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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 359 jours

Une remontée des taux des crédits immobiliers menace de fragiliser le secteur dans son ensemble

Un démarrage rapide d'une économie meurtrie par la crise se traduit bien souvent par une remontée des taux obligataires afin d'encourager les placements dans les emprunts d'État, devenus plus rentables. Cette remontée des taux d'intérêt sur les obligations américaines a eu, dès le mois de mars 2021, une répercussion directe sur le marché obligataire européen. Cela se traduit désormais par une tension générale sur les taux, notamment sur le marché du crédit immobilier.Au mois d'avril 2021, La Centrale de Financement constate une augmentation des taux de crédit immobilier de 0.04%, en moyenne, sur l'ensemble des durées de prêt. Une hausse à laquelle s'ajoutent une perte continue du pouvoir d'achat des ménages, une pénurie de biens en vente sur le marché et l'application toujours rigoureuse des recommandations du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) sur l'octroi de crédit. La Centrale de Financement met donc en garde sur l'augmentation certaine du nombre de refus de crédit dans les mois à venir, risquant de pénaliser, à nouveau, les primo-accédants et de déstabiliser le secteur dans son ensemble...Si les niveaux généraux des taux de crédit immobilier demeurent malgré tout attractifs, leur récente augmentation intervient dans un contexte particulièrement tendu et déjà drastique vis-à-vis de l'octroi de crédit, en raison :d'une pénurie de biens immobiliers en vente (dans l'ancien comme dans le neuf), qui tend à renforcer la tension pesant sur le marché du crédit immobilier et sur le prix des biens, notamment dans le neuf (particulièrement affecté par la diminution du nombre de permis de construire accordé). Le marché du neuf risque également d'être impacté par la nouvelle réglementation énergétique RE2020, qui entrera en vigueur à l'été 2021, et qui devrait accroître encore davantage les coûts de construction des biens immobiliers...« L'augmentation des prix des biens implique naturellement une diminution du volume des demandes de crédit, notamment de la part des ménages les plus modestes dont les revenus ne leur permettent plus de se positionner sur le marché. », précise Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.du maintien, par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), de critères restrictifs vis-à-vis de l'octroi de crédit immobilier (35% d'endettement maximum, en incluant le coût de l'assurance emprunteur, et une durée maximale d'emprunt de 27 ans, pour l'immobilier neuf) qui diminuent mécaniquement le volume de dossiers d'emprunt accepté par les banques.du rapprochement des taux de crédit immobilier des taux de l'usure[1], générant un effet ciseau[2] particulièrement préjudiciable aux emprunteurs les plus modestes ou considérés comme « à risque » par les assureurs, et dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance-de prêt compris)...?d'une vigilance accrue des banques vis-à-vis des demandes de crédit immobilier ; dans un contexte économique fragilisé par la crise, les établissements bancaires examinent les dossiers d'emprunt avec une attention soutenue et requièrent des garanties supplémentaires pour s'assurer de la solvabilité des emprunteurs. Le montant d'apport personnel a notamment augmenté de plus de 20% entre le premier et le second semestre 2020, selon les chiffres de la dernière étude annuelle réalisée par La Centrale de Financement[3].« Cette hausse des taux, après une période particulièrement avantageuse pour l'emprunt, s'inscrit dans un contexte toujours aussi restrictif vis-à-vis de l'octroi de crédit et dans une tendance inflationniste durable, qui menace le pouvoir d'achat des emprunteurs... Nous anticipons une augmentation significative du nombre de refus de crédit, dans les mois à venir, au détriment premier des emprunteurs les plus modestes, en particulier des primo-accédants, et risquant de fragiliser le secteur dans son ensemble ! »Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementMai 2021 : une remontée des taux sur l'ensemble des durées de prêtAprès une légère baisse des taux au mois d'avril 2021, le mois de mai débute avec une nouvelle hausse, sur l'ensemble des durées de prêt. Ainsi, avec les taux annoncés en mai 2021, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 25 ans à 1,28 % verra sa mensualité s'élever à 701,46 euros pour un coût total de crédit de 30 438 euros, soit 5% de plus que le mois précédent (correspondant à un coût supplémentaire de plus de 1 500 euros) pour un prêt de la même durée et du même montant. Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de mai 2021 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées sont en hausse de 0.04%, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : les hausses de taux de crédit les plus significatives s'observent principalement pour les prêts contractés sur 7 ans, 12 ans et 25 ans, avec une augmentation de 0.05 % et 0.06 % respectivement par rapport à avril 2021. Les meilleurs taux immobiliers de mai 2021 par durée d'empruntLes meilleurs taux obtenus sur le mois de mai 2021 sont, pour la majorité des durées d'emprunt, stables et identiques à ceux obtenus au mois d'avril 2021. Pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans, les taux de crédit sont néanmoins en hausse de 0,03 % par rapport à ceux obtenus au mois d'avril ; pour les prêts contractés sur 20 ans, les meilleurs taux obtenus en mai 2021 sont plus avantageux que ceux du mois précédent, avec une baisse observée de 0,04 %, en moyenne.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en avril 2021L'emprunteur type du mois d'avril 2021
Il y a 3 ans et 359 jours

Lingenheld innove dans ses enrobés

Le groupe familial de TP met en route près de Strasbourg (Bas-Rhin) une centrale d’enrobage reposant sur une technologie allemande originale d’injection d’air chaud, gage de bonne maîtrise des températures selon lui.
Il y a 3 ans et 359 jours

Marta González Architects, une architecture émotionnelle au cœur de la capitale espagnole

