Artificialisation Nette en 2050, et de réduire par deux la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2032. 650 millions d’euros du Plan de Relance ont déjà été mobilisés pour recycler les friches et le foncier artificialisé. Plébiscité par les élus locaux et les acteurs économiques, le fonds a été plus que doublé en juillet 2021. Le Premier ministre, en déplacement à Amiens aux côtés de la ministre de la Transition écologique et la ministre déléguée chargée du Logement, a décidé de redéployer 100 millions d’euros supplémentaires du Plan de Relance à destination de ce fonds friches. Ce fonds finance l’acquisition, la dépollution et la démolition de friches dans le cadre d’opérations d’aménagement urbain. Ces projets sont sélectionnés à l’issue d’appels à projets (AAP) régionaux « recyclage foncier » pilotés par les Préfets de Région, mais aussi, la reconversion de friches polluées issues d’anciens sites industriels ou miniers, dans le cadre d’appels à projets de l’ADEME. 503 projets ont déjà été sélectionnés lors de la 2ème édition de ces AAP, pour un total de 280 millions d’euros de subventions octroyées. Plusieurs exemples concrets de projets en cours de réalisation sont consultables en cliquant ici, et la carte de l’intégralité des lauréats est accessible ici. 21 nouveaux lauréats viennent d’être dévoilés au titre des projets financés par l’ADEME. Bénéficiaires de 18 millions d’euros d’aides, ces projets vont générer plus de 85 000 m² de logements dont plus d’un tiers de logements sociaux, et près de 250 000 m² de surfaces économiques dont la moitié dédiée aux activités industrielles.
Il y a 3 ans et 111 jours

Frédéric Plasseraud, de Siniat à Wienerberger

L'ancien directeur marketing de Siniat vient de rejoindre le spécialiste des solutions terre cuite.
Il y a 3 ans et 111 jours

Conformité des entreprises : naissance d'un leader européen franco-britannique

Les leaders français de la conformité d'entreprise Once For All (OFA-Marque Attestation Légale) et Actradis fusionnent avec leur homologue britannique Fortius. Ces sociétés fournissent des logiciels et des services de vérification de la conformité des fournisseurs et de gestion de la chaîne d'approvisionnement, dans les secteurs de la construction, de la gestion des installations, de l'immobilier et de l'énergie.
Il y a 3 ans et 111 jours

La plateforme France-renov.gouv.fr est en ligne

France Rénov’, le service public de la rénovation de l’habitat, est le point d’entrée unique pour tous les parcours de travaux : il oriente les particuliers tout au long de leur projet de rénovation, et assure également une mission d’accompagnement spécifique auprès des ménages aux revenus les plus modestes. Ce réseau est organisé territorialement, avec le concours des collectivités locales, et notamment des Régions, et s’articule de façon complémentaire avec les programmes locaux d’amélioration de l’habitat conduits par les collectivités territoriales. Les informations et conseils sont neutres, gratuits et personnalisés, afin de sécuriser le parcours de rénovation, faciliter la mobilisation des aides financières et mieux orienter les ménages vers les professionnels. Avec France Rénov’, les ménages disposent de plusieurs canaux pour préparer et sécuriser leur projet de rénovation : – la nouvelle plateforme web (france-renov.gouv.fr) sur laquelle ils peuvent trouver des informations utiles au sujet de la rénovation de l’habitat, un outil de simulation permettant d’identifier les aides financières disponibles pour la rénovation énergétique de son logement, ainsi qu’un annuaire des artisans qualifiés RGE ; – Un numéro de téléphone national unique (0 808 800 700) pour joindre les conseillers France Rénov’ ; – Un réseau de plus de 450 guichets uniques « Espaces Conseil France Rénov’ », répartis sur l’ensemble du territoire, pour informer et conseiller les ménages. Ce réseau, qui fusionne les anciens Espaces Conseil FAIRE et les Points rénovation information de l’Anah (PRIS), poursuivra son déploiement en partenariat avec les collectivités locales. Une campagne de communication débutera dès le 17 janvier pour mieux faire connaître ce service public aux Français. Cet article La plateforme France-renov.gouv.fr est en ligne est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 111 jours

Terreal, Bouyer Leroux et Edilians s’allient pour la valorisation des terres de chantier du métro de Toulouse

Possédant des sites à proximité immédiate du chantier, les trois sociétés unissent ainsi leurs efforts au sein d’un Groupement Momentané d’Entreprises (GME) afin de proposer l’expérimentation de la valorisation des matières excavées par intégration au processus de fabrication de matériaux en terre cuite.TISSEO-INGENIERIE, maître d’ouvrage délégué représentant le Syndicat Mixte des Transports en Commun de l’agglomération toulousaine, a lancé cette procédure collaborative en vue du lancement d’appels d’offres pour la valorisation de 2,8 millions de m3 de terres excavées des ouvrages souterrains dans le respect de la réglementation environnementale.Face aux enjeux environnementaux de ce chantier de taille, les sociétés BOUYER LEROUX, EDILIANS et TERREAL ont groupé leurs capacités d’accueil pour proposer :la valorisation de la matière par son introduction dans les matériaux de construction en terre cuite pour le gros-œuvre et la toiture, en cohérence avec la Loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (loi n° 2020-105 du 10 février 2020) ;la valorisation en remblais de carrière.La distance maximale de 10km de ces sites (tuilerie et briqueteries) à la gare de Colomiers permettra également d’assurer un bilan carbone limité en matière de transport.Pour Martin Piotte, Mandataire du Groupement : « Ancrées dans leur territoire et fortement engagés dans une démarche d’économie circulaire, nos entreprises participent à leur niveau à la conservation et la gestion responsable des ressources naturelles, notamment en se mobilisant afin de réduire l’impact de leurs activités sur les écosystèmes. »
Il y a 3 ans et 111 jours

Europan 16 : École des arts de la terre, projet lauréat à Auneuil

L'année 2021 restera une année d'interrogations sur le logement. La question a été explorée à travers plusieurs études et rapports, venus au chevet d'un habitat en crise, et ce, bien avant la tempête sanitaire. Que peut-on retenir de cette production éditoriale foisonnante émanant d'horizons divers ? Le logement, […] Lire l'article
Cimbat
Il y a 3 ans et 112 jours

A Bruyères-de-Sèvres, les réservoirs de la station sont signés Michel Rémon

L’Atelier Michel Rémon & Associés a livré en 2021 les nouveaux réservoirs de la station de Bruyères-de-Sèvres (Hauts-de-Seine). Ce nouvel ensemble bâti de 1 502 m² est inséré dans une partie de la forêt de Meudon. Communiqué.                                                 . Dans le cadre des investissements du SEDIF (Syndicat des eaux d’Ile-de-France) pour le renouvellement du patrimoine, du […] L’article A Bruyères-de-Sèvres, les réservoirs de la station sont signés Michel Rémon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 113 jours

À quoi sert le feutre géotextile installé sous une dalle en béton?

