Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256694 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 12 jours

Enedis envisage d'investir 69 milliards d'euros d'ici à 2035

Enedis attend un retour à la normale début septembre pour ses chantiers, selon sa présidente, en marge de l'installation d'un nouveau transformateur électrique à Paris, en vue des JO.
Il y a 5 ans et 12 jours

Climatisation urbaine : Salbris compte sur "le milliard vert"

Le "milliard vert" ne prend pas Olivier Pavy au dépourvu. Avec une démonstration d’urbanisme adapté aux changements climatiques, le maire de Salbris (Loir-et-Cher) entend se saisir de la cagnotte annoncée le 29 mai par le Premier ministre, pour accompagner les investissements écologiques du bloc local, dans le cadre du plan de soutien aux collectivités.
Il y a 5 ans et 12 jours

EAS Solutions présente Baku, plafonnier encastré LED pour un éclairage sur-mesure basse consommation

Le plafonnier encastré LED BAKU offre un éclairage performant à faible luminance (UGR
Il y a 5 ans et 12 jours

LafargeHolcim renouvelle avec Solidia Technologies

LafargeHolcim et Solidia Technologies développent des ciments bas carbone. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim annonce avoir accéléré son partenariat avec Solidia Technologies pour réduire les émissions de CO2 tout au long de sa chaîne de production. Avec cette annonce, l’association des deux industriels, débutée en 2013, est étendue de manière formelle jusqu’en 2025, avec une option de poursuite. Ensemble, LafargeHolcim et Solidia Technologies ont été capables non seulement de réduire de 30 % les émissions de CO2 durant la production de ciment. Mais aussi de capturer du C02. Ce qui leur permet de proposer un ciment, dont les émissions de carbone sont réduites de 70 %. Ainsi, les deux industriels vont continuer le développement de leurs technologies pour la production de bétons non renforcé (non armé) et routier. Tout en travaillant à étendre son application à ceux structurels. « Guider la voie vers une construction bas carbone passe par la facilitation et l’accélération de l’utilisation des solutions innovantes de Solidia à travers nos opérations mondiales, explique Marcel Cobuz, directeur Europe pour LafargeHolcim. Avec les solutions de Solidia Technologies, nous pouvons encore accélérer notre vision des neutres en carbone. » Pour Tom Schuler, président de Solidia Technologies, ce partenariat permet « d’avoir accès aux marchés, à l’expertise technique, à l’intelligence de marché de LafargeHolcim. Et nous aide à développer un meilleur ciment et un meilleur béton ».
Il y a 5 ans et 12 jours

Tout beau tout chaud, le nouveau site HerculePro

Un nouveau site internet HerculePro est en ligne. Une nouvelle charte graphique, un nouveau logo et un site repensé pour mettre au premier plan nos clients industriels, installateurs, réseaux et négoces. Notre préoccupation est votre besoin et la réponse que vous attendez d’un éditeur de logiciel métier, leader dans l’innovation sur son marché et sur les applications web. Découvrez le sur www.herculepro.com
Il y a 5 ans et 12 jours

Dans le Bas-Rhin, les installateurs chauffés à blanc sur les surcoûts du Covid-19

La corporation des artisans et PME attend avec impatience les règles de répartition des surcoûts que doit fixer le gouvernement la semaine prochaine : son enquête interne a mis en évidence une grande disparité de situation, en l’absence de cadre général.
Cimbat
Il y a 5 ans et 12 jours

24 logements sociaux à Montreuil, par Augustin Faucheur

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 12 jours

Depuis le début de la crise sanitaire, le CSTB poursuit et adapte son activité de formation au service des professionnels

