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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 100 jours

Action Logement conclut une année "difficile"... mais "pleine de résultats"

BILAN. L'organisme paritaire a été impacté, comme tous les acteurs du logement, par les événements de 2022. Pour autant, a détaillé Bruno Arcadipane, président du groupe, les résultats sont bons, en termes de livraisons de logements, mais surtout de réhabilitations.
Il y a 2 ans et 100 jours

Apprentissage : les entreprises artisanales attirent toujours plus de jeunes

FORMATION PROFESSIONNELLE. À l'occasion de la Semaine nationale de l'apprentissage dans l'artisanat, le réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat et le Gouvernement dévoilent des nouveaux chiffres qui confirment l'appétence des jeunes pour ces métiers. La relation entre les nouvelles et anciennes générations fait notamment partie de la réflexion menée par les organisations du bâtiment.
Il y a 2 ans et 100 jours

QUINOA devient le groupe EOLIANCE

QUINOA devient le groupe EOLIANCE Chacune des sociétés qui composent le groupe porte une marque forte et une offre de produits primavera ven 03/02/2023 - 11:37 En savoir plus sur QUINOA devient le groupe EOLIANCE Partager
Il y a 2 ans et 100 jours

Nouveau nom et nouvelle identité visuelle, le groupe QUINOA devient le groupe EOLIANCE 

Depuis 2010, le groupe QUINOA s’est construit par l’union de sociétés ayant des savoir-faire uniques dans les métiers de la ventilation et du traitement de l’air.Chacune des sociétés qui composent le groupe porte une marque forte et une offre de produits complémentaires, ce qui a permis au groupe QUINOA de s’imposer comme un acteur majeur sur le marché. Il propose aujourd’hui une large gamme de solutions : centrales de traitement de l’air (Hydronic), protection incendie, grilles et brise-soleil (Panol), VMC résidentielles et accessoires (Autogyre et Eoliance Habitat) et réseaux aérauliques (Sotis). Le groupe intervient sur l’ensemble des segments du marché : maisons individuelles, habitat collectif, bâtiments tertiaires et bâtiments industriels.  Fort de cette large expertise dans le domaine du traitement de l’air, le groupe change de nom et devient EOLIANCE. Cette nouvelle appellation du spécialiste de l’air intérieur est assortie d’une nouvelle baseline « Penser l’air autrement ». Une alliance de compétences pour apporter une offre globale de solutions La raison d’être du groupe EOLIANCE est de contribuer au confort et à la santé des occupants dans leurs lieux de vie, et d’améliorer la qualité de l’air des bâtiments tout en réduisant leur consommation d’énergie et leur empreinte carbone.  Stéphane Nicoli Président du groupe EOLIANCE « La mission que nous nous sommes donnée, depuis 3 ans, a été de construire des produits et des services innovants qui feront, demain, la différence sur le marché. Nous sommes une communauté d’entrepreneurs solidaires aux savoir-faire incontestables, une alliance de professionnels experts des métiers du traitement de l’air aussi bien en termes de conception, de fabrication, que de pose des produits. Notre nouveau nom, EOLIANCE, incarne parfaitement les valeurs et l’identité de notre groupe. Notre nouvelle base-line, “Penser l’air autrement“, exprime notre volonté d’innover et d’apporter à nos clients des solutions d’avant-garde.»Le nouveau nom, EOLIANCE, marque à la fois le métier du groupe positionné dans le domaine de la Qualité de l’Air Intérieur, mais aussi sa volonté de tisser des alliances solides avec l’ensemble de ses clients, les installateurs en génie climatique et la distribution grand public et professionnelle. Il incarne la dynamique dans laquelle le groupe est résolument engagé, celle d’un acteur de premier rang aux compétences uniques sur son marché et qui, à travers ses solutions, met tout en œuvre pour réduire les émissions de CO2 et les consommations électriques, et contribuer à faire du bâtiment un secteur exemplaire en matière d’économie d’énergie et de confort pour les occupants. Stéphane Nicoli « .Aujourd’hui est une étape importante dans la vie de notre groupe : un nouveau nom et de nouvelles offres pour porter plus haut nos ambitions, nos valeurs et le savoir-faire de nos équipes.» www.eoliance.com
Il y a 2 ans et 100 jours

