Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256818 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 33 jours

Atelier COS comme chez lui à l’Hôtel du Palais d’Eugénie

L’agence parisienne Atelier COS (Didier Beautemps et Valeria Sanchez) s’apprête à livrer à l’été 2020 la rénovation du prestigieux Hôtel du Palais à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques). Subtile harmonie entre histoire et modernité ? Communiqué. Originellement Villa d’Eugénie, L’Hôtel du Palais à Biarritz est la résidence d’été offerte en 1855 par l’Empereur Napoléon III à son épouse Eugénie. […] L’article Atelier COS comme chez lui à l’Hôtel du Palais d’Eugénie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 33 jours

Ce qui va changer avec la RE 2020

En raison du contexte d'épidémie du Covid-19, le calendrier d'élaboration et de mise en œuvre de la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs, dite « RE 2020 » est ajusté. Les concertations se poursuivront pendant l'été pour permettre à tous les acteurs concernés d'y prendre part. La publication des textes réglementaires (décrets et arrêtés) interviendra fin 2020 ou au plus tard au début de l'année 2021. Il est pour l’instant prévu que la nouvelle réglementation...
Il y a 5 ans et 33 jours

Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or

Le cabinet vétérinaire de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or), conçu par Raphael Campagnari, avec Maguelone Montanié architecte, a été dans tous les sens du terme réalisé en circuit court : l’architecte est local, le client est du coin et l’entreprise Métal Déployé est à deux pas. Richesse du terroir ? L’architecte Raphael Campagnari vit à Villars-et-Villenotte, petite ville de la […] L’article Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 34 jours

Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie

Dans le cadre du programme EOLE SNCF à Mantes-la-Jolie (Yvelines) Atelier Aconcept a dévoilé en mars 2020 un bâtiment modulaire de 2 000 m², un monolithe tout en métal perforé réalisé pour un coût de 6,33 M€ HT. Communiqué. Le projet fait l’objet d’un repositionnement des bâtiments existants ainsi qu’un regroupement avec une brigade SNCF. […] L’article Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : les médecins du travail peuvent prescrire des arrêts de travail, mais ne feront pas de tests

Cette possibilité avait été prévue dans une ordonnance début avril.Les médecins du travail, qui ne peuvent pas prescrire des arrêts de travail contrairement à un médecin traitant, peuvent désormais le faire pour les "personnes atteintes ou suspectées d'infection au Covid-19, ou faisant l'objet de mesures d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile".En revanche, il n'est plus question de les autoriser à pratiquer des tests, comme le prévoyait l'ordonnance en vue, expliquait alors le ministère du Travail, "d'associer les services de santé au travail à une politique de tests plus massifs dans une perspective de sortie de confinement".Sur ce sujet, le ministère renvoie désormais au "protocole de déconfinement" diffusé la semaine dernière qui "interdit" les campagnes de dépistage en entreprise, comme avait commencé de le faire l'entreprise Veolia. Le Crédit mutuel et Engie se sont ravisés après avoir envisagé de mener de telles campagnes.Les services de santé au travail, qui représentent environ "12.000 personnes" selon le ministère, seront "recentrés" sur "les messages de prévention" afin de lutter contre le coronavirus, et sur l'application des guides de bonne pratique des différents métiers.Selon l'ordonnance, ils pourront aussi "suspendre certaines visites médicales obligatoires" et "privilégier les visites d'embauche et celles des personnes affectées à des postes à risque" notamment.Selon le texte de l'ordonnance, ils seront aussi chargés de "l'accompagnement des entreprises amenées, par l'effet de la crise sanitaire, à accroître ou adapter leur activité", et ce dans un délai fixé au 31 août 2020.
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : l'Assemblée valide de nouvelles adaptations du droit du travail

