Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255218 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 352 jours

Une maison sans âme renaît avec charme et caractère

Débarrassée d'une imposante cheminée qui encombrait le rez-de-chaussée, cette maison a gagné en volume et en luminosité. Quelques aménagements ont également permis de mettre en valeur ses atouts et de lui rendre charme et caractère.
Il y a 3 ans et 353 jours

Pénurie de matières : "On espère que les collectivités seront bienveillantes", FNTP

CRISE. La Fédération nationale des travaux publics a salué les annonces du gouvernement pour faire face aux pénuries d'approvisionnement des matières premières et la hausse des prix. Elle espère que les collectivités se rallieront à ces incitations.
Il y a 3 ans et 353 jours

Management de l’énergie en entreprise : les solutions concrètes

La consommation d’énergie est une des plus grandes préoccupations du monde moderne. Les entreprises sont nombreuses à instaurer un système de management de l’énergie pour remédier à ce problème qui se présente souvent à elle. Si vous souhaitez mettre en place ce système dans votre société, voici quelques conseils qui vous guideront dans votre démarche. Qu’est-ce qu’un système de management de l’énergie en entreprise ? Un système de management de l’énergie est une méthode choisie par une entreprise pour conduire sa politique de gestion énergétique. Chaque société, publique ou privée, possède un système spécifique. Le but du système est d’améliorer la performance énergétique en continu. Ses principales actions concernent la réduction de la consommation d’énergie, des émissions de gaz à effet de serre et des impacts de l’activité de l’entreprise sur l’environnement. La norme ISO 50001 encadre tout système de management de l’énergie. C’est une norme internationale adaptée aux situations et objectifs spécifiques de chaque entreprise qui permet de prendre en compte les exigences environnementales et économiques. Pourquoi mettre en place un système de management de l’énergie ? Le système de management de l’énergie offre plusieurs avantages aux entreprises qui l’appliquent. Pour cela, les démarches à suivre doivent refléter une bonne gestion de l’énergie. Les intérêts de la mise en place de ce système résident dans les cinq points suivants : l’instauration d’une politique de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) l’amélioration de la productivité et de la compétitivité la garantie de la participation des équipes dans un projet commun l’innovation l’amélioration de l’image de marque Pour garantir la réussite de votre système de management de l’énergie, notez que des professionnels sont à votre disposition. Grâce à leur savoir-faire et à leurs nombreuses années d’expérience, ils sont en mesure de vous conseiller et de vous aider dans la mise en place de votre SMÉ. Dans cette optique, rdv sur Geo-energie-services.fr afin de bénéficier des conseils d’une équipe d’experts dans le domaine du management de l’énergie. Quelles sont les étapes à suivre dans la mise en place d’un système de management de l’énergie ? Pour mettre en place un système de management de l’énergie, il est nécessaire de procéder à une analyse en profondeur des consommations énergétiques de l’entreprise. Ainsi, il sera plus facile de déterminer les solutions à mettre en place en vue d’économiser l’énergie. La mise en place d’un SMÉ passe par les quatre étapes suivantes. L’analyse de l’état des lieux La première étape consiste à réaliser un audit énergétique. Cette étape est effectuée par un expert afin de déterminer le profil énergétique des locaux de votre société. Dans un premier temps, l’audit consiste à faire un diagnostic technique. Cela déterminera les consommations, les installations, les usages de l’énergie et les différents points qui auront besoin d’être améliorés. Après le diagnostic technique, un diagnostic organisationnel des lieux est nécessaire. L’objectif est de déterminer les procédures et les consignes à mettre en place, mais aussi le niveau de sensibilisation et de compétence des collaborateurs. Les exigences légales en matière de performance énergétique seront également connues grâce à l’analyse de l’état des lieux. À l’issue de cette étape, vous aurez identifié les moyens permettant d’économiser de l’énergie et d’améliorer l’efficacité énergétique de votre entreprise. Ainsi, vous pourrez facilement envisager de redéfinir certains rôles et responsabilités au sein de votre équipe et de prévoir des séances de formation si nécessaire. L’élaboration du plan d’action Le plan d’action est le point de départ de votre système de management de l’énergie. Il déterminera les démarches à suivre dans sa mise en place. Il servira également à mettre en œuvre le processus d’amélioration du système. Le rôle de l’équipe responsable de l’énergie est aussi défini par le plan d’action, qui est une véritable feuille de route. Cette étape implique une définition de la politique énergétique de l’entreprise. Elle doit être unique et refléter la stratégie globale de celle-ci. Pour cela, il est important de décrire la nature de votre engagement, vos motivations, vos objectifs à court et à long terme, ainsi que les moyens pour y parvenir. Enfin, le plan doit inclure un programme d’actions pour favoriser les économies d’énergie. Les moyens élaborés pour la mise en œuvre du système doivent être décrits en détail. La mise en œuvre de l’amélioration La mise en œuvre est la dernière étape du management de l’énergie. Elle implique des démarches de sensibilisation, de formation et de communication auprès des collaborateurs. Le rôle du dirigeant est donc d’intégrer la politique énergétique dans les usages quotidiens de l’entreprise pour qu’elle soit assimilée par tous les salariés. Dans cette étape, la mise en place du plan de comptage est primordiale. Cela comprend les mesures, ainsi qu’une collecte et une analyse des données. Un encadrement sur le plan économique est également nécessaire. Le suivi du management de l’énergie Enfin, il ne faut pas négliger les bilans et audits internes réguliers. Cela garantit la durabilité de la politique de performance énergétique de l’entreprise. Avec l’obtention d’une certification correspondant à la norme ISO 50001, une validation de votre système de management de l’énergie auprès d’un organisme certifié est nécessaire. Ce dernier contrôlera le suivi de l’amélioration continue dans votre système de management énergétique. Combien de temps prend la mise en place d’un système de management de l’énergie ? Le délai peut varier d’une entreprise à une autre pour la mise en place du système, mais il faut généralement compter de 12 à 18 mois en moyenne. Ce délai prend en compte toutes les étapes, de la définition des méthodes à adopter jusqu’à la mise en œuvre de la stratégie d’économie énergétique, en passant par les audits et contrôles réguliers. Cependant, les sociétés ou organisations déjà certifiées peuvent bénéficier de délais plus courts. Les aides financières pour mettre en place un système de management de l’énergie Des programmes tels que l’aide « PRO-SMEn » de l’ATEE (Association Technique Énergie Environnement) encouragent les organisations à mettre en place un système de management de l’énergie ISO 50001. Ce programme s’inscrit dans le cadre des certificats d’économies d’énergie. Il est reconduit jusqu’en octobre 2021. Les entreprises et les collectivités engagées dans une politique de management de l’énergie peuvent bénéficier d’un soutien financier via le versement d’une prime pouvant aller jusqu’à 40 000 €. La mise en place d’un système de management d’énergie peut devenir un véritable avantage concurrentiel pour votre entreprise. De plus en plus d’entrepreneurs choisissent de le mettre en place pour une meilleure performance énergétique de leur entreprise, mais également pour bénéficier d’une meilleure image de marque auprès du grand public.
Il y a 3 ans et 353 jours