Le coulage de béton figure parmi les techniques de base en travaux de maçonnerie. Pour réaliser une construction de résistante et solide, les spécialistes du domaine ont recours au feutre géotextile. Ce matériau permet en effet une isolation optimale de la dalle en béton. Néanmoins, ce n’est pas la seule manière de l’utiliser en travaux de construction. Découvrez donc dans cet article à quoi il sert. Qu’entend-on par « feutre géotextile » ? Il s’agit d’un tissu synthétique dont la composition est principalement faite de polypropylène. Le feutre géotextile rend en effet la circulation de l’eau de pluie plus aisée. Ce matériau prévient également l’apparition des moisissures. Les maçons professionnels y ont surtout recours pour la maçonnerie extérieure. Le feutre géotextile freine en effet l’apparition des herbes. On peut en outre l’utiliser pour différents travaux d’aménagement extérieur (ex : terrassement, création d’une allée de jardins, etc.). Ce matériau est aussi privilégié pour la mise en place d’une terrasse, d’un bassin d’eau ou d’une piscine hors sol. Généralement, il dispose d’une couleur blanc-gris. Le feutre géotextile est une matière indéchirable. Pour sa découpe, il faudra se servir d’un cutter. En raison de sa résistance, ce matériau ne craint pas les chocs tels que les dégâts des pierres et des cailles. C’est pourquoi il est utilisé pour séparer différents matériaux. Quels sont les avantages de placer un feutre géotextile sous une dalle en béton ? Le feutre géotextile sous une dalle en béton est bénéfique sur différents plans. Comme il est posé entre le sol et la dalle, il renforce l’assise de l’édifice. Il peut être tissé ou non. Dans les deux cas, le film géotextile se caractérise par son imputrescibilité et sa résistance. Sa pose s’opère facilement, car il suffit de le dérouler avant de couler la dalle. Malgré cela, il est conseillé de laisser sa pose aux soins d’un maçon professionnel. En outre, le feutre géotextile joue plusieurs fonctions, à savoir : La séparation de la couche de fondation du support de construction. Les professionnels en travaux de maçonnerie s’en servent pour empêcher de mélanger les matériaux afin de préserver leurs performances ; la filtration de l’eau. Cependant, elle ne permet pas le passage des particules d’eau ; le drainage. Il permet une bonne répartition des eaux pluviales. Ce qui évite leur stagnation sur la surface de la dalle ; la protection de la structure contre le poinçonnement des géomembranes. Il prévient également l’érosion du sol. Il importe de remarquer que le feutre géotextile rend le sol plus résistant. Sous forte pression, il est capable de se déformer. De surcroit, le prix du m² de cette matière est assez abordable. Quel type de feutre géotextile choisir ? Nous avons précédemment évoqué les avantages qu’offre le feutre géotextile. Pour en bénéficier, il faut néanmoins choisir minutieusement ce matériau. En effet, le choix doit se faire en tenant compte de plusieurs facteurs. D’une part, il y a la densité du feutre géotextile. Plus son grammage est conséquent, plus il sera résistant. Comme susmentionné, il existe en deux versions (tissé ou non). Cependant, le feutre géotextile non-tissé aiguilleté est plus privilégié dans le cadre des travaux de construction. D’autre part, il est primordial de vérifier la valeur de la perforation dynamique pour les travaux dans la mesure où l’on a affaire à un sol agressif. Celle-ci est exprimée en millimètre et doit idéalement se rapprocher de zéro. En outre, il est essentiel de calculer le nombre de m² de feutre géotextile indispensable pour éviter le gaspillage de matériau. Pour terminer, les propriétés hydrauliques du géotextile ne sont pas à négliger. En l’occurrence, il s’agit de sa permittivité, de son ouverture de filtration et de sa transmissivité. Ces paramètres témoignent de sa capacité à drainer l’eau. Les avantages de l’utilisation du feutre géotextile sont multiples. Il importe toutefois de bien le choisir et de réussir son installation pour en profiter. C’est pourquoi il est conseillé de solliciter l’intervention d’un maçon professionnel.
Il y a 3 ans et 113 jours

Les puces de Montreuil à l'est de Paris auront lieu 4 jours par semaine pendant les travaux

Outre la transformation du rond-point situé au-dessus du périphérique en esplanade végétalisée, le projet porté par la mairie, pour un coût estimé à 100 millions d'euros, prévoit la construction d'une double halle à la place du parking extérieur occupé aujourd'hui trois jours par semaine par les puces.A partir de juin 2023 et pendant quatre ans, les puciers iront occuper 320 emplacements tout le long d'une avenue voisine menant à la porte de Vincennes, a indiqué Olivia Polski, l'adjointe au commerce de la maire PS Anne Hidalgo.Alors que ce marché se tient aujourd'hui du samedi au lundi, les commerçants pourront pendant la phase transitoire aussi exercer le vendredi, afin de "s'y retrouver économiquement" et que la délégation de service public (DSP) soit "équilibrée" entre les recettes des droits de place et les charges, a expliqué Mme Polski.Le redéménagement vers la halle, qui doit être livrée à l'automne 2026, est prévu pour mai ou juin 2027, selon l'adjointe socialiste qui mettra en place une commission de règlement à l'amiable (CRA), comme sur les chantiers du tramway, pour compenser sur justificatif les éventuelles pertes de recettes des commerçants.La halle, qui suscite l'inquiétude des quelque 390 commerçants, dont 250 titulaires et 140 "volants", doit permettre "de garder les commerçants et d'améliorer la présentation et l'attractivité pour le client", a affirmé à l'AFP le maire du XXe arrondissement Eric Pliez."On ne veut en faire ni un centre commercial ni un marché de luxe", a insisté le maire, qui veut que les puces, connues des amateurs de fripes et de brocante, "gardent un caractère populaire".Le projet présenté fin 2021, qui prévoyait 240 emplacements dans la halle en contrepartie d'une ouverture cinq jours sur six, sera rediscuté à partir de fin janvier, selon le président du syndicat des puciers Djamel Zidani, qui veut aboutir à un "vrai marché aux puces avec 350 emplacements".La mairie doit vendre le terrain au promoteur Nexity qui construira le lot, racheté ensuite pour 26 millions d'euros par la mairie.
Il y a 3 ans et 113 jours

A Orly, atterrissage en douceur pour la salle des fêtes de Graal

En juin 2021, l’agence parisienne Graal (Carlo Grispello et Nadine Lebeau) a livré à la ville d’Orly (Val-de-Marne), maître d’ouvrage, pour un budget de 1,2 M€ HT, une salle des fêtes de 630 m² pour trois salles modulables. Un volume capable simple, chapeauté par une toiture pliée en huit pans. Communiqué. Le territoire d’Orly, connu […] L’article A Orly, atterrissage en douceur pour la salle des fêtes de Graal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 114 jours

