Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255852 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 344 jours

Rendez-vous avec votre histoire les 17, 18 et 19 juin 2022

Organisées par l’Inrap, sous l’égide du ministère de la Culture, les Journées européennes de l’archéologie mobilisent l’ensemble des acteurs de l’archéologie pour fêter la discipline en France et dans toute l’Europe. Cette année, elles se tiendront les 17, 18 et 19 juin 2022. Depuis 13 ans, elles invitent le public à plonger dans le passé, à explorer les traces matérielles des sociétés depuis la Préhistoire. Pendant trois jours, plus de 1 500 manifestations sont proposées à toutes et à tous partout en France et dans 28 pays européens : ouverture exceptionnelle de chantiers de fouilles et de centres de recherche, Villages de l’archéologie, activités pédagogiques et ludiques, rencontres avec des chercheurs, visites de laboratoires, expositions, projections… Programme à explorer sur le site journees-archeologie.fr  
Il y a 2 ans et 344 jours

A Reims, cinq maisons en béton impression 3D, une première en France

"C'est simple et beau. Parfois la simplicité n'est pas facile à obtenir": devant un mur d'apparence texturée, composé de fins boudins de béton empilés horizontalement les uns sur les autres, Rochdi Zardi, 60 ans, locataire qui emménagera le 1er juillet avec sa famille, affiche un large sourire."Ça fait un an que je cherchais un logement social de plain-pied", explique cet ancien enseignant et ancien gestionnaire de supermarché, qui ne travaille plus pour pouvoir s'occuper de sa femme lourdement handicapée.Le loyer pour sa future maison comportant trois chambres et un jardin, bâtie dans l'éco-quartier Rema'Vert sur un ancien site ferroviaire, s'élève à 920 euros par mois, au lieu de 700 pour son actuel appartement en étage."Ici, ce sera un peu plus cher comme loyer, mais quand on compare ce qu'on a, c'est très correct. Quand on voit les prix dans le privé! En plus, une maison comme ça, neuve!", s'exclame-t-il.De fait, les murs montés par l'aller-retour d'une tête d'imprimante chargée de béton liquide qui se solidifie en cours de formation, permettent la créativité. Notamment d'imaginer des murs courbes à la carte, un luxe pour un logement social.Ici, l'impression 3D n'a pas été utilisée partout, seulement pour 35 murs des cinq maisons reliées entre elles (cuisines, salles de bain, toilettes utilisant des murs classiques).Un mur entier 3D, réalisé par la startup XtreeE, basée à Rungis dans le Val-de-Marne, fait une vingtaine de centimètres d'épaisseur. Il est composé de deux parois de quelques centimètres, reliées entre elles par des raidisseurs (sortes de zigzag de béton) qui assurent la cohésion du tout. L'espace au centre est vide, et peut être utilisé pour accueillir un isolant, soit en laine de roche, soit en matériaux biosourcés comme le chanvre."Cela permet un chantier sec, en atelier, pas de béton coulé sous les intempéries, pour construire plus vite avec moins d'aléas et sans porter de parpaings, car les murs sont transportés en camion et portés à la grue", souligne Romain Duballet, directeur de XtreeE Studio.La technique permettrait surtout d'utiliser 50% de béton de moins qu'une construction traditionnelle avec un mur de béton armé coulé entre deux éléments de coffrage verticaux appelés banches, font valoir ses promoteurs."Liberté des formes"Un à trois murs ont été imprimés par jour. "Ce que la 3D permet surtout, c'est d'aller plus vite, de réduire la pénibilité de la construction", dit Florent Haas, directeur de l'agence Champagne du constructeur Demathieu Bard Construction qui a coordonné le chantier.La méthode permet aussi de réduire le gâchis. "En moyenne de l'ordre de 30% de matières sont gâchées sur un chantier classique", estime Emmanuel Coste, l'architecte du projet, pour qui son principal avantage est "la liberté des formes".L'initiative de la technique revient au bailleur social Plurial Novilia, installé en Champagne-Ardenne et en Ile-de-France, qui s'est battu pour obtenir une certification du procédé 3D par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTV).Cette homologation garantit "l'assurabilité" aux cinq maisons en leur assurant la précieuse "garantie décennale" engageant la responsabilité des constructeurs, architecte compris, pendant dix ans contre des malfaçons, norme de construction française qui figure parmi les plus strictes du monde.Pour la 3D, "nous avons développé un béton de haute performance pour résister aux pressions, mais moins dosé en ciment pour réduire les émissions de gaz à effet de serre", explique Olivier Martinage, responsable de l'impresssion 3D béton du groupe cimentier Vicat qui a participé à l'aventure. Son prochain défi, utiliser aussi des granulats recyclés dans l'imprimante, pour réduire encore l'impact sur le climat, le processus de fabrication du ciment étant très émetteur de dioxyde de carbone.Mais pour l'architecte Emmanuel Coste, le principal défi à relever sera certainement d'arriver "à imprimer des murs avec autre chose que du béton"."Le béton c'est la solution qu'on a sous la main pour l'instant, mais il émet encore énormément de gaz à effet de serre, il est clair qu'il faudra en sortir".
Il y a 2 ans et 344 jours

Loire-Atlantique : rénovation du théâtre du Grand T à Nantes

À Nantes (Loire-Atlantique), le théâtre du Grand T fait l’objet de travaux de rénovation et de création d’une nouvelle salle de répétition.
Il y a 2 ans et 344 jours

Ille-et-Vilaine : modernisation de la piscine communautaire de Vallons de Haute-Bretagne communauté à Guichen

La piscine communautaire de Vallons de Haute-Bretagne communauté à Guichen (Ille-et-Vilaine) disposera d’une infrastructure plus moderne et plus accessible d’ici à l’horizon 2024.
Il y a 2 ans et 344 jours