Réouverture mi-juillet et recapitalisation en vue pour la Tour Eiffel

Privée de touristes depuis déjà sept mois et confrontée au casse-tête d'un chantier de peinture suspendu en raison de traces de plomb supérieures au seuil réglementaire, la Dame de Fer vit une "période difficile à traverser", reconnaît le président de sa société d'exploitation (Sete) Jean-François Martins dans un entretien à l'AFP jeudi.Malgré les efforts pour "réduire les coûts fixes" et un recours massif au chômage partiel chez ses 350 employés, l'exploitant projette pour 2021 une perte d'environ 70 millions d'euros, après avoir annoncé en mars un déficit de 52 millions au titre de 2020. Année où son chiffre d'affaires a fondu, passant de 99 à 25 millions d'euros, toujours selon la Sete.Pour autant, l'exploitant n'a "pas d'inquiétude à long terme" et exclut toute menace sur l'emploi. "Le soutien plein et entier de notre actionnaire" principal, la Ville de Paris, "va nous permettre de passer la période", assure M. Martins. "Cela prendra forcément la forme d'une recapitalisation" dès l'automne, a-t-il annoncé, les deux déficits consécutifs n'étant "pas absorbables sur les fonds propres"."Aucune aide" de l'ÉtatA cet sujet, M. Martins, élu PS au Conseil de Paris, tacle le gouvernement: "le monument qui incarne la France dans le monde, qui perd 120 millions sur deux ans, n'a fait de l'objet de la part de l'État d'aucune aide spécifique ou exceptionnelle."Le célèbre monument, qui a accueilli jusqu'à 7 millions de visiteurs en 2014 et encore 6,2 millions en 2019, a dû fermer de mi-mars à fin juin 2020, lors du premier confinement, puis de nouveau à partir de fin octobre.Âgée de 132 ans, la "grande dame" devra donc encore attendre quelques semaines avant de retrouver du public. "Le temps nécessaire pour se remettre en ordre et en fonction", en particulier les ascenseurs, explique M. Martins, mais aussi de "libérer les espaces pris par le chantier de peinture", suspendu.La capacité d'accueil sera cet été de 10.000 visiteurs par jour, soit le même niveau de fréquentation qu'à l'été 2020, contre 25.000 avant crise. Les doubles cabines pouvant accueillir 50 personnes chacune fonctionneront avec une jauge de 50% pour respecter la distanciation sociale.La billetterie rouvrira le 1er juin, la Sete misant sur deux tiers de réservations en ligne. La vente physique des billets aux pieds du monument restera possible à la réouverture.L'ensemble des étages seront accessibles au public, hormis quelques zones de chantier, notamment au deuxième étage.Écailles plombéesSuspendu depuis début février en raison de traces de plomb supérieures au seuil réglementaire, le chantier de peinture en cours ne reprendra pas avant l'automne, le temps de terminer les études et de choisir parmi les techniques "les moins émissives de plomb", a expliqué M. Martins.Pour la 20e campagne de peinture, qui doit permettre à la Dame de Fer de faire peau neuve pour les JO de 2024, il avait été choisi de retirer les couches de peinture détériorées de près de 30% de la surface de l'édifice, là où les campagnes précédentes n'en prévoyaient que 5%, afin "d'améliorer l'adhérence de la peinture sur la structure". C'est ce décapage qui a fait ressortir, sur le site, la présence de plomb présent dans les couches précédentes.Le chantier à l'arrêt, la Sete exclut tout risque de contamination au plomb pour les visiteurs. Au moment de la réouverture, "la tour aura été entièrement dépolluée, nettoyée", souligne M. Martins pour qui "les autorités sanitaires sont garantes" avec 70 prélèvements réalisés par semaine.Visibles de loin, les filets qui récupèrent les écailles de peinture seront enlevés progressivement. Le prochain défi de la Sete sera de "réimaginer comment faire venir les visiteurs malgré les différents chantiers en cours".
Il y a 3 ans et 353 jours

Une nouvelle usine en Roumanie pour Wirquin

MODERNISATION INDUSTRIELLE. Le spécialiste des sanitaires, Wirquin, va ouvrir une nouvelle usine en Roumanie visant à remplacer deux de ses anciennes unités : une située au Royaume-Uni et l'autre en Roumanie.
Il y a 3 ans et 353 jours

Remise du rapport triennal 2017-2019 de l'USH sur la valorisation de l'abattement de taxe foncière sur les propriétés bâties

Ce dispositif créé en 2001 permet de financer des actions visant à améliorer le cadre de vie des habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville : meilleur entretien des immeubles et des espaces communs, actions pour la tranquillité quotidienne et la cohésion sociale, renforcement de la présence humaine et de la participation citoyenne. Chaque année, plus de 160 millions d’euros sont ainsi investis, ce qui en fait un des piliers majeurs de la politique de la ville.Depuis 2015, un cadre national signé entre le ministère chargé de la Ville, plusieurs associations d’élus et l’Union Sociale pour l’Habitat oriente ces actions décidées localement de manière partenariale par les bailleurs sociaux, les collectivités territoriales et l’État.À l’occasion de cet entretien, la Ministre a échangé avec la Présidente de l’USH sur la nécessité de faire évoluer ce cadre afin de tenir compte des enseignements des premières années de sa mise en œuvre et de l’adapter à de nouveaux enjeux, notamment dans le contexte de la crise sanitaire et sociale. Elles ont convenu de mettre en place un groupe de travail à cette fin.
Cimbat
Il y a 3 ans et 353 jours

A Marseille, les architectes manifestent contre un contrat global pour rénover des écoles

RASSEMBLEMENT. Les différents représentants des architectes et des petites entreprises des Bouches-du-Rhône ont manifesté ce vendredi 21 mai contre la procédure du marché global de performance pour la rénovation de cinq écoles marseillaises. Un combat pour "l'intérêt public" selon eux.
Il y a 3 ans et 353 jours

Immobilier, choix résidentiels : reviendra-t-on au monde d'avant ?

CRISE SANITAIRE. Certains experts, invités à s'exprimer dans le cadre d'une conférence de l'ESTP Paris sur "les maîtres d'ouvrage dans le monde d'après", estiment que ni les choix résidentiels, ni l'offre immobilière n'évolueront de manière drastique une fois la crise passée.
Il y a 3 ans et 353 jours

Fermetures : Bouyer Leroux achève l'acquisition du groupe Maine

ACQUISITION. Annoncée en décembre 2020, l'acquisition du groupe Maine par Bouyer Leroux vient d'être signée. Avec cette opération, le groupe souhaite se renforcer sur le marché de la fermeture.
Il y a 3 ans et 353 jours

Économie circulaire : les industriels de la construction lancent leur éco-organisme

VALORISATION. Pour répondre à l'extension de la Responsabilité élargie du producteur aux matériaux de construction à compter du 1er janvier 2022, les industriels du secteur annoncent créer leur propre éco-organisme. Celui-ci aura pour mission de valoriser les déchets inertes issus de la filière du bâtiment.
Il y a 3 ans et 353 jours

Vaucluse : le sommet du mont Ventoux fait l’objet d’une seconde phase de travaux

La seconde phase de travaux sur le sommet du mont Ventoux vient d’être lancée par le Département du Vaucluse.
Il y a 3 ans et 353 jours

Linas : le réaménagement de l’avenue Georges Boillot en gestation

L’avenue Georges Boillot, à Linas, est au centre d’un projet de réaménagement.
Il y a 3 ans et 353 jours

Le gouvernement met en place une médiation pour calmer les tensions sur les matières premières dans le BTP