La lumière retrouvée des vitraux de la Basilique de Saint-Denis

L'heure de la renaissance pour cette vaste église située aux portes de Paris ? Restée dans l'ombre de Notre-Dame, la nécropole des rois de France - elle abrite les dépouilles de 43 d'entre eux - fait l'objet, depuis plusieurs années, d'importants travaux de rénovation.Depuis un an, les vitraux du déambulatoire sont l'objet de toutes les attentions. Ce chantier de plus de 2 millions d'euros a mis près de 25 ans à se concrétiser."Le temps du patrimoine est un temps long", souligne auprès de l'AFP Laurent Roturier, directeur de la DRAC d'Île-de-France, en charge du projet.Sur un plancher provisoire qui permet d'accéder aux voûtes de la basilique, classée parmi les monuments historiques en 1862, M. Roturier contemple la pose de plusieurs vitraux."On est au bout du chemin", glisse dans un sourire Guillaume Urvoas, vitrailliste. Un chemin long et fastidieux débuté en 1997.C'est à cette date que les plus anciens vitraux de la basilique sont mis à l'abri au laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH). Datant de la moitié du XIIe siècle, ils constituent un jalon de l'histoire du vitrail, ce qui les rend exceptionnels.Copies parfaitesAbîmés par le temps, usés par les intempéries, ces vitraux sont donc retirés. A leur place, des fac-similés en polycarbonate sont installés.S'ouvre alors un débat qui durera plusieurs années: faut-il les restaurer pour les réinstaller ou créer de parfaites copies ?C'est la deuxième option qui a été choisie par les experts. Au total, ce sont près d'une vingtaine de copies qui ont été réalisées.Un projet titanesque qui a commencé par un travail de recherche et documentation sur ces vitraux. Car, rappelle l'architecte du patrimoine Thomas Clouet, ils ont été démontés au moment de la Révolution française.S'ils n'ont pas été vandalisés, reste que certains morceaux ont été dispersés. "Il y a eu un travail de veille pour les retrouver, reconstituer leur histoire, leur parcours afin de pouvoir ensuite passer à la phase copie", détaille Laurent Roturier."On est sur un travail d'une précision folle. Tantôt sur la palette des couleurs ou la composition. C'est quelque chose qu'on ne fait qu'une fois dans une vie", assure le maitre-verrier Emmanuel Putanier, également directeur de l'entreprise Vitrail France."Notre cahier des charges était lourd. Comme on ne pouvait pas sortir les originaux du laboratoire, on a mis en place un mode opératoire pour faire des relevés directement sur place", poursuit-il.Surtout, il a fallu veiller à l'harmonie de l'ensemble: au cours des siècles, la basilique a fait l'objet de vagues successives de travaux. "On a pris en compte l'altération du temps dans les copies. Il ne fallait pas qu'ils paraissent neufs ou modernes", dit Emmanuel Putanier.Les pièces sont ensuite intégrées dans des verrières qui datent pour la plupart du XIXe siècle."Le plus important pour nous était de retrouver ce rapport à la lumière car c'est là l'esprit qui a présidé à l'édification de cette basilique, comme l'ont voulu ses fondateurs", insiste Laurent Roturier.D'autres travaux de rénovation sont en cours, notamment sur les tabernacles, dans cette basilique visitée chaque année par plus de 130.000 personnes.
Il y a 2 ans et 100 jours

Programme PROFEEL : RESTORE poursuit la démarche RENOSTANDARD, pour une rénovation globale et performante de la maison individuelle

Après 3 années de travaux, le projet RENOSTANDARD, porté par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), se poursuit et devient RESTORE dans le cadre de la 2e phase du programme PROFEEL. Projet ambitieux, il a pour objectif de tester, développer et enrichir des solutions techniques intégrées, innovantes et réplicables pour faciliter le déploiement […]
Cimbat
Il y a 2 ans et 100 jours

Opération Dubarry par TAA à Toulouse

Taillandier Architectes Associés (TAA) a réuni pour Carle Promotion deux bâtiments de bureaux pour le lot 1.2a de la Cartoucherie à Toulouse (Haute-Garonne), l’opération Dubarry. Le projet de 9 409 m² (11.7 M€), livré entre novembre 2021 et août 2022, répond à plusieurs idées fortes : créer un épannelage harmonieux des hauteurs tout en générant un […] L’article Opération Dubarry par TAA à Toulouse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 100 jours

Du polystyrène dans le béton

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Réalisation d’une chape en béton allégée. [©Edilteco] On ne le sait pas toujours, mais le styrène est un résidu de raffinage du pétrole. Il donne naissance au polystyrène par polymérisation et peut être expansé à la vapeur d’eau dans un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 100 jours

Pour les justificatifs de charges, il faut aller chez le syndic

Il n'est pas obligé d'expédier ces documents par voie postale, même aux frais du copropriétaire qui les demande, a précisé la Cour de cassation.Les juges ont donc rejeté la demande d'un copropriétaire qui réclamait des indemnités à son syndic parce qu'il avait refusé de lui envoyer ces justificatifs, entre la convocation et la tenue de l'assemblée générale.Le décret de 1967, pris pour l'application de la loi de 1965 qui réglemente la vie en copropriété, indique que le syndic "remet au copropriétaire qui en fait la demande, aux frais de ce dernier, copie des pièces justificatives des charges", mais il indique aussi dans un autre article que le syndic "fixe le lieu de la consultation des pièces (...) soit à son siège, soit au lieu où il assure habituellement l'accueil des copropriétaires".Contrairement à ce que soutenait ce copropriétaire, la Cour a jugé que l'obligation de remettre des copies de pièces justificatives n'incluait pas l'obligation de les envoyer.(Cass. Civ 3, 9.2.2022, E 21-11.197).
Il y a 2 ans et 100 jours

