Toute l'actualité du bâtiment

ENVIRONNEMENT. La société Vinci construction a annoncé, avec AgroParisTech, le lancement de la start-up Urbalia. Elle aura pour but d'intégrer la biodiversité dans des projets d'aménagement urbain.

À Copenhague (Danemark), le studio d'architecture néerlandais MVRDV et l'agence danoise ADEPT ont imaginé un immense terrain de jeux et de sport intergénérationnel : la Ku.be House. Entre labyrinthes, toboggans, murs d'escalade et pistes de course, l'édifice public de 4 000 mètres carrés est une ode à la joie de vivre. L'ouvrage prend place au sud d'une parcelle triangulaire, sur laquelle les architectes ont aménagé un parc, afin de fournir un lieu de vie commune supplémentaire aux habitants du quartier résidentiel de Frederiksberg. Contraction de Kultur et de Bevægelseshus " " culture " et " maison du mouvement " en français ", la Ku.be House, expérimente une forme d'aménagement inédite mêlant une multitude de typologies architecturales dédiées aux divertissements, au sport et à l'éducation. Si de l'extérieur le bâtiment en R+3, se présente comme un simple parallélépipède vitré de 38 mètres de long par 16 de large, sa volumétrie intérieure est aussi complexe que la variété de programmes qu'elle abrite : au rez-de-chaussée, cafétéria et vestiaires ; et dans les trois étages supérieurs, amphithéâtre, bibliothèque, salles de gymnastique et de méditation, ainsi que deux pièces d'étude et de réunion.Pour identifier visuellement ces attributions très diverses, les architectes ont imaginé huit volumes, tous marqués par une couleur et une forme spécifiques " un cylindre rouge, une croix bleue, trois prismes irréguliers gris et trois droits jaune ", dans lesquels sont placés les activités les plus " calmes " comme les lieux de travail ou de relaxation. De leur assemblage découlent des vides à la géométrie complexe, en simple, double ou triple hauteur, où les maîtres d'"uvre ont placé plusieurs aires de jeux : piste de course, murs d'escalade, corde à grimper, toboggan et labyrinthe vertical. Une réalisation idéale pour l'apprentissage et l'épanouissement des petits comme des grands, qui aspire à devenir un centre de vie quotidienne pour les résidents de la zone. Pour en savoir plus, visitez le site de MVRDV et ADEPT Photographies : Ossip van Duivenbode

Le Groupement a présenté l'ambition du Gedimat de demain, pour progresser et continuer de se réinventer collectivement. Grâce notamment à son nouveau logo et sa nouvelle identité visuelle.

Depuis 2014, WD-40 organise une campagne annuelle promotionnelle sous forme de jeu-concours national.

En 2016 et 2017, 25 milliards d'euros ont été investis, alors que pour atteindre les objectifs fixés dans la stratégie nationale bas carbone et la feuille de route énergétique à horizon 2030, il faudrait investir entre 45 et 60 milliards d'euros par an jusqu'en 2020, puis entre 50 et 70 milliards d'euros par an entre 2021 et 2030, détaille l'Institute for Climate Economics (I4CE), dans son Panorama annuel des financements climat en France, publié mercredi 6 décembre.

  Le concours d’idées d’architecture et d’urbanisme EUROPAN, créé en Europe sur le modèle français du PAN, Programme d’Architecture Nouvelle… Cet article Les lauréats d'Europan 14 imaginent des villes productives 1/3 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.

Souvent les architectes s'échinent, à la demande du maître d'ouvrage, à faire assaut d'innovation. En réalité, l'innovation est rarement dans l'édifice lui-même, cela se saurait, […] L'article L'architecte dont le bâtiment a changé les règles d'un jeu international est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Des quartiers de ville standardisés sont produits chaque année. C'était le thème de l'un de mes articles précédents intitulé Nouvelles ZAC ou chronique d'un fiasco […] L'article Une petite histoire de l’urbanisme négocié à Bordeaux est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

Takuji Shimmura est Japonais. S'il vit et travaille à Paris, comme beaucoup de polyglottes, il possède cette capacité à interpréter un langage à l'aune des […] L'article La banlieue invisible et universelle de Takuji Shimmura est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

La réversibilité n'est pas une question de typologie logement/bureau mais doit être cherchée dans le rapport entre les pouvoirs publics et l'initiative privée, dans la […] L'article Réversibilité dans la carte du génome urbain est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

VIDEO. Le ministère de la Cohésion des territoires met en avant sur son site huit exemples de réalisation de mise en accessibilité dans des communes de moins de 10.000 habitants. Travail sur les sols et les éclairages, choix du mobilier, des revêtements,... découvrez les initiatives mises en oeuvre pour rendre ces centres-bourg accessibles à tous.