Pilotée par le ministre délégué aux PME, Alain Griset, cette médiation vise à "identifier les éventuels comportements abusifs, de sécuriser les approvisionnements ainsi que l'activité des entreprises", a précisé Bercy dans un communiqué.Une première réunion se tiendra d'ici à fin mai, avec les acteurs de la filière, le médiateur des entreprises et le ministère.Cette annonce intervient au moment où le secteur du bâtiment souffre d'une forte hausse des prix des matières premières, comme le bois de construction, l'aluminium ou l'acier.En cause notamment, une reprise de l'activité, notamment en Chine et aux États-Unis, beaucoup plus rapide que ce qu'escomptaient les fournisseurs de ces matières, et qui conduit à des pénuries un peu partout dans le monde."Des difficultés d'approvisionnement en matériaux et matériels (...) se font déjà sentir depuis plusieurs semaines et (...) risquent de s'amplifier", indiquait fin avril la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Conséquence: les relations entre les acteurs de la filières sont tendues, avec des délais de livraisons qui s'allongent, en plus des hausses de prix.Pour le gouvernement, l'enjeu est aussi de ne pas freiner la reprise économique, alors que le bâtiment est un des moteurs de la sortie de crise et qu'une partie du plan de relance repose sur des projets dans le logement, en particulier pour de la rénovation thermique.La FFB salue les annonces du ministèreLa FFB salue les annonces du ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance, qui répondent à ses alertes réitérées depuis fin 2020, suite au choc constaté sur les prix des matériaux du BTP.En recommandant le gel des pénalités de retard sur les marchés publics en cas de difficultés d'approvisionnement avérées, cette communication envoie un signal fort qui doit permettre d'éviter une fragilisation du secteur, car les artisans et entrepreneurs subissent cette situation sans pouvoir l'anticiper.En rappelant que les marchés publics de plus de trois mois doivent obligatoirement prévoir des mécanismes d'indexation des prix, le gouvernement confirme que les chantiers de BTP nécessitent une part importante de matières premières soumises aux évolutions des cours mondiaux.En installant une médiation nationale de filière, le gouvernement ouvre la possibilité d'un échange plus approfondi entre acteurs, de façon à restaurer une confiance qui s'effrite avec l'allongement de cette crise.Pour Olivier Salleron, le président de la FFB, « Ces annonces constituent une véritable première avancée sur un sujet lourd de préoccupation pour les tout prochains mois. Reste à s'assurer de leur prise en compte effective dans les marchés publics et de l'impact qu'elles pourront avoir également sur les marchés privés. Reste aussi à trouver des solutions pour les marchés en cours, lorsqu'ils souffrent d'un choc de prix totalement imprévisible mais sans problème lourd d'approvisionnement. Par ailleurs, la FFB réitère sa demande de prise en charge à 100 % de la mise au chômage partiel de compagnons faute de matériaux ».
Il y a 3 ans et 353 jours

Energie photovoltaïque en Pologne: du soleil au pays du charbon

Longtemps derrière les puissances européennes du solaire, les Polonais ont mis depuis peu les bouchées doubles pour équiper leurs toits d'installations PV, dans un pays qu'on associe rarement au ciel bleu, mais plutôt au smog au dessus des villes et villages chauffés au charbon, dit "l'or noir" national.Les coûts montant en flèche de l'extraction du charbon, des émissions du CO2 et, par conséquent, de l'énergie, semblent avoir commencé à peser sur les porte-monnaies et la conscience du gouvernement et des Polonais."Mieux respirer"Andrzej Machno, 74 ans, compte parmi les premiers à Skawina (sud) à avoir troqué sa vieille chaudière à charbon contre des panneaux photovoltaïques et capteurs thermiques solaires, serrés désormais sur le toit de sa maison familiale."La mairie s'y est investie et on a saisi l'occasion. D'autres ont suivi. C'était un choix excellent", dit à l'AFP l'ancien hôtelier, l'oeil vif et bonne posture, jouant avec son petit-fils dans un jardin fleuri aux premiers rayons du printemps.Même s'il doit compléter ses installations avec une chaudière à gaz, en hiver, les économies sur les factures lui suffisent déjà pour pouvoir rembourser bientôt le crédit contracté pour l'opération."On arrive maintenant à mieux respirer à Skawina", dit M. Machno qui a passé sa vie dans cette ville, symbolisée et polluée durant des décennies par une importante usine d'aluminium, fermée depuis."Ruée au photovoltaïque""On a une ruée aux micro-installations photovoltaïques en Pologne", déclare à l'AFP Ryszard Wnuk, expert en énergies renouvelables à l'Agence nationale pour l'économie d'énergie (KAPE).Et de souligner qu'environ 70% du parc solaire en Pologne est constitué d'équipements de puissance moyenne de 8 kW. L'étape de grandes centrales solaires photovoltaïques commence seulement à se dessiner.En cinq ans, ce pays de 38 millions d'habitants est passé de seulement 187 mégawatt (MW) de puissance installée en photovoltaïque, à 3.935 MW en 2020, l'année où ce chiffre a crû de 155%, selon les statistiques locales.La croissance mondiale moyenne dans ce secteur était de 22% en 2020, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA)."On est loin au-delà des prévisions qui tablaient seulement sur 5.700 MW en 2030", souligne-t-il.Un système simple et avantageux de subventions publiques, environ 1.100 EUR de la part de l'Etat ou, dans certains cas, même davantage offerts par certaines communes, ainsi qu'une solution commode de stockage par opérateur du réseau du surplus d'électricité produit en autoconsommation, "sont aussi à la source du phénomène", estime l'expert.Mot difficile: photovoltaïque"Il y a dix ans, personne en Pologne ne savait prononcer correctement le mot photovoltaïque!", rappelle à l'AFP Dawid Zielinski, 36 ans, le PDG de la société Columbus Energy.Cette ancienne start-up créée il y a sept ans, compte parmi les acteurs majeurs du photovoltaïque et énergie verte en Pologne, emploie 3.500 personnes, est cotée à la Bourse de Varsovie et affiche des ambitions internationales."Aujourd'hui, tout le monde sait que le photovoltaïque, les éoliennes et d'autres énergies renouvelables sont le seul chemin juste pour ne pas payer bientôt de gigantesques factures d'électricité", souligne cet homme débordant d'énergie, rencontré au siège du groupe.Les pérovskitesC'est en quête de solutions du futur, que M. Zielinski a investi dans le lancement imminent de la première chaîne au monde de production industrielle de nouveaux modules photovoltaïques basés sur des cellules en pérovskites.Ces structures atomiques, répandues dans la nature et faciles à obtenir en laboratoire se sont avérées, au fil des recherches internationales, dotées de l'aptitude à former des cellules photovoltaïques dont l'efficacité égale celle des panneaux en silicium.Il y a huit ans, Olga Malinkiewicz, alors doctorante polonaise à l'Institut des sciences moléculaires (ICMol) de l'Université de Valence, en Espagne, a inventé la technologie bon marché de pose de couches de pérovskites par simple impression à jet d'encre.Depuis, la vision de panneaux solaires légers, souples, à taux de transparence et à teinte variables, qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un vaisseau spatial ou un bâtiment, même à l'intérieur, anime les esprits des chercheurs entre Tokyo et Oxford, en passant par Wroclaw (sud-ouest de la Pologne) où Mme Malinkiewicz a installé sa société Saule Technologies.Sa découverte, remarquée par la revue Nature, lui vaut notamment le prestigieux prix du concours Photonics 2, organisé par la Commission européenne, et un autre du MIT.Pourtant, sourit Andrzej Machno, le photovoltaïque a aussi ses inconvénients: "avant je devais charger six tonnes de charbon par mois dans la chaudière puis décharger les cendres alors que maintenant je reste assis, je bois de la bière et j'ai pris du poids!".
Il y a 3 ans et 353 jours

AFEX : le palmarès 2021

Chaque année depuis 2010, l'AFEX, l'association des Architectes Français à l’EXport, organise le Grand Prix AFEX de ...En savoir plus Cet article AFEX : le palmarès 2021 est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 353 jours

Pourquoi les produits en terre cuite permettent de réduire les ponts thermiques ?

