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Toute l'actualité du bâtiment

255418 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 99 jours

Des cités balnéaires expérimentales - Livre

S'appuyant sur un inventaire raisonné des cités de vacances réalisées dans le Var durant les Trente Glorieuses, cet ouvrage, riche en illustrations, interroge le caractère expérimental de vingt-cinq d'entre elles à différentes échelles : urbanisme territorial, logiques des plans de masse, typologies des logements et […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 100 jours

« Nous sommes tous interdépendants », Olivier Colleau, président exécutif de Kiloutou

Location de matériels - Le dirigeant de Kiloutou veut coordonner ses actions avec les fabricants et les utilisateurs pour réduire les émissions de CO2.
Il y a 4 ans et 100 jours

La neutralité carbone entre les mains intercommunales

Climat - L'avant-projet de loi issu de la Convention citoyenne s'attaque à l'artificialisation des sols et aux passoires thermiques.
Il y a 4 ans et 100 jours

Marseille : signature du Pacte régional d’investissement dans les compétences

Plus de 32 millions d’euros seront mobilisés dans le cadre du Pacte régional d’investissement dans les compétences (PRIC) cette année. Cet investissement est dédié à la formation professionnelle du territoire.
Il y a 4 ans et 100 jours

Un nouveau poste pour la police municipale de Creil

La police municipale de Creil s’installera dans ses nouveaux locaux en septembre prochain.
Il y a 4 ans et 100 jours

Le quartier de la Barbière va changer de visage à AvignonLes espaces publics du quartier de la Barbière bénéficieront d’un chantier de reverdissement et de modernisation.

Les espaces publics du quartier de la Barbière bénéficieront d’un chantier de reverdissement et de modernisation.
Cimbat
Il y a 4 ans et 100 jours

L’université de Cergy-Pontoise aura une dimension internationale d’ici 2030

L’Université de Cergy-Pontoise fait l’objet d’un vaste plan d’investissement pour réaliser une transformation d’ampleur. L’objectif est de placer la vie étudiante au cœur de la ville.
Il y a 4 ans et 100 jours

JO de Paris : dans les jardins ouvriers d'Aubervilliers, on veut "des potirons, pas du béton"

Ces lopins avec cabanons et arbres fruitiers forment une enclave de verdure de 2,25 hectares d'où s'échappe parfois le chant d'un coq, tranchant avec les tours en arrière-plan et le parking attenant, dépotoir à ciel ouvert.C'est sur ce parking que doit pousser le futur centre aquatique de la ville, utilisé comme centre d'entraînement pour les JO. S'ajouteront des équipements de loisirs, dont un "solarium minéral et végétal", sur 4.000 m2 de jardins ouvriers."Un solarium minéral, en gros c'est une terrasse pour bronzer", grince Viviane Griveau-Genest, qui préfère "avoir les mains dans la terre" et récolter ses légumes.Comme cette trentenaire, certains jardiniers et défenseurs de l'environnement n'entendent pas abandonner si vite leurs 18 parcelles fin avril. "Des potirons, pas du béton", scandent-ils régulièrement.Ils doivent plaider leur cause mercredi devant Tony Estanguet, président du comité d'organisation des JO-2024, lors d'une réunion qui traduit la fébrilité planant sur ce dossier.Virus de la "bétonnerie""On avait pas besoin de ça, on a déjà la pandémie, je dirai qu'on a un virus supplémentaire qui s'appelle la +bétonnerie+. Elle gagne partout", grogne Gérard Muller, vice-président de l'association des Jardins ouvriers des Vertus, qui existe depuis 85 ans.Rabotés au gré de l'urbanisation de cette ville populaire de 90.000 habitants au nord de Paris, les jardins actuels seront amputés d'un hectare au total. Après le centre aquatique, 6.000 m2 doivent être supprimés après 2024 pour une gare du Grand Paris Express.Ces opérations s'inscrivent plus largement dans l'aménagement du fort qui jouxtent les Vertus et d'autres jardins ouvriers voisins."Dans ce projet on a le maintien de ce patrimoine notamment des sept hectares de jardins, c'est un engagement de longue date", assure Camille Vienne-Thery, directrice de projet à Grand Paris Aménagement, détenteur du terrain.Les jardiniers délogés seront d'abord accueillis dans ces jardins voisins, puis disposeront d'un autre site, "un terrain de foot qui est en friche sur lequel on propose de reconstituer les jardins", explique-t-elle."Le sol, je ne vais pas le récupérer à l'endroit où on va me mettre et les lombrics ils ne vont pas partir dans mes poches. Je n'ai pas de camion de déménagement à lombrics", lance Mme Griveau-Genest."La destruction de ces jardins n'est pas utile" car il suffirait de "mettre le solarium sur le toit", plaide aussi Yvan Fouquet, architecte et soutien des jardiniers."Compromis""Trop tard", répond Karine Franclet, la maire (UDI) d'Aubervilliers, qui estime que casser le marché public signifierait "4,7 millions d'euros" de pénalités. Modifier le projet signiferait aussi du retard, "et là on est déjà très juste dans les délais", souligne-t-elle."Si cet équipement est réalisé dans le calendrier, on sera ravi de l'utiliser", expliquent d'ailleurs à l'AFP les organisateurs des JO, qui rappellent qu'ils seront "l'un de utilisateurs ponctuels" de cet équipement public.Karine Franclet, qui dit avoir hérité d'un "dossier compliqué" initié par sa prédécesseure communiste, loue toutefois un équipement "essentiel", pour "faire partie de l'aventure" olympique et à visée pédagogique, dans un département où un enfant sur deux ne sait pas nager à son entrée en sixième.Pour bâtir le centre aquatique - 33,6 millions d'euros - la Ville, maître d'ouvrage, bénéficiera de subventions, dont environ 10 millions d'euros de la Solideo, la société de livraison des ouvrages olympiques.Plusieurs défenseurs des jardins ont formulé le 16 décembre un recours gracieux de demande d'abrogation du Plan local d'urbanisme de Plaine Commune."Il faut arriver à une position de compromis" mais "il ne faut pas perdre de temps", glisse Mathieu Hanotin, président socialiste de l'intercommunalité.Aux yeux de Gérard Muller, qui continue de guetter l'apparition d'une mésange ou d'un hérisson dans son jardin, ce projet reste "une aberration qui est à contre-sens de l'histoire car on a besoin d'arbres, on a besoin de nature, écoutez on entend les oiseaux, c'est magnifique !"
Il y a 4 ans et 100 jours

