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Toute l'actualité du bâtiment

256926 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 54 jours

LA architectures: "Il faut espérer que la crise ne justifiera pas de construire "en urgence" et "au rabais", mais mieux et différemment."

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 54 jours

Covid Diaries : paysages dans Paris confiné, par Alexis Paoli

Alexis Paoli fait partie de ces photographes qui, parce qu’ils ont beaucoup déménagé dans leur enfance, sont devenus casaniers et heureux de photographier leur jardin. Alors le confinement est une opportunité unique de faire le tour du propriétaire, surtout qu’il […] L’article Covid Diaries : paysages dans Paris confiné, par Alexis Paoli est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 54 jours

Un matin à Brooklyn, par Paul Bogas

Il y a mille façons de se faire la belle. Photographe confiné, Paul Bogas propose, loin des clichés, une intime balade matinale à Brooklyn. Chroniques-photos.   Quoi de mieux pour découvrir une ville que de marcher dans le but de […] L’article Un matin à Brooklyn, par Paul Bogas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 54 jours

Voyage initiatique d’Antoine Mercusot, suite…

Antoine Mercusot poursuit son approche de l‘architecture comme élément de décor au service d’une vision intime ainsi que le ferait un metteur en scène de théâtre. Le voyage intérieur est source d’émancipation et la figurine d’hier est devenue un élusif […] L’article Voyage initiatique d’Antoine Mercusot, suite… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 54 jours

Covid-19 : une médiatrice nommée pour trouver des solutions aux loyers des commerces en difficulté

Le ministre a "chargé Jeanne-Marie Prost d'une mission de médiation sur les loyers des commerçants", écrit le ministère dans un communiqué.Mme Prost, "qui a été médiatrice nationale du crédit, est actuellement présidente de l'observatoire des délais de paiement", précise Bercy.M. Le Maire a indiqué sur France Info que la médiatrice "devra nous apporter des solutions d'ici quelques semaines pour qu'effectivement, on allège la charge des loyers pour les commerçants de taille moyenne ou plus importante qui vont avoir un mal fou à faire face à ces échéances".Seize fédérations de commerce, dont le Syndicat National de la Restauration Thématique et Commerciale, l'Union de la Bijouterie Horlogerie ou l'Union Sport & Cycle ont réagi dans un communiqué en souhaitant "que cette médiation permette de travailler dans un état d'esprit constructif pour trouver des solutions collectives à la hauteur des enjeux et applicables à l'ensemble de la profession".Elles demandent "l'annulation des loyers durant la période de fermeture des commerces" pour l'ensemble des points de vente accueillant du public, ainsi que "l'adaptation du montant du loyer à la réalité de l'activité dans les mois à venir, compte tenu d'une reprise qui sera très progressive et donc risquée économiquement et socialement".Trois présidents de région (Nouvelle-Aquitaine, Bretagne et Hauts-de-France) ont également demandé mercredi dans une lettre à M. Le Maire un "système de progressivité" des loyers des commerçants "à partir de la reprise de l'activité".Le ministre a jugé que leur courrier était "tout à fait bienvenu et parfaitement légitime"."Nous avons déjà obtenu des grandes foncières qu'elles annulent trois mois de loyers pour les très petites entreprises de moins de dix salariés qui ont été obligées de fermer", a rappelé M. Le Maire."Est-ce qu'il faut aller plus loin ? Oui. Est-ce qu'il faut ouvrir une négociation entre les grandes foncières, les grands bailleurs et les autres commerçants, ceux qui par exemple ont des chaînes et des franchises ? Ma réponse est oui", a encore dit le ministre de l’Économie.Selon lui "les discussions vont être difficiles" car il y a "des enjeux financiers qui sont extrêmement élevés".Le ministre a en outre fait part de son souhait que tous les commerces puissent rouvrir après le 11 mai, en dehors des cafés et restaurants.
Cimbat
Il y a 5 ans et 54 jours

Demandeurs d'emplois en France, les derniers chiffres d'avant crise

L'année 2019 s'était achevée avec une baisse nette du nombre de demandeurs d'emplois sans activité (-3,3%), incitant le gouvernement à poursuivre son objectif ambitieux d'un taux de chômage à 7% à la fin du quinquennat.Janvier et février semblaient continuer sur cette même lancée, laissant entrevoir une nouvelle baisse sur les trois premiers mois de l'année, incluant les quinze premiers jours de confinement.Mais la crise sanitaire a fait dérailler l'économie française et mondiale en seulement quelques semaines.Dans son projet de budget rectificatif, le gouvernement table sur une contraction du Produit intérieur brut de 8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%.Afin d'éviter des licenciements brutaux, le gouvernement a mis en place, et a élargi, le dispositif d'activité partielle dont bénéficient à l'heure actuelle plus de dix millions de Français, soit un salarié du privé sur deux.Ce dispositif a permis pour l'instant d'éviter des inscriptions à Pôle emploi même si certains, en CDD, en mission d'intérim, comme dans le secteur très touché de l'hôtellerie-restauration, se sont retrouvés sans emploi, et sans filet. Ils ont dû aller s'inscrire.D'après les derniers chiffres provisoires publiés chaque semaine par la Dares, le service de statistiques du ministère du Travail, les inscriptions ont augmenté de 12,6% entre le 15 mars et le 11 avril par rapport à la même période de l'année précédente.Après un pic (+31%) lors de la troisième semaine de mars, la hausse a ralenti, avec même une stabilité lors de la dernière semaine mesurée (4 au 11 avril). Dans de récentes prévisions, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoyait une hausse du nombre de chômeurs de 460.000 pendant les deux mois de confinement."Année difficile""Cela va être une année difficile en terme d'emplois", a reconnu la ministre du Travail Muriel Pénicaud."Il va y avoir des licenciements économiques qui vont tomber, on ne pourra pas faire autrement", pronostique auprès de l'AFP une source syndicale.En mars, le nombre de déclarations d'embauche de plus d'un mois (hors intérim) a reculé de 22,6% par rapport au mois de février, selon les Urssaf. Pôle emploi avait bien précisé que le contrôle de la recherche d'emploi était "suspendu" et "qu'aucun demandeur d'emploi ne serait radié ou sanctionné" pendant la période de confinement.Par ailleurs, pour ceux des inscrits qui étaient indemnisés et arrivaient en fin de droits, la période a été prolongée. Les salariés ayant démissionné juste avant le confinement parce qu'ils avaient une promesse d'emploi peuvent bénéficier de l'assurance chômage.Au début de la crise, l'exécutif a suspendu, jusqu'en septembre, le second volet de la réforme de l'assurance chômage qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril.Il a également suspendu la mesure sur la dégressivité des allocations au bout de six mois pour les demandeurs d'emploi ayant eu de hauts salaires, qui pouvait en théorie commencer à s'appliquer au 1er mai.Les syndicats, tous vent debout contre cette réforme demandent son retrait, en particulier le durcissement des conditions d'accès (avoir travaillé six mois sur les 24 derniers mois au lieu de 4 mois sur les 28 derniers mois) entré en vigueur en novembre. La ministre du Travail a assuré en outre que "les plans de relance" par secteurs prendraient en compte les jeunes, qui sont déjà particulièrement touchés par le chômage et voient leur entrée sur le marché du travail entravée."On ne peut pas avoir une jeunesse qui a une dette sur les épaules, les problèmes écologiques, et en plus pas d'avenir en matière d'emploi et de formation, cela ne serait pas responsable de notre part", a assuré Mme Pénicaud devant quelques journalistes.
Il y a 5 ans et 54 jours

