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Il y a 2 ans et 105 jours

Schöck lance une saga vidéo à destination du grand public

Le deuxième volet de la sage vidéo de Schöck se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. [©Schöck] Fervent défenseur de l’homogénéité de l’enveloppe des bâtiments, Schöck met son expertise au service du plus grand nombre. Ceci, à travers une série de vidéos, ludiques et didactiques. Une saga vidéo découpée en 4 saisons et 16 épisodes, en cours de diffusion cette automne sur sa chaîne YouTube. « Il s’agit là-encore pour Schöck d’insuffler une véritable dynamique, afin que les constructions d’aujourd’hui ne soient pas les rénovations de demain », peut-on lire dans le communiqué de la marque. En effet, à l’heure des premières constructions RE 2020 et alors que les prix de l’énergie connaissent une hausse record. Il s’avère primordial de s’interroger sur la manière la plus efficace de s’assurer un habitat confortable, économique et pérenne. Tel est le pitch de la deuxième saison des vidéos lancées par Schöck. Avec trois nouveaux opus : “La grande évasion énergétique”, “Etat des lieux, première partie : ça va chauffer !”, “Etat des lieux, seconde partie : un combat inégal”. Lire aussi : Schöck France obtient une Fdes pour l’ensemble de la gamme Rutherma En direction des locataires et des propriétaires Dans les premiers épisodes, Schöck expliquait en quoi une enveloppe de bâtiment homogène constituait la garantie d’un choix gagnant pour toute la vie du logement. Tant pour le propriétaire que pour l’occupant. La saison 2, elle, détaille les impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Pour Schöck, il s’agit d’insuffler une véritable dynamique en direction des locataires ou des propriétaires. Si la première saison scénarisait notamment la prédilection hexagonale pour l’ITI et donnait le rôle principal aux passoires thermique. Le deuxième volet se consacre aux impacts économiques d’une enveloppe non homogène. Il s’adresse toujours aux particuliers désireux d’acquérir un logement. Tout en sensibilisant aussi associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations, institutionnels comme politiques … 14 % du budget des Français S’appuyant sur le Livre Blanc réalisé par le groupe de travail sur la qualité de l’enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Energivie, en 2018, Schöck rappelle que les dépenses en chauffage représentent 14 % du budget des Français. Or, augmenter le chauffage pour pallier la sensation de froid se révèle tout à fait inutile, si le logement concerné est mal isolé. C’est autant d’argent évaporé que d’énergie s’échappant par les ponts thermiques non traités. Il suffit de comparer la durée de vie de l’enveloppe d’un bâtiment (10 à 20 ans) à celle des équipements (5 à 10 ans). Ainsi que leur maintenance réciproque (décennale versus annuelle) pour comprendre l’intérêt évident d’agir en premier lieu sur la qualité de cette enveloppe. En particulier, par le traitement systématique des ponts thermiques. A la clef : économies d’énergie, réduction de la facture de chauffage, augmentation du pouvoir d’achat des ménages, gain en confort et valorisation du bien immobilier. Découvrez les épisodes de la saison 1  et de la saison 2 sur la chaîne YouTube Schöck France.  Schöck clôture sa saga vidéo par deux dernières saisons des plus captivantes Après avoir mis en exergue les travers (ou limites) de la construction des logements en France et les impacts économiques d’une enveloppe non homogène, ce sont aux conséquences sanitaires que Schöck dédie sa saison 3. Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain. Au rang des remèdes efficaces. Les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE. La saison 4 Enfin, les 4 épisodes de la saison 4 , auxquels se greffent un épilogue , donnent les rôles principaux à la RT 2012 et la RE 2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.   En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50 %). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50 % des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte ! Ainsi, malgré sa conformité à la RT 2012 ou désormais à la RE 2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28 %, ceux de financement 15 % et les charges foncières 11 %, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles-seules près de la moitié du budget (46 %). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine. En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Argan dépasse ses objectifs de croissance en 2022

Son bénéfice net 2022 a fondu à 95,1 millions d'euros contre 668 millions un an plus tôt, mais ce chiffre de 2021, en hausse de 140%, relevait d'une explosion peu représentative car essentiellement due à la revalorisation de ses actifs.Le bénéfice net récurrent, plus représentatif des performances d'une foncière, a augmenté de 6% en 2022 à 119 millions d'euros, dépassant légèrement l'objectif fixé de 118 millions.Quant aux revenus locatifs d'Argan, ils ont grimpé à 166 millions d'euros (+6%), également un peu au-dessus de l'objectif (165 millions).Cette croissance a été portée par la création ou l'acquisition de nouveaux sites, dont l'achat à Renault d'un entrepôt de 153.000 mètres carrés dans l'Yonne."Compte-tenu du retour à 100% du taux d'occupation et d'un marché locatif en situation de sous-offre (vacance à 3,8% en France)", Argan anticipe pour 2023 une hausse de 10% de ses revenus locatifs à 182 millions d'euros et une hausse de 4% de son bénéfice net récurrent, selon le communiqué.Par ailleurs, "face au changement de cycle économique de 2022, qui a entraîné une augmentation brutale des taux d'intérêts", Argan indique qu'il va désormais "ferm(er) le robinet des emprunts" en s'autofinançant.Au total, Argan détient 3,5 millions de mètres carrés valorisés à 4 milliards d'euros. Signe de la bonne santé du marché de l'immobilier logistique, il s'attend à avoir 100% de taux d'occupation au premier trimestre.Ses principaux clients sont des groupes de la grande distribution traditionnelle, en premier lieu Carrefour, suivi par Casino, Auchan, Decathlon et Castorama.Il loue également à des logisticiens (FM, Geodis) et au géant de l'e-commerce Amazon.Le groupe compte verser à ses actionnaires un dividende de 3 euros par action.
Il y a 2 ans et 105 jours