La vétusté du campus de Coulommiers fait polémique

Le projet de rénovation du campus de Coulommiers sous haute tension.
Il y a 4 ans et 100 jours

Bayonne : dernière phase des travaux pour le futur établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Harambillet

Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) Harambillet à Bayonne, le nouveau bâtiment est attendu fin mai 2021. Les travaux entrent actuellement dans la phase finale.
Il y a 4 ans et 100 jours

Des opérations sont en cours à la mairie de Chamarande

Les travaux de mise en accessibilité de la mairie de Chamarande continuent. La livraison est prévue fin février.
Il y a 4 ans et 100 jours

Essonne : des travaux importants sur le RER C en février 2021

La circulation du RER C dans l’Essonne sera interrompue en raison de travaux de nuit pendant deux mois.
Il y a 4 ans et 100 jours

Viskan, fabricant de spas haut de gamme

Depuis quelques années, le marché bien-être connait une progression importante, et le marché plus spécifique des spas n’est pas en reste. En effet, le marché du spa est en pleine forme et ce n’est pas moins de 90 000 spas qui sont recensés en France avec des consommateurs de plus en plus adeptes. Le marché du spa, une opportunité à saisir pour les professionnels du secteur On considère maintenant qu’il y aurait entre 8 à 10 000 ventes chaque année. Les centres de bien-être comme les salons de beauté, les salons de massage et les spas connaissant un succès certain et profitent de la tendance des français à rechercher toujours plus de confort. Ils connaissent une clientèle de plus en plus fidèle. Des même clients qui s’offrent également maintenant le luxe d’avoir un spa à la maison. En effet, avoir un spa est aujourd’hui devenu bien plus accessible. Une réelle opportunité pour les piscinistes, les plombiers ou encore les paysagistes. De plus, c’est aussi un excellent moyen pour les piscinistes de pallier à une baisse d’activité en raison de la saisonnalité des ventes et des entretiens des piscines. Alors qu’on apprécie la fraîcheur de la piscine aux beaux jours, le spa s’apprécie toute l’année, et particulièrement l’hiver. Moins coûteux et moins contraignant que l’installation d’une piscine, plus simple à installer en intérieur comme en extérieur, le spa plait à tous les âges. Si de nombreux revendeurs et fabricants sont présents sur le marché du spa, il n’en est pas pour autant facile de trouver la perle rare. Tout l’enjeu est de trouver un fabricant de spas de qualité bien évidemment, mais qui propose aussi des conditions intéressantes : prix, délais de livraison, retour des produits, réactivité et tout ce qui va concerner le service après. Viskan, le bien-être à la suédoise Viskan est une société suédoise créée en 2010, spécialisée dans la conception et  la fabrication de spas et de jacuzzis. Acteur incontournable sur le marché européen, la société se place sur un secteur haut de gamme. Revendeur de spas en France, Viskan présente de nombreux atouts. Tout d’abord, élément notable, les spas sont conçus pour être adaptés aux conditions climatiques des pays nordiques. C’est à dire qu’ils sont largement résistant au froid, au vent et à l’humidité. Disposant d’une coque deux fois plus épaisse que la moyenne,  celle-ci garantie une excellente isolation et une très bonne étanchéité. La couverture n’est pas en reste non plus. Composée d’un plastique cellulaire à haute densité, son isolation dure le temps et évite le perditions de chaleur. La marque a aussi pris le partie de la faible consommation énergétique grâce au recyclage de la chaleur émise par les pompes à chaleur. Les spas sont certifiés basse consommations. S’il y a un élément qui ne peut être négligé, c’est bien l’hygiène. Grâce à sa coque composée d’acrylique, les particules ne peuvent se déposer dessus et ainsi empêche les bactéries de proliférer. Ainsi, l’eau reste propre plus longtemps. De plus, Viskan à conçu une innovation brevetée, l’Aqua Clear System (ACS) qui permet de maintenant l’eau la plus pure possible. Cerise sur le gâteau, les spas sont fabriqués en Europe, garantissant ainsi des délais de livraisons réduits. Si vous souhaitez plus d’informations sur la société Viskan : https://viskanspa.fr/contact
Il y a 4 ans et 100 jours

Lancement de l'initiative « Tremplin pour la Transition écologique des PME »

Dans le cadre du plan « France Relance », le ministère de la Transition écologique et l'ADEME lancent un nouveau guichet visant à accompagner les petites et moyennes entreprises dans la mise en œuvre d'études et d'investissements, dans tous les domaines de la transition écologique. Ce dispositif simplifié permet d'accompagner les premiers pas de leur engagement dans la transition écologique en bénéficiant rapidement d'aides forfaitaires. Le dispositif constitue un tremplin pour des projets plus ambitieux, qui pourront bénéficier des autres aides de l'ADEME ou de l'accompagnement de Bpifrance.Le guichet « Tremplin pour la transition écologique des PME » a été lancé par l'État et l'ADEME le 28 janvier 2021. Ce dispositif proposera des aides forfaitaires pour toute une série d'études et d'investissements, par exemple des études sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre et les stratégies climat des entreprises, l'acquisition d'équipements de réduction et de gestion des déchets, l'accompagnement pour des travaux ambitieux de rénovation des bâtiments industriels, l'initiation d'une démarche d'écoconception, de mobilité durable… Les entreprises choisiront elles-mêmes quelles actions elles souhaitent mettre en œuvre. Tous les domaines de la transition écologique sont couverts (énergie/climat, transport durable, économie circulaire…), pour des entreprises dans tous les secteurs d'activité et des projets plus ou moins ambitieux.L'objectif de ce guichet de premier niveau est de proposer une aide simple et rapide, complémentaire d'autres aides éventuelles, et notamment du programme d'accompagnement personnalisé sur 12 mois « Diag Eco flux » déployé par Bpifrance en lien avec l'ADEME. Pour des projets plus complexes, nécessitant des échanges approfondis, les entreprises peuvent se rapprocher de l'ADEME pour mobiliser d'autres dispositifs. Le lancement de cette initiative s'inscrit dans le cadre du plan « France Relance ». La transition écologique est au cœur de ce plan : 30 milliards d'euros y sont consacrés, afin notamment de réduire nos émissions de gaz à effet de serre et de soutenir le développement des technologies vertes.Qui peut déposer un projet ?Cet appel à projets s'adresse à toutes les TPE et PME, à l'exclusion des auto-entrepreneurs.Quelles modalités d'aide ?Les projets lauréats de cette initiative bénéficieront d'une aide forfaitaire comprise entre 5 000 et 200 000 euros, en fonction des projets sur lesquels les entreprises s'engagent, sous forme d'une subvention accordée sous le régime cadre temporaire SA 56985 modifié.
Il y a 4 ans et 100 jours