L’IoT avec cartes SIM : à la découverte du réseau LTE-M

Pour les usages intensifs, Matooma propose une offre IoT fondée sur le réseau LTE-M d’Orange. Ses avantages : une faible consommation d'énergie et une forte efficacité dans les bâtiments.
Il y a 5 ans et 54 jours

Paris 2024 : les réflexions pour évaluer l'impact du covid19 sont lancées

INFRASTRUCTURES. Une réunion s'est tenue il y a quelques jours autour de la Solideo, afin de commencer à s'interroger sur les conséquences du confinement et d'un déconfinement progressif sur la livraison des ouvrages. Dans le même temps, Guy Drut, membre du Comité international olympique, en appelle à réinventer totalement les JO.
Il y a 5 ans et 54 jours

Repar'stores continue de soigner sa notoriété

CAMPAGNE DE COM'. Si certains hésitent à lancer des campagnes de communication en cette période de crise sanitaire, Repar'stores continue son travail autour de sa notoriété. Explications.
Il y a 5 ans et 54 jours

Estelle Lagarde confinée en maison d’arrêt

15 novembre – 7h32 – Gare de Lyon – TGV pour Avignon. Il fait froid et gris comme un temps de novembre. J’ai rendez-vous avec la prison Saint-Anne. La première fois que je mets les pieds dans une prison. Celle-ci […] L’article Estelle Lagarde confinée en maison d’arrêt est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 54 jours

Un nouveau directeur général pour Bieber

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la menuiserie, Bieber, présente son nouveau directeur général. Découvrez le parcours de ce professionnel.
Il y a 5 ans et 54 jours

Rencontre avec : Ronan Bouroullec

À l’occasion de l’exposition « Design, Escales bretonnes », la rédaction de Muuuz a eu la chance de rencontrer Ronan Bouroullec (né 1976), designer breton célèbre, qui travaille depuis plus de vingt ans avec son frère cadet Erwan Bouroullec. Muuuz : Quelle est l’influence exerce votre Bretagne natale sur vos créations ?Ronan Bouroullec : La question des influences est toujours très compliquée. L’imaginaire est le résultat de beaucoup de choses, de ma jeunesse, de mes rencontres, de mes voyages… Je suis profondément attaché à la Bretagne, qui est un territoire que j’adore. J’y suis presque malgré moi extrêmement lié. J’ai besoin souvent de venir tout le temps, ça me manque beaucoup. L’influence exacte est difficile à définir. Il y a peut-être un contexte familial rural dans lequel il y a une certaine simplicité, une évidence, un rapport aux choses presque pratique. Il y a un imaginaire qui serait à la fois de simplicité et de relation avec nature. Il est très difficile, objet après objet, de retrouver exactement ce qui fait la mémoire d’une réflexion. Le travail du design est un travail long. Il ne suffit pas d’avoir une idée. C’est plus complexe que cela. La dimension organique de vos objets est-elle inspirée par les paysages dans lesquels vous avez grandi ? Aujourd’hui, on est dans un monde où les références sont probablement plus internationales. Je me sens beaucoup plus proche de designers japonais, anglais, ou scandinaves, que de designers français. Je ne sais pas très bien d’où cela vient. Ce que j’aime particulièrement dans les paysages, c’est la relation des choses entre elles. Le lien organique des choses entre elles me fascine particulièrement. C’est ce que j’aime dans l’architecture et dans les objets. Il est probable que l’environnement dans lequel j’ai grandi m’inspire, mais je suis toujours très prudent avec la notion d’inspiration. Les sources ne sont pas toujours aussi si évidentes. Je viens d’un monde où il n’y avait pas internet. Je pense qu’un certain imaginaire a eu lieu avant, mais je suis fasciné parce que les images diffusées sur internet. C’est une source d’inspiration qui importe pour moi. J’ai la chance de voyager énormément, donc de voir des cultures différentes. Je suis inspirée par le Japon, par l’Italie également. L’Italie nous a fait connaître très jeunes dans le secteur du design. Le travail d’une couturière dans un atelier à Milan, par exemple, me passionne. Le design est une discipline de contexte, et pas seulement une discipline d’idées. Le design est une discipline qui demande à trouver des réponses justes dans des contextes particuliers. Notre travail est très vaste, car il va d’une télévision pour Samsung à une collaboration avec des maîtres artisans japonais. Ces projets variés ne s’abordent pas de la même manière. L’empathie est une qualité importante pour un designer. Il faut comprendre au mieux les artisans et la manière dont ils travaillent. Chaque projet a vraiment son histoire. Ma frayeur est de me répéter. Quand on réfléchit à un nouveau projet, c’est toujours l’occasion de se remettre en question.Quel rapport entretenez-vous avec l’artisanat ? Je suis un créateur, mais je préfère travailler avec des spécialistes et privilégier le savoir-faire exact. En tant que designer, je suis un généraliste. J’adore passer du temps avec des couturières pour comprendre comment simplifier le geste, comment cette couture serait plus facile à passer, ou comment le détail devient extraordinaire. Aller visiter un atelier et voir le prototype, c’est le moment où les choses se révèlent. À chaque fois, il y a énormément de paramètres à prendre en compte dans un projet. Un objet « juste » est une synthèse de différents enjeux. Quels matériaux utiliser ? Quel recyclage privilégier ? Quel langage choisir ? Les questions de l’écologie et de la durabilité se posent aussi. Selon les projets, il y a une manière de considérer et d’anticiper les enjeux. Comment envisagez-vous de créer en duo ? Créer en duo, cela existe depuis très longtemps, dans la musique, dans le cinéma… Je n’envisage pas de créer en duo, je le fais. Avec Erwan, nous travaillons depuis plus de vingt ans ensemble. J’ai eu la chance d’avoir du succès très jeune, mais désargenté. Erwan est venu m’aider. Il était déjà précurseur d’une connaissance numérique tout à fait exceptionnelle à l’époque, ce qui a beaucoup fait évoluer notre méthodologie de travail et notre manière de penser. Après quelques années, on a commencé à signer ensemble. On a eu la même table de travail pendant longtemps, puis deux tables séparées. Aujourd’hui, on a chacun notre place, mais on discute quotidiennement pour trouver des solutions à deux. Comment définiriez-vous le dialogue qui s’instaure entre votre créativité et celle de votre frère ? Il n’y a pas de règles. La créativité peut se construire très simplement, et parfois non. Quand nous ne sommes pas d’accord, nous ne cherchons pas le compris. Il est toujours question de faire le meilleur projet possible. Le dialogue se fait entre Erwan et moi, mais aussi entre nous et des assistants, des artisans ou des entreprises. Quel projet rêvez-vous de réaliser ? Il n’y a pas de hiérarchie dans les projets réalisés. J’aime beaucoup les objets génériques simples, que l’on trouve à la terrasse d’un café, comme une table bien faite, une chaise empilable délicate. J’adore le quotidien. Tout m’intéresse, des petites considérations aux projets les plus vastes. L’urbanisme m’intéresse de plus en plus parce que c’est une manière de s’adresser à un public plus large. Quelles sont vos actualités ? Nous travaillons sur de nombreux projets. Des projets numériques en Corée, une invitation du ministère de la culture japonais pour développer des projets singuliers au Japon, des nouveaux aménagements urbains, notamment à Paris avec la Fondation Pinault pour laquelle nous réalisons l’ensemble des objets que l’on y trouvera. Pour en savoir plus, visitez le site de Ronan et Erwan Bouroullec. Photographies : © Studio Bouroullec Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 54 jours

