Toute l'actualité du bâtiment

C'est sur le salon Solscope que pour la 2e fois, le spécialiste des solutions de butonnage hydraulique faisait...

C'est sur le salon Solscope que pour la 2e fois, le spécialiste des solutions de butonnage hydraulique faisait...

Solscope 2017 (fondations et forage) en images (Seconde partie).

Solscope 2017 (fondations et forage) en images (Première partie).

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Alors qu’elle a considérablement réduit son empreinte carbone, l’industrie cimentière poursuit ses recherches en matière environnementale.

  À Guyancourt (78), l'agence Architectures Anne Démians réhabilite un lycée d'hôtellerie et de tourisme. Sur le fond comme sur la forme, cette intervention lourde vise à revoir entièrement une architecture complexe héritée des années 1970 et à lisser les différents stigmates et les modénatures qui en découlent, pour mieux révéler la volumétrie d'origine : celle d'un paquebot. L'histoire de ce projet commence en 2005, lorsqu'un concours est lancé par la région Île-de-France pour redonner vie au lycée d'hôtellerie et de tourisme de Guyancourt, le plus grand de France, en améliorant à la fois son esthétique et sa fonctionnalité. Il aura fallu douze ans de patience et d'acharnement pour que l'équipement ne se pare de ses nouveaux habits. Outre les multiples embuches administratives qui ont ralenti le chantier réalisé en deux tranches principales, la restructuration profonde s'est effectuée en site occupé... bien occupé, avec pas moins 900 élèves permanents " dont 150 internes ", et 700 supplémentaires dans le cadre de formations continues, répartis dans un seul édifice de 30 000 mètres carrés, divisés en neuf étages. Au c"ur de ce réaménagement : un hall d'entrée traversant en triple hauteur aux airs d'agora romaine, qui permet au lieu de retrouver une centralité perdue, l'ancien bâtiment ne comptant pas moins de 14 points d'accès différents. Cette place principale relie dorénavant la rue, au nord, et le Mail des saules, allée piétonne plantée, au sud, qui ne communiquaient pas entre eux au préalable. À l'est, les salles de pratique ont été réorganisées et réunies pour des questions d'usages évidentes et de lisibilité du programme : les cuisines, les offices puis le restaurant se succèdent ainsi du nord au sud sur un seul niveau. En double-hauteur, ces premières bénéficient d'une lumière zénithale indirecte et tamisée où sont préparés les mets, avant d'être dressés, puis amenés en salle où les visiteurs peuvent procéder aux dégustations dans une surface de réception divisée en deux salles marquées par de larges baies vitrées. Avec leur large encadrement, ces dernières sont un repère pour le public, qui peut venir déguster les préparations réalisées par les pensionnaires. Elles sont par ailleurs intégrées à un volume en inox qui marque et traverse de part en part l'imposant rez-de-chaussée. Cette intervention sur les façades et plus globalement les travaux d'isolation par l'extérieur, ont permis de lisser l'ensemble qui retrouve ainsi sa volumétrie d'origine, celle d'un paquebot conçu par l'architecte Jean Monge dans les années 1970 puis livré en 1981. La recomposition spatiale n'est pas seulement horizontale mais également verticale avec, au-dessus des pièces d'enseignement précédemment évoquées, des espaces de rencontre tels que le self et un patio extérieur " où déjeunent ensemble élèves et professeurs ", le tout surplombé par un internat divisé en chambres de 4, 6 et 8 personnes. Une "uvre totale donc, qui permet de recréer du lien perdu entre bâti et contexte urbain, mais aussi entre les espaces intérieurs eux-mêmes. Photographies : Jean-Pierre Porcher Pour en savoir plus, visitez le site d'Architectures Anne Démians