Le Spot de Macon, une salle évènementielle signée Chaix & Morel

Le Spot, à Mâcon (Saône-et-Loire), est une salle évènementielle mixte sports-spectacles de 5 600 places conçue par Chaix & Morel (avec InSpace architecte associé) et livrée en 2012. Les 3 500 m² de façade et 1 500m² de garde-corps en Métal Déployé rendent l’ouvrage insensible aux outrages du temps. L’enjeu de l’ouvrage de 6 100 m² SHON […] L’article Le Spot de Macon, une salle évènementielle signée Chaix & Morel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 100 jours

HomeServe s'implante en Belgique et s'intéresse à Carglass Maison

DEPANNAGE. HomeServe spécialiste des réparations, des travaux et de l'entretien de la Maison, a signé un partenariat avec le fournisseur d'énergie Eneco afin de proposer ses services aux foyers belges.
Il y a 4 ans et 100 jours

Obox S, l'alimentation branchée

Il y a 4 ans et 100 jours

L'hôpital au défi de l'agilité

ARCHITECTURE. Comment concevoir les lieux de soin évolutifs ? Comment préparer l'hôpital aux crises, sanitaires et autres ? Architecturestudio a consacré une conférence à "l'hôpital agile", qui reste à inventer.
GDA
Il y a 4 ans et 100 jours

Nouveau directeur pour la Mutuelle MBTP

Guillaume Lacour devient le nouveau directeur de la MBTP. [©MBTP] C’est à l’unanimité que le conseil d’administration de la mutuelle MBTP a élu Guillaume Lacour en tant que directeur. Il succède à Annie Pinault, en poste depuis 2005, qui a fait valoir son droit à la retraite. En 2019, Guillaume Lacour était devenu le directeur adjoint de la mutuelle, pour mieux appréhender ce rôle. « Je suis heureux de prendre les rênes de cette mutuelle de proximité, forte de 65 000 bénéficiaires »,explique l’intéressé. Son objectif est que la MBTP redevienne une mutuelle de l’action. Pour cela, il pourra s’appuyer sur le groupe Apicil et son plan stratégique “Horizon 2024”. En 2017, MBTP a rejoint la SGAPS (société de groupe assurantiel de protection sociale). Avec ses alliances, la mutuelle pourra partager ses investissements. Pour Guillaume Lacour, la priorité est de rendre la MBTP encore plus proche de ses adhérents. De plus, il ambitionne de doubler le chiffre d’affaires de la mutuelle, une dynamique déjà initiée par Annie Pinault.  Son parcours  Diplômé de l’institut de science financière et d’assurance en 2000, Guillaume Lacour est parti à Milan après ses études. Il a participé à la création de la société de gestion de la Mutuelle nationale de retraites des artisans, devenue Garance. Il intègre le cabinet Adding en 2007, où il y reste 11 ans. Au sein de ce cabinet, il est devenu responsable de l’actuariat, soutenant les entreprises dans la création et le pilotage de leurs plans de protection sociale. C’est en 2018 qu’il rejoint la mutuelle MBTP. Charline David 
Il y a 4 ans et 100 jours

Projet de loi dérèglement climatique : les acteurs du BTP pointent un "manque d'ambition"

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Les acteurs du BTP se sont prononcés, via le conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE), sur le projet de loi sur le dérèglement climatique, tiré des propositions de la convention citoyenne pour le climat. La filière regrette un "manque d'ambition".
Il y a 4 ans et 100 jours

Que faire face à la dégradation de la façade sa maison?

Plusieurs facteurs occasionnent la dégradation de la façade. Outre son vieillissement naturel, cette dernière tient sa source des intempéries répétitives, de la pollution ou encore des champignons parasitaires. Toutefois, il faut savoir que cet élément ne joue pas uniquement un rôle esthétique. Les murs de façade sont des structures sur lesquelles reposent la charpente et tous les autres éléments de la toiture. De ce fait, il est essentiel de garantir leur solidité et leur bon état. Ainsi, comment faut-il réagir face à la dégradation de la façade ? Retrouvez les réponses à cette problématique dans l’article. Quels sont les signes qui témoignent de la dégradation de sa façade ? Il est difficile d’évaluer l’état des murs extérieurs de son habitation sans les avoir diagnostiqués au préalable. Pour cette opération, l’idéal est de faire appel à un façadier professionnel comme celui qui se trouve sur https://www.facadier-peintre-02.fr/ qui exerce en Aisne. Une fois qu’elle a été diagnostiquée, il faudra la débarrasser des impuretés qui la recouvrent. Procéder ainsi permet d’avoir une meilleure visibilité sur les maux dont elle souffre. En effet, certains symptômes devront nous alarmer, car ils sont la preuve de l’altération de la façade. Entre autres, il s’agit de : La peinture qui s’effrite L’apparition des taches blanchâtres sur les murs La présence de fissures Les cloques qui s’étalent sur sa surface Si la majorité de ces problèmes ont été constatés, cela signifie que la façade manque d’étanchéité et permet les infiltrations de l’humidité. Pourtant, lorsque l’eau s’infiltre, elle peut causer des dégâts colossaux. Dans ce cas, le simple nettoyage ne suffit pas pour la remettre en état. Il faudra donc prévoir un ravalement de la façade. Quelles sont les mesures à prendre face à l’usure de la façade de sa maison ? Le type de travaux à entreprendre dépend entièrement de l’état général des murs extérieurs de la bâtisse. Pour qu’ils retrouvent leur beauté d’antan, une séance de nettoyage suffit parfois. Dans d’autres cas, des travaux de rénovation s’imposent. La remise en état de la façade commence nécessairement par le diagnostic. Ce dernier permet de déterminer l’ampleur des dégâts et de définir, en conséquence, la solution à adopter pour les corriger. C’est au cours de cette première intervention que le façadier professionnel dresse le devis des travaux. Ce document vous permettra de mieux vous préparer financièrement à leur exécution. Après le diagnostic vient le nettoyage des murs. Il est primordial de dégager les différentes souillures à leurs surfaces pour avoir un meilleur aperçu des problèmes qui les affectent. Pour ce faire, les professionnels en ravalement de façade ont recours à différentes techniques. Parmi celles-ci, il y a le nettoyage à haute pression, l’hydrogommage, la nébulisation, le ponçage, etc. C’est à ce stade qu’il faut également se débarrasser de la peinture de façade écaillée. Les travaux se poursuivent avec la réparation des défauts des murs. Cela implique le colmatage des fissures, la réparation des joints de la façade et les travaux d’isolation thermique si une rénovation complète est entreprise. La dernière étape se matérialise par la mise en place d’un nouveau revêtement de façade. Il peut s’agir d’une nouvelle peinture, d’un bardage de façade, d’un enduit ou d’un parement. Néanmoins, il faut veiller au respect des normes d’urbanisme applicables dans votre région. En outre, il est conseillé d’appliquer un traitement hydrofuge sur la façade pour l’étanchéifier et la protéger contre les intempéries.
Il y a 4 ans et 100 jours