La transition énergétique est-elle la "réponse décisive" aux crises sociales ?

CLIMAT. Les appels, de plus en plus nombreux, à accélérer drastiquement la transition écologique et énergétique pour l'après-coronavirus doivent être entendus et appliqués, selon l'Agence internationale des énergies renouvelables. L'organisation a rendu ses conclusions sur les trajectoires à adopter pour une transition réussie à l'horizon 2050, qui combinerait relance économique, résilience écologique et bien-être des populations.
Il y a 5 ans et 54 jours

Covid-19 : comment profiter de la crise pour optimiser les compétences numériques dans le BTP ?

Comment le futur de la construction s'appuiera sur les compétences numériques ?En cette période particulière d’épidémie sanitaire liée au COVID-19, lors de laquelle de nombreux chantiers tournent au ralenti voire même sont fermés, il est important de repenser les modes d’organisation du travail dans le secteur de la construction et de réfléchir à l’optimisation des compétences numériques pour permettre au secteur d’être toujours plus performant.En effet, le COVID-19, phénomène totalement imprévisible a placé l’industrie du BTP face à une courbe d'apprentissage numérique abrupte. Tout le secteur s’en trouve impacté. Cependant, pour les nombreux travailleurs, dans l'impossibilité de se rendre sur leur chantier ou au bureau, perfectionner leurs compétences numériques pendant cette période de confinement peut constituer une véritable opportunité. Agir immédiatement pour accélérer le parcours de transformation numérique aidera l'industrie à combler ses lacunes et se préparer aux tendances qui marqueront les prochaines années, parmi lesquelles la construction durable et le développement des villes intelligentes.Une pénurie de compétences avérée en France et en EuropeÀ l'instar de nombreux autres pays, le secteur de la construction française fait face à une pénurie de compétences. Le taux de vacance européen de la construction a augmenté depuis 2009 et le manque de compétences disponibles a une réelle incidence sur les développeurs et les entreprises du bâtiment. Une pénurie de main-d'œuvre peut nuire grandement à la livraison de projets en allongeant les délais nécessaires à leur achèvement et en pesant sur les marges. De surcroît, dans la plupart des pays, la construction n'a pas fondamentalement évolué depuis plus d'un siècle, et ce secteur présente des décennies de retard en termes de transformation numérique. C'est pourquoi, il devient de plus en plus difficile d'attirer et de former une nouvelle génération d'employés.Les causes de la pénurie de compétencesComme pour la plupart des pénuries de compétences, il s'agit d'une combinaison de différents facteurs. Dans le secteur de la construction, on compte trois éléments clés :Fidélisation du personnel : Le turnover dans ce secteur est important. Les salariés changent régulièrement d’emploi et d’entreprise. C'est pourquoi les sociétés de construction doivent constamment recruter de nouveaux collaborateurs pour les remplacer. Oui, attirer de nouveaux employés dans ce secteur constitue un défi, car il est souvent perçu comme à la traîne sur le plan technologique.Personnel vieillissant : En Europe, le nombre d'employés de 25 à 49 ans travaillant dans la construction a diminué de près de 4% entre 2008 et 2015, tandis que les 50 à 64 ans ont augmenté de 6%. En raison de la grande proportion de travailleurs de plus de 50 ans sur la plupart des chantiers, on peut s'attendre à de nombreux départs en retraite à brève échéance.Évolution des compétences : Alors que nous dirigeons vers un avenir de construction durable et de villes intelligentes, de nombreuses nouvelles compétences deviennent vitales. Les personnes possédant des connaissances numériques et techniques sont de plus en plus demandées, car les villes intelligentes nécessitent la création d'une « empreinte » numérique ainsi que la capacité à mieux gérer les données.Préparons-nous à l'avenirEn devenant un secteur axé sur le numérique, la construction peut constituer une proposition de carrière attrayante pour des effectifs jeunes parfaitement préparés à pallier la pénurie de compétences. Tandis que la construction évolue en s'orientant vers les villes intelligentes et les méthodes durables, la prochaine génération d'employés dotés de compétences numériques sera cruciale pour développer des bâtiments intégrés plus efficaces. Les compétences de gestion de l'information seront également essentielles : on estime que 80.000 travailleurs devront être formés en France au bâti immobilier modélisé (BIM) rien qu'en 2020.Prouver que ce secteur est innovant, collaboratif et tourné vers l'avenir le rendra plus attrayant pour les nouveaux entrants, et aidera à pallier la pénurie de compétences avant que la situation ne devienne plus grave à l'avenir. Les « natifs » numériques souhaitent travailler dans un domaine dynamique, visionnaire et passionnant. C'est pourquoi l'adoption d'outils et de technologies numériques est un moyen de démontrer que ce domaine avance dans la bonne direction.L’exemple à suivre : la construction numérique dans la région APACBien que la construction ait pris du retard par rapport à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de transformation numérique, une région enregistre une tendance inverse : la région Asie-Pacifique (APAC). Grâce aux investissements de grande ampleur dans la 5G et la numérisation de manière générale, l'infrastructure de la région favorise une approche de la construction davantage axée sur le numérique. Dans des pays tels que le Japon et Singapour, ce secteur est déjà hautement numérisé. À titre d'exemple, l'ITM (Industry Transformation Map) de Singapour étudie l'utilisation des technologies numériques pour « intégrer les procédures de travail et connecter les acteurs travaillant sur projet ». Toutes les équipes sont équipés d'appareils mobiles, qui sont devenus une seconde nature pour communiquer via une plateforme numérique, effectuer un contrôle des anomalies à l'aide d'un outil numérique, ou transmettre les données d'un incident de sécurité à leurs collègues. Il s'agit là d'un parfait exemple de ce que le secteur de la construction européenne devra numériser pour parer à la détérioration de sa pénurie de compétences.Comme dans le reste du monde, elle devra suivre les traces de la région APAC en adoptant un modèle numérique axé sur les données. Dans le cas contraire, elle risquera une aggravation de sa pénurie de compétences et la perte de ses clients au profit des entreprises de la région APAC ayant déjà achevé leur transition numérique. Pour attirer et conserver les effectifs, pallier une main-d'œuvre vieillissante et garantir la disponibilité des compétences nécessaire à l'avenir de la construction, la numérisation constitue la meilleure réponse.
Il y a 5 ans et 54 jours