Six nouveaux adhérents pour France Matériaux

France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, renforce son maillage territorial avec l’arrivée de six nouveaux adhérents. En parallèle, trois distributeurs du réseau ouvrent de nouveaux points de vente. France MATÉRIAUX accueille six nouveaux adhérents : • COSTAZ Matériaux, société familiale basée à Nangy, en Haute-Savoie, qui dispose de deux points de vente d’une surface totale de 7.000 m2 et qui a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires de 2,3 millions d’euros. • ECO-LOGIC, spécialiste en matériaux naturels et écologiques depuis 2013. Dirigé par M. Lanet, l’entreprise de Montauban (Tarn-et-Garonne) bénéficie d’une surface de vente de 4.000 m2 et a réalisé un chiffre d’affaires de 1,5 millions d’euros en 2021. • GLC MATÉRIAUX, fournisseur de matériaux de construction et de décoration à Forcalquier dans les Alpes de Haute Provence. Dirigé par M. Scoppa, ce point de vente de 7.000 m2 a réalisé, en 2021, un chiffre d’affaires de 1,8 millions d’euros. • GROUPE DCA, dont la direction est assurée par M. Alexandre Cotut, est implanté depuis 4 ans à Noisy-Le-Grand (Seine Saint-Denis). Avec une surface de vente de 700 m2, le groupe DCA a réalisé un chiffre d’affaires de 1,9 millions d’euros en 2021. • ITS MATERIAUX, dont un établissement de 700 m2 spécialisé dans les matériaux d’isolation est situé à Le Thillay dans le Val d’Oise, et qui va ouvrir un nouveau point de vente courant Juin. Dirigée par M. Adet, l’entreprise a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires de 2,2 millions d’euros. • QUINCAILLERIE SAINT-JEAN, basée en Guadeloupe et gérée par la famille POMMEZ, qui compte deux magasins. Parallèlement à l’arrivée de ces nouveaux adhérents, trois distributeurs du réseau – ENDUIT 34, ADITEC NORMANDIE et POMMIER dans le Jura – étendent leur zone de chalandise avec l’ouverture d’un nouveau magasin. Ayant des ambitions fortes de développement, FRANCE MATÉRIAUX a confié l’animation de son réseau à M. Eric MORILLON depuis Août 2021. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 344 jours

Hérault : à Montpellier, transformation de l’ancien bidonville de Celleneuve en un quartier animé

Un nouveau quartier sera implanté en lieu et place de l’ancien bidonville de Celleneuve à Montpellier (Hérault).
Cimbat
Il y a 2 ans et 344 jours

Nouvelle édition du SITEM !

Le SITEM, Salon International des musées, des lieux de culture et de tourisme, se tiendra au Carrousel du Louvre de Paris les 28, 29 et 30 juin prochains. Pendant 3 jours, les conférences et ateliers du SITEM rassemblent des acteurs internationaux et les thèmes abordés sortent des sentiers battus. Quant aux Ateliers, il forment un ensemble d’études de cas  sans équivalents. Ces matériaux intellectuels, à l’originalité sans cesse renouvelée, sont devenus un des points d’attraction du SITEM. > Pour découvrir le programme complet des conférences et des ateliers > Toutes les infos pratiques sur le site du SITEM.
Il y a 2 ans et 344 jours

Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur !

Dans notre pays centralisé, nous avons perdu l’habitude de voir les centres de production. Les hydrocarbures viennent du diable Vauvert, les centrales nucléaires sont pour la plupart loin des agglomérations. Ne pas voir pour ne pas savoir ? La visibilité est une vertu ! La visibilité est une vertu quand il s’agit de fixer des objectifs, de […] L’article Cacher ce sein… Les usines loin des yeux, loin du cœur ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 344 jours

La gestion des déblais, l'autre chantier "pharaonique" du Grand Paris Express

DÉCRYPTAGE. La construction des 200km du futur réseau du Grand Paris Express nécessite d'extraire des sous-sols franciliens 47 millions de tonnes de terres d'ici à 2030. Leur gestion représente un défi environnemental et logistique immense pour la Société du Grand Paris. Un chantier dans le chantier dont la feuille de route en la matière tient en quatre étapes : caractérisation, traçabilité, évacuation et valorisation.
Il y a 2 ans et 344 jours

Le Groupe Kardham va concevoir le nouvel immeuble tertiaire bioclimatique de l'IRSN