Le CSTB, comme toutes les entreprises, organismes de recherche et centres de formation, est directement impacté par la crise sanitaire majeure que nous traversons. Dans ce contexte exceptionnel, notre priorité est de prévenir le risque pour toutes les personnes que nous côtoyons et avec lesquelles nous travaillons, nos clients et partenaires, parmi lesquels une centaine de formateurs et près de 2 000 professionnels formés chaque année, nos fournisseurs et prestataires. Depuis le début de la crise sanitaire, l'activité de formation du CSTB au service des professionnels a été poursuivie et adaptée : une sélection des formations en présentiel a été aménagée sous forme de classes virtuelles, complétant ainsi l'offre de formation e-learning. Ces formations à distance se poursuivront dans les mois à venir, y compris quand les formations en présentiel reprendront. Le MOOC E+C- a été à nouveau mis à disposition des professionnels, pour les aider à mieux comprendre les enjeux de l'expérimentation et les exigences des niveaux Carbone et Énergie, en lien avec la future réglementation RE2020. Fin juin nous proposerons à nouveau des formations en présentiel. Les premières formations programmées au début de l'été privilégieront les thématiques de la qualité de vie au travail, ainsi que l'analyse du cycle de vie. Un protocole sanitaire spécifique permettant de garantir la sécurité sanitaire des formateurs et des stagiaires sera prochainement disponible sur notre site Internet. Les équipes Formations du CSTB restent à votre écoute pour programmer avec vous les formations qui répondront le mieux à vos besoins, en Inter-entreprises comme en Intra-entreprise ou sur-mesure. > Pour nous contacter
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : les bailleurs acceptent le report de 3 mois des loyers commerciaux

Fin avril, Bercy avait annoncé la nomination d'une médiatrice, Jeanne-Marie Prost, afin de définir "des accords-cadres" et des règles de bonne conduite entre les commerçants en difficulté et leurs bailleurs.Mercredi, dans un communiqué, le ministère annonce la finalisation de ces travaux sous la forme d'"une charte encadrant les reports et annulations de loyers pour la période de confinement et la période de reprise jusqu'au 30 septembre 2020"."Dans cette charte, les bailleurs acceptent de reporter trois mois de loyers (deux au titre du confinement et un correspondant à un prorata des quatre mois de reprise jusqu'à septembre) pour les commerçants qui en ont besoin, quelle que soit leur taille", est-il précisé.Bercy rappelle que les grandes fédérations de bailleurs (CNCC, SFIF, CDC, AFG, ASPIM, FFA) "s'étaient déjà engagées à annuler trois mois de loyers pour les TPE fermées administrativement"."Le bailleur et son commerçant devront s'accorder avant le 30 juin sur le règlement des sommes reportées et l'échéancier de remboursement, qui pourra s'étendre au-delà du 30 septembre si la situation du commerçant le justifie", précise le communiqué.Le ministère précise que la charte a reçu l'adhésion des fédérations de bailleurs CNCC, SFIF, UNPI, AFG, ASPIM, FFA d'une part, de plusieurs fédérations de commerçants d'autre part (Confédération des commerçants de France, Commerçants et artisans des métropoles de France, fédérations de l'habillement, de l'équipement du foyer, des détaillants de la chaussure, de la photographie, etc.)D'autres fédérations associées à la médiation "n'ont pas souhaité adhérer à la charte, préférant poursuivre la négociation avec leurs bailleurs sans se référer à ce cadre", selon le communiqué.Pour ces 15 fédérations opposées au projet de charte sur les loyers, parmi lesquelles la FFF, l'alliance du commerce, la Fnaem, les propositions sont "limitées, non contraignantes, déséquilibrées et excluantes", indiquent-elles dans un communiqué où elles pointent du doigt "l'échec de cette médiation".Le report d'un trimestre d'un loyers est "déjà largement [appliqué]", développent ces non-signataires, et les contraintes appliquées aux bailleurs ne leur semblent pas suffisantes.L'accord ne prend pas en compte "tous les lieux encore fermés, comme les cinémas, les bars et restaurants dans les zones orange, et les commerces implantés dans les centres commerciaux de plus de 70.000m³, que l'État n'a pas autorisés à rouvrir le 2 juin", ajoutent-ils.Interrogé par l'AFP, le président de la Confédération des commerçants de France Francis Palombi s'est félicité de la conclusion de cette charte "qui était nécessaire. Cela a été laborieux, mais nous avons une base de travail: nous devons à présent nous retrouver autour d'une table pour discuter des clauses et des détails".Ces mesures sont "particulièrement satisfaisantes pour les toutes petites entreprises que nous représentons, de moins de 11 salariés", a souligné M. Palombi.
Il y a 5 ans et 12 jours

Saint-Gobain cède sa participation dans Sika

Le groupe Saint-Gobain a finalisé la cession de ses titres Sika pour 2,56 milliards de francs suisses. Une opération qui met un terme final à l'aventure du groupe français en Suisse.
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : ultime feu vert de l'Assemblée à un nouveau texte d'urgence

