Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255267 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 91 jours

Seine-et-Marne : zoom sur les travaux de rénovation et d’extension du lycée François-Couperin à Fontainebleau

Les travaux de restauration du lycée François-Couperin à Fontainebleau, dans le département de Seine-et-Marne, se...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 91 jours

Vimar propose un nouveau portier-vidéo tactile sur technologie SIP

Idéal pour tous les contextes architecturaux, qu’il s’agisse de grands immeubles résidentiels ou du tertiaire avancé, nécessitant un équipement technologique particulièrement performant, le nouveau portier-vidéo Vimar présente un grand écran de 7 pouces à fond personnalisable, une interface graphique moderne et intuitive, 5 touches soft touch permettant de commander rapidement les principales fonctions, avec la possibilité d’en personnaliser quelques-unes. Facile à installer - connexion filaire ou en Wi-Fi - et intuitif à programmer, avec la possibilité d’intervenir directement sur le dispositif ou sur une page Internet dédiée. Son design élégant et moderne met en valeur les espaces d’habitation exclusifs dans lesquels il est nécessaire d’installer des dispositifs SIP.Côté fonctions, le portier-vidéo permet de dialoguer avec d’autres postes intérieurs, des softphones, les platines extérieures et les standards, tous sur protocole SIP ; de recevoir les images en direct des caméras CCTV IP, d’enclencher des actuateurs pour la gestion des fonctions éclairage escalier, portails, gâches, arrosage, pour n’en citer que quelques-unes.L’étrier de fixation assure 4 types de montage : en saillie, avec 4 vis et goujon ; sur boîte de 3 modules entraxe 83,6 mm ; sur boîtes rondes entraxe 60 mm ; sur base de table dédiée.Le nouveau portier-vidéo Vimar complète la gamme actuelle de dispositifs vidéo dédiés et appropriés aux contextes disposant d’un serveur SIP, dans laquelle se distingue l’unité électronique pour platine audio/vidéo qui peut être associée aux platines de portier-vidéo modulaires Pixel et Pixel Heavy et qui est déjà intégrée à la platine monobloc Pixel Up.
Il y a 2 ans et 91 jours

Le Forum Bois Construction trace son layon guyanais

L’installation inédite proposée au Forum Bois Construction de Lille par l’Interpro bois de Guyane est une immersion dans la plus belle forêt française, qui est sans doute aussi la mieux gérée.
Il y a 2 ans et 91 jours

En Côte d'Ivoire, NGE participe à l'amélioration de l'accès à l'eau

CONTRAT. Le groupe NGE a remporté un marché en Côte d'Ivoire dont le but est d'améliorer l'accès à l'eau potable des habitants de la région de Koumokro.
Il y a 2 ans et 91 jours

Actis recentre son organisation commerciale autour des métiers

Pour mieux appréhender l’évolution du marché, le fabricant d’isolants minces a revu son service commercial. Il se structure désormais...-Négoce
Il y a 2 ans et 91 jours

Habitat durable : et si on revenait au temps des cavernes ?

L’architecture d’aujourd’hui ne devrait-elle pas s’inspirer des habitats primitifs troglodytiques pour une approche plus durable de la façon de se loger ? L’approche de l’architecture contemporaine à l’espace est assez linéaire : enveloppant un volume spécifié dans une certaine forme de construction matérielle. Mais si l’on se penche sur les premières habitations intentionnelles de l’humanité, […]
Cimbat
Il y a 2 ans et 92 jours

Métropole de Bordeaux : le budget franchit les 2 Mds €

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 92 jours

Métropole clermontoise : pour une meilleure qualité de ville

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 92 jours

Marseille : la superposition verticale des usages à la loupe

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 92 jours

Commande publique : et si l'on mettait le marché global de performance au service des infrastructures ?

D'un usage courant pour les bâtiments, cet outil dispose selon ses partisans de sérieux arguments dans la perspective du développement...-Marchés publics
Il y a 2 ans et 92 jours

daliform group legerete structurelle pour le nouveau campus bocconi

Un projet prestigieux, où Daliform Group est protagoniste avec une considérable fourniture du produit U-Boot Beton® pour la réalisation des plancher.
Il y a 2 ans et 92 jours

Électriciens, éboueurs, égoutiers, cheminots rassemblés devant la Tour Eiffel contre la réforme des retraites

"Pour l'ensemble des travailleurs et pour un monde meilleur, même si Macron ne le veut pas, nous on est là", ont clamé les manifestants dans les panaches de fumigènes, derrière une banderole "Retraites, régime spécial pour toutes et tous", en référence au régime spécial des électriciens et gaziers et à celui des agents de la RATP, menacés de suppression par le projet du gouvernement. "L'idée, c'est de montrer que l'opposition (...), elle est massive, elle n'est pas juste lors des journées d'appel classiques en intersyndicale et en interpro", a affirmé Arnaud Baret, délégué syndical CGT Enedis Paris et un des organisateurs de la manifestation.Le projet de réforme "nous touche toutes et tous, donc c'est on ne peut plus logique de se mobiliser et de dépasser les logiques de nos secteurs", a déclaré pour sa part un jeune éboueur qui a souhaité garder l'anonymat. "Qu'on soit gazier, éboueur, électricien, postier, on est tous membres d'un même camp et on a tous besoin de riposter collectivement et de gagner de nouveaux droits", a-t-il ajouté.Pour la suite, "l'idée, c'est de partir en (grève) reconductible, a poursuivi Arnaud Baret, un mode d'action "compliqué à mettre en place": "on sort de pas mal de mois de luttes, aussi bien dans les industries électriques et gazières que dans d'autres secteurs d'activité, fin 2021 et en 2022, donc c'est difficile de repartir dans d'autres mouvements".L'action, qui s'est déroulée dans une ambiance bon enfant pendant une petite heure, s'est dispersée d'elle-même dans le calme, sans intervention des forces de l'ordre, a constaté l'AFP.
Il y a 2 ans et 92 jours