Formation : Le CCCA-BTP programme onze appels à projets

APPRENTISSAGE. Onze appels à projets, financés à hauteur de 30 M€, sont programmés par le CCCA-BTP pour soutenir des expérimentations et innovations des organismes de formations aux métiers du BTP. Détails.
Il y a 5 ans et 54 jours

Ecoumène – Erevan, Arménie. D’une crise l’autre, par Takuji Shimmura

Le reportage de Takuji Shimmura à Erevan, ville victime de crises successives et telluriques par leur magnitude, offre un effet de sidération à l’aune de celle provoquée par la pandémie de 2020 en Europe. Un regard généreux sans ni jugement […] L’article Ecoumène – Erevan, Arménie. D’une crise l’autre, par Takuji Shimmura est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 54 jours

Relance de la construction : les architectes souhaitent le "permis déclaratif"

SORTIE DE CRISE. "L'urgence économique ne doit pas prévaloir sur l'urgence sociale et écologique", défend le Conseil de l'Ordre, qui a publié une liste de propositions pour faciliter la relance au sortir de la crise.
GDA
Il y a 5 ans et 54 jours

Le BTP a listé à l'Etat l'ensemble des freins à la reprise des chantiers

RAPPORT. Les trois principales organisations professionnelles du BTP ont remis aux pouvoirs publics deux rapports listant les freins à lever pour améliorer la dynamique de relance des chantiers. Le Gouvernement pourrait y répondre rapidement par la prise de nouvelles mesures.
Il y a 5 ans et 54 jours

Les Industriels de la Menuiserie mettent le cap sur la digitalisation de leurs ateliers

Rencontre avec Roland PEYRAN – Directeur Commercial ISIA « La digitalisation des ateliers offre des gains financiers et de productivité aux Industriels de la Menuiserie, tout en ayant un impact positif sur la satisfaction de leurs clients » Filiale du Groupe ELCIA depuis 2015, ISIA est éditrice de Diapason, l’ERP et configurateur technique pour les Industriels Menuiserie, Store et Fermeture. Roland PEYRAN, son Directeur Commercial, est quotidiennement au cœur de la digitalisation des Industriels Fabricants du secteur. Il nous en dit plus sur une thématique clé de leur activité : la digitalisation de leurs ateliers. Roland, qu’entend-t-on par « digitalisation des ateliers » ? La digitalisation des ateliers consiste à supprimer toutes les feuilles papiers que l’on peut retrouver dans un atelier, à l’instar des ordres de fabrication ou des fiches de montage. L’objectif de la digitalisation est de remplacer toutes ces feuilles par des écrans, des tablettes ou tous autres supports numériques adaptés aux contraintes du poste atelier. Quels sont les enjeux liés à la digitalisation des ateliers ? Les menuiseries sur-mesure étant des produits complexes à fabriquer, le premier enjeu est d’obtenir l’information la plus sûre et la plus claire possible pour l’opérateur. Le second objectif est double : Proposer des indicateurs opérationnels pour le poste, pour l’îlot ou la chaine de fabrication Mettre à disposition des actions de déclaration « simple » pour la gestion des aléas, le contrôle qualité et les échanges d’information entre les postes L’enjeu pour CAIB : obtenir un flux de production sans aucun support papier pour l’ordonnancement des séries et le montage des menuiseries en atelier David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIB Où en sont les Industriels de la Menuiserie dans la transformation digitale de leurs ateliers ? La digitalisation des ateliers est un processus qui a démarré il y a quelques années chez les Industriels visionnaires. Aujourd’hui, quelle que soit la taille de l’atelier, tout le monde va dans ce sens. Certaines régions proposent même des aides aux Industriels pour cette démarche. Nous nous dirigeons de plus en plus vers l’usine 4.0 ! Le principe est de connecter et de lier chaque machine de l’atelier pour avoir des informations disponibles en temps réel et être en mesure de gérer et d’anticiper les aléas rapidement. Quels seraient vos conseils pour les Industriels souhaitant se lancer dans la digitalisation de leurs ateliers ? Le principe de la digitalisation est d’aller progressivement vers un atelier « 0 papier ». Il faut toujours garder en tête que l’objectif numéro 1 est de fabriquer des menuiseries. La digitalisation doit simplifier l’accès et l’affichage des informations et permettre ainsi d’améliorer la productivité et la qualité de fabrication. Un autre facteur très important est l’implication des opérateurs très en amont de la démarche de digitalisation. Ils doivent êtres présents dans les phases d’analyse, de validation et de formation. Notre digitalisation est passée par plusieurs facteurs clés : Une approche « AGILE » avec un déploiement poste par poste pour les lignes de production existantes Un investissement matériel important pour équiper l’atelier d’écran de déclaration Des ressources SI nécessaires pour l’adaptation des gammes de production et le paramétrage des différents écrans Des développements SI en autonomie avec l’expertise ponctuelle d’ISIA sur certaines problématiques techniques David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIB En quoi l’ERP et configurateur technique Diapason contribue-t-il à la digitalisation des ateliers ? Diapason permet aux Industriels de répondre aux exigences clients, tout en maîtrisant leur production, leurs délais de fabrication et de livraison, leurs marges etc… L’un des points forts de la solution est de gérer les informations relatives aux clients ou à la production et de les diffuser dans toute l’entreprise en direct. Chaque opérateur est ainsi guidé par écran dans l’atelier. Ce dernier flashe le code barre placé sur chaque menuiserie pour que toutes les informations apparaissent à l’écran. Les points complexes ressortent en rouge. Chaque étape du process peut être déclarée afin d’obtenir une vision claire de l’avancement des lots dans l’atelier et de déclencher des actions immédiates pour traiter les aléas. Diapason fournit également des indicateurs de performance permettant à chacun de savoir où il en est par rapport à la cadence à respecter et à obtenir un retour en direct sur la productivité. Avec la digitalisation des ateliers, les opérateurs bénéficient d’informations plus fiables. Ils sont alertés et guidés pas à pas par des modes opératoires digitalisés ce qui leur fait gagner un temps précieux. Ils sont responsabilisés dans toutes leurs tâches, leur poste s’en retrouve donc valorisé. La digitalisation des ateliers est au cœur de notre mission depuis plus de 20 ans. Nos équipes ont une expérience significative, couplée à leur expertise des métiers de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture. Ces connaissances nous permettent d’accompagner nos clients dans la réussite du déploiement de leurs projets. Quels sont les retours d’expérience de la part de vos clients Industriels ? Leurs retours d’expérience montrent que la digitalisation apporte de la fluidité dans l’atelier (optimisation des actions à réaliser, des déplacements, des recherches…) et augmente la satisfaction client.   Les bénéfices de la digitalisation des ateliers vus par CAIB : + Gains de productivité Diminution des déperditions de temps liées à la gestion du papier Rigueur dans les process et flux de production (file d’attente) Informations et contrôles précis à chaque poste de production Facilité d’utilisation des écrans Traçabilité renforcée des menuiseries dans le process de production + Gains financiers et environnementaux Fin des impressions Davantage de temps pour des tâches à valeurs ajoutée + Gains en Management La supervision du pilotage en temps réel Approche « lean manufacturing » : maximiser la valeur client en minimisant le gaspillage   Témoignage : Marc CAREY – DSI, EURADIF « Avec Diapason, nous avons mis à disposition des opérateurs des écrans tactiles à chaque étape de fabrication » « Nous sommes un acteur majeur dans le domaine de la porte d’entrée. Notre effectif est de 160 personnes repartis sur 2 sites. Notre histoire avec ISIA a commencé en 2012. Il y a 105 utilisateurs Diapason aujourd’hui. Nous utilisons tous les modules : production, configuration, achats, stocks, CRM, ventes, QSE, coûts revient. Les équipes ISIA nous ont aidé à répondre à deux objectifs : Supprimer les ordres de fabrication papiers et mettre à disposition des écrans tactiles à chaque étape de gamme physique pour permettre une déclaration d’étape rapide et fluide Travailler par rapport aux dates de début et de fin d’étape, et proposer des listes de vitrage classées par date de priorité Nos ordres de fabrication vitrage sont désormais traités par priorité et les résultats d’ordonnancement se sont vite faits sentir. En parallèle, nous avons mis en place un outil de restitution Web pour accompagner le Service ordonnancement et le Responsable atelier afin de détecter très en amont les retards d’étape. Plusieurs éléments ont permis la réussite du projet : La structuration de l’analyse des besoins par rapport à un objectif défini au départ La mise en place d’une équipe dédiée au projet L’implication des opérateurs dès le début du projet Le travail en mode projet avec beaucoup de points de coordination »
Il y a 5 ans et 54 jours