Ces déperditions énergétiques engendrent au-delà de l’inconfort dans l’habitat, des factures de chauffage élevées et des émissions de CO2 supplémentaires. Plus un logement est bien isolé, plus ce dernier aura la capacité de limiter les ponts thermiques, et donc de garder la chaleur à l’intérieur du logement.Terre cuite bio’bric : un matériau 100% français naturellement isolant Les solutions constructives bio’bric sont fabriquées à base d’argile ; ressource locale renouvelable extraite à proximité des 9 sites de production répartis en France. La cuisson de l’argile permet de transformer le matériau en terre cuite et de lui conférer un fort pouvoir isolant. La haute performance thermique des briques est liée à leur géométrie, et notamment leurs alvéoles. Plus la géométrie des briques est complexe, plus elles sont isolantes.La performance thermique dans l’enveloppe du bâtiment Plus la résistance thermique de la brique est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires, plus l’enveloppe du bâtiment sera isolée. Les déperditions d’énergie seront significativement réduites et cela permettra de limiter l’épaisseur d’isolant additionnel dans les murs. bio’bric propose ainsi une large gamme de briques allant d’une résistance thermique de 0,75 à 1,5 m².K/W. Elles sont ainsi au minimum 4 fois plus isolantes qu’une maçonnerie traditionnelle non isolante (Rth = 0,2 m².K/W).Des accessoires en terre cuite pour une façade homogèneLes ponts thermiques sont souvent observés au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade. Ils entrainent des problèmes d’inconfort ainsi que des risques de dégradations éventuelles de la construction, comme l’apparition de condensation et de points froids. Le choix d’accessoires comme des planelles isolées ou linteaux / coffres de volet roulant en terre cuite permet d’obtenir une façade 100% terre cuite homogène et une performance pérenne. bio’bric propose des packs associant la brique de mur à ses accessoires en terre cuite pour réduire significativement ces ruptures d’isolation en maisons individuelles et logements collectifs. Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,7 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,5 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Pour en savoir plus : cliquez ici.* Source étude UVED
Il y a 3 ans et 353 jours

Chryso dans la ligne de mire de Saint-Gobain

ACQUISITION. Le spécialiste des adjuvants et produits pour le béton, Chryso, est sur le point d'être racheté par Saint-Gobain. Avec cette opération, le groupe de matériaux souhaite se renforcer sur le marché de la chimie de la construction.
Il y a 3 ans et 353 jours

Le plan de relance continue de monter en puissance

A fin avril, en comptant la baisse des impôts de production, ce sont 30 milliards d'euros qui ont été engagés (c'est-à-dire fait l'objet d'une contractualisation avec un porteur de projet), et environ 20 milliards décaissés, a indiqué le ministère à l'AFP.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire veut déployer d'ici à la fin de l'année 70 milliards d'euros sur les 100 milliards du plan, répartis à peu près équitablement entre des mesures favorisant la transition écologique, la reconquête industrielle, et la cohésion sociale et territoriale.Sur le volet écologique, 9 milliards d'euros ont été engagés, dont 4 pour la recapitalisation de la SNCF.Le dispositif MaPriveRénov, pour aider les ménages à faire des travaux dans leur logement, a suscité 252.000 demandes entre janvier et avril, après 200.000 en 2020, pour un montant total de 770 millions d'euros.180.000 primes à la conversion et plus de 150.000 bonus écologiques ont désormais été accordés depuis juillet 2020.Sur le volet consacré à la cohésion sociale et territoriale, 9,5 milliards d'euros ont été engagés, dont 2,7 pour le soutien aux collectivités. Le plan "1 jeune, 1 solution" de soutien à l'emploi a bénéficié à 1,5 million de moins de 26 ans à fin avril.Le volet dédié au développement industriel atteint lui des engagements d'environ 5 milliards d'euros (hors 10 milliards de baisse des impôts de production).1,3 milliard d'euros ont ainsi permis à 1.450 entreprises de réaliser plus de 5,9 milliards d'euros d'investissements productifs à fin avril. Près d'une entreprise industrielle sur trois, a déposé un dossier au guichet "industrie du futur", dédié à la numérisation et à la robotisation.Face à l'afflux de demandes, le gouvernement a réabondé de 1 milliard d'euros ce volet, en ponctionnant d'autres enveloppes au démarrage plus lent.Comme annoncé lundi par le Premier ministre, 350 millions d'euros viendront aussi compléter le "fonds friches", également victime de son succès.Ces réallocations se justifient car ces mesures "auront vraiment un impact soit sur la modernisation des entreprises (...), soit en terme d'attractivité des territoires, et ça participe aussi à la branche emploi du plan de relance", justifie-t-on à Bercy.Aucune autre mesure ne sera sacrifiée, assure toutefois le ministère, qui ne précise pas lesquelles ont été ponctionnées mais donne rendez-vous plus tard dans l'année pour faire le bilan des sous-consommations du plan.Un point devrait déjà être fait dès cet été, lors de la concertation voulue par le Président de la République pour "inventer un deuxième temps de la relance".Par ailleurs, alors que des critiques sont remontées sur le manque de lisibilité du plan et la complexité d'accès à certaines mesures, Bercy assure être "à l'écoute", et avoir corrigé le tir.Un guide dédié aux très petites entreprises a vu le jour, certaines procédures d'appels à projets ont été revues, par exemple pour réduire le nombre de guichets d'accès, défend-on au ministère.
GDA
Il y a 3 ans et 353 jours

Covid, baisse des constructions, pénuries : le plancher chauffant malmené depuis 2020

MARCHÉ. Sans surprise, le confinement strict du printemps 2020, couplé à la baisse des mises en chantiers ainsi qu'aux difficultés d'approvisionnement en matières premières, fragilisent le secteur du confort hydraulique. Les planchers chauffants-rafraîchissants sont à la peine, l'hydro-distribution s'en tire mieux.
Il y a 3 ans et 353 jours