L’agence Marta Gonzalez Architects s’est fait une place dans le paysage architectural madrilène... Cet article Marta González Architects, une architecture émotionnelle au cœur de la capitale espagnole est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 359 jours

Le Groupe Alkern reprend son expansion avec l’acquisition de la société Become

Le fondateur de la société Become a cédé son activité à Alkern, afin d’assurer la poursuite de son développement au sein d’un groupe réputé pour son savoir-faire d’intégrateur et qui permettra de faire perdurer cette activité au sein d’un leader industriel du béton préfabriqué.Créée en 1983, la société Become a développé une expertise et une gamme de produits auprès des professionnels français qui n’est plus à démontrer. Cette société a particulièrement mis au point toute une gamme de produits pour la gestion des eaux de pluies, le drainage agricole ou les aménagements de voiries provisoires ou définitifs particulièrement importants au moment où se redessinent les nouvelles mobilités urbaines. Associé à un savoir-faire commercial spécifique, cette gamme complètera naturellement celle d’Alkern en mobilier urbain et en génie hydraulique.Become vient donc judicieusement renforcer l’offre Alkern à destination des acteurs des TravauxPublics et de l’aménagement urbain apportant sa notoriété et une présence nationale au travers de partenariats historiques sur l’ensemble du territoire.«Dans le cadre de cette opération, Sylvie Le Bozec, directrice générale de Become, conserve ses fonctions et accompagnera l’intégration de Become au sein du groupe Alkern.» Xavier Janin, Président du Groupe Alkern«Nous sommes ravis d’accueillir les équipes de Become dans notre groupe. La gamme de produits Become viendra compléter celle d’Alkern et nous permettra de renforcer notre activité Travaux Publics etAménagement Urbain.»
Il y a 3 ans et 359 jours

MaPrimeRénov : "Sanctuarisons des aides pour l'isolation des murs", S.Bonnot, Myral

ENTRETIEN. Les aides distribuées par MaPrimeRénov concernent, dans une majorité des cas, le remplacement de systèmes de chauffage. Point qui fait tiquer Sylvain Bonnot, président de Myral, contacté par Batiactu.
Cimbat
Il y a 3 ans et 359 jours

Grande mosquée de Beauvais : les travaux avancent à grands pas

Les travaux de la future grande mosquée de Beauvais pourront être livrés d’ici deux ans.
Il y a 3 ans et 359 jours

La future prison du Val-d'Oise ne sera finalement pas construite à Belloy-en-France, mais à Bernes-sur-Oise

"Nous implanterons à Bernes-sur-Oise une maison d'arrêt, ce qui permettra de créer 750 emplois et d'accueillir de nouvelles familles", a déclaré le chef de gouvernement lors d'un discours à Gonesse de présentation de son "plan Val-d'Oise".Le gouvernement avait dévoilé fin avril les sites choisis pour les nouveaux établissements pénitentiaires de la seconde phase du programme immobilier destiné à créer 15.000 places supplémentaires en prison à horizon 2027, à l'exception notable de celui du Val-d'Oise.L'État avait initialement informé à la mi-mars le conseil municipal de Belloy-en-France, paisible village au milieu des champs à une vingtaine de kilomètres au nord de Paris, que la maison d'arrêt de 700 places allait être construite sur leur territoire.Mais cette annonce surprise avait provoqué une levée de boucliers parmi les 2.200 habitants de cette commune du parc naturel régional Oise-Pays de France, qui estiment leur environnement rural complètement inapproprié à l'implantation d'un centre pénitentiaire.Ces opposants battaient depuis la campagne contre ce projet et devaient organiser samedi une nouvelle manifestation pour maintenir la pression sur l'exécutif."Le collectif est très content, on ne boude pas notre joie", a déclaré Delphine Drapeau, adjointe au maire de Belloy-en-France, jointe par l'AFP suite à l'annonce du Premier ministre.Pour cette nouvelle maison d'arrêt, le ministère de la Justice cherchait un lieu situé dans l'est du Val-d'Oise et à moins de trente minutes de route du tribunal de Pontoise."La maison d'arrêt envisagée dans ma circonscription sera finalement à Bernes-sur-Oise, bien plus approprié que Belloy-en-France. Je me réjouis d'avoir été écouté, tout comme les habitants mobilisés", a tweeté le député LREM Guillaume Vuilletet, qui avait proposé au gouvernement des solutions alternatives.
Il y a 3 ans et 359 jours

La croissance d’Edycem s’appuie sur quatre piliers de long terme

La filiale béton du groupe Herige mise sur le progrès humain, l’économie circulaire, l’innovation et la performance. Une vision qui s’inscrit dans la durée.
Il y a 3 ans et 359 jours

Pureté des formes et humanité de la matière, une extension d'école par Ateliers O-S à Lugrin

Les candidatures pour participer à la 39e édition du palmarès de l'Equerre d'argent sont ouvertes ! Proposez vos réalisations avant le 10 septembre 2021. Décernée depuis 1983, le prix organisé par les rédaction du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 359 jours

Sur MID Matériels, toutes les énergies se mobilisent

Transition énergétique et performances seront à l’honneur lors de la première journée de l’événement digital MID Matériels. Rendez-vous le 2 juin pour partager les stratégies et les dernières innovations des gestionnaires de parcs et fabricants.
Il y a 3 ans et 359 jours

Prix international de la Transformation de Bureaux en Logements – 2e édition

Paris-Île de France Capitale Économique et la Maison de l’Architecture Ile-de-France ont... Cet article Prix international de la Transformation de Bureaux en Logements – 2e édition est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 359 jours