Retraites : nouvelle journée de grèves et de manifestations le 7 mars

"Il y aura une grosse journée le 7 et une initiative particulière le 8, en lien avec la journée internationale des droits des femmes", a indiqué à l'AFP Yvan Ricordeau, secrétaire national CFDT.L'intersyndicale a programmé une conférence de presse samedi à 11H45 à la Bourse du travail à Paris pour préciser son plan de bataille, en amont de la manifestation parisienne pour la 4e journée d'action.La troisième journée de mobilisation, mardi, avait réuni 757.000 personnes selon le ministère de l'Intérieur, "près de deux millions" selon les organisateurs, des chiffres en deçà des précédentes journées, les 19 et 31 janvier.Une quatrième journée est prévue samedi dans toute la France, afin de permettre à tous ceux qui ne peuvent manifester en semaine de le faire, expliquent les syndicats. La manifestation parisienne s'ébranlera samedi à 13H00 de la place de la République en direction de la place de la Nation, selon la CGT.Les autorités prévoient samedi un peu plus de 200 actions, rassemblant hors Paris 500 à 700.000 personnes.Interviewé mercredi matin sur BFMTV, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a dit espérer une "très forte mobilisation" samedi et appelé chacun à "aller manifester massivement avec toute la famille".Les syndicats avaient annoncé mercredi une cinquième journée de grèves et de manifestations, le 16 février.Le syndicat Solidaires envisage par ailleurs de proposer à l'intersyndicale de "porter la grève reconductible à partir du mercredi 8 mars", selon une note interne transmise à l'AFP.
Il y a 2 ans et 92 jours

La retraite minimum à 1.200 euros, toujours pas si net

C'est la "mesure d'accompagnement" la plus coûteuse de la réforme des retraites. Alors que le relèvement de deux ans de l'âge légal --de 62 à 64 ans-- doit réduire le déficit d'environ 18 milliards d'euros d'ici 2030, un dixième de cette somme sera consacrée à la hausse des petites pensions. Soit 1,1 milliard pour les retraités actuels et 700 millions pour ceux qui les rejoindront à partir du 1er septembre, avec donc la promesse d'un minimum de 1.200 euros par mois pour une carrière complète. Sauf que personne n'est assuré de retrouver ce montant sur son relevé bancaire.Le ministre du Travail lui-même ne sait pas dire combien de retraités atteindront ce seuil devenu symbolique. "Ca va changer chaque année en fonction des carrières des personnes concernées", a tenté d'expliquer Olivier Dussopt mercredi sur France Inter.Car pour toucher 1.200 euros, il faudra avoir validé tous les trimestres requis (168 soit 42 ans aujourd'hui, 172 soit 43 ans d'ici 2027) avec une rémunération au niveau du Smic. Un cas de figure théorique qui ne sert qu'à calculer ce "minimum contributif" auquel chaque retraité a droit.Ceux qui ont fait "beaucoup de temps partiel", par exemple, auront "une augmentation mais ça n'arrivera pas forcément à 1.200 euros, même avec une carrière complète", a précisé M. Dussopt.Idem pour ceux qui sont partis ou partiront sans avoir atteint le "taux plein": comme aujourd'hui, leur pension restera diminuée en proportion du nombre de trimestres manquants.85% du SmicCe ne sera donc pas 1.200 euros minimum pour tout le monde, mais toutes les petites pensions bénéficieront d'un coup de pouce, entre 25 et 100 euros par mois selon les cas.Au total, 1,8 million de retraités actuels (soit plus de 10%) sont concernés, ainsi qu'un quart des futurs retraités, soit 200.000 personnes chaque année.Le coût de la mesure est donc appelé à se creuser progressivement (1,4 milliard d'euros en 2024, 1,8 milliard en 2030), d'autant que les petites pensions suivront à l'avenir l'évolution du salaire minimum.En effet, les 1.200 euros affichés correspondent en réalité à 85% du Smic net --actuellement de 1.353 euros par mois, mais qui sera probablement revalorisé en cours d'année pour suivre l'inflation.Une référence inscrite dans la loi depuis la réforme Fillon de 2003 mais jamais appliquée, sauf pour les retraites agricoles depuis la loi Chassaigne de 2020. La réforme actuellement débattue au Parlement prévoit cette fois-ci un mécanisme "d'indexation" afin de rester à hauteur des 85% promis.Mais que la pension versée soit de 1.200 euros ou moins, elle pourra encore être réduite. Car il s'agit d'un montant brut, avant prélèvements sociaux. Or, tous les retraités ne sont pas dans la même situation: en fonction de ses autres revenus (loyers, dividendes, etc), voire de ceux de son conjoint s'il est en couple, les cotisations peuvent monter jusqu'à 9,1% ou à l'inverse être réduite à zéro en cas d'exonération.
Il y a 2 ans et 92 jours

que poser sur une commode de chambre

Vous venez d’acquérir une commode, parfaite pour apporter un espace de rangement supplémentaire à votre chambre. Ce meuble composé de tiroirs peut trouver sa place dans toutes les chambres de la maison, qu’il s’agisse de la chambre parentale ou d’une chambre d’enfant. Pour autant, il n’est pas toujours facile de savoir comment accessoiriser une commode, et que poser sur ce meuble. Voici quelques pistes qui vous permettront de faire le plein d’inspiration pour votre commode de chambre.
Il y a 2 ans et 92 jours