McPhy envisage l'installation d'une méga-usine d'électrolyseurs à Belfort

"Cette future usine aura vocation à jouer un rôle majeur dans le passage à l'échelle industrielle de l'électrolyse", a avancé dans un communiqué Pascal Mauberger, le président de cette entreprise de la Drôme spécialisée dans la production et le stockage d'hydrogène.Belfort est le seul site présélectionné et la décision finale d'investissement devrait être prise d'ici fin 2021 en fonction de "la finalisation des études préliminaires", de "l'obtention des autorisations administratives" et des financements nécessaires, a expliqué McPhy.L'objectif est de démarrer la production dans cette usine de 20.000 m³ au premier semestre 2024.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'est réjoui de cette "excellente nouvelle notamment pour les habitants du Territoire de Belfort", qui a souffert de réductions d'emplois et d'activités sur ses sites phare de General Electric et Alstom."L'hydrogène est source de croissance, d'emplois et de développement industriel pour nos territoires", a affirmé le ministre, rappelant que "la France avait fait le choix stratégique de l'hydrogène en investissant 7 milliards d'euros sur cette technologie d'ici 2030".Environ 400 emplois"A pleine charge", la "gigafactory" de McPhy représenterait "plus de 500 emplois, dont environ 400 en France, et une centaine en Allemagne et Italie", sans compter les emplois indirects qui pourraient en découler, a indiqué l'entreprise.Lors d'une conférence de presse, le maire LR de Belfort Damien Meslot a évoqué "320 postes industriels et 120 postes de bureaux parmi lesquels de nombreux ingénieur et techniciens, mais aussi des ouvriers qualifiés, manutentionnaires, personnel administratifs".Alors que le coût de construction de cette usine est de 30 à 40 millions d'euros, McPhy avait reçu l'engagement d'un soutien à hauteur de 10 millions d'euros du "fonds Maugis" si elle s'implantait à Belfort.Ce fonds destiné à financer la réindustrialisation et la diversification du nord-Franche-Comté, est alimenté par la pénalité de 50 millions d'euros versée par General Electric (GE) pour n'avoir pas créé 1.000 emplois comme promis lors du rachat de la branche énergie d'Alstom en 2015."C'est l'avantage concurrentiel qu'on avait par rapport aux autres régions, je pense que cela a dû peser dans la balance", a estimé Philippe Petitcolin, porte-parole de l'intersyndicale de GE Belfort et président d'Apsiis, une association créée pour susciter la création d'entreprises et le développement de projets dans l'ingénierie de l'énergie à Belfort.La région Bourgogne-Franche-Comté "va mettre presque 100 millions d'euros sur la filière hydrogène" au total et "McPhy bénéficiera aussi de différents dispositifs de la région", a promis le conseiller régional Arnaud Marthey (PS).Belfort a aussi tiré profit d'une "structuration préalable d'un écosystème industriel, de recherche et développement", d'un "bassin d'emplois industriels et d'un environnement attractif" au sein "d'un carrefour de l'Europe", a détaillé McPhy.Vitrine de l'hydrogèneSi le choix de Belfort n'en est encore qu'au stade "des annonces", c'est néanmoins "de très bon augure, car, avec le principal donneur d'ordre, General Electric, qui se désengage, la présence de nouveaux acteurs va permettre de reconstruire un écosystème autour de l'énergie décarbonée, dont l'hydrogène est partie prenante", s'est réjoui M. Petitcolin.Belfort souffre depuis plusieurs années des restructurations successives des deux piliers de l'industrie locale, General Electric et Alstom, avec plus d'un millier d'emplois détruits au gré des fusions d'activités et de projets de diversification mis à mal par la crise sanitaire.L'hydrogène est du coup présenté depuis quelques mois comme une planche de salut pour l'industrie locale, ce secteur jugé d'avenir par le gouvernement français pouvant être un dénominateur commun aux deux filières locales de la mobilité et de l'énergie."On pense que l'implantation de McPhy va attirer un certain nombre d'entreprises qui tournent autour de l'hydrogène" et "en faire une vitrine", espère Damien Meslot.
Il y a 3 ans et 353 jours

Les nouvelles tuiles Erlus sur le toit d’une maison individuelle

Le chantier a été couvert avec le nouveau modèle Level RS® d’ERLUS et a nécessité 2 500 tuiles, posées sur une surface de 230 m².Moderne et rectiligne, Level RS® protège efficacement les toits à faible pente sans aucune sous-construction étanche.Les tuiles Level RS®, une solution convaincante pour les toits à faibles pentes« Grâce à son triple emboîtement latéral et de tête, la tuile plate Level RS® peut être posée pour les pentes particulièrement faibles. Sur ce chantier, l’entreprise Poeschl a misé sur la nouvelle tuile pour faibles pentes d’ERLUS et un écran de sous-couverture HPV. »Dès la mise en œuvre de la tuile plateLevel RS® qui est certifiée selon la norme prEN 15601 a fait le bonheur des poseurs. En dépit de la faible pente cette tuile dispense les prescripteurs et les couvreurs de la mise en œuvre d’une sous-couverture fastidieuse et coûteuse.Or, cette étape aurait été indispensable avec des tuiles à pureau plat conventionnelles. « La combinaison d’une tuile moderne et rectangulaire avec une pente faible2nous facilite grandement le travail », s’enthousiasme le maître-charpentier Stephan Poeschl. « Les charpentiers s’orientent de plus en plus vers les toits à faible pente, tandis que les clients souhaitent de plus en plus des toitures avec des tuiles d’aspect plat. Or, les tuiles disponibles sur le marché peinent à contenir la pluie dans une configuration à faible pente », poursuit-il. « La nouvelle tuile à triple emboîtement Level RS® d’ERLUS s’est révélée vraiment solide. Nous n’avons pratiquement pas eu à déplorer de casse sur le chantier. Ce sans-faute a enchanté nos collaborateurs ».La nouvelle tuile ERLUS est déjà le troisième modèle de tuile spécialement développé par ERLUS pour les toits à pente particulièrement faible. La tuile Level RS® est disponible en rouge profondou ardoise intense. Sur ce chantier, la couleur ardoise intense a été retenue.Une grande résistance à la pénétration des eaux pluvialesEn matière d’étanchéité à l’eau, la tuile Level RS® combine deux grands avantages. D’une part, elle présente un degré d’absorption d’eau minime grâce à sa cuisson en qualité clinker à 1.200 degrés.D’autre part, son triple emboîtement latéral et de tête favorise l’évacuation de l’eau de pluie. Ainsi, même avec des configurations en très faibles pentes (pente nominale de 16 degrés ou pente minimale de 10 degrés en pose croisée), la sous-construction reste au sec.Une grande résistance au vent et à la grêleLa tuile Level RS® possède une grande résistance au vent. En pose croisée, on peut même se passer de crochets. Sur ce toit en croupe, les tuiles ont quand même été pannetonnées sur le côté des arrêtes. Le crantage anti-tempête, que l’on trouve sur les autres tuiles mécaniques de la gamme, garantissent un positionnement exact des crochets de type I ou II. « La pose de crochets peut ralentir le chantier. Nous utilisons donc habituellement le crochet anti-tempête II, qui se positionne rapidement d’une seule main et d’un simple clic ».La tuile Level RS®, à l’instar de toute la gamme ERLUS, possède un haut niveau de certification contre la grêle. Elle atteint la classe 4 de résistance, c’est-à-dire que des grêlons d’une taille de quatre centimètres de diamètre n’abîment aucunement la tuile. Ce modèle appartient à la famille grand moule ERLUS-XXL et fait partie du groupe de pureau de 38,5 centimètres.Une mise en œuvre très facile sur le chantierAvec son poids plume de seulement 4,8 kg et son bel emboîtement périphérique, la tuile Level RS®se révèle très facile à mettre en œuvre. Cette maison individuelle cubique au toit à 4 pans très plat était parfaitement adaptée pour un premier test de pose. Stephan Poeschl, gérant de l’entreprise éponyme, a été enchanté par la qualité de la tuile à pureau plate en couleur ardoise intense. « Le modèle séduit non seulement du point de vue visuel, mais marque également des points en raison de sa compatibilité avec les toits à faible pente. Lors de la mise en œuvre également, la tuile a impressionné nos collaborateurs par sa grande stabilité et son excellente assise en pose croisée ». Les travaux de coupe au niveau des arrêtes ont été très faciles à réaliser. Grâce à la solidité et à la qualité de la tuile, il n’y a pratiquement pas eu de casse.Toute une gamme d’accessoires de marque ERLUSAu niveau de la cheminée, les charpentiers ont installé un marchepied de 80 centimètres pour le ramoneur. Même avec des pentes de toit de 16 degrés, ces « installations pour travaux de ramonage », précisées dans la norme DIN 18160-5, demeurent judicieuses sur la surface lisse des tuiles engobées.Tous les accessoires en aluminium ERLUS se montrent très robustes et résistants à la corrosion. Sur cette toiture, les couvreurs ont intégré une tuile de ventilation sanitaire ALU en diamètre 125 mm et une tuile de ventilation en alu en diamètre 150 mm, en parfaite harmonie avec le modèle de tuile et la couleur du toit. Le revêtement engobé haut de gamme (qualité façade), en accord avec la couleur individuelle des tuiles, permet de créer un aspect homogène et durable pendant des dizaines d’années.Parmi les accessoires originaux, le fabricant fournit également le support de panneaux solaires ALU-SYSTÈME(voir l’image), réglable en hauteur (20 mm) et certifié selon la norme EN 15 601. Désormais, même les rénovations avec des pannes et des chevrons transversaux peuvent accueillir des installations solaires en ligne droite. Ce support dispose d’une charge nominale exceptionnellement élevée, qui ne repose pas sur les chevrons. Le poids est transmis à la construction sous-jacente par l’intermédiaire d’une structure de planches. Cette dernière peut même être installée sur des systèmes d’isolation sur chevrons. Cet accessoire ingénieux permet enfin de diminuer sensiblement le nombre de supports nécessaires par rapport aux fixations conventionnelles et représente une économie non négligeable. Les panneaux solaires peuvent ainsi être installés rapidement et de manière sûre sans abîmer le toit.La nouvelle tuile Level RS® et les accessoires de marque ERLUS assortis sont disponibles en France dans les négoces spécialisés.
Il y a 3 ans et 353 jours