Installé sur le site du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) de Cadarache à Saint-Paul-lez-Durance en Provence-Alpes Côte d’Azur, ce bâtiment se distingue par son architecture bioclimatique et HQE, de manière à s’intégrer dans un environnement respecté et offrir un cadre de travail de grande qualité.Destiné à regrouper les équipes de l’IRSN dans un objectif de performance et de modernisation de son parc immobilier, le futur édifice constitué de deux ailes, aura une superficie d’environ 5.400 m² (SDP), répartis sur 4 niveaux dont 1 semi-enterré.Un bâti qui dialogue avec le paysageLes équipes de Kardham ont tout d’abord porté une attention particulière à adapter le projet à la topographie, au climat et à la géographie du site hôte, le CEA de Cadarache, plus grand centre de recherche et développement en Europe sur les énergies bas carbone.La construction s’intègre ainsi dans une pinède constituée de pins maritimes de 8 à 12 mètres de hauteur conservée au maximum et qui servira d’écrin végétalisé au site de l’IRSN. Les altimétries des voiries et les parkings seront par ailleurs adaptés à la pinède pour conserver les sujets existants.Pour respecter la topographie du site, Kardham a par ailleurs opté pour des différences de niveaux pour créer un parvis surélevé, une terrasse en balcon, ou encore des gradins dans un talus formant un amphithéâtre naturel. En limitant autant que possible la hauteur du bâti en R+2, la volumétrie d’ensemble s’intègre dans ce site boisé exceptionnel et est à l’échelle des autres constructions du site.Les formes ont par ailleurs été dessinées et les couleurs choisies pour se fondre dans le paysage : le socle, en bardage couleur rouille, vient chercher la vibration et le langage du sol, en dialoguant avec ce paysage méditerranéen constitué d’aiguille de pins, de rocaille, tandis que les parties supérieures de l’immeuble viennent quant à elles discuter avec les pins et la Canopé des arbres. Les lignes verticales reprennent les inclinaisons des troncs et viennent se joindre aux ombres portées et lignages multiples. Les brise-soleils évoquent quant à eux le feuillage dans les arbres afin de renforcer la vibration des boites.Une construction durable et frugaleL’immeuble a été éco-conçu pour répondre à des attentes fortes en matière d’allègement de son empreinte carbone.Du point de vue du choix des matériaux tout d’abord, il témoigne d’une biodiversité constructive marquante : la structure, les façades et les dalles du bâtiment sont en béton armé. Les châssis vitrés sont en aluminium et se fondent dans les larges ouvertures vitrées dans l’ombre des brise-soleil. L’ensemble des matériaux de construction et d’aménagement utilisés, le bois, le verre, la végétation, etc. sont des matériaux naturels et organiques.L’édifice se veut aussi bien pensé dans son orientation et dans son utilisation du soleil et des vents, pour avoir besoin le moins possible d’équipements pour l’entretenir, le chauffer ou le rafraîchir. Ainsi, dans un souci d’économies de fonctionnement et de moyens de mise en œuvre de protections solaires, l’orientation Nord / Sud a été privilégiée.Enfin, la construction vise la certification HQE « Bâtiment Durable » niveau excellent, label E3 C1 ainsi qu’un engagement de maîtrise de la consommation d’énergie, conformément aux exigences du plan France Relance.Un édifice propice aux échanges et aux synergies La composition architecturale de l’immeuble repose sur l’organisation des fonctions qu’il abrite :Un socle regroupant les services liés aux espaces de livraison.Une ouverture horizontale traversante sur les espaces extérieurs du RDC, créant un entre-deux accueillant les services partagés et l’accueil.Les volumes suspendus flottant dans la pinède accueillant les bureaux des services de recherche. L’immeuble a par ailleurs été conçu pour proposer des centralités fortes, véritables pôles d’échanges et de convivialité :Au centre du bâtiment, à l’intersection de ses 2 ailes, un escalier décloisonné en forme de faille verticale traversante ouverte sur l’extérieur, crée du lien entre les différents services.Des polarités d’étage autour d’espaces communs : au droit de cette faille verticale sont regroupés à chaque niveau les différentes fonctions communes d’étage : espace café, archives ouvertes, espace réunion modulables, espaces de travail partagés, sanitaires. Espace privilégié du bâtiment, cette faille profite aussi d’une ouverture traversante sur la pinède des deux côtés de l’édifice.Des extérieurs conviviaux en connexion avec les services partagés du RDC : à leur Nord, un parvis d’entrée offre un large espace d’échanges ombragé, tandis qu’à leur Sud une grande terrasse offre un espace extérieur commun accessible depuis l’entrée. Enfin, à chaque pignon les escaliers sont prolongés de terrasses permettant d’ouvrir des espaces partagés sur l’extérieur.Cette centralité conviviale regroupant les bureaux de l’IRSN existe également dans sa forte connexion avec les différents bâtiments sur le site. Le hall d’entrée permet de les desservir facilement. Par ailleurs, les voies de circulations relient de manière optimale les espaces de stationnement extérieurs aux bâtiments existants. Des cheminements piétons confortables complètent le maillage du site.Des espaces de travail modulables co-conçus avec les collaborateursLes espaces de travail allient travail de réflexion et de confidentialité et travail collaboratif. Ces lieux communs, de réunion, d’échange et de convivialité, de postes de travail ouvert ou isolés dans des cocons ou derrière des claustras intimisant l’espace, sont par ailleurs flexibles et notamment équipés de cloisons pour suivre l’évolution des besoins des services. Pour une plus grande modularité, ces espaces bénéficient en outre d’un éclairage naturel direct et de grandes surfaces au centre du bâtiment.En matière de design d’espaces, Kardham accompagnera les collaborateurs de l’IRSN au travers de nombreux ateliers et entretiens pour leur permettre de se projeter dans la programmation fonctionnelle et exprimer leurs attentes et besoins en matière d’aménagement des espaces de travail et des espaces collaboratifs de proximité. Grâce à ces modules de co-conception ils pourront envisager les différents scénarios pour le positionnement des espaces communs, des typologies d’espace et de postes de travail. L’occasion aussi de passer de la dimension individuelle à celle de l’équipe, et de découvrir l’espace de travail dans son ensemble. Au final, le projet a été conçu de manière à répondre à de forts enjeux en matière de développement durable et s’inscrit dans une logique intelligente et bienveillante de respect de l’environnement et d’une plus grande qualité de vie au travail.
Il y a 2 ans et 344 jours

L’innovation au Carrefour International du Bois 2022

Le Carrefour International du Bois version 2022 révèle quelques innovations fondamentales visibles et tant d'autres invisibles.
Il y a 2 ans et 344 jours

In the Banlieues au Pavillon de l’Arsenal

Quelle que soit la manière de les nommer, banlieues, périphéries, franges urbaines… ‘In the Banlieues’ met en lumière au Pavillon de l’Arsenal (Paris) le retournement symbolique du centre à la périphérie. Les banlieues imposent aujourd’hui leur influence et inventent des solutions. Jusqu’au 28 août. Croisant les approches urbaines, artistiques et sociales, la manifestation ‘In the […] L’article In the Banlieues au Pavillon de l’Arsenal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 344 jours

Pénalisées par des retards de paiement accrus, les TPE du BTP restent confiantes

CONJONCTURE. La situation économique des très petites entreprises ne se dégrade pas, notamment grâce aux aides de l'État déployées pendant la crise du Covid. Mais les défis à relever restent nombreux, et l'amélioration de la trésorerie, encore précaire, d'autant que les retards de paiement s'aggravent. Une fois encore, les professionnels de la construction s'en sortent mieux que leurs homologues d'autres secteurs.
Il y a 2 ans et 344 jours

ITE360, la première application dédiée à l’ITE qui gère les devis, les chantiers et les plannings des équipes

Conçue pour faciliter le quotidien des entreprises spécialisées dans l’Isolation Thermique par l’Extérieur, ITE360 permet de réaliser directement via l’application toutes les étapes commerciales, techniques, administratives de suivi de chantier.Très facile d’utilisation, l’application ITE360 propose une navigation par étape :La première partie est consacrée au devis avec automatisation des métrés des façades, ainsi que des éléments singuliers propres à chaque chantier, pour réaliser un devis complet dès le premier rendez-vous. Toutes les configurations sont proposées pour établir un devis personnalisé (prise en compte de fenêtres et balcons, détail de la mise en oeuvre, type de revêtement…). Le professionnel peut ainsi configurer son chantier dans les moindres détails, et même ajouter des photos pour un meilleur suivi.Pour s’adapter à chaque entreprise, ITE360 propose une bibliothèque de produits de plus de 700 références, comprenant les différents systèmes d’isolation existants (PSE, laine de roche, fibre de bois, liège…) et tout le matériel nécessaire à la mise en oeuvre du chantier : de l’échafaudage à l’enduit de façade, en passant par les cornières, les joints ou les systèmes de déports. Une fois ces éléments enregistrés, le calcul des temps de pose nécessaires au chantier se fait automatiquement pour définir le coût horaire. L’application prend en compte également les aides et les subventions légales à déduire lorsque la configuration du chantier le permet. Gain de temps pour l’artisan, l’application comprend une grille de tarifs (matériel et main d’oeuvre), qu’il est possible de modifier selon ses propres barèmes.Dès que le devis est accepté, la partie chantiers prend le relais avec un suivi quotidien de l’avancement du projet, des équipes dédiées et du temps imparti.Directement depuis l’application, l’utilisateur répartit ses équipes sur les différents chantiers en cours en précisant le temps passé. Il voit ainsi en direct l’avancée des projets et les éventuels ajustements à faire selon le devis initial qui est enregistré comme repère de temps pour la réalisation. Une fois l’affectation des équipes enregistrée, chaque collaborateur reçoit directement un mail avec les détails de sa mission. Outre le suivi de chantier, l’application permet ainsi de gérer ses équipes en sachant précisément le temps de travail par personne et par chantier et en prenant en compte les absences et les congés le cas échéant. ITE360 devient ainsi un outil de gestion RH précis et mis à jour au quotidien !Enfin, lorsque le chantier est finalisé, la facture est générée en 1 clic à partir du devis initial et des ajustements réalisés en cours de travaux. Les taux de TVA sont également enregistrés par produit et une attestation de TVA est automatiquement générée.Pensée comme un outil global, ITE360 enregistre tous les chantiers et leur historique pour une gestion sur le long terme.ITE360 est un outil professionnel proposé en abonnement, adapté selon ses besoins (Pro, Premium, Gold) : www.ite360.fr
Il y a 2 ans et 344 jours