La BnF lance le concours d'architecture pour son site d'Amiens

"Le concours a été publié aujourd'hui même et l'annonce du nom du lauréat aura lieu d'ici 12 mois", a indiqué la BnF dans un communiqué.L'ancienne capitale de la région Picardie avait été choisie en novembre 2021 pour accueillir ce nouveau Conservatoire national de la presse et son centre de conservation des immenses collections de presse de la Bibliothèque.Celle-ci sont riches de près de 300.000 titres depuis La Gazette, journal fondé en 1631 par Théophraste Renaudot.Ces journaux et périodiques sont aujourd'hui répartis sur les différents sites de la BnF, stockés dans des conditions beaucoup moins favorables que celles prévues à Amiens."Le futur pôle de conservation répondra aux problématiques de saturation des espaces au sein des bâtiments existants de la BnF, avec notamment la création de magasins de collections hautement technologiques, indispensables à la préservation des documents les plus fragiles", a souligné la BnF.L'institution souhaite "une très grande qualité architecturale, qui s'inscrit dans l'histoire et l'identité de la BnF".Le bâtiment est prévu sur l'ancien site de l'Hôpital Nord, laissé libre par le CHU d'Amiens, soit une parcelle de "6,3 hectares dont 30.000 m³ constructibles".La BnF, l'État et les collectivités locales (Ville, Communauté d'Agglomération, département et Région) signent jeudi une convention de partenariat en vue d'événements culturels dans les Hauts-de-France. Le premier sera une exposition à Amiens autour du manuscrit de "Vingt mille lieues sous les mers" de Jules Verne, du 27 mai au 1er octobre.
Il y a 2 ans et 92 jours

ddselect une innovation stradal pour lutter contre la pollution des eaux

Malgré de nombreux efforts, la pollution des eaux de ruissellement reste un enjeu majeur de la préservation des milieux naturels, aquatiques et de la ressource en eau. Un défi auquel participe Stradal avec sa dernière innovation, le DDSelect. Une solution qui a pour objectif de dépolluer les eaux pluviales par décantation hydrodynamique.
GDA
Il y a 2 ans et 92 jours

critiquee par les elus locaux l anct deploie ses moyens

Face à un rapport du Sénat critique envers l’ANCT et ses capacités dans les projets d’aménagement local, le gouvernement a déployé les moyens de l'agence.
Il y a 2 ans et 92 jours

l organisation commerciale d actis se restructure autour de 3 poles

Le fabricant d’isolants réflecteurs Actis organisait, le 7 février, une conférence de presse pour présenter sa nouvelle organisation commerciale, visant à mieux s’adapter aux différents marchés et aux métiers de ses clients. Cette nouvelle organisation se structurera désormais autour de trois pôles : isolation thermique par l’intérieur (ITI), isolation thermique par l’intérieur (ITI), et distribution.
Il y a 2 ans et 92 jours

un chiffre d affaires en hausse pour le groupe hexaom en 2022

Le groupe Hexaôm vient de publier son chiffre d’affaires de 2022. Celui-ci s’élève à 1 065,3 millions d’euros, en progression de 6,9 % par rapport à 2021.
Il y a 2 ans et 92 jours

Résultats : Vinci au presque parfait en 2022

Malgré une conjoncture mondiale chahutée, le groupe annonce une croissance de 25 % de son chiffre d’affaires sur l’année écoulée. Une...-Entreprises
Il y a 2 ans et 92 jours

Zéro artificialisation nette : Christophe Béchu répond aux sénateurs

Christophe Béchu considère de manière « positive » la proposition de loi du Sénat sur le Zéro artificialisation nette. Mais le ministre...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 92 jours

La recyclerie de Beaune en Côte-d’Or donne une seconde vie aux matériaux ferroviaires

Site le plus important du genre en Europe, la recyclerie ferroviaire de produits récupérés ou réparés de SNCF Réseau en Bourgogne se...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 92 jours

Préventica

Préventica est un salon unique en France et en Europe dédié à la maîtrise des risques et à la qualité de vie au travail. Lieu unique de rencontres et d’échanges d’expériences, ce rendez-vous offre aux professionnels des solutions concrètes.
Il y a 2 ans et 92 jours

“Avec l’Industrie”, une campagne de communication fédératrice

Grosse campagne de communication de l’industrie à destination des jeunes, des demandeurs d’emploi et des salariés en reconversion. [©Opco 2i] Réunies au sein d’Opco 2i, les 32 branches de l’industrie ont pris l’initiative de parler d’une seule et même voix pour valoriser leurs métiers. Consciente de l’urgence de dessiner un nouveau projet de société, l’industrie prend la parole pour expliquer sa contribution à l’avenir. Et pour communiquer sur ses métiers, en particulier auprès des jeunes, desc demandeurs d’emploi et des salariés en reconversion. Dans cet objectif, la campagne de communication d’Opco 2i lance « “Avec l’Industrie”. Une marque courte, simple, percutante et facilement identifiable pour rendre visible et mémorisable l’ensemble des actions de l’industrie. “Avec l’Industrie” porte un ensemble fédérateur et engagé. Qui permet de représenter une variété de métiers industriels sous une bannière commune », peut-on lire dans le communiqué de presse de l’Opco 2i La campagne “Avec Industrie” débutera le 19 février 2023 C’est ainsi qu’une campagne de communication multimédia et multicanal s’installera à partir du 19 février 2023, à la télévision, au cinéma, en affichage et en numérique. Elle sera complétée par un dispositif événementiel qui prendra place dans plusieurs grandes villes de France, sur 2023 et 2024. Au cœur du dispositif, un film publicitaire décliné en 45, 30 et 20 secondes. Il sera diffusé sur les grandes chaînes nationales de télévision, relayé sur les plates-formes de replay et dans 500 salles de cinéma. « Ce film a été entièrement conçu, tourné et réalisé en France. Il met en avant des acteurs de la transformation de l’industrie (soudeurs, designers, créateurs, ingénieurs R&D, agents de laboratoire…), dont le métier va au-delà de la simple production d’un bien manufacturé. Son existence même projette les spectateurs dans l’imaginaire de tous leurs instants de vie avec une réelle force émotionnelle. » Le film sera accompagné d’une campagne d’affichage, qui se déploiera dans 65 villes avec plus de 6 000 panneaux. Une déclinaison des messages sera aussi diffusée sur les plates-formes numériques et les réseaux sociaux. Que ne ferait-on pas pour mettre en avant ces beaux métiers ? Quelque 15 M€ seront dépensés sur trois ans. Il faut espérer que le message passera, en particulier auprès des jeunes… Et redorera le blason de l’industrie, en général et de l’industrie des matériaux de construction, en particulier. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 92 jours

3e édition du Baromètre de l’autosolisme : en dépit de la crise énergétique, l’usage individuel de la voiture continue de progresser