Castex inaugure deux nouvelles stations de métro en hommage aux femmes

"Les femmes sont à l'honneur ce (jeudi) matin. Et quelles dames! Et quelles dames!", s'est exclamé le chef du gouvernement lors d'une cérémonie à Bagneux.Barbara et Lucie Aubrac furent "des femmes extraordinaires qui, chacune à leur façon, ont profondément marqué l'Histoire de notre pays", "(unissant) des valeurs, des combats communs pour notre République", a-t-il dit."Je suis également heureux que ces deux stations contribuent à féminiser, et de quelle manière!, un réseau de transport francilien, qui (...) avait jusque-là, il faut bien le dire, plus fait de place aux grands hommes qu'à nos grandes femmes", a remarqué M. Castex. "Voilà une erreur qui commence à être réparée!"Réalisé par la RATP, à laquelle le Premier ministre a rendu hommage pour sa résilience pendant la crise sanitaire, le prolongement de la ligne 4 du métro parisien doit apporter 37.000 passagers supplémentaires tous les jours, renforçant sa deuxième place en termes de fréquentation avec 700.000 voyageurs quotidiens (avant la pandémie de Covid-19).Inauguré avec deux ans de retard, il a coûté 406 millions d'euros, apportés à 60% par la région Ile-de-France, 25,7% par l'Etat et 14,3% par le département des Hauts-de-Seine.A la frontière de Montrouge et Bagneux, la profonde station Barbara dessert le cimetière où est enterrée la chanteuse. Au terminus de Bagneux-Lucie Aubrac, un éco-quartier doit sortir de terre une fois que seront rebouchés les stigmates du double chantier du prolongement de la ligne 4 et de la construction de la ligne 15 du métro du Grand Paris annoncée pour fin 2025.Les travaux ne sont pas pour autant finis sur la ligne 4, puisque son automatisation est en cours. Les premiers métros automatiques doivent y circuler à partir de l'été 2022, avant la disparition des rames avec conducteurs fin 2023.Avant cela, le prochain prolongement du métro parisien concernera la ligne 12, jusqu'à la mairie d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), promis "avant l'été" par la RATP.Jean Castex, qui ne manque pas une occasion de clamer son amour des trains et des transports publics, a qualifié le prolongement du jour de "très, très belle pièce d'un vaste puzzle" qui se poursuivra notamment avec le métro du Grand Paris, qui doit irriguer la banlieue parisienne."Les transports collectifs, parce qu'ils sont (...) au carrefour des enjeux majeurs de transition écologique, d'aménagement du territoire, de politique industrielle et d'innovation technologique, de grands travaux publics, sont au coeur de nos politiques publiques", a-t-il affirmé.M. Castex s'était auparavant rendu à la gare de Chessy (Seine-et-Marne) avec les ministres de l'Intérieur Gérald Darmanin et des Transports Jean-Baptiste Djebbari, pour s'entretenir avec les forces de l'ordre et des agents de sécurité de la RATP et la SNCF."L'Etat a consenti des efforts significatifs" dans la police des transports, a relevé le Premier ministre devant des journalistes, notant que "rien que l'année dernière, nous avons augmenté de 170, soit +20%, les effectifs"."Sur la France entière, notre objectif est de passer de 2.000 à 4.000 les effectifs spécialisés de la police nationale affectés à la sécurité des transports, avec une priorité particulière concernant les agressions dont sont victimes les femmes", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 114 jours

Nouvelle alerte pollution aux particules fines dans les Bouches-du-Rhône et le Var

"Avec l'hiver, l'utilisation du chauffage domestique est en hausse, et depuis le début de la semaine, les conditions météorologiques anticycloniques favorisent l'accumulation de particules fines", a expliqué la préfecture du Var dans une communiqué.Les Bouches-du-Rhône et le Var, placés jeudi en procédure d'information-recommandation - soit une vigilance pour les personnes sensibles-, atteindront vendredi le niveau d'alerte de niveau 1 - soit une vigilance tout public -. "Les niveaux en particules augmentent sur l'Est des Bouches-du-Rhône et Toulon", a précisé de son côté la préfecture des Bouches-du-Rhône.Les autorités conseillent d'éviter les activités physiques ou sportives intenses (qui obligent à respirer par la bouche) et de maîtriser le chauffage dans les bâtiments.Elles appellent également à privilégier le covoiturage, les transports en commun ou les modes de déplacement non polluants.Pour les populations vulnérables ou sensibles, elles suggèrent de privilégier des sorties brèves sollicitant le moins d'effort possible, de préférence le matin ou le soir et d'éviter les déplacements sur les grands axes routiers et à leurs abords aux périodes de pointe, c'est-à-dire entre 07h00 et 10h00 et 16h00 et 19h00.
Il y a 3 ans et 114 jours

Décès du célèbre architecte espagnol Ricardo Bofill

"L'architecture est la victoire de l'homme sur l'irrationnel", aimait-il dire, porté par l'obsession de créer un "langage" architectural différent organisant l'espace autour de l'être humain.Au fil de sa carrière, Bofill est entré dans le club très fermé des "architectes-stars" dont font partie Norman Foster, Renzo Piano ou Jean Nouvel."Le +star system+ m'a attrapé en France en 1974. A cette époque, les architectes commençaient à être importants, à avoir un rôle prépondérant dans la société, et cela m'a forgé une grande réputation", affirmait-il dans un entretien publié en mai 2020 par le quotidien espagnol ABC.Anti-franquisteNé le 5 décembre 1939 à Barcelone (nord-est de l'Espagne) d'un père architecte catalan et d'une mère vénitienne, Ricardo Bofill Levi entre en 1957 à l'Ecole d'architecture de la ville, d'où il est exclu pour militantisme anti-franquiste, avant de poursuivre ses études à Genève (Suisse).De retour dans sa ville natale, dans une Espagne toujours sous la coupe du dictateur Francisco Franco (de 1936 à 1975), il fait partie avec d'autres jeunes intellectuels (architectes, ingénieurs, écrivains, cinéastes, sociologues et philosophes) d'un groupe baptisé la "Gauche divine" et crée en 1963 son atelier d'architecture, le "Ricardo Bofill Taller de Arquitectura".Cet atelier, installé dans une vieille cimenterie de la périphérie de Barcelone, avec des antennes à Paris, Montpellier (France), New York (Etats-unis), Tokyo, Chicago (Etats-Unis) ou Pékin, a signé plus de 1.000 projets dans le monde entier.Quartiers entiers en FranceOn doit notamment à l'atelier de Ricardo Bofill l'aéroport de Barcelone, le Théâtre national de Catalogne, le Palais des Congrès à Madrid ou les gratte-ciel Donnelley et Dearborn à Chicago.En France, où il est particulièrement apprécié, Bofill a signé de grands ensembles d'habitat social, comme les Espaces d'Abraxas à Noisy-le-Grand, en banlieue de Paris, où ont été tournées plusieurs scènes de "Brazil", film culte d'anticipation de Terry Gilliam (1985), ou le quartier Antigone à Montpellier (sud).Avec pour ambition de créer des utopies urbaines "dans un langage classique hautement monumental à une échelle jamais vue auparavant", écrit Douglas Murphy dans le livre "Ricardo Bofill: Visions of Architecture". Mais sur le terrain, dégradés et critiqués par certains habitants, les Espaces d'Abraxas ont bien failli être démolis."Les démolir serait un manque de culture", avait estimé Ricardo Bofill dans un entretien au quotidien français Le Monde en 2014. Tout en reconnaissant n'avoir "pas réussi à changer la ville".Fait docteur honoris causa par l'Université polytechnique de Catalogne en septembre dernier, Bofill avait alors souligné que "face au modèle de ville dortoir", il avait fait "le pari de créer des quartiers avec des fonctions mêlées, mais toujours en défendant la continuité urbaine, la rue et la place" comme lieu de vie sociale.A un moment où, aux Etats-Unis en particulier, les centre-villes disparaissaient pour laisser la place à la voiture et à des centres commerciaux.Villages touaregsObsédé par l'organisation de l'espace, Ricardo Bofill s'est inspiré notamment de l'architecte italien Andrea Palladio, de la Renaissance, ou encore des architectes français des XVIIe et XVIIIe siècles François Mansart et Claude-Nicolas Ledoux. Mais aussi de villages touaregs où ce "nomade" autoproclamé est allé chercher des idées au début de sa carrière. "Je crois savoir faire deux choses: (...) concevoir des villes (...) et tenter d'inventer des langages architectoniques différents et ne jamais les répéter", soulignait-il en juin dernier lors d'une conférence à Barcelone.Un rejet de la répétition qui lui faisait aimer Antonio Gaudí, Catalan comme lui, qu'il qualifiait de "plus grand génie de l'histoire" qui "ne répétait jamais deux éléments ou formes". Récompensé par de nombreux prix d'architecture internationaux, Ricardo Bofill était officier de l'ordre des Arts et des Lettres français.
Il y a 3 ans et 114 jours

