Toute l'actualité du bâtiment

Situé dans le quartier historique de l'Eixample à Barcelone (Espagne), un nouvel immeuble d'habitation signé de l'agence locale MAIO célèbre l'architecture si caractéristique de cette partie de la ville, en la remettant au goût du jour. Une réalisation colorée adaptée aux besoins de ses résidents. Quasiment tous construits sur le même modèle, les ensembles de logement de la fin du XIXe siècle de la zone de l'Eixample se composent de pièces de même dimension dont les fonctions peuvent être facilement modifiées au fil du temps, sans gros travaux architecturaux. Ainsi, un couple peut par exemple transformer son bureau en chambre d'enfant sans avoir à changer d'appartement. Une typologie qui a inspiré l'agence MAIO pour la construction de l'immeuble d'habitation 110 Rooms, où 22 appartements de 5 pièces chacun sont réparties sur cinq étages. Tous sont dotés d'une cuisine fermée centrale, autour de laquelle sont organisés les différents espaces pouvant être utilisés comme séjour, chambre ou autre. Cet agencement n'a pas été la seule réinterprétation de l'Eixample ! En effet, le style choisi pour l'ensemble provient directement du langage populaire du quartier. Un hommage particulièrement marqué sur la façade principale, très traditionnelle, dont les motifs de stuc de chaux géométriques " matériau largement employé en Espagne ", dynamisent le revêtement. Le rez-de-chaussée, en partie ouvert sur l'extérieur, réinterprète la coutume d'installer du mobilier " sièges ou simples éléments décoratifs ", dans les halls d'entrée de la région et reprend également les matériaux habituellement utilisés dans ces espaces de réception. Ici, les meubles se transforment en volumes géométriques surdimensionnés, ornés de marbre ou de couleurs vives, dans une zone pensée comme une extension de la rue. Un niveau zéro laissant aussi bien entrer le soleil ibérique que ses rares gouttes de pluie. Une réalisation alliant le style traditionnel de l'Eixample à la contemporanéité de ses architectes. Pour en savoir plus, visitez le site de MAIO Photographies : José Hevia

Situé dans le quartier historique de l'Eixample à Barcelone (Espagne), un nouvel immeuble d'habitation signé de l'agence locale MAIO célèbre l'architecture si caractéristique de cette partie de la ville, en la remettant au goût du jour. Une réalisation colorée adaptée aux besoins de ses résidents. Quasiment tous construits sur le même modèle, les ensembles de logement de la fin du XIXe siècle de la zone de l'Eixample se composent de pièces de même dimension dont les fonctions peuvent être facilement modifiées au fil du temps, sans gros travaux architecturaux. Ainsi, un couple peut par exemple transformer son bureau en chambre d'enfant sans avoir à changer d'appartement. Une typologie qui a inspiré l'agence MAIO pour la construction de l'immeuble d'habitation 110 Rooms, où 22 appartements de 5 pièces chacun sont réparties sur cinq étages. Tous sont dotés d'une cuisine fermée centrale, autour de laquelle sont organisés les différents espaces pouvant être utilisés comme séjour, chambre ou autre. Cet agencement n'a pas été la seule réinterprétation de l'Eixample ! En effet, le style choisi pour l'ensemble provient directement du langage populaire du quartier. Un hommage particulièrement marqué sur la façade principale, très traditionnelle, dont les motifs de stuc de chaux géométriques " matériau largement employé en Espagne ", dynamisent le revêtement. Le rez-de-chaussée, en partie ouvert sur l'extérieur, réinterprète la coutume d'installer du mobilier " sièges ou simples éléments décoratifs ", dans les halls d'entrée de la région et reprend également les matériaux habituellement utilisés dans ces espaces de réception. Ici, les meubles se transforment en volumes géométriques surdimensionnés, ornés de marbre ou de couleurs vives, dans une zone pensée comme une extension de la rue. Un niveau zéro laissant aussi bien entrer le soleil ibérique que ses rares gouttes de pluie. Une réalisation alliant le style traditionnel de l'Eixample à la contemporanéité de ses architectes. Pour en savoir plus, visitez le site de MAIO Photographies : José Hevia

Un projet de "Pacte national" pour la revitalisation de quelque 700 centre-villes et centres-bourgs, aujourd'hui délaissés par la population, a été présenté au Sénat, où il devrait être examiné le 13 juin.

Toujours en croissance au 1er trimestre, l'activité de l'artisanat du bâtiment commence à pâtir de la grève en pointillés de la SNCF, estime la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment.