Le groupe Legrand annonce son retrait de Russie, dépréciation de 150 millions d'euros

"Au vu de l'évolution de la situation, et notamment de l'accroissement des difficultés opérationnelles et des incertitudes, Legrand a décidé de se désengager de Russie et examine ses différentes options pour assurer un transfert de ses activités dans les meilleures conditions", a précisé l'industriel dans un communiqué.Legrand a souligné que ses activités en Russie avaient représenté "en 2022 environ 1,5% (de ses) ventes annuelles".Le groupe "considère que ce désengagement constitue la meilleure option afin de poursuivre le respect des réglementations applicables et de préserver à long terme une continuité des activités locales pour ses collaborateurs et ses clients".Quelque 1.100 personnes travaillent pour le groupe en Russie, où Legrand compte quatre usines, selon une porte-parole. L'entreprise fabrique des produits sur place et en importe également.En outre, l'exposition de son bilan à ses activités dans le pays est d'"environ 200 millions d'euros"."Sur ce montant, près de 150 millions d'euros seront enregistrés dans les comptes consolidés 2022 en tant que dépréciation d'actifs, et ce sans impact sur le résultat opérationnel ajusté du Groupe", a-t-il encore indiqué.L'entreprise a engrangé 812 millions d'euros de bénéfice net lors des neuf premiers mois de 2022, en hausse de 16,1% sur un an, pour un chiffre d'affaires de 6,154 milliards (+19,1%). Ses résultats annuels seront publiés le 9 février.Legrand faisait partie des rares entreprises françaises qui avaient poursuivi leurs activités en Russie, frappée par de multiples sanctions européennes après l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022, comme Bonduelle, Leroy Merlin et Auchan (Mulliez), ou encore Lactalis.
Il y a 2 ans et 105 jours

« Le contrat de plan était une réponse à la dispersion des compétences », Alain Rousset, président de la région Nouvelle-Aquitaine

Avec l’arrivée du nouveau préfet Etienne Guyot, l’Etat poursuit la mise en forme du prochain contrat de Plan Etat-région, le CPER...-Entreprises
Il y a 2 ans et 105 jours

Résilience : surmonter les obstacles d’une démarche de transition écologique

Kim Kendall est une psychologue clinicienne américaine à la retraite et une écologiste politique spécialisée dans les obstacles sociaux à l’adoption de modes de vie et de moyens de subsistance durables. Elle est auteure pour le magazine Resilience.org, duquel nous avons traduit cet article.   Vivre et travailler, avoir des modes de vie et des […]
Cimbat
Il y a 2 ans et 105 jours

Le retour scelle l’amitié entre le Cnap et le Mrac

Le retour présente des œuvres du centre national des arts plastiques (Cnap) en dialogue avec la collection du musée régional d’art contemporain Occitanie / Pyrénées-Méditerranée (Mrac) à Sérignan (Hérault). Jusqu’au 29 janvier 2024. Cette exposition de collections est le nouvel épisode d’une série en cours et représente la longue complicité qui lie le Cnap et […] L’article Le retour scelle l’amitié entre le Cnap et le Mrac est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 106 jours

En Slovénie, l’extension de l’hôtel Natura par Enota

Depuis 2020, l’agence d’architecture slovène Enota (Dean Lah et Milan Tomac) planche sur une extension d’hôtel dans la station de ski de Rogla (Slovénie). « Comment aborder une extension qui réside dans l’adjonction d’une moitié d’hôtel ? » interrogent les architectes à propos des 3 500 m² qui doivent voir le jour. Réponse à une date encore non […] L’article En Slovénie, l’extension de l’hôtel Natura par Enota est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 106 jours

Les Franciscaines de Deauville : Esprit-Pop, es-tu là ?

Avec Esprit-Pop, es-tu là ?, le musée des Franciscaines à Deauville (Calvados) propose une réflexion sur les années soixante, années Pop, d’hier à aujourd’hui. Jusqu’au 25 juin 2023. Peu savent qu’Andy Warhol a séjourné quelques jours à Deauville, en septembre 1981 au moment du festival du cinéma américain. Le photographe Steve Wood l’avait lui-même totalement […] L’article Les Franciscaines de Deauville : Esprit-Pop, es-tu là ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 107 jours

