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Il y a 3 ans et 163 jours

Rénovation énergétique : quels impacts pour les acteurs de la construction ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. La rénovation énergétique est désormais au coeur des stratégies des entreprises de la construction. Quels marchés privilégier ? Comment les acteurs de la construction s'adaptent aux différents dispositifs ? Jeudi 9 décembre, le Batiactu Business Club vous propose les éclairages d'Anne-Lise Deloron, coordinatrice interministérielle, ainsi que de deux entreprises, Rockwool et Daikin.
Il y a 3 ans et 163 jours

David Lisnard, nouveau président de l'Association des maires de France

Le maire de Cannes a devancé Philippe Laurent, l'édile de Sceaux, lors du scrutin organisé à l'occasion du 103e congrès des maires. Il succède ainsi à François Baroin.
Il y a 3 ans et 163 jours

Hilti rachète la startup Fieldwire pour créer une plateforme de gestion de chantiers de construction

Cette acquisition stratégique permettra de combiner le meilleur produit de Fieldwire et la puissance de la marque Hilti et de sa portée commerciale, afin d’améliorer la productivité des entrepreneurs et sur chantier. Fieldwire fournit une plate-forme de pointe pour la gestion des chantiers qui alimente plus d'un million de chantiers dans le monde. Fondée en 2013, Fieldwire a bâti une forte présence en Amérique du Nord et a réussi à s’étendre internationalement en Europe et en Asie-Pacifique tout en construisant des fonctionnalités spécifiques au marché qui permettent aux clients d'améliorer la productivité sur le terrain. L'entreprise basée à San Francisco aide actuellement des milliers de clients à mieux gérer leurs chantiers digitalement en proposant une solution logicielle fiable, facile à utiliser, dotée d'un large éventail de fonctionnalités et également indépendante des appareils. Elle est utilisée par des entreprises générales et aux sous-traitants et est connue pour son approche de la productivité axée sur le terrain." L'acquisition de Fieldwire va accélérer la capacité d'Hilti à offrir de la productivité à ses clients grâce à des solutions logicielles. Depuis que la digitalisation est devenue l'un des principaux moteurs de la productivité dans le secteur de la construction, Hilti a investi dans des solutions numériques destinées aux professionnels de la construction. Cette acquisition renforcera notre portefeuille de logiciels et constitue une étape logique vers notre vision de devenir le principal partenaire de digitalisation pour nos clients. Nous avons l'intention de continuer à investir dans la plateforme pour créer le prochain leader du marché des logiciels de gestion de projets de construction ", a déclaré Christoph Loos, CEO du groupe Hilti.Avec le soutien d'Hilti, l'équipe de Fieldwire va accélérer le travail de construction de la solution numérique préférée des professionnels de la construction sur le marché. Non seulement tous les membres actuels de l'équipe Fieldwire seront invités à rester chez Hilti Fieldwire sous la direction continue des deux fondateurs, Yves Frinault et Javed Singha, mais des efforts supplémentaires seront également déployés pour développer l'équipe de manière significative."Nous avons lancé Fieldwire pour aider les professionnels du bâtiment à donner plus de moyens à leurs équipes, à stimuler la productivité sur le terrain et à créer des entreprises plus fortes et plus rentables. Avec Hilti, nous avons trouvé un partenaire qui partage réellement nos valeurs et qui nous permet en même temps d'accélérer le développement de nos produits pour nos clients sur les marchés nouveaux et existants. Nous sommes ravis de rejoindre le Groupe Hilti", a déclaré Yves Frinault, cofondateur et CEO de Fieldwire.En 2017, Hilti a participé au tour de financement de série B de Fieldwire. Depuis lors, elle a fourni des conseils continus alors que l'entreprise se développait rapidement. En tant qu'investisseur précoce, Hilti a déjà une relation de travail solide avec Fieldwire, et ensemble, les entreprises peuvent maintenant faire tout leur possible pour rendre les chantiers de construction du monde entier plus simples et plus productifs. L'acquisition devrait être conclue au quatrième trimestre 2021 et est soumise aux conditions de clôture habituelles, y compris les approbations réglementaires.
Il y a 3 ans et 163 jours

Le CSTB aux JTSE 2021 les 23 et 24 novembre

Venez rencontrer nos équipes aux Journées Techniques du Spectacle et de l'Événement (JTSE) et échanger sur les prestations proposées par le CSTB qui vous conseille et vous accompagne sur l'acoustique de vos salles de spectacles, les 23 et 24 novembre prochains, au Dock Pullman de Paris. Découvrez notamment à cette occasion les systèmes Carmen et CarmenCita développés par le CSTB, qui permettent d'adapter parfaitement l'acoustique des salles de spectacle à chaque type de représentation musicale : concert symphonique, opéra, danse moderne ou classique, théâtre, chorale, conférences, etc. Carmen et CarmenCita sont équipés des enceintes AS-8 développées par French Flair Audio, pour répondre à des performances acoustiques haut de gamme et une intégration architecturale simplifiée. Diversifiez ainsi votre programmation tout en faisant vibrer vos publics à chaque événement. En savoir plus : Organisation de rendez-vous sur demande : Jan Jagla : jan.jagla@cstb.fr Jérôme Vinet : jerome.vinet@cstb.fr CarmenCita Où & Quand : JTSE 2021 Au Dock Pullman, 50 Avenue du Président Wilson, 93200 La Plaine-Saint-Denis, stand N°41, le 23 novembre de 9h30 à 21h00 et le 24 novembre de 9h30 à 18h30)
Il y a 3 ans et 163 jours

La taxe d'aménagement pour les serres de jardin rendue optionnelle par les députés