Découvrez les lauréats du concours Brick Award 2022

EN IMAGES. Des projets internationaux d'une grande qualité architecturale et composés de briques ont été choisis par le jury du concours Brick Award. Cinq agences ont été récompensées, dont une française.
Il y a 2 ans et 344 jours

Les gros investissements de Socla, spécialiste du transport de l’eau

Socla produit des dispositifs de gestion de l’eau potable, des eaux de piscine, des eaux industrielles, de l’eau de mer et d’autres fluides et investit près d’un million d’euros dans son usine
Il y a 2 ans et 344 jours

Le béton d'argile fait ses preuves sur le terrain en Vendée

Hoffmann Green Cement Technologies a réalisé les premiers coulages de son nouveau béton d’argile décarboné, concrétisant deux années de recherche et développement communes avec Bouygues Construction et Chryso.
GDA
Il y a 2 ans et 344 jours

L'UE, l'Etat et la Région au soutien de l'usine de laine de roche Rookwool dans l'Aisne

L'UE, l'Etat et la Région vont financer à hauteur de 12,6 millions d'euros le projet d'usine du groupe danois Rockwool près de Soissons (Aisne), critiquée par des habitants qui craignent des pollutions.
Il y a 2 ans et 344 jours

Carrefour International du Bois, innovations planchers

Salon polyvalent, le Carrefour International du Bois n’en expose pas moins, pour qui cherche, les paramètres de la révolution constructive RE2020, en cours.
Il y a 2 ans et 344 jours

Iveco renforce son offre de formations

Iveco Academy propose des modules sur l’offre produits et services de la marque. [©Iveco] Iveco renforce son offre de formations et crée l’Iveco Academy. Cette nouvelle entité regroupe des formateurs et les concepteurs de formation de la marque. Cela, afin de développer les futurs programmes d’apprentissage en phase avec leur technologie. « Cette nouvelle organisation nous permet de créer des synergies, de gagner en productivité et en réactivité, précise Natacha Rostomov, directrice d’Iveco Academy France. Ceci, en vue de préparer l’arrivée de notre offre électrique et hydrogène avec une approche globale vente et après-vente. » Iveco engagé dans la formation Ainsi, les formations proposeront des modules internationaux sur l’offre produits et services. Elles seront complétées par des modules propres au marché français pour intégrer les spécificités réglementaires nationales. De plus, l’Iveco Academy consolide les partenariats de l’industriel avec les CFA techniques pour soutenir les jeunes. Lire aussi : Bruno Solo dans la peau d’un chauffeur poids lourds d’Iveco Dans ce cadre, une formation “Sales-Export” a donc été mise en place. Elle renforce les techniques commerciales sans négliger la formation aux produits et services du groupe. Tout au long des 6 semaines d’apprentissage, l’Academy accompagnera les étudiants pour faciliter leur entrée dans son réseau. D’ailleurs, le développement de l’électro-mobilité de la marque démarrera dès le mois de septembre prochain. Il sera marqué par l’arrivée du véhicule Daily électrique.
Il y a 2 ans et 344 jours

Les isolants biosourcés s'imposent dans le paysage industriel

Anticipant les impacts de la RE 2020, les industriels diversifient leur offre et augmentent leurs capacités de production. Pour les négoces, le développement des isolants biosourcés nécessite un accompagnement de la clientèle et des moyens logistiques supplémentaires.
Il y a 2 ans et 344 jours

Würth France fait son grand retour au salon Eurobois

Eurobois sera l’occasion pour Würth de présenter des nouveautés produits, les systèmes et solutions développées pour faciliter le quotidien des professionnels sans oublier de nombreuses démonstrations de leurs experts !Retrouvez Würth France sur leur stand N° 6G28Créez votre badge pour Eurobois : cliquez ici
Il y a 2 ans et 344 jours

Jeux d'acteurs ou de ballons ? Un pavillon temporaire par DREAM, à Rome

La 40e édition de l'Équerre d'argent est lancée ! Proposez vos réalisations sur la plateforme dédiée avant le 9 septembre 2022. Le prix organisé par les rédactions du Moniteur et d'AMC a pour objectif de faire connaître le meilleur de la production architecturale réalisée sur le territoire […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 345 jours

Musée départemental Albert-Kahn par Kengo Kuma

En mars 2022, le musée départemental Albert-Kahn a ouvert ses portes à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) après l’intervention de l’architecte japonais Kengo Kuma pour le Conseil général du 92. Une nouvelle étape incontournable vers la connaissance et le sens, l’émotion et l’expérience sensible chers au philanthrope ? Communiqué. Dans l’écrin offert par l’ambitieux projet architectural signé du Japonais […] L’article Musée départemental Albert-Kahn par Kengo Kuma est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 345 jours