Objet d'un accord mardi entre députés et sénateurs, le texte approuvé à main levée par les élus LREM, MoDem et la grande majorité des UDI devra encore obtenir l'aval du Sénat le 10 juin pour être adopté définitivement par le Parlement.Les trois groupes de gauche - PS, LFI et PCF - ont voté contre, dénonçant notamment des "brèches dans le droit du travail" et un code du travail "désossé", l'ex-LREM Emilie Cariou (Écologie Démocratie Solidarité) formulant aussi des critiques en ce sens.Au nom de LR, Antoine Savignat a déploré un projet "illisible, sans cohérence" et rappelé, comme d'autres élus, le qualificatif de "gloubi-boulga" qui lui a été affublé par des parlementaires.Le texte prévoit notamment de nouvelles adaptations en matière de chômage partiel, des mesures relatives à la justice, ainsi que des dispositions liées au Brexit.Il prévoyait initialement 40 habilitations à légiférer par ordonnances, un nombre ramené à six par les parlementaires, a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau, défendant un texte qui "vise à répondre à une crise qui touche de nombreux domaines".Au chapitre du droit du travail, le texte permet notamment une modulation du dispositif de chômage partiel à partir du 1er juin. Il créé un dispositif spécifique d'activité partielle dénommé "activité réduite pour le maintien en emploi" qui doit permettre, sous réserve de négociations d'entreprise ou de branche, "une réduction du temps de travail" compensée "en partie" par l'État.Le texte prévoit également que les salariés en activité partielle bénéficieront de droits à la retraite à titre exceptionnel jusqu'au 31 décembre. Il permet en outre la poursuite du recours à des contrats courts ou encore facilite le prêt de main d’œuvre.Sur le volet justice, le projet de loi permet notamment une extension de l'expérimentation des cours criminelles dans 18 départements. Le gouvernement avait proposé de la porter à 30 départements pour faire face à l'engorgement des tribunaux lié à l'épidémie mais les sénateurs avaient initialement rejeté toute extension.Toujours au chapitre judiciaire, le projet de loi acte également plusieurs reports dont celui de la réforme du divorce à 2021.Parmi ses diverses mesures, le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnances des dispositions liées au Brexit à l'issue de la période de transition, qui doit en principe s'achever au 31 décembre. Là aussi un compromis a été trouvé: initialement fixée à 30 mois, l'habilitation a été réduite à douze mois.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les entreprises de TP pensent perdre 20 % de leurs revenus cette année

Si 99 % d'entre elles ont repris une activité, elles ne devraient pas tourner à 100% avant au moins septembre, selon la dernière enquête de la FNTP.
Il y a 5 ans et 12 jours

Découvrez Isover Guard System

Il y a 5 ans et 12 jours

"Il faut amplifier le tournant environnemental" (François de Mazières)

POINT DE VUE. Le maire (DVD) de Versailles, ancien président de la Cité de l'architecture et du patrimoine, plaide, auprès de Batiactu, pour un autre aménagement du territoire, l'"amplification du tournant environnemental", et une plus grande place accordée aux élus locaux dans la politique d'attribution des logements sociaux.
Il y a 5 ans et 12 jours

Qui est le nouveau directeur de marché Bâtiment de Wilo France ?

CARNET-NOMINATION. Le fabricant de pompes et de systèmes de pompage, Wilo, vient de se doter d'un nouveau directeur de marché Bâtiment pour la France. Dé qui s'agit-il ? Découvrez son profil.
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : bailleurs et locataires commerçants trouvent un accord

MEDIATION. La mission de médiation conduite par Jeanne-Marie Prost sur les relations entre bailleurs et locataires commerçants durant la période de confinement sanitaire a rendu ses conclusions : les propriétaires ont ainsi accepté de reporter trois mois de loyers pour les artisans dans le besoin, quelle que soit la taille de l'entreprise.
GDA
Il y a 5 ans et 12 jours

Les TPE à la peine mais toujours motivées pour se développer

ETUDE. Initiative France, réseau associatif de financement et d'accompagnement des entrepreneurs, livre les résultats d'une étude sur les conséquences de la crise sanitaire, les besoins et les perspectives pour les TPE. Téléchargez l'infographie et l'étude.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les conséquences du "choc covid" sur la stratégie de SNCF Réseau