Le parcours d'un granulat recyclé dans le port de Gennevilliers

EN IMAGES. A l'occasion du lancement de son réseau de centres de recyclage Granulat+, Eurovia a proposé de visiter son site situé dans le port de Gennevilliers qui trie, valorise et revend des granulats recyclés.
Il y a 4 ans et 100 jours

2020, "un record historique pour l'apprentissage" d'après Élisabeth Borne

FORMATION PROFESSIONNELLE. La ministre du Travail est revenue dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale sur les très bons chiffres de l'apprentissage enregistrés en 2020, en dépit de la crise économique du Covid. Les aides à l'embauche des jeunes ont été prolongées par le Gouvernement en janvier dernier.
Il y a 4 ans et 100 jours

Le Vosgien Pyrométal joue des tours au feu

Ses nouvelles références, notamment à La Défense, placent la PME familiale comme l’interlocutrice de choix des entreprises générales pour la pose de menuiseries vitrées anti-incendie dans les immeubles de hauteur.
Il y a 4 ans et 100 jours

« La cyberattaque est un risque à intégrer », Jean-Jacques Nayral, P-DG de Franciaflex

La société Franciaflex, fabricant de menuiseries extérieures et de protections solaires, a été touchée mi-décembre 2020 par une cyberattaque de grande ampleur. Elle a paralysé à des degrés divers, l’ensemble de ses cinq sites industriels et de ses services administratifs et commerciaux. Jean-Jacques Nayral, son P-DG, revient sur une expérience peu commune dans la filière menuiserie et les leçons qui en ont été tirées.
Il y a 4 ans et 100 jours

La caisse nationale des Urssaf annonce une simplification majeure pour les travailleurs indépendants

Afin de simplifier les formalités déclaratives des travailleurs indépendants, la Déclaration Sociale des Indépendants, qui était réalisée sur le site net-entreprises.fr, est supprimée. Les revenus servant de base au calcul des cotisations et contributions sociales personnelles seront à renseigner directement sur la déclaration fiscale des revenus (déclaration 2042). Cette déclaration unique permettra le calcul des cotisations et contributions sociales personnelles, en plus de celui de l'impôt sur le revenu.Concrètement, les travailleurs indépendants réaliseront leur déclaration fiscale habituelle sur le site impots.gouv.fr : ils accéderont à leur déclaration de revenus qui sera complétée d'un volet « social » spécifique*. A l'issue de la déclaration, les éléments nécessaires au calcul des cotisations et contributions sociales personnelles seront transmis automatiquement par l'administration fiscale à l'Urssaf ou à la Cgss qui pourra ainsi, comme aujourd'hui, procéder au réajustement des échéanciers de cotisations provisionnelles et à la régularisation sur la cotisation définitive.Cette déclaration est obligatoire, par voie dématérialisée, que le travailleur indépendant soit imposable ou non.Qui est concerné ?Les travailleurs indépendants exerçant une activité artisanale, industrielle, commerciale ou libérale et affiliés au régime général des travailleurs indépendants.Sont exclues à ce jour les personnes relevant des régimes suivants :Praticiens et auxiliaires médicaux conventionnés (PAM-C),Mutualité Sociale Agricole (MSA),Artistes-auteurs (MDA / AGESSA),Marins pêcheurs et marins du commerce.Pour ces personnes, les modalités déclaratives actuelles restent inchangées.Les auto-entrepreneurs ne sont pas concernés. Ils conservent, pour le calcul de leurs cotisations et contributions sociales, leur obligation de déclaration spécifique à leur Urssaf ou Cgss de leur chiffre d'affaires ou de leurs recettes, mensuelle ou trimestrielle.Fin mars, un courriel sera adressé par la DGFiP pour informer les usagers de leurs nouvelles modalités déclaratives et de la date d'ouverture du service en ligne.Olivier Dussopt, ministre délégué chargé des Comptes publics : « la déclaration sociale et fiscale de revenus unifiée constitue une simplification majeure pour les travailleurs indépendants. Elle est une traduction concrète de la démarche « dites-le nous une fois » qui vise à limiter les démarches administratives et à faciliter la vie des assurés et des entreprises. »* Les travailleurs indépendants qui ne verraient pas la rubrique « Déclaration de revenus des indépendants » automatiquement sélectionnée, pourront alors cocher la case et voir ainsi apparaître la partie « sociale ».
Il y a 4 ans et 100 jours

Mano Mano explose son volume d'affaires en 2020 et poursuit la conquête des pros

STRATEGIE. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, annonce une croissance de +100% de son volume d'affaires en 2020. Lancé en 2019, le marché BtoB est aussi en forte progression et les ambitions sur ce segment sont fortes.
Il y a 4 ans et 100 jours

ONDULINE : Une toiture de 800 m2 en bac métallique rénovée en sur-couverture avec ONDUCLAIR RENOV ST