Le but est "d'éviter les ruptures brutales" de contrats au moment où l'économie "repart", avait déclaré jeudi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, au début de l'examen en première lecture du projet de loi composite relatif à "diverses dispositions liées à la crise sanitaire".Les députés ont adopté un amendement du gouvernement qui permet, par "accord d'entreprise", de fixer un nombre de renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et contrats d'intérim à un niveau autre que celui prévu par accord de branche ou par la loi.Mme Pénicaud a souligné la "condition très importante de l'accord majoritaire" d'entreprise et les "garde-fous": cette "mesure n'existe que jusqu'au 31 décembre, elle accompagne la reprise" et il y a une "limite totale de 18 mois pour les contrats cumulés".Cette diposition était initialement renvoyée à une ordonnance.Des députés LREM ont défendu en vain, par la voix de Jacques Maire, le maintien de la "supériorité des accords de branches". "Si la branche se mobilise, il ne faut pas y déroger", a insisté ce "marcheur", à l'unisson de députés PS."Vous souhaitez précariser les salariés en permettant aux employeurs de déroger au nombre de renouvellement de CDD et contrats précaires", avait aussi dénoncé plus tôt l'insoumis Loïc Prud'homme, y voyant un "nouveau cadeau au patronat"."Nous pensons que la précarité doit être l'exception", avait renchéri Sébastien Jumel (PCF).Sur l'activité partielle, qui concerne actuellement 12,4 millions de salariés, le texte habilite le gouvernement à adapter les règles "aux caractéristiques des entreprises", au secteur ou aux catégories de salariés.L'objectif est de "moduler" le dispositif notamment pour "maîtriser la dépense publique", tout en tenant compte de certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration qu'il convient de "protéger plus fortement", a indiqué la ministre.Un amendement LREM a été adopté pour moduler l'activité partielle en "fonction de l'impact économique de la crise sanitaire" sur les entreprises, la ministre estimant qu'il va permettre de réagir "avec souplesse".Les communistes sont revenus inlassablement à la charge en vain pour avoir des détails sur la "réduction de voilure" annoncée du chômage partiel, rejoints notamment par le LR Antoine Savignat demandant que les élus soient "éclairés".Comme annoncé par le gouvernement la semaine dernière, un amendement prévoit aussi que le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base. Il a reçu un soutien de tous les bancs.Les députés ont aussi temporairement relevé le plafond du temps de travail des étudiants étrangers de 60 à 80% d'un temps complet, en invoquant notamment leurs besoins financiers.
Cimbat
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : La FFB interpelle le gouvernement et demande des compensations pour amortir les surcoûts des chantiers liés à la crise

La reprise des chantiers ne pourra pas se faire comme avant, en raison de l'application des préconisations sanitaires publiées par l'OPPBTP, dont le respect, indispensable, entraîne un allongement des délais et d'importants surcoûts d'exécution (mise en sécurité du chantier et du matériel, gardiennage, perte de rendement du fait des nouvelles conditions de travail, mobilisations supplémentaires de personnel et de matériels, variations du coût des matières premières ou de produits manufacturés, etc.).Redonner plein effet aux pénalités de retard, dans ce contexte, par une ordonnance prise sans associer les principaux acteurs et employeurs du secteur est d'une grande injustice.Aujourd'hui, la FFB interpelle le gouvernement sur la nécessité de prendre en compte les surcoûts liés à la Covid-19 que ne peuvent supporter les artisans et entrepreneurs, tant en marchés publics qu'en marchés privés.Des solutions existent, notamment la compensation des surcoûts de la Covid-19 par l'application systématique au prix des marchés d'un coefficient d'imprévision et l'annulation pendant quelques mois des charges sociales patronales.Pour Jacques Chanut, président de la FFB : " Le bâtiment avait été entendu sur le fait de décorréler l'instruction des permis de construire de la fin de l'état d'urgence sanitaire, mais les pouvoirs publics ont profité de cela pour décorréler également les délais de chantiers, sans donner de message clair à ce stade sur la nécessaire répartition des surcoûts de la Covid-19. Ce sujet important est aujourd'hui d'une grande priorité pour prévenir les dépôts de bilan des artisans et entrepreneurs du bâtiment, leur permettre de surmonter cette crise et participer, sur tous nos territoires, à la nécessaire reconstruction économique et sociale de notre pays."
Il y a 5 ans et 34 jours

Le bâtiment à l’épreuve de l’adaptation

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 34 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.
Il y a 5 ans et 34 jours

Covid-19 : Télétravail, "open space", "coworking", la crise sanitaire change la vie de bureau