Quel accueil prestigieux ! La Cité de l'architecture et du patrimoine retrouve son accès principal, place du Trocadéro à Paris (16e), après deux ans de travaux. Une rénovation de 465 mètres carrés signée par l'Atelier d'architecture Vincent Parreira (AAVP), permettant une meilleure réception du public, sans dispersion. Dans le Palais de Chaillot, construit à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1878, voici une toute nouvelle entrée qui attend de pied ferme les visiteurs. Il est désormais impossible de se perdre : après avoir passé deux séries de portes, un volume à la perspective dégagée vers la tour Eiffel s'offre aux curieux, avec en son centre une banque d'accueil circulaire. Cette zone de réception, disposée au milieu de huit colonnes corinthiennes existantes, rétablit la centralité perdue de ce vestibule, quand le précédent comptoir était placé dans un coin de cet espace parallélépipédique. Au-dessus, des bandeaux signalétiques lumineux verticaux guident les touristes qui ne l'auraient pas trouvé, puis d'autres suspentes à leds les aiguillent vers la bibliothèque, le vestiaire, la boutique et les espaces d'exposition, agencés symétriquement par rapport à cette borne.Dans les quatre angles de la salle, Vincent Parreira crée également quatre portiques surmontés d'une fresque, menant aux différents espaces de la Cité nommés plus haut dans ce texte, tels de grands tableaux à traverser. Peut-être une manière de traverser l'histoire ? À ces passages se juxtaposent quatre triptyques en acier, composés d'un écran d'information central et de deux miroirs latéraux, aux airs de meubles baroques. Tous ces nouveaux éléments sont revêtus d'une fine couche dorée posée au pinceau, composée d'un mélange de cuivre et de zinc : une " feuille d'or du pauvre ", comme aime à l'appeler l'architecte, une manière de " retrouver l'éclat de ce qui était un palais ", selon Vincent Parreira. Si l'envie vous prenait d'y jeter un "il, vous pourrez même profiter d'un tarif spécial inauguration, avant le 14 mai ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine Photographies : Luc Broegly

Quel accueil prestigieux ! La Cité de l'architecture et du patrimoine retrouve son accès principal, place du Trocadéro à Paris (16e), après deux ans de travaux. Une rénovation de 465 mètres carrés signé par l'Atelier d'architecture Vincent Parreira (AAVP), permettant une meilleure réception du public, sans dispersion. Dans le Palais de Chaillot, construit en 1878 à l'occasion de l'Exposition Universelle, voici une toute nouvelle entrée qui attend de pied ferme ses visiteurs. Il est désormais impossible de se perdre : après avoir passé deux séries de portes, un volume à la perspective dégagée vers la tour Eiffel s'offre aux visiteurs, avec en son centre une banque d'accueil circulaire. Cette zone de réception, disposée au milieu de huit colonnes corinthiennes existantes, rétablit la centralité perdue de ce vestibule, quand le précédent comptoir était placé dans un coin de cet espace parallélépipédique. Au-dessus, des bandeaux signalétiques lumineux verticaux guident les curieux qui ne l'auraient pas trouvé puis d'autres suspentes à leds les aiguillent vers la bibliothèque, le vestiaire, la boutique et les espaces d'exposition, agencés symétriquement par rapport à cette borne.Dans les quatre angles de la salle, Vincent Parreira crée également quatre portiques surmontés d'une fresque, menant aux différents espaces de la Cité nommés plus haut dans ce texte, tels de grands tableaux à traverser. Peut-être une manière de traverser l'histoire ? À ces passages se juxtaposent quatre triptyques en acier noble, composés d'un écran d'information central et de deux miroirs latéraux, aux airs de meubles baroques. Tous ces nouveaux éléments sont revêtus d'une fine couche dorée posée au pinceau, composée d'un mélange de cuivre et de zinc : une " feuille d'or du pauvre ", comme aime à l'appeler l'architecte, une manière de " retrouver l'éclat de ce qui était un palais ", selon Vincent Parreira. Si l'envie vous prenait d'y jeter un "il, vous pourrez même profiter d'un tarif spécial inauguration, avant le 14 mai ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine Photographies : Luc Broegly

The Link sera, fin 2022, la plus haute tour de La Défense. Les tours jumelles Hermitage Plaza pourraient dépasser la Tour Eiffel.

Lors d'une visite de l'usine Seb en Mayenne, Edouard Philippe, Premier ministre, a présenté la feuille de route du Gouvernement pour une économie 100% circulaire. Fruit de plusieurs mois de concertation et d'élaboration, elle compte 50 mesures visant à mieux produire, mieux consommer et mieux gérer les déchets. Elle doit également permettre la " mobilisation de tous " pour répondre aux objectifs du Plan Climat.