Au Croisic (44) en bord de mer, dans une atmosphère marine très corrosive, Julien Toitures a été mandaté pour rénover une toiture de 800 m2. La société intervient depuis une dizaine d’années sur cette toiture de plus de 20 ans qui souffre d’importants problèmes de corrosion et de fuites dus à la situation géographique. Pour rénover cette toiture dans un budget limité, Benoit Julien, chef de l’entreprise Julien Toitures, a préconisé les éléments de couverture ONDUCLAIR RENOV ST proposés par ONDULINE. Résistant à la corrosion, ce système de sur-toiture, aussi appelé panneau sandwich, permet de conserver la toiture existante et limiter les coûts de rénovation. Grâce à ses plaques légères et sans perçage, la pose est facile à mettre en œuvre. L’entreprise Julien Toitures a dû faire face à plusieurs problématiques sur ce chantier. Sur la toiture très plate de 800 m2, il a fallu recouvrir les éclairants déjà résinés, reprendre les fixations existantes au niveau des pannes et modifier la ligne de fixations en bas de versant car le bac de toiture était trop abîmé pour recevoir une fixation fiable. Pour renforcer l’isolation et l’étanchéité de la toiture, des closoirs mousses – profils bas de versant en polyéthylène – ont été collés et pincés entre l’ancienne toiture et la nouvelle. Enfin, l’entreprise a fait le choix de réaliser une pose avec un joint butyle pour bien coller les plaques entre elles et éviter la remontée de salissures. Les nombreux avantages d’ONDUCLAIR RENOV ST ont convaincu l’entreprise Julien Toitures de proposer cette solution. « La bonne préparation du chantier et la qualité des plaques ONDUCLAIR RENOV ST ONDULINE nous ont permis d’apporter une solution de sur-toiture efficace en termes d’étanchéité et d’isolation. De plus, ayant déjà installé ONDUCLAIR RENOV ST sur d’autres chantiers, je connais le vieillissement de ce produit et je sais qu’il résiste bien aux aléas climatiques du bord de mer. » précise Benoit Julien, Chef de l’entreprise.   ONDUCLAIR RENOV ST Résistant à la corrosion du bord de mer La surface supérieure en polyester du système ONDUCLAIR RENOV ST ONDULINE présente une excellente résistance aux agents chimiques en atmosphère corrosive. Il stoppe la désagrégation de la toiture métallique en place et augmente ainsi sa longévité. Efficace, ONDUCLAIR RENOV ST permet une bonne isolation du toit et l’obtention d’une étanchéité totale à l’eau, à la poussière et à la neige.   Un système complet et facile à poser Le système ONDUCLAIR RENOV ST est une solution d’isolation efficace pour la rénovation des toitures en bac acier. Posés sans perçages sur les plaques existantes, les éléments sont très simples à installer et assurent une parfaite étanchéité pendant 10 ans. Disponible dans 3 coloris – rouge foncé, ardoise et gris – ONDUCLAIR RÉNOV ST s’adapte aux spécificités et mesures de la couverture existante. Son poids très léger de 3,95 kg au m2 évite toute surcharge sur la charpente existante et favorise une mise en œuvre facile et rapide.   De nombreux avantages Que ce soit pour des bâtiments industriels, agricoles ou tertiaires, ONDUCLAIR RENOV ST pérennise les ouvrages en apportant une isolation complémentaire par l’extérieur. Il supprime la condensation en sous-face de couverture dans les bâtiments à faible et moyenne hygrométrie. Ainsi, les couvertures initiales non isolées (toitures froides) sont protégées des contraintes climatiques grâce à ce système complet et multicouches (toitures chaudes). ONDUCLAIR® RENOV ST permet ainsi de limiter les consommations d’énergie. Enfin, ces plaques permettent une forte isolation acoustique. En effet, le polystyrène expansé permet de diminuer de façon significative la transmission de bruits. Par son effet «amortisseur», il réduit considérablement les bruits d’impact. Concernant la réaction au feu, la surface supérieure du système ONDUCLAIR RENOV ST bénéficie d’un classement au feu B-s3, d0. L’isolant en polystyrène expansé est Euroclasse E. Caractéristiques : • Épaisseurs : 65 mm/ 85 mm • Profils : COBACIER 1004 RAL 7012 • Coloris : rouge foncé / ardoise / gris • Isolant : E – Protection feu plaques : Bs3d0 • Résistance thermique : R 1,75 – R 2,35 www.onduline.fr
Il y a 4 ans et 100 jours

Sans confinement, la France connaîtra une croissance modérée en début d'année

Si les restrictions demeurent équivalentes à celles mises en place au mois de janvier, le produit intérieur brut augmenterait de 1,5% par rapport au dernier trimestre de 2020.Dans le cas d'un confinement du type de celui de novembre d'une durée d'un mois, cette croissance deviendrait nulle. Le produit intérieur brut (PIB) se rétracterait de 1% si ce confinement devait durer 7 semaines, a ajouté l'Institut national des statistiques.Le niveau du PIB restera en retrait par rapport à son niveau d'avant-crise, c'est-à-dire celui du quatrième trimestre 2019, de 4,5 ou 6 points de pourcentage en fonction de chacun de ces trois scénarios.Sur l'ensemble de l'année 2020, l'objectif de 6% de croissance que s'est fixé le gouvernement "n'est pas inatteignable", a estimé Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee, lors d'un point de presse en ligne.Il a notamment mis en avant le recul moins important que prévu du PIB au dernier trimestre 2020 (-1,3%) malgré le deuxième confinement: cela crée "un effet d'acquis plus important" permettant d'entamer l'année 2021 sur une meilleure base.En supposant que le rebond au deuxième trimestre soit aussi fort que celui que la France a connu à l'été 2020, cet acquis de croissance pour l'année en cours serait compris entre 4% et 5%.La bonne résistance de l'économie dans son ensemble au deuxième confinement permet aussi de "réviser à la baisse le coût du durcissement des mesures sanitaires", selon M. Pouget.Aussi la diminution du temps passé hors de chez soi, qui jusqu'à l'été était étroitement corrélée à la chute de l'activité économique, l'est aujourd'hui beaucoup moins, selon un indicateur de Google Mobility Residential repris par l'Insee.Ce qui signifie que la moindre mobilité des personnes liée aux restrictions affecte moins l'activité qu'au début de la crise.Par conséquent aujourd'hui, "un confinement plus dur n'aurait pas le même impact qu'avril-mai" car "il y a eu énormément d'apprentissage et d'adaptation, le télétravail s'est développé, on a des masques, on a des tests", détaille M. Pouget.Empreinte carbone réduiteMais "la crise est une épreuve d'endurance" et "plus ça dure, plus la capacité de rebond devient incertaine dans les secteurs les plus affectés", a également estimé le responsable de l'Insee.La consommation des ménages, principale composante du PIB, est restée inférieure de 7% en janvier par rapport à son niveau d'avant-crise, a encore rapporté l'institut.Une chute qui s'explique par la mise en place des couvre-feu à 18 heures et aussi par le décalage des soldes, qui ont débuté le 20 janvier cette année - ils avaient débuté dès le 8 janvier l'an passé. Une partie des achats pourrait donc être reportée sur le mois de février.Analysant des données de cartes bancaires et de caisses dans la grande distribution, l'Insee a notamment relevé une chute de 6% à 7% de la consommation au moment de l'avancée à 18 heures des couvre-feu dans les différents départements.Décembre avait été marqué par un fort rebond de la consommation après le deuxième confinement, avec un écart de seulement 4% par rapport au quatrième trimestre 2019, après -15% en novembre durant le deuxième confinement.Si la consommation reste pour l'heure le gros point noir pour sortir de la crise économique, avec une propension des ménages à épargner qui atteint des sommets, une enquête de l'Insee auprès des chefs d'entreprises parue jeudi laisse en revanche présager un net rebond de 10% de l'investissement dans l'industrie manufacturière cette année, après une chute d'environ 13% enregistrée l'an dernier.Enfin, la chute de la consommation a permis de diminuer l'empreinte carbone des Français, jusqu'à 36% en avril 2020, durant le premier confinement, et de 20% en novembre durant le deuxième.Et même en août, alors que les dépenses des Français avaient temporairement retrouvé leur niveau d'avant-crise, leur empreinte carbone restait en baisse de 3%, à cause du poids important pour celle-ci du transport aérien, qui s'est effondré.
Il y a 4 ans et 100 jours