L'ESSENTIEL EN 3 POINTS. P-DG du gestionnaire d'infrastructure ferroviaire depuis le 1er mars 2020, Luc Lallemand était auditionné au Sénat le 3 juin. L'occasion d'aborder la situation financière du groupe, les besoins en investissement, et la vision stratégique à dessiner. Le tout en prenant en compte l'impact de la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 12 jours

Auvergne-Rhône-Alpes: avec un milliard d'euros, le plan de relance régional passera par la construction

Préférence régionale, préservation ou création de 50.000 à 100.000 emplois, démarrage de chantiers...: le président d'Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, a présenté jeudi 4 juin un plan de relance chiffré à un milliard d'euros pour faire face à la crise économique liée au Covid-19.
Il y a 5 ans et 12 jours

Trois acteurs du Bâtiment nous parlent de "leur" télétravail

TEMOIGNAGES. Avec la crise sanitaire, le télétravail s'est étendu à une large frange de l'entreprise. Comment cette pratique a-t-elle été vécue ? Un attaché commercial, un directeur marketing et une directrice d'agence de relations presse du Bâtiment nous livrent leur expérience.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le confinement, révélateur des inégalités en matière de qualité du logement

École, travail, loisirs... c'est tout leur quotidien que les Français confinés ont dû revisiter pendant 2 mois. Au cœur de ces nouveaux modes de vie improvisés, un élément charnière : le logement. Perçu et vécu comme un « cocon », celui-ci a pu aider à vivre cette période inédite et complexe. À l'inverse, moins bien supporté, il a aussi pu contribuer à générer des tensions supplémentaires.Dans tous les cas, alors que la vie commence à reprendre un cours « plus normal », l'étude QUALITEL - IPSOS le montre : le confinement a révélé et confirmé l'importance de la qualité du logement dans la vie des Français. L'importance de la qualité du logement plus que jamais confirmée, mais des inégalités observéesCette période de confinement a été un révélateur de l'importance de la qualité du logement pour les Français, pour le meilleur et parfois pour le pire.Un grand nombre de Français ont plutôt, voire beaucoup, apprécié leur logement pendant ces deux mois. Une part non-négligeable (34%) affirmait même, au bout de 6 semaines, « qu'ils pourraient vivre en confinement très longtemps sans problème ».Mais qui étaient ces confinés « heureux à la maison » ? Des personnes plutôt âgées de 60 ans et plus, vivant en couple et propriétaires d'une maison en commune rurale. Ce sont ceux qui donnent la meilleure note à la qualité de leur logement, 7,2/10 [1] contre 6,7/10 pour ceux qui avouaient « commencer à en avoir marre ». Certains ressortent même de cette période avec un attachement renforcé à leur domicile : 37% affirment avoir « adoré » leur logement pendant le confinement.A contrario, 20% de Français, soit près de 8 millions de foyers, ont déclaré avoir « mal supporté » leur logement pendant le confinement.Parmi eux, on trouve une sur-proportion de jeunes (28% des moins de 35 ans), de personnes seules (26%), en appartement (29%) avec des revenus modestes (32% des personnes gagnant moins de 1 250€).Plusieurs facteurs liés au logement ont contribué à vivre plus ou moins bien le « mode confiné »La catégorie d'agglomération...Sans surprise, la France des campagnes qui juge en temps normal plus favorablement la qualité de son logement (cf. baromètre Qualitel 2019) a globalement mieux vécu le confinement. 65% des personnes vivant en zone rurale ont estimé que leur logement était tout à fait adapté pour vivre confiné, 47% pour les personnes vivant dans une grande métropole (35% pour l'Île-de-France)....Le fait d'habiter en appartement ou en maison...Un des éléments particulièrement discriminant pour avoir bien vécu le confinement est le fait d'habiter en maison plutôt qu'en appartement. Les habitants d'appartement qui évaluent la qualité de leur logement à 6,2/10, n'ont été que 28% à juger que leur logement était tout à fait adapté à une vie confinée, contre 65% de ceux vivant en maison avec une note de 7,1/10....D'être propriétaire ou locataire...Les propriétaires ont également noté plus généreusement leur logement en cette période de confinement (7,3/10), par rapport aux locataires (6 en moyenne et 5,7 pour les locataires de logements sociaux). Et ce sont ces mêmes propriétaires, qui, à 61%, ont trouvé que leur logement était tout à fait adapté au confinement (33% pour les locataires)....De bénéficier du vrai luxe, l'espaceSans surprise, la surface du logement a constitué l'un des critères les plus décisifs pour bien vivre le confinement : seul 1 Français sur 4 habitant dans moins de 75 m² (hors studio) a jugé son logement tout à fait adapté au confinement, une proportion passant à près de 8 Français sur 10 pour ceux habitant dans plus de 120 m².Dans le détail, ceux qui ont jugé leur logement inadapté l'ont principalement expliqué par le manque d'un espace extérieur (52%), une surface globale trop petite (49%) ou l'absence d'une pièce pour s'isoler (33%).Le grand confinement de 2020 pourrait ainsi marquer un tournant dans cette « conquête de l'espace ».Vers de nouveaux horizons38% des habitants d'appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit un chiffre 3 fois plus élevé que les habitants de maison. C'est le cas aussi de 31% des habitants de l'agglomération parisienne, bien plus nombreux que les résidents des villes moyennes (21%) à émettre le souhait de déménager.Même constat chez les parents : 41% des personnes ayant des enfants en bas âge souhaitaient déménager à l'issu de ce confinement. Ils ont davantage souffert de la promiscuité et du manque d'espace. Des difficultés qui ont été anticipées par certains : ainsi les familles avec enfants en bas âge ont été deux fois plus nombreuses que la moyenne des Français à quitter leur logement pour passer le confinement ailleurs (11% contre 6%).
Il y a 5 ans et 12 jours