Le taux du Livret A va augmenter, une première en plus de dix ans

Le Livret A "va passer de 0,5% à 1%", a annoncé Bruno Le Maire, invité au journal de 13H de TF1. "Pour le Livret d'épargne populaire (LEP), c'est plus qu'un doublement, il va passer de 1% à 2,2%", a continué le ministre de l'Economie.Le gouvernement a ainsi choisi de suivre les recommandations faites plus tôt dans la journée par le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, en charge du calcul de ces taux.Un taux de rémunération à 1% "serait de nature à mieux assurer la rémunération des détenteurs du Livret A, sans pour autant créer un surcoût trop important, afin de préserver le financement du logement social", une des missions de ce produit d'épargne, très apprécié des Français, a justifié le gouverneur dans un communiqué.La dernière hausse du Livret A remontait à août 2011, lorsqu'il était passé de 2 à 2,25%. Il n'a fait que stagner ou baisser depuis, pour tomber en février 2020 à 0,50%, un plancher historique."Geste symbolique"Le taux du livret A est calculé deux fois par an en faisant la moyenne entre, d'une part, le taux d'inflation moyen des six derniers mois et, d'autre part, la moyenne des taux interbancaires, auxquels les banques s'échangent de l'argent à court terme.Or l'inflation a nettement accéléré ces derniers mois, atteignant +2,8% en décembre sur un an, selon un chiffre publié vendredi par l'Insee.Avec une hausse de 1% du taux du Livret A, la rémunération nette de l'épargne est donc fortement négative (-1,8%), ce qui signifie que la valeur des dépots se déprécie.L'application mécanique de la formule "aboutirait à un taux du Livret A de 0,8%", explique encore la Banque de France, qui a choisi "au vu de l'inflation au deuxième semestre 2021" d'arrondir la hausse proposée à 1%.L'arrondi "est la seule surprise", a réagi auprès de l'AFP Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, le ministre ayant déjà annoncé en décembre que le taux serait amené à augmenter sans préciser de combien."C'est un coup de pouce à la veille de l'élection présidentielle, un petit geste symbolique", reprend M. Crevel.La rémunération annuelle totale passera par exemple cette année de 76,5 euros à 153 euros pour un titulaire disposant de 15.000 euros d'encours, a calculé le Cercle de l'épargne, si toutefois le taux venait à être maintenu au 1er août.Le LEP dopéEn dépit d'un niveau de rémunération relativement bas, le Livret A est devenu un placement refuge pour les épargnants pendant la crise sanitaire qui a vu bondir son encours.Il était à fin novembre de 343,4 milliards d'euros, selon les derniers chiffres de la Caisse des Dépôts (CDC). Au 31 décembre 2020, le nombre de Livrets A s'élevait à 55,7 millions, d'après la Banque de France.Le ministre de l'Economie a par ailleurs insisté sur l'importance du LEP, placement réservé aux personnes aux revenus modestes (au maximum 20.296 euros annuels pour une personne seule)."Nous allons demander aux banques de faire la promotion de ce livret et nous enverrons dans les prochains jours (...) un mail à tous les Français qui y ont droit", a expliqué M. Le Maire, précisant que celui-ci protègeait mieux contre l'inflation.Le LEP bénéficie d'un taux d'intérêt garanti et est exonéré d'impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux. Il est plafonné à 7.700 euros de versements (hors intérêts).
Il y a 3 ans et 114 jours

Décès de l'architecte espagnol Ricardo Bofill

HOMMAGE. L'architecte espagnol Ricardo Bofill, connu en France notamment pour la conception des espaces Abraxas à Noisy-le-Grand et le quartier Antigone à Montpellier, est mort ce vendredi, a annoncé sa famille à l'AFP.
Il y a 3 ans et 114 jours

Une grande majorité de Français considère le DPE comme un "critère important"

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Un récent sondage OpinionWay pour monexpert-renovation-energie.fr montre que de nombreux ménages ne connaissent pas les aides financières disponibles pour les aider dans leurs travaux de rénovation énergétique. 4 personnes sur 10 déclarent par ailleurs avoir froid dans leur logement.
Il y a 3 ans et 114 jours

Hitachi se sépare de près de 25% de sa filiale d'engins de chantier

CESSION. Le conglomérat industriel japonais, Hitachi, a annoncé se séparer de la moitié de ses parts dans Hitachi Construction Machinery, spécialiste des engins de chantier.
Il y a 3 ans et 114 jours

La Banque Mondiale sanctionne ADP et Bouygues pour des irrégularités sur des marchés

Aux termes d'accords avec la Banque Mondiale, certaines des sociétés concernées ne pourront pas participer à des appels d'offre financés par celle-ci jusqu'à début 2023, une affaire relevée par le journal Le Monde.Les faits reprochés remontent à 2015, quand un consortium formé par des entités d'ADP, gestionnaire des aéroports de Paris, du groupe de BTP Bouygues et de la filiale de ce dernier, Colas, négociait un contrat de rénovation et d'extension des aéroports malgaches d'Antananarivo-Ivato et Nosy Be-Fascene.Pendant l'appel d'offre de concession, finalement remporté par le consortium, les sociétés sanctionnées "ont eu des réunions inappropriées avec des responsables gouvernementaux" malgaches, a précisé la Banque Mondiale dans un communiqué.Après audit, les sociétés en cause - ADP International S.A., Bouygues Bâtiment International et Colas Madagascar S.A - ont reconnu des faits et accepté les sanctions, selon la même source.ADP International et ses filiales sont exclues pendant un an des marchés financés par l'organisation internationale, avec une année supplémentaire de mise à l'épreuve.Cette décision punit également des faits de "pratiques frauduleuses" d'ADP International lors de la négociation du contrat de concession de l'aéroport de Zagreb: selon la Banque Mondiale, des honoraires ont été "partiellement transférés à un consultant qui n'était pas sous contrat" entre juin 2011 et mars 2014.Dans le dossier malgache, Bouygues Bâtiment International a accepté une mise à l'épreuve d'un an, tandis que Colas Madagascar est exclue pendant deux ans des marchés financés par l'institution.L'avocat du consortium, Antonin Lévy, a confirmé les accords et qualifié les rencontres reprochées de "réunions techniques avec le donneur d'ordre, relatives à des aspects du projet", soit un "manquement aux règles éthiques de la Banque Mondiale, car quand on est en appel d'offres on ne doit pas parler avec le client".Me Lévy a assuré à l'AFP que "l'enquête n'a(vait) pas démontré d'impact sur le marché" et le résultat de l'appel d'offre.Contactés par l'AFP vendredi, ni le Groupe ADP, ni Bouygues n'ont souhaité faire de commentaire sur les éventuelles conséquences de cette affaire pour leurs finances.ADP, qui comme Bouygues n'a pas publié d'avertissement sur résultats, a précisé dans un communiqué avoir collaboré à l'audit et souligné que l'exclusion des marchés ne concernait qu'ADP International et pas d'autres filiales du groupe, telle la turque TAV.
GDA
Il y a 3 ans et 114 jours