Malgré un contexte de forte inflation et de tensions sur le prix des carburants, le taux d’autosolisme moyen constaté pendant cette période a atteint 84,7%, soit une hausse de 2,5% par rapport à l’automne précédent (82,6%). L’autosolisme est, et reste donc, un phénomène bien ancré au quotidien dans les pratiques de mobilité des Français.Tours Métropole Val-de-Loire, la Communauté d’Agglomération Pays Basque, Montpellier Méditerranée Métropole, Nouvelle Aquitaine Mobilités et la Région Nouvelle Aquitaine ainsi que la direction interdépartementale des routes Atlantique se sont associées à cette étude unique en son genre, réalisée grâce aux technologies d’intelligence artificielle de Cyclope.ai, sur 11 axes autoroutiers[2], entre mi-septembre et mi-novembre 2022 – hors période de vacances scolaires. Les analyses réalisées dans le cadre de cette nouvelle édition, sur plus de 700.000 véhicules, mettent également en évidence un taux d’occupation moyen de 1,24 passager par véhicule, bien inférieur à l’optimum de 1,75 visé par la Stratégie Nationale Bas-Carbone d’ici 2035[3]. Les résultats de ce 3e baromètre de l’autosolisme ne peuvent qu’alerter sur l’urgence de renforcer l’offre de services et d’infrastructures, ainsi que de services dédiés au covoiturage, notamment pour les trajets domicile-travail, pour lesquels l’impact de l’autosolisme est le plus délétère, tant en termes d’émissions de CO2 que de temps perdu dans les congestions.L’autosolisme : une pratique bien installée en France, et qui continue de progresser en 2022Alors que le taux d’autosolisme mesuré par VINCI Autoroutes et Cyclope.ai à l’automne 2021 était de 82,6%, il atteint un an plus tard 84,7% en moyenne, sur le même périmètre et dans les mêmes conditions d’observation, et ce malgré la forte augmentation des prix de l’énergie. Ainsi, sur les 14 sites concernés par les mesures effectuées dans le cadre du baromètre de l’autosolisme, seuls 15,3% des véhicules analysés transportaient au moins deux personnes (contre 17,4% à l’automne 2021 et 14,8% au printemps 2022). Comme lors des deux précédentes éditions, le pic d’autosolisme est constaté entre 7h et 8h du matin (à 89%) pour diminuer ensuite, et atteindre 78% en moyenne à 10h.En parallèle, le taux d’occupation moyen des véhicules observé dans le cadre de cette nouvelle édition est de 1,24 passager/véhicule, oscillant entre 1,02 à l’est de Nantes et 1,35 à Toulon – soit un taux moyen très en-deçà de l’optimum de 1,75 passager / véhicule fixé par la Stratégie Nationale Bas-Carbone d’ici à 2035.Pour Pierre Coppey, président de VINCI Autoroutes : « Cette nouvelle édition du baromètre de l’autosolisme confirme que les Français, malgré le contexte économique et l’augmentation des carburants, continuent à une écrasante majorité de circuler seuls dans leur voiture en semaine pour leurs trajets domicile-travail, alors même que le covoiturage offre une solution simple et efficace pour répondre non seulement aux enjeux économiques, mais également de congestion des agglomérations et de réduction des émissions de CO2 . Nous avons la capacité d’accompagner les territoires dans leur volonté de stimuler le covoiturage et, plus généralement, les mobilités partagées sur autoroute, en multipliant les infrastructures telles que les parkings de covoiturage aux abords du réseau autoroutier, les pôles d’échanges multimodaux ou encore les voies réservées. Autant de solutions qui, partout où elles sont déployées, sont plébiscitées par leurs usagers et contribuent efficacement à décarboner les usages de la route - qui accueille, il faut le rappeler, 87% des déplacements du pays. »Des disparités régionales qui s’accentuent au fil des éditions du baromètreA l’échelle régionale, la quasi-totalité des sites observés connaît une hausse de l’autosolisme par rapport à la 1ère édition du baromètre, réalisée à l’automne 2021. Ce sont l’Ile de France (+12%) et l’agglomération de Nantes, tant sur l’A11 (+6,1%) que sur l’A83 (+6,6%), qui affichent les progressions les plus fortes. A l’opposé, le phénomène connait une baisse notable à Toulon, qui passe d’un taux de 81,2% de véhicules ne transportant qu’un seul passager à 77,4% (soit -4,7%). La métropole de Bordeaux (A10) ne connaît quant à elle qu’une très légère hausse entre les deux périodes (+0,4%).Pour Amelia Rung, directrice du développement de VINCI Autoroutes : « Le baromètre que nous réalisons depuis plus d’un an représente un outil objectif pour suivre l’évolution de l’autosolisme en France mais également pour évaluer l’impact des solutions testées par certaines agglomérations pour encourager le covoiturage au quotidien. Nous avons pu ainsi, au cours des 3 vagues successives de notre baromètre, observer plus de 3 millions de véhicules et avoir une vision fiable de l’autosolisme. Forts de ces résultats, nous allons notamment pouvoir déterminer plus finement les sites stratégiques sur notre réseau où installer notamment de futurs parkings de covoiturage. Par ailleurs, en collaboration avec la direction interdépartementale des routes Méditerranée, nous allons observer 4 sites qui serviront de référence pour des projets de voies réservées, en vue de développer des mobilités partagées dans la région de Marseille. »Retrouvez la synthèse du 3e baromètre de l’autosolisme sur le site www.vinci-autoroutes.com. La prochaine édition sera publiée au printemps 2023 ; elle permettra notamment d’évaluer les premiers impacts du Plan national covoiturage du quotidien sur les 11 agglomérations suivies, ainsi que les initiatives de voies réservées déployées au niveau local.
Il y a 2 ans et 92 jours

Architect@Work Paris

Architect @Work présente les innovations produits des industriels de la construction. Il est réservé aux architectes, architectes d’intérieur et agenceurs, mais aussi aux économistes de la construction et aux bureaux d’études. Ce salon permet la rencontre de fabricants, importateurs et distributeurs nationaux français.
Il y a 2 ans et 92 jours