Selon la dernière édition, datant de 2017, du baromètre de la qualité de vie au bureau, réalisé par TNS Sofres et Actineo, trois actifs sur cinq (65%) travaillant au bureau sont dans un espace fermé, 29% dans un espace collectif ouvert (ou "open space") et 6% sont sans poste attitré (bureau partagé ou "desk-sharing").Sur les 65% qui sont en bureau fermé, 32% sont seuls (proportion qui monte à 77% chez les cadres dirigeants et 46% chez les cadres intermédiaires) et 33% sont dans un bureau de plus de deux personnes (36% des employés).Dans le contexte post-covid, "les entreprises vont être obligées de repenser leur organisation. Toucher aux environnements de travail est une question sensible" pour Catherine Pinchaut, secrétaire nationale de la CFDT, qui prévient que beaucoup va dépendre "de la qualité du dialogue social". "Il faut que l'employeur assume ses responsabilités en matière de sécurité, qu'il informe et forme ses salariés", insiste Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT.Les bureaux en plateau ouvert ont été fustigés dans le livre à succès "L'open space m'a tuer" paru en 2008 sous les plumes de Thomas Zuber et Alexandre des Isnards (Pocket). Le sociologue du travail Alain d'Iribarne les a qualifiés de "fabrique du contrôle social" où "chacun se surveille, écoute les conversations des autres". Ils vont devoir être repensés, assure l'architecte et psychologue du travail Elisabeth Pélegrin-Genel. "L'open space a été densifié au fil des années, on a entassé les gens pour économiser des mètres carrés. On va devoir +dédensifier+ et revenir à quelque chose de sans doute beaucoup plus agréable car on ne sera pas collé les uns contre les autres."Pas "la fin du bureau"Auteur en 2016 du livre "Comment (se) sauver (de) l'open space ?" (Editions Parenthèse), elle se dit aujourd'hui "assaillie de sollicitations pour installer des plexiglas" sur les plateaux de travail. "Comme dans +Playtime+ de Jacques Tati. J'espère que ce ne sera que temporaire, qu'on ne va pas finir par vivre chacun dans son scaphandre, à deux mètres les uns des autres..." Dans ce contexte, le bureau partagé "peut devenir une bonne solution de par sa facilité d'entretien" car il est plus facile de désinfecter un poste de travail vide de tout effet personnel, estime Mme Pélegrin-Genel.Le cotravail (ou "coworking") permet pour sa part de renouer avec une ambiance de bureau dans des espaces dédiés, partagés par plusieurs entreprises, plus proches du domicile, permettant d'éviter des heures de trajet."Le coworking est une alternative au domicile" pour Odile Duchenne, directrice générale d'Actineo, observatoire de la qualité de vie au travail, tout en permettant ce "travail à distance, grand gagnant" de cette crise.Selon Patrick Conjard, de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), le "travail hors les murs", qui concernait 7% des salariés avant la crise et 30% (un peu plus de 7 millions) pendant, "bouleverse les pratiques managériales" appelées à "gérer les collectifs en présence et à distance"."0n va de plus en plus travailler ailleurs que dans les immeubles de bureau", ajoute Mme Duchenne, mais "cela ne veut pas dire la fin du bureau". Pour la dirigeante d'Actineo, "l'entreprise sera le lieu où l'on vient pour les réunions, le partage, la créativité". Cela impliquera l'aménagement de "salles de réunion plus grandes, plus hautes de plafond, plus aérées". Une chose est certaine pour Odile Duchenne : "la crise marquera ces lieux".
Il y a 5 ans et 34 jours

Un nouveau président chez BDR Thermea France

Christophe de Fitte prend la direction générale de la filiale française du fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire.
Il y a 5 ans et 34 jours

Vitra : Chair Times

En ce temps propice au visionnage de documentaire, l’éditeur design Vitra dévoile « Chair Times », un film qui retrace l’histoire de la chaise à travers 125 objets issus de la collection du Vitra Design Museum. Du XIXème siècle aux créations les plus récentes, retour sur un artefact qui en dit long sur son époque. Véritables marqueurs de la mode et de l’éthique d’une société, les chaises sortent de nos salles à manger le temps d’un documentaire. Présenté par Vitra, « Chair Times » dévoile les facettes d’une pièce de mobilier qui permet de reconnaître et comprendre une époque. Structures sociales, matériaux, techniques, habitudes et styles sont tant d’éléments qu’une simple chaise permet de disséquer.Guidés par le président émérite de Vitra et l'ancien PDG Rolf Fehlbaum, de grands noms du design comme les créateurs Hella Jongerius et Ronan Bouroullec, l’architecte David Chipperfield ou encore les conservateurs du Vitra Design Museum Amelie Klein, Jochen Eisenbrand s’expriment et nous offrent des clés de compréhension inédites.De quoi passer le temps tout en s’instruisant ! Pour en savoir plus, visitez le site de VitraPhotographies : VitraZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 34 jours

Riou Glass imagine un verre chauffant auto-désinfectant

INNOVATION. La crise du Covid-19 challenge les services de R&D qui se démènent pour trouver des solutions innovantes visant à faciliter le quotidien. Dans ce cadre, Riou Glass annonce l'élaboration d'un verre chauffant auto-désinfectant. Détails.
Il y a 5 ans et 34 jours

Grand Paris Express: le premier lot de génie civil de la ligne 18 attribué

CONTRAT. La Société du Grand Paris a choisi le groupement qui réalisera le premier marché de génie civil de la ligne 18 du Grand Paris Express. Les travaux pour la dernière ligne du réseau de super-métro vont donc pouvoir être engagés.
Il y a 5 ans et 34 jours

ISOcomble sur les starting blocks pour la reprise d'activité

Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Economie d'Energie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 5 ans et 34 jours

Un nouveau directeur général pour BDR Thermea France

CARNET-NOMINATION. BDR Thermea France, fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire, annonce la nomination d'un nouveau directeur général France. Découvrez son parcours.
Il y a 5 ans et 34 jours

Les créations d'entreprises dans la construction ont plongé en avril

CONJONCTURE. Sans réelle surprise, le nombre de créations d'entreprises a dégringolé de 33,5% au mois d'avril, tous secteurs d'activité confondus, après déjà une importante chute en mars. Le bâtiment, les travaux publics et l'immobilier ne sont pas non plus épargnés, bien que les tendances de long terme soient un peu plus positives.
GDA
Il y a 5 ans et 34 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 34 jours

La tuile Ténord Huguenot d'Edilians certifiée NF Faible Pente

L'unique modèle petit moule du marché certifié NF FPDernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d'EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l'Audomarois, dans les Hauts de France.Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s'ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d'EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu'à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.Une esthétique traditionnelleGrâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord.S'inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d'Amarante) qui apportent une touche de modernité.Un jeu double et une pose simpleAux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu'une simplicité d'installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu'à 18,7 tuiles au m²).Dotée d'un système de double emboîtement et recouvrement au service d'une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l'éco-habitat d'EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture.
Il y a 5 ans et 35 jours