Un nouveau président pour Perl

CARNET. Perl, filiale du groupe Nexity basée sur le modèle de l'investissement en nue-propriété adossé à de l'usufruit locatif social, a un nouveau président en la personne de Julien Drouot-l'Hermine. Celui-ci conserve la présidence d'une autre filiale du promoteur : iSelection, spécialisée dans l'immobilier de placement.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 5 ans et 12 jours

Photovoltaïque: Dracula Technologies se lance dans un projet d'impression innovant

La jeune société Dracula Technologies vient de lever 2,2 millions d'euros pour lancer la pré-industrialisation de sa technologie d'impression de cellules photovoltaïques.
Il y a 5 ans et 12 jours

Bernard Aulagne réélu à la tête de l'association Coénove

CARNET-NOMINATION. Lors de l'assemblée générale de l'association Coénove, qui s'est tenue le 25 mai 2020, Bernard Aulagne a été réélu président pour un mandat de trois ans.
Il y a 5 ans et 12 jours

La baisse de 5€ des APL, "une erreur", selon le ministre Julien Denormandie

VERBATIM. Lors d'un débat en séance au Sénat sur une proposition de loi visant à supprimer le délai de carence pour le versement des aides personnelles au logement (APL), le ministre, défavorable au texte, qui a finalement été adopté, a admis "des erreurs [...] parmi lesquelles, la baisse de 5 euros des APL".
Il y a 5 ans et 12 jours

Donner de l’espace aux commerçants grâce à la terrasse «made in Aisne»

Basé dans l’Aisne, l’architecte Éric Pace, a mis au point, avec le designer Jean-Louis Frechin, une terrasse préfabriquée permettant aux restaurateurs et autres commerçants d’augmenter provisoirement et aisément leur surface de vente. Aperçu du projet naissant « Goodnest » qui permet de respecter les mesures anti-Covid-19, tout en étant financièrement supportable.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les rendez-vous de Négoce, après la crise sanitaire

Le magazine Négoce propose du 16 juin au 7 juillet des webinaires pour préparer la sortie de crise.
Il y a 5 ans et 12 jours