Ingérop boucle une nouvelle acquisition en Allemagne dans le secteur de l'eau

CROISSANCE EXTERNE. L'ingénieriste Ingérop poursuit son développement en Allemagne en procédant notamment par acquisition. Il vient d'y racheter une entreprise d'ingénierie spécialisée dans l'hydraulique et l'électromécanique des ouvrages fluviaux.
Il y a 2 ans et 92 jours

Le ministre expose la proposition de loi qui devrait "déclencher des chantiers massifs"

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, en a dit plus sur la nouvelle proposition de loi visant à massifier certaines rénovations énergétiques, dans une allocution diffusée sur EnerJ-meeting Paris ce 9 février 2023.
Il y a 2 ans et 92 jours

Sensor+Test

Sensor + Test est le principal salon professionnel dédié à la technologie des capteurs, aux mesures et aux tests. Le thème 2023 sera "Capteurs et métrologie pour les nouvelles énergies", répondant aux futurs défis de l'industrie.
Il y a 2 ans et 92 jours

Bilan du plan Avenir Montagne

Les territoires de montagne sont sujets à de grandes mutations telles que les difficultés d’enneigement, la fonte des glaciers ou l’érosion de la biodiversité. Les défis sont nombreux.Conscient du potentiel mais aussi de la fragilité des montagnes françaises, Avenir Montagnes pose les fondations d’un nouveau modèle. Un modèle touristique plus diversifié, plus durable. Un modèle qui améliore aussi bien la qualité de vie des habitants qu’il garantit l’expérience d’un séjour réussi pour les touristes, toute l’année.En ce sens, le Premier ministre Jean Castex a présenté le 27 mai 2021 et après de nombreuses concertations avec les acteurs de la montagne, Avenir Montagnes, un grand plan d’accompagnement des territoires de montagne vers un tourisme plus durable et plus diversifié. Ce plan se décline selon 3 priorités :favoriser la diversification de l’offre touristique et la conquête de nouvelles clientèles, accélérer la transition écologique des activités touristiques de montagne,dynamiser l’immobilier de loisir et enrayer la formation de « lits froids ».La loi «3DS» a d’ailleurs conforté le modèle des résidences de tourisme en permettant à des foncières locales portées par les collectivités d’être prioritaires pour l’achat de logements en vue de poursuivre leur location.Avenir Montagnes InvestissementMobilisation de 300 M€ d’aides à l’investissement financées à parité entre l’État et les Régions, dont 50 M€ en 2021 et 100 M€ en 2022 pour l’État.Les projets d’équipements et d’investissement éligibles doivent être situés dans le périmètre d’un massif et portés par les collectivités territoriales ou par d’autres acteurs de massifs (établissements publics, associations, syndicats mixtes, entreprises, etc.). Ils peuvent intervenir dans plusieurs domaines d’activité :le développement d’équipements touristiques durables liés à la diversification deux ou quatre saisons et la modernisation des équipements permettant la pratique d’une activité de neige ;le soutien à la transition écologique des activités et de la protection de la biodiversité. Une enveloppe de 10 M€ est ainsi consacrée à la réalisation et la restauration de 1.000 km de sentiers comme vecteurs d’éducation à la nature et à la préservation de la biodiversité ;le développement des mobilités du premier (ou du dernier) kilomètre, y compris des mobilités de transport par câble ;la rénovation de certains hébergements touristiques et la création ou la rénovation d’hébergements de saisonniers ;la rénovation ou de la modernisation des établissements thermaux et des centres de bien-être ou encore de la montée en gamme ou de la diversification de l’offre des stations thermales, ainsi que de la mise en valeur du patrimoine historique, naturel et bâti des stations thermales. Au final ce sont 18M € qui ont été mobilisé au thermalisme pour un objectif initial de 10 M€ en plancher.En 2021 et 2022, 150 M€ de crédits État ont été engagés au profit de 484 projets d’investissement, générant un investissement total de 560 M€.Les collectivités territoriales (communes, EPCI, départements) représentent 67% des porteurs de projet et 64% des subventions allouées en 2021 et 2022 ; les autres bénéficiaires sont des associations, entreprises, PNR, parcs nationaux et syndicats mixtes.Les projets soutenus par l’État dans le cadre d’Avenir Montagnes Investissement sont disponibles à l’adresse suivante : Avenir Montagnes investissement 2021 (arcgis.com).Trois dispositifs d’appui en ingénierieAvenir Montagnes IngénierieProgramme d’appui aux territoires piloté par l’ANCT, avec le soutien de la Banque des Territoires, doté de 16 M€ sur deux ans. Il apporte un appui opérationnel et sur-mesure à 62 territoires de montagne dans la conception et la mise en œuvre de leur projet de transition vers un tourisme plus durable et plus diversifié.Les 62 territoires lauréats ont été sélectionnés en deux vagues, en octobre 2021 et en février 2022 (liste en annexe). Ceux-ci bénéficient :du financement sur une base forfaitaire de 60.000 euros par an pendant 2 ans, par l’ANCT, d’un chef de projet dédié, pour accompagner la conception, la mise en œuvre et le suivi du nouveau projet de développement touristique en transition ;de l’accès à une offre de service en ingénierie d’une vingtaine de partenaires du programme, avec de nouvelles coopérations signées avec la FFCAM, Nordic France, la FFRandonnée, la Fédération des Grands sites de France, le Cerema et la Fabrique des transitions. L’offre de service est accessible à l’adresse : OffreDeService_AM_v6.pdf (agence-cohesion-territoires.gouv.fr). La Banque des Territoires finance des accompagnements méthodologiques pour les chefs de projet pour accélérer la mise au point et l’organisation du projet ;d’une animation et d’un partage d’expériences au niveau national et par massif avec le soutien du commissariat de massif.Un parcours d’accompagnement dédié aux élus des 62 territoires lauréats Avenir Montagnes Ingénierie est déployé en partenariat avec la Fabrique des Transitions.Avenir Montagnes MobilitésDoté de 10 M€, porté par l’ANCT et France Mobilités, ce dispositif soutient en ingénierie des projets durables, innovants et inclusifs de mobilités dans les territoires de montagne.Le dispositif a été ouvert aux collectivités et autorités organisatrices des mobilités ainsi qu’à leurs partenaires privés. Les lauréats bénéficient d’un soutien financier à hauteur de 50% de la part éligible de leur projet, limité à 200.000 € (avec une part de la subvention de maximum 25.000 € pour le volet investissement), et d’un accompagnement technique réalisé par le CEREMA. 100 projets ont été sélectionnés en deux vagues, mars et octobre 2022.Les projets soutenus dans le cadre d’Avenir Montagnes Mobilités sont disponibles à l’adresse suivante : https://www.francemobilites.fr/cartographie-laureats#montagnesFrance Tourisme IngénieriePiloté par Atout France et doté de 5 M€ financés par la Banque des Territoires, ce dispositif vise à accompagner en ingénierie 50 stations de montagne pour la rénovation de leur immobilier de loisir. Dans le cadre de la première vague de sélection, 25 sites ont été retenus en décembre 2021, portant sur 33 stations. Chacun des sites bénéficient d’un appui en ingénierie sur-mesure d’Atout France pendant 2 ans et demi correspondant à un engagement financier de 100.000 euros.Exemples de projets accompagnés par Avenir MontagnesLa rénovation des thermes de Bagnères de LuchonAccompagnée par Avenir Montagnes Investissement (Massif des Pyrénées)Situés au cœur de la station de Bagnères de Luchon, les thermes de la ville bénéficient, d’une rénovation complète et d’une extension. Dans le cadre d’une stratégie partenariale de territoire, l’activité thermale y est historiquement une activité clé. L’objectif est de conforter Luchon comme station de tourisme de santé et de pleine nature.COÛT GLOBAL : 30,8 M€ dont 2,87 M€ de crédits État au titre d’Avenir Montagnes Investissement et de la Région OccitanieLa station de ski Les OrresAccompagnée par France Tourisme Ingénierie sur la rénovation de l’immobilier de loisir (Massif des Alpes)La station des Orres, engagée dans la transition énergétique et touristique, compte un centre station classé patrimoine remarquable du XXe siècle et un secteur de résidences de tourisme, Bois Méan. Atout France accompagne l’élaboration d’une charte de rénovation énergétique et architecturale afin de garantir le respect du label Architecture Contemporaine Remarquable et faire valoir l’identité de la station. Un travail participatif avec les socioprofessionnels est également engagé sur les pieds d’immeuble et la publicité commerciale. Atout France assure par ailleurs une assistance à maîtrise d’ouvrage pour la rénovation globale d’une copropriété du centre station.La création d’un village vacances-répit Sport Nature HandicapAccompagnée par Avenir Montagnes Investissement (Massif central)Après l’ouverture d’un gîte d’étape cycliste au sein d’une belle longère creusoise typique à Champagnat sur le trajet de la véloroute Est Creuse, la SAS Roue d’escampette donne une portée nouvelle à son projet Sport-Nature-Handicap avec la création d’un véritable village vacances-répit sur le terrain de cette ancienne ferme. Doté de 20 places, ce projet qui a été accompagné par le CAUE départemental et qui valorise les matériaux locaux et le réemploi, permettra d’accueillir tous les publics en particulier les personnes en situation de handicap auditif, visuel, mental ou moteur. L’objectif est de permettre à tous de pratiquer des activités de pleine nature, de bénéficier sur place des équipements adaptés et de profiter d’un temps de répit pour de vraies vacances en famille, y compris pour les aidants.COÛT GLOBAL : 2,2 M€ dont 650.000€ de crédits État au titre d’Avenir Montagnes InvestissementUn nouveau souffle pour la station du MarksteinAccompagnée par Avenir Montagnes Investissement (Massif des Vosges)Le projet permet de détruire une friche touristique, anciennement hôtel de luxe de sept niveaux. Cette verrue paysagère, aujourd’hui un danger et un frein à l’attractivité, est située en plein cœur d’une station en voie de diversification. La contribution d’Avenir Montagnes permettra d’impulser une nouvelle image et un nouveau projet d’accueil en station.COÛT GLOBAL : 2,3 M€ dont 1,84 M€ au titre d’Avenir Montagnes Investissement (en deux phases, 2021 et 2022)
Il y a 2 ans et 92 jours