Artisanat : les véhicules Mercedes-Benz désormais mieux référencés et plus accessibles

CONDITIONS DE TRAVAIL. Une convention de partenariat vient d'être signée entre la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) et le distributeur automobile Mercedes-Benz France afin de mieux référencer et de faciliter l'accès aux véhicules utilitaires légers de la marque allemande.
Il y a 3 ans et 114 jours

La ligne 4 du métro prend ses quartiers à Bagneux

EN IMAGES. Le 13 janvier 2022, un nouveau prolongement du métro parisien a été inauguré. Neuf ans après avoir franchi le périphérique, la ligne 4 poursuit en effet sa route 1,8km plus au sud, pour s'arrêter désormais à Bagneux, dans les Hauts-de-Seine.
Il y a 3 ans et 114 jours

Décès de l'architecte espagnol Ricardo Bofill

L'architecte espagnol Ricardo Bofill est décédé le 14 janvier 2022 à Barcelone à l'âge de 82 ans. Il avait fondé l'atelier d'architecture du Taller dans les années 1960, s'entourant alors de sociologues, poètes et écrivains. Ses nombreux projets réalisés dans une cinquantaine de pays […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 114 jours

Ricardo Bofill : décès d’un géant

Il aura laissé une empreinte indélébile dans l'histoire de l'architecture contemporaine : l'architecte catalan Ricardo Bofill ...More about Cet article Ricardo Bofill : décès d’un géant est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 114 jours

Worldskills : pourquoi un tel engouement auprès des jeunes du BTP ?

COMPÉTITION. Après plusieurs reports, les finales nationales de WorldSkills France ont enfin pu se tenir du 13 au 15 janvier à Lyon. Cette compétition, qui challenge des jeunes de moins de 23 ans dans la pratique de leur métier, rencontre un réel succès dans le secteur du BTP. Batiactu est allé à la rencontre des compétiteurs pour comprendre pourquoi.
Il y a 3 ans et 114 jours

Maisons et régions : le duo gagnant d'une nouvelle année record pour l'immobilier ancien