Climat et logement : des militants bloquent un grand axe routier parisien

L'action du groupe "Dernière rénovation", dont une militante avait perturbé la semaine dernière une demi-finale du tournoi de tennis de Roland Garros en s'attachant au filet, a duré au total une heure et complètement bloqué la circulation dans le sens de la sortie de Paris pendant une trentaine de minutes, créant de fortes retenues.Une douzaine de militants étaient assis sur la chaussée, alors que d'autres distribuaient des tracts ou allaient à la rencontre des automobilistes coincés, dont certains ont tenté de déloger les bloqueurs.Arrivée rapidement sur les lieux, la police a interpellé les manifestants et rouvert une voie du pont à la circulation, mais trois d'entre eux s'étaient collé une main au bitume avec de la super glue, nécessitant l'intervention de pompiers qui les ont décollés avec du dissolvant, avant qu'ils ne soient à leur tour menottés et interpellés."On ne peut plus rester les bras ballants, on n'a que quelques années face à l'urgence climatique, par rapport aux millions de victimes que peut faire cette crise, une garde à vue ce n'est pas grand-chose", a expliqué un des manifestants collés, qui s'est présenté comme Ronan, 22 ans, étudiant en école d'ingénieur."Dernière rénovation" réclame le vote immédiat d'une loi visant à la "rénovation globale et performante du parc immobilier français d'ici 2040", sans coût pour les propriétaires les plus modestes.Les manifestants ont reçu le soutien du photographe et cinéaste Yann Arthus-Bertrand, très engagé pour la planète, venu sur place filmer l'action pour un prochain film. "Je trouve ces jeunes gens très courageux. Ce n'est pas ma façon de faire, mais on a besoin de ça, ces gens ils se battent pour la Terre", a-t-il estimé.
Il y a 2 ans et 345 jours

Le plafonnement des loyers mieux respecté en région parisienne, selon une étude

Sur les 1.560 annonces en ligne épluchées d'août 2021 à février 2022 par CLCV (Consommation, logement et cadre de vie) à Paris et dans l'intercommunalité Plaine Commune, au nord de la capitale, 66% respectaient le plafonnement, contre 60% en 2020.Cette mesure consiste à fixer un prix maximum au mètre carré pour les biens immobiliers en fonction de plusieurs variables (quartier, date de construction, logement meublé ou non...).Il est possible d'y déroger si le logement dispose de caractéristiques particulières.Appliqué à Paris depuis 2015, avec une interruption contrainte par la justice en 2018-2019, le système s'est depuis étendu à d'autres villes : Lille, Lyon, Villeurbanne, et les intercommunalités de Seine-Saint-Denis Plaine Commune (autour de Saint-Denis) et Est Ensemble (entre Montreuil et Bobigny).Vont s'y ajouter Montpellier à partir du 1er juillet et Bordeaux d'ici à la fin de l'année.Selon l'étude de CLCV, le montant du dépassement moyen pour les annonces hors-la-loi est de 118,98 euros par mois.Les logements gérés via une agence respectent bien davantage l'encadrement que ceux loués directement par le bailleur (79% contre 55%), note l'association.Fait inédit, les locations meublées respectent davantage l'encadrement que les non meublées à Paris, alors qu'elles étaient moins dans les clous auparavant et le sont toujours à Plaine Commune.CLCV y voit un effet de la pandémie et de la désertion des touristes. "Il ne fait aucun doute que la crise sanitaire (du Covid) a eu ici un impact important. Devant l'impossibilité de procéder à des locations saisonnières, les propriétaires de logements meublés sont revenus à des baux classiques, entraînant une mise sur le marché de nombreux logements, entraînant de fait une baisse des prix", estime l'association.Elle réclame une application plus large de la mesure, dans l'ensemble de l'agglomération parisienne, et des amendes plus fréquentes et plus dissuasives pour les contrevenants.
Il y a 2 ans et 345 jours

Découverte d'un important sanctuaire gallo-romain près de Rennes

Sur commande de l'État, des fouilles ont démarré en mars à La Chapelle-des-Fougeretz (Ille-et-Vilaine) sur 7 hectares de terres agricoles classées urbanisables "de longue date", selon la mairie. Elles s'achèveront en octobre avant la réalisation d'un programme immobilier d'environ 700 logements.Le site, repéré dès 1984 par survol aérien, avait fait l'objet d'un premier diagnostic de l'Inrap en 2018 pour définir une zone de fouilles et en estimer le coût, évalué à environ 1 million d'euros."Ce sanctuaire public important se compose d'une galerie de 60 mètres sur 30, qui forme un cloître, au centre duquel se trouvent deux temples classiques de l'époque romaine du 1er siècle avant JC jusqu'au 5e siècle après JC", a détaillé Bastien Simier, responsable scientifique de l'opération à l'Inrap."Ces fouilles ont la particularité de couvrir une surface environ deux fois plus importante que la moyenne, ce qui permet de mieux connaître l'environnement du sanctuaire", a-t-il ajouté.Outre les deux temples, des habitats ont été mis au jour ainsi que des thermes de 120 m2, une "surprise" pour les archéologues.Parmi les objets retrouvés, une statuette en bronze représentant Mars, dieu de la guerre, une coupe en bronze avec un aigle et une représentation de la foudre sur ses anses, ainsi que des fibules, des urnes funéraires datant de -500 avant JC et 150 pièces de monnaie, objets de dévotion."Ce qui nous intéresse sur une fouille comme celle-ci,c'est de comprendre l'origine de nos campagnes, de collecter des informations sur le mode de vie, l'organisation sociale dans les campagnes, les trames des voies, du parcellaire pour restituer l'organisation du nord du bassin rennais à l'époque romaine", a expliqué Bastien Simier.Le site sera ouvert au public les 18 et 19 juin de 11H00 à 18H00 à l'occasion des Journées européennes de l'archéologie.La Bretagne est la première région de France en nombre de fouilles archéologiques préventives réalisées chaque année par l'Inrap.L'Institut, qui fête ses 20 ans et emploie 2.200 agents, assure la détection et l'étude du patrimoine archéologique en amont des travaux d'aménagement du territoire. Il réalise chaque année quelque 1.800 diagnostics archéologiques et plus de 200 fouilles.
Il y a 2 ans et 345 jours

Distribution : Sfic repense son parcours client

EXPÉRIENCE CLIENT. Sfic, enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, spécialisée dans les plafonds, produits plâtre, cloisons de bureaux, isolation, va profiter de la rénovation de ses agences pour améliorer le parcours client. Premier point de vente à se lancer : Sfic Ivry Mazy.
Il y a 2 ans et 345 jours

Plus de 200 propriétaires à Marseille déposent un recours contre la hausse de la taxe foncière