Pompes à chaleur et chaudières bois en forte croissance en 2022

Le marché du génie climatique en 2022 a perdu globalement 100.000 générateurs. Pour 2023, les aides publiques et la règlementation pèsent lourd.
Il y a 2 ans et 92 jours

La Banque de France prévoit une croissance "modeste" du PIB au 1er trimestre

"Sauf nouveau choc imprévu dans les semaines ou mois qui viennent, le risque d'une récession au cours de cet hiver peut être aujourd'hui écarté", souligne Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l'international, à la Banque de France.La prévision est conforme aux anticipations de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) dévoilées mardi (progression de 0,2% du PIB au premier comme au deuxième trimestre 2023, après +0,1% au dernier trimestre 2022).Selon la Banque de France, qui a sondé quelque 8.500 entreprises entre le 27 janvier et le 3 février, l'activité a plus progressé que prévu en janvier par rapport à décembre, principalement grâce au "dynamisme de l'activité dans les services marchands".En février, le PIB devrait être en "croissance faible" par rapport à janvier, avec des tendances diverses dans les trois secteurs couverts par l'enquête: l'activité progresserait dans l'industrie et les services mais se replierait dans le bâtiment.Autant d'éléments qui poussent la banque centrale à envisager une croissance trimestrielle "légèrement positive".Sur l'ensemble de l'année 2023, le scénario central de la Banque de France prévoit une croissance de 0,3% du PIB, nettement inférieure à celle envisagée par le Fonds monétaire international (0,7%) ou le gouvernement (1%). En janvier, la part des entreprises qui ont déclaré à la Banque de France des difficultés d'approvisionnement ou de recrutement a continué à diminuer. Les inquiétudes liées à l'impact des prix de l'énergie sur l'activité ou les marges des trois mois à venir sont elles restées plutôt stables.A l'inverse, l'opinion des entrepreneurs industriels sur l'état de leur carnet de commande continue à dégringoler, là où les professionnels du bâtiment connaissent un petit regain d'optimisme. Dans les deux secteurs, le solde d'opinion est proche de sa moyenne sur quinze ans."Les problématiques, qui étaient plutôt du côté de l'offre, basculent progressivement du côté de la demande", résume Olivier Garnier.Enfin, l'opinion des entrepreneurs sur leur trésorerie se maintient à un niveau nettement inférieur à sa moyenne des quinze dernières années.Dans un contexte d'inflation inédite depuis les années 1980, un tiers des entreprises ont augmenté leurs prix de vente en janvier dans l'industrie (33%) et les services (32%), et 43% dans le bâtiment. Ces pourcentages devraient baisser dans les trois secteurs en février, selon la Banque de France.
Il y a 2 ans et 92 jours