Une touche de magie : un emballage pour les produits cosmétiques sans pollution aux microplastiques

Sulapac launches a revolutionary innovation. Today, water-based products can be packaged with a new material, Sulapac barrier, which is bio-based and capable of biodegrading without leaving permanent microplastics in the environment.   The barrier is no longer an obstacle The beauty and personal care products industry represents more than 500 billion USD per year and an annual growth of 4.75% is forecast for this market. This explains the enthusiasm of certain precursors who are eagerly looking for packaging solutions that are more respectful of the environment. Even though water-based emulsions represent around 90% of the cosmetic product market, there is still no alternative packaging for these products that would be able to biodegrade without leaving permanent microplastics in the environment. Sulapac invented a new material for them (patent pending). Sulapac barrier is not only environmentally friendly, it also complies with industry standards. Let’s face it: the tests have given fantastic results. * “I am delighted that we have succeeded in creating a barrier that is both environmentally friendly and suitable for water-based products! Its development and extensive testing took longer than expected, but we are now in a position to formalize the news. We are pleased to offer a truly revolutionary product to our customers with industry leaders as our Partner of Choice for Quadpack cosmetics, ”says  Dr. Suvi Haimi, CEO and Co-Founder of Sulapac. Full range Sulapac also announces the launch of a new flexible material designed for thin-walled pots with excellent impact resistance. Its carbon footprint is low thanks to its ecological design with environmentally friendly components and the profitability of its high capacity production method.  With Sulapac barrier, the company’s trusted partners offer a whole range of jars of different sizes for oleic-based and water-based cosmetic products. They also offer a turnkey solution with support throughout the process. “The new barrier material developed by Sulapac allows us to continue to offer innovations that respect the environment and comply with, or even go beyond, market requirements. From new sizes to state-of-the-art technical solutions, Quadpack is pleased to offer all beauty brands an ever-evolving product line, which is made from the Sulapac ® material  ” ,  explains Pierre-Antoine Henry, Category Manager at Quadpack, Sulapac Partner of Choice for cosmetic products. Sulapac has ensured that the transition from conventional plastics to this new material is as smooth as possible. The material for this turnkey solution can be produced on a large scale with existing plastics machinery. It also benefits from a natural look and feel that sets it apart from the competition. Sulapac is beautiful, functional and respectful of the environment, like nature. Currently, industrial composting is the ideal way to recycle a product made from Sulapac material. It biodegrades without leaving permanent microplastics in the environment. Mechanical and chemical recycling are also possible options, and Sulapac is currently developing a closed circuit system. The Take Back Sulapac pilot will be launched very soon. Sulapac recherche actuellement des marques de produits cosmétiques précurseuses pour se joindre à sa mission qui vise à sauver le monde des déchets plastiques. *La perte pondérale tolérée pour un emballage de produit cosmétique est généralement inférieure à 3 %. La barrière Sulapac a mesuré une perte de 1,3 % dans un pot Sulapac en 4 parties rempli d’émulsion à 40°C, sur une période de douze semaines.   À propos de Sulapac Sulapac® est une innovation primée et brevetée en matériau biologique pour l’économie circulaire. Elle accélère la perspective d’un avenir sans déchets plastiques avec des matériaux respectueux de l’environnement à la fois beaux et fonctionnels. Comme la nature. La société Sulapac a été fondée en 2016 par les Dr. Suvi Haimi, Dr. Laura Tirkkonen-Rajasalo et Dr. Antti Pärssinen. WIRED UK a classé la société parmi les 100 startups les plus prometteuses en Europe. Rejoignez les précurseurs sur sulapac.com. Ensemble, nous pouvons sauver le monde des déchets plastiques.   À propos de Quadpack Quadpack est un producteur international et fournisseur de solutions d’emballages améliorés pour les propriétaires de marques de beauté et sous-traitants. Avec des bureaux et sites de production en Europe, aux États-Unis et dans la région Asie-Pacifique, ainsi qu’un réseau stratégique de partenaires de production, Quadpack développe des gammes sur mesure et personnalisées pour des clients prestigieux, masstige et de la grande consommation. Répertorié sur Euronext Growth à Paris depuis octobre 2019, Quadpack s’appuie sur une main d’œuvre forte de 600 personnes pour construire un monde plus respectueux de l’environnement. Pour des informations complémentaires, visitez www.quadpack.com   Informations complémentaires Suvi Haimi CEO and co-founder of Sulapac Sulapac suvi.haimi@sulapac.com +358 44 029 1203 Antti Valtonen Head of Communications Sulapac antti.valtonen@sulapac.com +358 40 729 4793 Mariam Khan Quadpack Press Service Quadpack mariam@summitmediaservices.com +34 93 265 4463   Multimedia database www.mynewsdesk.com/sulapac/latest_media   Find out more www.sulapac.com
Il y a 3 ans et 353 jours

Saint-Gobain en voie d’acquérir Duraziv en Roumanie

Saint-Gobain annonce son intention d’acquérir Duraziv, groupe roumain spécialisé dans la production d’adhésifs et autres solutions à valeur ajoutée de chimie du bâtiment.
Il y a 3 ans et 353 jours

MID Matériels : suivez en direct la première édition digitale !

Energie, numérique, performance et sécurité : le Moniteur Matériels répond aux quatre défis du secteur en créant MID Matériels. Une première édition 100 % innovation à suivre en direct les 2 et 3 juin sur la plateforme digitale www.mid-materiels.com.
Il y a 3 ans et 353 jours

Au Luxembourg, Metaform transforme un entrepôt en siège de DSL

Metaform architects a livré en 2020 à Steinsel la rénovation d’un ancien entrepôt devenu le nouveau siège de DSL, une société spécialisée dans les solutions informatiques. Espace de travail lumineux et collaboratif. Communiqué. « L’objectif principal du projet (1 950 m²) était d’apporter plus de lumière naturelle, de créer un espace de travail lumineux, épuré […] L’article Au Luxembourg, Metaform transforme un entrepôt en siège de DSL est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 353 jours

La Seyne-sur-Mer : la voie ferrée du port de Brégaillon de nouveau opérationnelle

Le terminal multimodal de Brégaillon, de La Seyne-sur-Mer, est à nouveau connecté au réseau ferré national.
Il y a 3 ans et 353 jours

Paris : le trafic de transit interdit dans le centre dès 2022 ?