L'agent immobilier doit s'assurer de la solvabilité des candidats

JURISPRUDENCE. La Cour de cassation a déterminé que l'agent immobilier qui a reçu un mandat de location doit rechercher un locataire solvable sans que cela ait besoin d'être précisé dans le contrat signé avec le propriétaire.
Il y a 5 ans et 35 jours

Ordonnance : artisans et maîtres d'oeuvre alertent sur une hausse des faillites

CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES. L'ordonnance du 13 mai inquiète décidément l'ensemble des acteurs de la filière. Après une première alerte lancée par la FNTP et la FFB, c'est la Capeb et l'ensemble de la maîtrise d'oeuvre qui ont souhaité réagir.
Il y a 5 ans et 35 jours

Milano Arch Week 2020: Bjarke Ingels, Rem Koolhaas et Kazuyo Sejima en direct sur les réseaux sociaux

Le coronavirus n'aura pas raison des starchitectes. Les organisateurs de la Milano Arch Week invitent, ce samedi 16 mai 2020, Bjarke Ingels, Rem Koolhaas, Kazuyo Sejima et d'autres architectes d'envergure internationale impliqués dans l'aménagement de la ville, pour une série de conférences, à suivre en direct sur les réseaux […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 35 jours

L’EPA Paris-Saclay @ « HOMES » en toute connaissance de KOZ

KOZ Architectes réalisera une résidence étudiante résiliente de 7 557 m² (SDP) au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. DEMATHIEU BARD Immobilier maître d’ouvrage de ces « HOMES ». Livraison prévue en 2022. Communiqué. KOZ architectes a été désigné en mai 2020 pour la maîtrise d’œuvre d’une nouvelle résidence étudiante en bois sobre et innovante […] L’article L’EPA Paris-Saclay @ « HOMES » en toute connaissance de KOZ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 35 jours

Co-living et colocation pour la nouvelle résidence étudiante de Paris-Saclay

PROJET. L'EPA Paris-Saclay a désigné, au terme d'une consultation, Koz architectes pour la maîtrise d'oeuvre d'une nouvelle résidence étudiante en bois alliant co-living et colocation, sous maîtrise d'ouvrage de Demathieu Bard Immobilier.
Il y a 5 ans et 35 jours

Facilibot développe des solutions de désinfection qui pulsent

Sas de désinfection « minute », produit de désinfection express et sans danger, turbine de brumisation de désinfectant et même… drone pulvérisateur. Au Havre, une petite entreprise, spécialiste des autolaveuses robotisées, innove sur le secteur de la désinfection et développe des solutions facilitant la mise en place des protocoles sanitaires pour lutter contre le Covid-19 et donc la reprise des chantiers.
Il y a 5 ans et 35 jours

Les revenus d'Eiffage déjà affectés par le Covid-19 au 1er trimestre

Entre janvier et mars, le groupe, numéro 3 du BTP français derrière Bouygues et Vinci, a dégagé un chiffre d'affaires de 3,74 milliards d'euros, soit une baisse de 4,3% par rapport à un an plus tôt."La croissance enregistrée par le groupe au cours des deux premiers mois de l'année a laissé place à une chute brutale d'activité dès la mi-mars, à la suite des mesures mises en place pour limiter la propagation" du Covid-19, a résumé Eiffage dans un communiqué.Le groupe est affecté à deux titres. Ses chantiers ont été perturbés par le contexte sanitaire et son autre grande activité, l'exploitation d'autoroutes, a pâti de la réduction drastique des déplacements.Par contraste avec son concurrent Vinci, il n'a en revanche qu'une petite présence dans les aéroports et celle-ci se concentre en France, alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur les voyages internationaux.Pour la suite, Eiffage, qui avait déjà annoncé que ses revenus et ses bénéfices baisseraient cette année, l'a confirmé, sans donner de nouvelle précision."Il apparaît difficile de projeter l'incidence de cette situation sur les résultats du groupe en année pleine", a-t-il conclu, prévenant d'une "forte dégradation d'activité attendue au deuxième trimestre".
Il y a 5 ans et 35 jours

Un chantier francilien prioritaire mené en plein confinement

FERROVIAIRE. Le 4 février 2020, un glissement de talus sur les voies SNCF, à hauteur de la gare de Transilien Sèvres-Ville d'Avray, paralysait le trafic des lignes L et U. Le chantier pour stabiliser le terrain et rétablir la circulation des trains a dû être brièvement interrompu au début du confinement. Mais jugé prioritaire, il a fait l'objet d'adaptations pour pouvoir assurer une reprise du trafic avant le 11 mai.
Il y a 5 ans et 35 jours