L'Assemblée a adopté, à l'occasion de l'examen en première lecture du projet de budget 2022, une série d'amendements de tous bords, soutenus par la commission des Finances, pour permettre aux collectivités territoriales d'exonérer de taxe d'aménagement les serres de jardin personnelles dont la superficie est égale ou inférieure à 20 m2.Il est "important que les habitants puissent se diriger vers ce type de construction pour réduire les déchets, récolter les fruits et légumes de leur production" et encourager un "circuit court plus vertueux écologiquement", a souligné la députée LR Véronique Louwagie."C'est inciter à participer à l'autonomie alimentaire de la France", a même avancé la députée LREM des Hautes-Alpes Pascale Boyer."Les grandes serres étaient exonérées mais pas la petite serre familiale. Nous allons mettre un terme à cette anomalie", s'est félicité Marc Le Fur (LR).Les particuliers désireux d'instaurer une serre de jardin découvrent souvent avec surprise que cette installation est soumise au respect du droit des sols et au paiement d'une taxe parfois équivalente au prix de la serre.Cette dernière doit donc faire l'objet d'une déclaration préalable au-delà d'une superficie de 5m³ et 1,80 mètres de hauteur (dans la limite de 20m³), et donne lieu par conséquence au paiement d'une taxe d'aménagement au profit de la collectivité locale compétente.Les députés ont donné à celles-ci la possibilité d'exonérer ou non les particuliers de cette taxe, et donc de favoriser une politique incitative au développement de ces installations.
Cimbat
Il y a 3 ans et 163 jours

Le Groupe Edouard Denis digitalise ses appels d’offres avec AOS

« Nous perdions beaucoup de temps auparavant : trop de mails, de tableaux Excel, de liens de téléchargement… sans parler du suivi des relances, de l’attente des réponses des entreprises ou de l'analyse des offres », se souvient Flavien Di Iorio, Directeur Technique, Annecy et Lyon, Groupe Edouard Denis.Sept responsables techniques de son équipe sont formés pour s’approprier la plateforme AOS en quelques heures. Plus de trente appels d’offres ont été lancés depuis. « Avec AOS plus besoin de classer les différentes offres reçues car toutes les entreprises retrouvent sur la plateforme un dossier complet du DCE ainsi que les contrats cadre pour les référencements chez nos partenaires », poursuit Flavien Di Iorio.Un véritable gain de productivité et de transparence dans l’analyse des offres. Tout est accessible et visible d’un seul coup d’œil : la réponse des partenaires, la conformité des offres par rapport au cahier des charges, la mise en lumière des prix (anormalement bas ou haut par rapport aux ratios et offres des autres concurrents).Constat similaire pour Gweltaz Roudaut, Directeur Technique, Nantes et Rennes, Groupe Edouard Denis. « Nous partagions un tableur Excel avec les équipes de maîtrise d’ouvrage. Nous perdions un temps précieux à attendre la réponse des entreprises et à les relancer. Sans compter les dossiers incomplets ou pièces manquantes, le suivi des entreprises, les problèmes de coordonnées, le retard dans la réception des offres ».En digitalisant ses appels d’offres, le Groupe Edouard Denis a non seulement gagné en temps, dans la gestion de ses chantiers, mais aussi en référencement. « Grâce à AOS, nous pouvons désormais conclure un appel d’offre en deux mois pour les premiers lots, au lieu de trois. Autre avantage, nous consultons quatre fois plus d’entreprises qu’avant. 1 entreprise sur 3 télécharge le DCE. 15 à 20% d'entre elles font une offre. Enfin, AOS nous a permis de développer notre réseau de partenaires plus rapidement. Dans des villes avoisinantes où nous étions absents comme Laval et Angers, 200 entreprises ont été consultées et nous connaissent désormais », s’enthousiasme Gweltaz Roudaut.Depuis 2018, AOS digitalise les appels d’offres des programmes immobiliers privés. À ce jour, plus de 450 donneurs d’ordres l’utilisent. Le contexte sanitaire a boosté la demande des maîtres d'ouvrage et accéléré la digitalisation de leurs process.« Notre ambition est de continuer d’aider les acteurs du BTP à se familiariser avec les outils digitaux car ils prennent de plus en plus de place dans leurs métiers et leur permettront de se démarquer de la concurrence en étant plus agiles et rapides », se félicite Thomas Cassou co-fondateur de AOS.
Il y a 3 ans et 163 jours

En Grande-Bretagne, la ligne à grande vitesse HS2 pourrait être moins ambitieuse

INTERNATIONAL. Les Britanniques s'inquiètent des annonces prévues le 18 novembre 2021 concernant le transport ferroviaire. Elles devraient en effet comprendre l'abandon d'un tronçon de la ligne à grande vitesse HS2.
Il y a 3 ans et 163 jours

Neuilly-en-Thelle : aménagement d’une nouvelle zone d’activité

À Neuilly-en-Thelle, des travaux sont actuellement menés pour la création d’une nouvelle zone d’activité.
Il y a 3 ans et 163 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés de la catégorie Lieux d'activité

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Activités. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 163 jours

Deux sociétés de rénovation énergétique sanctionnées par la DGCCRF

AMENDES. Deux sociétés opérant dans le secteur de la rénovation énergétique viennent d'être sanctionnées par le gendarme de la concurrence pour des manquements à la réglementation en vigueur.
Il y a 3 ans et 163 jours

Blagnac : déplacement des réseaux souterrains allée des Mûriers

Les travaux de déplacement des réseaux souterrains entrent dans le cadre de la réalisation du terminus partiel d’Odyssud. Ils ont débuté le 20 septembre.
Il y a 3 ans et 163 jours

Cannes : une nouvelle aire de jeux dans le square d’Aurèle

La Ville de Cannes a offert un nouveau visage à l’aire de jeux du square d’Aurèle.
Il y a 3 ans et 163 jours