Eiffage remporte un contrat de 180 millions d'euros pour construire un pont en Allemagne

Le contrat a été remporté en groupement avec deux entreprises allemandes de la construction, Hochtief et Max Bögl, "pour un montant de 180 millions d'euros dont 116 millions d'euros pour Eiffage", a précisé le groupe dans un communiqué.Attribué par Autobahn GmbH, gestionnaire du réseau autoroutier en Allemagne, le marché concerne la construction d'un ouvrage d'un peu plus d'un kilomètre sur le Rhin reliant Leverkusen à Trèves, situé sur le tracé de l'autoroute A1.Les travaux doivent "doubler la capacité" d'une infrastructure actuelle "sous-dimensionnée". Ils débuteront immédiatement, pour une livraison estimée à début 2024 au plus tard, selon le communiqué.Les 16.000 tonnes d'acier nécessaires pour la réalisation de ce pont seront fabriquées dans les usines européennes du groupe, dont l'usine de Lauterbourg en Alsace, assure Eiffage.
Il y a 3 ans et 359 jours

La collection de plafonds Knauf s’embellit de nouveautés inspirantes

Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, Knauf annonce également le lancement de Knauf Single Smart, une nouvelle solution d’îlots et baffles acoustiques pour murs et plafonds, conjuguant une esthétique sobre et aérienne à une acoustique performante.Rold12 : un design qui bousculeInspiré par les forêts du Danemark, Rold12, apporte une signature moderne, empreinte de nature en combinant plâtre et aspect bois. La profondeur et la perspective filante créées par ses lattes bousculent la perception usuelle des plafonds modulaires.Fabriqué à partir de 30 % de plâtre recyclé, cette nouvelle référence Knauf Danoline cumule les avantages fonctionnels d’un plafond plâtre démontable. En effet, Rold12 se compose d’une dalle de plâtre Unity 3 (600 x 600 x 12,5 mm, perforation 3,5 x 3,5 mm et entraxe de 8,3 mm) en finition blanche, habillée de 12 lattes trapézoïdales en plâtre (25 x 600 x 12,5 mm) imprimées d’une finition chêne clair (épaisseur totale du complexe de 25 mm). Autres atouts qui séduiront les acteurs de la prescription, le décor pourra être personnalisé sur demande pour des réalisations uniques en leur genre et il sera même possible de sélectionner la direction des lattes, sens transversal ou longitudinal.Knauf Danoline Creative : des plafonds personnalisables à souhaitAvec Danoline Creative, Knauf va plus loin dans le rendu esthétique des dalles de plâtre perforées Unity 3 (perforations carrées) et Unity 4 (perforations rondes) grâce à un procédé de personnalisation par impression, monochrome ou polychrome.À partir d’un fichier haute définition, l’idée de l’architecte prend forme ! Motifs, logos, images ou encore textes… avec Knauf Danoline Creative aucune limite ! Il s’agit là d’une réponse idéale pour conjuguer personnalisation, décoration et performances acoustiques dans les établissements tels que les restaurants scolaires, EHPAD, écoles, salles de concert, amphithéâtres, etc.Côté performances, la ligne Creative confirme ses atouts acoustiques (αw jusqu’à 0,85 avec laine minérale de 45 mm) et justifie d’un classement feu A2-s1, d0.Ilots et baffles acoustiques Knauf Single Smart : l’acoustique modulable en toute légèretéKnauf Single Smart est un panneau acoustique pour murs et plafonds, réalisé à base de feutre PET (Polyéthylène Téréphtalate), un matériau à haute efficacité acoustique.Cette innovation Knauf permet de traiter la réverbération des bruits et de lutter contre la pollution sonore. Knauf Single Smart apporte ainsi un meilleur confort acoustique de la pièce. Il s’agit là d’une solution idéale pour une grande variété d’environnements de vie et de travail, en neuf comme en rénovation. Décliné en 3 coloris (blanc, gris et basalte), Knauf Single Smart crée un climat ambiant agréable. Knauf Single Smart est classé A+ en termes d’émissions dans l’air intérieur, soit le le meilleur classement existant.Proposé en dimensions de 1200 x 1200 x 10 cm ou en 1200 x 2400 x 10 cm, Knauf Single Smart conjugue esthétique, flexibilité d’utilisation et rapidité de pose. Panneau de fine épaisseur (10 mm), Knauf Single Smart offre un effet maximal dans un minimum d’espace. Avec ses champs uniformes et fins, il ne nécessite pas de cadre de finition et se découpe facilement au cutter pour créer des formes à l’envi (rectiligne, ronde, ou encore en forme de nuage, etc) pour des rendus audacieux.Polyvalent, Knauf Single Smart s’accompagne d’une grande liberté d’installation avec des intervalles de pose et des hauteurs variables pour des agencements créatifs. Léger (moins de 3 kg/m²), Knauf Single Smart s’installe très facilement et rapidement grâce au kit magnétique fourni pour la pose murale et au kit de suspension par câbles pour une pose en plafond.
Il y a 3 ans et 359 jours

JUNIA entame la transformation de son campus à Lille

Le campus lillois de JUNIA, grande école d’ingénieurs des transitions, se renouvelle. Parce que l’on n’apprend plus aujourd’hui comme hier, parce que les disciplines s’enrichissent désormais les unes les autres,…Cet article JUNIA entame la transformation de son campus à Lille est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 359 jours