Au beau milieu d'une forêt de l'île de Terschelling (Pays-Bas), flotte une bulle enchantée. Installée dans le cadre du festival culturel néérlandais, Oerol, Loud Shadows est une scène artistique et paysagère un peu particulière : en effet, durant l'entièreté de la durée de l'évènement, cet espace sphérique transparent accueille une multitude de performances artistiques. Oerol signifie " partout " en néerlandais. Lors du festival, tous les endroits de l'île sont donc utilisés pour des représentations ; même les plus improbables. C'est dans ce contexte que le collectif berlinois Plastique Fantastique conçoit cette structure monumentale tout en rondeur et en transparence. Bien que placé à l'extérieur, cette "uvre offre un sentiment de confinement et d'intimité et permet de s'immerger complètement dans les propositions culturelles de l'événement, un peu hors de l'espace et du temps. L'installation est divisée en trois parties : deux bulles placées de part et d'autre d'un tube circulaire opaque dans lequel on peut circuler aisément. Sur une surface totale de 280 mètres carrés, cet espace accueille aussi bien des danseurs comme Leine Roebana que des musiciens tels Kate Moore ou The Stolz. Entièrement réalisée en plastique, cet espace peut être installé (presque) n'importe où et permet de se retrouver dans une bulle isolée du monde. Un moyen poétique de profiter de la programmation gratuite dont le festival nous gratifie jusqu'au 18 juin. Oerol Festival, jusqu'au 18 juin à Terschelling (Pays-Bas) Photographies : Jelte Keur, Maria Turik, Marco Canevacci Pour en savoir plus, visitez le site de Plastique Fantastique

Le constructeur Rousseau, spécialiste de matériel d'entretien du paysage et des voiries, présente une nouvelle équipe de direction et de nouveaux produits.

Spécialiste des matériels pour l'entretien des dépendances routières et des espaces verts, le constructeur Rousseau renforce son équipe de direction.

Le salon DDR 2017 (démolition, décontamination et recyclage) en images.

Dans le cadre de l'aménagement d'un espace public et des accès piétonniers dans le centre-ville de Balaruc-le-Vieux (34), un béton décoratif Nuantis Minéral a été mis en "uvre.

A la suite d'un appel d'offres international lancé en juin 2016 par la société Casa Transport, le groupe RATP Dev est en  bonne voie de gagner le projet d'exploitation du réseau de tramway et bus à haut niveau de service (BHNS) à Casablanca pour la période 2017-2029.

Anticipation, réactivité et innovation. La plateforme technique du matériel de Soletanche Bachy, située à Montereau-Fault-Yonne (77) est passée en mode, " plan de bataille " pour répondre à l'enjeu du Grand Paris où la mobilisation en matériels de fondation n'a, à ce jour, jamais été aussi forte en France.

Au salon IAF, les professionnels visitant le stand Geismar ont eu le tournis devant le grand nombre de nouveautés ou de modèles phares présentés par le constructeur d'engins de travaux ferroviaires.

En janvier 2017, Du Côté de Chez Vous lançait un appel à tous les designers, étudiants, artisans ou simples passionnés en leur proposant d'imaginer un projet de " Jeux de (dé)construction ". La contrainte était de produire un objet facilement reproductible qui serait ensuite mis à disposition en open-source. Les travaux de ces designers de demain seront exposés du 9 au 13 septembre sur now! le Off lors de la Paris Design Week 2017. Grand Prix : Arronde, Camille Ravanel Diplômée de l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris en Design d'objets , Camille réalise ici une gamme de mobilier épurée dont les assemblages de bois constituent le seul motif décoratif. Alliant fonctionnalité et esthétisme, cette collection se compose de panneaux de bois, de pièces d'assemblage en métal ou en plastique et de pieds en métal. Arronde a séduit le jury aussi bien par sa facilité d'assemblage ne nécessitant ni colle, ni vis que par sa modularité lui permettant de se transformer en bibliothèque ou en cloison. Prix Étudiant : Cloison personnalisable, Caroline Chapron Actuellement élève aux Arts Décoratifs de Paris en Design d'objet, Caroline imagine Cloison personnalisable, largement inspirée par une problématique propre à de nombreux étudiants de la capitale : créer des cloisons et des séparations dans de petites surfaces ou des colocations sans pour autant être bricoleur. Avec ce système reposant sur un principe d'étais, il est désormais possible d'aménager son appartement comme on le souhaite sans être manuel. De plus, le système de rotules fixant les formes installées par Caroline offre au propriétaire de cet objet une grande liberté de customisation. Prix du Public : Plug and Make, Antoine Taillandier Choisi par le public à la suite d'une campagne de vote en ligne, Plug and Make s'inspire des jeux de construction. Il se compose d'une plaque de contreplaqué sur laquelle se fixent librement des éléments imprimés en 3D, créant ainsi un meuble idéal. La tablette est quant à elle découpée au laser, ce qui facilite la production en atelier. Les possibilités d'utilisation sont infinies ; pouvant aussi bien être placé verticalement qu'horizontalement ou en fixation murale, ce qui rend le tout aussi pratique que ludique. Coup de c"ur du Jury : Tabtouli, Lucie Lasjuilliarias Maroquinière dans une maison de luxe, Lucie ne s'arrête pourtant pas à l'utilisation unique du cuir et réalise ici un drôle d'objet en bois. Le résultat est Tabtouli une table basse de 185 x 80 centimètres, constituée de 43 facettes, capable de se déplier pour créer un lit d'appoint. Fonctionnant comme un origami, son interstice entre x et y permet de ranger son oreiller et sa couverture une fois qu'elle retourne à l'état de table basse. L'originalité et la modularité de cette création ont tant plu au jury qu'ils ont décidé de créer une nouvelle catégorie afin de récompenser sa conceptrice. Exposition now! le Off, du 5 au 12 septembre aux Docks " Cité de la Mode et du Design, Paris (xxe arrondissement) Photographies : DR Du côté de chez vous Pour en savoir plus, visitez le site de Du côté de chez vous