La mairie de Paris veut faire plus de place aux piétons, vélos et transports en commun dès 2022 dans le centre de la capitale en "réduisant drastiquement" le trafic des véhicules traversant la zone.
Il y a 3 ans et 353 jours

Bouygues repasse dans le vert au 1er trimestre et prévoit un retour à un niveau d'avant-crise en 2022

Le groupe avait accusé une perte nette de 204 millions d'euros l'an dernier à cause notamment de l'arrêt de chantiers lors des premières restrictions liées à la crise sanitaire. Dans un communiqué publié jeudi, le constructeur confirme ses objectifs pour 2021, malgré "un contexte toujours incertain"."En 2021, le chiffre d'affaires et les résultats du groupe devraient être bien supérieurs à ceux de 2020, sans toutefois atteindre ceux de 2019" a assuré jeudi le directeur financier du groupe, Pascal Grangé, lors d'une conférence téléphonique, anticipant une sortie de crise l'année prochaine."En 2022, le résultat opérationnel courant du groupe devrait revenir à un niveau équivalent ou légèrement supérieur à celui de 2019" a-t-il ajouté. Au premier trimestre, le groupe dont les activités vont des chantiers aux télécoms, a vu son chiffre d'affaires progresser de 7%, à 7,742 milliards d'euros, porté par "une activité commerciale solide" et une croissance "dans tous les métiers".Au premier trimestre, les prises de commandes de l'activité "Constructions" ont bondi en France (+35% à 1,142 milliards d'euros), par rapport au premier trimestre 2020 marqué par la mise en place du premier confinement, mais ont reculé à l'international (-12%).A la fin mars, le carnet de commandes progresse légèrement sur un an de 2% à taux de change et périmètre constants, à 33,4 milliards d'euros, malgré un léger repli en France (-2%).Futur géant des médiasSa filiale TF1 affiche une croissance de 3% sur un an, avec un chiffre d'affaires de 510 millions d'euros au premier trimestre.Bouygues a annoncé lundi qu'il comptait débourser 641 millions d'euros pour sceller une fusion entre sa filiale TF1 et son concurrent historique M6, et former un géant français des médias face aux plateformes numériques des GAFA.Cette opération pourrait entraîner des synergies annuelles de "250 millions à 300 millions d'euros à l'issue des trois premières années de la transaction", mais reste soumise à l'analyse de l'Autorité de la concurrence des marchés, indique Bouygues dans son communiqué.Selon M. Roussat, en France "le marché de la publicité digitale", réalisé "au deux tiers par Google et Facebook", est désormais "deux fois plus important que le marché de publicité télé".Les deux mastodontes américains "captent 90% de la croissance de ce marché" a-t-il ajouté pour défendre son projet du fusion, qui présente un risque de monopole sur la publicité audiovisuelle dans le pays.Objectifs confirmés pour Bouygues TelecomSur le marché de la téléphonie, la filiale Bouygues Telecom a amélioré son objectif annuel de rentabilité, a précisé le groupe jeudi.L'opérateur a vu son chiffre d'affaires bondir de 17% au premier trimestre, à 1,7 milliards d'euros, et compte faire progresser son Ebitda (excédent brut d'exploitation), après loyer, de 7% cette année.La rentabilité reste toutefois affectée par la pandémie qui limite les voyages et donc les revenus issus de l'itinérance (à hauteur de 20 millions d'euros).Enfin, la contribution d'Alstom au bénéfice net du groupe s'élève pour sa part à 121 millions d'euros, contre 35 millions l'an passé, a précisé le groupe jeudi.Cette hausse s'explique essentiellement par la cession en mars des parts du constructeur-ferroviaire détenues par Bouygues, qui ne possède plus désormais que 3,12% du capital d'Alstom.
Il y a 3 ans et 353 jours

Artificialisation : le projet de loi Climat et résilience "pas satisfaisant" pour le Sénat

RAPPORT. Un groupe de travail sénatorial critique l'objectif de réduction de 50% du rythme d'artificialisation des sols de manière uniforme sur le territoire, que porte le projet de loi Climat et résilience. Cet objectif procède d'une logique "résolument centralisatrice" et qui ne prend pas en compte les besoins différenciés des territoires. Les auteurs proposent de "territorialiser, articuler et accompagner" les collectivités.
Il y a 3 ans et 353 jours

Saint-Gobain s’offre Chryso

Saint-Gobain annonce le rachat de Chryso. [©ACPresse] Saint-Gobain poursuit sa stratégie de développement et annonce le rachat de Chryso. Spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de solutions de chimie pour la construction, ce dernier compte près de 1 300 collaborateurs. Et a enregistré ces 12 derniers mois un chiffre d’affaires de 400 M€ et un Ebitda de 85 M€. Saint-Gobain financera cette transaction via la trésorerie générée par les cessions réalisées ces dernières années. Lire aussi : – Saint-Gobain nomme une nouvelle directrice du digital– Weber : “Vert et fier” de sa démarche RSE– Saint-Gobain : 100 M€ par an pour la neutralité carbone « L’acquisition de Chryso est une opportunité unique pour Saint-Gobain de développer davantage notre présence, d’ores et déjà, forte sur le marché en croissance de la chimie de la construction, déclare Pierre-André de Chalendar, Pdg de Saint-Gobain. Elle est parfaitement alignée avec notre stratégie ESG1 d’offrir à nos clients une proposition de valeur axée sur la durabilité et la performance. Nous sommes impressionnés par l’historique de croissance rentable de Chryso sur les dernières années et très heureux d’accueillir Thierry Bernard, Pdg de Chryso et son équipe au sein de notre groupe. » Renforcer sa position sur le marché de la chimie de la construction En effet, cette transaction permettra à Saint-Gobain de renforcer sa position et sa plate-forme de croissance sur le marché de la chimie de la construction. « La demande mondiale d’additifs est attendue en progression d’environ + 7 % par an sur la période 2021-2025, surperformant le marché de la construction, détaille le groupe dans un communiqué. Dans les pays émergents, la demande pour les solutions encore peu exploitées, continuera d’être portée par l’urbanisation, l’accroissement des dépenses d’infrastructure, les solutions prêtes à l’emploi. Mais aussi, les gains d’efficacité. Dans les économies développées, la demande sera principalement tirée par les exigences de durabilité. Ainsi que par les besoins de productivité et la performance à la fois technique et esthétique des solutions proposées. » Lire aussi : – Saint-Gobain adapte sa stratégie face à la pandémie– Chryso signe un partenariat avec Solidia pour déployer les bétons bas carbone– Chryso : De plus en plus actif dans la chape De plus, pour Saint-Gobain, c’est aussi une façon de consolider sa stratégie tournée vers la transition écologique et la performance. Par exemple, dans le domaine du béton bas carbone. « La mise en commun des capacités de R & D accélérera le développement technologique de Chryso. Avec comme objectif de se classer au premier rang des solutions innovantes pour la construction durable. » Avec ce rachat, près de 35 M€ de synergies de vente devraient être générées grâce à une plate-forme commerciale commune élargie. Cette dernière permettrait d’accélérer la croissance de Chryso dans des pays majeurs où la société opère. Et ce, grâce à la forte présence de Saint-Gobain (comme les Etats-Unis et l’Inde). De vendre les produits dans de nouveaux marchés où le groupe français dispose d’une forte présence comme le Brésil ou l’Asie du Sud-Est. Mais aussi, de développer des opportunités de ventes croisées entre Chryso et Saint-Gobain Weber en Europe Occidentale. Après validation des autorités compétentes et des instances représentatives du personnel, la transaction devrait se finaliser au second semestre 2021.
Il y a 3 ans et 353 jours

Une géométrie bien supportée

La mise en œuvre de l'enveloppe complexe de cet édifice multifonction a requis une méthode de pose précise des ossatures acier de support de la surtoiture, qui suivent les variations d'inclinaisons liées à la volumétrie du projet.
Il y a 3 ans et 353 jours