Notre-Dame de Paris : les premiers chênes en cours de sélection pour la reconstruction

PATRIMOINE. Des spécialistes forestiers ont commencé ce 3 février 2021 à sélectionner les chênes nécessaires pour le chantier de reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, et notamment de l'emblématique flèche. Les professionnels établissent leur choix en fonction d'un certain nombre de critères physiques.
Il y a 4 ans et 100 jours

Ventilation et qualité de l’air intérieur : une association de filière est née

Installations mal mises en œuvre, mal entretenues … Face à l'absence de qualité globale des installations de ventilation, les pros de la ventilation ont décidé de se réunir pour agir ensemble.
Il y a 4 ans et 100 jours

Artisans : Bosch, y’ a pas photo ! revient le 1er février jusqu’au 30 juin ! Une nouvelle occasion d’obtenir un outil sans-fil Bosch Professional

Du 1er février au 30 juin 2021, 5000 outils sans-fil Bosch offerts, sans condition d’achat ! Après le succès de « Bosch, y’a pas photo ! » et du plan de relance Tous ensemble, qui ont permis d’aider de nombreux professionnels du bâtiment, Bosch souhaite renouveler l’opération en 2021. Avec la 2ème édition de l’opération « Bosch, y’a pas photo ! » qui démarre le 1er février, et ce jusqu’au 30 juin 2021, Bosch entend soutenir les artisans dans leur activité pendant cette période difficile, en les aidant à s’équiper. En partenariat avec VIPros, Bosch Professional offre 5000 outils sans-fil, soit 1000 outils par mois. Pour profiter d’un outil offert*, sans condition d’achat, l’artisan doit se connecter sur le site dédié www.boschyapasphoto.com puis : – S’inscrire gratuitement ou être déjà inscrit au programme fidélité VIPros via le site www.vipros.fr, – Envoyer une photo de lui avec 2 outils sans-fil 12V et/ou 18V Bosch Professional. L’entreprise à laquelle il appartient doit être également identifiable (véhicule, vêtement de travail…). – Sélectionner l’outil sans-fil qu’il souhaite recevoir. L’opération « Bosch, y’a pas photo ! » est réservée aux entreprises du bâtiment de moins de 100 salariés. * Offre limitée à 1000 participations par mois. Les artisans peuvent choisir parmi une sélection de 10 outils solo sans-fil 12 V et 18 V (dans la limite des stocks disponibles) : – la visseuse à chocs GDX 18V-180 Professional – la meuleuse angulaire GWS 18V-10 Professional – le perforateur SDS plus GBH 18 V-LI Compact Professional – la scie sauteuse GST 18 V-LI S Professional – le souffleur GBL 18V-120 Professional – la lampe GLI 18V-1200 C Professional – la scie sabre GSA 12V-14 Professional – la visseuse plaquistes GTB 12V-11 Professional – la cisaille universelle GUS 12V-300 Professional – le découpeur ponceur GOP 12V-28 Professional VIPros ; Dédié aux artisans, le programme de fidélité VIPros regroupe des marques référentes et complémentaires dans l’univers du bâtiment. Via la plateforme digitale VIPros www.vipros.fr, les artisans accédent aux services du programme : informations produits, cadeaux et services en échange de leur implication et de leur fidélité.
Il y a 4 ans et 100 jours

Imer : « Nos gammes de pompes s’enrichissent en 2021 et 2022 »