Covid-19 : La France dans la dernière ligne droite pour présenter son plan de déconfinement

Ce plan sera présenté mardi après-midi à l'Assemblée nationale par le Premier ministre Édouard Philippe, avec un vote dans la foulée malgré les protestations de partis d'opposition. Ils réclamaient un report du vote à mercredi, alors que seuls 75 des 577 députés peuvent se rendre dans l'hémicycle.C'est "une brutalité de plus", a dénoncé sur Twitter Jean-Luc Mélenchon (LFI), tandis que le patron des députés LR Damien Abad demande "24 heures de plus pour un travail de fond en commission et la consultation de nos collègues qui ne pourront siéger".C'est un véritable exercice d'équilibriste auquel le gouvernement doit se livrer: relancer l'économie sans relancer l'épidémie.La crise s'est traduite très concrètement dans les chiffres du chômage en mars, avec une hausse record de 7,1% sur un mois (+246.100 personnes).Résultat, le ministère du Travail dit vouloir engager "une réflexion avec les partenaires sociaux" pour "adapter rapidement" les règles d'assurance chômage. Les syndicats réclamaient unanimement, dès avant la crise sanitaire, que le gouvernement abandonne entièrement sa réforme de l'assurance chômage.Il a suspendu jusqu'en septembre un volet qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril. Ce sont eux qui se sont inscrits à Pôle emploi en mars.1er bilan après six semaines de confinementCela fait presque six semaines que le pays est confiné pour freiner la propagation du nouveau coronavirus qui a fait depuis le 1er mars 22.856 morts dans le pays, dont 242 nouveaux décès en 24 heures.Parmi les morts : l'ancien sénateur Henri Weber, cofondateur de la Ligue communiste révolutionnaire, figure de la gauche et de mai 68, décédé à 75 ans.La situation dans les hôpitaux s'améliore encore un peu avec 152 décès en 24 heures, le bilan quotidien le plus faible en cinq semaines, et une baisse continue depuis dix-huit jours des patients en réanimation pour Covid-19 (4.682 personnes).Mais les services de réanimation/soins intensifs, qui comptaient 5.000 lits avant la crise, restent sous pression avec encore 7.553 hospitalisés, toutes causes confondues.Le groupe Korian, pointé du doigt pour sa gestion dans ses maisons de retraite en France, a comptabilisé 606 décès liés au Covid-19 sur 23.000 résidents.A deux semaines du début du déconfinement, les questions sont nombreuses: où rendre les masques obligatoires ? Quels tests et pour qui ? Réouverture des commerces partout ou par régions ? Quid des entreprises ? Et les vacances d'été ?Le Conseil scientifique chargé d'éclairer le gouvernement a livré samedi soir ses recommandations pour une "levée progressive et contrôlée du confinement".Casse-tête des écolesDivergence notable avec les choix gouvernementaux, il préconise que crèches et établissements scolaires restent fermés jusqu'en septembre mais a pris "acte de la décision politique" de les rouvrir progressivement dès mai, en "prenant en compte les enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques"."Le conseil scientifique est là pour donner un certain nombre d'informations mais c'est le pouvoir politique qui décide", a expliqué à l'AFP son président, Jean-François Delfraissy."Sur le plan sanitaire, si vous demandez à des gens qui gèrent une épidémie, ils aimeraient que tout le monde reste à domicile jusqu'à ce qu'il n'y ait plus un cas. Bien évidemment ce n'est pas possible", a souligné Franck Chauvin, président du Haut conseil de la santé publique.Pour la rentrée scolaire, qui doit être progressive, le conseil préconise notamment le port obligatoire d'un masque antiprojections dans les collèges et lycées, pour le personnel et les élèves.Les experts suggèrent aussi le déjeuner en classe, la prise de température à la maison chaque matin avant l'école et des stratégies pour éviter les brassages d'élèves. Mais ils écartent la faisabilité et l'intérêt d'un dépistage massif.Cette note devrait servir de "base", a jugé Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale.Au-delà des questions scolaires, le Conseil scientifique préconise d'autoriser les déplacements entre régions par transports en commun si les mesures de précaution sont respectées. Il déconseille cependant "fortement" les déplacements internationaux pendant encore quelques mois.Les principaux syndicats de la SNCF et de la RATP s'inquiètent des conditions du déconfinement dans les trains, RER et métro. "On veut des masques, des protections, un certain nombre de dispositions, pour être sûr qu'on ne se contaminera pas", qu'"on ne contaminera pas les usagers, les familles", a réclamé Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots, premier syndicat du groupe ferroviaire sur BFMTV.Pourra-t-on alors partir en vacances cet été ? "Les deux mois qui viennent sont cruciaux", a expliqué Franck Chauvin. "Si le nombre de nouveaux cas par jour commence à ré-augmenter, c'est que l'épidémie va repartir, et donc il va falloir reprendre des mesures".Vote mardi ou mercredi, selon Braun-PivetLe vote sur le plan de déconfinement qui sera présenté mardi à l'Assemblée nationale par Edouard Philippe aura lieu mardi ou mercredi, selon ce que décidera la conférence des présidents, a annoncé lundi La présidente de la commission des lois Yaël Braun-Pivet (LREM)."Nous allons pouvoir voter soit le jour même, soit le lendemain, la conférence des présidents se réunit tout à l'heure à 9 heures 30 et elle va pouvoir en décider après avoir écouté tous les groupes politiques et le ministre en charge des relations avec le Parlement" Marc Fesneau, a expliqué sur Sud Radio la députée LREM.Selon elle, un vote mardi ou mercredi, "c'est un peu l'écume des choses", "c'est un faux débat", alors que les oppositions se sont insurgées contre le manque de temps entre la discussion à l'Assemblée et le vote."Je n'ai aucune préférence sur le moment du vote, ce qui est important, c'est que le débat ait lieu, qu'il y ait un vote et que le Premier ministre présente le plan de déconfinement, c'est ça l'essentiel", a-t-elle ajouté.Édouard Philippe présentera mardi à 15H00 devant l'Assemblée nationale "la stratégie nationale du plan de déconfinement" qui doit débuter le 11 mai.Depuis cette annonce samedi, les oppositions réclament davantage de temps pour la juger. Mais même au sein de La République en marche, des députés, comme Martine Wonner, avaient contesté le délai trop court pour se prononcer.Yaël Braun-Pivet a également confirmé qu'il n'y aurait finalement pas de vote spécifique sur l'application de traçage des données mobiles "StopCovid"."Demain, ça fera partie du débat global, c'est ce que moi j'appelais de mes vœux et c'est ce que un certain nombre d'interlocuteurs, la CNIL, le conseil national du numérique appelait, parce que ce tracking ne peut être pris en compte que dans le cadre d'une stratégie globale", a-t-elle expliqué."Une Appli toute seule n'est pas magique n'est pas miraculeuse et ne fera pas le job, il faut que ça s'insère dans un plan global et le Premier ministre demain va pouvoir nous dire si il entend l'utiliser, comment il va l'utiliser et comment cette brique va s'insérer dans le mur de la stratégie globale", a-t-elle précisé.
Il y a 5 ans et 54 jours