Sur ses stands, lors du World of Concrete Europe, Chryso alimente tous les jours ses différents canaux digitaux pour mettre en avant son savoir-faire. L'article Chryso : en direct du Woc Europe est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.

CONJONCTURE. Sur les trois premiers mois de l'année, les entreprises artisanales du bâtiment ont enregistré une croissance de +2,5 % par rapport à la même période en 2017. Une activité portée par la reprise de la construction neuve, mais qui pourrait être impactée par les grèves dans les transports, si elles devaient se poursuivre.

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. Deux acteurs de la gestion et du réemploi des matières et matériaux, Hesus et Cycle Up, annonce un partenariat afin de centraliser l'offre et la demande pour les chantiers. Le but sera d'accroître la part du recyclage dans le domaine de la construction.

Plus que jamais, le studio de design nendo occupe le devant de la scène. Et la nouvelle édition du Salone del Mobile de Milan ne saurait faire mentir cette affirmation. Son fondateur, Oki Sato, y présente, jusqu'au 22 avril, Into marble, une collection imaginée pour les Marsotto Edizioni spécialisée dans le mobilier en marbre. Si le marbre est plébiscité dans le mobilier et le bâtiment depuis des millénaires, l'imagination des architectes et des designers est sans faille pour réinventer l'utilisation de cette matière minérale, qui a traversé les époques, sans jamais passer de mode.Le Japonais Oki Sato et la marque italienne Marsotto Edizioni allient leurs savoir-faire dans une collaboration exposée à l'occasion du Salone del Mobile de Milan, entre les colonnes et les voûtes de l'espace Bigli, situé au centre de cette capitale du design. Main dans la main, créateur et fabricant réalisent des pièces aux échelles variées, allant de la table à l'objet de décoration, tel que la coupelle. Sauf qu'ici le marbre, cette " substance " à l'aspect et à la réputation si robuste, semble ici avoir partiellement changé d'état : passant de solide à liquide, avec des parties de meubles qui semblent avoir fondu comme neige au soleil. On aperçoit même un aileron de requin dépassant d'un " flaque " minérale. Les tabourets et autres piédestaux paraissent alors flancher, s'incliner. Cette roche si solide devient alors fragile. Poésie et délicatesse semblent définitivement être les maîtres-mots guidant le travail d'Oki Sato. Exposition " Into marble " à l'espace Bigli de Milan (Italie), jusqu'au 22 avril 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de nendo Photographies : Takumi Ota

Plus que jamais, le studio de design nendo occupe le devant de la scène. Et la nouvelle édition du Salone del Mobile de Milan ne saurait faire mentir cette affirmation. Son fondateur, Oki Sato, y présente, jusqu'au 22 avril, Into marble, une collection imaginée pour les Marsotto Edizioni spécialisée dans le mobilier en marbre. Si le marbre est plébiscité dans le mobilier et le bâtiment depuis des millénaires, l'imagination des architectes et des designers est sans faille pour réinventer l'utilisation de cette matière minérale, qui a traversé les époques, sans jamais passer de mode.Le Japonais Oki Sato et la marque italienne Marsotto Edizioni allient leurs savoir-faire dans une collaboration exposée à l'occasion du Salone del Mobile de Milan, entre les colonnes et les voûtes de l'espace Bigli, situé au centre de cette capitale du design. Main dans la main, créateur et fabricant réalisent des pièces aux échelles variées, allant de la table à l'objet de décoration, tel que la coupelle. Sauf qu'ici le marbre, cette " substance " à l'aspect et à la réputation si robuste, semble ici avoir partiellement changé d'état : passant de solide à liquide, avec des parties de meubles qui semblent avoir fondu comme neige au soleil. On aperçoit même un aileron de requin dépassant d'un " flaque " minérale. Les tabourets et autres piédestaux paraissent alors flancher, s'incliner. Cette roche si solide devient alors fragile. Poésie et délicatesse semblent définitivement être les maîtres-mots guidant le travail d'Oki Sato. Exposition " Into marble " à l'espace Bigli de Milan (Italie), jusqu'au 22 avril 2018 Pour en savoir plus, visitez le site de nendo Photographies : Takumi Ota

La Capeb a dévoilée le 20 avril les tendances de l'activité des entreprises artisanales du bâtiment pour le premier trimestre 2018. La reprise de l'activité se confirme en ce début d'année globalement malgré un léger ralentissement (+ 2,5 % contre + 3,5 % au quatrième trimestre 2017).

L'ENSA de Versailles s'allie avec l'ESSEC Business School pour lancer un double diplôme formant des architectes managers. Une formation qui débouchera non seulement sur l'obtention du diplôme d'État d'architecte, mais aussi celui de l'ESSEC grande école.