Le Solo Show de Chris Morin-Eitner à la Galerie W

A la Galerie W (Paris IIIe), pour son Solo Show, le photographe bien connu des lecteurs de Chroniques, Chris Morin-Eitner rêve d’un futur où la nature reprend sa place dans la ville. Jusqu’au 4 mars 2023. « A l’aube du XXIe siècle, à la suite d’événements de nature inconnue, l’humanité quitte les grandes capitales, pour laisser […] L’article Le Solo Show de Chris Morin-Eitner à la Galerie W est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 100 jours

France 2030 veut booster l'industrie du bois pour la construction

Plusieurs dispositifs de soutien à la filière forêt/bois ont été lancés vendredi 3 février dont un pour l'« Industrialisation de...-Industrie
Il y a 2 ans et 100 jours

Alkern : Le miscanthus, granulat alternatif pour bétons

Alkern va produire des blocs de miscanthus à partir de 2024. [©Alkern] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Le miscanthus est un plante herbacée vivace de la famille des graminées, originaire d’Afrique et d’Asie du sud. Aussi appelée “herbe à éléphant”, elle a la faculté de repousser tous les ans à partir des mêmes racines, sans resemage. Et d’être résistante aux fortes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne chaleur et économe en eau. C’est pourquoi, elle rencontre un intérêt croissant dans nombres de secteurs : agricole, industriel ou de l’énergie. Fin 2017, l’Union européenne a même reconnu les cultures de miscanthus comme pouvant faire partie des surfaces d’intérêt écologique de la politique agricole commune… Ce n’est donc pas par hasard qu’un industriel du béton comme Alkern s’y soit intéressé. « Dès 2012, nous avons co-fondé l’association Biomis G3 pour étudier les possibilités d’usage du miscanthus dans notre secteur d’activité », souligne Christophe Lagrange, directeur “offres” d’Alkern. La démarche s’inscrit aussi dans la politique de l’entreprise, qui vise, comme le rappelle son précepte, à “Innover durablement ensemble”. Une des manières de le faire est de proposer une économie de la ressource pour aller vers des produits différents. A ce titre, le miscanthus constitue une matière première intéressante. Ainsi, à partir du début de l’année 2024, Alkern compte proposer une première gamme de blocs béton allégé à base de miscanthus. « Il s’agira d’un bloc non structurel destiné au remplissage de murs autour d’une ossature porteuse ». Sur le site d’une carrière Lafarge Même si ses dimensions ne sont pas encore calées, ce bloc plein devrait mesurer entre 50 et 50 cm de long, entre 30 et 35 cm de large, pour une hauteur de 20 cm. Il sera aussi rectifié pour permettre une pose à joint mince. Côté liant, les choses sont encore à l’étape de la R&D. « Avec un R de 3 m².K/W, notre bloc offre une belle performance thermique. Il est perspirant et est considéré comme un puits de carbone de par l’utilisation du miscanthus. » Le nouveau bloc doit être produit au sein de l’usine de Bernières-sur-Seine (27), implantée au cœur de la carrière appartenant à Lafarge Granulats. « Nous sommes en train de reconstruire cette usine dans son ensemble car l’ancien bâtiment n’est pas adapté à nos futurs besoins, tant en termes de capacités de production que de taille pour accueillir les nouveaux outils de production », confirme Christophe Lagrange. La proximité de la ressource végétale a aussi dicté le choix de ce site particulier. Enfin l’usine dispose d’un port compatible avec les transports par voie d’eau et il est proches des agglomérations rouennaise et parisienne. Sans compter la présence de collaborateurs qui maîtrise le process industriel du béton.  Pour Alkern, ce bloc biosourcé ne représente qu’une première étape. Même si à date, aucune diversification de l’offre n’est actée, il est évident que l’industriel n’en restera pas là. Et sachant qu’il a la volonté de développer la filière du miscanthus… Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 100 jours

Agresta ou la parole d’un précurseur

Bloc réalisé à partir de granulats de bois Agreslith-C d’Agresta. [©ACPresse] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Ce n’est pas compliqué, le granulat de bois pour béton, Daniel Gaillard en propose depuis 1977, à travers sa société Agresta ! La mixité des matériaux est donc un sujet qu’il Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 100 jours

ABD System

ABD System développe des réservations pour fondations en béton de lin. [©ABD System] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Dans le domaine des fondations spéciales, la réalisation de pieux sécants nécessite, pour commencer, le coulage d’une murette de guide en béton. Celui-ci intègre des réservations circulaires, du même diamètre que la tarière de forage. Aujourd’hui, c’est un cylindre en polystyrène qui Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 100 jours

BePOSITIVE place l’emploi et la formation au coeur de l’édition 2023 !