LGV Bordeaux-Toulouse: une décision de justice relance le projet

Le grand projet ferroviaire du sud-ouest (GPSO) reprend des couleurs. La cour administrative d’appel de Bordeaux vient en effet de revalider la déclaration d’utilité publique des aménagements ferroviaires nord de Toulouse qui avait pourtant été annulée en 2018.
Il y a 5 ans et 54 jours

Une reprise des chantiers plus rapide à l'est

INFOGRAPHIE. BTP consultants a publié le 25 avril la 4e édition de sa météo hebdomadaire des chantiers, qui permet de mesurer l'évolution de la relance dans le BTP. Les disparités entre les régions semblent de plus en plus manifestes.
Il y a 5 ans et 54 jours

Malgré le confinement, Keim conserve ses liens avec ses clients

La filiale française de l’entreprise familiale allemande, leader mondial de la peinture extérieure et intérieure 100 % minérales, organise des séminaires en ligne hebdomadaires.
Il y a 5 ans et 54 jours

Covid-19 : L'OPPBTP alerte sur les masques contrefaits et les fausses certifications

L'OPPBTP alerte sur l'usage de ces masques qui ne sont pas conformes aux normes de protection. L'Organisme donne ses conseils pour éviter d'être victime de toute pratique commerciale trompeuse.L'OPPBTP a constaté une recrudescence du nombre de rapports d'essais et de certificats de masques falsifiés. Cette situation concerne les masques marqués CE mais aussi les masques barrières dont la mise sur le marché est directement gérée par les industriels.Il est évident que l'utilisation de masques contrefaits ou dont les certifications sont fausses peut mettre en danger la santé de ceux qui les portent. Voici les points essentiels à connaître pour ne pas utiliser de tels masques et assurer la sécurité des utilisateurs :Acheter les masques chez un fabricant ou un distributeur connu et professionnel,Ne commander que des masques pour lesquels une notice d'information ou une fiche technique est disponible auprès du vendeur. Ce document doit indiquer la référence du produit, les performances vérifiées et l'usage précis du masque. Si possible, demander auprès du vendeur l'identité du laboratoire qui a testé la référence du masque.Privilégier les masques alternatifs référencés par le site de la DGE (Direction Générale des Entreprises) : https://www.entreprises.gouv.fr/covid-19/liste-des-tests-masques-de-protection.Par ailleurs, l'OPPBTP met à disposition en téléchargement sur son site internet une fiche d'aide au choix des masques. Les conseillers de l'OPPBTP restent aussi à l'écoute des professionnels et sont joignables par chat, e-mail ou téléphone pour aider les entreprises durant cette période de pandémie.
Il y a 5 ans et 54 jours

Décès de J.P. Ruggieri : évolution de la gouvernance de Nexity

CARNET-NOMINATION. À la suite du décès de Jean-Philippe Ruggieri, DG de Nexity, vendredi dernier, un conseil d'administration s'est tenu le 25 avril.
Il y a 5 ans et 54 jours

Baisse des crédits accordés en mars, hausse des taux à prévoir ?

CRÉDITS IMMOBILIERS. Le nombre de crédit accordés par les banques françaises a baissé de presque 14% en mars, selon l'Observatoire Crédit Logement / CSA. Une baisse appelée à s'accentuer en avril. Côté taux, certains acteurs, tels que CréditLeader, constatent déjà un "coup de chaud", qui "pourrait bien s'installer".
Il y a 5 ans et 54 jours

Comment réaliser un mur en blocs béton isolants ?