Prévenir les risques d’accident : lampes torches ABUS

Sur un chantier, certains travaux demandent un éclairage mobile pour permettre au professionnel de travailler en toute sécurité. Ergonomiques et équipées de LEDS de haute qualité, les nouvelles lampes torches SecLight ABUS (de 31,5 cm, 25,9 cm ou 17,9 cm de long) offrent un éclairage puissant, sur une distance qui varie en fonction du modèle (jusqu’à 300 mètres). Le modèle SecLight TL-530 ABUS, de 31,5 cm de long, dispose d’un mode puissance élevée de 900 lm, puissance moyenne de 500 lm et éco de 200 lm. Sa fonction stroboscope s’active en appuyant deux ou trois secondes sur le bouton. Avec son flux lumineux de 300 m de portée maximum, et sa fonction zoom permettant de passer en continu d’un faisceau étroit à un faisceau large, et vice versa, la lampe torche SecLight TL-530 ABUS s’adapte aux différentes contraintes des chantiers. Ce modèle en aluminium avec poignée en plastique est protégé contre les petites projections d’eau (IP44), et sa surface rainurée assure une bonne prise en main. Prix généralement constaté : à partir de 99,90 euros TTC (piles incluses)   Dotée des mêmes caractéristiques que sa grande sœur (excepté le mode éco), la lampe torche SecLight TL-525 ABUS, de 25,9 cm de long, génère un éclairage de 500 lm (puissance élevée) ou 250 lm (puissance moyenne). La portée maximale d’éclairage atteint 200 m. Elle se distingue par sa fonction de lumière rouge intégrée, repérable de loin. Prix généralement constaté : à partir de 89,90 euros TTC Compact et léger, le petit modèle SecLight TL-517 ABUS ne mesure que 17,9 cm. Avec ses deux niveaux de luminosité, sa lumière rouge, ses fonctions zoom et stroboscope, et sa portée de 200 m, cette lampe de haute qualité se glisse aisément dans un sac ou la boîte à gants d’un véhicule. Prix généralement constaté : à partir de 69,90 euros TTC Points de vente : quincailleries professionnelles, négoces
Il y a 3 ans et 163 jours

Ivry-sur-Seine : le futur centre du Syctom s'insère en site contraint

A Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), la nouvelle unité de valorisation énergétique du Syctom, l'agence métropolitaine des déchets, sort de terre à un rythme soutenu.
Il y a 3 ans et 163 jours

En Egypte, une "nouvelle capitale" pharaonique sort des sables du désert

Alternant avec des portraits du raïs, des panneaux le long de la route indiquent la "nouvelle capitale": des chantiers à perte de vue en plein désert à 25 kilomètres à peine du Fifth Settlement, l'un des derniers nés des faubourgs selects du Caire.En 2019, M. Sissi avait inauguré une vaste mosquée -- nommée "al-Fattah al-Alim", un des noms de Dieu dans l'islam, mais aussi le prénom du président -- et une cathédrale copte, copie conforme de sa jumelle inaugurée il y a plus d'un demi-siècle au Caire.Le Parlement, des ministères ou des quartiers -- chics pour lesquels les promoteurs démarchent depuis des mois les Cairotes par téléphone, ou à loyer modéré dessinés par le ministère du Logement -- sortent de terre.Des facultés, des hôpitaux et des écoles sont encore en construction alors que l'inauguration prévue le 30 juin a été repoussée, notamment à cause de l'épidémie de Covid-19.Cette date est symbolique pour le pouvoir car ce jour-là, il y a huit ans, une foule immense donnait "mandat" à l'armée contre le président islamiste d'alors, Mohamed Morsi, renversé peu après par le maréchal Abdel Fattah al-Sissi."Enigme"L'inauguration dont la nouvelle date reste inconnue actera selon M. Sissi la "nouvelle République" lancée à sa première élection en 2014.Peu après, il avait annoncé vouloir une nouvelle capitale, en lieu et place du Caire, cité tentaculaire de plus de 20 millions d'habitants à l'immense richesse architecturale, comme en témoigne la mosquée Ibn Touloun, vieille de plus d'un millénaire.Mais pour Galila el-Kadi, urbaniste de l'Institut de recherche pour le développement basé en France, cette nouvelle capitale ne vient pas concurrencer Le Caire, comme Brasilia a pu le faire avec Rio de Janeiro et Sao Paulo, mais prolonger un peu plus une mégalopole déjà engorgée.La stratégie derrière cette nouvelle capitale est "une énigme", estime cette professeure d'université: "Avant même d'être habitée, elle touche déjà Le Caire. Dans quelques années, elle va s'agrandir et sera complètement absorbée et cela ne fera qu'ajouter aux problèmes de gestion d'une forte concentration de population dans un espace encore plus grand".M. Sissi a déjà été à l'initiative de villes nouvelles, comme à Mansoura (nord) ou Assouan (sud), mais celle qui est appelée pour le moment "la nouvelle capitale administrative" est "le plus grand projet de l'Etat", indique à l'AFP Khaled al-Husseini, porte-parole de l'entreprise publique chargée de sa construction.Le site de 730 kilomètres carrés (l'équivalent de sept fois Paris) doit être construit en trois étapes, dont "la première couvre 250 km2 qui pourront accueillir deux millions d'Egyptiens", détaille M. Husseini.La ville "offrira une vie meilleure avec des équipements modernes et écologiques et des caméras de surveillance", assure-t-il, évoquant panneaux solaires et énergies renouvelables.Des fonctionnaires viendront y travailler dès décembre et ils seront 100.000 en tout "d'ici trois ans", assure M. Husseini. Pour eux, "il a fallu créer un réseau routier et prévoir des moyens de transport", dont un train monorail à près de quatre milliards d'euros pour relier la nouvelle capitale au Caire, connue pour ses embouteillages monstres.Une débauche de moyens qui en exaspère plus d'un alors qu'un tiers des 102 millions d'Egyptiens vivent sous le seuil de pauvreté."Où sont les priorités?""C'est une certaine vision de la modernisation" à l'occidentale, déplore le politologue Moustafa Kamal al-Sayyed, qui s'interroge: moderniser l'Egypte ne passerait-il pas plutôt par "garantir une éducation de qualité" dans un pays où l'analphabétisme touche près d'un habitant sur trois.Récemment, note-t-il, le ministère de l'Education disait "manquer de 250.000 instituteurs". "Où sont les priorités?".En Egypte, souligne Mme Kadi, depuis l'époque pharaonique la construction de nouvelles capitales a eu comme motivation "de séparer le souverain du peuple", rappelle-t-elle.Pour M. Sayyed, "tous les présidents de l'Egypte moderne ont voulu imprimer leur nom dans l'Histoire comme Gamal Abdel Nasser avec le Haut barrage d'Assouan"."M. Sissi veut que l'histoire le retienne comme celui qui a déplacé le centre du pouvoir", assure-t-il à l'AFP: "Et ce, pour toujours".
Il y a 3 ans et 163 jours