Si les très bons résultats du second semestre 2020 laissaient espérer une année 2021 plus sereine, personne ne s'attendait en revanche à un tel volume de transactions, qui signe une nouvelle année record !Le marché immobilier apparaît comme préservé de la crise, dans un contexte de reprise économique. Le chômage et les taux d'intérêt, tous deux au plus bas, participent incontestablement à cette dynamique, tout comme l'organisation des entreprises, avec la progression du télétravail. Le logement revient au centre des préoccupations des Français. La notion de résidence semi-secondaire, issue des confinements, s'est encore accentuée en 2021, notamment dans les villes moyennes et rurales, qui attirent des Français disposant d'un fort pouvoir d'achat immobilier. En région, les maisons, prises d'assaut, tirent le marché vers le haut, tandis que l'offre continue de s'assécher sur l'ensemble du territoire.La demande de logements de plus en plus pressanteLa demande continue d'accélérer pour atteindre + 18 % au national par rapport à 2020, année qui était certes entachée par les confinements, mais déjà extrêmement dynamique. Les investisseurs restent très actifs, représentant un quart des intentions d'achat. L'immobilier conserve son statut de valeur refuge grâce, notamment, à des taux d'intérêt qui se stabilisent autour de 1 %. Et ce sont les maisons qui profitent le plus de cet intérêt, avec + 19 % enregistrés sur ce type de bien en 2021 contre « seulement » + 9 % pour les appartements.Sur Paris, la demande a été clairement relancée en 2021 (+ 18 %), après une année 2020 morose. On reste néanmoins en dessous du niveau habituel. Une situation liée, en partie, à l'absence de la clientèle internationale mais aussi aux interrogations des investisseurs face à de nombreux sujets : encadrement des loyers, impacts de la loi Climat et Résilience... Avec une hausse de 14 % de la demande, l'Île-de-France confirme, cette année encore, son rôle de marché de report pour les Parisiens en quête d'espace. Il s'agit principalement de propriétaires ayant revendu leur bien et profitant de la plus-value pour trouver une maison avec jardin ou un appartement avec extérieur tout en étant désireux de rester dans le même bassin de vie.Dans les régions, les villes moyennes sont à l'évidence les grandes gagnantes de cette année 2021 sur le plan de la demande (+ 19 %). Les habitants des grandes agglomérations ont mal vécu les confinements successifs et aspirent à plus d'espace et de qualité de vie.Une offre à bout de souffleAprès 4 années historiques en volumes de transactions, qui ont contribué à assécher les stocks sur l'ensemble du territoire, l'offre affiche un nouveau recul de 15 % par rapport à 2020. Si tous les types de biens sont concernés par cette pénurie, ce sont les maisons qui sont les plus impactées, avec une diminution de 16 % des mises en vente (contre - 4 % pour les appartements). Paris fait toutefois exception, avec un marché qui s'est détendu tout au long de l'année, débouchant sur une offre qui s'est reconstituée à hauteur de 24 %. Rappelons toutefois que cette hausse ne représente dans la réalité que 2 biens supplémentaires dans le portefeuille d'une agence immobilière. En Île-de-France, deux tendances s'entrechoquent, avec d'un côté un stock d'appartements qui se reconstitue progressivement, et de l'autre une offre de maisons qui recule fortement, conduisant à un juste équilibre, soit - 1 % de variation du niveau de l'offre par rapport à 2020. C'est dans les régions que la baisse des mises en vente est la plus spectaculaire (- 23 %), après une année 2020 déjà marquée par un fort recul. Jamais les stocks n'ont été aussi bas.Globalement, cette réduction de l'offre de biens se situe au croisement de plusieurs tendances. En amont, un marché du neuf à la peine, avec l'arrêt de nombreux chantiers en 2020 et, aujourd'hui, des difficultés d'approvisionnement en matériaux. Ensuite, les propriétaires d'un logement avec de l'espace et un extérieur ont parfois renoncé à vendre pour conserver ces privilèges aujourd'hui enviés par beaucoup de Français.Une nouvelle année record en matière de transactions+ 20 % par rapport à une année 2020 affectée par les confinements et la crise sanitaire, c'est la croissance record du volume de transactions constatée en 2021 au sein du réseau Laforêt. Une hausse qui s'établit même à + 3,6 % par rapport à 2019, pourtant la meilleure année de tous les temps dans l'immobilier ancien. Les Français profitent pleinement de taux d'emprunt très faibles pour acquérir un logement plus spacieux, réaliser un investissement locatif ou s'offrir une résidence secondaire.Paris retrouve une activité positive (+ 27 %), même si capitale marque un recul par rapport à son niveau d'avant-crise (- 8 % vs 2019). Les transactions en Île-de-France progressent dans les mêmes proportions que le marché au national (+ 20 %), freinées par la réduction des stocks. Enfin, le volume de transactions en région s'établit à + 21 %, bien que l'on perçoive un léger ralentissement de cette dynamique sur le dernier trimestre 2021 en comparaison avec le deuxième semestre 2020, accentué par l'effet de rattrapage post-confinement.En région, les citadins en quête d'espace et de verdure font grimper les prix !En 2021, les prix restent orientés à la hausse (+ 6,1 % au national, à 3 394 €/m2) sauf dans la capitale qui enregistre un léger recul (- 1,4 %), mais reste au niveau d'avant-crise à 10 376 €/m2. Et c'est là encore sur les maisons que la hausse est la plus significative : + 7,9 % contre + 4,5 % pour les appartements. Malgré un léger tassement cet été, les prix restent donc sur une tendance haussière du fait d'un effet de rareté et d'une demande qui ne cesse de progresser.En région, cette croissance atteint même + 8,2 % (à 2 430 €/m2). Dans certaines villes, les prix s'envolent, comme à La Rochelle (+ 9 % sur le prix du m2), mais aussi dans les agglomérations situées à proximité de l'Île-de-France, comme Orléans (+ 7 %). La Bretagne et la Normandie sont également très prisées depuis 18 mois, enregistrant des progressions de prix dans l'immobilier ancien significatives, comme au Havre (+ 8 %) ou à Brest (+ 9 %). Dans les grandes métropoles, comme Bordeaux et Lyon, la hausse reste contenue sous la barre des 2 %. Seule Marseille fait exception : la cité phocéenne a ainsi vu le prix de son m² augmenter de 7 % en 2021.Des ventes réalisées en moins de 3 mois, partout en FranceTraduisant la très forte dynamique du marché, les délais de vente passent au national sous la barre des 80 jours (79 exactement), soit 2 semaines de moins qu'en 2020. Tout se vend, et vite, y compris dans les régions (83 jours). À titre de comparaison, il fallait compter 97 jours en moyenne en 2019 pour signer une transaction en dehors de Paris ou de l'Île-de-France. Les acquéreurs se décident rapidement et il n'est désormais plus rare de voir plusieurs offres d'achat simultanées sur un même logement.À Paris, les délais de vente se stabilisent à 77 jours. Toutefois, il faut rappeler qu'ils n'étaient que de 59 jours en 2019. Enfin, l'Île-de-France profite pleinement du report des Parisiens sur son territoire, avec des délais de vente qui accélèrent de manière significative (67 jours), soit 11 jours de moins qu'en 2019. Des chiffres qui traduisent, là encore, l'attractivité de cette région qui concentre de nombreux avantages : bassin économique, infrastructures de transport, pôles éducatifs et culturels de référence.Les marges de négociation se maintiennentAu national, l'écart entre le prix de vente et celui acté à l'achat s'élève à 4,5 % en 2021 (contre 4,4 % en 2020). On entre dans une phase de normalisation de la négociation. Au sein du réseau Laforêt, la pression a été ressentie de façon plus forte au cours du premier semestre avec des écarts de prix encore plus faibles, notamment sur les maisons. Sur Paris, cet écart s'établit à 2,90 % contre 3,10 % en 2020. Le marché a repris des couleurs et la baisse modérée des prix a encouragé les Parisiens à se montrer plus mesurés dans leurs négociations. En Île-de-France, avec un écart de 3 %, les acheteurs négocient moins qu'en 2020 (3,7 %). Enfin, en région, la négociation se réduit sensiblement par rapport à ce qu'elle était en 2020, soit 4,70 % contre 5,60 % l'an dernier.Perspectives du marché immobilier ancien en 2022 : entre menaces et opportunitésL'avenir se dessine aujourd'hui entre menaces et opportunités. À quelques mois de l'échéance, les élections présidentielles ne semblent pas inquiéter nos concitoyens. En revanche, l'inflation du coût de la vie en général, et de l'énergie en particulier, est un sujet de préoccupation. D'autant que la hausse des taux d'intérêt pourrait être envisagée comme solution pour juguler cette tendance inflationniste, même si la Banque Centrale Européenne se veut rassurante. Un tel scénario aurait un impact direct sur le nombre de ménages éligibles à l'achat et sur les enveloppes de financement allouées par les banques. Elle servirait en revanche les prix des biens, qui pourraient atterrir, voire régresser, permettant à de nouveaux acquéreurs de venir ou de revenir sur le marché.Autre menace identifiée, celle que fait peser la loi Climat et Résilience sur le parc immobilier existant. Les investisseurs pourraient en effet repenser leurs projets, anticipant les coûts élevés engendrés par l'obligation de rénover les logements énergivores à visée locative. La probable hausse de la taxe foncière ou la surtaxe d'habitation sur les résidences secondaires pourraient également impacter les décisions immobilières des Français. L'absence d'une vision de l'aménagement et du développement des territoires reste un sujet d'inquiétude pour 2022 : un débat jusqu'à maintenant totalement absent de la campagne présidentielle. Enfin, les banques, qui n'avaient jusqu'à présent que des recommandations à suivre en matière de conditions d'octroi de crédits, auront demain l'obligation de ne pas dépasser 35 % d'endettement et 25 ans de durée d'emprunt, ce qui ne sera pas sans conséquence sur les investisseurs et les ménages les plus modestes.Face à ces contraintes, 2022 laisse néanmoins apparaître de véritables opportunités. Le télétravail qui s'organise dans beaucoup d'entreprises, encourage la mobilité résidentielle et permet à de nombreux français de s'éloigner des métropoles pour accéder à des logements plus grands et à une autre qualité de vie. Par ailleurs, l'offre limitée d'immobilier neuf, à la peine depuis plusieurs années et fortement impacté par l'arrêt des chantiers en 2020, ainsi que par les difficultés d'approvisionnement en matières premières et par la flambée de leurs prix, pousse les acquéreurs vers le parc existant.La croissance économique que nous connaissons, gage de confiance, avec la France qui se situe dans le peloton de tête des pays européens en matière de reprise, devrait stimuler l'achat ou l'investissement immobilier. Le marché devrait donc poursuivre sur un rythme soutenu en 2022, la rareté de l'offre pesant encore sur les prix.
Il y a 3 ans et 114 jours

Meridiam et Nexity s'associent pour « la réhabilitation des centres-villes »

Les entreprises partenaires veulent « apporter aux collectivités des solutions concrètes à leurs enjeux de réaménagement et de modernisation des centres-villes ».
Il y a 3 ans et 114 jours

Rep bâtiment : le cahier des charges des éco-organismes "en cours de finalisation"

RECYCLAGE. Le cahier des charges pour le futur cahier des charges applicable aux éco-organismes est "en cours de finalisation", assure le ministère de la Transition écologique.
Il y a 3 ans et 114 jours

Des économistes veulent remettre les enjeux de demain au cœur de la campagne présidentielle

