Toute l'actualité du bâtiment

Sur le prochain Sima, Hantsch mettra en avant ses solutions d'entretien et de broyage forestier de son partenaire Ahwi-Prinoth.

Agrimax Sirio est le nouveau pneu pour vitesses élevées (classe E, jusqu'à 70 km/h) mis au point par BKT pour équiper les tracteurs de forte puissance.

La première session de l’appel à projets « Démonstrateurs industriels pour la ville durable » en 2016, avait permis de retenir 13 consortiums réunissant collectivités territoriales et entreprises de la croissance verte. Le 27 janvier 2017, Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer et Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable … Cet article Deuxième appel à projets " Démonstrateurs industriels pour la ville durable " est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Une bonne année 2016 pour Palfinger France. Emilie Fraisse, sa présidente, enregistre des ventes en croissance de 13 à 14% particulièrement stimulées par un marché des poids-lourds très en forme. 2017 ne devrait pas faire moins bien en raison de la hausse annoncée de 4-5% des immatriculations.

Pour le Sima, le spécialiste de l'épierrage Kirpy présente un nouveau broyeur de pierres type BPN, décliné en 2 largeurs de travail : 2 m (BPN 200) et 2,50 m (BPN 250).

Deux artisans labellisés Handibat ont réalisé un « chantier vitrine » dans un établissement pour handicapés des Yvelines.

Kohler SDMO, dans sa nouvelle dénomination, regarde l'avenir avec ambition. Consolidant sa place de leader européen, le spécialiste des groupes électrogènes s'adapte aux fluctuations du marché en faisant la preuve de sa constance dans la qualité et dans l'innovation. Grégoire Girard, responsable de la gamme Rental Power, fait aussi le pari de la réussite du lancement du stage V sur ses groupes électrogènes, ceci bien avant les autres !

Ayant vu le jour durant le printemps 2015, la plateforme MonMaîtreCarré.com est une solution permettant de mettre en contact des particuliers/professionnels avec des architectes d'intérieur pour la réalisation de leurs projets via un concours rémunéré. Comment se déroule cette prise de contact ? Assiste-t-on à un énième exemple de l'ubérisation du Bâtiment, phénomène tant craint par les professionnels du secteur depuis la loi Macron ? Un concours rémunéré MonMaîtreCarré.com s'adresse autant au particulier qui souhaite embellir l'intérieur ou l'extérieur de sa maison qu'au professionnel disposant de locaux commerciaux ou de bureaux. Le processus pour trouver son architecte prend la forme d'un concours qui peut être résumé en 4 étapes : Étape 1 :  Via un formulaire en ligne, le particulier/professionnel entre la description de son projet d'aménagement/décoration/rénovation d'intérieur. Il y dévoile ses envies et ses goûts. Étape 2 : Une fois la description du projet prête. Il est temps de choisir les 3 professionnels membres de la communauté MonMaîtreCarré.com qui participeront au concours. Différents critères permettent de faire son choix : expérience, avis/notes clients, localisation. (Si le nombre de professionnels à sélectionner est fixé à 3, c'est pour permettre à la plateforme de rémunérer chacun d'entre eux, quelle que soit la décision finale du client.) Puis lorsque le choix effectué, il est temps de régler le montant, établi à 25 euros par mètre carré, pour lancer le concours. Étape 3 : Une fois le concours terminé, il ne reste plus qu'à choisir le projet que l'on préfère parmi les 3 propositions pour pouvoir accéder aux coordonnées du professionnel. Chaque projet présenté contient au moins un plan 2D du nouvel aménagement, une planche d'ambiances, une " shopping list " personnalisée ainsi que des instructions et une estimation du prix. Étape 4 : Le client a alors deux choix : contacter l'architecte vainqueur du concours pour qu'il réalise le projet ou conserver le projet pour le réaliser soi-même. Un énième exemple de l'ubérisation du bâtiment ? Mais au fait, commander ses travaux de décoration/rénovation d'intérieur en quelques clics et coups de clavier, ne serait-ce pas le début de l'ubérisation de l'architecture d'intérieur ? En parcourant le site, nous pouvons affirmer que non. L'ubérisation sous-entend l'accès à la profession par des personnes ne possédant pas forcément une formation, un savoir-faire. Or dans le cas présent, la communauté de talents sur laquelle s'appuie le site est uniquement composée de professionnels formés au métier : des architectes confirmés et membres de l'Union Nationale des Architectes d'Intérieur, des Designers ou encore des Décorateurs d'Intérieur membres de l'Union Francophone des Décorateurs d'Intérieur. La plateforme peut devenir un atout pour les jeunes diplômés talentueux mais manquant d'expérience, qui peuvent ainsi en profiter pour faire leurs premières armes et étoffer leur portfolio (à condition bien sûr d'avoir la chance de passer l'épreuve de la sélection de l'étape 2). Pour finir, il est explicitement dit sur le site que Mon Maître Carré.com se définit comme un apporteur d'affaires, mais qu'il n'a aucunement été créé dans le but de "faire vivre" les décorateurs via les prix des concours. Pour preuve, la plateforme intervient (et se rémunère) durant l'étape d'avant-projet et non lors de la réalisation (dont le déroulement se fait exclusivement entre le client et l'architecte). Pour en savoir plus : www.monmaitrecarre.com 

Le 4e trimestre 2016 a été plus que positif pour les entreprises qui ont enregistré un niveau de défaillances en net recul (-12%) par rapport à la même période en 2015. Cette dynamique positive a permis de conclure l'année sur 57 844 défaillances soit 8,3% de moins qu'un an plus tôt. Qu'en est-il pour la construction ? Porté par le second oeuvre, le secteur a confirmé, en 2016, un redressement significatif. Détails.