Hilti acquiert la plateforme de gestion de chantier Fieldwire

Spécialiste de l'outillage électroportatif, Hilti vient de débourser 300 millions de dollars pour acheter la société américaine, Fieldwire.
Il y a 3 ans et 163 jours

Pollution: évacuation en banlieue parisienne de 240.000 tonnes de déblais

Environ 240.000 tonnes de déblais, issus du chantier de prolongement de la ligne E (Eole) du RER et stockés dans un village de banlieue parisienne, devront être évacués d'ici le début de 2022
GDA
Il y a 3 ans et 163 jours

Sobriété foncière (3/5) : les franges urbaines au centre des enjeux

Sous la bannière fédératrice de l'Alliance des territoires, 173 coopérations entre villes et campagnes recensées par France Urbaine apportent un espoir aux promoteurs de la sobriété foncière : ces stratégies fondées sur la réciprocité consolident les ceintures vertes dans leur fonction écologique et nourricière. Mais le manque de recul ne permet pas encore de mesurer les impacts.
Il y a 3 ans et 163 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 163 jours

Ecolieu, co-habitat : en connaître les contraintes, pour bien s’y préparer

Cet article est né de la lecture d’un post facebook. Sur un groupe dédié aux écolieux, un membre lançait une discussion sur “les histoires désagréables, les mauvais côtés ou les trucs moches” auxquels devrait se préparer tout candidat à la création ou l’intégration d’un écolieu. Son idée étant de recueillir les expériences négatives de “ceux […]
Il y a 3 ans et 164 jours

Lauréat de la Première Œuvre 2021 : des ateliers auto-construits par ACTM, dans l'Ain

Les équipements de services publics à Neuvecelle (Haute-Savoie), conçus par Atelier PNG associé à l'Atelier Julien Boidot et Emilien Robin architecte, avec les paysagistes de l'Atelier des Cairns, remportent le prix de l'Équerre d'argent 2021. Quatre autres projets sont récompensés, respectivement dans les […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 164 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les cinq nommés au prix de la Première Œuvre

  Découverte en détails des cinq réalisations en lice pour obtenir le prix de la Première Œuvre 2021. Vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont également dans la course pour l'Équerre d'argent. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 164 jours

Trois mois de concertation pour un projet controversé de télécabine à Lyon

Ce projet de "téléphérique urbain" entre la commune de Francheville et Lyon suscite l'opposition de municipalités limitrophes concernées par certains des quatre tracés définis par des études de faisabilité, telles que les mairies LR de La Mulatière ou Sainte-Foy-lès-Lyon, ainsi que de plusieurs collectifs d'habitants.Mais le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral) veut mettre en avant les atouts du projet, tels que la possibilité de franchir le Rhône, la Saône et le "relief contrasté" de l'ouest lyonnais pour désenclaver une voirie saturée par le trafic automobile.Le Sytral et son président Bruno Bernard, également président écologiste de la métropole de Lyon, jugent ce mode de transport électrique comme "le plus adapté" à répondre aux besoins de ces communes et aux impératifs d'apaisement et de transition écologique, même s'il reconnaît des "obstacles" tels que la présence d'imposants pylônes et un survol qui peut poser problème pour les riverains.A terme, ce transport par câble d'un coût de 150 à 165 millions d'euros est censé assurer 59.000 déplacements quotidiens entre Francheville et le sud de Lyon pour un temps de trajet de 25 à 30 minutes d'un bout à l'autre de la ligne.La concertation annoncée lundi prévoit jusqu'à mi-février 2022 de recueillir l'avis des citoyens sur l'opportunité du projet, les hypothèses de tracés, les différentes technologies envisagées, les principes d'insertion des stations et pylônes, mais aussi sur les alternatives éventuelles, tel que le bus à haut niveau de service (BHNS), aussi appelé trolleybus électrique.Devant la presse, M. Bernard a assuré lundi que sa "conviction que ce projet (de transport par câble) est le bon ne vaut pas décision", et que sa réalisation dépendrait des résultats de la concertation.Sur internet et en mairie, des registres ont été mis en place pour recueillir observations, avis ou contributions et des réunions publiques seront également organisées à Sainte-Foy-lès-Lyon, Francheville, La Mulatière, Lyon 2 et Lyon 7, précise le Sytral.Les résultats des échanges menés sous la surveillance de deux garants nommés par la Commission nationale du débat public (CNDP) seront ensuite transmis à l'Autorité organisatrice des mobilités des territoires Lyonnais (AOMTL), qui remplacera le Sytral au 1er janvier 2022. Celle-ci décidera au printemps de la suite du projet.
Il y a 3 ans et 164 jours

Après un repli au 3e trimestre, l’activité des matériaux de construction se maintient autour des niveaux de 2019