William Merger, directeur de la division béton d’Imer. [©ACPresse] Imer peut être considéré comme un full liner des équipements pour le béton. Comment se répartit votre activité dans ce domaine ? Imer réalise 30 % de son chiffre d’affaires à travers les petits matériels et équipements pour le béton. On parle de pompes à chapes et machines de projection, de bétonnières de chantier, d’équipements de vibration. Environ 20 % du chiffre d’affaires sont issus des gros matériels, tels que les centrales à béton, les malaxeurs, les toupies, les pompes ou encore les solutions de recyclage. Enfin, les 50 % restant proviennent des activités “bâtiment”, les autres matériels comme le compactage, “Worms” pour les groupes électrogènes, “Travaux Publics” et “Access”, dans lesquelles nous intégrons, les mini-pelles, les pelles urbaines ou encore les nacelles. Celle que nous appelons “bâtiment” est donc la gamme des petits matériels. Sa commercialisation est opérée en direct, via notre réseau de négociants, et à travers les loueurs nationaux et régionaux. Notre client cible est l’entreprise de construction. Côté chiffres, Imer vend chaque année près de 4 500 bétonnières, dans des capacités allant de 140 à 750 l. La “350 l”, thermique comme électrique, constitue le modèle phare de notre offre. Aujourd’hui, avec ces matériels, nous sommes n° 2 en France, comme en Europe. Imer se positionne très bien aussi avec les équipements pour la vibration interne des bétons. Quelque 2 500 unités sont vendues chaque année. De même, avec 200 pompes à chapes, nous sommes bien placés sur ce marché spécifique. Toutefois, celui-ci doit encore être développé. Dans les mois qui viennent, la gamme sera étoffée à de nouveaux modèles. Comment se développe l’offre “recyclage”, sachant que plusieurs nouveautés ont été présentées récemment ? Imer va enrichir ses gammes de pompes à béton stationnaires et automotrices, entre 2021 et 2022… [©ACPresse] A l’heure actuelle, la ligne Ecod’O se décline en trois modèles de stations mobiles de recyclage des bétons frais : l’Ecod’O classique, l’Ecod’O Soft et l’Ecotri. Le premier constitue un système complet avec rejet possible des eaux dans le réseau d’eau pluviale sous réserve d’un traitement CO2, en vue de ramener le pH à 7 environ. De son côté, la version “Soft” est prévue pour ne travailler qu’en circuit fermé. Quant à l’Ecotri, il est très orienté bâtiment. Il s’agit d’un support pour big bag filtrant associé à une petite pompe pour permettre la réutilisation de l’eau décantée. En dehors de cette offre mobile, Imer sait proposer des installations fixes sur mesure, avec agitateurs, supports pour bennes à béton, cannes de lavage… Sur Intermat, nous avions présenté le système de nettoyage des toupies OruJet. C’est un outil de prévention, un véritable plus pour les unités de BPE déjà équipées de bacs de décantation. Un coup de jet haute pression à l’intérieur de la cuve, de temps en temps, suffit pour maintenir la toupie en bon état. Pour être honnête, les utilisateurs estiment être suffisamment bien équipés et préfèrent faire appel à un spécialiste du déplombage si nécessaire… Nous ne relâchons pas nos efforts. L’OruJet est en test chez certains utilisateurs. Et puis, il y a des pays qui sont davantage préventifs et d’autres, plus curatifs ! Toupie électrique, porteur hybride, à combustion gaz… Le secteur du transport du béton est en pleine mutation, mais aussi en pleine interrogation. Où en est Imer à ce niveau ? Nous n’avons pas de programme de développement de solutions d’entraînement électrique des cuves. Par contre, nous travaillons de concert avec les industriels du poids lourd sur les véhicules à combustion gaz, bio-carburant ou encore hybride. Nous cherchons à adapter nos équipements aux contraintes techniques des porteurs. Par exemple, en proposant des circuits hydrauliques renforcés pour pallier la puissance limitée des moteurs gaz. Nous croyons aussi beaucoup au bio-carburant. L’offre “pompage” d’Imer n’est pas très large. Des développements et/ou des extensions de gammes sont-ils attendus pour ces prochains mois ? Imer dispose aujourd’hui de la ligne de malaxeurs-pompes Boomix qui se déclinent en trois longueurs de flèche : 22 m, 24 m et 29 m. Ce qui répond bien à la demande du marché. A cela s’ajoute un unique modèle de pompe automotrice muni d’un bras de 36 m… A partir de 2021, il y aura une évolution de cette offre avec un enrichissement de la gamme, qui sera dévoilée à l’occasion de la Bauma. Enfin, nous proposons une petite pompe stationnaire baptisée Booster 15. Dans les mois qui viennent, cette gamme naissante sera élargie avec l’arrivée des Booster 30 et 45, pour des capacités de pompage de 30 et 45 m3/h. Fin 2021, nous mettrons sur le marché les modèles Booster 60 et 90. Les équipements pour la préfabrication constituent un domaine dans lequel Imer est peu connu. Pourtant, une offre existe… Historiquement, l’usine Oru, en Italie, produit beaucoup de centrales à béton pour la préfabrication, alors qu’en France, Imer est surtout connu pour les centrales de BPE et de chantier. De même, les malaxeurs Oru, qui vont de 330 l à 2,5 m3 de béton fini en planétaire sont très demandés par l’industrie du béton. En complément de ces outils et de ces unités, nous proposons des systèmes de transport. C’est-à-dire des télé-bennes à basculement ou vidange par le fond, avec des capacités de 1 à 2 m3. Cette offre est intéressante et cache un véritable savoir-faire. Mais nécessite des études plus importantes qu’en BPE et une réflexion sur l’implantation des équipements. Enfin, avec l’élargissement de notre offre de pompes stationnaires, il n’est pas exclu de voir des adaptations spécifiques pour la distribution du béton en préfabrication.
Il y a 4 ans et 100 jours

"D’ici 5 ans, 10% des chantiers de rénovation financés grâce aux CEE seront contrôlés", Alexandre Dozières, DGEC

Le sous-directeur de l'efficacité énergétique et de la qualité de l'air à la Direction générale de l'énergie et du climat explique au Moniteur les tenants et les aboutissants de la 5e période des certificats d'économie d'énergie qui débutera le 1er janvier 2022 pour une durée de quatre ans.
Il y a 4 ans et 100 jours

77% des entreprises ont pour objectif de faire revenir leurs collaborateurs au bureau en 2021

Adaptation : peut mieux faire ! L'impact réel de la crise sanitaire sur les entreprises françaises est encore difficile à évaluer. Cependant, 41% des Français estiment que leur société s'est moyennement adaptée à la situation et seulement 28% que cette adaptation est bonne. En quoi les entreprises ont-elles évolué ?46% des personnes interrogées pensent que leur entreprise a fait énormément de progrès et d'aménagements concernant la question du télétravail. Le deuxième volet concerne la communication interne avec 19% de représentativité, juste devant la formation des managers avec 13%. Work in progressAfin de résoudre certaines difficultés issues de la crise sanitaire, de grandes réflexions ont été menées par les entreprises françaises. C'est le cas à 48% de l'adaptation du management. Beaucoup de projets sont également en cours comme le positionnement de l'entreprise à 51%, ainsi que la mise en place de nouveaux modes d'organisation à 55%. En revanche, rien n'a été fait pour adapter les espaces de travail (39%) ou le développement de nouveaux outils (44%). Pas de télétravail en coworkingA l'heure actuelle très peu d'entreprises (seulement 9%) proposent à leurs collaborateurs de télétravailler dans des espaces de coworking à proximité de leur domicile. Et si 24% réfléchissent à ce type de solution, plus de 67% n'envisagent pas du tout cette option. Peu de concertationLes entreprises sont encore dans la gestion active et seulement 17% ont déjà consulté les collaborateurs sur leur souhait d'évolution en ce qui concerne les pratiques de leur travail. Pour 22%, cette concertation aura lieu en 2021 mais 61% ne prévoient pas d'interroger les salariés.Liberté chérie...Laisser totalement le choix aux salariés du télétravail ou du présentiel n'est pas encore pour demain. En effet, 52% des entreprises déclarent qu'elles ne laisseront pas aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail. Seulement 15% sont susceptibles d'accorder cette liberté pour du télétravail de 1 ou 2 jours par semaine. La conquête des espaces...Parmi tous les chantiers à venir, la question du réaménagement des espaces de travail est le plus important et nécessite un accompagnement pour 64% des entreprises L'organisation des modes de travail intéresse également 61% des sociétés ainsi que les nouvelles façons de manager à 59%. Quels objectifs pour 2021 ?Contraints ou séduits par le télétravail, faire revenir les collaborateurs au bureau préoccupe les entreprises à plus de 77% ! Le deuxième objectif pour 62% concerne l'amélioration des espaces afin de mieux gérer l'hybridation quasi inévitable du travail : à distance et en présentiel. A la troisième place, 61% des entreprises veulent rassurer leurs équipes sur les enjeux sanitaires. Quid du futur du travail ?Longtemps ignoré ou absent, le télétravail fera maintenant partie intégrante de notre quotidien. C'est un fait largement exprimé par 64% des entreprises qui envisagent une grande proportion de collaborateurs en home office dans le futur. La possibilité de travailler dans différents lieux fait également partie des visions du travail dans l'avenir pour 61% des sociétés ainsi qu'une réduction des surfaces de bureau arrivée à son strict minimum à 57%. MéthodologieEnquête réalisée auprès de 3 908 professionnels répartis sur l'ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 18 au 21 janvier 2021. Profils des personnes interrogées : 41% d'employés, 38% de managers et 21% de dirigeants.Nombre de salariés : Moins de 10 personnes : 28%, entre 10 et 50 personnes : 25%, entre 50 et 100 personnes : 17%, entre 100 et 500 personnes : 15%, entre 500 et 1 000 personnes : 7%, entre 1 000 et 5 000 personnes : 5%, plus de 5 000 personnes : 3%.Répartition des secteurs d'activités concernés : Assistanat, Administration : 6% / BTP, Chantier, Bureau d'études : 6% / Commerce, Marketing, Vente : 17% / Conseil : 8% / Direction générale, Direction centre de profits : 5% / Informatique, Télécoms : 17% / Restauration, Tourisme, Hôtellerie, Loisirs : 14% / Santé, Social, Service à la personne : 9% / Production, Maintenance : 1% / Environnement, Aménagement : 1% / Distribution, Magasin : 5% / Gestion, Finance, RH, Comptabilité, Audit : 6% / Métallurgie, Mécanique, Aéronautique : 1% / Logistique, Achat, Stock, Transport : 3%, Agri-Agro - Agriculture, Viticulture, Pêche : 1%. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.
Il y a 4 ans et 100 jours