Deux nouvelles versions de coulissants Sunflex en profilés alu

Sunflex décline son système SF 20 en deux nouvelles versions. Jusqu’alors disponible en tout verre, ce coulissant est désormais disponible en profilés alu afin de... Cet article Deux nouvelles versions de coulissants Sunflex en profilés alu est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 35 jours

La solution d'ITE Myral plébiscitée sur les chantiers C.O.B pour ses qualités esthétiques et sa facilité de pose

Les deux maîtres d'ouvrage ont été accompagnés pas à pas par les équipes (chargé d'affaires, bureau d'études, formation) de l'industriel pour un résultat final en parfaite adéquation avec leurs objectifs environnementaux et esthétiques. Alors que le matériau bois est en nette progression dans le bâtiment en France (+19.4% PDM dans le collectif), la solution d'ITE Myral est parfaitement compatible avec ce type de projet tant sur le plan technique qu'esthétique grâce à un système de fixation unique. Cette compatibilité s'accompagne d'une grande facilité de mise en œuvre permettant de respecter des délais ambitieux.Le Groupe scolaire Simone Veil labellisé E3C1, Argenteuil (95)L'architecte en charge du projet, Joël Mischke, souhaitait faire oublier l'image de l'ancien site industriel sur lequel le groupe scolaire est maintenant implanté. Au total, l'ensemble livré en septembre dernier est d'une surface de 5 833 m² et s'inscrit dans une démarche environnementale très forte, qui s'est concrétisée par l'obtention du label E+C- avec un niveau E3C1.Les choix des matériaux utilisés par l'architecte se sont tournés vers cet objectif, notamment avec le bois. Pour le revêtement de façade, Joël Mischke a trouvé dans la solution Myral un bardage compatible avec son projet, et qui puisse laisser libre court à sa créativité grâce à la large gamme de finitions proposées. « Pour la plus grande partie des bardages, j'ai donné la priorité au blanc, le zinc patina est utilisé en R+2 pour marquer quelques points singuliers comme le logement du gardien, et avec le poli miroir, j'ai obtenu un reflet du ciel très intéressant qui permet de casser l'effet de masse de l'ensemble… ». Chaque étage de l'édifice est paré de bardages aux finitions et coloris différents, offrant à l'ensemble un jeu de volumes intéressant. Si l'architecte a été convaincu par le rendu esthétique de la solution Myral, il a tout autant apprécié la facilité de mise en œuvre du revêtement de façade, grâce à ses panneaux facilement manipulables. Ils ont permis de gagner du temps dans le déroulement du chantier et d'avoir le bâtiment prêt pour la rentrée 2019. La Société Normande Poulingue, spécialisée dans la conception et réalisation sur le marché de la construction bois, représentée sur site par Mr Baugard Antoine, a mis en œuvre avec brio l'ensemble des façades. La facilité et la rapidité de mise en œuvre ont permis à l'entreprise de réaliser les bardages en part propre en évitant la sous-traitance.Un immeuble bas carbone pour répondre aux exigences du futur, Méricourt (62)L'immeuble est un ensemble de 3 étages réalisé dans le cadre d'un éco quartier qui comprend 36 logements. Sur ces bâtiments, la solution Myral en pose bardage ventilé a été choisie pour une surface totale de 1 858 m². Dans une logique d'aménagement innovant, le maire de Méricourt souhaitait une qualité de bâti qui réponde aux exigences du futur. Le cahier des charges visait à obtenir un bâtiment bas carbone à haute performance énergétique. Objectif atteint, puisque l'immeuble arrive aujourd'hui à une base RT 2012 -20%.Martial Schillinger est le promoteur à l'origine du projet, accompagné par le Groupe Alsacien Mathis, spécialiste en construction bois en conception réalisation. Ils ont été séduits par la facilité de mise en oeuvre de la solution Myral grâce aux lames d'un seul tenant de 10.86 mètres sur toute la hauteur du bâtiment, et au système de fixation simple et non apparent. Le large choix de finitions a permis de donner du caractère à l'ensemble : « L'esthétisme plaisait à tout le monde. Ces revêtements métalliques changent un peu de ce que l'on a l'habitude de voir : il s'agit d'un vrai parti-pris esthétique ». Le choix s'est porté sur des panneaux aspect zinc et aspect or pour faire le contraste avec la rythmique bois autour de l'immeuble. Alors que les bâtiments en béton autour de l'immeuble sont parés d'un revêtement bois, cet immeuble, le seul avec une structure 100% bois, est couvert d'un revêtement métallique, en faisant un bâtiment totémique de la ZAC. Le mariage entre les parements aspect or et aspect zinc confère une véritable signature architecturale à l'ensemble.« Les élus et l'agence d'Architecture Houyez apprécient le niveau de qualité perçu. Et cela nous a conforté dans notre volonté d'inclure cette solution dans nos futurs programmes. Soit en 100%, soit en mix avec d'autres produits.» - Martial Schillinger, promoteur construction bois à l'origine du projet de Méricourt
Il y a 5 ans et 35 jours

Avec WICONA le groupe scolaire et centre de loisirs Simone Weil se refait une beauté