En effet, le léger rebond du mois de septembre suggère que l’atterrissage pourrait se poursuivre en douceur, les tendances ne s’éloignant guère des niveaux de production enregistrés avant le début de la pandémie. Au-delà des difficultés persistantes d’approvisionnement et des tensions sur les prix des matières premières, le climat des affaires reste très favorable dans le secteur du bâtiment et la demande ne faiblit pas. Du côté des travaux publics, l’activité a également marqué le pas au cours de l’été mais, en octobre, les professionnels se montrent plutôt confiants pour les mois à venir, même si un vrai rebond des prises de commandes se fait encore attendre.Septembre, meilleur que l’étéSelon les premiers résultats (provisoires) de l’enquête mensuelle de septembre, la production de matériaux aurait observé un rebond au regard du mois d’août (+1,1% pour les granulats et +6,5% pour le BPE, données CVS-CJO). Côté granulats, l’activité de septembre demeure toutefois un peu en dessous de celle de 2020 (-1,2%) mais aussi de 2019 (-1,4%). Sur les trois derniers mois connus (juillet à septembre), la production de granulats cède encore -3,1% au regard des trois mois précédents, “boostés” par la dynamique du premier semestre. Elle s’inscrit également en repli de -4% au regard de la même période de 2020, marquée par la sortie du premier confinement, et de -2,5% comparé aux trois mêmes mois de 2019. Au total, de janvier à septembre, l’activité des granulats se situe +13,3% au-dessus de ses niveaux d’il y a un an, mais reste proche de ceux de 2019 (-0,4%). Côté BPE, le rebond plus marqué a permis de ramener les volumes à leur niveau de septembre 2019 (+0,4%), les laissant toutefois encore un peu en-deçà de ceux de l’an dernier (-2,3%).Tout comme pour les granulats, la tendance sur les trois derniers mois demeure en repli au regard des trois mois précédents (-3,5%) mais aussi comparée aux trois mêmes mois de 2020 (-7,8%) en pleine reprise des chantiers en sortie de confinement. En cumul sur les neuf premiers mois de l’année, les livraisons de BPE se situent bien sûr nettement au-dessus de leur niveau de 2020 (+14,1%) sans trop s’éloigner de celui de 2019 (-0,9%). L’indicateur du marché des matériaux minéraux a observé le même repli d’activité au cours de l’été. En recul de -8,2% sur un an au troisième trimestre (données CJO), la tendance reste cependant très favorable puisque l’indicateur progresse de +12,5% sur les neuf premiers mois de 2021 par rapport à 2020, mais affiche aussi une hausse de +1,1% comparée à 2019.Bâtiment : les tensions persistentEn octobre, selon l’enquête menée par l’INSEE auprès des professionnels du bâtiment, le climat des affaires demeure favorable : bien qu’en léger retrait au regard des mois précédents, la confiance des chefs d’entreprise sur leur activité future se maintient bien au dessus de sa moyenne de long terme. Dans le gros œuvre, les carnets de commandes plafonnent à 9,7 mois, tandis que les tensions sont toujours aussi prégnantes. En effet, avec des capacités de production utilisées à un niveau quasi-maximal (93,1% contre 88% en moyenne sur longue période), plus de la moitié des entreprises du gros œuvre (58,9%) ne peuvent produire plus, et 71,8% d’entre elles éprouvent des difficultés à recruter. Dans le bâtiment, 15% des entreprises sont ainsi concernées par des difficultés d’approvisionnement (soit huit fois plus qu’en moyenne) et les difficultés d’offre affectent plus de la moitié d’entre elles. Cette situation impacte donc les délais de réalisation des chantiers ainsi que leurs coûts : en octobre, les chefs d’entreprise sont bien plus nombreux que les mois précédents à annoncer qu’ils vont augmenter leurs prix. Côté construction, il est vrai que l’activité reste soutenue dans le segment du résidentiel où les mises en chantier ont renoué avec leurs niveaux d’avant crise. A la fin septembre, en cumul sur douze mois, on dénombrait 387 600 logements commencés (387 800 à fin février 2020), avec une progression de +1,6% sur les trois derniers mois connus comparés aux trois mois précédents (CVSCJO), dont +0,8% pour l’individuel et +2,1% pour le collectif.Côté permis, les dépôts ont largement dépassé ceux précédant la pandémie avec un total de 464 000 unités sur douze mois à fin septembre (contre 458 200 à fin février 2020). La dynamique reste enclenchée puisque sur le troisième trimestre, les autorisations progressent encore de +1,3%, comparé au trimestre précédent, avec cette fois un segment de l’individuel plus vigoureux que le collectif (+2% et +0,8% respectivement). Il est vrai que le marché de l’individuel fait preuve d’une étonnante santé. Selon Markemétron, à fin septembre et sur douze mois, 140 300 maisons ont été vendues (+22,8% en glissement annuel), un volume bien supérieur à celui d’avant crise. Le bas niveau des taux d’intérêt, l’expérience du confinement et une offre de crédit bancaire adaptée au resserrement des critères d’octroi (apport, durée, etc.) ont soutenu la demande immobilière des ménages et primo-accédants. La perspective de la mise en œuvre de la RE2020 (dès 2022), couplée à une hausse des prix et de moins bonnes conditions de crédit qui se profilent, contribuent aussi à doper le marché. Ce contexte, conjugué aux récentes mesures inspirées du rapport Rebsamen et à la prolongation du Pinel et du PTZ annoncée début octobre, devrait inciter les promoteurs, acquéreurs privés et bailleurs sociaux à accélérer les demandes de permis, alimentant ainsi l’activité constructive pour 2022. En revanche, la construction non résidentielle demeure en retrait. La surface totale sur douze mois des locaux commencés à fin septembre atteint 25,2 millions de m², certes en hausse de +2% par rapport aux douze mois précédents, mais bien loin des niveaux d’avant crise (28,7 Mm² à fin février 2020). Même constat du côté des surfaces autorisées qui, avec 37,3 Mm² et une hausse de +4,8% sur la même période, se situent -9,3% en dessous des niveaux observés avant le premier confinement.Travaux publics : redressement graduel et tenduSelon les dernières enquêtes menées auprès des professionnels des travaux publics, l’activité aurait subi un net freinage au cours du troisième trimestre laissant le niveau des travaux réalisés bien en dessous de celui constaté au troisième trimestre 2019 (-12,4%, en volume CVS-CJO). En cumul sur les neuf mois de 2021, l’activité cède encore -2,9% par rapport à 2019 même si elle affiche une hausse de +13,5% au regard de 2020. Côté “prises de commandes”, le rebond se fait encore attendre. En septembre, les chefs d’entreprise se montrent plus optimistes sur leur activité future et jugent leurs carnets bien mieux garnis mais on est encore loin des niveaux d’avant crise tandis que, dans le même temps, les difficultés de recrutement et les coûts de production continuent de se tendre : 37% des entreprises sont confrontées à des besoins de main-d’œuvre et leurs coûts de production ont grimpé de +3,3% sur un an depuis janvier (indice TP01).
Il y a 3 ans et 164 jours