Le label «  Solar Impulse Efficient Solution » pour une plateforme B2B du BTP

Créée au début de l’année 2021 et soutenue par l’incubateur de la technopole Bordeaux Technowest, et l’entreprise VINCI à travers le programme d’accélération Léonard, Rockease est une plateforme B2B qui permet de simplifier les achats de matériaux de construction pour les professionnels du BTP. De la demande de devis, à la valorisation des déblais, en passant par la facturation et la digitalisation des bons de livraison, tout est disponible en quelques clics. Son objectif est double : diminuer les coûts des matériaux, et réduire l’empreinte carbone du secteur en optimisant la logistique et les transports. La plateforme s’est vue attribuer le label « Solar Impulse Efficient Solution » suite à une évaluation réalisée par des experts externes indépendants et basée sur des normes vérifiées. Elle rejoint ainsi le défi #1000solutions, une initiative de la Fondation Solar Impulse visant à sélectionner des solutions répondant à des critères élevés de rentabilité et de durabilité et à les présenter aux décideurs pour accélérer leur mise en œuvre. Rockease a été évaluée selon 5 critères couvrant les trois thèmes principaux que sont la faisabilité, l’environnement et la rentabilité. Toutes les solutions labellisées font partie du portefeuille #1000solutions qui sera présenté aux décideurs des entreprises et des gouvernements par Bertrand Piccard, Président de la Fondation Solar Impulse. Le but de cette initiative est d’encourager l’adoption d’objectifs environnementaux plus ambitieux et d’accélérer la mise en œuvre de ces solutions à grande échelle. 
Il y a 3 ans et 359 jours

Le label «  Solar Impulse Efficient Solution » pour une plateforme B2B du BTP

Créée au début de l’année 2021 et soutenue par l’incubateur de la technopole Bordeaux Technowest, et l’entreprise VINCI à travers le programme d’accélération Léonard, Rockease est une plateforme B2B qui…Cet article Le label «  Solar Impulse Efficient Solution » pour une plateforme B2B du BTP est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 359 jours

Concours pour un habitat sain

Organisé par REHVA et sponsorisé par le Groupe VELUX, le nouveau concours  « Healthy Homes Design 2022 » dédié aux jeunes professionnels et aux étudiants en ingénierie permet d’identifier des…Cet article Concours pour un habitat sain est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
GDA
Il y a 3 ans et 359 jours

Siège Social Prosol, une ‘Hacienda’ dans le Rhône

L’agence ruthénoise Lacombe / de Florinier a livré en 2019 à Chaponnay (Rhône), pour un budget de 15M€, le nouveau siège social de Prosol. Dans un lieu sans âme, l’Hacienda de 7 630 m² SDP crée un lieu clos et un univers en soi. Communiqué. Les contraintes du site Le terrain de 1,6 Ha se […] L’article Siège Social Prosol, une ‘Hacienda’ dans le Rhône est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 359 jours

Depot Live Show(s), évènement dédié aux revendeurs de matériaux de réemploi

Du 10 au 26 mai, l’évènement Depot Live Show(s) mettra en scène les revendeurs de matériaux de réemploi dans le secteur du BTP autour de présentations, discussions, rencontres et tables rondes.  Cette initiative est organisée dans le cadre du projet  Interreg FCRBE (Faciliter la Circulation des Éléments de Construction de Réemploi), un partenariat regroupant Rotor (BE- Mandataire), Bellastock (FR), Salvo (UK), le CSTB (FR), le CSTC (BE), le BBRI (BE), la Confédération Construction...
Il y a 3 ans et 359 jours

Actis récolte et partage ses avis clients

AVIS CLIENT. Dans un souci de fidélisation et d'information, le fabricant d'isolants réflecteurs, Actis, lance un nouveau dispositif visant à mettre en avant les avis clients : professionnels et particuliers.
Il y a 3 ans et 359 jours

Mort de l'architecte Helmut Jahn dans un accident de bicyclette

M. Jahn a été tué samedi après midi à Campton Hills, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Chicago alors qu'il avait "omis de s'arrêter à un stop" sur une intersection, a indiqué la police.Les deux véhicules automobiles roulaient dans des directions opposées, a précisé la police, ajoutant que le conducteur de l'un d'eux avait été conduit à l'hôpital pour de légères blessures.Après avoir obtenu son diplôme à Munich en 1965, Helmut Jahn s'était installé à Chicago pour étudier à l'Illinois Institute of Technology, un établissement très lié à l'influent architecte moderniste Ludwig Mies van der Rohe.Helmut Jahn s'est fait un nom dans les années 1970 et 1980 avec des constructions à Chicago, parmi lesquelles le Thompson Center et le terminal de la compagnie United Airlines à l'aéroport international O'Hare.Il a aussi participé à la conception du siège du FBI à Washington et a ultérieurement construit le Munich Airport Center ainsi que le Sony Center à Berlin."Helmut Jahn était un des architecte de Chicago les plus inventifs dont l'impact sur la ville (...) ne sera jamais oublié", a déclaré sur Twitter la maire de Chicago Lori Lightfoot."Sa marque architecturale se fera sentir et sera visible à travers la planète pour des générations".
Il y a 3 ans et 359 jours

Parc éolien maritime de Dunkerque : contre les oppositions, l'État persiste et signe

RENOUVELABLES. En déplacement ce 10 mai 2021 à Dunkerque (Nord), la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a réaffirmé la volonté du Gouvernement de conduire les projets de parcs éoliens maritimes "à leur terme" et a écarté de fait tout référendum sur le sujet. Le site qui doit s'implanter au large de la Côte d'Opale suscite de vives oppositions, en France comme en Belgique.
Il y a 3 ans et 359 jours