Le promoteur immobilier Kaufman et Broad s'est dit confiant pour 2017 grâce à une activité commerciale en progression sur un marché du logement neuf "porteur".

L'Association HQE " France GBC se dote d'un nouveau nom et d'un nouveau logo, signes d'une volonté d'aller toujours plus loin dans un mode d'action reposant sur le partenariat. L'Alliance HQE-GBC réunit l'ensemble des professionnels du secteur, syndicats professionnels et sociétés, afin de répondre à l'histoire des deux associations HQE et France GBC fusionnées en … Cet article Alliance HQE-GBC est le nouveau nom de l'association HQE " France GBC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.

Le constructeur suédois Atlas Copco fait état d'un exercice 2016 en croissance malgré la cession de sa division Matériels Routiers (Dynapac) au groupe Fayat. Le groupe consolide ses comptes avant une scission probable en 2018.

Silvio Rauseo et Jouin Manku ont eu carte blanche pour aménager le luxueux Hôtel des Berges d'un spa au caractère apaisant, isolé dans la campagne alsacienne. Pensé comme une parenthèse dans le temps, le spa des Saules est conçu autour des propriétés de l'eau et de la feuille de saule. La bâtisse perforée de larges baies laisse s'engouffrer une clarté naturelle. La pénétration de la lumière est maitrisée par une enveloppe de tasseaux de bois brut à claire voie qui forment persienne et rythment la façade. La spa est un bâtiment tout en longueur qui propose une enfilade de pièces intérieures. Sa verticalité est soulignée et augmentée par les nombreux claustras. Construite en matériaux naturels, l'annexe devient une cellule de calme dans un cadre bucolique. Une ossature de chêne s'appuie contre un volume de béton, l'ensemble reposant sur une pierre lisse et grise. Cette charpente inspirée des granges alsaciennes vient animer la structure et instaurer une continuité entre intérieur et extérieur. Trois bassins aux différentes vertus sont présents sur le site ainsi que 5 chambres habillées par le décorateur Jouin Manku. Le créateur a utilisé un vocabulaire simple et anguleux pour véhiculer au sein même de la bâtisse un sentiment d'authenticité. A l'intérieur toute ingénierie humaine semble effacée, aucune fixation n'est apparente, laissant pleine place à la nature. On retrouve d'ailleurs ici et là des motifs de feuille de saule en hommage aux arbres de la propriété. Pour en savoir plus, visitez le site de l'hôtel des berges  

Pour cette 10e édition, la biennale du design de Saint-Etienne s'interroge sur les mutations du travail à travers le design et sur son devenir effectif. Comment améliorer le travail, le rendre plus agréable, plus intelligent ? Tout en composant avec la prolifération des nouvelles technologies et les fortes tensions sociales ? Olivier Peyricot, directeur de la recherche de la Cité du design explique la biennale comme un programme de recherche qui mène et construit sa réflexion à partir d'hypothèses, d'enquêtes et d'expérimentations. Deux notions nées du croisement entre design et travail sont questionnées : la temporalité avec les nouvelles technologies et l'occupation de l'espace à travers l'existence des tiers-lieux (Fablab, Co-working place, hacker place). Deux approches qui deviennent facteurs de changement et de renouveau impactant directement sur l'organisation du travail. Dans la continuité de cette quête d'innovation la biennale a notamment invité la ville de Detroit à partager son expérience de citoyenneté participative et sa dynamique entrepreneuriale créative. La ville de Saint-Etienne, inscrite dans cette dynamique participative émergente, continue de développer le processus et met en place de nombreuses collaborations avec des acteurs régionaux mais aussi internationaux. La biennale de positionne comme incubateur de projet avec pour ambition de transformer le territoire en champs d'expérimentations avec des dizaines de laboratoires d'entreprises au c"ur des expositions et un concept d'hébergement imaginé pour l'occasion par Morag Myerscough et Luke Morgan.Elle reste dans la continuité des précédentes : protéiforme à travers ses IN et ses OFF, ses évènements et ses plateformes de rencontre.     La Biennale se déroulera du 9 mars au 9 avril 2017. Pour en savoir plus, visitez le site de la Biennale du Design de Saint-Etienne.

Créer un lien entre extérieur et intérieur, et comment construire le prolongement de l'un dans l'autre, tels ont été les questions soulevées par les architectes du projet de la House in Mukainada. La maison de plain-pied semble à première vue classique et ses quatre façades restent orthogonales. Au sol, ses concepteurs ont inscrit un cercle traversant les murs de la maison et recevant les échanges avec le jardin. Le souhait des futurs habitants de la maison, un couple de personnes âgées, était très orienté vers un usage facilité du jardin. Les architectes ont alors tout de suite pensé et dessiné une promenade plantée où le sol ne représentait plus aucune entrave au déplacement de ses occupants. Le plan circulaire de cette dernière se prolonge à l'intérieur par une différence d'orientation des lames du plancher. Photographies : Toshiyuki Yano Pour en savoir plus, visitez le site de Fujiwaramuro Architects