A Bagdad l'immobilier flambe, porté aussi par le blanchiment d'argent

Entre planification inadéquate et spéculation alimentée par le blanchiment d'argent dans un des pays les plus corrompus au monde, devenir propriétaire est un rêve qui s'éloigne pour une grande partie de la classe moyenne.Ces dernières années, la métropole de neuf millions d'habitants a retrouvé une stabilité toute relative et des tours rutilantes ont commencé à pousser.Porté par l'explosion de la demande, le prix du mètre carré dépasse dans certains quartiers les 8.000 dollars, quand le salaire médian plafonne aux alentours de 400 ou 500 dollars."Même si votre revenu augmente, ça ne sera jamais à la hauteur des prix exorbitants des maisons ou des terrains", résume Youssef Ahmed, employé dans le secteur des télécoms.Malgré un confortable salaire mensuel de 1.000 dollars, un prêt bancaire ne lui permettrait pas non plus d'acheter pour loger sa femme et leur fils de cinq ans car "les taux d'intérêts sont élevés", entre 5 et 10% actuellement, ajoute l'homme de 29 ans.Et "si on s'éloigne du centre, il y a le problème du transport et même ainsi, les prix ne baissent pas tant que ça"."J'ai beaucoup réfléchi, il n'y a pas de solution", déplore-t-il."Hausse faramineuse"Après l'invasion américaine de 2003 qui renversa Saddam Hussein – et inaugura une période sanglante marquée par la guerre civile et les exactions jihadistes -- particuliers et investisseurs ont souvent préféré un achat immobilier au Kurdistan autonome, dans le Nord, relativement épargné par les violences, voire à l'étranger, souvent en Turquie.Mais Bagdad ayant aujourd'hui retrouvé un semblant de normalité, l'immobilier a la côte.Dans le quartier commerçant de Kerrada, où d'anciennes villas en briques croulantes côtoient des immeubles neufs, le prix du mètre carré, autrefois de "1.200 ou 1.700 dollars, atteint désormais 3.000 dollars", voire parfois 5.000 dollars, indique Samer al-Khafagi, agent immobilier depuis huit ans. "Le marché est en croissance", confirme-t-il, expliquant que depuis un an la tendance s'est accélérée.Même constat dans le quartier de Jadriya, très prisé par la nouvelle élite politique et économique, où le mètre carré se vend à 4.000 dollars, voire 8.000 dollars pour l'usage commercial, selon son confrère Hussein al-Safar qui confirme "une forte demande immobilière" et une "hausse faramineuse des prix".Et le secteur est propice au blanchiment d'argent: un bien immobilier acheté avec des fonds frauduleux peut être ensuite revendu selon un contrat en bonne et due forme, pour ainsi donner un parfum de respectabilité à de l'argent sale.Le système bancaire étant encore très peu développé, seul un Irakien sur dix a un compte bancaire selon la Banque mondiale, "les transactions immobilières se font en liquide", souligne l'économiste Ali al-Rawi. Une manière de "cacher facilement et rapidement l'argent dans des terrains et des immeubles"."Blanchiment d'argent"Un phénomène récemment illustré par un énième scandale de corruption : à l'automne, l'Etat a révélé avoir découvert que 2,5 milliards de dollars avait été volés au fisc et le Premier ministre Mohamed Chia al-Soudani expliquait que la restitution des fonds était compliquée par le fait que l'argent était parti dans "l'achat d'importants biens immobiliers dans des quartiers prestigieux de Bagdad"."Plus d'un milliard de dollars" de cet argent aurait été investi dans "55 propriétés à Bagdad", et un milliard supplémentaire a été converti en "propriétés, terrains et autres actifs", explique Sajad Jiyad du think-tank Century International."L'augmentation des prix de l'immobilier n'est pas liée au marché, elle est liée aux mafias et au blanchiment d'argent", assène sans ambages Mohamed al-Rabie, responsable communication de la mairie de Bagdad. Il reconnaît aussi "la mauvaise planification" des gouvernements précédents concernant "l'investissement dans le logement" et des politiques publiques qui n'ont "rien apporté aux fonctionnaires ou aux pauvres".Le gouvernement de M. Soudani a toutefois récemment souligné sa volonté de faire construire des logements à bas prix, à destination des plus pauvres. En attendant, un million de personnes vivent à Bagdad dans des quartiers informels.Dans la périphérie, les terres agricoles et autres palmeraies luxuriantes qui ont fait la réputation de l'Irak, ont laissé place au béton visiblement plus lucratif que les cultures.
Il y a 2 ans et 107 jours

Des logements avec vue en Bulgarie avec STARH

L’agence bulgare STARH (Svetoslav Stanislavov) a signé en 2022, sur les rives de la mer Noire à Varna (Bulgarie), une opération mixte, à dominante résidentielle de 6 170 m². La parcelle triangulaire d’EOS lui donne toutes ses caractéristiques formelles. Communiqué. La mythologie grecque raconte l’histoire d’EOS, la déesse de l’aube. Chaque matin, elle s’élevait à l’horizon […] L’article Des logements avec vue en Bulgarie avec STARH est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 107 jours

magazine batiweb janvier 2023

REP Bâtiment, réglementation 2023, réforme des retraites... Retrouvez toutes les actualités du mois de Janvier.
Il y a 2 ans et 107 jours

PORCELANOSA fête son 50e anniversaire

PORCELANOSA fête son 50e anniversaire La multinationale castillane célèbre son 50e anniversaire et cette occasion si particulière marquera eredit ven 27/01/2023 - 18:34 En savoir plus sur PORCELANOSA fête son 50e anniversaire Partager
Il y a 2 ans et 107 jours

A Paris, une "forêt urbaine" sortira de terre place du Colonel-Fabien

Promesse d'Anne Hidalgo avant sa réélection en 2020, la création de "forêts urbaines", c'est-à-dire une plantation dense d'arbres et d'arbustes de différentes hauteurs dans un sol continu, s'est heurtée à la réalité du sous-sol déjà très encombré de la capitale.Initialement annoncés, des sites prestigieux comme celui de l'Opéra Garnier ou de la gare de Lyon ont ainsi été écartés pour des raisons techniques, le seul chantier lancé étant celui de la place de la Catalogne (XIVe).Rond-point bruyant, inadaptée aux piétons et aux cyclistes, la place du Colonel-Fabien devrait elle être métamorphosée, avec la plantation en pleine terre de 60 à 80 arbres sur sa partie ouest, libre de tout réseau dans son sol.L'aménagement représente un investissement de 6,4 millions d'euros, en-deçà des deux autres "forêts urbaines" en projet place de la Catalogne (9 millions d'euros) et à Charonne le long de la Petite Ceinture, dans le XXe arrondissement (16 millions d'euros).Ces deux dernières devraient être livrées à l'été 2024 avant les Jeux olympiques.Outre la lutte contre les îlots de chaleur urbain, le projet devrait créer un "corridor de biodiversité". "On a d'un côté le canal Saint-Martin, de l'autre le parc des Buttes Chaumont, avec entre les deux des avenues plus ou moins arborées", a précisé l'adjoint aux Espaces verts Christophe Najdovski. Le réaménagement de la place prévoit également une diminution de 60% des espaces de chaussées, avec une piste cyclable bidirectionnelle qui permettra d'en faire le tour à vélo, et une traversée possible dans le sens nord-sud pour les piétons."Sur le papier, il y a pas mal de choses positives mais la maire avait promis une réalisation en 2020 de projets qui ont depuis été jugés irréalisables", a rappelé Quentin "Divernois" (un semi pseudonyme, ndlr), membre du collectif SaccageParis."L'inquiétude qu'on a, c'est qu'une fois l'inauguration passée, il y ait peu d'entretien, alors qu'on sait que la nature en ville est extrêmement fragile et qu'il manque une cinquantaine de jardiniers à Paris", a-t-il ajouté.
Il y a 2 ans et 107 jours