Travailler moins pour gagner moins et éviter le licenciement

Depuis mi-mai, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, vante les "accords de performance collective" rendus possibles par les ordonnances réformant le Code du travail de 2017, au tout début de quinquennat.Ce dispositif a remplacé les "accords de maintien de l'emploi"; "de préservation ou de développement de l'emploi" et les "accords de mobilité". Visant à "préserver" ou de "développer" l'emploi, il peut: aménager la durée du travail; aménager la rémunération; déterminer les conditions de la mobilité professionnelle ou géographique interne à l'entreprise. A défaut de précisions, l'accord est valable cinq ans. En cas de refus, le salarié est licencié."Je pense qu'il faut se serrer les coudes dans cette période. Pour se serrer les coudes on peut aussi négocier des accords de performance collective", a suggéré Mme Pénicaud dimanche sur LCI. Cette mesure permet "de se dire +plutôt qu'il y en ait 20% qui perdent leur emploi, on va pendant quelque temps baisser le temps de travail, donc la rémunération+".Mais pas à n'importe quel prix pour les salariés.Le cas de Ryanair ne passe pas, par exemple. La direction de Malta Air, qui opère pour la compagnie irlandaise low cost en France, a proposé de baisser de 10% la rémunération de son personnel navigant commercial pendant cinq ans, un "chantage au licenciement", selon le syndicat majoritaire de Ryanair France."Si les personnels de Ryanair étaient payés 30% de plus que le marché (…) je pourrais entendre +On a un problème structurel et ça suppose de revoir notre modèle pour être à peu près comme les autres+. Je ne suis pas sûre que ce soit la situation", a réagi mercredi sur France Inter la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie Agnès Pannier-Runacher, qui a repris le terme "chantage", tout comme Bruno Le Maire la veille, ou Muriel Pénicaud.Mais les accords de performance sont "de bonnes pistes" car "à terme, ces négociations sont plus créatrices d'emploi", a relevé la secrétaire d'Etat, proposant que les "gros salaires baissent aussi"."Aucune garantie aux salariés""Plus de 300" accords de ce type ont été signés cette année, selon Muriel Pénicaud."C'est l'outil idéal, le plus flexible, le plus simple et le plus complet pour adapter l'entreprise à la situation de crise actuelle, voire sur le long terme. Il permet de moduler tous les aspects essentiels de la relation au travail", s'enthousiasme Déborah David, avocate associée au cabinet De Gaulle Fleurance & Associés (côté employeurs), évoquant notamment le télétravail. "L'avantage principal" de ce genre d'accord: "transformer l'entreprise complètement sans procéder à des licenciements".Pour Pascal Lokiec, professeur de droit social à la Sorbonne, ce dispositif "doit être manié avec extrême prudence car le cadre légal, tel que défini par le Code du travail, est extrêmement léger et n'offre quasiment aucune garantie aux salariés"."Ce type d'accord n'est viable que dans une entreprise où le dialogue social est très équilibré, y compris en temps de crise, à moins que le gouvernement fasse le choix de renforcer, dans l'urgence, le cadre légal pour offrir plus de garanties aux salariés", ajoute-t-il.Yves Veyrier, le numéro un de FO, partage cette inquiétude, évoquant "des exemples passés où on a contraint les salariés par le biais d'une forme de chantage à l'emploi à accepter des baisses de salaires (…) pour au final que des emplois soient malgré tout supprimés".Parmi les garanties nécessaires pour que de tels cas ne se produisent pas, M. Lokiec cite "un engagement de l'entreprise de ne pas licencier pour une certaine durée; une clause de retour à meilleure fortune qui signifie que si l'entreprise va mieux, l'accord devient caduc; et l'engagement des actionnaires et dirigeants de faire des efforts proportionnés à ceux des salariés".Et de rappeler que ces clauses étaient obligatoires dans les premières générations d'accords sur l'emploi, créées en 2013, avant de devenir progressivement facultatives.
Il y a 5 ans et 12 jours

Ces acteurs qui appellent à imaginer un BTP nouveau à l'occcasion de la crise

RÉACTION. Plusieurs acteurs ont pris la parole afin de convaincre les pouvoirs publics de renforcer la qualité des logements à l'occasion du plan de relance à venir.
Il y a 5 ans et 12 jours

Technal développe une menuiserie aux performances acoustique et esthétique pour le « Trait d’Union »

L'aluminier Technal a développé une menuiserie sur-mesure pour l'ouvrage "Trait d'Union". Une structure performante... Cet article Technal développe une menuiserie aux performances acoustique et esthétique pour le « Trait d’Union » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 12 jours

Bureaux d'études Algaflex

Il y a 5 ans et 12 jours

Les travaux publics anticipent une forte chute de leur activité en 2020

ETUDE. A fin mai, la quasi-totalité des entreprises de TP ont retrouvé le chemin des chantiers selon la dernière enquête publiée par la FNTP, dont les résultats complets sont à télécharger. Mais les conséquences de la crise sanitaire sur le chiffre d'affaires de l'année et sur l'emploi seront très lourdes.
Il y a 5 ans et 12 jours