La construction de logements a baissé en 2020 et la tendance s'annonce pire

Ralentie par la crise, la construction de logements a baissé en 2020 en France et la tendance s'annonce encore pire pour les mois à venir, montrent les chiffres officiels du gouvernement.
Il y a 4 ans et 100 jours

La résidence étudiante de demain s’invente dans les Hauts-de-France

Comment mettre à disposition des étudiants des logements adaptés et bon marché ? Le bailleur social Clésence s’est associé avec l’école d’ingénieur Centrale Lille pour chercher des solutions à cette difficile équation. Cette collaboration est renforcée par la formation des équipes techniques de Clésence à l’innovation et à la construction de demain. Ce cycle qui débutera en mars 2021 a en ligne de mire la création d’un programme de recherche commun dédié aux logements adaptés à des publics spécifiques (étudiants, personnes âgées ou en situation de handicap, etc.)
Il y a 4 ans et 100 jours

Réhabilitation de friches : comment mieux accompagner les porteurs de projet ?

ARTIFICIALISATION. La réhabilitation des nombreuses friches que compte le pays présenterait "un intérêt majeur" pour les collectivités, mais les projets sont complexes et d'un coût élevé, selon un rapport parlementaire, qui appelle à une amélioration de l'intervention publique, notamment par la création d'un guichet unique dans chaque région.
Il y a 4 ans et 100 jours

Stretto Huguenot d’Edilians : la 1ère tuile plate pour les faibles pentes

Aujourd’hui, ces performances exceptionnelles sont confirmées par le CSTB qui vient de délivrer à EDILIANS un avis technique de type ATEx, autorisant sa mise en œuvre sur toiture à faible pente.L'unique tuile plate du marché autorisée pour les faibles pentesReconnaissance de la capacité d’innovation d’EDILIANS, cette ATEx de type a formule une appréciation favorable à l’utilisation de la tuile STRETTO Huguenot pour la réalisation de toitures à des pentes inférieures, et à des longueurs de rampants supérieures, à celles du DTU 40.23.Grâce à son design spécialement étudié, la tuile STRETTO Huguenot a passé avec succès tous les essais effectués par le Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction. Démontrant ses performances exceptionnelles d’étanchéité, les résultats de ces tests ont conduit le comité d’experts réunis au sein du CSTB à émettre un avis favorable pour sa mise en œuvre en dehors des standards requis par le DTU. Ainsi, en zone géographique protégée ou normale, la tuile STRETTO Huguenot peut être posée avec des pentes plus faibles qui peuvent atteindre jusqu’à 40 % (avec écran de sous-toiture) pour des longueurs de rampants jusqu’à 8 m de projection horizontale. Selon les conditions d’application, elle peut même être installée pour des longueurs de rampants jusqu’à 12 m. Une première pour une tuile plate dont le domaine de pose interdit d’aller traditionnellement en-deça de 60 % de pente minimum (avec écran de sous-toiture) !STRETTO Huguenot, une véritable tuile plate, grande, design et performanteProduite sur le site de St Germer de Fly, la tuile XXL STRETTO Huguenot bénéficie des atouts reconnus de l’argile de Beauvais. D’une grande qualité de fabrication, elle associe une résistance mécanique exceptionnelle et une étanchéité optimale.Compatible avec les tuiles photovoltaïques EDILIANS et disponible avec une gamme d’accessoires spécifiques coordonnés (tuile de ventilation, tuile à douille 160 conforme VMC, tuile doublis de faîtage et tuile d’égout, 1⁄2 tuile, tuile 3⁄4, rive individuelle gauche et droite), la tuile STRETTO Huguenot se décline en coloris Flammé Rustique, Ardoisé et Vallée de Chevreuse.Premier fabricant à obtenir une ATEx sur une tuile plate pour une mise en œuvre en faible pente, EDILIANS invite les maîtres d’œuvre à repousser les limites de leur créativité. A l’esthétique résolument contemporaine, la tuile STRETTO Huguenot, sur des toitures à faible pente mais aussi en bardage, ouvre ainsi la voie à de nouvelles perspectives architecturales.Caractéristiques techniques tuile STRETTO HuguenotFormat : 265 x 370 mmLargeur utile : 265 mmPoids unitaire : 2,8 kgNombre de tuiles au m2 : de 25,15 à 26,95 selon recouvrementPureau : 140, 145, 150 mmType de pose : joints croisés
Il y a 4 ans et 100 jours

AFTES

Congrès de l'association française des tunnels et de l'espace souterain et de son innovation
Il y a 4 ans et 100 jours

En 2021, l'Acoss lance une simplification "majeure" pour les indépendants

SOCIAL. C'est une simplification "majeure" qu'annoncent en 2021 les Urssaf, à travers le lancement d'une déclaration sociale et fiscale de revenus unifiée.