Jeudi, le Cercle des économistes, qui regroupe une centaine de membres, a adressé dans ce but aux prétendants à la présidence de la République 20 questions sur des sujets qu'ils estiment incontournables.Six d'entre eux ont présenté devant des journalistes leur point de vue personnel sur certaines de ces problématiques: Comment financer les énormes besoins en investissements dans la numérisation, la santé, la transition énergétique? Que faire si l'inflation se maintient durablement à niveau élevé?De quelle manière attirer plus d'immigrants qualifiés pour promouvoir l'innovation? Comment augmenter l'emploi des jeunes et des seniors?"Nous allons avoir un énorme besoin d'investissement", constate Patrick Artus, directeur de la recherche et des études chez Natixis, qui chiffre les besoins de la transition énergétique à 4,2% du produit intérieur brut (PIB), soit au moins 100 milliards d'euros par an pendant les 30 prochaines années.Mais pour moderniser notre économie, "nous ne produisons pas assez et nous importons trop", selon M. Artus, notamment en raison, selon lui, d'un taux d'emploi qui est dix points de pourcentage plus bas" que celui de l'Allemagne ou des pays d'Europe du Nord."Nous n'avons pas les moyens des investissements que nous devons faire", résume cet économiste, qui met en cause la part trop importante des retraites dans le PIB et des prix trop élevés de l'immobilier. Il demande aux candidats, au-delà du coût du financement de telle ou telle mesure, "un cadrage complet des finances publiques".Le logement est un problème pour "la jeunesse, qui a été la grande sacrifiée des deux dernières années" marquées par la pandémie, a souligné Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des économistes.Attirer les talentsNathalie Chusseau, professeure à l'université de Lille, a insisté sur la mauvaise insertion économique et sociale des jeunes qui "constitue un immense gâchis" et "représente un coût pour les finances publiques estimé à plus de 22 milliards d'euros". L'intégration sur le marché du travail des jeunes exclus permettrait d'augmenter le taux de croissance de 0,4 point de pourcentage, selon elle.Du côté des seniors, si leur taux d'emploi est en hausse, il reste toutefois "très inférieur à la moyenne européenne", regrette Mme Chusseau, en soulignant que l'employabilité dépend des compétences, donc de la formation initiale et tout au long de la vie.Des compétences que la France rechigne plus que d'autres pays à aller chercher à l'étranger, déplore Emmanuelle Auriol, professeure à l'École d'économie de Toulouse et autrice d'une récente note du Conseil d'analyse économique sur le sujet: en France, "on compte les immigrés comme on compte les morts sur la route", ce qui rend le pays moins attractif pour les étrangers qualifiés qui pourraient y créer des entreprises et y déposer des brevets, dit-elle.La capacité à innover est en effet liée à celle d'attirer des immigrés talentueux, comme l'ont montré les succès des start-up américaine Moderna ou allemande BioNTech dans la course au vaccin contre le Covid-19.Patrice Geoffron, qui dirige l'équipe énergie-climat de l'université de Paris-Dauphine, constate pour sa part "une très grande absence dans la campagne (électorale), en tout cas à ce stade", des problématiques liées à l'environnement.Pourtant, à la suite des engagements européens de réduction des émissions de gaz à effet de serre, "on a devant nous une décennie d'accélération de révolutions et sans doute d'instabilité, qui ne transparaît pas" dans les discours des candidats au-delà du débat sur la place du nucléaire, regrette-t-il.La transition écologique devrait aussi contribuer à soutenir l'inflation sur le long terme. Aussi le président du Cercle des économistes Hippolyte d'Albis appelle-t-il les candidats à se demander "ce qu'on pourrait faire si elle devenait forte et durable".La réponse dépend aussi de la nature de la hausse des prix. "Si l'inflation est portée par les produits alimentaires, elle pénalisera d'autant plus les ménages les plus modestes" qui y consacrent une plus grande partie de leur budget, alors que la hausse des prix de l'énergie "pénalisera plus la classe moyenne".
Il y a 3 ans et 114 jours

Comment construire des logements de qualité ? Regards d'architectes

PROCESS. Réunis lors d'une journée organisée par le Puca, plusieurs architectes ont pu livrer quelques ingrédients nécessaires à la production de logements de qualité. Selon le contexte, les porteurs, la commande, leurs exemples démontrent qu'il reste de la place pour l'innovation.
Il y a 3 ans et 114 jours

Les "réunions inappropriées" d'ADP, Bouygues et Colas avec le gouvernement malgache

ADP International S.A., Bouygues Bâtiment International et Colas Madagascar S.A ont été sanctionnées par la Banque Mondiale pour pratiques irrégulières lors de la négociation de marchés.
Il y a 3 ans et 114 jours

Des filiales d'ADP et de Bouygues sanctionnées par la Banque mondiale

IRRÉGULARITÉS. La Banque mondiale a relevé des pratiques irrégulières lors de la négociation du marché de concession de deux aéroports malgaches, en 2015.
Il y a 3 ans et 114 jours

EDILTECO® FRANCE renouvèle l’avis technique des mortiers de remplissage POLITERM® 200 ET 300

Dans une volonté constante de réglementation et de certification de ses produits, EDILTECO® France, a renouvelé l’Avis Technique des agrégats légers POLITERM®. Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants. Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène. En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco® France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm®. Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES. UN AGRÉGAT DE PSE POUR UN ALLÈGEMENT DES STRUCTURES. L’agrégat léger POLITERM®, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids. Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de POLITERM®, qui permet d’atteindre des coefficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (POLITERM® 200) et 0,082 W/mK (POLITERM® 300). Les formules POLITERM® 200 et POLITERM® 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats POLITERM® sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société EDILTECO France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. MISE EN OEUVRE SIMPLIFIÉE ET RAPIDE Les remplissages allégés POLITERM® 200 et POLITERM® 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure. Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc. Le POLITERM® 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique. De même, le POLITERM 300® s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher. Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers POLITERM® 200 et POLITERM® 300 se mettent en œuvre facilement. Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse. Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations POLITERM® 200 et POLITERM® 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’EDILTECO® France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 114 jours

Les travaux de rénovation du complexe aquatique de La Roche-sur-Yon devraient prendre fin l’été prochain

Le centre aquatique de La Roche-sur-Yon fait l’objet d’une importante rénovation. Ce chantier se poursuivra jusqu’en mai 2022.
Il y a 3 ans et 114 jours

La Roche-sur-Yon : un nouvel hôtel de Ville et un musée en projet

D’ici quelques années, la ville de La Roche-sur-Yon disposera de nouveaux équipements publics : un nouvel hôtel de Ville et d’Agglomération ainsi qu’un musé
Il y a 3 ans et 114 jours

Le bâtiment a terminé 2021 sur une note positive et encourageante pour 2022

ÉCONOMIE. Le secteur de la construction a vu son activité se maintenir au mois de décembre 2021, tout en affichant des carnets de commandes toujours bien garnis. Sur cette lancée, les chefs d'entreprises prévoient une activité stable pour le début d'année 2022. Une conjoncture favorable qui se retrouve jusque dans les chiffres des faillites de sociétés, qui continuent de s'effondrer.
Il y a 3 ans et 114 jours

Breteuil : rénovation et agrandissement du centre d’incendie et de secours

La municipalité de Breteuil a décidé de restructurer le centre d’incendie et de secours.
Il y a 3 ans et 114 jours

ENI se lance dans le secteur photovoltaïque en Grèce

La société grecque fait partie de Solar Konzept International, contrôlé par Aquila Capital, une société d'investissement durable allemande, indique ENI dans un communiqué, sans préciser le montant de la transaction.SKGR possède une plateforme pour le développement de centrales photovoltaïques en Grèce et compte une réserve de projets d'environ 800 mégawatts, "qui servira de base à la poursuite du développement du portefeuille d'énergies renouvelables" d'ENI dans ce pays.La filiale gaz et électricité d'ENI est présente sur le marché grec de l'énergie depuis 2000 et compte environ 500.000 clients.Le groupe italien avait annoncé en avril la fusion entre ses branches ventes de gaz et électricité au détail et énergies renouvelables. Il souhaite introduire en Bourse cette année jusqu'à 30% du capital de cette nouvelle société, qui s'appellera prochainement Plenitude.L'objectif de cette entité sera de développer une capacité de production d'énergie renouvelable de plus de 6 gigawatts d'ici à 2025 et de plus de 15 gigawatts d'ici à 2030.
Il y a 3 ans et 114 jours