"La hausse de 5,47 points de la taxe foncière sur les propriétés bâties (qui représente en pourcentage une hausse de 14%)", qui s'ajoute à une réévaluation légale forfaitaire de 3,4%, "implique que les propriétaires disposant d'un bien, bailleurs ou non, auront 17,4% de taxe foncière à payer en plus en 2022 par rapport à 2021", précise le texte du recours déposé auprès du tribunal administratif de Marseille.Les 238 propriétaires qui en sont à l'origine attaquent la décision du conseil municipal "parce qu'à des titres divers, ils sont menacés de précarité", a expliqué à l'AFP leur avocat, Jacques Gobert.L'adjoint à la ville de Marseille en charge des Finances, Joël Canicave, avait justifié cette hausse par des "dépenses nouvelles", notamment "l'augmentation du point d'indice" du traitement des fonctionnaires et "le prix de l'énergie", lors d'une interview à La Provence le 4 avril.A Marseille, "il y a déjà des propriétaires qui sont en situation de pauvreté et d'autres qui seront précipités dans la précarité par l'effet mécanique de la hausse de la taxe" foncière, a prévenu Me Gobert, citant les données de l'Insee selon lesquelles 8% des propriétaires marseillais vivaient sous le seuil de pauvreté en 2019, c'est-à-dire qu'ils disposaient d'un revenu disponible de moins de 1.100 euros par mois pour une personne vivant seule."Vous avez des gens qui ne sont pas imposables mais qui, malgré tout, vont devoir payer cet impôt majoré" ou bien des gens faiblement imposables pour qui "la taxe foncière sera supérieure à l'impôt sur le revenu", a poursuivi Me Gobert, dénonçant un "racket local"."A quelques jours du vote, la municipalité parlait de tout sauf de la hausse de cette taxe" qui s'est faite "en catimini" selon lui alors qu'il s'agit d'"une hausse totalement inédite à Marseille".Cette augmentation s'est faite "de façon trop brutale", "tout le monde a été mis devant le fait accompli sans aucune concertation", estime de son côté Auguste Lafon, le président de la Chambre syndicale des propriétaires et copropriétaires des Bouches-du-Rhône et du Var, qui compte environ 5.000 adhérents directs et fait partie des requérants.L'augmentation, qu'il aurait aimé voir étalée dans le temps, "touche tout le monde de la même façon mais l'incidence est beaucoup plus forte sur les petits contribuables", notamment les retraités modestes, "et les primo-accédants", a-t-il complété.Contactée par l'AFP, la mairie de Marseille n'a pas réagi pour le moment.
Il y a 2 ans et 345 jours

Législatives : la ministre de la Transition écologique, A. de Montchalin, fragilisée

POLITIQUE. La ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Amélie de Montchalin, doit être réélue députée pour conserver son poste au sein du gouvernement. Un défi qui est loin d'être gagné d'avance, au vu des résultats du premier tour des élections législatives, ce 12 juin 2022.
Il y a 2 ans et 345 jours

L'industrie, menace ou solution pour la planète ? Une expo pour réfléchir

À la Cité des Sciences et de l'Industrie, où l'exposition "Évolutions industrielles" ouvre ses portes mardi, une bande son électro composée de bruits d'usines syncopés accueille le visiteur. Écrans numériques et installations artistiques l'accompagnent.Une gravure représentant la "révolte du poivre" en 1400, tirée d'un livre de Marco Polo succède à une photo de trieurs de déchets dans un centre de recyclage d'ordures ménagères du 21 siècle.Autour des thèmes "paysages transformés", "standardisation", "figures de travailleurs" ou "réseaux", des projections font découvrir l'histoire et l'actualité d'un monde devenu hyper-industrialisé bien qu'émaillé de poches de désindustrialisation.Pour Astrid Fontaine, commissaire de l'exposition, la priorité était "de proposer une réflexion sur ce qu'est le processus d'industrialisation dans la vie des hommes"."Nous avons voulu traiter de manière frontale la question de l'ambivalence de l'industrie, qui à la fois permet de vivre mieux et plus longtemps, et en même temps nous menace", résume-t-elle pour l'AFP.Les partenaires de l'opération, chercheurs de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et industriels de la métallurgie (UIMM), ont d'abord dû se mettre d'accord sur une définition. Celle de l'historien Philippe Braunstein a prévalu : L'industrie est "une production quantitativement importante, régulière, de qualité constante, qui dépasse le marché local".HybridationDans un appartement témoin reconstitué, au décor familier, un film est projeté sur un mur de verre high tech fourni par l'entreprise Saint-Gobain, ode au progrès et à la technologie.Il donne à réfléchir sur l'origine de chaque objet manufacturé du quotidien, sur la complexité des chaînes de valeur liées aux activités extractives ou aux transports internationaux : pour fabriquer un simple opercule de pot de yaourt, il a fallu d'abord trouver de la bauxite, puis la transformer en aluminium."L'idée était de montrer le déplacement des lieux de production" par rapport au consommateur final, dit Mme Fontaine.Sept petites salles "capsules" focalisent sur des objets-icônes issus de matières transformées, qui à leur tour nous transforment: la boite de conserve, le T-shirt en coton, la machine à laver, la pilule contraceptive, le drone, le smartphone et l'énergie au sens large.La fabrication de la boîte de conserve en acier recyclable à l'infini engendre des pollutions, mais elle a joué un rôle dans l'allongement de la vie humaine. La machine à laver a libéré la femme mais l'obsolescence programmée a suivi.Plus loin, Elon Musk, le patron du constructeur automobile Tesla, s'entretient avec le critique de la société industrielle Ivan Illitch, dans un joyeux débat en ligne, modéré par René Descartes et Francis Bacon. Tous deux ont fort à faire pour départager l'inventeur de Apple, Steve Jobs, vantant "la qualité" face au père du taylorisme, Frederick Taylor.Après les deux anciens symboles que sont la mine et l'usine, le parcours se termine sur un final grandiose et futuriste autour du nouvel emblème de l'industrie, la plateforme numérique.Câbles sous-marins, satellites et centres de données : les trois infrastructures lourdes, et bien physiques, du continent numérique qui nous entoure, y sont "révélées" alors qu'elles sont d'ordinaire "invisibles" et "cachées à la vue", souligne Mme Fontaine.Du coup, l'exposition dévoile aussi l'hybridation en cours "entre le monde réel et virtuel", et "entre l'industrie lourde et les services".Le tailleur et le casque-micro d'une téléconseillère voisinent avec la combinaison et le casque d'un ouvrier-marin qui pose des câbles de télécommunication au fond de l'océan.(Du 14 juin 2022 au 5 mars 2023 - Cité des sciences et de l'industrie )
Il y a 2 ans et 345 jours