Hilti acquiert une plateforme de gestion de chantier

ACQUISITION. Le spécialiste de l'outillage électroportatif, Hilti, a acquis Fieldwire, un acteur américain proposant une plateforme pour optimiser la gestion de chantier.
Il y a 3 ans et 164 jours

Le photovoltaïque, priorité du gouvernement

Barbara Pompili a présenté début novembre dix mesures pour amplifier le développement du solaire, notamment à travers la simplification des procédures et la libération d’espace.
Il y a 3 ans et 164 jours

Transition écologique : Emmanuel Macron met l'accent sur l'hydrogène

INDUSTRIE. L'État consacrera 1,9 milliard d'euros d'investissements pour développer la filière hydrogène dans le cadre du plan France 2030, a rappelé le président de la République lors de la visite de l'entreprise Genvia, située à Béziers (Hérault) et spécialisée dans les électrolyseurs haute température. Cette technologie doit permettre de concilier les enjeux industriels, économiques et écologiques, selon le chef de l'État.
Il y a 3 ans et 164 jours

La mise en service du Grand contournement ouest de Strasbourg autorisée par la justice

La mise en service du GCO (28 km) dont le chantier avait été confié à Arcos (Vinci) pourrait intervenir en décembre.
Il y a 3 ans et 164 jours

Saint-Gobain se densifie en Afrique et à Maurice

SITE DE PRODUCTION. Saint-Gobain se renforce en Afrique avec le rachat d'une usine de gypse au Kenya. Le groupe de matériaux de construction annonce aussi une acquisition à Maurice.
Il y a 3 ans et 164 jours

Cerema et Infranum s'unissent pour connecter les territoires

NUMÉRIQUE. La fédération Infranum et l'organisme public ont signé le 16 novembre 2021 un partenariat afin de renforcer leurs actions dans le domaine de la transition numérique des territoires. Premier acte concret prévu dès cette année.
Il y a 3 ans et 164 jours

À thermes, un nouvel et plus grand appartement sans l’eau du bain ?

Quand il est question d’espace partagé, à part pour les colocations des jeunes, il s’agit le plus souvent d’une pièce d’appoint destinée à devenir chambre ou bureau ou quoi que ce soit d’autre, bref un endroit de passage, indistinct et non appropriable. Qui veut partager un tel espace ? Il s’agit plus rarement d’une salle de […] L’article À thermes, un nouvel et plus grand appartement sans l’eau du bain ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 164 jours

Plan de gestion durable des eaux pluviales: pas de contraintes mais de l’accompagnement

Sauve qui pleut ! Ce mardi 16 novembre, Bérangère Abba, secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité, est passée à l’événement « L’avenir de l’eau dépend de nous ! » organisé par l’agence de l’eau Artois Picardie, au Grand Palais de Lille. Objectif : lancer le plan national 2022-2024 de gestion durable des eaux pluviales.
Il y a 3 ans et 164 jours

Renouvelables : des "conseillers techniques" recrutés pour accompagner les collectivités

TERRITOIRES. Le Gouvernement et l'Ademe ont annoncé les lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt visant à recruter des conseillers techniques chargés d'accompagner les collectivités territoriales pour développer des projets de parcs éoliens et de centrales solaires en région. Animation de ces réseaux et formations seront proposées en début d'année prochaine.
Il y a 3 ans et 164 jours

A Aubervillliers, la Maladrerie : miracle architectural en péril

Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), sa piscine olympique, ses nouvelles stations de métro, ses nouveaux logements au Fort, les belles promesses du Grand Paris, le vrai, celui qui fait rêver à coup de plaquettes de promoteur. Loin de ce tableau du bonheur, de l’autre côté des grands projets, la gestion du patrimoine immobilier de l’office HLM offre une […] L’article A Aubervillliers, la Maladrerie : miracle architectural en péril est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 164 jours

Juvignac comptera un nouveau collège d’ici la rentrée 2024

Le nouveau collège de Juvignac disposera d’une capacité d’accueil de 660 élèves.
Il y a 3 ans et 164 jours

Les critères du futur dispositif "Pinel+" dévoilés, avec un accent sur le confort des logements