Les blocs Cogetherm sont utilisés pour la construction de pavillons, comme pour des petits collectifs. [©Cogetherm] 1 – Qu’est-ce qui caractérise un bloc isolant ?  En 20 cm x 24 cm x 4 cm, le bloc Cogetherm pèse 17 kg. [©Cogetherm] Un bloc isolant a la même fonction qu’un bloc béton classique. Il permet de constituer une structure. Ceci, grâce à l’empilement de blocs, séparés par une couche de mortier. Deux familles de blocs se distinguent. D’abord, un procédé technique, qui consiste à ajouter un isolant à l’intérieur du bloc. Puis, une seconde famille, dans laquelle les matériaux utilisés pour la conception du bloc sont eux-mêmes isolants. C’est le cas du bloc monomur isolant Cogebloc de Cogetherm, fabriqué à base de pierre ponce.  Ce choix de matériaux permet un poids plus faible des blocs (17 kg pour le Cogetherm de 20 cm d’épaisseur 20 cm x 24 cm x 4 cm, 9 soit 8 unités au m²). Et surtout, d’excellentes performances thermiques (R= 1,65 m2.K/W pour le Cogetherm 20 MA). D’autant plus que les blocs à base de pierre ponce Cogetherm sont hydrophobes et ne présentent donc aucune remonté par capillarité. Chaque bloc a sa propre géométrie. D’une manière générale, les blocs sont conçus pour freiner le plus possible les flux thermiques, en rendant la circulation la plus longue possible.   2 – Quelle technique de mise en œuvre est utilisée ? La grille de mise en œuvre permet de former les joints horizontaux. [©Cogetherm] En général, les blocs isolants rectifiés sont mis en œuvre via une pose collée. Après avoir coulé des fondations d’une planéité parfaite, le maçon pose les rangées de blocs, en les collant. Et ce, à l’aide d’un rouleau proposé par la marque du bloc. Les joints  horizontaux ainsi réalisés atteignent au maximum 12 mm d’épaisseur. Les blocs s’emboîtant les uns aux autres, aucun joint vertical n’est réalisé. Un simple encollage est réalisé sur les blocs lisses. Titulaire de deux Avis techniques pour la pose de ses blocs, Cogetherm a abandonné la pose collée pour revenir à la pose maçonnée au mortier isolant de pierre ponce. La tolérance est donc un peu plus large quant à la planéité des fondations. Les petits écarts pouvant être rattrapés avec la couche de mortier de jointement. Pour la pose, Cogetherm propose une grille, qui permet de laisser des vides de lames d’air horizontales. Le maçon pose son gabarit, remplit les interstices de mortier, relève le gabarit et pose le bloc dessus. Les joints verticaux sont ensuite remplis, à l’aide du même mortier, mais dont le mélange présente une consistance plus fluide. Cette technique permet de réaliser l’étanchéité à l’air lors de la phase de maçonnerie, sans l’ajout de produits étancheurs. Tout en supprimant les ponts phoniques et thermiques, conforme à la Réglementation thermique en vigueur, ainsi que la Réglementation thermique 2020.  3 – Comment traiter les points singuliers ?  La pose maçonnée a été choisie pour monter les murs de Cogebloc. [©Cogetherm] Pour tout type de systèmes de construction, les points singuliers sont très souvent la cause d’apparition de points thermiques. La liaison mur/plancher étant l’un des cas les plus critiques. Outre les gammes de blocs permettant de traiter la plupart des cas avec des blocs de la même nature que les blocs “classiques”. Cogetherm propose une solution originale. Celle-ci tient de la composition de son mortier. Là où les mortiers-colles traditionnels sont issus de développements chimiques, le mortier provient du même matériau que les blocs Cogetherm, c’est-à-dire de la pierre ponce. Ceci permet une homogénéité des matériaux. De cette dernière découle une absence de ponts thermiques, les points singuliers étant comblés par le mortier de pierre ponce. La continuité des matériaux, naturellement isolants, fait alors son œuvre, pas de risque de fissuration des enduits, plus de spectres. 4 – Quels sont les outils nécessaires à la pose ?  Le taux d’absorption des blocs est quasi-nulle. [©Cogetherm] Comme bon nombre de systèmes constructifs, les marques de blocs isolants ont développé une gamme complète d’outillages correspondant à leurs blocs. Au premier rang desquels figure le mortier ou la colle pour les blocs. Quand ils ne sont pas produits sous la marque du bloc, ils sont développés avec un industriel spécialiste. Dans la plupart des cas, ils sont distribués en sac prêt à l’emploi. Cogetherm propose aussi une solution big bag, le sable de pierre ponce devant être ensuite mélangé au liant pour obtenir le mortier nécessaire.  Les blocs isolants permettent de construire et d’améliorer l’isolation des édifices. [©Cogetherm] Quant aux pelles, truelles, grilles et autres gabarits, ils permettent de répartir le mortier ou la colle, selon le schéma pré-établi par les industriels. Si ces outils ne sont pas tous nécessaires, ils facilitent grandement la mise en œuvre.  Enfin pour la découpe, si une scie sabre ou alligator peut suffire, une scie sur table est conseillée. Là encore, de nombreux industriels proposent des scies de marque, dont ils sont les distributeurs. Sujet réalisé en collaboration avec Eric Agostini, directeur de Cogetherm Un bloc thermique et acoustique Les blocs Cogebloc de Cogetherm sont composés à 92 % de pierre ponce et de 8 % de clinker pur. A partir de cette formulation est produit un ensemble complet de blocs, permettant d’envisager la construction de pavillons et de collectifs en R+4. La composition identique des blocs et du mortier permet une homogénéité des murs parfaite, ne nécessitant pas de complément d’isolation. Cogetherm présente une résistance thermique R, allant de = 1,04 W/m2.K à 3,80 W/m2.K, suivant la taille des produits. Le procédé Cogetherm garantit l’absence de ponts thermiques et un taux d’absorption quasi nulle (0,03 kg/m3). Les blocs Cogetherm ne présente donc aucune remontée par capillarité. C’est un isolant thermique définitif, avec une climatisation naturelle grâce à son auto-régulation (frais l’été et chaud, l’hiver). Il est constitué de rangées d’alvéoles d’air. Grâce au remplissage des joints verticaux, il réduit la transmission des bruits intérieurs et extérieurs d’un bâtiment, avec un indice d’affaiblissement acoustique pondéré Rw de 46 dB. - La gamme Cotherm possède une Fdes certifiée par l’Afnor. - 7 usines font partie du groupement Cogetherm - www.cogetherm.com
Il y a 5 ans et 54 jours