En première couronne parisienne, Champigny-sur-Marne (94) s’inscrit dans la dynamique du Grand Paris. À deux pas du centre-ville et d’une future gare du Grand Paris Express, le quartier des Courtilles renforce ses équipements. Parmi eux : le premier groupe scolaire/centre de loisirs ouvert depuis 1974 sur la ville, dédié à l’accueil des enfants de maternelle et de primaire. Conçu par le cabinet d’architecture Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe), le projet devait prendre en compte la montée des effectifs des prochaines. Outre les exigences d’un bâtiment HQE, le cahier des charges demandait d’optimiser la mutualisation des espaces, la robustesse de l’ouvrage, sa facilité de maintenance. Fonctionnalité et pérennité sont donc les maitres mots de ce bâtiment, qui se devait aussi d’illustrer l’école républicaine, comme le souhaitait la municipalité. « Nous avons répondu avec un bâtiment qui interprète les codes de l’école de la république comme devant être imposante mais aussi précieuse, et d’un coût tout à fait compétitif, en construction et en maintenance. La réversibilité du bâtiment est un autre point qui nous tient à cœur au sein de l’agence, surtout pour un bâtiment public : il n’était pas question de laisser aux successeurs une carcasse non manipulable ! » déclare l’architecte Bernard Valero. Groupe Scolaire et centre loisirs Simone Weil / © Olivier Rolfe Large palette de solutions en aluminium WICONA Pour répondre à ces impératifs, une multitude de matériaux résistants ont été employés, des sols aux plafonds, en passant par les murs et façades. Parmi eux : une large palette de solutions en aluminium WICONA a été retenue. En effet, trois versions du système de mur-rideau MECANO (ossature 52 mm) sont utilisées. La solution de façade lisse MECANO VEC se hisse sur plus de 450 m2 sous le ruban de brise-soleil verticaux dorés apposé sur les façades sud et ouest de l’école primaire. Particulièrement performant en termes d’étanchéité et d’isolation, MECANO serreur ponctuel éclaire les rez-de-chaussée en intégrant des portes WICSTYLE 65. La version MECANO serreur filant, qui autorise des prises de volume importantes (jusqu’à 42 mm), a permis de réaliser la verrière de 19 m2 disposée en éclairage zénithal d’un escalier intérieur. Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe Diversité toujours côté châssis, avec les solutions WICLINE 65 HI (haute isolation) fixes et à frappe et les coulissants WICSLIDE 65, tantôt seuls, souvent intégrant un garde-corps vitré, parfois associés dans des ensembles composés coulissant/fixe/ ouvrant pompier. Des solutions feu complètent le dispositif (portes et châssis WICSTYLE 77 FP). Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe   Maître d’ouvrage : Ville de Champigny-sur-Marne (94) Architecte : Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe, 75) Entreprise : STM, groupe Roger Delattre (Faches-Thumesnil, 59) Photographe : Olivier Rolfe
Il y a 5 ans et 35 jours

Dépollution de friches : la phytostabilisation marque des points

A quelques mois de l’achèvement du programme de recherche Phytoselect coordonné par l’Institut des sciences de la terre à Orléans entre 2016 et 2020, le bureau de recherche géologique et minière en dévoile les premiers résultats. La phytostabilisation marque des points, dans la panoplie de solutions proposées pour dépolluer les anciens sites miniers.
Il y a 5 ans et 35 jours

Surélévation en bois d’une maison australienne près de Melbourne

Nichée derrière une maison en bois dans le nord-est verdoyant de Melbourne, en Australie, ces surélévation et extension modulaire, à la fois audacieuses et raffinées, ont été conçues par les architectes de Modscape. [De l’architecte] Ayant besoin d’un espace supplémentaire pour leur famille grandissante, les propriétaires ont décidé d’utiliser une solution modulaire et d’agrandir leur […]
Il y a 5 ans et 35 jours

Déconfinés et prudents: un parc aux itinéraires distancés signé Studio Precht

On lui doit les quelques 183 piscines Tournesol qui ont parsemé la France, exemples les plus aboutis de l'industrialisation des complexes sportifs et de loisirs dans les années 1970. L'architecte Bernard Schoeller s'est éteint le 5 avril 2020, à Paris. Âgé de 90 ans, ils avait été un des collaborateurs des frères […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 35 jours

La SPL et ses membres : tragicomédie d'un mariage houleux

Collectivités territoriales - Des décisions récentes mettent en application la loi de 2019 qui devait sécuriser l'actionnariat des entreprises publiques locales… Mais l'objectif n'est que partiellement atteint.
Il y a 5 ans et 35 jours