Artisanat : les perspectives d'activité se dégradent mais l'emploi s'améliore

CONJONCTURE. Le climat des affaires des artisans du bâtiment s'est détérioré au mois de janvier 2023, d'après l'enquête trimestrielle de l'Insee. Les difficultés de recrutement semblent en revanche marquer le pas.
Il y a 2 ans et 107 jours

Recycler et valoriser l’amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems annonce l’achèvement imminent de la construction de son innovant pilote De Dietrich Waste Recycling dédié au traitement des déchets amiantés. Il entrera en phase opérationnelle et neutralisera ses premières fibres d’amiante au premier trimestre 2023. De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d’équipements, de systèmes complets et de solutions […]
Il y a 2 ans et 107 jours

Un fonds vert pour les projets de transition écologique des collectivités

Le Fonds, doté de 3,2 milliards d’euros en 2023 (de l'Etat et de la Banque des Territoires), financera des projets de transition pour les collectivités territoriales, sans appels à projets.
Il y a 2 ans et 107 jours

Perquisitions à la métropole Nice-Côte-d'Azur visant le service des marchés publics

Des perquisitions ont eu lieu "notamment dans les locaux de Nice Métropole, dans le cadre d'une information judiciaire suivie par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco), notamment des chefs de trafic d'influence, escroquerie en bande organisée, abus de biens sociaux et faux et usage de faux depuis novembre 2022", a indiqué jeudi matin le parquet de Paris.Ces perquisitions ont "trait au projet de construction d'un immeuble près de la gare", a précisé une source proche du dossier. Elles concernent l'Iconic, un vaste immeuble de 19.000 m2 en construction près de la gare de Nice, selon une autre source.D'autres perquisitions ont également eu lieu dans la journée "dans les bureaux de trois élus niçois", a indiqué à l'AFP une source porche du dossier. Une source judiciaire a par ailleurs indiqué que des perquisitions avaient également été menées au domicile de quatre personnes - à Paris, dans les Alpes-Maritimes et le Var - ainsi qu'au siège de deux sociétés à Paris et dans les Alpes-Maritimes et dans les locaux régionaux d'une société parisienne, également dans les Alpes-Maritimes. Les opérations dans le Sud étaient terminées en début de soirée selon cette source.Jury du concours "Gare Thiers-Est"Selon des sources concordantes, les trois élus visés par les perquisitions faisaient partie du jury du concours "Gare Thiers-Est", lancé par la métropole de Nice et qui a attribué en 2016 à la Compagnie de Phalsbourg la création d'un ensemble immobilier de près de 19.000 m2, baptisé "Iconic".Interrogée par l'AFP, la Métropole Nice Côte d'Azur a indiqué que "les membres du jury ont donné suite aux demandes formulées par les enquêteurs dans le cadre de leur investigation".Jeudi matin, la métropole avait confirmé qu'une "perquisition (était) en cours dans un bâtiment à l'ouest de la ville qui concernerait le projet Iconic".La ville et la métropole "ignorent tout à ce stade de la procédure sur la nature ou sur la portée des investigations", précisait un communiqué transmis à l'AFP, en soulignant qu'il a été "demandé au directeur général des services de donner suite avec célérité à toutes les demandes formulées par les enquêteurs"."S'il s'avérait qu'un agent public soit mis en cause dans cette procédure, la métropole engagerait alors des mesures de suspension", a encore indiqué la métropole.L'Iconic, ensemble immobilier de 19.000 m2 imaginé par l'architecte américain Daniel Libeskind, comprend un hôtel de prestige, des bureaux et des commerces. Sa construction a pris du retard et la livraison est prévue au printemps 2023.
GDA
Il y a 2 ans et 107 jours

A Saint-Denis, le futur centre aquatique olympique prend forme

CHANTIER EN IMAGES. A Saint-Denis, juste en face du stade de France, le futur centre aquatique olympique prend forme. Le chantier a fait l'objet d'une visite de la part de la Première ministre, Élisabeth Borne, ce 27 janvier 2023.
Il y a 2 ans et 107 jours

les permis de construire en hausse de 3 1 en 2022

Après une fin d’année 2021 et un début 2022 marqués par un rebond des permis de construire, le bilan s’établit à 482 200 autorisations délivrées en 2022, soit +3,1 % par rapport à 2021. Toutefois, la baisse se fait ressentir depuis le mois d’août. Ainsi, les permis de construire enregistrent -30,4 % au dernier trimestre 2022 par rapport au 3 mois précédents.
Il y a 2 ans et 107 jours

des panneaux photovoltaiques sur le toit des usines ursa

L’entreprise URSA s’apprête à installer près de 7 000 panneaux photovoltaïques sur les toits de ses deux usines de Tarragone. La mise en service de ces panneaux est prévue pour le premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 107 jours

travaux publics une aide pour reduire les emissions de co2 liees aux transports

Un nouveau dispositif vient d’être créé. Baptisé ECOTransPort, celui-ci vise à réduire les émissions de CO2 des entreprises de Travaux Publics, et à limiter les polluants atmosphériques liés aux transports du secteur. Il est né d’un partenariat conclu entre la FNTP, l’ADEME et l’AUTF dans le cadre du programme EVE.
Il y a 2 ans et 107 jours

materiaux de construction bercy lance un dispositif d analyse des couts de production