Lancée au printemps 2015, la 6e édition du concours biennal Mini Maousse avait pour thème la " Nouvelle Maison des jours meilleurs ". Près de 200 participants ont conçu, seuls ou en équipes, une unité d'habitation temporaire, modulable, adaptable, empilable, démontable et transportable. Après examen des dossiers, 8 projets ont été retenus et sont présentés à l'occasion d'une exposition présentée à la Cité de l'architecture et du patrimoine. En 1956, répondant à l'appel de l'abbé Pierre en faveur des sans-logis et déshérités lancé deux ans auparavant, Jean Prouvé propose la Maison des jours meilleurs. D'une superficie d'environ 50 mètres carrés, elle est organisée autour d'un bloc sanitaire central sur lequel il fixe une enveloppe constituée de panneaux de bois et couverte d'une toiture en aluminium. Depuis plusieurs années, l'ingénieur-architecte mène une réflexion et un engagement sur le mal-logement. Dès 1946, dans une conférence donnée à Nancy et intitulée Il faut des maisons usinées, il appelle à une mobilisation générale des compétences pour la reconstruction de logements par des " moyens rapides et de qualité, et les faire exécuter en économie de guerre ". Pointant du doigt l'attitude des autorités qui affirment vouloir reconstruire " en dur tout de suite ", il plaide pour un habitat temporaire, fruit d'une recherche entamée quelques années plus tôt à l'invitation de l'armée pour développer une structure légère et transportable associant le métal et le bois.Car si le XXe siècle marque l'industrialisation de la production des biens de consommation, la production du cadre de vie est restée en dehors du système industriel et incapable.   Le concours Mini Maousse 6 a proposé aux étudiants de s'inscrire dans cette filiation, d'assumer l'héritage de Jean Prouvé dans ses considérations techniques et dans son engagement mais en faisant aujourd'hui appel à la filière bois. " Mini Maousse 6 ", jusqu'au 16 juillet 2017, Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris (16e) Photographies :01) © Cité de l'architecture & du patrimoine " Gaston Bergeret02) Light colombage, Mégane Hentzen, Institut supérieur des arts appliqués de Paris03) Wood stock, Fabien Le Goff et Cédric Jenin, École nationale d'architecture de Nantes04) Kuybu, Virginie Vasquez et Ludovic Geraerts, Institut supérieur des arts appliqués de Paris05) C.P.M. (Contre-Plaque-moi), Camille Chevrier et thomas Enée, École nationale d'architecture de Paris-Val de Seine06) Maison 280, Lukas Saint-Joigny, École supérieure d'art et de design de Reims07) Wood up, Laurent Germain et Aurore Pulwermacher Blanchard, Institut supérieur des arts appliqués de Paris08) Moving roof, Arnaud Ribière, Diana Pinheiron et Manon, École supérieure des arts modernes " design de Paris09) Light colombage, Mégane Hentzen, Institut supérieur des arts appliqués de Paris10) La tente, Élise Sanner, École nationale supérieure d'art et de design de Reims Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'architecture et du patrimoine

A l'occasion du douzième Congrès européen sur les systèmes de transport intelligents (ITS) organisé par ERTICO, le véhicule 100% électrique, appelé Cristal,  effectuera son premier trajet.

Le courtier en crédit immobilier, Meilleurtaux.com a révélé son palmarès mensuel des meilleurs taux et du pouvoir d'achat immobiliers dans les vingt plus grandes villes de France.  

Le chantier de l'aménagement de la ZAC Paris Rive Gauche en images

La fondation Excellence SMA organise ses prochains colloques sur " les risques incendies en cours de travaux " dans plusieurs villes de France.