 Des enjeux forts portés par le 1e Campus BePOSITIVE   La Transition Energétique est en marche ! Boostée par les engagements européens et les réglementations environnementales, elle est plus que jamais au coeur de l’actualité et des enjeux des filières de l’énergie et du bâtiment. Elles vivent aujourd’hui l’émergence de nouveaux marchés et de nouvelles activités […]
Il y a 2 ans et 100 jours

Les produits Ubbink choisis par un auto-constructeur

Pour composer sa toiture, ce propriétaire d’une maison individuelle a demandé au couvreur d’installer un écran de sous-toiture et des terminaux de ventilation selectionnés dans le catalogue Ubbink. À la rigueur technique, s’ajoute l’esthétique. Situé dans l’Aveyron, le village de Seveyrac est à une quarantaine de kilomètres de la ville de Rodez et dispose d’un […]
Il y a 2 ans et 100 jours

Carrojoint Premium de Cegecol® : un nouveau joint de carrelage esthétique et polyvalent

Pour répondre aux attentes des professionnels en quête d'un produit décoratif, à la fois performant sur le plan technique et confortable à l'application, CEGECOL® a développé CARROJOINT PREMIUM.Destiné aux carrelages des sols et des murs, en intérieur et extérieur, ce nouveau joint de carrelage polyvalent, coloré et design, offre également de nouveaux avantages :EsthétiqueSa finition ultra lisse et sa très fine granulométrie (0,3 mm) en font un joint esthétique et décoratif ;Décliné dans 17 couleurs tendance, du blanc, nude, caramel… au charbon, il s'assortit facilement aux carreaux utilisés et s'adapte parfaitement aux tons des pierres naturelles. Confortable a l'applicationSa texture fine et onctueuse le rend facile à appliquer ;Elle permet également un bon remplissage des joints allant de 1 à 10 mm (et de 1 à 5mm pour les pierres naturelles);Enfin, il se nettoie très facilement sur les carreaux sans creuser le joint.Hautement performantPolyvalent : CARROJOINT PREMIUM s'utilise sur sol et mur, aussi bien, en intérieur et extérieur ;Hydrofuge et résistant au gel, ce joint supporte également l'abrasion ;Joint flexible : il est adapté aux supports déformables, aux façades et aux sols chauffants ;Joint rapide : il sèche et se nettoie rapidement dès 15 min, la marche est possible après 3 h, ce qui permet une remise en service des locaux rapide.Caractéristiques pratiques de CARROJOINT PREMIUM Taux de gâchage : 1,4 à 1,45 litres par sac de 5kg Consommation : 0,3 à 3 kg/m2 Conditionnement : sac alu de 5kg, avec une visualisation de la couleur du joint sur l'emballage Conservation : 18 mois À très faible émission de C.O.V. (composés organiques volatils) : classée A+ et EC1PLUS Disponible en 17 coloris : blanc, coton, argent, cendre, ivoire, nude, caramel, travertin, dune, grège, châtaigne, chocolat, béton, platinium, ardoise, graphite, charbon.
Il y a 2 ans et 100 jours

La recherche révèle la raison de la longévité du béton romain

L’origine de la durabilité des édifices romains antiques vient d’être révélée dans une étude qui a fait l’objet d’une publication. Les capacités auto-cicatrisantes du  béton romain semblent en être la raison. Explications.    Si cette étude a été largement relayée par les média français, il nous semblait important de la graver dans le marbre béton, pour qu’elle […]
GDA
Il y a 2 ans et 100 jours

Travaux publics : la voie ferrée devient verte

Pour aménager une ligne de train en un parcours dédié aux modes doux, il a fallu s'adapter à un relief...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 100 jours

Haute-Garonne : la construction neuve s'effondre

...-Immobilier
Il y a 2 ans et 100 jours

Béziers : clap de fin pour les industries médiatiques ?

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 100 jours

Bègles : l'EPA veut construire une ville résiliente

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 100 jours

Alpes-Maritimes : la vallée de la Roya bientôt reconstruite

...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 100 jours

plafonds demontables decouvrez le mag inspiration danoline

Knauf Danoline c’est une gamme de plafonds acoustiques et esthétiques bénéficiant de la technologie « air sain » Cleaneo.
Il y a 2 ans et 100 jours

Dans les corons de l'ex-bassin minier, la rénovation thermique "change la vie"