Nouvelle campagne d'envergure pour la promotion des métiers de l'industrie

OPCO 2i, fédération des branches professionnelles de l'industrie, lance une nouvelle marque "Avec l'industrie" ainsi qu'une campagne nationale pour promouvoir l'attractivité de ses métiers.
Il y a 2 ans et 92 jours

3D Print Congress & Exhibition 

3D Print Congress & Exhibition rassemble l'ensemble des acteurs de l'impression 3D, qui présenteront leurs dernières nouveautés.
Il y a 2 ans et 92 jours

Pour la première fois en 2022, l'international chez Vinci dépasse l'activité France

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a bouclé une année 2022 très satisfaisante pour ses dirigeants, marquée par une forte croissance à deux chiffres de son activité et une progression des résultats, dans tous les métiers – ou presque – et dans toutes ses géographies.
Il y a 2 ans et 92 jours

Humidistop : le spécialiste français des problèmes d’humidité et d’ondes électromagnétiques

Une activité que le groupe développe également sous forme de MDD, auprès des plus grands distributeurs mondiaux. Inverseurs de polarité : l’évaporation naturelle de l’humiditéLa société Humidistop propose depuis plusieurs années maintenant des solutions innovantes permettant de résoudre les problèmes récurrents d’humidité, qu’il s’agisse de murs humides, de remontées capillaires, de moisissures, de salpêtre, et bien d’autres encore. L’entreprise française a ainsi développé deux innovations majeures, avec un inverseur de popularité électromagnétique STOP ONE prenant la forme d’un petit boitier à venir fixer directement sur une zone humide, et un inverseur de polarité géomagnétique du nom de GEOSTOP, sous forme de boitier cylindrique.Pouvant couvrir jusqu’à 200 mètres carrés, ces deux appareils peuvent être installés dans tous types de bâtiments, que ce soit des appartements, des maisons ou des bâtiments anciens, des bureaux, des bâtiments publics, ou encore des églises. Grâce à l’utilisation de ces inverseurs de polarité, les particuliers n’ont alors aucun travaux à réaliser ; soit un gain de temps considérable, et de vraies économies réalisées. ATELC 30 : le traitement des remontées capillaires électriquesFace au succès de son activité, la maison mère Humidistop a lancé une seconde filiale nommée Soft Ondes. Spécialisée dans l’amélioration de l’habitat et du bien-être, ainsi que dans les innovations à forte valeur ajoutée, cette société commercialise des appareils anti-tartre et anti-calcaire à destination des particuliers, mais aussi des appareils contre les ondes électromagnétiques présentes au sein des logements (wifi, téléphone portable), et notamment au niveau des tableaux électriques. La société commercialise depuis peu un tout nouvel appareil nommé ATELC 30 (Assistant Technique Électronique Low Cost) capable de traiter l’ensemble des remontées capillaires électriques et électroniques dans un rayon de 15 mètres, disponible à un prix défiant toute concurrence. Une marque spécialisée dans la revente d’inverseurs de polaritéHumidistop travaille également au quotidien avec des professionnels et des artisans souhaitant proposer ces technologies à leur propre clientèle. L’entreprise a ainsi créé Help Humidité : une branche entièrement dédiée aux professionnels et à la revente d’inverseur de popularité électromagnétique et d’inverseur de polarité géomagnétique.Pour William Coignard, le fondateur d’Humidistop : « Nous travaillons énormément en MDD (marque de distribution). Concrètement, les clients peuvent faire appel à nos services pour nous demander de concevoir des produits entièrement sur mesure, selon leurs demandes précises, et sous leur nom d’enseigne. Notre cabinet d’ingénierie situé à Toulouse sera alors en charge de développer ce produit de façon personnalisée, pour une production à grande échelle. »À travers cette activité, l’entreprise collabore à ce jour avec de nombreux acteurs de la grande distribution, que ce soit en France, mais aussi en Europe et dans le monde entier.Une fabrication « Made in France » et à prix d’usineL’ensemble des produits de l’entreprise Humidistop et de ses différentes filiales sont aujourd’hui conçus en France au sein de l’usine Syselec située à Castres. Cette fabrication exclusivement française offre aux clients de véritables garanties, que ce soit en termes de qualité des produits finaux, de traçabilité, ou encore de transparence.Avant même leur commercialisation, les appareils ont tous pu être testés par l’un des deux laboratoires de contrôle indépendants avec lesquels travaille la société : Nexio et Emitech.Pour William Coignard : « Cette fabrication française permet également de garantir à nos clients des produits de haute qualité disponibles à prix d’usine, à travers des tarifs très accessibles ! »Alors que près d’un logement sur deux serait concerné par des problèmes d’humidité en France, la société Humidistop fait aujourd’hui figure de référence dans ce secteur d’activité. Un haut niveau d’expertise que le groupe dirigé par William Coignard a su diversifier au fil du temps, en travaillant sur de nouvelles technologies, comme par exemple dans le domaine des ondes électromagnétiques.Grâce à la fiabilité de ses appareils « Made in France », l’entreprise touche désormais de plus en plus d’acteurs, qu’il s’agisse de particuliers ou bien de grands groupes internationaux spécialisés dans les travaux et l’aménagement d’intérieur.
Il y a 2 ans et 92 jours