Afin d’accompagner la filière du BTP face à l’augmentation des prix, le Ministre de l’Économie Bruno Le Maire a annoncé l'élaboration d’un dispositif d’analyse des coûts de production des matériaux de construction. Un outil salué par la FFB et la Capeb. Cette dernière appelle néanmoins le gouvernement à la mise en place d’un délai de prévenance minimum d’un mois.
Il y a 2 ans et 107 jours

souchier boullet presente sa box multipack

L'entreprise Souchier-Boullet a présenté sa Box Multipack à l’occasion d’une conférence de presse. Ce nouveau superviseur permet une gestion à distance de la ventilation et du rafraîchissement naturel des bâtiments, et plus globalement la gestion énergétique de ces derniers.
Il y a 2 ans et 107 jours

Vinci et Wilmotte & associés réaliseront l'Hôtel des Polices de Nice

CONTRAT. L'opération vise à réunir en un même lieu les services de police nationale et municipale, au sein d'un ancien hôpital reconverti à cet effet.
Il y a 2 ans et 107 jours

Le Carrefour des Partenaires édition 2023

Le Carrefour des Partenaires édition 2023 Point de rencontres et de négociations entre adhérents et partenaires industriels du groupement andresudrie ven 27/01/2023 - 16:38 En savoir plus sur Le Carrefour des Partenaires édition 2023 Partager
Il y a 2 ans et 107 jours

Pour recruter massivement, K-Line s'affiche en grand sur sa nouvelle usine

INITIATIVE. Le fabricant de fenêtres K-Line a déployé une grande bâche pour attirer des nouveaux profils. Opérateurs, techniciens... De nombreux postes sont à pourvoir immédiatement, notamment à l'occasion de l'ouverture de sa nouvelle usine.
Il y a 2 ans et 107 jours

L'apprentissage, "une assurance contre le chômage des jeunes" selon CMA France

ARTISANAT. Du 27 au 3 février 2023, les centres de formation donnent rendez-vous aux jeunes et à ceux ayant un projet de reconversion professionnelle pour découvrir les métiers de l'artisanat. De nombreux postes sont à pourvoir, notamment dans le BTP qui manque cruellement de main-d'oeuvre.
Il y a 2 ans et 107 jours

Lyon veut relancer la liaison ferroviaire Lyon-Bordeaux

ENTRÉE AU CAPITAL. La Métropole et la Ville de Lyon investissent afin de pouvoir faire revivre la ligne ferroviaire reliant Lyon à Bordeaux en passant par Limoges.
Il y a 2 ans et 107 jours

Transition : "Des changements d'approche structurels" s'imposent, selon Négawatt

FOCUS. Lors de la présentation de ses voeux, l'association est revenue sur les principaux enseignements de l'année écoulée ainsi que sur les enjeux de la nouvelle. Toujours aussi opposés à l'énergie nucléaire, ses membres demandent un soutien public encore plus important aux énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 107 jours

Les professionnels du bâtiment réagissent au lancement d'un outil d'analyse des coûts de production des matériaux

Pour la CAPEBCette annonce va, en effet, permettre de garantir une plus grande transparence sur les hausses de prix pratiquées par les industriels et les distributeurs, en période de forte volatilité des prix. Transparence que la CAPEB a fortement appelé de ses vœux, notamment dans le cadre des 26 propositions qu’elle a portées lors des Assises du bâtiment.Si cet outil va pouvoir alimenter la mission de réflexion lancée par la Commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale sur l'indispensable transparence des prix pratiqués au sein de la filière bâtiment que la CAPEB a obtenu en octobre dernier, il ne répond pas à la demande que l'organisation professionnelle avait formulé concernant la mise en place d’un délai de prévenance minimum d’un mois.En juillet dernier, lorsque la médiation des entreprises avait élaboré une déclaration commune visant à mettre en place une solidarité économique de filière, la CAPEB avait déjà déploré l’absence d’engagement concernant un éventuel délai de prévenance en ne la signant pas.Parce que cet engagement est indispensable pour que les entreprises artisanales du bâtiment ne supportent pas, à elles seules, les augmentations de prix des matériaux et équipements en rognant leurs marges, la CAPEB a entrepris de bâtir un mouvement de solidarité plus ambitieux en appelant les acteurs de la filière à s’engager sur les trois points suivants :informer au préalable leur client des hausses de prixémettre des devis valables au moins un mois (hors produits disponibles)augmenter leur prix seulement le 1er de chaque moisCe mouvement compte à ce jour 40 partenaires qui ont pris conscience de l’intérêt à agir collectivement pour limiter au plus juste l’impact de la hausse du coût des matériaux et préserver ainsi la croissance du secteur.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « L’outil d’analyse des coûts de production des matériaux de construction constitue un premier pas important pour répondre aux préoccupations des entreprises artisanales du bâtiment. Mais si l’objectif de Bruno Le Maire est véritablement de leur apporter davantage de visibilité pour mieux anticiper les augmentations futures, alors nous lui demandons de faire évoluer le texte de la déclaration commune du 11 juillet dernier en y faisant figurer un délai de prévenance d’un mois. Cette solidarité est cruciale dans un contexte où l’année 2023 s’annonce encore plus difficile que 2022. »Pour la FFBLa FFB se félicite de la concrétisation de cet engagement de Bruno Le MAIRE pris lors des 24h du bâtiment en novembre dernier, fruit d’une réflexion initiée au sein du Comité de crise du BTP de la Médiation des entreprises, puis porté lors des Assises du BTP.Placé sous l’égide de l’Insee et construit sur la même logique que les index BT ou TP, l’outil d’analyse des coûts de production des matériaux de construction permettra aux entreprises de bâtiment et à leurs clients de mieux anticiper l’effet sur les prix de ces matériaux des chocs tels ceux subis depuis 2020.Sa pleine réussite implique la participation de l’amont de la filière, industriels et distributeurs. La FFB sait pouvoir compter sur eux, au nom de la solidarité de filière dans un contexte toujours difficile.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Les crises à répétition depuis la pandémie de la Covid-19 ont fragilisé les artisans et entrepreneurs du bâtiment. Il est maintenant indispensable que toute la filière prenne sa part de l’effort, afin d’assurer sa survie. L’outil dévoilé par Bruno Le Maire, qui permettra de mieux anticiper les évolutions de coût de construction, arrive donc à point nommé. »
Il y a 2 ans et 107 jours