Jean Tschumi se dévoile à la Cité de l’architecture

La Cité de l’architecture & du patrimoine célèbre sa réouverture avec une rétrospective, inédite... Cet article Jean Tschumi se dévoile à la Cité de l’architecture est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 353 jours

Eiffage confirme ses objectifs annuels après un premier trimestre en hausse

Eiffage, géant français du BTP, a vu son chiffre d'affaires augmenter de 6% au premier trimestre, à 3,97 milliards d'euros, un an après avoir souffert des premières mesures de restrictions liées au Covid-19.
Il y a 3 ans et 353 jours

Yubii Home, le cœur d’une nouvelle expérience de maison intelligente

Compatible avec plus de 3.000 appareils d'autres marques, Yubii Home, box domotique unique, permet à l'utilisateur de contrôler l'ensemble de sa maison intelligente grâce aux assistants vocaux Amazon Alexa, Google Assistant et Siri. Ce nouveau système peut prendre en charge une caméra IP et jusqu'à 5 dispositifs via le cloud.L'idée de la maison intelligente atteint désormais sa pleine expression avec Yubii Home. Ce nouveau système permet de recevoir les données des différents capteurs, de les traiter et d’interagir suivant les informations collectées.Avec Yubii Home, les commandes vocales et le contrôle à distance sont facilités. Par exemple, l’utilisateur peut programmer les lumières pour qu'elles s'allument le matin, ouvrir la porte du garage ou créer l’atmosphère souhaitée grâce aux différentes possibilités de réglage des éclairages. Le résultat est un environnement unique, personnel, intelligent et confortable qui répond aux besoins de chacun.Les points forts de Yubii Home sont non seulement le confort et la simplification des activités quotidiennes, mais aussi et surtout l'accent mis sur la durabilité, les économies et le bien-être.Conformément à la stratégie verte de l'entreprise, l'un des objectifs de Yubii Home est de minimiser l'impact environnemental des maisons en contrôlant intelligemment le chauffage et l'éclairage, en surveillant les appareils électriques afin de réduire leur consommation. Des petits gestes quotidiens qui peuvent avoir un grand impact sur l’environnement mais également sur le budget de la famille.Le bien-être devient également primordial, grâce au contrôle de l'humidité, au chauffage intelligent, à la mesure de la qualité de l'air, à la détection du monoxyde de carbone et à la notification des situations dangereuses, afin de garantir à tout moment les bonnes conditions environnementales pour le foyer.Yubii Home – Your new smart home experience from Nice Group on Vimeo.Yubii Home, une solution complète pour chaque élément de la maisonÉclairageGrâce aux capteurs de mouvement, aux micromodules électriques et aux commandes automatiques intelligentes, il n'est plus nécessaire d'allumer et d'éteindre constamment l'éclairage dans toute la maison.SécuritéUne large gamme de détecteurs d'inondation, de monoxyde de carbone et de fumée, de capteurs de porte/fenêtre et de caméras permettent de protéger l’intérieur, de manière fiable et continue contre tout danger, même invisible.ChauffageYubii Home permet à l’utilisateur de gérer le confort dans chaque pièce grâce au contrôle des vannes thermostatiques intelligentes, des thermostats, des prises murales et des interfaces Wifi pour la climatisation.Portail et portes de garageYubii Home est compatible avec les portails et portes de garage automatisés, ainsi, l’utilisateur peut contrôler leur fermeture et ouverture à distance.Solutions de protection solaireL’utilisateur a la possibilité d’automatiser les volets roulants, les stores et les pergolas au système Yubii Home afin de gérer intelligemment la lumière naturelle et augmenter l'efficacité énergétique de la maison.ÉlectricitéGrâce aux prises et interrupteurs intelligents connectés aux appareils tels que le lave-vaisselle, le lave-linge ou le four, Yubii Home peut les allumer ou les éteindre en cas de besoin, surveiller et mesurer leur consommation d'énergie, et protéger la maison contre les surcharges électriques. Pour les appareils à basse tension, le Smart Implant, est un module miniaturisé qui rend intelligents tous types d’objets même les plus anciens.
Il y a 3 ans et 353 jours

Le marché des produits de la salle de bains a reculé de 5,4 % en 2020

La fermeture des showrooms n'a pas été très favorable aux acteurs de la salle de bains, comme en atteste l'étude de marché diffusée par l'Afisb jeudi 20 mai.
Il y a 3 ans et 353 jours

L'architecture déconfinée: visite au Château La Coste, un vignoble pour architectes

Diplômés des Ensa de Marseille et Grenoble, Sophie Delage, Mathieu Grenier et Pierre Le Quer ont fondé l'Atelier Combas à Nice en 2011, rejoints en 2019 par Eric Grenier. En 2018, l'atelier Combas est lauréat des Ajap. Il livre également la réhabilitation de la cuisine centrale de Nemours, qui inaugure une réflexion sur le statut des […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 353 jours

Construction hors-site - Quel contrat pour un mariage à trois?

Maître d'ouvrage public, concepteur et industriel butent encore sur l'absence d'outils juridiques adaptés.
Il y a 3 ans et 353 jours

Mours : l’école Jacques-Prévert va bénéficier d’une rénovation thermique

D’ici 2023, le groupe scolaire Jacques-Prévert aura divisé sa facture énergétique par trois.
Il y a 3 ans et 353 jours

Hénonville : une cure de jouvence pour l’église de la Trinité

La réhabilitation de l’église de la Trinité requiert un montant de 500 k€.
Il y a 3 ans et 353 jours

Pas d'enquête complémentaire sur un défaut d'entretien du balcon effondré à Angers

Cette demande avait été formulée auprès de la chambre de l'instruction par les avocats de deux des cinq mis en examen et par ceux des victimes et de leurs familles. Tous estimaient que les expertises et l'enquête des deux juges d'instruction d'Angers avaient trop vite écarté l'hypothèse d'un défaut d'entretien des balcons et réclamaient des investigations en ce sens.Un des jeunes blessés dans l'accident, qui avait lui-même été locataire de l'appartement où s'est déroulé le drame, avait signalé que ce balcon bougeait, quelques mois avant le drame.Dans leur décision, les juges expliquent que les défauts de construction relevés par les expertises n'étaient pas détectables, même par des professionnels, et qu'il n'est ainsi pas certain que la mesure du danger aurait été prise, avec des mesures adaptées.Sauf pourvoi en cassation, cette décision clôt l'enquête qui n'attend plus que l'ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel pour homicides et blessures involontaires.Cinq personnes sont mises en examen dans cette affaire: l'architecte Frédéric Rolland, le dirigeant de l'entreprise de maçonnerie Patrick Bonnel et deux salariés de son entreprise (un conducteur de travaux et un chef de chantier), ainsi que le chargé d'affaire de l'Apave, l'organisme de contrôle de construction et des installations.Le parquet a requis en mars le renvoi en correctionnelle des cinq protagonistes pour homicides et blessures involontaires.Le soir du 15 octobre 2016, une trentaine de jeunes participaient à une pendaison de crémaillère dans un appartement situé au troisième étage d'un immeuble du centre d'Angers. Alors que dix-huit d'entre eux se trouvaient sur le balcon, celui-ci s'était subitement décroché entraînant dans sa chute les balcons des étages inférieurs.Les expertises menées sur cet immeuble résidentiel construit en 1996 et 1997 ont montré d'importants défauts de construction et de ferraillage des balcons.
Il y a 3 ans et 353 jours

Un deux-pièces ordinaire devient un séduisant duplex

ELEGANCE. Sans âme et mal agencé, ce petit duplex nantais avait besoin d'un nouveau souffle. Astucieusement réorganisé, il a gagné en confort, mais surtout en charme et en caractère grâce à une décoration élégante.