Anna Heringer : La chantier comme terreau d’apprentissage

Présentée au centre d’architecture arc en rêve de Bordeaux à l’automne dernier, l’exposition « Salle de classe, ...More about Cet article Anna Heringer : La chantier comme terreau d’apprentissage est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 92 jours

VM Matériaux distribue le ciment H-Iona d’Hoffmann Green

Julien Blandard, co-fondateur de HGCT, et Eric Rouet, Dg de VM Matériaux. [©HGCT] Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) annonce un accord de distribution de sacs de ciment décarboné H-Iona avec VM Matériaux. Cette signature marque une accélération de la mise à disposition des ciments décarbonés HGCT pour les professionnels du bâtiment, les artisans et le grand public en France métropolitaine. Avec ce partenariat, le cimentier s’adresse maintenant à tous les marchés du béton en métropole : le béton prêt à l’emploi, le béton préfabriqué et le marché du sac de ciment. Lire aussi : Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement « Ce premier accord de distribution de nos solutions en France métropolitaine est pour nous une grande fierté. Les ciments Hoffmann Green proposent des alternatives fiables à tous ceux qui cherchent à concilier construction et lutte contre le réchauffement climatique, expliquent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de HGCT. Grâce à notre partenariat avec VM Matériaux, les professionnels du bâtiment, les artisans et les particuliers du Grand Ouest auront maintenant la possibilité d’accéder à notre technologie H-Iona. » Disponible dans 50 points de vente VM Matériaux Implanté sur la façade Ouest, VM Matériaux devient ainsi le premier distributeur en France métropolitaine à proposer la vente du ciment H-Iona en sac de 25 kg. La technologie H-Iona est un ciment polyvalent pour béton ou mortier, qui permet de réaliser divers travaux de maçonnerie. Il présente une empreinte carbone 5 fois moins élevée qu’un ciment Portland traditionnel. Les sacs de ciment H-Iona seront disponibles dans les 50 points de vente du réseau VM Matériaux. Signé lundi 30 janvier, l’accord prévoit une mise en place du partenariat courant février… « VM Matériaux est un distributeur qui a pris des engagements forts pour réduire son impact carbone, conclut Eric Rouet, directeur général de VM Matériaux. Dans le cadre de cette démarche, nous sommes donc à la recherche de matériaux de construction à la fois innovants et qui répondent aux grands enjeux environnementaux d’aujourd’hui, en termes d’impact carbone. HGCT remplissant ces 2 conditions, nous sommes très heureux d’avoir signé ce partenariat. » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 92 jours

A Rouen, les énergies renouvelables s'installent sur un HLM

Sur cet immeuble d'un quartier populaire, géré par l'office HLM Rouen Habitat, huit éoliennes de toit sont en phase de test, avec une promesse : produire 20 à 30% de la consommation électrique des parties communes des 84 logements grâce à une énergie verte et (ultra) locale, selon WMR, qui commercialise ces "windbox".On ne voit rien depuis la rue, de ces huit cubes en tôle d'une tonne et six mètres-cube surmontés de panneaux solaires, installés à trente mètres du sol, à la jointure entre la façade et le toit plat de l'immeuble de 10 étages, "parce que c'est là que l'accélération du flux d'air est la plus importante", assure M. Maacha.L'ingénieur explique que "le flux d'air arrive sur la façade du bâtiment, est contraint de remonter jusqu'au toit, le vent horizontal qui souffle au sommet le guide alors vers la windbox pour faire tourner l'éolienne".A savoir un rotor horizontal, avec des pales en aluminium, relié par courroie à un générateur qui produit 1.500 watts. Les deux panneaux solaires sur le toit du cube produisent eux 750 watts, pour une emprise au sol de 4 m2. Multiplié par huit, le dispositif permettrait de produire l'équivalent de 20% à 30% de la consommation annuelle des deux ascenseurs, de l'éclairage et des VMC.C'est en moyenne 14MWh par an, "trois fois plus que la même surface occupée uniquement par des panneaux photovoltaïques", selon Yanis Maacha. Mais ces énergies sont intermittentes. "En hiver, les panneaux cessent de produire à 17h", reconnaît l'ingénieur. Toit platLes éoliennes produisent en moyenne 15 à 25% de leur capacité maximale (facteur de charge) et "quand elles produisent, le compteur de l'immeuble tire moins sur le réseau extérieur", selon lui.Pour pouvoir implanter ses windbox, WMR a un cahier des charges précis: une zone venteuse, la hauteur (8 à 10 mètres en plaine, 20 à 30 en ville), un toit plat pour cumuler vents horizontaux et ascendants, et aucun bâtiment de la même hauteur à moins de 100 mètres.Et une bonne isolation : "la toiture vient d'être refaite, nous avons veillé à l'étanchéité et l'absorption acoustique" du toit, détaille Paul Bernstein, 34 ans, chef de projet exploitation chez Rouen Habitat, le seul risque de nuisance étant les potentielles vibrations qui pourraient se transmettre au bâtiment.La start-up se veut aussi locale: "Toute l'éolienne est sourcée en France et assemblée à Saint-Nazaire, sauf le générateur, la Chine ayant le monopole des aimants permanents, les panneaux solaires viennent de Lituanie", précise M. Maacha.Fondée avec un ami rencontré à l'école des Ponts et Chaussées, sa start-up parisienne est arrivée à Rouen après une rencontre fortuite entre son associé et le maire de la ville, Nicolas Mayer-Rossignol, également à la tête de la métropole, et de Rouen Habitat, qui a supporté le coût total de l'opération de 53.000 euros."C'est extrêmement important comme projet, très innovant et je crois, unique en France", a déclaré le maire à l'AFP."Nous cherchions des moyens de faire baisser les factures d'électricité avec des énergies renouvelables", se remémore l'élu, qui entend "répondre aux enjeux +fin du monde+ et +fin du mois+" avec ce projet "bon pour l'écologie et pour le pouvoir d'achat des locataires".Installées depuis novembre 2022, les windbox restent en test pendant un an, en cas de succès, quatre nouveaux bâtiments potentiels aux alentours sont sur la liste d'attente pour produire leur propre énergie renouvelable.