Transformation "à minima" de la maison d'Hitler pour en faire un poste de police

C'est par son approche sciemment "minimaliste en apparence" que le cabinet d'architecte autrichien Marte.Marte a remporté l'appel d'offre européen lancé pour transformer la bâtisse, a expliqué le président du jury, Robert Wimmer, en conférence de presse.Le gouvernement autrichien a mené une longue bataille judiciaire pour s'assurer la propriété de cette maison située dans le nord du pays, dans le but d'empêcher que l'endroit où est né Adolf Hitler le 20 avril 1889 ne devienne un lieu de pèlerinage néonazi.La bâtisse de 800 mètres carrés située dans le centre de Braunau-am-Inn, à la frontière allemande, va notamment être rehaussée par une nouvelle toiture, et subir un agrandissement."Confier ce bâtiment à la police est la meilleure des choses à faire pour le neutraliser", a estimé le responsable du projet au gouvernement, Hermann Feiner.Plusieurs hypothèses avaient été envisagées pour l'avenir du bâtiment, y compris sa démolition ou une transformation radicale de son architecture.Les travaux vont coûter cinq millions d'euros financés par l'État. Ils s'achèveront au début de l'année 2023."Un nouveau chapitre, tourné vers l'avenir, va être ouvert concernant la maison natale d'un dictateur et d'un meurtrier de masse", a déclaré le ministre autrichien de l'Intérieur Karl Nehammer.Au terme d'une longue procédure, l'Autriche était définitivement devenue en 2019 propriétaire de cette maison, après en avoir été locataire pendant plus de 40 ans. Une expropriation avait dû être engagée contre la propriétaire.L'Autriche, annexée par l'Allemagne en 1938, a longtemps entretenu une relation complexe avec son passé. Après la Seconde guerre mondiale, ses gouvernements successifs l'ont présentée comme "la première victime du nazisme", niant la complicité de nombreux Autrichiens dans les crimes du IIIe Reich. Un regard critique a commencé à s'exercer au milieu des années 1980.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les seules scies sur table avec aspirateur intégré pour une coupe à sec et sans poussière

Depuis la fin d’année 2019, ATDV a repris une nouvelle carte très prometteuse sur le marché. Déjà beaucoup plébiscitée dans l’Europe et l’Amérique, la société est maintenant en mesure de proposer des scies sur table iQ pour couper tous types de carrelages, de la brique, des pierres du béton et des pavés etc.. Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration cyclonique intégré. Elles permettent une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur. Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les 3 types de scies sur table sont compactes, simples d’utilisation et facilement transportables. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussières Montage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eau Transport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisations L’utilisateur ne respirera plus de la silice Le disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.   Informations supplémentaires : iQTS244 Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc.. Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 685 x 711 x 864 Tension : 230 V Puissance : 2000 W Poids : 42 kg Diamètre du disque : 255 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 5 kg Accessoires : Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration iQ360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 30 kg Diamètre du disque : 355 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 22 kg Accessoires : SmartCart iQMS362 Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc.. Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 68 kg Diamètre du disque : Q-drive 420 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 18 kg Poids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 5 ans et 12 jours

"La rénovation énergétique, excellent candidat pour le plan de relance" E.Wargon

ENTRETIEN EXCLUSIF. Rénovation énergétique, label RGE, coups de pouce CEE, diagnostic de performance énergétique, réglementation environnementale, relance... La secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a reçu Batiactu au ministère pour effectuer un tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 5 ans et 12 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le Salon Artibat est reporté en octobre 2021

Le salon Artibat sera finalement reporté à la mi octobre 2021, selon les organisateurs du salon qui jugent que la gravité de la situation sanitaire et de ses impacts économiques justifie leur choix.
Il y a 5 ans et 12 jours

Un ruban de corten, en hommage aux carrières d'Alsace

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 12 jours

Participez au 5e webinaire Contract de l’Ameublement français !

Lundi 8 juin à 11h30, le chef Guy SAVOY et, l'architecte et designer Jean-Michel WILMOTTE débattront ensemble de l'avenir de l'art de vivre français... Cet article Participez au 5e webinaire Contract de l’Ameublement français ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.