Accolé à un manoir du début du XIXe siècle perdu dans la campagne anglaise, un pavillon rectangulaire réalisé par l'architecte new-yorkais Rafael de Cárdenas dissimule une piscine. Une paire de toboggans hélicoïdaux confère grâce et originalité à ce lieu caractérisé par sa quiétude. Pour sa première réalisation en solo, l'architecte, frappe fort et conçoit un écrin atypiqe, un havre de paix qui attend les propriétaires des lieux, un couple et ses quatre enfants. Perpendiculairement à la demeure édouardienne d'origine, le bâtiment de plain-pied en brique et cuivre, est largement vitré, y compris en toiture, de façon à ce que les baigneurs aient l'impression de se trouver en extérieur, même lorsque l'hiver est rude. Sa volumétrie consiste en un parallélépipède rectangle dont l'extrémité arrondie accueille un sauna. Les murs et le sol en marbre Bottciono sont surplombés d'un plafond graphique en fibre de verre dont les qualités acoustiques permettent aux plus jeunes de profiter de l'eau sans troubler la tranquillité des parents. Le clou de cet ensemble est sa piscine tout en longeur, bordée de feuilles de quartzite Azul Macauba agrémentée de deux toboggans symétriques en tire-bouchon en fibre de verre et résine, telle une sculpture abstraite. Un cadre dans lequel chacun de nous rêverait de pouvoir piquer une tête ! Pour en savoir plus, visitez le site de Rafael de Cárdenas Photographies : DR Rafael de Cárdenas

Dans la ville de Trois-Rivières (Canada), sur une ancienne friche industrielle située à la confluence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Saint-Maurice, se trouve l'Amphithéâtre Cogeco. Les architectes de l'Atelier Paul Laurendeau livrent ici un édifice emblématique grâce à une impressionnante toiture aérienne de 7 200 mètres carrés, tout en offrant une superbe vue aux spectateurs. En 2006, l'usine de pâtes et papier Tripap de Trois-Rivières met la clé sous la porte et laisse derrière elle une friche industrielle positionnée sur un site d'exception : à la convergence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Saint-Maurice, face à la ville de Bécancour. La Municipalité, désireuse de consolider son économie culturelle et touristique, projette alors l'édification d'un quartier résidentiel et d'un amphithéâtre de 10 000 places en bordure des deux cours d'eau. Lauréat du concours lancé en 2010, le lieu de divertissement imaginé par l'Atelier Paul Laurendeau, consiste en un bâtiment de deux étages en U accueillant entre ses bras, une scène extérieure face à laquelle se trouve un parvis en pente équipé de 3 500 sièges fixes, couvert par une immense toiture métallique rouge de 7 200 mètres carrés. Derrière, à l'air libre, se trouve en outre une pelouse pouvant recevoir 5 000 personnes. La partie centrale de la construction héberge au rez-de-chaussée un bar et deux loges, et au niveau supérieur les locaux du personnel. De part et d'autres de cette zone se trouvent un grand hall d'accueil en double hauteur ainsi que des espaces de rangement scéniques et techniques. La majestueuse couverture métallique de 26 mètres de hauteur portée par huit poteaux en aluminium, offre un panorama sur l'horizon et le fleuve en contrebas aux spectateurs, mais aussi une vue aux habitants des rives opposées qui peuvent jouir d'une partie des représentations.Visible de loin, notamment grâce à la présence sur le sous-bassement des gradins de gigantesques lettres en bois de 6 mètres de hauteur indiquant le nom de la commune, l'ouvrage est un véritable totem pour ce territoire de l'ouest canadien. Une réalisation novatrice et audacieuse qui ouvre le champ des possibles pour l'architecture des lieux de représentation, bien qu'elle ne soit utilisable qu'en période estivale. Pour en savoir plus, visitez le site de Atelier Paul Laurendeau Photographies : Adrien Williams  

Le projet consistait en la restructuration et extension du siège du Syndicat des Eaux et de l'Assainissement du Bas-Rhin à Schiltigheim, près de Strasbourg. Livré […] L'article Ecrin végétal pour le siège du Syndicat des Eaux du Bas-Rhin est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.

D'après l'observatoire Crédit Logement publié ce mardi, les taux d'intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques en France ont très légèrement baissé au mois de novembre 2017. Précisions.