La Tour Occitanie, à Toulouse, sur la bonne voie

JUSTICE. Les opposants au projet de tour de 11.000 mètres carrés dans le centre-ville de Toulouse ont vu leur recours devant le tribunal administratif rejeté.
Il y a 2 ans et 345 jours

Sto investit dans son usine vendéenne pour répondre à la croissance du marché

L’usine de La Copechagnière de Sto bénéficie d’une extension de 130 m2 avec 3 nouveaux quais niveleurs et un parking de 2 400 m2. Cet investissement de 400 000 € permet au site de se doter d’un parking privé de stationnement pour 10 camions et d’augmenter sa capacité de traitement de 8 jusqu’à 12 véhicules par jour. Les quais niveleurs facilitent le chargement de marchandises sur les camions et le déchargement : les chauffeurs ne sont plus sollicités pour la manutention et le traitement se fait plus rapidement. « Avec une production annuelle qui va dépasser cette année les 30 000 tonnes de peintures de façade pour près de 90 références, soit l’équivalent de 55 000 palettes et 2 000 camions, il était primordial d’investir dans notre usine de La Copechagnière pour accompagner notre stratégie de développement et répondre aux besoins grandissants du secteur de la construction et de la rénovation des bâtiments », précise Didier Sager, directeur de l’usine de La Copechagnière.
Il y a 2 ans et 345 jours

Vicat veut maîtriser l'impression 3D de A à Z

VIDÉO. Le cimentier Vicat mise sur l'impression 3D béton en lançant sa propre marque : Lithosys. Celle-ci va de la création à l'installation d'un robot permettant de réaliser des éléments imprimés en béton, en passant par la conception d'une gamme d'encres.
Il y a 2 ans et 345 jours

Suresnes accueille un colloque international sur les cités-jardins

Quelle place pour les cités-jardins dans les villes du XXIè siècle ? Ce concept qui a marqué l’évolution du logement populaire durant l’entre-deux-guerres à l’échelle locale, nationale, européenne et mondiale, peut-il proposer un modèle pour l’habitat futur ?  La question sera au centre du Colloque international « Des cités-jardins pour le 21è siècle » qu’accueille Suresnes les 23 et 24 juin 2022. Organisé par l’Association régionale des Cités-jardins d’Île-de-France, à l’occasion de son 10è anniversaire, ce colloque réunira 60 intervenants (chercheurs, habitants, collectivités, architectes) représentant 11 pays et plus de 20 cités-jardins. L’occasion de mettre en perspective les différentes dimensions d’un patrimoine commun : les cités-jardins d’Île-de-France, les premières cités-jardins anglaises (Letchworth et Hampstead), deux cités-jardins classées patrimoine mondial de l’Unesco (la cité Frugès de Le Corbusier et la cité du fer à cheval à Berlin) et d’autres cités plus confidentielles mais possédant un intérêt patrimonial, culturel, social ou touristique. En France, Henri Sellier, Maire de Suresnes de 1919 à 1941 et Président de l’Office public d’Habitations à bon marché de la Seine, fut à l’origine de l’implantation des quinze cités-jardins créées autour de Paris, dont neuf subsistent aujourd’hui. Avec ses 3100 logements, ses équipements publics variés, celle de Suresnes fut le véritable laboratoire d’un urbanisme social à échelle humaine. Les cités-jardins sont confrontées aujourd’hui, pour beaucoup d’entre elles, à la pression foncière et au renouvellement urbain. Réhabilitée de 1983 à 1996, la cité-jardins de Suresnes a été, avec celle de Stains, une des premières à bénéficier d’une protection. Les efforts pour la préserver ont été salués par l’attribution du label Patrimoine d’intérêt régional en 2018 et vont se poursuivre puisque la ville de Suresnes et Hauts-de-Seine Habitat vont lancer une réhabilitation décennale de la cité-jardins.
Il y a 2 ans et 345 jours

DPE, interdiction de louer : que pensent les Français ?

SONDAGES. Une série de sondages récents montrent l'intérêt, mais aussi l'inquiétude, des Français, face à la performance énergétique de leur logement, alors que le diagnostic de performance énergétique prend de plus en plus d'importance, juridiquement et en termes de marché.
Il y a 2 ans et 345 jours

Les syndics de copropriété bousculés par d'insolentes start-up

Elles s'appellent Bellman, Homeland, Syndic One, Hello Syndic... De jeunes entreprises, qui se présentent comme des "néo-syndics", sur le modèle des "néo-banques", proposent des solutions informatisées pour faciliter la gestion des syndics.Le syndic de copropriété gère les parties et charges communes d'un immeuble. Il peut être coopératif, c'est-à-dire piloté bénévolement par des copropriétaires, ou professionnel, lorsqu'il est confié à une entreprise moyennant finances.Une de ces nouvelles entreprises cristallise les oppositions : Matera.Proposant une assistance aux gestionnaires bénévoles, sans être elle-même un syndic professionnel, la start-up s'était fendue, en 2019 et 2020, d'une campagne publicitaire agressive ridiculisant les poids lourds traditionnels du secteur."Ambiguïté"La réaction du milieu n'a pas tardé : deux assignations en justice visent la société, accusée notamment d'exercice illégal de la profession.En première instance, le Tribunal de commerce de Paris a donné gain de cause à Matera sur ce point, mais a jugé qu'elle avait fait acte de concurrence déloyale et de pratiques commerciales trompeuses.Matera a fait appel, et une autre assignation, pour des griefs similaires, est en cours d'examen au Tribunal judiciaire de Paris."Matera a cultivé une ambiguïté entre le fait d'être syndic ou de ne pas être syndic", tonne Jean-Marc Torrollion, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim)."Pour moi, c'est une affaire absolument ridicule", rétorque le patron de Matera, Raphaël Di Meglio. "Ils savent pertinemment qu'à chaque fois, on se présente comme assistance au syndic coopératif", assure-t-il.Dernièrement, un comparateur en ligne de syndics lui a de nouveau attiré les indignations d'organisations professionnelles, qui accusent Matera d'avoir mis en place un "piège à clics", ou de s'adonner au "syndic-bashing"."Il y a des acteurs existants qui défendent une rente, et qui sont à mon sens peu capables de créer l'innovation sur leur secteur ; et leur moyen de défendre leur part de marché, c'est notamment d'engager des procédures judiciaires", affirme Raphaël Di Meglio."Enjeu commercial"Car derrière, il y a une bataille économique bien réelle.Les nouveaux acteurs "grignotent des parts de marché aux syndics, ces derniers se faisant ravir des copropriétés au profit d'une gestion par les copropriétaires eux-mêmes en interne. Donc il y a quand même un enjeu commercial derrière", explique à l'AFP Me Elisa Bocianowski, avocate spécialisée dans l'immobilier (et non impliquée dans ces affaires) au cabinet Simmons & Simmons.Ces jeunes entreprises entendent automatiser, à l'aide d'applications, certaines tâches chronophages : comptabilité, classement des documents administratifs..."Aujourd'hui, si vous allez dans un syndic traditionnel, ça fonctionne un peu comme il y a trente ans", affirme Antonio Pinto, fondateur du néo-syndic Bellman. "C'est le comptable qui imprime des choses, l'assistante qui va mettre les courriers sous pli et les poster, on reçoit des factures au format papier, on met des coups de tampon...""Et quand vous gérez 40 immeubles, ou 50, ou 70, chaque seconde compte", dit-il."Les syndics en ligne sont intéressants pour les petites copropriétés qui n'arrivent pas à être gérées de façon classique", pense David Rodrigues, de l'association de consommateurs CLCV.Bellman, qui gère environ 500 copropriétés, a fait interroger des copropriétaires pour une étude : 45% d'entre eux évaluent entre 0 et 6 sur 10 leur satisfaction vis-à-vis de leur syndic.Ce qui l'a poussée à lancer elle aussi une campagne de publicité osée, où les copropriétaires qui renoncent à laisser tomber un syndic dysfonctionnel sont représentés en masochistes tout de cuir vêtus.Les poids lourds du secteur, eux, tentent de s'adapter. Foncia met ainsi la touche finale à une application pour smartphone de gestion de syndic."Je pense qu'il y a de la place pour tout le monde, mais la plus-value, elle est quand même liée à un professionnel en chair et en os", défend Danielle Dubrac, présidente de l'Union des professionnels de l'immobilier (Unis), tout en prévenant : "Si le modèle économique (des nouveaux acteurs) n'est pas rentable, s'il n'y a pas de retour sur investissement, on passe à autre chose. Et il peut y avoir une obsolescence très rapide de ces néo-acteurs".Ni Bellman ni Matera ne sont actuellement bénéficiaires.
Il y a 2 ans et 345 jours