Une brume glacée baigne Bully-les-Mines, commune du Pas-de-Calais entourée de terrils. Attablée dans sa cuisine, Sylviane Niebojewski, 60 ans, caresse du regard sa vieille maison de mineurs, depuis peu "remise à neuf".Habitante de la cité "depuis toujours", elle y a connu les corons "sans salle de bains, ni chauffage central", longtemps chauffés au charbon. Puis ce pavillon autrefois "difficile à chauffer"."On avait un tout petit radiateur dans la cuisine, rien dans la salle de bains, un immense couloir glacé. L'hiver on était gelés, même en poussant le chauffage à 22-23°C. J'allumais aussi un poêle à pétrole", se remémore-t-elle. Depuis 2021, et la réhabilitation menée par le bailleur Maisons et Cités, "avec le thermostat à 19°C, on a chaud, notre consommation de gaz a baissé de 40%", se réjouit-elle.Cela représente "une économie de 50 euros mensuels, vraiment bienvenue", pour un couple aux ressources d'environ 1.100 euros, permettant de "partir un peu plus en vacances" ou s'offrir quelques loisirs.Le chantier l'a contrainte à déménager six mois dans une maison voisine, comme la majorité des locataires de cette cité centenaire, rénovée dans le cadre de l'engagement pour le renouveau du bassin minier (ERBM).Passoires thermiquesInitiée en 2017, cette politique prévoit la rénovation de 23.000 passoires thermiques sur dix ans, accompagnée d'une "requalification" de l'espace public, et d'actions pour l'emploi. Elle vise à réparer ce territoire d'1,2 million d'habitants, aux taux de pauvreté record et corons vétustes, même si partiellement classés au patrimoine mondial de l'Unesco.Estimée à 2 milliards d'euros, la réhabilitation thermique est financée par deux bailleurs sociaux, largement subventionnés, notamment par l'Etat (100 millions), la Région (30 millions) ou les intercommunalités (70-80 millions)."Nous emmenons des maisons classées E, F, G, vers une étiquette C ou BBC (bâtiment basse consommation)", résume Jean-François Campion, directeur général de Maisons et cités, gestionnaire de 90% des logements.Chaque logement est "refait du sol au plafond": les murs, curés, sont garnis d'un isolant de 12 cm, les revêtements, portes et fenêtres remplacés, des cloisons abattues. Le loyer "peut légèrement évoluer", d'une vingtaine d'euros pour un loyer de 400.L'ERBM a permis de doubler le rythme des rénovations, "prioriser les cités les plus fragiles", et "aller plus loin sur le bouquet de travaux", salue Marie Cornillon, directrice générale adjointe du second bailleur, SIA Habitat.Un projet précurseur: la loi "Climat et Résilience", votée en 2021, interdira de louer des logements classés G dès 2025, et F en 2028. En France, 5,2 millions de résidences principales étaient en 2022 des "passoires énergétiques", selon l'Observatoire national de la rénovation énergétique. Le parc social reste le mieux loti: 9,5 % d'étiquettes F/G, contre 18,8% pour le privé."Urgence à agir"Dans l'ex-bassin minier, à mi-parcours, fin 2022, environ 7.000 logements miniers étaient réhabilités, et plus de la moitié des chantiers lancés, selon plusieurs sources.Bailleurs et élus reconnaissent un "léger retard", lié à la crise sanitaire ou aux "tensions" sur les métiers de la construction.Mais "les engagements seront tenus", promet le préfet des Hauts-de-France, Georges-François Leclerc, qui pointe "l'urgence à agir", pour "soutenir" les ménages, "maintenir" ce patrimoine unique, et "répondre aux enjeux écologiques".De Béthune à Valenciennes, les habitants interrogés par l'AFP saluent majoritairement le travail mené. Comme Claudie Trifi, 58 ans, heureuse d'être débarrassée de ses vieux châssis abîmés, ou de sa toiture nue, "sans rien entre le plafond et les tuiles".C'est "beaucoup plus confortable, économe, moderne", se réjouit aussi Christelle Cauvez, 49 ans, fille de mineurs.Partout, des façades vermillon éclatantes et jardinets clôturés tranchent avec les briques fanées des maisons voisines.Ceux qui attendent leur tour sont souvent impatients. "Rénover? Il serait temps! L'été, on vit dans un four. L'hiver, je dors en pull", lâche à Lens Emilia Lequien, 41 ans. Elle craint "l'explosion des prix" du gaz, elle qui "y laisse déjà 2.500 euros" annuels."Amortisseur"Avec l'isolement par l'intérieur, imposé par le classement Unesco, "c'est plus petit, les meubles ne rentrent plus", regrette toutefois, dans une rue voisine, Micheline Fruchart, 75 ans.Quelques rares habitants déplorent eux des "malfaçons", essentiellement dans les premières cités rénovées. Président d'un collectif d'habitants à Hornaing, Jacky Saraïs a du "se battre" avec habitants et élus, pour faire réparer les défauts d'une cinquantaine de logements."On a essuyé les plâtres", mais les problèmes sont "quasiment résolus", tranche le maire Frédéric Delannoy, président de la communauté de communes du coeur d'Ostrevent.En s'attaquant "vite et fort" aux cités les "plus dégradées, reléguées", cette politique lutte contre "le sentiment d'abandon" éprouvé localement, salue son homologue de la porte du Hainaut, Aymeric Robin.Même si, avec la crise énergétique, "le gain de pouvoir d'achat attendu se transforme en amortisseur".Béton de chanvre, laine de bois: les bailleurs ont aussi "expérimenté" des matériaux biosourcés. Mais seulement sur une "fraction" des volumes. Un regret pour M. Robin: "on aurait pu aller plus loin" trouver des "process innovants, écologiques" et "duplicables rapidement".
Il y a 2 ans et 100 jours

chauffage d appoint dans une salle de bain comment choisir le meilleur equipement