A quelques encablures de l'Elysée, de nouveaux logements sociaux ont été livrés

INAUGURATION. 23 logements sociaux familiaux ont été construits dans le quartier chic du 8ème arrondissement de Paris. Cette opération illustre la volonté de la ville de rééquilibrer la part de logements sociaux dans la capitale.
Il y a 3 ans et 359 jours

Projet de loi Climat : la ministre s'explique sur l'obligation de travaux

PRÉCISIONS. L'obligation de travaux de rénovation énergétique sera-t-elle vraiment une... obligation ? Questionnée sur le sujet, la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, a répondu sur la chaîne Public Sénat.
Il y a 3 ans et 359 jours

Un incendie ravage une tour de Londres avec le même revêtement qu'à Grenfell

Les pompiers de Londres ont indiqué que l'incendie qui s'est déclaré à Poplar, quartier situé dans l'est de la capitale, était désormais sous contrôle, mais que deux hommes avaient été emmenés à l'hôpital pour avoir inhalé de la fumée.Quatre enfants et 38 autres adultes ont été traités sur place par des équipes soignantes, ont précisé les soldats du feu.Vingt camions de pompiers ont été nécessaires pour éteindre l'incendie déclaré dans cet immeuble de 19 étages situé près du quartier financier de Canary Wharf.En 2017, un puissant incendie avait totalement détruit la tour Grenfell située dans l'ouest de Londres, après que le revêtement extérieur de l'immeuble a pris feu.Environ 20% de la façade de la tour attaquée vendredi par l'incendie est constituée du même revêtement que celui incriminé dans le drame de 2017, à savoir des plaques de composite d'aluminium et polyéthylène."Trop c'est trop", se sont indignés vendredi, devant le nouvel incendie, les survivants de cette tragédie qui avait coûté la vie à 71 personnes et un bébé mort-né."Le gouvernement avait promis de retirer ces revêtements dangereux avant juin 2020. Il n'a absolument pas atteint son propre objectif et chaque jour qui passe met des vies en danger", s'est insurgé dans un communiqué le groupe de soutien Grenfell United, regrettant que "d'autres personnes aient perdu leur maison dans un autre incendie terrifiant".Le maire travailliste de Londres Sadiq Khan a lui affirmé qu'il était "vital que le gouvernement, les promoteurs, les propriétaires d'immeubles et les autorités régionales travaillent ensemble pour retirer de toute urgence ce revêtement de chaque immeuble touché."Selon le promoteur immobilier Ballymore, les travaux de remplacement du bardage étaient déjà "en cours".
Il y a 3 ans et 359 jours

Bercy publie un guide sur les marchés publics "spécial relance" pour les artisans et PME

COMMANDE PUBLIQUE. Pour renforcer le poids de la commande publique dans la relance économique, le ministère de l'Économie et le Médiateur des entreprises publient une édition "spéciale relance" du guide sur les marchés publics. Le document s'adresse aussi bien aux artisans et TPE-PME qu'aux acheteurs publics, afin de les faire se retrouver sur des projets.
Il y a 3 ans et 359 jours

Pompes à chaleur pour la production d’ECS en logements collectifs neufs : les solutions classiques

Voici des solutions pour produire de l’eau chaude sanitaire en collectif à partir de pompes à chaleur air/eau haute température, somme toute assez classiques.
Il y a 3 ans et 359 jours

Cafpi, leader du marché des courtiers va changer de mains

Les fondateurs de Cafpi, courtier en crédits immobiliers, vont céder le contrôle de leur groupe à un fonds d’investissement français, BlackFin Capital Partners.
Il y a 3 ans et 359 jours

Bricomarché et Bricorama déploient des magasins orientés "projets"

TENDANCE. Afin d'améliorer l'expérience client, les enseignes de bricolage, Bricomarché et Bricorama, vont proposer un nouveau concept de magasins orientés clients, baptisé "NEC" (Nouvelle Expérience Client).
Il y a 3 ans et 359 jours

Transformer les bureaux pour répondre à la crise du logement : les questions à se poser

La transformation de bureaux vacants en logements et la réversibilité des bâtiments neufs, répondent aux défis posés par l'évolution du marché du tertiaire et du résidentiel.
Il y a 3 ans et 359 jours

Proposition de loi LREM à l'Assemblée mardi concernant la parité et les quotas en entreprise