Covid-19 : Apave et AFNOR lancent un label dédié à la sécurité sanitaire

Objectif : inspirer confiance, avec la délivrance d'une attestation et sa déclinaison visible (macaron) attestant qu'une entreprise de BTP applique à la lettre les règles sanitaires spécifiques au Covid-19.Comme de nombreux autres secteurs de l'économie française, les acteurs du BTP reprennent progressivement leurs activités après près de deux mois de crise sanitaire, mais doivent le faire en appliquant les mesures de protection contre le Covid-19 sur le lieu de travail et sur les chantiers. Pour tous ceux qui désirent montrer qu'ils les appliquent scrupuleusement, et ainsi rassurer leurs interlocuteurs et leurs clients, la vérification sur site par un organisme reconnu tierce partie est une excellente solution. Avec, si l'exercice est concluant, l'octroi d'un label reconnaissant ces bonnes pratiques. L'entreprise bénéficie ainsi du regard affûté d'un évaluateur impartial.Pour développer ce label, AFNOR Certification et Apave Certification, deux acteurs majeurs de la certification dans le secteur de la construction, ont bâti un cahier des charges adapté à la vérification des dispositions prises au niveau des entreprises (bureaux, dépôts et ateliers des entreprises, chaînes logistiques d'approvisionnement des matériaux ) et des chantiers (bases vie, bungalows de chantier ...) en capitalisant sur des documents sectoriels comme le guide de l'OPPBTP et les fiches métiers de la Direction Générale du Travail (DGT). Les évaluateurs missionnés dans les entreprises qui en feraient la demande s'y sont formés. « Je me réjouis de ce partenariat entre deux acteurs de premier plan, tous les deux tiers de confiance auprès des acteurs économiques du secteur de la construction et désireux d'amorcer une reprise saine, ambitieuse et résiliente, de nature à rassurer collaborateurs, clients et partenaires et qui doivent reprendre leurs chantiers dans les meilleures conditions », commente Franck Lebeugle, Directeur général d'AFNOR Certification.« Dans le contexte de reprise d'activités post crise Covid-19, ce partenariat entre Apave et Afnor est une excellente nouvelle. Nos équipes ont à cœur d'accompagner le secteur du BTP dans cette période si particulière. La mise à disposition de nos compétences communes et complémentaires en Certification, Bâtiment et Génie Civil et QHSE, s'inscrit dans la volonté commune de nos structures d'accompagner la reprise d'activités en toute sécurité et de soutenir la relance économique qui y est associée », déclare Philippe Maillard, Directeur général d'Apave.
Il y a 5 ans et 35 jours

Ubalt Architectes : INSEP x ADIDAS

Depuis janvier 2020, l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP) bénéficie de nouvelles infrastructures, à la fois fonctionnelles et graphiques, conçues par Ubalt Architectes. Le studio parisien d’architecture Ubalt Architectes s’est associé à l’agence événementielle Ubi Bene pour rénover plusieurs espaces de l’INSEP dans le cadre de son partenariat avec la marque de sport adidas. Les équipes Ubalt Architectes ont pensé l’esprit du lieu autour des couleurs communes à l’INSEP et adidas, le blanc et le bleu. Du choix des couleurs à la sélection des matériaux, les architectes ont ainsi décidé de puiser leur inspiration dans les univers graphiques des deux entités pour mieux illustrer ce co-branding. Tout l’enjeu de la réhabilitation a donc consisté à concevoir un lieu fonctionnel à l’identité visuelle forte. Destinées à accueillir des sportifs de haut niveau, les nouvelles infrastructures de l’INSEP se composent de plusieurs espaces aux formes géométriques simples : une maison de vie, une salle de réunion, des vestiaires et des couloirs. La maison de vie des jeunes sportifs est un espace ouvert structuré selon les différentes activités des athlètes. Au centre de la salle est installée une grande cage de tôle déployée, qui comprend des tables hautes réservées aux repas ou aux moments de travail. De part et d’autre de la cellule, il y a une salle de jeu et un solarium. Avec son sol bleu, sa tôle déployée et son mobilier en carrelage immaculé, la salle de réunion baptisée du nom de la célèbre athlète française Micheline Ostermeyer répond à la décoration de la pièce principale. Dans les couloirs remaniés de la Halle Pajol, le bleu domine, rappelant une fois encore le partenariat entre l’institut français et la firme allemande. Les architectes ont recouvert les murs, les bancs et les douches des vestiaires de carrelage blanc, tandis que le grès du sol remonte le long du mur. Seules quelques touches discrètes de bleu contrastent avec les teintes sobres de la pièce. Tous les nouveaux espaces de l’INSEP sont animés par un subtil jeu d’associations de lignes graphiques, de matériaux bruts et de couleurs franches, qui crée l’esprit du lieu. L’endroit se veut fonctionnel, mais devient singulier grâce à la grande liberté prise par Ubalt Architectes pour réinterpréter le complexe sportif à l’image des deux structures. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Ubalt Architectes et celui de l’agence événementielle Ubi Bene. Photographies : Yohann Fontaine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 35 jours

Covid-19 : Face à la crise, travailler plus ou travailler moins ?