Le sèche-serviettes électrique reste le chauffage d'appoint le plus adapté dans une salle de bains. Son prix varie entre 50 € et 150 €.
Il y a 2 ans et 100 jours

deces de deux ouvriers sur un chantier a epinay des peines de prison requises

Des peines de prison ont été requises ce mercredi à l’encontre de neuf prévenus, jugés pour homicide involontaire et travail dissimulé. Deux ouvriers sans papiers avaient chuté d'une dizaine de mètres en 2019 sur un chantier, à Épinay-sur-Seine (93).
Il y a 2 ans et 100 jours

A Saint-Ouen, une rénovation urbaine à plusieurs millions d'euros suscite des questions

Sous un ciel gris, les barres d'immeubles HLM rose défraîchi du Vieux Saint-Ouen voient défiler à leurs pieds un aréopage en costume."Là, c'était mon école !", indique fièrement le maire (PS) Karim Bouamrane à Catherine Vautrin, la présidente de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), avant de la mener vers la Seine, à deux pas.La promenade préfigurait la signature mardi après-midi d'une convention pour métamorphoser deux quartiers dégradés, le Vieux Saint-Ouen et la cité Cordon-La Motte-Taupin.En décrochant une enveloppe de l'ANRU à 100 millions d'euros, la Ville a bouclé ce projet de plus de 350 millions d'euros. Une première pour cette commune populaire d'environ 50.000 habitants aux portes nord de Paris.Quelque 500 logements seront détruits et environ 1.200 autres réhabilités, de nouveaux bâtiments sortiront de terre, les espaces publics seront repensés et végétalisés, avance la municipalité."Nous on met le paquet sur le beau, c'est la réhabilitation par le beau", s'extasie M. Bouamrane.L'opération vise aussi à instiller davantage de mixité là où le taux de logement social grimpe jusqu'à 80%."L'objectif c'est de redescendre un petit peu le nombre de logements sociaux mais d'avoir aussi une mixité. Ce qui va être reconstruit à la place, c'est souvent des logements dédiés aux salariés, les catégories socio-professionnelles intermédiaires, infirmiers, enseignants", détaille Adel Ziane, adjoint délégué à l'aménagement.Ces mutations s'inscrivent dans une montée en gamme de la ville, sous la pression de l'immobilier parisien."Sacrifiés"La majorité des habitants concernés vivent ici depuis plus de dix ans, selon les chiffres de la ville. Pour certains d'entre eux, rencontrés par l'AFP, un futur déménagement suscite l'inquiétude, voire le rejet."J'aime le quartier et je ne veux pas déménager ça c'est sûr", confie Maryam Niane, 68 ans.Son immeuble, au numéro 5 des tours Taupin, doit être rasé. Ses 16 logements lumineux, ses parties communes propres et sa vue dégagée sur la tour Eiffel lui confèrent pourtant un meilleur statut que son voisin, le numéro 4 à l'allure fatiguée, avec ses guetteurs dans le hall. Lui sera simplement rénové. Par sa localisation, le numéro 5 "crée une espèce d'enclave où le trafic de drogue peut se déployer", explique M. Ziane. L'idée est d'ouvrir cette cité aux allures de "souricière" pour faciliter les interventions policières, affirme-t-il."On a tout à y perdre", estime au contraire Djaouiba Mazef, enseignante, qui vit dans un 76 m2 avec ses filles. "Je n'accepte pas que pour des raisons de désenclavement et de trafic on fasse tomber un immeuble."Les habitants ont découvert par hasard le sort réservé à leur bâtiment alors que d'autres options existent, soutient Mme Mazef, qui dénonce une absence de concertation et une opération foncière visant à "gentrifier de plus en plus" à l'approche des Jeux olympiques de Paris 2024.A ses yeux, les habitants de son immeuble sont "sacrifiés sur l'autel des intérêts financiers", avec "le consentement de l'Etat".La Ville a promis le "relogement sans exception de toutes les personnes concernées à Saint-Ouen et ce sans augmentation de loyer", notamment aux docks et dans les futurs logements du Village des athlètes des JO.A ce stade des négociations prévues sur plusieurs années, "une trentaine de relogements ont été effectués", comptabilise M. Ziane, plébiscitant "un travail d'accompagnement".Mais les opposants craignent d'être relégués dans des logements plus petits, aux charges plus importantes et excentrés."Ils veulent faire un truc beau et joli, mais pas pour nous. Nous on dégage", lance de son côté Leïla, assistante maternelle. Un voisin âgé, qui refuse de donner son nom, conclut la conversation: "s'ils détruisent le bâtiment, ce sera avec moi dedans !"
Il y a 2 ans et 100 jours