Réécrit en commission au Palais Bourbon, l'article 7 de ce texte appelle les entreprises de plus de 1.000 salariés à une proportion d'au moins 30% de femmes chez les "cadres dirigeants et membres des instances dirigeantes" en 2027, et de 40% en 2030.Ces entreprises moyennes ou grandes devront dans un premier temps publier "chaque année les écarts éventuels de représentation entre les femmes et les hommes parmi les cadres dirigeants".En 2030, "dans un délai" maximum "de deux ans", elles devront se mettre en conformité avec la règle de 40% de cadres dirigeantes, sous peine de se voir "appliquer une pénalité financière", plafonnée à 1% de la masse salariale. Le montant, jugé "disproportionné" par le "marcheur" Jean-René Cazeneuve, fait débat.Avant une éventuelle sanction, l'inspection du travail tiendra toutefois compte du volontarisme des entreprises et de leurs secteurs d'activité, certains comme BTP et ingénierie étant particulièrement masculinisés.Porté par la députée Marie-Pierre Rixain (LREM), présidente de la délégation aux droits des femmes à l'Assemblée, ce texte est débattu dix ans après l'adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui imposait 40% de femmes dans les conseils d'administration des entreprises.La loi a permis aux femmes d'occuper en 2019 43,6% des sièges d'administrateurs au sein des 120 plus grandes sociétés cotées en Bourse, contre un peu plus de 26% en 2013.L'attention se porte désormais sur leur place, encore faible, dans les comités exécutifs et de direction. "Il faut des quotas pour renverser la table" car "on ne peut pas se contenter d'avoir 20% de femmes dans les postes de cadres dirigeants", avait martelé Elisabeth Moreno, ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, en mars.Au Medef, le président de l'organisation patronale, Geoffroy Roux de Bézieux, avait déploré le manque de femmes dans ces instances dirigeantes, sans réclamer l'élargissement de la loi de 2011. Pour des postes sans rotation automatique, "il faut que les gens démissionnent ou qu'ils soient licenciés. Si on licencie des hommes pour faire de la place aux femmes, il y a un problème de discrimination" et de "légalité", a-t-il argué."C'est un faux argument, car le tempo est long et permet aux entreprises de revoir leur dynamique de recrutement et de promotion", répond Marie-Pierre Rixain à l'AFP."Ruissellement"En commission, certains élus, notamment à gauche, ont plaidé pour que les mesures s'appliquent aux entreprises dès 250 ou 500 salariés, ou que le quota de femmes soit relevé à 50%. Mais les LREM ne veulent pas mettre sous pression les petites entreprises et espèrent un effet de "ruissellement" des grandes sur les autres, selon la députée Carole Grandjean.La majorité mise sur une adoption avant la fin de l'année d'un texte poussé par le patron des députés "marcheurs" Christophe Castaner.Outre les quotas, il comprend des "objectifs de mixité" dans le soutien aux entreprises de la banque publique BpiFrance, alors que les femmes ont "30% de chances en moins" que les hommes d'obtenir des financements.Il vise en outre à "lutter contre les biais de genre" dans les choix professionnels, quand les femmes ne sont que 26% en écoles d'ingénieur, grâce à un "index de l'égalité" dans les établissements du supérieur et plus de mixité des jurys.Il prévoit "l'obligation" de verser salaire ou prestations sociales sur un compte bancaire "dont le salarié est le détenteur ou le codétenteur".Ce n'est que le 13 juillet 1965 que le Parlement a voté une loi autorisant les femmes à ouvrir un compte en banque à leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari, rappelle la députée Rixain, qui entend par son texte "faire des femmes un acteur économique à part entière".La proposition de loi s'adresse aussi aux 85% de femmes à la tête de familles monoparentales, via formation et places en crèche réservées.Enfin, les députés ont prévu de faciliter l'accès au télétravail des femmes en fin de grossesse.
Il y a 3 ans et 359 jours

Arrestations dans l'Ouest de la France pour travail dissimulé et blanchiment dans le BTP

POLICE-JUSTICE. Une quinzaine de personnes ont été interpellées en Vendée, en Loire-Atlantique et en Ille-et-Vilaine le 4 mai 2021. Elles appartenaient à une organisation soupçonnée de travail dissimulé et de blanchiment d'argent dans le secteur du bâtiment, pour des faits qui se seraient déroulés entre septembre 2018 et avril 2021.
Il y a 3 ans et 360 jours

La Marche d'après pour le climat a réuni dimanche 115.000 personnes partout en France

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 3 ans et 360 jours

La Marche d'après pour le climat a réuni dimanche 115.000 personnes

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 3 ans et 360 jours

La "Marche d'après" a réuni dimanche 115.000 personnes pour le climat

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 3 ans et 360 jours

Découvrez les caractéristiques de cette maison réalisée en béton imprimé 3D

EN IMAGES. Aux Pays-Bas, une maison individuelle réalisée en béton imprimé 3D vient d'être livrée. Le P-DG de la filiale Saint Gobain Weber Beamix, Bas Huysmans, derrière ce projet, détaille auprès de Batiactu les enjeux de cette construction hors norme.
Il y a 3 ans et 360 jours

Transition énergétique : les hôpitaux pourront bénéficier d'une aide à la rénovation

AIDE. Les établissements de santé peuvent recevoir une aide pour leurs projets de rénovation énergétique. Ils ont jusqu'au 6 juillet prochain pour déposer leur dossier.
Il y a 3 ans et 360 jours

Ni nationalisation, ni prolongation des concessions autoroutières

Les dividendes versés atteindraient ensuite environ 40 milliards d'euros, dont 32 milliards pour Vinci et Eiffage, avant la fin des concessions entre 2031 et 2036 pour la plupart d'entre elles, selon le rapport."Il apparaît donc impensable de prolonger les concessions en cours, et si le choix est fait de les renouveler lorsqu'elles arriveront à échéance, il faudra en minima en abaisser la durée", a noté le sénateur Eric Jeansannetas (RDSE), président de la commission d'enquête sénatoriale.A tout le moins, "il faut arrêter la logique infernale travaux-allongement des travaux", a renchéri le centriste Vincent Delahaye, rapporteur de la commission d'enquête, évoquant des contrats "mal ficelés".Il faut au contraire, selon lui, négocier "des travaux complémentaires sans contrepartie", ne pas hésiter à brandir des pénalités, et négocier certaines baisses de péages."Il n'existe aucun rapport ni aucune analyse qui prouverait de manière robuste une surrentabilité des sociétés concessionnaires", a rétorqué Jean-Baptiste Djebbari.Les autoroutes "méritent mieux que des raccourcis et des débats simplistes", a-t-il lancé.M. Djebbari s'est élevé contre le "concession-bashing", rappelant que les sociétés autoroutières ont versé 50 milliards d'euros d'impôts entre 2006 et 2018, période pendant laquelle elles ont investi 20 milliards dans le réseau.Le ministre voit dans la fin prochaine des concessions "l'occasion de faire un débat critique de notre modèle de financement des infrastructures sans complaisance ni démagogie" pour "le faire changer en mieux".Il prône un "meilleur encadrement des contrats" existants, rappelant que des mécanismes empêchaient désormais les "surprofits".M. Djebbari s'est dit défavorable à une interruption des contrats avant leur terme. Une renationalisation coûterait "plus de 47 milliards d'euros" et serait une entrave à l'état de droit, selon lui.Il s'est également prononcé contre un prolongement des concessions en échange de nouveaux travaux. "A trop vouloir prolonger les contrats du passé, nous risquerions d'accroître leur déconnexion avec les attentes des Français", a-t-il relevé.Les contrats doivent cependant être "modernisés", pour notamment accueillir les véhicules électriques et mieux prendre en compte les questions environnementales "et trouver des mécanismes pour une plus grande modération tarifaire", a remarqué le ministre, sans autre précision.Un "sommet des autoroutes" devrait aborder ces questions, a-t-il annoncé.
Il y a 3 ans et 360 jours