Le dispositif Pinel, lancé en 2014, permet aux propriétaires de logements neufs dans les zones tendues, c'est-à-dire là où la demande est forte, de bénéficier d'une réduction d'impôts s'ils mettent leur bien en location en respectant le plafonnement des loyers.Il devait expirer fin 2021 mais va finalement commencer à subir une réduction des avantages fiscaux en 2023, avant de disparaître totalement en 2024, a expliqué le ministère, après une conférence de presse de la ministre Emmanuelle Wargon.Le "Pinel plus" prendra la suite et commencera en 2023, selon de nouveaux critères plus exigeants sur la qualité du logement.La surface minimale du logement devra être de 28 mètres carrés pour un appartement d'une pièce, de 45 mètres carrés pour un deux-pièces, de 62 mètres carrés pour un trois-pièces, de 79 mètres carrés pour un quatre-pièces, tandis que le cinq-pièces devra mesurer au minimum 96 mètres carrés.Les logements devront aussi avoir "un accès systématique à un espace extérieur", a indiqué la ministre, et à partir du trois-pièces, l'appartement devra même être traversant.En plus des critères de confort, les logements devront également répondre à un critère de qualité environnementale.D'ici à 2024, "les taux actuels du Pinel seront maintenus pour les opérations portant, d'une part, sur des logements situés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville et, d'autre part, sur des logements qui respectent un haut niveau de qualité", a précisé le ministère dans un communiqué.Dans le détail, si les propriétaires respectent les critères et s'engagent à demander un loyer inférieur au marché, le dispositif fiscal "Pinel plus" leur permet une réduction de leur impôt sur le revenu de 12% du prix d'acquisition du bien s'ils louent pendant 6 ans, de 18% pour une location pendant 9 ans et de 21% si la location dure 12 ans.
Il y a 3 ans et 164 jours

Adoption du pacte de Glasgow pour le climat à la COP26 : une dynamique à poursuivre

Cette COP était particulièrement importante car, comme le rappelle le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) publié en août 2021, le monde n'est pas sur la bonne voie pour rester en dessous des 2 °C voire 1,5 °C de réchauffement global par rapport à l'ère préindustrielle, objectif à long terme de l'Accord de Paris. Les deux semaines de négociations ont permis d'aboutir le 13 novembre à l'adoption du « Pacte de Glasgow pour le climat », permettant notamment de finaliser les règles d'application de l'Accord de Paris, mais ne répondant pas totalement aux ambitions qui étaient fixées.Le Pacte de Glasgow pour le Climat a permis d'aboutir sur plusieurs points importants qui étaient en discussion :Finalisation de l'Accord de Paris, le rendant pleinement opérationnel, six ans après son adoption, par des règles robustes :Adoption de l'article 6, qui prévoit des mécanismes autorisant les Parties à échanger des réductions d'émissions afin d'atteindre leur CDN, sans double-comptage ;Adoption du cadre de transparence renforcée (article 13) : les Parties devront désormais rapporter leurs émissions de gaz à effet de serre de la manière la plus détaillée possible et de façon comparable.Atténuation : le Pacte de Glasgow pour le climat demande aux Parties de rehausser leur ambition dès 2022 dès lors que leur contribution déterminée au niveau national ne serait pas dans la trajectoire de l'Accord de Paris. L'ensemble des contributions nationales seront désormais transmises au secrétariat des Nations-Unies, et feront l'objet d'un rapport de synthèse annuel.Adaptation : création d'un programme de travail 2022-2023 visant à la mise en œuvre de l'objectif mondial d'adaptation. Les pays développés s'engagent à doubler la finance pour l'adaptation d'ici 2025 par rapport au niveau de 2019.Biodiversité : la contribution des écosystèmes en tant que puits et réservoirs de gaz à effet de serre et l'importance de les protéger pour atteindre l'objectif des 1,5° sont ancrées dans les décisions. La France regrette néanmoins que les « Solutions fondées sur la nature », qui permettent d'agir sur la lutte contre le changement climatique ou la gestion des risques naturels grâce aux écosystèmes, n'apparaissent pas dans le texte.Pour la première fois dans un document de la Convention climat, la réduction des énergies fossiles est mentionnée dans la déclaration finale. Néanmoins, la France regrette que le terme "disparition progressive" du charbon ait été remplacé in extremis par "diminution progressive".Malgré des avancées sur les pertes et les préjudices (notamment l'adoption des fonctions du Réseau de Santiago, qui visent à faciliter la mise en œuvre de mesures de soutiens, et l'accès aux mesures d'assistance), les pays les plus vulnérables jugent celles-ci insuffisantes. De nouvelles discussions sont déjà à l'ordre du jour de la COP27.La France s'est également engagée dans plusieurs coalitions pour accélérer sa lutte contre le changement climatique :Fin des financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022La France a rejoint l'accord mettant fin aux financements à l'étranger de projets d'exploitation d'énergies fossiles d'ici fin 2022. Cette déclaration concerne à la fois l'aide publique française au développement bilatérale et les financements à l'export. Elle fait écho à la dynamique initiée par la France à travers la coalition internationale Export Finance for Future (E3F).La France a également rejoint la coalition internationale Beyond Oil and Gas (BOGA). En créant une communauté internationale de pratiques, cette alliance aide les Gouvernements à respecter leur engagement en faveur d'une élimination progressive de la production de pétrole et de gaz.Réduction des émissions de méthane de 30% par rapport à 2020 d'ici 2030Plus de 100 pays ont rejoint le Gobal Methane Pledge, lancé par les États-Unis et l'Union européenne en septembre 2021. Cet engagement mondial, qui vise à réduire les émissions de méthane (2e gaz à effet de serre, après le CO2) de 30 % d'ici à 2030, par rapport aux niveaux de 2020, est le premier en la matière. « Si on réduit de 30% les émissions de méthane, d'ici 2030, c'est comme si on se débarrassait de tous les bateaux, de tous les avions, de tous les camions qui sont sur terre, en termes d'émissions » a précisé John Kerry.Soutien financier à la transition énergétique en Afrique du SudL'Afrique du Sud, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union européenne ont annoncé le lancement d'un partenariat pour la transition énergétique juste en Afrique du Sud. L'Afrique du Sud s'engage à décarboner sa production d'électricité (fermeture des centrales à charbon) et à investir dans la mobilité électrique et l'hydrogène, tandis que les cinq partenaires promettent un soutien financier de 8,5 milliards de dollars sur les 3 à 5 prochaines années.Rehaussement de la contribution de la France pour la finance climat à hauteur de 7 milliards de dollars par anS'agissant de l'objectif des 100 milliards de dollars annuels pour les pays en développement, la France a rehaussé sa contribution à 7 milliards de dollars (6 Md€) par an, dont un tiers pour l'adaptation. Elle a aussi annoncé une contribution au Fonds pour les pays les moins avancés d'un montant de 20 millions d'euros.Soutien aux « Glasgow Breakthroughs » pour rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 203042 pays, dont la France, se sont engagés à soutenir les « Glasgow Breakthroughs » (avancées de Glasgow), visant à rendre l'innovation et les technologies propres abordables pour les pays en développement d'ici 2030. Les cinq secteurs d'activité les plus émissifs sont concernés : électricité, acier, hydrogène, véhicules, agriculture.Accélération des investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques vertsLe Royaume-Uni, l'Inde, la France, les États-Unis et l'Australie, en lien avec l'Alliance solaire internationale, ont lancé l'initiative Green Grids Initiative-One Sun One World One Grid afin d'accélérer les investissements et la coopération internationale pour les réseaux électriques verts.Arrêt de la déforestation et de la dégradation des terres d'ici 2030Une centaine de chefs d'États et de gouvernements ont adopté une déclaration sur les forêts et l'utilisation des terres. Les pays signataires, dont la France, s'engagent ainsi à stopper et inverser la déforestation et la dégradation des terres d'ici 2030. Un engagement financier collectif sur 2021-2025 de 12 milliards de dollars, le « Global Forest Finance Pledge », est publié (1 Md pour l'UE, 800 M pour la France).Parallèlement, 12 pays, dont la France, ont présenté un engagement pour la protection du bassin du Congo (2e forêt tropicale du monde) et ont annoncé un financement à hauteur de 1,5 milliards de dollars pour les 5 prochaines années.Réaffirmation du soutien à la Grande muraille verteLes chefs d'État et de Gouvernement de la Grande muraille verte ont réaffirmé leur soutien à l'initiative lancée lors du One Planet Summit de janvier 2021. Près de la moitié des 19 milliards de dollars promis pour la construction de la Grande muraille verte ont déjà été engagés.Troisième déclaration de l'initiative Because the Ocean pour accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime internationalL'initiative Because the Ocean (BTO), signée en 2015 à la COP21 par 23 pays, dont la France, a lancé sa troisième déclaration. Elle y réaffirme notamment que la protection de l'océan est indispensable à lutte contre le changement climatique et propose d'accélérer les efforts visant à supprimer les émissions de gaz à effet de serre issues du transport maritime international.Signature de la « Clydebank Declaration » pour soutenir la création de corridors verts entre deux portsLa France a signé la « Clydebank Declaration » visant à soutenir l'établissement de corridors verts (routes maritimes zéro émission) entre deux ports. Pour y parvenir, la déclaration s'appuie sur la collaboration internationale et la mise en place de partenariats entre les acteurs concernés : armateurs, ports, énergéticiens… L'objectif collectif des signataires est la mise en place d'au moins 6 corridors d'ici 2025.Ralliement à la coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale, pour réduire les émissions du secteur aérienLa France a rejoint la nouvelle coalition sur l'ambition climatique de l'aviation internationale (International Aviation Climate Ambition Coalition) lancée le 10 novembre lors de la journée dédiée au transport, avec la signature d'une déclaration sur l'ambition climatique. Les signataires s'engagent notamment à promouvoir des mesures spécifiques pour réduire les émissions du secteur aérien (carburants durables, régime de compensation et de réduction de carbone pour l'aviation internationale, nouvelles technologies).Signature d'un appel à l'action sur les infrastructures de recharge pour véhicules électriques dans le but d'atteindre le zéro émission du transport routierLa France a signé le 10 novembre, avec d'autres États, des villes, régions, entreprises, un « Call to action » sur les infrastructures de recharge pour les véhicules électriques. S'inscrivant dans l'ambition commune d'atteindre le zéro émission du transport routier, cet Appel doit inciter les acteurs à déployer ces infrastructures.
Il y a 3 ans et 164 jours