Les permis de construire de logements neufs chutent au 4e trimestre, 482.200 autorisations en 2022

Sur l'année 2022, 482.200 nouveaux logements ont été autorisés, soit un peu plus qu'avant la crise sanitaire. Le nombre de permis de construire avait atteint un pic en août, à 522.800.Ce pic n'est pas révélateur d'une frénésie dans la construction, mais fait suite à un afflux de demandes de permis fin 2021, avant l'entrée en vigueur d'une réglementation environnementale (RE2020) plus ambitieuse pour la construction neuve.L'instruction de ces demandes au cours de l'année explique le gonflement des chiffres.Le nombre élevé d'autorisations pendant l'été vient aussi du fait que les communes avaient jusqu'en août pour délivrer les permis de construire des logements éligibles à une aide à la construction durable dans le cadre du plan de relance. "Comme nous le craignions, la demande de logements des particuliers faiblit", a commenté dans un communiqué la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), l'expliquant notamment par les difficultés d'accès au crédit pour les particuliers."La chute des permis de construire au 4e trimestre 2022 n'augure rien de bon pour l'avenir: le secteur de l'immobilier neuf est actuellement durement éprouvé, alors que les ménages ont toujours besoin de se loger", a ajouté le président de la FPI, Pascal Boulanger.Les mises en chantier, dont l'évolution s'est depuis la mi-2021 déconnectée de celle des permis de construire, se sont établies à 376.200 au cours de l'année, soit moins qu'en 2021 ou qu'avant la pandémie.Mais le ministère, qui prévient que ses statistiques en la matière "comportent une part d'incertitude non négligeable", a enregistré un frémissement en décembre.
Il y a 2 ans et 107 jours

L’art et la matière d’Encore Heureux

Celles et ceux qui y étaient ne l’ont pas oubliée.  En mai 2018, le collectif Encore ...More about Cet article L’art et la matière d’Encore Heureux est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 107 jours

À la rencontre de Sylvain Bonnot, Président de Myral

Batinfo : Pour commencer, pouvez-vous revenir rapidement sur l'histoire de Myral ?Sylvain Bonnot : Depuis 36 ans Myral est spécialisé en isolation par l’extérieur. D’abord concentrée sur la pose, l’entreprise s’est ensuite industrialisée pour fabriquer la solution MYRAL optimale.Nous avons donc développé et conçu nos produits pour répondre à toutes les exigences techniques et règlementaires, cela implique des évolutions permanentes car les exigences ne cessent d’évoluer à tous les niveaux.Mais au-delà de s’adapter à toutes les évolutions nous avons pour habitude de les anticiper pour avoir toujours de l’avance.C’est le cas pour l’impact environnemental de nos produits : dès 2015 nous avions déjà notre fiche FDES, qui permet de connaitre le poids CO² de nos produits. A l’époque cette analyse nous a permis d’internaliser la production d’un des composants, ce qui permet de diviser le bilan carbone par deux de ce composant.Or en 2015 il n’y avait pas encore d’obligation règlementaire de limiter l’impact carbone. Mais cette anticipation nous a permis dès l’année dernière de lancer un grand chantier sur la réduction de 63% du poids carbone de nos produits.Batinfo : Qu'en est-il de l'entreprise aujourd'hui ?Sylvain Bonnot : La solution MYRAL passe par l’utilisation massive de matière recyclée pour la fabrication de nos produits. Le but est qu’en 2025 que la majorité des composant soient issus de nos déchets domestiques.Les canettes d’aluminium usagées peuvent par exemple servir pour le parement, les bouteilles plastiques pour l’isolant. Les anciennes menuiseries PVC rentrent également dans la conception de nos produits.Nous transformons des déchets en matériaux qui vont permettre d’économiser du chauffage pour des décennies. Nous considérons que c’est encore mieux que du biosourcé, car nous ne faisons que recycler le contenu de nos poubelles, sans rien prélever dans la nature. Evidemment il reste une part minoritaire de matière neuve, mais comme nous sommes en mesure de traiter les matériaux en fin de vie, cette matière pourra être utiliser au-delà de son cycle de vie.Batinfo : Comment envisagez vous le futur pour Myral ?Sylvain Bonnot : L’entreprise est en perpétuel développement : nous produisons plus de 300.000 m² de matériaux isolant chaque année, et il en faudra bien plus que cela pour les années à venir car le marché de l’ITE est en pleine expansion.Pour assumer ce développement MYRAL doit pousser ses murs. Nos bureaux ont maintenant 25 ans, il est temps de rentrer dans une nouvelle dimension en les modernisant tout en triplant leur surface sur l’année.Nous allons profiter de ce chantier pour mettre en pratique les solutions les plus légères en carbone, ce sera la démonstration de nos savoir-faire et de notre expertise. Il est bien sûr question de récupérer tous les matériaux pour les réutiliser. Ces derniers seront traités de façon à être les plus économiques en carbone, couplés à un mur extérieur destiné à récupérer la chaleur.Ce chantier a donc non seulement une grande portée symbolique mais également une vraie dimension pédagogique. En mettant en œuvre nos solutions bas carbone, ce sera l’occasion pour nous de les exposer en pratique à nos clients et de prouver, s’il en est encore besoin, la pertinence de nos produits et de notre vision. Notre ambition est de proposer le système Vêture le plus abouti du marché et nous sommes impatients de mettre tout cela en pratique !
Il y a 2 ans et 107 jours