Inauguration d'un nouveau parc solaire géant à Gien dans le Loiret, mais la France encore loin du compte

L'an dernier a vu un niveau record de construction de sites solaires dans l'Hexagone.A Gien, le parc de 75 ha d'une capacité de 55 mégawatts (MW) peut alimenter environ 40.000 personnes en électricité. Avec lui, le groupe pétro-gazier TotalEnergies, qui veut se diversifier, atteint désormais un total de 1 gigawatt (GW) de capacité solaire ou éolienne en France. Il vise 4 GW en 2025."Ca n'est qu'un début et TotalEnergies a bien l'intention d'être un acteur majeur de cette transformation" énergétique, a déclaré Stéphane Michel, directeur Gaz, renouvelables et électricité pour le groupe, en inaugurant les lieux vendredi sous un soleil de circonstance.Mais la France n'est à ce jour pas le pays le plus accueillant pour les renouvelables. A 13 GW de capacité, elle devrait rater son objectif pour 2023 (20 GW), et ce alors que le président Emmanuel Macron veut désormais pousser à 100 GW en 2050.Pour Stéphane Michel, en France, "le grand sujet c'est l'accès au foncier". Pour trouver des zones d'implantation, le groupe a signé une convention avec la fédération agricole FNSEA, et mène des projets pilotes dans l'agrivoltaïsme permettant de mêler productions agricole et d'énergie."Être informés"A Gien, c'est le propriétaire du terrain qui est venu voir l'énergéticien.Michel Beaumont ne savait que faire de cet espace agricole, selon lui peu fertile, dans lequel il avait investi pour tenter d'implanter un parc animalier.Le photovoltaïque, "c'est le plus beau projet qu'on pouvait faire, car on en a besoin," dit cet entrepreneur de travaux publics, qui a signé un bail de location de 20 ans, pour un montant non précisé.Le projet n'a pas fait l'objet de recours. Mais le processus a duré huit ans, entre instruction, études environnementales, fouilles archéologiques qui ont in fine réduit la surface, aménagement de mares et de haies...Pour impliquer les riverains, une part du projet (38 millions d'euros d'investissement au total), a aussi fait l'objet d'un financement participatif de 2,2 millions d'euros, souscrit par 200 habitants.Le maire (DVD) de Gien, Francis Cammal, se félicite d'un projet alliant "nature et technologie": "la triste actualité (en Ukraine) rend plus cruciale une nécessité évidente. Il faut accroître la part des énergies renouvelables et réussir ensemble la transition énergétique du pays".Il salue aussi les retombées fiscales -- plusieurs dizaines de milliers d'euros, dit-il à l'AFP -- et le "souci de concertation". "Il faut être informés, car nous nous interrogeons, par exemple, sur la durabilité des panneaux."En France, TotalEnergies affiche une certaine modestie dans ses ambitions solaires ou éoliennes."A Gien, on a trouvé un équilibre entre coût et acceptabilité. On n'est pas forcement convaincu que de plus grandes centrales puissent faire sens, si un projet doit prendre 15 ans et n'est pas garanti d'aboutir. Il n'y a pas de course à la taille pour la taille".La situation est différente aux Etats-Unis, en Inde, au Chili, en Espagne, ou au Qatar où "on met en production 800 MW au milieu du désert, et ce n'est pas un problème".Selon lui, la multinationale consacre aujourd'hui 25% de ses investissements annuels aux renouvelables et à l'électricité, en croissance organique ou en acquérant des entreprises.Le groupe commence aussi à internaliser certaines fonctions, de recherche-développement, calcul et modélisation, etc., dit encore le responsable du groupe.TotalEnergies réalise à ce jour environ 5% de ses ventes dans les renouvelables et l'électricité (y compris d'origine gazière), le reste provenant de ses activités traditionnelles.
Il y a 2 ans et 345 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel sur les bons gestes pour limiter les risques

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.
Il y a 2 ans et 345 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel des obligations des employeurs

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.
Il y a 2 ans et 345 jours

Vagues de chaleur : piqûre de rappel des bons gestes et des obligations des employeurs

SANTÉ. Avec l'arrivée des premiers épisodes de fortes chaleurs sur l'Hexagone, le ministère du Travail rappelle les précautions à prendre pour les employés exposés, dans le cadre de l'exercice de leur profession, à ces conditions météorologiques potentiellement dangereuses pour la santé. Le BTP est concerné au premier plan.