transformation de bureaux en logements la banque de france sceptique

La transformation de bureaux vacants en logements pourrait être une solution qui répond à la pénurie de logements. Toutefois, selon une étude de la Banque de France parue ce jeudi, cette conversion devrait rester rare.
Il y a 2 ans et 100 jours

deces de deux ouvriers sur un chantier a epinay des peines de prisons requises

Des peines de prison ont été requises ce mercredi à l’encontre de neuf prévenus, jugés pour homicide involontaire et travail dissimulé. Deux ouvriers sans papiers avaient chuté d'une dizaine de mètres en 2019 sur un chantier, à Épinay-sur-Seine (93).
Il y a 2 ans et 100 jours

maison individuelle et zan quels compromis possibles

La Fabrique de la Cité vient de publier une nouvelle note, s’intéressant cette fois-ci sur la compatibilité entre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) des Sols et la construction de maisons individuelles. L’objectif : trouver des pistes pour concilier ces deux idéaux à l’avenir.
Il y a 2 ans et 100 jours

Un premier site industriel en Inde pour le groupe Atlantic

IMPLANTATION INDUSTRIELLE. Le groupe Atlantic, spécialiste du génie climatique, va disposer d'une usine en Inde grâce à un joint-venture créée avec son partenaire Hindware Home Innovation Limited.
Il y a 2 ans et 100 jours

Rentrée reportée pour une école d'architecture de Normandie, qui manque de moyens

ÉDUCATION. Cri de désespoir de la part d'une école nationale d'architecture, qui souffre d'un manque de personnel et se trouve en déficit budgétaire. Elle déplore le manque d'écoute et d'aides de la part de l'État.
Il y a 2 ans et 100 jours

Renouvelables : un plan d'actions pour doubler les installations de Pac géothermiques

ÉNERGIE. Le Gouvernement vient d'annoncer une quinzaine de mesures visant à faciliter le déploiement de la géothermie, notamment en aidant les ménages à s'équiper de pompes à chaleur. Les professionnels de la chaleur et du froid renouvelables s'en félicitent.
Il y a 2 ans et 100 jours

pompe a chaleur geothermique un coup de pouce revalorise a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que le coup de pouce pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 100 jours

Hausse du prix de l'énergie, baisse des aides pour isoler : Effy dénonce une "incohérence"

ISOLATION. La société Effy regrette la baisse de certaines aides à l'isolation, et invite l'État à davantage favoriser les travaux de rénovation énergétique efficaces.
Il y a 2 ans et 100 jours

pompe a chaleur geothermique l aide maprimerenov augmentee a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 100 jours

Le ciment décarboné d'Hoffmann Green Cement distribué en négoces

DISTRIBUTION. Hoffmann Green Cement Technologies a tissé un partenariat avec un acteur du négoce afin de pouvoir distribuer ses sacs de ciment décarboné H-Iona et les rendre ainsi accessibles aux artisans et au grand public.
Il y a 2 ans et 100 jours

France Hydrogene lance le premier baromètre annuel du déploiement de l'hydrogène en France

Ces chiffres clés seront enrichis de nouvelles données chaque année.EmploiLa filière hydrogène française représente en 2022 5.800 emplois directs, soit 1.300 de plus qu’en 2021.Le développement de la filière est tel que des tensions dans le recrutement se font déjà sentir. France Hydrogène a engagé dans ce sens un travail structurant depuis 2021 sur les sujets compétences-métiers-formations, avec la publication d’un référentiel des métiers des compétences, et a noué plusieurs partenariats, notamment avec Adecco et l’Afpa.Usines19 usines sont actuellement en activité. Ces usines fabriquent des équipements clés tels qu’identifiés par la Stratégie nationale hydrogène : des électrolyseurs, des piles, des stations de recharge, des réservoirs ou des véhicules. De nombreuses autres usines font partie intégrante de la chaine de valeur, par exemple les fournisseurs de composants.Capacité d'électrolyseLa capacité d’électrolyse en 2022 est de 13 MW. Les capacités d’électrolyse correspondent aux capacités des stations de recharge avec production d’hydrogène sur site (comme à Pau, Houdain, Auxerre ou encore St Cloud) mais également au site dédié de production de Lhyfe en Vendée.Station de recharge58 stations sont ouvertes à date, 225 sont en projet à 2025 et 1.000 à l’horizon 2030. Optimiser le déploiement de l’infrastructure pour accélérer sur la mobilité hydrogène est une des grandes priorités d’action.Véhicules33 bus sont en circulation (à noter que plus de 700 sont en commande par des collectivités), 550 véhicules légers, 3 camions (des camions arrivent sur le marché en retrofit)… mais aussi des chariots élévateurs présents de longue date dans les entrepôts, et des vélos sur les routes.Concernant les usages dits « stationnaires », ils sont aujourd’hui principalement constitués par des groupes électrogènes à hydrogène.
Il y a 2 ans et 100 jours

L'agence nationale de la cohésion des territoires, trop loin du terrain, déplore un rapport

Plus de la moitié des élus interrogés ignorent toujours l'existence de cet établissement public de 344 agents, d'un budget annuel de 60...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 100 jours

Urgence climatique : comment réduire efficacement son empreinte carbone ?