Le ban des utopies, de la fiction à la réalité selon Cyrille Weiner

Si la réalité dépasse souvent la fiction, c’est à partir de la réalité que le photographe Cyrille Weiner construit la fiction d’une communauté d’hommes confrontée à une catastrophe, une chronique – une rêverie ? – au caractère prémonitoire tant elle […] L’article Le ban des utopies, de la fiction à la réalité selon Cyrille Weiner est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 55 jours

Du temps, de l’espace, des oiseaux, par Axel Dahl

Même en volant, Axel Dahl n’aurait pas le temps. Il suit quand même les oiseaux. En effet, que ferions-nous ici et maintenant sans ce pressant besoin de voir ailleurs et autrement ? Chronique-photos.               […] L’article Du temps, de l’espace, des oiseaux, par Axel Dahl est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 55 jours

« J’en suis réduit à stocker les gravats dans mon jardin ! » : l’artisanat au temps du Covid-19

Pour ce 15e épisode de notre feuilleton, nous retrouvons Yves Roubi, plombier lyonnais, qui nous raconte comment s’organise la reprise des chantiers avec ses deux compagnons.
Il y a 5 ans et 55 jours

Dix finalistes retenus pour les ULI Europe Awards of Excellence 2020 !

L'Urban Land Institute (ULI) révèle les dix finalistes de la première édition de ses ULI Europe Awards of Excellence 2020... Cet article Dix finalistes retenus pour les ULI Europe Awards of Excellence 2020 ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 55 jours

Covid-19 : Les mandats des syndics de copropriétés prolongés plus longtemps que prévu

L'exécutif a amendé ses précédentes mesures, "compte tenu du délai nécessaire à l'organisation d'une assemblée générale des copropriétaires et du nombre d'assemblées générales à organiser", a-t-il expliqué dans un communiqué à l'occasion de la présentation d'une ordonnance en conseil des ministres.A cause du strict confinement imposé depuis mi-mars contre la propagation du Covid-19, les copropriétaires ne peuvent plus tenir d'assemblées générales. Or, c'est à cette occasion qu'ils décident s'ils renouvellent ou non le mandat de leur syndic, c'est-à-dire l'organisme généralement professionnel qui gère pour eux le fonctionnement de la copropriété, par exemple en matière de travaux.Dans un premier temps, fin mars, le gouvernement avait automatiquement prolongé les mandats des syndics qui devaient expirer entre le 12 mars et le 24 juin, soit un mois après la fin prévue de l'état d'urgence sanitaire. Ils étaient prolongés jusqu'à la tenue d'une assemblée générale, au maximum six mois après l'état d'urgence.Finalement, la nouvelle ordonnance prolonge les délais sur ces deux plans. Les mandats concernés sont désormais ceux qui arrivent à expiration jusqu'à deux mois après l'état d'urgence, soit le 24 juillet.Ils pourront être prolongés jusqu'à huit mois, et non plus six mois, ce qui porte à fin janvier 2021 la potentielle prolongation de certains mandats.A ce titre, l'ordonnance précise aussi que la rémunération des syndics se fera au prorata du tarif prévu par le contrat existant, en fonction du temps de prolongation.Enfin, elle applique les mêmes règles de prolongation aux copropriétaires élus au conseil syndical. Au sein d'une copropriété, il s'agit de l'organisme chargé de contrôler son bon fonctionnement au nom de tous les propriétaires.
Il y a 5 ans et 55 jours

Eric Lamaire, constructeur : « Les artisans sont notre véritable richesse »

Le président de LCA-FFB Hauts-de-France a dû réorganiser l’activité de son entreprise pour maintenir les liens avec ses entreprises partenaires et ses clients.
Il y a 5 ans et 55 jours

Didactiques histoires du Sud-Ouest par Denis Lacharme

Depuis plus de dix ans maintenant que l’architecture s’est imposée dans sa carrière, Denis Lacharme, photographe pour l’agence SIPA Press depuis 2005, n’en finit pas d’explorer le Bordelais et le Sud-Ouest en journaliste averti. Ainsi raconte-il l’histoire de chacun des […] L’article Didactiques histoires du Sud-Ouest par Denis Lacharme est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 55 jours

Covid-19 et chantiers français au 25 avril

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Il y a 5 ans et 55 jours

« Les bâtiments de demain » par l'Ademe et le CSTB

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Il y a 5 ans et 55 jours

Report du Forum International Bois Construction

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Il y a 5 ans et 55 jours

L’art de la cabane

Ce texte est issu du hors-série AA Projects consacré au Festival des cabanes paru en mars ...En savoir plus Cet article L’art de la cabane est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 55 jours

Le catalogue Atlantem « Portails, clôtures et claustras 2020-2021 » est disponible

Les clôtures et claustras prennent une place importante pour créer un ensemble complet et un cocon harmonieux. Également au cœur des évolutions : la connectivité avec l'intégration d'un visiophone consultable à distance.Les coordonnés : tout en délicatesse et éléganceParmi les rares industriels à concevoir et fabriquer les trois familles de produits portes d'entrée, de garage et de portails, ATLANTEM favorise l'harmonie. Sa gamme TENDANCE s'élargit avec six nouveaux modèles (Abott, Bridge, Clayton, Gill, Lamb ou Patton) dont le design est coordonné à celui des autres fermetures. Les effets d'optique sont diversifiés : spirales en mouvement, lignes sans fin, ombres de bambous…Tôles découpe laser : le style végétal a le vent en poupeATLANTEM pousse la qualité de précision à son paroxysme avec sa gamme de portails en tôles découpe laser. De nombreux motifs sont disponibles et se voient enrichis avec les modèles Jungle et Papyrus. Leur finition met en lumière le détail des lignes et des motifs au style résolument végétal.Toujours plus loin dans la connectivité utileLe portail connecté peut aujourd'hui disposer d'un visiophone fonctionnant en wifi. Grâce à une application sur smartphone, il permet de savoir qui se présente sans être contraint par exemple de descendre de l'étage. Si l'utilisateur est au travail ou au marché, il peut ouvrir le portail à un livreur afin qu'il dépose un colis.La part belle aux clôtures et claustrasLa préservation de l'intimité constitue un critère de choix de plus en plus plébiscité. En complément du portail, les clôtures et claustras figurent parmi les équipements incontournables. Dans sa logique d'harmonie des extérieurs, ATLANTEM étoffe sa gamme avec des designs résolument tendance. Les tôles découpe laser apportent de la finesse avec les motifs jungle, bambou, papyrus, bienvenue, cubes, alvéoles et chevrons. Le claustra Nigelle se pare d'une lame en polycarbonate transparente ou effet dépoli, pour une touche de clarté.À l'écoute du terrain, ATLANTEM propose des claustras intégrant une plaque ciment. Une solution pratique pour ne plus abîmer la lame du bas lorsqu'on passe la tondeuse. Disponible en gris brut, anthracite, ton pierre et vert étuvé, elle se fond dans le décor environnant.