Sur le temps de travail, le Medef a tiré le premier il y a un mois par la voix de son président, Geoffroy Roux de Bézieux, qui a estimé qu'il faudrait "poser la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés" pour accompagner la reprise.Devant le tollé -- "indécent" a claqué le numéro un de la CFDT Laurent Berger-- il a vite remballé sa proposition, aussi promue par l'Institut Montaigne.Sauf que depuis, des mauvais chiffres des demandeurs d'emplois sont arrivés, les prévisions de croissance plongent (-6 points de PIB pour les deux mois de confinement) et la crise de l'emploi se profile.Les idées ressortent.Si la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, martèle depuis deux mois que l'exécutif fait tout pour éviter les licenciements, elle a discrètement lâché cette semaine qu'elle ne pouvait "pas affirmer qu'il n'y aurait pas de licenciements dans les entreprises en difficulté".Vieux routier des relations sociales en France, et ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie s'est même étonné de ne voir "personne anticiper" les plans sociaux, et la situation des entreprises qui seront face à des "marchés durablement réduits".Lui pronostique la disparition de "dizaines de milliers, et probablement des centaines de milliers d'emplois". Si bien qu'il préconise de revoir "d'urgence" les règles des plans sociaux pour les entreprises les plus en difficultés, et pour les autres de passer des accords prévoyant des efforts des entreprises sur l'emploi en échange d'efforts des salariés sur le temps de travail."C'est le monde d'après avec les recettes d'avant-hier!", a persiflé auprès de l'AFP un cadre de FO, qui craint de son côté les licenciements au compte-goutte dans des petites entreprises.Les accords de "performance collective" (ex-accords de maintien de l'emploi, préservation de l'emploi, mobilité), dénommés ainsi depuis les ordonnances travail de 2017, peuvent déjà porter sur la durée du travail et la rémunération."Confinement des esprits"La ministre du Travail, pour qui la durée légale du travail "n'est pas un problème", rappelait récemment que ce "dispositif s'inscrit dans le paysage" avec 13 accords en avril et 356 depuis le début de l'année.Dans un entretien au Monde, le président du Medef explique d'ailleurs mercredi qu'il faut voir la situation par secteur."Dans certains secteurs, la demande peut être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: ce sont dans ces secteurs-là que la question du +travailler plus+ peut se poser, mais elle ne peut l'être qu'avec les salariés et entreprise par entreprise".A droite, les propositions se multiplient. Christian Jacob, le président de LR, plaide pour "sortir du carcan des 35 heures", et son parti planche sur un plan de relance, avec notamment les contributions de l'ex-ministre du Budget Eric Woerth.Mais l'allongement de la durée du travail n'est pas du goût de Laurent Berger, qui parle de "confinement des esprits" et de "vieilles lunes". Pour lui aussi, on "tarde trop" à se préoccuper de l'emploi alors que "le risque de faillites en cascade et son lot de drames sociaux et territoriaux se confirme"."Si on pense que l'on va s'en sortir positivement en promettant de la sueur et des larmes, on est chez les fous", estime-t-il dans l'hebdomadaire La Vie.Plutôt que de vouloir allonger la durée du temps de travail, "nous devons apprendre à travailler autrement et à travailler mieux", argumente-t-il, particulièrement inquiet de la situation des jeunes.Il promeut les propositions du "pacte pour le pouvoir de vivre", aux côtés d'une cinquantaine d'organisations, comme celle de favoriser les emplois dans la rénovation thermique des logements.Fidèle à sa position sur la semaine de 32 heures, la CGT milite pour travailler moins. "Comment va-t-on faire croire aux gens que si ceux qui ont du travail travaillent plus, ça va libérer de la place pour ceux qui n'en ont pas ?", cingle Philippe Martinez, son numéro un.
Il y a 5 ans et 35 jours

30.000 conseils municipaux installés fin mai

ÉLECTIONS MUNICIPALES. Le Premier ministre a confirmé le 12 mai que le gouvernement allait autoriser l'installation des conseils municipaux élus dès le 15 mars 2020 d'ici à la fin du mois. En revanche, aucune date n'est encore fixée pour finaliser l'élection dans les près de 5.000 communes qui devaient connaître un second tour initialement le 22 mars.
Il y a 5 ans et 35 jours

Un jeu-concours qui décoiffe pour Bricomarché !

CAMPAGNE. A l'heure du déconfinement progressif, les Français ont plusieurs envies dont celle de se rendre chez le coiffeur. Sur un ton humoristique, l'enseigne Bricomarché a décidé de lancer un concours sur Instagram pour le plus grand bonheur de nos cheveux. Découvrez la campagne social media.
Il y a 5 ans et 35 jours

Difficile reprise de l’activité pour les travaux publics franciliens

Fin avril, le niveau d’activité des travaux publics en Ile-de-France s’élevait à 24% par rapport à la « normale », contre 36% en moyenne au niveau national. La profession s’inquiète également de la forte chute de la commande publique.
Il y a 5 ans et 35 jours

Paiements, contrats : "La crise ne fait que sublimer les mauvais comportements"

JURIDIQUE. Des retards de paiements aux clauses des contrats en passant par le fameux "cas de force majeure", les problématiques administratives et juridiques, déjà nombreuses avant la crise du coronavirus, ne cessent de s'amplifier depuis le début du confinement. La Fédération des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels appelle plus que jamais à la discussion entre les parties.