Relance : Bercy renforce les prêts participatifs à destination des PME

ÉCONOMIE. Pour favoriser au maximum la reprise économique, Bercy vient de signer une convention octroyant la garantie de l'État à un fonds d'obligations estampillées France Relance, destinées aux PME et ETI de tous les secteurs d'activité souhaitant investir. En complément, le Gouvernement simplifie les critères d'éligibilité aux prêts participatifs du Plan de relance, qui peuvent se substituer aux PGE.
Il y a 3 ans et 164 jours

Modernité : Nancy, de la place royale à son Art nouveau

Le 15 septembre 2021, la place Stanislas de Nancy est désignée « Monument préféré des Français ». Pour une fois, je veux donner crédit aux sondeurs, oublier la liste proposée et ne retenir que le résultat ! C’est une leçon manifeste, il n’y a pas d’architecture sans commande d’architectures. La beauté n’est pas tombée du ciel, elle est […] L’article Modernité : Nancy, de la place royale à son Art nouveau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 164 jours

Un observatoire de l'économie de l'architecture pour "combler les zones d'ombre"

ARCHITECTES. De quelle économie est faite la filière ? C'est la question à laquelle devra répondre l'Observatoire de l'économie de l'architecture, lancé le 16 novembre. Il aura notamment pour mission d'éclairer les zones d'ombre de la profession, en particulier concernant les architectes qui ne sont pas inscrits à l'Ordre mais qui exercent l'architecture ou des métiers "connexes".