Ideal Standard International nomme Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes pour diriger conjointement le groupe

Bruxelles, le 7 mai 2021 – Ideal Standard International, le premier fournisseur de solutions de salle de bains résidentielle, commerciale et médicale de haute qualité, annonce aujourd’hui son intention de nommer Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes pour diriger conjointement le Groupe au poste de Chief Executive Officers suite au départ de Torsten Türling. Jan Peter Tewes a rejoint Ideal Standard International en octobre 2018 en tant que directeur commercial groupe et Jonas Nilsson en janvier 2019 en tant que directeur de l’exploitation groupe. À la suite d’une réorganisation de la société en segments commerciaux en septembre 2020, Jonas Nilsson a été nommé président des produits sanitaires et Jan Peter Tewes en tant que président des produits robinetterie  en plus de son rôle de directeur commercial groupe. L’organisation en Segments marque la réussite d’une transformation majeure. Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes ont tous deux joué un rôle déterminant dans la conduite du changement. Aujourd’hui, l’entreprise est mise à niveau technologiquement, l’entreprise dans son ensemble est plus rationalisée, plus forte et mieux alignée pour répondre aux besoins de ses clients, et ses marques sont reconnues pour leur leadership en innovation et design. Le nouveau logo, introduit pour la première fois en 2017, est devenu une marque bien établie en tant que symbole de la culture «Together for better» de l’entreprise. Avant de rejoindre Ideal Standard, Jan Peter Tewes a occupé le poste de vice-président exécutif Building Europe chez Uponor, où il était membre du comité exécutif du groupe. Auparavant, il a passé plus de 10 ans chez Grohe dans divers rôles de direction. En 2012, il a été nommé directeur du marketing et membre de l’équipe de direction mondiale de Grohe. Les principaux postes occupés par Jonas Nilsson avant Ideal Standard incluent les postes de président Europe, Afrique et Amérique du Sud chez l’équipementier automobile IAC Group, président Europe et Afrique chez Autoliv AB, directeur de l’exploitation chez Franke Kitchen Systems Group et divers rôles opérationnels et de division chez Visteon Corporation et Lear Corporation. Graham Oldroyd, Président du Conseil d’administration, a déclaré: «Au nom du Conseil, je tiens à féliciter Jan Peter Tewes et Jonas Nilsson pour leurs futurs nouveaux rôles. Individuellement, chacun est déjà un leader accompli avec une feuille de route réussie. Ensemble, ils apportent une riche expérience à la direction d’Ideal Standard. »   À propos d’Ideal Standard International Ideal Standard International est l’un des principaux fabricants mondiaux de solutions de salle de bains résidentielles, commerciales et médicales de haute qualité. Basée à Bruxelles, en Belgique, l’entreprise privée emploie près de 9 500 personnes et exploite 17 sites de fabrication, desservant plus de 60 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. En utilisant les dernières technologies et en travaillant avec des designers de classe mondiale, la société se concentre sur le développement de solutions de salle de bain innovantes dans plusieurs catégories de produits, notamment la céramique de salle de bain, les robinets et les raccords, le bain et le bien-être et les meubles et accessoires. Ses produits sont vendus sous de fortes marques internationales et locales telles que Ideal Standard, Armitage Shanks (Royaume-Uni), Porcher (France), Ceramica Dolomite (Italie) et Vidima (Europe de l’Est). https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 360 jours