Les industriels français impliqués dans le déploiement de solutions de décarbonation

CertiNergy & Solutions, fournisseur d’économies d’énergie du marché B2B, filiale d’ENGIE, présente les résultats de l’étude sur les niveaux de maturité des industriels en matière de décarbonation et les solutions à adopter.Elle nous renseigne notamment sur : Le degré d’avancement des entreprises dans le déploiement de la stratégie bas carboneLes actions mises en œuvre ou envisagées pour parvenir aux objectifs de décarbonationLes industriels français bien engagés dans le processus de décarbonation61% des professionnels interrogés assurent avoir réalisé ou être en cours d’élaboration d’un bilan carbone. Le fait d’appartenir à un Groupe est significatif dans l’engagement dans une démarche de décarbonation puisque 79% des sondés soutiennent que les démarches en matière de décarbonation découlent d’une décision du groupe.Sur les 85% de répondants qui envisagent la mise en place d’actions de décarbonation, 2 tiers y songent sur l’ensemble des sites nationaux.Les moyens d’action pour réduire les émissions de GES et atteindre la neutralité carbonePour les industriels, la décarbonation est principalement liée à la sobriété et à la performance opérationnelle (62%) ainsi qu’à l’amélioration du rendement énergétique des équipements (55%). Cette étude montre donc que l’efficacité énergétique est un pas essentiel vers la réduction de l’empreinte carbone des industriels.D’autres moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre sont : Améliorer le transport de marchandises et la mobilité des salariés Lancer une démarche d’écoconception Changer le mix énergétique ou électrifier les usages Sélectionner un fournisseur plus vert Arrêter les activités plus polluantesInvestir dans des projets de compensation carbone volontaireEngagés dans le processus complet de décarbonation, les industriels instaurent des indicateurs en termes de traçabilité des émissions de CO2, considérés comme fiables par pratiquement tous les professionnels questionnés. L’évaluation des émissions de CO2 s’effectue principalement au niveau de la chaîne de production et des produits fabriqués ou consommés par l’entreprise.Investissements dans la décarbonationLa part des dépenses liées à la décarbonation est jugée importante ou très importante par 2/3 des répondants.Selon 42% des décideurs, le retour sur investissement est attendu en moins de 10 ans voire en moins de 5 ans.Cette étude démontre que les entreprises industrielles sont globalement investies dans l’atteinte de l’objectif neutralité carbone d’ici 2050 et la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 35% d’ici 2030. Parvenir aux objectifs fixés préserve la compétitivité des industriels et devient un critère non négligeable de choix pour leurs clients.Pour Chloé Noual, Directrice Stratégie chez CertiNergy & Solutions : « Cette étude est importante pour comprendre la maturité des industriels sur le sujet et leurs attentes afin de continuer à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Nous pourrons ainsi prendre en compte ces données pour développer notre accompagnement des industriels qui souhaitent décarboner leurs sites. »Pour plus d’information sur l’étude : cliquez ici.
Il y a 2 ans et 107 jours

Les travaux publics, un secteur qui reste résilient

INFOGRAPHIE. Depuis 2020, les entreprises de travaux publics françaises oscillent entre espoirs et coups durs. A l'aube d'une nouvelle année, les incertitudes restent nombreuses. Mais au regard des exercices passés, le secteur sait pourtant se montrer résilient, parvenant à résister malgré les difficultés. Etat des lieux à retrouver dans un tableau de bord Batiactu.
Il y a 2 ans et 107 jours

EDEC des économistes de la construction et des géomètres : le ministère du Travail, la FIIAC et Atlas s’engagent pour l’attractivité de la branche