La transition environnementale concerne l’ensemble de l’humanité où il devient impératif de modifier ses modes de consommation pour réduire sa facture carbone. Si le Ministère de la Transition écologique estimait à 9t/CO2e/Français/an, il s’avère que ces calculs officiels n’incluaient pas les émissions liées à la déforestation, à certains GES comme les HFC, PFC et SF6, ainsi que la vapeur d’eau des traînées de condensation des avions.S’appuyant sur les données de l’ADEME confirmées par Carbone 4, Greenly a analysé les 3 scopes (concernant les émissions directes et indirectes) des Français, portant celles-ci plutôt à 9,9t/CO2e/Français/an, soit près d'une tonne de plus : il faudrait 2,9 Terres si toute l’humanité consommait comme la France, et le 5 mai 2022, la France a consommé ce que la Terre met un an à produire. A titre de comparaison, c’est 9 Terres pour le Qatar, 8,2 pour le Luxembourg et 5,1 pour les Etats-Unis. A l’échelle individuelle, les postes les plus émetteurs concernent le transport, l’alimentation, les achats de biens et services.Réduire les cinq cavaliers du changement climatiqueChaque Français peut contribuer à réduire son empreinte carbone de 28% en appliquant des gestes du quotidien dans les postes les plus émetteurs. Pour ce faire, il suffit de repenser sa consommation pour viser le bas carbone.Le transport : c’est 2,6 tCO2e par habitant, la voiture individuelle représente près des trois quarts des émissions liées au transport, suivi de l’avion. L’alternative la plus efficace est de privilégier les transports à mobilité douce comme le vélo pour les courtes distances (-0,32 tCO2e) ou encore les transports en commun qui émettent 98% de moins que la voiture pour un trajet équivalent. Le covoiturage, grâce au taux d’occupation, permet de réduire 0,27 tCO2e/personne.an, que le trajet soit court ou long. Pour les voyages, privilégier le train à l’avion réduit de 0,27 tCO2e l’empreinte carbone. Le train permet d’épargner 99% des émissions de CO2 par rapport à un trajet équivalent en avion et en voiture.L’alimentation : Avec ses 2,3 tCO2e par habitant, l’alimentation est le deuxième poste le plus émetteur. En tête de liste, la consommation de viande représente près de la moitié, soit 0,92 tCO2e, suivi des produits laitiers et de la volaille (0,39 tCO2e), des fruits et légumes (0,24 tCO2e) et de la pêche (0,12 tCO2e). L’adoption à un régime entièrement végétarien permettrait de réduire d’une tonne l’émission carbone. La consommation de produits locaux a également un impact positif puisqu'elle réduit l'empreinte carbone de 0,17 tCO2e.Le logement : La consommation d’énergie fossile (gaz et fioul), que ce soit pour s’éclairer ou chauffer son logement, représente 1,9 tCO2e/habitant.an. Les émissions liées à la construction et à la gestion des déchets n'y contribuent que dans une faible mesure. En maintenant la température de son domicile à 19°, c’est 0,16 tCO2e d’épargner. Il en va de même en s’équipant d’un éclairage LED pour économiser 0,02 tCO2e.Les biens et services : émettant 1,6 tCO2e, il est possible de réduire cette empreinte en achetant 3 fois moins de vêtements neufs (-0,22 tCO2e) et tout son électroménager et high-tech d’occasion (-0,16 tCO2e), ainsi qu’en adoptant un comportement de zéro déchet grâce au vrac proposé dans plusieurs enseignes et en ayant une gourde pour limiter les bouteilles en plastique (-0,09 tCO2e). D’autres leviers sont activables pour réduire des postes comme la banque en privilégiant les investissements responsables, ou encore de préférer des loisirs plus vertueux.Les services publics : L’empreinte carbone de ce poste est estimée à 1,4 tCO2e par habitant. En raison de l'incapacité relative des individus à agir directement sur ces émissions, elles sont considérées comme des émissions "incompressibles".Pour Tommy Catherine, expert de la méthodologie carbone chez Greenly : « S'il est vrai que les actions individuelles jouent un rôle dans la réduction de notre empreinte carbone, cette étude met en lumière les facteurs systémiques qui contribuent à notre empreinte carbone et qui sont restés longtemps inaperçus. L’action collective à grande échelle est donc nécessaire et cela inclut la décarbonation des entreprises industrielles et agricoles, ainsi que de l'État. Et c’est possible comme l’a démontré une récente observation du trou de la couche d’ozone qui poursuit sa reconstitution depuis l’interdiction de certains gaz. »