Le purificateur d’air qui élimine tous les virus, aujourd’hui et demain

La Covid-19 a vidé les bureaux, mais après l’enthousiasme initial suscité par le télétravail, un sentiment de solitude s’est installé chez bon nombre de télétravailleurs. L’innovant purificateur d’air de Genano, seul appareil de purification du marché capable de réduire les particules ultra-fines à 0,003 µm, aurait pourtant pu permettre aux employés de continuer à travailler en présentiel en toute sécurité. Les décontaminateurs d’air de Genano utilisent une technologie brevetée de plasma froid basée sur une puissante purification électronique de l’air sans aucun filtre physique. Une récente étude scientifique réalisée par le Centre de recherche technique VTT, organisme de notoriété internationale implanté en Finlande, a révélé que les purificateurs éliminaient 99,999 % des bactéries et virus présents dans l’air des espaces intérieurs. « Lorsque l’épidémie de coronavirus a frappé le monde l’année dernière, nous avons continué de travailler dans nos bureaux, car nous savions que l’air de nos espaces intérieurs était protégé de tout virus grâce aux décontaminateurs d’air, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. On peut dire que c’est l’un des lieux de travail les plus sûrs au monde, en tout cas pour ce qui est de l’air que nous respirons. » Le virus électrocuté n’a aucune chance de survie Le principe au cœur de la technologie de Genano est simple : l’air contaminé est entraîné dans l’appareil, où les particules chargées négativement sont fixées à la surface de captage positif. Les particules sont alors détruites à l’aide de décharges coronales haute tension. Au cours de la dernière étape, un collecteur à charbon actif à trois épaisseurs élimine les odeurs et gaz COV. « Comme le montre l’étude conduite par le VTT, l’air sortant ne comporte plus de microbes, gaz nocifs, produits chimiques ou particules de quelque taille que ce soit, souligne Niklas Skogster. Les appareils ne comportent aucun filtre mécanique qui risquerait de se boucher, ce qui signifie que la circulation de l’air est continue et qu’il n’est pas pas nécessaire de recourir à des filtres coûteux. Il faut ajouter à cela que les dépenses de fonctionnement sont faibles. Par exemple, le Genano 350 de taille moyenne consomme autant d’électricité qu’une ampoule conventionnelle. » Les purificateurs d’air intégrant la technologie de Genano sont en production depuis 1999. Ils ont été initialement développés pour un usage hospitalier, mais leur utilisation s’est généralisée partout dans le monde et ils sont aujourd’hui présents dans une gamme étendue de secteurs d’activité comme dans les bureaux, établissements de santé, commerces, restaurants, zones de fabrication propres, établissements scolaires et maisons de retraite. « Évidemment, notre technologie a été améliorée au fil des années, et nos appareils sont bien plus compacts et légers aujourd’hui, explique Niklas Skogster. Le Genano 350 pèse seulement 17 kg, ce qui en fait un appareil véritablement mobile que l’on peut aisément accrocher au mur. » Retour à la normale Au cours des six premiers mois de la crise sanitaire liée à la Covid-19, nombreuses ont été les entreprises qui ont estimé que le télétravail deviendrait la nouvelle norme. Mais après plus d’un an, la lassitude et les difficultés de la situation ont changé la donne. Selon l’enquête CEO Outlook Pulse Survey réalisée par KPMG auprès de P-DG en 2021, seulement 17 % des P-DG interrogés envisagent encore de réduire définitivement l’empreinte carbone de leur entreprise. Dans un sondage semblable réalisé en août 2020, ce pourcentage était de 69 %. « La Covid-19 a entraîné une hausse considérable de nos ventes au cours des douze derniers mois, mais le monde est encore loin d’avoir retrouvé ce que l’on pourrait appeler un état ‘normal’, poursuit Niklas Skogster. Une utilisation plus généralisée de purificateurs d’air efficaces pourrait cependant accélérer la transition vers une situation de travail plus normale. » Niklas Skogster souligne que les appareils de décontamination de Genano résisteront à l’épreuve du temps et qu’ils ont le potentiel d’améliorer sensiblement la santé des employés et d’augmenter la rentabilité des entreprises lorsque la situation redeviendra plus normale. « Les virus vont et viennent, mais quelles que soient leurs caractéristiques, ils ne survivent pas aux 25 000 volts déchargés par nos purificateurs d’air, explique-t-il. Une étude réalisée par le Laboratoire national d’essai en France a montré que les microbes présents dans l’air étaient complètement détruits une demi-heure après la mise en marche de l’appareil. Ce qui importe, c’est que des gens en meilleure santé travaillent mieux. »   Légendes : Le tueur de virus mobile Le décontaminateur d’air en intérieur Genano 350 est vraiment mobile puisqu’il ne pèse que 17 kg et peut se targuer d’avoir une faible empreinte carbone. Pour commencer à l’utiliser, il vous suffit de le brancher à une prise électrique et de l’allumer, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. Sécurité au travail. Le personnel peut se déplacer librement dans les bureaux équipés des purificateurs d’air de Genano, puisque l’air est débarrassé des virus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Niklas Skogster, P-DG de l’entreprise, discutant de façon informelle avec la responsable du marketing Marjo Paija. À l’arrière-plan, Antti Kinnunen, spécialiste de l’air dans les espaces intérieurs, s’entretient avec le directeur des ventes Tommi Mikkonen. Il est plus agréable de se parler démasqués que masqués. L’appareil jaune derrière la table est le modèle 350 de Genano, qui décontamine l’air en continu dans la salle de réunion, où le P-DG Niklas Skogster (de la droite) est en réunion avec le directeur des opérations Aleksi Ahti et le directeur des ventes Tommi Mikkonen.   Genano en résumé Fondé en 1999, Genano tire ses origines du monde scientifique. L’entreprise est actuellement présente dans une trentaine de pays à travers le monde. Elle est leader international de la décontamination de l’air dans les espaces intérieurs d’une gamme étendue de secteurs commerciaux. La technologie brevetée de plasma froid de l’entreprise est fondée sur une puissante purification électronique de l’air qui élimine tous les microbes vivants comme les virus et bactéries jusqu’au nanomètre près. Les décontaminateurs sont disponibles dans trois tailles : série 200, série 300 et série 500. L’entreprise a son siège social à Espoo, en Finlande, avec des succursales en Belgique, en Allemagne, en Suède, en Italie, en Chine, à Taïwan et au Canada, auxquelles s’ajoute un réseau mondial de distributeurs.   Contacts : Niklas Skogster, P-DG, groupe Genano Tél. : +358 400 167 332 Courriel : niklas.skogster@genano.com www.genano.com