Cet Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences* doit permettre de répondre aux forts besoins en recrutement de la filière face aux mutations environnementales et technologiques, avec 3.000 postes à pourvoir d’ici 2030.Des métiers en forte tension dans la brancheLa branche professionnelle FIIAC, qui compte 4.400 entreprises et 16.500 salariés, est confrontée à d’importantes problématiques de recrutement, avec 1.300 postes actuellement à pourvoir et 3.000 postes qui le seront d’ici à 2030 sur différentes typologies de métiers : Economistes de la construction, Assistants à Maître d’Ouvrage, Métreurs vérificateurs, Maître d’œuvre, Opérateur (trice) Géomètre, Technicien (ne) Géomètre, Technicien(ne) Géomètre chargé de projets en foncier, en topographie, et en infrastructure, Ingénieur (e) Géomètre d’études.Ses professions sont directement concernées par les mutations environnementales et technologiques actuelles. L’apparition de nouveaux procédés technologiques influe sur les besoins de recrutement, les profils recherchés, l’organisation du travail et les conditions d’exercice de ces métiers. La transition écologique et la priorité donnée à la rénovation énergétique des bâtiments ont également un impact sur le niveau et la structure d’emploi de la branche et sur les compétences attendues.Pour Solange Chappelart, Directrice Branches et Partenariats, l’engagement d’Atlas était une évidence : « Nous travaillons au quotidien avec la branche des économistes et des géomètres pour répondre au mieux à ses besoins et à ses ambitions. Atlas s’engage aux côtés de l’État pour anticiper les mutations des métiers et les défis liés aux transitions numérique et écologique.Répondre aux enjeux du secteur à l’horizon 2030Cet accord vise à établir un diagnostic des besoins en recrutement et en compétences des salariés à l’horizon 2030, et à accompagner les entreprises de la branche pour diversifier leur mode de recrutement et satisfaire leur besoin de main d’œuvre.Pour Philippe Gronnier et Yves Sarrat, Coprésidents de la Commission Paritaire Nationale de l’Emploi et de la Formation Professionnelle de la FIIAC : « Au regard des mutations de la branche, il est indispensable de mettre en place des actions concrètes pour favoriser l’attractivité des métiers, notamment auprès des jeunes qui constituent aujourd’hui 26% des salariés, et pour favoriser l’évolution des compétences de l’ensemble des collaborateurs. Certifications, expérimentations et formations innovantes sont autant de solutions à déployer pour permettre l’emploi durable des salariés. »La structuration des ressources humaines de la branche est également un axe prioritaire de cet accord pour accompagner les entreprises dans leur recrutement et les salariés dans leur gestion de carrière.Le montant global de ce projet EDEC des Économistes de la Construction – Assistance à Maîtrise d’Ouvrage et des Géomètres, s’élève à 380.000 €, avec un soutien de l’État à hauteur de 33%.Pour Bruno Lucas, délégué général à l’emploi et à la formation professionnelle : « Les mutations économiques engendrées par les transitions écologique et numérique ont un impact important sur les besoins en emploi et en compétences de cette filière. Avec cet EDEC, l’Etat joue pleinement son rôle en s’engageant auprès des partenaires sociaux pour permettre à la branche de mettre en œuvre les actions nécessaires afin de répondre à ses besoins de recrutement et de montée en compétences. »*L’engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC) est un accord annuel ou pluriannuel conclu entre l’État et une ou plusieurs organisations ou branches professionnelles pour la mise en œuvre d’un plan d’actions négocié qui a pour objectifs d’anticiper les conséquences des mutations économiques, sociales et démographiques sur les emplois et les compétences et d’adapter les formations et les certifications à ces mutations.Les EDEC ont vocation à encourager et soutenir des projets visant à sécuriser, maintenir, développer l’emploi et les compétences dans des branches professionnelles, des secteurs d’activité, des filières ou des territoires fragilisés par les évolutions économiques, devant être soutenus ou faisant l’objet d’actions publiques prioritaires. Les actions de prospective et d’ingénierie de formation et de certification qu’ils soutiennent doivent permettre d’outiller les branches professionnelles, leurs opérateurs de compétence (OPCO) et toute autre organisation professionnelle ou interprofessionnelle afin d’accompagner entreprises et salariés dans l’amélioration de leur gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, la construction de parcours de formation et de mobilité professionnelle ainsi que dans les transformations liées aux transitions numérique et écologique.
Il y a 2 ans et 107 jours

Une décarbonation peu rapide, selon le baromètre de la performance énergétique de l'OID

L'Observatoire de l'Immobilier Durable (OID) a publié son baromètre de la performance énergétique et environnementale des bâtiments 2022 et a signé un partenariat avec l'Ademe le 17 janvier.
Il y a 2 ans et 107 jours

Les sociétés du Groupe Lorillard se mobilisent autour de l’opération pour l’Ukraine

Une collecte de groupes électrogènes a ainsi été initiée auprès du secteur de la menuiserie et des adhérents de l’UFME et du SNFA pour atteindre - voire même dépasser - l’objectif fixé à 200 groupes électrogènes.Les sociétés LORILLARD, BOURNEUF, MOLENAT, MESLIN et POUPIN du Groupe Lorillard y répondent favorablement en finançant plusieurs groupes électrogènes pour les habitants de Kharkiv qui sont actuellement sans ressource énergétique et pour qui ces groupes électrogènes sont une nécessité vitale.Tous les dons ont été acheminés vers la plateforme logistique des Transports Groussard afin d’être expédiés pour l’Ukraine il y a quelques jours.
Il y a 2 ans et 107 jours

La métropole de Lyon privilégie des hydrocureuses au gaz naturel

Pour entretenir son réseau d’assainissement des eaux, sa direction de l'Eau a fait l’acquisition de deux modèles montés sur châssis...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 108 jours

Un jardin d’enfants signée Fyra en Finlande

En 2021, l’agence finlandaise Fyra a signé le jardin d’enfants du siège social de Supercell dans le quartier de Jätkäsaari à Helsinki (Finlande). Des ateliers avec l’école d’architecture pour enfants Arkki ont été organisés pour cartographier les besoins des utilisateurs et leur proposer des espaces fonctionnels. Communiqué. Le siège social du développeur de jeux mobiles, […] L’article Un jardin d’enfants signée Fyra en Finlande est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.