Notre Dame de Paris : La réalité virtuelle au service de la ville

Les abords de la cathédrale Notre-Dame de Paris, en cours de restauration, vont être réaménagés à partir d'un modèle 3D virtuel conçu par une société américaine.
Il y a 3 ans et 114 jours

Vinci Autoroutes livre un nouvel échangeur sur l’A52

Inauguré le 13 janvier, le nouvel échangeur de Belcodène va améliorer l’accès à l’A52 qui relie Aix-en-Provence à Aubagne, à l’est de l’agglomération marseillaise. Le chantier, qui a coûté près de 20 millions d’euros HT, a mobilisé environ 500 000 m3 de déblais et remblais.
Il y a 3 ans et 114 jours

Muller Intuitiv présente sa sélection de radiateurs design pour le salon

Le Groupe Muller, une ETI industrielle familiale française, conçoit et fabrique des équipements thermiques intelligents et connectés depuis plus de 60 ans. Cette année, deux marques de ce groupe, NOIROT et APPLIMO, présentent ensemble leurs radiateurs Calidoo, Axoo, Beladoo et Sensual. Ces radiateurs à chaleur douce et au style intemporel sont conçus pour s’intégrer à tous types d’architecture et s’adapter à n’importe quelle décoration. Calidoo : le radiateur qui s’adapte à toutes les décorations Aujourd’hui, le radiateur n’est plus un simple appareil de chauffage mais un véritable objet de décoration. A la fois élégant et discret, le radiateur Calidoo s'accorde avec tous les styles de décorations intérieures. Déclinés dans deux couleurs blanc et anthracite, ce modèle s’harmonise avec une large variété de mobilier. Calidoo est un radiateur à inertie équipé d'un double corps de chauffe en fonte. L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce, stable et bien répartie dans toute la pièce, même en demi-saison. Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands salons. Les nombreuses puissances disponibles assurent un dimensionnement qui correspond parfaitement aux caractéristiques de la surface à chauffer. En complément, Calidoo est aussi un radiateur 100% connecté, sans accessoire supplémentaire à prévoir, qui grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. Beladoo : la chaleur de la fonte revisitée Très discret, le radiateur Beladoo sait se faire oublier dans tous types d’espaces. Grâce à son corps de chauffe en fonte active, il assure un confort optimal au quotidien. Ses différentes puissances et dimensions lui permettent de s’adapter à toutes les contraintes d’espaces et besoins de chauffe, garantissant ainsi une température homogène, essentielle pour les pièces à vivre. Marqué par un design traditionnel, Beladoo séduit par ses lignes qui insufflent dans chaque pièce une touche vintage. L’aspect allongé de chaque barre prolonge le mur et donne une impression d’espace. En blanc satiné lisse ou en gris anthracite, Beladoo se fond naturellement sur un mur blanc ou joue la carte du chic en apportant du contraste dans sa version anthracite. Grâce au pilotage sur mesure de l’intelligence Muller Intuitiv, les radiateurs Beladoo permettent de générer des économies d’énergie d’environ 30% par rapport aux anciens systèmes grâce à ce dispositif 100% connecté, sans besoin d’accessoire supplémentaire.
Il y a 3 ans et 114 jours

Deux maisons individuelles Novabita construites avec le béton Vitaliss® et le bloc à bancher Vertical Bloc®

Cette réalisation Novabita, du Groupe Foncière des parcs, illustre l’engagement environnemental du promoteur immobilier qui conçoit et met en œuvre des solutions écoresponsables. Il favorise des matériaux de construction alliant performances et faible impact environnemental. En témoigne l’utilisation d’un béton de la nouvelle gamme bas carbone Vitaliss® d’Edycem. Avec son VitaScore A, ce béton offre une réduction de plus de 40% de CO2 comparé à un béton standard.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « J’ai toujours été très sensible et attentif au développement de produits novateurs. Nous avons à cœur chez Novabita d’être moteur d’une démarche durable active. Cela est fondamental pour la planète, les futures générations mais également pour la pérennité de nos métiers et du mode constructif. Nous avons naturellement fait le choix du nouveau béton bas carbone Vitaliss® d’Edycem BPE pour ces deux maisons. Une innovation qui va dans le sens de notre volonté de réduire l’impact carbone de nos ouvrages. »Ce projet illustre également l’attachement d’Edycem, de Novabita et de Gaudin Maçonnerie pour l’ancrage territorial et le savoir-faire local.Coulage du Vitalis ® : « rien ne change pour l'artisan ! »Edycem a la volonté d’accompagner ses clients pour répondre à leurs enjeux environnementaux. Dans cette démarche, Edycem a développé la gamme Vitaliss®. Cet éventail de bétons bas carbone permet de réduire les émissions de C02 de 20 à plus de 50 % par rapport à une formulation traditionnelle, tout en présentant des propriétés de résistance et de pérennité équivalentes.Le chantier de ces deux maisons Novabita est mené par l’entreprise Gaudin Maçonnerie, installée dans la région depuis 1952. Au total, ce sont 34 m3 de béton bas carbone Vitaliss® Score A (- 41% de CO2) qui ont été coulés en dallage ainsi que dans les Vertical Bloc®.Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Gaudin Maçonnerie collabore depuis toujours avec Edycem que je connais moi-même depuis plus de 10 ans. J’ai donc vu passer plusieurs générations de bétons et je peux dire que le Vitaliss® est non seulement un produit d’avenir, notamment pour la RE2020, mais également une solution qui ne modifie pas le process de mise en œuvre pour l’entreprise. C’est un produit qui reste simple à travailler sur chantier. Nous l’avons approuvé sur les maisons de Challans, aucune différence avec un béton classique ! »100 % confort avec le Vertical Bloc®L’autre produit phare de ce chantier est le bloc à bancher Vertical Bloc® d’Edycem PPL.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « Il s’agit d’une solution 100 % étanche, aux multiples avantages pour les maîtres d’œuvre et d’ouvrage. Nos clients gagnent en surface habitable grâce à leur faible épaisseur de 15 cm de voile, en confort thermique et en solidité. Côté chantier, l’organisation est optimisée, la mise en œuvre plus confortable et aisée : légèreté, montage à sec, fini la bétonnière bruyante, le stockage de sable et de gravier. Ce type de solutions est tout aussi important pour attirer les jeunes dans nos métiers. »Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Cela fait 6 ans que je pose du Vertical Bloc®. Le montage à sec permet une mise en œuvre ergonomique, un gain de temps, et réduit les gestes techniques. Les conditions de travail sont optimisées grâce à sa légèreté et à la suppression des coupes. »
Il y a 3 ans et 114 jours

Geberit : des ventes historiques en 2021

Le chiffre d'affaires du spécialiste suisse des équipements sanitaires a augmenté de 15,9 % à 3,46 Md CHF par rapport à l'année précédente.